25
DEPARTEMENT DE MEDECINE GENERALE ULB Pôle Recherche Suivi global des activités Année académique 2004-2005 Coordinateur : Michel Roland Collaborateurs internes : Marco Schetgen Jean-Michel Thomas Collaborateurs externes : Bernard Dendeau Anne-Françoise Dusart Perrine Humblet Assistant : Pascal Semaille Chercheurs : Bénédicte Abbadie Michel De Jonghe Claude Hautain Nadine Kacenelenbogen Cécile Leduc Aurélia Meyer Saphia Mokrane 0

DEPARTEMENT DE MEDECINE GENERALE ULB · 2 ans de 2001 à 2003. Partenaire(s) DMG ULB, CUMG UCL. ... 2° Un code CISP-2 et un code CIM-10 (transcodage), 3° Deux libellés cliniques

Embed Size (px)

Citation preview

DEPARTEMENT DE MEDECINE GENERALE ULB

Pôle Recherche

Suivi global des activités Année académique 2004-2005

Coordinateur : Michel Roland

Collaborateurs internes : Marco Schetgen Jean-Michel Thomas Collaborateurs externes : Bernard Dendeau Anne-Françoise Dusart Perrine Humblet Assistant : Pascal Semaille Chercheurs : Bénédicte Abbadie Michel De Jonghe Claude Hautain Nadine Kacenelenbogen Cécile Leduc Aurélia Meyer Saphia Mokrane

0

Recherches terminées

1

« Recherche casuistique »

Coordinateur/comité accompagnement

Chercheur responsable ULB Pascal Semaille.

Temps engagé 1 mi-temps.

Financement Bourse de la Caisse de Prévoyance des Médecins (CPM).

Pérennité/récurrence financement

2 ans de 2001 à 2003.

Partenaire(s) DMG ULB, CUMG UCL.

Objet et objectifs Analyser de manière semi-quantitative, prospective et qualitative les problèmes attenant à la pratique des médecins généralistes en formation professionnelle (MGFP) durant deux années académiques, aider les animateurs des séminaires à se perfectionner à la SOAP-logic et à la CISP-2 et extraire l’information utile en terme d’enseignement.

Méthodologie Une grille d’analyse des casuistiques présentées a été développée sur base des concepts de la « in-black box-out » et de la SOAP-logic. Les grilles ont été encodées via la Classification Internationale des Soins Primaires 2ème version (CISP-2).

Résultats (outcomes) 337 grilles ont pu être analysées. Dans 19,5% des grilles, apparaît la mauvaise perception du concept SOAP et des principes de recueil et de codage de l’information cliniques. Seules 60% des casuistiques sont présentées par les MGFP ; cette méthode pédagogique efficace devrait donc être renforcée. Parmi les difficultés répertoriées des MGFP, on trouve la « décision médicale » et le questionnement sur l’aspect bio-médical des fonctions du médecin de famille, surtout dans le domaine cardio-vasculaire.

S Strengths Apport pédagogique de contenu et conceptuel. Intérêt de l’approche par problèmes.

W Weaknesses Difficultés de modifier le contenu de l’enseignement de la médecine générale.

O Opportunities Financement par la CPM.

T Threats

Etat d’avancement/étapes parcourues

Recherche terminée.

Visibilité Présentation lors de journée CERISSP. Présentation des pré-rapports lors des journées des maîtres de stage (2003 & 2004). Présentation à Dubrovnik au Congrès de l’Euract (05/2004). Présentation à Liège ; réunion des animateurs (02/2004). Communication présentée au congrès de la Wonca World (10/2004).

Intérêt pour la médecine générale

Pour l’enseignement.

Extension/reproductibilité du projet

Mise en place de recherches du même type aux Département Médecine Générale d’autres universités du pays.

2

« Recherche grandes villes »

Coordinateur/comité accompagnement

Thomas de Béthune, Thierry Goossens et Marie-Sabine Amato : cellule politique des grandes villes ; Erwin Legiest, Sara Willems et Jan De Maeseneer : UGent; Claude Hautain et Michel Roland : ULB.

Chercheurs responsables ULB

Claude Hautain., Michel Roland.

Temps engagé Mi-temps.

Financement Cellule Politique des Grandes Villes (Ministère de l’Intégration Sociale).

Pérennité/récurrence financement

2 ans (2003-2004).

Partenaire(s) Ministère de l’Intégration Sociale, DMG UGent et ULB.

Objet et objectifs Analyse de la situation générale de la santé et de la dispensation des soins primaires dans 17 grandes zones urbaines. Identification des problèmes spécifiques et notamment dans les quartiers défavorisés sur le plan de l’accessibilité par comparaison avec d’autres milieux. Le but final est de proposer des recommandations concrètes pour les problèmes identifiés .

Méthodologie Recherche quantitative dans un 1er temps pour analyser des données qui émanent de l’enquête longitudinale sur la santé des belges et ce en fonction des variables géographiques et sociologiques. Dans un 2ème temps, phase plus qualitative avec focus groups, workshop « brain storming », conférence de clôture, et rapport officiel au Ministre.

Résultats attendus (outcomes)

Un état de la question sur la dispensation des soins de première ligne dans les grandes métropoles et les conclusions-propositions qui en découlent.

S Strengths Analyse exhaustive sur des données fiables, association d’une partie quantitative et d’une partie qualitative.

W Weaknesses Difficultés éthiques d’interroger directement les publics précarisés sur leurs problèmes existentiels et médicaux.

O Opportunities La dispensation des soins primaires dans les grandes villes est confrontée, au vu de la situation socio-économique (en dégradation) et de la variabilité sociographique (populations migrantes, instables, défavorisées), à des difficultés croissantes en terme d’efficience.

T Threats Nécessité d’une volonté politique forte pour suivre les recommandations concluant la recherche.

Etat d’avancement/étapes parcourues

Recherche terminée.

Visibilité Conférence-symposium de clôture en présence d’un vaste monde politique, scientifique et de consommateurs de soins (émanant en particulier de publics précarisés, cibles préférentielles de la recherche). Rédaction d’un livre blanc remis au Ministre.

Intérêt pour la médecine générale

Pistes pour l’organisation et la dispensation futures des soins primaires dans les métropoles.

Extension/reproductibilité du projet

Les conclusions de la recherche ont été reprises dans le volet médical du Rapport sur la Pauvreté, présenté en juin 2005 par le Ministre Christian Dupont. Projet d’une nouvelle recherche pour mettre en œuvre les conclusions de celle-ci : développement de petites équipes pluridisciplinaires de proximité immédiate pour répondre à l’ensemble des problèmes de santé courants de la population avoisinante, y compris les urgences.

Remarques personnelles Nécessité de collaboration entre les groupes néerlandophone et francophone d’une part, et entre les équipes universitaires et les responsables politiques d’autre part.

3

« Thésaurus urgences » Coordinateur/comité accompagnement

Ministère de la Santé : Marc Bangels, Henk Vandenbroele, Frédéric Proot. UCL : Etienne Declercq. UGent : Jan De Maeseneer, Marc Verbeke. ULB: Michel Roland, Michel Dejonghe. Experts indépendants: Marc Jamoulle, Bernard Dendeau.

Chercheurs responsables ULB Responsable du projet : Michel Roland. Chercheur : Michel De Jonghe, Nadine Kacenelenbogen. Informaticien : Bernard Dendeau.

