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LE THÉÂTRE DE LA TOISON D’OR PRÉSENTE .IL N’Y A PAS DE SOT MÉTIER. TALK-SHOWS D’AVRIL AU TTO PARENTS EN RHÉTO ENSEIGNANT DÉJÀ SUR LE MARCHÉ DU TRAVAIL Vous ne savez pas dans quel domaine orienter votre enfant après ses secondaires ? Vous avez envie de changer de boulot ? Vous avez envie d'ouvrir vos élèves à différentes pistes d'orientation après leur scolarité ? Vous ne savez pas quoi faire l'année prochaine ?

Dossier de presse sot métier

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LE THÉÂTRE DE LA TOISON D’OR PRÉSENTE

.IL N’Y A PAS DE SOT MÉTIER.

TALK-SHOWS D’AVRIL AU TTO

PARENTS

EN RHÉTO

ENSEIGNANT

DÉJÀ SUR LE MARCHÉ DU TRAVAIL

Vous ne savez pas dans quel domaine orienter votre enfant après ses secondaires ?

Vous avez envie de changer de boulot ?

Vous avez envie d'ouvrir vos élèves à différentes pistes d'orientation après leur scolarité ?

Vous ne savez pas quoi faire l'année prochaine ?

LE PRINCIPE Nathalie Uffner organise des talk shows pour l’aider dans le choix des études de ses fils qui sont, évidemment, les plus beaux, les plus intelligents et les plus formidables. Elle invite donc des professionnels afin qu’ils parlent de leur métier avec humour et conviction pour tenter de la convaincre que ses fils devraient faire leur métier et aucun autre. Nathalie leur posera donc des questions et les interrogera sur leurs parcours, leurs études, les hauts et les bas de leur métier respectif. Un principe lancé avec succès l’année dernière : réunir sur la scène du TTO des gens très drôles qui vont parler de leur métier qui ne l’est pas forcément. Une excellente occasion pour les jeunes gens et les jeunes filles fraîchement sortis de l’école de se faire une idée amusante de leur avenir. Bien entendu, la sélection des intervenants est impitoyable, afin de créer un mélange de personnalités surprenant et explosif. Chaque soirée aura son thème, dépendant directement des ambitions que les mamans peuvent avoir pour leur petit.

LES TALK-SHOWS

� 22/04 : Tu seras psy mon fils : un psychologue, un psychiatre, un

psychanalyste, un pédopsychiatre…

� 23/04 : Tu feras de la recherche mon fils : un chercheur

scientifique, un chercheur dans le domaine de la santé, un archéologue, un artiste…

� 24/04 : Tu travailleras mon fils, …

� 25/04 : Tu feras de la politique mon fils : un ministre, un

bourgmestre, un échevin, un président de parti…

� 26/04 : Tu seras dans le showbiz mon fils : un chanteur, un

producteur, une attachée de presse,…

LES DÉTAILS PRATIQUES LIEU : Théâtre de la Toison d’Or – Galeries de la Toison d’Or 396 à 1050 Ixelles TARIFS : Adultes 16 euros | Etudiants 8 euros INFOS ET RÉSERVATIONS : www.ttotheatre.be | [email protected] | 02/510.0.510

LA PRESSE EN PARLE Quel métier choisir ? Eclairage de Solange Berger Mis en ligne le 07/10/2012 “Il n’y a pas de sot métier”, tel est le thème d’un cycle de conférences organisé par le TTO. Rencontre avec les protagonistes. Tu seras médecin, avocat, banquier, mon fils !" Les ambitions des parents pour leur progéniture n’ont parfois pas de limite. Mais tous les métiers ne peuvent-ils pas être intéressants ? Pour la première fois, le Théâtre de la Toison d’Or (TTO) à Bruxelles s’est penché sur ce thème en proposant au public, non pas des pièces de théâtre, mais des conférences autour du thème : " Il n’y a pas de sot métier" . Tout de même en gardant son trait caractéristique : l’humour ! Pour les cinq conférences, le schéma sera identique. " La directrice du théâtre commencera par un petit speech de début mimant la maman qui explique ce qu’elle veut pour son fils, raconte Joy Jouret, attaché de presse du TTO. La parole est ensuite donnée aux protagonistes. Il n’y a pas de scénario écrit. Les gens ne sont pas acteurs, mais ils sont là pour partager leur expérience. " Le critère de sélection des intervenants ? " Nous avons choisi des

gens qui sont drôles mais dont le métier ne l’est pas forcément. Ce sont à chaque fois des personnes extraverties, à l’aise sur scène et qui sont amusantes naturellement. Ils vont nous éclairer en présentant leur métier et leurs études avec des anecdotes et des expériences professionnelles qui vont nous faire découvrir leur activité d’un œil nouveau et rieur. " Chaque soirée aura un thème qui dépendra " directement des ambitions que les mamans

peuvent avoir pour leurs petits ". Ainsi, nous aurons le thème : " Tu feras l’université mon fils !", avec un avocat, un médecin, un historien, un ingénieur, Autre thématique : " Tu feras un métier overbranché mon fils !", comme un styliste, un relooker, une mannequin, un photographe, Troisième sujet : " Tu seras docteur mon fils !", où feront part de leur expérience un anesthésiste, un chirurgien, un médecin légiste, "Tu étudieras d’abord, tu seras artiste après mon fils !", fera l’objet de la quatrième conférence, avec un ancien solvayman devenu humoriste, un ancien juriste devenu cuisinier, un forain devenu comédien, Enfin, dernière thématique : "Tu travailleras dans les médias, mon fils !", avec un journaliste, un présentateur télé, un directeur de chaîne. L’idée est de rassembler les gens autour d’un métier qui n’est pas toujours connu. " Les

