Décembre 2013 Vol. 5 No 1 · apprennent les valeurs d’empathie et de paix ». Je vous invite donc, parents, amis, enseignants et responsables scolaires, à saisir l’occasion

JE SUIS BIEN DANS MON ÉCOLE.

RespectTolérance

Engagement

Élèves de l’ÉÉC Georges-Étienne-Cartier de Toronto

Décembre 2013 Vol. 5 No 1

www.csdccs.edu.on.ca

Notre Vie

2 Notre vie

Message du directeur de l’éducation 3En couverture : Je suis bien dans mon école... 4 Mention spéciale 5

Moments de vie

Jean-Vanier 6 Monseigneur-de-Charbonnel 10 Saint-Frère-André 12 Mère-Teresa 14 Nouvelle-Alliance 18 Père-René-de-Galinée 22 Renaissance 24 Saint-Charles-Garnier 27 Sainte-Famille 29 Sainte-Trinité 32

Témoin de l’éducation catholique 34 La voie de l’excellence : Chacun y met du sien _ 36 Animation culturelle et pastorale 41 Vos conseillères et conseillers scolaires 47

La revue du Conseil scolaire de district catholique Centre-Sud

Présidente : Nathalie Dufour-SéguinDirecteur de l’éducation : Réjean Sirois

Conception et rédaction : Marthe Métayer Eve-Amélie Towner-SaraultConception graphique : Éric Guay

Produit par le Service des relations corporatives110, avenue Drewry3e étage, Toronto, M2M 1C8Tél. : 416-397-6564Téléc. : 416-397-6576www.csdccs.edu.on.ca

Parution : décembre, juinProchain numéro : juin 2014Date de tombée : mai 2014

Appel à tous!Élèves, enseignants, parents et directions d’école, faites-nous parvenir des textes et photos sur vos activités, vos succès et vos défis. Envoyez vos textes (Word ou TextEdit) et photos (JPG ou TIF haute résolution) à [email protected]’oubliez pas d’indiquer le nom de votre école.

Nous remercions toutes les correspondantes et tous les correspondants des écoles et des services qui ont collaboré à la réalisation de ce numéro.

SOMMAIRE

NotreVie

32013-2014 © Conseil scolaire de district catholique Centre-Sud

Être bien dans son école

Dans un monde où tout change continuellement à la vitesse des électrons de nos appareils mobiles, il est rassurant de savoir qu’il existe encore un lieu où nos enfants et nos jeunes peuvent grandir et s’épanouir dans un environnement sécuritaire, apaisé et garant des valeurs essentielles à une vie communautaire harmonieuse. Ce lieu, c’est l’école. Au CSDCCS, nous prenons très au sérieux notre double responsabilité d’instruire les enfants et les jeunes pour leur donner le bagage académique nécessaire pour réussir leur vie professionnelle, mais aussi de le faire dans un milieu qui les outille pour en faire des personnes équilibrées et responsables, des citoyens engagés pour le bien-être de tous, animés de la foi chrétienne qui nous unit.

Pour les élèves, cela commence par « être bien dans son école ». Selon quelques sondages mentionnés dans les articles de ce numéro, la vaste majorité des élèves du CSDCCS se sentent bien dans leur école. Mais il faut bien comprendre que pour parvenir à ces résultats, nous devons rester extrêmement vigilants. Maintenir la sécurité dans nos écoles est un travail continu qui se poursuit bien au-delà de la Semaine de la sensibilisation à l’intimidation et de la prévention. Les activités qui se sont déroulées dans nos écoles du 17 au 23 novembre

et qui sont décrites dans les pages qui suivent, témoignent du sérieux et de la détermination avec lesquels les directions et le personnel enseignant veulent éradiquer l’intimidation. Il faut aussi remarquer que la plupart de ces activités ne sont qu’un point de départ pour un cheminement qui va se poursuivre tout au long de l’année scolaire. Et c’est là où nous reconnaissons tout le savoir-faire éducatif et le dévouement du personnel qui a bien compris le double mandat des écoles catholiques de langue française. Au nom de tous, je tiens ici à les remercier de faire de nos écoles un lieu où les élèves se sentent bien en tout temps.

Comme nous le dit Micheline Y. Rabet, Gestionnaire des services en travail social au CSDCCS, dans l’article Témoin de l’éducation catholique, « c’est la responsabilité des adultes de créer un monde dans lequel les enfants apprennent les valeurs d’empathie et de paix ». Je vous invite donc, parents, amis, enseignants et responsables scolaires, à saisir l’occasion de ce numéro spécial sur la sécurité à l’école pour réfléchir à la façon dont vous pouvez apporter votre contribution au bien-être et à la réussite de nos enfants et de nos jeunes.

Réjean SiroisDirecteur de l’éducation et secrétaire-trésorier

4 Notre vie

présence de témoins.Tous les conflits ne sont pas toujours de l’intimidation et le concept d’intimidation mérite d’être précisé afin que l’on puisse y répondre de façon adéquate.

L’auteur Williams Voors mentionne dans son livre « qu’il y a intimidation quand une ou plusieurs personnes ont du plaisir à utiliser le pouvoir pour maltraiter de façon répétitive et constante une ou plusieurs personnes »1. L’auteur indique donc trois critères :

- il doit y avoir des gestes négatifs répétés et constants contre l’enfant;

- il doit y avoir un déséquilibre de force entre l’enfant qui intimide et la cible;

- il doit y avoir une différence entre les émotions ressenties par l’enfant intimidateur et celles de la cible d’un incident d’intimidation.

La clé de résolution de l’intimidation est la communication, entre autres avec un adulte.

En couvertureJe suis bien dans mon école…

Le CSDCCS s’est joint au reste de l’Ontario pour offrir à ses écoles un menu d’interventions dans le cadre de la Semaine provinciale de la sensibilisation à l’intimidation et de la prévention qui a eu lieu du 17 au 23 novembre 2013. Les activités proposées venaient rejoindre le critère de rayonnement que le service de la programmation s’est donné comme mandat.

Chaque journée de la semaine avait un thème différent qui était abordé de façon positive : la cyberintimidation, l’abus verbal, le témoin, la médiation et pour clore la semaine, le pardon.

L’éventail d’activités offrait des occasions de vivre des expériences au niveau de la classe, entre classes et entre les différents paliers scolaires ou encore à la grandeur de l’école. Nous souhaitions mettre l’emphase sur la responsabilisation et l’engagement positif de chacun à trouver des solutions par et pour les élèves.

Une initiative visant la prévention et l’engagement de toute la communauté scolaire.

On parle d’intimidation parce qu’elle nous affecte tous et toutes que l’on soit auteur d’actes d’intimidations, victime et/ou témoin. Selon le Centre de Toxicomanie et de santé mentale, le tiers des enfants font l’objet d’intimidation et 85 % des actes d’intimidation se font en

1 L’INTIMIDATION, changer le cours de la vie de votre enfant, William

Voors, 2003, p. 29


Mention spécialeOn s’aime comme on est!ÉÉC Saint-Jean-de-Lalande

Les élèves de 5e et 6e année du conseil d’élèves de l’ÉÉC Saint-Jean-de-Lalande de Toronto ont planifié le lancement de la Semaine de sensibilisation à l’intimidation. Ils ont commencé en faisant leur autoportrait pour démontrer qu’avant tout, il faut s’accepter comme on est. Ensuite, ils ont présenté leur autoportrait aux autres élèves de l’école afin de leur offrir un modèle pour que tous les enfants puissent faire

leur autoportrait. Ces autoportraits sont affichés partout dans l’école pour représenter notre communauté diverse, mais unie. Les élèves ont laissé des messages d’amitié sous l’autoportrait de leurs amis.

Morgan, une élève de 5e année du conseil d’élèves, a été inspirée pour rédiger un acrostiche pour compléter son autoportrait…

Je suis bien dans ma peau… Brune et belle! Imparfaite, mais je l’accepte. Extraordinaire et intelligente. Naturellement moi!

Déterminée à faire ce que je dois et plus. Absolument contente comme je suis. Non intimidée par ce que les autres pensent de la couleur de ma peau. Sûrement pas trop différente des autres.

Mes amis m’acceptent comme je suis. Après tout, je ne peux pas changer!

Parce que je m’aime comme je suis. Entourée d’amour. Accessible à toute l’école. Unie avec le monde!

6 Notre vie

Famille d’écoles Jean-VanierWelland, Lincoln, Niagara et Port Colborne

Moments de vie

Le 18 octobre dernier, plus de 170 élèves, membres du personnel et membres de la communauté scolaire de l’ÉSC Jean-Vanier de Welland ont participé à leur deuxième Relais pour la vie. L’événement a vu sa participation doubler depuis l’an dernier et a permis de recueillir 12 613 $, qui ont été remis à la Société canadienne du cancer, afin de financer la recherche et la prévention contre le cancer. Réunis en équipe, les élèves et les membres du personnel ont marché en relais pendant 12 heures, de 18 h à 6 h le lendemain matin. Plusieurs survivants du cancer faisant partie de la communauté francophone du Niagara se sont joints aux élèves. Ils ont lancé la marche par un premier tour de piste pendant lequel tous les participants les ont chaleureusement applaudis. « Ça fait chaud au cœur… Ça fait remonter toutes sortes d’émotions », explique Edith Toscher, une survivante, qui participait à l’événement pour la deuxième fois. Au petit matin, les organisateurs étaient très fiers d’annoncer que l’événement avait non seulement atteint, mais aussi dépassé l’objectif de 10 000 $. Le premier Relais avait permis de recueillir près de 7 000 $. « C’est un grand bond que nous venons de faire! Les élèves réalisent l’importance de cette cause et ils comprennent que nous sommes tous touchés

ÉSC Jean-Vanier

de près ou de loin par le cancer. Ils se sont impliqués et ont su faire une différence. Nous sommes très fiers d’eux et très reconnaissants envers la communauté et les commanditaires qui nous ont encouragés et appuyés », explique Frédérik Marchand, organisateur du Relais pour la vie à Jean-Vanier. Le Relais pour la vie fut une occasion de célébrer les êtres chers qui ont survécu au cancer, de rendre hommage à ceux qui ont perdu leur combat, et de lutter dans l’espoir d’éliminer à jamais cette maladie. Au cours des 12 heures qu’a duré l’événement, les élèves ont aussi eu l’occasion de participer à différentes activités telles que le zumba, un bingo géant, une chasse au trésor interactive et une émouvante cérémonie des luminaires.

L’équipe des verts, composée d’élèves de 12e année de Jean-Vanier, affiche fièrement ses couleurs avant la cérémonie d’ouverture.


L’ÉÉC Immaculée-Conception de St. Catharines est très enthousiaste à l’idée de se joindre au programme P.A.L.S. (programme d’activités ludiques en milieu scolaire) en collaboration avec le Bureau de santé du Niagara. Ce programme a été mis au point à la suite d’un examen des programmes existants d’activités dans la cour de récréation et d’une consultation auprès d’autres bureaux de santé. Le programme P.A.L.S. encourage les enfants à participer à des activités sportives durant les récréations sans égard à leur sexe, leur taille ou leurs capacités. Ces activités sont animées par des jeunes de la 5e à la 7e année. Environ 30 jeunes ont reçu une formation pour devenir animateurs de jeux. Ils sont responsables de planifier et de diriger, de façon sécuritaire, des activités amusantes dans la cour de récréation. Le programme permet aux élèves animateurs d’acquérir les compétences suivantes : communication, résolution de problèmes, organisation, coopération et animation. Les objectifs du programme P.A.L.S. sont les suivants :

ÉÉC Immaculée-Conception

Quel plus beau lien que celui des enfants et de leurs grands-parents! Eh oui, ce lien intergénérationnel a été vécu pour la première fois de l’histoire de l’ÉÉC Saint-François-d’Assise de Welland lors du Rendez-vous des grands-parents le jeudi 10 octobre. Les élèves ont passé la journée à bricoler, chanter, danser, manger, lire et socialiser avec leurs grands-parents. Le point culminant a certainement été le jeu de bingo animé par notre nouvelle directrice Mme Muriel. Elle a vraiment su faire « rocker » les élèves, le personnel et bien sûr les grands-parents. Le gymnase était comble et on pouvait ressentir un air de joie, d`amour et de paix à cette belle fête.

