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CORPUS Conception, scénographie et direction artistique : Aurélien Kairo

photo : Aurélien Kairo

Production : Compagnie de Fakto Coproduction : MCNN – Centre de Création et de Production de Nevers / Centre Chorégraphique National de la Rochelle – Kader Attou – Cie Accrorap

CONTACT MCNN – Centre de Création et de Production de Nevers

Service diffusion / 01 47 00 72 61 Raphaèle Gambus / spectacles@mcnn.fr / 06 74 96 93 25

Florence Ricaud / tournees@mcnn.fr / 06 47 01 63 05

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CORPUS

Chorégraphies et direction artistique : Aurélien Kairo Danseurs interprètes : Amine Boussa, Willy Pierre-Joseph, Georges-Marie Sautron Scénographie : Aurélien Kairo Création lumière : Vincent Renaudineau Arrangements audio : Aurélien Kairo Masterisation et multidiffusion : Sacha Moraes Costumes : Claude Murgia Sur des musiques de Mozart, Haendel, Zbigniew Preisner, Alva Noto, Nikodimos Kabarnos, Ryoji Ikeda, Ben Frost, John Adams et Ludovico Einaudi Avec le soutien du Conseil Régional de la Région Rhône-Alpes et de la Ville de Lyon

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Présentation

Inspiré des concepts philosophiques de Nietzsche : le ressentiment, la volonté de puissance,

la décadence et l’éternel retour, ce spectacle est mené comme une enquête introspective

spirituelle.

Les chorégraphies sont imprégnées de concepts dogmatiques judéo-chrétiens pour une

critique poétique, en cohérence avec les aphorismes d’Ainsi parlait Zarathoustra.

Ce trio, devenant trinité dans l’espace sacré, manifeste des états de corps et propose une

danse spirituelle.

Nietzsche se présentait dans l’Antéchrist comme l’avocat de dieu auprès du diable.

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Note d’intention

CORPUS s’inscrit dans la continuité de mes travaux chorégraphiques commencés, depuis

quatre ans, sur les œuvres du philosophe Friedrich Nietzsche. Pour cette nouvelle création,

je souhaitais me détacher du texte pour laisser la place principale au corps.

« Les mots nous barrent la route » déclare Friedrich Nietzsche dans son Livre Aurore. En

revenant une nouvelle fois sur l'ensemble de son œuvre, je m’aperçois qu’il précise,

quelques années plus tard, dans l'un de ses tout derniers textes « Avant de m'avoir lu, on ne

sait pas ce que l’on peut faire de la langue allemande et ce que l'on peut faire en général, du

langage». Cette affirmation d'Ecce homo indique que si Nietzsche bouleverse radicalement

la problématique philosophique, il ébranle également la nature du langage.

Entrer dans l'univers de la pensée nietzschéenne est, avant toute chose, s‘aventurer dans

une logique d'expression nouvelle, un nouveau langage où le corps reprend ses droits. Avec

Friedrich Nietzsche, le dialogue avec nos pulsions et nos instincts est enfin renoué, selon une

formule qu'il affectionne tout particulièrement dans Ainsi parlait Zarathoustra : « L'usage

courant de la langue, en effet, masque bien plus les difficultés philosophiques qu'il ne les

résout ou les révèle, et entrave constamment de ce fait les efforts de pensée. »

Cette œuvre chorégraphique est en opposition dans la forme avec le premier volet de mon

diptyque, N, L’ETOILE DANSANTE. En effet, ce solo biographique était très scénarisé, narratif,

didactique et cinématographique. Ce parti pris de mise en scène était pour moi l’idéal, afin

de rendre accessible aux spectateurs le propos du grand philosophe Friedrich Nietzsche.

Cette nouvelle étude chorégraphique propose un langage pour une danse libre et exaltée. L’énergie contenue dans chaque danse fut au centre de mes préoccupations, un savant mélange justement dosé pour convenir à une pensée à la fois forte, noble et continuellement en ébullition. L’âme, selon Nietzsche, n’existe pas mais la pensée, oui, et elle provient d’un corps. C’est donc tout un corps traversé de pensées qui danse. Ce sont ces flux d’énergie qui donnent la vitalité aux chorégraphies.

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Un leitmotiv dans les écrits de Nietzsche où les aphorismes et le rythme

prédominent constamment.

Les trois interprètes incarnent mes représentations très personnelles, des concepts

Nietzschéens. Chez Friedrich Nietzsche, il existe une sorte d’écriture du sang et de la chair,

mais il est vrai que le corps est ce tissu sémiotique où s’exprime le langage des affects. J’ai

créé avec eux, en ce sens, dans l’espoir de faire émerger une danse organique.