Temps engagé

Financement Le Service Public Fédéral de la Santé Publique et des Affaires sociales est intervenu à concurrence de 6.200€ pour l’année 2004. Collaboration ponctuelle des hôpitaux IRIS pour les recueils de données.

Pérennité/récurrence financement

Terme prévu par la convention : 01/10/2004.

Partenaire(s) Université libre de Bruxelles ULB et Universiteit te Gent UGgent.

Objet et objectifs Améliorer l’accueil linguistique dans les hôpitaux en élaborant un fichier bilingue (Nl/Fr) (au départ, multilingue dans la suite), des 500 motifs de rencontre les plus fréquents.

Méthodologie Recherche quantitative, descriptive transversale en utilisant une étude pilote des hôpitaux IRIS qui a relevé plus de 5000 contacts d’urgence hospitalière et plus de 5000 contacts d’urgence ambulatoire.

Résultats attendus (outcomes) Etablissement d’une base bilingue et biclassifiée ( Nl/Fr et CISP-2/CIM-10) de quelques centaines d’items correspondants aux motifs de contact les plus fréquents (définis par des recueils d’activité d’urgence).

S Strengths Travail facilité par l’existence préalable du thesaurus in toto.

W Weaknesses Moyens insuffisants.

O Opportunities Demande adressée spécifiquement au Comité Belge de Classification, reconnaissance de sa compétence et de sa légitimité.

T Threats

Etat d’avancement/étapes parcourues

Le produit final se présente comme une partie indexée et triée de la table principale THESAURUS.MDB

Visibilité

Intérêt pour la médecine générale

Pour le personnel des gardes des hôpitaux IRIS et y compris les médecins généralistes concernés.

Extension/reproductibilité du projet

Banque de termes destinée à être traduite dans les multiples langues utilisées dans nos services d’urgence.

Remarques personnelles Nécessité d’une collaboration équilibrée entre chercheurs des deux communautés linguistiques du pays.

4

« Urgences en 1ère ligne » Coordinateur/comité accompagnement

1 représentant de chaque institution partenaire.

Chercheurs responsables IRIS : Nathan Clumeck ; Observatoire de la Santé : Myriam De Spiegelaere ; DMG ULB : Michel Roland.

Financement Budget « études » de l’INAMI à la demande du Ministère belge des Affaires Sociales et de la Santé Publique.

Pérennité/récurrence financement

Recherche menée sur 6 mois centrés sur le recueil des données pendant 3 semaines en novembre 2003.

Partenaire(s) INAMI, IRIS, hôpitaux St Pierre et Ixelles-Etterbeek, Medigarde et FAMGB, Fédération Maisons Médicales, Brusselse Huisartskring, Ministère Santé Publique, Observatoire Santé Région Bruxelles-Capitale, DMG ULB.

Objet et objectifs Recueil et analyse des données d’urgence dans les hôpitaux et en médecine générale, analyse du parcours de prise en charge et de l’adéquation des réponses, propositions de recommandations.

Méthodologie Analyse quantitative transversale descriptive.

Résultats attendus (outcomes) Etat de la question sur les urgences médicales dans la Région de Bruxelles-Capitale, en ambulatoire et en hospitalier.

S Strengths Coordination très large entre de nombreuses institutions partenaires. Recueil de données en continu et de manière relativement exhaustive.

W Weaknesses Recherche limitée aux domaines ambulatoire et hospitalier public : exclusion de fait des hôpitaux privés et du réseau UCL.

O Opportunities Crise du secteur des urgences à Bruxelles. Nécessité pour l’autorité Fédérale d’y apporter des solutions structurelles.

T Threats Domaine sensible : antagonisme traditionnel hôpital-ambulatoire, médecins solo-maisons médicales, réseau public-privé.

Etat d’avancement/étapes parcourues

Recherche terminée dans les délais impartis.

Visibilité Remise des conclusions à l’INAMI et au Ministre des Affaires Sociales et de la Santé Publique. Publication prévue dans les Archives of Public Health.

Intérêt pour la médecine générale

Participation active à la construction de solutions concrètes au problème des urgences. Démonstration de l’importance de la médecine générale ambulatoire dans cette problématique.

Extension/reproductibilité du projet

D’après les conclusions de la recherche, proposition de mettre sur pied des centres d’urgence ambulatoire articulés avec l’hôpital de manière fonctionnelle.

5

Recherches en cours

6

« Thésaurus bilingue belge biclassifié TB3 » Coordinateur/comité accompagnement

Ministère de la Santé : Marc Bangels, Henk Vandenbroele, Frédéric Proot ; UCL : Etienne Declercq, UGent : Jan De Maeseneer, Marc Verbeke ; ULB: Michel Roland, Michel De Jonghe ; Marc Jamoulle, Bernard Dendeau : experts indépendants. Depuis 2003: Comité Belge de Classification (nœud belge du réseau internation WICC Wonca International Classification Committee), co-président Michel Roland.

Equipe de chercheurs ULB

Responsable du projet : Michel Roland. Chercheurs : Michel De Jonghe, Nadine Kacenelenbogen. Informaticien : Bernard Dendeau.

Temps engagé 10 à 15 heures par semaine.

Financement Ministère belge de la Santé Publique : environ 50.000€ par an pour l’ensemble du projet comprenant le thésaurus, les procédures, le bilinguisme dans les hôpitaux

Pérennité/récurrence financement

Convention signée chaque année pour une période de 12 mois depuis 2003.

Partenaire(s) Université Libre de Bruxelles (ULB), Universiteit te Gent (UGent).

Objet et objectifs et descriptif

- A partir du fichier « Access » Thésaurus.MDB acheté à l’Université d’Amsterdam, construction des bases de termes bilingues (Fr/Nl) contenues dans les dossiers médicaux électroniques (symptômes, plaintes, diagnostics et procédures). - Chaque ligne du thésaurus belge actuel comprend : 1° Un IBUI, idendificateur belge unique, 2° Un code CISP-2 et un code CIM-10 (transcodage), 3° Deux libellés cliniques en français et néerlandais (sous l’impulsion de l’équipe francophone), 4° Les termes de recherche en français.

Méthodologie Recherche sémantique à partir des dictionnaires existants, validation et transcodage entre CISP-2/CIM-10.

Résultats attendus (outcomes)

1° Implantation du thesaurus, libre d’accès et d’utilisation, dans un nombre croissant de logiciels électroniques labellisés (pour échanges et études), 2° Collaboration active avec les producteurs de logiciels et avec les utilisateurs pour un ensemble le plus exhaustif possible des termes appropriés à la pratique médicale de 1ère ligne.

S Strengths Outil déjà moyennement utilisé sur l’ensemble du territoire, pour l’échange d’informations standardisées entre différentes lignes de soins avec possibilité d’analyse épidémiologique de l’activité des prestataires belges.

W Weaknesses Le produit de départ (thésaurus d’Amsterdam) souffre de nombreux points faibles et notamment son organisation de la base de données à partir d’outils informatiques de conception relativement ancienne.

O Opportunities

T Threats Budget nettement insuffisant en fonction des objectifs.

Etat d’avancement/étapes parcourues

Le thésaurus actuel contient environ 49.000 lignes acceptables. Une validation a minima a été effectuée avec succès en 2004. Depuis juin 2004, s’opère la mise en évidence des lignes de référence et la correction des codes CISP-2 et CIM-10, ainsi que la correction des libellés cliniques tant en français qu’en néerlandais

Etat d’avancement/étapes parcourues

Projet au long cours. Financement annuel assuré.

