DEL'INSTITUTBIBLIQUE

DE NOGENT

Juin 2006 - N° 132

Commentprépareret conduireune étude biblique…

Publication de l'Institut Biblique de Nogent39, Grande Rue 94130 Nogent-sur-Marne

Directeur de la publication : Jacques-Émile BlocherRédaction : Marie-José Maré, Conseillers à la rédaction : Y. Blocher, A. Pownall

Revue trimestrielleAbonnement : 15 €/an Prix du numéro : 3,75 €CCP : Institut Biblique de Nogent - Paris370 64 T

Impression : Imprimerie HenryMontreuil-sur-MerMaquette et illustration de couverture :Jacques Maré - 77186 NoisielDépôt légal : Juin 2006 ISSN 1156-3826

Sommaire

Comment préparer et conduireune étude biblique . . . . . . . . . . . .3

Sur le «bloc-notes» de la direction . . . . . . . . . . . . . . .14

Cours publics . . . . . . . . . . . . . . . .16

Séminaires ouverts . . . . . . . . . . .18

Infos I.B.N. . . . . . . . . . . . . . . . . . .20

Revue de livres . . . . . . . . . . . . . .20

La lettre de famille . . . . . . . . . . .22

Séminaire d’islamologie . . . . . . .24

Cet article se limite à présenter quelques éléments ducours donné à l’Institut. Celui-ci, en classe, est ponc-tué d’exercices pratiques et d’études présentées par

les étudiants. Ces lignes ont pour but de donner un avant-goût du cours ! On y trouvera des « canevas », des tableaux,et quelques exercices. Mais que ni le titre, ni les aides pra-tiques, ni l’analogie culinaire… ne fassent penser qu’il s’agi-rait de recettes qui permettraient à coup sûr de réussir danscette activité ! Nous espérons que cet aperçu contribuera àencourager nos lecteurs à toujours approfondir leur pratiquede l’étude biblique en Église…

Commentprépareret conduireune étudebiblique…

Le temps d’une journéeVoici quelques photos prises lors de notre journée Portes Ouvertes. Vouspouvez sur notre site visionner quelques mini-vidéos de cette rencontre...

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I T O

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Réactions de la salle

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D’emblée, il faut le dire : l’étude biblique n’estpas une prédication délivrée à un petitgroupe assis de façon détendue dans demoelleux fauteuils autour d’une petitetable de salon !

Si la prédication relève plus particulièrementde la fonction prophétique, celle du porte-parole du Seigneur proclamant l’actualitéde l’interpellation de Dieu, la préparationet la conduite d’une étude biblique nousparaît quant à elle relever du domaine de« l’enseignement ». L’étude est assurée parun « maître » qui guide de façon progres-sive des « élèves », vérifie le degré d’assi-milation des acquis, et enseigne plutôtqu’il n’interpelle. Ainsi parlerons-nous de

conduite d’une étude biblique pour insis-ter sur le rôle d’autorité qui incombe à l’en-seignant, lequel dépasse à notre point de

vue un simple rôle d’animation. Sil’étude de la Parole de Dieu estvivifiante, c’est parce que l’Espritde Dieu le Père parle par sonmoyen et nous révèle le Fils,notre Seigneur Jésus-Christ. Lamission du berger est de condui-re les brebis vers les verts pâtu-rages, à la suite du souverainBerger et dans la fidélité à larévélation du Père.

Dans le Nouveau Testament, en plus du verbeenseigner, cinq termes désignent l’actiond’expliquer, d’interpréter, d’ouvrir l’intel-ligence afin de comprendre les Écritures.La vie avec Jésus n’a pas mystiquement « ino-culé » aux disciples la « science infuse ».Ils avaient besoin que leur Maître leur ex-plique sa Parole : « les disciples s’appro-chèrent de Jésus, et dirent : explique-nousla parabole… » (Mt 13.36 ; 15.15)… Auxdisciples sur le chemin d’Emmaüs « com-mençant par Moïse et par tous les prophètes,Jésus (...) expliqua dans toutes les Ecrituresce qui le concernait… ». Et après l’avoir re-connu, les disciples de s’exclamer : « Notrecoeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous,lorsqu’il nous parlait en chemin, et lorsqu’ilnous expliquait les Écritures ? » (Lc 24.27et 32).

Souvenons-nous de l’apôtre Paul. Allant delieu en lieu, c’est d’abord les Juifs de la sy-nagogue qu’il a enseignés, leur montrant

comment toutl’Ancien Testa-ment annonçait lavenue de Jésus…Il nous est aussirapporté que « lesBéréens qui reçu-rent la parole avecbeaucoup d’em-pressement exa-minaient chaquejour les Écritures,pour voir si cequ’on leur disaitétait exact » (Ac17.11). Que diree n c o r e d e l a« stratégie » d’évangélisation du grandévangéliste Philippe : « Comprends-tu ceque tu lis ?... » et l’eunuque Éthiopien delui répondre : « Comment comprendrais-je si personne ne me guide ? » (Ac 8.30).

Ça dit peut-être «oui» dans la version française,mais en grec, ça veut dire «non» !!

Tiré de Crises de foi, PUB, 1992

Comparez Ac 8.30-39 à Ac 2.14-36 et Lc 24.27, 32 à Lc 4.16-21, Jr 7.2-4 à Ga 3.6-11. Quelstextes se rapportent à votre avis au genre « étude biblique » ou au genre « prédication » ? Expliquezles raisons de votre choix.

Des quatre persévérances qui caractérisent la pratique communautaire des premiers chrétiens(Ac 2.42), quelle est celle qui est placée en tête de liste ? Quelle est selon vous la raison de cechoix ?

C.H. Spurgeon prêchant au Tabernacle de Londres en 1890

1. Vous avez dit : « Étude biblique » ?

À une époque où les chrétiens déploient par-fois beaucoup d’ingéniosité pour amenerleurs contemporains à s’intéresser à Jésus,notre démarche paraîtra sans doute à cer-tains par trop dépouillée. Nous croyons ce-pendant que l’étude biblique communautaireest encore aujourd’hui le fer de lance del’évangélisation comme de l’édification duchrétien. Car la Parole de Dieu est une nour-riture (1 Co 3.1-2 ; 9.7 ; 1 P 2.2 ; Ps 119.103,Mt 4.4), elle est semence et vie (Mc 4.14, Hb4.12), elle éclaire et irrigue (Ps 110.105, Es

55.10), plus précieuse que l’or et l’argent(Ps 12.7). Elle est aussi un miroir qui nousrévèle qui nous sommes (Jc 1.23), pournous purifier (Jn 15.3). Parce qu’elle est vé-rité (Jn 17.17), elle tranche jusqu’au plus pro-fond de notre être (Hb 4.12), capable de bri-ser tout rocher qui ferait obstacle à lavéritable liberté à laquelle elle donne ac-cès (Jr 23.29, Jn 8.31-32). Cette parole ne re-vient pas à Dieu sans avoir produit son ef-fet (Es 55.11).

