Diaporama ralis partir du site: le cerveau tous les niveaux
http://lecerveau.mcgill.ca/flash/i/i_07/i_07_p/i_07_p_tra/i_07_p_tra.html
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Le degr de vigilance, d'veil, d'attention et de concentration.
On dit souvent que "L'attention est le burin de la mmoire". Ainsi,
des troubles de l'attention peuvent diminuer radicalement les
performances mnsiques. L'effort conscient de rptition ou
d'intgration de l'information amliore les capacits mnsiques. Ce qui
influence le fonctionnement mnsique L'intrt, la force de
motivation, le besoin ou la ncessit. Apprendre est plus facile
lorsque le sujet vous passionne. La motivation est donc un facteur
qui favorise la mmoire. Des jeunes qui ne russissent pas toujours
trs bien dans les matires scolaires imposes ont souvent des mmoires
phnomnales pour les statistiques de leur sport favori. Attention
Motivation les valeurs affectives attribues au matriel mmoriser,
l'humeur et le degr d'motion de l'individu. L'tat motionnel lors
d'un vnement peut influencer grandement son souvenir. Ainsi, devant
un vnement bouleversant, le transfert est trs efficace. Beaucoup de
gens se rappellent par exemple o ils taient quand ils ont appris
l'assassinat du prsident Kennedy ou l'attentat du 11 septembre
2001. Le traitement mnsique des vnements chargs d'motion fait
intervenir la noradrnaline, et ce neurotransmetteur est libr en
plus grande quantit lorsque nous sommes excits ou tendus. " Ce qui
touche le coeur se grave dans la mmoire ", disait dj Voltaire
Emotions le lieu, l'clairage, l'odeur, les bruits, bref tout le
contexte prsent lors de la mmorisation s'enregistre avec les donnes
mmoriser. Nos systmes mnsiques sont donc contextuels. Par
consquent, si l'on a un trou de mmoire, on peut s'aider en se
remmorant le lieu de l'apprentissage ou encore l'endroit dans le
livre o tait l'information. Y'avait-il une image sur cette page ?
Etait-ce en haut ou en bas de la page ? On appel ces lments des
"indices de rappel". Et comme le contexte est toujours enregistr
avec ce que lon apprend, son rappel nous amne bien souvent, par
association successive, l'information pertinente. Contexte
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La mmoire sensorielle est cette mmoire automatique, fruit de
nos capacits perceptives, s'vanouissant gnralement en moins d'une
seconde. On y connat deux sous-systmes : la mmoire iconique de la
perception visuelle et la mmoire choque de la perception sonore.
Mmoire iconique = perception visuelle Mmoire choque de la
perception sonore
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La mmoire court terme dpend de l'attention porte aux lments de
la mmoire sensorielle. Elle permet de garder en mmoire une
information pendant moins d'une minute environ et de pouvoir la
restituer pendant ce dlai. Typiquement, elle est utilise dans une
tche qui consiste restituer, dans l'ordre, une srie d'lments qui
viennent d'tre noncs. En gnral, nos facults nous permettent de
retenir entre 5 et 9 lments (ou, comme on l'entend souvent, 72). La
mmoire de travail permet d'effectuer des traitements cognitifs sur
les lments qui y sont temporairement stocks. Elle serait donc plus
largement implique dans des processus faisant appel un
raisonnement, comme lire, crire ou calculer par exemple. Une tche
typique qui la met contribution consiste restituer, dans l'ordre
inverse, une srie d'items qui vient d'tre nonce. Un autre bon
exemple est la traduction simultane d'un interprte qui doit faire
la traduction tout en retenant les informations qui lui parviennent
en mme temps dans l'autre langue.
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La mmoire long terme comprend la mmoire des faits rcents, o les
souvenirs sont encore fragiles, et la mmoire des faits anciens, o
les souvenirs ont t consolids. Elle peut tre schmatise comme la
succession dans le temps de 3 grands processus de base :
l'encodage, le stockage ( consolidation ) et la restitution (ou
rcupration) des informations.
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L'encodage vise donner un sens la chose remmorer. Par exemple,
le mot "citron" peut tre encod de la manire suivante : fruit, rond,
jaune. Si ce mot n'est pas spontanment restitu, l'vocation d'un
indice issu de l'encodage (par exemple : fruit) permettra de le
retrouver. De la profondeur de l'encodage, donc de l'organisation
des donnes, dpendra l'efficacit de la rcupration. Le processus
d'encodage fait galement rfrence non seulement l'information cible,
mais galement sur son contexte environnemental, cognitif et
motionnel. De plus lassociation dides ou dimage par des moyens
mnmotechniques (comme le fameux "Mais o est donc Ornicar ?")
contribuent crer des liens qui facilitent l'encodage. citron fruit
rond jaune
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Notre mmoire est fondamentalement associative : on retient
mieux lorsqu'on peut relier la nouvelle information des
connaissances dj acquises et solidement ancres dans notre mmoire.