Visibilité Projet connu dans le monde francophone, à partir du WICC (Wonca).

Intérêt pour la médecine générale

Cet outil assiste le généraliste dans sa gestion des données essentielles tout en démontrant son rôle central.

Extension/reproductibilité du projet

Etablir des relations avec d’autres classifications (SNOMED, ICF, …) et explorer les terminologies et classifications d’autres professions de la santé (kinésithérapies, dentisterie, soins infirmiers, …). A partir du dernier trimestre 2005, développement du thésaurus des procédures chirurgicales.

Remarques personnelles Nécessité d’une collaboration équilibrée (difficile …) entre chercheurs des deux communautés linguistiques du pays

7

« Thésaurus procédures » Coordinateur/comité accompagnement

Ministère de la Santé : Marc Bangels, Frédéric Proot ; UGent : Jan de Maeseneer, Marc Verbeke ULB : Michel Roland. Actuellement, Comité Belge de Classification (nœud belge du réseau international WICC Wonca International Classification Committee), co-président Michel Roland.

Equipe de recherche ULB : Michel Roland (coordinateur) et Michel De Jonghe (chercheur) ; UGent : Jan de Maeseneer (coordinateur) ; Marc Verbeke et Diego Schrans (chercheurs).

Financement Ministère belge de la Santé Publique : dans le cadre des 50.000€ par an pour l’ensemble du projet « thésaurus » Remarques : budget total nettement insuffisant.

Pérennité/récurrence financement

Convention renouvelée chaque année pour une période de 10 mois depuis janvier 2002.

Partenaire(s) Université Libre de Bruxelles (ULB); Universiteit te Gent (UGent); le WONCA International Classification Committee WICC

Objet et objectifs Elaborer un thésaurus des procédures, au départ de l’ICPC-2 mais largement ouvert vers d’autres classifications plus spécifiques, par exemple la nomenclature des actes INAMI, l’ICHI, l’ICF.

Méthodologie L’équipe a privilégié l’approche prônée par la CISP, dans laquelle les procédures sont décrites de façon dynamique car en lien avec l’épisode sélectionné par le praticien et non de manière statique et prédéfinie.

Résultats attendus (outcomes)

S Strengths

W Weaknesses

O Opportunities

T Threats

Etat d’avancement/étapes parcourues

Le code –50 (prescription médicamenteuse) a été développé par Jan de Maeseneer ainsi que le transcodage vers ATC. Mises à jour vérifiées par Diego Schrans. Les codes –32 à –38 (laboratoire) ont été développés par Gent. Les codes 40 à –42 (imageries) ont été développés par l’ULB. Thésaurus fini en mai 2005 – version 1.

Visibilité

Intérêt pour la médecine générale

Domaine peu étudié. Les intérêts sont multiples et touchent aussi bien à l’analyse objective des prestations des médecins généralistes, qu’à l’enseignement.

Extension/reproductibilité du projet

Le thesaurus procédures sera mis à disposition gracieuse des développeurs de logiciels médicaux. Espoir de standardisation en utilisant le même dictionnaire donc les mêmes termes : possibilité de comparaison, d’agrégation, d’analyses poolées etc.

8

« Guide de prise en charge des maladies sexuellement transmissibles et transmissible par le sang »

Coordinateur/comité accompagnement

Des représentants des différents partenaires.

Chercheur responsable ULB

Pascal Semaille.

Temps engagé ½ à 1 journée par semaine

Financement Communauté française de Belgique.

Pérennité/récurrence financement

Projet prévu pour une période de 4 ans.

Partenaire(s) DMG ULB, DUMG ULg, CUMG UCL, SSMG, centre de référence SIDA des hôpitaux St. Pierre, Erasme, St-Luc et Charleroi, CETIM, différents experts, Dr Gennotte.

Objet et objectifs Créer un ouvrage de référence pour la première ligne, diffuser l’information auprès des patients, contribuer à l’intégration des personnes porteuses d’une MTS ou MST, sensibiliser et informer tous les acteurs de soins primaires dans le cadre d’une prise en charge globale et intégrée du patient ainsi que les règles universelles d’hygiène.

Méthodologie Revue de littérature, validation par comité d’experts, diffusion.

Résultats attendus (outcomes)

Amélioration de la prise en charge des MST et des MTS par les généralistes par une augmentation de leurs connaissances en ce domaine.

S Strengths Collaboration très large entre institutions diverses assurant la légitimité du contenu se l’information contenue dans le guide.

W Weaknesses Difficultés et remise en question du financement par la Communauté Française.

O Opportunities Sujet d’actualité, vu l’incidence en augmentation de nombreuses MST et MTS, et le ralentissement de l’efficacité des messages de prévention.

T Threats Consensus nécessaire entre différentes écoles de pensée scientifique, concrètement en ce qui concerne les recommandations.

Etat d’avancement/étapes parcourues

Le projet a débuté en juin 2004.

Visibilité

Intérêt pour la médecine générale

Extension/reproductibilité du projet

9

« Minerva » Coordinateur/comité accompagnement

Conseil d’administration : Marc De Meyere UGent, Pierre Chevalier UCL, Michel Roland ULB.

Chercheurs responsables ULB

Michel De Jonghe, Michel Roland.

Temps engagé 5 à 10 heures par semaine.

Financement Le Collège intermutualiste ; le Ministère de la Santé Publique ; l’Interuniversitair Centrum voor Huisartsopleiding (ICHO) ; la SSMG ; la WVVH.

Pérennité/récurrence financement

Convention resignée en 2004 pour 4 ans.

Partenaire(s) Comité de rédaction : Pierre Chevalier (UCL) ; Georges Collette (ULg) ; Michel De Jonghe (ULB) ; Barbara Michiels et Etienne Vermeire (KUL) ; Marc De Meyere, Mieke Van Driel, Tom Poelman, Paul Decort (UZ-Gent) ; Marc Lemiengre (VUB) ; Michel Meganck (SSMG) ; J. De Smedt (WVVH) ; J. Van Calster et H. Van Loon (Service Publique Fédéral, Santé Publique, Sécurité de la Chaîne Alimentaire et Environnement) ; Marc Justaert (Collège intermutualiste ) ; Jan Heyrman (Interuniversitair Centrum voor Huisartsgeneeskunde ; Michel Roland (Départements de Médecine Générale Francophone).

Objet et objectifs Elaboration et diffusion rapide à visée pédagogique d’une revue indépendante de type « littératures IIIre et IVre EBM » vers les médecins généralistes, les spécialistes et autres intervenants en première ligne.

Méthodologie Lecture critique par un comité d’experts, d’études cliniques comparatives, de synthèses méthodiques et de méta-analyses dans les domaines diagnostique, thérapeutique et préventif. L’information émane de toutes les revues importantes tant nationales qu’internationales.

S Strengths Indépendance totale par rapport à l’industrie pharmaceutique.

W Weaknesses L’association doit constamment s’efforcer d’atteindre l’objectivité la plus grande et une indépendance complète vis à vis des partenaires qui la financent.

Etat d’avancement/étapes parcourues

Publication mensuelle de la revue « Minerva » Accessible sur le site http://www.minerva-ebm.be

Visibilité Tirée à 10.000 exemplaires. Référencée par l’annuaire de CHU de Rouen. La revue est de plus en plus médiatisée. Pas encore référencée dans Medline.

