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LA FLEUR DE L’ÂGE À PAS DE GÉANT VERS L’ÉTERNITÉ JEUNES TÉMOINS ET JEUNES MARTYRS DE VINGT SIÈCLES DE CHRISTIANISME EXPOSITION D’ARS LATINA BASILIQUE DU SACRÉ -CŒUR. PARIS Février 2015 - Mars 2015 L’exposition La fleur de l’âge, produite par ars latina, est présentée en avant-première, à Paris, dans la BASILIQUE DU SACRÉ -CŒUR DE MONTMARTRE. Elle poursuivra ensuite son itinérance à la Basilique de Fourvière à Lyon, puis à Lisieux et dans les hauts lieux de la chrétienté. Cette exposition a pour vocation d’être montrée dans les écoles, les universités, les églises, les lieux publics, les rassemblements de jeunes – scouts, frat, etc… L’exposition « la Fleur de l’âge » voit le jour grâce au soutien des Œuvres Pontificales Missionnaires, de la mutuelle Saint-Christophe Assurances, du Musée de Montmartre, de la Compagnie des Filles de la Charité. OBJECTIFS ! Jeter un regard, s ’attarder en ce début de XXI e siècle sur l’émouvante figure de quelques jeunes témoins emblématiques, parmi la cohorte de tous ceux qui ont écrit, durant deux millénaires, l’histoire du christianisme inséparable de l’histoire des hommes, tel est le propos d’Ars Latina. ! Faire mémoire de ces jeunes hérauts qui vont bouleverser le monde, en suivant le Christ et se donnant par excès d’amour jusqu’au bout, souvent jusqu’à la mort, telle est l’ambition de l’exposition. ! Donner à contempler des œuvres qui suscitent l’émotion et l’émerveillement des visiteurs de toutes les générations, tel est le défi que s’est fixé Ars Latina. ! Participer à la nouvelle évangélisation en proposant à la contemplation de la jeunesse la trajectoire fascinante de tant d’êtres à peine nés et déjà enlevés à la fleur de l’âge. D O S S I E R D E P R E S S E

Dossier de presse fleur de l'age 2

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LA FLEUR DE L’A GE

A PAS DE GE ANT VERS L’E TERNITE

JEUNES TEMOINS ET JEUNES MARTYRS DE VINGT SIECLES DE CHRISTIANISME

EXPOSITION D’ARS LATINA BASILIQUE DU SACRE -CŒUR. PARIS Février 2015 - Mars 2015

L’exposition La fleur de l’a ge, produite par ars latina, est presentee en avant-premiere, a Paris, dans la BASILIQUE DU SACRE-CŒUR DE MONTMARTRE. Elle poursuivra ensuite son itinérance à la Basilique de Fourvière à Lyon, puis à Lisieux et dans les hauts lieux de la chretiente. Cette exposition a pour vocation d’etre montree dans les ecoles, les universites, les eglises, les lieux publics, les rassemblements de jeunes – scouts, frat, etc…  L’exposition « la Fleur de l’âge » voit le jour grâce au soutien

• des Œuvres Pontificales Missionnaires, • de la mutuelle Saint-Christophe Assurances, • du Musée de Montmartre, • de la Compagnie des Filles de la Charité.

   OBJECTIFS ! Jeter un regard, s ’attarder en ce debut de XXIe siecle sur l’emouvante figure de

quelques jeunes temoins emblematiques, parmi la cohorte de tous ceux qui ont ecrit, durant deux millenaires, l’histoire du christianisme inseparable de l’histoire des hommes, tel est le propos d’Ars Latina.

! Faire memoire de ces jeunes herauts qui vont bouleverser le monde, en suivant

le Christ et se donnant par exces d’amour jusqu’au bout, souvent jusqu’a la mort, telle est l’ambition de l’exposition.

! Donner à contempler des œuvres qui suscitent l’emotion et l’emerveillement

des visiteurs de toutes les generations, tel est le defi que s’est fixe Ars Latina. ! Participer a la nouvelle evangelisation en proposant a la contemplation de la

jeunesse la trajectoire fascinante de tant d’etres a peine nes et deja enleves a la fleur de l’age.

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LES TEMOINS ET LES MARTYRS En ce début du XXIè siècle, le Proche-Orient, comme d’autres parties du monde est le théatre de la persécution des chrétiens : ils meurent, ils restent sur place dans l’attente, ils partent sur les routes, laissant derrière eux leurs terres et leurs biens. Ils poursuivent l’interminable histoire des martyrs et des témoins du christianisme au long des siècles.

L’exposition d’Ars Latina

« LA FLEUR DE L’A GE. A PAS DE GE ANT VERS L’E TERNITE . JEUNES TE MOINS ET JEUNES MARTYRS DE VINGT SIE CLES DE CHRISTIANISME »

souhaite faire mémoire de ces 40 jeunes hérauts, choisis parmi tant d’autres, comme archétype des multiples formes que prend la sainteté. Ils n’ont pas plus de 33 ans, age symbolique s’il en est. Ils viennent du monde entier, de tous les continents, de toutes les races — Laïcs ou consacres, pauvres ou riches, savants ou ignorants, reines ou esclaves, peres ou meres de famille, enfants ou etudiants, soldats ou paysans, ouvriers ou artisans, pretres ou religieux — Ils representent l’humanite debout, dans sa grandeur et sa fragilite, l’Homme Nouveau qu’incarne le Christ crucifie et ressuscite, leur etendard.

