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d’Agglomération médiathèque centrale Émile Zola de la RÉSEAU des MÉDIATHÈQUES de MONTPELLIER AGGLOMÉRATION En partenariat avec la Librairie Sauramps montpellier-agglo.com Nov. / Décembre 2014

de la d’Agglomération Émile Zola · 2014. 10. 27. · élisabéthaine, sorte de Zazie dans le métro aux antipodes de la narratrice. S’ensuit une amitié picaresque, un voyage

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  • d’Agglomérationmédiathèque centrale

    Émile Zola

    de la

    RÉSEAU des MÉDIATHÈQUES de MONTPELLIER AGGLOMÉRATION

    En partenariat avec la Librairie Sauramps

    montpellier-agglo.com

    Nov. / Décembre 2014

  • Édito

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    MERCREDI 5 NOVEMBRE / 19H RENCONTRE AVEC OLIVIER TRUC POUR LA SORTIE DE LE DETROIT DU LOUP (METAILLIE)

    MERCREDI 19 NOVEMBRE / 18H RENCONTRE AVEC AMÉLIE NOTHOMB POUR LA SORTIE DE PETRONILLE (ALBIN MICHEL)

    MARDI 25 NOVEMBRE / 19H RENCONTRE AVEC GENEVIÈVE BRISAC POUR LA SORTIE DE DANS LES YEUX DES AUTRES (OLIVIER)

    VENDREDI 28 NOVEMBRE / 19H RENCONTRE AVEC LES EDITIONS GUILHEM POUR LA SORTIE DE DHUODA, BELLE-FILLE DE SAINT GUILHEM, ET AUTRES FEMMES DE CARACTÈRE AU MOYEN-AGE

    SAMEDI 8 NOVEMBRE / 16H30 LECTURE THÉÂTRALISÉE PAR DANIEL CARRAZ LA GUERRE EN PAROLE COMPAGNIE TEXTURE THEATRE

    MARDI 13 NOVEMBRE / 19H RENCONTRE AVEC OLIVIER ADAM POUR LA SORTIE DE PEINE PERDUE (FLAMMARION)

    MARDI 9 DECEMBRE / 19H RENCONTRE AVEC LAURENT GOUNELLE POUR LA SORTIE DE LE JOUR OU J’APPRIS A VIVRE (KERO)

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    Nous poursuivons la rentrée littéraire 2014 avec de nombreux auteurs phares pour le plus grand plaisir de tous. Nous avons le plaisir d’accueillir Olivier Adam pour la sortie

    de son livre Peine perdue ou encore la sulfureuse Amélie Nothomb qui nous fait l’immense joie de revenir à Montpellier pour nous présenter son tout dernier livre Pétronille.

    La part belle sera également faite à un jeune auteur montpelliérain, Olivier Truc, pour la sortie de son deuxième roman Le Détroit du loup. Un auteur très prometteur.

    Nous accueillerons également à l’occasion du centenaire de la grande guerre une lecture théâtralisée La Guerre en parole avec deux comédiens régionaux. Un spectacle émouvant, au témoignage poignant.

    Et pour finir, une rencontre à laquelle je suis très attaché, le Café des femmes animée par Hélène de Chabert, avocate à Montpellier. À cette occasion, Geneviève Brisac, auteur montpelliéraine, nous présentera son dernier livre Dans les yeux des autres.

    Je vous souhaite de passer d’agréables moments littéraires !

    Philippe SAUREL

    Président de la Communauté

    d’Agglomération de Montpellier

    Maire de la Ville de Montpellier

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    MERCREDI 5 NOVEMBRE RENCONTRE AVEC

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    LA GUERRE EN PAROLE

    POUR LA SORTIE DE LE DETROIT DU LOUP (METAILLIE)

    SAMEDI 8 NOVEMBRE LECTURE THÉÂTRALISÉE PAR

    TEXTURE THEATRE

    La Compagnie

    Dans le cadre du Centenaire de la Grande Guerre

    La guerre en parole donne vie aux mots de ceux qui ont connu le front et qui ont écrit sur la guerre de 14-18 : Louis Barthas avec Les Carnets de guerre, Gabriel Chevallier avec La Peur et Blaise Cendrars avec La Main coupée. Trois paroles qui s’entrelacent, trois œuvres à (re)découvrir lors cette lecture théâtralisée palpitante.

    Interprété par deux comédiens de la Région Languedoc-Roussillon, et mis en lecture par Daniel Carraz.

