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BRONZECONSORTECHGÉOPLUS INC.
GROUPE COLPRONHARFAN TECHNOLOGIES
INTERGRAPHKOREM
PARTENAIRESCDG INC.GÉO INFO
URISAQUÉBEC AFFAIRES
AGMQ500, RUE SHERBROOKE OUEST
BUREAU 900MONTRÉAL(QUÉBEC)
H3A 3C6TÉLÉPHONE :
(514) 282-3819TÉLÉCOPIEUR :
(514) 844-7556
INTERNET : WWW.AGMQ-QUEBEC.COM
COURRIEL : [email protected]
La Biosphère d’Environnement Canada fûtun lieu privilégié pour le dernier colloque del’AGMQ. Située sur le site de l’île Sainte-Hélène à Montréal, la Biosphère est le seulmusée en Amérique qui se dédie toutparticulièrement au fleuve Saint-Laurent etaux Grands Lacs. Ce colloque d’une journéea permis de voir jusqu’à quel point lagéomatique peut aider nos municipalitéset nos gouvernements à jouer leur rôle auniveau de l’environnement.
La conférence d’ouverture de M. DenisLapointe, maire de Salaberry de Valleyfielda permis de dresser un portrait des multiplesresponsabilités que les municipalités ont àassumer sur le plan environnemental et demontrer l’importance du soutien des paliersde gouvernements supérieurs.
Les conférences de la matinée ont porté surles applications environnementales. Il a étéquestion des conséquences pour lesmunicipalités des nouvelles dispositions sur
les terrains contaminés et de l’utilisation dela géomatique dans divers domaines : suivide la radioactivité au Québec, suivi desinfections par le virus du Nil occidental,délimitation et hiérarchisation des bassinsversants, gestion des niveaux d’eaux duSaint-Laurent, cartographie des milieuxhumides.
Les conférences de l’après-midi ont portésur l’hydrologie et les applications muni-cipales. Le volet hydrologie couvrait laquestion des mesures d’urgence en cas debris de barrage, de l’établissement debandes de protection autour des cours d’eauet de l’intégration de données topométriquesrelevées par laser aéroporté sur le modèlenumérique de terrain du fleuve Saint-Laurent.
Le volet applications municipales a traitéd’aménagement des milieux naturels et desnormes environnementales, de l’imageriesatellitaire à haute résolution ainsi que de lagestion des réseaux d’aqueducs et d’égoutset de l’eau.
Page 1 • Automne 2003Page 8 • Automne 2003
Prix de présence - Événements
L’environnement et la géomatique
L’environnement est àjuste titre un sujet quipréoccupe de plus enplus de gens. Les phéno-mènes environnementauxcommencent à avoir uneincidence importante surla population et ont desconséquences humaines
et économiques majeures. À l’instar de leurs citoyens, lesgouvernements et les municipalités sont plus sensiblesaux enjeux environnementaux et cherchent à mettre enplace des politiques et des solutions afin de préserver etd’améliorer la qualité de notre environnement.
La géomatique joue un rôle capital sur le plan environ-nemental tant au niveau de la détection et la mesure desphénomènes que de leur représentation et de leuranalyse sur carte. Ce colloque a donc été une occasionde voir jusqu’à quel point la géomatique peut aider nosmunicipalités et nos gouvernements à jouer leur rôle auniveau de l’environnement.
Que ce soit au niveau de l’acquisition et de la diffusionde l’information environnementale, de l’impact desniveaux d’eau sur le Saint-Laurent, des conséquencesdes nouvelles dispositions sur les terrains contaminés, lagéomatique est devenue un outil indispensable dans tousles projets d’études en environnement.
