DOSSIER DE PRESSE - Hautetfortdonneravoir.hautetfort.com/media/02/02/2236168948.pdfla quinzaine le goût des traditions festives et de la curiosité des Bonsonnois n’est un secret

festival du peu & mairie de bonson

relations presseChristine Parasotetél 06 12 70 60 18 • 09 52 21 64 [email protected]

DOSSIER DE PRESSE

du 6 au 22 juillet 17h30/20hExposition fermée les lundis

BONSON - AlPES-mAritimESwww.festivaldupeu.org

FESTIVAL DU PEU 2012

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Les artistesExpo ouverte de 17h30 à 20htous les jours sauf les lundis

iNvité PAr DOmiNiquE lANDuCCipatrick boccarossaiNvité PAr OliviEr rOChEluc bonifaceiNvité PAr kim BOulukOS eva braend iNvité PAr ClAuDE GiOrGi jean-jacques Couderc iNvité PAr GilBErt PEDiNiElli Gérard eliiNvité PAr JEAN mAS Gabriel fabre iNvité PAr OliviEr rOChEdenis Gibelin iNvité PAr JEAN mAS alain Girelli iNvitéE PAr NiCOlAS lAvArENNElaure mathieu iNvitéE PAr mArtiN CAmiNiti marie-eve mestre iNvité PAr NiCOlAS lAvArENNE milthon iNvité PAr mArtiN CAmiNiti Gilles miquelisiNvité PAr DOmiNiquE lANDuCCi marc pianoiNvitéE PAr lAurENt BOSiO Christine rémyiNvitéE PAr NiCOlAS lAvArENNE sarah abdallah KhodjaiNvitéE PAr lAurENt BOSiO annick samaurowiNvité PAr mArtiN CAmiNiti justin sanchez iNvité PArPAul & mONikA WOllENBErG eizo sakataiNvitéE PAr ClAuDE GiOrGi Christine stephanoffiNvitéE PAr mAriE PhiliP michèle vincent iNvité PAr kim BOulukOSleo Wesel iNvitéS PAr Eux-mêmESles bonsonnois

10e édition du Festival du PeuParrainé par Bernar Venet et son ombrePour cette 10e édition, le Festival du Peu a mis en place un commissariat un peu particulier, supervisé par Frédérik Brandi : douze artistes qui connaissent le Festival pour y avoir exposé depuis 2003 ont proposé chacun l’intervention d’autres artistes dont ils souhaitent voir le travail exposé à Bonson. De l’esprit éveillé et spontané de ces parrains (et marraines) jaillit un plateau d’artistes aux techniques et courants artistiques différents, et la cohérence de cette exposition tient pour beaucoup de la richesse de ces relations humaines entretenues au fil des années. le Peu ouvre son territoire aux œuvres de ces artistes «recommandés» et propose une 10e exposition marquée par l’ouverture et l’inventivité.Des œuvres monumentales seront installées dans les rues et sur les places de Bonson et six lieux d’exposition accueilleront le travail de ces artistes venus de la région niçoise, du var, de Paris, du Japon, de Norvège ou des Pays-Bas.

les performances A l’occasion de la grande exposition «A la vie délibérée !» à la villa Arson à Nice, le Festival du Peu s’inscrit dans un parcours de performances auquel participent les principales galeries de Nice, membres du réseau Botox[s].la Flèche de Pascal Claeren est connue de la plupart des résidents du département puisqu’elle est visible depuis le bord de mer, à l’endroit où le var rejoint la mer. En 2008 pour la première fois, cet artiste, designer et président de l’association du Festival du Peu, avait installé cette flèche gigantesque sur le mont Pèleré qui surplombe le village. Cette année, le public est convié à assister à cette installation impressionnante, le 1er juillet dès 10h.Jean Mas, l’artiste de la Cage à mouches, travaille sur le Peu depuis des années. il est à l’origine du Festival du Peu avec le maire de Bonson, Jean-marie Audoli, et il est également l’auteur de plusieurs ouvrages dont ce dernier paru : «le Petit traité de la cage à mouches, un Peu !» (éd. Ovadia, 2012). l’idée d’un musée du Peu est particulièrement chère à Jean mas et ce sera donc à cet endroit qu’il réalisera une performance, le soir du vernissage, dans une partition historique puisque le musée du Peu l’est également !Et puisque les parrains et artistes de cette édition sont joueurs, ils seront au rendez-vous le soir du vernissage pour quelques performances dont nous n’avons pas encore le secret...

la quinzaine le goût des traditions festives et de la curiosité des Bonsonnois n’est un secret pour personne. Après la fermeture des salles à 20h, un concert de tango dansé (Tango Forte), de la variété réinventée pour rire (AOC), de la musique follement festive (Country Potes) et des airs vénitiens de l’Ensemble Baroque de Nice viendront vérifier le mythe du bon son à Bonson. Pour se détendre (et bien manger !), des repas en plein air jalonneront la quinzaine, entre soupe au pistou et repas partagé de clôture. les rôles seront complets avec les contes de la compagnie bonsonnoise En Faim de Contes et la balade théâtrale de la Cie BAL : les Comédies jardinières. «Un peu qu’il est beau mon jardin !», c’est le nom du concours du plus beau jardin du Gabre, la partie basse du village qui borde le var. les jardiniers ont bichonné leurs jardins dans l’attente de la remise des prix : leurs terrains vivants et colorés seront photographiés et les clichés exposés, le temps d’une dégustation de ces saveurs estivales. C’est dans cette partie de Bonson que la Fête du Gabre rassemble le s habitants chaque année pour un banquet en plein air et des animations inventées par eux. Enfin, l’olive peut se prévaloir d’une fête à Bonson : la Fête de l’Olivier promet un vide-grenier, un marché artisanal, un concours primé d’huiles et d’olives, un concours de lancer de noyau d’olive (non encore homologué auprès de la fédération française) et une ratatouille géante.Et cette année, pour se préparer à cette 10e édition, plusieurs événements sont organisés dès le mois de juin, notamment l’historique inauguration du Musée du Peu !

le 10e Festival du Peu s’inscrit dans le parcours de performances initié à l’occasion de l’exposition «A la vie délibérée» conçue comme

l’aboutissement d’un travail de recherche mené par la villa Arson depuis septembre 2007 - grâce au soutien constant du Conseil

général des Alpes-maritimes - sur l’histoire de la performance sur la Côte d’Azur de 1951 à nos jours.

www.villa-arson.org




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Un Peu avant...samedi 23 juin • 18h, musée du peu inauguration du musée du peu

dimanche 24 juin • 9h, place du festin fête de l’olivier Organisée par la mairie de Bonson et la Pignata

dimanche 1er juillet • 10hDerrière la mairie de Bonson installation/performance de pascal Claeren installation d’une flèche gigantesque sur le mont Pèleré