Expliquer et non proclamer,enseigner plutôt qu’animer

1.2. Expliquer la Bible : quelques exemples tirés du Nouveau Testament

Cette « étude de terrain » nous pousse d’abordà reconnaître le contexte « incarné » danslequel la Parole a été transmise, à considé-rer les temps et les lieux, les circonstanceset les buts qui ont orienté la rédaction dutexte, sous l’inspiration de Dieu lui-même.Comme l’eunuque, nous nous demande-rons « de qui parle le prophète » et non quelest le sentiment qu’éveille en nous tel ver-set, au mépris du sens général et natureldu texte. Nous porterons une attention de...botanistes tant aux interactions du milieusur le sujet étudié qu’au sujet en tant quetel. Nous serons sensibles aux formes delangage, et puiserons dans l’archéologie toutce qui nous permettra de bien nous « re-

présenter » ce qu’avait à l’esprit le rédac-teur inspiré. Nous ne ferons pas fi de la vo-cation première de la Bible : révéler qui estDieu et son œuvre de Rédemption en Jé-sus-Christ ! Cela nous conduira à prendreen compte à la fois le caractère progressifde la révélation divine et à considérercelle-ci dans son ensemble.

Le but de l’observation, c’est de com-prendre ce que « le texte dit », avant de sai-sir ce qu’il « me dit », de crainte de fairedu texte un « prétexte ». Conjurons autantqu’il est possible le risque, au lieu de la servir,de nous servir de la Parole de Dieu pour dif-fuser nos propres pensées !

À nous d’incarner l’âne de la parabole de Jacques Faizant1,« cet âne qui a soif... et qui boit longuement, avec joie et vo-lupté, à côté de son congénère. Non pas pour donner le bonexemple, mais parce qu’il a fondamentalement soif, vrai-ment, simplement soif perpétuellement soif. Unjour, peut-être, son frère, pris d’envie, se de-mandera s’il ne ferait pas bien de plon-ger, lui aussi, son museau dans le ba-quet d’eau fraîche. »Mais au juste, avons-nous vraiment soif ?Ou plutôt : sommes-nous des assoif-fés qui avons trouvé la source del’eau qui désaltère vraiment et quin’avons qu’un désir, celui de la faireapprécier à d’autres ?

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1.3. Étude inductive et suivie de la Bible

On a coutume de distinguer deux grandstypes d’étude biblique : l’étude déductive etl’étude inductive. Alors que l’étude déduc-tive part des informations les plus généralespour en déduire des faits particuliers, la dé-marche inductive remonte, elle, du parti-culier au général. Pour illustrer cette diver-sité d’approche, osons une comparaison :imaginez que vous vous preniez de passionpour les grenouilles et que vous vouliez encomprendre l’existence. Deux possibilitésprincipales s’offrent à vous : le première estde lire tout ce qui a été écrit sur la vie deces batraciens pour en déduire ensuite desconsidérations particulières. Vous saurez alorsdisserter savamment sur la vie de ces créa-tures, sans nécessairement en avoir jamaisrencontré une ! La seconde est de vous rendreau bord d’une rivière et d’y observer le dévelop-

pement du têtard jusqu’au stade adulte. Peut-être serez-vous conduit, à opérer quelquedissection pour voir comment se présentela bestiole au plus profond de ses en-trailles !... et votre science se construirasur le détail de ce que vous aurez vu et tou-ché.

C’est ce second type d’approche, expérimen-tal en quelque sorte, que nous adopte-rons : celui-ci nous met en contact direct avecla Parole de notre Dieu. Sans négliger ce qued’autres avant nous ont reçu à son écoute,c’est elle que nous voulons assimiler pourvivre en fils et fille du Dieu de grâce, maisaussi pour en conduire d’autres vers sa connais-sance. Rien n’a plus de prix que cette re-lation directe avec Celui qui se révèle à nousau moyen de sa Parole.

2. Préparer une étude bibliquePrenons l’image du repas. Avant de passer à table, cela va de soi : il faut préparer le re-pas ! Avant de s’asseoir autour de la table pour étudier la Bible, il en va de même : uneétude biblique se prépare. Une bonne étude biblique, comme un bon repas, demandedu temps. On ne devient pas grand chef d’un simple claquement de doigts !

2.1. Observer avant d’interpréter et avant d’appliquer

2.2. Prendre conscience de nos présupposés en matière d’interprétation

Il existe deux types principaux de traduction biblique : celui qui suit un principe d’équivalenceformelle et celui qui vise une équivalence « dynamique ». Expliquez ce qui différencie ces deuxapproches, soulignez le but recherché par les traducteurs pour chacune des deux méthodes, etdonnez pour chaque modèle des exemples d’éditions de la Bible (au moins un pour chaque mo-dèle en langue française).

Le linguiste Eugène Nida2 rapporte denombreuses situations où les présupposés,inconscients ou conscients, peuvent conduireà des interprétations fort éloignées de ce quiavait voulu être signifié. Il raconte parexemple comment de la vue de missionnairessouvent agenouillés devant des chaises, lesobservateurs du lieu avaient déduit logi-quement qu’ils adoraient les chaises ! Un élé-

ment leur manquait pour une juste inter-prétation... Il arrive aussi que l’on ne com-prenne que ce que l’on veut bien com-prendre ! Pour encourager ses étudiants àse coucher tôt afin d’être ensuite pluséveillés en cours, un directeur d’école bi-blique avait décrété une « extinction des feux »à 22 heures. L’annonce faite, un à un, lesétudiants allèrent s’acheter des lampes-

ÉÉttaappee nn°° 11 :: pprreennddrree ccoonnttaacctt aavveecc ll’’aauutteeuurrdduu tteexxttee

•• LLaa pprriièèrree :: que celui qui a inspiré l’auteurnous aide à le comprendre.

••LLee rrééddaacctteeuurr dduu tteexxttee : Qui est-il ? Quesavons-nous de lui ?

••CCiirrccoonnssttaanncceess ddee rrééddaaccttiioonn eett bbuutt dduulliivvrree : D’où écrit-il ? Quand ? À qui ? Com-ment ? Pourquoi ?

ÉÉttaappee nn°° 22 :: ssiittuueerr llee tteexxttee àà iinntteerrpprréétteerr

••DDéélliimmiitteerr judicieusement le texte, com-parer plusieurs traductions afin de par-tir d’un texte sûrement établi. Se trouve-t-il des mots entre crochets qui indiqueraientun passage absent des meilleurs manus-crits ?

••DDéétteerrmmiinneerr ooùù ssee ssiittuuee vvoottrree texte dansle plan général du livre biblique et dansla révélation progressive de Dieu.

ÉÉttaappee nn°° 33 :: oobbsseerrvveerr pplluuss eenn ddééttaaiill

••FFaaiirree llee ppllaann de la section et déterminerle ggeennrree lliittttéérraaiirree du texte.

••IInntteerrrrooggeerr llee tteexxttee :: QQUUII en sont les per-sonnages ? OOÙÙ se passe l’histoire ?QQUUAANNDD s’est-elle passée ? CCOOMMMMEENNTTse déroule l’action ? QQUUOOII,, quel est l’en-jeu du texte ? PPOOUURRQQUUOOII, qu’enseignele texte ? QQUUEELLLLEE en est l’atmosphère ?QQUUEELLSS EENNSSEEIIGGNNEEMMEENNTTSS apporte letexte sur Dieu, l’homme, l’Église, les re-lations sociales ?

