DURVILLE Hector - Le Magnétisme des Animaux

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DES

ANIMAUX

ZOOTHRAPIE

i VExtrait lu Trait exprimentai de Magntisme) PAR H. DURVILLE

Prix : 30 centimes.

PARIS Y E D MAGNTISME ^ RUE SAJNT-MERRI, 23 ''

DU mAQNCTISmB.*/ o' , JOURNAL e lo U Journaldu Manititni,fond n 1945 M,leBaron POTBV par s du H. t le* parat on nwl, ou Udirection rrofeiseur DVRVILU. travaux h Socit de di .: il pnMIaeprincipaux J madntiqut Frw* ausi 4*atUr*tl'+rgme, queleG'ompfc detes*aoce Travaux rendu ; de et sur inr #ri vue Saint-MerHU ' dresser- l'Institut Magntique, 23,

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ZOOTHRAPIE

'Extrait lu 'l'ait

eviinmental de MagntiameJ PAR

H.

DURVILLE

Prix : 30 centimes.

LIBRAIRIE

PARIS DU MAGNTISME

2 23, RUE 3A1NT-MERIU, 3 1S9G

MAGNETISME

DES ANIMAUX

I. Polarit des animaux vivants. (Zoothrapio). II. Polarit des animaux, morts. Les animaux sont nos auxiliaires naturels, nos domestiques, nos amis ; un disciplo de Darwin, dirait mme qu'ils sont nos frres en humniff. Nous avons sur eux une intluence incontestable, et le magntisme entre pour beaucoup dans cette , action. La fascination ou influence magntique du regard, joue elle seule un rle considrables ' huent plu grand' dans Part du dompteur que tous les autres artifices qu'il emploie pour soumettre les fauves. L'action magntique de l'homme sur les ani? maux est suffisamment connue* pour que je ne. m'attarde pas vouloir la dmontrer. Citons seu? lment quelques particularits de leur vie intime, pour montrer qu'ils possdent presque tous la facult de prvision qui ne s'observe que chez un . .tfs petit nombre d'entre nous, et qu'ils prvo:"

un danger qu'aucun indico ne nous fait soupon* ner ; qu'en gnral, ils sont dous d'une sonsitivit plus grando que la ntre, leur permettant de percevoir l'action dos agents de la nature et plus particulirement les influences atmosphriques plus vivement que nous ; qu'ils exercent entre eux, selon les espces, une action magntique analogue celle que nous exerons nous-mmes; et que cette action, ils peuvent galement l'exercer sur l'homme. Le systme nerveux des oiseaux, est dou d'une dlicatesse telle, qu'ils prvoient longtemps l'avance les plus petits changements atmosphriques. Ainsi, lorsqu'au soir d'un beau jour, la tempte se prpare surprendre le pilote, les mouettes et les golands s'y attendaient. Ils taient l, sur les rcifs, s'agitanl, l'air inquiet, dployant leury ailes, et poussant des cris plaintifs. La densit de l'atmosphre n'tait pas encore sensiblement modifie, le baromtre n'avait pas baiss, le ciel tait pur et le calme le plus profond rgnait dans toute la nature. Mais, depuis des heures, un point noir avait dj fait tache l'horizon. Le noir ptrel, le sinistre messager des temptes que l'on aperoit prs des navires lorsque le danger est imminent, est sorti de sa retraite et efHeure la vague de son aile, comme pour voir si les flots en courroux ne lui apportent pas que.que vietime. En effet, le baromtre'

o baisse subitement, la nuo noire et menaante parat l'horizon ; le vont s'lve, le flot monte, la vague cumo, le tonnerre gronde et l'clair sillonne les nues. L'oiseau, depuis le matin, avait prvu la tempte. Le rcit suivant, publi, d'aprs un tmoin oculiiro, par Victor Meunier dans le Rappel du 28 aot 1883, est un exemple frappant de cette prvision chez les divers animaux. On tait en plein hivernage, c'est--dire dans la saison des temptes. L'observation nous transporte Saint-Vincent, l'une des Antilles. Le 4 septembre, dans l'enceinte resserre du port, la chaleur tait touffante. L'observateur qui recevait l'hospitalit de Carabes, voit accourir plein de crainte et se blottir dans ses vtements comme en un refuge, un petit pagneul appartenant la jeune fille de ses htes. Frapp de cette allure, il s'informe; on lui apprend que l'animal qui se trouvait sur le bord de la mer, ayant longuement hum l'air, avait tout coup paru saisi d'effroi et s'tait enfui sans cause apparente. Seulement l'eau du port, quoique le temps fut parfaitement calme, avait paru au narrateur plus haute et plus agite qu'a l'ordinaire. Mais bientt les signes d'pouvante donns par une foule d'espces, ne laissrent plus de doute sur ce qui allait arrivor. Des oiseaux de haut-vol, crit l'observateur, s'a (< battaient sur les cases carabes, d'normes chau-