    « Au-delà du devoir de mémoire, c’est un désir de partage qui m’anime. Partage entre l’écrit, la parole et l’écoute. Partage entre des auteurs, des acteurs et un public, partage entre des hommes d’hier et d’aujourd’hui sous la forme vivante et directe qu’offre l’acte de parole. Après maintes lectures et parmi une littérature pléthorique couvrant les évènements de la Grande Guerre, j’ai choisi de faire entendre conjointement un journal de guerre, pour l’observation précise du quotidien et les questionnements qu’on y trouve et un roman, pour le regard distancié et les réflexions que cela apporte.J’ai trouvé que Barthas et Chevallier s’accordaient admirablement pour évoquer aujourd’hui une traversée de la guerre de façon vivante, palpitante et qui puisse s’adresser à un large public.Le spectacle sera donc construit à partir de ces deux auteurs ; la parole de l’un venant nourrir celle de l’autre. »Daniel Carraz

    Places limitées. Sur inscription au Service adultes - 1er étage Histoire et société ou au téléphone au 04 99 06 27 33.

    Olivier TRUC est journaliste depuis 1986. Il habite Stockholm depuis 1994. Correspondant dans les pays nordiques et baltes du Monde (depuis 2005) et du Point, il couvre de nombreux domaines allant de la politique à l’économie, aux affaires sociales, aux questions d’immigration, avec une prédilection pour le reportage. Auteur de la biographie L’Imposteur paru en 2006 qui raconte l’histoire trouble d’un survivant du goulag, il est devenu bien connu du grand public en 2011 avec le Dernier Lapon, 1er roman publié chez Métailié qui a reçu pas moins de 18 prix littéraires. La matière première de ce roman policier lui avait été donnée lors de ses reportages en Laponie. En 2004, ses reportages à Libération à propos de la police des rennes lui donnent une masse d’informations, de sensations, de personnages vus et suivis, de petites histoires qui lui ont donné envie de poursuivre l’aventure et de raconter un peuple, une région, une atmosphère.

    Dans Le détroit du loup, nous retrouvons avec plaisir les mêmes protagonistes que dans Le Dernier lapon : Klemet et Nina, membres de la police des rennes. Cependant, le cadre géographique est cette fois Hammerfest, petite ville de l’extrême nord de la Laponie : le futur Dubaï de l’Arctique dont les fonds marins regorgent de pétrole. Les pétroliers tiennent le pouvoir politique mais le détroit du loup, passage obligé pour les pétroliers, est aussi le chemin de la transhumance des rennes… Le jour de leur traversée à la nage, un éleveur trouve la mort dans des conditions suspectes et le maire de

    la ville est un peu plus tard victime d’un étrange accident… Une intrigue captivante et compliquée, le monde, exotique pour nous, des éleveurs de rennes mais aussi des plongeurs à grande profondeur, de nouveaux personnages attachants, des personnages principaux qui gagnent en épaisseur, tout cela concourt à faire de la lecture de ce roman un très beau moment.

    Olivier Truc passe brillamment le cap du second roman et nombreux seront les lecteurs à demander la suite des aventures de Klemet et Nina.

    19H00 - Café des lettres 16H30 - Auditorium Musique et Danse

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    POUR LA SORTIE DE PETRONILLE (ALBIN MICHEL)POUR LA SORTIE DE PEINE PERDUE (FLAMMARION)

    MARDI 13 NOVEMBRE RENCONTRE AVEC

    MERCREDI 19 NOVEMBRE RENCONTRE AVEC

    ADAM NOTHOMBAmélieOlivier

    Olivier Adam, écrivain plébiscité par les libraires et le public et parfois mal aimé des critiques et des prix littéraires, est né en 1974 dans la région parisienne. Après des études de gestion d’entreprises culturelles, il participe à la création des Correspondances de Manosque et travaille ensuite brièvement dans l’édition. Son premier roman, Je vais bien, ne t’en fais pas, publié en 2000, est un succès. Dès le troisième, Poids léger, en 2002, il peut se consacrer entièrement à l’écriture. Il écrit aussi des livres pour la jeunesse.Également scénariste, il a notamment participé à plusieurs films : Welcome et Je vais bien, ne t’en fais pas, réalisés par Philippe Lioret, Poids léger et Maman est folle de Jean-Pierre Améris, et Des vents contraires, de Jalil Lespert. Son œuvre dépeint des personnages en bute à des crises d’identité, souvent dans des milieux ordinaires de la classe moyenne avec lesquels il est en totale empathie.

    Pour ce dernier roman Peine Perdue, il quitte la côte bretonne qui était le cadre de son livre précédent Les lisières, dont il était venu nous parler lors de sa parution en 2012, pour une petite cité balnéaire tranquille de l’Esterel, désertée après le départ des touristes. Deux évènements dramatiques vont secouer ses habitants, l’agression d’un jeune joueur de football talentueux mais peu stable et une tempête, les deux d’une rare violence. De ce point de départ, Olivier Adam déroule une intrigue prétexte à un roman choral, qui dit la vie sur laquelle on n’a pas de

    prise, que l’on subit plutôt que l’on a choisie. L’auteur dresse vingt-deux portraits - pour la plupart des trentenaires qui n’en reviennent pas d’être adulte, qui ne réalisent toujours pas, qui se voient encore comme des enfants - dont les destins se croisent et interagissent depuis toujours parfois, pour le pire souvent.

