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Contacts presse : Johanna Martin – Marion Le Foll – 01 46 48 22 40/42 – [email protected] 1 Envisat, vue d’artiste © ESA Dossier de presse Brest, le 8 mars 2012 Dix ans d’observations marines avec le satellite Envisat Lancé le 1 er mars 2002 par l’Agence Spatiale Européenne, ENVISAT est le plus gros satellite de surveillance de l’environnement jamais construit. Les données fournies durant 10 ans ont permis d’améliorer nos connaissances océanographiques : suivi précis de la température de surface des océans et de la montée du niveau des mers, observation de la propagation des houles à l’échelle globale, ou encore suivi de la qualité des eaux côtières. Pour fêter les 10 ans d’ENVISAT, une synthèse des résultats scientifiques de l’exploitation de cette mission pour l’océanographie sera présentée, ainsi que les services opérationnels développés et les prochaines missions Sentinels qui poursuivront les travaux mis en œuvre par la mission du satellite. Ces présentations prendront place au cours du colloque GlobCurrent, organisé au centre Ifremer Bretagne, du 7 au 9 mars 2012, qui rassemblera près d'une centaine de participants, scientifiques et utilisateurs, motivés par une meilleure connaissance des courants marins. Une décennie d’observation de la Terre avec Envisat Le 1 er mars 2002, l’Agence spatiale européenne a lancé avec succès à Kourou, en Guyane française, Envisat, le plus gros des satellites d’observation de la Terre jamais construit. Depuis dix ans, Envisat n’a jamais cessé de veiller sur notre planète. Ce satellite géant de huit tonnes a doublé sa durée de vie initialement prévue, qui n’était que de cinq ans, et a bouclé plus de 50 000 orbites. En tout, il a voyagé sur une distance totale de 2, 25 milliards de kilomètres. « Depuis son lancement, Envisat observe et surveille en continu les terres émergées, l’atmosphère, les océans et les calottes glaciaires grâce à ses dix instruments radars et optiques de haute technologie », explique Henri Laur, responsable de la mission Envisat à l’Agence spatiale européenne. À ce jour, Envisat a recueilli plus de 1000 téraoctets de données, à raison de 280 gigaoctets par jour. Cette richesse de données a permis aux scientifiques d’acquérir une meilleure compréhension des mécanismes de notre planète : concentrations des gaz à effet de serre, trou de la couche d’ozone, élévation du niveau des mers, température de surface des océans, variations des calottes glaciaire et des glaces de mer, volcans et séismes, modifications du couvert végétal… On estime à plus de 2 000 le nombre de publications scientifiques qui ont été basées sur les données récoltées par Envisat.

Dix ans d’observations marines avec le satellite Envisat · En 2004, les premiers résultats scientifiques de la mission ont été présentés lors du Symposium Envisat de Salzbourg,

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Page 1: Dix ans d’observations marines avec le satellite Envisat · En 2004, les premiers résultats scientifiques de la mission ont été présentés lors du Symposium Envisat de Salzbourg,

Contacts presse : Johanna Martin – Marion Le Foll – 01 46 48 22 40/42 – [email protected] 1

Envisat, vue d’artiste © ESA

Dossier de presse Brest, le 8 mars 2012

Dix ans d’observations marines avec le satellite Envisat

Lancé le 1er mars 2002 par l’Agence Spatiale Européenne, ENVISAT est le plus gros satellite de surveillance de l’environnement jamais construit. Les données fournies durant 10 ans ont permis d’améliorer nos connaissances océanographiques : suivi précis de la température de surface des océans et de la montée du niveau des mers, observation de la propagation des houles à l’échelle globale, ou encore suivi de la qualité des eaux côtières. Pour fêter les 10 ans d’ENVISAT, une synthèse des résultats scientifiques de l’exploitation de cette mission pour l’océanographie sera présentée, ainsi que les services opérationnels développés et les prochaines missions Sentinels qui poursuivront les travaux mis en œuvre par la mission du satellite. Ces présentations prendront place au cours du colloque GlobCurrent, organisé au centre Ifremer Bretagne, du 7 au 9 mars 2012, qui rassemblera près d'une centaine de participants, scientifiques et utilisateurs, motivés par une meilleure connaissance des courants marins.

Une décennie d’observation de la Terre avec Envisat Le 1er mars 2002, l’Agence spatiale européenne a lancé avec succès à Kourou, en Guyane française, Envisat, le plus gros des satellites d’observation de la Terre jamais construit. Depuis dix ans, Envisat n’a jamais cessé de veiller sur notre planète.

Ce satellite géant de huit tonnes a doublé sa durée de vie initialement prévue, qui n’était que de cinq ans, et a bouclé plus de 50 000 orbites. En tout, il a voyagé sur une distance totale de 2, 25 milliards de kilomètres. « Depuis son lancement, Envisat observe et surveille en continu les terres émergées, l’atmosphère, les océans et les calottes glaciaires grâce à ses dix instruments radars et optiques de haute technologie », explique Henri Laur, responsable de la mission Envisat à l’Agence spatiale européenne.

