Dossier Pédagogique

Exposition-atelier « Architectures de papier »4 octobre- 7 décembre 2013, Maison de l'Architecture et de la Ville PACA

L'exposition-atelier propose au jeune public un voyage à travers des reproductions de bâtiements emblématiques et la découverte de villes imaginaires.

Historiquement, l'architecture de papier désigne des projets d'architectes, dessinés ou gravés, réalisés ou non, et dont certains sont publiés comme modèles et sources d'inspiration.

A la fin du XVIIe siècle, l'imagerie populaire diffuse partout en Europe des maquettes d'édifices célèbres en papier découper et à coller pour distraire les enfants. Remarquables pour le rapport qu'elles entretiennent entre la deuxième et la troisième dimension, elles se révèlent un magnifique support pour sensibiliser les amateurs à l'art de construire.

Au XVIIe siècle, les pédagogues des Lumières encouragent ces jeux de construction inspirés du métier d'architecte, développant l'habileté manuelle et la patience. Au XIXe siècle, l'imagerie d'Epinal édite la célèbre série « Le petit architecte » et en 1925, le Bauhaus intègre dans l'enseignement de l'architecture des jeux de découpage et de pliage afin d'encourager la créativité des étudiants.

Enfin l'architecte et professeur japonais Masahiro Chatani invente dans les années 1980 l'architecture origamique, un art du papier dérivé du kirigami qui à partir d'une feuille unique par un jeu de pliages et de découpages crée une architecture en volume.

Ingrid Siliakus, Mathilde Nivet, Béatrice Coron et Stéphanie Beck partagent le choix du matériau, la thématique de l'architecture et la poésie des histoires qu'elles racontent. Chacune d'elles s'illustre par une technique particulière dans l'art de découper et de plier le papier. Leurs constructions réelles ou fictives révèlent la puissance de l'architecture comme source d'inspiration de la création contemporaine.

Une exposition- atelier conçue par la Cité de l'architecture & du patrimoine/ Direction des publics.Avec le soutien d'Arjowiggins Creative Papers

Partenaires de la MAV : CROA PACA, DRAC PACA, Région PACA, MAF, Conseil général 13, Agam.

Objectifs de la visite-atelier

>Aborder l'architecture par le biais d'oeuvres réalisées par des artistes contemporains proposant un regard personnel et sensible sur la ville et ses bâtiments.

> Observer et comprendre la multiplicité des techniques de création dans l'art du papier.

> Appréhender l'art du papier par l'expérimentation de techniques simples reprenant les gestes de base que sont le découpage et le pliage.

> Intégrer les notions de base telles que plan, volume, maquette.

> S'approprier la thématique de l'architecture par l'imagination et la création.

> Réaliser une ville imaginaire en combinant des techniques simples de pliage et découpage.

> Expérimenter l'art du papier en s'inspirant des oeuvres observées et commentées.

Les Artistes

Béatrice Coron, New-York, Etats-Unis

Béatrice Coron est une véritable globetrotteuse. Elle a vécu au Mexique, à Taiwan, en Egypte avant de s'installer à New-York où elle se consacre à son travail d'artiste. Dès le départ, son matériau de prédilection est le papier, mais très vite elle choisit le Tyvek, un textile non tissé indéchirable qui à l'oeil et au toucher ressemble au papier. Elle peut découper avec un cutter et des ciseaux pour créer des silhouettes comme de la dentelle et inventer des villes et des mondes où elle raconte des histoires.

Pour aller plus loin :http://www.beatricecoron.com/http://www.youtube.com/watch?v=cAGFKYNrQgY

Stéphanie Beck, New York, Etats-Unis

Stéphanie Beck puise son inspiration dans les photographies aériennes et l'architecture de sa ville, Philadelphie. Elle peint et construit des maisons dès son enfance. Elle fait surgir des volumes en papier qu'elle assemble pour réinventer des plans de villes à mi-chemin entre rêve et réalité. La fragilité et la fugacité du papier font écho aux mutations permanentes des univers urbains dans lesquels nous vivons. Elle mène ainsi une réflexion sur l'espace privé et l'espace public et le rapport physique et mental que l'on entretient au quotidien dans ces espaces.