Toutes ces figures, enracinees dans une longue histoire, appele es a une mission singuliere dans un moment particulier, refletent ou accompagnent les grands bouleversements du monde. Dans l’encyclique Tertio millenio adveniente, Jean-Paul II constatait qu’« a la fin du deuxieme millenaire, l’Eglise est a nouveau devenue une Eglise de martyrs nés sur le terreau du communisme, du nazisme, du terrorisme, des dictatures, des guerres civiles et religieuses, etc… c’est un temoignage qui, pour au- tant qu’il se peut, ne saurait sombrer dans l’oubli ».

En mourant a la fleur de l’age, comme les premiers chretiens sous la persecution romaine, comme les jeunes missionnaires sur les routes du monde, comme les jeunes contemplatifs consumes d’amour, comme les jeunes lai cs radicalement donnes a leur vocation propre, cette merveilleuse jeunesse fait germer chaque fois un nouveau printemps.

CATHERINE D'ALEXANDRIE. IIIè siècle Selon la le gende Catherine convertit a 18 ans 50 philosophes. Condamne e a mort sur une roue arme e de pointes de fer par l'empereur Maxime. E GYPTE ROMAINE

  Anonym

e - Icône sur bois (XV

è siècle) ©

Monastère Sim

onos Petras – Monte A

thos/ ars latina

CHRISTOPH PROBST (mort en 1943 a 24 ans avec Hans et Sophie SCHOLL). L ’ épo- pe e de la Rose Blanche. Groupe œcuméniques d’étudiants (re sistants au nazisme et exe cute s. ALLEMAGNE

   Photographie  de  Herta  Siebler-­‐Probst  

©  Weisse  Rose  Institut  (M

unich),  droits  réservés  –  www.weisserose.info  

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L’exposition photographique se decompose en trois grandes parties scandees par des œuvres d’art thématiques. Elle comporte des reproductions de tres grand format (entre 1,30 m et 1,10 m de hauteur) de sculptures, peintures, gravures, icônes ou photographies representant les acteurs du drame. La premiere partie illustre LE TEMPS DE L’AMOUR, sa radicalite aussi bien chez les premiers chretiens que dans les ordres mendiants du Moyen Age (franciscains, dominicains, etc…)

« Viens, suis-moi » Marc 10, 21 La deuxieme partie aborde LE TEMPS DE L’UNIVERSALITE, rendue possible par la revolution technologique et scientifique, la decouverte des nouveaux mondes et l’apparition a la Renaissance de nouveaux ordres qui jouent un role majeur tant dans l’education des esprits et des intelligences que dans l’evangelisation jusqu’aux extremites de la terre. Ce sont les jesuites, ce sont les carmels reformes, ce sont plus tard les filles de la Charite, ce sont Les Missions Etrangeres de Paris et tant de nouveaux ordres ou sociétés apostoliques impossibles à citer. Avec la Renaissance, l’homme est place au centre de l’univers. Il s’empare de sa liberte pour choisir ou refuser le Christ. D’un monde essentiellement croyant, on passe progressivement a une societe lai que où athees, agnostiques et croyants se cotoient. « Que tous les peuples te rendent gloire » Ps 66 La troisieme partie de l’exposition illustre LE TEMPS DE

LA MISE RICORDE dont nos XXe et XXIe siecles ont tant besoin, avec la succession d’effroyables miseres physiques et psychiques, le malheur innommable sur tous les continents et l’apostasie. Les jeunes apotres de la Misericorde se succederont, de Therese de Lisieux a la mystique polonaise sœur Faustine, et a tant de jeunes temoins brulant de l’amour divin. « Quand vos péchés seraient comme l’écarlate, comme neige ils blanchiront » Is1, 16

ICÖNE DE L’ASSEMBLEE DE TOUS LES SAINTS Anonyme - Icône sur bois (XVIIè siècle)

© Monastère Simonos Petras – Mont Athos/ ars latina

LA DECOUVERTE DE L’AMERIQUE Carte America sive novus orbis - Theodor de Bry – Eau forte (vers 1595)

©Produced courtesy of The American Museum in Britain (Bath,UK)

L’ENVOI EN MISSION Tympan de la Basilique Sainte-Marie-Madeleine-de-Vézelay (vers 1125)

Moulage (1881) ©David Bordes, CAPA/MMF/ars latina

L’EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE  

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« Incarnationis mysterium » BULLE D'INDICTION DU GRAND JUBILÉ DE L'AN 2000 - Jean Paul II

