13 AVRIL ——08 JUIN 2014MAGPCENTRE D’ART CONTEMPORAIN CAJARC

SANS SOCLE NI DOUBLE-FONDMURIEL RODOLOSSEEXPOSITION DU 13 AVRIL AU 8 JUIN 2014MAGP / CENTRE D’ART CONTEMPORAIN CAJARC

MAGP CENTRE D’ART CONTEMPORAIN134 AVENUE GERMAIN CANET46160 CAJARC

CONTACT PRESSELALIE NICOLAST 05 65 4078 19PRESSE@MAGP.FR

VERNISSAGE SAMEDI 12 AVRIL 2014 – 18H30EN PRÉSENCE DE L’ARTISTE

VISITE COMMENTÉESAMEDIS 19 AVRIL ET 3 MAI – 16H2€ /PERSONNEAVEC UNE MÉDIATRICE DU CENTRE D’ART

ATELIERS POM*POMPIDOU! PEINTUREDÈS 5 ANS, 5 € /ENFANT, SUR RÉSERVATIONMERCREDIS 23 AVRIL, 30 AVRIL ET 7 MAI, DE 15H À 17H

RENCONTRE ENTRE L’ARTISTE ET JEAN-MARC HUITOREL, CRITIQUE D’ARTDÉBAT AVEC LE PUBLICSAMEDI 17 MAI –16H – GRATUIT

FINISSAGE PERFORMANCE DE L’ARTISTE INTERPRÉTÉE PAR EMMA CARPESAMEDI 7 JUIN 2014 – 17H – GRATUIT

La chutePeinture sous Plexiglas 66 x 75 cm2013Production MAGPCourtesy de l’artiste

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Pour Muriel Rodolosse, l’exposition est plus que le seul accrochage de ses tableaux, c’est le lieu où interroger la peinture. La scénographie, qu’elle crée en écho à la topographie du centre d’art contemporain, fait de ses œuvres les hypothèses et les arguments d’une pensée de la peinture qui s’invente dans le déplacement.

Le procédé d’exécution des tableaux n’est pas étranger à ce principe. Muriel Rodolosse n’a jamais peint sur toile, refusant l’autorité de sa texture et de sa sou-plesse, lui préférant un support lisse et plus neutre. Depuis 1996, elle peint sous Plexiglas. Rigide et transparent, il permet de franchir le plan zéro du support et de passer toute la peinture à l’arrière. L’artiste construit le tableau dans son inversion : elle commence par les détails et finit par le fond. La hiérarchisation des plans est donc inversée, parfois mixée dans certaines œuvres récentes. Dans ce mouvement entre la face lisse – offerte au regardeur et qui interdit tout repentir – et la face inté-rieure – les coulisses en quelque sorte, qui accueillent le geste, la touche, l’intimité de l’œuvre – se joue le lieu de la peinture entre ce qui est montré et ce qui est caché. Muriel Rodolosse renverse la vision perspectiviste de la fenêtre ouverte sur le monde et interroge la nature de l’œuvre regardée.

Sans socle ni double-fond invite le visiteur à en faire l’expérience. Les œuvres se découvrent au fur et à mesure du cheminement dans les trois espaces successifs du centre d’art. Si le titre évoque d’un état de nature sans autorité ni artifice – sans socle ni double-fond –, l’exposition cristallise à la fois cette question et son contraire : les êtres et les éléments ont un socle porteur et sont mis en lumière pour exister, ils ont un revers et une face cachée.

C’est dans cette tension constante entre nature et contingence, entre ce qui est vu et ce qui est dissimulé, que se construit le parcours de l’exposition. Le visiteur est accueilli par un pénétrable, constitué de tableaux bifaces, mobiles et suspendus à hauteur du regard. Le franchissement de cet espace instable et mouvant est une expérience qui prépare à la découverte du grand tableau fixe et frontal Mais la grande nymphe n’a pas de socle de ni de double-fond*.

Le personnage – qui était déjà son modèle dans l’exposition x degrés de dépla-cement présentée au Frac Aquitaine en 2011 – avance paré ou parasité par des pro-thèses végétales et appareillages divers qui s’attachent au corps, le grandissent, le transforment ou l’entravent d’impossibles greffes. Il est placé ici dans un environne-ment naturel prédominé par une nature sauvage.

