du Pays de RENNES - Synagri.com · pluviométrie moyenne annuelle est de 700 mm dans les bassins abrités et entre 700 et 750 mm sur les plateaux plus exposés. GéomorphologieD’un

Les AgriCulturesdu Pays de

RENNES24 %

11 %

19 %

cormaule35r

Nos documents

Les AgriCultures • Pays de Rennes Les AgriCultures • Pays de Rennesp.2 p.3

Situation géographique :Situé au centre du département d’Ille-et-Vilaine, le Pays s’étend autour de Rennes. Il regroupe une communauté d’agglomération et quatre intercommunalités : Rennes métropole, le Pays d’Aubigné, le Pays de Châteaugiron, le Pays de Liffré et le Val d’Ille.

Cours d’eau principaux : Avec un réseau hydrographique assez dense, le Pays est drainé principalement par le bassin de la Vilaine dont le cours d’eau est alimenté par l’Ille (à Rennes), le Meu (à Chavagne) et la Seiche (à Bruz). Une faible partie nord est située sur le bassin du Couesnon.

Climat : Le climat est d’influence océanique, avec peu de contraste entre les saisons. La pluviométrie moyenne annuelle est de 700 mm dans les bassins abrités et entre 700 et 750 mm sur les plateaux plus exposés.

Géomorphologie : D’un point de vue topographique, une grande partie du territoire correspond au bassin de Rennes, vaste plaine avec un bon potentiel agronomique. Ce bassin est coupé par des vallées alluviales. Les altitudes y sont faibles. Le sous-sol du Pays de Rennes est un socle de roches métamorphiques composé en grande partie de schistes.

Les Agricultures, moteurs des territoires

Le monde bouge et les activités agricoles se réinventent avec lui. L’agriculteur entretient un lien fort à la terre et à son territoire. Constamment, il se tient à leur écoute et au-delà, il entend les demandes nouvelles d'une société mondialisée.

Au quotidien, l'agriculteur gère des ressources naturelles, il cultive la biodiversité, négocie des marchés pour pérenniser son outil de travail. De plus en plus, il retisse des liens avec les consommateurs ; de par son rôle nourricier majeur, l’agriculture est au cœur des chan-gements. Au-delà encore, l’agriculture constitue un élément vital sur tout le territoire, elle participe à son dynamisme, à son attractivité et contribue fortement à l’emploi local. Globa-lement, en Ille-et-Vilaine, l’agriculture emploie directement ou indirectement 10% de la population active.

Dans notre Pays, cohabitent des agricultures qui ont des formes variées : de l'éleveur laitier au cultivateur de légumes, du producteur en vente directe au fournisseur de l'entre-prise agroalimentaire locale... Plurielles, ces agricultures s'adaptent à leurs marchés. Toujours, elles sont le fruit du travail de femmes et d’hommes désireux de mener à bien leurs stratégies d’entreprise dans une perspective commune de bien vivre au Pays. Dans tous les cas, cette diversité est une richesse infinie et source d'innovation. "L'innovation constitue bien une des clés de la performance de nos agricultures." Hier la mécanisation, aujourd'hui l'Agriculture Écologiquement Intensive... l'Agriculture s'ancre dans le monde moderne et ses exigences.

Marcel Denieul

Carte d'identitéEdito

Pays de Saint-Malo

Pays des Vallons de Vilaine

Pays de Brocéliande

Pays de Fougères

Pays de VitréPorte de Bretagne

Rennes Métropole

CC du Pays de Châteaugiron

Pays de Rennes

CC du Pays deLiffré

CC du Val d’Ille

CC du Pays d’Aubigné

Liffré

Châteaugiron

Rennes

Melesse

Saint-Aubin-d’Aubigné

Source : Agreste DRAAF Bretagne, Recensement agri-cole, ensemble des exploitations - Insee 2009.*UTA : Unité de Travail Agricole correspondant au tra-vail d’une personne à temps plein pendant une année.

Chiffres clés /km2

soit 468 239 habitants• Ille-et-Vilaine (I&V) : 144 hab./km2 • Bretagne (Br) : 117 hab./km2

• France (Fr) : 115 hab./km2

381

73 451 haSurface agricole utile (SAU)Soit 60% de la superficie du Pays (I&V : 66 %)Cette SAU représente 16% de celle du département.

1 645 exploitations (toutes tailles confondues)(I&V : 9 630) d'une taille moyenne de 45 ha (I&V : 46, Br : 48, Fr : 55)

Age moyen 49 ans(I&V : 49 ans, Br : 47 ans)

14

Communautéd'agglomérationCommunautésde Communes

71 Communes

Cet ouvrage se veut une invitation à découvrir et à partager une vision de l’agriculture des dix années passées. Notre ambition est de donner à tous les clés d'une culture commune.

Notre volonté est de parvenir à évoluer en-semble pour un développement du Pays har-monieux et durable. L'enjeu est d’avancer collectivement, monde agricole, monde urbain et monde rural pour un territoire qui respecte et valorise toutes les activités, toutes les agricultures. 2 660 emplois

(en UTA*) sur les exploitationsdont 1 821 chefs d'exploitations et co-exploitants

Marcel DenieulPrésident de la Chambre d’agriculture

d’Ille-et-VilaineAvant le 1er janvier 2014


Pré-requis

Le recensement agricole (RA) différencie les petites, moyennes et grandes exploitations en fonction de leur PBS (Production Brute Standard).

