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lit' ANAISE. N. 11E26 ABONNEMENTS a MY EX fr. mets 4$ Ira I a $2 semble un pu M. 'Louis Barthou accepte - de former le Cabinet ;offrait un caractère de nécessité. Le gouvernement Tfindieu avait promis « la pres,périté. a, et en effet le néo-capitalisme ratiOnali- Sateur se croyait en étal d'assurer à l'économie universelle une pros- périté sans mesure et sans; fin. AL Tardieu aurait duré si la prospérité avait duré. Mais la crise est venue, seringue par ses causes et par ses effets aux grandes crises du ma- chiniMme dans la première moitié du siécle passé. Ses contre-coups touchent déjà et menacent de tau' cher plus rudement la France. Le Malaise et le marasme ont rem- place la confiance et la bmne meur. On a vu tomber l'illusion de la production ; de la croissant. continue de in faculté d'achat et des profits, de la hausse ininterrompue des vaMurS..: M. Tardieu devait fatalement tomber aveC elle. L'affaire Oustric qui fut l'occasion déterminante de sa chute, m'est pas autre chose qu'un cas extrême de l'emprise du capitalisme financier sur les entreprises industrielles, et de la Lministère étslt blessé à gestion bancaire ou boursière de 'Mère. S'il s de finance sur l'inrie es , mort depuis la semaine der- ,es eldrePrises Mais le, rehlr'ddh: jeudi au Sn'était paénut, fi forribé suret; en dernière analySe, une COaaé- edé renversé à la Chambre dûs le qu'luee de th eud'eutruhuu de premier choc. Sa puissance de vie th rgtionalisation in dus trie Lies. était épuisée. Chaque incident il., L'affaire Oustric est venue la pre- Veau prêtait à l'opposition une Mitre ; à son défaut, la crise en 'force nouvelle, et M majorité, en aurait provoqué d'outres, et elle dépit de ses acclamations publi- 1 les provoquera sans doute, fluer sentait croître sa rancune et assistons donc un phé- sen désarroi. nombre de même nature que les il y aurai; de le lé,èret, réceMes élections américaines, et prit per,s g..îruepsept, même que les dernières élections qui semblait il y a quelques mois alternait des, c'est-à-dire contre-coup parlementaire de l'é- UN REVel, Le a Midi Socialistes ayant refusé. d'obtempérer d cette mise en de-1 meure' qui déniait la presse le1 droit d'apprécier les Petah. Faiblis' nues d'un acte Publie, et 'Mi, Part surcroît, mettait en cause plusieurs' ee - tiers, lesquels auraient eu le droit del rectifier, se vit traduit 'en justice. 1 La justice, à Toulouse, est comme partout t elle est rendue par des hommes. Et les hormone, d Toulouse, sont, comme partout t ils ne sont pas do, bois; ils ne sont pas des dieux. .1 Et ils aiment, tomme partout, montrer, le ms échéant, quelque' gratitude à leurs Protecteurs. Bref, le « Midi Socialiste s fut Condamné â insérer R littérature de monsieur le délenté. Aussittit, la a Dépêche a, plus pers- sée que nous de fournir au monde la primeur d'un chef-d'oeuvre, R Publia dans ses cotonnes a in extenso s, sous le fallacieux prétexte de relater Ira débats, bien qu'elle sût entrain- tention de faire appel, et que cet Or, /a rectification de M. Héluel contenait une aPPrécistieu de la visite faite par l'archevêque à Muret, et de l'altitude, à ce propos, du maire de Muret, Vincent Auriol. Ce dernier, explicitement nommé et voyant ses actes municipaux in- t,essorStSs inexactement, adressa sus- etattlea iircehleetstre ver' Pressa de mettre au panier, en se vantant, par écrit, qu'elle ne Pins& rers VIL/lat. Aurid, fort de 'arrêt gel niait de condamner le e Sons- pour un refus analogue, cita Uêlesehe > en justice, devant la Rédactlem AstenhtlettnatIma s Reee Requelakee TOULOUSE Tel 0.4 C. postaux S.Z77 BUREAU% A PARIS 2S. r*. Feydeau I2e Arramlimemro0 e Télétehone Gutenhera 76.5% 61-211 L'adné dans la crise des forces capi- e'm h 'issue Mh'Iuun 'efo'yZdteleat'n'éeliial'int e nécessaires. En séalité, d a été en- ud talistes dont il était l'expres'sion iiipp prise -croule- a été évoquée, hier après-naidi, Hier après-midi, devant le tribu- juridiction même qui nous avait con- nal correctionnel de Toulouse, a été damné. évoquée l'affaire Vincent Auriol eon- L'affaire, après plusieurs renvois, tee n . . trépérbe s, On sait de quoi il retourne. Nous l'avons indiqué au moment torture ou le maire de Muret a intenté C'est notre ami Messaud qui plaide son < mgatie d, Is doms' pour Vincent Aumol, et M. Devras, ',neje s, ancien bâtonnier, plaide pour la 1,5 FOND e Dépêche ad ' Notre camarade, dès le début, in- Reppelons-le en queldqeputéues moties;s t dique bien qu'il ne s'agit pas ict de Un jour, M. Bélum, ,rad e o ouse, cils e s Midi Surir- liste > en justice Parce que nous avions apprécié un de ses discours s, avec sévérité. Il voulait nous faire F proclamer que ce discours méritait, '7 de passer lais postérité, site prou-1 ver à nos lecteurs par des mOrceaux choisis de son éloquence. Choisis par lui. NuiraLéon MESSAUD transporter au prétoire les passions politiques et qu'il s'agit simp/ement de préciser les limites du droit de reponse et du droit d'information. Et il rappelle les faits, sans faire la moindre incursion dans des domaines étrangers aux débats, Lc fond du procès est double., Il y a deux assignations. La première motivée par le refus d'insérer la réponse au Jugement où Vincent Auriol est nommé; la deuxième motivée par le refus d'in- sérer une nouvelle reponse mires- sec à la a Dépêche > hr suite de l'article où M. Huc affirnait qu'il sari/sait toute hmpitalité dans ses colOnnee au demsnflend No. ne suivrons pas Messaud dans sa démonstration juridique, bourrée de documents, de textes et DEBOUT, LES MORTS! introduit auprès d, U. Doumergue, de, concentration lui la dus t prendre .de jour en jour une Impur- . lance plus aiguë t chômage, taux des _salaiees, durée de la journée de' travail. C'est aussi sa position vis-à-Vis du problème international dont lajsolutiOn commande tous les effOrts; peur pallier les effets de la crise économique ; l'organise- han, de la paix et le désarmement LEON BLUM M. PAIPLEVE SOCIALISTE - Alors, à qui selon vous, s'adret,- serait M. le président A M. de Jouvenel, car c'est le vainqueur dais séance. a Tandis que s'éloigne NI. Hervey, dont le sourire est ambigu M. POINCARE A L'ELYSEE , arrive M Gue intérieurs qui sont destinés â surmoi a0 0Ely.60, tua ournalates. Cliché Record s. icaruitaitràoulvaerCe.amhrye D"d'edne'L une seule ; mais'eelensera ms il n'.t yen taissi de mettre d. 'a oord rrica:it4s qui se sont bat- tue, jusqu à hier, d une façon aumi ardente ». UNE DECLARATION DE M. PATNLEVE Entonré par les journalistes, au moment chuù il quitte le palais créai' dentiel, M. Paul Painlevé fait cette Uelaration e « Mon im,pression personnetle est que le Sénat n'au pas voulu dres- ses un bloc contre un bloc. Il faut sonder 'es deux tro.nçons du parti republicam s'étaient séparés bien ',bis ab rani. dee cireonstan- cos cpt h .1 m.,. d une animosite personnelle. « Un ministère de conciliation et de réconciliation est nécessaire pour la politique étrangère qui passe ac- tuellement un meme,nt difficile pour la solution de la crise économique et d'autre part pour liquider baf- fe:ire dos scandales financiers lesquels le publie devra Cire entière- ment éclairé, amis qui ont été de beaucoup exagérés. Comme on signale à, l'ancien pré- sident que le nom de M. Louis Bar. thou prononcé avec insistance, il répond « M. I3arthou me semble, en effet, répondee usiez bien à la rèsie du Croyez-vous, demande-t-on en mer à M. Painlevé, que la arise se- ra longue et saveovotte si le prési- dent sera bientôt au texrue des con- sultatjons 7 Je pense, répondtbil, qu'aprR avoir passé par le phase des consul- tations, M. Doumergue est entré d 1, h s'Us. de la solu- tins de la crise qui sera résolue II 'faut l'espérer d brève échéance. lais 'j'insiste sur ce peint Un cabinet Ide consiliation et..de réconciliation 'est le plus softhailablo. et de jurisprudence. Cerne est non. veau. Le jugement que Pon vo ren Me fera poison..., Et voilà Deyres sortant ses auteurs et, pour déterminer un juge- ment favoratale, citer de nombreux antécédents qu'il croit sPP.rem.mst, applicables ce cas qualifié, Pur de nouveau. Il ressort de ses exPlisatio. nus , A 10 h 4.5 M Pr edérie Brunet sa is,ed reein, nu, nnuideni cime du neo-capitalisme. C'est es- Paris, fi décembre. Le ',Inside". , mssipeure,. eepses de se sez dire umuel devra être, selon moi, de le Ilépitiajunte s roPtis.. rusue ses, plue profondes et plus dr[dulgs7viueer: norirsj,lrAgIrp'1=centedeu Ce qui devra la dicter, c est la po- m. prpi d.1,41piepr, pohliaus. Et cette crise elle-Même h républieoins socialistes, est ensuite gouvernement d'entente, car le mot L'Affaire Vincent Auriol contre la " Dépêche " au tribunal correctionnel de Toulouse. Le tond de la cause. Les plaidoiries. d'mrêts faisant jurisprudence et qui prouvent à l'évidence cab Vincent Auriol M'ait le droit strict, d'abord de réclamer rectification d'un papier où ses faits et gestes publics sont présentés inexactement el appréciés tendancieusement; ensuite d'est- ger que la réponse insolente de M. Arthur Huc fût sanctionnée d'une riposte de la mémo encre et sur le tir môme ton. - Mcssatid, .du reste, puise .son anitiaceut tourment niême du tribunat devant lequel il plaide et qui, au printemps dernier, a condamné le a Midi Socialiste a. H publier une réponse de M. Pétrel, sous prétexte que celui-ci avait esti- mé son éloquence podementaire trop séve.ement appréciée. e C'est vous-inêm, messieurs les juges, qui avez con.damné par anti- cipation la s Dépêche a insérer lorsque, dans an cas identique, vous avez condamné tl'insertion le n Midi >Socialiste >, s'am., en terminent, M Messaud, LE PLAIDOYER DE M. DEYRES L'avocat de la e Dépêche > veut, lui aussi, ne plaider que le fond et marque sa réprobation de toute in- cursion de la politique au prétoire. C'est pourquoi nous le m'Yens se lancer dans une longue algologie de la Dépêche en tant qn'orgsne politique et s'étonner qu'en suris- liste intente un proeds politique tun journal qui s'honore d'avoir pour collaborateurs d'illustres metahs. tes t Paul-Boneour et limite Vander- velde On se demande, dés lors, pourquoi elle est si revêche l'égard d'Auriol. Mais l'avocat ne cherche Pan à exPE- rimer cette dualité d'attitude. Le procès d'aujourd'hui n'est qu'an épisode de la lutte politique locaR. SL Béton t f 't 1 ns, le a Midi Socialiste n, les mnis de ce dernier veulent faire condamner la e Dépêche n. Pancinn bâtonnier estime que Vincent Auriol a été bien mal inspiré, et que cette chicane n'est pas digne de ce Psrlementeire si puissant et dont parlent quoti- diennement tous les marneux. L'avocat de la e Dépche >, ayant ainsi montré Mell oubliait . le demandeur était, non pas le député, mais le maire de Muret, agissant su nom do la reses.palité qu'il pré- side et en plein accord avec elle, se résigne enfin d aborder le fond. Il n'y st pas, selon lui, s'embar- tasser, en cette matière, d'autorités Es el. Ft CEL.Oei 1E tendis qu'arrive M. erysey. , A 10 h. 10, arrive M. Frédeeie Alors quel homme voit-on Brunet, du groupe du parti soeialie- Je voie ptusieurs homme-. mais La ville en fièvre et en rumeur - Au sein du grand stade te françacis. âolifi bon donner des .nonis. s M . Elervey s'en va et dit Cornai de gants - Gemment, autre dimanc P l'ue, aha « Je pense que M. Poincaré est le qu'il «a expali'ee'i'LmsPoineeariVp's.'r plus indiqué, ms.is je ne mois pas cetR indicatMu sur l'issue de la fut détail par Cernera - Psychologie des foules ile à resoudse car il y s nne infe- « La. crim ne sera. pas fa- Ce. M. Poincaréurilià h. 15, esoemi de l'auto o -cm e en, pers- le publication d'un jugement faite . de bonne foi, sans eonementairm, v :v nomme celle que flt la a DéPêche >, 0 ne saurait entraîner un droit de s réponse pour des tiers qui an treise,; vent DOntinléa, qualifiés, aPPréeies. 1, Nous n'indiquerons Pas °omble» parut faibe et semée de contradic- tions cette thèse de la défense, bornant à chercher appui dans des jugements antérieurs sur 0e9 affai- res sans analogie avec l'affaire en discussion suleurd'huL L:1 REPLIQU EDE MESSAUD s Mais faut souligner la réplique , immédiate et foudroyante de Mes. saud, qui se lève tenant en mains ta e Dé êch > Vous dites que la publication P fut faite de bonne foi ? e Soit I ne discutons pas là-des- m 5113. voua dites qu'elte s été m faite sans commentaires e e C'est donc que je n. mis Pm 10. lire ou que j'ai Ls vue double. a I/ y a des eommentaires, qui sont br « J'irai ensuite rendre visite à M. oincaré puis d M. Tardieu, et en- in à M. Briand. Je ne reviendrai as ne mis à PElyséet ce n'est que olemain, vers la fin de l'après-midi, ue j'irai mettre le président de la &publique au courant des premiers ésultate de mes eonvarsations. a volonté d'aboutSs et il est très aisemblable que cette nuit, cos- rairoment à mes habitudes, tinsi endre plusieurs visites à des per- onnalités politiques. LES PREMIERES DEMARCIIES désobligeants pour le condamné. Ils, sont dans le préambule qui Préo6de P le texte du jugement; ils sont dans le gens titre qui précède le tout et qui vaut, â lui seul, un article, par son allure polémique; ils sont dans les sous-titres dont on a parsemé le jugement. r, Le texte du tribunal est un, Il n'a pas de titres. vr Enfin, s'écrie Messand, la a Délié- t cube > a publié ce jugement à titre r d'information et non PaS Par n nance du tribunal Pire as ...- traire, le tribunal a relief d M. Be- lue/ cette insertion dans les autres journaux qu'il avait demandée. a Ce nRst donc oas en venu de la volonté de la justice mois, au con- traire, en quelque sorte, malgré /a volonté de la justice que la « DéPé- ohe s a publié. , e Elle a drupe simplement une' h information, Elle l'a donnée ses risques et périls. La Diêm de la p défense s'écroule d'un seul coup. s B Et c'est tellement vrai, tellement visible que M D.eyres lève tes bras au ciel désespérer.. niais ne ré- pond rien. Le jugement sera rendut rote- mine. Nous l'attendons, avouons-le, avec impatience. Mais nous devons signaler quo le c, Président, M. Moulins, n'est pas eelui qul condamna /e e Midi Socialiste s, au printemps dernier. Et nous ne dissimulons P55 notre décePtion actuelle, al la que nous aurions éprouvée, voir M. Moral lire, dans quinze jours, sa aouvelle sentences quelle qu'elle te L. orme . y J'ai l'im,pre.ion que M. Dou- mergue ne t d p p peine a r=bl'iCet arc embuons. r, « Le président de la République ayant terminé ses consultations, e fait appeler a la fin de la matinée M. Pomrsré et lui a offert la mis- F. 1301.0SeDN, présid.nt de la G/ombre ion de constituer le nouveau °subi. DE M. BARTHOU M. Louis Barthou qu'aocompa- surit M Maginot est arrivé à 17 h. Ou su domicile de M. Peinasse, Les trois .pèrsonnalités ont eu un ntretien que a muet extutement une eure. En ,sortant de l'hôtel de l'ancien résident de la République M. Louis arthou nous s déclaré y J'aj vu M. Doumer, je n'ai pu rencontrer encore M. Bouisson que je tâcherai de joindre dans quelques estants à la présidence de la Chas, e e viens, t Y , a 'avoir un assez long entretien avec M. Poinearé De oe P. je ms rend. u Ministère de l'intérieur où Ves- ère pouvoir m'entretenir avec M. erdieu asserai ensuite à la présidence de Chanabro puisas minlistère des Affaires étrengères. M. Barthou continuera ses visites suces Med dans la nuit. Il est obvir inden sortira rien i et qu'il faut attendre 94 heures pour sosiese sults, 25 CENT. « Des homme: mes nouveaux. s Et voilà rmr Barthou! II y a des m MMANOM DRMMILI IBO nouveaux I Des honv uoi nous avons qui ont la vie dure. fr,,di'ant pressiet e.rt osa de perron. i.)M rvest i o 'rina tt le président est de plus en plus berme- igue. e Encore hien moins subi., je000'i-il as lms.suut 7 Peut-etre en. En sortent de l'Elysée, à Midi 10, M. Peines. remet aux journalistes la note murante : M. R président de la République M'a offert la présidence du conseil et a beaucoup imisR pres de moi. J'ai oû lui répondre quo ir orme sentais pas encore en état d a.0 mer une charge aussi lourde et que p.,judrep, inférieur à P01tsu orOnate Barre/one od male. /tete toutes tes coi-ridés sourit te bâche,os ems..0. urê,. monsencaM 1m. Sans rien ajouter, M. Poinoase s'éloigne. 11 faut voir Hermione, un jour ou la fièvre l'habite. D'abord, il y a le solen. LE COMMUNIQUE DE L'ELYSEE Imaginer um ville d'Espagne, sans le solil, est-ce sMle? C'est u avantage qu'elle a sur les autres villes du monde, car Theop.le Gautier prétendait MiS que « le .soleil est un lustre supérieur qui a le privilège de ne pas répmdre d'huile et que /e gaz lui-même ne l'effacerait pas de longtemps ». Donc, ce jour de novembre, il faisait chaud. La Rambla avec ses magasins, ses bars, ses cafés, ses buvettes, ses kiosques à jour,. offrait . mpect bien réjouis- sant Des marcbmds de gros radis rou- ges, de billets de la tanmuse loterie de Noël, de Istessastines ou d'écrevisses, de noix de cocia, de sandwichs, des ,jolies filles a. lèvres .develoura humide, des joueurs de .guitars, quelques élégants assez rares, vêtus d J'ancienne, tout tiers ; de leurs capes, des mendiants fiers de leurs haillons, des musiciens et dex aveugles qui font mule, dam les rues de la ville des refrains suraigus. Ai..s ce/a les taxis dont l'allure est vertigba, se, les trams qui, comme d. bolides, aie salent à toute vitesse dans la vieille ville par un labyrinthe de couloirs bordés de maisons bleues, vertes, roses, Dunes, vie lettes, Ranches ou posrpres, aux fenêtres ''ImMseaPês, 4"UPSYM.M.-.)0«.00.040 balcons ouvrages comme Ses éventalls ou 'lava les larges allées aux longues perspectives de la nouvelle Bereelone. Pelade moi, un vieux monsieur, vrai- , semblablement de la v,eille Espagne, . étonné de l'acuité d'un nuoulte plus in- du combat mruble réduit à de inesquines proportions. La foule enserre tout, elle s'accroche droite, à gauche, aux flancs du stade. Une immenm rumeur flotte comme un brouillard de brait au-dessus d'elle. De cette frise Ondoyante, oscillan- te, mille fois mouvante les interjections fumnt. Les bras s'agitent avec frénésie; les mains levées saloon, d'autres ruine, mouohoirs de chair. Du Mie du soleil pel- pitent rt scintillent des milliers d'éden. tails et de petits parasols ronds, emmm- chés dans des baguettes de roses. On dirait d..seins d'oiseaux aux couleurs chanseentes, essayant de prendre leur voL Et dans cette large arène, pas mu roui videl Voilà pour te cadre. Hant au cambré lui-même, je cous en ai télégraphié bru- tes, On y peut revenir, parce qu'il noua permit de ;mes co. fouie, d'essaVer la pénétrer dans ses ...renies et ses inteuroon. Ouest Won, elle fut l'acteur principal de cet évênenent sponif. Tre's quarts dLteure durant:es se soulagea. en cris, en applaudissements. en invectims. Chaque fois que son faVarl Paalino émit dominé, sa getale voix s'abattait sur le ring, en une clameur de forte décept en; msscr.nir t te chasse, elle .Stie applaudisSements et en « elles » sonne, aux courses de museaux. Urt taureau, c'est ban l'animal auquel on peut comparer Paulino, et la COInpad raison n'est pas Ramann putayae les ood pagnols vénèrent cet animal d t'égal d on Dim. On sait que le taureau Paolbo gs tête baissée, les poings en avant, une route prefitsble, semée de dollars, dam t'Aman lue anglomaxonne. S'il hong as- sez mat, il happait très fort 11 atou'e tance sans doute qu'a l'ordinaire, s'a. dressa é un jeune garçon Que bey, nino? L'antre, un gamin sm cheveux coupes ers, su nec euriensaveor et dépenaillé, comme dut en peindre Goya, fixa son vénérable interlocuteur, à ses pros ne nombre resSeetabt, d'houe encense insolence draie. en chair et en os plus d'os que de 11 y a, senor, dit-il, une « bataille cher et it parvint presque ï enir en - Ielfee"ninUlost M. ' ur. cfe omcaré a répondu que son émt de r.7 e'rneeltrel 'secee'; er cette mission ». -M. BARTHOU ACCEPTE EN PRINCIPE Pari, 6 dZeembre. A 10h00, 30, M. Louis Barthou., que M. Jules Sh- aba, semétaire general éMit ald hercher dans une voiture de la pré- idense, arrive à l'Elysée. Il est aussitôt introduit auprès u eh.of de l'Etat. En quittant le palais de bEiveie, M. Bartho.0 ddelare « J'ai éte sp- e.e a la suite du refus de M. Pom- a.; le chef de l'Etab m'a e.fie la ismon fie formté le Cabinet. J'ai accepté en prinelpe ; je vais corn- e.ce mes consultations. Vous vous mites bien que dans les cire.. tances actuel]ea elles seront nom- Le mont rtblego, rosat ail quelque SOS eeetree, domino acrocione ou eus., je mis me rendre d'abord côté opposé ,1 la 'nez. A son mira., dcc attractions menet/est le Lune- hes lez présidents des deux Cham- latrie dos Parisiens. de boxe entre el Cernera et notre Paul, échec l'actuel champion du monM, no. Mais, ajouta-t-il, en fixant lee eh. lemme' Max Schmeling. veux blancs du monsieur, on n'y conduit Cerne,. erra,nl su reps psohéder. pas les enfants . me. Il pèse me kilos et chausse du 56 000 de pointure. Il surprit agréablement un e, Oser d.s eu,Silojoud à Fardeaux, le boxeur Paul Jour. Mt, mou Vu., P.'ha. C.r., née, alors qu'il s'exhibait dans une la, si, à chaque minute, à chaque seconde, ,ersieei M. Jour, admins les dialogues des sens que I'm mmell- les mains de Paul Cornera. C'étaient del trsit yu se eh.ea..'le anus ruppeles mains tonnerre, de véritables battoim, les dem pugilistes. tournée mmprit que les mains de M, Après le déleun.er, insensiblement la cerner,. sterneclicoc cm bics mcmécc.. foule qui se dirigeait tout entière vers ponsaie, ;sire uea reseees, t u cond, suul eudmil ....m'us sur je heu de 0m qu'aes atteignent leur but, dans leo la rencontre . cerc/es enchantés de-Fiance ou d'Amé. Nous Mmes ainsi, dès le dtbut de l'a- tique. D apprit la boxe au jeune Carne« prês-midi, incorporés au grand stade, ra, la oan; esvait alors que vingt an, fierté des Barmlonais, échancrure large M. leurs, jasje, ,e,s dans is colline, au pied de la vieille es mana, eu; seeemee, sinistre forteresse de Montjuieh, linagm nouveau boxeur Camera en Amérique, de la Grecs antique, c'est à vous que ro0 où le mastodonte italien fit la mules*. pense d'abord, quand les yeux M lame. que l'on sait. sur le décor naturel qui nous environne r 000 une large pelouse verte soigneusement Ce fut . choc émouvant, Victor Hugsi râtissée; une piste couleur d'ocre, aux rst rit oc oombal In gendre. ue vifs.. m'ends m'eu" la Côté nubile, R diapason était Rénal. d'une main tendue. Mais n'est maintenant que de bien que. regarder. Dans Une ouvertureà Phorl- Anda, dPaulino, criaient, tOugueusez zon, des cheminées d'usines, le passage me. Pres eem mille vo x. On eût des autos rapides et bruyantes, des avions aus ms gens commandaient da. le cieL voilà m que nous voyons. ITan.ol de battre l'italien et qu'ils Sur le terrain de sport, l'enveloppe ma ...,Stcsili"1:17,,,iquaejeui; aLssile_riidzittse. tallique d'un poste de T.S.F., d'immenses ; eyeeieues, Iee repe de le dire en dehors de ce chauvinis« les sommets vivent au frLsson des dm- sie sPortit, si et...peso dms Psm Ise T qu'un moyen bruyant, mals bonen« sit d'exprimer ses sentiments, de se bésef brutalement. Le malheur te que l'Italien ne cotiser, dt nullement à a. laisser taire et le matelS Ir mem es echerameat Oatud lI. eet pea. .1h/colores, tout cela nous situe sans conteste au vingtième steel°, es ce contraste de l'ordre naturel st de l'ordre scientifique rand plus émouvant encore l'hymne qui monte du stade. Reus un 5151 .1 vaste. le suedrilstère Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Des honv mes nouveaux. s SOCIALISTE - rmrimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1930/B315556101_MIDSOC_1930... · prit per,s g..îruepsept, même que les dernières élections qui semblait