- rj _ ves-souris, des chats-huants aussi grands que des oies, des iguanes longs comme des crododiles sortaient des rjches et venaient chercher un asile dans le carbot. Un monstrueux serpent tte do chien vint se rfugier chez moi et ne voulai t plus en sortir. Les chvres poil fauve, descendaient au galop des montagnes et vinrent, toutes craintives qu'olles sont, s'tablir sous l'abri de la salle du consoil. Je crus un moment qu'une bande de loups accourait du haut des marnes prondre gte au milieu do nous. C'taient des lvriers gigantesques l'oeil sanglant... Les carabes leur avaient donn la garde des passes. Ces sentinellos vigilantes e* froces avaient t saisies de crainte et venaient de dserter leur posto. On voyait des marsouins, des dorades, des bnites, des bancs de poissons quitter la pleine mer, et s'engager entre les rochers du rivage pour fuir un danger dont ils avaient la prvision. Pas un soutlo do vent, mais par degrs la naturo prenait un aspect effrayant. Le soleil resplendissant son lover, avait perdu tous ss rayons^ ressemblait h lu lune, sauf par la couleur d'un rouge obscur do fournaise qui s'teint. La clart du jour diminue, blafardo, fausse, tremblottait comme pendant uno clipse totale. La mer se soulovait ot bouillonnait, pareillo a l'eau d'une chaudire en bullition, s'avanait dans le lit des rivires et rofoulait le courant. Un rideau de nua* : ges sombres couvrait tout le ciol on mme temps

qu'une brume Relevant dans la rgion moyenne., de l'air enveloppait l'horizon entier. Les feuilles pendaient le long des branches. Les hommes se fussent crus menacs d'asphyxie. Un long mugis-, seraient sous-marin leur arracha un cri d'effroi. ^ L'ouragan s'annonait.- Il fut pouvantable. Les btes avaient ou leurs raisons. Rref, les animaux sont normalement et d'une faon porma * nento, quant certaines sensibilits spciales.dans l'tat hyperosthsique o, par exception, et accidentellement, se trouvent placs les sensitifs. Les tremblements de torro no sont gnralement pas annoncs par nos instruments de phy-, sique, et nul tre humain ne saurait les prvoir| mais les animaux des localits menaces, un quart d'heure avant la trpidation, sont pris d'une folle terreur, poussent des cris et s'enfuient dans certains directions. Ces faits, bien connus, ont t observs scientifiquement. Au commencement do 1885, un tremblement do terre se fait fortement sentir en Andalousie. Une commission nomme par l'Acadmie des sciences se rond sur les lieux pour tudier ce quo l'on pouvait encore observer du phnomne. M. Fouqu, rapporteur de la commission, a consign dans son rapport celte facult de prvision des animaux do la rgion qui, pouvants, ont pris la fuite pour chapper au danger que nul tre humain no prvoyait. Il en est toujours do mme l'approcho des ruptions volcaniques qui doivent causer des

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dommages srieux. Les flancs de la montagne sont abandonns par les animaux qui fuient pou* vants. Les rcits des voyageurs tmoignent assez de. faits de prvision analogues pour que je me dispense do multiplier les exemples. Les pidmies sont galement prvues par les 'animaux; et ceux qui ne sont pas retenus au sol par les attaches do la domesticit, s'enfuient vers des rgions qui ne doivent pas tre dvastes par le flau. En 1885, ;;uand le cholra faisait de nombreuses victimes Marseille et a Toulon, tous les oiseaux abandonnrent ces deux villes pour se rfugier dans les les d'Hyres qui sont restes indemmes. De semblables migrations ont t observes dans diffrentes parties de l'Italie, de l'Autriche, de la RUssie avant l'arrive du cholra. Il enfui de mme en Espagne, en Turquie, en Grce. En 1892, le mme fait se produisit en Galicie. Tous les moineaux quittrent subitement la valle de Prezemsyl, deux jours avant l'apparition du flau pour n'y retourner qu'en novembre, alors que la meurtrire pidmie avait compltement disparu. Vers 1840, une pouvantable maladie, \a$uellet clate dans une partie du Prigord, terrifiant la population, ruinant les habitants ; aussitt tou les oiseaux des champs et des bois disparaissn

W:~ de la contre en deuil; et lorsque le flau a tondu sa dernire victime, on voit de toutes parts accourir les oiseaux absents. Il y a quelques annes, lors de l'pidmie cholrique qui dsola la ville de Hambourg, on a constat, non sans surprise que, huit ou dix jours" avant l'apparition de l'pidmie, tous les oiseaux quittrent la ville pour n'y revenir que lorsque le danger eut disparu. Si nous considrons quelques animaux relativement a l'instinct de reproduction, nous constatons une facult de prvision analogue. Voici un exemple tir de l'Extase ou les Miracles comme phnomnes naturels, par Luc Desages, qui montre la merveilleuse prvoyance qu'ils ont pour leur progniture. Cette sorte d'abeille qu'on nomme la solitaire, r n'esl-elle pas excellemment doue sous ce rapport! Son existence est borne h quelques mois pendant lesquels elle doit devenir mre. Elle dpose sos oeufs dans des trous de muraille ; mais mourra avant qu'ils n'closent. Elle le sait. Elle pourvoit tout ; ses oeufs viendront h point, parfaitement abrits dans leur cachette. Les larves, qui ls nourrira ? Elle, ou du moins ses soins prvoyants. La voila en campagne. De loin, d'une liiie peut-tre, elle a vu un ver; elle chasse a coup sur. Cette espco de vers dont elle prend > plusieurs individus est la sole qui lui convienne.