Et ce lien sera d'autant plus efficace qu'il a une signification
pour nous. Donc prendre le temps de trouver ce lien peut tre payant
en bout de ligne.
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Pour illustrer les deux proprits fondamentales de la mmoire,
imaginons qu'une classe visite un muse d'art gyptien un jour de
pluie. Dix ans plus tard, le professeur maintenant la retraite lit
un livre d'histoire qui mentionne le nom d'une momie qui tait dans
ce muse. Le nom de cette momie lui rappelle alors cette visite
effectue dix ans plus tt. Puis, par association, lui rappelle
certains tudiants qui il n'avait pas pens depuis dix ans. Il pourra
mme se rappeler leur regard intrigu par la momie et mme certaines
questions qui lui avaient t poses. Bref la mmoire est associative:
une chose nous en rappelle une autre, qui nous en rappelle une
autre, etc.
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Et contrairement l'image classique d'une vaste collection de
donnes archives, la plupart de nos souvenirs sont des
reconstructions. En effet, les souvenirs n'tant pas stockes dans le
cerveau comme des livres dans une bibliothque, leur rappel exige
chaque fois une reconstruction partir d'lments pars dans diffrentes
aires crbrales Anecdote Imaginons maintenant qu'une tudiante avait
trouv cette visite trs dsagrable parce qu'elle avait un oeil sur un
camarade de classe qui lui l'ignorait. Dix ans plus tard, en
enlevant son impermable mouille, elle se rappelle elle aussi
l'vnement. Sauf qu'elle se revoit tenant la main de son copain,
tous les deux fascins par les explications du prof. Le petit copain
tant devenu son mari et lui apportant aujourd'hui beaucoup de
bonheur, son bonheur prsent a embelli son pass. Aucun souvenir
n'est comme une photo que l'on ressortirait identique chaque fois.
La mmoire est donc aussi une affaire de reconstruction.
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Aussi, dans nos systmes mnsiques, les informations isoles se
mmorisent moins bien que les informations associes des
connaissances existantes. Plus il y a d'associations entre
nouveauts et ce qui est dj connu, meilleur est l'apprentissage. Il
est plus facile de retenir que le cortex entorhinal est reli
l'hippocampe par le gyrus dentel si l'on a dj quelques notions de
neuroanatomie.
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Le stockage peut tre considr comme le processus actif de
consolidation rendant les souvenirs moins vulnrables l'oubli. C'est
cette consolidation qui diffrencie le souvenir des faits rcents du
souvenir des faits anciens qui, eux, sont associs un plus grand
nombre de connaissances dj tablies. Le sommeil, dans sa phase
paradoxale notamment, ainsi que les rvisions (scolaires, par
exemple) jouent un grand rle de consolidation.
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Le trac de lEEG est semblable pour lveil et le sommeil
paradoxal avec sa faible amplitude et sa frquence leve. Cest le
contraire pour le sommeil lent qui montre plutt une grande
amplitude et un rythme lent. Durant lveil, les sensations sont
vives et proviennent de lenvironnement extrieur. Elles sont
galement vives durant les rves du sommeil paradoxal, mais gnres
intrieurement cette fois-ci. Quant au sommeil lent, les sensations
sont absentes ou trs attnues.
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Une nuit complte reprsente l'enchanement de 4, 5 ou parfois 6
cycles de ce genre. la fin de la priode de sommeil paradoxal qui
clt chacun de ces cycles survient un moment o lveil est trs facile
et o lon se rveille dailleurs trs souvent. Puis, on enchane avec un
nouveau cycle. Nous ne gardons alors aucun souvenir de ces brefs
veils, qui durent gnralement moins de trois minutes, et nous en
profitons souvent simplement pour changer de position.
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Une information, mme bien encode, est toujours sujette l'oubli.
Un autre aspect important dans les phnomnes de mmorisation est
l'oubli. L'oubli permet de nous dbarrasser de l'norme quantit
d'informations que nous traitons tous les jours et qui est juge
sans utilit pour l'avenir. On oublie surtout les choses qui n'ont
pas t encodes assez solidement dans nos rseaux de cellules
nerveuses.