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lit' ANAISE. N. 11E26

ABONNEMENTS aMY EX fr. mets 4$ Ira I a $2

semble un pu

M. 'Louis Barthou accepte- de former le Cabinet

;offrait un caractère de nécessité.Le gouvernement Tfindieu avait

promis « la pres,périté. a, et eneffet le néo-capitalisme ratiOnali-Sateur se croyait en étal d'assurerà l'économie universelle une pros-périté sans mesure et sans; fin. ALTardieu aurait duré si la prospéritéavait duré. Mais la crise est venue,seringue par ses causes et par seseffets aux grandes crises du ma-chiniMme dans la première moitiédu siécle passé. Ses contre-coupstouchent déjà et menacent de tau'cher plus rudement la France. LeMalaise et le marasme ont rem-place la confiance et la bmnemeur. On a vu tomber l'illusionde la production ; de lacroissant. continue de in facultéd'achat et des profits, de la hausseininterrompue des vaMurS..: M.Tardieu devait fatalement tomberaveC elle.

L'affaire Oustricqui fut l'occasion déterminante desa chute, m'est pas autre chosequ'un cas extrême de l'emprisedu capitalisme financier sur lesentreprises industrielles, et de la

Lministère

étslt blessé à gestion bancaire ou boursière de

'Mère. S'il s de finance sur l'inrie es ,mort depuis la semaine der- ,es eldrePrises Mais le, rehlr'ddh:

jeudi au Sn'était paénut,fiforribésuret; en dernière analySe, une COaaé-

edé renversé à la Chambre dûs le qu'luee de th eud'eutruhuu de

premier choc. Sa puissance de vie th rgtionalisation in dus trie Lies.

était épuisée. Chaque incident il., L'affaire Oustric est venue la pre-Veau prêtait à l'opposition une Mitre ; à son défaut, la crise en'force nouvelle, et M majorité, en aurait provoqué d'outres, et elle

dépit de ses acclamations publi- 1 les provoquera sans doute,fluer sentait croître sa rancune et assistons donc un phé-sen désarroi. nombre de même nature que les

il y aurai; de le lé,èret, réceMes élections américaines, et

prit per,s g..îruepsept, même que les dernières élections

qui semblait il y a quelques mois alternait des, c'est-à-direcontre-coup parlementaire de l'é-

UN REVel,

Le a Midi Socialistes ayant refusé.d'obtempérer d cette mise en de-1

meure'qui déniait la presse le1

droit d'apprécier les Petah. Faiblis'nues d'un acte Publie, et 'Mi, Partsurcroît, mettait en cause plusieurs' ee -

tiers, lesquels auraient eu le droit delrectifier, se vit traduit 'en justice. 1

La justice, à Toulouse, est commepartout t elle est rendue par deshommes.

Et les hormone, d Toulouse, sont,comme partout t ils ne sont pas do,bois; ils ne sont pas des dieux. .1

Et ils aiment, tomme partout,montrer, le ms échéant, quelque'gratitude à leurs Protecteurs.

Bref, le « Midi Socialiste s futCondamné â insérer R littérature demonsieur le délenté.

Aussittit, la a Dépêche a, plus pers-sée que nous de fournir au monde laprimeur d'un chef-d'oeuvre, R Publiadans ses cotonnes a in extenso s,sous le fallacieux prétexte de relaterIra débats, bien qu'elle sût entrain-tention de faire appel, et que cet

Or, /a rectification de M. Héluelcontenait une aPPrécistieu de lavisite faite par l'archevêque à Muret,et de l'altitude, à ce propos, du mairede Muret, Vincent Auriol.

Ce dernier, explicitement nomméet voyant ses actes municipaux in-t,essorStSs inexactement, adressa sus-

etattleaiircehleetstre ver'

Pressa de mettre au panier, en sevantant, par écrit, qu'elle ne Pins&rers

VIL/lat. Aurid, fort de 'arrêt gelniait de condamner le e Sons-pour un refus analogue, cita

Uêlesehe > en justice, devant la

Rédactlem AstenhtlettnatIma s Reee Requelakee TOULOUSE Tel 0.4 C. postaux S.Z77BUREAU% A PARIS 2S. r*. Feydeau I2e Arramlimemro0e Télétehone Gutenhera 76.5% 61-211

L'adné dans la crise des forces capi- e'm h 'issue Mh'Iuun 'efo'yZdteleat'n'éeliial'int enécessaires. En séalité, d a été en-ud

talistes dont il était l'expres'sion iiipp prise -croule-

a été évoquée,hier après-naidi,

Hier après-midi, devant le tribu- juridiction même qui nous avait con-nal correctionnel de Toulouse, a été damné.évoquée l'affaire Vincent Auriol eon- L'affaire, après plusieurs renvois,tee n

. .trépérbe s,

On sait de quoi il retourne.Nous l'avons indiqué au moment

torture ou le maire de Muret a intenté C'est notre ami Messaud qui plaideson < mgatie d, Is doms' pour Vincent Aumol, et M. Devras,',neje s, ancien bâtonnier, plaide pour la

1,5 FOND e Dépêche ad' Notre camarade, dès le début, in-

Reppelons-le enqueldqeputéues moties;s

t dique bien qu'il ne s'agit pas ict deUn jour, M. Bélum, ,rad

e o ouse, cils e s Midi Surir-liste > en justice Parce que nousavions apprécié un de ses discours s,

avec sévérité. Il voulait nous faire Fproclamer que ce discours méritait, '7

de passer lais postérité, site prou-1ver à nos lecteurs par des mOrceauxchoisis de son éloquence. Choisispar lui.

NuiraLéon MESSAUDtransporter au prétoire les passionspolitiques et qu'il s'agit simp/ementde préciser les limites du droit dereponse et du droit d'information.

Et il rappelle les faits, sansfaire la moindre incursion dans desdomaines étrangers aux débats,

Lc fond du procès est double.,Il y a deux assignations.La première motivée par le refus

d'insérer la réponse au Jugement oùVincent Auriol est nommé; ladeuxième motivée par le refus d'in-sérer une nouvelle reponse mires-sec à la a Dépêche > hr suite del'article où M. Huc affirnait qu'ilsari/sait toute hmpitalité dans sescolOnnee au demsnflend

No. ne suivrons pas Messauddans sa démonstration juridique,bourrée de documents, de textes et

DEBOUT, LES MORTS! introduit auprès d, U. Doumergue, de, concentration lui

la dus t

prendre .de jour en jour une Impur-. lance plus aiguë t chômage, taux

des _salaiees, durée de la journéede' travail. C'est aussi sa positionvis-à-Vis du problème internationaldont lajsolutiOn commande tous leseffOrts; peur pallier les effets dela crise économique ; l'organise-han, de la paix et le désarmement

LEON BLUM

M. PAIPLEVE

SOCIALISTE -

Alors, à qui selon vous, s'adret,-serait M. le président

A M. de Jouvenel, car c'est levainqueur dais séance. a

Tandis que s'éloigne NI. Hervey,dont le sourire est ambigu M. POINCARE A L'ELYSEE, arriveM Gueintérieurs qui sont destinés â

surmoi a00Ely.60, tuaournalates.Cliché Record s.

icaruitaitràoulvaerCe.amhrye D"d'edne'Lune seule ; mais'eelenserams il n'.t yen taissi de mettre d.'aoord rrica:it4s qui se sont bat-tue, jusqu à hier, d une façon aumiardente ».

