4
Plus que des hôtels, des histoires mémorables. Hôtel Bastille Boutet Paris 5 Terres Hôtel & Spa Barr Royal Emeraude Dinard La Grande Terrasse Hôtel & Spa La Rochelle Hôtel La Citadelle Metz Park Hotel Grenoble Nos hôtels sont plus que des adresses, ce sont aussi des histoires. Des récits uniques qui méritent d’être vécus et racontés. La collection MGallery compte plus de 100 hôtels, tous façonnés par la culture locale et l’esprit des lieux. Ils sont représentés ici dans une série d’objets iconiques. Découvrez-les et réservez votre séjour sur mgallery.com MGALLERY. STORIES THAT STAY * *MGALLERY, ENTREZ DANS NOS HISTOIRES. En partenariat avec LE FIGARO mardi 3 décembre 2019 PALMARÈS DES LAURÉATES DES PARCOURS INCROYABLES PAGE 2 GRANDE ENQUÊTE LA PLACE DES FEMMES DANS LE MONDE DU TRAVAIL PAGE 3 L es Trophées des Femmes de l’économie sont nés d’un constat : bien que très souvent majors de leur promo dans les grandes écoles, les femmes dirigeantes sont très peu mises en lumière dans les médias. C’est donc pour récompenser des parcours de femmes et les rendre plus visibles dans l’univers entrepreneurial que les premiers Trophées se sont tenus en 2010 en Provence-Alpes-Côte-d’Azur. Précurseur dans la volonté de valoriser des femmes engagées dans leur vie professionnelle, l’événement est devenu au fil des éditions un rendez-vous incon- tournable dans le monde économique régional. En 2019, au vu du succès rencontré dans les différents territoires, deux nouvelles éditions, Île-de-France et Hauts-de-France, sont venues compléter le maillage national des Trophées. UNE MISE EN LUMIÈRE BÉNÉFIQUE Les Trophées valorisent la place des femmes dans l’ensemble des secteurs d’activité de leur région, même ceux réputés traditionnellement masculins. Six prix viennent récompenser ces talents féminins : Femme chef d’entreprise, Femme chef d’entreprise promet- teuse, Femme dirigeante, Femme à l’international, Femme digitale et Femme innovation sociale. Les lauréates sont sélectionnées par un jury composé de partenaires historiques, de représentants d’associa- tions féminines et de réseaux professionnels nationaux. Interrogées en novembre 2017 dans une grande enquête, 159 anciennes lauréates ont témoigné des bénéfices apportés par les Trophées des Femmes de l’économie : une plus grande visibilité, un réseau étendu et un bel accélérateur de carrière. Les Femmes de l’économie leur ont donné envie de continuer à prendre des responsabilités et ont boosté leur énergie. La portée de ces Trophées permet également de valoriser un véritable travail d’équipe au sein des entreprises. Les récompenses obtenues représentent donc un vecteur de croissance pour les lauréates comme pour leurs organisations. UN TOUR DE FRANCE EN 2 ANS D’avril 2018 à octobre 2019, l’équipe des Femmes de l’économie, sous l’impulsion du directeur national Pierre Danthez, a sillonné l’ensemble de la France pour remettre 62 trophées à des femmes chefs d’entreprise, directrices générales ou encore créatrices de start-up. Six cérémonies ont été organisées en 2018 et cinq autres en 2019 dans des lieux prestigieux, pour la plupart symboliques tels que le Mucem à Marseille ou encore l’Opéra de Clermont-Ferrand, venant souligner l’importance de l’ancrage territorial des Femmes de l’économie. Chaque soirée était composée de temps forts dédiés au business, de conférences, de témoi- gnages inspirants et de masterclass abordant des thématiques entrepreneuriales. Point d’orgue de ce tour de France, une grande finale s’est tenue aux Salons Hoche à Paris. Ce soir-là, six des lauréates récompensées au niveau régional, se sont vu remettre un trophée national (cf. palmarès page suivante). Rassemblant les réseaux économiques, les chefs d’entreprise, les dirigeants et les institutions de chaque territoire, ces événements hauts en couleurs ont été l’occasion pour chaque participant de nouer de solides relations professionnelles dans une ambiance convi- viale et chaleureuse. Enfin, ils ont impliqué de nombreux partenaires parta- geant les mêmes valeurs de parité, d’excellence et d’audace, et toujours présents auprès des Femmes de l’économie, année après année. n Mettre à l’honneur des femmes au parcours professionnel exemplaire : voilà le point de départ des Trophées des Femmes de l’économie. En saluant ces actrices de l’économie française, l’évènement veille aussi à transmettre à la génération future des valeurs de courage et de partage. « Encourager les femmes dans leurs démarches entrepreneuriales et managériales. Voilà l’objectif des Trophées des Femmes de l’économie. Car aujourd’hui, les femmes n’osent pas. C’est en cela que cette initiative leur offre un magnifique tremplin. Elle garantit une visibilité toute l’année et sur tous nos territoires, est un relais permanent sur les réseaux sociaux, dans la presse et met en lumière les parcours de chacune. Enfin, elle crée un réseau de femmes qui partagent leur expérience, tissent des liens, et obtiennent un solide carnet d’adresses. De plus, être lauréate installe une véritable crédibilité qui facilite les échanges avec les partenaires, banquiers par exemple. Nous devons d’ailleurs saluer l’engagement de l’équipe des Femmes de l’économie qui, partout, se mobilise pour inciter les femmes à sortir de l’ombre. En mettant à l’honneur des parcours de femmes inspirantes, les Trophées ouvrent des horizons et le champ des possibles à toutes celles qui n’ont pas encore osé. Rien de tel que la réussite pour insuffler l’envie d’entreprendre. Pour moi, ce fut une fabuleuse aventure. Le dossier de candidature m’a permis de marquer une pause utile dans mon parcours bouillonnant. S’arrêter, observer le chemin parcouru pour enfin affirmer haut et fort ma motivation, ma vision et mes valeurs. Tout cela m’a permis d’ancrer solidement mon rôle dans le développement de l’économie, et je suis fière également d’avoir pu inspirer d’autres femmes. » ÉDITO Karine Tardon LAURÉATE NATIONALE D’OR FEMME CHEF D’ENTREPRISE 2017 Directrice générale de Karine & Jeff « Rien de tel que la réussite pour insuffler l’envie d’entreprendre » © Claire-Lise Havet © Gaetan Haugeard © Gaetan Haugeard © Adelcastudio - stock.adobe.com 6100 dossiers de candidatures reçus 540 lauréates récompensées 59 évènements organisés à travers la France 39200 participants avec une moyenne de 40% d’hommes Les Femmes de l’économie en chiffres depuis 2010 Les Femmes de l’économie : 10 ans déjà L’ensemble des lauréates régionales de l’édition Auvergne-Rhône-Alpes 2017, au éâtre du Casino grand cercle d’Aix-les-Bains. PUBLI-COMMUNIQUÉ