« La mémoire des martyrs est un signe permanent, mais aujourd'hui particulièrement éloquent, de la vérité de l'amour chrétien. Il ne faut pas oublier leur témoignage. Ils ont annoncé l'Évangile, donnant leur vie par amour. Le martyre, surtout de nos jours, est signe du plus grand amour qui récapitule toutes les autres valeurs. Son existence reflète la parole suprême prononcée par le Christ sur la Croix: « Père, pardonne-leur: ils ne savent pas ce qu'ils font » (Lc 23, 34). Le croyant qui prend au sérieux sa vocation chrétienne, pour laquelle le martyre est une possibilité déjà annoncée dans la Révélation, ne peut exclure cette perspective de l'horizon de sa vie. Les deux mille ans écoulés depuis la naissance du Christ sont marqués par le témoignage persistant des martyrs. Ce siècle lui-même, qui arrive à son terme, a connu de très nombreux martyrs, surtout à cause du nazisme, du communisme et des luttes raciales ou tribales. Des personnes de toutes les couches sociales ont souffert en raison de leur foi, payant de leur sang leur adhésion au Christ et à l'Église ou affrontant avec courage d'interminables années de prison et d'autres privations de tout genre, parce qu'elles ne voulaient pas céder à une idéologie qui s'était transformée en un régime de dictature impitoyable. Du point de vue psychologique, le martyre est la preuve la plus éloquente de la vérité de la foi, qui sait donner un visage humain même à la plus violente des morts et qui manifeste sa beauté même dans les persécutions les plus atroces. Inondés de la grâce lors de la prochaine année jubilaire, nous pourrons faire monter avec plus de force l'hymne d'action de grâce au Père et chanter: Te martyrum candidatus laudat exercitus. Oui, c'est là l'armée de ceux qui « ont lavé leurs robes et les ont blanchies dans le Sang de l'Agneau » (Ap 7, 14). C'est pourquoi, partout sur la terre, l'Église devra rester attachée à leur témoignage et défendre jalousement leur mémoire. Puisse le peuple de Dieu, raffermi dans sa foi par les exemples de ces modèles authentiques de tous âges, de toutes langues et de tous pays, franchir avec confiance le seuil du troisième millénaire! Qu'à l'admiration pour leur martyre soit joint, dans le cœur des fidèles, le désir de pouvoir, avec la grâce de Dieu, suivre leur exemple si les circonstances l'exigent! »

Cette exposition est universelle et tous les continents sont représentés : l’Asie, l’Afrique, l’Europe, l’Amérique et l’Océanie. Parmi les nombreux témoins de ces continents, six biographies de martyrs du XXè siècle figurent dans le dossier. PAUL CHEN ASIE PURIFICACION PEDRO ASIE MARIE-CLAIRE MUKANGANGO AFRIQUE MARIA TUCI EUROPE CARLOS DE DIOS MURIAS AMERIQUE LATINE PETER TO ROT OCEANIE

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MARIA TUCI - Morte en 1950 à 22 ans. ALBANIE Parmi le groupe des 40 martyrs albanais morts essentiellement pendant la persecution communiste (1943-1989) il y a des eveques, des pretres diocesains, des jesuites, des franciscains et un seminariste. N’y figure qu’une seule femme, Maria Tuci, morte en 1950 a l’age de 22 ans, dans l’hopital de la prison ou elle a ete incarceree et torturee. Dans une lettre elle ecrit: «Ils s’ingenierent a faire subir a mon corps toutes les tortures les plus inimaginables.» Parmi tant de raffinement, on l’a mise nue dans un sac avec une chatte sauvage. Elle etait postulante chez les sœurs franciscaines stigmatines. Pendant pres de 50 ans, les differentes confessions religieuses ont ete reduites au silence sous le regne d’Enver Hoxha. Les eglises et les mosquees sont detruites. La communaute catholique a paye un lourd tribu, avec des centaines de pretres, sœurs et lai cs, persecutes au nom de leur foi. Une grande partie de ces martyrs vient de Shköder, la principale ville du nord de l’Albanie. Une religieuse raconte « Pendant les 50 ans de persecution, il y a eu comme un œcumenisme de la souffrance. Dans les cellules, se sont rencontres et ont partage ensemble une experience de dure souffrance, autant nos freres musulmans que nos freres et pretres catholiques. Aujourd’hui, il n’est pas rare d’ecouter les musulmans ages, qui ont vecu ces moments de persecution, nous dire « Nous avons souffert comme Jesus-Christ ».

MARIE-CLAIRE MUKANGANGO - Morte en 1994 a 33 ans. RWANDA « Le monde est en rebellion contre Dieu, trop de peches s’y commettent. Il n’y a pas d’amour, ni de paix ». De 1981 a 1985, la Vierge Marie, « la Mere du Verbe », apparaît a plusieurs adolescentes, en particulier a Alphonsine Mumureke, Nathalie Mukamazimpaka, et Marie-Claire Mukangango, dans l’ecole de religieuses de Kibeho, au Rwanda. En 1982, les enfants bouleverses voient des phenomenes terrifiants, des fleuves de sang, des combats effroyables, des monceaux de cadavres gisants partout, un gouffre geant, et la Vierge en pleurs. Une des voyantes hutu, Marie-Claire Mukangango, a des lumieres particulieres sur le chapelet des sept douleurs de la Vierge, connu autrefois mais tombe en desuetude. Comme dans la plupart des apparitions, la Vierge demande de prier sans cesse, de reciter le chapelet, et de faire penitence. «Personne n’arrive au ciel sans souffrir». Elle demande la construction d’une chapelle devenue depuis lors, lieu de pelerinage. Dix ans plus tard, en 1994, le Rwanda est a feu et a sang. En trois mois, il y a plus de 800 000 morts. C’est un combat sans merci entre le front patriotique rwandais compose de Tutsis, et le pouvoir majoritairement hutu, qui organise un genocide systematique. Dix ans plus tot, au terme des apparitions, Marie-Claire qui a termine ses etudes, devient institutrice. Elle mene une vie simple, exemplaire et priante. Elle epouse un tutsi, Elie Ntabadahiga avec lequel elle sera arretee. Tous deux seront massacres.