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10 Elle porte sa proie son mur, plie tes victimes en deux et les force d'entror dans son nid, car leur chalour doit couver les oeufs. Mais, qui empchera lo ver de sortir une fois l'abeille morte? Elle encore. Elle pique ses htes malencontreux lgrement, pas assez pour les tuer. Ils vivront languissants jusqu'au jour ou les larves hors de leurs enveloppes pourront se nourrir de leur substance. Qui a donn cette abeille ce don admirable do prvision f... Tenez, monsieur, continue l'auteur dans son enthousiasme, voulez-vous que jo vous le dise? Si les hommes sont quelquefois en extase, les animaux y sont toujours; c*est leur norme; l est le secret de leurs merveilleux instincts. Par leur manire d'tre, le plus grand nombre des animaux annoncent la pluie et le beau temps, souventplutt que lo baromtre. Ainsi, l'approche do la pluie, l'hirondelle et le martinet rasent la terre dans un vol prcipit ; le pinson do nos jardins fait ontendre une noie triste et plaintivo ; l'oie do la basse-cour va, vient, s'agite et bat dos ailes, so jette l'eau et manifeste uno inquitudo plus ou moins vive; le paon pousse dos cris plus frquents; la poule cherche ses puces ; lo pivert gmit ; le perroquot jase ; la pintade cherche soperchor; la grenouille so tait ; !e crapaud se promne ; et lo plus grand nombre des oiseaux se taisent.

U Au contraire, quand il va faire beau, les oiseau^ gazouillent avec entrain; lo rouge-gorge se fait entendre sur la cime des arbres les plus levs, l'hirondelle s'lve dans les nues, l'alouette part du sillon et monte dans les airs pour nous fairo entendre son doux refrain, lo crillon rpte son .-* cri-cri, et la rainette monte aux arbres. Lorsque l'araigne cesse do travailler a sa toile, c'ost signo do pluie. Si elle continue ou recom* menco sos lacs pondant la nuit, c'est que le beati temps va revenir. A l'approche de la pluie, elle raccourcit les fils qui suspendent son ouvrage et les laisse ainsi jusqu'au retour du beau temps. La longueur do ces fils peut donc nous servir d'indice pour reconnatre la dure du beau et du mauvais temps. Chaque jour, elle npporte dos modifications s'a toile. Si elle les fait avant l coucher du soleil, c'est qtio la nuit sera belle et claire. C'est sans doute de cette observation que nous vient ce vieil adage araigne du soir, espoir. Quand la pluie tombe, si les poules ne so cachont pas et continuent chercher leur nourriture, c'ost qu'elle doit durer longtemps; tandis que si elles restent l'abri, c'est qu'elle no doit pas durer. Quelques auteurs, s'enthousiasmant devant les facults instinctives des animaux,sont alls jusqu' leur accorder lo sens esthtique et lo ,cens rrli* gleux. Sans aller jusque-l, nous devons admettre

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que la prvision du danger est inhrente la nature du plus grand nombre des espces, et que cette facult atteint un degr de constance et de certitude que l'on ne trouve jamais chez l'homme, si ce n'est dans l'tat de somnambulisme lucide. Examinons maintenant une autre facult que l'on observe .chez quelques espces avec une intensit et une prcision que lo plus habile magntiseur est toujours incapable d'atteindre,mme avec les sujets les plus sensitifs. Je veux parler du pouvoir que certains animaux possdent de charmer, d'attirer eux les animaux plus petits qui constituent leur pture quotidienne. Le chien, par la peur qu'il inspire, tient la perdrix en arrt pendant quelque temps ; mais un certain nombre d'animaux agissent d'une faon diffrente, par une vritable action magntique qui peut, seule, devenir mortelle. Le serpent est dans ce cas. Il darde les rayons puissants de ses yeux sur les victimes qu'il convoite, les charme, les fascine, les attire ; et, d'elles-mmes, olle viennent se jeter dans la gueule bante du monstre qui les engloutit. Au dire de certains observateurs, il arrive mme parfois que lorsqu'on rompt le charme qui attirail la victime, vivante oncore, celle-ci ne tarde pas succomber sous l'influence dltre qu'elle a subie, sans qu'on puisse sriousement constater la moindre lsion organique.

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Les savants ne croient pas l'action magn- \ tique du serpent, ils pensent que son action est la mme que celle du chien sur la perdrix; et vojci Comment Milne-Edwards s'exprimait en 1840 au ; sujet de l'action que le crotale ou serpent son* regard une espce de charme, qui forait ses victimes se prcipiter dans sa gueule ; car on a souvent observ qu'il lui suffisait de se montrei 4 immobile au pied d'un arbre, et de tenir ses yeux fixs su la proie convoite, pour que celle-ci agite de mouvements presque convulsifs, finisse par tomber terre, prs de lui ; mais cette pr- tondue fascination n'est rellement que l'effet de -" la frayeur excessive qu'il inspire. Rarement un animal surpris par un crotale, cherche s'chapper; tantt il reste comme ptrifi,tantt il se livre des mouvements dsordonns qui, au lieu de le sauver, rendent sa capture plus facile. Voil comment, au nom de la'science, les savants jugent les phnomjnes qu'ils ne connaissent pas ; et que trs souvent on l'a vu l'Acadmie de mdecine en 1848 et 1819 pour le magn.tisme , ils no veulent mme pas connatre. Il est vrai que la satisfaction d'assister au djeuner d'un ophidien en libert n'a jamais t donne un acadmicien ; mais ce n'est pas une raison suffisante pour que l'un doux s'inscrive magistralement en aux contre une explication rationnelle