À ce jour, Envisat a recueilli plus de 1000 téraoctets de données, à raison de 280 gigaoctets par jour. Cette richesse de données a permis aux scientifiques d’acquérir une meilleure compréhension des mécanismes de notre planète : concentrations des gaz à effet de serre, trou de la couche d’ozone, élévation du niveau des mers, température de surface des océans, variations des calottes glaciaire et des glaces de mer, volcans et séismes, modifications du couvert végétal… On estime à plus de 2 000 le nombre de publications scientifiques qui ont été basées sur les données récoltées par Envisat.

Page 2: Dix ans d’observations marines avec le satellite Envisat · En 2004, les premiers résultats scientifiques de la mission ont été présentés lors du Symposium Envisat de Salzbourg,

En 2004, les premiers résultats scientifiques de la mission ont été présentés lors du Symposium Envisat de Salzbourg, en Autriche. La présence de quelque 1 000 participants a confirmé la reconnaissance d’Envisat comme l’un des outils les plus importants mis à la disposition de la communauté scientifique de l’observation de la Terre. Trois ans plus tard, au cours d’un autre symposium dédié à Envisat, la première mesure globale des gaz à effet de serre a été présentée, ce qui a démontré la croissance rapide des concentrations en dioxyde de carbone et les variations saisonnières des concentrations en méthane.

Envisat propose de nombreux produits et services L’un des défis majeurs auxquels Envisat a dû faire face fut la demande croissante de la communauté scientifique pour des produits issus de ses données. Afin d’y répondre, le débit auquel celles-ci étaient collectées a été augmenté progressivement au cours des cinq premières années. Les stations de réception au sol ont été modernisées afin d’accélérer la réception des données et d’améliorer leur qualité. Des applications ont été développées pour des utilisateurs de plus en plus nombreux : la surveillance des pêches illégales (ainsi, dans le sud de l’océan Indien, une zone de surveillance par satellite a été établie pour aider à la protection de la légine australe) ; le suivi des marées noires (notamment celle du Prestige en 2002) ; la cartographie des glaces de mer (en mer Baltique par exemple) ; ou encore la détection d’icebergs par Envisat, utilisée notamment pour la course « Vendée Globe ». D’après Henri Laur, cela démontre que « les données de satellites d’Observation de la Terre tels qu’Envisat deviennent de plus en plus nécessaires pour tous ». Envisat a aussi permis de mieux comprendre le mécanisme des séismes, en particulier celui du Japon en 2011. Les scientifiques ont ainsi constaté que le tsunami déclenché par le séisme, s’est propagé jusqu’en Antarctique où des glaces se sont effondrées. Cette image met en évidence une efflorescence de plancton en mer de Barents. Le phytoplancton, ce végétal marin microscopique qui dérive près de la surface de l’eau, est de loin la forme de vie la plus répandue que l’on puisse trouver dans les océans. La chlorophylle contenue dans ces micro-algues colore les eaux de la mer. C’est un moyen de les détecter depuis l’espace grâce à des capteurs colorimétriques dédiés, comme la caméra MERIS (Medium Resolution Imaging Spectrometer) d’Envisat, qui a acquise cette image en août 2011. Au niveau global, le phytoplancton joue un rôle majeur sur la quantité de carbone présente dans l’atmosphère. © ESA Aujourd’hui, plus de 4000 projets scientifiques accèdent régulièrement aux données d’Envisat. Ces données sont également utilisées pour des services opérationnels à un niveau européen et mondial, tels que le programme européen GMES (Global Monitoring for Environment and Security – Surveillance mondiale pour l’environnement et la sécurité) et GEOSS (Global Earth Observation System of Systems – Système mondial des systèmes d’observation de la Terre). Envisat soutient des conventions internationales environnementales, comme la Charte internationale sur l’Espace et les désastres majeurs, l’Initiative Forest Carbon Tracking et l’Initiative sur le changement climatique de l’ESA. Contacts presse : Johanna Martin – Marion Le Foll – 01 46 48 22 40/42 – [email protected] 2

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Les satellites Sentinel : la relève En 2010, l’orbite d’Envisat a été changée afin de permettre au satellite de rester opérationnel pendant au moins trois ans de plus. Cela permettra d’assurer la continuité des mesures pour les données cruciales d’observation de la Terre en attendant que la prochaine génération de satellites – la série Sentinel – devienne opérationnelle en 2013. Les missions Sentinel sont en cours de développement dans le cadre du programme européen GMES.

