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DOSSIER DE PRESSE 2009-2010

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DOSSIER DE PRESSE 2009-2010

Contacts presse Comité départemental du tourisme Musée des arts et métiers / Cnam Marie Périvier Marie-Laetitia Bucchini � 01 49 15 98 98 � 01 53 01 82 77 [email protected] [email protected] www.tourisme93.com www.arts-et-metiers.net

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Sommaire � Le concept « Voyage au cœur des techniques » p.3 � Le béton, patrimoine d’innovation : novembre-décembre 2009 p.4 � Le verre, L’art et la matière : janvier-février-mars 2010 p.6 � Informatique, du calcul à l’ordinateur p.8 �Les initiateurs du projet p.10

Contacts presse Comité départemental du tourisme Musée des arts et métiers / Cnam Marie Périvier Marie-Laetitia Bucchini � 01 49 15 98 98 � 01 53 01 82 77 [email protected] [email protected] www.tourisme93.com www.arts-et-metiers.net

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Le concept « Voyage au cœur des techniques » A partir des innovations technologiques développées dans les entreprises, "Voyage au cœur des techniques" remonte le temps et fait le lien avec les découvertes d'hier dont le Musée des Arts et Métiers est le gardien. Visites d’entreprises, présentations d’objets exceptionnels, démonstrations, rencontres, conférences s’inscrivent dans un parcours de découverte de ce patrimoine, dans sa relation avec les savoir-faire contemporains. Différents domaines d’activité sont ainsi explorés : Les matériaux (verre, béton, plâtre...), les transports, l'énergie, l'informatique, le cinéma ou bien encore l'eau et les techniques de construction. « Voyage au cœur des techniques » s’appuie sur les ressources du Cnam et les collections exceptionnelles de son Musée des arts et métiers ainsi que sur le réseau d’entreprises partenaires d’ « Et voilà le travail ! » Cette initiative originale de médiation scientifique et technique s’adresse à tous les publics, aux salariés des entreprises et aux scolaires. Le prix d’un parcours est de 10€ par personne. Les réservations sont à prendre auprès du Comité départemental du tourisme de la Seine-Saint-Denis au 01.49.15.90.84 et/ou par Internet sur www.tourisme93.com

En novembre « Voyage au cœur des techniques » emmène les visiteurs à la découverte du béton, en début d’année le verre, l’informatique et enfin le cinéma seront à l’honneur.

Contacts presse Comité départemental du tourisme Musée des arts et métiers / Cnam Marie Périvier Marie-Laetitia Bucchini � 01 49 15 98 98 � 01 53 01 82 77 [email protected] [email protected] www.tourisme93.com www.arts-et-metiers.net

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Béton : Patrimoine d’innovation Novembre 2009

Ce parcours est issu d’un partenariat entre le Comité départemental du tourisme de la Seine-Saint-Denis, le Musée des Arts et Métiers et le Service du patrimoine culturel (DCPSL) du Conseil général de la Seine-Saint-Denis.

Le béton est désormais devenu un élément incontournable du monde de la construction, de l’architecture et du bâtiment. Utilisé parce qu’il est économique, pratique et disponible partout, le béton fait face aujourd’hui aux défis de l’environnement. Utilisé à grande échelle pour construire des logements sociaux, le béton trouvera en Seine-Saint-Denis des chantiers d’expérimentation. Pour exemple, en 1853, François Coignet construit à Saint-Denis la première maison en béton aggloméré. L’Eglise de Notre-Dame du Raincy construite en 1922-1923 par Auguste Perret est considérée comme la Sainte-Chapelle du béton armé. Enfin, la Cité de la Muette à Drancy construite en 1933 fut la 1ère réalisation de panneaux préfabriqués en béton. Ce parcours a pour vocation de faire découvrir les étapes nécessaires à la fabrication du béton, les différentes réalisations et les larges possibilités du matériau.

Vénus de Milo en béton de Coignet/inv. 2279/2-2, ©Musée des arts et métiers / photo S. Pelly

Connu depuis l’antiquité, le béton est aujourd’hui un matériau d’innovation. Tombé dans l’oubli après avoir été utilisé à grande échelle par les Romains, il est redécouvert au XIXe

siècle. Mélange de ciment, de sable, de cailloux et d’eau, le béton a longtemps été utilisé comme substitut économique de la pierre. Du ciment artificiel de Louis Vicat (1818) au béton armé de François Hennebique (1892), en passant par le béton aggloméré de François Coignet (les années 1850), ce matériau a mobilisé les énergies de nombreux constructeurs et architectes aux XIXe et XXe siècles. La mise au point de la précontrainte en 1929 par Eugène Freyssinet permet alors de donner au béton ses lettres de noblesse et de construire des ouvrages d’une ampleur considérable.