14 qui n'abaisse pourtant pas son [savoir doctoral.Pour tout observatour qui a t tmoin do ce phnomne trange, il est vident que la frayeur no tient que fort pou do placo dans sa production. Il y a probablement, d'abord de la fascination oxcerce par les yeux du serpent sur ceux de la victime, puis une action plus magntique encore, si je puis m'exprimer ainsi, qui agit paj: attraction. Quand le serpont veut s'emparer d'un oiseau, d'une souris, d'uno grenouille qui ne consent jamais lui. donner sa vie, il s'approche en silenco jusqu' une distance do 4, 5, 6 mtros mme, et, la gueule dmesurment largie, la tte relove, il darde fixement les rayons do ses yeux sur l'animal convoit. Celui-ci, bientt terrifi crie, se dbat et cherche sortir du champ d'action dans lequel il est enferm. Sautillant droite et gauche, mais avanant toujours, lentement d'abord, puis plus rapidement, il dcrit des zigs-zags de chaque ct do la ligne droite qui, partant du point ou il so trouvait au dbut do l'action, va au gouffre bant du monstre qui l'attire et va l'engloutir. Arriv peu de distance du but fatal, il fait des efforts inouis et so retourne dans l'espoir d'chapper plus facilement; mais c'ost en vain; il a t attir de face, il sera galement attir par derrire 11n'avanco plus, mais recule, et cela, d'autant plus vite qu'il est plus prs. L, il plonge do lui-mme une patte de derrire dans le gouffro, puis l'autre

15 ^ \ . patte, enfin touto la partie postrieure de son , corps ; et sans que le serpent fasso d'efforts ap- , parents, la victime glisse dans son gosier pour disparatre bientt compltement. On remarquera que c'est toujours en reculant victimo se prsente, et qu'aux trois quarts queJa avale, elle pousse encore des cris do dsospoir; de plus, si c'est une souris, un mulot, une grenouille ou n'importe quel petit quadrupde, on le voit se cramponner au sol avec ses pattes an* trioures pour s'y maintenir. Ce n'est donc pas exclusivement parla fascination que le serpent agit sur sa victime, puisqu'ail bout d'un moment, celle-ci lui tourne le derrire. Puisqu'elle crie, se dbat et cherche s'enfuir, ce n'est pas non plus l'effet do la frayeur excessive qu'il inspire qui anantit sa volont. 11n'y, a pas de stupeur, pas do paralysie des mouveet ceux qu'elle fait ne rendent pas sa capments, ture plus facile comme lo pense Milnc-Edwards, puisque le serpent reste immobile. Il y a donc rellement une" action attractive qui ne saurait tre qu'une action magntique analogue celle du magntisour sur lo sujet de ses expriences. L'aile frmissante de l'oiseau, ses cris plaintifs, accusent trop bien la domination irrsistible et douloureuse que subit la victime taux abois. Emporte malgr ello par une force attractive que sa volont est incapable de vaincre, elle-ne cesse pas un seul instant de vouloir s'y soustraire.

16 Les ophidiens ne sont pas les seuls animaux dous de ce pouvoir trange. L'araigne agit comme eux sur les petits insectes qu'elle dvore, et ses victimes aux abois se comportent identiquement comme celles du serpent. Il est trs probable que beaucoup d'autres animaux carnivores n'emploient pas d'autres moyens pour assurer leur existence. Le serpent, ce monstre venimeux, que presque tous les animaux fuient, est pointant capable, dans certains cas, de faire natie d'incroyables sympathies. La chvre, la brebis, la vache mme se laissent tter par lui et paraissent mme y_. prouver une grande satisfaction. On observe alors une aberration complte de l'amour maternel, si puissant chez les animaux, qui pousse la bte ainsi charme parce temps d'hypnotisme outrance, on a mme dit suggestionne, a abandonner ^on petit. Elle se rend d'abord d'elle-mme au nid du charmeur, l'avertit par un beuglement spcial, et celui-ci n'a qu' sortir, sans se dranger davantage, pour prendre son repas la mamelle que la nature ne lui destinait pas. Cotte facult du serpent de charmer, d'attirer lui, ne s'exerce pas seulement sur les animaux ; l'homme y est galement sensible. John Kleibs, un clbre naturaliste, herborisant dans les environs du Cap, rencontre sur son chemin un enfant de 8 ans dont l'attitude lui parat des plus irr-

comme une statue, ple, la/ gulires.Immobile la bouche entr'ouverte et le cou tendu, il r^garde avec stupeur un objet que le naturaliste 1 n'a pas encore aperu. Il semble ptrifi, des..,, larmes coulent le long de ses joues. Tout coup, . il voit avec effroi une norme serpent cracheurc., qui s'avance doucement vers sa victime er. s'ouiby; lant les herbes de sa salive empoisonne. Dtaii horrible, qui prouve jusqu' quel point l'enfant^. est subjugu : Quand le serpent avance la tte, sa >,_ vvictime, qui est certainement dans un tat cata leptique presque complet, tend le cou et rpte.: exactement tous les mouvements du reptile. : Kleibs rompt le charme en envoyant une balle; dans la tte de l'animal. Ramen son village, l'enfant est pris de convulsions terribles qui ne '-* Ncessent que le lendemain. , J'ai vu une jeune dame sensitive qui prouvait une indisciblo satisfaction prs des boas du Jardin " des Plantes. Attire vers eux, elle collait sa poitrine et sa figure sur les grilles, et au bout de . quelques instants, il fallait l'emmener nv>lgr& elle et lui souffler sur le front pour faire cesser un commencement d'tat cataleptique dans lequel elle se trouvait. La bible, qui reprsente le serpont comme la personniflcation'du dlfvon, en fait le tentateur ^ qui perdit la f^rno. Totvn lui attribuant des facults surnatureHes,l'antiquit en fit l'emblme'

