CITÉ DE LA MUSIQUEPHILHARMONIE DE PARIS

CONCERT-PROMENADE AU MUSÉE

DIVAS ET SUFFRAGETTES

AVEC LA CLIQUE DES LUNAISIENSARNAUD MARZORATI

Dimanche 13 mars 2016

© C. Dubois

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CONCERT-PROMENADE AU MUSÉEDIVAS ET SUFFRAGETTES

En lien avec les thématiques des week-ends de la Philharmonie, les concerts-promenades au Musée sont l’occasion de mettre en valeur les instruments du Musée, d’explorer un genre musical ou l’œuvre d’un compositeur, de faire écho aux expositions temporaires ou d’accueillir des artistes dans un environnement inhabituel.

Moments décalés pour une écoute différente, les concerts-promenades proposent dans tous les espaces du Musée de la musique des mini-concerts et un atelier musical donnés à intervalles réguliers durant l’après-midi. Ils offrent l’occasion de déambuler au sein d’une collection unique d’instruments de musique et objets d’art qui retracent la vie musicale du XVIIe au XXe siècle. À chacun d’élaborer son parcours !

La femme est l’avenir de l’Homme…

Trois tableaux littéraires et musicaux se proposent d’illustrer cette vision merveilleusement poétique et politique de l’écrivain Louis Aragon. Le 1er tableau représente la femme de 1789, avec des extraits de la « Déclaration des droits de la femme » d’Olympe de Gouges, et une sonate d’Hélène de Montgeroult, compositrice aristocrate et première enseignante du Conservatoire de Paris.Le 2e tableau s’inscrit dans un geste réactionnaire et odieux, où les chansons misogynes d’Aristide Bruant et de Gaston Couté parlent de la femme d’une manière irrévérencieuse. Aujourd’hui, les chiennes de garde et les Femen s’insurgeraient contre une telle déclamation. Mais que disent les femmes au temps de Louise Michel ?Le 3e tableau, nous parle de divas et de suffragettes, de ces héroïnes qui prennent les armes par la parole et le chant, avec la Marseillaise des Cotillons de Louise de Chaumont pour se libé-rer du joug du « sexe barbu » quitte à vaincre le mâle par le mal en devenant une femme à barbe comme la célèbre cantatrice Thérésa !

Arnaud Marzorati et sa « Clique des Lunaisiens »

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CONCERT-PROMENADE AU MUSÉEDIVAS ET SUFFRAGETTES

AVEC LA CLIQUE DES LUNAISIENS

HORAIRES ET LIEUX :

EspacesHoraires

XVII e siècle1er étage

XVIII e siècle3e étage

XIX e siècle4e étage

de 14h30 à 15h

LA FEMME DE 1789

DIVAS ET SUFFRAGETTES

de 15hà 15h30

J’AI FAIT DES BLEUS…

de 15h30 à 16h

LA FEMME DE 1789

DIVAS ET SUFFRAGETTES

de 16h à 16h30

J’AI FAIT DES BLEUS…

Musiques du monde2e étage

ATELIEROUVERT

ATELIEROUVERT

En partenariat avec Le familistère de Guise (Résidence en Picardie). Co-production Philharmonie de Paris / Pôle Sup’93 / Conservatoire de Paris.

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ESPACE XVIIE SIÈCLELA FEMME DE 1789

14h30-15h00

15h30-16h00

Olympes de Gouges (1748-1793) Déclaration des droits de la femme (extraits)

Hélène de Montgeroult (1764-1836)Sonate pour pianoforte et violon op. 2 n° 3

Mélanie Menu, comédienne Hyun-Young Choi*, pianoforte Érard 1802 (fac-similé du Musée de la musique)Elsa Moatti*, violonArchet : copie de John Dodd I (b. 1752–d. 1839), réalisé par Jean-Yves Tanguy à Caen en 2006Violon : copie d’Antonio Stradivari (1644-1737), réalisé par Joël Klépal, à Paris en 2014

*élèves du Conservatoire de Paris

ESPACE XVIIIE SIÈCLEJ’AI FAIT DES BLEUS…

15h00-15h30

16h00-16H30

Jean Arnaud (1816-18 ??) La femme est une merveille

Aristide Bruant (1851-1925) Conasse

Gaston Couté (1880-1911) J’ai fait des bleus sur ta peau blanche

Eugène Lemercier (1862-1939) Les nichons

Gaston Couté La cigarette

Arnaud Marzorati, basse Fanny Vicens, accordéon

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ESPACE XIXE SIÈCLEDIVAS ET SUFFRAGETTES