Voici un extrait de Ainsi parlait Zarathoustra qui m’a inspiré : « De tout ce qui est écrit, je

n’aime que ce que l’on écrit avec son propre sang. Écris avec du sang et tu apprendras que le

sang est esprit. Il n’est pas facile de comprendre du sang étranger : je hais tous les paresseux

qui lisent. Celui qui connaît le lecteur ne fait plus rien pour le lecteur. Encore un siècle de

lecteurs et l’esprit même sentira mauvais. Que chacun ait le droit d’apprendre à lire, cela gâte

à la longue, non seulement l’écriture, mais encore la pensée. Jadis l’esprit était Dieu, puis il

devint homme, maintenant il s’est fait populace. Celui qui écrit en maximes avec du sang ne

veut pas être lu, mais appris par cœur. »

Le trio CORPUS est un choix précis, une triangulaire, trois points récurrents dans l’imagerie

christique : Le Père, Le Fils et Le Saint-Esprit. La critique judéo-chrétienne de Nietzsche,

L’antéchrist est, sans aucun doute, une œuvre magistrale. Mais lorsque l’on sait qu’il a eu

comme père un pasteur et qu’il fait parler son Zarathoustra comme un évangile, ces

contradictions suggèrent des conflits intérieurs personnels forts.

"Au fond, il n'y a jamais eu qu'un Chrétien et il est mort sur la croix. L'évangile est mort sur la

croix... Seule est Chrétienne la pratique chrétienne, une vie telle que celle vécue par celui qui

mourut sur la croix" – Friedrich Nietzsche.

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Pour le grand public, la phrase la plus connue de Nietzsche est « Dieu est mort » mais il dit

surtout « Qu’avons-nous fait ? Nous l’avons tué et maintenant que nous reste-t-il ? »

« Où est Dieu? cria-t-il, je vais vous le dire! Nous l'avons tué – vous et moi! Nous tous sommes

ses meurtriers! Mais comment avons-nous fait cela ? Comment avons-nous pu vider la mer ?

Qui nous a donné l'éponge pour effacer l'horizon tout entier ? Qu'avons-nous fait, de

désenchaîner cette terre de son soleil ? Vers où roule-t-elle à présent ? Vers quoi nous porte

son mouvement ? Loin de tous les soleils ? Ne sommes-nous pas précipités dans une chute

continue ? Et cela en arrière, de côté, en avant, vers tous les côtés ? Est-il encore un haut et

un bas ? N'errons-nous pas comme à travers un néant infini ? » - Friedrich Nietzsche.

Pour de nombreux analystes, le retour du religieux gagne du terrain dans nos civilisations

modernes. Pour ma part, je pense plutôt qu’elle est, en partie, la conséquence d’un manque

de spiritualité chez les occidentaux. Nous avons, au quotidien, minimisé l’importance des

questions existentielles : La vie a-t-elle un sens ? Qui suis-je ? D’où est-ce que je viens, Où

vais-je ? Que vais-je faire de ma vie ?

Ces interrogations humaines, universelles, ne sont pas réservées aux religions. Philosopher,

c’est juste penser ces questions. La science et l’histoire nous renseignent aussi sur ce que

nous sommes et sur ce dont nous avons besoin pour vivre en harmonie avec le monde qui

nous entoure.

J’aurais aimé être l’auteur de ces deux maximes, que je fais miennes :

« Si je ne crois pas en Dieu, c'est aussi, et peut-être surtout, parce que je préférerais qu'il

existe. » Pascal.

Et

« Je prends la vie comme un mystère qu’il faut vivre et non un comme un problème à

résoudre. » Mahatma Gandhi.

Selon Friedrich Nietzsche, il n’y a pas de vérité mais seulement des interprétations.

Cependant, l’homme semble avoir ce besoin de construire sa vérité et ce, depuis la nuit des

temps. Comment se construit-elle et dans quel but ?

A partir de cette question, un vaste sujet d’études chorégraphiques s’ouvre à moi.

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Rites et danses, soigneusement orchestrés, sacralisent un évènement jugé important. Ils

invitent à sous-entendre, à démontrer ou à convaincre l’auditoire. C’est ainsi qu’une

interprétation semble devenir une vérité et que, la mise en scène devient un artifice, à son

service, pour la rendre convaincante.

Oui, il faut aussi se méfier des artistes, des films, des documentaires, des spectacles

comiques. Le talent maquille et peut dissimuler une vérité. Mais au profit de qui ? De quoi ?

De quelle cause ?

Dans une époque, où ce qui doit être cru est plus important que ce qui est réellement,

toutes les valeurs morales se valent-elles ?

Voilà, l’éternelle question du relativisme.

Selon les cultures et selon les croyances, il est facile de constater que le bien et le mal

s’inversent ou se confondent.

Il est parfois difficile de porter un jugement.

Sur ces sujets, la philosophie semble m’apporter des clés de réflexions, m’aider à développer

mes capacités de discernement, me permettant ainsi de me forger ma propre opinion

lorsque l’on m’assène une vérité.