ÉÉC Saint-François-d’Assise

- augmenter le niveau d’activité physique; - réduire les conflits et l’intimidation dans la

cour de récréation; - offrir l’occasion aux élèves de devenir

animateurs de jeux.

Ce programme reflète une belle initiative et les élèves animateurs qui ont reçu leur formation finale le 22 octobre avaient très hâte de mettre en pratique leurs nouvelles responsabilités.

8 Notre vie

À l’ÉÉC du Sacré-Cœur de Welland, la fierté francophone s’exprime en vert et blanc! La cérémonie de la 4e journée officielle des Franco-Ontariens et de la 38e fête du drapeau franco-ontarien a permis aux élèves et au personnel d’afficher leur fierté et de célébrer ensemble.Entourés d’une mer de vert et blanc, les cardinaux débutèrent la journée rassemblés au gymnase. L’animation a pris la forme d’une émission télévisée, dirigée par une équipe d’élèves de 8e année. Il y avait le ministre Jacob, le sous-ministre Mickaël, Raymond à la technique, Madison à la caméra et Riley aux décors. Le titre de l’émission était Franco-Fiers et il y a eu un moment important et officiel : les classes de 3e et de 4e

année de Mme Bruyère et Mme Catherine ont reçu une invitation à participer à la cérémonie de levée du drapeau franco-ontarien à l’hôtel de ville de Welland. Avec enthousiasme et énergie, les cardinaux du Sacré-Cœur ont applaudi ces ambassadrices et ambassadeurs qui ont fait une courte visite à l’émission afin d’expliquer

brièvement ce projet et leur participation à la cérémonie à l’hôtel de ville. Vêtus de chandails verts et blancs qu’ils ont faits eux-mêmes, la tête ornée de couronnes, munis de drapeaux fabriqués avec soin, brandissant leurs bannières, ils ont paradé autour de la salle pour ensuite passer sous un pont d’élèves

symbolique. Ils ont aussitôt quitté la scène pour rejoindre l’autobus en direction de l’hôtel de ville. Après leur départ, les autres élèves et le personnel ont assisté à la conclusion éducative de l’émission. Jacob et Mickaël ont su divertir la foule tout en animant avec humour. Il y a eu beaucoup d’agitation lorsque ces derniers ont passé au tirage de chandails aux logos francos variés. Il y avait un chandail à tirer par cycle scolaire.

ÉÉC du Sacré-Cœur

La fête a ensuite continué à l’extérieur dans la communauté avoisinante. Les élèves, le personnel et plusieurs parents et grands-parents ont défilé le long des rues du voisinage afin de partager et de transmettre un peu l’énergie et l’entrain de la journée. Tambours, cuillères de bois, sifflets et tambourins… ce fut un vrai tintamarre sous un beau ciel bleu et un chaud soleil d’automne. Quelle belle journée! La communauté de Welland a su que l’École du Sacré-Cœur est fière de sa langue et de sa culture.


Comme le veut la tradition à l’ÉÉC Notre-Dame-de-la-Jeunesse de Niagara Falls, nous avons souligné la fête des grands-parents le jeudi 10 octobre avant de partir pour la fin de semaine de l’Action de Grâce. Tout près de 100 grands-parents sont venus de près et de loin pour se joindre à leurs petits-enfants pour une litturgie de la parole, une lecture familiale et ensuite un jeu de bingo. Le point culminant fut le moment du départ où on a offert une pomme aux élèves et des « pets de sœurs » aux grands-parents… une pâtisserie traditionnelle pour se sucrer le bec! Comme c’est plaisant de profiter de ses grands-parents. Que le Seigneur les bénisse!

ÉÉC Notre-Dame-de-la-Jeunesse

Que ça bouge à l’ÉÉC Saint-Joseph de Port Colborne! Depuis le début de septembre, nous avons accueilli nos parents à la soirée du curriculum, nos grands-parents pour la journée portes-ouvertes afin de les célébrer, fêté le drapeau franco-ontarien, organisé le marcheton annuel et le camp de leadership pour notre conseil estudiantin pour ne nommer que quelques activités. L’enthousiasme qui fait vibrer l’école pénètre les murs et imbibe chaque élève. Avec notre devise, « Si je le veux, je le peux! », la motivation se répand.

ÉÉC Saint-Joseph

Plusieurs élèves de l’ÉÉC Sainte-Marguerite-Bourgeoys de St. Catharines participent au club du Bon Berger. L’objectif de ce club est de faire des activités visant à développer de l’empathie envers les autres et de s’oublier soi-même. C’est un beau cheminement vers le sacrement de la confirmation que recevront les élèves de 7e et 8e année cette année. Pour mettre en pratique leur engagement, les membres de ce club ont recueilli des projets d’art auprès de tous les élèves de l’école. Ensuite, ils se sont fait un plaisir de livrer ces projets à la résidence de personnes âgées Linhaven située à St. Catharines. Leurs projets serviront à décorer les corridors et aussi à mettre un sourire aux visages de ceux qui se retrouvent très souvent seuls. Cette visite a tellement marqué nos élèves qu’ils en préparent déjà une autre pour le temps des fêtes.

ÉÉC Sainte-Marguerite-Bourgeoys

10 Notre vie

Plusieurs initiatives ont vu le jour à l’ÉÉC Sainte-Madeleine de Toronto au cours des deux dernières années afin d’inclure les élèves dans notre démarche de prévention de l’intimidation. Ainsi, dans le cadre du programme « Leaders des récréations », des élèves de 5e et 6e année animent des jeux pour les élèves de l’élémentaire pendant les récréations. Après avoir reçu une formation de quelques semaines offerte par leur enseignant en éducation physique, ils sont capables de choisir des activités du livret de jeux Ma cour, un monde de plaisir et de les animer. D’autre part, la Semaine de sensibilisation et de prévention de l’intimidation en Ontario a marqué le début des activités de notre ligue de sports intra-murale qui comprend le kin-ball, le ballon volant, le badminton, le soccer et le ballon-panier. Pour y participer, les élèves doivent s’engager à suivre les dix règles de la Charte de l’esprit sportif. Cette initiative leur donne l’occasion de s’engager dans la promotion du respect de soi et d’autrui. Par ailleurs, des équipes de couleur ont été formées dans l’école et chaque élève doit faire gagner des points à son équipe en démontrant un comportement respectueux. Une mise à jour des points est effectuée chaque semaine et des prix sont remis à la fin de chaque trimestre à l’équipe gagnante. Cela crée un climat d’école agréable où chacun a son rôle à jouer pour prévenir l’intimidation et promouvoir un bon esprit sportif à l’école. Toutes ces initiatives reflètent bien les efforts de notre communauté scolaire afin de prévenir l’intimidation et favoriser le développement d’un climat d’école agréable et propice à l’apprentissage.

ÉÉC Sainte-Madeleine

ÉÉC Saint-Noël-Chabanel À l’ÉÉC Saint-Noël-Chabanel de Toronto, les enseignants et le personnel de l’école cherchent toujours un moyen d’intégrer toutes les valeurs du Baccalauréat international dans leur pratique. Très tôt dans l’année, le personnel enseignant explique aux élèves l’importance d’être Investigateur, Audacieux, Communicateur, Ouvert d’esprit et qu’iI n’est pas nécessaire de chercher à vouloir dominer les autres pour se sentir bien dans sa peau. Pour arrêter l’intimidation, les enfants doivent savoir ce que c’est et comment cela se manifeste. Ils doivent aussi pouvoir reconnaître quand ils ont des gestes intimidateurs et pourquoi ils le font. Les élèves qui sont à même d’avoir des relations constructives entre eux seront moins enclins à pratiquer l’intimidation. Ils deviendront aussi plus disposés à ressentir de l’empathie envers les élèves qui subissent des actes d’intimidation. Le déménagement de l’École Saint-Noël-Chabanel marque le début d’une nouvelle aventure dans de nouveaux locaux, mais elle va demeurer un milieu sans intimidation, inclusif, accueillant, sain et sécuritaire pour tous.

Famille d’écoles Mgr-de-CharbonnelToronto


ÉÉC Georges-Étienne-Cartier Les Journées GEC de l’ÉÉC Georges-Étienne-Cartier de Toronto sont consacrées à la construction de l’esprit d’école. Pour cela, des partenariats entre les classes de l’école ont été mis en place et ils dureront toute l’année. Le 25 octobre, la Journée GEC avait pour thème Je suis bien à GEC. En préparation à cette journée, des comportements-cœurs qui contribuent au fait qu’une personne se sente bien à l’école comme le partage, l’entraide, l’empathie et le respect ont été choisis. Les élèves étaient invités à créer un visuel pour représenter un comportement-cœur donné. Avec leurs partenaires, ils avaient l’option de dessiner, de peindre, de faire un collage ou toute autre représentation visuelle

pour expliquer le comportement-cœur. Les plus grands ont exprimé que c’était amusant de travailler avec les plus petits et ils ont aimé rencontrer de nouveaux amis. Ils ont été agréablement surpris par le fait que les plus jeunes étaient si curieux, attentifs et motivés face à la tâche. Ils ont même affirmé que les plus jeunes semblaient réellement les admirer et vouloir les suivre, ce qui leur a fait constater l’importance d’être de bons modèles pour eux, autant sur le plan académique, que social et affectif. Cette activité lançait la campagne de prévention de l’intimidation au sein de l’école GEC. Ce fut un excellent départ pour créer un esprit de camaraderie, de collaboration et de respect qui durera tout au long de l’année.

La nouvelle ÉÉC Saint-Michel de Toronto a débuté l’année scolaire sous le thème Comment vais-je apprendre ta chanson? Ainsi, dès la première journée de classe, toute l’école a exploré le thème de la richesse de la diversité pour le monde et pour l’école. Après cette activité collective, les élèves et tout le personnel de l’école ont dessiné un oiseau qui leur ressemble avec ses couleurs et son chant particulier. À la fin de septembre, lors d’un grand rassemblement dans le foyer de l’école chacun et chacune a partagé l’oiseau qu’il ou elle a choisi. Un arbre aux milles couleurs d’oiseaux est maintenant affiché dans le foyer de l’école et représente l’importance d’accepter, d’accueillir et surtout de voir que ce sont les différences dans les chansons, la musique et les couleurs qui rendent notre monde plus beau et plus vrai.

ÉÉC Saint-Michel

12 Notre vie

L’ÉÉC Sainte-Marguerite-d’Youville de Toronto, le conseil d’école, en partenariat avec le personnel de l’école et le conseil scolaire, ont lancé une campagne de financement pour la revitalisation de la cour d’école. Cette initiative nommée Cour d’école, cœur d’école permettra de créer un climat scolaire positif et sécuritaire et contribuera au bien-être de tous nos élèves. Elle constitue une étape importante du plan de prévention de l’intimidation afin de contrer les conflits et les situations d’intimidation qui peuvent survenir dans la cour d’école. Un espace amusant et sécuritaire où les élèves sont en pleine action favorise un climat scolaire positif. L’aménagement de la cour d’école a été repensé pour mieux répondre aux besoins et aux goûts des élèves. Il se fera en plusieurs phases et comprendra un terrain de soccer synthétique, une surface de jeu en caoutchouc, des tracés de jeux par terre, un coin de détente, du matériel de jeux pour chaque classe et bien d’autres. Grâce à ce beau projet qui assurera le bien-être de tous nos élèves, il ne fait aucun doute que les élèves de l’école Sainte-Marguerite-d’Youville aimeront leur Cour d’école, cœur d’école.

Les élèves et le personnel de l’ÉÉC du Sacré-Cœur de Toronto cherchent continuellement à maintenir un climat respectueux et harmonieux dans l’école. Ainsi, dans l’une des activités proposées, la valeur du mois était le RESPECT. Pour réfléchir sur ce thème, les élèves écrivent des prières, préparent des poèmes et démontrent des comportements respectueux entre eux. L’application à long terme d’un tel comportement exige un effort concerté et soutenu de la part de tous pour former la belle famille de l’ÉÉC du Sacré-Cœur et pour que tous soient fiers d’en faire partie.