14h30-15h00

15h30-16h00

Jean Arnaud (1816-18 ??)La Prière de Jeanne d’Arc

Hippolyte Guérin (1797-1861) - Paul Henrion (1819-1901)Aime, travaille et prie

Louise de Chaumont (XIXe siècle) - Rouget de Lisle (1760-1836)La Marseillaise des Cotillons, 1848

Boileau Une femme c’est laid

Jules Jouy (1855-1897) - Gustave Goublier (1856-1926) Filles d’Ouvriers

Élie Frébault (1827-1911) - Paul Blaquière (18??- 1868) La femme à barbe

Marine Lafdal Franc, mezzo-soprano*Johanne Ralambondrainy, piano Pleyel 1860

*étudiante du Pôle Sup’93

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ESPACE MUSIQUES DU MONDEATELIER OUVERT

15h00-15h30

16h00-16h30

Pour petits et grands curieux, un temps d’échange et de jeu est proposé lors des concerts-pro-menades. Ces ateliers-ouverts sont l’occasion de découvrir et de jouer plusieurs instruments de musique, choisis en lien avec la thématique des concerts. 

La Marseillaise des suffragettesAu rythme des tambours et des percussions, venez-vous réapproprier la Marseillaise des Cotil-

lons entonnée par les Vésuviennes en 1848 !

Claire Paolacci, conférencière au Musée de la musique

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PLEYEL 1860Piano à queue PLEYEL & Cie, n° 28726, Paris, c. 1860Dépôt du ministère des Finances au Musée de la musique, D.987.16.1

Commandé par Napoléon III, cet instrument se trouvait dans le salon d’apparat que l’on peut actuellement visiter au musée du Louvre. Le ministère des Finances le mit en dépôt au Musée de la musique en 1987, avant son déménagement à Bercy.

Bien que doté d’une décoration assez élaborée, il diffère peu sur le plan technique des pianos construits à l’époque. On remarque les cordes parallèles et le cadre métallique boulonné dit «  serrurier  ». La maison Pleyel reste fidèle à la mécanique à simple échappement, extrêmement simple et fiable bien que techniquement dépassée par rapport à la mécanique à double échappement inventée par Sébastien Érard en 1821. En effet, contrairement à cette dernière qui aura d’ailleurs du mal à s’imposer auprès des pianistes, elle ne permet pas un jeu rapide et virtuose. La sonorité fine et peu puissante de cet instrument correspond aux choix esthétiques de la firme Pleyel. Elle se retrouve sur les pianos précédemment construits, comme par exemple le piano prêté à Frédéric Chopin, daté de 1839, conservé au Musée de la musique. Au contraire, la maison Érard favorisera pour ses instruments la brillance harmonique et le jeu virtuose.L’état de conservation de cet instrument a permis sa remise en état de jeu tout en respectant ses particularités historiques et techniques.

Jean-Claude Battault, Musée de la musique

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Fac-similé d’un piano à queue Érard, Paris, 1802Réalisé par Christopher Clarke, Donzy-le-National pour le Musée de la musique, avec le soutien de la Fondation d’entreprise Hermès, 2011

HistoriqueLe fac-similé de piano à queue Érard daté de 1802 prend pour modèle un instrument des collections du Musée de la musique qui peut être considéré comme l’un des premiers pianos à queue de concert français. Une douzaine d’instruments de ce type sont encore conservés dans le monde. Ils couvrent la période de 1801 à 1809 et permettent d’observer au cours de ces années une grande stabilité du modèle qui, par son aspect général, s’apparente fortement à la facture anglaise de l’époque. La forme de la caisse, les dimensions de l’instrument, comme l’étendue du clavier, évoquent sans nul doute les instruments de la maison Broadwood. En revanche, le piètement, le type et l’emplacement des pédales ainsi que le choix des pièces d’ornementation rapportées font plus volontiers appel aux styles Directoire et Empire chez les instruments d’Érard. De même, la mécanique dite à échappement simple est du même type que l’English grand action. Cependant des différences significatives peuvent être observées dans les dimensions comme dans l’agencement des pièces qui la composent, tous détails qui confèrent à l’instrument une esthétique sonore sensiblement éloignée du modèle anglais.

DescriptionLa réalisation du fac-similé de l’instrument de 1802 va permettre de redécouvrir un répertoire actuellement remis au jour par les musicologues et qui constitue vraisemblablement la première école française de piano. Cette copie a été fabriquée par le facteur de pianofortes Christopher Clarke. La fabrication du fac-similé a demandé plus de deux ans de travail de la part du facteur, accompagné dans sa tâche par l’équipe du laboratoire du Musée qui en a assuré l’accompagnement scientifique.