... le Festival du Peuvendredi 06 juillet • 19h, place scoffier ouverture du festival Parrainé par Bernar venet et son ombre vernissage avec les artistes et parrains performance de jean mas

dimanche 15 juillet • 21h, place de l’eglise un peu de contes Cie en faim de Contes de Bonson

mardi 10 juillet • 21h, place de l’eglise tango forte

jeudi 12 juillet • 21h, place du festin aoC, apéro orchestra Castagnié

samedi 14 juillet • 20h, place du festin

un peu d’ail et de basilic soupe au pistou géante en plein air, concoctée par la Pignataréservations au 04 93 08 58 39

lundi 16 juillet • Gabre de bonsonEn contrebas du village, dir. le Plan du var un peu qu’il est beau mon jardin ! découverte des jardins du Gabre19h vernissage de l’exposition des photos de jardins des habitants du Gabre20h un peu de saveurs estivales

mardi 17 juillet • 19h, place de l’eglise Comédies jardinières la Compagnie bal invite à une balade théâtrale dans les rues du village

samedi 21 juillet • 20h, Gabre de bonsonEn contrebas du village, dir. le Plan du var fête du Gabre Organisée par idéale Pétanque

dimanche 22 juillet • 18h, eglise st benoît ensemble baroque de nice Direction Gilbert Bezzina, programme «venise»

20h, place du festin Clôture du festival du peu repas de rue festifrassemblés autour des meilleurs mets venus d’ici et d’aillleurs... avec le groupe Country potesBoissons sur place, apportez vos plats et pensez à prendre des couverts !

Le programmetout public - Entrée libre

Un peu d’explicationsÀ Bonson, le festival n’est pas qu’une exposition de plus dans le programme estival : c’est toute une population qui s’ouvre à l’art, un échange entre les artistes et les Bonsonnois. En 2003, le pari de Jean mas et de la commune de Bonson était concrétisé par un premier Festival du Peu, couronné par l’exposition au mAmAC des centaines de «Peu» créés par les habitants. les générations se sont rencontrées, le lien social s’est renforcé.Depuis, la mairie de Bonson et l’association du Festival du Peu organisent le festival chaque année en juillet et proposent, au-delà de l’exposition collective, des soirées de spectacle vivant et encouragent la création artistique des habitants en leur permettant d’exposer. Enrichis d’une visite guidée menée par le commissaire Frédérik Brandi, ce sont des Bonsonnois qui gardent chaque année les lieux d’exposition pendant la quinzaine.Depuis 2003, des ateliers renforcent le tissu associatif existant et rassemblent les habitants autour de l’oenologie ou la poésie.Avec des centaines de visiteurs chaque année, la municipalité de Bonson a gagné son pari : faire d’un événement artistique et culturel de haut niveau une réussite, encourager l’expression artistique, intégrer les associations dans l’organisation de l’événement et donner aux gens l’envie de rêver... un peu.

Le Musée du PeuDans l’esprit du cabinet de curiosités des xviie et xviiie siècles, la municipalité de Bonson est fière d’inaugurer le musée du Peu où se trouve rassemblées les œuvres d’artistes généreux. En effet, au fil des années, les artistes d’honneur/donneurs accueillis à Bonson ont fait don de pièces exceptionnelles : Ben vautier, Sacha Sosno, Bernar venet et Jean mas ont leurs œuvres exposées là. A chaque édition, d’autres artistes ont souhaité laisser une «trace» de leur passage à Bonson : Claude Giorgi, roland kraus, Jean-louis Charpentier, véronique Champollion, Nicole Fernandez, rémy Peyranne, Jean-Pierre Joly, raoul Bosio, Jack Casadamont, isabelle Bonafoux, Françoise vernas-maunoury, kim Boulukos, véronique Filipetti, Patrick Schumacher, Christophe lorenzoni, Catherine Fiault, lucile travert... le musée sera officiellement inauguré en présence du Sénateur Jean-Pierre leleux, membre de la Commission de la culture, de l’éducation et de la communication.C’est au musée du Peu que sera projeté le film de Christian Passuello, une histoire de Peu, documentaire qu’il a réalisé en 2003, en suivant les habitants pendant cette année exceptionnelle, à l’origine du Festival du Peu.

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Le programmetout public - Entrée libre

samedi 23 juin 18h musée du Peu

inauguration du musée du peuDans l’esprit du cabinet de curiosités des xviie et xviiie siècles, la municipalité de Bonson est fière d’inaugurer le musée du Peu où se trouve rassemblées les œuvres d’artistes généreux. les artistes d’honneur/donneurs accueillis à Bonson ont fait don de pièces exceptionnelles. Ben vautier, Sacha Sosno, Bernar venet et Jean mas ont leurs œuvres exposées là. Au fil des années, d’autres artistes ont souhaité laisser une «trace» de leur passage à Bonson : Claude Giorgi, roland kraus, Jean-louis Charpentier, Nicole Fernandez, rémy Peyranne, véronique Champollion, Jean-Pierre Joly, raoul Bosio, Jack Casadamont, isabelle Bonafoux, Françoise vernas-maunoury, kim Boulukos, véronique Filipetti, Patrick Schumacher, Christophe lorenzoni, Catherine Fiault, lucile travert...

dimanCHe 24 juin Place du Festin

fête de l’olivierOrganisée par la mairie de Bonson et la Pignata fÊte traditionnelle 9h marché artisanal et vide-grenier • 11h30 lancer de noyaux d’olive • 12h résultats du Concours d’huiles et d’olives • 12h30 Déjeuner en plein air [brissaouda, baron d’agneau et ratatouille géante réSErvAtiONS Au 04 93 08 58 39]

dimanCHe 1er juillet 10h mont Pèleré, derrière la mairie de Bonson

la flèche de pascal ClaerenperformanCe Pascal Claeren conçoit l’art dans une forme spectaculaire et recherche les limites extrêmes de la normalité par des performances hors-norme. la Flèche est un symbole du village (blason de Bonson), c’est également une incontournable signalisation qui pointe le village depuis le haut du mont Pèleré. Ce Bonsonnois très actif dans l’organisation du festival est président de l’association du Festival du Peu. AvEC l’AiDE DE DOrEmi, ABlE tEChNOlOGiES Et DivA mONACO

vendredi 6 juillet 19h Place maurice Scoffier

10e festival du peuparrainé par bernar venet et son ombrevernissaGe de l’exposition, ouverture du Festival par jean-marie audoli, maire de BonsonperformanCe de jean mas performanCes des artistes et parrains de cette édition interludes par les swamp Cats dans un registre rockabilly, country et blues