Famille d’écoles Saint-Frère-AndréToronto

ÉÉC du Sacré-Cœur

ÉÉC Sainte-Marguerite-d’Youville


C’est avec enthousiasme que les élèves de 7e et 8e année de l’ÉSC Saint-Frère-André de Toronto se sont rendus au Camp d’intégration de Wenonah, dans la région de Muskoka. Après avoir bouclé les sacs à dos, roulé les sacs de couchage, emballé les oreillers et pensé bien sûr à la crème solaire, les élèves ont joyeusement fait le voyage de deux heures en autobus. Déjà, le long de la route, les yeux se dilataient devant un paysage magnifique de forêts et d’eau. À l’arrivée au camp, une équipe d’animateurs les ont accueillis très chaleureusement. Sans plus attendre, ils se sont rendus à la cafétéria pour se restaurer et prendre connaissance du programme d’activités pour ces trois jours. La liste d’activités était longue : canoë, escalade, kayak, tennis, activités de leadership, pêche, arts visuels, tirs à l’arc et forcément, les incontournables feux de camp. C’est à 7 h 30 le jeudi matin que les réveils ont sonné. À peine les yeux ouverts, les élèves sont allés prendre un petit déjeuner bien consistant. Remplis d’énergie, ils sont partis pour la première activité, puis la deuxième, puis la troisième et la quatrième… Défis après défis, ils se sont surpassés et sont arrivés à surmonter leurs peurs. Très rapidement, des groupes d’amis se sont formés. Les élèves venant d’écoles différentes se sont découverts, se sont appréciés et se sont entraidés. Certains ont montré du leadership, d’autres étaient un peu plus réservés, mais pas pour longtemps.

ÉSC Saint-Frère-André

La journée a passé, le soleil a disparu pour laisser place à un ciel rempli d’étoiles. En soirée, une grande activité fut organisée. Divisés en deux grands groupes, les élèves se sont affrontés pour capturer le drapeau de l’équipe adverse. Bien fatigués, ils se sont ensuite rendus au feu de camp, durant lequel plusieurs élèves ont pris l’initiative de chanter, de danser et de raconter des histoires. Une autre activité incontournable était la célèbre danse des enseignants! Des cris d’encouragements transperçaient la nuit tranquille du camp.

Le vendredi matin, dernier jour du camp, car toute bonne chose a une fin, c’est après un excellent petit déjeuner qu’il a fallu préparer ses affaires pour retourner à Toronto. Les élèves ont été enchantés du temps qu’ils ont passé au camp. Pour certains, ce fut une première expérience mémorable, comme en témoigne Axel, élève de 7e année : « J’ai vraiment adoré le camp. Mon activité préférée fut le kayak. J’ai aussi fait de l’escalade. Au début, j’avais peur, mais j’ai quand même réussi à monter sur le mur. J’ai vraiment hâte à l’année prochaine pour y retourner. »

14 Notre vie

Il y a un satellite qui tourne autour de l’Académie catholique Mère-Teresa. Il s’agit de la classe de préparation à la vie (CPV). Ce satellite avait disparu pendant quelques années, mais nous l’avons retrouvé en septembre 2013. C’est une classe à la clientèle distincte qui se prépare tranquillement à l’autonomie et au monde du travail. L’horaire est semblable à celui de l’ACMT pour certains événements, tandis que d’autres activités sont différentes comme la natation, les périodes de littératie et numératie, l’autonomie dans la cuisine, les marches à l’extérieur, le « Brain Gym » et le yoga. Pour aider ces élèves à vivre des succès, nous sommes quelques adultes qui travaillons avec eux : Anne Patenaude, Lorraine Poulin, Marie-France Hill et une ancienne élève de l’ACMT, Natasha Corriveau. Quelle belle équipe!

Comme nous sommes heureux en famille, sur le satellite de ACMT!

Famille d’écoles Mère-TeresaHamilton, Wentworth, Haldimand et Norfolk

Académie catholique Mère-Teresa


La rentrée à l’ÉÉC Sainte-Marguerite-Bourgeoys de Brantford s’est faite dans la bonne humeur. En effet, les élèves et les membres du personnel étaient tellement heureux de leur nouvelle école et avec raison. Les locaux sont grands et clairs et chaque classe a un beau tableau blanc interactif. Cet agrandissement est l’aboutissement de plusieurs années de sacrifices de la part de toute la communauté. Les élèves et les membres du personnel leur sont reconnaissants de tous les efforts qui ont été faits afin qu’ils puissent jouir de ce superbe édifice. Une école n’est pas seulement composée de briques et d’ordinateurs, elle est aussi formée de personnes et à SMB, il y a une équipe du tonnerre! Il fait bon vivre à Sainte-Marguerite-Bourgeoys, Brantford. N’hésite pas, viens nous visiter.

ÉÉC Sainte-Marguerite-Bourgeoys

ÉÉC Notre-Dame L’ÉÉC Notre-Dame de Hamilton est une petite école, mais nous formons une grande famille! Nous sommes bien dans notre école, de la maternelle à la 8e année pour diverses raisons. Par exemple, nous avons des activités de sensibilisation contre l’intimidation. Nous planifions des activités amusantes comme Jeopardy pour en apprendre plus au sujet de l’intimidation. Nous portons tous du rose pour la Journée du chandail rose en février. Des affiches sur les murs nous rappellent de traiter les autres comme nous voulons être traités. Et puisque nous sommes une petite école, nous connaissons presque tous les élèves et cela permet de se faire de nombreux amis.

« C’est ma dixième année à l’école et chaque année, je me sens en sécurité grâce à mes enseignants, aux autres élèves et à toute la publicité que nous avons au sujet de l’intimidation », dit Jack Robbins, élève de 8e année.

« Nous avons aussi le groupe EXCITÉ (Élèves eXtraordinaires Contre l’Intimidation et le Taxage à l’École) qui a pour but de planifier des activités et des présentations qui aident à sensibiliser les élèves de l’école. Le groupe prépare de petites présentations qui démontrent un bon exemple et un contre-exemple sur la façon de respecter les autres à l’école » explique Alissa Daoust, élève de 8e année.

Nous avons tout un sentiment d’appartenance à notre école grâce aux clubs, groupes, équipes sportives sans oublier le gouvernement des élèves. Nous débarquons de l’autobus avec un grand sourire puisque nous sommes bien à l’École Notre-Dame!

16 Notre vie

Chaque année, à l’ÉÉC Monseigneur-de-Laval de Hamilton, tous se mobilisent pour rappeler aux élèves que la discrimination n’a pas sa place dans nos établissements scolaires et dans la société en général. À travers différentes expériences, les élèves sont amenés à comprendre l’importance de faire preuve de tolérance et de respect. Les activités de la Semaine de la sensibilisation à l’intimidation et de la prévention ont couvert le sujet sous divers angles dont les arts, avec la compagnie de théâtre Bleu Majiik. Leur spectacle, intitulé Face à face, a pour thème le respect de ses différences et de celles des autres. Ensuite, sous l’angle d’une approche participative grâce à laquelle les élèves de 5e à 8e année ont vécu des ateliers

ÉÉC Monseigneur-de-Laval

animés par le programme BRAVE, ils ont appris la différence entre un conflit et l’intimidation ainsi que sur l’importance du rôle du témoin. Puis, une policière est venue les sensibiliser par des témoignages authentiques. Une discussion a suivi au sujet des dangers auxquels peuvent faire face les élèves au quotidien. Enfin, bien entendu, toute l’école a soutenu la cause contre l’intimidation en portant du rose à l’occasion de la Journée du chandail rose. Il y a encore certainement du chemin à faire avant d’enrayer complètement l’intimidation, mais chose certaine, chaque petit pas en est déjà un de plus vers un avenir plus inclusif.

18 Notre vie

À l’ÉSC Nouvelle-Alliance de Barrie, on s’est choisi un slogan très clair : « On dit non à l’intimidation ». C’est un contrat sous forme de macaron et ceux qui l’ont signé l’arborent fièrement. La leader en santé mentale pour le CSDCCS, Dre Marie-Josée Gendron, l’a dit : « C’est en reconnaissant l’impact de nos gestes sur les autres que nous pourrons progressivement avancer vers une société plus empathique, plus accueillante et plus respectueuse des différences. » À Nouvelle-Alliance, durant la Semaine de la sensibilisation à l’intimidation et de la prévention, de nombreuses initiatives avaient pour but de provoquer une prise de conscience chez les élèves : simulation de situations d’intimidation dans les couloirs de l’école, séances d’improvisation dans les classes, confection de masques pour mettre en évidence les différences de chacun, témoignages vibrants de gens qui se sont fait taxer et qui ont taxé, dans le but d’explorer les moyens de faire face lorsqu’on se retrouve dans de telles situations. La solidarité envers les personnes qui se font intimider a été symbolisée par une chaîne humaine autour de l’école.

Les élèves de 6e année de l’ÉÉC Marguerite- Bourgeois de Borden ont animé la messe à la Chapelle Saint-Joseph au mois de septembre. Les lectures et prières ont été lues par Valérie, Véronique, Alice, Rebecca, Evan et Jacob.

Le 20 septembre 2013, l’École Marguerite-Bourgeois a célébré la rentrée scolaire à la Chapelle Saint-Joseph. Nous avons chanté des chansons et nous avons pris le temps de remercier Dieu pour tout.

ÉÉC Marguerite-Bourgeois

Famille d’écoles Nouvelle-AllianceSimcoe-Muskoka

ÉSC Nouvelle-Alliance

Noëlle, élève de 10e année est fière de montrer son macaron.


ÉÉC Frère-André À l’ÉÉC Frère-André de Barrie, le leadership des élèves est un outil important pour la prévention de l’intimidation. Durant l’année, les élèves participeront à des activités portant sur des thèmes variés dont, entre autres, des articles de journaux reçus de Zehrs, des activités de construction identitaire, des jeux intramuraux pour les élèves de l’élémentaire, la radio étudiante et la construction d’une maison hantée. La prise de décision étant un des éléments-clés dans la résolution de conflits, nous croyons qu’en engageant et en impliquant les élèves dans la vie scolaire, ils seront mieux outillés pour faire face à des situations liées ou menant à l’intimidation et ils apprendront à prendre les bonnes décisions.

ÉÉC Saint-Louis À l’ÉÉC Saint-Louis de Penetanguishene, les élèves se sentent bien de vivre ensemble, et ce, pour plusieurs raisons. En plus des divers programmes offerts pour contrer l’intimidation tels que Vers le pacifique, celui des élèves ambassadeurs, l’école offre des services d’appui de la part des plus vieux envers les plus jeunes comme les Anges Gardiens (élèves qui appuient les tout petits à la sortie des autobus) et les élèves qui appuient les surveillants du midi lors du dîner des enfants. Il existe aussi plusieurs autres projets de jumelage entre les classes, ce qui permet d’augmenter le sentiment d’appartenance de tous et de toutes à la grande famille de l’École Saint-Louis. Cela dit, c’est certainement la voix des élèves qui peut le mieux le décrire.

Ici, à l’École Saint-Louis, les élèves se sentent bien car : « Tu peux avoir du plaisir »… « Il y a beaucoup d’activités à faire »… « Tu peux pratiquer deux langues (le français toute la journée et l’anglais dans ton cours d’anglais) »… « Il n’y a pas de taxage parce presque tous les élèves sont amis et se respectent »… « Les gens se connaissent bien »… « Les adultes ont de la patience avec les élèves »…. Et surtout… « Les adultes interviennent vite au besoin. »

20 Notre vie

À l’ÉÉC Notre-Dame-de-la-Huronie de Collingwood, tous ont à cœur la réussite et le bonheur des élèves. C’est pourquoi l’intimidation n’est pas tolérée dans l’établissement. En prévision de la Semaine de la sensibilisation à l’intimidation et de la prévention, les élèves de la 3e à la 6e année ont fait une activité pour apprendre à reconnaître l’intimidation ainsi que les conséquences qu’elle engendre pour la victime et son entourage. Une fois le problème bien identifié, nous avons établi ensemble des pistes de solutions pour arrêter l’intimidation lorsque nous en sommes témoin ou victime. Finalement, les élèves ont tous colorié un bonhomme sourire de leur choix sur lequel ils ont signé leur nom, afin de symboliser leur bien-être dans leur école. Enfin, ils se sont tous engagés à respecter les autres et à être de bons exemples pour les plus petits de l’école.