UNE DECLARATIONDE M. PATNLEVE

Entonré par les journalistes, aumoment chuùil quitte le palais créai'dentiel, M. Paul Painlevé fait cetteUelaration e

« Mon im,pression personnetleest que le Sénat n'au pas voulu dres-ses un bloccontre un bloc. Il fautsonder 'es deux tro.nçons du partirepublicam s'étaient séparésbien ',bisab rani. dee cireonstan-cos cpt h .1 m.,. d une animositepersonnelle.

« Un ministère de conciliation etde réconciliation est nécessaire pourla politique étrangère qui passe ac-tuellement un meme,nt difficile pourla solution de la crise économiqueet d'autre part pour liquider baf-fe:ire dos scandales financierslesquels le publie devra Cire entière-ment éclairé, amis qui ont été debeaucoup exagérés.

Comme on signale à, l'ancien pré-sident que le nom de M. Louis Bar.thou prononcé avec insistance, ilrépond

« M. I3arthou me semble, en effet,répondee usiez bien à la rèsie du

Croyez-vous, demande-t-on enmer à M. Painlevé, que la arise se-ra longue et saveovotte si le prési-dent sera bientôt au texrue des con-sultatjons 7

Je pense, répondtbil, qu'aprRavoir passé par le phase des consul-tations, M. Doumergue est entréd 1, h s'Us. de la solu-tins de la crise qui sera résolue II

'faut l'espérer d brève échéance. lais'j'insiste sur ce peint Un cabinetIde consiliation et..de réconciliation'est le plus softhailablo.

et de jurisprudence. Cerne est non.veau. Le jugement que Pon vo renMe fera poison...,

Et voilà Deyres sortant sesauteurs et, pour déterminer un juge-ment favoratale, citer de nombreuxantécédents qu'il croit sPP.rem.mst,applicables ce cas qualifié, Purde nouveau.

Il ressort de ses exPlisatio. nus

, A 10 h 4.5 M Pr edérie Brunet

sais,ed reein, nu, nnuideni cime du neo-capitalisme. C'est es- Paris, fi décembre. Le ',Inside".,

mssipeure,. eepses de se sez dire umuel devra être, selon moi, de le Ilépitiajunte s roPtis..rusue ses, plue profondes et plus dr[dulgs7viueer: norirsj,lrAgIrp'1=centedeu

Ce qui devra la dicter, c est la po- m. prpi d.1,41piepr,

pohliaus. Et cette crise elle-Même hrépublieoins socialistes, est ensuite gouvernement d'entente, car le mot

L'Affaire Vincent Auriol contre la " Dépêche "

au tribunal correctionnel de Toulouse.

Le tond de la cause. Les plaidoiries.d'mrêts faisant jurisprudence et quiprouvent à l'évidence cab VincentAuriol M'ait le droit strict, d'abordde réclamer rectification d'un papieroù ses faits et gestes publics sontprésentés inexactement el appréciéstendancieusement; ensuite d'est-ger que la réponse insolente deM. Arthur Huc fût sanctionnée d'uneriposte de la mémo encre et sur le

tirmôme ton. -

Mcssatid, .du reste, puise .sonanitiaceut tourmentniême du tribunat devant lequel ilplaide et qui, au printemps dernier,a condamné le a Midi Socialiste a. Hpublier une réponse de M. Pétrel,sous prétexte que celui-ci avait esti-mé son éloquence podementaire tropséve.ement appréciée.

e C'est vous-inêm, messieurs lesjuges, qui avez con.damné par anti-cipation la s Dépêche a insérerlorsque, dans an cas identique, vousavez condamné tl'insertion le n Midi>Socialiste >, s'am., en terminent,M Messaud,LE PLAIDOYER DE M. DEYRESL'avocat de la e Dépêche > veut,

lui aussi, ne plaider que le fond etmarque sa réprobation de toute in-cursion de la politique au prétoire.

C'est pourquoi nous le m'Yens selancer dans une longue algologie dela Dépêche en tant qn'orgsnepolitique et s'étonner qu'en suris-liste intente un proeds politique

tunjournal qui s'honore d'avoir pourcollaborateurs d'illustres metahs.tes t Paul-Boneour et limite Vander-velde

On se demande, dés lors, pourquoielle est si revêche l'égard d'Auriol.Mais l'avocat ne cherche Pan à exPE-rimer cette dualité d'attitude.

Le procès d'aujourd'hui n'est qu'anépisode de la lutte politique locaR.

SL Béton t f 't 1 ns, lea Midi Socialiste n, les mnis de cedernier veulent faire condamner lae Dépêche n. Pancinn bâtonnierestime que Vincent Auriol a été bienmal inspiré, et que cette chicanen'est pas digne de ce Psrlementeiresi puissant et dont parlent quoti-diennement tous les marneux.

L'avocat de la e Dépche >, ayantainsi montré Mell oubliait . ledemandeur était, non pas le député,mais le maire de Muret, agissant sunom do la reses.palité qu'il pré-side et en plein accord avec elle, serésigne enfin d aborder le fond.

Il n'y st pas, selon lui, s'embar-tasser, en cette matière, d'autorités

Es el. Ft CEL.Oei 1Etendis qu'arrive M. erysey. ,

A 10 h. 10, arrive M. Frédeeie Alors quel homme voit-onBrunet, du groupe du parti soeialie- Je voie ptusieurs homme-. mais La ville en fièvre et en rumeur - Au sein du grand stadete françacis. âolifi bon donner des .nonis. s

M . Elervey s'en va et dit Cornai de gants - Gemment, autre dimanc Pl'ue, aha« Je pense que M. Poincaré est le qu'il «a expali'ee'i'LmsPoineeariVp's.'rplus indiqué, ms.is je ne mois pas cetR indicatMu sur l'issue de la fut détail par Cernera - Psychologie des foules

ile à resoudse car il y s nne infe-« La. crim ne sera. pas fa- Ce. M. Poincaréurilià h. 15,

esoemi de l'auto o -cm e en, pers-

le publication d'un jugement faite .de bonne foi, sans eonementairm, v:vnomme celle que flt la a DéPêche >, 0ne saurait entraîner un droit de sréponse pour des tiers qui an treise,;vent DOntinléa, qualifiés, aPPréeies. 1,

Nous n'indiquerons Pas °omble»parut faibe et semée de contradic-tions cette thèse de la défense,bornant à chercher appui dans desjugements antérieurs sur 0e9 affai-res sans analogie avec l'affaire endiscussion suleurd'huL

L:1 REPLIQU EDE MESSAUD s

Mais faut souligner la réplique ,

immédiate et foudroyante de Mes.saud, qui se lève tenant en mains tae Dé êch >

Vous dites que la publication Pfut faite de bonne foi ?

e Soit I ne discutons pas là-des- m5113.

voua dites qu'elte s été mfaite sans commentaires e

e C'est donc que je n. mis Pm 10.lire ou que j'ai Ls vue double.

a I/ y a des eommentaires, quisont br« J'irai ensuite rendre visite à M.oincaré puis d M. Tardieu, et en-

in à M. Briand. Je ne reviendraias ne mis à PElyséet ce n'est que

olemain, vers la fin de l'après-midi,ue j'irai mettre le président de la&publique au courant des premiers

ésultate de mes eonvarsations.a volonté d'aboutSs et il est très

aisemblable que cette nuit, cos-rairoment à mes habitudes, tinsiendre plusieurs visites à des per-onnalités politiques.

LES PREMIERES DEMARCIIES

désobligeants pour le condamné. Ils,sont dans le préambule qui Préo6de Ple texte du jugement; ils sont dansle gens titre qui précèdele tout etqui vaut, â lui seul, un article, parson allure polémique; ils sont dansles sous-titres dont on a parsemé lejugement. r,Le texte du tribunal est un, Iln'a pas de titres. vr

Enfin, s'écrie Messand, la a Délié- tcube > a publié ce jugement à titre rd'information et non PaS Par nnance du tribunal Pire as ...-traire, le tribunal a relief d M. Be-lue/ cette insertion dans les autresjournaux qu'il avait demandée.

a Ce nRst donc oas en venu de lavolonté de la justice mois, au con-traire, en quelque sorte, malgré /avolonté de la justice que la « DéPé-ohe s a publié. , e

Elle a drupe simplement une' hinformation, Elle l'a donnée sesrisques et périls. La Diêm de la pdéfense s'écroule d'un seul coup. s B

Et c'est tellement vrai, tellementvisible que M D.eyres lève tes brasau ciel désespérer.. niais ne ré-pond rien.

Le jugement sera rendut rote-mine.

Nous l'attendons, avouons-le, avecimpatience.

Mais nous devons signaler quo le c,Président, M. Moulins, n'est pas eeluiqul condamna /e e Midi Socialiste s,au printemps dernier.

Et nous ne dissimulons P55 notredécePtion actuelle, al la quenous aurions éprouvée, voirM. Moral lire, dans quinze jours, saaouvelle sentences quelle qu'elle te

L.

orme .

y J'ai l'im,pre.ion que M. Dou-mergue ne t d p ppeine a r=bl'iCet arc embuons. r,

« Le président de la Républiqueayant terminé ses consultations, efait appeler a la fin de la matinéeM. Pomrsré et lui a offert la mis-

F. 1301.0SeDN, présid.nt de la G/ombre

ion de constituer le nouveau °subi.

DE M. BARTHOUM. Louis Barthou qu'aocompa-

surit M Maginot est arrivé à17 h. Ou su domicile de M. Peinasse,

Les trois .pèrsonnalités ont eu unntretien que a muet extutement uneeure.En ,sortant de l'hôtel de l'ancien

résident de la République M. Louisarthou nous s déclaréy J'aj vu M. Doumer, je n'ai pu

rencontrer encore M. Bouisson queje tâcherai de joindre dans quelques

estantsà la présidence de la Chas,

e e viens, t Y ,

a'avoir un assez long entretien avecM. Poinearé De oe P. je ms rend.u Ministère de l'intérieur où Ves-ère pouvoir m'entretenir avec M.erdieu asserai ensuite à la

présidence de Chanabro puisasminlistère des Affaires étrengères.

M. Barthou continuera ses visitessuces Med dans la nuit. Il est obvir

inden sortira rien i et qu'il fautattendre 94 heures pour sosiesesults,

25 CENT.

« Des homme:mes nouveaux. s

Et voilà rmrBarthou!

II y a des m

MMANOM DRMMILI IBO

nouveaux I Des honv

uoi nous avons

qui ont la vie dure.

fr,,di'ant

pressiet e.rt osadeperron. i.)M rvest i o 'rina tt leprésident est de plus en plus berme-igue. e Encore hien moins subi.,

je000'i-il as lms.suut 7Peut-etre en.

En sortent de l'Elysée, à Midi 10,M. Peines. remet aux journalistesla note murante :

M. R président de la RépubliqueM'a offert la présidence du conseilet a beaucoup imisR pres de moi.J'ai oû lui répondre quo ir ormesentais pas encore en état d a.0mer une charge aussi lourde et que

p.,judrep, inférieur à P01tsu orOnate Barre/one od male. /tete toutes tes coi-ridés sourittebâche,os ems..0. urê,. monsencaM 1m.

Sans rien ajouter, M. Poinoases'éloigne. 11 faut voir Hermione, un jour ou la

fièvre l'habite. D'abord, il y a le solen.LE COMMUNIQUE DE L'ELYSEE Imaginer um ville d'Espagne, sans le

solil, est-ce sMle? C'est u avantagequ'elle a sur les autres villes du monde,car Theop.le Gautier prétendait MiS que« le .soleil est un lustre supérieur qui ale privilège de ne pas répmdre d'huileet que /e gaz lui-même ne l'effacerait pasde longtemps ».

Donc, ce jour de novembre, il faisaitchaud. La Rambla avec ses magasins, sesbars, ses cafés, ses buvettes, ses kiosquesà jour,. offrait . mpect bien réjouis-sant Des marcbmds de gros radis rou-ges, de billets de la tanmuse loterie deNoël, de Istessastines ou d'écrevisses,de noix de cocia, de sandwichs, des ,joliesfilles a. lèvres .develoura humide, desjoueurs de .guitars, quelques élégantsassez rares, vêtus d J'ancienne, tout tiers

; de leurs capes, des mendiants fiers deleurs haillons, des musiciens et dexaveugles qui font mule, dam les rues dela ville des refrains suraigus. Ai..sce/a les taxis dont l'allure est vertigba,se, les trams qui, comme d. bolides, aiesalent à toute vitesse dans la vieille villepar un labyrinthe de couloirs bordés demaisons bleues, vertes, roses, Dunes, vielettes, Ranches ou posrpres, aux fenêtres''ImMseaPês, 4"UPSYM.M.-.)0«.00.040balcons ouvrages comme Ses éventallsou 'lava les larges allées aux longuesperspectives de la nouvelle Bereelone.

Pelade moi, un vieux monsieur, vrai-, semblablement de la v,eille Espagne,. étonné de l'acuité d'un nuoulte plus in-

du combat mruble réduit à de inesquinesproportions. La foule enserre tout, elles'accroche droite, à gauche, aux flancsdu stade. Une immenm rumeur flottecomme un brouillard de brait au-dessusd'elle. De cette frise Ondoyante, oscillan-te, mille fois mouvante les interjectionsfumnt. Les bras s'agitent avec frénésie;les mains levées saloon, d'autres ruine,mouohoirs de chair. Du Mie du soleil pel-pitent rt scintillent des milliers d'éden.tails et de petits parasols ronds, emmm-chés dans des baguettes de roses. Ondirait d..seins d'oiseaux aux couleurschanseentes, essayant de prendre leurvoL Et dans cette large arène, pas muroui videl

Voilà pour te cadre. Hant au cambrélui-même, je cous en ai télégraphié bru-

tes, On y peut revenir, parce qu'il nouapermit de ;mes co. fouie, d'essaVerla pénétrer dans ses ...renies et sesinteuroon. Ouest Won, elle fut l'acteurprincipal de cet évênenent sponif. Tre'squarts dLteure durant:es se soulagea. encris, en applaudissements. en invectims.Chaque fois que son faVarl Paalino émitdominé, sa getale voix s'abattait sur lering, en une clameur de forte décept en;

msscr.nir t te chasse, elle .Stie

applaudisSements et en « elles » sonne,aux courses de museaux.

Urt taureau, c'est ban l'animal auquelon peut comparer Paulino, et la COInpadraison n'est pas Ramann putayae les oodpagnols vénèrent cet animal d t'égal d onDim. On sait que le taureau Paolbo gstête baissée, les poings en avant, uneroute prefitsble, semée de dollars, damt'Aman lue anglomaxonne. S'il hong as-sez mat, il happait très fort 11 atou'e

tance sans doute qu'a l'ordinaire, s'a.dressa é un jeune garçon

Que bey, nino?L'antre, un gamin sm cheveux coupes

ers, su nec euriensaveoret dépenaillé, comme dut en peindreGoya, fixa son vénérable interlocuteur, à ses pros ne nombre resSeetabt, d'houeencense insolence draie. en chair et en os plus d'os que de

11 y a, senor, dit-il, une « bataille cher et it parvint presque ï enir en-Ielfee"ninUlost

M.'ur. cfe

omcaré a répondu que son émt de

r.7 e'rneeltrel 'secee';er cette mission ».

-M. BARTHOU ACCEPTEEN PRINCIPE

Pari, 6 dZeembre. A 10h00,30,M. Louis Barthou., que M. Jules Sh-aba, semétaire general éMit aldhercher dans une voiture de la pré-idense, arrive à l'Elysée.

Il est aussitôt introduit auprèsu eh.of de l'Etat.En quittant le palais de bEiveie,

M. Bartho.0 ddelare « J'ai éte sp-e.e a la suite du refus de M. Pom-a.; le chef de l'Etab m'a e.fie laismon fie formté le Cabinet. J'ai

accepté en prinelpe ; je vais corn-e.ce mes consultations. Vous vousmites bien que dans les cire..

tances actuel]ea elles seront nom- Le mont rtblego, rosat ail quelque SOS eeetree, domino acrocione oueus., je mis me rendre d'abord côté opposé ,1 la 'nez. A son mira., dcc attractions menet/est le Lune-

hes lez présidents des deux Cham- latrie dos Parisiens.

de boxe entre el Cernera et notre Paul, échec l'actuel champion du monM,no. Mais, ajouta-t-il, en fixant lee eh. lemme' Max Schmeling.veux blancs du monsieur, on n'y conduit Cerne,. erra,nl su reps psohéder.pas les enfants . me. Il pèse me kilos et chausse du 56000 de pointure. Il surprit agréablement un

e, Oser d.s eu,Silojoud à Fardeaux, le boxeur Paul Jour.Mt, mou Vu., P.'ha. C.r., née, alors qu'il s'exhibait dans une la,si, à chaque minute, à chaque seconde, ,ersieei M. Jour, adminsles dialogues des sens que I'm mmell- les mains de Paul Cornera. C'étaient deltrsit yu se eh.ea..'le anus ruppeles mains tonnerre, de véritables battoim,les dem pugilistes. tournée mmprit que les mains de M,

Après le déleun.er, insensiblement la cerner,. sterneclicoc cm bics mcmécc..foule qui se dirigeait tout entière vers ponsaie, ;sire uea reseees, t u cond,

suul eudmil ....m'us sur je heu de 0m qu'aes atteignent leur but, dans leola rencontre . cerc/es enchantés de-Fiance ou d'Amé.