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del prudence. A Delphes, pour inspirer la pythie, on levait des serpents dans le temple d'Apollon pythien, et le trpied prophtique tait revtu de leur dpouille. Il y a d.ans toutes ces apprciations, comme dans la croyance qui attribuait au basilic le pouvoir de tuor l'homme do son regard, un fond de vrit ml beaucoup d'exagrations ; cela nous dmontre nanmoins que los anciens ont observ lo pouvoir trango, magntique entre tous, que certains animaux exercent autour d'eux. Il parait quo lo crapaud ost dou d'une force analogue celle du serpent; et que, dans certains cas, il ost capable de l'exercer sur l'homme. L'abb Roussea'i, un petit savant enthousiaste, qui fut mdecin par la gtico do Louis XIV, prtendait quo l'on pouvait faire mourir un crapaud enferm dans un bocal, rien qu'en lo rogardant fixement pondant quolques instants; mais l'opration aurait son mauvais ct. Un jour, dit Larousse, que l'abb Rousseau voulut recommencer cotte exprienco, qu'il avait, dit-il, russie vingt fois, lo crapaud lo regarda si fixoment que ce fut l'exprimentateur lui-mme qui, cclto fois, tomba en syncope et faillit mourir. On s'est beaucoup moqu au x\ ne sicle do la crdulit de l'abb Rousseau et do son crapaud fascinateur; mais peut-tre faut-il no voir dans lo rsultat do l'exprionce qu'il rapporte qu'un simpl

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fait d'hypnotisme trs explicable aujourd'hui. >> Comme MUne-Edwards pour l'action du serpent, ie rdacteur biographique de l'abb Rousseau dans le Dictionnaire Larousse, a vite fait de trancher la question. Je n'ai jamais expriment avec des crapauds pour vrifier cette exprience ; mais l'analogie me porte croire qu'il n'y a pas "~ eu d'hypnotisation chez l'abb Roussoau, c'est-dire que la fixation do son regard sur l'animal ^ ne l'a pas impressionn, et qu'il a t rellement, magntis par lo crapaud, qui, sentant sa vie en danger, s'est dfendu, en oxerant une action volontaire plus forte et peut-tre plus dltro que celle qu'il recevait. 11n'y a pas que les ophidiens et les amphibiens qui soient capables d'exercer uno action sur l'homme. L'histoire suivante, ra- ' magntique conte il y a quelques annes par F. Rozier dans la Revue scientifique, lo dmontre suffisamment. Il y a longtomps, pas loin d'une trentaine d'annes, dit lo narrateur, j\avais un ami, professeur do musique dont lo fils tait dou d'une manire tonnante pour la musique; il ost devenu un compositeur distingu et a dj eu dos opras et dos oratorios reprsents; il est encoro jeuno ot n'a certainement pas dit son dernier mot. Il avait alors uno douzaine d'annes; son pro me pria do lui inculquer quelques lments do sciences physiques, d'arilhmtiquo, etc. J'avais un

perroquet vert qui, juch sur son perchoir, assistait rgulirement nos leons. Un jour, au beau milieu d'une dmonstration, je m'aporois que mon lve a une figure singulire; ses traits sont immobiles, sos yeux grands ouverts, fixes, sa bouche ontr'ouverte ; il est comme frapp de stupeur. Je cesso de parler, il ne remue pas ; au bout d'un instant il se soulve lentement, sans quitter le perroquet des yeux, lve le bras droit et la jambe gauche, on penchant son corps, dans la position d'un homme qui va s'envoler; puis d'un mouvement rythm, il lance son bras droit en avant, le ramne contre son corps, recommence, et ainsi de suite, pendant que la jambe gauche est projete en sons contraire et accompagne tous les mouve^unts du bras droit. Or, ce moment-l, le perroquet excutait justement cette sorte de danse, avec une aile et une patte, ce qui du reste lui arrivait assez souvent. L'enfant, l'oeil fix sur le perroquet, reproduisait fidlement tous ses mouvements. Enfin le perroquet allonge une dernire fois sa patte, replie ses ailes, lance une sorte de sifflement, et reprend son immobilit hiratique. L'enfant s'arrte aussi, parait sortir d'un rve et se rassied en disant: Est-ce drleI Il n'avait pas perdu connaissance, il avait la pleine conscience de ses actes ; mais la leon n'a

SI i pas t continue, il tait inattentif, excit ; il ne souffrait pas, mais so trouvait peu prs dans la situation mentale et somatique o aurait pu le plonger le rcit d'une histoire qui l'aurait profondment mu. Ici, nous approchons beaucoup de la fascination ; le perroquet parait bien avoir p) is lesyeuoo/ de l'enfant ; e phnomne a bien t suivi d'un malaise analogue celui de l'oiseau qui s'approche insensiblement de la gueule ouverte du ser- pent. Mais il faut remarquer que le perroquet ne s'occupait pas du tout de l'enfant, ne le regair* dait mme pas ; je crois qu'il est plus rationel d'noncer ainsi la suite des phnomnes : curiosit veille, attention, imitation et demi-hypnotisation. Les mots attention, imitation, demi-hypnojisation n'expliquent qu'une partie des effets sans rien dire de la cause qui les produit. Il est vi-; dent que le sujet de cette obseivation tait sensitif un trs haut degr et qu'il s'est trouv plong" dans un tat .voisin do la catalepsie, comme le dmontrent les mouvements automatiques qu'il excutait. C'est donc le mouvement ' de l'oiseau qui s'est transmis l'enfant ; mais comment s'est il transmis???. Je crois qu'il est inutile d'ajouter que| c'est bien par une action? magntique, dont je ne chercherai pas a expliquer " ' le mcanisme. ; Par le contact ou simplement par l'approche,