ÉÉC Notre-Dame-de-la-Huronie


Le conseil d’école et le comité EASE de l’ÉÉC Sainte-Croix de Penetanguishene ont fait équipe pour offrir aux parents une soirée de formation sur la prévention de l’intimidation. La conférencière Nancy Doyon a expliqué les effets de l’intimidation et a offert une variété de stratégies pour la contrer et la prévenir. L’emphase a été mise sur la place des témoins et comment les rendre responsables dans la prévention de l’intimidation. Soulignons aussi l’importance du rôle des parents qui doivent intervenir rapidement et fermement quand un enfant, dès un jeune âge, adopte des comportements qui peuvent nuire à ses relations interpersonnelles avec les autres enfants. Après cette soirée très instructive, l’ÉÉC Sainte-Croix a donné aux élèves une formation pour savoir quand et comment signaler un incident. En effet, l’école veut favoriser l’apprentissage explicite des habiletés sociales et des comportements attendus tout en valorisant les gestes positifs partagés entre les élèves, les parents, le personnel et la communauté. Elle travaille aussi à la restructuration des activités à la récréation pour les rendre ludiques et inclusifs. C’est ensemble que nous accompagnons les enfants à devenir meilleurs.

ÉÉC Sainte-Croix

22 Notre vie

Être Chevalier de PRDG , c’est bien plus qu’un jeu …

Bienvenue à l’ÉSC Père-René-de-Galinée de Cambridge. C’est ici que vous trouverez plus de 500 élèves chevaliers et chevalières qui travaillent ensemble dans le but de créer une communauté scolaire extraordinaire. Nos diverses passions et nos divers talents sont utilisés pour améliorer l’école et assurer un environnement scolaire créatif, sain et sécuritaire où chaque élève occupe une place importante. Dans le cadre de cette initiative, l’école est divisée en dix royaumes. Ces royaumes établissent un vrai climat de communauté, car les élèves de toutes les années doivent travailler ensemble dans un même but. Les objectifs peuvent être des défis entre royaumes, ou une activité d’apprentissage interdisciplinaire ou encore une célébration liturgique. Les élèves de 12e année ont l’opportunité d’améliorer leurs habiletés en leadership puisqu’ils sont

les leaders des royaumes. Afin de bien remplir leur rôle, ces chefs d’équipe sont invités à une formation en leadership à Québec à la fin du mois de novembre.

En s’inscrivant à l’école PRDG, les élèves se joignent à la famille des Chevaliers, mais pour avoir droit au titre de Chevalier, il faut respecter certaines valeurs. Les Chevaliers de PRDG développent des valeurs catholiques et de chevalerie, ainsi que des habiletés importantes pour être des agents de changement dans leur communauté telles que le respect, le

pardon, l’entraide, l’ouverture d’esprit, la charité chrétienne, la conscience sociale et civique, le sens des responsabilités, la capacité d’adaptation, la fierté de sa langue, l’honnêteté intellectuelle, le travail coopératif, la créativité, la pensée critique et la réflexion pour n’en nommer que quelques-unes. Tout ceci fait en sorte que notre environnement fait la promotion de la francophonie, la foi chrétienne, l’éducation de qualité et l’implication de tous. Les élèves de PRDG développent ainsi leur empathie en défendant les plus faibles et en s’aidant les uns les autres comme de vrais chevaliers. Cette initiative aide également à diminuer l’intimidation dans l’école puisque les élèves tissent des liens plus serrés entre eux.

ÉSC Père-René-de-Galinée

Famille d’écoles Père-René-de-GalinéeWaterloo-Wellington-Brant


Pour la première fois, les filles et les garçons de 4e, 5e et 6e année ont joué dans une équipe de soccer à l’ÉÉC Saint-Noël-Chabanel de Cambridge. Pendant tout le mois de septembre, les entraîneurs (enseignantes et un parent) et les élèves ont travaillé fort lors des nombreuses pratiques. Tous ces efforts ont porté fruit lorsque notre équipe a remporté la première place au tournoi des écoles catholiques de Cambridge! Afin de partager cette belle victoire avec toute l’école, les élèves de l’équipe de soccer ont joué un match contre le personnel de l’école. Toutes les classes se sont placées autour du terrain pour encourager les participants. Malgré de grands efforts par les membres du personnel, les élèves ont gagné le match 5-0. Ce fut une activité amusante qui a également contribué à la promotion d’un climat scolaire positif et sain.

À l’ÉÉC Cardinal-Léger de Kitchener, la Semaine de la sensibilisation à l’intimidation et de la prévention a été l’occasion de nombreuses activités. Aux annonces du matin, un élève a partagé une prière ou une réflexion sensibilisant les élèves à l’intimidation. Les titulaires de classe en ont profité pour prendre un moment et discuter des valeurs véhiculées dans l’annonce. Au courant de la semaine, les élèves ont vécu des activités proposant une démarche qui vise le sentiment d’appartenance dans la classe. Au cycle élémentaire, des histoires tirées des collections Attention! Intimidation, Ainsi la vie et C’est la vie LULU ont été lues aux élèves. Au cycle moyen, des histoires vécues par d’autres élèves de leur âge ont été présentées. Enfin, chaque classe a été responsable de la fabrication d’un bricolage sur le thème Je suis bien dans mon école et a pu présenter le résultat de son travail lors d’un rassemblement.

ÉÉC Cardinal-Léger

ÉÉC Saint-Noël-Chabanel

Un nouveau projet intitulé Foi, Langue et Culture, axé sur les valeurs chrétiennes, invite l’ensemble des membres de l’ÉÉC Saint-René-Goupil de Guelph à vivre en paix et en sécurité dans leur milieu scolaire et dans leur communauté. Chaque lundi, une annonce à la radio scolaire invite les élèves ainsi que le personnel à se fixer un nouveau défi pour la semaine en lien avec la valeur présentée. Une boîte à messages est à la disposition de tous pour noter et faire valoir les actions remarquables dont on a été témoin ou acteur. Des messages seront pigés au hasard et rendus public par le directeur, à la radio scolaire du matin et pendant les rassemblements.

ÉÉC Saint-René-Goupil

24 Notre vie

Famille d’écoles RenaissanceYork

s’est rassemblé sur le terrain afin de prendre une photo de groupe en affichant le mot F-I-E-R-T-É. Cette photo sera soumise au concours Affiche tes couleurs de l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario. Les gagnants des diverses catégories furent applaudis lors du rassemblement au gymnase en fin de journée. Les activités ont été un franc succès grâce à la participation et à l’implication de tout le personnel de l’école et l’appui des membres du conseil d’école. Et pour ne rien gâcher, le beau temps était au rendez-vous. En somme, cette magnifique journée a permis à plus de 550 élèves ainsi qu’au personnel enseignant de se réunir et de démontrer que l’esprit de Terry Fox est toujours vivant et que la francophonie ontarienne est bel et bien vibrante à l’ÉSC Renaissance.

ÉSC RenaissanceLe jeudi 26 septembre 2013, tous les élèves et tous les membres du personnel de l’ÉSC Renaissance d’Aurora ont participé à une grande fête champêtre afin de célébrer à la fois le drapeau franco-ontarien et la Journée Terry Fox. Les couleurs de la francophonie ontarienne étaient à l’honneur grâce aux chandails vert et blanc distribués à tous. Les élèves étaient divisés en 40 équipes et devaient relever les défis proposés aux 20 stations dispersées sur le terrain de l’école. Des points étaient attribués aux équipes qui gagnaient les défis, mais également à celles qui démontraient leur esprit d’équipe et qui affichaient leur fierté francophone. L’une des épreuves était de faire le plus de kilomètres possible en équipe en courant ou en marchant afin de souligner l’accomplissement de Terry Fox. Après un dîner barbecue, tout le monde

La Semaine de la sensibilisation à l’intimidation et de la prévention a été bien remplie à l’ÉSC Renaissance.

Lundi : Conférence Une vie de passions, par Yanick Côté pour les élèves de 7e, 8e et 9e année. Ayant lui-même été victime d’intimidation, il démystifie la problématique et explique aux jeunes comment sortir de leur coquille et vivre leurs passions. De plus, les élèves ont le droit de porter leur chandail bleu « L’intimidation fait mal » pendant cette journée, un projet qui a été mis sur pied par des élèves de l’année dernière.

Mardi : Visionnement en classe de vidéos sur l’intimidation suivi d’une discussion sur différents sujets en lien avec ce fléau.

Mercredi : Activité animée par l’animatrice culturelle et pastorale de l’école pour les élèves de 10e, 11e et 12e année. Cette activité a pour but de susciter la réflexion en utilisant des images des différentes facettes de l’intimidation. Une discussion par et pour les élèves.

Jeudi : Distribution par le comité pastoral de messages positifs personnalisés à chaque élève de l’école et chaque membre du personnel. Les messages ont été préparés entre élèves le mercredi. Chaque personne mérite d’être reconnue.

Et pour terminer la semaine anti-intimidation la Journée rose et la chaîne humaine autour de l’école. Tout le monde était invité à porter du rose afin de démontrer l’union de tous contre l’intimidation et que l’école ne tolère pas l’intimidation!


ÉÉC Le-Petit-Prince Cette année, les membres de l’ÉÉC Le-Petit-Prince de Maple se sont unis afin de mettre en œuvre de nouvelles initiatives qui assureront la sécurité et le bien être des élèves. Ce plan d’action comprend 5 projets d’envergure.

1. L’Escouade des Anges-Gardiens de Résolution de Conflits (EAGRC)

Trente élèves de 5e et de 6e année ont été nommés personnes-ressources pour régler les petits conflits ou les cas d’intimidation dans la cour d’école. Ils ont reçu une formation en médiation et en animation de jeux dans le but de favoriser un climat positif. L’EAGRC est vêtue de chapeaux aux couleurs vives munis d’un logo représentatif. Le lancement officiel du programme a eu lieu pendant la Semaine de la sensibilisation à l’intimidation et de la prévention.

2. Activités pour la Semaine de la sensibilisation à l’intimidation et de la prévention

Les membres du personnel et un groupe d’élèves, ont présenté au gymnase une vidéo réalisée avec les élèves de l’école, afin de mieux saisir les concepts reliés à l’intimidation tels que : les conflits, l’intimidation, un témoin, un élève qui intimide, un élève intimidé et le signalement (dénonciation). En salle de classe, les élèves ont consolidé le vocabulaire thématique relié à l’anti-intimidation. Ils ont vécu des situations authentiques concernant l’anti-intimidation par le biais de jeux, de chansons et de comptines. Notre devise cette année sera la suivante : J’ai vu, donc je parle! Je suis la solution!

3. Sondage

Au cours de la Semaine de la sensibilisation à l’intimidation et de la prévention, les élèves et les parents de l’école ont été invités à répondre à un sondage en ligne sur le climat scolaire. Les données du sondage permettront à une équipe d’enseignants de cibler des pistes d’intervention afin de s’assurer que le climat de l’école demeure agréable et sécuritaire pour tous les élèves.

4. Code de conduite

Cette année, un Code de conduite a été publié dans l’agenda scolaire. Élèves et parents doivent signer un formulaire d’engagement à respecter les règles de vie quotidienne. Le personnel assurera un retour explicite sur les diverses composantes du Code de conduite à maintes reprises pendant l’année et un système de communication des comportements

entre les membres du personnel ainsi qu’entre l’école et les parents sera mis en place. Le Code de conduite favorisera le développement de l’habileté d’autorégulation chez l’élève.

5. Aménagement de la cour d’école et les récréations

La cour d’école sera repensée. Des activités seront planifiées pendant les récréations afin de s’assurer que les élèves s’épanouissent, s’amusent et ne se trouvent pas en situation de conflits tout en étant en sécurité. Cette initiative comprendra, entre autres, l’ajout de structures de jeux, d’équipement sportif ainsi que l’amélioration de la surveillance et l’organisation d’activités dirigées.