DES PARCOURS LA PLACE DES FEMMES INCROYABLES PAGE 2

  • Upload
    others

  • View
    1

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: DES PARCOURS LA PLACE DES FEMMES INCROYABLES PAGE 2

Plus que des hôtels, des histoires mémorables.

Hôtel Bastille BoutetParis

5 Terres Hôtel & SpaBarr

Royal Emeraude Dinard

La Grande Terrasse Hôtel & SpaLa Rochelle

Hôtel La CitadelleMetz

Park HotelGrenoble

Nos hôtels sont plus que des adresses, ce sont aussi des histoires. Des récits uniques qui méritent d’être vécus et racontés. La collection MGallery compte plus de 100 hôtels, tous façonnés par la

culture locale et l’esprit des lieux. Ils sont représentés ici dans une série d’objets iconiques.Découvrez-les et réservez votre séjour sur mgallery.com

MGALLERY. STORIES THAT STAY*

*MGALLERY, ENTREZ DANS NOS HISTOIRES.

En partenariat avec

LE FIGARO mardi 3 décembre 2019

PALMARÈSDES LAURÉATESDES PARCOURS INCROYABLES PAGE 2

GRANDEENQUÊTELA PLACE DES FEMMES DANS LE MONDE DU TRAVAIL PAGE 3

Les Trophées des Femmes de l’économie sont nés d’un constat : bien que très souvent majors de leur promo dans les grandes écoles, les femmes

dirigeantes sont très peu mises en lumière dans les médias. C’est donc pour récompenser des parcours de femmes et les rendre plus visibles dans l’univers entrepreneurial que les premiers Trophées se sont tenus en 2010 en Provence-Alpes-Côte-d’Azur.Précurseur dans la volonté de valoriser des femmes engagées dans leur vie professionnelle, l’événement est devenu au fil des éditions un rendez-vous incon-tournable dans le monde économique régional. En 2019, au vu du succès rencontré dans les différents territoires, deux nouvelles éditions, Île-de-France et Hauts-de-France, sont venues compléter le maillage national des Trophées.