mardi 10 juillet 21h Place du Festin

tango forteConCert & danse tango forte restitue la forme la plus traditionnelle et harmonieuse dans l’expression musicale du tango. le groupe est constitué d’artistes issus du milieu musical classique, jazz et lyrique : le bandonéoniste Frédéric viale, le pianiste Eros Cordogli, le contrebassiste Eric Fassio et le ténor Gilles San Juan. l’illustration chorégraphique est réalisée par la danseuse argentine mayra morelli et son partenaire George Bonopera. Animés par leur passion commune pour le tango, ils vous feront découvrir ses diverses formes : des bas-fonds nocturnes de Buenos Aires au tango cinématographique de Carlos Gardel, de celui des cabarets populaires à celui des puristes qui l’ont élevé au rang de l’art ou ceux qui l’ont révolutionné comme Astor Piazzolla.CONCErt OrGANiSé DANS lE CADrE DES EStivAlES Du CONSEil GéNérAl DES AlPES-mAritimES

jeudi 12 juillet 21h Place du Festin

aoC – apéro orchestra CastagniéConCert drÔle une thérapie de couple déguisée en spectacle musical, menée par Caroll au chant et Dédou à la guitare. mariés à la scène comme dans la vie, ils règlent leurs comptes en public sur un ton alerte et décapant… leur spectacle alterne entre disputes à la mode nissarda et tubes musicaux aux paroles détournées.CONCErt OrGANiSé DANS lE CADrE DES EStivAlES Du CONSEil GéNérAl DES AlPES-mAritimES

samedi 14 juillet 20h Place du Festin

un peu d’ail et de basilicrepas de rue Soupe au pistou géante concoctée par la Pignata réSErvAtiONS Au 04 93 08 58 39

Un peu de tout,culture et art de vivrele goût de la curiosité et de la fête chez les Bonsonnois n’est un secret pour per-sonne. Pendant l’exposition ou dès la fermeture des salles à 20h, des concerts, des repas convivaux en plein air, des performances, des contes, des rires, du théâtre et quelques curiosités viendront habiter le village de Bonson, pour un peu de rencontres.Et cette année, pour se préparer à cette 10e édition, plusieurs événements sont organisés dans le cadre du festival, dès le mois de juin.

la flèche de pascal Claeren

jean-marie audoli et jean mas

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dimanCHe 15 juillet 21h Place de l’Eglise

un peu de contesla Cie en faim de Contes est née en 2009. Ces Bonsonnois inventent et relatent des histoires, des ambiances, des sensations. Des contes !

lundi 16 juillet mairie annexe du Gabre de Bonson

un peu qu’il est beau mon jardin !dÉCouverte des jardins du Gabre19h vernissage de l’exposition des clichés des jardins, photographies de hervé Demongeot20h dégustation des légumes frais et de la Cuvée du Peu (un peu de modération)Bonson, ce n’est pas seulement cette virgule de maisons posée sur la montagne qui domine le précipice. C’est également le bas de ce précipice justement : le Gabre. Cette partie du village qui borde le fleuve var était, il n’y a pas si longtemps, un terrain nourricier pour les Bonsonnois. un chemin, qui existe toujours, était fréquenté par les habitants du village pour descendre au Gabre, entretenir les jardins et récolter fruits et légumes. la plupart des jardins particuliers a laissé place à une usine au début du xxe siècle puis à celle d’EDF. mais aujourd’hui, plusieurs jardins sont toujours entretenus par des Bonsonnois du village et du Gabre. Pour valoriser ce beau patrimoine vivant et coloré, le concours proposera de récompenser le propriétaire du jardin le plus esthétique et fructueux : le plus beau jardin !

mardi 17 juillet 19h De la Place de l’Eglise à la Place maurice Scoffier

Comédies jardinièresbalade tHeatrale la Cie bal propose de balader ses mots à travers le village, le temps d’une heure d’été. A l’heure où la lumière se donne, dorée, le spectateur-promeneur accompagne les musiciens et les acteurs qui le mène de scène en scène au son des guitares. le décor est vivant, minéral, végétal, la lumière vient de très loin, du soleil. écho, Clairière, Cotylédon jouent à mains nues. Pas de coulisses. tout est à vue. Du théâtre au Naturel. la compagnie B.A.l., c’est thierry vincent, Elise Clary, Elodie tampon-lajarriette, henry manini, martin Chevalier.BAlADE OrGANiSéE DANS lE CADrE DES EStivAlES Du CONSEil GéNérAl DES AlPES-mAritimES

samedi 21 juillet Gabre de Bonson

fête du GabreOrganisée par l’association idéale Pétanque 19h30 Apéritif • 21h Soirée Aïoli, musique à danser et show made in BonsonréSErvAtiONS Au 04 93 08 58 39

dimanCHe 22 juillet18h Eglise St Benoît

ensemble baroque de niceConCert Sous la direction de Gilbert Bezzina, précurseur du renouveau du violon baroque, l’Ensemble Baroque de Nice est composé de douze musiciens — jouant sur des instruments d’époque — qui font preuve d’une volonté de restituer une musicalité fondée sur la connaissance approfondie des traités d’interprétation des xvii et xviiie siècles. Cette volonté s’est accompagnée d’un travail de recherche et de redécouverte des chefs d’œuvres baroques oubliés ou méconnus. l’EBN se produit sur les plus grandes scènes internationales... et à Bonson, un peu.« venise » Antonio vivaldi (1678-1741), tomaso Albinoni (1671-1751), Pietro Antonio locatelli (1695-1764)CONCErt OrGANiSé DANS lE CADrE DES EStivAlES Du CONSEil GéNérAl DES AlPES-mAritimES

20h Place du Festin

Clôture du festival du peurepas de rue Chacun apporte de quoi manger pour un repas partagé en plein air ! ConCert Country potes De l’irlande à la louisiane, de la ballade celtique au ragtime, des mélopées californiennes aux confins du rock, du «old-time» acoustique à l’humour caustique, les Country Potes, trient les plus belles mélodies traditionnelles et country, les tripotent dans tous les sens et vous transportent dans leur univers endiablé plein de spirales de brumes celtiques : une musique à écouter pour sa beauté mélodique et à danser entre les plats. un grand partage orchestré par un parrain de cette édition : Dominique landucci. Country Potes, c’est Philippe tallis (violon), Dominique landucci (violon, mandoline, accordéon), Pierre Drouin (guitare, harmonica et chant), laurent Drouin (basse, guitare, harmonica et chant), martine kessler (flûtes, chant, bodhran, percussions), Eric Pascual (batterie).

