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THÉÂTRE durée 1h50 SAL LIN GER 19h 11.09.17 au 18.12.17 tous les lundis Coréalisation Les Déchargeurs / Rocking-Chair En partenariat avec BERNARD-MARIE KOLTÈS / LÉA SANANES

DE SAL LIN...2014) et dans Les Personnages oubliés d’Henry Le Bal (Théâtre de l’Ile Saint-Louis, 2015). Baudouin Sama / interprète Henry Formé au conservatoire du XVIème

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Page 1: DE SAL LIN...2014) et dans Les Personnages oubliés d’Henry Le Bal (Théâtre de l’Ile Saint-Louis, 2015). Baudouin Sama / interprète Henry Formé au conservatoire du XVIème

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19h11.09.17

au 18.12.17tous les lundis

Coréalisation Les Déchargeurs / Rocking-Chair

En partenariat avec

BERNARD-MARIE KOLTÈS /LÉA SANANES

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ADRESSE LES DÉCHARGEURS 3 rue des Déchargeurs 75001 PARIS

ACCÈS Métro Lignes 1, 4, 7, 11, 14, station Châtelet • sortie rue de Rivoli nos pairsRER Lignes A, B, D, station Châtelet / Les Halles • sortie Porte BergerBus Arrêt Rivoli Pont Neuf 21, 67, 69, 72, 74, 76, 81, 85 N11 et N24 Arrêt Châtelet 38, 47, 58, 70, 75, 96 Vélib Stations les plus proches : n° 1003, 7 rue Saint Denis, n° 1004, 12 rue des Halles, n° 1010, 10 rue Bouchet et n° 1009, 14 rue du Pont NeufAutolib 3 rue des Halles et 14 rue Bertin Poirée- 75001 ParisParking Q – Park Rivoli Pont Neuf – 2 rue Boucher – 75001 Paris

RÉSERVATIONSSur internet www.lesdechargeurs.fr 24/7Par téléphone 01 42 36 00 50 du lundi au samedi de 16h à 21h30

TARIFSSalle Vicky MessicaTarif plein 26 euros sur placeTarifs réduits de 10 à 22 euros uniquement sur le site internet

Soyez les premiers à bénéficier des tarifs privilégiés pour chaque spectacle sur notre site internet www.lesdechargeurs.fr dans la limite des places et quotas disponibles. Plus besoin de justificatif.

INFORMATIONS PRATIQUES

Un bijou littéraire. Des co-médiens impressionnants de vérité et ahurissants de sincérité. Un texte à la beauté acide. MEDIAPART

Un jeu tout en souplesse, en félinité, en élégance contenue ou encore en gracilité.

ATLANTICO

Emotions à fleur de peau. Un très beau texte, onirique, cru et cruel où l’intimité se dé-voile, bousculée par les senti-ments. SPECTATIF

Les comédiens sont remar-quables. Une mise en scène très musclée.

DE LA COUR AU JARDIN

L’ensemble est loin de laisser insensible avec des comé-diens absolument stupéfiants.

BULLES DE CULTURE

Un beau travail d’interpréta-tion d’un sombre texte de Kol-tès. Une très belle intensité.

ALCHIMIE DU VERBE

Une pièce riche de sens. Un jeu puissant des acteurs d’un présence remarquable.

CULT&SO

Une interprétation grave, punk et un jeu puissant d’ac-teurs. SORB’ON

Une œuvre dérangeante et magistrale. Une belle énergie et un grand moment de per-formance dramatique.

SWING FÉMININ

DISTRIBUTION Mise en scène

Léa SananesScénographie & lumières Arn’o Compositeur Mark AlbertsRegard chorégraphique Shérone Rey

Avec Mark Alberts, Claire Devere, Thom Lefevre, Mégane Martinel, Juliette Raynal, Baudouin Sama, Marie Sanson, Gabriel Tamalet

PRESSE (extraits)

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UNE CHOSE SÛRE, IL N’ÉTAIT PAS MENÉ PAR DIEU, MAIS PAS PLUS PAR LE DIABLE.

BOB DYLAN

RÉSUMÉÀ New-York, une famille voit sa vie se transformer en cauchemar : le fils prodige, surnommé le Rouquin, se suicide sans raison apparente… Alors que les Etats-Unis entrent de nouveau en guerre, cette famille se trouvera, à l’image de son pays, projetée dans sa propre violence.

