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DOSSIER ENSEIGNANT · guerre de Dix Ans la ville est assiégée par les troupes françaises du Duc d’Angoulême qui mit le feu au château, à la ville et au clocher). Période

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Sommaire

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> Informations pratiques

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DOSSIER ENSEIGNANT

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Scénario et plan de l'exposition

A la demande du Conseil général de la Haute-Saône, des fouilles archéologiques ont été entreprises au mois de janvier 2010 par l'Institut national de recherches archéologiques préventives. Ces fouilles, menées derrière le château de Champlitte, avaient pour objectif de mettre à jour un bassin mentionné sur un plan daté de la fin du 18ème siècle. Ce bassin, qui semble finalement avoir été un projet initié par le marquis de Toulongeon, propriétaire du château à cette époque, n'a jamais été réalisé. Cependant, lors de ces recherches, ont été mises au jour les fondations des remparts du château médiéval, ce qui constitue une découverte intéressante puisqu'il n'existait jusqu'alors aucune trace de l'ancien château.

Salon 1

Le parcours muséographique, organisé selon une trame chronologique, présente d’abord les résultats des derniers sondages archéologiques réalisés au château de Champlitte par l’INRAP (Institut National de Recherches Archéologiques). Si l’histoire du site n’est pas pour autant entièrement élucidée, ces sondages apportent un indéniable éclaircissement sur la nature du château médiéval. Cet espace présente par ailleurs des pièces archéologiques du Moyen-Age provenant d'autres sites étudiés par l'INRAP (Château de Montaigu, Pesmes) permettant de présenter certains aspects de la vie quotidienne au Moyen-Age : éléments d'architecture (carreaux de pavement, serrures, clous, carreaux de poêle), éléments de costume, pièces servant pour l'alimentation et pièces militaires. Est enfin évoquée la famille de Vergy, famille noble d'importance pour l'histoire pour le château de Champlitte et du comté de Bourgogne, puisque plusieurs de ses membres en ont été gouverneurs.

Salon 2

Est ensuite évoquée l’architecture Renaissance du château de Champlitte (façade actuelle) au regard d'autres sites majeurs comtois de la même période et pour lequel le vocabulaire stylistique est proche : des documents iconographiques et photographies actuelles du Palais Granvelle à Besançon, du château de Filain, de l'hôtel de ville de Gray explicitent ces rapprochements... Cet espace présente un des rares plans de Champlitte, le plan de Claude Bonjour géographe du roi, daté entre 1620 et 1633 qui permet d'envisager la configuration du bourg à cette période présentant les principaux éléments typiques d'une ville fortifiée : établissement du château sur un promontoire, remparts, tours de protection, fossé, architecture de type médiéval avec ajout d'une résidence plus confortable de type Renaissance, nombreux établissements religieux etc. Des pièces de la vie quotidienne viennent compléter cette présentation : vaisselle, coffre, éléments de costume militaire etc.

Salon 3

La période néoclassique du château de Champlitte fait l'objet de la troisième salle d'exposition avec les aménagements réalisés par les architectes Colombot puis Bertrand au XVIIIème siècle à la demande de la famille de Toulongeon. L’exposition présente des documents iconographiques explicitant les travaux réalisés (gravures, cartes et plans, dessins d’architectes), notamment suite à l'incendie de 1751 qui a ravagé une bonne partie du château. Quelques pièces de mobilier et de costumes complètent l'évocation de cette période.

Heaume - 15ème siècleMusée d'art et d'histoire de

Langres

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Quelques repères sur Champlitte et son château ...

1. Le site du château de Champlitte

Le château est implanté en rebord de plateau sur un éperon rocheux. A ses pieds coule le Salon, petite rivière tranquille permettant néanmoins de renforcer la protection du site. Surplombant ainsi le paysage, tourné vers le Nord, le château embrasse un vaste horizon. Par ailleurs le site de Champlitte est situé à un noeud routier stratégique (routes allant de Dijon à Bourbonne et de Gray à Langres) au carrefour de trois provinces (comté de Bourgogne actuelle Franche-Comté, Duché de Bourgogne actuelle Bourgogne et Comté de Champagne actuelle Champagne-Ardennes). Enfin, Champlitte est à une vingtaine de kilomètres de la Saône, grand axe de circulation au Moyen-Age.