Contacts presse Comité départemental du tourisme Musée des arts et métiers / Cnam Marie Périvier Marie-Laetitia Bucchini � 01 49 15 98 98 � 01 53 01 82 77 [email protected] [email protected] www.tourisme93.com www.arts-et-metiers.net

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► Première étape : Découverte du Patrimoine moderne de la Seine-Saint-Denis/ Service du patrimoine culturel du conseil Général de Seine-Saint-Denis Voyage en bus en Seine-Saint-Denis sur les pas des ingénieurs du béton. Entre autres, vous découvrirez : - La maison (1852-1853) et les logements (1855-1856) de François Coignet à Saint-Denis: la première maison en béton en Seine-Saint-Denis voulue par l'industriel François Coignet et l'immeuble d'habitation construit par les ouvriers. - Les logements la Maladrerie à Aubervilliers : crées par l’architecte Renée Gailhoustet, (1975-1984) ces habitations sont une réponse à la demande de la population de ne plus s'inspirer des grands ensembles. - A Pantin, vous visiterez le Centre national de la Danse, ancien Centre administratif. Ce site est l’exemple de la reconversion d'un site et d’une restauration exemplaire. - Et bien d’autres sites monumentaux ► Deuxième étape : La centrale à Béton de Pantin / Holcim Présent dans plus de 70 pays, Holcim est un des premiers producteurs de ciment, granulats et bétons. Une de leurs centrales à béton vous ouvrent ses portes, c'est l'occasion de découvrir leur fonctionnement : laboratoires de recherche, automates de fabrication, malaxeur, camion toupie. Pour produire un mètre cube de béton, on mélange environ 800kg de sable, 1000 kg de gravillon, 300 kg de ciment, 180 litre d’eau et 1kg d’adjuvant. Après un certain temps, le ciment fait prise, ce qui produit le durcissement du béton, qui devient solide et durable. Autrefois le dosage des composants se faisait de manière empirique. Désormais des centrales automatisées et informatisées garantissent le respect rigoureux des recettes par conséquent une qualités des bétons régulière et conformes aux exigences posées. Aujourd’hui le béton est le plus souvent fabriqué dans une centrale fixe et transporté à l’état frais (non encore durci) jusque sur le chantier par des camions toupies. ► Troisième étape : Les trésors de béton du Musée des Arts et Métiers Quoi de commun entre le théâtre des Champs Elysées et la Vénus de Milo de Coignet? Le béton ! En visitant les réserves du Musée des Arts et Métiers vous découvrirez des objets et des maquettes de bâtiments qui illustrent les incroyables possibilités du béton. Vous voyagerez avec les ingénieurs vers les réalisations les plus audacieuses. Le Musée possède également une collection d’anciens outils et d’anciennes machines qui servaient autrefois à produire ce matériau qu’il sera intéressant de comparer à ce que vous aurez découvert dans la centrale à béton d’Holcim.

Carnet de voyage ■ Publics individuels Circuit Patrimoine moderne : lundi 23 novembre à 14h00 Centrale à béton Holcim : jeudi 3 décembre à 9h00 Trésors du Musée des Arts et Métiers : mardi 15 décembre à14h00

Contacts presse Comité départemental du tourisme Musée des arts et métiers / Cnam Marie Périvier Marie-Laetitia Bucchini � 01 49 15 98 98 � 01 53 01 82 77 [email protected] [email protected] www.tourisme93.com www.arts-et-metiers.net

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Le verre : L’art et la matière D’après Pline L’Ancien, des marchands auraient posé sur le sable des blocs de natron (carbonate de soude) pour délimiter le foyer de leur feu. Sous l’effet de la chaleur, le sable et le carbonate de soude, auraient réagi, le tout s’écoulant en un ruisseau translucide pour se figer plus loin en masse vitreuse. L’homme avait recréé le verre, présent à l’état naturel. Le verre est à la fois un des plus anciens matériaux du monde et l’un des plus modernes. Du fait de sa composition complexe, il offre une infinie variété de possibilités : on peut le fondre à volonté et lui faire adopter les formes diverses. Artistes, industriels et ingénieurs ont adapté ses propriétés à une multitude d’application. Matériau du XXIe siècle, les recherches actuelles sont centrées sur ses altérations et sa capacité à résister au temps. De découvertes archéologiques en innovations scientifiques et technologiques, en passant par des créations artistiques, la Seine-Saint-Denis offre au verre ses lettres de noblesse. PREMIERE ETAPE : Les réserves du Musée des arts et métiers