ÉÉttaappee nn°° 44 :: pprréécciisseerr llaa ffoonnccttiioonn ddeesstteerrmmeess--ccllééssRépertorier les figures de style. Préciser lesens usuel du mot là où cela s’impose, lesens théologique ou typologique ou fi-guré des termes qui le demandent. Ana-lyser la syntaxe et les liens entre les phrases.

ÉÉttaappee nn°° 55 :: ppllaacceerr llee tteexxttee ddaannss ssoonnccoonntteexxttee hhiissttoorriiccoo--ccuullttuurreellL’archéologie peut-elle éclairer le texte ? Existe-t-il des textes non bibliques contempo-rains intéressants ? Qu’apporte la géogra-phie des lieux ? Le contexte culturel, les idéesphilosophiques de l’époque éclairent-ils lesens du passage ?

ÉÉttaappee nn°° 66 :: tteexxtteess bbiibblliiqquueess ppaarraallllèèlleess oouuccoommpplléémmeennttaaiirreessLe texte est-il expliqué ailleurs dans laBible ? Est-il une citation ? Est-il lui-mêmecité ? Possède-t-il des parallèles dans la Bible ?Connaissons-nous des textes qui évoquentle même sujet ?

ÉÉttaappee nn°° 77 :: ffoorrmmuullaattiioonn ddee ll’’iinntteerrpprrééttaa--ttiioonn eett vvéérriiffiiccaattiioonn sseelloonn llee pprriinncciippee ddeell’’aannaallooggiiee ddee llaa ffooiiEn une courte phrase, résumer le messagequ’a voulu transmettre l’auteur aux pre-miers destinataires (et non l’application per-sonnelle ou propre à notre contexte !).Qu’apprend-on sur Dieu, sur la foi, sur lapiété, sur l’homme… ? Y-a-t-il un ordre, unepromesse, une mise en garde… ? Mon in-terprétation est-elle bien en accord avec l’en-semble de la révélation biblique ?

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tempête (c’était en Afrique) pour étudierà leur lumière, une fois l’électricité coupée !Ils avaient interprété la nouvelle loi commemotivée par un souci d’économie, la situa-tion financière de l’école étant par ailleurspréoccupante.

On raconte aussi l’histoire (véridique, lit-on parfois ?) un jour arrivée à un chrétiensincère. Au cours de son « culte personnel »,ce frère supplia le Seigneur de lui donnerun message qu’il mettrait en pratique pourla journée qui commençait. Il ouvrit alorssa bible au hasard et pointa le doigt sur l’unedes lignes de la page. Il « tomba » sur Mt 27.5 :« Judas jeta les pièces d’argent… et alla sependre ». Déconcerté, il reformula saprière : « Seigneur je ne comprends pas bien,

précise ta pensée ». Cette fois-ci, son oeils’arrêta sur la fin de Lc 10.37 « Et toi, faisde même ». Toujours plus troublé, pour enavoir le cœur net, il fit une troisième ten-tative et son doigt pointa Jn 13.27 « Ce quetu fais, fais le promptement ». Soyonshonnêtes, si une promesse bienfaisanteavait surgi sous le doigt de ce chrétien bienintentionné, il se la serait appropriée sansplus. Pourtant, il n’aurait pas davantagefait justice au texte biblique !

Puisque nous mettons en oeuvre des pré-supposés et des principes herméneutiques,efforçons-nous de mobiliser des critèresconscients plutôt qu’inconscients3, et sipossible des principes à la fois conscientset justes !

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La méthode O.I.A. (Observer, Interpréter, Appliquer), familière aux « GBUssiens » et aux « Ligueurs», décompose en trois étapes le travail d’étude biblique. Établissez un tableau à 3 colonnes oùvous définirez chacune, en suivant leur ordre chronologique. Lisez ensuite le chapitre 4 du livrede Jonas, et remplissez le tableau en appliquant la méthode à ce texte.

Dressez, sur deux colonnes, une liste des outils que vous jugez indispensables ou simplementsouhaitables pour un bon travail d’interprétation biblique.

Lecteur pour jeunes LLB

2.3. Canevas d’interprétation d’un texte bibliqueCe canevas d’interprétation est une aide et non la loi des Mèdes et des Perses ! Toutesles questions ne s’appliquent pas à tous les types de textes. L’étudiant retiendra pourl’étude de son texte les questions appropriées.

7 notions à développer pour bien interpréter

1. L’AUTORITÉ4 des Écritures et leur CLARTÉ5

2. L’ÉCRITURE s’interprète par l’ÉCRITURE6

3. Le caractère HISTORICO-GRAMMATICAL7 de l’Écriture4. L’approche SYNCHRONIQUE8

5. Le caractère PROGRESSIF et HISTORIQUE9 dela Révélation qui s’incarne

6. Le caractère CHRISTOCEN-TRIQUE10 des Écritures

7. Le principe de l’ANALOGIE de laFOI11

Interprétez brièvement cette image,et énumérez les présupposés qui orien-tent vos conclusions.

1. Notez le profil du public pour qui vouspréparez l’étude

2. Donnez la référence du texte biblique àétudier et un titre pertinent à votre étude

3. Précisez les objectifs à atteindre en termesde fonction d’orientation et d’apprentis-sage (quels concepts seront à assimiler etquels résultats à atteindre)

4. Préparer desmoyens « d’ac-croche » et desexemples perti-nents reliés à lavie quotidiennede l’auditoire

5. Rédigez le plan détaillé, progressif et lo-gique de l’étude

5.1. Introduction : l’apéritif !5.2. Titre de la première partie, l’en-

trée !5.2. Titre de la seconde partie, le plat

de résistance !5.3. Titre de la troisième partie, le

dessert !5.4. Conclusion : la cerise sur le gâteau !

6. Écrivez le texte détaillé de l’étude, ainsique les questions. Notez aussi les aidespédagogiques à préparer

7. Réfléchissez à des façons de vérifierque vos objectifs auront bien été at-teints

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2.4. Rédaction des notes d’études bibliquesAprès le travail d’interprétation, qui a permis de dégager ce que le texte dit, l’étape dela rédaction structurée de l’étude peut commencer.

L’application d’un enseignement bi-blique est sa transposition à notre contexteactuel. C’est le passage de ce que letexte « dit » à ce qu’il « me dit ». Signa-lons à ce propos que certains discutentle bien-fondé même de la recherched’une application explicite. La Bible clai-rement expliquée ne touche-t-elle pas pro-

fondément le cœur du croyant et nel’engage-t-elle pas à l’action ? Tous s’ac-cordent cependant pour considérer quel’explication doit susciter des partici-pants des applications « coulant desource ». Voilà un excellent test pourmesurer si l’objectif pédagogique de dé-part est atteint !

2.5. Qualités d’une application pertinente

3. Conduire une étude biblique3.1. Deux grandes formes d’études bibliques

Complétez et classez par ordre croissant d’importance cette liste des qualités d’une “bonneapplication” d’une étude biblique.

Être bien dans la ligne de l’enseignement du texte étudiéÊtre concrète et réaliste pour notre contexte de vieÊtre exprimée de façon claire et préciseÊtre en accord avec l’ensemble de l’ÉcritureÊtre tournée vers le Dieu vivant qui donne la vie en abondanceÊtre associée à un moyen de vivre ce qui est demandéNe présenter qu’une idée précise à la fois

Les participants « voient » parfois l’intervenant comme un requin-marteau, un compresseur, un serpent, unebouée de sauvetage, un tire-bouchon, ou une baignoire (pour noyer le problème et l’évacuer) !...