Aurélien Kairo.

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Biographies

Aurélien Kairo

Adolescent, Aurélien Kairo découvre la culture Hip-Hop avec la musique Rap engagée du groupe américain Public Enemy. Il se passionne pour l’idéologie charismatique d’Africa Bambataa, originaire du Bronx, qui fonde la Zulu Nation en transmettant des valeurs fortes du vivre ensemble. A travers cette culture artistique Hip-Hop, il s’essaye activement au Djing, au Rap, mais préfère finalement les mouvements au sol de la Break Dance, de la Hype et du Poppin, différentes techniques de la danse hip-hop. L’expression de la danse est alors une révélation et fait naitre en lui une véritable vocation. En 1999, il intègre la Cie Accrorap de Kader Attou et d’Eric Mézino. De nombreuses tournées nationales et internationales soudent une complicité artistique forte avec son homologue et camarade Kader Attou, qui lui apporte tout son soutien, jusqu’à ce jour, sur l’aide à la création et à la production/diffusion de ses œuvres chorégraphiques avec le CNN de la Rochelle. En 2000, il réussit son audition pour rejoindre le Ballet Béjart Lausanne et devient le premier danseur hip-hop à intégrer un ballet. Il participe à la création mondiale de l’Enfant Roi comme danseur soliste. Il danse aussi dans Lumière des eaux, Le Presbytère, Le Djerk et même Le Boléro. Maurice Béjart lui commande un solo pour la biennale de la danse internationale à Gênes en 2001. Son envie de s’affirmer en tant que chorégraphe et metteur en scène débute. En 2002, il fonde sa compagnie, De Fakto Danse, pour diriger artistiquement ses propres projets chorégraphiques. L'année suivante, la Maison de la danse de Lyon le présente au Directeur de la Cie Kafig, Mourad Merzouki, car il recherche un assistant danseur et chorégraphe pour le seconder pour une création jeune public autour des fables de la Fontaine. Ce spectacle s’intitulera Le chêne et le roseau et, encore à ce jour, c’est la création hip-hop jeune public qui a le plus tourné en France et à l’étranger (plus de 550 représentations). Ce spectacle recevra aussi un prix en Allemagne, au Festival Mimos. Créé en 2006, J’arrive ! est son premier solo. Il marque le début d’une signature artistique atypique, personnelle, propre à son univers : il confronte et réussit, avec brio, à interpréter un personnage tragique via une danse hip-hop poético-burlesque sur les standards de Jacques Brel. …/…

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En 2010, Olivier Peyronnaud, directeur de la Maison de la Culture de Nevers, lui propose de devenir artiste associé. Il est ainsi le premier artiste chorégraphique issu de la culture Hip Hop à occuper cette mission. Il créera, un an plus tard, dans le cadre de l’année du Mexique en France La Nina de la casa Azul, un spectacle dédié à la vie et aux œuvres picturales de Frida Kahlo, soutenu et financé par le bureau des saisons d’Institut France.

En 2012, il crée N, l’étoile dansante, un second solo, sur les œuvres de Friedrich Nietzsche, cette fois. Ce diptyque qui résonne comme une étude chorégraphique profonde sur la grande figure du philosophe est très remarqué au CDC Les Hivernales en Avignon. De nombreuses représentations s’ensuivent en France avec à chaque fois cette envie personnelle forte d'animer, autour de ce diptyque, des actions culturelles riches (ateliers, cafés philosophiques, conférences avec les universités populaires etc.). Il écrit et publie un livre, au printemps 2015, autour de ses réflexions nées durant toute la période de création. En 2014, il crée avec sa compagne, danseuse et chorégraphe, Karla Pollux, un duo Un petit pas de deux sur ses pas. Sur une idée de mise en scène incroyablement astucieuse, il fait revivre la joie de vivre d’un grand comique, Bourvil. Le spectacle narre l’histoire d’un couple de danseurs auditionnés par Bourvil qui bondit du hip-hop à la valse, du tango au break-dance revisitant ainsi, avec talent, son répertoire musical.

Amine Boussa

Amine Boussa est un jeune danseur et chorégraphe, autodidacte. Né à Alger, il découvre la danse hip hop au lycée et commence à s’entraîner assidûment. Il suit ses premiers stages avec les Compagnies Käfig et Accrorap et connaît la scène très rapidement en participant à l’ouverture du festival mondial de la jeunesse à Alger devant 75000 personnes, un spectacle de Safy Boutella, en août 2001. …/… En 2009, il est danseur interprète dans une pièce de trois solos, Métamorphoses, pour la compagnie Etre’Ange. En 2010, il danse dans la pièce Synfonia Piesni Zalosnych, pour le Centre Chorégraphique National de La Rochelle. La même année, il crée à La Rochelle, sa compagnie, Chriki’Z et chorégraphie sa première pièce en 2011, Moovance. Dans le même temps, il poursuit son parcours d’interprète et danse