Nous Mmes ainsi, dès le dtbut de l'a- tique. D apprit la boxe au jeune Carne«prês-midi, incorporés au grand stade, ra, la oan; esvait alors que vingt an,fierté des Barmlonais, échancrure large M. leurs, jasje, ,e,sdans is colline, au pied de la vieille es mana, eu; seeemee,sinistre forteresse de Montjuieh, linagm nouveau boxeur Camera en Amérique,de la Grecs antique, c'est à vous que ro0 où le mastodonte italien fit la mules*.pense d'abord, quand les yeux M lame. que l'on sait.sur le décor naturel qui nous environne r 000une large pelouse verte soigneusement Ce fut . choc émouvant, Victor Hugsirâtissée; une piste couleur d'ocre, aux rst rit oc oombal In gendre.

ue vifs.. m'ends m'eu" la Côté nubile, R diapason était Rénal.d'une main tendue.

Mais n'est maintenant que de bien que.

regarder. Dans Une ouvertureà Phorl- Anda, dPaulino, criaient, tOugueusez

zon, des cheminées d'usines, le passage me. Pres eem mille vo x. On eûtdes autos rapides et bruyantes, des avions aus ms gens commandaientda. le cieL voilà m que nous voyons. ITan.ol de battre l'italien et qu'ils

Sur le terrain de sport, l'enveloppe ma ...,Stcsili"1:17,,,iquaejeui; aLssile_riidzittse.

tallique d'un poste de T.S.F., d'immenses ;eyeeieues, Iee repe de le dire en dehors de ce chauvinis«

les sommets vivent au frLsson des dm- sie sPortit, si et...peso dms Psm IseT qu'un moyen bruyant, mals bonen«sit d'exprimer ses sentiments, de sebésef brutalement.

Le malheur te que l'Italien ne cotiser,dt nullement à a. laisser taire et le matelS

Ir mem es echerameat Oatud lI. eet

pea. .1h/colores, tout cela nous situesans conteste au vingtième steel°, es cecontraste de l'ordre naturel st de l'ordrescientifique rand plus émouvant encorel'hymne qui monte du stade.

Reus un 5151 .1 vaste. le suedrilstère

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Murent â k première mêlEr, dune -tale du ring,aaa coupa eeoiglreus, frup-pée fia ptds, presque front contre front,Mu flou d'amulner d'un saut brusque pourtepteuqoe le milipu du dut nourntn le-talaot relu tusuu'101 lotte las adoetua,rnatuuogueur Psulicu, Camera répondit sutuctlaitn. en .'attstotisuunt sur largesroda plate N eu algraut oteosauteut.Les 0000alleouta aompnlraut de suitesau'ti. goitalent là ors fête rare, une 4eae bataittea sertIes ex dures ni lin'ys

rude place pour tee phraeea éltgnnres

'que nuutiutn des poings, al puqr ifs 54.duautnte louliIeu exécutés bora de portée.Paolion frein loua rapide, plus sedentl Uttnr alt dace ecu attaques Un feu, uce vil-pence qua l'sutcn n. poeatdsit pre. ToluleOs nie, quand Il frappait, asmblatt flam-ber daun con poing. Mci, Cern,ers, baslu-tout plus lauré et sltn,cnnn beaucoupOtus poissant, analn i'auanrngs de on kilosMa clair et eotchstgs. Linnernrn t-caste.sait en sruttdu rtugrfs. Sera ballet-r tOsto roue se peclfger, sans tétrotunt supregartt rat roui leataut, Il plaçait sestours eoirnr010r,cent, bloquait ftne nom-bre te 000cc de son aduotuaira, renscslftan noires crus broncher et restait eue es

.ïua,Se firmauduor p55 mtauu 5545-

ment que de aculicune aluni.hu,cssné, la ôte baaue, sgeippé iwa

l

comma un suiroal urunl, Paulino, 4fcelé enquvail d'imposer cou alu, Il

fout pus le copra eamcrian êt,tt sacMeula de eloob, t sIlé 4e isqualis 0eptinga tes plus snaaaite suut ehoaaa ira-titan. ilasauca d'atteicdre t'eutomau,trais itélaa,lru pcicgs do raout arrivaiaurat lui, logo ibcnmpat, auntma de luurda

armnun-rilcos. Ce fot, pcudacl naa ±0aenrnde, ta combut d'or brmuon su prendtroue, Prultuuu'obulittaot ddsnepdndmncl*tttttur 0001cC 0cc mucluiue humaineM'use rote nuiasauce qu'un peu pioe dctrcoaltt nt dsnaolugr do sireit duneleu rtilnrrn puueruicot bloc, fn nernu 4eas n-nue., rendra mnuclnitna, te. eue..

C nrucnn Prulicu creux t-il smala tta-?l.n,omtnt t'auo'sn bûchons sa ralenti-

ou -il dalout, bien nue eautleut, enaurtri14 tustard è la III du durnler roocdp

sana doute un ui,crchrr s estnatcru cactus d'opiclêlrnné fit 4e mea.

rpe pur le sport fait nattra et eoaqtqftfeq* ttocce parle foire de mngnitfquea pas-tll'i'iriu de déccicppomnct.

'I n'n aut qU'uns truSte sue ou 00m-ul i i'artltoie Pst public. Maie seules,!pû.l-ul aolalddrrt de près. On agit que

't'Pspegnn est peul.tlra t la rallie de 5x5''Osa érterrrerlte. Si on t'cubliett, la nnst.On InstIlle fia e guardlas cltttea e dineMes tufs, k toua las oseretoors, la forts*rf,rte lui ertcuralt tes entres es cher'*Srelt de soue le reppeter. C. peuple eskerrttect maeltestsmenr. il était en frêne,ko p toIt loure, et leu énlaudsa suneleena

st'qu5rrnt ses prcteUtn"cne. Si blnerrntr5 rats psttsee psretrrr. xl rnaesnttf S

Petre mscn, roue an rrnrrh de bore, nette.00e-tu rat esteré as ni ta gcit dan epar-'carPes 45 rrevde lieds. P sa faut mes se*fep as calme «ut suit tes ornera. Ccrtnrr05e erctrnttttues mn t ntclrrtsa et est-ni05m truntdlalemaot, rIte, procertIre esealrfr. et eut ncue dit qua les rrte,Osa ftcnlnrneste dare te strete n'étalent poserectra tour muer. ut- bercin eumnut dee'flparrirrr, P, sstoccr par le aria P,ftp mcp p55551

D'abord, Ilpacait su pucolca.Jase ciblAnt

Vincent Auriol et la T.S.F.

laid apn'Au.nuoiddu uoud nliuusq lumat-prier d'cutaudre Vuurrui Auriol

cicr du poule de cpdio ditfouiou dcF,colr aupérinuep dru 1'. T. T., eue

4e t-Iglou tuuluuuuiue.Celte cuoscria lui avuip filé dcm.au-

de pur lOrIot national du fu,,r,'s.D'aine voix aettc, eu itOu 01100-

if psrruurtnt les cura et l'hirluiradapois Touluuue joeSu'aun Pyrénées,eu suri-étant un lcntuut eur Muret,duut 11 dicniqlt l'lrrup,ortuuce tnttrla-Osqcr. paittOriuinecttro,tumrntale.

Lu t000rmiaoibn fut gnurtn.itr,

- flanïFIfflirite Oron

bon 00010 la peu000 l'luturaual

Otuu, 4 Alnmojor.n, - Os ente, 15e«lIer dr ni',, dcocnr sono tmo,olua gu-Stratus al duo' rndlcioiee de,0s la cOulesi uu nlunnua te la dlix. L'ootutea sol.5001 enuntbur de muuals arnntn nets eaunIrbufi tuuartelae,uu saune eéuatnn, stuen

as mIxa a,uuultst orae,eulsoa sac eu sou.tou.nauoter auntulisla, ne leu, acculassut san ut ire ntnoobs,en du s'd,'aè autes et-mua asauls dmoa ana amure asae.

nia oeil 000 souoallrn uu'a 150e sue,.trûn lu l'art, lis ds,usuderuateu L Sf00.

ai-osa eus' raoaundtai

Dma.diluai, ta u000loucudltd fouailla at auca-

afitoita COcu,, as bluet d'luune.dura unnMuciou sneuallsoa

Ounu-us su rainnu de fia pour-rIs arak.0raeotiaUamte k tersas ai 0151m k

CHEZ LES FONCTH)NNAIRES

LE CONGREStes personnels

civilsde la guerre

La lrmdlcal usuluesl des cersounOafleaima aidsunnlslnuulas des OtablaSes.tenus ds la monoes .'asu rouai eu Con.(t-k. L la muinla du Pesrr000lessmeat,esse la pr.beldo0s de Ohanlaut-alIiLolca) anaislu Us Mrna DSI0L,u ((Il-rnuda). SsllnecfUlta laudes en-Luit-cl.GruuseOiaun lal0000ns-Ou Rhsun) sacamus lP,,lel.

La pranubèra aaaoes s tua nnuannrâslnuamsu du aupnuru moral sa du

asiiort fIcooclar tournis à l'unuul.mcl.

noues de la encouru sia000, laOauorie & dlscutd du l'ncgaulsuuiun xx-têt-taIra do acudlnuu et unlummaut dutaxa Osa rullsatlouss100ttlltasbsateut

al t éaulsmunn sapalms su er000anhtesttrlsOds alu feuilla. On-a etuuuuea deIs noelruehe oie l'ourdIra .a moUanse puntiriru itou k la snuscnloiiva no-

'e lcr5 puareoture auiuurd'isutpua imltnrstsf alors dx fut,e.

A LA COMIAISSION O'CNOUTL

OYR1[S lÏ[NÂTIONÂ1[S SOI

EN AUTRJCHE LA SITUATION POLITIQUEEN ANGLETERRE

Le nouveau chancelierON NE PVOIT I

D'ELECTIONS GENERAIES

PENDANT AU MOINS

DEUX ANNEES

proniet de gouverner

selon la constitution

VannAs, dlcnmboa (dan. Haruat,La atantu du Ouuasll Nulloual usaI oq

n. Elduranil. Las urluosea ulolauuou

15 ieoourf plIe la srlatdnul400 talute putu,s du iitramuuiuUr dlipclaldao( du 01f icbulus, M. Eudrr.ebnos fltedioel.saapoeaau pan

Scummeau »oiut de noo d&la coluuluuu

lrImmole doue toI urina d'idooneur'accu' do tluu las 00011,, aIller 0.55500 uui u. sucu aux morloaulta 00m14 .00ltetl

Ira Utuila muslI-pu000uuala nI spipitua 000n lu labullil,

odes coulIs c000ul010a du gr000um-

do 5&lOu duc dlaoioua alu 0000,11 NU'tooal. La lob uau souuan,lncs salua 1m

sxluulpnx de la mico011qoe dimOu 0'Siqos Otduoqin, doue l'obar,ouliOo sicicirfis la Oulu 11101100 su dma lois, su nonIls douusr O la cooeoluu lx eouitmnutas s pue ai la la eéttrili. La gourer.

plat La lu 101000 ou dola 0uaCou1uli.L'Igi'codn dss svuiu!if f 55

VIeuua, a dutan001a loup. On0000i, -La débot ao Ouusnti Nalluuai sur ladiaçuoca du Dbouo ilar Eudnr. s Ongauo,du Par l'eschaculllnr 0000uut-, 50.alal_ddmoo 0m, uula»uti'CI,llu . 00001lues à 000, 15 les ddt-o,.riurbu eu otut-atout de M. 0000010.

10001 50 00010I'uuu lue eoa cucul ne5500 gnc aller alolo: 000x0 la au 00'

ruraulou :bo1al0.udmocrulq o5 Pools

ci, Os eun onit, la Cuttltonl usut ue cesa000enuea suusreohrculoocounrutsutat-l'ue

Le di0100ru du Ilsanter. uii eau uurSeuaua sLllu,uoouaaonirein1000&nur,

pluouoi dl0 dtoHmmnucoo "'"seduccdsr llbsrulsq la 1 0 f mil t 10 III dl bi datcub dcicuuco 0 1 p Mldcru dUmu 000aldauf us lu lut-cIre carma 4e t t pIllas eu ?otuiboo ci'tsu osto l'Indllunlon 0010110 lias duos aluba oui, d'ail. lo0001e ai collas uloha. Sulul Cniq (0) lcooel uiot u ooadu Pasclaulu sou 'SIIm 00 du Coure do P.00dt-tt dl1011abfl - =100-d

1010 des untuolnotfxa pica gaules eu' Iroru, toojoura xullotoou d'iqcrl- 'loua qu 'I uauu rus Obubli qu'd s colo rOm Ou art dn disrueracrnlurdlEi 1 0 1 lI Oc no auoa aota,l I A oAO L °oomi .rmo5 o m I bu I 1 1 11 1 1 Lt u, cIl 01 00 il do les I 1 00 1111 M li N r Ieue es roluu ubnsactalus mu utuu as litotnnulatica, d tottot,dutd lu ioucd'ooi; u lu topoardra tian- puucala, qui et- r0010 ,lrrruut au- lotis ullugou,. lu 0000000se ou sat,mu, umu' Ifouue ua bue ii,nuuu ocotrcs,dtauua 00 15 pornuocu do 0000001100 bteauu l mondas itetcm dc 4, eoiocs louaI, 1oortl'hui. sc proftircoul pour mcl- mu 0e. qoa eu a,100l,nO do am,ilutuu 06leoder. » .1m itor qtlludm OU point 00001 1m ugnul udj0000 ais la 1°. F. R., loi Imposuli

Vls000e, 5 dlllmtuta. - Au aoini 015

pdlalteoce Ou 1,0x511 Neliuual, oh soueos su 101muru du lulun r001lut-.flt-icuxnont, ubooltuu,ecr nie, a001u -

sou torahleu la se nau lx cursusIsoler sua Ou curteusira qui, due leleldameiu du la roonluuioo Ou ua,Ist,

aluu ,osal lm000iaota,L'Âr'lnllrrartluup, aunlultnla,

51 ma alunI On i)urollrs i'tiettl,u k la nrOuiOeund

le ounsluu du la mol aoocaltcu du col"met-usmoul sOex 15 aullal dtmuuralte.C'eot poor000l mIle alaolioa uai si 0m-

Duaainioua que c'ont la podmilea totadfticuiu Otu ana, telle aoctsllela em alutcoridnul de la Ohn,uhtu.