ÉDITION D’APRÈS COLLOQUEVolume 02, Numéro 02, Automne 2003
FIRMES DE SOUTIEN
Déjeuner
Éditeur en chefLuc Séguin, M.Sc.Directeur du développementArpentage, cartographie et géomatique85, rue Ste-Catherine OuestMontréal (Québec) H2X 3P4Téléphone : (514) 287-8500Télécopieur : (514) 287-8643Courriel : [email protected]
Photographie :Jean-Guy RenaudDirecteurPageau-goyette et associé
Rédaction Pierre PelletierUrbaniste et conseillerVille de Laval
François RobitailleConseiller en géomatiqueSIGIS
Richard BlouinIngénieur, chef de développementRéseau de transport de Longueuil (RTL)
Johanne SylvestreGéographeMRC de D’Autray
Infographie :Johanne PlaisanceInfographe
Prochain colloque
PRINTEMPS«Géomatique etdéveloppement
économiqueSt-Hyacinthe
AUTOMNE«La géomatique
et les infrastructures»
L’Équipe de rédaction
Événements d’intérêtsRésumé général
Tirage P. Daoust
TABLE DES MATIÈRES
Éditorial . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Page 1
Résumé général . . . . . . . . . . . .Page 1
Résumé des conférences . . . . . . .Page 2
Applications environnementales .Page 2
Hydrologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Page 3
Applications environnementales .Page 4
Applications municipales . . . . . . .Page 5-6
Un gros merci à nos exposants .Page 7
Un gros merci à nos membresde soutien . . . . . . . . . . . . . . . . . .Page-7-8
Prix de présence / Événements . . . . . . . . . . . . . . .Page-8
Pag
e 7 • Autom
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La Loi sur la qualité d
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odifiées en
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inés.Les
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nentes ont étém
ises en
vigueur
enm
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atique
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Qu
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conséquences
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éomatiq
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essentiel pour la d
étection, la mesure et
la rep
résentation d
es p
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environnementaux
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az issu de la d
égra-
dation d
e l’uranium. Il est im
possib
le de
prévoir sa p
résence à l’air libre. O
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le mesurer seulem
ent dans un esp
aceclos com
me un b
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résencep
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ues sérieux en cas de
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portante.
Il est
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ereux si inhalé; il est dém
ontré qu’il
cause le cancer du p
oumon.
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résence d
e rad
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étriques
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données
géolog
iques
ont été
cartograp
hiées ainsi
que
des
informations
cartograp
hiques
de
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évelopp
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es projets d
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ent.
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ans une zone de risq
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pem
ent résidentiel
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lèmes d
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ubliq
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été m
odifiée
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alisés au préalab
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iloccid
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prennent
plusieurs
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organism
es répartis sur le territoire
québ
écois. Ces intervenants ont b
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’affichage
cartograp
hique, d
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consulter les données requises (adressed
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morts,
résultats d
es tests
étatd
’avancement d
es activités, etc.).
Les outils suivants ont été disp
onibles :
-5 m
ai 2003 : les outils de localisation
des m
oustiques, oiseaux, anim
aux ethum
ains infectés;-
2 juin 2003 : les outils d’affichag
ecartog
raphiq
ue.
De p
lus, le site perm
ettait de charg
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ps réel les d
onnées d’analyse d
elab
oratoire.Les conclusions d
u projet sont :
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élioration de la p
lanification et de
la rapid
ité des interventions g
râce auxd
onnées géoréférencées en tem
ps
réel;-
La possib
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par l’ensem
ble d
es intervenants pour
tout le territoire couvert;-
La possib
ilité de réaliser d
es analysessp
atiales et de les d
iffuser rapid
ement;
En raison d
es délais très courts p
our lam
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uction du S
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eb à tem
ps
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ne 2003,
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porter un certain nom
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liorations pour le p
rojet de surveillance
2004. Finalem
ent, le
projet
2003 a
dém
ontré le très grand
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éomatiq
ue Web
pour la surveil-
lance des infections p
ar le virus du N
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Grand
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de la rég
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e lasécurité
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par
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oins 5
organism
es (dont la com
mission m
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u traité US
AC
anada sur les eaux lim
itrophes).
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aranti par un p
rogram
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oureux de
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diverses
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ps sec, en
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es et leur bris en cascad
e.
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ulerd
es accidents d
e différentes natures et
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région d
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n des p
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la carte
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maxim
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’Hyd
ro-Québ
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maxim
al d
e l’eau,
lerehaussem
ent, le temps d’arrivée du front
d’ond
e et le temp
s d’atteinte d
u niveaum
aximal.
En fonction d
es répercussions sim
ulées,les interventions en cas d
e catastrophe
peuvent être d
’augm
enter le déb
it àcertains ouvrag
es ou encore de d
évier,voire inverser le d
ébit d
e certains coursd’eaux afin d’augm
enter le temps d’arrivé
du front d
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’atteinte du niveau
maxim
al.