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23 un individu sain, fort et robusto communique lb mouvomont propre do sa vitalit un autre individu dlicat, faiblo ou malado, et celui-ci corn* mimique 1individu sain le mouvement de sontat malalif. Il on rsjlto un chan^o qui ost par> fois nuisible au premier, mais qui ost toujours utile au second. J'ai dmontr cotte vrit physiologique au chap. Il do cet vouvrage en citant quelques considrations sur l'action quo les individus oxorcent les uns sur les autres. Et ce qui est vrai pour los hommes entre eux, ost galement vrai quand il s'agit des animaux ou des rapports do ceux-ci avec l'homme. Aussi, dans tous les temps, on a employ l'action vitale de certains animaux, soit commo agent prservatif des maladies, soit comme agent thrapeutique. On a retrouv rcemment, dans des inscriptions dcouvertes Epidaure, prs du temple d'Esculape,. la mention des gurisons obtenues par le lchement des chiens sacrs, chez des individus atteints d'ophtalmie et mme de ccit. En Ecosse, on est persuad que le moilleur remde opposer une blessure ou un- mal qui suppure est de lo faire lcher par un chien. En Bohme, on fait lcher les nouveaux-ns par an chien pour qu'il ait une bonne vue; Dans plusieurs contres d la France, notamment dans les/ Vosges, en Allemagne, on emploie le lchement des chiens contre les rhumatismes. 11parait qu' Ilzoho, dans la province do Shlowig-Holstoin,

23 ~ la municipalit oxompto de la taxe, les chiens servant cet usago. En Vntie, on croit que le chien a du baume sur la langue . Dans un certain nombre de fermes o l'on fait l'levage des chevaux et de moutons, on garde un ou plusieurs boucs, dan* le but de chasser les maladies. Nous savons que las odeurs exercent une action sur l'organisme ; et l'odeur si pritrante qui se dgage du bouc pourrait bien tre un antiseptique, un anti-microbe de certaines maladies; dans tous les cas, cette pratique so perptue depuis un temps immmorial. M. Ed. Raoux, professeur Lausanne, aussi ardent vgtarien que partisan convaincu de l'aotion prservatrice ot eurativo des animaux, a prpar un travail sur ce sujet; mais la mort est venue le frapper avant qu'il ait pu rassembler tous les matriaux-qu'il attendait. Voici l'esquisse de ce remarquable travail, qui devait paratre sous le titre : -.quadrupdes ou quadrumanes, reptiles, oiseaux, poissons, crustacs, insectes , on observe la mme action, action qui no peut tre dtermine que par l'agent magntique vibrant en eux, puisque les effets sont diamtralement opposs sur les deux cts du corps des sujets qui nous servent de ractifs. Si, en zoothrapie, on obtient dj d'excellents rsultats en appliquant au hasard les animaux sur los parties affectes, il est vident que ces rsultait seraient bien meilleurs encore si on lesappliquait selon les lois do la polarit, soit pour calmer, soit pour exciter, selon les besoins. I II. Polarit des animaux morts Nous venons do reconnatre la prsence de'l'agent magntique chozles animaux vivants, comme nous l'avons observe chez l'homme.En cherchant nous rendre compte si lox principe vital de celui-ci n'a pas quelque choso de commun avec l'a gent magntique, nous avons fait dos oxprionces avec lo squelette humain ( VIII du ch. IV) et constat quo les doux principes diffrent essentiellement l'un do l'autre. Chez les animaux morts il est encore plus facile de vrifier cotte vrit. D'autre part, dans les campagnes, los bonnes femmes proscrivent souvent do coupor on deux

44 un pigeon vivant et d'appliquer les chairs palpitants sur le sige de certaines douleurs, et beaucoup de personnes attribuent une puissance curative considrable cette mdication. Que peut-il avoir de vrai dans cette croyance? Serait-ce y l'action vitale non encore teinte ou l'action magntique qui so transmet ? Serait-ce les doux actions runies ? Sans chercher rsoudre cette question qui me parat fort importante, examinonsl sous son aspect magntique. I. ' Prnons un poulet prt mettre la broche, plaons-le sur uno table comme l'animal vivant do la lr exp. du prcdent, et prions le sujet d'appliquer ses mains sur les cts do l'animal, ou simplement do les approcher une distanco do quelques centimtres. Si les mains se trouvent en position isonomo avec l'animal, le sujet prouvo de la chaleur ot de la rpulsion ; l'activit organique augmonlo, ot l'on observe bientt de la contracturo. Si elles se trouvent en position htronome, c'est au contraire de la fracheur et do l'attraction ; mais bientt l'activit rganique diminue ot la paralysio survient. IL -- Prnons uno paulo de chevreuil, un cuissot de sanglier, un gigot do mouton, un pied de veau ou do cochon ; et que lo sujet applique ~es mains chaque extrmit, soit en contact, soit vlistance. Ceux qui ne connaissent rien des effets du 'magntisme seront trs surpris de constater