2. Les trois grandes périodes de construction du château

Moyen âge

Le site de Champlitte semble attesté en tant que bourg castral dès 1155, période à laquelle on assiste au phénomène d'encellulement, c'est-à-dire le rassemblement d'hommes sous l'égide du château et à la mise en place des premières seigneuries châtelaines. Ainsi à Champlitte les seigneurs de Fouvent, agissant en maîtres dans leur seigneurie, construisent un château-fort au sommet de la colline, à proximité immédiate d'un foyer de peuplement plus ancien (gallo-romain) : le village de Champlitte-la-Ville situé à 1km300, installé en fond de vallée et sans valeur défensive, entre en concurrence avec le centre nouveau né du château, le castrum qui lui est installé sur une butte. (source : AFFOLTER (E.) et al., Atlas des villes de Franche-Comté, Série médiévale, I, Les bourgs castraux de Haute-Saône, Annales. Economies, Sociétés, Civilisations, 3ème édition, 1992)

Au vu des recherches menées à ce jour, il est encore difficile d'avancer des certitudes quant à la nature exacte de l'architecture médiévale du château de Champlitte. Les quartiers d'habitation se fixent à l'intérieur de la forteresse, dans la basse-cour, le bourg se développe dans la vallée, entre le château et le pont, les halles et les murs sont mentionnés depuis 1252 : le fossé est le premier obstacle à franchir pour celui qui vient de l'extérieur, il peut mesurer entre 15 et 20 mètres et derrière le fossé se trouve le rempart à l'origine certainement en bois (source : Atlas des villes de Franche-Comté). La proximité du château assure la protection des activités marchandes et artisanales. La ville va ensuite se peupler de monastères : Prieuré bénédictin de saint Christophe à Champlitte-la-Ville, le Couvent des Augustins (14ème siècle), le Chapitre collégial (1439) puis en1475 quand la ville fut ruinée, Charles Quint fait clore le bourg par une muraille bordée d’un fossé et fortifiée de plusieurs tours. Quelques vestiges de cette période sont actuellement encore visibles (Tour des Annonciades, Tour Charles Quint, fossé, couvent des Augustins) et la topographie des ruelles permet de lire la structure ancienne de la ville.

Période Renaissance

Ce qui subsiste aujourd'hui de l'édifice du 16ème siècle se limite à la façade formée par les arcades d'une galerie de circulation, surmontée d'un étage noble et d'un second étage. François de Vergy reçoit la charge de lieutenant général du comté de Bourgogne et prend en charge la sécurité de la Franche-Comté. Par ailleurs comte de Champlitte, il s'installe autour de 1560 dans le château, alors encore demeure