Pour aller plus loin :http://www.stephaniebeck.org/

Ingrid Siliakus, Amsterdam, Pays-Bas

Ingrid Siliakus découvre l'architecture origamique par le travail du Professeur Masachiro Chatani (architecte et professeur au Japon), qui créa et dévellopa cet art de créer un objet à partir d'une seule feuille de papier, au début des années 1980. Ingrid est instantanément fascinée par l'ingéniosité de la conception de ces œuvres et par la beauté qu'elles irradient. Elle construit des architectures de papier par la superposition de plusieurs couches sur une première forme unique, jusqu'à être complètement satisfaite du résultat. Avant la conception finale, Ingrid réalise entre 20 et 30 prototypes qu'elle découpe au cutter, plie et examine un à un. Pour chacun d'entre eux, elle réunit une iconographie pointue à base de dessins, de photographies, et de

documents historiques. Lorsqu'elle travaille sans modèle, l'artiste a besoin des compétences d'un architecte pour créer des formes en deux dimensions, qui, avec la patience et la précision d'un chirurgien, deviennent d'ingénieuses merveilles de papier.

Pour aller plus loinhttp://ingrid-siliakus.exto.org/

Temple du Pavillon d'or, Kyoto, Japon, 2007

Chrysler Building, New York, Etats-Unis, 2010

Mathilde Nivet, Paris, France

A la fin de ses études, Mathilde Nivet décide de se consacrer à sa passion en devenant designer papier, matériau qu'elle manipule en s’interrogeant sur les notions de fragilité, d’improvisation et de récit. Elle développe sa pratique comme illustratrice pour la presse, la publicité et diverses maisons d’éditions. Ses travaux personnels sont régulièrement présentés lors d’expositions. Villes, bâtiments historiques, façades découpés façon moucharabieh : pour passer du « lisse et plat » de la feuille à une représentation architecturale en trois dimensions, Mathilde Nivet plie, coupe, découpe, ajoure... en utilisant un éventail de solutions liée à la technique du pop up, un jeu de pliage et découpage qui permet de créer une

architecture en volume. Au final, un travail qui se rapproche des réflexions menées par nombre d'architectes sur les concepts d'enveloppe et leur matérialité.

Pour aller plus loinwww.mathildenivet.com

Upside Town, pop up city, 2006

Avant le papier :– Les tablettes d'argiles (vers -3200) : en Mésopotamie (irak actuel), les

pictogrammes puis les caractères cunéiformes sont incisés à l'aide d'un roseau taillé en biseau, le calame, sur des tablettes d'argile crue puis cuites au four.

– Le papyrus (vers -3000) : en Egypte antique, les tiges du papyrus sont découpées en bandes puis superposées et entrecroisées pour former une feuille blanche et lisse sur laquelle les hiéroglyphes sont tracés au pinceau.

– Le parchemin (IIe siècle avant JC) : cette peau de veau, de mouton ou de chèvre est débarrassée des poils et de la graisse dans un bain d'eau de chaux puis éschée, frottée à la craie ou polie à la pierre ponce pour être inscrite à la plume.

L'inventeur du papier En 105, en Chine, le ministre Cai Lun perfectionne et codifie la fabrication du papier connue depuis deux siècles. Ce support d'écriture se substitue ainsi à la soie, trop chère et au bambou trop lourd. La production est liée aux ressources locales : chanvre, jute, lin, ramie, murier blanc, rotin, paille. La recette du papier reste un secret pour le reste du monde pendant six siècles.

Une recette qui voyage en 751, la fabrication du papier est introduite dans le monde arabe par les chinois faits prisonniers à la bataille de Talas. Les musulmans améliorent la recette en y incorporant des chiffons. Broyés dans l'eau, les tissus se transforment en pâte qui égouttée et mise en forme, devient du papier.