UNE MISE EN LUMIÈRE BÉNÉFIQUELes Trophées valorisent la place des femmes dans l’ensemble des secteurs d’activité de leur région, même ceux réputés traditionnellement masculins. Six prix viennent récompenser ces talents féminins : Femme chef d’entreprise, Femme chef d’entreprise promet-teuse, Femme dirigeante, Femme à l’international, Femme digitale et Femme innovation sociale. Les lauréates sont sélectionnées par un jury composé de partenaires historiques, de représentants d’associa-tions féminines et de réseaux professionnels nationaux.

Interrogées en novembre 2017 dans une grande enquête, 159 anciennes lauréates ont témoigné des bénéfices apportés par les Trophées des Femmes de l’économie : une plus grande visibilité, un réseau étendu et un bel accélérateur de carrière. Les Femmes de l’économie leur ont donné envie de continuer à prendre des responsabilités et ont boosté leur énergie. La portée de ces Trophées permet également de valoriser un véritable travail d’équipe au sein des entreprises. Les récompenses obtenues représentent donc un vecteur de croissance pour les lauréates comme pour leurs organisations.

UN TOUR DE FRANCE EN 2 ANSD’avril 2018 à octobre 2019, l’équipe des Femmes de l’économie, sous l’impulsion du directeur national Pierre Danthez, a sillonné l’ensemble de la France pour remettre 62 trophées à des femmes chefs d’entreprise, directrices générales ou encore créatrices de start-up. Six cérémonies ont été organisées en 2018 et cinq autres en 2019 dans des lieux prestigieux, pour la plupart symboliques tels que le Mucem à Marseille ou encore l’Opéra de Clermont-Ferrand, venant souligner l’importance de l’ancrage territorial des Femmes de l’économie. Chaque soirée était composée de temps forts dédiés au business, de conférences, de témoi-gnages inspirants et de masterclass abordant des thématiques entrepreneuriales.

Point d’orgue de ce tour de France, une grande finale s’est tenue aux Salons Hoche à Paris. Ce soir-là, six des lauréates récompensées au niveau régional, se sont vu remettre un trophée national (cf. palmarès page suivante). Rassemblant les réseaux économiques, les chefs d’entreprise, les dirigeants et les institutions de chaque territoire, ces événements hauts en couleurs ont été l’occasion pour chaque participant de nouer de solides relations professionnelles dans une ambiance convi-viale et chaleureuse.Enfin, ils ont impliqué de nombreux partenaires parta-geant les mêmes valeurs de parité, d’excellence et d’audace, et toujours présents auprès des Femmes de l’économie, année après année. n

Mettre à l’honneur des femmes au parcours

professionnel exemplaire : voilà le point de départ des

Trophées des Femmes de l’économie. En saluant ces

actrices de l’économie française, l’évènement veille

aussi à transmettre à la génération future des valeurs

de courage et de partage.

« Encourager les femmes dans leurs démarches entrepreneuriales et managériales. Voilà l’objectif des Trophées des Femmes de l’économie. Car aujourd’hui, les femmes n’osent pas. C’est en cela que cette initiative leur offre un magnifique tremplin. Elle garantit une visibilité toute l’année et sur tous nos territoires, est un relais permanent sur les réseaux sociaux, dans la presse et met en lumière les parcours de chacune. Enfin, elle crée un réseau de femmes qui partagent leur expérience, tissent des liens, et obtiennent un solide carnet d’adresses. De plus, être lauréate installe une véritable crédibilité qui facilite les échanges avec les partenaires, banquiers par exemple. Nous devons d’ailleurs saluer l’engagement de l’équipe des Femmes de l’économie qui, partout, se mobilise pour inciter les femmes à sortir de l’ombre. En mettant à l’honneur des parcours de femmes inspirantes, les Trophées ouvrent des horizons et le champ des possibles à toutes celles qui n’ont pas encore osé. Rien de tel que la réussite pour insuffler l’envie d’entreprendre. Pour moi, ce fut une fabuleuse aventure. Le dossier de candidature m’a permis de marquer une pause utile dans mon parcours bouillonnant. S’arrêter, observer le chemin parcouru pour enfin affirmer haut et fort ma motivation, ma vision et mes valeurs. Tout cela m’a permis d’ancrer solidement mon rôle dans le développement de l’économie, et je suis fière également d’avoir pu inspirer d’autres femmes. »