26 Notre vie

ÉÉC Saint-Jean

À l’ÉÉC Saint-Jean d’Aurora, les élèves participent à diverses activités qui serviront à concrétiser nos valeurs chrétiennes. Ces valeurs contribuent à créer un climat scolaire sain, sécuritaire et inclusif. Nous avons fait un lien avec notre grand projet Ryan’s Well qui veut offrir l’accès à l’eau potable pour améliorer la vie des gens dans les pays en développement. Chaque élève apporte une goutte d’eau à ce puit, la goutte étant représentée par un geste positif dans le but d’éviter l’intimidation dans notre école. De plus, les élèves voulant signaler toute forme d’intimidation peuvent le faire de façon anonyme en insérant à l’intérieur d’un puit leur message secret. Une autre activité appréciée de tous est le jumelage de classes où les plus grands lisent un livre mettant en situation des cas d’intimidation aux plus petits. La couleur bleue représentant l’eau et l’empathie a été à l’honneur pendant toute une journée. Tout au long de l’année, plusieurs classes continuent d’offrir le Conseil de coopération permettant aux élèves de s’exprimer et de bien se sentir dans leur école. De plus, un Cercle de médiation va être mis en place dans la cour d’école afin d’aider les élèves à résoudre les petits conflits en mettant en pratique des stratégies comme SNAP.


D’autres activités suivront toute l’année. Les valeurs du Christ, le savoir-être comme Lui, seront enseignés en classe ou à l’Assemblée des valeurs. Garder le climat scolaire agréable

diminue les incidents d’intimidation et le besoin d’avoir recours à la discipline. Un gros merci à tous les participants et aux personnes qui ont, de près ou de loin, aidé à l’organisation de cet événement dont tous continuent de recueillir les bienfaits.

Famille d’écoles Saint-Charles-GarnierDurham et Peterborough

Il faut vraiment aimer son école pour y rester jusqu’à 20 h! C’est ce que les élèves de l’ÉÉC Jean-Paul II de Whitby ont choisi de faire le 25 septembre dernier lors du Festival d’automne. Cet événement annuel montre bien qu’instaurer un bon climat scolaire est une affaire de communauté. Tout l’été, une équipe de parents francophones et anglophones a travaillé à l’organisation de l’événement. C’est un énorme travail de logistique. Les parents bénévoles pour la soirée doivent être trouvés. Les enseignants responsables des paniers de l’encan silencieux doivent solliciter les donateurs. Il faut planifier la location des structures gonflables et élaborer un plan B ou même un plan C en cas de mauvais temps. Et bien sûr, il faut organiser la participation des élèves de l’ÉSC Saint-Charles-Garnier, qui se font toujours un plaisir de venir prêter main forte en tant que bénévoles. Le résultat de toute cette organisation? Une fête parfaite. Parents et enseignants ont pu socialiser ou forger de nouvelles amitiés et 250 enfants se sont amusés toute la soirée. Et lorsque tout

est fini, l’atmosphère de fête durera encore une bonne partie de l’année. Il est important d’avoir ces petits moments précieux pour amener le climat scolaire à un haut niveau. Les enfants demeurent enclins à se respecter les uns les autres dans un climat pacifique.

ÉÉC Jean-Paul II

28 Notre vie

À l’ÉÉC Corpus-Christi d’Oshawa, des réunions de familles ont lieu tous les mois. Les 16 familles sont composées d’élèves de la maternelle à la 6e année. Ces réunions ont pour but d’explorer des éléments de la foi, de la langue et de la culture. Au début de chaque réunion, tous entonnent la chanson thème très entraînante intitulée Nous sommes une famille. Les activités sont pensées de façon à permettre aux élèves de nouer des liens entre tous les niveaux scolaires favorisant ainsi l’amitié et l’entraide au sein de l’école. Ceci crée un climat de confiance se traduisant par la diminution des incidents d’intimidation. Lors de la première réunion, un jeu pour faire connaissance a été bien apprécié par l’ensemble du personnel et des élèves! Chacun devait apposer un autocollant sur différentes parties de son corps en réponse aux questions des aînés de chaque famille. Par exemple, un autocollant sur la joue droite signifie que tu as un frère, un autocollant sur ton pouce gauche veut dire que tu aimes le hockey, etc. Les élèves riaient aux éclats de se voir couverts d’autocollants et ils ont ainsi constaté que, malgré les différences entre eux, plusieurs points communs les unissaient. À la fin de chaque réunion, une période d’objectivation permet de faire ressortir les qualités développées. Après la première réunion, les élèves ont trouvé qu’ils avaient démontré de l’altruisme, car les plus grands aidaient les plus petits à coller les autocollants sur les bonnes parties du corps. Quelle joie que de faire partie d’une grande famille unie!

Quel est le sens du mot « accueillir »? Comment peut-on accueillir l’autre? Ce sont des questions que les élèves de 6e année de l’ÉÉC Notre-Dame-de-la-Jeunesse d’Ajax se sont posés avec Mme Chantal dans une leçon de catéchèse dont le thème était l’Accueil de l’autre dans ses différences. Pour y répondre, ils ont trouvé

ÉÉC Notre-Dame-de-la-Jeunesse des synonymes en forme de verbes d’action : respecter, écouter, saluer, aider, soutenir, offrir, féliciter, remercier, pardonner, complimenter, fêter, inviter, consoler, démontrer de l’empathie. Les élèves ont alors constaté que ces mots décrivent les gestes à poser pour bien accueillir les personnes qui nous entourent dans notre vie quotidienne. Ils ont ensuite été amenés à réfléchir sur des questions telles que : « Est-il important d’accueillir l’autre, les autres? Pourquoi, selon toi? T’arrive-t-il de ne pas être accueilli par les autres? Donne des exemples. Que ressens-tu à ce moment-là? » Après cette réflexion, les élèves ont été invités à penser à une personne de l’école envers qui ils voulaient poser un geste d’accueil, puis à concrétiser leur engagement. Réfléchir au sens de l’accueil a amené les élèves à voir qu’accueillir l’autre va au-delà des apparences; il s’agit de découvrir ce qu’il y a dans son cœur. Chaque petit geste d’accueil permet à chaque élève de dire : « Je me sens bien dans mon école! »

ÉÉC Corpus-Christi

Les mains à l’intérieur du cœur portent une description des gestes que l’on peut poser pour accueillir l’autre. Les mains à l’extérieur du cœur nous invitent à poser ces gestes d’accueil.


Famille d’écoles Sainte-FamilleDufferin, Peel et Halton

Le l6 septembre, les 60 élèves de 10e année du PPCS (Programme de 1er cycle du Baccalauréat international) de l’ÉSC Sainte-Famille de Mississauga ont reçu la visite de M. Pierre Simpson, acteur et scénariste au Théâtre français de Toronto. M. Simpson avait été invité par l’enseignante de français dans le but d’informer les élèves et surtout de les motiver à participer au concours de rédaction Les Zinspirés 2.0, qui encourage les élèves de la 10e à la 12e année de la grande région de Toronto et des environs à rédiger un conte urbain. Les contes retenus seront retravaillés pendant une fin de semaine pour être transformés en une courte pièce de théâtre. À la fin de ce stage d’écriture, les nouveaux textes seront joués pour les élèves et leurs proches. Ce travail sera fait en collaboration avec les élèves sélectionnés et quelques auteurs et réalisateurs. Enfin, cinq de ces contes seront sélectionnés pour être joués par des professionnels au Théâtre français de Toronto et deviendront ainsi le nouveau contenu de la pièce Les Zinspirés 2014-2015.

En ce qui concerne la présentation de M. Simpson, elle a su capter l’attention des élèves. L’acteur a tout d’abord fait des liens entre les attentes du concours et la pièce de l’année dernière. Les élèves étaient enthousiastes étant donné qu’ils avaient adoré la pièce Les Zinspirés 2012-2013.

ÉSC Sainte-Famille

Par la suite, l’acteur a joué une pièce qui avait été sélectionnée dans les années précédentes. Les élèves ont été impressionnés par le talent de l’acteur qui arrivait à faire vivre les différents personnages par sa seule et unique voix. Enfin, les élèves ont eu l’occasion de partager des idées créatives et de composer une courte histoire avec l’aide de M. Simpson. David Habashi, un des élèves présents, était très emballé : « M. Simpson nous a donné beaucoup d’inspiration et de sujets pour écrire notre propre histoire et il a réussi à nous engager et nous tenir en haleine lors de la lecture de sa pièce. » Il ne reste maintenant qu’à souhaiter que cette rencontre inspirante mène les élèves de Sainte-Famille sur la scène du Théâtre français de Toronto!

30 Notre vie

ÉÉC René-Lamoureux À l’ÉÉC René-Lamoureux de Mississauga, l’intimidation ou toute autre situation ayant des répercussions fâcheuses sur le climat scolaire n’est tolérée nulle part; ni à l’école, ni lors des activités parascolaires, ni dans l’autobus scolaire. L’école a adopté un programme EASE (Équipe d’action pour la sécurité dans l’école) afin d’offrir un milieu d’apprentissage sain et sécuritaire à chacun de ses élèves, pour qu’ils puissent s’épanouir sur les plans personnel, social et académique. La Semaine de la sensibilisation à l’intimidation et de la prévention a été l’occasion de faire des activités spéciales telles que des capsules matinales intitulées Mon répertoire de solutions pacifiques à la radio scolaire, la création d’une murale représentant les valeurs chrétiennes que nous chérissons et la présentation de saynètes aux élèves par l’équipe d’improvisation, mettant en valeur les bons choix à privilégier pour résoudre nos conflits à l’école.

ÉÉC Sainte-Jeanne-d’ArcÀ l’ÉÉC Sainte-Jeanne-d’Arc de Brampton, les élèves de la 7e/8e année de Mme Anyck Bergeron ont récemment vécu un Cercle de lecture qui les a amenés à réfléchir sur un sujet d’une brûlante actualité. Cette activité enrichissante en communication orale et en lecture leur a permis de partager leurs idées et leurs opinions sur le thème de la cyberintimidation. Le sujet a suscité un grand intérêt auprès de ces pré-adolescents. Il a même parfois provoqué des réactions inattendues et surprenantes. Plusieurs ont pu établir des liens pertinents et même parfois touchants entre leur vécu et le texte.

Ce sujet, qui est un cauchemar pour ceux qui le vivent, est une vraie préoccupation dans nos écoles. Nous avons tous une responsabilité face à la cyberintimidation. Donnons-nous la main afin de la combattre, car ensemble, c’est possible!


ÉÉC du Sacré-Cœur Le 25 septembre, l’ÉÉC du Sacré-Cœur de Georgetown a eu le plaisir d’accueillir le Père Jonas pour sa première messe de l’année. Cette cérémonie simple fut un moment privilégié pour prendre une pause et réfléchir sur notre foi à l’occasion de la fête du drapeau franco-ontarien. C’était une manière de donner un ton plus formel et surtout franco-catholique à cette fête provinciale. Il y a aussi eu d’autres activités de célébration. Les élèves ont confectionné des cerfs-volants aux couleurs franco-ontariennes et c’est sous un beau soleil qu’ils ont souligné ce moment important en les faisant voler au vent.

Les élèves de la classe de 4e année de M. Gladysz ont fait une présentation sur l’histoire de notre drapeau. Et pour finir, la célébration a été clôturée par une parade dans les rues de la ville de Georgetown aux échos de nos chansons préférées comme Mon beau drapeau, Pure laine et coloré, ou encore Notre place. Les élèves ont été ravis d’entendre les klaxons des voitures et des camions qui se joignaient à la fête lors de cette parade unique pour la ville de Georgetown. Après cet événement culturel, les élèves ont pu garder un objet souvenir portant le logo franco-ontarien, comme un « slinky », un yo-yo, des tatouages lavables, des cônes de ralliement ou des cordes à danser franco. Tous sont repartis avec un beau grand sourire !