Intérêt pour la médecine générale

Seule revue belge d’Evidence-Based Medicine destinée aux médecins généralistes. Outil important dans le concept de formation continue ainsi que pour la remise en question d’autres informations manquant structurellement d’objectivité (firmes pharmaceutiques, certains spécialistes).

Extension/reproductibilité du projet

D’autres activités peuvent être prévues en fonction des moyens financiers : formations, congrès, etc. On peut espérer le référencement dans Medline.

10

« Etude des pratiques non conventionnelles à visée curative »

Coordinateur/comité accompagnement

Chercheur responsable ULB

Nadine Kacenelenbogen.

Financement Sera difficile à trouver : les sociétés produisant les vaccins (souvent critiquées par les homéopathes) évitent la polémique comme les autres firmes pharmaceutiques. Les prestations « alternatives » ne coûtent apparemment rien à l’état, le Fédéral n’a aucun intérêt à financer de tels travaux.

Pérennité/récurrence financement

Partenaire(s) A prévoir : des personnes intéressées, 1° du département ; 2° d’autres départements de la Faculté ; 3° de l’Ecole de Santé Publique ; 4° des personnes ressources dans le domaine.

Objet et objectifs Chaque année, 11% des Belges consultent des thérapeutes alternatifs, et ce pour les mêmes motifs qu’en 1ère ligne de soins traditionnelle. L’efficacité de ces techniques et leurs risques ne sont pas connus. Ces thérapeutes sont souvent des médecins généralistes. Les objectifs sont d’évaluer : 1° l’efficacité de ces techniques ; 2° leurs effets secondaire ; 3° leurs risques en terme de santé publique (ex. vaccins) ; 4° pourquoi certains généralises pratiquent ces techniques ; 5° le niveau de connaissance sur ce thème des médecins et des patients.

Méthodologie A discuter : 1° Revue de la littérature de manière la plus exhaustive possible sur l’homéopathie, l’ostéopathie, la chiropraxie et l’acupuncture ; 2° Analyse en « focus group » parmi les généralistes traditionnels pour détecter leurs problèmes éventuels liées à ces thérapies non conventionnelles ; 3° Volet quantitatif avec enquêtes auprès des généralistes en formation et de ceux pratiquant depuis 5 ans ou plus ; 4° Eventuellement organiser des « RCT » dans des domaines ciblés ; 5° Questionnaires pour les patients.

Résultats attendus (outcomes)

En fonctions des résultats, informer tous les niveaux concernés : étudiants en médecine, médecins généralistes, pharmaciens, patients, autorités politiques.

S Strengths Sujet d’actualité aux conséquences non connues.

W Weaknesses Difficulté d’obtenir la caution des milieux scientifiques classiques, qui voient ce type de recherche comme une perte de temps, et sans effet positif à escompter.

O Opportunities

T Threats Difficultés de financement à prévoir.

Etat d’avancement/étapes parcourues

Pour fin 2005, organiser un 1er groupe de réflexion.

Visibilité

Intérêt pour la médecine générale

Problème de santé publique ? Cause d’un certain pourcentage de non observance à nos traitements ? Un pourcentage inconnus de motifs de consultation de nos patients est lié aux effets indésirables de ces thérapies ?

Extension/reproductibilité du projet

Remarques personnelles Projet à concevoir sur un long terme.

11

« Evaluation de la couverture vaccinale des médecins généralistes en communauté Française »

Coordinateur/comité accompagnement

Deux représentants de Glaxo-Wellcome, Dominique Paulus (UCL), Pascal Semaille et Michel Roland (ULB).

Chercheur responsable ULB

Aurelia Meyer, Pascal Semaille.

Temps engagé ½ journée par semaine.

Financement Glaxo-Wellcome.

Pérennité/récurrence financement

2 ans.

Partenaire(s) DMG ULB ; CUMG UCL ; DUMG ULg; SSMG ; Glaxo-Wellcome.

Objet et objectifs Analyser le statut vaccinal des médecins francophones belges et les raisons de leur « non-vaccination » éventuelle contre les maladies suivantes : grippe, coqueluche, hépatite B, diphtérie/tétanos, rougeole/rubéole et polio.

Méthodologie Envoi de questionnaires par voie postale (1200 généralistes, 20% de la population cible).

Résultats attendus (outcomes) Un état des lieux de la vaccination des médecins généralistes belges francophones et les raisons de non-vaccination.

S Strengths Problème de santé publique.

W Weaknesses

O Opportunities Intérêt du politique (Communauté Française) pour le problème des vaccinations. Soutien potentiel d’une firme productrice de vaccins.

T Threats

Etat d’avancement/étapes parcourues

Financement accepté en juin 2004. Début de l’étude prévu pour le 3ème trimestre 2004.

Visibilité En septembre 2004 présentation introductive de la recherche aux Journées de l’AMUB.

Intérêt pour la médecine générale

La vaccination des médecins généralistes représente un sujet d’étude important pour 2 raisons : le généraliste peut être un réservoir de maladies infectieuses pour ses patients et ses attitudes par rapport à la vaccination peuvent influencer ses actes préventifs et ainsi la couverture vaccinale de la population générale.

Extension/reproductibilité du projet

Extension de la recherche à toute la Belgique, à l’ensemble du personnel soignant de 1ère ligne. Dissémination possible par les revues médicales (RMB, Louvain Médical, …) lors des GLEMs, lors des réunions de formation médicale continue (ex. journée de l’AMUB 2005).

12

« Pratique de la gynécologie courante : par les gynécologues et les médecins généralistes »

Coordinateur/comité accompagnement

Véronique Albert, Anne Freyens, Didier Giet, Colette Gerday, Jena-Michel Foidart (ULg); Gérard Stibbe, Marco Schetgen, Yvon Englert, Michel Roland (ULB).

Chercheurs responsables ULB

Gérard Stibbe, Marco Schetgen, Michel Roland.

Financement FNRS

Pérennité/récurrence financement

Financement certain sur 1 an.

Partenaire(s) Services de gynécologie ULB (Erasme) et ULg (Sart-Tilmant), DMG ULB et DUMG ULg.

Objet et objectifs Amélioration et développement de la pratique gynécologique des médecins généralistes, et de la collaboration entre enseignants des deux filières (recommandations).

Méthodologie Volet qualitatif (et théorique): « vignettes cliniques » remplies par les participants à des GLEMs sélectionnés (échantillonnage). Volet quantitatif (et pratique): recueil de consultations, abordant les problèmes de contraception ou de ménopause.

Résultats attendus (outcomes)

Répartition des tâches de « petite » gynécologie entre gynécologues et généralistes, optimisation de la collaboration et du partage des tâches (missions 1ère et 2e lignes de soins, partage de guidelines), modification de l’enseignement de la gynécologie dans les filières généralistes et gynécologiques : modifications de fond dans la pratique et l’enseignement.

S Strengths Collaboration effective entre les 2 lignes de soins.

W Weaknesses Difficulté de modifier des situations établies.

O Opportunities Transfert de fait des tâches de petite gynécologie de la 1ère vers la 2e ligne de soins au cours du temps. Difficultés majeures actuellement chez les gynécologues : pléthore et surcharge de travail en lien avec le numerus clausus.

