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RAPPORT FINALRAPPORT FINAL
DE L’ATELIER DE FORMATION EN :
PLAIDOYER PLAIDOYER POUR LES TICPOUR LES TIC&&
DIGITAL STORYDIGITAL STORY TELLING FOR TELLING FOR ADVOCACYADVOCACY
Du 25 au 29 janvier 2010Du 25 au 29 janvier 2010
CENTRE Jean XXIII de MVOLYE (Yaoundé-Cameroun.)CENTRE Jean XXIII de MVOLYE (Yaoundé-Cameroun.)
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RESUMERESUME
Le présent rapport rend compte des travaux de la session de formation de cinq (05) jours, consacrée au Digital Story telling for advocacy et au plaidoyer pour les TIC. Elle a été organisée par APC (Association pour les Progrès des Communications) en association avec PROTEGE QV (Promotion des Technologies Garante de l’Environnement et de la Qualité de Vie).
Ladite session de formation fut animée par :
LEBO MARISHANE : formateur/APC
NIOMBO Sylvie : formateur/ APC
EYINGA Aristide : formateur/PROTEGE QV
KUATE KENGNE Serge : formateur/PROTEGE QV
BIKOBO Emmanuel : facilitateur/PROTEGE QV
TSAFACK Balbine : facilitateur/ PROTEGE QV
Les thèmes abordés (les concepts clés de plaidoyer, les principaux acteurs et leurs caractéristiques, les techniques, outils, étapes du plaidoyer ainsi que les techniques de numérisation d’histoires numériques) ont été retenus, d’une part dans le cadre des activités de APC, en vue de former quelques membres aux techniques du Digital story ; et d’autre part, il était question pour PROTEGE QV de former les membres de la Société Civile aux techniques du plaidoyer. Cette dernière fait suite à la mise en œuvre des axes stratégiques adoptés lors de l’atelier organisé par GOREeTIC en septembre 2009 à Douala. Il était donc évident d’établir un lien entre le plaidoyer et le montage vidéo, visant à aider les participants à :
Exploiter la puissance narrative des histoires avec les technologies numériques, afin de soulever des questions et faire part de leur expérience personnelle.
Déterminer des thèmes pertinents de plaidoyer et d’esquisser un plan d’action stratégique.
Autrement dit, comment et avant tout, amener les participants, dont la majorité n’a qu’une compréhension approximative du plaidoyer et de la réalisation d’histoires numériques, à aller au-delà des concepts théoriques et à adapter les techniques du plaidoyer et des aspects techniques de la réalisation d’histoires numériques, à la problématique des TIC s’inspirant d’exemples pratiques de tous les jours.
Rapport rédigé par Emmanuel BIKOBO, Aristide EYINGA et Serge KUATE
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Pour réaliser le défi, les formateurs ont privilégiés l’approche participative pour assurer une meilleure adaptation des objectifs globaux de la formation aux attentes des participants.
Enfin le travail accompli a visé à faire acquérir aux participants les repères de base des techniques d’élaboration d’histoires numériques afin de repérer parmi les membres des différentes OSC présentes, des personnes suffisamment qualifiées pour former et encadrer d’autres membres des organisations intéressées et ceci à l’échelle mondiale.
Dans cette perspective, il est à espérer que ce document contribuera à consolider les acquis de cette session et de faciliter le travail de diffusion par les participants, mais aussi de jeter les bases d’un réseau performant, pour promouvoir et défendre les intérêts des populations n’ayant pas un accès formels aux TIC.
Rapport rédigé par Emmanuel BIKOBO, Aristide EYINGA et Serge KUATE
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I- DEROULEMENT DE LADEROULEMENT DE LA SESSION
Lundi 25 janvier 2010Lundi 25 janvier 2010
Ouverture de la session : Commençant aux environ 09h15, la session de formation a dû se plier à la traditionnelle cérémonie d’ouverture sous la direction de M. Aristide EYINGA coordonateur de l’atelier.
L’allocution du Secrétaire Général de PROTEGE QV (M. Avis MOMENI) a suivi. Il a souhaité la bienvenue aux participants, particulièrement aux formateurs envoyés par APC et a consacré l’essentiel de son intervention à mieux situer les enjeux de cette formation pour les Organisations de la Société Civile (OSC). Il a fait un bref tour du contexte global, avant de féliciter et remercier les déclencheurs de cette session à savoir APC et PROTEGE QV.
