Collision— Une collision s'est produitehier

soirà 5 heures, à l'angle de 1 rut

u.stan ~t de la rue d 'Antibes'

entre untramway et l' omnibus de la Croisett e.

Le nommé Vincent Louis, qui se trouvaitsur l 'omnibus, a été blessé aux jaoT~es assezgrièvement. Après avoir été pan se a la

àpharmacie Ardi.son. il a été transportéson

domicile . Sonétat n'inspire aucune

"=à' j'omnibus, il - été fortementend~--agé.

Pour les pauvres . - Les quêtes faites auxmariages célébrés, samedi, à la Mairie ontproduit la somme de 14 fran~ Io cenÏimespour les pauvres.

Il a été perdu, samedi après-midi, unepeti.te,montre de dame, en or . La rapporterle

. récompense, chez M. Azêmard, coif-feur.

Avis aur Marchands de Vins, - LesMarchands de Vins de Cannes (marchandsen gros débitants) sont priés de se rendr edans la salle de la Brasserie du Lion, 1 emardi soir, 29 courant à 8 heures pr é-cises pour une communication importante.

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Y A 1 L L E U R pour HOMME8 et pour DAME9

EXPOSITION PERMANENTE- Entrée Libre - 1148

Droniqu NiontGOLFE-JUAN

L,sléfes de 1.

— Le, fêtesorganisées au Golfe-Juan à l'occasion de laSaint-Jean qnoique contrariées par le Alis-tral, ont été très animées, car une fonleénorme

venue des environs de Cannes,d'Antibes de Vall,ouci, y a p .~tiCipé.

Samedi soir le feu de joie, la retraite auxfla boa x evait attiré sur le port unenigrande assistance

encoreles ruanin, de l'escadre.

Hier dimanche l'animation a été trèsgrande autour il i bal de 1 . kerme,,e iris-t'liée sur le port et cIc~ aut lit plage . Lafanfare de Villefranche qui prêtait son con-cours à ces réjouissances a été très applau-di' dans les meilleurs morceaux de sonrepertoire.

Les courses à l'aviron auxquelles ont par-ticipé les canots de l'Escadre avaient attirémalgré le vent une foule énorme su

rles

jetées et nos marins ont été très applaudis.La musique de Vallauris, l'orphéon ont

eu beaucoup de succès également et le soirj'animation devant le port était grandepour assister à ce spectacle toujours nouveaudl j'illumination de la rade par les puissantsprojecteurs de toute l'escadre.

Les organisateurs de cette fête méritentles plus sincères éloges.

jusqu'à minuit les train~vays ont em-porté sur Cannes, sur Vallauris et sur An-tibes des milliers de voyageurs.

Les fêtes continueront aujourd'hui avec,autant de succès.

mtc9gina Hôtel Berlâazeee-loi. l—

0 t.lail,

FEUILLETON DU LITTORAL

2

HENRI DEMESSE

La Vénusde Bronze

Que voujcz-,ous dire, -,

ùamc ! . .. j'si Perdu tout c'pou ou apeu près de retrouver les parents de la pe-tite .. . Non pas, Dieu merci ! que j'aie ja-mais basé sur cette déc- uve l te ni espoir deprofit .. . En —cueillant Feulant, j'ai obéi àmon cœul . . . Ce n'est pa, l'intérét qui m'aguidée Cependant,j'a voue que j'aurais étébien aise de dire son fait à la mère de lit pe-tite si j'avais pu la retrouver.

— vous aviez donc quelque moyen de laretrouver.

il se frappa le front.— Ah ! oui, oui , fit-il. . . je nie souviens

Jérôme m'a aussi parlé de cela . je ne merap pelais pas ce détail ! . . . Le Portefeuille 1

— précisément. dit Céleste ce perte-feuille que j'ai trouvé près de ma voiture etqui a été perdu évidemment par les parent,de la petite fi lle au moment où A, l'ont dé-posée sur la terrasse de ma carriole.