Cela correspond au potentiel de production de l'exploitation. Les grandes et moyennes exploitations représentent 98% de la PBS du département. C'est pourquoi les résultats du RA en pages 4, 5, 6, 7, 10 et 11 se concentrent sur ces seules exploitations dites historiquement « professionnelles ».

Des exploitations moins nombreuses mais + grandes

Exploitations Agricoles

Source : Agreste DRAAF Bretagne, Recensement agricole, Moyennes et grandes exploitations.

Exploitations Agricoles


Formes juridiques des exploitations en 2010

SCEA6%

Individuel36%

GAEC18%

Autres3%

EARL37%

Individuel ou sociétaire (GAEC, EARL, SCEA, etc.), différents statuts peuvent être adoptés par les exploitations agricoles :La forme sociétaire offre la possibilité de séparer le patrimoine familial du capital d'exploitation ainsi que des atouts fiscaux et administratifs. Ces sociétés sont à dominante familiale. Elles regroupent souvent des moyens de production plus conséquents (surfaces, main d'œuvre, capital). L’EARL (Exploitation Agricole à Responsabilité Limitée) peut être unipersonnelle. Elle garantit la séparation des biens personnels de l’agriculteur de ses biens professionnels. La SCEA (Société Civile d’Exploitation Agricole) rend possible le fait d’associer également des non-agriculteurs.

De + en + de formes sociétaires

Le GAEC (Groupement Agricole d’Exploitation Commun) permet le regroupement de plusieurs agriculteurs. Suite à l'essor des formes sociétaires, la part des exploitations individuelles diminue fortement. Aujourd'hui, dans le Pays de Rennes, 64% des exploitations ont une forme juridique sociétaire, contre 37% en 2000 (en 2010 I&V: 60% en 2010, Fr : 45%). Cette tendance liée à la professionnalisation de l'agriculture est confirmée par les installations ; ainsi entre 2006 et 2011, 80% des jeunes agriculteurs s'installent en société (I&V : 77%). Le travail à plusieurs permet souvent d'améliorer la qualité de vie et de programmer des congés.

Des exploitations tournées vers l'élevage

En 2010, 1 exploitation sur 2 est spécialisée en production laitière comme dans le reste du département.

L’effectif laitier et le quota moyen par exploitation sont les plus importants du département. Le Pays a également l’effectif moyen le plus important en équidés et en caprins. Il présente aussi la plus forte proportion d’exploitations spécialisées en production maraîchère et horti-cole (6 %).

Entre 2000 et 2010, 372 exploitations ont disparu sur notre territoire, soit une baisse de 25% (I&V : 28% ; Br : 26% ; Fr : 19%). En 2010, on en compte 1 101.Leur taille moyenne est passée de 47 ha à 62 ha (I&V : 63 ha ; Br : 60 ha ; Fr : 80 ha). Il existe des disparités importantes selon les productions : les exploitations spécialisées dans le maraîchage et l'horticulture ont par exemple une taille moyenne de 10 ha et celles en polyélevage de 81 ha.

Taille moyenne exploitation

+32%

20102000

Nombre d'exploitations

-25%

en forme sociétaire64%

Capacités moyennes des élevages possédant ces ateliers sur le Pays de Rennes

22vaches

allaitantes

71places de veaux deboucherie

58 ovins160

caprins142truies mères

674places

de porcs charcutiers

3 343poules

pondeuses d'œufs de consom-mation

720 m2 de

bâtiment d'élevage

de volailles de chair

52 vacheslaitières

332 670 l de lait

13équidés

47%

Spécialisées bovinslait 47% (49%)

Bovins viande,et mixtes 8% (9%)

Ovins, caprins, …4% (2%)

Mixte hors sol 7% (7%)

Spécialisées porcs 7% (8%)

Spécialisées Volailles 5% (6%)

Polyélevage 11% (10%)

Grandes cultures 5% (6%)

Maraichage et horticulture 6% (3%)

(chiffre d'I&V)


Occupation des terres


NomeNclature du receNsemeNt agricole : • "Prairies permanentes" : espaces naturels ou semés il y a + de 6 ans• "Prairies temporaires" : superficies semées depuis - de 6 ans avec des graminées et/ou des légumineuses fourragères.

94% de la surface agricole est destinée à l’alimentation animale.

56% des surfaces sont occupées par le maïs et les grandes cultures.

38% des surfaces sont occupées par des prairies.

L’assolement du Pays de Rennes reflète celui du départementSeules quelques légères différences sont observables, notamment pour la production légumière qui est plus importante.

Evolution des systèmes d'exploitation

Élevage

Une production laitière dconséquenteLa production annuelle de lait du Pays satisfait la consommation de produits laitiers annuelle moyenne de 676 980 personnes, soit 1,4 x la population du territoire.