A PROPOS DU SPECTACLE...Sallinger raconte la descente aux enfers d’une famille, frappée par la mort inexpliquée du fils admiré de tous : Le Rouquin. Alors que celui-ci ressurgit du monde des morts pour régler ses derniers comptes avec les vivants, les Etats-Unis entrent à nouveau en guerre. Cette famille, sans nom, qui regardait la misère du monde, perchée en haut de son gratte-ciel protecteur, sombre alors dans le monde d’en bas, celui où son existence ne semble plus lui appartenir. Sallinger n’est pas seulement un texte théâtral, c’est la métaphore d’une vie où la mise en scène de sa propre mort apparait comme la seule issue face à l’ineptie du monde moderne. Monter Sallinger, ce n’est pas simplement s’emparer d’une pièce qui resterait extérieure à soi, c’est aussi, et surtout, faire corps avec un texte qui inlassablement, vous attire à lui pour vous repousser encore plus violemment après. Petits et grands errent. Tous,ils pataugent tous sous un ciel bouché.

Léa Sananes

Dans les plaques de neige à demi-fondue de New-York, la grande ville. Dans le fouillis des rues sans per-spective. Dans les boîtes de nuits où toutes les filles sont belles. Sur les splendides parquets d’appartement coincés. Alors, bien sûr, il traîne des suicides et des folies et plus loin dans le monde les meurtres gigan-tesques du Vietnam et de la Corée. À l’écart de tous les piétinements, le Rouquin, déjà mort, sourit.

Bruno Boëglin

MOT DU METTEUR EN SCENESallinger apparait comme un espace de jeu/je où les personnages se battent pour la reconnaissance de leur individualité. Or, lorsque la pièce commence, eux-mêmes ne savent plus qui ils sont. C’est alors que surgit, au carrefour du rêve et de la réalité, l’issue de cette guerre spirituelle où mots et sens semblaient se confronter pour toujours. Il s’agit d’une question… Et nous qui cherchions des réponses.Au commencement était la mer/mère. Mais une mer entièrement fortifiée ; si bien qu’elle en vint à étouffer la vie qu’elle protégeait entre ses murs. Ces murs sont ceux de New-York, labyrinthe fantôme où dansent les fantasmes qui sommeillent en nous. New-York ronfle mais ne dort jamais, elle tire sa puissance vampirique de ses propres acteurs dont elle pompe l’énergie. À son image, Sallinger est sans repos. Bernard-Marie Koltès y étire inlassablement ses person-nages élastiques jusqu’à ce qu’ils craquent. Si cette oeuvre avait un mouvement, ce serait celui de l’épuisement.Nous tous, témoins de cette histoire sans fin, nous touchons du doigt l’éternité.

Léa Sananes

EXTRAITROUQUIN (furieux) - Tu sais bien que ce n’est pas vrai. Tous, vous me détestez. Partout, on me déteste ; à l’école on me fait des grimaces, à la maison vous me faites vos sales sourires, dans la rue on me tend des pièges. Partout tout le monde, toi et les autres, vous me mettez à part. Je le sais bien, moi : ceux comme moi, tous les détestent. Qu’ils crèvent, vous dites, qu’ils crèvent, ou qu’ils rentrent dans le rang. Et moi je ne veux pas, je ne veux pas. Je ne veux pas.

Il disparait dans l’ombre, tandis que Leslie l’appelle, sans oser bouger.

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PARCOURSLéa Sananes / metteur en scènePrix de la mise en scene pour L’Eveil du printemps (Festival Rideau-rouge, 2015).Léa Sananes commence son apprentissage du théâtre au lycée Molière (Paris, 2012) avec le professeur Yves Steinmetz secondé par Philippe Duclos, Vincent Debost et Alice Carel, puis a complété sa formation au Conservatoire du XIVème arrondissement de Paris avec Nathalie Bécue (2015) et a intégré en même temps les cours de mise en scène dispensés par Sylvie Pascaud au Conservatoire du XIIème arrondisse-ment de Paris tout en poursuivant ses études (classe préparatoire littéraire et master d’études théâtrales).Elle a mis en scène L’Eveil du printemps de Frank Wedekind (Theâtre Pixel, Paris, 2014-2015). Puis en 2016, elle fonde le collectif Rocking-Chair, avant d’assister Didier Henry à la mise en scène de l’opéra L’Etoile d’Emmanuel Chabrier (Espace Reuilly, Paris, 2017).

Mark Alberts / compositeur, interprète AlMark Alberts étudie l’harmonie, l’écriture à l›American school of modern music de Paris et se forme au Conservatoire de Bobigny avec Christian Crozet et Nicolas Bigards entre 2013 et 2014.Au théâtre, il joue dans Troisième âge de et mis en scène par José Maria Vieira Mendes et Pedro Penim (Maison de la Culture de Seine-Saint-Denis, 2014) et dans le spectacle Belgrade / Guerre des images issu des pièces éponymes d’Angelica Liddel et de Falk Richter, mis en scène par Béatrice Houplain et Nicolas Bigards (Maison de la culture de Seine-Saint-Denis, 2014).