T Threats

Etat d’avancement/étapes parcourues

Le recueil des vignettes cliniques dans les GLEMs a débuté à l’été 2005, le recueil des consultations débutera à la rentrée académique 2005.

Visibilité Publication prévue dans des revues médicales belges (universitaires comme Revue Médicale de Bruxelles ou Revue Médicale de Liège, de médecine générale et de gynécologie), présentation lors de formations médicales continues.

Intérêt pour la médecine générale

Intérêt majeur : nouvelle définition des tâches du généraliste en matière gynécologique avec objectif d’amélioration de sa formation spécifique.

Extension/reproductibilité du projet

13

« Etude du suivi par le généraliste des enfants de parents séparés » Coordinateur/comité accompagnement

Des membres du département : Paul Cnokaert, Michel Roland, Marco Schetgen, Didier Piquard, Jean-Michel Thomas, Pascal Semaille, Nadine Kacenelenbogen. Un membre du Fonds Houtman : le Professeur Delcourt. Des membres de l’Ecole de Santé Publique d’Erasme : Perrine Humblet, Anne Françoise Dusart. Brigitte Van Thournout (pédopsychiatre), Marc Gérard (SOS enfants)

Chercheurs responsables ULB

Michel Roland, Marco Schetgen, Nadine Kacenelenbogen

Temps engagé 1 chercheur ¼ temps pendant un an

Financement Le budget total de 30.000€ est principalement consenti par le Fonds Houtman (ONE). Le CUMG ULB participe pour une partie également.

Pérennité/récurrence financement

Début de la recherche en mars 2004. La fin du financement est prévue pour mai 2005.

Partenaire(s) DMG ULB, CUMG ULB, ESP ULB, Fonds Houtman (ONE).

Objet et objectifs Etat des lieux des problèmes de prise en charge par le généraliste, des enfants dont les parents sont séparés. Dans les suites de cette analyse, des pistes de solutions seront proposées aux MG dans le cadre de la formation continue et également aux généralistes en formation (DES)

Méthodologie Recherche de type qualitative basée sur l’organisation de 8 « focus groups » parmi les GLEMs du CUMG ULB. L’analyse des résultats est assistée par un logiciel adapté, le « QSR N5 ».

Résultats attendus (outcomes)

En plus du rapport direct de l’étude, il est prévu l’élaboration d’un document final qui servirait de base pédagogique pour les généralistes et futurs généralistes (formation continue et DES). Publication possible

S Strengths Les informations recueillies par les « focus groups » et la valeur de l’appui logistique, ont pu apporter des résultats cohérents susceptibles de déterminer les premières recommandations rationnelles dans ce domaine.

W Weaknesses Etude qualitative et limitée à des « focus groups » du CUMG ULB et établis surtout en région bruxelloise. Ainsi ses résultats ne sont qu’une 1ère étape avant d’autres recherches possibles plus étendues et quantitatives.

O Opportunities Prévalence importante et en augmentation constante des couples séparés avec enfants.

T Threats Limites du terrain d’investigation.

Etat d’avancement/étapes parcourues

Les « focus groups » se sont achevés en décembre 2004. L’analyse des résultats s’est terminée en avril 2005. Le rapport final est en cours d’écriture.

Visibilité Connue seulement au sein du département grâce aux présentations lors des journées des maîtres de stage (2004/2005), mais extension prévue via la publication (généralistes, psys, ONE, formations continues etc).

Intérêt pour la médecine générale

Le domaine étudié ici, fait partie d’un ensemble de situations propres à la pratique quotidienne en médecine générale et pour lesquelles il n’existe que très peu de travaux et recommandations avalisées.

Extension/reproductibilité du projet

Différentes recherches en « focus group » pourraient être organisées avec d’autres universités. Des études quantitatives pourraient plus tard compléter les résultats.

Remarques personnelles Ce travail a permis en outre de confirmer que les recherches en « focus groups » sont parfaitement adaptées à l’étude de certains domaines en médecine générale.

14

« Antibioguide en médecine générale »

Coordinateur/comité d’accompagnement

Pierre Chevalier et Marc De Meyere : coordinateurs ; An De Suter (UGent), Françoise Pineux (SSMG) et Aurelia Meyer (ULB) : chercheurs.

Chercheurs responsables ULB Aurelia Meyer (supervision Pascal Semaille et Michel Roland).

Financement INAMI et Ministère Affaires Sociales et Santé Publique (section antibiotiques : Belgian Antibiotic Policy Coordination Committee BAPCOC) : 50.000€ qui transitent par le CBIP.

Pérennité/récurrence financement

A partir de 2005, avec récurrence possible sur plusieurs années (adaptation et mise à jour du guide).

Partenaire(s) L’autorité Fédérale, UGent, ULB, SSMG, CBIP.

Objet et objectifs Rédaction d’un guide reprenant les principales recommandations en matière de prescription d’antibiotiques en médecine générale.

Méthodologie Revue evidence-based medicine de la littérature scientifique, réunion de consensus, soumission du « draft » à un pannel d’experts représentatifs des différentes institutions scientifiques belges en médecine générale.

Résultats attendus (outcomes) Amélioration de la prescription d’antibiotiques par les médecins généralistes dans leur pratique courante par la mise à disposition d’un outil adapté, gratuit et très facile d’utilisation (importance de la forme et de la présentation du guide).

S Strengths Grande qualité scientifique des chercheurs et des coordinateurs et rigueur de la méthodologie.

W Weaknesses

O Opportunities Problème de santé publique et d’actualité : augmentation inquiétante de la résistance aux antibiotiques même en pratique ambulatoire, augmentation des coûts liés à la prescription de cette classe médicamenteuse (élargissement de fait des indications et nouvelles molécules très chères et pas nécessairement innovantes).

T Threats Terrain très délicat dans le contexte médico-politique actuel. Risque que le guide soit vécu par le corps médical comme un outil de rationnement, plus que comme un instrument scientifique.

Etat d’avancement/étapes parcourues

Le guide en est à sa première écriture et est actuellement soumis aux critiques des experts.

Visibilité Le guide bénéficiera d’une diffusion très large dans le corps médical par les autorités publiques et diverses instances scientifiques ;

Intérêt pour la médecine générale

Intérêt évident pour la médecine générale et la qualité des soins.

Extension/reproductibilité du projet

Une récurrence du budget sur plusieurs années sera sollicitée (nécessité de mise à jour des recommandations, et extension probable au domaine des soins hospitaliers).

15

« Le bon usage des antibiotiques » Coordinateur/comité accompagnement

M. Struelens et F. Jacobs (Erasme), Y. Van Laethem (St Pierre), M. Delmée, Glupczynski, B. Seys et P. Tulkens (St Luc), P. Demol et P. Melin (Sart Tilmant) : microbiologie ; D. Pestiaux (CUMG UCL), D. Giet (DUMG ULg), G. Stibbe et M. Roland (DMG ULB) : médecine générale ; M. Boutsen (UNMS) ; M. Meganck (SSMG) ; divers experts.

Equipe de recherche Pas encore désignée.

Financement FNRS (mais tarde à se concrétiser).

Pérennité/récurrence financement

Financement assuré en principe pour 1 an.

Partenaire(s) Les départements de microbiologie des hôpitaux St Luc, Erasme et du Sart Tilmant, les départements de médecine générale et les Ecoles de Santé Publique de l’UCL, de l’ULB et de l’ULg, le bureau des Mutualités Socialiste, la SSMG, divers experts.