∏ ÉDITO

Karine TardonLAURÉATE NATIONALE D’OR FEMME CHEF D’ENTREPRISE 2017

Directrice générale de Karine & Jeff

« Rien de tel que la réussite pour insuffler l’envie

d’entreprendre »

© C

laire

-Lis

e H

avet

© G

aeta

n H

auge

ard

© G

aeta

n H

auge

ard

© A

delc

astu

dio

- st

ock.

adob

e.co

m

› 6100 dossiers de candidatures reçus

› 540 lauréates récompensées

› 59 évènements organisés à travers la France

› 39200 participants avec une moyenne de 40% d’hommes

Les Femmes de l’économieen chiffres depuis 2010

Les Femmes de l’économie : 10 ans déjà

L’ensemble des lauréates régionales de l’édition Auvergne-Rhône-Alpes 2017, au Théâtre du Casino grand cercle d’Aix-les-Bains.

PUBLI-COMMUNIQUÉ

Page 2: DES PARCOURS LA PLACE DES FEMMES INCROYABLES PAGE 2

6 finalistes

Cette quadragénaire passionnée d’innovations a créé il y a dix ans EcoGreenEnergy, une société qui offre aux industriels des solutions produc-trices de chaleur verte décarbonée clé en main, évitant ainsi l’émission de plus de 7 200 tonnes de CO2, soit l ’équivalent de 47 mill ions de km parcourus en voiture ! À la tête d’une équipe de 38 personnes, elle ambi-tionne de faire d’EcoGreenEnergy la référence française sur le marché du recyclage de l’énergie fatale, d’accroître son CA d’au moins 60% par an, d’inté-grer de nouveaux services RSE et de se développer en Europe. Amandine Aubert est également membre- fondatrice de l’association « Au cœur des femmes », école humaniste visant à informer et à accompagner les femmes dans leur développement personnel et professionnel. Elle est aussi mécène d’une association de football féminin qui évolue en D2 nationale.

Depuis 2013 à la direction du Groupe Kaporal fondé en 2004, Laurence Paga-nini ambitionne de faire de cette marque marseillaise de prêt-à-porter LA réfé-rence de la mode connectée et enga-gée. La société distribue ses produits via 120 boutiques « Kaporal », plus de 1 000 points de vente multimarques, son site internet, et divers sites distributeurs (Amazon, Zalando, La Redoute). Elle se décline également à l’international avec la création de filiales européennes en Belgique, Allemagne, Espagne et Portugal. Depuis son arrivée, la diri-geante a distillé l’innovation comme moteur de croissance, permettant au groupe d’être pionnier en France du « Ship From store », du jean connecté et du jean personnalisé en ligne. Très impli-quée auprès des acteurs économiques de son territoire, elle est convaincue qu’être une femme est une chance pour devenir vecteur de changement.

Ingénieur en mécanique et industrialisation, Florence Robin a travaillé chez Airbus, Zodiac et Thalès avant de créer sa start-up en 2016 avec deux partenaires. Issue du CEA (Com-missariat à l’énergie atomique), la société Limatech conçoit et industrialise des batteries Lithium qui embarquent plus d’intelligence pour le démarrage des moteurs thermiques aéronautiques. Ces batteries remplacent les batteries en plomb et nickel et augmentent la durée de remplacement de deux ans et demi à huit ans, sans aucune maintenance. Limatech est le quatrième fabricant de batteries au monde à avoir obtenu la certification EN 9100 (certification qualité aéronautique et spatiale). Dans un futur proche, la trentenaire vise le développement de ses gammes de batteries en Europe avant d’attaquer le marché américain et d’atteindre 30 millions d’euros de chiffre d’affaires à cinq ans.

Après six ans de parcours professionnel 100% digital, Fariha Shah a choisi de mettre ses compétences au service du recru-tement en ligne en appliquant les méthodes de publicités ciblées pour le sourcing de candidats. Elle crée Golden Bees en 2015, une solution adaptée aux besoins du recrutement en ligne, basée sur le concept du « recrutement programma-tique ». Pionnière sur le sujet et actrice innovante de la HRTech, la plateforme permet aux recruteurs de diffuser des offres d’emploi sur l‘intégralité du web (sites d’emploi, réseaux sociaux et tous les sites web monétisés) de manière ciblée et optimisée et de générer des candidatures qualifiées pour tous types de profils, sans aucun effort. La jeune femme ambitionne de faire de sa start-up une multinationale présente en 2025 dans plusieurs pays de l’Union européenne et aux États-Unis. Elle vise également les 60 millions de chiffre d’affaires en 2025.