; que cette pice de victuaille exerce chaque extrmit une action oppose sur la mme main. Elle est polarise. Si l'paule, le cuissot, le gigot, le pied, appartient au ct droit de l'animal (qui est positif), la partie infrieure a pris la modalit positive et la partie suprieure la ngative. Si ces pices appartiennent au ct gaucho, elles sont polarises d'une faon oppose : c'est la partie infrieure qui esl ngative, tandis que la suprieure est positive. Il en est de mme de tous los organes ot de toutes les parties du corps do l'animal qui exercent ainsi des actions analogues celles que nous avons observes avec les diffrentes parties du squelotto humain. L'action magntiquo quo les corps organiss excercent ou pouvont exercer les uns sur les autres no s'teint donc pas avec la vie; et les chairs palpitantes que la mdocino des bonnes femmes appliquent quelquefois contre la douleur ne doivent pas toujours demeurer sans effet. III. Aprs avoir fait rtir uno pice des expriences prcdentes, disons lo poulet, table, la serviette sous le menton, faisons encore une srio d'oxprionces. Avant do la dcoupor, nous pouvons dj constater qu'il n'a rien ou presque rien perdu de l'action magntique qu'il exerait avant la cuisson. Dcoupons-le, nous constaterons, comme dans l'exprience prcdente, quo chaque

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- 46 morceau provenant du ct droit ost positif vers les parties infrieures, ngatives vers les suprieures ; c'ost l'inverse pour les morceaux du ct gauche. On peut sparer les muscles, les nerfs, les vaisseaux, les os, les sectionner tant qu'on voudra, et un sujet trs sonsitif reconnatra toujours que chaque fragment est polaris. Au point de vuo magntique, lo corps des animaux, comme celui do l'homme, se comporte donc identiquement comme un aimant quo l'on brise, et dont chaque fragment, chaque miette, devient un aimant complot, ayant sa ligne neutre et ?es ples opposes. La cuisson n'a donc pas dtruit l'agent magntique; et tout me porte croire quo lo temps ne le dtruit pas davantage. J'ai conserv des fmurs do poulet qui ont servi mes premires oxpriencos, il y a uno douzaine d'annes; et au jourd'liui, leur action est aussi nergiquo que le premier jour. IV. Si lo temps et la cuisson n'affaiblissent pas sensiblement l'action magntique, voyons si on peut la dtruire par un autre moyen. Brlons une partie quelconque d'un animal, uno cuisse de poulet, par exemple, et recueillons sparment les cendres et los charbons do chaquo oxtrmit. Une fois encore, nous constatons que le fou n'a pa9 ananti l'agent magntique, car los rsidus de la

_ 47 carbonisation oxercent sur le sujet dos actions analogues celle que le morceau pouvait exercer avant la destruction. Les cendres d'une extrmit sont positives, celles de l'autre sont ngatives. Le mouvement vibratoire qui constitue lo magntisme chez los tres vivants, no disparait donc pas, no so transforme pas en d'autres mouvements sous l'action du temps, ni mme sous celle du feu. V. La fourrure de certains animaux ost trs rechercho, non seulement pour nous prserver du froid, mais aussi pour nous prsorvor des rhumatismes : celle du chat sauvage ost dans ce cas. Y aurait-il dans l'action do ces fourrures une action diffrente de colle qui consiste nous prserver du froid ? Les expriences prcdontes le laissent penser. Vrifions cette supposition : Prenons pour cola une peau de mouton, de chat, do renard ou de tout autre animal, et appliquons-l, soit l'jnvers, soit l'endroit, sur lo dos ou la poitrine d'un bon sonsitif, on observant quo la partio qui recouvrait la partio antrieure du corps do l'animal, soit dirige vers la tto du sujet, et prions celui-ci d'observer sos sonsations. Eh bien ! l'action magntique no tardera pas se faire sentir. Si la peau est applique on position isonomo sur lo sujet, celui-ci prouvo do la chaleur accompagno d'un certain malaiso, l'activit organiquo augmento, ot lo sujet''s'endort lente-

ment en passant, commo toujours, par tous les tats du sommeil magntique. Si au contraire l'application est faite en position htronome, le sujet rossent une fracheur trs agrable, mais bientt l'activit organicrue diminue et la paralysie survient. L'action magntique n'a pas disparu do la peau de l'animal, pas plus que des tissus osseux, nerveux ou musculaires, et la fourrure du chat sauvage est donc susceptible d'exercer une action qui, videmment, est indpendante de l'action prservatrice du froid qu'on lui attribue. On peut maintenant comprendre toute la valeur de la zoothrapie, et escompter M'avance les services quo cette branche de la mdecine magntique pourrait rendre l'humanit si elle tait universellement connue. J'espre que cet ouvrage y contribuera dans une certaine mesure.

-4J9Tralt exprimental de Magntisme.Physique magnr a e tique.Coui professs l'ucotepratique do Magntismet doMassage, ar II. DUHVILLB. volumeselis, arec Deux r p d portrait,signature autographe e l'auteuret 6 flxures dansle texte,l'rix de chaque volume:3 fr., a la Librairie du Magntisme, rue Saint-Merri, Paris. J3, TABLEDBS MATIRES 1" VOLUMB DU Pagesi I. Histoire de la Polarit 7 II. Principes gnraux du Magntisme. 19 I. Considrationsur l'action que les individus exercent les uns sur les autres. II. Transformation des forces physiques. III. Dfinition du Magntisme. Elymologiodu mot. IV. La sensibilit et les sensitifs. V. Le Sensitivomtre. -- VI. Gommenttrouve-t-onles sensitifs ? III. La Polarit dans la Nature .... 51