On peut répartir en deux catégories les formesde direction d’une étude biblique : la formeconférence et la forme entretien. Un souci deproximité pédagogique nous fera privilé-gier la seconde, mais en insistant sur la res-ponsabilité de celui qui conduit l’étude, etsur la nécessité qu’il ait effectivementquelque chose à apporter ! Toutes lesnuances sont possibles entre une forte di-rectivité et une absolue non-directivité. Letempérament personnel entre ici en lignede compte. Prenons la peine de réfléchir auxmotifs qui nous poussent à adopter tel outel profil ! La forme entretien place le conduc-teur dans la position de guide. Elle lui fait

aussi adopter une attitude d’écoute et va-lorise les interventions qui enrichissentl’étude en commun.

Les questions posées par celui qui conduitl’étude seront claires (elles n’auront pasbesoin d’être reformulées), pertinentes (si-tuées dans le sujet étudié), adaptées à l’au-ditoire (à la portée d’un auditoire qu’elleschercheront à « tirer vers le haut »), et ou-vertes (ne sollicitant pas la simple réponseoui ou non). Il est prudent de rédiger lesquestions avant l’étude, plutôt que de lesimproviser, surtout si l’on débute ! Que l’onse défie de son éventuelle facilité de parole !

À partir de l’illustration humoristique ci-dessus, décrivez les différents profils de ceux qui peuventse trouver dans un groupe d’étude biblique. Expliquez comment vous vous comporterez enverschacun d’eux pendant le déroulement de l’étude, soit pour l’inviter à parler, soit pour le canaliserou… le stimuler à une attention plus soutenue !

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nous servir d’oreiller de paresse. Tout aucontraire : « Efforçons-nous de nous présen-ter devant Dieu en homme qui a fait ses preuves,en ouvrier qui n’a pas à rou-gir de son ouvrage, parcequ’il transmet correcte-ment la Parole de vérité. »(2 Tm 2.15).

Anne Ruolt

–––––––1 Faizant Jacques, Loew Jacques, Paraboles et fariboles, coll.Vie spirituelle, Foi Vivante, Paris, Cerf, 1993.2 Eugène A NIDA, Coutumes et cultures, Anthropologie pourMissions chrétiennes, Groupes Missionnaires, 1978, p. 17-43.3 Alfred KUEN, Comment interpréter la Bible, Vevey, Em-maüs, 1991, p. 19.4 L’Écriture est normative en matière de foi et de vie.

5 L’Écriture n’a qu’un seul sens clair, s’il existe parfois un senstypologique, celui-ci est manifeste. Nul langage codé à dé-crypter sous le texte.6 Les traditions d’Église n’ont pas le dernier mot en matièred’interprétation de la Bible. C’est l’Écriture elle-même quiest normative et décisive.7 L’Écriture est transmise selon des formes littéraires dontl’interprète tient compte, elle rapporte des faits historiques.8 Cette approche (à l’opposé de l’approche diachronique) prenden compte l’état de la langue à une époque donnée, consi-dérant qu’à chaque époque, la langue forme un système struc-turé. Il n’est par exemple d’aucune utilité pour comprendrece qu’est une « automobile » de savoir que celle-ci a le « char »pour ancêtre.9 Dieu s’est révélé de façon progressive, les livres canoniquesqui constituent la Bible ont été écrits à des époques différentes,de sorte que la révélation n’en était pas au même stade pourchacun des rédacteurs inspirés.10 L’ensemble de la Bible annonce la rédemption qui s’accom-plit parfaitement en Jésus-Christ (Jn 5.39).11 L’interprétation faite est en harmonie avec l’ensemble dela Révélation biblique (Ro 12.6).12 Albert Vianelle, TWI Tobies .

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Nous terminerons en suggérant un dernierélément à associer à l’étude biblique en Église :l’Action. C’est ce que nous appellerions laméthode O.I.AA (OObservation, IInterpréta-tion, AApplication et AAction). Si l’explicationconduit à une application pertinente, celle-ci incite à une mise en pratique active. Certes,toutes les études ne révolutionnent pas lavie de chacun de fond en comble, mais enrappelant certaines vérités, elles fortifientla foi et stimulent le dynamisme du croyant.L’étude signale aussi parfois un compor-tement, une pensée à rectifier, à laquelle ilfaudra renoncer avec l’aide et dans l’inti-mité du Seigneur. N’oublions pas queDieu a voulu l’Église pour le soutien mu-tuel des chrétiens. Parmi les élémentsconstitutifs de l’Action qui suit l’étude, ily a llaa pprriièèrree ccoommmmuunnaauuttaaiirree, mais pas seu-lement. LLee ttéémmooiiggnnaaggee ddee cchhrrééttiieennss mmûûrrssdans la foi peut être une grande source demotivation pour ceux qui sont moins as-surés dans leur marche avec le Seigneur.C’est dans le cadre communautaire que l’onpourra mmeessuurreerr lleess pprrooggrrèèss accomplis, etles encourager d’une fois sur l’autre. La sa-gesse communautaire peut aussi ccoorrrriiggeerrlleess aapppplliiccaattiioonnss erronées auxquelles l’unou l’autre pourrait s’adonner.. Après uneétude biblique où l’on aura mis en lu-mière telle ou telle difficulté chez l’un ou

l’autre, uunnee vviissiittee,, uunn éécchhaannggee pplluuss ppeerr--ssoonnnneell,, peuvent être bienfaisants. Cette ac-tion-là est uunn pprroocceessssuuss qquuii ppeeuutt pprreennddrree dduutteemmppss !Former est un travail passionnant, surtoutpour nous qui avons la plus merveilleusedes matières à communiquer : tout leconseil de Dieu lui-même ! Mais quelle res-ponsabilité que celle de transmettre et d’ex-pliquer fidèlement ce que dit le Créateur,notre Père ! Heureusement que, dans sa sa-gesse, le Seigneur nous promet de nous équi-per et de nous assister pour les tâches qu’ilnous confie ! Quel réconfort aussi de savoirque sa grâce participe à notre propre édu-cation, que si les erreurs ne nous sont pastoutes évitées, elle est encore agissantepour nous restaurer et nous faire progres-ser nous-mêmes. Mais on ne s’improvisepas enseignant, il faut s’y former puis y tra-vailler tout au long de sa vie ! Tous ne sontpas docteurs dans l’Église de Jésus-Christ !

Au terme de cette réflexion, rappelons-nous encore humblement que nous nesommes pas plus grands que notre Maître…Si l’enseignement apporté par Jésus n’apas été reçu par tous, nos meilleures pré-parations, notre piété et notre vie exemplaires(?),ne nous garantiront pas le succès ! Cette vé-rité à ne pas oublier ne doit cependant pas

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3.2 La disposition des locaux, les horaires, le programme…La disposition des participants dans le lieu où se tient l’étude biblique, l’éclairage etl’aération de la pièce sont autant d’éléments qui méritent l’attention du responsable.Le respect des horaires de début et de fin de séance encourage en particulier ceux quiont une activité professionnelle. La fréquence des études et leur horaire sont aussi àétablir de façon réaliste, en accord avec les participants, selon leurs possibilités. Un pro-gramme cohérent fait également partie de la panoplie des dispositions qui favorisentl’assiduité.