Touchée par le handicap dès l’âge de 17 ans suite à une collision entre deux trains, Patricia Gros a fait le pari qu’une personne accidentée de la vie était capable de se reconvertir et de monter en compétences si on lui en donne les moyens. Après 25 ans à occuper des fonctions de management dans de grands groupes, et riche de missions humani-taires menées en famille, elle fonde en 2011 Handishare, une entreprise adaptée qui propose une véritable assistance aux fonctions support des entreprises. De pâtissier, aide-soignante, menuisier, couturière et technicien, ses 24 salariés, presque tous en situation de handicap, sont devenus des pros des RH, des achats, de la gestion ou du marketing. Le développement de son entreprise passe avant tout par le bien-être au travail des équipes qui disposent notamment d’un fauteuil de massage, d’un hyperboard et d’interventions de réflexothérapie.

Diplômée de l’Institut Supérieur de Gestion de Paris en commerce interna-tional et titulaire d’un MBA effectué à Milan, Anne Chauder a rejoint en 2003 l’entreprise familiale pharmaceutique créée par son grand-père en 1947. Après avoir occupé successivement le poste de directrice générale dans les différentes filiales du groupe, elle devient directrice générale de la holding Dômes Pharma, puis Présidente du Directoire, en 2016. Depuis son arrivée dans le groupe, présent dans le domaine de la santé animale (80%) et humaine (20%), elle a réorganisé les filiales afin de constituer un groupe uni et complémentaire et a opéré l’ouver-ture à l’international, en commençant par l’Angleterre. Avec le programme « Horizon 2020 », elle s’est également donné pour défi de digitaliser Dômes Pharma et d’atteindre un chiffre d’af-faires de 100 millions d’euros l’année prochaine.

LE FIGARO mardi 3 décembre 2019

LES FEMMES DE L’ÉCONOMIE

Mu

tue

lle

so

um

ise

au

x d

isp

osi

tio

ns

du

liv

re I

I d

u c

od

e d

e l

a m

utu

alité

, n

° S

IRE

N 5

38

518

473

, n

° LE

I 9

69

50

0JLU

5Z

H8

9G

4T

D5

7. C

réd

it p

ho

to :

Ge

tty I

mag

es.

PREUVE

18

ÊTRE PLUS PROCHE POUR MIEUX VOUS PROTÉGER, VOUS ET VOS SALARIÉSENCORE UNE PREUVE DU POUVOIR DU COLLECTIF.

Avec Harmonie Mutuelle, vous pouvez contacter

à tout moment l’un de nos 300 experts et 380 intervenants,

pour vous aider à maîtriser les restes à charge et

à réaliser diagnostics et plan d’actions sur mesure.

Découvrez nos solutions sur harmonie-mutuelle.fr

CAROLE ZISA-GARAT, Fondatrice et Dirigeante de Telegrafik (Occitanie)Diplômée de l’École des Mines de Paris, elle a fondé en 2013 la plate-forme intelligente Telegrafik qui fournit des solutions de Smart Care favorisant le maintien des personnes âgées à domicile, dont le service Otono-me distribué en France.

FEMME INNOVATION SOCIALE

JULIETTE FONTAINE, Directrice générale de Ker Juliette (Bretagne)Cette diplômée de l’EDHEC Grande École a fondé le « fast good breton », de la restauration rapide au comptoir basée sur les crêpes, galettes et autres produits du terroir breton. Le concept détient trois restaurants à Paris et Nantes.

FEMME CHEF D’ENTREPRISE PROMETTEUSE

CÉLINE HOCQUET, Directrice de Metarom France (Hauts-de-France)Ce t te d i p l ô m é e d e l a S ke m a Business School de Lille est à la tête depuis 2012 de la filiale Metarom France, première entreprise fran-çaise créatrice d’arômes dédiés à l’agroalimentaire et acteur de référence du caramel en Europe.

FEMME DIRIGEANTE

BÉATRICE CAULA, Fondatrice d’Evoluflor (Provence-Alpes-Côte d’Azur)Artisan fleuriste à la tête de son magasin depuis 15 ans, elle a créé en 2017 la start-up Evoluflor pour numériser le métier de fleuriste et permettre aux artisans d’être acteurs de leur transition numérique plutôt que de la subir.