Sans socle ni double-fond

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Quelques socles blancs déstructurés sont disposés au sol et appellent à fran-chir l’espace intermédiaire. Là encore, les obstacles gênent la fluidité du trajet, obli-geant le visiteur à enjamber, à contourner, pour aller au-delà de cette accumulation de volumes. Ce passage par le blanc dispose à un effacement des images précédentes pour faciliter la plongée dans l’ultime proposition.

Celle-ci contrarie la vision idéalisée de la première salle et bascule dans Le lieu des contingences. Un immense tableau sombre occupe la totalité du mur frontal ; d’autres peintures de différents formats dialoguent avec des formes éparses au sol. L’installation assume une dimension géologique qui vient creuser le propos dark de l’exposition.

D’abord, il y a l’eau, insondable : les illusions de la matière picturale obtenues par dilution donnent aux œuvres un aspect aqueux intriguant et magnétique. Géo-dispersion, La fuite d’eau, La roue à eau, La chute, Gloires, sont autant de tableaux qui contribuent à rabattre vers le sol l’imminence d’un débordement. Puis, il y a les élé-ments de socles et de cimaises, qui, dans l’impossibilité d’endiguer ce flot, font plutôt figures de plaques tectoniques dont les heurts seraient susceptibles de déclencher d’autres accidents… Il y a le doute et l’éventualité de la catastrophe.

Sur le mur du fond, La grande faille assume sa verticalité paradoxale en même temps qu’elle sonde l’enfouissement : un feu intérieur ruine la construction, suinte des interstices et entame l’ordre des choses. Les noirs charbonneux évoquent la mine et l’effondrement, à l’exacte antipode de l’image pastorale et idyllique délivrée par Mais la grande nymphe n’a pas de socle ni de double-fond dans la première salle. Le visi-teur est immanquablement projeté à l’intérieur de la peinture. Il s’en trouve ainsi aug-menté, comme l’exposition devenue elle-même œuvre.

Martine Michardcommissaire de l’exposition

* Vers de Jean Hans Arp (1886-1966) tiré du poème klum bum bussine, recueil Sable de lune, 1957. Fondateur avec Tristan Tzara du mouvement Dada

« Mais la grande nymphe n’a pas de socle ni de double-fonddans une arche éventuelle on l’emmènera certainementelle s’appelle klum bum bussine et arrive sur un vélo marin nickelé étincelant … »

La roue à eauPeinture sous Plexiglas135 x 100 cm2013Production Moly-SabataCourtesy de l’artiste

La fuite d’eauPeintre sous Plexiglass,60 x 47 cm2013Production Moly-Sabata et MAGPCourtesy de l’artiste

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L’exposition en question

« Le principe d’exposition chez Muriel Rodolosse ne relève pas de l’accrochage au sens clas-sique du terme, consistant à fixer le plus habilement possible des tableaux sur des cimaises. Il repose sur un questionnement directement lié à la peinture, envisageant l’exposition comme un médium permettant de dire quelque chose de ce qu’est la peinture. Le plus souvent, l’espace d’exposition a motivé la réalisation des tableaux.

Autrement dit l’œuvre a comme intégré, avant d’exister effectivement, la question de son apparaître. Quant au lieu, avec ses contraintes propres, il est augmenté dans sa fonction de réceptacle pour se présenter lui-même en argument. Le lieu d’exposition devient un moyen de faire déborder la peinture, d’en dire l’absence de cadre et l’im-possible fixité ; mieux, il n’est finalement pas si différent d’elle puisqu’il est l’occasion de faire l’expérience d’une délocalisation.

(…) De toute évidence, la peinture ne se donne jamais instantanément, dans l’immédiateté d’un regard accroché à son sujet ; c’est vrai de toute époque, mais il se trouve que cela se comprend plus nettement encore aujourd’hui, en assumant ce que décrivait Walter Benjamin, à savoir le passage d’une réception cultuelle de l’art à une réception culturelle, impliquant le retrait progressif de l’original et de la multiplicité des écrans. La conséquence est double : d’une part la peinture contemporaine, plus que tout autre mode d’expression eu égard à son histoire, peut engager la question même de sa visibilité et de sa saisie. D’autre part, le peintre qui aujourd’hui expose peut décider de montrer aussi ce qu’est faire une exposition.