Plan de Champlitte avec au centre l'emplacement du château

Les contributeurs d'Openstreet Map Données CC-BY-SA

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médiévale, et fait de Champlitte sa résidence quand le siège militaire est à Gray au château Baron-Martin. Appelé régulièrement dans les Flandres pour rendre compte des événements de la province, il connaît les modes et architectures flamandes. Il décide de procéder à des aménagements du château, vraisemblablement entre 1560 et 1564, et semble faire appel à un architecte d'origine flamande, peut-être un prénommé Nicolas Morris. Le plan de Claude Bonjour permet de se figurer en partie le château ainsi remanié associant bâtisse médiévale et construction Renaissance de prestige. L'historien Vianney Muller évoque ce phénomène avec le cas du château de Fondremand qui passe "d'une fonction militaire prédominante" à "un caractère résidentiel plus marqué". Selon l'historien Jacquemart, d'autres exemples architecturaux régionaux (Filain, Le Pailly) et la démarche des commanditaires peuvent éclairer le cas de Champlitte : "sans souci de contrarier les styles, (les commanditaires) gardaient en l'état la demeure féodale familiale, bâtissaient une nouvelle résidence raccordée perpendiculairement à l'ancienne et dressaient ensuite une aile en retour" (JACQUEMART, Architectures comtoises de la Renaissance, 2007).En1630, à la mort de Clériadus de Vergy, la seigneurie passe par héritage aux familles de Cusance puis de Clermont d’Amboise et enfin à la famille des comtes de Toulongeon. Mais entre temps le château a subi de nombreux dégâts puisqu'en 3 siècles la ville est assiégée 4 fois et pillée 11 fois (en1638, pendant la guerre de Dix Ans la ville est assiégée par les troupes françaises du Duc d’Angoulême qui mit le feu au château, à la ville et au clocher).

Période classique

Au début du XVIIIème siècle, le château appartient à la famille de Toulongeon. En 1751, un incendie se déclare détruisant une bonne partie du château. Il est ensuite reconstruit dès 1768 lorsque Hippolyte-Jean-René de Toulongeon, lieutenant général des armées du Roi s'adresse à deux architectes Colombot, qui réalise l'aile sud, et surtout Claude-Joseph-Alexandre Bertrand. Ce dernier a conçu le château de Moncley et s'inspire sensiblement de ses travaux pour Champlitte. De 1768 à 1782 ont lieu les travaux de reconstruction : corps de bâtiment (aile nord) symétrique à l'aile sud de Claude-Antoine Colombot, façade sur jardins avec rotonde centrale à dôme d’ardoises à deux étages de fenêtres à balustres, combles mansardés à lucarnes de pierre, fermeture de la galerie, réalisation avec le sculpteur Luc Breton du salon d'été (grotte face nord ornée de colonnes et rochers), aménagements intérieurs et enfin du bâtiment communément appelé Orangerie."Le château est achevé au début de la Révolution mais le marquis de Toulongeon n'a guère le temps d'en profiter. Après avoir joué un rôle aux Etats Généraux, comme député de la noblesse du bailliage d'Amont, il ne tarde pas à émigrer et meurt en exil [...]En 1780 -1788 le comte de Toulongeon tente vainement d'agrandir son château sur l'emplacement de l'église (V. GASTON-BRUNET, rapport de l'INRAP, 2010, Sur les traces du château-fort de Champlitte).

3. Architecture du château

La façade Renaissance

On désigne par architecture de la Renaissance un mouvement architectural qui commence en Italie en réaction à la surcharge de l'architecture gothique. D'abord italienne, elle se transportera rapidement en France puis gagnera une grande partie de l'Europe où elle cohabitera généralement avec l'architecture gothique. La

Champlitte vers 1620-1633Plan de Claude Bonjour - ADHS

Vue de détail d'un chapiteau corinthien Château de Champlitte

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Renaissance émane d'un désir de retour à l'Antiquité aussi bien grecque que romaine par l'utilisation d'éléments architecturaux caractéristiques (colonne dorique, colonne ionique, colonne corinthienne).

A Champlitte comme pour d'autres bâtiments du comté de Bourgogne de la même période (deuxième moitié du XVIème siècle), les canons de l'époque sont sous l'influence des arts et modes des Flandres, ce qui est logique puisque le comté de Bourgogne est sous la tutelle des Pays-Bas espagnols à cette période. " La fenêtre à la flamande ("flamanche") comporte une grande baie rectangulaire, coupée en deux par un large meneau vertical. Elle apparaît simultanément à Champlitte et à l'Hôtel de ville de Besançon (1560-1570)" (Jacquemart, 2007). Pour le reste, la composition de la façade suit la règle de la symétrie, et le vocabulaire ornemental y est particulièrement riche. D'autre part, comme la façade est étendue, sept baies rythment la surface de la façade à intervalles réguliers formant des travées séparées par des colonnes d'ordres classiques : on retrouve ce principe architectural dans d'autres bâtiments de la même période et notamment au palais Granvelle qui influença les constructions du nord de la Franche-Comté (Champlitte et Gray).