Petite bibliographie pour aller plus loinBAGOT Jean Paul, DUBS Jean Claude, Pour lire la Bible, Villiers-le-Bel, SBF, 2005, 204 p.BLOCHER Henri, La Bible au microscope - Exégèse et théologie biblique, Vaux-sur-Seine, Edifac, 2006, 318 p.DECREVEL Claude et GARDIOL Maurice, Parole partagée : préparer et animer une étude biblique, Lausanne,PBU, 1978, 120 p.Etudes et variations. Manuel d’animation d’études bibliques, Valence, LLB, 1997, 32 p. GOLDSWORTHY Graeme, Le Royaume révélé de l’Ancien Testament à l’Évangile, Cléon d’Andran, Excelsis, 2005,152 p.KUEN Alfred, Comment étudier la Bible, Braine l’Alleud, ELB, 175 p.KUEN Alfred, Comment étudier. Méthodes de travail intellectuel, Saint-Légier, Emmaïs, 2000, 90 p.KUEN Alfred, Comment interpréter la Bible ?, Saint-Légier, Emmaüs, 1991, 322 p.KUEN Alfred, Jésus, Paul et nous, formateurs, Saint-Légier, Emmaüs, 2000, 94 p.KUEN Alfred, Une Bible en tant de versions, Saint-Légier, Emmaüs, 1996, 206 p. L’art d’animer, conseils pour animer un groupe de partage et d’étude biblique, Strasbourg, Navpresse, 1984, 71 p.(épuisé)MALLISON John, Animation et gestion des groupes dans l’Église, Marne-la-Vallée, Farel, 2000, 272 p.McKIM Donald, L’interprétation de la Bible au fil des siècles, tome 1, Cléon d’Andran, Excelsis, 2005, 168 p.NICOLE Emile, «L’exégèse expliquée», Fac Réflexion n° 2, octobre 1986, pp. 3-6.PAKER James, «L’herméneutique et l’autorité de la Bible», Hokhma n° 8, [1978], p. 9.STOTT John, Comprendre la Bible, Mulhouse, CCCM, 1997, 215 p.

Webographie : ressources internet utileshttp://fltebiblio.over-blog.org (tout nouveau blog de la bibliothèque de la FLTE)http://www.eglisedutabernacle.org voir sous liens, e-theologiehttp://www.gbu-france.org/bible/oia.htmlhttp://tilz.tearfund.org/webdocs/Tilz/Guide%20our%20steps/Guide%20our%20steps_FNew%20studies.pdf

Conclusion :

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L’engouement invraisemblable sus-cité par le Da Vinci Code, à grandrenfort de marketing, est un symp-

tôme parfait, sans être le seul, de la façondont s’oriente la quête spirituelle denos contemporains : attraction sponta-

née vers les véri tésoccultes, goût immodéréde « théories du com-plot » cousues de filblanc, scepticisme sansfaille, en revanche, enverstoute doctrine un tantsoit peu éprouvée par letemps, surtout quandcelle-ci émane d’une ins-titution ecclésiale. Les

Églises s’efforcent avec beaucoup d’à-propos de saisir au rebond la balle del’actualité, pour le témoignage, afin quele Saint-Esprit en éclaire quelques-uns.Très souvent cependant, c’est la construc-tion même des personnalités qui est encause. La résistance que des esprits parailleurs si crédules opposent à la foibiblique plonge ses racines dans un ter-reau fait d’ignorance satisfaite, de contes-tation irrépressible de l’autorité légitimeet de recherche impatiente de la réalisa-tion de soi. Ainsi, plutôt que de consen-tir l’effort persévérant et ingrat querequiert la connaissance, l’intelligenceabdique devant l’excitation d’une révé-lation efficacement fabriquée.

Ce constat n’est pas dépourvu d’ensei-gnements pour un institut biblique. Onmesure bien, à la lumière de phéno-mènes comme celui que nous observons,l’abîme qui sépare ces élans de religio-sité des exigences d’un programme d’en-seignement qui vise à encourager une foivivante et réfléchie. Le contraste estaveuglant entre l’appétit contemporainde révélations à sensations (aux diverssens du terme !), et le message de l’Évan-gile, immédiatement accessible certes,mais riche d’une profondeur qui appel-le de notre part une assimilation lente etrecueillie. Cet écart ne simplifie pas latâche de communication qui est celle desinstituts. Difficile de recourir aux tech-niques du marketing, car celles-ci sur-fent, précisément, sur la vague de l’es-prit du temps ! Nos moyens restreintsnous préservent d’ailleurs de bien destentations à cet égard... Mais nousdevons réfléchir aux reformulationsnécessaires, afin de convaincre, souventà contre-courant, de l’importance crucia-le d’un enseignement biblique complet.Combien il est fréquent, en effet, quenous discernions chez nos interlocu-teurs, jusqu’au sein des Églises, uneimpatience (tellement contemporaine !)qui est au fond incompatible avec l’idéemême de formation par l’étude. Soyonsdonc, tous ensemble, les promoteursd’un enseignement biblique durable, c’est-

Sur le « bloc-notes » de la direction

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à-dire d’études denses vécues dans lecadre privilégié qui est celui de la viecommunautaire.

Au moment où le flot des dossiers commen-ce à grossir pour la rentrée prochaine, il estutile que notre prière prenne conscience,tout à nouveau, de la mission capitale quiest celle des écoles bibliques. La journée« Portes Ouvertes », qui avait lieu le same-di 13 mai, est chaque année une étapeimportante de la préparation de l’année àvenir. Celle-ci fut l’occasion de bien deséchanges fructueux. Du début à la fin dela journée, près de quatre-vingts visiteursse sont pressés dans les salles de cours etautour de l’abondant buffet servi pour ledéjeuner. Venus d’Alsace ou de Provence,plusieurs s’étaient levés bien avant l’auro-re pour venir constater de visu de la vie réel-le d’un Institut biblique. Prionspour que les projets discutéss’affermissent, et se concrétisentselon la volonté du Seigneur.Mais si cette « P.O. »-là resteramémorable, c’est aussi parceque nos visiteurs ont été dissua-dés de nous quitter aussi rapi-dement qu’ils l’auraient souhai-té... À l’extérieur en effet, lagrêle s’abattait en rafales mena-çantes sur la ville de Nogent etses environs immédiats. Malgréle parapluie du grand cèdre, le campus del’Institut était sous la mitraille. Si les toituressont restées en place, au bâtiment B, les éva-cuations obstruées par les grêlons ont étéimpuissantes à empêcher les trombes d’eaude s’engouffrer à l’intérieur. Ainsi, alors que

nos visiteurs se tenaient à l’abri des portesbien fermées, plusieurs, les pieds dansl’eau glacée, s’activaient déjà à lutter contrela montée des eaux. Merci à Pierre et auxétudiants qui l’ont aidé de bon coeur ! Grâceà Dieu, nous n’avons enregistré ni domma-ge matériel sérieux ni noté de rhume pré-judiciable aux examens... Des photos vousdonnent une idée de ce temps fort de la soli-darité communautaire.