ÉÉC Ange-GabrielÀ l’ÉÉC Ange-Gabriel de Mississauga, on s’intéresse à la nature dès le plus jeune âge. Les classes de 1re année de Mme Isabelle Caruano et de Mme Karen Thomas ont fabriqué une mangeoire à oiseaux à partir de matériaux recyclables. Ensuite, ils sont allés dans la forêt du quartier pour les accrocher dans les arbres.

32 Notre vie

Dans le cadre de la Semaine de la sensibilisation à l’intimidation et de la prévention, les membres du personnel de l’ÉÉC Sainte-Marie d’Oakville ont animé des mises en situation qui ont invité les jeunes à se mettre dans la peau des intimidateurs, puis des intimidés. Les élèves ont bien participé et ont même demandé à recommencer. Voici ci-desssous une courte descriptions des activités.

Dans la peau des intimidateurs1. Demander aux élèves d’écrire leur nom sur

une feuille ainsi que quelques-uns de leurs talents et de leurs qualités.

2. Les élèves doivent échanger leur feuille avec un autre élève. Il est important que personne ne garde sa feuille.

3. Donner 30 secondes aux élèves pour chiffonner la feuille, sauter dessus s’ils veulent, la malmener… Une seule consigne : ne pas la déchirer.

4. Ensuite, donner le double du temps aux élèves, soit une minute, pour remettre la feuille dans son état original, le plus lisse possible.

5. À la fin de la minute, demander aux élèves de dire : « Je m’excuse, (et le nom de la personne dont ils ont chiffonné la feuille) ».

6. Expliquer aux élèves : « Vous voyez, cela n’a pris que 30 secondes pour rendre cette feuille dans cet état. Je vous ai quand même donné le double du temps pour tenter de la remettre en meilleur état. Vous avez essayé le plus possible de la rendre aussi belle qu’à son état original. Vous vous êtes même excusés. Malgré tout ça, elle reste avec des marques et des cicatrices permanentes. Maintenant, si on s’imaginait que cette feuille était une personne sur laquelle on dit des méchancetés, qu’on harcèle ou qu’on tente d’intimider. Vous pouvez regretter, faire des gestes réparateurs, ou vous excuser autant que vous voulez, les cicatrices, elles demeurent. »

Dans la peau des intimidés

7. Toujours en lien avec la feuille chiffonnée, demander aux élèves si les qualités et les talents de la personne sont encore écrits, même si la feuille est dans un mauvais état. Ils répondront « Oui ». Leur expliquer que « même si tu es intimidé et tu es bouleversé, tes qualités et talents restent intacts. Tu es toujours la même personne et tu ne perds jamais ta valeur. »

8. Ensuite, prendre un billet de 20 $ neuf. Le montrer aux élèves et leur demander qui serait intéressé à l’avoir. Tous les élèves vont probablement lever la main.

9. Expliquer que ce billet de 20 $ a une valeur et que cette valeur les représente. Chiffonner le billet et l’écraser sans le déchirer. Déplier le billet et leur monter l’état dans lequel il se trouve.

10. Demander s’ils sont toujours intéressés à l’avoir, même s’il n’est plus neuf. Les élèves vont probablement tous lever la main à nouveau.

11. Expliquer que le billet garde toujours sa valeur en bon ou en mauvais état. Faire un lien avec le fait que même harcelée, la personne conserve toujours sa valeur.

Famille d’écoles Sainte-TrinitéBurlington, Oakville et Milton

ÉÉC Sainte-Marie


Les amis des classes de maternelle/jardin de l’ÉÉC Saint-Philippe de Burlington sont devenus chefs cuisiniers lors du thème Ma santé...

je m’en occupe! Ils ont fabriqué leur propre chapeau de chef, puis ils sont allés à l’épicerie faire leurs achats et ils ont cuisiné chacun leur propre pizza.

Pour rendre l’événement encore plus spécial, ils ont partagé leur repas avec Père Archange. Que c’était bon et amusant! Miam!

ÉSC Sainte-Trinité Le 25 septembre dernier, les élèves de l’ÉSC Sainte-Trinité d’Oakville ont participé à la course Terry Fox. Ils devaient choisir une personne atteinte du cancer pour laquelle courir et ainsi amasser des fonds pour la Société du cancer. Ce fut un moment bien spécial, car les élèves ont pu reconnaitre que chaque personne a le potentiel de faire une différence, comme Terry! Ils ont aussi compris que c’est dans la solidarité et non l’isolement que nous arrivons à relever des défis difficiles et que c’est en partageant nos moments difficiles que l’on peut recevoir de l’aide. C’est l’atmosphère que tous désirent voir régner à Sainte-Trinité; que chaque élève se sente bien dans sa peau sachant que toutes les différences dans la vie rendent celle-ci plus intéressante.

ÉÉC Saint-Philippe

34 Notre vie

NV : Quels sont les signes à remarquer chez un enfant qui serait victime d’intimidation?

Les signes manifestés par un jeune ou un enfant sont multiples. Toutefois, pour en faire l’interprétation, il est nécessaire de considérer aussi la situation telle que décrite par l’enfant et d’observer objectivement le milieu dans lequel il se trouve.

Les symptômes suivants pourraient être des signes de victimisation :

- maux de têtes; - problèmes de concentration; - insomnie; - faible estime de soi; - dépression; - violence envers soi et les autres; - anxiété sociale; - perte de motivation scolaire; - évitement; - repli sur soi.

NV : De quelle manière le parent peut-il aider son enfant?

Les parents ont un rôle à jouer pour aider leurs enfants au niveau de la prévention et de l’intervention.

C’est la responsabilité des adultes de créer un monde dans lequel les enfants apprennent les valeurs de l’empathie et de paix en rejetant les mythes liés à l’intimidation. Les parents doivent s’engager à créer un monde sans violence, remettre en question les stéréotypes, le recours à la discipline physique, la violence diffusée dans les médias et éviter le commérage malveillant.

Un parent peut travailler très tôt avec son enfant pour l’aider à maîtriser des techniques pour s’affirmer, se faire des ami(e)s et avoir une bonne estime de soi. Il peut communiquer avec l’école pour prendre connaissance des valeurs qui y sont privilégiées, des politiques en matière

Notre vie (NV) : Parlez-nous de votre parcours professionnel et de ce qui vous a poussé à faire le travail que vous exercez en ce moment.

Je suis originaire de Belgique et je possède un diplôme en travail social ainsi qu’une maîtrise en criminologie de l’Université catholique de Louvain La neuve, en Belgique. Mes études en travail social ont été orientées par mon désir de rétablir la justice et l’équité au niveau de la société sur la base de ma catholicité et des valeurs qui sous-tendent mes croyances.

J’ai travaillé pendant environ 10 ans au sein des services de la Protection de la jeunesse, mais aussi en milieu carcéral. Le fait d’avoir découvert les différentes facettes d’une prise en charge m’a poussé à rechercher où se trouvait le lieu-clé pour éviter d’avoir à faire ce type d’intervention.Le milieu scolaire m’est apparu comme un lieu propice pour la prévention afin d’éviter tout retrait de l’enfant de son milieu familial et toute incarcération de nos adolescents. Mon rôle en tant que travailleuse sociale en milieu scolaire et depuis peu, de gestionnaire des services en travail social, me donne la possibilité de faire de la prévention dans un contexte dans lequel la famille, la société et aussi la communauté scolaire se chevauchent. Éduquer, c’est prévenir à tous les niveaux et prévenir, c’est assurer un bien être tant physique que mental.

Témoin de l’éducation catholiqueMicheline Y. Rabet Gestionnaire des services en travail social, CSDCCS


Remerciements à Carole Vaillancourt (Conseillère en comportement ) et à l’équipe de l’ÉÉC Sainte-Jeanne-d’Arc de Brampton.

d’intimidation et du Code de conduite. Si un parent soupçonne que son enfant est victime d’intimidation, il devrait :

- recueillir l’ensemble des informations de la part de l’enfant;

- coordonner une rencontre avec l’école et établir un plan d’action;

- avoir recours au personnel des services cliniques entre autre les conseillères en comportement et/ou la travailleuse sociale, si l’enfant montre des signes de dépression, anxiété, d’état de stress post traumatique.

NV : On parle souvent de la victime, mais il y a évidemment toujours un autre enfant qui intimide ses camarades. Quel est le meilleur conseil pour un parent qui soupçonne que son enfant intimide les autres?

Si un parent soupçonne que son enfant intimide ses camarades, il devrait être attentif aux sentiments de son enfant et lui donner un amour inconditionnel, peu importe la situation. Il devrait apprendre à l’enfant à être responsable, conciliateur et à rechercher une résolution de conflits non violente. Il est important de lui enseigner le souci de l’autre et de refuser de rire des blagues cruelles de l’enfant. Surtout, le parent devrait demander l’aide d’un professionnel et collaborer avec l’école afin de trouver une solution pour faire cesser la situation.

NV : Quelles sont les actions prises par les écoles du CSDCCS pour contrer l’intimidation à l’école?

Parler d’intimidation, c’est parler de sécurité dans nos écoles, mais aussi répondre à l’aspiration de notre conseil scolaire comme conseil catholique de langue française. Le CSDCCS est orienté vers des valeurs de respect, d’égalité, de partage qui sont les bases même de la catholicité et les valeurs qui sous-tendent la prévention de l’intimidation.

Chaque école du Conseil a maintenant une Équipe d’action pour la sécurité dans les écoles (EASE) qui comprend un élève, un parent, un enseignant, un membre du personnel non-enseignant, un membre de la direction et un partenaire communautaire.

Il y a également la mise en place de programmes visant la prévention de l’intimidation comme, entre autres, les programmes Pleins feux sur l’intimidation, SNAP et Vers le pacifique. Chaque classe du Conseil scolaire peut s’appuyer sur ces programmes et sur des outils plus spécifiques de gestion du climat de classe. Les classes et les enseignants sont appuyés par les conseillers pédagogiques des écoles, la conseillère pédagogique en école sécuritaire, les conseillers en comportement et aussi les travailleurs sociaux.

Équipe des travailleuses sociales du CSDCCS. Deuxième rangée : Micheline Rabet, Marie-Ève Rivard, Dominique Doyle, Marianne Saade, Rosalina Ekwa Ekoko, Corinne Allal Première rangée : Lydie Rusaki, Manon Tremblay, Mélanie Ouellette, Charlotte Muhorakeye

36 Notre vie

La voie de l’excellenceChacun y met du sien

Vivre à la manière de JésusÉÉC Sainte-Marguerite-Bourgeoys

Cette année, tous les membres du personnel de l’ÉÉC Sainte-Marguerite-Bourgeoys de Markham ainsi que les élèves réfléchiront au slogan « Vivre à la manière de Jésus ». Ce projet vise à promouvoir la foi et à sensibiliser les élèves à la signification et l’impact de nos valeurs chrétiennes. Chaque mois, les élèves ont l’occasion d’explorer une valeur distincte et de partager leurs constats et créations artistiques (poèmes, chansons) à la radio scolaire. À la fin du mois, les élèves de chaque classe choisissent l’élève qui a le mieux démontré cette valeur. Pour entamer la nouvelle année scolaire, la première valeur retenue était le respect.

Le respectLe respect est importantIl faut respecter les gens

Le respect est ce qui garde l’amitiéEt deux amis vont toujours s’aimer

C’est beau de voir deux personnes en harmonieEt tous des amis

Tout le monde jeune ou vieuxVont toujours être heureux

Si tu suis le chemin de JésusTu ne vas jamais être perdu

Connais-tu le monde entier?Il y a beaucoup de choses à partager

Donne un câlin pour consolerSi tu veux pardonner

Natasha, 4e A, SMBM

Poème (choisir un) :

Respecte les idées des autres comme cela

L’Empathie c’est comme ça

S’aimer les uns les autres

Partager nos idées ensemble

L’Espoir on peut le voir

La coopération entre nous alors on peut faire tout

Tout cela égale le respect pour moi.