Le château 18ème siècle

Probablement en 1768, l'architecte bisontin Colombot va construire l'aile sud du château : "cette aile forme un angle arrondi avec la façade Renaissance qu'elle complète. Si, par souci d'unité, Colombot poursuit les grandes lignes architecturales du XVIème siècle (arcades surmontées par les fenêtres à l'étage, bandeaux horizontaux et corniche) il abandonne en revanche les colonnes, les meneaux des fenêtres ainsi que les décors sculptés." (Pascal BRUNET, Catalogue de l'exposition La vie de château, 2011)A partir de 1781 sont lancés les premières études et plans par l'architecte Bertrand pour poursuivre la reconstruction du château selon un plan en "U" : aile symétrique face nord, façade sur les jardins, aménagements intérieurs, orangerie-théâtre. Bertrand est connu en Franche-Comté pour ses réalisations bisontines (hôtels particuliers, salle de la comédie) et surtout le château de Moncley. Suivant la tendance architecturale néo-classique de l'époque, le style adopté s'inspire d'éléments de l'Antiquité, tels que la symétrie, l'usage de pilastres de colonnes de moulures et cornilles qui doivent dans l'ensemble exprimer l'ordre selon un équilibre des masses. La composition doit être simple, lisible et bien ordonnée.

Les papiers peints panoramiques

Entièrement restaurés en 2003, on peut les admirer dans l'un des quatre salons du château de Champlitte. Ceux-ci ont été commandés par le comte de Toulongeon à la manufacture de papiers peints de Joseph Dufour, à Mâcon et ont été sans doute réalisés en 1804-1805. Ce panoramique, représentant Les Sauvages de la mer Pacifique et dessiné par Jean-Gabriel Charvet, est composé de vingt lés. La première moitié du 19ème siècle en France voit apparaître un genre décoratif consistant en de grands revêtements muraux de

papiers imprimés appelés "tableaux-paysages" ou "tableaux-tentures". Le papier utilisé était fabriqué à partir de chiffons, en feuilles de petites dimensions et collées les unes aux autres, qui permettaient d'obtenir des rouleaux d'une dizaine de mètres de longueur. Chaque lé était ensuite foncé (application d'une couleur de fond) et imprimé à l'aide de planches de bois, gravées en relief. L'impression était produite par pression de la planche, préalablement enduite de couleur, sur le papier. Ces papiers peints panoramiques reflètent les goûts et les préoccupations de l'époque ; l'homme tient une place centrale dans des paysages paradisiaques offrant l'image d'une harmonie profonde entre la nature et l'homme,

Façade sur jardins et rotondeChâteau de Champlitte

Fenêtre à la flamandeChâteau de Champlitte

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témoignant de l'esprit des Lumières et du goût néo-classique du 19ème siècle.

Niveau maternelle

>Visite guidée de l'exposition : sélection de documents et objets commentés relatifs à la vie quotidienne dans un château à travers les périodes évoquées.Atelier : petite réalisation en papier d'un pop up "mon château imaginaire" : travail de dessin, découpage coloriage et collageDurée : 30 minutes de visite + 20 minutes d'atelier

Niveau primaire, 6ème et 5ème

Visites guidées au choix :> L'architecture du château de Champlitte : évolution, style et vocabulaire architectural. Observation du château (intérieur et extérieurs) et sélection d'objets commentés dans l'expositionAtelier : réalisation d'une petite maquette en papier du château de Champlitte après un travail de dessin in situ.Durée : 45 minutes de visite + 30 minutes d'atelier25 élèves max.