Ces deux pistes caractérisent la démarche de Muriel Rodolosse : conjointement apparaissent un dispositif qui réclame d’interroger le lieu de la peinture en retardant à l’occasion l’exercice de visée, et une exposition travaillée à titre de médium, posant la question de sa propre création et existence. (…) »

Corinne de Thoury

L’exposition en question dans le livre « Muriel Rodolosse », édition co-produite en 2011 par Frac Aquitaine, Chapelle Saint-Jacques, Musée Calbet, Maison des arts Georges Pompidou.

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Tenir la peinture en respect

« (…) Car, un Rodolosse se peint à l’envers. Côté fermé, côté caché, côté atelier avec, nécessairement des incursions côté ouvert, du côté du montré, du côté exposition. D’un côté et de l’autre du support, sur le fil, Muriel Rodolosse a ainsi mis en suspens la fascination trop révérencieuse à ses débuts, pour la peinture, reléguée cette fois dans les coulisses à l’arrière.

D’autant que le travail de peinture suit là l’ordre inverse des règles de la compo-sition. Contre l’ordre habituel des choses en effet, ce qui s’applique en premier vient au premier plan – puisque cela s’inscrit contre le plexiglas.

Ce qui vient ensuite s’inscrira derrière. C’est imparable. Mais un tel renverse-ment de l’ordre des choses est aussi une petite révolution, qui affiche d’emblée un premier jet au lieu de le rectifier après coup. L’épaisseur de la peinture n’apparaît pas et n’éclipse pas l’image. Au mieux, elle y participe, ne vient plus s’y surimprimer comme au temps des tortillons. Muriel Rodolosse a trouvé le moyen de garder par-de-vers elle le travail de la peinture, de le garder pour elle, à l’abri, dans l’atelier, voire dans son intimité. Cependant, cette mise à l’écart est aussi une sorte de mise en évidence.

Se dérober tout en se livrant. Exhiber une image (comme vitrifiée et brillant d’une lumière éclatante) tout en étalant une lumière opaque, secrète, cryptée : c’est ce rapport dual que met en scène Muriel Rodolosse, cette ambivalence entre la transpa-rence et l’obstacle. Transparence initiale du support qui agit comme une plaque sen-sible sur laquelle "s’impressionne" la scène représentée, développée après exposition à la lumière de l’accrochage.

Obstacle du médium qui dans sa matérialité et les contraintes qu’elle impose n’afficherait qu’elle-même, des traces, des coulures, des barbouillis.

Dès lors, pour gommer les traces de cette césure, l’amoindrir et la résorber afin que l’oeuvre ne soit pas divisée (face A vs face B) mais unie. Plusieurs motifs travaillent à synthétiser, au sens quasiment chimique du terme, cette bipolarité. Autant d’inno-vations personnelles, qui vont permettre de nuancer la dimension accaparante de la peinture, de la tenir un peu en respect, à bonne distance. D’en passer par d’autres applications pour mieux la maîtriser. D’en déplacer les attendus.(…) »

Judicaël Lavrador

Tenir la peinture en respect dans le livre « Muriel Rodolosse », édition co-produite en 2011 Frac Aquitaine, Chapelle Saint-Jacques, Musée Calbet, Maison des arts Georges Pompidou

Géo-dispersionPeintures sous Plexiglas 29 x 24 cm2013Production MAGPCourtesy de l’artiste

Mais la grande nymphe n’a pas de socle ni de double-fondPeinture sous Plexiglas 200 x 450 x 6 cm2014 Production MAGPCourtesy de l’artiste

Into floating space Pénétrable constitué de dix tableaux bifaces suspendus et mobilesPeinture sous Plexiglas100 x 100 x 6 cm2014