_ Vous com pt iez retrouver les parentsde l'enfant grâce aux papiers que contouaitce portefeuille. . . F il, effet, il me semble queces papiers devaient % ,cils fournir un indice.Avec l'aide de la police. ..

— Oh ! pas de police 1je n'sure pas àmettre la police dans mon jeu . ..

Céleste avait, comme tous les gens dupeuple, une sainte horreur de la police etdes policiers . Cela rassura Noël.

— Mais au moins, denianda-t-il .. . avez-

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Ecrititre . i- prix : 'Mantello Antoinen e e .x-œqiio Piccoli Antoine, '%Iolliiiird Lu-Cieu.

r ."g", fronçais,. --ice de l'ng.ee. -l e, prix : Lorenzi Adolphe ; z e, Rival Albert.

Calcul. - i ,,~ prix : Caramagna Pierre 2 e ,Pastour Eugène.

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Géographie. - l e, prix : Tosello Antoinene , Ferrero jean.

Leçou de choses . - l e, prix : Cation EugèneBaldoni Baptistin.

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revue locale.jardin de Paris.— Music-hall et opérette.

MONACOCercle des Et,..gcrs de Mei — Pro-

gramme du concert d'aujourd'hu'

lundi,z 8 août,sisus la direction de M. Louis Vialet.

De 8 h . 112 à ici heures du soir.i . Georgette, ouverture, Gevaert ; 2 . Eh-

brel , o. valse, C . Onda ; 3 . Sérénade du Ro-m, n (le Pierrot, Burgmein ; 4 . Les Dra-gon, ' de Villars . fant ., arrangée par Colien,Maillard ; Les Trovatelles, ouverture, Du-prato

;6~ Le lac, méditation, Niedermaycr ;

7 . An village. B . Godard ;Sabre de Bo i s,marche, Corbin.

LA VIE AUX DÉSESPÉRÉS

MALADIES DE LAPOITRINEet des voies respiratoires

Les maladies des voies rvs~iratùIrrs -nesplus répandues, puisque, à e les seules c es

chaque année plus de i5o.wo décès- ont désormais leur traitement curatif, parla méthode Phymatofuge de l ' Institut de Ré-génération.

A la suite d'un rhume négligé, causé sou-vent par un refroidissement, une toux sèchesurvient ; il se produit entre les épaules oudans les côtés des douleurs lancinantes, plustard, les sueurs nocturnes se manifestent, latoux devient abondante, avec essoufflementsou suffocations ; puis le malade maigrit, ilperd ses forces et son état ne tarde pas à de-,,eni, désespéré,

Dès les premiers symptômes, il faut avoirrecours à la Méthode Phymatofuge et pourcela il suffit à ceux qui souffrent d'une affec-tion des voies respiratoires, d'écrire à M . leDirecteur de l 'Institut de Régénération 7 rued

eLondres, à Paris, qui se fait un plaisir

d 'adresser gratiiite-ent à toutes les person-nes qui en font la demande, le , Journal desForces Vitales , qui indique la méthodepour guérir en peu de temps les maladies dela poitrine, des bronches et de toutes lesaffections de l 'appareil respiratoire .

4.8..

~ous fait quelques démarches personnellesAbs.1unint ai,, -sellai.

cela est Impossible_ Vos„chcr~h,, ai ~4é „ai

- Ce l,',,t 1”. moi loi le, ai fait,,.Ç)u, est-ce donc alons >_ No m'avez-

vous pas dit que vous c'aimiez pas mettreles étrangers dans vos secrets >

- J'a i dit la « police - . De ~ rai, c ' est ne-

tri, ami, M . Robert, lui a fait le, démarche,à plusieurs reprise, ditiérCntës.

- Et toujours infructueusement ?

- T, n oz, ous avez l ' air d'un brave hein-

me et je lent vous dire, fi Céleste avecabandon

- je s'lis liés honoré de cette mai-que deconfiance. r~phqua 'Noël je (lois ajouterque je serais heureux de pouvoir vous êtreutile en cette Seulenoeut il faut que,vous me la fas,l- connaitre cri détail . je, memettrai , lonneis à votre disposition poui denouvelles démarches. Peut-être réussirai-jemieux que '%fi Robert.