La Ferme Pays de Rennes se caractérise par… Une grande diversité de productions avec :- des cheptels herbivores en évolution notamment + 44%

d'effectifs en caprins, + 45% d'effectifs en équidés,- un cheptel poules pondeuses qui a augmenté de 75%,

évolution à relativiser car il existe peu d'exploitations même si le plein air se développe,

- des cheptels en forte diminution, pour les volailles de chair (- 31%), les veaux de boucherie (- 20%) et les ovins (- 17%).


L'assolement reflète la vocation d'élevage du Pays (% SAU totale) Effectif ou capacité (2010)

Évolution 2000-2010

Part de l'effectif /

département

Production laitière (somme des quotas, 1 000 litres) 243 845 2% 16%

Vaches laitières (nombre de têtes) 36 985 -5% 16%

Vaches allaitantes (nombre de têtes) 5 396 -3% 17%

Veaux de boucherie (nombre de places) 11 540 -20% 15%

Porcs à l'engraissement(nombre de places) 111 200 -4% 14%

Truies mères (nombre de têtes) 11 918 2% 14%

Poules pondeuses d'œufs de consom-mation (nombre de têtes) 287 467 75% 30%

Volailles de chair(surface des bâtiments d'élevage en m²) 92 181 -31% 13%

Ovins (nombre de têtes) 2 216 -17% 13%

Caprins (nombre de têtes) 6 070 44% 43%

Equidés (nombre de têtes) 1 279 45% 27%

676 980 personnes nourries

+9%de surface céréalière

Comme sur l’ensemble du département, la performance des élevages a permis de maintenir le niveau de production sur des surfaces moindres. Les surfaces libérées ont permis l'émergence de nouvelles stratégies.En particulier, les surfaces cultivées en céréales (hors maïs) ont augmenté de + 9% depuis 2000 (I&V : 12%). D’une manière générale, la hausse récente de leur prix pourrait contribuer à renforcer cette tendance (dans la limite d’assurer les besoins alimentaires pour le troupeau).

OléagineuxProtéagineux

4%

8%

Prairiespermanentes

29%

Maïs fourrage et ensilage

30%

Céréales(hors maïs)

22%

Prairiestemporaires

5%

Maïs grain

2%

Légumes frais, fraises,

melons, pommes de

terre

Des cheptels en évolution sur le Pays

LE SAVIEz-VoUS ?

Les progrès dans la sélection

génétique et l'alimentation animale ont permis d'augmenter la production laitière moyenne par animal, alors même que le nombre de vaches laitières a diminué au cours des dix dernières années.

?


Une qualité garantie par la réglementationLa législation européenne établit des règles permettant de garantir le niveau de qualité des produits agricoles. Ces normes, qui s'appliquent à tous les agriculteurs de l'Union européenne, concernent notamment la traçabilité des produits, la santé et le bien-être animal.

Des démarches de qualité volontaires qui vont + loin Afin de répondre à la demande des consommateurs, des certifications vont plus loin que la régle-mentation en matière de traçabilité, de sécurité sanitaire ou bien de respect de l'environnement. Souvent portées par les filières, ces démarches engagent de nombreux agriculteurs volontaires. En Bretagne près de 96% des cheptels laitiers (Fr : 92%) et 85% des cheptels allaitants (Fr : 66%) respectent la « Charte des bonnes pratiques d'élevage ».En Ille-et-Vilaine, 72% des éleveurs de chèvres adhèrent au « Code mutuel caprin ». Les éleveurs ovins peuvent adhérer au « Guide des bonnes pratiques ovines ». Les éleveurs de porcs ont également une charte « Viande de Porc Française » qui garantit la traça-bilité. D'autres certifications sont portées par les coopératives et les entreprises comme par exemple l'engagement "Agri Confiance", "Bleu Blanc Cœur".

Les signes officiels pour des produits offrant une qualité particulière

Qualité des produits

Sources : GIE Elevages de Bretagne et Chambres d'agriculture de Bretagne d'après

les Organismes de Défense et de Gestion des signes d'identification de la qualité et de

l'origine – Estimation 2012 à minima.* Agreste DRAAF Bretagne, Recensement

agricole, ensemble des exploitations.

Gestion de l'espace agricole

Diminution de la surface agricoleEntre 2000 et 2010, la surface agricole y a diminué de 3 151 ha, soit l'équivalent de la surface de 71 exploitations moyennes. Ce sont l’équivalent de 450 terrains de football qui disparaissent chaque année. C'est notamment le résultat d'une artificialisation croissante des terres : celles-ci perdent leur usage agricole au profit du bâti (habitat, infrastructures de transport, zones d'activités...) ou du non-bâti (terrains de sport, jardins...).

Les signes officiels de qualité et d'origine garantissent au consommateur le respect d'un cahier des charges strict, contrôlé par des organismes indépendants.

Pays de Saint-Malo

Pays deFougères

Pays de Vitré

Porte de Bretagne

Pays de Rennes


Pays des Vallons de

VilainePays deRedon et de Vilaine

Évolution des surfaces agricoles entre 2000 et 2010

de 0 à -2%de -2 à -4%de -4 à -6%de -6 à -8%

Le Pays s’est engagé dans une politique de valorisation de l’activité agricole et affiche notamment dans les objectifs prioritaires du SCoT, la volonté de réduire l’impact de l’urbanisation sur les terres agricoles.