Sentinel 3 © ESA-J. Huart

Ainsi, Sentinel 1 sera équipé d’un radar permettant de fournir des images 24 heures sur 24, par tous temps, pour le suivi des océans et des terres émergées. Sentinel 3 sera consacré à la surveillance de la Terre et à l’océanographie opérationnelle. Composé d’un radar altimètre et de capteurs optiques, les variables mesurées seront notamment : la hauteur de la surface des océans, la température de surface, la couleur de l’océan, le niveau et l’épaisseur des glaces de mer flottantes. Pour en apprendre plus sur les succès d’Envisat, visitez le mini-site (en anglais) dédié à son dixième anniversaire : http://www.esa.int/SPECIALS/Envisat/index.html

 

Célébration de 10 années d’observations marines avec Envisat

Jeudi 8 mars à partir de 16h

Salle de conférence Lucien Laubier – centre Ifremer Bretagne

Organisé par

Y-L. Desnos, H. Laur and B. Chapron   

 Programme du court séminaire sur les 10 ans d’Envisat (en anglais) : 16:00

Official Opening

P. Vincent, Ifremer

16:10

The ENVISAT Mission

H. Laur, ESA

16:20

CNES presentation

J. Lambin, CNES

16:30

ENVISAT Altimetry and its role in Operational Oceanography

P-Y. Le Traon, Ifremer

16:50

ERS and ENVISAT (A)ATSR: the precision tool for global SST measurement

C. Donlon et al, ESA

17:10

ENVISAT Wave mode story and achievements

H. Johnsen, NORUT and F. Collard, CLS

17:30

ENVISAT (ASAR, MERIS, AATSR) the synergy precursor

J. Johanessen, NERSC

17:50

ENVISAT contribution to the development of application and services, and future perspectives with the Sentinels

O. Fanton D'Andon, ACRI

18:10

ENVISAT ASAR: a Boost for operational near real-time monitoring of the marine environment and maritime situation

V. Kerbaol, CLS

18:30

The Sentinel 1 Missions

Y-L. Desnos et al, ESA

18:45

The Sentinel 3 Missions

S. Mecklenburg et al, ESA

     

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GlobCurrent : les besoins en données satellitaires sur les courants océaniques de surface La réunion des utilisateurs des données Envisat pour l’étude des courants de surface est organisée par l’Ifremer et l'Agence spatiale européenne du 7 au 9 mars 2012 au centre Ifremer de Brest. Elle va réunir près d’une centaine d’utilisateurs, venus de France, d’Europe et des Etats-Unis, spécialistes des courants marins et experts dans le domaine de l’Observation de la Terre (calibration, validation des données, développement d’algorithmes) afin d’échanger sur leurs besoins en produits et services. Les conclusions de cette réunion serviront à définir les orientations du projet GlobCurrent dont l’objectif est de développer un service commun pour les utilisateurs de données de courant de surface océanique, basé sur l’utilisation de satellite d’Observation de la Terre et de données in situ. Les courants de surface jouent un rôle important dans la redistribution de la chaleur, du sel, des traceurs bio-géochimiques, au niveau océanique mais aussi des mers fermées. Complexes et hautement variables, leurs mesures sont nécessaires à un large nombre d’activités scientifiques et opérationnelles. Parmi celles-ci : le routage de grands navires, les opérations maritimes de recherche et de sauvetage, la prévision des vagues, les études sismiques, la sécurité maritime, les pollutions (d’origine humaine et naturelle), les opérations offshore, l’aquaculture, les énergies marines renouvelables offshore, etc. L’Observation de la Terre offre la possibilité de mesurer et de surveiller les courants de surface océanique à des échelles variées de résolution et de temps. Alors que certaines techniques matures sont déjà disponibles, de nouvelles techniques émergent. Les satellites Sentinel, qui seront mis en œuvre à partir de 2013, fourniront encore de nouvelles possibilités grâce aux instruments développés par l’Agence spatiale européenne. L’Agence cherche en effet à promouvoir le développement d’applications plus larges autour des mesures de courants de surface océanique, provenant d’Envisat ou d’autres instruments de mesure. Plusieurs communautés d’utilisateurs sont concernées. Le projet GlobCurrent a aussi pour ambition d’initier une démarche R&D pour la conception des produits dédiés à certaines activités :

- Trafic maritime - Énergie offshore - Industries pétrolières - Prévision météo-océaniques - Gardes côtiers, recherche et sauvetage - Services de pollution maritime - Ports - Etudes hydrographiques - Pêche et aquaculture - Courses à la voile - Autorités locales - Défense - Etc.

Ci-après le programme de GlobCurrent également accessible sur le site du CERSAT : http://projets.ifremer.fr/cersat/News/GlobCurrent-2012/Agenda Basé au centre Ifremer Bretagne, le CERSAT est l’un des principaux centres de données océanographiques au monde. Il traite, archive et distribue les données spatiales destinées à soutenir les activités de recherche dans de nombreux domaines (océanographie, météorologie, climatologie,…) et les applications opérationnelles (prévision météorologique, circulation océanique, surveillance de l’environnement,…). http://cersat.ifremer.fr/

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Programme détaillé de GlobCurrent (sous réserve de modifications - en anglais) :  

Wednesday 7th March 2012– Conference Room  Time  Item  Speaker 

12:00  Registration in the Hall of the Conference Room 

12:30  Welcome and logistics  B. Chapron, Ifremer 

12 :40  GMES Operational Services  T. Brefort, European Commission 

12:55  Overview of the ESA GlobCurrent DUE opportunity, Aims and Objectives for the UCM and expected outcomes. 