© sean Geraghty

ensemble baroque de nice© roch armando

Cie en faim de Contes

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L'EX

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N 20

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ITIO

N L’histoire continue...par frédérik brandi, commissaire d’exposition

Si dans l’imaginaire collectif le numéro dix évoque plus spontanément les exploits foot-ballistiques des grands milieux de terrain que la création artistique en général et l’art contemporain en particulier, il va peut-être falloir envisager de changer les habitudes, au moins le temps d’une exposition et d’un événement au cœur de la vallée de l’Es-téron. En effet, le modeste et génial festival du Peu, créé à Bonson en 2003, connaît cette année sa dixième édition, voilà qui — en toute modestie — vaut bien une coupe du monde ! Pour honorer la charge symbolique toute ronde de ce numéro dix, le comité d’organisation du festival a choisi de regarder vers l’avenir en se penchant amicalement sur son jeune et riche passé. une acrobatie qui n’en est pas une dans la mesure où ce passé, construit au travers des œuvres d’innombrables artistes, n’est pas un élément de nostalgie mais un vecteur d’utopie.

voici comment les choses se présentent : en toute subjectivité, le comité a sélectionné une douzaine de personnalités ayant déjà participé au Peu entre 2003 et 2011, à charge pour chacun d’entre eux de «parrainer» un ou plusieurs artistes n’ayant pas encore connu les joies du festival. Pour une telle édition — étape, charnière, palier… — cette mission aussi délicate que généreuse doit aussi aboutir, au-delà du simple pas-sage de flambeau ou de l’hommage sincère d’artistes à leurs confrères, à décloisonner un milieu trop souvent balisé par ses tribus, ses familles, ses chapelles. rien de tout cela à Bonson en 2012 mais un grand vent frais — spécialité locale — pour chanter les mérites de l’ouverture et de la diversité. Ouverture géographique, les artistes locaux vont croiser des étoiles du nord, des échos d’orient ou du sud de la méditerranée dans un savoureux mélange d’influences. Diversité stylistique, l’art éphémère de la performance va glisser sur la pérennité des volumes, se refléter dans l’étendue lisse des tableaux et des photographies. De l’intimité d’une réalisation à taille d’insecte jusqu’à la monumentalité de sculptures à dimensions urbaines, rien ne se fige, le point de vue varie sans cesse, et il en va de même avec les thématiques, les générations, la noto-riété. Au visiteur comme au critique on peut donc adresser cette mise en garde : «toi qui entres ici, abandonne tout préjugé !». C’est en déchirant les certificats de bonne conduite que l’enfer du «milieu» peut redevenir un laboratoire porteur de vie et de partage, dans lequel l’artiste a pour fonction principale de ne pas céder au désespoir et de trouver un antidote au vide de l’existence.

Dans la joie des matières et des supports, le langage des formes et des couleurs, l’élo-ge respectueux de l’académisme ou l’exaltation de la fonction sociale volcanique de l’avant-garde, c’est à un parcours de surprises successives et de rencontres inattendues voire d’apparentements terribles auquel invite ce dixième festival du Peu, en atten-dant déjà la suite.




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Diplômé des Beaux-arts de Sète, de toulouse, et de l’école Supérieure d’Arts décoratifs de Nice, Patrick Boccarossa est peintre, graveur et céramiste. il expose depuis 1978 en France ainsi qu’en Allemagne, Angleterre, Norvège, Suède, uSA (San Francisco, New York), Japon, italie, etc. Présent à la Galerie Jas de la rimade depuis 1990, il a réalisé une fresque en céramique pour vivendi et de nombreuses performances en France et à l’étranger. Son œuvre fait de lui un digne héritier des expressionnistes. Nouveau fauve dans l’âme, il est le peintre de l’énergie et des passions. Geste large, couleurs vives, il n’y a pas de provocation dans ses toiles exubérantes mais la générosité et la puissance d’un créateur qui a un appétit gargantuesque de sensations… un caractère qui le conduit aujourd’hui à s’intéresser plus particulièrement au personnage de saint Sébastien.

saint sébastien 2012variation sur un thème - Acrylique sur toile

iNvité PAr

dominique landuCCi

PatrickBOCCAROSSA

Né en Allemagne en 1954vit et travaille à vallauris




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«Sculpteur-végétaliste, je vis maintenant au milieu des oliviers, abordant une nouvelle étape de ma recherche pour créer un art vivant, au sens le plus prosaïque qui soit. Certes, mes installations ne vont pas produire de l’huile, mais j’ose espérer que la valeur symbolique que je tente d’y mettre sera une invitation à mieux sentir l’instant présent.»Boniface ne se définit pas et peut-être que ce n’est pas là l’important. On aurait tendance, et les tendances sont toujours périlleuses lorsqu’elles enferment les artistes sous un label, à le qualifier de sculpteur. mais pour du gazon en plaque, oui de la pelouse, ça fait bizarre.Après avoir laissé tomber l’enseignement des arts plastiques, le temps de la réflexion et du voyage intérieur s’est installé. Période peinture dans les années 80. Période calligraphie. Période écriture. mais pas trop longtemps. le temps de la réflexion, de l’éclosion d’un authentique bour-geon. Boniface n’a jamais été pressé. il ne tombera pas dans le piège des installations, tout en concentrant son champ d’ action sur le fil du rasoir, entre éphémère et éternité.l’éphémère, c’est le temps de vie de l’herbe dans l’oeuvre que l’artiste voudrait maîtriser. On songe au Créateur. il dit que la pièce verte peut attendre plusieurs mois avant d’ adopter le jaune paille. C’est bien toute une attitude qui s’élabore, consolidée par un travail esthétique, harmonieux comme l’anneau de moebius ou le hiatus monumental du musée d’art moderne de Nice. herbe, métal, plastique et surtout, ne pas l’oublier : l’eau. Pour arroser. travail en vie, sous perfusion. le goutte-à-goutte, il y a pensé et, en pratique, cela fonctionne. quand on aime, on ne compte pas... Arroser. Ne pas oublier la dune verte, les lèvres pulpeuses et goulues, le Stratus pour s’engouffrer dans les abysses utérines, le soutien-gorge sous le rideau d’une douche dans le jardin. Sensation de volupté. SOPhiE BrAGANti

la Conversationmétal, végétal, système solaire, hauteur 250 cm, Décembre 2011

LucBONIFACE

bonifartistapart.blogspot.comAtelier

1553, route de la redoute06510 le Broc

Né le 15 juillet 1958 à Nicevit et travaille à le Broc

iNvité PAr

olivier roCHe




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Eva Braend est une photographe professionnelle qui travaille dans un cadre commercial depuis 25 ans. la plupart de ses projets photographiques tournent autour de la présentation de nourriture, des intérieurs et des gens. On peut voir ses photographies dans des publicités, des magazines, des plaquettes et des livres.Plus récemment, Eva Braend a entamé une démarche photographique artistique en utilisant un style radicalement différent de son travail commercial.

open doorsPhotographie sur papier, 70x100 cm

iNvitéE PAr

Kim bouluKos

EvaBRAEND

[email protected]

Née le 4 juillet 1961 en Norvège.vit et travaille à Oslo




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iNvité PAr

Claude GiorGi

Jean-JacquesCOUDERC

Atelier156, avenue henri Dunant

06100 Nice

Né en 1950 à Nicevit et travaille à Nice

Expositions depuis 2004 à Gilette, vence, Saint-Paul-de-vence, Nice...

