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Du Fantasme à la (Troublante) Réalité

J’ai toujours été excité à l’idée de voir un homme âgé et vicieux profiter de ma femme et la baiser

sous mes yeux. Lorsque l’occasion s’est présentée, la réalité a été encore plus forte mais plus crue

aussi.

Si vous passez le pas, sachez que le fantasme cache souvent une vérité triviale et parfois dérangeante.

Impressions sur le vif et moments choisis…

Le baiseur est là, très réel, son corps flasque et avachi, ses paroles sont crues, il donne des ordres à

votre épouse, ses mains se posent sur elle, dans des endroits intimes que vous seul aviez le droit

d’explorer. Elle est belle et elle a choisi une tenue hyper-sexy, mais avec son sexe entièrement épilé,

ses bas noirs et ses talons aiguilles elle ressemble à une pute offerte.

L’homme est excité, il sue, il souffle fort, il malmène un peu votre petite femme qu’il a installée à

quatre pattes, offerte et docile. Il malaxe ses seins, fouille son sexe de ses gros doigts, palpe ses

fesses. Il lui assène quelques claques sur le postérieur pour bien affirmer que ce soir, c’est lui qui

commande.

Ensuite, à genoux devant lui, elle le suce, tout d’abord il bande un peu mou, elle s’applique, elle lui

lèche les couilles. Le bruit de succion est terrible. Cela dure longtemps.

Il la pénètre en levrette d’abord, sans capote c’était convenu, sa petite chatte humide s’ouvre

pendant que sa bite épaisse écarte ses chairs. Elle gémit, il souffle encore plus fort ; il va et vient dans

son sexe. Un bruit humide accompagne ses coups de reins ainsi que le claquement de son gros bide

sur les fesses de votre chère et tendre. Elle vous regarde, dans son regard vous sentez qu’elle est

excitée, même si le type la répugne un peu. Il l’insulte, la traite de chienne et de salope. Il vous défie

du regard pendant qu’il la prend et sourit en découvrant que vous vous masturbez alors que sa verge

à lui fouille le ventre de votre femme. Vous êtes humilié, honteux mais le sentiment est délicieux.

Ils changent de position plusieurs fois, à chaque fois vous voyez sa verge luisante ressortir du délicat

fourreau pour l’enfiler à nouveau jusqu’à la garde. Il est maintenant au-dessus d’elle, elle est

couchée sur le dos, il maintient ses jolies jambes gainées de noir écartées et il admire sa bite

s’enfoncer entre ses lèvres intimes, elle gémit davantage, les yeux mi-clos pendant qu’il la pistonne.

Le vieux cochon la repositionne en levrette, il la guide avec une précision presque maniaque : les

cuisses écartées au maximum, très cambrée, les fesses tendues, la joue écrasée sur la couette, il la

veut complètement offerte et impudique pour l’assaut final. Il pénètre son anus sans ménagement,

défonçant sa rondelle échauffée et dilatée. Elle grimace, pousse des petits cris de douleur.

Une fois à fond, il l’encule avec rage, vous ne la prenez jamais par là. Elle lui donne la primeur de son

cul, il en profite. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier, mais son regard atteste de sa profonde

excitation. Il la sodomise pendant de longues minutes, vous bandez à mort de voir votre chérie se

faire enculer devant vous par un vieux vicieux, à quatre pattes, habillée en pute dans une chambre

d’hôtel. Il jouit dans ses reins et vous regarde d’un air triomphant, il a enculé votre femme devant

vous, il vous a humilié mais vous avez aimé.

Il se retire lentement. Elle garde les cuisses écartées, le sperme coule de son anus, elle est souillée...

L’odeur de sexe et de cul qui flotte dans la chambre est enivrante, le type se rhabille en vous

félicitant d’avoir une épouse si belle et si docile.

Vous regardez votre bite que vous venez de masturber, vous avez honte de ce qui vient de se passer

mais vous savez que allez recommencer...