Production CAC Château des Adhémar et MAGPCourtesy de l’artiste

Le lieu des contingences

Mur du fond :La grande faille Peinture sous Plexiglas, 400 x 600 cm2014

Production MAGPCourtesy de l’artiste

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Expositions personnelles

2014 Sans socle ni double-fond, Centre d’art contemporain/MAGP, Cajarc On the ruins of the pizzeria, Centre d’art contemporain Château des Adhémar, Montélimar2013 at the corner of my mind in the ParK, Librairie-galerie La Mauvaise réputation, Bordeaux 2012 OH MY! Installation dans le jardin remarquable Joaquim Murat, Cahors Le un, la reproduction et le multiple, CAPC-bibliothèque, DDAA 2011 x degrés de déplacement, Frac Aquitaine, Bordeaux Padwork, Musée Calbet, Grisolles 2010 Versteckt just around the corner, Rudy-Dutschke-Strasse 18, Berlin si tendre JUST AROUND THE CORNER, Centre Jules Ferry, Bergerac, Private mécanique, Appelboom, résidence d’art sonore, La Pommerie, Saint-Sétiers2009 Under the bridge, Maison des arts, Grand Quevilly, France2007 ANCORA ! Centre d’art contemporain Chapelle Saint-Jacques ; Galerie Guislain, Paris Activation Passe-moi ta manche, j’te file mon col, Musée des moulages,Lyon2005 Librairie du Musée / les Abattoirs, Toulouse Activation d’une Permissive, Centro historico de Saragosse, Espagne2002 Eco-graphie d’une île, installation d’un espace immersif sur l’Ile verte, France Galerie Guislain, Paris2000 Galerie Dargent Reboul, Avignon1997 Galerie d’art contemporain de Mourenx, France1996 Institut Français en Hongrie, Budapest, Hongrie John David Mooney Foundation, Chicago, USA Galerie Suzel Berna, Paris 1995 Centre Européen d’Art et de Civilisation Médiévale, Conques Résidence Palace, Bruxelles, Belgique

Expositions collectives

2014 Galerie Gowen contemporary, Genève Galerie Xenon, texte de Julie Crenn, Bordeaux 2013 Artistes en campagne ! Collections du Frac Aquitaine, Musée de la Chalosse à Montfort-en-Chalosse Muriel Rodolosse et Josué Rauscher, Fondation Albert Gleizes, Moly-Sabata à Sablons L’inventaire, La Tour du pin, Château de Virieu et le Palais du Parlement à Grenoble 2012 Drawing Room 012, Aperto, Montpellier Chronique curiosités, villa Noailles, Hyères, commissariat Joël Riff Louyétu? centre d’art contemporain Maison des arts Georges Pompidou à Cajarc 2011 Quand je serai petite, Musée des beaux arts de Calais Elle était une fois, proposition de la Maison des arts Georges Pompidou, Eglise des Cordeliers à Gourdon 2010 Exposition Résidence d’artistes Chamalot, Corrèze, France 2009 Archist, galerie des Grands bains douches de la plaine, Marseille La Tannerie, Barjols 2008 Caprice des jeux, Frac Aquitaine, France Installation de l’œuvre monumentale ANCORA ! Orangerie du Jardin du Luxembourg, Paris 2007 FLUX 2, organisé par le centre d’art contemporain MAGP, Cajarc et les Maisons Daura Mutations dans le jardin, Installation in-situ dans le Jardin du Luxembourg, Mai, Août, Paris Dressing room, bbb, centre d’art, Toulouse, France Stock en Stock, Aperto, Montpellier, France

Muriel Rodolosse

Née en 1964 dans le LotVit et travaille à Bordeaux dda-aquitaine.org/muriel-rodolosse

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Résidences et séjours

2013 Moly-Sabata, Fondation Albert Gleizes à Sablons2010 Appelboom, résidence d’art sonore, la Pommerie à Saint-Sétiers, France2009 Résidence d’artistes Chamalot, Corrèze, France2008 Séjours Stockholm, Suède ; Helsinki, Finlande ; Berlin, Allemagne2007 Séjour à New York, États-Unis2006 Résidences Internationales d’artistes, Maisons Daura, St-Cirq Lapopie, France2004 Artiste invitée TAC Cordoue, Espagne2003 Un an, un artiste, une oeuvre, le Mirail, Bordeaux, France2000 Séjour à Sarajevo, interventions à l’Akademija Likovnik Umjetnosti, Sarajevo, Bosnie Herzegovine1999 Lakeside Studio, artist in summer residence, Mi, États-Unis1996 John David Mooney Foundation, European program Artists in residence, Chicago, USA

Bourses

2006 AIC Aide individuelle à la création DRAC Aquitaine2010 Aide à la mobilité internationale des artistes, Conseil régional d’Aquitaine

Catalogues, articles de presse (extrait)