    Avec Peine perdue, Olivier Adam signe un livre d’une densité romanesque inédite, aux allures de roman noir. Il dresse le portrait d’une communauté désemparée, reflet d’un pays en crise. Son empathie avec ses personnages est telle que le lecteur n’en sort pas indemne.

    19H - Café des lettres

    On ne présente plus Amélie Nothomb, cette écrivain belge issue d’une famille noble née en 1967 à Kobé selon son éditeur, ou en 1966 à Etterbeek, Bruxelles, selon les férus de généalogie, qui a publié son premier livre en 1992 L’hygiène de l’assassin chez Albin Michel et qui avec la régularité d’un métronome, livre chaque année un nouveau roman. Tous connaissent un impressionnant succès. Amelié Nothomb a reçu, entre autres, le prix Chardonne, le Grand prix du roman de l’Académie française, le prix de Flore, et le Grand prix Jean Giono pour l’ensemble de son œuvre. Ses œuvres sont traduites dans 40 langues, des U.S.A. au Japon. Le public apprécie le style romanesque et décalé de la jeune femme, toujours accompagné d’un humour subtil, mais qui le place directement face à ses pulsions intérieures. Parfois autobiographiques Métaphysique des tubes ou purement fictionnels Les Catilinaires, ses romans sont nourris d’expériences personnelles mais qui pourraient être partagées par tous.

    Dans ce dernier roman Pétronille, la narratrice, romancière qui ressemble décidément beaucoup à Amélie Nothomb, est en quête d’un compagnon de beuverie pour partager les délices du champagne, boisson qu’elle porte au plus haut. Elle la trouve en la personne de Pétronille, très jeune femme androgyne spécialisée en littérature élisabéthaine, sorte de Zazie dans le métro aux antipodes de la narratrice. S’ensuit une amitié picaresque, un voyage à Londres particulièrement savoureux, une tournées des libraires auxquels Amélie Nothomb voue une amitié sans faille et bien d’autres péripéties qui à n’en pas douter feront de ce roman, le livre le plus pétillant de la rentrée.

    Exceptionnellement la séance de dédicace aura lieu à 18h suivie de la rencontre avec l’auteur à 19h.

    18H - Café des lettres

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    VENDREDI 28 NOVEMBRE RENCONTRE AVEC

    Martin Gravel est Maitre de Conférences en histoire médiévale,

    Jean Meyers est Professeur de langue et littérature latine,

    Claudie Duhamel-Amado, Ingénieur de Recherche,

    Emmanuelle Santinelli-Foltz, Maître de Conférences en Histoire médiévale

    Danièle Lancu-Agou, Directeur de Recherche

    Cinq médiévistes de renom, nous font découvrir des femmes qui exerçaient pouvoir, influence et qui étaient respectées dans la société. Jean Meyers nous décrit la comtesse Dhuoda, une des premières femmes écrivaines dont l’œuvre nous est parvenue. Il nous révèle une mère dont le traité d’éducation est émaillé de considérations politiques hardies sur les puissants de son temps. Emmanuelle Santinelli nous raconte l’importance et l’autorité de la princesse Liégearde qui, au gré de ses deux mariages et de ses deux veuvages, participe au jeu des alliances familiales au service des hommes. Comme une toile de fond à la vie de ces personnalités exceptionnelles, Martin Gravel s’attache à nous décrire la formation, la recomposition et la réalité mouvante des jeux politiques princiers. Du Languedoc il en sera question avec ces femmes de l’aristocratie guilhemide dont Claudie Duhamel-Amado nous conte le destin dans le contexte d’une orientation agnatique des transmissions des castra et des bourgs fortifiés. Enfin, Danièle Lancu-Agou évoque pour nous la place des femmes juives à la fin du Moyen-Âge en Provence; les temps forts qui ponctuent leurs vies aux côtés des hommes. Finalement, cet ouvrage nous fait découvrir l’influence des femmes de l’aristocratie impliquées dans la société médiévale. Voilà de quoi nuancer la notion de « mâle Moyen-Âge » chère à Georges Duby, notion fondée pour l’essentiel sur des textes l i t téra i res et religieux tendant à présenter un portrait idéalisé de la société.

    GuilhemLes EditionsPOUR LA SORTIE DE DANS LES YEUX DES AUTRES (OLIVIER)19H - Café des lettres

    POUR LA SORTIE DE DHUODA, BELLE-FILLE DE SAINT GUILHEM, ET AUTRES FEMMES DE CARACTÈRE AU MOYEN-ÂGE19H - Café des lettres

    MARDI 25 NOVEMBRE RENCONTRE AVEC

    BRISACGeneviève

    Rencontre organisée en partenariat avec le Café des femmes et animée par Hélène de Chabert.