Caroline, 4e A, SMBM


La réponse vient des élèvesÉÉC Samuel-de-ChamplainNous avons demandé aux élèves de la 3e à la 6e année de l’ÉÉC Samuel-de-Champlain d’Orillia de participer à un sondage pour connaître leurs impressions par rapport à l’intimidation et au sentiment de sécurité à l’école. Les réponses des élèves nous aideront à réviser notre plan pour contrer l’intimidation en nous permettant de mieux cerner les difficultés qu’ils vivent. La majorité des élèves affirment être très bien à l’école, mais ils indiquent tout de même quelques situations problématiques pour lesquelles ils souhaiteraient voir une amélioration. Parmi les situations notées, on trouve : se sentir exclus, se faire « appeler des noms », se faire pousser, se faire frapper, se faire insulter ou se faire blâmer. Heureusement, les élèves posent déjà des gestes pour faire face à ces difficultés et ils ont aussi offert quelques suggestions pour remédier à ces situations : aller voir quelqu’un qui est seul et lui demander s’il veut venir jouer avec les autres, proposer des jeux qui vont inclure

As-tu rempli un seau aujourd’hui?ÉÉC Sainte-MarieUn seau de sable? Un seau d’eau? Mais non! Le seau que nous remplissons cette année à l’ÉÉC Sainte-Marie de Simcoe est un seau rempli de beaux gestes et de beaux mots. Tout au long de l’année scolaire, les élèves vont être des remplisseurs de seaux envers toutes les personnes qu’ils côtoient à l’école, à la maison ou dans la communauté. Des bracelets « Remplisseur de seaux » se promèneront dans l’école, car ils seront remis à un ou une ami(e) qui a rempli le seau d’un autre ou d’une autre élève.

tout le monde, aller chercher l’aide d’un adulte si un problème n’est pas résolu, travailler avec différents partenaires et ne laisser personne tout seul, dire à celui ou celle qui blesse quelqu’un par ses gestes ou ses paroles d’arrêter et dire des choses gentilles aux autres. Les réponses données par les élèves révèlent qu’ils ont pris ce sondage très au sérieux, ce qui montre bien l’importance que ces questions occupent dans leur quotidien.

38 Notre vie

« Je dis non à l’intimidation »ÉÉC Mère-Élisabeth-Bruyère

Dans le cadre du plan pour une école sécuritaire, les élèves de la classe de 5e/6e

année de l’ÉÉC Mère-Élisabeth-Bruyère de Waterloo ont préparé, avec leur enseignante Mme Olmstead, une pièce de théâtre mettant en scène différentes situations de la vie d’un élève qui se fait intimider. La représentation a eu lieu lors d’un rassemblement de toute l’école au début d’octobre pour lancer la campagne anti-intimidation. Après la pièce, il y a eu une

deuxième étape où on a demandé à chaque élève de prendre l’engagement personnel de ne jamais intimider qui que ce soit. Comme preuve, les élèves ont apposé leur signature sur un carton en forme de main. Chaque main a ensuite été assemblée avec les autres sur un mur de l’école pour créer un arbre. Le titre du projet au-dessus de l’arbre rappelle l’engagement de tous : « Je dis non à l’intimidation. »

À nous d’agir consciencieusement et dignementÉSC Monseigneur-de-Charbonnel

L’ÉSC Monseigneur-de-Charbonnel de Toronto prend très au sérieux l’intimidation chez les jeunes. Un sondage a été distribué à tous les élèves de l’école le 23 octobre dernier afin de savoir comment chacun se sent chez nous. Parmi les élèves interrogés, 92 % d’entre-eux se sentent bien dans notre école. Certains nous ont mentionné que l’intimidation la plus fréquente et la plus sournoise est faite sous forme verbale. Une taquinerie pour certains devient une moquerie pour une personne intimidée. Quelque 97 % des élèves nous ont confirmé que toutes les formes d’intimidation (verbale, physique ou psychologique) ont un effet néfaste sur leurs apprentissages. C’est la confirmation, si elle était nécessaire, que l’intimidation est un acte de méchanceté qui détruit la vie et les apprentissages des jeunes à l’école.

L’intimidation sous toutes ses formes n’est donc plus tolérée. Suggérer de « tenir bon » n’est plus

un conseil acceptable. De plus en plus d’écoles appliquent des politiques officielles pour faire face aux comportements intimidants. Les jeunes reconnaissent l’injustice associée aux actes d’intimidation et apprennent de nouveaux moyens pour y faire face.

Chez nous, des solutions et des stratégies ont été mises en place afin de faciliter les échanges et la conciliation. Des élèves au personnel, tous contribuent et voient au bien-être de tous et chacun. Dans le respect, nos mots trouveront toujours une oreille attentive

pour répondre à nos besoins et des mains se tendront pour nous offrir une aide inestimable.

Observer et agir afin d’améliorer le monde de demain, puisque c’est à nous qu’il appartient. Nous sommes les femmes et les hommes d’un monde meilleur dans un avenir rapproché. À nous d’agir consciencieusement et dignement!


À l’ÉÉC Saint-Jean-Baptiste de Mississauga, plusieurs activités ont été organisées dans le but d’encourager les comportements positifs et de contrer l’intimidation. Afin de partir du bon pied, dès septembre, tous les élèves ont été réunis au gymnase de l’école pour leur rappeler les attentes et les règlements de l’école. Lors de cette rencontre, l’accent a été mis sur les raisons pour lesquelles nous devons avoir des règlements et sur la révision des règles de vie de notre école. Après une période de repos de quelques mois, un tel rappel est souvent approprié. Nous avons aussi présenté le projet Ma cour, un monde de plaisir qui consiste à lutter contre l’intimidation à l’école en améliorant ce qui se passe dans la cour de récréation. Ce projet, qui a vu le jour à la suite de rencontres et de consultations auprès des élèves, des parents et des enseignants, part du principe que plus les élèves sont occupés à jouer, moins ils ont du temps pour l’intimidation et les conflits. La cour de l’école a été divisée en plusieurs aires de jeux qui offrent différentes possibilités d’activités

Ma cour, un monde de plaisirÉÉC Saint-Jean-Baptiste

Une école SANS larmeÉÉC Monseigneur-JamotL’intimidation, c’est un mot qui fait frissonner et qui pourtant est prononcé plus souvent qu’on ne le voudrait! Cette année, à l’ÉÉC Monseigneur-Jamot de Peterborough, nous ne ferons pas l’autruche. Du 18 au 22 novembre, nous avons suivi la vague et fait vivre à nos élèves plusieurs activités de sensibilisation. Dès le lundi matin, la semaine a commencé avec un petit concours de dessin. Le dessin gagnant de chaque classe a été imprimé sur un T-shirt et porté pour le reste de la semaine par le titulaire de classe. La semaine s’est poursuivie avec une cérémonie pour la présentation de vidéos faites pas les élèves de 7e et 8e année. Ensuite, chaque élève de l’école a été invité à apporter une boîte de mouchoirs pour qu’ensemble, nous construisions un mur introduisant notre nouveau slogan, Une école SANS larme. Par la suite, ces fameux élastiques qui comblent petits et grands dernièrement, sont eux aussi venus faire des heureux lors de cette semaine anti-intimidation. En effet, chaque élève a pu se fabriquer un bracelet rose et

afin de permettre aux enfants de s’amuser en sécurité et d’éviter les conflits. Pour la mise en œuvre de ce projet, de l’équipement et des accessoires de jeux extérieurs ont été achetés. Nous avons aussi ajouté une remise pour entreposer le matériel. Des élèves de 6e année se sont portés volontaires pour distribuer et ranger le matériel dans la remise au début et à la fin de chaque récréation. Les affiches de Vers le pacifique sont fixées sur la remise pour que les élèves puissent utiliser les stratégies enseignées et bien s’exprimer au lieu d’en venir à l’agression physique ou verbale.

blanc qu’il portera comme un symbole de paix, d’amitié et de respect entre tous les camarades de notre belle grande famille. Finalement, un match d’improvisation mixte ayant pour thème L’Intimidation a clôturé notre semaine. Les élèves ont eu beaucoup de plaisir à encourager l’équipe des roses ou celle des blancs qui se sont livrés un fier combat, mais sans larme et sans rancune.

40 Notre vie

dans le carré. D’autres encore ont eu mal, parce qu’on leur accrochait les épingles dans les cheveux. Ils ont observé que certains élèves étaient plus ciblés que d’autres et ils ont noté les rires.

À la fin de la deuxième partie, certains élèves étaient fiers d’avoir eu l’idée de prendre une chaussure pour mettre les épingles dessus. Trois élèves ont mis plus de temps pour sortir du carré, car ils ne savaient pas quoi faire, alors un ami leur a dit d’accrocher les épingles sur les chaussures.

Plusieurs ont alors commencé à raconter comment ils ont déjà été intimidés dans leur vie.

Lors de cette activité, les élèves ont bien compris le parallèle entre ce jeu et l’intimidation.

équipes de survivants illustrent une action pour contrer l’intimidation. Ces équipes, formées de petits et de grands, encouragent le développement du leadership et le travail d’équipe. Le 1er novembre, les élèves ont participé au projet Je pose un geste de gentillesse qui est encouragé par la Niagara Community Foundation. Les élèves vont écrire leur acte de gentillesse sur une brique et ce geste servira de rappel qu’à l’école Saint-Antoine, nous avons des murs solides entre lesquels tous les élèves se sentent bien.

Marchons avec JésusÉÉC Saint-AntoineLors du camp de leadership de septembre, les membres du conseil estudiantin ont organisé des activités pour les élèves de l’ÉÉC Saint-Antoine de Niagara Falls, afin de s’assurer que tous se sentent bien dans l’école. Lors du premier rassemblement, le conseil estudiantin a annoncé le thème de l’année : Marchons avec Jésus, ainsi que les trois critères pour obtenir le certificat du mois et le titre de citoyen de l’année :

- Fierté de la langue; - Respect des autres; - Engagement dans le travail scolaire.

Tout au long de l’année, le personnel remet des billets de motivation aux élèves qui font de bonnes actions. De plus, les membres du conseil ont présenté un projet pour contrer l’intimidation et renforcer les murs de notre école. En peinturant une brique de l’école, les

Le rappel de l’épingle à lingeÉÉC Saint-NicolasL’ÉÉC Saint-Nicolas de Milton a fait vivre à ses jeunes le jeu de l’épingle à linge. C’est un exercice qui est une bonne démonstration de ce qu’est l’intimidation ou le taxage, car elle amène les élèves à voir que les comportements démontrés lors du jeu, où tout le monde a joué un rôle, sont les mêmes que lors d’une vraie situation de taxage. Chaque joueur doit se débarrasser des trois épingles à linge qui lui ont été données, pour pouvoir sortir du carré de jeu. Les élèves commencent à accrocher leurs épingles sur les autres, qui doivent s’en débarrasser. En général, ceux qui portent des vêtements amples sont vite la cible de tous.

Après le jeu, l’épingle à linge reste affichée dans la classe pour rappeler à tous ce qui a été vécu dans le jeu. Voici ce que l’enseignante Mme Emmanuelle a pu observer. Les élèves de 4B étaient tous excités au début du jeu. Ils ont bien écouté les consignes. À la fin de la première partie, ils ont partagé leurs sentiments. Certains se sentaient fâchés d’avoir eu autant d’épingles dans le dos. D’autres trouvaient cela tellement drôle, qu’ils auraient aimé rentrer de nouveau


Animation culturelle et pastorale

Je me souviens d’un long, mais agréable voyage dans un confortable autobus. Nous nous rendions au Centre Notre-Dame de la Rouge pour le camp de leadership pastoral. Nous nous rendions aux abords de la province de Québec dont la devise est « Je me souviens ». Tel était le thème de ce camp.

Je me souviens de 40 élèves provenant de nos dix écoles secondaires. Ils étaient motivés et joyeux.

Je me souviens de l’accueil enthousiaste de la part des trois animateurs du camp.

Je me souviens du chant thème essoufflant faisant appel à une bonne coordination de la parole et des gestes.

Je me souviens de la montagne qui offrait un tableau multicolore de l’automne et qui appelait à la contemplation de la beauté de la Création.

Je me souviens du dépassement de soi auquel les élèves étaient confrontés, des efforts qu’ils ont déployés, des réussites qu’ils ont célébrées.

Je me souviens des peurs qu’ils ont surmontées, des émotions qu’ils ont vécues.