FEMME DIGITALE

PASCALE CARTIER, Présidente de la Vie Saine (Bourgogne-Franche-Comté)Ex-responsable des achats chez Monoprix, elle a racheté en juillet 2017 avec deux fonds d’investisse-ment le réseau La Vie Saine qui comprend 14 magasins de produits bio et cosmétiques. Objectif : doubler la valeur en cinq ans.

FEMME CHEF D’ENTREPRISE

SYLVIA VÉNUS, Directrice création et développement chez Corolle (Centre-Val de Loire)Créatrice des collections de la marque de jouets et poupées Corolle, elle parcourt le monde pour adapter l’offre produit aux différents marchés, l’implanter à l’international et concourir à l’augmentation du CA de l’entreprise.

FEMME À L’INTERNATIONAL

Lauréates nationales 1. Femme Chef d’entreprise AMANDINE AUBERT, Dirigeante d’EcoGreenEnergyRégion Grand Est

2. Femme Dirigeante LAURENCE PAGANINI, Directeur général de Kaporal Région Provence-Alpes-Côte d’Azur

6. Femme à l’international ANNE CHAUDER, Présidente du Directoire chez Dômes Pharma Région Auvergne-Rhône-Alpes

5. Femme Innovation sociale PATRICIA GROS, Fondatrice et Dirigeante d’Handishare Région Auvergne-Rhône-Alpes

3. Femme Chef d’entreprise Prometteuse FLORENCE ROBIN, Co-fondatrice et Présidente de LimatechRégion Occitanie

4. Femme Digitale FARIHA SHAH, Directrice générale de Golden BeesRégion Île-de-France

Les Trophées nationaux des Femmes de l’économie mettent les initiatives et les réussites féminines à l’honneur. 62 lauréates, récompensées au niveau régional durant ces deux dernières années, concouraient, cette année, dans leur catégorie respective.

1.

4.

2.

5.

3.

6.

© P

ress

Pre

sse

© P

ress

Pre

sse

© P

ress

Pre

sse

PUBLI-COMMUNIQUÉ

Page 3: DES PARCOURS LA PLACE DES FEMMES INCROYABLES PAGE 2

LE FIGARO mardi 3 décembre 2019

LES FEMMES DE L’ÉCONOMIE

Peut beaucoup mieux faire. C’est ce qui ressort en substance de cette grande enquête menée sur Internet en mars dernier auprès de 317 femmes actives. Alors que l’égalité femmes-hommes occupe aujourd’hui une place importante dans la société, il apparaît

qu’elle est loin d’être atteinte dans l’entreprise, si l’on en croit les réponses des personnes interrogées. 15% estiment qu’on est sur la bonne voie, tandis que 72% pensent qu’il y a encore du travail dans ce domaine.

LE PLAFOND DE VERRE RÉSISTEMalgré leur place croissante dans le monde du travail, les femmes sont encore minoritaires aux postes de décision. Le plafond de verre qui entrave leur carrière constitue une réalité indéniable pour beaucoup d’entre elles et, selon une majorité, pour réussir sa vie professionnelle, une femme doit avant tout faire montre de persévérance, d’ambition, de travail, de confiance, de positivisme. 62% estiment qu’il est difficile pour une femme d’accéder à des postes à responsabilité, malgré les lois Copé-Zimmerman et Sauvadet qui fixent un quota de femmes dans les conseils d’administra-tion ou de surveillance. La mixité progresse toutefois : 16% des femmes interrogées affirment que leur entreprise est exemplaire dans ce domaine, tandis que 25% jugent « qu’on y est presque » et 40% « qu’il faut encore fournir beaucoup d’efforts ».

L’ÉGALITÉ SALARIALE, UN VRAI DÉFIL’égalité salariale reste un autre défi à relever dans l’entreprise. Même si, depuis le 1er mars 2019, les entreprises de plus de 1 000 salariés doivent se doter d’un indice permettant de mesurer les différences de salaires entre les femmes et les hommes et de le publier, l’évolution sur ce terrain est très lente. 71 % des femmes interrogées pensent avoir été victimes au cours de leur carrière profes-sionnelle d’un écart de rémunération par rapport aux hommes. Seules 14,8% estiment être payées autant que leurs collègues masculins. Quant à la question du harcèlement, elle divise totalement : 50,4% des femmes disent l’avoir déjà subi dans leur environnement professionnel, contre 49,6% qui affirment en avoir été épargnées.