- Vous a% oz, raison . je vous remercie devotre offre, écoute,, donc.

je suis tout oreilles.Le portefeuille voriterait deux pièces,

com.onç . Céleste.Noël frissonna.

L ' une était un acte de location d'uneinaison sise a Montmartre au nom d'un sicurCcrmam I.cI,glct.

- Et l 'autre ?- M. Robert affirme cpu, ~ devait être

un plan de la maison et du jardin au milieuduquel elle s'élève>

- Eh bien 1 mais, dit Noël Il me semblequ'avec cela il n 'était pas difficile de trouverla maison d 'abord . . . pins son locataire. ..nommé Germain Leu

- Lengl&t.- Lenglet répéta Noël

C 'est cela- On a bien retrouvé la maison, dit Ce-

leste, mais Germain Leliglet, autre affaire .

RUSSIE ET MON

DERNI£RES NOUVELLES DE LA MATIl"E

Télégrammes de notre correspondant particulier

Paris, le 28 Aoùt, 8 h i Iz du matin,

LA CONFÉRENCE ]DE LA PAIXLa Rouss et la Novoié IVrémia,

journaux russes, accusent ouverte-

ment le président Roosevelt de par-

tialit6 en faveur du Jap . ..

DÉCLARANIONS ni

M . Witte, premier plénipotentiairerusse, dans une interwiew, a déclaré

que les prétentions du mIapon sontun enfantillage auquel la Russie nesourait se prêter.

Réclamer trois milliards pour le

rachat de Sakhaline, c'est une insul-te que la Russie se refusera toujours

à subir.

ZURICH 1, plus l,p.,I-te de,r-cie, contre les

ls _IB.,,~& P-Lr—Il, .géru~ g,~u., s,q,cu&

d'B... . ti, Cv,, - p.,,t

q . St-i~Ie,re, Cannes. 4463

Renseignements

ETAT-CIVIL do 26 et 27 août igo5.Naissances . - Néant.Giffonc Joseph-Marius, i .

culdes Galoires.

Mariages . - Civelli Adrien, menuisier,et Mombelli Plulomène, repasseuse.

Agnelli Charles, propriétaire, et TronchiAntoinette sans profession.

Chevalier Adrien, carrossier, et RouxAlexandrine, couturière,

Carmagnolle Baptistin, ajusteur et Car-magnolle Lucie, couturière.

Dêc,'s . - Lingua Marguerite, 34 ans.Lantéri François, 56 ans,Paga. JOSCP11, ;72 ans .Publication, de ,... ze,ge, du 27 août igo5.Entre ; Scotto François, employé de com-

merce et Moro Joséphine, tailleuse .Larrier, joseph, serrurier, et R oblionc

Thérèse, journalière.Robuflo joseph, employé d'hôtel et Tal-

j olie Paulo, cuisinière,Gardenq Honoré . lestent, et Bonnauci

Marie . sans profession.Perraudo Segond, peintre, et Pettrini

Rosseline, railleuse.Franchetti Paul. journalier, et Crescente

A.toinétte,

9fi . A1ÊeM~ .Z#re 1~ opt icien . 1,i,

ru,d ' ,~clibes .

(EXPOS TION N0RD~2~ A.û, 190'

Sh

rote ;

&h . t.0l~aromctre, réduit à 7~5 0

761 6 7 60 6Ther, ~ ce,tig-

25 .2

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86~o1-ly,,ronietre .

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4~dlai du ciel . .

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maxima 32 .oBaromètre d 'aujourd 'hui 8 h . ivatin 758 0

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Gormilin Leu g let . ilch,té 1, maison quel-que,, jour, après l'abandon ci, 1, petit, . 0,,il n'habite pas lit maison . Il n 'v vient que detemps eu temps, 1, nuit, jamais à 1 . éluehelire,

- Singulier personnage l .. . dit Noël avec-nvict ion.

- N est- pas 1 fit Célcstë~ absolumentdupc de l 'intendant . .. 011 ! Cethom,r,-Ià doit macigance, ni tas ci, chosesmalpropres.