Claire Devere / interprète MaClaire Devere découvre la pratique théâtrale avec Lylian Jolliot au Centre d’animation des Amandiers (Pa-ris, 2005), pratique qu’elle perfectionne ensuite dans un stage de clown au Samovar, un atelier animé par Alain Farrès (Noisy-le-Sec, 2013) et en suivant un cours de théâtre animé par Michel Mourterot au Théâtre des Loges (Pantin, 2016).Parallèlement, en tant que professeure de lettres, elle transmet sa passion à ses élèves lors de cours dispensés à La Colline (Paris) ou la Maison de la culture (Seine-Saint-Denis).

Thom Lefevre / interprète Le RouquinThomas Lefevre s’initie à la comédie musicale et au théâtre au lycée Grand air (La Baule) où il y interprète son premier role dans Le Bourgeois gentilhomme de Molière (2005). Après l’obtention d’un diplome en composition de musique et technologie à l’University of Hertfordshire (Angleterre, 2011), il intègre le Cours Florent dans la classe de Laurence Cote (2015-2016) puis celle de Valérie Nègre (2016-2017).En 2017, il joue dans le court-métrage Most people exist de Veronika Istomina.

Mégane Martinel / interprète JuneFormée entre 2000 et 2013 au Conservatoire régional de Charenton-le-Pont par Thomas Bulle et Sigfried Canto, Mégane Martinel se perfectionne au chant et à la flûte traversière. Elle suit ensuite des cours d’improvisation, et fait une classe préparatoire littéraire au lycée Lamartine à Paris (2013-2014), durant laquelle elle interprète le role d’Anna Petrovna dans Platonov d’Anton Tchekhov, mis en scène par David Géry (Festival de théâtre francophone à Sorrento, Italie, 2014). Depuis 2015 elle suit une formation profes-sionnelle de l’acteur à l’école Artefact, sous la direction de Caroline Raux et de Renaud Prévautel.

Juliette Raynal / interprète AnnaAprès avoir suivi une formation au Conservatoire du XIVème arrondissement de Paris (2011-2012) puis à celui du Vème arrondissement (2012-2014) avec Sophie Leïla Vadrot, elle poursuit actuellement son apprentissage en cycle professionnel d’Art dramatique au Conservatoire Jean-Philippe Rameau du VIème arrondissement, formée par Bernadette Lesaché et Sylvie Pascaud. Au théâtre, elle joue dans L’Eveil du printemps de Frank Wedekind, mis en scène par Léa Sananes (Théâtre Pixel, Paris, 2014-2015), dans La Péniche d’Henry Le Bal, mis en scène par la compagnie Le Parvis (la Crypte de Saint-Sulpice, Paris, 2014) et dans Les Personnages oubliés d’Henry Le Bal (Théâtre de l’Ile Saint-Louis, 2015).

Baudouin Sama / interprète HenryFormé au conservatoire du XVIème arrondissement de Paris en 2014 par Eric Jacobiak, Baudouin Sama a commencé le théâtre en intégrant la troupe des Souffleurs de vers. Il joue dans Othello de William Shakespeare, Oncle Vania d’Anton Tchekhov et Chatterton d’Alfred de Vigny, mis en scène par Robert Bensimon et Corine Thézier (Institut catholique de Paris, 2013). Il parti-cipe également a des performances au Palais de Tokyo (Paris) dans le cadre du projet Nouvelles vagues (2013). Au Théâtre du Rond-point (Paris), il joue sous le regard de Pierre Notte : Parachute (2014) et Liberte mon cul (2016).Par la suite, il intègre en 2014 l’atelier Premier acte de Stanislas Nordey avant de rejoindre la compagnie Auteur des flammes et la troupe Tempete dans un vers avec laquelle il joue la pièce Tout ira bien (La Folie théâtre, Paris, 2015).

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Marie Sanson / interprète CaroleMarie Sanson se forme au Cours Simon dans la classe de David Stulzman (Paris, 2012).Elle joue dans Une Famille durable, écrit et mis en scène par Victor Quezada Perez (Théâtre des Bar-riques, Festival Off d’Avignon, 2015), La Mémoire des serpillères de Matei Visniec, mis en scène par Victor Quezada Perez (Théâtre Présence Pasteur, Avignon, 2015) et Une heure avant la mort de mon frère de Daniel Keene, mis en scène par Arnaud Décarsin et Renata Ilic (Théâtre Clavel, Paris, 2016).