ENTRE ÉQUILIBRE ET CHARGE MENTALEParmi les bonnes nouvelles, les femmes estiment pour la majorité avoir trouvé un équilibre entre leur vie professionnelle et leur vie personnelle. 54% d’entre elles pensent que leur travail leur per-met de concilier ces deux pans de leur vie, tandis que 38% souhaiteraient que la situation s’amé-liore. La grande majorité d’entre elles (77%) affirment tout de même se sentir concernées par la charge mentale, qu’elles définissent par « Penser à tout, tout le temps et pour tout le monde, pour que l’organisation familiale roule ». C’est la double journée que connaissent la majeure partie des femmes : leur travail et la deuxième journée qui commence lorsqu’elles rentrent chez elles le soir.

SIMONE VEIL, UN MODÈLE62,1% du panel estiment avoir confiance en elles. Selon elles, pour augmenter la confiance en soi, il faudrait avant tout apprendre à dire non, remporter une distinction, faire du mentorat, développer son réseau, gagner en compétences grâce à la formation et s’inspirer de femmes célèbres pour leur combat. Parmi les personnalités les plus inspirantes, qui ont débuté ce long chemin qui mène à l’égalité femmes-hommes, un trio de tête se dégage avec Simone Veil (25% des femmes interrogées la considèrent comme un modèle à suivre), Michele Obama (6,6%) et Christine Lagarde (5%). n

L’équipe des Femmes de l’économie a interrogé au printemps dernier des membres de sa communauté sur l’évolution de la place des femmes dans le monde du travail. Une enquête riche d’enseignements.

La place des femmes dans le monde du travail

I N T E R V I E W

Vous avez un parcours de vie digne d’un conte de fées. Pouvez-vous nous le résumer ?Je suis issue d’un milieu modeste, je peux dire que j’ai connu la misère enfant. J’étais aussi très timide, et la musique me permet-tait de transcender ma vie. Je jouais tout le temps, et rêvais de devenir compositrice de musique de film mais mes parents y étaient opposés. Mon père ne voulait pas me payer des études « pour que je finisse à faire la manche dans la rue », disait-il. Pour eux, le commerce menait à tout. J’ai donc fait un bac + 5 dans le commerce et ai été pendant vingt ans cadre dans le marketing. Je me suis mariée, j’ai eu des enfants, la vie a filé, mais j’avais la sensation de ne pas être à ma place.

Quel a été l’élément déclencheur qui vous a poussé à quitter votre emploi pour vivre de votre passion ? Un jour, j’ai eu un accrochage en voiture

et, en entrant dans la maison de l’autre conductrice pour faire le constat, j’ai été sai-sie par son intérieur où l’art était omnipré-sent. Je lui ai demandé ce qu’elle faisait dans la vie, elle m’a répondu : « Je vis de mon art. Et vous ? » Cette rencontre a été le déclen-cheur. Je me suis dit « On ne vit qu’une fois, si toi aussi tu osais vivre de ta passion ? ». Trois jours après, je demandais une rupture conventionnelle à mon employeur. Mon entourage était très réticent. Effectivement, ça n’a pas été simple. Je ne connaissais personne dans le milieu. Mais je sentais que ma vie se remettait en place comme un puzzle. Je me suis servie des réseaux sociaux, en postant des vidéos où je jouais et en taguant des personnalités, qui les ont partagées. Un auteur de théâtre italien m’a demandé de composer des musiques et

je me suis retrouvée sur scène en Italie devant 400 personnes, un an et demi après ma reconversion.

Avez-vous rencontré des difficultés dans votre parcours ?Oui, il y en a toujours. Malgré mes nombreux projets, je ne gagnais pas le Smic, la vie de famille devenait difficile. Au bout de cinq ans, le découragement me gagnait. Jusqu’au jour de la fameuse vidéo qui a fait le buzz sur Internet avec des millions de vues. Je m’étais mise à jouer du piano à l’aéroport de Tou-louse en attendant mon vol retardé. Un chanteur professionnel m’a accompagnée sur Hallelujah. Un véritable moment de grâce, filmé par un voyageur et posté sur le net. S’en est suivi un vrai tsunami média-tique, ma carrière était lancée.

Quelle est votre actualité ?Je vis de ma passion, je croule sous les projets et j’enchaîne les conférences partout en France pour raconter mon parcours et dire au monde de l’entreprise, que je connais très bien, de sortir du cadre et de mettre de la pas-sion dans le travail, même à un poste lambda.