Thierry Maniguet, Conservateur au Musée de la musique

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La Clique des Lunaisiens est née de la rencontre d’instrumentistes spécialisés qui travaillent le plus souvent sur instruments d’époque et qui ont décidé avec Arnaud Marzorati de s’aventurer autour du répertoire historique de la chanson française, patrimoine populaire bien souvent oublié qui a pourtant accompagné le répertoire musical et toute la littérature des différents siècles. Leur travail consiste à replacer l’histoire de cette chanson française au cœur même de ce qu’elle a eu comme importance en tant que musique mais également en tant que média pour toutes les strates de la population de femmes et d’hommes qui nous ont précédés, à des époques où la séparation entre le populaire et le savant existait bien moins que maintenant. Du pianoforte au piano romantique en passant par la vielle à roue, le violon, le basson, le flageolet, la viole, le violoncelle, les guitares, les luths, l’accordéon et les percussions mais également avec tout un éventail de chanteuses et chanteurs, cette Clique des Lunaisiens se fait un devoir de faire redécouvrir à un public de plus en plus nombreux et varié, ce patrimoine de la chanson française au répertoire si riche et instructif !La Clique des Lunaisiens est soutenue par la DRAC Picardie – Nord-Pas-de-Calais

Arnaud Marzorati débute ses études de chant à la Maîtrise du Centre de Musique Baroque de Versailles. Il obtient par la suite un premier prix de chant au Conservatoire de Paris (CNSMDP) dans la classe de Mireille Alcantara. Son répertoire, varié, s’étend de la musique baroque à la création contemporaine. Il a chanté avec les Arts Florissants, Les Talens Lyriques, le Concert Spirituel, Le Poème Harmonique… Il a participé aux créations de l’Opéra Alfred-Alfred de Donatoni, du Balcon de Peter Eötvös au Festival d’Aix en Provence. On l’a vu dans les rôles de Figaro, Papageno, Malatesta, Leporello, etc. Amoureux de

l’Histoire de la Chanson Française, il est accompagné par la Fondation Royaumont dans ses recherches musicologiques. Régulièrement, la Cité de la Musique-Philharmonie de Paris l’invite pour des programmations spécifiques à son travail de redécouverte.

Mélanie Menu débute sa carrière de comédienne dans L’Enfant criminel de Jean Genet au théâtre de l’Ecole Florent, repris à la MJC d’Epernay. En 2003, elle est dirigée par Joël Jouanneau dans Dickie d’après Richard III de Shakespeare et l’année suivante par Jérémie le Louët dans Salomé. Deux ans plus tard, elle joue dans Cabaret de curiosités de Laurent Fréchuret. En 2007, elle est à l’affiche du théâtre de la Colline dans une pièce d’Eugène Durif intitulée La Nuit des feux dans laquelle elle révèle un talent de comédienne mais aussi de chanteuse.

Johanne Ralambondrainy pianiste et percussionniste classique, obtient deux prix au Conservatoire de Paris (CNSMDP) en accompagnement vocal dans la classe d’Anne Grappotte et Anne Le Bozec, et en musique de chambre, classes d’Alain Meunier et Marc Coppey. Elle est régulièrement appelée pour accompagner les auditions de chanteurs, concours et classes de chant lyrique, etc.

Fanny Vicens Accordéoniste et pianiste au parcours international, Fanny Vicens se produit comme soliste et chambriste sur de grandes scènes dans une dizaine de pays  ; on a pu l’entendre dans des concertos sous la direction des plus grands chefs. Elle participe au rayonnement de l’accordéon par son engagement pour le répertoire contemporain et la création ainsi que l’interprétation historiquement documentée du répertoire baroque, deux axes qu’elle transmet au sein du Pôle d’enseignement supérieur de musique de Dijon où elle enseigne.

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Le Familistère de GuiseDe 1859 à 1884, un ancien ouvrier, Jean-Baptiste André Godin, bâtit à Guise (Aisne) une cité de 2 000 habitants à proximité de son usine de poêles en fonte : le Familistère. Ce «  Palais social  » est l’une des plus ambitieuses expérimentations sociales du monde industrialisé. Le Familistère est une interprétation critique originale du phalanstère de Fourier qui prodigue les « équivalents de la richesse » à sa population. Autour d’une grande place sont édifiés de vastes pavillons d’habitation, une crèche, des écoles, un théâtre à l’italienne, des magasins, une buanderie, une piscine, des jardins. Le palais et l’usine étaient la propriété collective des travailleurs-habitants. Cette utopie réalisée fonctionna jusqu’en 1968 sous le régime de l’association coopérative du capital et du travail. Après quinze ans de restauration et de valorisation dans le cadre du programme Utopia, le Familistère de Guise, toujours habité, est aujourd’hui un important établissement culturel qui raconte l’aventure concrète d’un idéal et l’interroge à travers 5 000 m² d’expositions, plusieurs hectares de jardins, des spectacles, des rencontres.Le Familistère de Guise est un musée de France, il est classé aux monuments historiques. Le programme Utopia de valorisation du Familistère de Guise est conduit par le syndicat mixte du Familistère Godin, qui réunit le Département de l’Aisne et la Ville de Guise. Il est financé par le Département de l’Aisne avec le soutien de la Région Nord Pas-de-Calais – Picardie, de l’État (ministère de la Culture et de la communication, Préfecture de région Nord Pas-de-Calais – Picardie) et de l’Union européenne.