La crise nsinistdriellevue de l'étranger

BetIla,, L OdmIluiora, - CtumAo@lOalte MOu do Lot stOnOIn,ui Terdiao. lePot 00,0,, a,uoluliale, bnrtl

« Cx mol loticorlo du cobol de mouttot0000000ui, c'e00 Os sacufir ci M.Brtuooi ruIOns suu 40 hirue éttuc010ussa s'il beau xnlox1nOi pur ou sulcabon,ltle s00001iur, Val loemoac pur M.Juem°lu. Mule, dus suluerl Oui. liSepalI uua lux la umrls f011 Os luntuuu do unhlosl. so 010 étos, cl cuba-t-saur, 1 III 010,0. 5111 fatua k gu'lbsun.et polie u s tcOrt-ttalos,uls luluIrs toutla ooulmirs duos daiucuia

u hUa 51100010m On I Alirunadnis sesjeun tboactiis decule 15e al.etloua du laesu,isu,ao,a 1 I'aulluuda qu'sulo t ualo,000Usinas al notrouodnul LI sIltdarOOS Ottorueo.pel,ra Orututta al'atohoa t UnIraanus lst tare dx la diolut li-a l l'huileet 45 florale, mol aosr00000 ta mtmesucafis la e'rauua. Si 4, Olula 0e M. Ta-Otflemimnustu eauln de SI. Prlaod. na nnu.t5,Se éleote ion, t-dlollssauls eucmirlubldeos 0e, esladIola cours ira sore Su-

au 0011 va rnntetf 0100 000 r, luaoa.arums,

uosroe,tlousqna 000rclxtote dia uou lmu:Lnuu-ae, f décnstulntm.-ra,taut 4515 ode daaua'oiusrmeut sala tut-Ioula alenlex mlclult-O.Iu eu FluOum TISsa qOs Ose fboutous setnul

5mai La OvarIloc suclul OOmocralr 5 0011-e A l'adtn,oulsc, OU aIrain tuiuess te.tc en es. Brlaud 0011 fourbue, Solasan t'ocrai- sou ourma D00000sn, S

LÀ f'ltPdnotflt EN n'unIt

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L. paiE si de potins de Roaeeah aa diapaeibdftd

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luIt-ma 51 50 dl SOrS pal ou 001001 Idole esuuaidsa d'ouuoéisx. o,ailaas al maous o0dUIl In prulcl)oe roOtot-m010i,00 deoa,b000s eaetaea nu amouolt- otooducu 000,0 co,oc uauoolaobo du lOI dO&l0' rouai quo do b voIr ara dirlo avec al. l'moolut'ou cIs l'ut)u,,e Cooldloobt-- alt- opéeu. II cxl couvi 005 liumoim-5O umupe, E 50110, «u i r 150 0 ix 0IU0 lia 'Si I t g p 11 g CoL lu ai I u ex b I rop d o obsnl m t non° teoés ra teP0000

Hoa:1a 'S ces o ou sa a ma q SI ne I, t O lu I lei '1 é q le, ho 4 us" bluoo IiI b )l I p n eouumopsruualaa na, bleu de lomoe de 0050, ana trOIs colon du dm000010 nIobIum' Bel00000, Irmu dec rlivrellou ut luu- goubieud. hI, l.uOOlOotbc, s.00ais,,e aaaué' duno l'uébuoupbor pui lui poero,ulcour 000 la gulbunroomout toa,stllsls (Iropouat,. L'orlotoub. tonolt t-an le ml-dora joua ligua cepablu dc hum loi- al sdio,0l dala I. b R. si SuuO iloob la donno lq plaiaa oceuusa ds cou 1,-u-moites de co1000q ot000uur ie tuai uli, aboliras do eoo,loaorv pot-1m b& dots du ra ut où bm,lin In Caroaoaouu,io C. A, S. G.. ronron u,uln,tno 4s)tui. lento) 4e Sus satuuut-donotra00001 011ealura, dcniuodnol auluotooiu000usoo leL lU polo 11041 la SOPlO dO 1110, bd' hardie., l'boumo Sou coupe de 0,00 de M, 0-51,1. muou_ud de ,e elub, au,, 000000aoueO I e Elle e 5,11 t (oIs luli ne ihl000a In 0m1s0 cala

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L'dfnofiaa nloaaauca'niieteaine dauo na cu,I000linsa. ut que le, isue

k la aaduaas de è. Clesabas pal un ,tu,005

0 alla do 0001.et-aloi de rofomou, L'sommes des eomptxp pseticaliere

aImant-sus SIIdlOaOd aulx 0e caSuel, M, - Àos's.tlt du paddaadaot 0, dU SeCd,OÀOu-d Ou sou a toIt moau,rtlr lu,, bis, naims dx bu oom0000tedmsann'ta'oump.Ooa la mcd 50001,00 i100ret-llouuollr UobtuU, 100 m mIes de indrade i'iOOailbIlol, leavue aiosoitnvor sIlo-raIs tOiu.tlmstUtldoutuplst_necanaautmail nd,Uomotae, au l'abmope se 5000 ruOdos de c000sob, han sptax-duos noejOeluO 0150v de atours t-u idoxo 01101, 00 51150 10 la hunqus Ouxit-Ix.la nm0000liuunbnoa, t-un ChaOOhul.L'dén duo 000teipu000ml ur,OtoO.51 C,00ima lu l'alal,ui luIt 1m veIlle, ilsscaul 0-1 kIt-105 Vax os 0005am 110,10, 5111 prr010d à 1x010,00 Ors 00000dmlas iibnro'la, o abolI ru e000daocx pset'ooiiteu. Ont-n k la e,'alsoce dmi'oeioixa mIolsIre, Us dm000111 edoplst cullcrlu, leI 5000010 1 ru lire plus mi'lama suais ail0000x. n'est d'altpopax 5011 05,ha 00010,001 100000 Ire tels uuto mIn afl Nola sopous sovoir tue. endoIl lesroiuumllbtosrmlmnmi011noal0100rsuu d000mnlulaourlluhleau000vumtdeoorColis loI vo mono luroalu,, de faIms Soie ana a0000intoit,e, f4,0 105 Ireadopter an l'or mulot loelubddx mur ria commlm dx SI. L000lar nI de Mratr,e1lma

du51mmma'ou na xeo A AGES - 5 11 Ag s

b ouudds F Filfjuuh tt1ioM. 1,1,001 001mb, en ceuotcos,n, ta. las nutou leur Ire rltute oerut'o,u,o,o FI. C, lill00000ie. . cou loc0000coot,jaoO ds n000u u',l,toatal Hortoc o li) Uou modo atone eu,A 5410111000, - Spo-0g-Cltib ouI d,,,Odu,iiom,ctkxucu't dss Soda Fmoouoler Ooovtux do» coq la l'oox rITo,oIo,lm,uroclrd A, S, PilemOolle .,,,li.,i........,. O',,.,...,,,,u0, Il liuomooios ilat-cu 1 111

alels eorIn malt uu'aum,a Seule u'ooall alt ddOlSPO.tof 0,05 It-lIllOs. 111110, ireaIl ncu000 aesn ira uresaaodolos. i. oUarnbtxx Os la aooaoomol,eloc oct11100000, uoarscen,oO lasso sautOirS tuai. muislId la omllnure dx d000tnlue do(5 '' r.'i"""'l"-j '"S" p'S'S"" d'boouolom et u) lobs '' il"0110 mot la aU 0151 tee IdOu 15e le es aouu dma on m nuee AALRP- s 1 Alb g li-O m d F101 mon

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AU ILEIcIISTAC auiaopos AOi000lhtIlmlat'tl001I100. ir's'Sf --nïeuu'-ji(it', u,,, la s000.mmmh000, Ire C. A. 01411115, ','is"m'-it'Si',u.-50')hm( O dxo u Ooq Outré mono I

lu, AUGIt, - S. C, Itluor001iuio eoo- 1 moom, l'urohrutrs hIootIdorSI II irt[I-IAiL 1111 aI(r63s N4lfles IreFut 10001,

Stndo Noyais a rornqne sang ante o,xmnn015

I £AIkIAII SCfA AJAIL[A AL ISSIIS (In P5j rIenMCfl o SAN d P r I ra fILEuSE PAPI Ulali AUTOno I p11001

10Ire SalIn.'- Ném,on, I d,iixiuhre. - Duox lu o loti (u) et,, Volte do Pmiolcmye eVirIl 0 dl fi ,. , . , A PIIRS&PJEUX. -. Slodoneofx Tue. '50mb 01m ueudrmdi 5 dérpo-bre ours (1) pur 0m rIve taipuoc Ommmre.allé

Idrepelf é mlalse

10 I CAPO 01 1Pb2OMP L 114 0 dm10111 lmtq 01m010, la ohnucelleo O,OoIug , 5,0100e de gareae et do feseaul A TItille, P. C, Curcoosounsle louruulirr A Nérar, a 411 reoccrué 300 pOiSse ê100 émouv000, c'Osl Foot-....10 00005abtl de menue saitldamaut 00 NOIrs nIaI naseo al u0 osrbolo u,m' 0000re U. S. TIlIniflOise.- por l'anlomobile de bonn Mouaarlia, io.ut la cot qoon 01 ou nulor,d leclIp OpIum tCioeIde k b'abalua,Inoun du tes du lbooihs 0,1 ,1c,,cro l'ue 01010, A PARIS, - C. A. ViltoneUuOil ut, l,xrrmcuo,o,,rn once bF,omul. roc. louré pavloétiuue dx Tmiboolrt de ,, lax

de I, 50e SIru 5110101. ni scsi aui000drus lu voe de, dOorsIa Ils PIloU 1,000

11e 00,111 dcx dilliraolu aum,tIO UlulU Irrénitxul1a 000e la mdm,lt

duale Irsu euinanIok 151,1 p a aucmimfl ncre kioos Il dou'

Cotise 0001 taS onolia sur met otuns 01e

001,11 aIx sIte l'lolacndbta dol mu-ai la de goules eh 0e 114011 pope i-e.unediuonr 15 010mOns e lOI il 000dOeIOa'lioUu lSalaiUltnss 00 00 nlstal,rIpou d'lumaltd'll 1110110 1m ,m, 1110es

Celle 0000,eltlou a Son otvvopla â10 cbaimtaalou do ie,dlit,

La Fe'c aériennede Muret

'nillnors. Ou prolilImmo que prO-sautera, b roljx oroalbou lu SOsolcéploIe ta déca appomenl ois l'avinlioaapro dm5 ploie beillauls,

al oouuproodru des drarenfee.nper.ncbuta, de nombeeuses adrobufisa

BsebtO, è duosuovoso -10111 Oét-ieuoms, 00e eule amer peseamere,Sillon Ou dhulcrllse a010l l5f'.ueronoolors de dostrootion de bel'esue t 11,00x0 s adcsrxt ta 'lotcls e Iolnmla, 010 lrupéee série,, 05 mOu.Ou et- Sregl, mtxletea Os lU Iublicx, 55 ruors dx petoixiou A l'olteemisoage,O shsnga le moe.enoxaculee d 11h55 Juut Pour efipuvofru au désit- doprimr

'Sa&0o:b9nls05e0bbaOoms do mauls, DOS nllosleurs rt005llil'a de acuualinas

db os lotI, 00 unIon mali-a la a0001uu L'ituuuuoe de lu Vola aérttaee quidlvlaai001 t'ebeonetlOs On dondon Ove- dol50001m lico è MIIrrI, ir dunieseb.11Om,mFl.r,0 'ail 5r1I

aecnsmolu0000RuIohetag,uoos durs la grood pohlle, a000 ou mIeldos b, moboliri, hi n'baxlIe,S osa k f)01e à le dIssoudra Os alfidme l'os il1110mb est d'il eleno 150v lu mut-11011ttluificluxp,

D0)sssièsieIe Ici Or Eo-rxlt

LE DESARM.MENT AGENEVE de relu ijIl pu lmt-uIO?f lx imlnocdr05 roi-foIn nombre dl plt'arholra,

La CImIIJISSIIC nroaraIoIrea000vmitdsotujlapuui-101feRee-

ttsnelfp 5 DII,. d'ouyomlxoce.M adûnts dpfinitivérnsnt - ' .

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e pfljet de conventIon lht Adtidtétf I 10f

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LES MARCHÉSM,UaPCHE Car_S ALCOOLO

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Chronique de 'livitouse

Les Cambrieette__._

Fa ((Dépêche» a mentiUne fois tune

Nous n'avons qu'à puiser dans lePue d'atterri. effarantes publiéespar la« Dépêche o ers jeurs-ci, peur

ir tus hasard celle qui na noueerre, une fois de plus de cen-

dre le imenal eau reneejeaeorle et bien

,.Lis&pdac 1,11.0s%renotergeom:tait

AVEC DE FAUSSES CLESEUE DE L'AQUEDUC

ai, 70 du ruouut000, Ce fat rue ute t'A.

La police qui, pudiquement, cacheshi'les d'affatees, avait, Nen ea

.adu, ornis d'Informer la pues..jpaas 1,,,prinnee cependant et la viatinte de ce nouveau cambriolage ne-

unit blentôt notre visite,.it't voici ce rue nous raconte Mme

:rtigue, rue de l'Aqueduc, 17, MMlupin

-

plu à l'entrepdt oie bouteilles de.V_Steuriano, Port Saint-EttenneMme «Irrigue quitta tors apparie-

osent, rue de l'Aqueduc, hier, lieraf 30 pour se rendre d erre Ovinscat' ut à proximité. Elle laiera dansbappartement ton garfaariet, riele 13 ana, qui deluit f center à cléporte en portant a l'écale lui op-8.00Irc let clés d l'entrepôt de bou-

teillerL'enfatet ferma la porte et aPPor-

ta les den a sa mère.Mme drague revint chez elle pers

après, sers- h. 45, polir y ap-porter le pan du ntena, tu-é.* d'acheter. Cl à tan entrée dansrappariement, dans sa chambre, elleternerngtrer un certain de.rdre, letiroir de la table do nuit, notant-yunt gisait d terre avec son conte.st. Dan, ce tiret., Mme Alttguen'ais coutume de semer 8f8

et les 800 fr, qu'a con entai,svaient disparu.

Cependant, la porte n'avait pasété fracturée; elle avait été anvenesans douta avec de fausse, elda. Carla MM.., de l'appartement de MEMdreierue ne présente aucune parties,tarifé. C'est une de ces serrures te-entre E1M te-reporte quelle CIJ Pen, et let maillage marché de MMouvrir.

.11algré la perte qu'elle a subie, TOULOUSE, t'orient de chat

Artitt,..'. Pert VlulutulD E I /1. L Eet comme 8101,8 11,148 étannone decela, elle nous répond philosophique- ToMeus

La police a fort d fais-renne Esquirol- Tourneurement

r 111 eMPLETS LES nu tua constitué par le juge de paix;

moment; les ea0080-iOiuleeeeplient. Vous êtes suas-sudiste, mon-sieur, vous le caves mieux que per-

Et cepersaaret elle »arcanepas d mettre le radin sur le sndrecambrioleur. Croyez-vous qu'elle au,rait le temps de s'occuper de TEEEMMeile0 le voleur de mes malheur.,900 fronce a.

C'est eue ces derniers mots, qu'elle*am dit avec des larmes dans les7.x d la pensée de /a amarre ele tra-oaid que eet argent représente pourelle, que nous quittons la premièrecambriolée de la journée.

Voici une affaire ausei bien pré-...tee que les précédentes.

Ce cambriolage, qui oonmenve lasérie du 30 novembre, a été paratt-il

udi uernent caché par la police,a ami« d'an in.former la preesa

Mais quelques lies plue iô'inclure que ALme Arti-

gas est pas voulu pcater plainte.Comment la poli., à f :faut de

pinagnants, pourrait-elle oonstaterItst .gebrielage I

La « Dépeefie o voudrait-elle nousSa dire I

Et oe veeetniu désordre n qui con-teste en un tiroir de la table de nuitgisant à terre « aven son contenu.

Elle porte qui n'a pas été 'rasta,-rée ?

Elle a été ouverte « mas doutedit la « Dépêche, avec de feues.defs.

Pourquoi « sans doute a et pour-quoi pas avec de .Mea clefs I,

Et H vraiment il y a eu cambrio-lage, pourquoi la victime de ce camtemlage ne veut-elle p. en seule

Pourquoi 1 tees. Reprenez-là... Et votre sourireLa « Dépêche a n'.t pas embat- charmera tout le monde.

ramée pour trouver le mot de Bénie.

Elle fait dire « philosophique-mena e à oette pauvre femn.

c La police a fort d faire en nemoment ; let cambriolages se mutti.plient. Vous êtes journalistes, mon-sieur, vont le savez mieux que per-sonne. Et cependant elle n'arrivePas d mettre la muon sur le moindreocembrioleur.

Chr, la a dépêche o a menti,

luCen'est pas cela que Mine ,Artigue

i a dit.Cette p.aee femme lui a répon-

du textuellement oeM a Je ne veuxPorter aucune plainte, et cela pourdee raisons que je n'ai pas d voueMire Canntaitre. Je ne sais paS patie-ntai none venez me voir, na les mo-tifs qui maux onese,rtd vous accu-Per as mes affaire,.

Et le représentant du grand jour-nal qui renseigue a vite et bien

l'ur'éroa Ik.e tneunArtetrturrralMade., les journalistes saventtout

lin 'mensonge de plue à l'actif deDépnohe

Et demain encore un autre.

DEGONIEF41

resdedél'eenehrsouod au offR/ acte qu'et]: nue' ebsquve jour

..eteor,,de stupide eampagnede.

Au sujet de la « Tentative de tem-17riola5e du garage Alatabi. », la

Dépeche ne sait rias a.ro-ober sa lanterne, et la voilà eh..geant de garage. Noue l'exeu..,car lorsqu on est Impétré dei ; lemensonge et obligé de .nseigner« vite et bien r n .t pas tenu dereneeigner exaot,ement.

Ce qui aurprend, c'est qu'el-e n'ait pas .ngé à mettre cetteerreur sue le dos de ses typ. ICreux-er en ont vu bien d'autre.

Eau . qui concerne les Inspecteurs

b.l'Ar.o'su'.%rtro ,'la%D2aMj t"beirn'e'lvrais inspecteurs, malgré le chandail

Mais dit-elle « Effrayés les deuxlocataires, croyant à faire à des ion- lposteurs...