Afin de donner la parole aux participants la parole pour une brève présentation, de présenter le programme des cinq (05) jours, les objectifs de cette session ainsi que les modalités à suivre, Emmanuel BIKOBO prit la parole.
Présentation des participant(e)s
Il a procédé d’abord à la présentation des participant(e)s qui est un moment fort de socialisation, de nature à contribuer positivement à la réussite de la formation.
Chaque participant a eu l’opportunité de se présenter personnellement, de présenter son organisation et de dire s’il a une expérience de plaidoyer et de digital story telling.
Découverte des attentes et appréhensions des participant(e)s, des objectifs et des résultats attendus de la session
Attentes et appréhensions : Brainstorming, échanges et propositions spontanées entre participant(e)s autour de ces aspects.
Les participants après un brainstorming de quelques minutes ont exprimé les attentes suivantes :
i) Comprendre les concepts du plaidoyer,ii) Connaître les techniques de plaidoyer,iii) Déterminer des thèmes pertinents de plaidoyer,iv) Maîtriser l’art de raconter des histoires en y associant des imagesv) Connaître les techniques de montage vidéovi) Mettre en pratique les connaissances acquises,
Mais également les préoccupations ou craintes ci-dessous :
i) Manque de suivi, ou que cette session ne soit pas une de trop.ii) Manque de concentration des participants,iii) Complexité et risque de théorisation des concepts,
Rapport rédigé par Emmanuel BIKOBO, Aristide EYINGA et Serge KUATE
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Objectifs de la session
Plaidoyer
Contribuer à une compréhension cohérente du plaidoyer et à une meilleure maîtrise des techniques du plaidoyer
Déterminer des thèmes pertinents de plaidoyer par rapport aux objectifs des TIC. Initier les grandes lignes d’un plan d’action stratégique
Digital Storytelling
Le but premier de l’atelier était d’exploiter la puissance narrative des histoires en association avec les technologies numériques, afin d’aider les OSC à soulever des questions et faire part de leur expérience personnelle.
Montrer les techniques de narration numérique Apprendre à acquérir les images via scanner ou appareils numériques, l’audio via un
magnétophone. Montrer comment assembler le tout afin de réaliser une histoire multimédia.
Résultats attendus
Plaidoyer
• Les concepts clefs du plaidoyer, les principaux acteurs et leurs caractéristiques sont mieux connus par les OSC,
• Les OSC se sentent capable de conduire une action de plaidoyer,
• Les grandes lignes d’un plan sous régional de plaidoyer par rapport aux thèmes retenus sont initiées,
Digital Storyelling
• Les OSC se sentent capables de réaliser des histoires numériques dans un but de plaidoyer ;
• Capables de maîtriser les outils (appareils numériques, enregistreur de voix, logiciel de montage vidéo, logiciel de traitement audio et image) qui les accompagnent.
Comparaison des objectifs de l’atelier avec les attentes des participant(e)s
Sous forme de brainstorming toujours, les participant(e)s ont mis en perspective les objectifs de la session et leurs propres attentes. La comparaison à ce stade a permis aux participant(e)s de mieux évaluer les résultats de la formation à la fin de la session.
Des rappels : chaque jour, avant de passer au thème suivant un rappel du précédent est systématiquement effectué pour s'assurer effectivement que les participant(e)s ont eu une perception suffisante du sujet traité la veille. Dans tous les cas, des explications supplémentaires sont fournies pour consolider les acquis.
Rapport rédigé par Emmanuel BIKOBO, Aristide EYINGA et Serge KUATE
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Des techniques d'animation et des travaux en groupe, ainsi que des discussions ont permis aux participant(e)s de s'approprier la formation.
Dans l’après midi les participant(e)s avaient droits à un déjeuner servi par le Centre.
En fin de chaque journée, grâce à la technique de "bilan quotidien" (voir annexe) les observations, commentaires et suggestions des participants sont recueillis, débattus, en cas de besoin, intégrés à l’étape suivante de la session.
La formation débuta selon l’agenda par l’atelier 1 : le Plaidoyer
Pour des raisons méthodologiques, le module de formation a été présenté sous forme de séquences.