Dispersion des parcelles agricolesElle est liée à la consommation de foncier pour l'urbanisation, aux agrandissements successifs des exploitations, ainsi qu’à la multiplication des propriétaires fonciers non agriculteurs. Ces phénomènes ont conduit les agriculteurs à cultiver des terres localisées parfois à distance du siège d'exploitation.

Afin d’améliorer le temps de travail et de limiter les transports, la Chambre d’agriculture accompagne les agriculteurs et collectivités qui souhaitent réaliser des échanges parcellaires. Ainsi, dans le cadre de la construction de la LGV et de la RN Rennes-Angers, des échanges ont été réalisés permettant de limiter le morcellement parcellaire tout en reconstituant un maillage bocager si besoin.

Signes de qualité officiels Nombre d'exploitations

Agriculture biologique 77*

LABEL RoUGE

Bœuf blond d'Aquitaine 4

Charolais 2

Limousin Blason Prestige 9

Volaille fermière de Janzé 43

Porc fermier d'Argoat 3

Porc d'Argoat 1

Agneau de Brocéliande 1

Veau Bretanin 4

IGP Blé noir 3

LE SAVIEz-VoUS ?Une charte « Agriculture & Urbanisme, pour un aménagement durable du territoire d’Ille-et-Vilaine » datant de 2011, affiche les grands principes de

préservation de la ressource agricole. Cette charte est signée par les acteurs économiques, l’Etat, le Conseil Général et les représentants de la profession agricole.

?

L’Agriculture Biologique concerne 4,7% des exploi-tations du territoire. C’est la plus forte concentration du département. (I&V : 4%) Elle est en pleine progres-sion, car 20% des installa-tions sur le Pays entre 2007 et 2011 se font en bio.

Le Label Rouge concerne 67 exploitations. Il atteste d'une qualité supérieure des produits.

Les labels AOC et IGP garan-tissent l’origine des produits.

Source : Agreste DRAAF Bretagne, Recensement agricole, ensemble des exploitations.


Vieillissement de la population agricole

Baisse du nombre d’actifs dans les entreprises agricoles

Professionnalisation de l’activité agricole (UTA)

Source : Agreste DRAAF Bretagne, Recensement agricole, ensemble des exploitations.

Observatoire du Pays de Rennes - Repères 2012*UTA : correspond au travail d’une personne à plein

temps pendant une année entière.

Le nombre d'actifs agricoles a suivi la même évolution que le nombre d'exploitations sur le Pays de Rennes : il a chuté de 29% entre 2000 et 2010 (I&V : 29%).

On compte en moyenne 2,2 actifs par exploitation (I&V : 2,2).

Depuis 2000, la surface moyenne par Unité de Travail Annuel a augmenté de 28% pour atteindre 28 ha (I&V : 32 ha/UTA*).

Emploi Agricole Emploi Agricole

Des femmes moins nombreuses mais + reconnuesPart des femmes…

La loi a permis une meilleure reconnaissance du travail des femmes en 1999 avec la création du statut de « conjointe collaboratrice ». De plus, depuis 2010 la création de GAEC entre époux est désormais possible.

Source : Agreste DRAAF Bretagne, Recensement agricole, ensemble des exploitations*Nombre de chefs d’exploitation de plus de 55 ans pour chaque chef de moins de 40 ans.

-29% d'actifs agricoles

Des exploitations agricoles génératrices d’emploi sur le Pays

La part des chefs, des co-exploitants et des salariés augmente. Sur le Pays, la proportion d’UTA salariés progresse de 22% à 36% en dix ans (I&V : 12% à 19%).

A contrario, la part des « autres actifs familiaux » diminue. Ces derniers représentent des personnes de l’entourage, de la famille ou des amis qui exercent une activité régulière sur l’exploitation. En 10 ans leur part (UTA) est passée de 18% à 7%.

Autres actifs familiaux

Salariés saisonniers

Salariés permanents dont ETA, CUMA

Chefs et co-exploitants

36%34%

2000 2010

26% 29%

2000 2010

29%38%

2000 2010

… parmi l'ensemble des actifs agricoles

… dans la catégorie chefs d'exploitation

… parmi les salariés agricoles

2000 2010

2 4333 413

L’indice de vieillissement a fortement augmenté en 10 ans*. Il est ainsi passé de 0,4 à 0,9 (I&V : de 0,4 en 2000 à 0,9 en 2010).

Dans la catégorie « homme », seul ¼ des exploitants à moins de 40 ans. Ils seront donc nombreux à prendre leur retraite d'ici 2025.La proportion de femmes de moins de 40 ans est plus faible. Elles s'installent, en effet plus tard que les hommes. Fréquemment, les femmes reprennent l'exploitation de leur mari à son départ à la retraite, gonflant ainsi le nombre d'exploitantes âgées de plus de 50 ans.