Dites confrère, di les taxi-air.'&laient effrayés ne oroyez-voov pas'que c'.t plus par vos racontars, que'

visite de de '

00501m I lit 7cc, ai leapaslaure il

son

CONCENTRATIONElle s'opta. la conoentration avant

môme la foranatiou du minier.,Asque-hier la « Dépêche a, pour ;

justifier ses.., erreurs sur le préten-du eambri liolage6liu garage Matabieu

riee sua ovo-?quV Mile t] e amirad'

De ce a Télégramme a qui jadis.aveu une morgue dédaigneuse etmortifiante, elle appelait « l'organede la eue du Cknal

Les temps .nt bien changés de-puis qu'ils eut combattubattu ..ablepour le vicomte de Lafeurguett,

C'est or quele plus grand jour-naliste des temps modernes dénom-me « La Concentrationdàr-ràmCiiMntrestee de la balise et

- Elle est frs'iMo, Toul...

Dans le .rutin qui a renversé M.Tardieu, n. sonateurs de la HanteGaronne ont révélé un accord ton-

-1

chant, et digue détre signaleM. Savignol a voté cone. le eabi.n86MM. Blaignan et Duchein sont!. Feu., a vo pota,

abstenus.Voilà qua ne manquera p. de I

réjouir les électeurs de M. Savignolni sont en r de nmorT4

oui votèrent précédemment pour]MM. Fouge, Bleignan et Duchein.

On demande quelle différen. ilnoter 11, sasaaasal es m. »4..1.1

Quant h M. Feuga, le pauvre,aupaa ele chance pour une fois qu'il

ce dernier déelare . les avoir.Quel sorcier noua dira en quel obs-mr tiroir elles sont allées . cacher 2

Fort nattirelMment, les quitta...demeurant impayées parce qu'on lesa mises en sarameil, on TOUS cite 18patiente, sous couMur de ta condam-ner à aceepter l'augmentation.

Mais à 1 audience, coup de théier.et coup de-Jarnar 1

Il n'esltplus'ex

question d'augmenta-ion. C'est pulsion qu'on re-

quiert pou, fin décembre, et qui volen effet prononcée, sous prétexte

ont « locataire de mettrai.

Notee que des av.ate de Toulouseque la locataire avait priée de la di-fendre, n'ont pas osé affronter lejege-proprétairre du canton nord,

PI a fallu que la patte cl.be tien-ne téta à l'ogre. Et c'est toute la fa-ide du lorm et de l'a,gneau.

Mais nnus sommes en l'an degrâcenen,: il y a dos agneaux récalci-

La Cour de Cassation, la,quellea été adressé un mémoire corruHet detoute l'affaire, jugera souveraine-suent outre luge.

None verrons bien s'il est permiaun magistrat-propriétaire de pren-

des, sans risque ni dommage, de tel-les libertés avec le fisc, la procédureet la loi.

Veuillez agréer, monsieur le cirer-teur, l'expre.lon de mes meilleurssentiment».

s'avise de jouer un rôle au Lu-xembourg, a porté malheur h sonprotégé. C'est lui, en effet, M. Feugaqui rédigea, l'ordre du jour de con-fiant. au gouvern

IemenItÇa n'a pas raté en esX mont(/e cabinet).

Que li.cien maire de Touloueeveuille bien entendre un conseil

Vous aviez adopté, monsieur, c.temps derniers la bon. formu/e« Porter tranquille a. Pour l'avoirab.donnée vous avez fait d. coda-

1A4F;ITniroFesTOUBBEILLTS, mre.;2

SISISON dr COSPANCE MUE

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Justice d'en basUn de nue leoteurs noue adree.,

avec documenta à l'appui, ta lettresuivante, que noue nous faiso. undevoir d'ingérer

«MceertilaSdoeitrJ'ai pense qu'il pourrait être in-

téressant, pour vos lecteurs, et par-ticulièrement pour ceux qui ont enou auront dru démêlés avne leurs pro-priétaires, de savoir comment on ne-emnede quelquefoia la justice, aup toue.

P,t voilà ee in « Depêehe sape Profitant, iogra dernier.the journellement Ile eamielo éttleluv. 'clairs je pêne aie dans nus

justice de paix C était jour d'effet-Une affaire de.., famille, devant sue de l.ations. J'y appris en deux

'met laquelle, faute de plainte, la audiences, et en moins de tempsPoli n' f ut pour l'é rire avec

quelle prestes. adroite et tortueu.on y peut quelquefois pas couvent,je veux le ormes donner de poli-tee entorses h la loi et envoyer danstee choux un pauvre diable de looa-Wire

Il fant que vo. saohlez 'n'en l'ea. soldant, h l'Usine de force, essayerrhô° mon juge êtait en mArne tenue de lancer le courant dans les câblespreprlétaire. Le servi. de jueti- avariés, Sue blessures qui ne se-es n'est pas comme celui de l'Autei- raient me très graves sont le faitohd; On te'v enriehit quelquefois. d'un effort qui n'a pas été maronné

lo Shlomôn dont 10 voue entretiens de succès.ara ex plus. assidue e it tr b Il d T u M. VINCENT

Patine; l'allie à .des reetift,e armee. qui stupéfient

s v en no orme v e e 0

loure, jacte au eanton le plus boni,

2Z:ierâ2:trfade 'evésti&' draeDans une maison qu'il possède, lo-

eu mole, Une je11110 dame occupantun appartement de cinq pièces mo-destes et ;saiette., et un réduit.

La location, qui était de 800 fr.uuan début, était montée à 2.600, paraune d'augmentations qu'elle avaittoujours arreptées.

Depuis cette époque, notre PerrinDandin ne faisait à sa locataire,ainsi d'ailleurs qu'a tous ses loca-taires ayant subi des majoratio.ns,que dee quittances en blanc, sans in-dicaetion de somme.

rJe

D'ici,r1 ir fariiscsebluel;lhla,Z,U'Tant y a. qu'un beau jour folle

audn. I la lo.taire, aimable.ment invitée h vouloir bien aeriepterune nouvelle augmentation, réal.-at,selon son droit, une quittance en rè-gle.

Une quittance en règle 1 M. Vau-, tonr pardon 1 M. Dandin, bon-i dit.

Vo. Pen.oe pas, madame 1Et rageur, il finit par .nolure

a Si vous n'ac.ptez pas, je vousdonnerai conaé.

Soit, je m'adresserai à la jus-tice, répliqua la petite dame, douce-ment obatinée.

Le jusmproprétaire s'esclaffa : a Ala justice 1 Mars le juge, c'est motMais ln. tribunal oh vous viendrez,c est le mien .

C'était le Men en effet, et nouaallons le vo',

Mais la lui ne lui permettant pasd etre en proprio causa ralur, learepriétairemagistrat passa lameh son suppléent. Vous devinez lasvite. Un onguents.. survient Tomentendez bien que pour rien au mon-de cet enquateur n'aurait «menti'a. liure az°

o',Tite&

men:me légère, a

n 7test.72.ez-vussoe déelara artenquêteur 1 Il déclaro que la dom-taire Hait couterière, puisqu'il avaitvu ehez elle une machine à coudreet un mannequin.

C eat a peu pris coneue lei j'étaiequalifié horioger parae que j'ai unemontre, et eltauseeur par. que jeporte des bottines.- Mais vous avez déjà', .mpris quela locataire est, dès ce moment,

coincée entre Perrin-Dandin, sonsuppléant st l'enquêteur, per.nna-ges d'ailleurs parfaitement honora,hies et fort justement henorés.

Elle a beau faire -connaître parvoie d'huissier, quelle parera lesquittance« en douffrance, à l'uitiqueenndition qu'eV. seient -régulièree.Elee a même borin offrir de les payeran cours de l'audience, ta eau00 estentendue I Je veux dire (i11.0 la mu-se est perkie pour la petite dame.

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Dans les tramwaysUNE PANNE DE COURA.NT

IBS AUTOBUS A LA RESCOUSSE

Une panne de tramways particu-librement longue et thl à des causesgraves a immobilisé le réseau de larive gauche hier matin.

/I serait difficile d'en faire ungrief bleu important aux conces-sionnaires du transi.% oeil h direvrai, la défection était inéluctable,

ithr effet, c'eat par suite d'unegrave avarie el deux « nourrissessouterraines, c est-h-dire à deuxcâbles d alunentatmn souterrams,

'que Parrét a HA provoqué.Le service n'a pas été pris h 8 h.

du matin, st cela a duré Maqu'à10 heures.

Seules les lignes de la rive droiteMM normalement fonctionné.M sis snuediguod'élbges, et pour montrer peut-êtreaussi comment le pneu peut stip-ula. au rail défaifilant, la T. G. R.T. a mis en service sans perdre unfretant des autobus qui ont réussi,bien qu'avec des horaiees décalée, hremplir la mission journalière destramways.

Malgré la reprise le service nor-mal n'a pu s'effectuer sans risqueet sana eine.

Lee sopndag. néreasitée pour larecherche de la rupture aux ' M-eieu souterrains ont demandé uncertain temps sur il s'agissait dedéterminer les points défectueux,pais les services compétents ontréussi assez rapidement, eux prisd'efforts méritoires à rétablir lacanalisation.

Un accident à déplorer o M. Pau-ly, contrmattre h la voie aérlenne aIII blesee aaara eérieusement en

rassateassseassonneseasann.mmeturtesammunanonns.;sasnenaltea-cllARBONs ,:opum),I(7,1,11.es

ib trEIMM eaeMie rahFhe, ra. n

;Ham 8 h. 10; Arrivée à Fronton,

rtRAIRARElFg BICYCLETTES; '°Diruirele Fronton, 18 h. 40 ; Ar-axe...rites deroeso dayana... Huée Os Toutou. Pont %fenian,

Tent«. min é. à- dianagreii. rast-.158 50.rage 0,1 Les trains 651, 852 et 006 figurantileat...ed 01. e, .,n, ..e.. rompus, sur l'affiche de la marche des

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ei)e'ra'413. Leu., à 13 h. 30. <Ambonuoelikandat s dama. ; En.

ermahonique o s Sten«. peur vie.'lm s (Lekt-toel o setresse s (E1-1lei; o e oAereus dierre s Ilunauhi ;algérienne s (Satat-SaiMs).

Protes.. Pralad. (Rotolo.»13 h. 45. Ser.. mliaieux du calte.

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BAL DU CAMPINGNous apprenne. que l'AUR-

Caropmg Club de France, organiseson bal annuel, le 17 janvier au«trend-Hôtel.

Nous reviendrons sur 18 détail decette soirée, qui promet d'être unedes plus belles manifestationsmoud' bon de la saison.

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Il a également déclaré qu'un autreindividu se tenait a prostatite, Prêtà intervenir en cas de besoin.

Le jeune Durrieu a porté plainteau 4e arrendissernent.

LA RECONNAISSANCE DU VENTREMme Pauline Ferrand, née Rano-

hre, restauratrice, demeurant rue aeIn Concorde, 34, a parlé Plaiate.n-tre un de ses pensionnaires, le euro-mc Hnaei As-40mo, moomuvec,le 4 courant, vers 22 heures, lui asoustrait, pendant un inoment <Mat-tention de sa part, une somme 'de235 francs, placée sur le buffet de lacuisine.

A LA CLOCHE DE BOIStL Rmemo Quintma, maçon, 36,

rue Alexandre-Fourtauier, a portéplainte au ler arrandissement con-tre Mme Carmen Barbuira et le litsde cette derniare qui, le 5 courant.Ont quitta le logement qu'ils occu-paient chea lui, en emportant unmatelas, des couvertures, cinq drapsde lit et une somme de 1.000 francs.

VOLE IMAGINAIREM. Antoneff Luben, étudiant agro-

nome, demeurant, Mi, rite des Trente-Six-nonts, a retiré la plainte qu'ilavait Masos00 contre inconnu, le2 courant, au Be arromli.ement,pour toi de sures.

Ces livres, qui lui avaient été con-fiés par aa autre étudiant Peur levente, lui avaient ête repos par cedernier, qui trouvait (pie l'affairen'était pas assez rapidement traitée.

LE SAC A MAIN VISITEIL Guillaume Vidal, épicier, aux

Trois-Cocus, a porté plainte contre1.onnu, au 3e arrondissement, pourvol d'une so.ne de 60 francs setrouvant dans le aan h Men de Sa

fille.LE PICKPOCKET DILIGENT

Mme Fan. Bernai, sans profes-sion, demeurant rue des Régans, 7, aporté plainte contre inconnu, auler arrondissement, pour vol d'unportefeuille contenant onede 500 franoa et diverses photogra-Phiea, commis hier matin, vers11 h. 30, dans la poche droite deson manteau, pendant qu'elle faisaitmn marché, sur la place du Capi-tole.

ON DEROBE UNE VALISEM. René Damons, industriel, de-

meurant a Lavelanet Lartege), a

porta plainte contre ineon.,, auter arrondissement, pour val douevalise contenant des echantillons dedrap, valeur 1.000 francs, COMMIShier soir, vers 17 h. 30, sur son auto-nolle en stationnement dans la ruedes Trois.Journées.

COMMENCEMENT D'INCENDIEVendredi, vers 15 heures, un com-

meecentent d'incendie s'est déclarédans l'appartement de M. Froger, M,rue Saint-Eloi, immeuble apparte-nant a M. Libéras, rte des Chalets,

le feu, qui s'était communiquéau-dessus de !a cheminée ainsi qu'ades effets se trouvant à prorinutt,S5 é rapidement étetnt par les pom-piers.

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La Vie SportiveCHAMPIONNAT DE LA LIGUE

DU MIDIBagveVes Luchon Sports contre Stede

sénmiun generale de la enrser...., h rtzrzi du T. U. remontrera nu-IB.. du Travail.jourdhui. à 14 heures sur son muais desPeres-Jumeaux. l'excellente équipe du Batitans Ludhon Sports.

Ce match comp.0 pour le championnatde la Ligue du MMuta.revêt une grande

Réunion aujourd'hui à 10 heures, Bourse impormn. pour les deux adversaires.du Travel/. puisque le vainqueur devient le premier du..Re. de ealairee. Communi.does in,. classement de se poule.pneinvtae. Le coup d'envoi sera donné à 14 heures

Aux Mentis du Trayait - Noue rappe- itrécle.1-lens une fois encore, aux bénéficiai,. de Entrée ee.u. tisons.cartes de rédaction se les tramways nASSOCIATION SPORTIVEchemins de fer Départementaux. que le CARCASSONNAISEdernier délai pour le renoevellement de

COMME STADE TOULOUSAINras cet. est fixé au 10 décembre.délai I bu, . h Aujourd'hui à 14 heur. 30 sur ter,

e.ra plue de ce renouvellement inm du Sied. Toulousain, ma;he du Tour.

EDEN-CINEMA. - 3 heuree et 9 heu.sue Pepillon d'or e, drame et Sei.Filles pour un Papa .. comédie.

FOOTBALL ASSOCIATION. - Une

jourd'huibelle partie de football s'annonce''..L.core pour au dimanche,I dÉvembre, au terrain du Parc desSports de notre ville. Aduret rencon-terra Castelnamlary en un matchqui sera enlevé avue l'entrain habi-tuel de nos joueurs.

DisOns un mot de nos visiteurs .Jeune équipe de formation récente,mais qui comprend d'excellentes.nnités, car elle est comte.. ea ma-jeure partie de militaires, Sebes etMontpelliérains, villes renomméesdu football. Ces jeunes joueurà ontété éduqués et entraînés par des aset des professionnels, tels que Rent-ier et Regan. Ils ont donc une bonnetechnique et pratiquent un jeu clatrqui satisfaire le publie et leurs

que le public vienne en foule au yeux tout embues de larmes. . Adopté a l'unanimité.G (Peor.cae- de nate

Pa aCrc

desoupd'eSePv'ori,a

Il na vient pas briguer uà 14 heures. . dat, il ne emndie pas une voix pour tin ex om la uestion T

un de ses camarades, Il parle en CONTRE LA GUERRE. - Jeudi naux retiennent son attention iSAINT-GAUDENS convaineu, en apôtre de la grande soir 4 décembre la section socialiste Midi Seialiste », ,,Le Populaisre arisesesee-".."."''" LA PSITT AERIENNE DE SztINT- croisade entrent,. .ntre "It guerre, avait organisé une réunion oontra- et Le Gera SocialisteAUD

ii.Il attaque d'un diove, oire le ei ei angoissa. oeentré en faveur d

1

Bientôt GEINS. -mN

ous pouvonsMe

con-firmer d'une anière t a fan tes ddu soucidezInderineoetInnoennt,ràis

t les addriot,erorun

rni-i i.diceLa guesisrre future

jjGI 9 Volonté de g Midi »

L'effortd.oit êt

're poursuivi. a

UNE EXPLOSION d''efieticiaear'?erraureislaetia'28 d eegi'err-e Te'tera'ilileurs n'a à 10 ,g, steer. Par ace/ amati°. le camarade rai-Co:lel oeu.trisheZZ 'Cire altlt'ENTHOUSIASME prochain à Saint-Gaudens. Les soéiadist. affirme t'il me des. oh...eton mat nommé président ' a u journa

Labd if ...ie.. it trouver révolutionnairea Ils eontineent la 'av. ce.me 6.m.eu. Lechambre, Camper. demendesaux camarades4 saluera la p

entrésentation

an terrain d'atterrissage patient: trroirtril in ,, no,desa geroandso reudtion n ai- Mana ;nDoenmpmlaus.