2014 L’inventaire, livre de Muriel Rodolosse et Josué Rauscher, suivi éditorial Joël Riff, graphisme Superscript², sortie de résidence à Moly-Sabata, édition Conseil général de l’Isère Cahier de dessins, texte Bruce Bégout, édition Marguerite Waknine 2012 Edition PinkPong, réalisation du dessin intérieur 2011 Muriel Rodolosse, catalogue monographique bilingue, édition Frac Aquitaine Le Monde magazine N°101, samedi 20 août 2011 article d’Emmanuelle Lequeux, p.52 Le parcours des arts N°27, article de Yann Le Chevalier, p.63 DDAA, Magali Lesauvage 2010 Artpress N°367, couverture et article Une oeuvre masquée d’Anne Dagbert, p52/55 La Belle Revue, 2010, La Pommerie par Magali Lesauvage, P22 et p23 2009 Livre d’artiste, haaa…Dada ! entretien avec Jeanne Quéheillard, éd. Marguerite Waknine 2008 Artpress N° 348, p. 89 et 90, Caprice des jeux, article Didier Arnaudet Bordeaux culture, article Didier Arnaudet Artabsolument N°24, p. 50 et 51, article Amélie Pironneau 2007 Pariscope, article Alexandre Grenier Semaine, résidence Internationale d’artistes Maisons Daura, article Amélie Pironneau Semaine N° 132, double numéro, exposition ANCORA ! centre d’art contemporain Chapelle Saint-Jacques, article Lise Ott 2006 Hors-série, Femmes peintres d’aujourd’hui, p. 36, 37, 38, 39 Artpress N°325, article Lise Ott

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Autour de l’exposition

SAMEDIS 19 AVRIL ET 3 MAI À 16H2 € / PERSONNE – SUR RÉSERVATION

Visite commentée de l’expositionVenez découvrir les processus d’élaboration de ces grands tableaux peints sous Plexiglas, et com-prendre la démarche de l’artiste qui interroge d’une part la peinture et, d’autre part, l’exposition comme œuvre en soi. Avec Marie et Maya, médiatrices.

MERCREDIS 23 AVRIL, 30 AVRIL ET 7 MAIDE 15H À 17HÀ PARTIR DE 6 ANS – 5 € / ENFANT GOÛTER OFFERT – SUR RÉSERVATION

Ateliers POM*POMpidou !Autoportrait végétal !Dans un grand tableau de Muriel tu peux voir une figure ornée ou parasitée par des végétaux. Inspire-toi de cet étrange personnage et réalise ton « végétoportrait » avec de vraies plantes. Marie, média-trice propose des rendez-vous ludiques et créatifs qui allient une visite jeune public et un atelier.

SAMEDI 26 AVRIL DE 15H À 17HÀ PARTIR DE 8 ANS – 5 € / ENFANTSUR RÉSERVATION

Atelier Encres végétalesÀ partir de fleurs, de fruits, d’écorces, crée une palette d’encres surprenantes. Toutes ces couleurs sont extraites de ton environnement proche ! Julie, animatrice nature de l’association La Chicorée Sauvage qui travaille à la connaissance, la protection et la valorisation de la biodiversité, ainsi qu’à l’étude et la transmission des savoirs populaires en lien avec le végétal.

SAMEDI 17 MAI À 16H – ENTRÉE LIBRE

RencontreInvitation à une visite augmentée de l’exposition, au cours de laquelle Muriel Rodolosse et Jean-Marc Huitorel échangeront et dialogueront avec le public. Critique d’art, curateur et professeur, Jean-Marc Huitorel est l’auteur d’articles et d’ouvrages à propos de l’art contemporain. Il définit l’exposition comme une autre manière de faire de la critique d’art.

SAMEDI 31 MAI DE 15H À 17HADULTE – 8 € / PERSONNESUR RÉSERVATION

Atelier Encres végétalesApprenez à fabriquer vous-même des encres originales à partir de fleurs, fruits et écorces. Créez ainsi votre nuancier de couleurs. Animé par Julie, animatrice nature de l’association La Chicorée Sauvage.

SAMEDI 7 JUIN À 17H – ENTRÉE LIBRE

Finissage / performance de l’artiste Muriel Rodolosse crée pour l’occasion une performance interprétée par la danseuse Emma Carpe.Emma Carpe pratique l’intervention du mouvement dansé dans l’espace public et le paysage.