Je me souviens du recueillement de leur prière, de leur ouverture de cœur.

Je me souviens de leurs fous rires, de leurs jeux déchaînés et de leur esprit de compétition.

Je me souviens de 40 élèves de nos 10 écoles secondaires qui ont vécu le camp de leadership pastoral du 17 au 20 octobre dernier. Ces élèves ont acquis les habiletés nécessaires afin de devenir des leaders au sein de nos écoles. Ils ont découvert comment la pastorale est intimement liée à la vie de l’école.

Je me souviens de 40 élèves de nos 10 écoles secondaires qui ont appris à se faire confiance et à faire confiance aux autres. Le jeu, la réflexion, la prière, le chant, la montagne, la piste d’hébertisme sont autant d’activités pastorales diversifiées. Le dépassement de soi, l’émerveillement, la peine, la confiance, la joie, sont autant d’émotions vécues durant ce camp.

Je me souviens de la fraternité, de la qualité de la langue française, des sourires! Je me souviens d’un camp pastoral vécu dans le respect les uns des autres.

Je me souviens du désir de transformer le monde qui habitait chaque élève plus le camp avançait.

Je me souviens que chaque élève est habité de l’Amour de Dieu, animé de son Esprit et guidé par l’agir de Jésus Christ.

Je me souviens… d’un camp mémorable!

42 Notre vie

10e assemblée générale annuelle de l’AESDLe 21 septembre dernier, les élèves participant au premier camp de leadership de l’AESD ont eu l’occasion de participer à la 10e assemblée générale annuelle de leur association. Le tout s’est déroulé au Camp Mansfield, après un somptueux souper célébrant la Journée du drapeau franco-ontarien, où Samuel de Champlain lui-même dans toute sa splendeur s’est joint aux élèves, pour souligner les 400 ans de son premier passage en Ontario. Merci à Renaud-Philippe Garner, un ancien élève de Jean-Vanier, pour avoir joué le jeu avec autant de brio!

L’Assemblée elle-même a été conduite par Emily Li Niap Fah en tant que l’une des vice-présidentes de l’année passée, en l’absence du président sortant. Nos invités spéciaux de la soirée étaient Mme Nathalie Dufour-Séguin, présidente du CSDCCS, M. Dominique Janssens, conseiller scolaire, M. Sébastien Lacroix, conseiller en gestion des affaires diocésaines et scolaires, Mme Diane Maloney et M. Michel Labonté, de l’équipe d’animation pastorale. Et bien sûr, M. Samuel de Champlain. L’AGA fut l’occasion pour les élèves présents de se familiariser avec le rapport annuel des activités de l’AESD pour 2012-2013, ainsi que le plan d’action pour l’année scolaire 2013-2014. Le moment de la soirée suscitant le plus de fébrilité parmi les participants fut bien sûr les élections au CA de l’AESD. Il faut dire que durant cet après-midi-là, les membres des différentes tables sectorielles de l’AESD s’étaient rencontrés pour une courte réunion et pour élire les personnes qui les représenteraient au CA. Lors de l’AGA, on est passé aux élections de la présidence et des vice-présidences. Merci aux ambassadeurs et ambassadrices de 7e et de 8e année pour leur aide lors de cette soirée. Tout

s’est déroulé comme un charme grâce à votre aide!Après la clôture de l’assemblée générale annuelle, les membres élus du CA de l’AESD ont tenu leur première réunion afin de combler par nomination les postes restants, pendant que tous les autres participants terminaient la soirée en beauté avec une danse animée par notre ami, DJUnPier.

Nouveau CA 2013-2014 de l’AESD

Absent de la photo : Christopher Nohr de Sainte-Trinité

Présidence : Emily Li Niap Fah, RenaissanceVice-présidences : Linas Kairys, Sainte-FamilleDanielle Lavigne, Jean-VanierJoseph Kassouf, Renaissance

Resp. table culturelle : Marc Holowatenko, Saint-Frère-André

Resp. table pastorale : Michelle Addesa, Mgr-de-Charbonnel

Resp. table sports : Dhalin Sinnathurai, Nouvelle-Alliance

Resp. table conseils d’élèves : Allex Laurin, Nouvelle-Alliance

Délégué à la construction identitaire et au développement du caractère : Véronique Langlois, Nouvelle-Alliance

Représentants d’école : Karine Laferrière, Saint-Charles-GarnierJanine Ruhinda, ACMTGustav Town, Père-René-de-GalinéeChristopher Nohr, Sainte-Trinité


conseil le vendredi matin afin de découvrir ce qu’ils avaient appris et travaillé. Ils ont également participé à la planification de la suite des choses. En effet, cette formation n’est pas seulement un bon moment à vivre entre amis, mais elle doit vraiment avoir des répercussions sur le conseil d’élèves au complet dans chacune de nos écoles secondaires. Nos participantes et participants se sont donnés une stratégie pour transmettre ce qu’ils avaient appris aux collègues de leur conseil qui n’avaient pas pu se joindre à eux. Merci aux enseignants et animateurs qui ont pris le temps de venir passer ces précieux moments avec nous!

Après le départ des membres des conseils scolaires, les membres du CA, qui ont également participé à toute la formation, sont restés quelques heures de plus afin de discuter de quelques points importants et de vivre quelques moments d’équipe ensemble. La façon de vivre ce rapprochement d’équipe? Faire de l’escalade d’une échelle géante avec l’aide de Tony, animateur du Camp Cedar Glen. Après une réunion fructueuse et bien des rigolades ensemble, les membres du CA sont repartis, non sans avoir partagé un excellent souper.

L’année 2013-2014 sera sûrement encore plus excitante dans nos conseils d’élèves et au CA de l’AESD grâce à ces apprentissages et aux bons moments passés ensemble durant ce camp! Bon travail à tout le monde, retroussez-vous les manches et faites la différence dans votre école!

Camp de formation des conseils d’élèves et du CA de l’AESDDu 23 au 25 octobre, chacune de nos écoles secondaires a envoyé une délégation de leur conseil d’élèves pour leur faire vivre un temps de partage et de formation qui leur permettra d’être plus efficaces dans l’exercice de leur mandat.

Le camp avait lieu à Cedar Glen du YMCA dans la région de Nobleton. Trente-neuf élèves étaient présents et ils ont appris énormément sur eux-mêmes, sur le travail en équipe et sur le leadership grâce à une panoplie d’activités diversifiées et intéressantes.

En équipe, les élèves ont fait appel à des stratégies complexes pour être les premiers à reproduire un robot en Lego®, ils ont tenté de mettre en ordre chronologique une liste d’événements de l’histoire franco-ontarienne,

ils ont réussi à se tenir à 15 dans un minuscule carré de ruban gommé, ils ont discuté (avec passion?) de la responsabilité d’un crime, ils ont négocié des morceaux de bonbons, ils ont réfléchi sur les étapes de formation d’un groupe de travail, etc.

L’un des moments forts de la formation a été lorsque nos enseignantes, enseignants, animatrices et animateurs responsables des conseils d’élèves sont venus rejoindre leur

Participants de Saint-Frère-André et Sainte-Trinité


Camp de leadership « Les explorateurs »

Le premier camp de leadership de l’AESD de l’année scolaire 2013-2014 s’est déroulé au Camp Mansfield, du 19 au 22 septembre dernier. Quelque 98 élèves provenant de nos 10 écoles secondaires ont pris part à cet événement. Pour certains de ces élèves, le séjour a débuté le mercredi soir où ils ont reçu une formation de parrainage afin d’accueillir les élèves qui n’avaient jamais participé à un camp auparavant. Ces mêmes élèves ont également travaillé sur d’autres dossiers, entre autres sur celui de l’assemblée générale annuelle (AGA) de l’AESD ainsi que sur celui de la Journée des Franco-ontariens et Franco-ontariennes à Toronto.

Ayant pour thème « Les explorateurs », le camp avait pour but de proposer des activités ludiques, de réflexions et d’entraide pour accroître le leadership. Le vendredi matin, les élèves ont été choyés par la présence de Christian Pilon, voyageur franco-ontarien de descendance métisse, qui a courageusement bravé fleuves, lacs et rivières lors de l’expédition Destination Nor’Ouest en 2005. Ce dernier leur a offert un atelier des plus captivants, en plus de leur témoigner de son expérience et de partager des anecdotes des plus rocambolesques. Pour combler le tout, il leur a concocté sa recette magique de soupe aux pois, un repas qui a fait fureur auprès de nos élèves!

46 Notre vie

Journée des Franco-ontariennes et des Franco-ontariens à Toronto

Le 22 septembre dernier, les francophones et francophiles de la région de Toronto se sont rassemblés sur la place David Pecaut pour une 3e année consécutive, afin de prendre part aux célébrations de la Journée des Franco-ontariennes et des Franco-ontariens. Le CSDCCS, qui a étroitement collaboré avec plusieurs autres organismes à la réalisation de ce grand événement, était bien au rendez-vous.

C’est en revenant du premier Camp de leadership de l’AESD de l’année que 98 de nos élèves sont débarqués en plein cœur du centre-ville de Toronto, à l’intersection des rues John et King Ouest, pour prendre part aux festivités de la journée. Ce fut une très belle opportunité pour ceux-ci de célébrer leur appartenance culturelle avec d’autres Franco-ontariens et Franco-ontariennes de la région.

Tout en participant aux activités qui étaient organisées sur place, nos élèves ont également su redonner à la communauté en offrant, à leur tour, des ateliers de maquillage et de sculpture de ballons. Ces simples gestes de partage ont généré plusieurs sourires, autant chez les petits que chez les grands!

La journée s’est terminée par une superbe prestation musicale du groupe franco-ontarien Swing. Au moment où le groupe a interprété leur grand succès populaire La goutte, nos élèves se sont précipités devant la scène pour une mobilisation éclair des plus inattendues, captant ainsi l’attention du public. Leur chorégraphie étant toute aussi amusante que mouvementée, c’est avec leurs charmants pas de danse qu’ils ont su entraîner la foule avec eux!

Malgré le froid automnal et le temps grisâtre, l’événement fut un énorme succès! Il va sans dire que les Franco-ontariennes et les Franco-ontariens de la région de Toronto se sont fait entendre haut et fort et ont su faire vibrer la place David Pecaut!

Soyez de la partie l’an prochain!


Vos conseillères et conseillers scolaires

Élèves conseillers

ÉSC NOUVELLE-ALLIANCEALLEx [email protected], poste 113

Région de YorkYVES LÉ[email protected], poste 101

Région de Toronto NordNAThALIE DUfOUR-SÉGUIN Présidente du [email protected], poste 102

Région de MississaugaNICOLAS [email protected], poste 103

Région de Lincoln-NiagaraMELINDA [email protected], poste 104

Région de Toronto SudCLAUDE-RENO D’[email protected], poste 105

Région de HaltonDOMINIqUE [email protected], poste 106

Région de Dufferin-Peel-WellingtonTAMMY kNIBBS [email protected], poste 107

Région de Durham-Peterborough-Kawartha-ClaringtonOLGA LAMBERT [email protected], poste 108

Région de Simcoe-MuskokaLUC [email protected], poste 109

Région de WellandJULES LÉ[email protected], poste 110

Région de Hamilton-WentworthMARCEL [email protected], poste 111

Région de Waterloo-Brant-Haldimand-NorfolkDOROThÉE PETIT-PASVice-présidente du [email protected], poste 112

ÉS ACADÉMIE CATHOLIQUE MÈRE-TERESASÉBASTIEN [email protected], poste 114

Les conseillères et conseillers scolaires et l’équipe administrative vous souhaitent un très

Joyeux Noël et une Bonne Année 20I4!

«Nous avons vu se lever son étoile et nous sommes venus l’adorer.»Matthieu 2, 2

facebook.com/csdccs

@csdccs

Danika Sherrington, ancienne élève de l’École secondaire catholique Nouvelle-Alliance, Noël Académie 2012

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Décembre 2013 Vol. 5 No 1 · apprennent les valeurs d’empathie et de paix ». Je vous invite donc, parents, amis, enseignants et responsables scolaires, à saisir l’occasion