    Geneviève Brisac, normalienne et agrégée de lettres, devient professeur et enseigne en Seine-Saint-Denis. Puis, elle mène une carrière d’éditrice au sein de la maison Gallimard, qui publie son premier roman, Les Filles (1987). Elle rejoint les Éditions de l’Olivier en I994, et y publie un livre autobiographique, Petite. Parallèlement, elle devient éditrice pour les enfants et adolescents à l’École des Loisirs, où elle découvre et publie de nombreux jeunes romanciers. En 1996, elle obtient le prix Femina pour Week-end de chasse à la mère. Auteur prolifique, elle a écrit de nombreux livres pour adultes dont un essai sur Virginia Woolf VW, des recueils de nouvelles…Elle collabore au Monde des livres et à France Culture et a présidé le jury du prix du Livre Inter 2013.

    A la classique question « pourquoi écrivez-vous ? », elle répond maintenant « dans l’espoir de journées plus vastes, d’une vie plus dense. »…

    Elle publie aujourd’hui un beau roman des années 70 Dans les yeux des autres, inspiré des «Carnets d’or» de Doris Lessing. C’est un roman générationnel à la mode anglo-saxonne, qui entremêle l’intime, le social et le politique. Anna et Molly Jacob, deux sœurs inséparables, font l’apprentissage de la vie. Premiers

    meetings, « Anna et Molly, Molly et Anna, ensemble, à la conquête du monde ». Premières amours, Marek pour Anna, Boris pour Molly, et un engagement dans la lutte armée qui les conduit jusqu’au Mexique… Puis la vie passe, et la révolution aussi. Molly est devenue médecin, Anna écrivain. Sous le pseudonyme de Deborah Fox, Anna raconte leur histoire dans un roman à succès. Molly lui en veut. Procès….

    Le roman de Geneviève Brisac transmet l’énergie des années 70 traversées par des aspirations d’un monde meilleur, sa radicalité aussi. Un excellent roman de la rentrée 2014, qui pourrait - Geneviève Brisac y compte bien - donner à la jeunesse d’aujourd’hui l’envie de «monter sur les tables».

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  • MARDI 9 DECEMBRE RENCONTRE AVEC

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    Laurent Gounelle aurait pu se consacrer à une brillante carrière dans l’économie internationale mais sa passion pour la philosophie et la psychologie et plus largement son intérêt pour la société et les comportements humains l’ont très vite conduit vers une autre direction. Après avoir été consultant en développement personnel, il décide d’écrire sur son domaine de prédilection et publie son premier livre en 2008 un roman initiatique, L’homme qui voulait être heureux, sorte de parabole sur les choix de vie. Grâce au bouche à oreille des lecteurs et à l’enthousiasme des libraires, le livre rencontre un grand succès en France et à l’étranger. En 2010, il publie un nouveau roman, Dieu voyage toujours incognito, où il reprend les mêmes thèmes sur les difficultés sociétales et les relations humaines. Il se partage aujourd’hui entre l’université de Clermont-Ferrand où il est conférencier depuis plus de dix ans et l’écriture.

    Avec Le jour où j’ai appris à vivre, Laurent Gounelle nous revient avec un nouveau roman lumineux et positif. Jonathan, père séparé, mène sa vie comme il le peut entre sa petite fille, son ex-femme qui ne lui facilite rien, et son travail d’agent d’assurances où la crise économique le contraint parfois à prendre quelques accommodements avec la morale. La prédiction par une bohémienne de sa mort prochaine finit par l’obséder et le conduit à s’interroger sur le sens de cette vie qui s’arrêterait. Un séjour dans un institut dédié à la

    recherche sur les neurosciences va changer radicalement sa vision de la vie, de sa vie…

    Un roman qui fait du bien, où Laurent Gounelle nous fait prendre conscience de nos vies et nous montre comment nous pouvons être les artisans de notre propre bonheur.

    POUR LA SORTIE DE LE JOUR OÙ J’AI APPRIS A VIVRE (KERO)19H - Café des lettres

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  • Entrée libre dans la limite des places disponibles.

    Vous pouvez écouter ou réécouter les Rencontres sur

    www.montpellier-agglo.com/mediatheques

    Sous réserve de modification ou d’annulation de dernière minute.

    Médiathèque centrale d’Agglomération Émile Zola218, bd de l’Aéroport International

    34000 MontpellierTél. 04 67 34 87 00

    Tramway : lignes 1 et 4 (place de l’Europe)

    Suivez-nous sur /MediathequesMontpellierAgglomeration

    Licence 2- 1053146 Licence 3- 1053147

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