DOCUMENTATIONTout au long de l’exposition, des ouvrages choisis dans le fond de la médiathèque des Abattoirs sont à votre disposition en consultation à l’accueil.

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CENTRE D’ART CONTEMPORAIN MAISON DES ARTS GEORGES POMPIDOUCAJARC

Tout au long de l’année, le centre d’art contemporain présente une programmation engagée à Cajarc et hors les murs. Dédié à la découverte et à la promotion des artistes, le centre d’art accueille des expositions, produit des œuvres nouvelles, accompagne le public par des actions de médiation spécifiques, organise des concerts, rencontres, conférences et performances, édite des livres et des multiples.

En été le centre est le cœur d’un parcours d’art contemporain en vallée du Lot, jusqu’à Saint-Cirq-Lapopie, riche en proposition artistiques produites par les résidents des Maisons Daura. Le Centre d’art contemporain est membre de dca, l’association française pour le développement des centres d’art, du réseau Air de Midi, art contem-porain en Midi-Pyrénées. La maison des arts Georges Pompidou est dirigée par Martine Michard depuis 2004.

RÉSIDENCES INTERNATIONALES D’ARTISTESMAISONS DAURA SAINT-CIRQ-LAPOPIE

Les Maisons Daura reçoivent depuis 2005 des artistes de tous pays et de toutes disciplines, au cœur d’un des plus beaux villages de France, dans un ensemble architectural médiéval d’une exception-nelle qualité.

La période de résidence, au printemps ou à l’automne, est un moment privilégié pour un artiste qui se concentre sur des projets particuliers. À chaque session, le public est accueilli au sein des ate-liers pour une rencontre autour des travaux en cours. Au printemps, les artistes composent un projet collectif pour le Parcours d’art contemporain en vallée du Lot qui se déroule chaque été. À l’automne, ils investissent cet espace de création artistique pour des projets individuels. Muriel Rodolosse y a séjourné à l’automne 2006.

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ORGANISATION GÉNÉRALE

DirectionMartine Michardmartine.michard@magp.fr

Service des publics Marie Debornemarie.deborne@magp.fr

Chargée des relations presse et de la communication Lalie Nicolaslalie.nicolas@magp.fr presse@magp.fr communication@magp.fr

AdministrationSéverine Cabrolseverine.cabrol@magp.fr

Régie Clément Schmitterclement.schmitter@magp.fr

BUREAUX

Association Maison des arts Georges PompidouBP 2446160 CajarcT 00 33 (0)5 65 40 78 19contact@magp.fr

SALLES D’EXPOSITIONS

Centre d’art contemporain134, avenue Germain Canet46160 CajarcT 00 33 (0)5 65 14 12 83

RÉSIDENCES

Maisons DauraRésidences internationales d’artistesLe Bourg46300 Saint-Cirq-Lapopie

ACCÈS

En avionAéroport Toulouse/Blagnac

En trainGares SNCF de Figeac ou Cahors

En voiture— depuis Figeac D 19— depuis Cahors D 911 (Causse) ou D 653 et D 662— depuis Toulouse A20 sortie 59 d°Caussade, traverser la ville, puis D 17 Monteils, D 19 Bach, Limogne

INFOS PRATIQUES

Contact presseLalie Nicolaschargée des relations presse et de la communicationT. 00 33 (0)5 65 40 78 19presse@magp.fr

Visite presse de l’expositionMercredi 9 avril 2014 à 11h

Interview de l’artisteSur demande

VernissageSamedi 12 avril 2014 à 18h30

L’expositionDu 13 avril au 8 juin 2014

Horaires d’ouvertureDu mercredi au dimanche 14h à 18h

GratuitéL’exposition est libre d’accès

Autour de l’expositionVoir page 21

CommissariatMartine Michard, directrice

La Maison des arts Georges Pompidou bénéficie du soutien

de l’État, Ministère de la culture et de la communication,

de la Drac Midi-Pyrénées, de la Région Midi-Pyrénées et du

Conseil général du Lot.

Photographies : Yohann Gozard.

MAISON DES ARTS GEORGES POMPIDOUCENTRE D’ART CONTEMPORAINBP 2446160 CAJARC+33 (0)5 65 40 78 19 +33 (0)5 65 14 12 83WWW.MAGP.FR