,

a.dejo.I!notn.;.Puane- de la section d'aoheter le a /Midi v

i,de a été fort heureusem résolu il p ii t d ti re sans Doeue, a m Ire . .,,,àalà à I D. quel. oire.staeces le perme

par lé choix d'uneà

grande prairie orgueil, mit. aans crainte Ils esti- Dertivi. de 0....r, .... .g. boinetrlamente ueoere a

semant secsMli ae trouve 2 kilomètres de ment que la Révolution n'est pas tes, d'Aussonne, An.ru

rÂRAmoliNI Saint-Gaudens en bordure de la Isiguie.lege,P:irsqt:e le PeuPle n'a Pu l'ex-1 La, séance est ouverte à 21 heures posé an cons.yea murai r

grande route de Perpignan à ploiter, putsqu'on la lui a volée:per funuieeidnalliisztuinorDhoudden odpuréuSdenone.fida,,Seeent'eluiaIdl.e.., due ,âtàdiheBaetrdeer:m.

planifeeeion de

ProPréSidenceag lan- Il

proprs'an

éime aussi au problèm

dant qe de M. venus

nomlm femmbreux(et

les Iregrette

nme enoostiiundidnn,ispeends.abl: iirDu dor oudévrderionapzedr Iret

sera acée .. la Pa iét; les socialistes sont les/penue t es ié-d'honneur de M. le Soue-Préfet de adversaires de la propriété papi...Ires surtout as goient pas venues lutter contre la presse bourgeoise.Saint -Gaude. et de M. Azémar liste, ils veulent abattre le mur d'as. plus 0..... ..../, re..r. E/le invite la fédération du liais àconseiller ganaral et président du gent devant lequel des gouvernements t. camarades de Colomm. ... A- ri seffiir le e Midi Socialiste g ,,,,i

équiree I et 2, de Carmen. Réunion re les populations qui y seraient l g, oui se ter.. par un mech nul, 3 à 3 muntinpalité et des membrestous nos joueur. eu siège d 13 heuree. honoraires.

trouve dans la locootion a.érienne.

EN PARADE

trouvera des billets d'entrée,aujourd'hui, de 10 heures â midi etde 2 heures â 4 heures, la salle du

La salle sera chauffée conforta-blement. Auto-Camping-Club de Fronce. - Reu- ne la valeur des éléments en es

La vie sodaliste

noi des erse,. eecondesLA VIE DES SOCIELES présence les équipe. de rA. S.

nese e du Stade Touloumin.Belle rencontre an perspective

' dits dSyndicat d LeitiaLive de Saint-035e-deus, sous le haut patronage desMunicipalités de Saint-G'audens etde Vsllsaeuoe-llmuiéne,

Les aviateurs qui ont été pros-sentis pour venir à. Saint-Gaudens

ffiliasselse

sionen ttiiitomundénsoplotueosondne reoznolenr Je:

soin de présenter au ,public ; citons'gre mura- cependant parmi eux! s

usines LateCoères àAlax Kuipping, ex-chef pilote des

lacva BOW détenteur enToulouse et

1928 de de. records

IC sv d match aneeel se t q lq rap d l ointain

lever de rideau. d 13 heu., Smde eS o e P

mie III mutin Derley-Club Toulo. 'Imain et RnVol dtvation de .cette nature

aaa"a araa'daaaa "maya Taa- tI?Zaiagtenai's'itat"rd'e 'faeyrIvremlne'a'dep-te...Xi à n'uhm'aiier',',.'en Cus' n'os,

T. O. E. C. grands expresse aériens pour effec-e en j, uer ueue ie ou

LE TENIANCIPATRICE TOULOUSAINE Thistttos l

ecra arleiné par M. Taill.,

ouer. au

LE MIDI SOCIALISTECAMES, AUCHDANS LA BANLIEUE

St-MARTIN-DU-TOUCHEGLANTINE BASKET-BALL. - Ren-

dez-vo. d, mue les ioueurs, à 10 heures..

14 heure., mate m, de chepionner corme qu ede anéantirait d'une façon total ..°tre de dimanche demies jouée au Vans se de Trayait, sous la prendenee

après deus.nudou9,

0.0,55s anix prolemationméesd'un même désir, vidaeunuee une ,,,,,,eureuse No. verrons sua prises, deux belles

DANS LE DEPARTEMENI

MURET

mettre en renient lepublic sera admis â volerCarcamon- ors man. amateurs et pourra

se rendre compte ainsi de la s'écu-, étant don. rite, et de l'agrément que l'onému.. En trou m

Blanoard. - Yvette Labit, rue Vie-

Ou 14 au 21 décambraDevant une belle oh.ambrée eut lieu

la réunion publique dans laquellec'evaient prendre Ta parole dm ora-teurs du parti, parmi lesquels Mon-tel, secrétane becterai de PAude, en-tardé au dernier moment par unemalencontreuse p...

Le camarade Loubens, des Jeu-nesses Socialistes, prend le premierla p.arote. D'une éloquence encorernal assurée, mais avee conviction, iliétlame le désarmement moral et

é.ducation dm enfants dans lacrainte de la guerre. Il laisso entre-voir 1. horreurs d'une guerre parles gaz t il invite le. 'eunes à maniegrossir les rangs de ceux qui luttentavec l'appui du parti seialistepour la bonne cause de la paix.

C'eet ensuite au tour du camara-de Rober, qui nous apporte le salutfraternel de la section toulousain,Il esquisse un rapide historique deimites les guerres passées raies' Imea-

A utomobi les réviséesen parfait état de marcheenraie de 3.000 francs.

Essais gratuitsVENTE AU COMPTANTOU A CRÉDIT ENle el lEINISIJA.I.ITIÉS

STMCACÉTRO le te

'18,RueConstantneTOULOUSE

trer que les nationalistes de tous lesCe sont

la mainfrràiéjeosn aut. elno'sisrnsenritnednodnendti.

l'?uainasta guleplr uanre

mec honneors

c gaiement sur le

!FOOTBALL COUPE DE FRANCE. _ SAINTE-BARRE. - 5,a corn

mech revendre. 1.< d?s saP;urs-Fmnpiers diAri;je,em eujourd'hui à Ceères se le terrain edi,huiredidamusnannoet eitntonournetille aujour-

cède à la tribune. terrain.Nnue coevione le. nombre,. suleneners

sourire, ce qui n'est P. PIM, gâter aAvecune 'ironie mordante et aDve le rées.

.venu

les chose., il aouhaite longue vie aul bennu.e,bI

e ministère de la boue dont nous :1,rzt,,s1.1ezt,e."ain et dtram laar publica ministère de le bonne humeur ae.

nens mir n ne covp .r..iff/é à I4 heuresguère confiance au ministère Luidoit lui succéder et e,ompare agrcee-,'E zL,

,Islement celui-ci à la culotte toute/ esnative de J. taillée dans le

' vieil habit de son père. Coiineiden- Demis. Leffont Trocherie II, Cadyou.unAuguere A. Du(ort, Marine

SIMOREIRSAINTE-OECILE. - L'UnionMusim,le célébrera aujourd'hui 'fêt e annuelle de la Sainte-Citeil.,Le programme qui sera exécuté

eetiiFuast », fantaisie (Gounod).,e sutvant ;

Tannhauser (11. Wagner,/e Echos du Midi fantaisie (Lnei./rr Après .guerre v polka, pour piston

A 18 fleures, banquet Hôtel Ny,:bonne; après le banquet, grand

balsallemunicipale.CONFERENCE. - Nous so

t(oeil Fre rt, Gros. Darbas. heureux de signaler d'ores et dé

è dém tré lMONTESQCU-VOLVESTRE ment » aura lieu dans notre ville

prenait la chute du cabinet Ter- qu une conferenoe sur le Désa

ar

rme,j dirtjs avoir on en queques 1s 20 décembre prochain. '

pomt lb une ef g matum rame, pv-s- arades du bureau central. prêteront leur camarades reemm; après di

prix unique jusqu'à /3haures 9 fr. acIdévni'e'neeresdu temps intervienne et ges de sa diatribe passionnée, dee 'Lee les A. C. N. P. réuni. publique et contradictoixea.a.. n man. GOIINEBARRIEU Journaux du Parti. - Banni Si,

caf. du Commerce. Pm, A 9.191 guerre tel ement horrible, ta A midi, grand banquet à N Bour-

mots, qu'il faut préper la paix ANCIENS COMBATTANTS. - Tous iq'op perterogg,pour éviter la guerre, le maire de les anciena Combattant. non pensionnésRevel termine Canon press.., appel du cane, sont mformée qu'une réurdne LOAIREAen Sueur du parti t de la preMe du . aura lieu le mmedi aoir 13 décembre, à, REUNION DE LA SEUTION. -parti. I Montbrun, à 8 heures et demi ; dimem siLecamarades ont discuté ieudt

C'est autour du camarade Montel rte 14, à 9 heures, matin Lahitère, St- ordre du joug du al:agrès Fédéral,d'attaquer le problème de la pue. Cri.mud. 10 heure. e demi Cane.. 9 Propagande. -- Barr., propre.CensTout de suite, annonce qu'il va:heures ; Camestac. /0 heures et demi Yerganiser manifeeetionparler avec son cur, et ce ne sera ,Montessmtieu. 2 heur. apr.-midi. Ete. Lanthez. Un congrès réunirait

I

PERMANENT à 106. 30 à 19h 30 Souhaitons que la douceur et la que nous avons vu, à maints passa- aincoum, y mre traité, tout ce qui , jeuner fraternel l'on tienolaatnua

e gaueh Me se sont écrasés; ils ne, ont ai fut etSi . t-M ,erti d.n . offre le double avantage de repro-sont adversaires d'une instruction Touch d'avoir répondu bI appel de duire /es articks rr Populaireii sumal répartie ou mal distribuée, Il section et.assure â com d'insérer la erellien &narine.,in le P que la tale. »

de toutes les industries privées, cor ra R. lsreeneerde. ..Progransme agraire. - Dambielle

ei ren rer en possession le porate est donnée I., fi expose la l'agriculturede tous les biens collectifs de tontes , d9. Jeuneema qui dans adns notre régiktuationde

les découvertes dont on dépouil- melms, lamineux démontre aux jeu- Le camarade Saint,Martin est dé-nes que leur devoir est d'adhérv signé comme délégué au Congrès F6-termine Dar un vibrant réquiei- ro. gremPes du dounesees 'd.éral.toire contre la, école admirable de camaraderie,

Tantôt avec saguerre.raison, plus sorivent, d'éducation, do solidarité, qui feral ESPAON

avec son eceur, notre camarade de demain de ms jeunes des hommes ,REFETE. - Aujourd'hui, 7 demm..BUI/c07 mondiaux sur avion léger. l'Aude nous a tenu ionguement sous' émancipés, conscients du grand rôle , bre, à l'occasion de la refile, grand

Raymond Meuler, qui en /928 et- le charme de sa chaude éloquence. social qu'ils auront à jouer. 'bal avec brillant orch.estr,13,,,M

55m5.5Moolemrowirvi.2% fectue un remarquabM voyage de No. le remercions de grand coeur I Par d. exemples' historiques, ilSAMATAN0.........,,,..,.......-...-ara,......-..........0 tourisme de Parts au Cap et retour, comme nous remercions /a Fédéra, demontre comment la media diplo-

s it 3D.000 kilomètres pareourus fion voisine qui no. l'a envoyé. Imatie européenne a échoue devant QUESTIONS ELECTRIQUES. -dans un délai extrêmement court, Après ces différents expoiés, un le principe de l'équilibre européen, Par la voix du tambour, M. le met

Charley Froissart, le vainqueur ordre du jour est voté, ainsi qu'une détaille au milieu doue grande ml- rs. convoquait samedi 29 novembre, lagi.Z TFZI.H. PM ID IDE de nombreuses épreuves aux mec- adresse de sympathie as l'égard du I991)99 le ne... Ptib.ine qui 'Peluiratiet, -

es de 1926 à4929. camarade Blum lâchane t Hn.a doit être à la haro de M technique peu sa conscience et sa responzabili......... -.5 It- à* 5' àà un "g' daLa par ''' 'ite ao''''anrobal quei sem assu- par a presse réactionnaire. de la priaI ' ' ' a - I ix: pr nope un on eti d' i 1, te, uned' façon qui lui parut a ro4 i-,,...n,1.= 91-..uezt.,, ré, par le jeune Henry Bournat qui C'eet line SIS journée pour Fédération économiques et polique. ; te au moms.pour calmer tes .prit

DERPLERE LA Rapt., deputs 2 ans a obtenu un succeS k eocia.lisme.

'REVEL d'h l p

Il indigne à quel point la lutte I M. le mame proposa notre sympa.toujours grandissant. par son auda- s'internationalise, et comrae aujour- /bique camarade, le docteur Deum.,ce au trapèze atirien et dans des . , ui le vrai mnbat pour a aix pour arbitrer les déb et la parole

de rameur. du Pane. avec équilibres prodigieux sur les alles .13ANGUET FRATERNEL DES est situé entre l'Internationale ou- fut donnée à notre brats,illant premier1-en,orarZorusa-'es:toraa'Irca',,,,,..-', d'un avion en plein vol. CLASSES 1910, 11, /2 ET 13. ,-- Les grieb. et socialiste et l'Internatio. qui retraçant la demande de vente

SUR ME,nonnes Mais avant tout il faut retenir le camarades des &esses ci-dessus mett- nale des profiteurs de guerre. f Mormulée par 2L Troyes, consessn.

but de propagande aérienne qui Données sont 'invitées à assister au III termine per un vibrant appe/ cuira de l'usine électrique crût bonLA, 911999.19 s'attache à la fête de Saint-G.- banquet annuel qui aura lieu, à aux jeunes ta pplue belle te, den refuser la vente, ceci ditil en

dens, . Ce sens qu'après avoir as- l'hôtel de la Lune, le dimanche ohe a accomplir est celle de créer la ...rd ave m. conseil municipal;sisté aux audacieuses exhibitions ' Id décembre, â 7 heures du soir pale. M. Troyes n'acceptant paa ce refus,

Ia....a. 'ee'qttlea

no. détaillerons ultérieu-1 assister sont priés de se faire Ifis- lua se magnifique exPosé 'Prim. que noue tenu. de Perd,s au cours d'ee program- Les camarades qui désireraient ont y Une salve d'applaudisments sa asdiona la oommune de Samatan5

t me

!des, Henri Segonne, Pau/ Roquefort le jeune Berlia pour son argumenta- remarquer qu'il n'avait pas ap-

avant le 10 courant, afin le La parole est ensuite donnée à avec dommageintérêts s'élevant àfaciliter /e née-oies de l'hôtel. Se JJeati Rieux qui, dans un sil.. 50.000 francs !

faire inscrire chez MM. Henri Pra- impre.miennant, après avoir félieiW Le oamarade Noél proteste et fait

' et Alibert. - Le Comité, tion solide remplie de faits et de prouvé (Do refus) rétexta,nt qu'il nepremiers remarquables, depemt la pouvait Interdire a vente d'une con-

LUCHON situation actuelle de l'Europe. dé. cession à un autre. conomsionnair,SnONoSonreEILenridoNILIP,A,

(L tioeuitu). Done avec

eslardeur le

fascid'usme et les Poursuive. m s desseins M. le ma,'nanaist qui rêvent n nou- re e,n arrive à la partie la plus défi-

veau conflit. catie. reniant pour une fois de l?

rie thermale quis'équbsolar.

re ee Ciqueill

Derniers détails dui LE STADE QUILLANAIS CONTRE- S's .'srn' 's'ut d'al1°I'd oc vote D brosse un tableau -cruel de ce sa parole et contrairement à, 1p

JEUNESSES SOCIALISTE Ba/ du Camp naS p ur avis, eelui de la Chambre d'in- serait la guerre futurs (guerre formel de la réunion qu'il organisaqua) périront

femmes,ben. iTy a trois ans, fait abandon des 11-irooe et ea dépenses à a lents, vieards et où somrera mIteurs preconner les emp-ieurvEhui à 14 h. 30, au Parc des SPuma. 3 . pour

II a civilisaion. tours; les cho se ren yrespeut etre l t ses gHte t berarbitre of- MERCURIALE DU MARCHE DE On nom la commission d'évalua- Par des citations nourries, te, per de puissantes interventionsDee' du Comité des PyréaCeee. SAINT-GAUDENS DU 4 DEOER- ttons des propriétés non gaulas, vingt t rands inven. deMM« Pécou