Objet et objectifs Identifier le niveau de résistance de E. coli et de S. aureus en médecine générale. Le but de ce projet est d’établir les stratégies indispensables et spécifiques d’utilisation d’antibiotiques, en tenant compte de la nécessité d’une compatibilité concrète entre les recommandations théoriques et la pratique sur le terrain. Réflexion sur le terrain des divergences entre opinions et actions des médecins.

Méthodologie Collecte de données de sensibilité auprès des laboratoires ; analyses qualitative et quantitative du comportement médical ; confrontation entre ces données, la résistance des bactéries, et les information à propos des prescriptions, en lien avec les pathologies traitées.

Résultats attendus (outcomes)

Amélioration de la prescription des antibiotiques au travers de 2 pathogènes « traceurs » présentant des problèmes de résistance, tant en ambulatoire qu’en hôpital : E. coli et S. aureus. Adaptation pratique des recommandations.

S Strengths Concertation ville-hôpital avec une volonté très opérationnelle.

W Weaknesses Financement qui tarde à se décider.

O Opportunities La résistance aux antibiotiques d’un nombre toujours plus grand de pathogènes infectieux est devenu un véritable problème de santé publique.

T Threats

Etat d’avancement/étapes parcourues

Le projet est rédigé, a été officieusement accepté, les divers partenaires pressentis sont preneurs et prêts à commencer.

Visibilité

Intérêt pour la médecine générale

Très grand intérêt surtout par la concertation de stratégies communes ville-hôpital.

Extension/reproductibilité du projet

16

« RESOPRIM » Coordinateur/comité accompagnement

P. Burgraeve (WVVH, Staff ResoPrim), D. De Bakker (NIVEL, the Netherlands), E. Declercq (UCL, staff ResoPrim), JM. Féron (UCL), Y. Poullet (Faculté de Droit, Namur, Privacy Commission), F. Mambourg (Centre fédéral d’Expertise des Soins de Santé), T. Orban (SSMG), M. Roland (ULB), V. Van Casteren (IPH, staff ResoPrim), H. Vandenberghe (IPH, staff ResoPrim), H. Van Oyen (IPH), M. Bangels (SPF Public Health), S. Bartholomeeusen (KULeuven), F. Buntinx (KULeuven), L. Pas (WVVH), P. Van Royen (UIA).

Chercheur responsable ULB Michel Roland.

Financement Service fédéral de planification de la politique scientifique

Pérennité/récurrence financement

Financement assuré à long terme.

Partenaire(s) SSMG, WVVH, UCL, WIV/ISP, différents experts (dont ULB, FUNDP).

Objet et objectifs Construire un réseau de recueil de données épidémiologiques standardisées et systématiques à partir des dossiers médicaux électroniques des médecins généralistes.

Méthodologie Comité scientifique de pilotage, standardisation de l’information et des procédures, travail en collaboration avec développeurs et dispensateurs de soins.

Résultats attendus (outcomes)

Un réseau opérationnel jouant à terme le rôle des médecins vigies actuels, mais sous forme électronique. Constitution d’une base de données épidémiologiques (micro- et macro-).

S Strengths La volonté commune d’une série de partenaires enthousiastes, jouant un rôle de relais dans leurs diverses institutions.

W Weaknesses Problèmes éthiques à rencontrer, relatifs à la confidentialité et à la propriété des données (non personnelles) de santé.

O Opportunities Développements technologiques récents majeurs dans le domaine de l’électronique médicale et de la structuration des données.

T Threats L’opposition du corps médical, toujours très prudent sur la problématique de la transmission des données médicales.

Etat d’avancement/étapes parcourues

Les premières étapes de mise en route ont été dépassées : un réseau de développeurs et d’utilisateurs de logiciels médicaux électroniques est constitué, le groupe d’avis fédéral en matière de télématique médicale a remis ses conclusions en matière de structuration et de transfert des données.

Visibilité Un grande visibilité n’est pas importante dans les premiers stades du projet, mais partout se tiennent des séances d’information, de formation, des colloques, sur le sujet et donnent matière à discussion.

Intérêt pour la médecine générale

Intérêt fondamental pour utiliser l’énorme masse d’informations de santé de la population qui sont stockées au niveau primaire, souvent de manière exclusive.

Extension/reproductibilité du projet

Stimulation de proche en proche des développeurs et des utilisateurs de logiciels médicaux très probable.

Remarques personnelles

17

« Centre de référence cardio-vasculaire » Coordinateur/comité accompagnement

Pas encore défini de manière définitive.

Chercheurs responsables ULB Pascal Semaille, Michel Roland.

Financement Financement problématique avec interférences entre la Communauté Française de Belgique, à l’initiative du projet, et le KCE qui lance un projet similaire.

Pérennité/récurrence financement

?

Partenaire(s) SSMG et Fédération des Maisons Médicales, différents experts (dont DMGs ULB UCL et ULg, ESP ULB & UCL).

Objet et objectifs Sensibilisation des généralistes à la morbidité/mortalité cardio-vasculaire, amélioration de la qualité de la prise en charge, élaboration d’outils et de matériels pédagogiques.

Méthodologie Revue de littérature, assurance de qualité, sensibilisation-formation actives des médecins généralistes.

Résultats attendus (outcomes) Prise en charge plus efficiente des problèmes cardio-vasculaires : à la fois sous l’angle préventif (primaire, secondaire et tertiaire) et curatif.

S Strengths Partenariat multiple. Intérêt des pouvoirs publics pour un problème de haute prévalence et de hautes morbidité/mortalité.

W Weaknesses Plusieurs actions parallèles, menées sans concertation, diluant l’efficacité globale, financement imprécis.

O Opportunities La nécessité de se pencher sur et de trouver des solutions concrètes à l’augmentation de morbidité et de mortalité liées aux maladies cardio-vasculaires. Urgence en matière de santé publique.

T Threats

Etat d’avancement/étapes parcourues

Le projet avait débouché sur un document extrêmement pratique et facile d’utilisation pour aider le généraliste dans le dépistage et la prise en charge globale du risque cardio-vasculaire, mais télescopage avec l’initiative du KCE.

Visibilité

Intérêt pour la médecine générale

Intérêt majeur.

Extension/reproductibilité du projet

Remarques personnelles Gaspillage d’énergie et de compétences lié aux initiatives parallèles.

18

« Collaboration pédagogique Nord-Sud » Coordinateur/comité accompagnement

Coordinateurs actuels : Ali Mtriaoui (Sousse), Michel Roland (ULB). Collaborateurs : 5 personnes de l’Université de Sousse, les 6 personnes ci-dessous de l’ULB, Marc Van Meerbeeck, Pierre Firket, Christian Montrieux, Geneviève Bruwier et Didier Giet : DMG ULg ; Denis Porignon : ESP ULg.

Chercheurs responsables ULB

Jean-Michel Thomas, Didier Piquard, Pascal Semaille, Marco Schetgen et Michel Roland : DMG ULB ; Bruno Dujardin : ESP ULB.

Partenaires DMG ULB et ULg (Belgique), département de santé communautaire et Faculté de Médecine de l’Universités de Sousse (Tunisie).

Financement

Communauté Française de Belgique (CUD : Coopération Universitaire au Développement) : projet étalé sur 3 ans pour un montant de 250.000€ (demande de financement actuellement à l’examen).