Si jamais je mets la main sur lui, il pas-sera un mauvais quart d'heure, foi d'bon-luète femme que j e ci,

- Mais, I ép~ ta l'introdant, que cette cou-versation paraissait intéresser à un degréexcessif, si ce Lenglet a acheté la maison,,vu, pcuv-,

se. adresse.c-un'nt >P,r l'ancien propriétaire de l'immeuble.Il est t, j épo .dit Célostic . C'était nu

nommé M . Verniond . Il demeurait rue Léclu-se, aux: Batignolles . Oh t nous avons biencherché.

Certainement j'aurais trouvé si j'avaisvoulu mêler la police à tout cela je le feraiplus tard, bien sûr, dans l'intérêt (le la pe-tite, mais seulement lorsque j'aurai épuisétous les moyens qui me restent encore pourmettre la main sur le nommé Lenglet.

Pour la deuxième fois Noël frissonna. Ilbénit ce hasard bienfaisant qui j'avait misface à face - ce Céleste . Ainsi elle comptaitpouvoir mettre la main sur le propriétairede la maison de Montmartre . Par quel mo-yen ? Il fallait 1, savoir.

- Mais comment donc espérez-vous >- Oli ! r>est bien simple répondit l' ex-

somnambule. . . je me déciderai, un de cesjours, à monter la garde devant la maisonnuit et jour, pendant un mois, s'il le fautComme ça, si Germain Lenglet vient visiterson immeuble, je pourrai le faire filer . . . etquand je connaitrai son domicile nous ver-

Bulletin llimant-leir

La rente 3 oloi OA fr 75 ; Extérieure Espa~gcd1~i ~i fr .go ; La Rente russe 3 010, î4 fr-40;

te 1 yonnais, ; 134 IL ; Crédit oncier,70b fr . ; Banque Ottomane, 595 fr. ; Cheminsde fer de Lyon, 1393 Ir . ; Nord, 1812 fr . ; Est,995 fr. ; Midi, 1205 fr . ; Orléans, 1514 fr.

u~pMn ft Id hil

MORT D'UNE INTANTE

Munich . — La princesse Adalbert

de Bavière, veuve du prince Adal-bert, née Amélie, infante d'Espa-

gne, est morte hier dans la matinée.

GRAVE AccIDENT

Carcassonne. — A la suite de

l'explosion d'un gazomètre, à l'usi-ne à gaz, deux ouvriers ont étéhorriblement brûlés . Leur vie est endanger.

DÉPLACF111ENT MINISTÉRIEL

Valence-sur-Rhône . — M~ Dubief,ministre du Commerce, a inauguré,

hier, an Tailieu d'une affluence con-sidérable, les magasins des tabacsde Beaurepaire, (Isère) et l'hôpital.Il a présidé ensuite un banquet de

1200 couverts et a prononcé un dis-

cours de circonstance qui a été fortapplaudi.

ELECTION SÉNATORIALESaint-Elienne. — Voici le résultat

de l'élection qui a eu lieu hier, pour

le rempl-,cement, au Sénat, de M.Francisque Reyrnond, décédé,

- .Premier tour de scrutin ; votants

.963, majorité absolue : 482.t4M . Emile Reïmond, progressiste,

485 voix (élu) z Levet, 455 ; Caval-

lazi, 16.Le docteur Reymond est élu à 3

voix de majorité et 30 voix de plus

que 1U . Levet.

LES GRANDES MANŒUVRESALLEMANDES

Berlin . — Le prince Arthur deConnaught assistera aux grandesmanoeuvres allemandes.

Le bruit que le prince de Galles

assisterait à ces manoeuvres est for-mellenient démenti.