Les circonstances parfoisimprévisibles et toujoursvariées qu’une annéed’Institut nous donne detraverser nous font sanscesse ressentir la nécessitéde vos prières. Merci à tousnos amis pour le soutienqu’ils procurent à l’Institutsous différentes formes1. Etrendez-vous à la clôture !

J.E. Blocher______1 A ce propos, les dons reçus en réponse à l’appel associé audernier numéro des Cahiers (pour les travaux de mise enconformité de nos locaux) couvrent déjà 70% des besoins com-muniqués. Notre reconnaissance s’adresse aussi au Seigneurqui a inspiré chacun.

Déchiffrer le Code...

1716

principales d’interprétation. Proposition depistes de réflexion théologique et éthique.Cette année : Jérémie, Lamentations deJérémie, Sophonie, Habakuk.

ACCOMPAGNEMENT PIANO(1HSA)Stéphan PATINCours destiné à tous ceux qui veulentjouer du clavier (piano, synthétiseur) dansl’Église. Harmonie, technique d’accom-pagnement, improvisation, initiation auJazz. Niveaux débutant et perfectionne-ment. HHoorraaiirree sseelloonn llee ggrroouuppee ddee nniivveeaauu..

Le mardi et le jeudiGREC ET HEBREU BIBLIQUES(2HSA)Des cours de langues bibliques de diffé-rents niveaux sont donnés à l’IBN lesmardi et jeudi après-midi. Ils s’adressentaux débutants comme à ceux qui ont déjàde bonnes bases en grammaire et en voca-bulaire.

Le vendredi soirTECHNIQUE D’EXPRESSIONFRANCAISE (1HSA)Jeanne BLOCHERCe cours (dispensé en particulier) est des-tiné aux serviteurs de Dieu dont le fran-çais n’est pas la langue maternelle. Il a pourobjet la technique d’expression françaisepour la parole publique en Église. Il com-porte 2 volets : expression écrite et expres-sion orale.EEnnttrree 1199hh1155 eett 2211hh4400 (cours individuelsde 45 minutes) sur rendez-vous.

Le samediÉVANGILE DE MATTHIEU (1HSA)Paul APPÉRÉddee 99hh0000 àà 1122hh0000Après avoir considéré le contexte et les cir-constances de rédaction, nous nous atta-cherons à une étude suivie du texte et deses thèmes principaux. Ce cours est décen-tralisé dans les locaux de l’Église de la ruede Sèvres (au n°72) 75007 Paris.

DIRECTION DE CHORALE (0,5HSA)Margaret PETTYddee 1144hh3300 àà 1177hh3300Formation pratique pour les chefs dechoeur : techniques de direction, la répé-tition, la voix, la partition. Compétencesexigées : savoir lire une partition musica-le et pouvoir chanter, posséder son proprepupitre ainsi que le recueil « Alléluia » (dis-ponible en librairie chrétienne).

Cours publics 2006-2007Une formation adaptée à vos besoins !

Le lundi soirÉPÎTRES (1HSA)Micaël RAZZANOddee 2200hh0000 àà 2211hh4455Contenu du cours : 1, 2 Corinthiens etGalates. Après les questions d’introductionpour chaque épître, nous ferons un survoldu texte biblique en nous arrêtant sur lesdifficultés et en dégageant les applica-tions pour la vie personnelle et commu-nautaire.

INITIATION À LA RELATIOND’AIDE (1HSA)Nicole DEBRETddee 2200hh0000 àà 2211hh4455Cours sur 2 ans : on abordera cette annéel’écoute et la communication, la construc-tion de la personne et l’affectivité, l’émo-tivité (émotions, dépression, deuil, suici-de, conflits, pardon).

Le mardi soirAPOLOGÉTIQUE (0,5HSA)Lydia JAEGER, avec la participation de Henri BLOCHERDDee 2200hh0000 àà 2211hh4455« Quand on vous demande pourquoi vousespérez, soyez toujours prêts à donner desexplications » (1 Pi 3.15) : dès les premierstemps de l’Église, l’apologétique, c’est-à-

dire la défense raisonnée de la foi face auxarguments du non croyant a constituéune partie intégrante de l’annonce de l’É-vangile. Ce cours réfléchira aux fonde-ments de cette démarche, en travaillant surplusieurs apologètes influents. Nous étu-dierons en particulier les approches deThomas d’Aquin, de Blaise Pascal, deRichard Swinburne et de Cornelius Van Til.Ce cours peut être suivi seul ou en com-plément de l’espace de formation à l’évan-gélisation, assuré en partenariat avecAgapé les samedis à l’IBN (se renseignerau secrétariat).

Le mercredi soirANNONCE DE LA PAROLE (1HSA)André POWNALLddee 2200hh0000 àà 2211hh4455Communiquer la Parole de Dieu, avecclarté et puissance, à nos contemporains.Exercices théoriques et exercices pratiques.

Le jeudi soirPROPHÈTES (1HSA)Sylvain ROMEROWSKIddee 2200hh0000 àà 2211hh4455Étude des livres des prophètes dans l’ordrechronologique, en les situant dans leurcontexte historique. L’accent est mis sur laconnaissance du texte et les questions

IInnssccrriippttiioonnss eett rreennsseeiiggnneemmeennttss ::Institut Biblique de Nogent39 Grande Rue94130 Nogent-sur-Marne�� : 01.45.14.23.70� : coursdusoir@ibnogent.org

Sur simple demande undépliant/cours publics vous seraadressé.

Je souhaite recevoir le dépliant détaillé

NOM : …………………...................…………… PRÉNOM : .…….................………………………….

ADRESSE : ………..........................................................................….......…………………………………

………….......…................................................................................................…………………..

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E-mail : ………….......……………………................................................................................…

JOURNÉE SPÉCIALE : VViivvrree ddaannss uunn mmoonnddee ccrréééé ((LLyyddiiaa JJAAEEGGEERR))

llee 11eerr mmaaii ddee 99hh3300 àà 1177hh0000 aavveecc uunn ccoouurrss oouuvveerrtt àà ttoouuss ::

À partir de la lecture des deux premiers chapitresde la Genèse, on cherchera pendant cette journéeà dégager les conséquences pratiques de la doc-trine de la création pour la vie humaine. Les dif-férents aspects de la condition humaine se trou-vent ainsi éclairés par l’enseignement biblique surl’œuvre créatrice de Dieu : la religion, le travail,la finitude, la différenciation sexuée, le couple etla famille, la nourriture…

2006-2007SÉMINAIRES OUVERTS AU PUBLIC

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Loi DDuu 2266 fféévvrriieerr aauu 22 mmaarrss 22000077AAvveecc JJaanneett JJOOHHNNSSOONN eettSSyyllvvaaiinn RROOMMEERROOWWSSKKIIRéflexion théologique sur la loidans le cadre de l’alliance.Questions d’introduction auxlivres du Lévitique et duDeutéronome. Analyse destextes de loi du Pentateuquepour acquérir une connaissan-ce des institutions d’Israël.Pistes de réflexion pour l’appli-cation contemporaine des loisde l’Ancien Testament.

UNE FORMATION ADAPTÉE À VOS BESOINS !