C’est par le biais de la percussion africaine, qui m’a permis de côtoyer le musicien et sculpteur Séni Camara, que le goût de la sculpture m’est apparu. D’abord, il m’initie au travail et à la taille du bois, puis très vite l’intérêt pour la danse et le mouvement m’amène à me diriger vers le modelage et la technique de la cire perdue qui laisse une plus grande liberté. C’est à l’occasion d’un séjour en Afrique, où j’ai travaillé quelques mois aux côtés d’un fondeur, que s’affirme nettement la direction de ma démarche, orientée sur le mouvement en ne retenant que l’essentiel. J-J. C.

l’encercléeSculpture, diamètre 60 cm




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le fil directeur de l’œuvre de Gérard Eli est la préservation des matériaux que la nature met à la disposition de l’homme. Sa conduite, préexistante à tout travail de création, est de ne rien jeter, ne rien gaspiller, tout utiliser. En aucun cas il ne met en avant un processus de récupération mais un processus d’utilisation exhaustive des matériaux. Sa démarche n’est pas récupération. Sa démarche est utilisation.Ses œuvres sont composées d’éléments naturels (bois, sciure, copeaux, pigments, terre, etc.) et s’enrichissent d’objets de la technologie industrielle (métal, verre, céramiques, pièces de voitures, pièces de moto, etc.) détournés de leur usage. l’ensemble de son travail relève de la forme, du graphisme et de l’écriture.Son approche toute particulière et singulière de la faïence émaillée nous déroute. Ses céramiques évoquent des partitions musicales, des manuscrits antiques qui rendent hommage à l’architecture et à la nature. DANiEllE SANtiNi, mArS 2012

poC 183Faience blanche fine émaillée, dessin à la plume, hauteur 29 cm

iNvité PAr

Gilbert pedinielli

Gerard ELI

Collectif stArt06et Galerie Actuel

Né en 1953vit et travaille à Nice

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iNvité PAr

jean mas

GabrielFABRE

gabriel.fabre.free.fr06 60 14 94 14

Né à tokyo en 1967vit et travaille à Cagnes-sur-mer

lit de rivièreinstallation, la Brague, été 2006

De la photographie aux signes et de l’Art in situ aux mots, Gabriel Fabre a tissé un espace de renouvellements poétiques à médiums variables : verre, papier, métal, galets, bois, feuilles et stylos… Oulipien dilettante, entre histoires et intuition il scrute le langage comme trame même du réel. il a publié des textes dans les Cahiers leiris. Au détour des paradoxes, c’est avec un esprit de jeu qu’il quête sa cohérence.




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iNvité PAr

olivier roCHe

DenisGIBELIN

[email protected]


escapeBois (pin Douglas), coquilles d’escargot en résine

220 x 110 x 110 cm - Stockholm (Suède), 2010

la prise de vue photographique a entraîné le regard, l’œil à travers l’objectif suggère des formes, permet de voir et de mettre en vedette des sujets-matière. Alliance de la photographie et de la peinture à travers des montages, puis passage progressif du papier collé à la toile, à la toile de jute marouflée. Des collages en aplats comme une approche de la mémoire. la matière travaillée à l’origine, la terre tournée, modelée, émaillée notamment en Afrique. De retour en Europe, le bois, le béton, le métal et la pierre ont pris le relais, ces matériaux récupérés, parfois exhumés puis assemblés sont des «mises à jour». Chaque élément de la pièce a son histoire, chaque pièce a une entité propre et l’ensemble de la composition peut se concevoir comme un récit. Depuis 2003 la découverte d’un site insolite, la voie déferrée de Cap d’Ail, a permis d’ancrer les éléments récupérés, notamment le ballast, dans l’histoire d’une construction humaine et de prolonger le récit dans l’imaginaire. la marche devient alors un élément essentiel dans la création, et en découle la notion de territoire, de limite, de frontière, de liberté.

Après plusieurs années d’exposition personnelle, le désir de travailler en commun, la nécessité de se confronter tant à l’environnement qu’aux idées des autres, a donné naissance à no-made. la rencontre avec michèle ramin, présidente de l’Arboretum de roure et Frédéric Falsetti, artiste et habitant de Clans, a ouvert l’espace de no-made à l’ensemble du département et à des artistes venus d’horizon et de culture différents. Chaque année une thématique est proposée et chaque intervenant en donne son interprétation en toute liberté.




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jean mas

AlainGIRELLI

alain.girelli.pagesperso-orange.fr

Né à Draguignan en 1948vit et travaille en Pays de Fayence

ecriture plein et délié dans l’espaceSculpture originale acier corten

h 400 cm, poids 250 kg

le déclic artistique d’Alain Girelli est «beau comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d’une machine à coudre et d’un parapluie.» (isidor Ducasse alias comte de lautréamont) ou bien «il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous.» (Paul éluard). Alain Girelli a travaillé avec et pour max Ernst et Dorothea tanning dans l’atelier de Seillans. Première exposition à Paris à la Galerie lucie Weill dès 1977. le critique Jean-Paul Crespelle présente Alain Girelli à César. Depuis 1989, Alain Girelli transmute ses petites sculptures-écritures bois en monumentales en acier. Pour son premier happening-performance dans l’école de Callian, il invite l’artiste performeur Pierre Pinoncelli à participer. l’artiste Jean mas synthétisant l’esprit de l’école de Nice l’invite au Festival du Peu de Bonson 2012…