+50 ans

40/50 ans

-40 ans

44%

30%

27%

47%

36%

16%

+50 ans

40/50 ans

-40 ans

27%

33%

40%

37%

38%

25%

2000 2010 2000 2010

LE SAVIEz-VoUS ?Dans les autres secteurs d’activité la part des femmes chefs d’entreprises est de 13%. ?

L'agriculture est une activité très ancrée dans le territoire. Elle y fait vivre un dense réseau d'acteurs dont les activités sont liées à la production agricole. Leurs activités sont très variées : agroalimentaire, fabrication/vente de fournitures, de matériels, d'engrais et de traitement des cultures, travaux agricoles, rem-placement, conseil et contrôle de performance, soin et insémi-nation des animaux, formation, recherche, siège de la Chambre d’agriculture…

Actifs agricoles

2000 2010

18%

60% 68%

6%


33%Brevet Certificat BAC +5

29%Niveau BAC

La production laitière conserve son dynamisme

Des jeunes installés de + en + formés

Source : EOLAS et Chambre d’agriculture, service ODASEA, champ des Installations aidées sur la période 2006 – 2011.

InstallationInstallation

Source : EOLOAS et MSA, champ des Installations aidées sur la période 2006 - 2011.

Sur ce Pays, 78% des - de 40 ans suivent le parcours à l'installation et bénéficient d'aides nationales et européennes. Il faut pour cela avoir plus de 18 ans, moins de 40 ans, justifier d’un diplôme de Niveau 4 en agriculture et faire valider le projet d'installation par la Commission Départementale d’Orientation de l’Agriculture.

22% ne touchent pas ces aides mais peuvent désormais bénéficier, avec l’aide du Conseil Régional, d’un accompagnement à l’installation sous conditions.

Des départs non compensés par les installations

Un guichet unique pour les projets agricoles

80% des jeunes aidés du Pays s'installent dans un GAEC, une EARL ou une SCEA (I&V: 77%). Ils s’installent sur des fermes de 73 ha en moyenne (I&V : 77 ha).

Sur le Pays de Rennes la part de jeunes aidés de niveau BAC et + est de 67% (I&V : 64%).

30ANS

AGE MoyEN DE L'INSTALLATIoN

2%

+ d'une installation sur deux se fait avec un cheptel bovin laitier.

+ de 19% des installations ont un cheptel bovins-viande.

20% des porteurs de projet s’installent en Agriculture Biologique (I&V : 8%).

20% des projets d'installation se font dans le cadre d'une économie de proximité, avec un projet de vente directe, de transformation et/ou d'accueil à la ferme. Cette proportion est plus forte que sur les autres territoires du département (I&V : 8 %).

Les installations en société majoritaires

Les acteurs du Point Info Installation :

210 installations en 5 ans, chez les - de 40 ans sur le Pays de Rennes

78%

22%

210installations de

- de 40 ans

535 cessations d’activité

39%

> Taux de renouvellement

non aidées

par l’État et l’EUin

stallations aidées

210installationsentre 2006

et 2011installations

78%

22%

210installations de

- de 40 ans


39%


non aidées


stallations aidées



78%

22%

210installations de

- de 40 ans


39%


non aidées


stallations aidées



78%

22%

210installations de

- de 40 ans


39%


non aidées


stallations aidées



73ha 80%

69% 31%

73ha 80%

69% 31%

73ha 80%

69% 31%

Depuis 2011, le Point Info Installation renseigne et accompagne les porteurs de projets en agriculture. Les conseillers agréés construisent avec eux leur parcours de formation personnalisé, leur plan de développement, recherchent des financements et les guident dans les démarches administratives.

36%BAC +20

,09 €

/min

Le taux de renouvellement de génération est de 39% (I&V : 40%).

Le Répertoire Départ Installation (RDI) favorise la transmission des exploitations agricoles, en rapprochant les porteurs de projet et les exploitants en recherche d’un repreneur. Cela facilite notamment l'installation des 28% de jeunes non issus du milieu agricole.

Tél : 02 23 48 26 40 Fax : 02 23 48 26 45 35042 RENNES CEDEXRond-point Maurice Le Lannou - CS 14226Technopôle Atalante-Champeaux

Région Bretagne

52%LAIT

Bovins lait (52%)

Bovins viandes (3%)

Bovins mixtes (16%)

Ovins Caprins (1%)

Porcs (5%)

Volailles (1%)

Mixtes hors sol (10%)

Grandes cultures (2%)

Maraîchage (9%)

Fleurs, horticulture, fruitset autres cultures (1%)


Forte présence des industries agroalimentaires profitant du carrefour logistique de l'agglomération rennaise

Source : Chambre d’agriculture de Bretagne, Observatoire des Industries Agro-Alimentaires de Bretagne.

Débouchés des productions

Les circuits courts, une autre organisation de la filière

En réponse à la demande grandissante de proximité, tout ou partie des productions de la ferme peuvent être vendues directement aux consommateurs (marchés, sur la ferme, en paniers, en point de vente collectif..) ou via un unique intermédiaire (restaurants, commerces, restauration collective, grandes et moyennes surfaces...).