Pour tout renseignement,

n’hésitez pas à contacter

le secrétariat pédagogique

au 01 45 14 23 72

ou par courriel :

pedagogie@ibnogent.org

TARIFS :TTAARRIIFFSS ppoouurr cchhaaqquuee sséémmiinnaaiirree ::eennttrree 118833 € eett 336655 € ((La fourchet-te de tarifs indique d’une part leprix minimal et d’autre part le prixnormal du cours : l’étudiant doitacquitter au moins le tarif minimal,mais il est invité, s’il en a la possi-bilité, à augmenter sa contribu-tion jusqu’au tarif normal).

L’Institut Biblique de Nogent offre à ses étudiants un certain nombrede cours d’orientation, essentiellement bibliques et pratiques.Depuis quelques années, nous ouvrons une partie de cet ensei-gnement à tous les chrétiens. Ces cours peuvent s’inscrire dansle cadre de la formation continue des serviteurs de Dieu, mais êtreaussi profitables à tout membre engagé dans son Église.

Actes et Épîtres ((TThheessssaalloonniicciieennss,, GGaallaatteess)) DDuu 3300 aavvrriillaauu 44 mmaaii 22000077AAvveecc MMiiccaaëëll RRAAZZZZAANNOOQuestions d’introduction au livre des Actes(authenticité, auteur, structure, circons-tances et contenu de l’écrit), survol du textebiblique (principales difficultés et applica-tion tant personnelle que communautaire).Puis approche thématique du livre (Saint-Esprit, vie de l’Église primitive, voyagesmissionnaires), portraits de Pierre, Paul etBarnabas, discours d’Étienne (Actes 7),ainsi que ceux de Paul à Athènes (Actes 17)ou à Milet (Actes 20). Concernant lesépîtres pauliniennes, nous nous limite-rons aux chapitres 1 à 5 : 1 de Galates quenous étudierons de manière approfondie,avant de nous concentrer sur les questions

d ’ e s c h a t o l o g i e d e s é p î t r e s a u xThessaloniciens.

Doctrine (DDee llaa ccrrééaattiioonn eett dduu ppéécchhéé)) DDuu 3300 aavvrriillaauu 44 mmaaii 22000077AAvveecc LLyyddiiaa JJAAEEGGEERRSaisir ce que Dieu nous révèle de ses plansen rassemblant les données des Écritures,pour élaborer une compréhension claire dela doctrine : tel est l’objectif de ce cours.Pendant la semaine, nous étudierons, defaçon approfondie, la doctrine de la créa-tion et du péché, éléments-clés de la visionbiblique du monde et de l’homme. Nousréfléchirons également aux apports scien-tifiques sur les origines et à la spécificitéde la réponse chrétienne au problème dumal.

Histoire d’Israël ((eenn 33 ppaarrttiieess,, cchhaaccuunnee ppoouuvvaanntt êêttrree ssuuiivviiee iinnddééppeennddaammmmeenntt ddeess aauuttrreess))AAvveecc BBrriiaann TTIIDDIIMMAANNÀ partir du récit biblique, on suivra l’évolution du peuple de l’ancienne alliance. Onexaminera aussi les sources archéologiques. Tous les événements sont replacés dans leplan global de Dieu.((11rree ppaarrttiiee)) :: DDee llaa ccrrééaattiioonn jjuussqquu’’àà llaa mmoorrtt ddee MMooïïsseedu jeudi 12 au jeudi 19 octobre 2006((22ee ppaarrttiiee)) :: DDee llaa ccoonnqquuêêttee ssoouuss JJoossuuéé jjuussqquu’’àà llaa mmoorrtt ddee SSaalloommoonndu vendredi 8 au vendredi 15 décembre 2006((33ee ppaarrttiiee)) :: DDuu sscchhiissmmee ((993333 aavv.. JJ..CC..)) jjuussqquu’’àà HHéérrooddee llee GGrraanndddu vendredi 9 au vendredi 16 mars 2007

20 21

Supplément bibliographiqueVous trouverez ci-dessous, la liste des livres que nous ont envoyés diverses maisons d’édition. Noustenons à remercier chacune d’elles pour ces ouvrages.

EXCELSIS/KERYGMABERTHOUD Pierre et WELLS Paul (sousdir.) ; Texte et Historicité ; Cléond’Andran/Aix-en-Provence ; 2006 ; 222 p.

FARELBRAY Suzanne ; A travers l’armoiremagique ; Marne-la-Vallée ; 2005 ; 58 p.HANLEY Jonathan ; Sexe et désir, fruitsdéfendus ou cadeaux de Dieu ? ; Marne-la-Vallée ; 2006 ; 60 p.

GALLIMARDBRAGUE Rémi ; La loi de Dieu, histoirephilosophique d’une alliance ; Paris ;2005 ; 400 p.TUBB Jonathan ; Terres de la Bible ; Paris ;2006 ; 64 p.

L’HARMATTANBRELIVET Alain ; Scouts sans frontières ;Paris ; 2004 ; 209 p.RICOEUR Paul, BLOCHER Henri, PAR-MENTIER Roger ; Herméneutique, prédica-tion, actualisation de la Bible ; Paris ;2005 ; 116 p.

LA MAISON DE LA BIBLEANTHONY Tony, LITTLE Angela ; L’oeil dutigre ; Lyon ; 2006 ; 278 p.HARRIS Joshua ; Quand le désir devienttrop fort ; Lyon ; 2006 ; 143 p.

LIBERCARRIER Michel ; Penser le sacré ;Montréal ; 2005 ; 151 p.MARCHAND Jacques ; Sagesses : Enquêtehistorique sur la recherche de l’autonomieet du bonheur ; Tome 1 - Introductiongénérale : Les Indo-Européens, les Égyp-tiens ; Montréal ; 2001 ; 327 p.MARCHAND Jacques ; Sagesses : Enquêtehistorique sur la recherche de l’autonomieet du bonheur ; Tome 2 - LesMésopotamiens, les Syriens et lesPhéniciens ; Montréal ; 2002 ; 268 p.MARCHAND Jacques ; Sagesses : Enquêtehistorique sur la recherche de l’autonomie

et du bonheur ; Tome 3 - L’idéologiebiblique, aux sources du fondamentalismeoccidental ; Montréal ; 2005 ; 595 p.QUINTIN Jacques ; Herméneutique et psy-chiatrie ; Montréal ; 2005 ; 126 p.(Collectif : revue) ; La Chair et le Souffle2006/1 ; Montréal/Neuchâtel ; 2005 ;109 p.

OLIVÉTANCHARBONNIER Gilbert ; Dieu n’est paschrétien ; Lyon ; 2006 ; 95 p.LEPLAY Michel ; Les Églises protestantes etles juifs ; Lyon ; 2006 ; 105 p.LIENHARD Fritz ; Souffrance humaine etcroix du Christ ; Lyon ; 2006 ; 104 p.

PRESSES DE LA RENAISSANCEMAXENCE Philippe ; Le Monde de Narniadécrypté ; Paris ; 2005 ; 281 p.STAUNE Jean (sous dir.) ; Science et quêtede sens ; Paris ; 2005 ; 348 p.VERGELY Bertrand ; Le silence de Dieuface aux malheurs du monde ; Paris ;2006 ; 280 p.