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10
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La version de 1996 d
e la Politiq
ue de
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es rives, du littoral d
es
plaines inond
ables ob
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unici-palités à appliquerà tous les cours d
’eauune b
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e protection d
e 10 ou 15m
ètres, que leur débit soit continu ou dis-continu. U
n des b
uts visés par cette
politiq
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e protég
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uire les indem
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ation.
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ans l’app
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ans le fait qu’il
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ts plus
ou moins faciles à g
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ébit
des cours d
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notamm
ent p
ar la
nature d
e la
végétation), la p
ente et la hauteur de la
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onnées sont souventm
éconnues et les zones de p
rotectionsne sont p
as toujours identifiées d
ans lesp
lans d’urb
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Les données nécessaires p
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unicipalités
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odélisation d
e l’hydro-
dynam
ique, la m
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es habitats,
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es berg
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AR
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ilieu etd
’évaluer les imp
acts des chang
ements
du m
ilieu sur les cours d’eaux. La zone
incluse dans cette op
ération effectuéeen autom
ne couvrait le fleuve et ses rivesentre C
arillon et Trois-Rivières
(l’île de Lavalet environ la m
oitié de
l’île d
e M
ontréaln’étant
pas
inclus).
L’équipe a étéconfrontée àp
lusieursp
roblèm
esd
ont celui
du
poid
s d
esd
onnées recueillies :une p
etite portion d
u territoire (1,5 km2)
contenait environ 220 000 000 de p
oints.La b
ase de d
onnée a donc d
û être gérée
par
OR
AC
LE
et une
simp
lification(réd
uction du nom
bre d
e points p
our lessurfaces p
lanes et uniformes) a été
app
liquée afin d
’en réduire la taille.
Un autre problèm
e rencontré était l’impos-
sibilité de déterminer si l’im
pulsion captéeétait au sol ou sur l’eau. D
es filtrages
manuels accom
pag
nés de sim
ulationshyd
rodynam
iques d
es niveaux de l’eau
ont dû être ap
pliq
ués pour sép
arer lesd
onnées associées aux cours d’eau d
ecelles associées au m
ilieu terrestre.
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es « résidus » étaient
souvent p
résents d
ans le
mod
èlenum
érique d
e terrain. Il pouvait s’ag
ir de
bateaux, de quais et autres objets captésp
ar le laser mais q
ui ne devaient p
as êtretraités par les algorithm
es d’interpolation.
Malg
ré les emb
ûches rencontrées, lesrésultats
finaux sont
extrêmem
entconvaincants
et p
ermettent
d’aller
chercher une précision au sol d
e 10 cmen m
ilieu dég
agé.
Une sim
ulation visuelle sous forme de jeu
interactif a ensuite perm
is d’ap
précier
toute la finesse du résultat.
Pag
e 3 • Autom
ne 2003P
age 6 • A
utomne 2003
Vo
let : H
ydro
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ie
L’environnement
étant au
cœur
de
préoccup
ations urbaines et un enjeux
majeur dans la m
ajorité des municipalités
ou MR
C d
u Québ
ec, les intervenantsd
ans le
milieu
doivent
maintenant
acquérir
les outils
nécessaires au
traitement
de
cette m
assed’inform
ation età la d
iffusiond
e celle-ci.
M. Lab
recque
nous fait un tourd
’horizon de la
télédétection
etp
résente les différents
types d
’imag
es satellitaires en précisant
les caractéristiques d
e chacune. Cette
technologie p
ermet d
es analyses fineset d
étaillées servant à dresser d
esp
ortraits glob
aux et à faire des suivis
temp
orels.
D’autre
part,
l’imp
lantation d
esnavig
ateurs cartograp
hiques Internet a
perm
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e rend
re l’inform
ation p
lusaccessib
le et transparente. C
ertainesM
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et
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alités p
ermettent
maintenant à leur p
opulation d
e suivrel’avancem
ent de d
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s réelet d
e ce fait, rapp
rochent la pop
ulationd
es princip
aux enjeux de leur m
ilieu.
Selon M
. Labrecq
ue, les nouveaux outilsg
éomatiq
ues facilitent l’acquisition d
enouvelles connaissances et favorisentl’im
plication d
es gens d
ans leur milieu.
Co
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ou
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ans le cadre d
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es réseauxd
’aqued
uc et d’ég
outs, il s’avère que la
géom
atique est un outil p
rimord
ial. Lag
estion des d
onnées de ces réseaux est
utilisée par un nom
bre im
portant d
eg
estionnaires, ce qui la rend
comp
lexe.