Alain Girelli ou la captation des forces chtoniennesla matière bois donne la forme, l’artiste l’organise en exprimant un développement qui dans une esthétique fait pendant à l’objet (chaise, trône, table…).Par ces diverses imbrications, le point d’articulation nature/culture se trouve par l’œuvre marqué : c’est là que se situe Alain Girelli. En effet, l’enracinement de l’artiste est en relation directe avec ses

collectes de racines d’arbres récupérées après un incendie de forêt.Cette extraction, ce déracinement traduit une captation des forces chtoniennes qui expriment et incarnent dans et par les racines tortueuses, un monde souterrain, insaisissable (inconscient). Partie à jamais non dite que l’artiste exhume pour l’élever à l’entendement d’un ordre culturel : ainsi, l’esprit des Surréalistes, des Nouveaux réalistes et autres se retrouve-t-il intriqué dans ces assemblages de sculptures.le nœud nature/culture module l’expression de l’artiste qui par les tourments d’un bois épousant les contours d’objets, crée et propose une forme, affirmant ainsi - par son caractère sculptural — la prédominance de l’intervention humaine par un savoir faire qui confère au travail le statut d’œuvre d’art. le basculement de la nature dans le domaine culturel est le point ultime de la raison humaine.S’il n’y a pas d’art dans la nature, l’artiste nous convie ici, par la nature de son art, à nous glisser dans les méandres qui induisent notre esprit à considérer la comptine Promenons-nous dans le bois…, comme faisant écho à une ballade qui, écartant le danger d’a priorisme, nous étonne par de nouvelles pousses et greffes qui composent la forêt de Girelli, son bois ! JEAN mAS




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nicolas lavarenne

LaureMATHIEU

lauremathieu.over-blog.comGalerie

Galerie maud Barral16 quai des Docks

06300 Nice

vit et travaille à Nice

bobisangEncre de chine et acrylique sur papier marouflé, châssis bois

120x80 cm - 2012

De la tapisserie haute et basse lisse, en passant par la gravure, de Nantes à Nice, de maître-lissier en maître-graveur, laure dévide sa «Bobine». Des commandes publiques la font connaître dans le milieu de l’art textile, dont une pour la ville de Nice. Depuis quelques années, elle anime les ateliers pédagogiques d’arts plastiques pour enfants et adultes au musée matisse et se consacre à ses recherches et créations.la mémoire d’un objet familier, manipulé, roulé, bobiné, classé pendant des années revient. Chapitre après chapitre, les «Bobigraphies» s’écrivent. Elles tournent, roulent, s’enroulent, se nouent, faussement figées, alignées les unes à côté des autres, comme un immense nuancier. le fil se grave sur lino sur zinc, se coud dans le papier. Souvent rouge en soie, entre les lignes et les mots.




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martin Caminiti

Marie-EveMESTRE

[email protected]

Née à marseille en 1967vit et travaille à Cap d’Ail City

Honey republicAbeille momifiée, poudre d’or

2x2 cm env. - 2010

Photo d’atelier - mEm

«la montée de l’insignifiance» - le neutron de la farce – li-gne d’or – Eau de goule - Chez les Achantis du Ghana, des démons à l’épiderme phosphorescent se jetaient du haut des arbres sur les noctambules – les jardins de tantales qui sont et ne sont pas ? – massue chimique – Picrique acide & silver nitrite – Forces dissolvan-tes et forces conjonctives – Sunday morning killed few coquelicots – tank à rire tiens trois doigts – tourne la broche et casse le bois – «Stupéfier les oiseaux narcotiser les loups» - Avant les névés sucer une dernière stalactite – Fluffy stuff oreilles confites au miel de belladone – Potage de quartz – mégots de golem – Esprit de lame solution oculaire – Flakes hunter – logorrhée fantastique – Bannière de bave déployable – Section d’assaut olfactif - Apoca-lice – Yaka 47 – hébétude paradise – rupture des cieux cabriolet boréal – traité de lave – Conte manifeste – Black palms – « let’s get real » - huile de chien – Cure d’éboulis – Napalm spring – Cus-tomisation génétique – Baby designer – musc manifesto – hyper sens – Oreille absolue & électronique nose - Psychopharma-cologie de l’humeur et des performances – Alicaments – my own private cyborg «… serait –il en train d’essayer d’attraper entre ses deux fesses une cacahuète fixée au bras d’un métronome ?» - Sécréter du désastre – Broyer du rose - Opérations spagiriques

– labyrinthe olfactif – Suck my gloves – Garden hall – Fleurs de motus – Perfusion de rosée – Des créatures antérieures au lan-gage : les non nommées – mer hermétique – Cabale phonétique – Postillon de crotale – Ancolie – Aussi invisible qu’une vitre – Puissances jubilatoires – mémoire en gel – Fluides, essences, bau-mes, effluves, gaz, nébulisations, émulsions, extraits, vapeurs – Space garden, agronaute et galactophile – Phenobarb – Comment li-quéfier un trait de foudre – Sudation au bois d’if – Semer : mettre quelque chose dans l’obscurité – Welcome crual world – laquais des songes – Dazzling morbido & phosphophasme – tangage lacrymal – orgues de barbie – Pathos party – Standing ovula-tion – Blitzkrieg sur la paix de l’esprit – Choppe de résistance –Carthilèges addict – Bienvenue dans la masse – le sabre et le goupillon – marchandises conflictuelles – Flower sniper – Supers-tition technique – Néo conscience – vitalité opportuniste – temps invertébré – Abdication du jugement – le talon de fer – voué à la volatilisation – Atomisation sociale – espaces confisqués – fétiche insaisissable – Greffon de griffon …

ExtrAitS DE CitAtiONS : D’APrèS CAStOriADiS / FulCANElli, lE mYStèrE DES CAthéDrAlES / rAYmOND lullE / ElviS / t. SturGEON, véNuS PluS x / GiOrDANO BruNO, DE lA mAGiE / BASilE vAlENtiN / A. ShAFtON / PiO rOSSi / G.k. ChEStErtON / CiOrAN




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nicolas lavarenne

[email protected]

Né en 1963vit et travaille à Paris

passerellematériaux composites

h 500 cm - Création en 200

Colombien d’origine, établi en France, milthon est sculpteur sur bronze. Par des commandes publiques ou au sein de collections privées, la renommée de l’artiste a conquis une dimension internationale. Ses œuvres se caractérisent par leur monumentalité, leur élégance, ainsi que les attitudes et les complicités qui en naissent.




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martin Caminiti

GillesMIQUELIS

Né à Nice en 1976vit et travaille à Nice

la Grande evasionhuile sur calque

200x150 cm - 2011

Expositions en galeries depuis 2004 à Nice, Clermont-Ferrand, Arcueil, Paris, monaco, la Seyne sur mer, mougins, londres, ou dans le cadre de manifestations institutionnelles : union méditerranéenne pour l’Art moderne (2007), l’Art Contemporain et la Côte d’Azur (2011), Chantier Sang Neuf (2012), etc.