Séquence 1/ Comprendre le plaidoyer
Principes et méthodologie de la session : le formateur a démarré la session en mettant l’accent sur un certain nombre de points :
• L’observation stricte d’un minimum de règles de convivialité, qui s’imposent à tous dans l’intérêt de chacun et de l’ensemble. Tout au long de cette session, certains principes doivent guider volontairement le comportement au quotidien de chaque participant(e). Ces principes ont trait à la ponctualité, à l’assiduité, à la participation et à l’attention.
• La démarche méthodologique repose sur :
Une mise en confiance des participant(e)s basée sur la conviction que l'échange de connaissances et d'expériences est un important outil d'apprentissage avec la présomption que :
− chaque participant(e) à des connaissances et des expériences intéressantes,
− chaque participant(e) à sa raison propre pour assister à cette session,
− l'aspect le plus intéressant de cette formation est qu'elle fournit l'occasion de pratiquer et d'intégrer "ce qu'on a appris" à son travail et à la vie de tous les jours.
Un contrat de communication interactive entre les participant(e)s eux-mêmes, et entre ceux-ci et les formateurs /facilitateurs.
Pour aborder le concept de plaidoyer, les participants ont été invités à identifier parmi plusieurs mots, ceux qui selon eux renvoient au plaidoyer. Il s’agit ici de faire ressortir les mots clés et d’esquisser une définition du plaidoyer : le résultat de ce travail a permis de lister une série de mots clés…
Action, contrôle, capacité, suivi, méthodologie, communication, initiation, influence, intégrité, conviction, sensibilisation, intérêt…
Nous pouvons relever entre autres définitions que le plaidoyer est « l a promotion d’un message particulier et/ou d’une série d’actions afin d’influencer ou de contribuer au
Rapport rédigé par Emmanuel BIKOBO, Aristide EYINGA et Serge KUATE
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développement et à la mise en place de politiques qui allégeront les causes et les conséquences du sous développement. » C’est un ensemble de processus qui se met en place par les défenseurs d’une cause, au côté de qui peuvent se joindre des alliés, afin de porter un message vers une cible. Cette dernière est constituée de ceux qui ont le pouvoir de changer la situation décriée, ou alors, ceux qui peuvent influencer les décideurs ; Le message transmis peut se faire à travers une pression, la sensibilisation, la mobilisation et les médias,
Toutefois, il a été opportun pour le formateur de préciser que le plaidoyer n’est pas une confrontation de force, ne remplace pas les travaux de développement, et n’est pas une confrontation de force. Les différentes approches du plaidoyer ont été abordées, ainsi que ses éléments de base.
Après cette séquence la pause café a pris place aux environ de 10h50
Séquence 2/ Les étapes du plaidoyer
Elle a repris juste après la pause. Au cours de celle-ci, le formateur Aristide s’est attaché à cerner les étapes essentielles du plaidoyer.
Les 6 étapes du plaidoyer qui ont été étudiées sont les suivantes :
1. Quel est le problème du plaidoyer
Identifier le problème que l'on veut résoudre. Approfondir l’analyse pour avoir une connaissance fine du contexte et de l'ensemble des éléments interférant directement ou indirectement, dans la prise de décisions.
2. Comment en savoir plus sur le problème
Évaluer les risques encourus dans le cadre du plaidoyer et les dispositions à prendre pour se prémunir ou tout au moins atténuer de tels risques. Bâtir une argumentation solide et suffisamment convaincante : cela suppose une bonne capacité de recherche et d'analyse professionnelle pour établir des faits détaillés, précis, clairs et irréfutables.
3. Quelle vision pour la campagne, quels objectifs ?
En plaidoyer, les objectifs se déclinent en termes de résultats escomptés. Tout travail de plaidoyer vise à passer d'une situation non désirable à une situation désirable par rapport aux valeurs que l'on défend. Que recherche t on à obtenir ? Quelles sont les valeurs à défendre ? La notion de valeur, elle-même, dépend de la culture, de l'identité d'une société. Elle est relative et dépend du contexte de référence. Certaines valeurs sont immuables, d'autres sont susceptibles de changer avec le temps ou en fonction du lieu.
4. Identifier les acteurs
Il est important de déterminer et d'identifier les acteurs (décideurs, partenaires/alliances, cibles)
5. Quelle stratégie utiliser ?
Que veut-on dire ?Pourquoi le dire ?A qui le dire ?Comment le dire ?
Rapport rédigé par Emmanuel BIKOBO, Aristide EYINGA et Serge KUATE
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Quand le dire ?