C. Donlon and O. Arino, ESA 

Session 1: Setting the Scene ‐ Ocean Surface Currents from Space 

Chair: Bertrand Chapron (Ifremer) 

13:10  Overview of Ocean Surface currents ‐ Surface velocity observations from the Global Drifter Program  

R. Lumpkin, NOAA/AOML, Miami, USA  

13:30  Modeling the global ocean circulation with eddy‐resolving resolution  B. Barnier et al., CNRS, France 

13:50  Ocean Surface Currents: What we can do with Earth Observation?  G. Larnicol, CLS, France 

14:10  How far can we go with the ESA Gravity field and steady‐state Ocean Circulation Experiment (GOCE)? 

R. Bingham and P. Knudsen, Univ. of Newcastle, UK, DTU Space, Denmark 

14:30  Ocean Surface Currents: What we can do with Earth Observation at finer resolutions? 

W. Emery et al., CCAR, Univ. of Colorado, USA 

Session 2: User Requirements for Ocean Surface Currents 

Chair: Olivier Arino (ESA) 

14:50  NCEP usage and needs of ocean current measurements  I. Rivin and J. Sienkiewicz, NOAA Camp‐Springs, USA 

15:05  Impact of ocean surface currents on the ECMWF forecasting system for atmosphere circulation and ocean waves. 

J. Bidlot, ECMWF, UK 

15:20  Ocean Currents at the Met Office  E. Blockley, Met Office, Exeter, UK 

15:35  Modeling drifts and waves at Météo‐France: the need for observations of currents 

J. M. Lefèvre, Météo‐France, Toulouse, France 

15:50  The GMES Marine Service and its Myocean project: a user and provider of surface current observations. 

E. Dombrowsky, Mercator‐Océan, Toulouse, France 

16:05  Current data assimilation and drift forecast models for search and rescue 

C. Maisondieu, Ifremer, Plouzané, France 

16:20  Coffee Break in the Hall of the Conference Room (poster session) 

16:50  Ocean Currents: an O&G operator's needs  V. Quiniou, Total, Paris, France 

17:00  GlobCurrent ‐ User Benefits in the Offshore Industry  K. Millard, H. R. Wallingford, Oxford, UK 

17:10  Ocean current integration in transoceanic voyage plans  M. Cochennec, CMA‐CGM, Marseille, France 

17:20  Oil spill and chemical modelling: operational examples  V. Gouriou, Cèdre, Brest, France 

   

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Wednesday 7th March 2012 – Conference Room  Time  Item  Speaker 

17:35  Currents needs for marine energies  Y. H. De Roeck, Ifremer, Plouzané, France 

17:50  Costa Concordia emergency: Satellite images and operational Oceanography in support of Italian coast guard, anti‐pollution, and Operational activities. 

L. Caiazzo1, Dario Cau1 and  M. Perkovic2, 1Generale delleCapitanerie di Porto, 2Univ. of Ljubljana, Portoroz, Slovenia  

18:05  Current data for sailing racing boat – routing simulation  O. Douillard, Adrena, Nantes, France 

18:20  Ocean surface currents: The challenge for the 21st century   G. Quartly et al., National Oceanography Centre, UK 

18:35  CNES interests in ocean currents monitoring  J. Lambin, CNES, Toulouse, France 

18:50  Ocean surface currents: some aspects of numerical model control, validation and operational use in the marine industry 

F. Bonjean, SAT‐OCEAN, Versailles, France 

19:05  Satellite and in situ fields experimentation in a turbulent ocean  

S. Speich, LPO, Brest, France 

  

Thursday 8th March 2012 Time  Item  Speaker 

Session 3: Ocean Surface currents: direct measurements and new high resolution challenges (Conference Room) 

Chair: (B. Chapron, Ifremer and C.Donlon, ESA) 

8:30  Interplay of ocean current information from spaceborne sensors and from ground‐based HF radars 

P. Forget, MIO‐CNRS, Toulon, France 

8:45  The Wavemill Mission: initial proof of concept results and needs from GlobCurrent. 

C. Buck, C.Donlon, D. Lancashire, M Cohen,  S. Doody, J Marquez, C.Gommenginger, J.Howarth, ESA, Nordwijk, The Netherlands Astrium, Starlab and NOC Wavemill team  

9:00  On the Potential of Current Measurements by Spaceborne Along‐Track InSAR 

R. Romeiser, Univ. of Miami RSMAS, Miami, USA 

9:15  Global and coastal surface current estimation from SAR  F. Collard, CLS, Brest, France 

9:30  New challenges for satellite altimeters: What characteristics are needed to capture ocean dynamics at meso and sub‐mesoscales? 