Gabriel Tamalet / interprète LeslieGabriel Tamalet a obtenu un master en littérature comparée (Paris IV, 2012) et un master en études théâtrales (Paris III, 2015). Il se forme auprès de Christian Croset au Conservatoire à rayonnement départemental de Bobigny (2012-2014), puis auprès de Sylvie Debrun au Conservatoire à rayonnement régional d’Aubervilliers (2015).Au théâtre, il joue dans Chroniques du bord de scène, saison V épisode 1 et 2 d’après American Tabloïd de James Ellroy, mis en scène par Nicolas Bigards (Maison de la Culture de Seine-Saint-Denis, 2013), Bérénice de Jean Racine, mis en scène par Maxime Prévot (Théâtre l’Avant-Scène, Rueil-Malmai-son, 2016) et Andromaque de Jean Racine, mis en scène par Guillaume-Harry Françoise (Collège des Bernardins, Paris, 2015).

Shérone Rey / regard chorégraphiqueShérone Rey a commencé les cours de danse dès son plus jeune âge puis s’est perfectionnée avec Del-phine Perriere Sanchou, danseuse et chorégraphe, jusqu’en 2016. Par ailleurs, elle a obtenu une licence d’Arts du spectacle spécialité théâtre (Université Bordeaux Montaigne, 2013). Elle suit aujourd’hui une formation regroupant théâtre et danse au sein de l’école Artefact (Paris). Elle intègre la compagnie de danse Ma bulle pour laquelle elle joue dans Et si de Delphine Perrière San-chou, spectacle spécifiquement créé pour être présenté dans différents lieux accueillant des personnes en situation de handicap (2014). Elle travaille également auprès de Jean-Luc Terrade pour le Festival les 30’’30’’, rencontres de la forme courte (Bordeaux, 2014-2016). Elle joue ensuite au sein du Festival les 30’’30’’ dans On the road, spectacle de la compagnie Caméra obscura (2015). Elle travaille avec la troupe Le Sourire du renard sur le spectacle 7 rue de l’absence (Le 125, Bordeaux, 2016) puis, elle collabore à nouveau avec la compagnie Caméra obscura lors de la performance La Métamorphose du dormeur (Festival Silence m’en parle pas, Paris, 2017).

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3, rue des déchargeurs 75 001 paris • m°châtelet

suivez-nous

les dechargeurs

théâtre

by le pôle direction lee fou messica & ludovic michelfondateur vicky messica

EN CE MOMENT AUX DÉCHARGEURS

ACCROCHE

FILDE LEPERSONNE

21h3009.10.17

au 18.12.17les lundis

HOMMAGE À JEANNE MOREAU

Coréalisation Les Déchargeurs / Parfum de chant

Un spectacle conçu et interprété parCatherine Dargent

& Armel Amiot

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CRÉATIONMUSIQUE

J’AI AINSI COURU DE LA LUMIÈRE À LA NUIT, DU BRUIT AU SILENCE, DE L’AMOUR AU DÉSESPOIRFOLLE DE CHANTER

BARBA

MES RA OISEAUX

POURESCORTE

21h3010.10.17

au 21.10.17mardi au samedi

BARBARA /ASTOR PIAZZOLLA

Coréalisation Les Déchargeurs / Un jour une note

Un spectacle conçu et interprété par Laurence

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CRÉATIONMUSIQUE

MICHAEL STAMPE /CHRISTOPHE LIDON

Coréalisation Les Déchargeurs / Léo Théâtre

Mise en scène & scénographieChristophe Lidon

assisté de Marie-Céline NivièreLumières Marie-Hélène Pinon

Musique Cyril Giroux Images Léonard

Costume Chouchane AbelloAvec Marie-Christine Danède

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CRÉATIONTHEÂTRE

L’ARTSUZA

NNE BRUT

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PARCE QUE ÇA, JE LE SAIS, MES PEINTURES FONT COMME UN BAUME, UN BAUME SUR LES PLAIES

19h3031.10.17

au 23.12.17mardi au samedi

Texte édité chez

LILOUITHLEROAD MOVIE

IMMOBILE

19h3013.03

au 21.04.18mardi au samedi

LÆTITIA LAMBERT /LEE FOU MESSICA

Mise en scène Lee Fou Messica avec la complicité de

Jean-Michel Djian & Olivier BrodaScénographie Noëlle Ginefri

Lumières Gilles Gaudetavec Laetitia Lambert

& Fabrice Michel

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Coréalisation Les Déchargeurs /

2L Cie

avec le soutien de la MCNA Nevers

CRÉATIONTHEÂTRE

C’EST UN MATCH. DU PING-PONG. TU AFFUTES TES ARGUMENTS. J’AFFUTE LES MIENS

ENTRER EN POÉSIE, C’EST RÉSISTER

MOTS

DITS

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CRÉATIONPOESIE

GUILLAUME APOLLINAIRE, LOUIS

ARAGON, TAHAR BEN JELLOUN, PAUL

ELUARD, LAURENT PERREAUX

et autres poètes

Coréalisation Les Déchargeurs / Laurent Perreaux

Un spectacle conçu et interprété par Laurent Perreaux

19h30 08.01

au 26.03.18les lundis