Très souvent inconnues du public, les réserves des musées constituent la partie cachée de l'iceberg. La majeure partie du travail de conservation des œuvres, études et recherches y est réalisée. Désormais, les réserves se consacrent à leurs activités quotidiennes : inventaire, enregistrement, catalogage, consultation, restauration, prise de vues photographiques, préparation d'expositions temporaires, prêt d'objets, etc. Le Musée des arts et métiers dispose d’une riche collection relative à ce matériau. DEUXIEME ETAPE : Les innovations de Saint-Gobain Recherche

De la galerie des glaces du Château de Versailles à la Pyramide du Louvre, du Grand Palais à la gare d’Orsay, la Manufacture royale des glaces, créée en 1665 et qui s’établit à Saint-Gobain en 1693, a contribué aux innovations dans l’industrie verrière depuis la fin du XVIIe siècle. Saint-Gobain Recherche apporte de nouvelles fonctionnalités au verre : vitrages à isolation thermique renforcée, auto-nettoyants, à opacité contrôlée… Ses chercheurs nous racontent l’histoire de leurs dernières innovations.

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TROISIEME ETAPE : Les vitraux de la Basilique Cathédrale de Saint-Denis La compréhension de l’architecture de la Basilique ne peut pas être complète sans la une évocation des vitraux, auquel Suger (abbé de Saint-Denis au XIIe siècle et constructeur de la Basilique Gothique) a apporté personnellement le plus grand soin. Les verrières de Saint-Denis sont parmi les plus importantes du Moyen-Age, en raison de leur symbolique et de la précocité de leur exécution. Elles ont influencé tout l’art du vitrail des siècles suivants. ���� Carnet de voyage

1- L’innovation par Saint-Gobain janvier 2- La visite des réserves du Musée des arts et métiers février 3- : Les vitraux de la Basilique Cathédrale de Saint-Denismars Dates précises à venir

P.Cadet©CMN

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Informatique : du calcul à l’ordinateur Les ordinateurs, que l’on définit comme des machines électroniques de traitement automatisé de l’information, sont devenus des outils indispensables dans toutes les branches d’activités. Les connaissances acquises sur le calcul mécanique au XVIe siècle constituent la première base de l’informatique. En 1643 Blaise Pascal met au point une des toutes premières machines à calculs arithmétiques la Pascaline aujourd’hui exposée au Musée des arts et métiers. Le principe est le suivant : des roues dentées dotées d’un ergot tournent pour additionner. L’ergot entraîne la roue suivante, ce qui permet notamment de simplifier les interminables calculs administratifs. Le calcul mécanique atteint son apogée au XIXe siècle grâce à l’inventivité du mathématicien anglais Charles Babbage qui dessine, en 1834, les plans d’une machine programmable entièrement mécanique. Son architecture logique, composée de cinq éléments (dispositif d’entrée et de sortie, organe de commande, unité de calcul, mémoire et impression) a influencé les inventeurs de l’ordinateur.

Machine arithmétique de Pascal © Musée des arts et métiers / photo Studio Cnam / J.c. Wetzel

En 1889, Hollerith développe sa célèbre machine à statistiques. Celle-ci, grâce notamment à l’introduction de l’électricité, permet de décoder rapidement le contenu de cartes perforées, ce qui facilita considérablement le recensement de la population des Etats-Unis en 1890.

M Machine arithmétique de Hollerith © Musée des arts et métiers / photo Studio Cnam / J.c. Wetzel

Au XXe siècle, les premiers ordinateurs électroniques, sans aucune partie mécanique, apparaissent. Ils sont capables d’emmagasiner leurs propres programmes et données, et d’effectuer plusieurs centaines de calculs par seconde. En 1948, l’invention du transistor réduit considérablement la taille des premiers ordinateurs. Puis, le développement des circuits intégrés et des microprocesseurs dans les années 1970 permet une augmentation considérable de la puissance des ordinateurs, une réduction de leur taille et de leur prix, comme en atteste le micro-ordinateur portable Goupil G1. Avec les circuits intégrés des centaines de transistors tiennent sur une minuscule plaquette de silicium, la puce électronique. Micro-ordinateur Goupil G1