6. Comment évaluer et surveiller le succès de la campagne.
Cette partie de l’atelier aura été très discutée et malgré le temps les échanges ont été fructueux de l’avis du formateur.
Atelier 2 sur le Digital Storytelling
Séquence 1 /Introduction au Digital Storytelling for advocacy
Aux environ 15h, l’atelier débuta avec une petite animation dirigée par Mme SIYAM présidente de PROTEGE QV dans le but d’éveiller les participants.Juste après, LEBO MARISHANE animatrice de cet atelier, a situé les participants très attentifs, sur la méthode de travail et ce qu’elle attend d’eux. Elle précisa que la réalisation d’histoires numériques est une initiative unique permettant de sensibiliser et d’informer la communauté par le biais des images.
De cette séquence on retiendra que le Digital Storytelling est la moderne expression de l'art ancien de conter. Depuis qu'elle existe, l'humanité a su cultiver l'art de raconter des histoires. Un art partout au cœur du lien social. Mais depuis les années 1990, aux États-Unis puis en Europe, il a été investi par les logiques de la communication et du capitalisme triomphant, sous l'appellation anodine de « storytelling ».
Les histoires numériques ont une durée de 02 à 06 minutes le plus souvent racontées à la première personne, enregistrées avec votre propre voix, illustrées surtout avec des images fixes et une piste de musique en option pour ajouter tonalité émotionnelle.
Elle a insisté sur la manière de raconter une histoire et comment le faire. Elle acheva cette séquence par un exercice à faire à la maison et qui consistait à la rédaction sur une feuille d’un script personnel visant à dénoncer un fait dans un but de plaidoyer.
Cette journée s’est achevée par un bref rappel effectué par le facilitateur. Ce rappel a été suivi par l’évaluation quotidienne à chaud (voir annexe), que les participants sont chargés de remplir avant de disposer du reste de la journée.
Mardi 26 janvier 2010Mardi 26 janvier 2010
Séquence 2/ STORY CIRCLE
La journée a débuté par le rappel matinal des étapes franchies. Ce rappel a été fait par Aristide EYINGA et par l’ensemble des participants.
Par la suite, les participants ont restitué le résultat du travail fait à la maison. LEBO assistée de Sylvie NIOMBO, les a aidé et permis d’arranger leur script afin qu’il répond aux normes de l’art.
Pour appuyer ses propos, la formatrice a fait suivre aux participants une série de séquences vidéo. Sur la base de ces derniers, une analyse a été menée par les participants dans le
Rapport rédigé par Emmanuel BIKOBO, Aristide EYINGA et Serge KUATE
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but de leur montrer et de leur permettre d’acquérir les notions de bases dans les techniques de narration d’histoires.
Séquence 3/ RECORDING SCRIPT
Après la pause, les participants ont appris lors de cette séquence, à élaborer des scénarios. Ils ont essayé de développer leur propre style pour exprimer leurs sentiments. C’est aux environ de 15h que chaque participant assisté par Emmanuel BIKOBO, a enregistré son histoire au moyen d’un magnétophone.
La journée s’acheva comme à son accoutumé par une évaluation journalière.
Mercredi 27 janvier 2010Mercredi 27 janvier 2010
Cette journée débuta par le récapitulatif de la journée précédente, par l’ensemble des participant.
Les participants ont travaillé sur le story-board, pris des photos pour repérer les images permettant d’illustrer leur histoire. Ils ont été initiés aux principes de la conception/manipulation d’images.
Séquence 4/ COLLECTED PICTURES + SCANNING
A cette séquence il a été demandé à chaque participant de rassembler des images pour illustrer son histoire. Plusieurs outils (appareils photos numériques, scanner) ont été mis à leur disposition.
Afin d’avoir des images illustratives, les participants se sont entraidé autant qu’ils le pouvaient, en prenant des photographies et en scannant des photos dans une ambiance vraiment agréable. Ceci sous la direction de LEBO, Balbine TSAFACK et surtout de Sylvie NIOMBO.
Séquence 5/IMAGING
Ayant réuni les images leur permettant d’illustrer leur histoire, les participants sont entrés dans la phase de traitement de l’image sous Microsoft Office Picture Manager. Ils ont appris a :
Exploiter une image en utilisant l’outil « Rogner » Exporter une image traitée afin d’éviter d’écraser l’image source.