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CARLOS DE DIOS MURIAS - Mort en 1976 a 31 ans. ARGENTINE Le XXe siecle est marque en Argentine par de sombres dictatures militaires qui se succedent, entraînant le massacre de milliers de catholiques et de communistes. La plus celebre d’entre elles est la junte formee en 1976 par le General Videla qui va durer 8 ans. De nombreux pretres et religieuses trouvent la mort comme le franciscain Carlos de Dios Murias, l’ami des pauvres. Apres avoir collabore quelques temps avec Monseigneur Enrique Angelelli, fondateur du Mouvement des Jeunes Travailleurs pour evangeliser les milieux populaires, il est nom- me a Chadmical, comme adjoint d’un pretre francais, Gabriel Longueville. Tous deux menent une vie evangelique, dans un total denuement, servant fideles et misereux. La charite de Carlos, homme des beatitudes, son courage frappe les esprits. Il declare dans une homelie : « ils pourront etouffer la voix du pretre, de l’eveque, mais jamais ils ne pourront etouffer la voix de l’Evangile. » En juillet 1976, des membres armes de la police federale s’emparent des deux pretres pour des motifs fallacieux. On retrouve leurs cadavres, affreusement tortures, les yeux bandes, dans un terrain vague. Monseigneur Angelelli celebre une messe en leur memoire pour reconforter les fideles. Il sera a son tour victime d’une mort violente. On retrouvera ce grand resistant a la dictature militaire la nuque brisee, au volant de sa voiture.

PETER TOROT - Mort en 1945 a 33 ans. PAPOUASIE-NOUVELLE-GUINEE Fils d’un chef de tribu respecte qui a recu le bapteme, des la premiere evangelisation de l’i le par les missionnaires du Sacre-Cœur (congregation francaise fondee en 1854), Peter est connu des son enfance pour sa generosite et sa ferveur. Apres une formation de catechiste, il est affecte a son village natal. Son mariage avec Paula TaVarpit est marque par la mort de deux de leurs enfants. Une petite fille leur reste. En 1942, les Japonais envahissent l’i le et interdisent toute pratique religieuse. Cible parfaite, l’é glise, consideree comme un centre de subversion, est detruite par l’aviation. Comme au temps des catacombes, c’est dans un lieu souterrain que sont celebres mariages et baptemes. Fait prisonnier a cause d’un policier qui veut prendre une seconde epouse, Peter Torot declare « Je suis ici a cause de ceux qui enfreignent leurs engagements matrimoniaux, a cause de ceux qui ne veulent pas que l’œuvre de Dieu aille de l’avant. Pour cela je vais mourir. » Un temoin raconte qu’un medecin japonais, venu pour soigner Peter dans sa cellule, lui fait une injection apres lui avoir donné a boire une grande quantite d’eau. C’est la fin. Sa tombe devient tres vite un lieu de pelerinage et la reputation de saintete du martyr ne cesse de croître. C’est le modele de l’enseignement de l’Eglise sur l’unite du mariage.

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PAUL CHEN - Mort en 1861 a 23 ans. CHINE Premier enfant chinois a devenir seminariste, martyr et saint. Saint Paul Chen (ou Tchen) Tchang-Pin est le premier martyr de la Sainte-Enfance, l’une des quatre Œuvres Pontificales Missionnaires. Il est ne en Chine le 11 avril 1838 a Sin-Tchen, dans la province de Kouytcheou ou travaillent les Peres des Missions Etrangeres de Paris. Medecin, le pere de Paul Chen a cependant du mal a nourrir sa famille. Recueilli et eleve par les soins de la Sainte-Enfance, le petit Chen integre la communaute du seminaire et y recoit le bapteme et le nom de Paul, saint patron du seminaire. Comme Mgr Louis Simon Faurie, son maître de catechisme, il desire etre missionnaire. Docile et doux, travailleur acharne et paisible, Paul veut devenir pretre ; a son pere qui tente de l’en dissuader, il dit: «Pere, je ne vous appartiens plus, vous m’avez donne a l’Eglise... Dieu m’appelle a une vocation plus sublime que celle que vous me proposez... ». Paul est tres apprecie au grand seminaire de Tsingay et, pour ses superieurs, il sera un «bon pretre» apte pour l’enseignement et la formation. C’est sans compter avec la persecution des chretiens... Avec ses compagnons de martyre, Joseph Tchang, Jean-Baptiste Lo et Marthe Ouang, Paul confesse sa foi chretienne jusqu’a sa decapitation le 29 juillet 1861 ; il n’a que 23 ans. Ses reliques sont exposees a Notre-Dame de Paris, le 10 juin 1919, dans la Chapelle de la Sainte-Enfance. Il fait partie des 120 martyrs de Chine que Jean-Paul II canonise le 1er octobre 2000.