P. Klein, Ifremer, Plouzané, France 

9:45  On the use of sub‐mesoscale tracer information for the improvement of altimetry‐derived velocity fields  

J. Verron, LEGI, Grenoble, France 

10:00  Surface circulation patterns in the western Gulf of Lion by in‐situ detection of Lagrangian coherent structures 

F. Nencioli, Mediterranean Institute of Oceanography, Marseille, France 

10:15  Coffee Break in the Hall of the Conference Room (poster session) 

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Thursday 8th March 2012 Time  Item  Speaker 

Session 4: Ocean Surface currents: Advanced product developments (Conference Room) 

Chair: (O. Arino,ESA and G. Larnicol, CLS) 

10:45  Assimilation of information on positions of surface drifters in an operational system for ocean forecasting 

S. Dobricic, CMCC, Bolognia, Italy 

11:00  Use of altimetric and wind data to detect the anomalous loss of SVP‐type drifter‐drogue 

M. Rio, CLS, Ramonville Saint Agne, France 

11:15  Use of in‐situ data and models for the Rio‐Paris wreck search  M. Ollitrault, Ifremer, Plouzané, France 

11:30  Under‐ice ocean currents production using satellite data  J. She, DMI, Copenhagen, Denmark 

11:45  The Ocean Surface Current analyses – Real Time (OSCAR) system (Presented by Rick Lumpkin, NOAA) 

K. Dohan and G.Largerloef, Earth and Space Research, Seattle, USA 

12:00  Surface currents in the Mercator Ocean global and regional systems: validation against observations, use for application and feasible improvements. 

B. Levier et al, Mercator‐Océan, Toulouse, France 

12:15  Multivariate techniques and diagnostic models for the retrieval of the 3D ageostrophic currents at mesoscale from combined satellite and in situ measurements 

B. Buongiorno‐Nardelli, ISAC‐CNR, Rome, Italy  

12:30  Reconstruction of ocean velocities from the synergy between existing SSH and SST measurements 

J. Isern‐Fontanet, ICCC, Barcelona, Spain 

13:00  Lunch at the Ifremer Canteen 

Parallel Session 5‐1 :  Ocean Surface Currents from Space : new potential from satellite product (Conference Room) 

Chair: (W. Emery, Univ. Of Colorado and B. Buongiorno‐Nardelli, ISAC‐CNR) 

14:00  Comparisons between altimetry‐derived geostrophic current anomalies, in situ current data, SST and ocean colour observations 

M. Cancet, NOVELTIS, Toulouse, France 

14:15  Singularity Analysis: a powerful image processing tool in remote sensing of the oceans 

A. Turiel, Institute of Marine Sciences of Barcelona, CSIC, Barcelona, Catalonia 

14:30  Observation operators based on Lagrangian Coherent Structures for the assimilation of ocean tracer images 

O. Titaud, CERFACS, Toulouse, France 

14:45  Inferring surface displacements from hourly SST fields: preliminary results 

P. LeBorgne, Méteo‐France CMS, Lannion, France 

15:00  A particle stochastic filter for fluid flow recovery from images  E. Mémin, INRIA, Rennes, France 

15:15  Power laws and inverse motion modeling: application to turbulence measurements from satellite images 

P. Héas, INRIA, Rennes, France 

15:30  Characterisation of ocean dynamics from SSH and SST  E. Autret, Ifremer, Plouzané, France 

15:40  Reconstruction of velocities and SST with the variational method  S. Ba, Télécom Bretagne, Plouzané, France 

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Thursday 8th March 2012 Time  Item  Speaker 

Parallel Session 5‐2 :  Ocean Surface Currents: regional analysis and needs (Ocean Room) 

Chair:  (F. Ardhuin,Ifremer and F. Collard, CLS) 

14:00  Some challenges of SST and altimetry observations in the Agulhas Current region 

M. Rouault and F. Dufois, CSIR Cape Town, South Africa 

14:15  Estimation of geostrophic speed from altimetry in the Agulhas current: from gridded product to high resolution 

J. Tournadre, Ifremer, Plouzané, France 

14:25  Monitoring  the  surface  inflow  of  Atlantic Water  to  the Norwegian Sea using Envisat ASAR 

M. W. Hansen, NERSC, Bergen, Norway 

  

Thursday 8th March 2012 Time  Item  Speaker 

14:40  Monitoring volume transport in a branch of warm inflow towards the Arctic by satellite altimetry 

B. Hansen, Faroe Marine Research Institute, Torshavn, Faroe Islands 

14:55  Assimilation of HF radar currents in the Iroise Sea using EnOI  S. Raynaud, ACTIMAR, Brest, France 

15:10  Coastal ocean surface currents: melding HF radar observations and numerical modelling 

J. Schulz‐Stellenfleth, HZG, Geesthacht, Germany 

15:25  A comparison between modelled ocean surface currents and HF radar measurements 