Séquence 6/Utilisation de Windows movie maker
Elle débuta avec la présentation du logiciel de traitement vidéo movie maker
L’animatrice a fait un bref aperçu des fonctionnalités de ce logiciel en insistant sur :
La présentation de la table de montage séquentiel La piste audio/musique et la piste titre La présentation des transitions et des effets vidéo.
La journée comme à l’accoutumé, s’acheva par une évaluation journalière.
Rapport rédigé par Emmanuel BIKOBO, Aristide EYINGA et Serge KUATE
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Jeudi 28 janvier 2010Jeudi 28 janvier 2010
La quatrième journée fut consacrée totalement à l’assemblage de tous les éléments recensés pour faire un excellent montage vidéo et sur un exercice pratique sur le plaidoyer.
Séquence 7/FINALISE MOVIES
Les participants sous la direction de LEBO et Sylvie ont finalisé autant que faire ce peut leur histoire multimédia. Le travail n’est pas allé à son terme faute de temps, mais renvoyé au lendemain.
Après le repas de l’après midi, nous sommes rentrés dans la suite de l’atelier 1 sur le plaidoyer.
Séquence 3/Exercice pratique sur le plaidoyer
Avant de passer la parole à Aristide, Serge KUATE nous a fait visionner une séquence vidéo (Envoyé spécial, une émission de TF1, chaîne de télévision Française) ayant trait au plaidoyer sur les pratiques de pédophilie dans la région du Sud Cameroun (KRIBI).
Un peu plus tard, il s’est agi de mettre en pratique les notions sur le plaidoyer pour faire un montage vidéo adapté aux TIC.
Le formateur, Aristide EYINGA, après avoir fait un exposé sur l’accès universel et les potentialités du pays en ce qui concerne les TIC a réparti l’assistance en trois groupes de travail pour concevoir des histoires numériques sur des thèmes de TIC. C’est ainsi que ces groupes ont été constitués, chacun travaillant sur le coût, le savoir-faire et la disponibilité des TIC. Le travail de ces groupes n’est pas allé à son terme faute de temps, mais les responsables devaient poursuivre l’enregistrement de leurs histoires. Par la suite, les participants ont eu une séance de travail sur la nécessité de se mettre en commun dans le cadre d’un réseau pour les TIC dans notre pays. Les organisations présentes ont marqué leur accord à se retrouver dans d’autres circonstances pour poursuivre ce travail.
Vendredi 29 janvier 2010Vendredi 29 janvier 2010
La journée de vendredi a été essentiellement basée sur la finalisation des histoires numériques de chaque participant et sur l’enregistrement des fichiers. Le point focal sera tout de même la projection des histoires numériques. Tout se déroule dans une ambiance de joie et de célébration. Nous nous séparons sur un repas fraternel et après la séance photo d’ensemble.
Rapport rédigé par Emmanuel BIKOBO, Aristide EYINGA et Serge KUATE
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II. PRINCIPAUX RESULTATS DE L’EVALUATION DE LAII. PRINCIPAUX RESULTATS DE L’EVALUATION DE LA SESSIONSESSION
Auto évaluation quotidienne
Chaque jour les participants sont invités à remplir une fiche individuelle pour donner leur appréciation du déroulement de la formation au cours de la journée de référence (voir fiche de bilan quotidien en annexe)
Les résultats suivants ont été atteints au cours des cinq jours de formation :
LUNDI 25/01/10 : 12 participant sur 15
ATELIER1 : CONCEPT DE PLAIDOYER
A / Satisfait : 9
B / En attente : 3
C / Pas satisfait : 0
ATELIER 1 : ETAPES DU PLAIDOYER
A / Satisfait : 10
B / En attente : 2
C / Pas satisfait : 0
ATELIER1, ETUDE DE CAS
A / Satisfait : 5
B / En attente : 6
C / Pas satisfait : 1
ATELIER 2 : INTRODUCTION TO DIGITAL STORY
A / Satisfait : 8
B / En attente : 4
C / Pas satisfait : 0
Fiches invalidées : 3
MARDI 26/01/10 : 11 participants sur 14
ATELIER 2 : STORY CIRCLE
A / Satisfait : 10
B / En attente : 1
C / Pas satisfait : 0
Rapport rédigé par Emmanuel BIKOBO, Aristide EYINGA et Serge KUATE
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ATELIER 2 : RECORDING SCRIPT
A / Satisfait : 10
B / En attente : 1
C / Pas satisfait : 0
MERCREDI 27/01/10 : 9 participant sur 15
ATELIER 2 : IMAGING
A / Satisfait : 9
B / En attente : 0
C / Pas satisfait : 0
ATELIER 2 : COLLECTED PISTURES+SCANNING
A / Satisfait : 6
B / En attente : 3
C / Pas satisfait : 0
ATELIER 2 : MOVIE MAKER
A / Satisfait : 9
B / En attente : 0
C / Pas satisfait : 0
JEUDI 28/01/10 : 7 participant sur 15
ATELIER 2 : FINALISE MOVIES
A / Satisfait : 3
B / En attente : 3
C / Pas satisfait : 1
ATELIER 2 : SCREEN MOVIES
A / Satisfait : 4
B / En attente : 2
C / Pas satisfait : 1
EXERCICE PRATIQUE SUR LE PLAIDOYER
A / Satisfait : 4
B / En attente : 2
C / Pas satisfait : 1
Rapport rédigé par Emmanuel BIKOBO, Aristide EYINGA et Serge KUATE
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La quasi-totalité des participants est satisfaite de la session de formation et semble avoir bien compris les concepts et les techniques de plaidoyer et de digital story dans leurs grandes lignes.