Objectifs

Projet pilote à la demande de la Faculté de Médecine et du Département de Santé Communautaire de l’Université de Sousse : arriver à ce que cette institution universitaire du Sud dispose des capacités institutionnelles nécessaires à l’ensemble d’une démarche pédagogique allant du diagnostic des besoins de formation jusqu’au suivi et à l’évaluation des programmes, en matière de médecine générale, via, notamment, la mise sur pied et la structuration d’un département de médecine générale.

Méthodologie Voyages d’étude, conférence d’experts, revue de littérature, recueil de données sur le terrain, cours de santé publique et observations cliniques.

Résultats attendus (outcomes)

Mettre sur pied une formation spécifique de qualité pour les médecins généralistes de la zone dépendante de l’Université de Sousse, adaptée à la situation locale (épidémiologie, sociologie, système d’assurance etc).

S Strengths Demande explicite de l’Université de Sousse, collaboration d’emblée avec l’équipe tunisienne à partir des réalités locales.

W Weaknesses Financement non encore obtenu. Situation politique Tunisienne verrouillée.

O Opportunities

T Threats Peu d’expérience des départements de médecine générale belges dans le domaine des échanges pédagogiques. Nécessité de dégager du temps de travail clinique pour les enseignants généralistes belges.

Etat d’avancement/étapes parcourues

Projet en attente d’acceptation (de financement).

Visibilité

Intérêt pour la médecine générale

Expérience potentiellement très enrichissante au niveau d’un échange des savoirs : Nord-Sud, mais aussi Nord-Nord, en ce qui concerne l’enseignement en santé publique et planification sanitaire (ULB) et les techniques d’apprentissage par problèmes (ULg).

Extension/reproductibilité du projet

La Faculté de Médecine de Sousse est considérée comme une faculté pilote en Tunisie. Les résultats obtenus pourraient être élargis aux autres universités tunisiennes. Possibilité d’associer d’autres Facultés de Médecine du Sud confrontées à l’absence de département de médecine générale (contacts déjà très développés avec l’Université du Rwanda).

19

« Recherche et investigation cliniques » Coordinateur Etienne Demanet.

Chercheur responsable ULB Nadine Kacenelenbogen, Michel Roland.

Financement Les sociétés pharmaceutiques assurent les honoraires des médecins investigateurs au prorata du nombre de patients recrutés.

Pérennité Assurée à long terme.

Partenaire(s) Stéphane Heymans (UCL) et Etienne Demanet (ULB) ont créé l’ASBL ARESA (Association pour la Recherche en matière de Santé), aidée par la Région Wallonne, l’UCL et l’ULB. Cette association noue des liens entre des sociétés pharmaceutiques qui proposent des projets et les Clinical Research Organisations(CRO) avec d’autres centres de recherche et de développement, des services hospitaliers, des Sites Management Organisations (SMO) et un réseau le plus étendu possible de généralistes investigateurs.

Objet et objectifs Grâce à la présence d’ARESA, qui sélectionne les projets d’étude, le département peut participer à ces recherches sans lien direct avec les sociétés pharmaceutiques et avec des garanties scientifiques.

Méthodologie ARESA choisit des projets acceptés par le comité d’éthique du CUMG ULB et qui présentent un intérêt en médecine générale. ARESA met en relation le chercheur et les CROs. Si cela l’intéresse, le chercheur participe alors aux réunions d’initiation pour contribuer à l’étude.

Résultats attendus (outcomes)

Avec le temps le chercheur lui-même organisera un pool de confrères généralistes, ce qui assurera un recrutement plus conséquent de patients (effet « boule de neige »).

S Strengths

W Weaknesses L’investigation clinique prend beaucoup de temps. En outre, contrairement aux activités de recherche plus classiques, la recherche clinique se mène sur le terrain de la pratique clinique et directement pendant celle-ci. Ces éléments freinent la conduite du projet.

O Opportunities

T Threats

Etat d’avancement/étapes parcourues

2002 : participation du chercheur à un cycle de formation à l’ULB avec le concours d’ARESA. Depuis 2004 : participation à plusieurs initialisations d’études cliniques et contribution réelle à 2 projets (« PERSPECTIVE » et « CASHMERE »).

Visibilité La participation du DMG en recherche clinique est connue au sein du département et peut-être plus au travers des autres partenaires du projet.

Intérêt pour la médecine générale

Les progrès en médecine générale dépendent aussi d’une recherche clinique qui lui soit propre. Le fait que des départements universitaires aient un lien balisé avec cette activité, permet d’une part le développement de celle-ci et d’autre part son analyse attentive et critique.

Extension/reproductibilité du projet

L’accroissement du savoir-faire du chercheur responsable dans ce domaine, permettra une contribution plus importante du département en recherche clinique.

Remarques personnelles L’esprit de travail en recherche clinique est particulier ; tant les CROs que les sociétés pharmaceutiques ont un souci de rentabilité financière et mettent les partenaires sous pression. Les CROs encouragent le screening même perdu d’avance pour une randomisation, ce qui augmente inutilement les coûts de ces recherches. ARESA n’empêche pas totalement les contacts parfois malaisés entre chercheurs et sociétés pharmaceutiques.

20

« Devenir et pratiques professionnelles des médecins généralistes en Belgique » Coordinateur/comité accompagnement

D. Pestiaux : CUMG UCL ; S. Tordeur, C. Artenoiset et V. Lorant : ESP (SESA) UCL ; D. Giet, G. Colette et C. Montrieux : DUMG ULg ; M. Roland et N. Kacenelenbogen : DMG ULB ; J ; Heyrman : ICHO ; d’autres partenaires flamands à désigner.

Chercheurs responsables ULB

Nadine Kacenelenbogen, Michel Roland (coordinateur).

Financement INAMI ? KCE ? Ministère Affaires Sociales et Santé Publique ? Encore à préciser. Budget ressource humaine prévu pour 2 ETP pendant 24 mois, environ 35.000 € au total.

Pérennité/récurrence financement

Projet prévu sur 2 ans au moins

Partenaire(s) CUMG UCL, Ecole de Santé Publique (SESA UCL) ; DMUG ULg ; DMG ULB ; ICHO. Partenaires flamands KUL, UIA, UGent, VUB, ...à préciser.

Objet et objectifs Evaluer et analyser l’insertion des médecins généralistes sur le marché du travail et leur profil de carrière surtout à leur point de départ professionnel. Quantifier notamment le phénomène de « pertes » de médecins actifs après obtention du diplôme. Etudier les facteurs déterminants (âge, sexe, professions des parents, etc).

Méthodologie 2 phases sont prévues : 1° Analyse de la pratique des médecins diplômés depuis 5 ans et leurs parcours dans les 2 communautés linguistiques (revue de la littérature, questionnaires) ; 2° Volet qualitatif avec entretiens de type « focus groups » auprès d’assistants en 2ème année.

Résultats attendus

S Strengths Collaboration inter-universitaire très large.

W Weaknesses Financement pas assuré malgré promesses ministérielles.

O Opportunities Problèmes de grande actualité: désaffection croissante de la profession médicale par les jeunes médecins, vieillissement de la population soignante active, pénurie à prévoir dans les suites du numerus clausus (dans certaines régions).

T Threats Sujet très sensible pour la profession.

Etat d’avancement/étapes parcourues

Entre mars et août 2005 : revue de la littérature, contact des experts et des personnes ressources.