Justement, quels conseils pouvez-vous donner aux femmes qui n’osent pas se lancer ? Il faut de l’audace, de l’ambition, de la persévérance, beaucoup, et savoir saisir sa chance. J’ai dit oui à toutes les propositions musicales, même si j’étais morte de peur car c’était nouveau. J’ai relancé plusieurs fois certaines personnalités pour obtenir une réponse. Il faut savoir accueillir les signes et devenir acteur de sa vie. n

groupeactual.eu

CONSTRUISONS ENSEMBLE VOTRE TRAVAIL

Les diplômes : Grade Master Bachelor MBA spécialisés BTS

4 parcours possibles : Initial, International, Alternance et Formation Continue

PARTENAIRE DES TROPHÉES DES

FEMMES DE L’ÉCONOMIEDEPUIS 8 ANS

. . .

« J’ai plaqué mon job de cadre pour

devenir pianiste »

ValérieMarie

Pianiste, compositrice, conférencière

Ex-responsable marketing et

communication au MIN de Toulouse,

Valérie Marie a décidé à l’aube

de la quarantaine de réaliser son

rêve d’enfant en devenant pianiste. Elle vit aujourd’hui

de sa passion et raconte son parcours dans

des conférences.

Votre travail vous permet-il de concilier

vie professionnelle/vie privée ?

Vous sentez-vous concernée par la charge mentale ?

Estimez-vous avoir confiance en vous ?

Quel est votre « Role model » ?

Que pensez-vous de l’égalité femme-homme

à l’heure actuelle ?

Avez-vous déjà été victime d’inégalités salariales ?

Que pensez-vous de la politique de mixité de

votre entreprise ?

Pour vous, le plafond de verre est-il une réalité ?

Avez-vous déjà subi du harcèlement dans votre environnement

professionnel ?

38 %beaucoup

34 %moyennement

16 %totalement

9,77 %un peu

0,9 %pas du tout

50,4 %OUI

49,6 %NON

35 % totalement

27 % beaucoup

20 % moyennement

9,4 % un peu

6 % pas du tout

77 % OUI 23 % NON

26 %parfois

25 %plusieurs fois

20 %souvent

pensent que la mixité existe dans leur entreprise

pensent qu’on y est presque

pensent qu’on peut mieux faire

pensent qu’elle est peu présente

pensent qu’elle est inexistante

12,3 %rarement

14,8 %jamais

e

16 %

25 %

40 %

12 %

4,7 %

18,9

%

t

ota

lem

en

t

43,

2 %

be

au

cou

p

24,8

%

m

oye

nn

em

en

t

8,8

% u

n p

eu

3,15

% p

as

du

to

ut

Christine Lagarde 5 % Michele

Obama 6,6 %

25 % Simone Veil

72 %

On a encore du travail

15 %On est sur la bonne voie

© A

uror

e D

elso

ir

PUBLI-COMMUNIQUÉ

Page 4: DES PARCOURS LA PLACE DES FEMMES INCROYABLES PAGE 2

BIENVENUE DANS LE MONDE DES POSSIBLES

ÉCOLES - ALTERNANCE - APPRENTISSAGEFORMATION CONTINUE - INSERTION ET TRANSITION PROFESSIONNELLES

Le Groupe IGS, partenaire des Trophées « Les Femmes de l’économie », est fier de contribuer à révéler les talents au féminin dans le monde de l’économie régionale.

Animés par les valeurs d’humanisme, d’entrepreneuriat et de professionnalisme, le Groupe IGS accompagne depuis plus de 40 ans les femmes et les hommes dans la réussite de leur projet professionnel.

En 2019, le Groupe IGS a formé 14 800 apprenants et a collaboré avec plus de 9 000 entreprises partenaires afin d’encourager l’innovation et le lien entre le monde de l’éducation et celui de l’entreprise.

Le Groupe IGS, c’est 8 filières de compétences métiers de Bac à Bac+8 :

Management et Développement des Ressources Humaines Finance d’entreprise Management stratégique Commerce Développement Marketing Services Management International

Journalisme Communication Production artistique et culturelle

Immobilier Informatique Management des Industries de la Santé 10

/201

9 - D

irect

ion

Mar

ketin

g et

Com

mun

icat

ion

Grou

pe IG

S - T

ous

droi

ts ré

serv

és

www.groupe-igs.frP A R I S - L Y O N - T O U L O U S E - C A S A B L A N C A - D U B L I N - S H A N G H A I