étudiants notamment qui pourraient être intéressés par telle ou telle profession" , précise Joy Jouret. Pour cette première, le TTO a choisi des métiers assez attractifs. " On teste si cela fonctionne. Et si c’est le cas, on pourrait envisager un cycle avec des métiers moins valorisés. "

TÉMOIGNAGES DE LA SAISON PASSÉE

Médecin: Le côté humain David Lipski est chirurgien à Cavell et à Saint-Pierre à Bruxelles. Sa vocation, il ne l’a pas eue tout de suite. "J’avais commencé des études d’ingénieur commercial, parce que tous mes amis faisaient cela", raconte-t-il. C’est le film "M.A.S.H." qui lui a donné l’envie de devenir médecin. "J’ai aimé ce mélange d’autodérision et de professionnalisme, l’idée de ne pas se prendre au sérieux, même si on fait quelque chose de sérieux." Le côté humain du métier l’a séduit. "L’idée d’être utile également. Le fait de devoir trouver rapidement la meilleure solution est un beau challenge. J’ai tendance à être hyperkinétique, et c’est un métier qui me cadre. Quand j’opère, je ne pense à rien d’autre." Journaliste: "J’apprends tous les jours" Présentatrice du JT de RTL-TVI, Hakima Darhmouch se voyait au départ plutôt travailler dans les relations publiques et l’événementiel. Ces études, elle les fait à l’institut supérieur de formation sociale et de communication. "Je ne voulais pas aller à l’unif, car j’étais réservée et avais peur de l’immensité des auditoires. J’ai vraiment trouvé mon bonheur dans cette école." Dans le cadre de ses études, elle a l’occasion de faire un stage à Radio Nostalgie. "J’ai eu un vrai coup de cœur. Je me suis dit ‘voilà, c’est cela que je veux faire’." Encore étudiante, elle envoie une cassette à RTL. "Ils m’ont accueillie pendant 4 mois comme stagiaire." Pour l’engager par après. "Je ne regrette pas mon choix. Le métier est passionnant,

car en perpétuelle évolution. On n’en a jamais fait le tour. Chaque jour est aussi différent." Mode: "Il faut se réinventer" Professeur, chroniqueur, styliste freelance, Didier Vervaeren est actif dans la mode depuis un peu plus de 20 ans. Il a même été directeur artistique chez Delvaux. Le monde de la mode l’a toujours attiré. Son côté créatif notamment. "C’est magique : on met des idées sur papier qui deviennent concrètes, des créations portées par les gens", explique Didier Vervaeren. "Deux fois par an, il faut se réinventer, se remettre en question. On fait aussi beaucoup de rencontres, car présenter une collection implique de travailler avec des gens de différents

horizons. Le créateur est un peu comme un chef d’orchestre." Avocat: Défendre des causes Une passion pour les mots et l’envie de défendre des causes sont à la base du choix qu’a fait Nathalie Penning de se lancer dans des études de droit à l’ULB. Un choix qu’elle ne regrette pas après 22 ans de métier. "J’ai commencé par travailler dans un cabinet international. Mais cela ne me convenait pas en fait. J’avais vraiment besoin de plaider", explique l’avocate qui s’oriente alors plus vers le droit civil. Avec des contacts plus humains et directs. "On ne vous y prépare pas pendant les études. Les gens viennent vous voir quand cela ne va pas, pour des

problèmes de garde d’enfants ou de voisinage, par exemple. C’est un peu comme chez le médecin. Ils vident leur sac. On entre dans leur intimité, même si on ne le souhaite pas. Ce n’est pas toujours facile, mais la nature humaine est fascinante." Artiste: Rester indépendant Le parcours d’Alex Vizorek n’est pas le plus classique ni le plus court. Ses diplômes de Solvay et de journalisme en poche, il part à Paris pour faire des études de théâtre. "J’ai toujours aimé cela, mais à 18 ans je n’avais pas vraiment le courage de partir seul à Paris. Et puis, j’aimais bien l’idée d’étudier et d’aller à l’université !". En France, il a la chance de jouer dans des scènes ouvertes : "On joue 10 minutes, et on n’est pas payé, mais le public est là !" Et comme il voit qu’il arrive à faire rire les gens et que cela lui plaît, Alex Vizorek crée, en 2009, son premier spectacle qu’il joue toujours et qui a évolué. Il fait aussi des chroniques à la radio en Belgique et en France, rédige des articles et démarre une nouvelle émission télé. Il vit de son métier. "Mais je travaille beaucoup !"