LES AVEUX DE L'r~,SGROC GALLAY

Paris. — Lit préfecture de poli-

ce a re~u le télégraminp suivant duchef de police de Bahia : « Chef depolice de Bahia à préfet de police,à Paris. — Gallay a avoué son

identité ; il prétend être l'objet dehaines politiques, et dit être arrêté,

plutôt par crainte de divulgationde renseignements qu'il possède en

matière d'espionnage, que pour levol du Comptoir d'Escompte. »

Voir à la quatri è me page, le célèbrerégénérateur des cheveux, Reval iVindsor

rous

je ~ ous dis que çaNoël se mit à trembler.- Qu'avez-vous donc ? lui demanda Ce-

teste su I pri-Rien ! répliqua l'intendant en s'effor-

çant de vaincre sa frayeur . . . 'Mais ce porte-fouille_ voua l'avez encore. . . ainsi que lespapiers.

- Pardi ! je vous crois certes, oui, je l'aiencore, ce portefeuille ' . .. je nu le donneraispas pour une grosse somme, allez. . . Dame ! . ..ces papicrs, on ne sait pas Ils constituentpeut-être la fortune future de ma petiteIls sont là, dans mon armoire, une bonne ar-moue solide . . . Ils sont un sûreté ~ . . . Nouscouchons là, Jerome et moi, dans ce lit etcomme , on, le vovez, po-he de 1 a susdit,,armoire. . . Il faudrait nous assassiner tousles (jeux pour nous prendre ce trésor—

- Vous assassiner, répéta Noël tout fré-naissant

- Uni, nous assassiner_ fit Céleste Or,Ça n'est pas commode . .. Jérôme, quoiquevieux, a de la poigne, et moi je suis encoresolide.

Cependant le sourire que ses lèvres avaientébauché pendant qu'elle parlait ainsi sechangea soudain en un effroyable rictus sousl'action de la terreur qu'elle ressentit . C'estque Noël, tout à coup, s'était levé, terrible.les yeu s hagards . Cela s'était fait avec uneindicible rapidité . L'intendant s'était trouvésoudain debout devant Céleste . . . un couteauà la main. . . un couteau à laine longue, trèseffilée, que sa main droite avait trouvé sur latable non desservie . L'ex-somnanibiile n'eutpas le temps de crier.

L'arme s'était abattue sur la malheureusefemme et lui avait coupê la gorge.

Céleste tomba sur un genou.Elle Calait.Elle se défendit avec Fênergie qui se dé-

ploie en une lutte suprême . ..Mais NoO, fgu,êni~,ré parl'ocieur du sang

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versé, frappait maintenant sa victime à coupsredoublés. Son b,a, se levait et s' .b.ttaitsans ielàcic, régohèrernent, c,>cicic un b.-lancier, et chaque foi, clo'fl retombait, unbruit affreux, — le bruit que l'acier produiten coupant la chair . — retentissait.

La femme Hervé ne bougeait plus queNoel frappait toujours.

Tout à coup Jérôme SC,ré,,cill .. Il regardace qui se passait . Ivre . i ne comprit qu'à.demi. Il se leva pourtant en titubant . Ilmarcha vers Fassassin . Noul le prit brusque-ment à la L'ivrogrie -ulut se débat-tre

. Il "I"~ -.le '-elléité (le résistance.

Robert 1 lit il,Dans son ivresse il prenait Noël pour Ro-

liert,la, porta un coup

de

terrible dans la poitrine.Jérôme fit- Ali ' . ..Et il Te tomba sur sa chaise . où il rosi& as-

sis, les bras ballants. Le couteau resta dansla blessure.

La lame avait traversé le coeur . Jérômeavait été tué raide.

Noel, cependant, paraissait aveugle etsourd. Il ne se connaissait plus . Il ne savaitplus ce qu'il faisait, Il semblait poursuivipar une idée fixe.

- Le portefeuille ! .. . Le portefeuillerépétait-il

Là

Dans l'armoire

Vite. ..Vite !

Il marcha vers j'armoire sans entendre lavoix il la petite fille, qui, depuis on trio-ment réveillée par le bruit de la lutte, appe-lait ~, .ov voix désespérée dans le cabinetvoisin~

- Manian ! .. . Maman

Bonne mamanHervé 1 . . View . .. viens

peurj'ai peur 1

(A suivre) .