Source : Chambre d’agriculture d’Ille-et-Vilaine, Service Nouveaux Marchés - Nouvelles Filières. Champ : ensemble des exploitations.

La part du secteur agroalimentaire dans l'emploi salarié total, est de moins de 5% sur les communautés de communes du Val d’Ille, de Saint-Aubin-d’Aubigné et de Rennes Métropole. Cette part est de plus de 10% sur la communauté de communes de Liffré et de 15 % sur la communauté de communes du Pays de Chateaugiron.

Ces IAA participent à la valorisation et à la pérennité des débouchés de l'élevage et au maintien de l'emploi sur le territoire.Selon les chiffres de l'URSSAF de Bretagne, au 1er janvier 2012, les industries agroali mentaires du bassin d'emploi rennais comp taient plus de 5 000 salariés dont 80 % des emplois de la filière se concentrent dans trois secteurs : les industries de la viande (43 %), l'industrie laitière (21 %) et la boulangerie, pâtisserie et biscuiterie (16 %).

Un des enjeux majeurs de ces filières est la modernisation des outils de production.

En plus des IAA, le Pays de Rennes concentrent de nombreux sièges de sociétés liées à l’agriculture ou aux services associés.

PoIDS SALARIAL DU SECTEUR AGRoALIMENTAIRE

EFFECTIFS SALARIÉS DES ENTREPRISES

FILIÈRES

De 50 à 100De 20 à 50- de 20

De 100 à 200+ de 200

Lait Boulangerie

Bovins Plats cuisinés

Produits de la mer

Porcs Alimentationanimale

Débouchés des productions

Des fermes inscrites dans une dynamique de réseau

Sur le Pays de Rennes, 38 fermes adhèrent au réseau du type « Accueil Paysan » ou « Bienvenue à la ferme ». Lorsqu'elles proposent un hébergement, elles peuvent aussi être adhérentes d'un réseau de type « Gîtes de France », « Clé vacances »...

La Loi de Modernisation Agricole de 2010 et le Grenelle de l’environnement encouragent le développement des circuits courts. Depuis 2012, 20% de

l'alimentation en restauration collective publique doit être issue de produits locaux et 20% de produits bio.

Pré-requis

LE SAVIEz-VoUS ?Vous pouvez retrouver les producteurs près de chez vous sur les sites : www.savourezlabretagne.com et http://www.paysderennes.

fr/Produits-de-la-ferme-et-marches-du.html

?8% des exploitations du Pays vendent tout ou une partie de leurs produits en circuits courts (I&V : 7%).

La dynamique du Pays de Rennesfermes en circuits courts dont 51 en Bio (I&V : 667 fermes dont 243 en Bio).127

L’accueil à la ferme, une économie de proximitéPour donner à découvrir le métier d’agriculteur, pour dialoguer ou par simple plaisir, certaines fermes ouvrent leurs portes et proposent des activités de loisirs (fermes équestres, séjours d'enfants) d’hébergement (gîtes et chambres d'hôtes...) ou encore de restauration (fermes auberge, tables d'hôtes, marchés à la ferme).

Châteaugiron

Liffré

Rennes

Autres

Porcs / Bovins

Saint-Aubin- d'Aubigné

Depuis 2012, des actions sont conduites par le Pays de Rennes en partenariat avec la Chambre d’agriculture pour développer l’approvisionnement, en produits locaux dans la restauration collective.

Melesse

De 10% à 15% De 15% à 20%+ de 20%

De 5% à 10%- de 5%


Gestion des milieux : la biodiversité

La Directive Nitrates est une directive européenne visant à protéger la ressource en eau vis-à-vis des nitrates. S'appliquant sur tous les territoires, elle identifie des zones sensibles où

s'appliquent des règles supplémentaires et des programmes d’actions incitatifs.

Sources : DRAAF et Chambre d’agriculture d’Ille-et-Vilaine, Service Agronomie-gestion des milieux, Agence de l'Eau Loire-Bretagne, DREAL Bretagne.

La qualité de l'eau

La biodiversité fonctionnelle, intégrée dans les systèmes de production

Elle est au cœur du fonctionnement des systèmes de production, la biodiversité fonctionnelle doit non seulement être proté-gée, mais sert également à l’activité agricole. La lutte biologique contre les ravageurs des cultures, la préservation de la vie du sol ou des pollinisateurs en sont des exemples.

Depuis 2010, l’O.A.B permet de suivre l’état de la biodiversité en milieu agricole sur toute la France, grâce à des protocoles qui portent sur la pollinisation, la fertilité des sols, la lutte contre les ravageurs et l’état du milieu à l’échelle du Paysage. En 2012, en France 400 agriculteurs y participent.Pour en savoir plus : www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Depuis octobre 2014, tous les agriculteurs disposeront de l'agrément Certiphyto pour une meilleure utilisation des produits phytosanitaires en respect de l'environnement et de la santé.

LE SAVIEz-VoUS ?Depuis 2009, des actions agricoles sont portées par les syndicats de bassins versants dans l’objectif d’améliorer la qualité de l’eau sur différents éléments : le désherbage mécanique, les diagnostics d’exploitations…?