PURIFICACION PEDRO - Morte en 1977 a 31 ans. PHILIPPINES Les Philippines evangelisees des 1565 forment aujourd’hui le plus grand pays catholique d’Asie (80% de la population). En 1972, avec l’instauration de la loi martiale par le dictateur philippin, Ferdinand Marcos, le parti communiste et plus particulierement sa branche armee, le NPA, fait l’objet d’une violente repression. Certains membres de l’Eglise, combattants de la misere, vont rejoindre le parti. Malgre le danger, Maria de la Purificacion, prend le risque d’aller clandestinement a Bataan, visiter des amis qui ont rejoint, eux, le NPA. Une embuscade la surprend. Blessee, elle est hospitalisee. Sa famille la veille jour et nuit, par peur des represailles. Un commando de militaires, ordonnant a sa sœur Carmen de sortir de la chambre, vient l’interroger. Elle est retrouvee morte, etranglee dans sa salle de bain. Elle avait ecrit a sa famille « Je vous sais inquiets. Je vous remercie de vos prieres, mais ne vous faites pas de soucis. Ce que j’accomplis, c’est pour le bien de la plus grande partie de la population qui est composee de pauvres et de necessiteux, les plus petits de nos freres ». Cette assistante sociale, tres sensible a la situation des femmes defavorisees, cree une creche; elle travaille dans les bidonvilles avec les communautes indigenes. Elle se distingue par son intense vie de priere, son abnegation et ses competences.

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PARMI LES 34 AUTRES JEUNES TEMOINS FIGURENT AUSSI

- KATERI TEKAKWITA, première sainte du continent nord-américain, - ROSE DE LIMA, sainte patronne de l’Amérique latine, - CATHERINE DE SIENNE, co- patronne de l’Europe, docteur de l’Eglise, - PIER GIORGIO FRASSATTI, déclaré par Jean Paul II le saint des sportifs, - JACQUES FESCH, l’un des derniers condamnés à mort français, converti en prison, - VIRGILIUS JAUGELIS, jeune prêtre lituanien ayant passé 4 ans au goulag, - CHARLES LWANGA ET KIZITO, saints patrons de la jeunesse africaine autant de jeunes vies, offertes en exemple à travers des photos et œuvres d’art propres à marquer les esprits.

PLAN DE L’EXPOSITION SE LECTION D’EXEMPLES EMBLE MATIQUES DE JEUNES TE MOINS ET MARTYRS PARTIE 1 : LE TEMPS DE L’AMOUR

• E TIENNE (mort en 37). Juif helle nistique converti. Diacre. Premier martyr de la chre tiente . ISRAE L.

• BLANDINE (morte en177). Esclave convertie. Meurt a Lyon dans l’are ne avec d’autres compagnons. FRANCE.

• FELICITE ET PERPETUE (mortes en 203). Jeune patricienne de 22 ans et jeune esclave livrées aux bêtes du cirque sous Septime Sévère. CARTHAGE - AFRIQUE DU NORD

• CE CILE (morte en 223). Jeune aristocrate romaine de capite e. Patronne des musiciens. ITALIE.

• VINCENT (mort en 304). Jeune diacre de Saragosse. Meurt martyr a Valence. Son culte se re pand dans tout le monde ibe rique. ESPAGNE/PORTUGAL

• CATHERINE D'ALEXANDRIE (morte en 307). La le gende raconte que Catherine convertit a l'a ge de 18 ans 50 philosophes. Condamne e a mort sur une roue arme e de pointes de fer par l'empereur Maxime, elle meurt finalement de capite e. E GYPTE ROMAINE

• LES QUARANTE DE SE BASTE (morts en 320). 40 le gionnaires martyrs, dont certains tre s jeunes. Morts de froid sur la glace. ARME NIE.

• E LISABETH DE HONGRIE (morte en 1231 a 24 ans). Reine, me re de famille. Patronne du tiers ordre franciscain. HONGRIE.

• CATHERINE DE SIENNE (morte en 1380 a 33 ans).Tertiaire dominicaine illettre e mystique. Co-patronne de l’Italie et de l’Europe. Docteur de l’E glise. ITALIE.

• JEANNE D’ARC (morte en 1431 a 19 ans). Paysanne illettre e, bru le e vive a Rouen. Co-patronne de la France. FRANCE.

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PARTIE II : LE TEMPS DE L’UNIVERSALITE

• STANISLAS KOSTKA (mort en 1568 a 18 ans). Novice je suite. Meurt a Rome de maladie. POLOGNE.