«(…) De grands formats sur calque à de plus petits dessins, Gilles miquelis croque avec ironie les figures de nos contemporains et observe l’incongru de notre quotidien. le tragique comique prend le pas sur la banalité et donne à voir ce que le peintre nomme avec justesse les accidents de la normalité (…).» ExtrAit D’uN tExtE DE JACquES hENriC, ArtPrESS




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dominique landuCCi

MarcPIANO

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Atelier37 avenue de Cannes

06220 vallauris

Né à Cannes en 1964vit et travaille à vallauris

Céramique - vallauris, 2011

marc Piano, par la vision imaginative qui le possède et que l’on peut déceler par un simple regard porté sur la moindre parcelle de terre cuite, rend compte d’un monde où tous les archaïsmes représentés sont le privilège de l’invention. ils s’entrecroisent dans ses constellations miraillées, ses colosses campés comme des dieux puisés de mythologies soudaines. leurs chairs de mutants, épuisées par la matière d’une terre de chamotte pigmentée au manganèse, souffrent d’une cuisson menée à bout de souffle. tous, alignés comme des ancêtres, bordent nos rêves d’aventures, au fond des passages où se rencontrent des esprits aux idées tribales. réinventés par la terre, l’eau et le feu, ces peuples inouïs respirent séparément le silence, comme les peuples qui observent dans l’obscurité de la nuit, autour d’un feu, l’avenir qu’ils dessinent sur le pourtour des étoiles. FréDériC BAllEStEr, DirECtEur Du CENtrE D’Art lA mAlmAiSON, CANNES

… une extrÊmevolontÉ,et vivre

dans le mondeintÉrieur…

mArC PiANO




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laurent bosio

ChristineREMY

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vit et travaille à Nice

danse profaneSculpture bronze - h 160 cm

Photo © Elisabeth rossolin

Artiste sculpteur, elle a suivi ses études universitaires d’arts plastiques à Aix-en-Provence puis aux Beaux-arts de Paris. Sa sculpture est essentiellement consacrée à la représentation du corps humain. À travers les matériaux terre et Bronze elle crée un univers féminin d’une grande déli-catesse. Dentelles et drapés, douceur des visages, s’harmonisent avec une magie des textures et des patines. Son travail est représenté par de nombreuses galeries en France et à l’étranger.




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nicolas lavarenne

SAKSarah Abdallah Khodja

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Atelier19, rue Fontaine de la ville

06300 Nice

Née en 1969 en Algérievit et travaille à Nice

Sculpture bronze patiné, technique de la cire perdue

«mon travail a commencé en sculptant un monde onirique un peu baroque, toujours en lien avec l’anatomie du corps humain (avec certainement une influence des peintures moyenâgeu-ses et de leurs atmosphères). l’homme reste, aujourd’hui encore, au centre de toutes mes créa-tions. J’ai envie de comprendre ses complexités, à la fois mentales et physiques et de les exprimer à travers une approche plus abstraite et subjective.

Dans un premier temps, je réalise une sculpture plus ou moins académique, et c’est de la trans-formation de cette pièce - par son écrasement, son étirement, ses manques ou excès de matière que naîtra une nouvelle sculpture : la déstructuration de l’objet fera alors sa re-naissance. la conception initiale de la pièce classique demande une certaine rigueur, que je souhaite libérer dans un deuxième temps par la gestuelle et la spontanéité du mouvement, tout en tenant compte du hasard comme acteur principal de la pièce. une sculpture en bronze nécessite une copie en cire et c’est cette cire que je transforme et avec laquelle je joue : la réaction de la cha-leur ou de l’eau sont des intervenants directs de ces nouvelles créations. mes sculptures exigent du temps : un luxe !»




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paul et monika Wollenberg

EizoSAKATA

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Atelier43, rue Cantagrel

75013 Paris

Né à toyohashi (Japon)vit et travaille à Paris

tableau de pluie - paris le 4 mars 2012 à 17h05Peinture acrylique et photo satellite

30x40 cm - 2012

Après avoir quitté le travail d’ingénieur (formation initiale en mathématiques appliquées), il arrive à Paris en 1983. Ayant retrouvé sa vraie passion qui remonte à son enfance, il s’engage sérieusement dans la recherche artistique depuis 1986.Sa création touche de multiples domaines (peinture, land Art, performance…), l’un de ses projets, Baisers Sans Frontières, a été récompensé par la Fondation de miro à majorca (Espagne) en 1998. il expose ses travaux en Europe, au Japon et ailleurs. En 2004, il a participé au programme d’échange organisé par la Fondation Blachère, puis il a fait partie du jury du Prix unesco pour l’art contemporain africain.Dans toutes ses créations, il privilégie un rapport intime avec l’environnement, ce sont souvent une sorte d’improvisation avec le temps et l’espace.




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laurent bosio

Annick SAMAUROW

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Atelier8, Place de la poissonnerie

06130 Grasse

Née à Nicevit et travaille à Grasse

elleSculpture grès peint

h 250 cm

Peinture, dessins, sculptures. Formation à Nice, villa thiole et villa Arson. Expositions personnelles et collectives en France, Angleterre, Suisse, Suède, Allemagne. Création d’événements multi sensoriels et interactifs.ma démarche en sculpture. À ceux qui détournent les yeux face à ce qu’ils jugent horrible ou obsolète, on pourrait rétorquer que l’œuvre naît de l’absolue nécessité à dévoiler ce qui est ca-ché. les Eoliens ne sont pas dans l’attendu qui dévie et dévoie. ils ne sont en réalité qu’un brin de nature : la nôtre, car seule l’expérience qui laisse des traces au corps et l’âme aspire à s’exposer. l’Artiste dépose une image et en modifie la forme jusqu’à ce que l’homme la saisisse. Sans le vouloir, il devient l’interprète quelque fois gênant des secrets de l’âme de son temps. toxico du paradoxe, il est confronté à une réalité qui le dépasse. Pas de hiérarchie, pas de structure, c’est sa liberté d’expression qui l’oblige et il est son obligé.