L’amélioration de la qualité des eauxLa réglementation de la Directive Nitrates a entraîné une forte modification des pratiques de fertilisation azotée avec une baisse de plus de 38% des balances azotées des exploitations agricoles d'Ille-et-Vilaine de 2004 à 2011. Les sols nus, particulièrement sensibles aux fuites de nitrates ont également diminué de plus de 70% sur la même période en Bretagne. Ces changements de pratiques sont à mettre en relation avec la courbe en baisse depuis 1999 des concentrations en nitrates dans les cours d'eau bretons.

L’organisation des actions agricoles sur le territoireLe Schéma d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) fixe les objectifs d’utilisation et de protection de la ressource en eau sur un territoire. Par l’intermédiaire des syndicats de bassin versant, le SAGE prévoit des programmes d’actions en concertation avec un groupe d’agriculteurs. Puis tous les agriculteurs du bassin versant sont accompagnés dans leurs changements de pratiques. Cela passe par des démonstrations de désherbage mécanique, des parcelles d’essai de couverts végétaux, des essais de colza implanté avec couverts associés, l’engagement dans des Mesures Agri-Environnementales...

LE SAVIEz-VoUS ?Depuis fin 2012, la Chambre d'agriculture d'Ille-et-Vilaine est associée au comité de pilotage de l'étude préalable à la mise en place d'un contrat nature sur le Val d'Ille. Ce contrat vise à développer des actions de connaissance et de sensibilisation à la biodiversité.

?Les trames vertes et bleues, protection de la biodiversité structurelleComprenant des corridors écologiques, des zones humides, des cours d'eau et sites Natura 2000, ces trames sont des espaces protégés pour lutter contre la perte de biodiversité.

Le Grenelle de l'environnement prévoit leur mise en place dans les SCoT.

Ces espaces devront prendre en compte les activités humaines dont l'agriculture. Leur définition, lors de la révision des SCoT, est l'occasion d'un dialogue entre le monde agricole et les collectivités locales.

Outils pratiques

« Reconnaissance des mau-vaises herbes », « L’entretien des haies bocagères », « Guide des pratiques agricoles des prairies en zone humide »…

Et + encore surwww.agriculteurs35.comà la rubrique Agrithèque.

SAGE RANCE FRÉMUR

SAGE VILAINE

SAGE COUESNON

BV du Chevré

BV de L’Ille et L’illet

BV du Meu

BV de la Seiche

BV de la Flume

ZAC : Zone d'Actions Complémentaires. ZES : Zone d'Excédent Structurel

20

30

40

50

60

2011200019901980

Limite réglementaire Concentration en mg/lPercentile Q 90

Evolution de la concentration en nitrates dans les cours d’eau bretons de 1980 à 2011.

25,0

51,1

35,7

Evolution de la concentration en nitrates dans les cours d’eau bretons de 1980 à 2011

Pré-requis

Bassin versant

Communes en ZES et en ZAC

Communes en ZAC*

Limite des SAGECours d'eau principaux


Qu'est-ce que le bocage en Pays de Rennes ?Le bocage, défini comme un système de haies organisées en réseau, est un élément caractéristique du paysage rural breton construit par les agriculteurs pour répondre à leurs besoins d’élevage. Il représente une valeur patrimoniale, culturelle et touristique.

Ces haies, avec les fossés et les talus qui bordent les parcelles, jouent de nombreux rôles : contribution au bon fonctionnement du système hydraulique, limitation de l'érosion du sol, brise-vent et préservation de la biodiversité, fournisseur de bois de chauffage ou de Construction.

Sur le Pays de Rennes, le chêne est dominant. De nombreux boisements compose le paysage avec un réseau de vallées boisées et leur prolongement par le parcellaire bocager.

De nombreux avantages au système bocagerCes haies, avec les fossés et les talus qui bordent les parcelles, jouent de nombreux rôles : contribution au bon fonctionnement du système hydraulique, limitation de l'érosion du sol, brise-vent et préservation de la biodiversité, fournisseur de bois de chauffage ou de construction.

Une restauration nécessaireA partir des années 1950, l'arrivée du fioul sur les exploitations a libéré les agriculteurs du travail du bois ; de moindre valeur économique, les haies ont été abandonnées. Puis l’arrivée des tracteurs a nécessité l’agrandissement des parcelles, déstructurant le bocage. Depuis plus de 35 ans, la reconnaissance des rôles du bocage conduit à restaurer et replanter des haies en Bretagne. Le dispositif régional actuel "Breizh Bocage" (2007-2013) s'applique sur l'ensemble du Pays de Rennes.

Valorisation locale et structuration d'une filière boisLa filière de production de bois-énergie crée une alternative aux énergies fossiles et améliore l'indépendance énergétique des territoires. Le bois déchiqueté alimente des chaudières-bois de collectivités, d'entreprises ou de particuliers.

En Ille-et-Vilaine, le « Collectif Bois Bocage 35 » regroupe des collectivités locales, des agriculteurs et des industriels du bois.