• LOUIS DE GONZAGUE (mort en 1591 a 23 ans). Aristocrate. Novice je suite a Rome ou il meurt de la peste. Patron de la jeunesse. ITALIE.

• LES MARTYRS DE NAGAZAKI, dont PAUL MIKI (mort en 1597 a 33 ans). Je suite. Meurt crucifie avec d’autres je suites, des franciscains et des laïcs. JAPON.

• ROSE DE LIMA (morte en 1617 a 31 ans).Tertiaire dominicaine d’origine espagnole. Patronne du Pe rou et de l’Ame rique latine. PE ROU.

• KATERI TE KAKWITA (morte en 1680 a 24 ans). Indienne mohawk et algonquine d’Ame rique du Nord. Meurt au Que bec. AME RIQUE DU NORD

• CONSTANCE DE JE SUS, novice, et 15 autres carme lites de Compie gne (mortes en 1794). Sur les 16 carmélites de Compiègne montées sur l’échafaud pendant la Terreur, Constance a 29 ans, SR MARIE-HENRIETTE DE LA PROVIDENCE , 30 ans et SR FRANC OIS-XAVIER 33 ans. FRANCE.

• LES MARTYRS DU VIETNAM, de CHINE et de COREE dont JEAN PIERRE NEEL, PHILIPPE PHAN VAN MINH, PIERRE BORIE, VINCENT DIEM, et PIERRE TU membres de la Socie te des Missions E trange res de Paris.

• LES MARTYRS DE CORE E, dont ANDRE KIM (mort en 1846 a 25 ans). Premier pre tre core en de capite avec ses compagnons. CORE E.

• PAUL CHEN (mort en 1861 a 23 ans, de capite ). Scolarise par l’Œuvre de la Sainte-Enfance (l’actuelle Enfance Missionnaire), c’est le premier enfant chinois a devenir se minariste, martyr et saint. CHINE.

• LES MARTYRS DE L’OUGANDA (morts à la fin du XIXè siècle). Charles Lwanga, son fre re Kizito (13 ans) et leurs 11 compagnons avaient entre 13 et 30 ans quand ils ont e te supplicie s. Sous la perse cution du roi Mwanga entre 1885 et 1887, une centaine de jeunes chre tiens, catholiques et anglicans, pe rirent. Charles Lwanga et son fre re Kizito deviendront patrons de la jeunesse africaine. OUGANDA.

PARTIE III : LE TEMPS DE LA MISERICORDE

• THE RE SE DE LISIEUX (morte en 1897 a 24 ans). Carme lite. Apo tre de l’amour, de la confiance et de la Mise ricorde. Co-patronne de la France. Patronne des missions. Docteur de l’E glise. FRANCE.

• FRANCISCO ET JACINTA MARTO (morts en 1919 et 1920 a 10 ans et 9 ans). Petits voyants de Fatima. Apparitions de la Vierge qui confie aux enfants 3 messages pour le monde. PORTUGAL.

• PIER GIORGIO FRASSATI (mort en 1925 a 24 ans).Tertiaire dominicain. Membre de la confre rie de Saint-Vincent-de-Paul. Patron de la jeunesse. ITALIE.

• JOSE SANCHEZ DEL RIO (mort en 1928 a 14 ans). Jeune paysan, porte-étendard des Cristeros, mouvement engagé contre la vague anticatholique du gouvernement mexicain. Assassiné. MEXIQUE.

• VICTORIA DIEZ Y BUSTOS DE MOLINA (morte en 1936 a 33 ans). Institutrice des pauvres. Laïque consacre e dans l’institution the re sienne (The re se d’Avila). Martyre de la guerre civile espagnole. ESPAGNE.

• HE LE NE KOWALSKA OU SŒUR FAUSTINE (morte en 1938 a 33 ans). Religieuse mystique. La grande apo tre de la Mise ricorde divine. POLOGNE.

• CHRISTOPH PROBST - HANS ET SOPHIE SCHOLL – (morts en 1943 a 24 , 25, et 22 ans). Groupe de 5 e tudiants et de leur professeur de philosophie (des catholiques, des e vange listes, un orthodoxe) re sistants au nazisme et exe cute s. L’e pope e de la Rose Blanche. ALLEMAGNE.

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• ETTY HILLESUM (morte en 1943 a 31 ans). D’origine juive. Morte en camp de concentration à Auschwitz. HOLLANDE.

• PETER TO ROT (mort en 1945 a 33 ans). Pe re de famille. Cate chiste. Mode le de l’unite du mariage. Assassine par les Japonais. PAPOUASIE-NOUVELLE-GUINE E.

• MARIA TUCI (morte en 1950 à 22 ans). Jeune professeur, postulante dans la communauté des Stigmatines à Shkodër. Arrêtée pour son adhésion à la religion catholique, violentée et torturée par le régime communiste. ALBANIE

• JACQUES FESCH (mort en 1957 à 27 ans). Condamné à mort après un braquage qui le conduit à tuer un policier. Se convertit en prison et laisse de nombreux écrits mystiques. Fait l’objet d’un procès en béatification lancé par le Cardinal Lustiger. FRANCE.