De la fabrication artisanale à la production industrielle 1276 : premier moulin hydraulique à

Fabriano en Italie. Les vieux chiffons de lin et de chanvre fermentés sont déchiquetés et broyés minutieusement par un système de piles à maillets.

1440 : invention de l'imprimerie par Gutenberg en Allemagne. Plus économique et mieux adapté aux presses que le parchemin, le papier devient le support privilégié pour l'imprimerie et sa consommation explose en Europe.

L'histoire du papier

1673 : mise au point du cylindre hollandais au Pays-Bas. Les chiffons sont désormais déchiquetés par un cylindre hérissé de lames coupantes. L'étape de pourrissage du textile disparaît, le temps de production est considérablement réduit.

1798 : invention de la machine à papier par Louis-Nicolas Robert en France. Le papier entre dans l'ère de l'industrie : la formation de feuille, son pressage et son séchage sont réalisées mécaniquement. Le papier est produit dorénavant en bobine.

1844 : fabrication de la première pâte à base de bois par Fiedrich Gottlob Keller en Allemagne. Pénurie de chiffons, prix qui flambent, développement de la presse, on

recherche de nouvelles matières premières. Ortie, maïs ou paille laissent place au bois.

1850 : découverte du cellulose par Anselme Payen en France. Toutes les cellules végétales contiennent une substance blanche et fibreuse, chimiquement identique au coton des chiffons : la cellulose qui extraite du bois permet la fabrication de la pâte à papier.

Recyclage et nouveaux usages 400 millions de tonnes de papier sont consommées chaque année dans le monde, dont près de 50% sont issus du recyclage. Recycler nécessite moins d'eau et d'énergie que la fabrication classique de la pâte à papier. Il est recyclé plusieurs fois pour produire entre autres emballages, lampes, meubles, vêtements, sandales et papier hygiénique.

Le papier dans tous ses états : l'art du pli et de la découpe

Architecture : art de concevoir et de construire, de disposer et d'orner des édifices.

Développement durable : C'est un ensemble d'idées pour que la Terre et ses habitants ne souffrent pas trop de l'activité humaine. Son principe est de continuer à ce que le monde puisse à se développer, mais sans porter atteinte à l'environnement. Beaucoup de domaines sont donc concernés : économies d'énergie, pollution, gaspillage, déplacements, faune (les animaux), flore (les plantes) ; mais aussi l'architecture en se posant des questions sur des manières de construire écologique.

Echelle : une échelle indique la différence entre une dimension réelle et une dimension dessinée. Elle permet de reporter ce que l'on voit tout en conservant les proportions de ce que l'on dessine.

Enveloppe : partie extérieure du bâtiment qui constitue la façade.

Espace public/ Espace privé : l'espace public est la partie du domaine public non bâti affectée à des usages publics (rue, places...). Ce sont des endroits ouverts à tout le monde, importants pour la vie sociale. Il faut observer comment un édifice se connecte à l'espace public et quelles sont les étapes et transitions pour passer de l'espace public à l'espace privé.

Façade : ensemble des murs qui ferment les volumes, accueillent les portes et fenêtres, assurent la liaison entre les espaces intérieurs et extérieurs et laissent passer la lumière naturelle à l'intérieur.

Gratte-ciel : bâtiment très haut constitué de nombreux étages. Les plus importants gratte-ciel ont une hauteur qui s'élève à plusieurs centaines de mètres ! De 1931 à 1972, le plus haut du monde était l'Empire State Building (381 m et 448,7 m avec son antenne), situé à New York (États-Unis), sur l'île de Manhattan (où se trouvent les principaux gratte-ciel de la ville).

Maquette : représentation en trois dimensions à échelle réduite d'un bâtiment.

Matériau : bois, pierre, brique, acier, béton, verre, plastique... les techniques de construction les plus variées sont utilisées, des matériaux peuvent même être spécialement conçus pour un bâtiment. De nouvelles techniques sont à chercher pour répondre au développement durable.