Visibilité

Intérêt pour la médecine générale

Les effets de la régulation sont ressentis diversement parmi les prestataires de 1ère ligne : un soulagement par rapport à la pléthore en milieu urbain ou, à l’opposé, une crainte de pénurie dans d’autres régions. Tous les médecins ne s’orientent pas vers une pratique curative. L’enjeu de ce projet : évaluer la force de travail future en médecine générale pour adapter adéquatement l’accès à la profession.

Extension/reproductibilité du projet

21

« Fin de vie » Coordinateur/comité accompagnement

J. Vandevelde (SPF Affaires Sociales et Santé Publique), B. Abbadie (chercheur ULB), T. Mainil (chercheur UGent), M. Cosyns (UGent), M. Roland et M. Gilbert (ULB), B. Figa (Soins Palliatifs), M. Van Halewyn (UCL et SSMG), P. Firket (ULg), J. Menten (KUL).

Chercheurs responsables ULB

Bénédicte Abbadie, Michel Roland.

Temps engagé Un mi-temps pendant 7 mois.

Financement Ministère des Affaires Sociales et de la Santé Publique au travers du budget B4 des hôpitaux du SPF Affaires Sociales et Santé Publique.

Pérennité/récurrence financement

Le projet actuel est limité à l’année 2005 mais pourrait avoir des prolongements.

Partenaire(s) SPF Affaires Sociales et Santé Publique, UGent (UZ Gent et DMG), ULB (hôpital Erasme et DMG).

Objet et objectifs Préciser les conditions en relation avec la fin de vie, depuis l’acharnement thérapeutique jusque l’euthanasie. Matériel: déclarations à Commission d’Evaluation, déclarations de décès, dossiers multidisciplinaires, littérature scientifique. Proposer une nouvelle classification qui tienne compte des lois sur les droits du patient, sur les soins palliatifs et sur l’euthanasie. Proposer un document standardisé d’enregistrement en continu de ces conditions, aussi bien en institution (hôpital, MRS) qu’en ambulatoire.

Méthodologie Projet pilote qualitatif et quantitatif, groupe de réflexion multidisciplinaire, avis d’experts (méthode Delphi),.

Résultats attendus (outcomes)

Une classification normalisée et consensuelle des différents concepts relatifs à la fin de vie, un état de la question en Belgique, un questionnaire de suivi systématique de toutes les situations de fin de vie suivies médicalement.

S Strengths Approche à la fois qualitative et quantitative; un comité d’accompagnement très large garantissant la légitimité des résultats de la recherche.

W Weaknesses Des délais fort courts, justifiés par l’urgence de la situation: méconnaissance de la situation réelle sur le terrain depuis les 3 nouvelles lois: droits du patients, euthanasie et soins palliatifs.

O Opportunities L’intérêt du Ministre pour cette matière et son désir de réfléchir à la situation actuelle (notamment les divergences de pratique nord/sud), pour éventuellement la modifier sur base d’arguments scientifiques.

T Threats Le sujet de cette recherche est éthiquement très sensible.

Etat d’avancement/étapes parcourues

La revue de littérature et l’élaboration de la classification sont terminées. Le document d’enregistrement est quasi fini également, avant d’être envoyé aux experts pour avis.

Visibilité

Intérêt pour la médecine générale

Les 3 récentes lois sur les soins palliatifs, les droits du patient et l’euthanasie ainsi que le développement pluridisciplinaire des soins primaires confrontent de plus en plus les généralistes à ces problématiques complexes et souvent intriquées.

Extension/reproductibilité du projet

On prévoit 2 prolongements à ce projet : d’une part, l’introduction et l’évaluation du document de suivi dans la pratique clinique quotidienne, d’autre part la rédaction de propositions de modifications législatives au Ministre.

22

« Mammographies » Coordinateur/comité accompagnement

Michel Roland, Marco Schetgen, Jean-Michel Thomas.

Chercheurs responsables Marco Schetgen, Michel Roland, les étudiants de 2e doctorat.

Temps engagé

Financement DMG ULB.

Pérennité/récurrence financement

1 an.

Partenaire(s) Les étudiants de 2e doctorat, DMG ULB.

Objet et objectifs Analyse de la couverture préventive du cancer du sein par mammographie dans les patientèles des maîtres de stage de l’ULB. Analyse des causes de non observance.

Méthodologie Après avoir introduit les bases de la recherche en santé primaire lors du cours d’introduction à la médecine générale de 2e doctorat, il est demandé à l’ensemble des étudiants de récolter les informations lors de leur stage en médecine générale de 2e doctorat. Un questionnaire est soumis à chaque 1ère patiente de la journée, ayant entre 50 et 69 ans. L’ensemble des grilles sont analysées et le résultat est discuté en séminaire en fin d’année.

Résultats attendus (outcomes)

Sensibilisation des étudiants à la recherche en soins primaires. Détermination de la couverture des patientes de 50 à 69 ans en matière de mammographie chez les maîtres de stage par rapport à la population belge. Mise en évidence des causes de non observance.

S Strengths Travail facilité par le cours de 2e doctorat et la participation active des étudiants.

W Weaknesses Aspect pas toujours aléatoire du choix des patientes.

O Opportunities Expérience unique de sensibilisation à la recherché en soins primaries en 2e doctorat.

T Threats

Etat d’avancement/étapes parcourues

Récolte et analyse des données terminées. Analyse définitive à réaliser en particulier sur les causes de non observance.

Visibilité Résultats présentés aux étudiants et article soumis prochainement à la Revue Médicale de Bruxelles.

Intérêt pour la médecine générale

Amélioration de l’observance par rapport à la mammographie. Sensibilisation des étudiants à la recherche et à la prévention.

Extension/reproductibilité du projet

Chaque année, une recherche du même type sera menée avec les étudiants de 2e doctorat de l’ULB sur un thème de santé primaire.

Remarques personnelles

23

« Dossier médical et carnet de santé » Coordinateur/comité accompagnement

Chercheurs responsables

Temps engagé

Financement A trouver : Ministère Affaires Sociales et Santé Publique, au travers de la Commission Consultative « Normes en Matière de Télématique » ?

Pérennité/récurrence financement

Partenaire(s) ULB, UGent, (Ministère Affaires Sociales et Santé Publique ?).

Objet et objectifs

Méthodologie Revue de littérature, workshops, focus groups, phase de test pilote.

Résultats attendus (outcomes)

Etudier la faisabilité d’un carnet de santé, confié aux bons soins du patient, en répertoriant dans un premier temps les expériences nationales et internationales actuelles et en évaluant l’éventuelle amélioration de la qualité des soins à travers cet outil. Il s’agira ensuite d’élaborer un projet de carnet ( contenu et formes ) en collaboration avec tous les acteurs , y compris les patients, en lien avec les développements récents en matière de standardisation de l’information clinique et des progrès technologiques (informatique, dossier électronique et télématique). Dans une troisième phase, on essaiera de tester un tel carnet sur le terrain belge en évaluant les acquis pour le patient, pour les agents de santé et pour la qualité des soins au sens large.

S Strengths

W Weaknesses

O Opportunities

T Threats

Etat d’avancement/étapes parcourues

Projet en construction, partenaires et financement recherchés.

Visibilité

Intérêt pour la médecine générale

Extension/reproductibilité du projet

Remarques personnelles

24