S. Louazel, SHOM, Brest, France

15:40  Oceanic assimilation and studies at ALYOTECH  R. Mauge, ALYOTECH, Rennes, France 

15:50  Coffee Break (Hall of the Conference Room) 

16:00  A Celebration: 10 years of Marine Observations with ENVISAT  See separate Agenda     

Friday 9th March 2012 Time Item Speaker

09:00 ‐ 09:30 Session 6 : Ocean Surface currents: impact on ocean wave models Chair: (O. Arino and C.Donlon, ESA) 09:00  MyWave ‐ A pan‐European concerted and integrated approach to 

operational wave modelling and forecasting ‐ a complement to GMES MyOcean services 

O. Saetra, Norwegian Météorological Institute, Oslo. Norway  

09:15  Ocean current effects on sea states  F. Ardhuin, Ifremer, Plouzané, France 

Review of outcomes so far… 09:30  Overview of the boundary conditions for the GlobCurrent project 

derived from the GlobCurrent UCM C. Donlon and O. Arino (ESA) 

09:50 – 12:30 Session 5: Open plenary discussion on key aspects of User requirements that could be addressed by the GlobCurrent project.

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Contacts presse : Johanna Martin – Marion Le Foll – 01 46 48 22 40/42 – [email protected] 9

Friday 9th March 2012 Time Item Speaker 09:50  Part‐1: What are the recommended product and service requirements 

for GlobCurrent ocean surface currents? Time and space resolution? 

Format? (netCDF?) and Metadata? (CF v1.5?) 

Uncertainty information? 

Land/ocean mask and other Quality flags? 

Ancillary data? 

Specific challenges for Shelf seas? Open Ocean? High latitudes? 

Delivery mechanisms and timeliness (NRT [3‐6 hours], daily, 48 hours, others?) 

Product search and query? 

Product visualisation? 

User Support? 

How to validate services? 

Any other issue of relevance for products and services? 

 

 Chair: J‐F.Piollé (Ifremer) 

11:00 Coffee Break

11:20 Part 2: What are  the  recommended  tools,  techniques and data  sets that are required by GlobCurrent? • Which Data for global ocean?

• Which Data for shelf seas?

• What are the essential data for GlobCurrent?

• What are the essential QC Tools?

• Which analysis and blending tools?

• Recommended synergy/blending Techniques?

• How to estimate uncertainty?

• How to validate products?

• Any other issue of relevance for tools, techniques and data sets?

Chair: J. Johannessen (NERSC)

12:10 – 13:00 Session 6: User Recommendation’s to ESA Chair: C. Donlon, ESA 12:10 Final conclusions and summary of next steps from ESA C. Donlon and O. Arino (ESA)

13:00 Meeting close      

Page 10: Dix ans d’observations marines avec le satellite Envisat · En 2004, les premiers résultats scientifiques de la mission ont été présentés lors du Symposium Envisat de Salzbourg,
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L’AGENCE SPATIALE EUROPEENNE Créée en 1975, l’ESA compte 18 Etats membres qui mettent en commun leurs ressources pour développer les lanceurs, les véhicules spatiaux et les installations sol dont l’Europe a besoin pour rester à l’avant-garde des activités spatiales au niveau mondial. Les 18 États membres de l'ESA sont l'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, le Danemark, l'Espagne, la Finlande, la France, la Grèce, l'Irlande, l'Italie, le Luxembourg, la Norvège, les Pays-Bas, le Portugal, le Royaume-Uni, la Suède, la République Tchèque et la Suisse. De plus, le Canada, la Hongrie, la Pologne et la Roumanie participent à certains projets de coopération avec l'ESA. Quelle est sa mission ? L’Agence spatiale européenne a pour mission de développer la coopération entre les Etats européens dans le domaine spatial. Elle élabore et met en œuvre le programme spatial européen. Les projets de l'Agence sont conçus pour en apprendre davantage sur la Terre, sur son environnement spatial immédiat, sur le système solaire et sur l'Univers ainsi que pour mettre au point des technologies et services satellitaires et pour promouvoir les industries européennes. L'ESA travaille également en étroite collaboration avec des organisations spatiales hors d'Europe de manière à ce que les bienfaits de l'espace profitent à l'humanité entière. Son budget 2010 s’élève à environ 3, 7 milliards d’euros. La participation de la France à l’ESA est assurée par le Centre national d’études spatiales (CNES).

Décollage d’Ariane 5 à Kourou © ESA /CNES / Arianespace /Optique vidéo du CSG - S. Martin 2009

L’ESA et ses établissements

En 2010, l'effectif de personnel permanent de l'ESA était d’environ 1900. Ce personnel hautement qualifié est issu de tous ses États membres et compte des scientifiques, des ingénieurs, des spécialistes des technologies de l'information ainsi que du personnel administratif.

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• Le siège de l'ESA se trouve à Paris et abrite les principales directions de programme qui formulent et dirigent la politique de l’ESA. Depuis 2003, le Directeur général de l'ESA est Jean-Jacques Dordain.