• MARCEL VAN (mort en 1959 a 31 ans). Religieux re demptoriste mystique. Mort sous le re gime communiste en camp de concentration ; petit « fre re » de The re se de Lisieux. VIETNAM.

• CARLOS DE DIOS MURIAS (mort en 1976 a 31 ans). Pre tre franciscain de la Rioja. Martyr de la junte militaire. A la suite de Franc ois d’Assise, homme des Be atitudes. Torture et assassine avec un pre tre franc ais, Gabriel Longueville. ARGENTINE.

• PURI PEDRO (morte en 1977 a 31 ans). Assistante sociale voue e aux plus pauvres. Torture e et tue e par les militaires. PHILIPPINES.

• FATHI BALADI (mort en 1980 a 19 ans). Jeune e tudiant en architecture. Homme de paix et d’unite dans un Liban de chire . Abattu dans sa voiture. Apre s sa mort, sa tombe est entoure e de phe nome nes miraculeux. LIBAN.

• VIRGILIJUS JAUGELIS (mort en 1980 a 31 ans). Bel exemple de courage et de re sistance au KGB, au nom de sa foi et de sa vocation de pre tre. De porte deux fois en Sibe rie, la sante ruine e, il meurt d'un cancer. LITHUANIE.

• LINDALVA JUSTO DE OLIVEIRA (morte en 1993 a 30 ans). Fille de la Charité. Victime d’une tentative de viol. Assassinée dans la salle commune après un office du vendredi saint. Elle symbolise toutes les femmes qui, dans le monde, sont victimes de violence. BRE SIL.

• MARIE-CLAIRE MUKANGANGO (morte en 1994 a 33 ans). Be ne ficie dans sa jeunesse avec d’autres e le ves d’apparitions de la Vierge à Kibeho. Hutu, elle e pouse un Tutsi. Institutrice, elle est massacre e comme son mari, lors de l’effroyable guerre civile. Fide lite he roïque au mariage. RWANDA.

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ars latina CONCEPTION ET REALISATION DE L’EXPOSITION

COMMISSAIRE DE L’EXPOSITION : Elisabeth de Balanda CHARGEE DE MISSION : Florence de Langlais

L’association culturelle ARS LATINA, creee en 1990 par Philippe Rossillon et presidee aujourd’hui par GUY LAVAUD, a pour vocation de promouvoir les cultures latine et mediterraneenne dans leurs ramifications Elle concoit et realise des expositions itinérantes de photographies de grand format, parfois accompagnees d’ouvrages. Ces expositions portent sur les grands themes de l’art sacre ou profane, depuis ses plus lointaines origines jusqu’a nos jours. Elles sont presentees au grand public, dans les musees, les fondations, les cathedrales, les eglises, etc.

Avec la perspective de trouver de nouvelles voies reliant CULTURE, FOI et BEAUTE, elles sont presentees au public cible des etablissements scolaires. Le musee a l’ecole a ete lance en 2011 en collaboration etroite avec le Secretariat general de l’Enseignement catholique et la Mutuelle Saint-Christophe. Il s’inscrit dans la politique de renforcement des enseignements artistiques, en particulier l’introduction de l’enseignement de l’histoire des arts, mettant a la portee des eleves des references culturelles porteuses d’universalite.

Les expositions d’art sacre d’ARS LATINA sont les suivantes :

Fra Angelico. Le pas du Christ - De toujours a toujours est le recit, en bande dessinee, de la vie du Christ peinte sur l’Armoire aux argents (Florence) qui met en echo l’Ancien et le Nouveau Testament. Les noces du Ciel et de la Terre, autre exposition de Fra Angelico portant sur le beau theme de l’Annonciation, traite a de multiples reprises par l’artiste dominicain, avec les techniques les plus diverses, fresque, peinture, enluminure. Giotto - Francois, l’humilite radieuse presente une reconstitution photographique des célèbres fresques, réalisées au XIVè siècle par Giotto à Assise, racontant les épisodes marquants de la vie de saint Francois.

La fleur de l’a ge. A pas de geant vers l’eternite propose une histoire du christianisme a travers les figures singulieres de jeunes martyrs et jeunes temoins comme Etienne, Cecile, Catherine de Sienne, Jeanne d’Arc, Paul Miki, Rose de Lima, Kateri Tekakwita, Paul Chen, Therese de Lisieux, Giorgio Frassati, Marcel Van, Marie-Claire Mukangango, , etc. ARS LATINA propose aussi d’autres types d’expositions sur des themes universels : L’art de la Prehistoire, La peinture romaine antique, Femmes et paysages chez Leonard de Vinci, L’Egypte et ses rites funeraires, La mosaique antique tunisienne, etc.

Depuis 2001, ARS LATINA est aussi une petite maison d’edition d’art, avec des GRANDS LIVRES d’art tres illustres, concus comme de grandes syntheses ; Et des PETITS LIVRES tres soignes, qui jouent, la plupart du temps, le role de catalogues pour les expositions que l’association concoit et organise.