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ConstructionsAcier, marbre de Carrare

Dimensions variables - 2011

Photographie © Julie liger

«les installations de Justin Sanchez sont caractérisées par quelques constantes formelles et thématiques qui en constituent les mutiques obsessions. la couleur noire vient souvent y contrecarrer une apparente naïveté. réciproquement, le désenchantement est volontiers tempéré par des accès d’optimisme. C’est encore, sur le plan sentimental (qui joue un rôle discret mais important chez Justin Sanchez) l’association d’une amertume tenace et d’enthousiasmes constants. En ce terrain tendu par la contradiction se croisent les fantômes et les gris-gris mais aussi, plus trivialement, le quotidien, le rebut, formant d’autres genres de fantasmagories.» CéDriC SChöNWAlD

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martin Caminiti

JustinSANCHEZ

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Atelier22 bis avenue Denis Séméria

06300 Nice





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Claude GiorGi

Christine STEPHANOFF

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Née au maroc en 1959vit et travaille dans le var

mon amour je t’ai décroché la luneBronze pièce unique

h 163 cm

Après des études artistiques aux Arts Décoratifs de Paris, un séjour canadien est le facteur déclencheur de sa production picturale. Ses créations s’exposent sur un parcours allant de Paris en passant par l’Allemagne, la Côte d’Azur, les Etats-unis et monaco. À travers les postures déformées, issues des ombres portées, l’artiste retrouve une écriture libre où elle met de côté la représentation classique. Elle entraîne dans son imaginaire le spectateur qui va devoir se réap-proprier le contenu de ses tableaux de vie.la prise de conscience d’un nouvel être en devenir, dans sa construction de tous les jours, qui fait découvrir la réalité d’un enracinement, l’amène vers une élévation, l’étirant vers le haut et exagérant sa dualité. Son travail haut en couleurs dégage joie et profondeur à la fois. À travers l’humour c’est une philosophie qui se dégage amenant la question essentielle de la relation en-tre l’artiste et l’autre. Dans sa sculpture, l’artiste représente l’homme qui devient réceptacle de sa vie. il la porte et l’enrichit de ses découvertes et expériences qui lui permettront de gagner sa place. la sculpture représente cette contemplation face au mental qui s’efface pour laisser la place au voyage vertical en quête d’autres valeurs à travers la symbolique de l’arbre, de l’écorce qui est sagesse, marche immobile vers une union du bas vers le haut.




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marie pHilip

MicheleVINCENT

[email protected]

37 bd Joseph Garnier06000 Nice

Née en 1946 à lyonvit et travaille à Nice

barbieinstallation

Extrait d’un entretien avec Catherine Macchi (professeur à l’EMAP, critique d’art)Cm : tu es l’auteur d’un univers plastique très affirmé, qui est traversé par des images d’une grande intensité. On y retrouve des thèmes propres à la maternité et à l’enfance. Comment ce répertoire de formes très incisives et d’images symboliques vient-il dans ton travail ?mv : C’est variable. J’ai fait mes « Boules à clous » et ce qui est venu après, c’est le « Gant de boxe » ! une fois que la forme est identifiée, après, il n’y a plus rien d’autre que la technique qui compte. les formes ont toutes un lien entre elles : les œufs, les spermatozoïdes, les bébés, les gants etc. et avec mon histoire. mais, d’une manière générale, dans ma production, il est beaucoup question de vie et de mort. Cm : Au-delà de la violence de certaines images, ton travail semble nettement empreint d’une forme d’humour et d’ironie. Je pense notamment aux pièces récentes qui mettent à mal certains codes esthétiques diffusés à travers la poupée Barbie.mv : Emprisonner un bébé dans du fil barbelé, ensuite l’enfermer dans un œuf de manière définitive, c’est violent pour le regardeur. Pendant la réalisation, je n’ai pas la notion de violence ni de souffrance, plutôt une forme de dérision. C’est jouissif. Sans la distance de l’ironie et de l’humour, on crève. J’essaie de me détacher de mon histoire, de l’aborder de manière extérieure. il faut que cela respire. Avec Barbie, je joue…




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still life100x200 cm - 2010

Après ses études à l’Académie des Arts à la haye, leo Wesel a été influencé par deux artistes expressionnistes, le professeur Wil Bouthoorn et le professeur Wim Schutz. En 1993, il a quitté son pays natal afin de vivre et travailler à vintimille, italie. le peintre français, Serge hélénon, le peintre franco-italien Bernhard Damiano et puis l’artiste constructiviste hongrois tamas konok ont également influencé le travail artistique de leo Wesel.

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Kim bouluKos

LeoWESEL

[email protected]

Atelier22 avenue Colombo

06000 Nice

Né à roosendaal, Pays-Bas, en 1955vit et travaille à Nice




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LesBONSONNOIS

le Festival du Peu a pris son envol en 2003. Pendant une année entière, les Bonsonnois ont fait un peu de leur art, avec un Peu. l’objet en bois contreplaqué, inspiré du concept du Peu de Jean mas, membre de l’Ecole de Nice, a été distribué par la mairie à tous les habitants. Plus de 300 Peu ont été réalisés par les Bonsonnois. ils ont été exposés au musée d’Art moderne et d’Art Contemporain de Nice l’année suivante.

les Bonsonnois intéressés par l’art sont nombreux. Chaque année, le Festival du Peu permet à ceux qui le souhaitent d’être exposés pendant la quinzaine. Cette année, pour célébrer le 10e anniversaire du festival et pour donner une belle place à ces créateurs en herbe ou aguerris, trois jours d’exposition leur ont été dédiés, en amont du festival.

Anny Citerneschi, Pascal Claeren, Florence Curé, Gilberte et Pierre Dazia, Hervé Demongeot, Jean-Paul Grellet, Valérie Lhôte, Shirley Macé, Tony Meola, Jean-Christophe Montiel,

Jean-Marie Moreau, Dominique Roche, Danièle Tiberi, Monika et Paul Wollenberg

les peu des bonsonnois qu’ils ont créé depuis 2003 et qui furent exposés au mAmAC en 2004 (photo ci-dessous) sont désormais accrochés dans les couloirs du Presbytère, toute l’année. En 2010, la municipalité avait souhaité «relancer» cet appel à créer un Peu, en proposant aux habitants nouvellement arrivés de créer, eux aussi, un Peu de leur art.

Pierrot DAZIA, Dansons un Peu2009

Hervé DEMONGEOTDuckstones

2007

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Informations pratiquesdu 6 au 22 juillet 2012ATTENTION Changements d’horaire et de jours d’ouverture

Exposition ouverte du mardi au dimanche de 17h30 à 20h

Entrée libre

renseiGnementstél 04 93 08 58 39

[email protected]

www.festivaldupeu.org

facebook/unpeu.bonson

relations presseChristine PArASOtE

tél 06 12 70 60 18

[email protected]

SODICSCO montier

1ère communauté de l'art contemporain

Documents

DOSSIER DE PRESSE - Hautetfortdonneravoir.hautetfort.com/media/02/02/2236168948.pdfla quinzaine le goût des traditions festives et de la curiosité des Bonsonnois n’est un secret