L’association Haienergie à Chateaugiron regroupe une quinzaine d’agriculteurs pour l’achat de bois humide et la revente après séchage. Elle approvisionne une partie des besoins des équipements collectifs locaux.

Le bocage

L’amélioration de la performance énergétique des exploitations

Le « plan de performance énergétique » accompagne les agriculteurs vers une plus faible dépendance énergétique : c’est un enjeu économique et environnemental majeur. Pour cela l’agriculteur peut réaliser le diagnostic Dia’terre, qui lui permet de connaître l’état des consommations en énergie ainsi que les rejets de gaz à effet de serre (GES) de l’exploitation.

Energie et Changement climatique

ÉNERGIESOLAIRE

EFFLUENTS AGRICOLES

GÉOTHERMIE ÉNERGIE ÉOLIENNE

Unités de méthanisation

BOIS DEBOCAGE

Chaudières agricoles

Chaufferie bois

Installationsphotovoltaïques

/solaire thermique

Pompes à chaleur Petit Eolien

CHAUFFAGE CHAUFFAGEBIoGAz ÉLECT.EAU CHAUDEÉLECTRICITÉ

ÉLECTRICITÉ

Les équipements de production d’énergie renouvelable

LE SAVIEz-VoUS ?Sur le Pays de Rennes, des unités de méthanisation agricoles sont en fonctionnement ou en cours de développement. La

Chambre d’agriculture les accompagne pour travailler de concert avec les collectivités locales pour la valorisation de la ressource en déchets.

?

Le changement climatique en terre d’élevageL’agriculture, qui fonde son activité sur des processus vivants, est à la fois « puits de carbone » et émettrice de gaz à effet de serre.

D’un côté, ses sols, ses prairies, son bocage et ses cultures fixent le carbone et de l’autre, ses élevages et ses pratiques de fertilisations émettent du méthane (CH4) et du protoxyde d’azote (N2O).

L’agriculture explore de nouvelles pistes pour réduire localement les émissions de gaz à effet de serre sans aggraver la situation à l’échelle de la planète. Cela passe par la réduction de l’utilisation des produits phytosanitaires et engrais de synthèse, la gestion maitrisée des déjections animales, un travail du sol sans labour pour

augmenter son taux de matière organique, la plantation de haie et des pratiques adaptées d’agro-foresterie, le choix des rotations, des variétés, la limitation des retournements de prairies…

Des investissements dans deséquipements d’économie d’énergie

Ce sont des matériaux d’isolation plus performants pour les bâtiments d’élevage, des équipements pour refroidir le lait et en récupérer la chaleur, des échangeurs thermiques, des bancs d’essais tracteurs (contrôle et réglage des machines agricoles), des installations de séchage solaire des fourrages…

Contact :

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Remerciements aux réalisateurs : J. Andurand, V. Binder, A. Blaire, A. Brillouet, J. Charlery, A. Courtois, V. Cuvelier, M. Debroize, E. Dezat, A. Flinois, E. Gören, A. Gouedard, L. Goupil, C. Guerillot, I. Hascoët, A. Joly A. Lajoye, A. Lang, O. Folschweiller, B. Loisel, J. Louazel, M. Marguet, A-B. Martinot, M. Poder, H. Roy, I. Senegas, A. Verney.

Et sur les autres Pays :

2 Antenne du Pays de Saint-Malo4, rue Pierre Flaux35120 Dol-de-BretagneTél. 02 22 93 63 30 – Fax 02 99 48 12 [email protected]

3 Antenne du Pays de FougèresZA La Martinais – 35133 LécousseTél. 02 22 93 63 33 – Fax 02 99 94 85 [email protected]

4 Antenne du Pays de Vitré Porte de Bretagne9, place du Champ de foire35500 VitréTél. 02 22 93 63 40 – Fax 02 99 75 82 [email protected]

5 Antenne du Pays des Vallons de Vilaine et du Pays de Redon Bretagne SudP.A. Château Gaillard2 Allée de l'Ille - 35470 Bain-de-BretagneTél. 02 22 93 63 50 – Fax 02 99 34 28 [email protected]

6 Antenne du Pays de BrocéliandeAntenne interconsulaire - A3C2, place St Nicolas35160 Montfort-sur-MeuTél. 02 22 93 63 60 – Fax 02 99 09 30 [email protected]

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1 Siège et antenne du Pays de Rennes

Rue Maurice Le Lannou CS 14226 - 35042 Rennes Cedex Tél. : 02 23 48 23 23 Fax : 02 23 48 23 25 [email protected]

Pays de Saint-Malo

2 Pays deFougères3

Pays de VitréPorte de Bretagne4

Pays de Rennes1

Pays des Vallons de Vilaine

5Pays deRedon5


6

Avec la participation financière de

Ce document a été réalisé en collaboration avec l’Observatoire de l’agriculture du Pays de Rennes

www.audiar.org/etudes/environnement/lobservatoire-de-lagriculture-du-pays-de-rennes

Documents

du Pays de RENNES - Synagri.com · pluviométrie moyenne annuelle est de 700 mm dans les bassins abrités et entre 700 et 750 mm sur les plateaux plus exposés. GéomorphologieD’un