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Psychologiquement, l'oubli est une impossibilit momentane ou
dfinitive d'voquer un savoir ou un souvenir antrieurement fix.
Retrouver un souvenir Sommeil Processus dorganisation Il semble en
effet qu'un des rles de ce phnomne trange qu'est le sommeil soit la
consolidation des traces mnsiques emmagasines durant la journe.
Ainsi, on observe chez l'animal comme chez l'homme une augmentation
de la quantit de sommeil paradoxal durant la nuit qui suit un
apprentissage. l'inverse, la privation de sommeil altre
l'acquisition de nouveaux apprentissages. Le sommeil onde lente qui
survient surtout au dbut de la nuit semble lui aussi jouer un rle
dans la consolidation des souvenirs. Certaines donnes suggrent en
outre que les deux grandes phases du sommeil seraient impliques :
ce serait la succession du sommeil onde lente et du sommeil
paradoxal qui aurait un effet bnfique. Le processus d'organisation
est essentiel dans le travail et le succs du rappel. Dans la
rptition, on essaie de garder l'information mmoriser le plus
longtemps possible dans notre mmoire court terme, en se la rptant
constamment. L'laboration survient quant elle lorsqu'on relie
l'information retenir d'autres lments dj mmoriss dans sa mmoire
long terme. Autrement dit qu'on inclut le fait nouveau dans une
histoire cohrente plus vaste et bien connue. La stratgie de
l'laboration est la base de nombreux trucs mnmotechniques, ces
mthodes souvent trs anciennes pour ordonner de nouvelles
information et les soustraire aux mcanismes de de loubli Rptition
Elaboration
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Finalement, la restitution (ou rcupration) des souvenirs,
volontaires ou non, fait appel des mcanismes actifs qui vont
utiliser les indices de l'encodage. L'information est alors copie
temporairement de la mmoire long terme dans la mmoire de travail
pour tre utilise. Plus un souvenir sera cod, labor, organis,
structur, plus il sera facile retrouver. Fruit Mmoire long
termeMmoire de travail copi Indice de lencodage active
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La restitution de l'information encode dans la mmoire long
terme est traditionnellement subdivise en deux types. Rappel
implique une restitution active de l'information Reconnaissance
requiert seulement de dcider si une chose parmi d'autres a t
pralablement rencontre L'activation pour le rappel est plus
difficile car elle doit se faire globalement dans toute l'assemble
de neurones impliqus dans ce souvenir une activation partielle du
rseau neuronal dclenche par une partie d'un objet pourrait suffire
activer tout le rseau.
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On comprend alors que l'oubli peut tre caus par des rats
chacune de ces tapes : mauvais encodage, trace insuffisamment
consolid ( sommeil et rvisions ) ou difficult de rcupration.
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Un spcialiste de la mmoire de travail, Alan Baddeley, propose
une mmoire de travail plusieurs composantes : elle comprend un
systme de contrle, le processeur central, et un certain nombre de
systmes auxiliaires "esclaves". L'un de ceux-ci est spcialis dans
le traitement du systme linguistique (boucle phonologique ou
articulatoire) et un autre dans le traitement de l'information
visuo-spatiale. La boucle articulatoire ou phonologique joue un rle
important dans la vie de tous les jours. C'est elle que l'on
activerait lorsqu'on se rpte intrieurement un numro de tlphone.
Elle serait aussi grandement implique dans la lecture et l'criture.
D'autre part, la rotation mentale d'objets mis en vidence dans
certains tests indique que la mmoire de travail peut aussi
manipuler des images mentales d'objets visuels Enfin, peut-tre le
plus important mais le moins bien compris de ces sous-sytmes, le
processeur central, serait responsable de la slection, de
l'initiation, et de l'arrt des routines de ses " systmes esclaves
".
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D'autre part, nous avons galement une mmoire non- dclarative
qu'on appelle aussi mmoire implicite parce qu'elle s'exprime
autrement qu'avec des mots. Aller bicyclette, jongler ou simplement
attacher son lacet font appel un apprentissage moteur qui n'a pas
besoin du langage pour s'exprimer. D'une part une mmoire dclarative
qui est celle de toutes ces choses dont on a conscience de se
souvenir et que l'on peut dcrire verbalement. On qualifie aussi
cette mmoire d'explicite parce que l'on peut dcrire et nommer
explicitement ces souvenirs, que ce soit notre date de naissance,
la signification du mot "berceau" ou encore ce que l'on a mang la
veille.