> La vie de château : visite de l'exposition par une sélection de documents et objets sous forme d'introduction à la vie d'un château et ses seigneursAtelier : Les élèves se familiarisent avec l'héraldique à l'aide d'un document pédagogique. Chacun est invité à s'imaginer ses armoiries et à les dessiner.Durée : visite : 45 minutes + 30 minutes d'atelier25 élèves max.

> Jeu de piste "à la découverte du château" : jeu de piste pour découvrir les salons du château, l'exposition temporaire, l'architecture extérieure du château et ses jardins.à partir de 8 ans (lecture maîtrisée) et présence d'accompagnateurs souhaitée pour encadrer les groupes de 4 ou 5 élèves.25 élèves max.

Saint HubertDétail du retable de Chauvirey-le-Châtel

15ème siècleDépot départemental d'Art sacré

Blason de la Maison des Vergy

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Activités pour les groupes scolaires

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Activités culturelles autour de l'exposition

Samedi 14 mai 20h30 : Concert de musique médiévale Hildegaard Von Bingen, Guillaume de MachautClémentine Decouture (soprano) Catherine Trottmann (mezzo-soprano) Juliette Pourquery de Boisserin (lecture) Jean-Baptiste Medard (direction musicale)

Samedi 5 juin 14h30 – 17h : Démonstration de tressage de petites haies pour le jardin.Dimanche 6 juin 15h : Animation avec vols de rapaces.

Samedi 16 juillet 21h30 : Spectacle "Arlequin, valet de deux maîtres" avec la compagnie Les menteurs d’Arlequin

Dimanche 24 juillet : Concert de l’ensemble La Salamandre18h, Église de ChamplitteBenoît Tainturier (flûte à bec), Magali Marie (flûte traverso) Paul Frisot (violone) Claire Corneloup (clavecin)

Dimanche 21 août 16h00: Parcours musical dans ChamplitteMusique baroque interprétée par Ronald Martin-Alonso à la viole de gambe

Mini-festival de films historiques10 septembre 20h : La prise du pouvoir par Louis XIV, de Roberto Rosselini. 11 septembre 16h : Tous les matins du monde, Alain Corneau. 24 septembre 20 h : Ridicule de Patrice Leconte. 25 septembre 16h : Que la fête commence de Bertrand Tavernier.

Journées du patrimoine : Samedi 17 et dimanche 18 septembre

Cycle de conférencesDimanche 9 octobre 16h : La vie de château au 18ème siècle. Conférence de Lionel Estavoyer, historien d’art.

Samedi 15 Octobre 16h : Champlitte de 1493 à 1674. Conférence de Paul Delsalle, chercheur en Histoire Moderne à l’Université de Franche-Comté.

Dimanche 23 Octobre 16h : La Chastelaine de Vergi : une histoire d'amour tragique. Conférence de Juliette Pourquery de Boisserin, auteur, docteur ès Lettres.

19-20 et 26-27 novembre : Le Mois du film documentaire 19 novembre à 16h : rencontre avec l’archéologue Véronique Brunet-Gaston suite à la projection du film de Juliette Sénik "Lesfouilleurs" 20 novembre : programmation de films documentaires autour du thème de l’archéologie 26-27 novembre : films autour du thème de l’architecture des châteaux et du patrimoine.

15-30 Novembre : Les Petites Fugues(Jour et horaires précisés ultérieurement) Participation à la manifestation régionale Des petites Fugues, rencontres littérairesen région Franche-Comté.

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Exposition du 14 mai au 6 décembre 2011

Accès libre et gratuit pour tous.

Horaires d'ouverture du musée et de l'exposition

- Du 1 er avril au 30 septembre- de 9h30 à 12h et de 14h à 18h- fermeture : samedi matin, dimanche matin- ouverture spécfique pour les écoles le mardi sur rendez-vous- juillet et août : ouvert le mardi

Du 1er octobre au 31 mars- de 14h à 17h- fermé le mardi

RenseignementsTél : 03 84 67 82 00Site Internet : http://www.musees-franchecomte.com/index.php?p=241

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