Département de musique ancienne du Conservatoire de ParisLe département de musique ancienne a pour mission de former les élèves qui jouent les instruments historiques. À côté de cours d’instruments (clavecin, pianoforte, flûte baroque, hautbois ancien, clarinette historique, basson ancien, cor naturel, luths et théorbe, violon baroque, violoncelle baroque, contrebasse historique et viole de gambe), les élèves étudient les sources historiques - les traités - et les sources musicales originales afin de réfléchir sur leur pratique d’interprète, et participent chaque année à une dizaine de productions d’orchestre, dirigées par les chefs spécialisés que le Conservatoire invite régulièrement. À côté de cela, l’accent est mis sur la pratique régulière de la musique de chambre et le travail de chaque classe est régulièrement présenté lors d’auditions de classe. La musique vocale tient également une place de choix, au moyen de nombreux concerts réalisés avec les élèves du département des disciplines vocales. L’ouverture et la curiosité y sont vivement encouragées, qui se concrétisent régulièrement par des projets originaux avec les élèves d’autres disciplines et d’autres départements. Enfin, la recherche tient une part importante dans les orientations du cursus, préparant ainsi les élèves à une future vie professionnelle riche et variée. Le département offre également aux élèves étudiant dans d’autres départements une initiation aux instruments historiques. Riche d’une quarantaine d’élèves et d’une vingtaine de professeurs, le département de musique ancienne est dirigé par un responsable de département, assisté d’une chargée de scolarité.

Pascal Bertin, chef du département de musique

ancienne du Conservatoire de Paris

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PÔLE SUP’93Fondé en 2009, le Pôle d’Enseignement Supérieur de la Musique Seine Saint-Denis Ile-de-France, dit «Pôle Sup’93» est un établissement d’enseignement supérieur artistique qui a pour vocation de former les futurs musiciens interprètes et les futurs enseignants.Grâce à des parcours personnalisés, les étudiants du Pôle Sup’93 peuvent adapter leur formation en fonction de leurs objectifs professionnels. Une saison de concerts et spectacles, ainsi que des partenariats prestigieux qui embrassent tous les arts vivants, enrichissent chaque année l’offre pédagogique.  La classe de chant du Pôle Sup’93 est animée par trois professionnels et pédagogues d’exception : Dominique Moaty, Marc Mauillon, et Paul-Alexandre Dubois. Le travail vocal est abordé dans toute la variété et diversité des styles, de la musique ancienne au répertoire contemporain. Des projets pluridisciplinaires et la musique d’ensemble sont également au cœur de la formation des chanteurs : parmi les projets de la saison 2015-2016, les étudiants se produiront notamment dans un programme ambitieux sous la direction artistique du Trio Salzedo autour de la musique de Luciano Berio et Igor Stravinsky, ainsi que dans de multiples concerts de musique de chambre.

SAISON 2015-2016

Dimanche 3 avrilVelvet@the museum Sylvain Choinier, Johan Guidou, Frédéric Jouhannet et les élèves du Pôle Sup’93 et du Pôle Supérieur Paris Boulogne-Billancourt Dimanche 17 avrilHistoire à souffler Avec les conteurs et musiciens du Musée et le collectif Spat’sonore

Dimanche 15 maiEl Jawla : caravane d’Orient Avec Aïcha Redouane, Habib Yammine, Hend Zouari et Fadhel Messaoudi

Dimanche 5 juin Les enfants vont au cinémaAvec Nicolas Baldeyrou, Caroline Sageman, Jérémie Maillard, Mathilde (the voice 2015) & The Bare Necessities Quintet et Quatuor Morphing

EXPOSITION

THE VELVET UNDERGROUND - NEW YORK EXTRAVAGANZADu 30 mars 2016 au 21 août 2016Espace d’exposition-Philharmonie

PROCHAINS CONCERTS-PROMENADES AU MUSÉE

À partir de 14h30

Plus d’informations sur philharmoniedeparis.fr 

01 4 4 8 4 4 4 8 42 21 , AV E N U E J E A N - J A U R È S 7 5 019 PA R I S

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ET AUSSI

NUIT DES MUSÉESSamedi 21 maiAvec l’association Tournesol, Artistes à l’Hôpital

PORTES OUVERTESSamedi 18 et dimanche 19 juin 2016