I D olles Dartig.m.tee S.iétairee sent iastammeut rima. A. niLes eqmpes auront I. eommosIn99 sui- BRE MO. - Froment, Ire q ial. 180 membres dont deux forains snt dé- air,,',;a re etTeraseaavantrie tous les paye Maigni et LombarZ sa thèse fut ré'oer.Enualnenient obligatoire d. mus le,

denems ce metin à 9 h. 30, au terrain, rue

L'apr.-1.d. mateh mnical .nue les si.. à la réunion mensuelle qui aura :

équipe. I et II du Bus., à 2 heure. an lieu lundi 5 décembre. d 21 heures trée Sr; 2me quai., 122 fr.; 31. quel 0.18 signés. jugent les oonséquenms terriblement futée. M. le docteur Deumié proposaQeillan. i- Ar.. i Never. : noie Si,' Seigle, 88 fr., Avoine, Ire quai., MM. Sa-Suhadie et Pienon sont/ des inventions de la techni. la création d'un syndioat dm usagerlterieu d. Eus... Pies.... oblie.I.Irei ° PréNe../ .9 el'" se1lisI. su` SI:ss.ssn'' ls' quo... Futrd.. Bitnn.u.S.99, Ca.eagn.sth 54 fa que, sa fr.; Mais Ob dl us membres du conseil de diaclipli- Zaeacalnacauvelle. de l'électricité, ce qui, fut fait surrentre/nen,. de mua les jeu... 9. Toulouee. .,Roquet..., Bonnet : demi. i c...- ft.. HD,riootv let fr.; YOmme; de ne des employés municipaux. La guerre ,de 70, dit-il, ne fut le champs.La Secrêtaire : A. Loubet.. L'ordre du ie., comm.,. ..tamme.IIIi demi lm). Bobo (n/ : aveu. i Cer....., terre, 35 francs (le tg. l'hectolitre). MM. Castaing et Estoile, délégués nainu jeu d mefant par rapport à Ainsidone M. le maire vous Me.Une causerie de M. Midas, ingénieur anal, Gaeten. Reynaud, Mese., Vidal, F.a, Ire quai., 21 fr.; 2me quai., à la Chambre de Commerce. celle de 191418; une nouvelle guerre dans lm mailles Fun procès que voue=..rne, S E.. sas r..,,,,a...,.e dei lampe. à gril- Soule. Fabre, Foulquier, RN...a. 19 fr; Paille, Ire qual., 20 te; V' t 'te I b d t d l'Hô '' serait or l'emploi des avions, des av. Voulu, velte présentes I. campde tous le. joueurs eu

. .,, e t. er,rain Co,,,..,..upe-Fer. -le den. l'amplification moyeene hé- Toec. - Arrière i Gui... narine,. t qual.,.da freetnie G /etout ie donnai,. .., thermal. Recettee t 127.353 fr.; g d reierobes des re.3, ns des- teurqu

vous yes embattu et eelet- :s'A' ._, l''s1"ss' ss..'. Pt...mes'. ..1. ifiv. 'I., i ,Itiiee. quence d. &amer. d. béquet...à.. La Pouyade. Casugnon. udeières. Erver- Animaux conduits au marché. - Dépense, /20.370 fr. 80; Excédent tIn Ï;tsIttteres, u. tue'rie ge'néredisée h parce qia.. la Sua aiété Pyréné

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Réuni du C. A., aujourd'hui.il n'y a qu'un pas.

à 11e/ires. o caes auxiliairesLe Sec.tai. Lo b,n 10 T. maradI Ex t nf ,n1,8 -ce

u ns, r. 40 u du Bureau dB à nouveau, doum ans après, contreFOOT-BALL-CLUB TOULOUSAIN (le

toutllele kilo). ce. A oe propos, Dénard critique la fléau.Volais (la paire). - Poulets, 20 façon dont sont distribues les bons Et Rieux, dans une belle envolée,Convoverious pour les Po, équipes t franm; Poules, 40 Gan.; Dindons, de pain cules bons eut viande. Il de- en appelle à une humanité socialisteéquipe A, au siège. d II heur. 45 1 Al. 15) francs; Pintades, 40 francs. mande que nomme autrefois ils où les esprits seront plus éclairés etpart pour Pamiers, à midi. Equipe B m ufs, 8 fr. 50 la douzaine. soient distribués par l'ordonnateur. où les Geins auront plus de bonté.e. 'dès,. à midi. Eqemra C en 5000e rails (PhectoL - Pommes, 70 fr.; M. le maire accepte, ruais M. San- Le président fait appel à s romà midi. Mauhes eontre le Storting-Clu.b et Châtaignes, 68 francs; Noix, 120 fr, badie estime trop assujettis.et de tradietiaa,sont. le Derby Club Touloumin- P. Porcs gras (le kilo) 7 fr 75 venir faire lu distribution toute les Le citoyen An-on, de Merville, dusenee indispensable.

ee. Ands'41 eamPei eue du Perd. RdedUdà, ..134 frr..; Dé- militaire de Jaurès et la loi 'ans.

ETAT.CIVIL DU 28 NOVEMBRE semamuen. Parti communiste, essaye de crieoeurAU 4 DECEMBRE1930. - Naiman- Le budget du Bureau de Bienfai- une confusion entre la concep

- Auguste Dallons°, avenue de St- rieuses, 42.921 francs; Excédent de Boncour et tente ensuite une apot.eettes 213 francs. Adopté. gie du régime soviétique.D

Décès r Georges-Jean-Simon Bards / équipement national Inter.. vive-2.9 ans, rue du Prad.et. - Jean-Calii meut

notesteBigourdan, 63 ans rue du Mor-lat. - Marie -Joséphine Surrat 40 . pM.

Cosnet dit qu'il faut. en effet,réparer et dresser le vlan de

Encausse, e de la ..eut. quipeutintéresser Eu na.,

rore du drsidoroonocuil imporbout Pas Perdre

T'Melrusealie. et laisnéanee

d.

"ôulevard de N d 't '-VILLEFRANCHE

Nous reviendrons sur cette intéres. r

u-"ohant de

saule question que notre camaradeDéliant a soulevée, ce qui prouveque souventes fois ces sociaux révo-lutionnaires ont des idées pratiquesau f

M. le maire quitte la salle et M.Saubadie doyen d'âge, prend la pré-sidence.

M. Verdalle, amréraire d'a. duconseil, lit un rapport favorable aucompte administratif de M. le mai-

CM voté ir pour », majorité et na-dicaux.

A voté a contre » Dénerd S.F.I.O.M. le maire reprend séance, re-

mercie le doyen d'âge et ses collé-cires ma Soumna na eunseil lade gestion du receveur matriciel',qui est voté pas 22 o'ir

Notre camarade Dénard, étantseul, a voM r, contre v

La séance-pub/Igue est levée.Le conseil se ziéunit en seau. pri-

vis pour examiner les questions d'as-sistance. - G. B.

emard remarque que la loi sur Le camarade lierIN démontre au AU ANCIFINS COMILATTANTDmilieu des app/audissements, que la - Nous avons annoncé hier la

loi Boncour s'inspire de l'année grande réunion de cet après-midi,

EXP Os1TIONans, epoum ruADUTOCM:OBILES:dbéo - "r"rq'e g"I" per j.

orateur communisteest levée

,,

confondu,

notivelle et, dans agnifique au Théâtre. Nous la rappel°. atie

anciens combattants désireUXprovisation, dépeint lesm horreurs de jourd'hui et neuf, y COnViOns tOUS

<

ELIIRATUM. La signature de

notre excellent collaborateur et amiBen., instituteur, diplômé de l'en-seignement agricole, a été oubliée,hier, à la mise en pages, h la fin denotre chronique de fie page: « Pourles Paysans a.

Nous nous excusons aupiliVe denotre dévoue camarade de cette in-votentaire omission. Sa collabora-thon régulière du samedi nous esttrop précieuse Deur que nous netentons pas b marquer, chaque se-maine, par sa signature insérée,quo cent h lui que Doua devons lmremarquables articles, si bien adap-tés aux besoins de l'agriculture mg-ridionale, qu'il veut bien écrire ope-'Maternent peur le « Midi v

LEcroult0SAINTEAGELE. - Aujourd'hui

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rusa",RUGBY. - AWOUrd,h33i, diane;

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nul un mouvement brusque, .1,0., ...Pelez-v.0e donc quo °. °ipnvâleif; o. dressa à demi sur Mn °Mes ...usité aven Cceoret, po r

les yeux grands ouverts, il etmg. devant lui, fixement. D'un geste vioet, André le en

Qui do., murmura -041, tave po.0 luts da lui ,e'éroriant dune'renon., devant mol le Ru. de 2.37b...monde t veux plus qu'. me parle

Loi mettan ela main aux épaules, de Raymond. Raymonde mit morte,Iltddemk le nontraignalt doucement it monte depuis le jour qh elle a trahi

e.g.ratr, ut ce rejetant un peu en see serments, depuis le Pm.' oh ..;: .t.more en pleine Tai maudite, sens, gomme parjure etTt

M vivace et si earmtéritirequex J'ou' Vo oies-voue bien voue taire 1Lh, regardes-Mot bien, net ne s'écu-la Pioldeek; vous Mes dmo tout

tilde...oeil ne me tremiunailetea pus, â fait fou I..Madame Raymond. eiminello I

Moldack I répéta Andaé, dont Madame .Reymoude, adule., I Ah It/sourcils ee fronçaient comme par bien, fital aveo un geste combatte, el

Violent effort de mémek,e, elle oommet un adultère 1h 00. oldeEh oui, le gamin lamie grand' eut

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Fm meme tele, lu posaent sur le été mas peine Voyons, tanhons delit, devant le lemme Imumne, Ont ter- parler peu mais de parler bien; carrine pleins d'eau t voue ayez air. Sauf vOtze respeet,

La, ftrurrezumol ves mains a. d'avoir la tête un peu fêlée,dedans, et débaritouillet-volue à for- tant muflert, noormrane; Veye.volte il n'y a que ga pour André; je souffre tent Ivoue rafraldhir /ee idées. M'eau mon Ça m peut; malt voue n'eteaealut quand j'ai seppetin coup de pas le seul, et ji °annale quelqu'unpieton., mieux que ga.., quI, dama ce mommt-ei, anal. plusVous ailes voir, rudement que vous I

Et joignant if gaew h la parole, Pli! ajouta, avec nu perte de oom-Mod.duelt asporgeuit lui-nat.° a gram misartinion indignée seau le visage d'André, qati obéissait Et la pauvre *elle. I... 9l78.11dêt 0e litiesalt faire machinalement. j'y a0000, ni me fait mur. due

Du reste, le gars raison/Mit biem,et, sou1 la hale... du liquide, An-dol revenait peu à peu à lei.

Moldank ne cessait pat d'ailleursde parler.

Yoyeavous, j'ai regardé votretAte; 91 0001 Don du tout. Danstroie ou quatre jours, il n'y parai-tra pl. seulement; il faut y mettreun P00 do benne volonté, storédié I

Tont en bavardant, ht H avait an-plis oompresee qui entourait le orgene d'André, en ajihrbeint ft l'eau sa-lée quelquee gouttes de rhum.

Puis il amie% retape les oreillers,avait installé oommodément le bles-se demi assis eur mn lit iat,. se po-mat encore une foie devant lui

Maintenant, si voue ne me re-connais°. pas, 11t41, vont y met-tors de l'enteement.

findré pansa Des deux moins surson front; une gente rougeuréclaira ma visitais, ut adressant de la

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Puia, reVensfit voteAndré t main un signe an gamin s Damet quoique vous nO m'avezVoyons, il s'agit d'abord de Oui, oui, je sais le petit mou. pue r.onté vol affaires à l'époque,

voua ealmet". Pelle nil, avoir la bon- se Moidapk. 91 me amble Roi que e'êteat pour14 de veut forme le. net là-dedans. Eh I alloua doua I Ça n'a pas emmener quelqu'un que vous ai-

must bien.., et que voue aimiestemt votre

Peu à peu, ls ealme ibe rétablis-sait dans le .mreau d'André; Thori-um de tidéen s'élargissait. Ainsi,quand un navire revient donc dos

3m I100u, dustrot

ches, des sitesquo

reconnaît_du

Mais eu méme temps, la notioritile

déseepoir.Eu une seconde, comme par

ounen duos le do,. p100100n dune traînée de poudre, An-André le regardait mainte.nt dol ravit tout le passé, depuis le mo-

tive° attention, ment oh il avait été min per desEvidemen.t, il cherchait à rets inconnus mir grève de Douarne-

saisir ees souvenirs confus gni, un nes,. jusqu'à le minute tragique oh ilà en, se réveillaient lut Mol- aveat vu.., cette femme aux bras dedm& I où donc l'avait-il vu pour non amanb.la dernière foin I Tout en recOnstituant .tte odys-

Le mousse, intelligent, respectait rée douloureuse, il prononçalt desla méditation qu'il devinait, et oom- mots entres:Mimés qui faisaient sin-

Andrê répéta encore vue foie son gulièrement daims. l'oreille do Mol-nom aveu un usent intarroetif, dock.Mold.k.., avec Cocus., Quoi fj..1

émerger un

relefitélui ramenait la sema

p arages déjà partrour. par e

Br°e"..n0"°4 t'°" en. k b7'''le ou o ieur André que nous001io. Cou-

tintent « cenitaine o,,.biPeco Ob en''vérrlr, vnueOU mai nouéP«Ir itnieut lentement, scandant les battons la berloque... Tenez, buvesmotu,

petit coup de rhum; il n'y o. rien quide e,. plue prononnen trop bru u,-

0eclam,....cm.,1ce Idées co,mme ça.... b,

do'nient le nem de Raymasidis : peur tes metteur. en et en ne.Oui, oui je me souvie. I dit

André. Mais 'pourquoi dune . na- André ...rte de la main le flaconvire I Pourquoi 1 que Maldack voulait appr.her de

dama.

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lèvr.; male le mousse huma unegr.ieuse rasade;

tout rémtmforté.Mai- ntenant, monsieur André, voussavez que je suie un fo0000 garçon,on fion blaguai., Main pat MententJuu idée qu'Il no dans votre tête150m6/1-melo dont vous ne pouvea

envous me rdpon,tre _i_ franche-ment 7

Qu.tionnetudi si tujyeisâ,.e,,

7duit_A.ndré avec un geste d laditce.

Vous lire bien 0e00 aveu qu°1-,qu'un pour vous embarquer sur I0t. Pim/ne e

Oui I

On voue a enlevé de force 7Oui, répéta /cadré avec impa-

tinh bien, qu'cet-cequ'os! devenue Mme Raymond. 7''Ciette fois, André Be drossa, 1 nitétincelant t

Oe qu'elle est ,devenue Rhbien, je vais te le due I... C'étaitelle qui m'avait livré â son mari..,c'était eHe qui m'avait fait jetor enprison sous le poids d'une amusa-fion odieuse et rtdioule.., c'était elleoui m'avait trahi, jouant jusqu'aubout une comédie infâme-.

Qu'est-'s que c'est que tout ce-la I oria Mold.k, interrompant lejeune homme, Ah ça I voua °tee donefeu, fou à lier 9

Fou I oui, je l'ai 4,4 de déces-poix de dégottt, de honte... J'al vou-lu n10000000., Je me sais engagé et misvenu ici à Mont-Et-Yean... La mort

paa voulu de moi cette foised;

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mais au premier combat, Raymond.eeta Mantente; elle rma en a.pprenantu2_,.a mort I

Raymond° I... Ah ça, qu'est-ciqui vous a débité toutou oes belle!mfamies.la

Oli I personne I... Ne la défendepas coutre dno ealmmiateursnoires... Je sais tout par moi-Même...de lui ai parlA,. je l'ai vue I Oh Iinfaulie I...

Et André sanglotait. la tête dauao. deux mai..

Moldatik oonnumiçait à se sentirfort embarr.s.; ces fiâmes chaude(à la suite de ble.ures à la tête, peu-vent être très dangereuses. Pourtant

n'aveit.pas de temps à perdre; ilfallait aglit et promptement,

Il attendit quelques instants; su do.par quel bout il tallait

prendre elui qu'il couisdérhit trèsirr.p.tuousement oomine ou .ragé

Pardon I dit-il. Il y a un &é-tui. que je e'ai paa MU bien com-pris. Vous avez parlé à qui 1 Vouslnye. vu qui 7

Ah I oui, tu t'étonnes, tai ansqu'une femme connue Raymonde,

mit tombée amei bas.., Tu ne necrois pas... Eh bien ces aeousatimeterribles, je n'ose les proférer queparoe que jelui ai par/é, à elle...Parce que je l'ai vue, elle,., qui dl.plus de nom pour moi_

Vols Part. vue 2 Vous lui aVelparlé 9

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