© Musée des arts et métier-Cnam, Paris / photo Sylvain Pelly

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Ce parcours vous racontera l’histoire des ordinateurs, vous découvrirez des collections exceptionnelles des premières machines et verrez quelle place importante l’ordinateur occupe aujourd’hui dans notre vie à tous. PREMIERE ETAPE : Découverte des « Trésors des arts et métiers », Réserves du Musée des arts et métiers à Saint-Denis. Des bâtons de Neper aux premiers calculateurs électriques de Couffignal, de la machine arithmétique de Blaise Pascal aux micro-ordinateurs Micral et Goupil, la visite des réserves du Musée des arts et métiers vous fera découvrir des objets rares, insolites, pionniers du développement des techniques et technologies dans le domaine du traitement de l’information. Du tout mécanique à l’électronique programmable : une fabuleuse collection, reflet des travaux des plus grands inventeurs. DEUXIEME ETAPE : Conférence « L’Histoire de l’Informatique », par François Holvoët de la Fédération des Equipes Bull (Saint-Denis / CNAM) L’histoire de l’informatique, prise au sens large, permettra de parler du traitement de l’information en général, qui a existé bien avant que le mot informatique ne soit employé. La conférence montrera que le développement phénoménal des technologies de l’information auquel nous assistons aujourd’hui trouve ses racines dans l’effort millénaire qu’a fait l’Homme pour se dégager des tâches pénibles et routinières et s’y faire remplacer par l’animal, puis la machine. Vous découvrirez les différentes étapes et avancées techniques et technologiques qui ont mené à un monde aujourd’hui régi par l’informatique, dans presque tous les secteurs d’activité. TROISIEME ETAPE : Présentation des travaux du laboratoire universitaire de Paris 8 « Création d’environnement interactif – 3D », à la Maison des Sciences de l’Homme à Saint-Denis. Le programme de recherche et de création numérique développé par les universités Paris 8, Paris 13 et le CNRS, le « leden » axe ses recherches autour de la valorisation et la transmission du patrimoine scientifique et culturel mais aussi autour des médiations pédagogiques et territoriales. La visite permettra de comprendre le fonctionnement de cette unité de recherche et de découvrir certaines de ses réalisations.

� Carnet de voyage :

Dates à venir

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Les initiateurs de ce projet

Le Comité départemental du tourisme Créé en 1998, le Comité départemental du tourisme de la Seine-Saint-Denis anime la promotion et le développement du tourisme et des loisirs du département et ses environs sous l’appellation du Nord-Est Parisien. La mise en valeur des savoir-faire « Et voilà le travail ! » Bénéficiant d’une culture du travail très forte et d’un tissu économique diversifié et dynamique en Seine-Saint-Denis, le Comité départemental du tourisme a créé, en 2001, un cycle de visites de sites industriels, d’entreprises, d'ateliers et de laboratoires afin de mettre en valeur les savoir-faire de son territoire. Ces visites organisées dans les domaines les plus variés (l’industrie, les métiers d’art et du patrimoine, l’agroalimentaire, l’image, les médias et le spectacle, les industries graphiques, les transports et la logistique, l’environnement…) permettent au public d'observer des gestes, de découvrir des techniques innovantes ou traditionnelles, de se familiariser avec des travaux de recherche, des processus de production. En 6 ans le nombre d’entreprises adhérant à l’opération n’a pas cessé de progresser. Elles sont maintenant près de 100 et offrent plus de 400 visites par an. Des expositions biennales explorant à chaque édition un domaine d’activité différent répondent aux mêmes objectifs de valorisation du territoire et de développement de la culture scientifique, technique et industrielle.

Le Conservatoire national des arts et métiers Créé en 1794 par l’Abbé Grégoire, le Cnam possède une des plus importantes collections européennes d’objets de sciences et de techniques, qui constitue l’ossature du Musée des Arts et Métiers, à Paris. On peut y admirer quelques 3 500 objets répartis en 7 domaines : Instruments scientifiques, Matériaux, Construction, Communication, Energie, Mécanique et Transport. Les réserves du Musée des arts et métiers Le musée, rue Réaumur à Paris, ne présente au public qu’une petite partie de sa collection. 80 000 objets et dessins sont conservés dans les réserves situées à Saint-Denis depuis 1994. Ils témoignent de l’histoire de l’innovation technique à nos jours. C’est également dans les réserves que le musée puise ses sources et effectue l’essentiel des travaux appliqués à la collection. Outre les activités liées à la conservation (acquisition des collections, enregistrement, catalogage, travaux historiques sur l’histoire des techniques et sur l’histoire de la collection), c’est dans ce lieu extraordinaire que sont restaurés des milliers d’objets scientifiques et techniques. Des ateliers de restauration spécialisés dans le bois, le métal, dans les travaux fins permettent de remettre en état des pièces exceptionnelles. C’est également dans ces réserves que les concepteurs viennent dénicher les pièces uniques qu’ils pourront dévoiler aux visiteurs du musée lors des prochaines expositions temporaires. Enfin, les réserves permettent aux chercheurs, aux professionnels des musées et aux enseignants d'accéder à l'ensemble des œuvres de la collection.