La présentation d
’app
lications sur unm
odèle
hydrauliq
ue, fait
ressortirl’im
portance d
e la validation d
e cesd
onnées, d
es conséq
uences d
ud
édoub
lement d
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onnée et
du
contrôle d
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ui estm
alheureu-sem
entsouvent sous-exp
loité. Selon
Mm
e C
ourte-m
anche
pour
bien structurer un tel
système, il est cap
ital de consulter les
princip
aux utilisateurs
afin d
e b
ienrép
ondre à leurs b
esoins.
L’imp
lantation d’un systèm
e intégré et
l’imp
lantation d’un p
rotocole de création
et d’échang
e des d
onnées qui rép
ondra
aux b
esoins et
intérêts d
e chacun
améliorera la g
estion des ressources, le
temps de réponse aux citoyens, le tem
psd
e réponse en cas d
’urgence, une
meilleure planification des budgets et des
travaux de réfection d
e mêm
e que
l’efficacité du p
ersonnel.
Ainsi,
les outils
géom
atiques
à la
disp
ositions des intervenants p
ourrontles aid
er à prend
re des d
écisions justeset rap
ides.
Confé
rencie
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au
M.
Laplante
nous a
entretenu d
ud
évelopp
ement d
’un projet g
éomatiq
ueet d
es prém
isses à la réussite de celui-
ci. Dans un tel p
rojet, il est imp
ortantd
e b
ien id
entifier son
amp
leur, d
econnaître
les intervenants
et les
responsab
ilités de chacun.
La planification d
’un projet d
oit se faire àlong
terme, en se d
otant d’une b
ased
’information solid
e qu’il sera facile d
em
ettre à jour et de faire évoluer d
ans letem
ps. L’harm
onisation des d
onnéesg
éograp
hiques d
e base, d
es données
existantes et des données à acquérir doitaussi fig
urer en tête de liste d
es priorités
afin de faciliter l’acq
uisition de nouvelles
données et la m
ise à jour régulière d
esd
onnées existantes.
De ce fait, afin
de réussir un
projet
géom
atique, il
est prim
ordial
de
sélectionner lesintervenants aud
ossier en fonctiond
e leur expertise, d
eleur technolog
ie et leur expérience.
Pag
e 5 • Autom
ne 2003P
age 4 • A
utomne 2003
Vo
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les
Dans le cad
re de la caractérisation d
ub
assin versant de la rivière l’A
ssomp
tion,cette m
éthode a p
ermis d
’évaluer lasensib
ilité des lacs à l’étab
lissement d
enouvelles installations d
e villégiature en
regard
des excès en nutrim
ents.
En conclusion, cette méthode s’applique
aisément. E
lle est imp
lantée sur un SIG
peu
coûteux et
utilise d
u m
atérielinform
atique
et d
es d
onnéesrelativem
ent standard
s. Elle est d
oncrelativem
ent abord
able p
our la plup
artd
es municip
alités.
Conférencier : François B
oudreaultO
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au
sur le
Sa
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au
ren
t
Le C
entre S
aint-Laurent
est un
organism
e du
gouvernement
fédéral fond
éen 1988 q
ui ap
our mission
d’étud
ier le
fleuve S
aint-Laurent.
Il est
constitué d’un service d
erecherche scientifiq
ue et technique, d’unservice charg
é de suivre l’état d
u fleuveet d
’un service chargé d
e la recherchesur les écosystèm
es fluviaux
La géom
atique est utilisée au centre
Saint-Laurent à trois niveaux :
-effets d
es fluctuations des niveaux
d’eau sur les milieux hum
ides du Saint-Laurent;
-im
pacts et adaptations de la plaisanceaux variations d
e niveaux d’eau;
-g
éomatiq
ue environnementale
La géom
atique a été m
ise à profit p
ourcom
parer les résultats d
e la distrib
utiond
es plantes aq
uatiques sub
merg
ées àp
artir de 3 m
éthodes et 5 scénarios d
eniveaux d
’eau du lac S
aint-Louis. Lesd
ifférentes cartes prod
uites ont perm
isd
’identifier les sim
ilitudes m
ais éga-
lement
les d
ivergences
des
troism
éthodes et d’apprécier les limites et les
avantages d
e chacune d’elles.