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dans Instable de la compagnie S’poart. Il intègre également la compagnie De Fakto pour la pièce franco-mexicaine La Nina de la casa azul. À l’image de son parcours, Amine Boussa veut donner à la compagnie Chriki’Z un hip hop loin des clichés et ouvert à d’autres stylistiques, un hip hop qui se nourrit des rencontres sans pour autant négliger le côté performance. En 2013, il signe sa seconde création, l’IniZio, pièce chorégraphique pour cinq danseurs. Cette pièce s’inspire de la peinture de Michel Ange sur la voûte de la Chapelle Sixtine. En 2014, il rejoint à nouveau Kader Attou et le Centre Chorégraphique National de La Rochelle pour la création Opus 14. La première a été donnée, en septembre 2014, à La Biennale de La Danse de Lyon.

Willy Pierre-Joseph

Après sa formation initiale à la gymnastique acrobatique au gymnase Maurice Fournier d’Aulnay-sous-Bois, Willy Pierre-Joseph enchaine des formations complémentaires en danse hip-hop, danse africaine, danse liturgique, capoeira danse…

Après avoir dispensé des cours de danse hip-hop, au sein de l’association ANV à Saint-Denis, il est engagé en qualité d’artiste-interprète dans Shaolin, création de la Compagnie Afrokdanse, dans Olmyta et Edalam, création de Just Winner Production (2010) et pour le clip Sa pa fè mwen mal encô de la chanteuse Laurie Jam (2011).

Au cours des années 2009 à 2012, il assure plusieurs prestations dansées pour Total Praise Dance Companies, dirigée par Marc Beaujour, au Théâtre Mogador, au Théâtre du Châtelet, au Casino de Paris, au Pavillon Baltard…

Par la suite, après sa participation au concours international de danse hip-hop Juste Debout (catégorie expérimentale), il travaille sous la direction des chorégraphes Gérard Diby (danse africaine), Iris Mirnezami (danse bollywood fusion hip-hop), Marc Beaujour (danse hip-hop liturgique)…

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En 2013 et 2014, il assure les interventions danse dans un Espace Dynamique d’insertion à Villiers le Bel et participe à la création de Pierrot et Arlequin, dirigé et chorégraphié par Dominique Lesdema (style modern jazz, hip-hop contemporain).

En 2015, il crée sa compagnie de danse.

Georges-Marie Sautron

Après une formation en danse classique et jazz acquise auprès de Valerie Piccioli, professeur à l’Atelier Sud - Saint-Pierre de la Réunion (2005), il s’inscrit à Scène Formations Lyon, centre habilité par le Ministère de la Culture pour la formation au D.E. de professeur de danse. Il s’initie alors à d’autres styles de danse : hip-hop, claquettes, locking, pop rock, smurf, break dance… et participe à de nombreux stages dispensés par Alain Gruttadauria, Peter Mika, Patrice Valéro, Christine Hassid… Georges-Marie Sautron a débuté sa carrière professionnelle à La Réunion, au sein du Groupe Original Breakers. En 2005, il est engagé, toujours à La Réunion, dans le spectacle Notre Dame de Paris. A partir de 2007, il participe à de nombreux « événements danse » pour le compte de Lyon Scène Production et de La Sphère des Possibles. Dans le même temps, il est engagé comme danseur et/ou danseur principal dans plusieurs créations de la Compagnie La Verrière (style modern jazz - chorégraphe François Huchard). En 2010, il intègre la Compagnie Horizon (chorégraphe Bruno Caprioli – Nice) et participe à plusieurs créations : Origines, Regard, Au travers et U Mazzeru. En 2011, le chorégraphe Mickaël Six – Compagnie Bakhus à Cannes – fait appel à lui pour ses créations B-Gaïa et La quête de Jason. En 2012, tout en poursuivant sa collaboration avec les compagnies Horizon et Bakhus, la chorégraphe Julie Magneville (Zakat Dance Company – Cannes) fait appel à lui pour Rise Up et Média. Pluridisciplinaire, le style de Georges-Marie Sautron se définit comme étant une fusion entre la danse hip-hop et la danse contemporaine.

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Pratique

Tournée 2015 : Nevers (58) à La Maison de la Culture 15 octobre 2015 Ris Orangis (91) au Centre Culturel Robert Desnos 13 novembre 2015 Arcachon (33) au Théâtre Olympia 23 novembre 2015 Thouars (49) au Théâtre de Thouars 03 décembre 2015 Marseille (13) au Théâtre Toursky 15 décembre 2015 Tournée 2016 : Calendrier en cours … Fiche tarifaire : Nous consulter En tournée : ++ 4/5 personnes Fiche technique : Nous consulter

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