[email protected] - www.ars-latina.com - 06 81 01 39 74

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LES PARTENAIRES L’exposition « la Fleur de l’âge » est organisée en collaboration avec les Œuvres Pontificales missionnaires, les Missions Etrangères de Paris et la Compagnie des Filles de la Charité. Elle bénéficie de plus du soutien de la mutuelle Saint-Christophe Assurances, et du Musée de Montmartre. LES ŒUVRES PONTIFICALES MISSIONNAIRES L’élan missionnaire a toujours porté l’Eglise à élargir les espaces de la foi et de la charité jusqu’aux extrémités de la terre. Dans le contexte riche de piété du 19ème siècle, l’annonce de l’Évangile trouva une nouvelle impulsion grâce aux fondateurs des 4 Œuvres Pontificales Missionnaires. La vénérable Pauline Marie Jaricot (1799-1862) «... vocation exceptionnelle qui embellit une longue histoire de témoins du Christ, remontant aux martyrs de Lyon et à Saint Irénée » (Saint Jean-Paul II) fonda à 23 ans en 1822, l’œuvre de la Propagation de la Foi. Ensuite, Monseigneur Charles de Forbin-Janson (1785-1844), initiera l’œuvre de la Sainte Enfance (l’Enfance missionnaire) en 1843 ; puis Jeanne Bigard (1859-1934) et sa mère Stéphanie fondèrent l’œuvre de Saint-Pierre Apôtre en 1889 ; enfin, le bienheureux père Paolo Manna (1872-1952), sera le fondateur de l’Union Missionnaire du Clergé (Union Pontificale Missionnaire) en 1916. Ces 4 Œuvres sont élevées au rang d’œuvres « pontificales » en 1922 par le pape Pie XI (1956 pour l’UPM). Nées du Peuple de Dieu, comme initiatives apostoliques, elles ont su rapidement entraîner l’adhésion des fidèles en une co-responsabilité missionnaire. L’action des Œuvres Pontificales Missionnaires se situe au prolongement de la longue tradition des témoins de la Foi, appelés dès leur plus jeune âge à annoncer l’Évangile par fidélité au Christ et à leur baptême. Actuellement les Œuvres Pontificales Missionnaires sont présentes dans 140 pays et soutiennent plus de 1 500 diocèses parmi les plus démunis, pour que vive l’Eglise, partout dans le monde.

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Présentation de la Mutuelle Saint-Christophe assurances

Un assureur expérimentéGarantissant les institutions chrétiennes pour leurs biens et leurs personnels, la Mutuelle aacquis une expérience unique des risques liés aux activités solidaires. Elle offre une gammevariée de produits d'assurances (automobile, dommage aux biens, assurance des expatrié,prévoyance et santé, responsabilité civile des bénévoles et des dirigeants�), des servicescomplémentaires (expertise, formation�) et un service Prévention dédié aux sociétaires pour lessensibiliser aux risques encourus dans le cadre de leurs activités. Elle offre à ses sociétairesune protection globale fondée sur la compréhension de leurs spécificités et exigences.Nous assurons 79 des 97 diocèses, 66% des établissements de l'Enseignement catholique,70% des institutions chrétiennes.

Un assureur expertLa démarche de la Mutuelle repose sur un dialogue constructif et un véritableaccompagnement dans la durée. Elle garantit, dans un esprit partenarial, une protection fondéesur une approche pragmatique des contraintes spécifiques de chaque sociétaire.Les sociétaires bénéficient d'un conseil sur mesure pour sécuriser leurs risques en toutescirconstances et simplifier leur gestion.Interrogés sur leur perception après des expériences d'achat et de services dans le cadred'une enquête, plus de 90 % des sociétaires se déclarent très satisfaits et prêts àrecommander la Mutuelle.

Un assureur engagéLa Mutuelle a élargi son savoir-faire aux associations humanitaires et caritatives, sanitaires etsociales. A l'écoute des besoins spécifiques des individus et collectivités, elle agit au quotidiendans un esprit partenarial. La relation de proximité et de confiance va bien au-delà del'assurance, notamment par le biais de soutien aux manifestations importantes, du financementde projets. L'ancrage local fort est possible grâce aux 12 bureaux régionaux, aux 50 conseillerset 500 délégués (les sociétaires sont représentés dans les instances de décision par desdélégués élus).

Quelques dates clés1931L'Automobile Club Saint-Christophe est créé pour fédérer les diocèses et les prêtres : ces derniers doiventutiliser un moyen de locomotion et l'assurer dans des conditions adéquates.

1962Le 1er juin, l'association devient la Mutuelle Saint-Christophe assurances. Sa création est fondée surl'esprit de solidarité et de service. L'esprit mutualiste se met en place avec un réseau de délégués.

1970L'activité est élargie aux écoles chrétiennes et à leur personnel, aux religieux et religieuses et à toutepersonne exerçant au sein d'une institution chrétienne. Une convention est conclue avec le groupe"Ancienne Mutuelle", qui deviendra AXA, afin de renforcer les ressources indispensables audéveloppement de la Mutuelle, qui conserve sa pleine autonomie.

2012La Mutuelle fête ses cinquante ans, au travers desquels elle a grandi en restant fidèle à sesengagements initiaux. Création des Trophées de l'Engagement.

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