Co
nfé
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ou
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Les p
ouvoirs d
es m
unicipalités
enm
atière de p
rotection de l’environnem
entsont
imp
ortants.C
elles-ci ont
juridiction sur le
contrôle d
ub
ruit, la
gestion
etcontrôle
des
prod
uitsd
angereux, la
gestion
des
matières
résiduelles,
lap
ollution d
e l’air,
la g
estion et
l’assainissement
de
l’eau,l’am
énagem
ent et
l’urbanism
e, la
protection
des
espaces
verts, la
protection d
es rives, etc. Au cours d
ela d
ernière décennie, p
lusieurs de ces
pouvoirs aup
aravant assumés p
ar leg
ouvernement d
u Québ
ec ont été peu à
peu céd
és aux municip
alités. Il dem
eured
ifficile pour les m
unicipalités d
’assumer
financièrement ces resp
onsabilités sans
le sup
port
des
gouvernem
entssup
érieurs.
Au cours d
es dernières années, les
municip
alités sont intervenues sur lagestion des pesticides, la réglem
entationd
e la qualité d
e l’eau potab
le, la gestion
des m
atières résiduelles, le d
ossier de
l’industrie
porcine,
la sécurité
des
barrag
es, la maîtrise d
e la végétation, le
comp
ostage d
omestiq
ue et dans b
iend
’autres dossiers environnem
entaux.
La géomatique m
unicipale est un outil dep
lus en plus utilisé, au niveau d
e lag
estion et
d
e la
protection
de
l’environnement ainsi q
u’au niveau de la
détection
et d
e la
mesure
des
phénom
ènes environnementaux. S
ur lep
lan de la g
estion et la protection d
el’environnem
ent, elle est utilisée pour
l’établissement des aires de conservation
et des zones p
rotégées, la cartog
raphie
des zones à risq
ue de p
ollution, lag
estion des m
atières dang
ereuses ourésid
uelles, la gestion d
es données
relatives aux réseaux d’aq
ueduc et
d’ég
outs, la
gestion
des
parcs
etesp
aces verts, la gestion d
es terresurb
aines pour l’ag
riculture.
Sur le p
lan de la d
étection et la mesure
des phénomènes environnem
entaux, elleest p
récieuse pour cartog
raphier les
terrains contaminés, g
érer le territoire encas d
e sinistre, déterm
iner la variationd
’indice d
e végétation et suivre les
coupes forestières et g
érer le territoireexp
loité.
Les municip
alités du Q
uébec et l’U
MQ
s’imp
liquent d
ans le dom
aine de la
géom
atique en p
articipant activem
entaux
colloques
de
l’AG
MQ
et
encollab
orant avec des org
anismes tels
que le Centre de géom
atique du Québec
(CG
Q) et C
entre de d
évelopp
ement d
ela g
éomatiq
ue (CG
Q).
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Le Ministère d
e l’environnement d
uQ
uébec a d
évelopp
é une méthod
e de
délim
itation d
e réseaux
de
bassins
versants perm
ettant de traiter avec d
étaild
e vastes
territoires et
de
gérer
efficacement les unités d
e drainag
eg
éoréférencées. L’eau alimentant une
municip
alité p
rovient d
’un territoire
souvent beaucoup
plus vaste q
ue celuid
e la municip
alité. Il faut donc connaître
non seulement le b
assin versant de la
municip
alité mais ég
alement tous les
bassins versants en am
ont.
La méthod
e prop
osée est basée sur un
mod
èle matriciel d
’écoulement calculé à
partir d
e courbes d
e niveau, d’un réseau
hydrog
raphiq
ue vectoriel et d’un m
odèle
numériq
ue d’élévation (M
NE
). À p
artir de
ces données, on p
eut calculer avec des
logiciels sp
écialisés, des m
atrices de
directions d
’écoulement et d
es matrices
d’accum
ulation de l’écoulem
ent. Lesunités d
e drainag
es étant hiérarchisées,il est p
ossible d
e retrouver à l’aide d
’unetab
le de corresp
ondance, toutes les
unités de d
rainage en am
ont.La m
éthode a été ap
pliq
uée dans d
escas d’analyse de la qualité des eaux. Ellea
perm
is notam
ment
de
quantifier
l’app
ort en nutriments p
rovenant du
bassin
versant et
de
coliformes
provenant d
e certaines installationssanitaires en b
ordure d
es lacs et du
réseau hydrog
raphiq
ue amont im
méd
iat.