Perspective : représentation du volume d'un espace qui coincide avec la perception visuelle qu'on peut en avoir à hauteur d'oeil.

Schéma : dessin simplifié explicitant le fonctionnement de l'espace en coupe ou en plan.

Urbanisme est l'art de définir et faire construire les villes. Un urbaniste est donc comme un architecte, mais au lieu de dessiner seulement une maison ou un

Le vocabulaire de l'architecture

immeuble, il définit toute la ville ou plus souvent un quartier en cherchant à les rendre harmonieux.

Urbain : c'est un environnement concernant la ville. C'est l'opposé de rural (campagne).

Ville : forme de l'occupation de l'espace par les hommes. La ville rassemble une population nombreuse sur un espace restreint. En ville on trouve un très grand nombre d'activités humaines : commerce, industrie, éducation, politique, culture. La vie en ville est particulièrement animée et bruyante. La ville favorise les échanges culturels et sociaux. Selon les quartiers le paysage urbain est différent, cependant les constructions sont serrées et à plusieurs étages. Selon leur situation, leur ancienneté les villes sont différentes. L'architecture et l'urbanisme permettent d'étudier les principes qui organisent les villes. Aujourd'hui environ 55% des hommes vivent dans les villes. Il faut 2000 habitants pour constituer une ville en France.

Comment interroger un espace et apprendre à le regarder ?

Niveau Primaire et Collège

Objectifs>Eveiller la curiosité>Développer les capactés d'observation, d'analyse et d'expression>Acquérir le vocabulaire de base de l'architecture>S'orienter et se repérer dans l'espace

Déroulement

CE QUE JE VOIS

– L'implantation du bâtiment dans l'environnement : son orientation, son rapport avec les éléments qui l'entourent (isolement, contraste, rupture, contiguïté, alignement par rapport aux autres édifices)

– Les éléments de liaison entre l'espace public et privé (préau, trottoir, galerie)– Les volumes et la forme extérieure du bâtiment– La façade (couleur, matériaux), les ouvertures (fenêtres et percements), le toit– L'organisation fonctionnelle du bâtiment, comment les personnes vivent et

circulent à l'intérieur ? (distribution et hiérarchie des espaces, rampes, escaliers)

– L'espace intérieur (dimensions, lumière naturelle ou éclairage artificiel, sonorité, couleurs, ambiance)

CE QUE J'APPRENDS

– la fonction du bâtiment– contexte historique, géographique, social, culturel du bâtiment– démarche et oeuvre globale de l'architecte– évolution et transformation du bâtiment dans le temps

CE QUE JE RESSENS

– L'éveil des quatre sens : toucher, odorat, ouïe, vue (ambiance lumineuse)– Le bâtiment peut évoquer des souvenirs– Quelles émotions ressent-on face à l'édifice ?

On peut réaliser cette activité par l'observation de l'établissement scolaire des élèves et faire ainsi une fiche de lecture du bâtiment.

Fiches d'activité

A la manière de Mathilde Nivet

Niveau Collège

ObjectifsL'activité vise à permettre une découverte sensible et libre du cadre de vie à travers le langage artistique qu'offre la photographie.

>Sensibiliser à l'importance de l'architecture dans le quotidien.>Donner l'occasion de s'exprimer sur le cadre de vie à travers la photographie.>S'approprier la thématique de l'architecture par l'imagination et la création.

Connaissances et compétences>Construction d'une maquette en 3D>Découverte de son cadre de vie>Découverte de la photographie>Connaissance des termes courants de l'architecture et appropriation d'un vocabulaire adéquat sur l'architecture et l'urbanisme>Perception entre formes et fonds, lumières et ombres, jeux et effets de couleurs, structures, proportions.