• Le siège de l'ESA se trouve à Paris et abrite les principales directions de programme qui formulent et dirigent la politique de l’ESA. Depuis 2003, le Directeur général de l'ESA est Jean-Jacques Dordain.

• Le Centre européen de technologie spatiale, ESTEC, aux Pays-Bas, est

le plus grand établissement de l’ESA et son pôle technique. C’est là que sont regroupées les activités de conception et les compétences techniques dont l’ESA a besoin pour construire ses satellites et mener ses activités d’exploration spatiale et de vols habités.

• Le Centre européen de technologie spatiale, ESTEC, aux Pays-Bas, est le plus grand établissement de l’ESA et son pôle technique. C’est là que sont regroupées les activités de conception et les compétences techniques dont l’ESA a besoin pour construire ses satellites et mener ses activités d’exploration spatiale et de vols habités.

• Le Centre européen d'opérations

spatiales, ESOC, est chargé des opérations de commande et contrôle en orbite des satellites de l'ESA. Il se situe en Allemagne près de Francfort.

• Le Centre européen d'opérations spatiales, ESOC, est chargé des opérations de commande et contrôle en orbite des satellites de l'ESA. Il se situe en Allemagne près de Francfort.

• Le Centre des Astronautes

européens, EAC, se trouve également en Allemagne à Cologne. Il forme les astronautes aux futures missions.

• Le Centre des Astronautes européens, EAC, se trouve également en Allemagne à Cologne. Il forme les astronautes aux futures missions.

Salle de contrôle principale de l’ESOC © ESA – R. Francis

• L'ESRIN, Institut européen de Recherches spatiales, est basé en Italie, près de Rome. Il est chargé des activités d’observation de la Terre et ses responsabilités comprennent la collecte, le stockage et la distribution des données satellitaires aux partenaires de l'ESA ainsi qu'une fonction de centre des technologies de l'information de l'Agence.

• L'ESRIN, Institut européen de Recherches spatiales, est basé en Italie, près de Rome. Il est chargé des activités d’observation de la Terre et ses responsabilités comprennent la collecte, le stockage et la distribution des données satellitaires aux partenaires de l'ESA ainsi qu'une fonction de centre des technologies de l'information de l'Agence.

• L'ESAC, Centre européen de l'Astronomie spatiale, se trouve en

Espagne près de Madrid. Il est chargé de la collecte, l'archivage et la distribution de données issues des missions astronomiques et planétaires.

• L'ESAC, Centre européen de l'Astronomie spatiale, se trouve en Espagne près de Madrid. Il est chargé de la collecte, l'archivage et la distribution de données issues des missions astronomiques et planétaires.

L'ESA dispose également de bureaux de liaison à Bruxelles, Washington, Moscou, et d'une base de lancement à Kourou en Guyane française et de stations sol et stations de poursuite dans différentes régions du monde.

L'ESA dispose également de bureaux de liaison à Bruxelles, Washington, Moscou, et d'une base de lancement à Kourou en Guyane française et de stations sol et stations de poursuite dans différentes régions du monde.

Pour en savoir plus : www.esa.frPour en savoir plus : www.esa.fr (en français) et www.esa.int (en anglais)

 

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L'Ifremer contribue, par ses travaux et expertises, à la connaissance des océans et de leurs ressources, à la surveillance du milieu marin et du littoral et au développement durable des activités maritimes. À ces fins, il conçoit et met en oeuvre des outils d'observation, d'expérimentation et de surveillance. Les moyens navals de l’Ifremerparticipent depuis 2008 à la TGIR flotte océanographique. Une nouvelle étape a été franchie en janvier 2011 avec la mise en place de l’UMS flotte océanographique française, commune au CNRS, à l’Ifremer, l’IPEV et l’IRD.

Créé en 1984, l’Ifremer est un établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC), placé sous la tutelle conjointe des ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, du ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du territoire et du ministère de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement.

L’Ifremer travaille en réseau avec la communauté scientifique française, mais aussi des organismes partenaires dans de nombreux pays. La coopération est centrée sur des grands programmes internationaux, sur l’Outre-mer et sur quelques pays-cibles (Etats-Unis, Canada, Japon, Chine, Australie, Russie), et sur une politique méditerranéenne associant l’Europe à la rive Sud de la Méditerranée.

L’institut français de recherche pour l’exploitation de la mer 155 rue Jean-Jacques Rousseau 92138 Issy-les-Moulineaux Cedex +33 (0)1 46 48 21 00 www.ifremer.fr

L’Ifremer vous révèle les océans

Les dix axes structurants à l’horizon 2020

• Connaître la circulation océanique pour enrichir

le diagnostic du changement climatique. • Connaître et caractériser la biodiversité

marine pour mieux la préserver. • Développer la valorisation des ressources

biologiques par les biotechnologies et la bioprospection.

• Contribuer à une pêche et à une aquaculture durables.