La géom
atique a p
ermis ég
alement
d’étud
ier l’imp
act des niveaux d
’eau surla navig
ation de p
laisance et d’id
entifierles
endroits
prob
lématiq
ues. Les
prop
riétaires d
e m
arinas et
lesp
laisanciers sont très sensibles à cette
question p
articulièrement lorsq
ue leniveau d
’eau est bas com
me ce fût le
cas au cours des d
ernières années.
Ces inform
ations constituent un élément
de
plus
pour
la C
omm
ission m
ixteinternationale
(CM
I) q
ui a
laresponsabilité de gérer les niveaux d’eaud
es Grand
s Lacs et du fleuve S
aint-Laurent pour le C
anada et les États-Unis.
Les usages com
merciaux d
u Saint-
Laurent (navig
ation com
merciale,
prod
uction hyd
roélectrique)
et les
impacts de la régularisation des eaux sur
les prop
riétés riveraines (dom
mag
es liésaux inond
ations) ne sont plus les seuls
éléments consid
érés.
Conférencier : M
arcel Houle
Org
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isme
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hie
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rac
tive su
r Inte
rne
tD
ans son mand
at, le Centre S
aint-Laurent (C
SL) se d
oit de d
iffuser des
connaissances scientifiques sur le S
aint-Laurent
et d
’assurer un
soutientechniq
ue et scientifique aup
rès des
collectivités. C’est d
ans un tel contexteq
ue celui-ci
a m
is sur
pied
une
cartograp
hie interactive sur Internetp
rocurant les avantages suivants :
-Facilité d
’accèsaux b
ases de
données;
-Flexib
ilité àl’usag
erd
ans la
consultationet
l’interro-g
ation d
esd
onnées;-
Fourniture d’outils d
’analyse spatiale
simp
le;-
Mise en lig
ne rapid
e de nouveaux
ensemb
les de d
onnées;-
Bénéfices d
es hyperliens m
ultiméd
ia.
Les milieux hum
ides rep
résentent unélém
ent de suivi p
rivilégié p
our rendre
comp
te de l’état d
u Saint-Laurent, en
raison de leur im
portante contrib
ution àla
diversité
et à
la p
roductivité
biolog
ique, d
e leur capacité d
’épuration
et de leur rôle d
ans le cycle vital de
nomb
reuses esp
èces vég
étales et
animales.
L’app
lication cartograp
hique interactive
du
CS
L p
ermet
de
visualiser la
végétation des milieux hum
ides du Saint-Laurent d
ans quatre secteurs (sud
du
lac Saint-Louis, les îles d
e Boucherville,
les îles de C
ontrecoeur, l’archipel d
u lacS
aint-Pierre (à venir)).
L’utilisateur de cette ap
plication p
eutconsulter d
es cartes montées à l’aid
ed
’imag
es satellitaires Landsat et Ikonos,
de
capteurs
aéroportés
ME
IS,
de
données vid
éograp
hiques. L’ap
plication
offre divers outils d
e navigation, d
ereq
uête et de sélection et d
es hyperliens
perm
ettant de visionner d
es photos
numériq
ues des sites.
Avec
l’ajout d
’autres cartog
raphies
récentes, de cartes d
es changem
ents etl’utilisation d
e technologies d
es servicesW
eb, le site évoluera éventuellem
entvers un cyb
erespace sur le fleuve S
aint-Laurent(http://w
ww
.qc.ec.gc.ca/csl/inf/inf007_f.h
tml).
Vo
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al
M. W
illiams est venu nous p
résenter lap
lace que p
rend la g
éomatiq
ue dans la
nouvelle ville de Long
ueuil. Il nous a entretenu p
rincipalem
ent de
la loi sur la qualité d
e l’environnement
app
liquée aux m
ilieux humid
es et de la
loi sur les espèces m
enacées.
À travers une d
émonstration concrète,
app
uyée sur les grenouilles il nous a
présenté sa m
éthode d
e caractérisationd
es milieux hum
ides.
M. W
illiams a d
émontré l’utilité d
es outilsg
éomatiq
ues dans la p
rise de d
écisionen
matière
d’im
plantation
des
infrastructures municip
ales. Il a sum
ontrer la grand
e précision d
es outilsutilisés tel les ortho-p
hotos et a témoig
néd
e l’im
portance
de
spatialiser
lesinform
ations lors de la p
rise de d
écision.
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