La seule personne qui ne soit pas satisfaite (le dernier jour de la session) est probablement celle qui est arrivée le second jour après le démarrage de la session. Mais cela n’est qu’une hypothèse dans la mesure où les fiches sont anonymes.
Evaluation finale selon les Fiches
passable Assez bien bien Très bienAtteinte des objectifs
1 6 5
Résultats et attentes
1 1 7 3
Contenu de la session
1 7 4
Durée de la session 1 2 5 3Méthode d’animation
2 1 5 4
Qualité des débats et échanges
1 1 7 3
Organisation et conditions matérielles
1 8 3
Utilité de la session 5 4Acquisitions à la fin de la session
9 2
Rapport rédigé par Emmanuel BIKOBO, Aristide EYINGA et Serge KUATE
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III. CONCLUSIONIII. CONCLUSION
BILANSelon les objectifs définis, le bilan est positif dans l’ensemble.
BESOINS D’APPRENDRE
Manipuler les voix, masquer les visages des individus, utiliser les dessins, mettre de la musique en arrière fond, le montage et l’édition, plaidoyer ; la mise en forme des effets et autres gadgets d’amélioration, l’exportation des sons, comment ressortir les thèmes de plaidoyer débattus pendant la session, plus de pratique, modifier mon fichier audio grâce à audacity.
DIFFICULTES
Absence de support de travail, montage et édition, manuel de travail, le cheminement pour le montage, manque d’appareil photo numérique
PERSPECTIVES
Cette session aura été plus efficace si :
o On l’organisait par région
o Elle était plus longue
o On préparait d’avance les images
o On avait associé la théorie à la pratique
o Tous les participants avaient une bonne maîtrise de l’outil informatique
o Nous avions eu le temps de visionner les vidéos et fait assez de remarques
Rapport rédigé par Emmanuel BIKOBO, Aristide EYINGA et Serge KUATE
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ANNEXEANNEXE
Liste Des Participants Et Contacts
ORGANISME NOMS ET PRENOMS MAILAAW/AZUR NIOMBO SYLVIEWOMENSNET LEBO MARISHANELEARNING BY DOING POUANI ELIE [email protected]/ACSIS NKOH ROSETTE MEKONG [email protected] COLETTE MERLINE [email protected]
mHOWAC Cameroun ASAHNGWA Constantine [email protected] KITIO GUY [email protected] VILLAGE CAMEROON (GVC) Ydé
NDAGHA SHIRLEY BROWN OYIAKAH
CEFEPROD/YDE NDUNDAT BERTRANDPROTEGE QV AVIS MOMENI [email protected]
rgPROTEGE QV EYINGA EYINGA LAURENT
PROTEGE QV KUATE KENGNE SERGE [email protected]
PROTEGE QV BIKOBO EMMANUEL [email protected]
PROTEGE QV DAHO SERGE [email protected]
PROTEGE QV TSAFACK OLGA BALBINE [email protected]
PROTEGE QV YANDZ ALFRED [email protected]
Bilan quotidien
Photos de groupe
Rapport rédigé par Emmanuel BIKOBO, Aristide EYINGA et Serge KUATE
Activités