Matériel

Appareils photographiques numériquesciseaux, colle

Réalisation

Amener les élèves à la découverte d'un quartier proche ou éloigné.Observer l'espace, interroger les élèves sur ce qu'ils voient et poser leurs des questions pour introduire le vocabulaire de base de l'architecture (cf. fiche activité 1)Prendre en photo les façades des édifices, les éléments urbains.En classe, réaliser une maquette sur le modèle de Mathilde Nivet : imprimer et découper et plier les photos pour réaliser une maquette en relief.

Fiches d'activité

–Qu'as-tu retenu de la visite ?

– Quels sont les supports utilisés avant l'invention du papier ?............................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................

– A partir de quoi fabrique-t-on du papier ? ............................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................

– Quel est l'outil préféré de nos quatre artistes ?....................................................................................................................................................

– De quelle méthode s'inspirent les œuvres d'Ingrid Siliakus ?............................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................

– En quoi consiste cette technique ?............................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................

– Quelle est l'artiste qui réalise de grandes maquettes de ville en papier ?....................................................................................................................................................

– Qu'est-ce que la technique du pop-up ?............................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................

– Quelle est l'artiste qui réalise ses œuvres en utilisant cette technique ?....................................................................................................................................................

– Quels sont les caractéristiques des œuvres de Beatrice Coron ?...............................................................................................................

Fiches d'activité

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............................................................................................................... ….............................................................................................................

Mots Croisés

Place les mots de la liste dans la grille

5 lettres

COLLEPOP-UPPLIERVILLE

6 lettres

CUTTER FACADE MODELE VOLUME

7 lettres

CISELER DECOUPE ECHELLEEDIFICE FEUILLE MONTAGE

8 lettres

HISTOIRE MAQUETTE

12 lettres

CONSTRUCTION

5

12 8 6

6 6

7 5

A R C H I T E C T U R E S

6 7 D

7 E

7

8

7 5

7

P A P I E R

5

Autour de l'exposition-atelier :

Arc en Rêve, Architectures à découper, catalogue d'exposition, 1987.

BIRMINGHAM Duncan, Pop pas à pas, Paris, Marabout, 2012.

MARTI Meritxell & SALOMO Xavier, Rêves autour du monde, Edition Milan, 2011.

MATHON Maurice, Architectures en pop-up, Edition Dessan& Tolra, 2010.

PIENKOWSKI Jan, La Maison hantée, Paris, Nathan, 2005.

SABUDA Robert, Alice au pays des merveilles, Seuil Jeunesse, 2004.

TREBBI Jean-Charles, L'art du pli, éditions Alternatives, 2008.

TREBBI Jean-Charles, L'art de la découpe, éditions Alternatives, 2008.

TREBBI Jean-Charles, L'art du pop-up et du livre animé, éditions Alternatives, 2008.

Autour de l'architecture :

DEROUET-BESSON Marie-Claud, 50 activités pour l'architecture et l'urbanisme avec les CAUE, Toulouse, FNCAUE-CRDP Midi-Pyrénées, 2007.

LARROCHE Caroline, Architecture, Edition Palette, 2012.

LEDUC Michel, TORDJMAN Nathalie, La ville à petits pas, Actes Sud Junior, 2003.

LOUPIAC Claude, La ville entre représentations et réalités, Paris, SCEREN/CNDP, collection Patrimoine-Reférences, 2005.

Les outils pédagogiques des Villes et pays d'art et d'histoire, Paris, Ministère de la Culture et de la Communication/CRDP des Bouches du Rhône/ORME, 2005.

MADEC Philippe, L'architecture, Paris, Autrement Junior/SCEREN/CNDP, 2004.

Repères pédagogiques en architecture pour le jeune public, Paris, Ministère de la Culture et de la Communication, 2007.

SICARD Mireille, Comprendre l'architecture, CRDP de l'académie de Grenoble, 2002.

Bibliographie

Contacts

Maison de l'architecture et de la ville PACA12, bd Théodore Thurner13006 MARSEILLE

Manon KERAUDRENPauline LAVIGNE DU CADET04 96 12 24 13mavpaca1@orange.fr

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