PRESSES UNIVERSITAIRES DEFRANCEMATTEI Jean-François (sous dir.) ; La nais-sance de la raison en Grèce ; Paris ; 2006 ;438 p.SénevéADENEY Miriam ; Femmes musulmanes ;Thoune (Suisse) ; 2005 ; 200 p.GARLOW James L. ; Une réponse chré-tienne à l’islam ; Thoune (Suisse) ; 2005 ;158 p.

SEUILMIDAL Fabrice ; Quel bouddhisme pourl’Occident ? ; Paris ; 2006 ; 445 p.

SOCIÉTÉ BIBLIQUE AUXILIAIREDU CANTON DE VAUD(Collectif) ; Concordance des Saintes Écri-tures ; Lausanne ; 1998 ; 965 p.

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BIBLI’OJESCHKE Mathias ; Histoires d’eau de laBible ; Villiers-le-Bel ; 2005 ; 186 p.RENARD Hélène ; Histoires de rêves de laBible ; Villiers-le-Bel ; 2005 ; 158 p.

CERFREYNIER Chantal ; Paul de Tarse enMéditerranée ; Paris ; 2006 ; 288 p.THEISSEN Gerd ; Le mouvement de Jésus ;Paris ; 2006 ; 364 p.

DESCLÉE DE BROUWERGRÜN Anselm ; Vie privée vie profession-nelle ; Paris ; 2006 ; 153 p.

ÉDIFACBLOCHER Henri ; La Bible au microscope(volume 1) ; Vaux-sur-Seine ; 2006 ; 311 p.

ÉDITIONS DU JUBILÉAUZENET Philippe ; Surmonter l’épreuve ;Paris ; 2004 ; 350 p.AUZENET Philippe ; Parler de l’homo-sexualité ; Paris ; 2006 ; 317 p.HAAS Henry ; La non-violence ; Paris ;2005 ; 165 p.TIBO Élodie ; L’inceste ; Paris ; 2005 ;173 p.

EMPREINTE/TEMPS PRÉSENTWILSON Patricia ; 52 prières pour femmesactives ; Paris ; 2006 ; 128 p.

EXCELSISMcKIM Donald K. (sous dir.) ;L’interprétation de la Bible au fil dessiècles ; Cléon d’Andran ; 2005 ; 166 p.TIDBALL Derek ; Conduire et construire ;Cléon d’Andran ; 2006 ; 150 p.

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CLÔTURE 2006La séance de clôture de l’Institut Biblique de Nogent,

avec remise des diplômes aura lieu llee ddiimmaanncchhee 2255 jjuuiinn 22000066 àà 1155hh0000,

dans la salle polyvalente

Notre orateur sera Jean-Claude GIRONDINCoordinateur du Département Action et Formation auprès des Églises

(un ministère d'Agapé France)

Sur le thème : EEnnttrreerr ddaannss llee ppllaann ddee DDiieeuu :: oouu ppllaann ddee DDiieeuu eettrreeccoonnnnaaiissssaannccee hhuummaaiinnee

Cette rencontre sera suivie d’une collation dans le parc.

Réservez dès à présent cette date.

Vous êtes tous

cordialement invités !

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TThhiieerrrryy AANNDDRRÉÉ nous donnede bonnes nouvelles de toutela famille. Périne, leur aînée,poursuit sans faute son parcoursau collège en classe européenne.Elle est entrée dans la pré-ado-lescence et cela entraîne quelqueschangements…Sixtine est très heureuse de sanouvelle école. Elle est en classeà horaires aménagés pour la mu-sique. Son rêve de jouer duvioloncelle… est devenu réalitépour elle. Yannick poursuit sescours de loisirs créatifs qu’elledonne chez elle, aux adultes,jeunes ou enfants. Dernière-ment, elle a proposé à certainesdames fréquentant ses ateliersmanuels, des études bibliques.Elle voit avec joie huit per-sonnes y venir régulièrement.Thierry est bien pris par l’Église.Leur assemblée (depuis cinq ans,indépendante) souhaite se rat-tacher à une famille d’Églises.Grâce à l’arrivée récente decinq familles nouvelles l’Égliserassemble maintenant soixantepersonnes environ. Cela ne vapas sans une réorganisation.

KKaarriimm eett DDiiaannee AARREEZZKKII nousdonnent de bons échos de leurvie d’Eglise : activités et répar-tition des tâches s’organisent.

L’Église s’associe à des événe-ments spéciaux tels que le Ma-rathon de la Bible et la Marchepour Jésus. Karim, tout enpoursuivant ses études à laFLTE, a souvent l’occasion deprêcher. Il s’est également in-vesti dans les études bibliquessur l’épître aux Romains. Il seréjouit de la soif qu’il discernedans le cœur de ses frères etsœurs. Il travaille à l’organisa-tion de la rencontre nationale2007 des chrétiens nord-africains.Diane remplace avec joie la se-crétaire de la FLTE en congé ma-ternité. Cependant les étudeslui manquent un peu… Elle avaitenvisagé d’assister à quelquescours, mais finalement a pré-féré remettre cela à l’annéeprochaine. Autrement, elle en-seigne les enfants. Elle est de-venue depuis quelque temps lacoordinatrice de l’école du di-manche.

EEmmmmaannuueell MMAAEENNNNLLEEIINN conti-nue ses cours de formation à

l’évangélisation. Ces cours per-mettent aux chrétiens de re-dé-couvrir que l’évangélisationn’est pas aussi compliquéequ’on le laisse parfois entendreet de les remotiver. Nos contem-porains, s’intéressant de plusen plus aux phénomènes para-normaux, Emmanuel est sou-vent sollicité pour des dîners-conférences ou débats sur l’oc-cultisme ou l’ésotérisme. À lami-juillet, il participera à laConvention nationale de France-Évangélisation. Toute la fa-mille se porte bien. Les dé-marches progressent dans larecherche d’une nouvelle mai-son.

MMaarriiee--JJoosséé MMaarréé

Mariage :MMllllee DDaannyyeePPEENNGGAAÎΖ–WWAANNGGUUEE etMM.. SSttéépphhaannee BBEERRTTHHEEAAUU,le 20 mai 2006, à Asnières-sur-Seine.

La lettre de famillePour des contacts plus profonds, des nouvelles complètes, et des occasions de retrouvailles,vous pouvez vous adresser à l’Amicale des Anciens Élèves et demander à recevoir la Gazettedes Anciens. Infos pratiques

Il y en aura pour tout le monde !

Théâtre

Table ronde

Installation de la braderie de livresPrésentation de l’IBN

2e sessionjInondations

Naissance : JJoossuuéé,, CChheenngg--HHeenn, le 7 avril 2006, chezViolette et ÉtienneKALI, en Guadeloupe.

La journée «Portes Ouvertes» a lieu chaque année...

Alors, rendez-vous l’an prochain !

Séminaire d’Islamologie

Séminaire d’Islamologie

CE SÉMINAIRE, ORGANISÉ PAR L’INSTITUT BIBLIQUE DE NOGENT,EST PLACÉ SOUS L’ÉGIDE DE LA FÉDÉRATION DE MISSIONS

EVANGÉLIQUES FRANCOPHONES (FMEF).

du 25 aoûtau 3 septembre 2006à l’Institut Biblique 39 Grande Rue94130 NOGENT S/MARNEFRANCE

A la rencontrede nos voisinsmusulmans