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La mmoire procdurale, qui permet l'acquisition d'habilets et
l'amlioration progressive de ses performances motrices, est peut-
tre la mieux connue des diffrents types de mmoires implicites.
C'est cette mmoire qui permet, par exemple, de conduire sa voiture
ou de manger sans devoir tre totalement concentr sur ces tches. La
mmoire procdurale est inconsciente, non pas au sens freudien de
souvenir refoul, mais parce qu'elle est constitue d'automatismes
sensorimoteurs si bien intgrs que nous n'en avons plus conscience.
La mmoire procdurale est souvent prserve chez les patients
souffrant d'amnsie profonde, ce qui plaide pour un systme de voies
nerveuses distinct. L'effet d'amorage est une augmentation de la
prcision ou de la vitesse d'une prise de dcision qui survient suite
l'exposition pralable d'une information pertinente sur le contexte,
mais sans qu'il n'y ait aucune motivation rechercher cette
information de la part du sujet. Par exemple, la dcision que la
chane de caractres "docteur" est un mot est prise plus rapidement
lorsque la chane de caractres qui le prcde tait "infirmire" compar
"nord" ou une chane de caractres quelconque comme "nuber". Les
enfants qui ont des difficults au niveau de la mmoire explicite (
cest--dire quils se rappellent difficilement les informations
exactes peuvent, par exemple, rpter des procdures, mais les
expliquer difficilement lors des examens. Ils auront de la
difficult verbaliser leurs procdures alors quils peuvent les
appliquer.
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La mmoire pisodique, parfois appele autobiographique, permet un
sujet de se rappeler des vnements qu'il a personnellement vcus dans
un lieu et un instant donn. C'est le souvenir de ce qu'on a mang la
veille, le nom d'un ancien camarade de classe ou encore la date
d'un vnement public marquant. La caractristique la plus distinctive
de la mmoire pisodique est que l'individu se voit en tant qu'acteur
des vnements mmoriss. Par consquent, le sujet mmorise non seulement
un vnement qu'il a vcu, mais tout le contexte particulier de cet
vnement. La mmoire smantique est le systme par lequel l'individu
stocke sa connaissance du monde. C'est une base de connaissances
que nous possdons tous et dont une grande partie nous est
accessible rapidement et sans effort. C'est la mmoire du sens des
mots, celle qui nous permet de se souvenir du nom des grandes
capitales, mais aussi des coutumes sociales, de la fonction des
choses, de leur couleur ou de leur odeur. C'est aussi la mmoire des
rgles et des concepts qui permet la construction d'une
reprsentation mentale du monde sans la perception immdiate. Ce
contenu est donc abstrait et relationnel, et il est associ la
signification des symboles verbaux.
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La mmoire smantique peut tre considre comme le rsidu des
expriences emmagasines dans la mmoire pisodique. Elle met en
exergue des traits communs aux divers pisodes et les dtache de leur
contexte. Une transition progressive s'effectue donc de la mmoire
pisodique la mmoire smantique. ce moment, la mmoire pisodique
attnue sa sensibilit vis-- vis d'un vnement particulier afin de
procder une gnralisation de l'information. l'inverse, la
comprhension de nos expriences personnelles est ncessairement due
aux concepts et aux connaissances de la mmoire smantique. On voit
donc que ces deux types de mmoire ne sont pas des entits isoles
mais interagissent constamment l'une avec l'autre.
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Si la mmoire long terme peut tre subdivise en mmoire explicite
et implicite, et mme si cette dernire peut tre subdivise son tour
en diffrents types de mmoire, il ne faut pas perdre de vue que la
mmoire humaine constitue une association de diffrents sous-systmes
en constante interaction.
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Mmoriser Mmoriser implique une aire spcifique du cerveau qui
sert emmagasiner linformation Apprendre Apprendre implique
plusieurs aires du cortex crbral qui servent tablir des liens entre
les connaissances. Deux faons dapprendre Par cur = limit quand trop
dinformations ou besoin dune vision densemble Rsums ou liens =
difficults apprendre par cur Idal = utilisation des deux faon
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Entres sensorielles Plus il y a de sens impliqus lors de la
priode dencodage, plus la possibilit de mmorisation augmente Plus
les associations sont frappantes, anims, insolites et colores,
mieux les informations sont retenues Les intelligences multiples
Attention Attentix Encodage -restitution Catgorisation ZRC avec les
p@reils Carte dorganisation dides Petits carnets Rptition Maria
Montessori Auto-correction Rvisions Rptition Maria Montessori
Auto-correction Rvisions Mmoire de travail Travail distance type
Montessori Besoins primaires Sommeil