• Favoriser une exploitation durable des ressources minérales et énergétiques.

• Enrichir les réseaux de surveillance pour répondre aux enjeux internationaux et européens.

• Concevoir un système national de prévisions environnementales des milieux côtiers.

• Optimiser la flotte océanographique comme très grande infrastructure de recherche.

• Mettre en oeuvre une stratégie nationale et européenne des bases de données marines.

• Promouvoir une capacité d’innovation technologique partagée.

Des missions de recherche, d’expertise et d’agence de moyens

> Une recherche finalisée afin de répondre aux questions

sociétales actuelles (effets du changement climatique, biodiversité marine, prévention des pollutions, qualité des produits de la mer…). Les résultats couvrent la connaissance scientifique, les innovations technologiques ou les systèmes d’observation et d’exploration de l’océan. Le partenariat est public, privé ou associe les deux.

> La surveillance des mers et du littoral, en soutien à la

politique publique de gestion du milieu et des ressources. A partir d’avis ou de rapports d’études, de campagnes d’évaluation, de réseaux de surveillance ou de suivi du milieu marin, l’Ifremer apporte son expertise sur des grandes questions scientifiques dans les domaines de compétences de l’Institut et en lien avec les professionnels.

> Le développement, la gestion et la mise à disposition de

grandes infrastructures de recherche – flotte, moyens de calcul, centre de données, moyens d’essais, structures expérimentales – à la disposition de la communauté scientifique nationale et européenne, mais aussi dans le cadre de partenariats de recherche public / privé.

**au 31/12/2010

Chiffres-clés

1 642 salariés** Ifremer et 372 salariés** de l’armateur Genavir

5 centres : Bretagne, Manche-Mer du Nord,

Méditerranée, Atlantique, Pacifique

25 implantations sur tout le littoral métropolitain et outre-mer

8 navires (dont 4 hauturiers),

1 submersible habité, 1 engin téléopéré pour grande profondeur

(- 6 000 m) et 2 AUVs

Novembre 2011

Page 14: Dix ans d’observations marines avec le satellite Envisat · En 2004, les premiers résultats scientifiques de la mission ont été présentés lors du Symposium Envisat de Salzbourg,

Centre Bretagne de l’Ifremer B.P. 70 – 29280 Plouzané +33 (0)2 98 22 40 40 [email protected] Directeur : Antoine Dosdat www.ifremer.fr/brest

L’Ifremer vous révèle les océans

Le centre Bretagne de l’Ifremer regroupe la plus importante communauté océanographique en Europe, et notamment les équipes dédiées aux recherches océaniques (géosciences, biologie des milieux extrêmes et physique de l’océan). Il contribue aux développements instrumentaux et joue un rôle majeur dans la valorisation et le transfert des connaissances (données, modèles, etc.), du côtier au profond. Ses équipes sont bien implantées sur l’ensemble des côtes bretonnes.

Bénéficiant de la dynamique de recherche de la Région, il conduit des programmes de recherche et développement en partenariat au plan national, européen et international. Il est très impliqué dans le Pôle de compétitivité « Mer » Bretagne et l’Europôle Mer.

3. Océanographie et Dynamique des Écosystèmes (ODE)Laboratoire Océanographie Spatiale (LOS) Laboratoire Physique des Océans (LPO) Unité Littoral des Laboratoires Côtiers Environnement Ressources (LER) Dynamiques de l’environnement Côtier (DYNECO) 4. Infrastructures Marines et Numériques (IMN) Unité Informatique et Données Marines (IDM) Unité Navires et Systèmes Embarqués (NSE)

4 départements de recherche nationaux

1. Ressources Biologiques et Environnement (RBE)

Physiologie Fonctionnelle des Organismes Marins (PFOM) Sciences et Technologies Halieutiques (STH) Économie Maritime (EM)

2. Ressources physiques et Écosystèmes de fond de mer (REM) Recherches et Développements Technologiques (RDT) Géosciences Marines (GM) Étude des Écosystèmes Profonds (EEP)

Un ensemble de moyens

Moyens d'élevage aquacole et d'expérimentation

Moyens d'essais technologiques (bassin à houle, caissons hyperbares, etc.)

Pôle de Spectrométrie Océan, en partenariat avec l’UBO

Une écloserie de mollusques située à Argenton (29)

Moyens informatiques : Supercalculateur CAPARMOR etcentres de données marines

(SISMER, CERSAT, PREVIMER, CORIOLIS, CATDS)

Chiffres-clés

800 salariés Ifremer en Bretagne

45 000 m² de laboratoires, halls techniques et bureaux

4 stations côtières :

Dinard, Concarneau, Lorient, La Trinité-sur-Mer

Un centre de documentation commun Ifremer-UBO-IRD :

la bibliothèque La Pérouse

Des organismes de recherche présents sur le site L’Ifremer Bretagne accueille l’IPEV, l’IRD, l’ANSES, l’INSU-CNRS et Genavir.

Mars 2012