I. Du rle de la volontdans la production des effets magntiques. II. Polarit. III. Effets physiologiques du magntisme. IV. Les sensations relles, et les sensations imaginaires. V. Ce qu'prouvent les sensitifs sons l'action du Magntisme. 91 IV. Magntisme Humain I. Polaritdu corps humain. II. Polarit d'ensemble III. Polarit secondaire. IV. Action des yeux. V. Action du souffle. VI. Polarit des gauchers. VII. Polarit des sexes. VIII. Action du squelette IX. Automagntisation.X. Actionphysiologique de

r>0l'eau et autres corps magntiss. XI. Aimantation le contact humain. XII. Le Magntisme e par avecles autres agents de In nature peut tre confondu XII. Les lois physiques du Magntisme humain. 167 V. Magntisme de l'Aimant I. Polarit latrale du corps humain.,II. Polarit an III. Polarit secondaire. IV. tro-postrieure. Propritsphysiques do l'eau et autres corps magntiss par l'aimant. V. Force physique el force physiologique de l'aimant. VI. Lois des actions de l'aimant sur le corps humain. 231 VI. Magntisme de la Terre I. Actionphysique du courant magntique de la terre. II. Agent physique et agent physiologique. III. Les lois du Magntismede la terre. VIL Magntisme de l'Electricit. '. . 259 I. lectricit statique. II. lectricit dynamique. III. Analogieset diffrences existant entre l'agentphysique de l'lectrictit et l'agent physiologique,quelle que soit sa provenance. IV. Leslois des actions de l'lectricitsur le corps humain.

51 TABLEDESMATIRKS 2* VOLTJMK DU Pagre VIII. Magntisme de la Chaleur 5 I. Chaleur rayonnante. II. Dans une tige chauffe l'une de ses extrmits. III. Dans une tige chauffe au milieu. IV. Dans des plaques chauffesau milieu. V. Proprits physiques du Magntisme do la chaleur. VI. Lois du Magntisme de la chaleur. IX. Magntisme de la Lumire 37 I. Le Soleil et la Lune. II. Les couleurs. V X. Magntisme du Mouvement 69 I. Mouvements do translation. II. Mouvements de rotation. III. Mouvements d'oscillation. IV. Frottement. XI. Magntisme du Son I. Dans une Cloche. II. Dans des Plaques. 05 '

XII. Magntisme des Actions chimiques . . 113 I. Acides, Bases et Oxides. IL Dissolutions, XIII. Magntisme des Odeurs 129 XIV. Magntisme des Animaux . ...... 137 (Zoothrapie) I. Polarit des animaux vivants. IL Polarit des animaux morts. XV. Magntisme des Vgtaux 1*3

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I. Polarit dos vgtaux. IL Action mdicamenteuse. XVI. Magntisme des Minraux 213 1. Dans les cristaux. IL Dans les mtaux et les mtallodes. XVII. Les Courants magntiques du corps humain 237 I. Circuit ferm. IL Circuit ouvert. XVIII. Lumire magntique 263 I. Le corps humain. II. L'Aimant. III. Le Magntismeterrestre.IV. L'Electricit. V. La Chaleur. VI. La Lumire. VII. Le Mouvement. VIII. Le Son. IX. Les Actions chimiques. X. Les Odeurs. XL Les Animaux. XII. Les Vgtaux. XIII. Les Minraux. XIV. Les Courants. XV. Quelques mots sur les Couleurs de chaque ple.

des n etla Toatea saUdks erveuse* plopan maladies lea organiques: bourdonnements, ulanie, asthme, catalepsie,congestions, anmie, c trampts, risesdenerfs,diabte, contractures, constipation, hystrie, Mores,aux g diarrhe, tourdissemonti, moutte, ravetle, de de d'estomac, ttte, insomnie, incontinence, jaunisse, et de nvroses, fatpitations nvralgies, m dents, reins, igraine, de battementseotur, rgles sciatique,paralysies, douloureuses, tri souvent lies, etc., surdit, yncope, vomissements, etc.,sontDimviixi. s - facilesgrorir lesaimants II. vitalits professeur du par les d vives au Instants, accs,' Les(teUars cessent bout equelques sefait etla moins deviennent (rqoenls, gurison sans notas iolents, v Beleanents modUIerson ouseshabitudes. etta* rgime Traitur lirelecurieux s l'Application Tt* naades doivent Ua des a del aimant u traitement maladies, contre de envoy timbre Paris, 9ML NwtaV.pw 33,r YhstiMMagntique,. S'-Merrl,

LIBRAIRIE (Extrait MAGNTISME

DU MAGNTISME du catalogue) ET HYPNOTISME

AFFAIRE GOUFF. Procs Eyraud-Bompard, d'aprs le compte-rendu in-extenso de la Gazette des Tribunaux. 75 cent. ; par la poste, 1 fr. Intressant pour les thories hypnotiques exposes la barre du Tribunal, par M. Ligeois, reprsentant l'cole de Nancy, et les mdecins ayant examin l'tat mental de l'accuse, reprsentant l'cole de la Salptrire. L'ABB ALMIGNANA. Du Somnambulisme, des tables tournantes et des mdiums. .40 cent. Petite brochure qui intresse plus particulirement les spirites. * ARCHAMBAUD. Traitement des affections, de l paule par le massage 3 fr. Ouvrage spcial d'un jeune mdecin qui applique le massage dans sa pratique. AZAM. Hypnotisme et double conscience. Origine de leur tude et divers travaux sur des sujets analogues, avec Prface et lettres de P. Bert, Gharcot et Ribot 9 fr. Hypnotisme, double conscience et altrations de la personnalit, avec fig 3 fr. 50 Documents intressants sur les origines de l'hypnotisme, et plus particulirement sur le ddoublement de l personnalit observ par l'auteur, un mdecin distin-' gu, professeur la facult de mdecinede Bordeaux. * BARADUG. Observations sur le Magntisme. . 50 cent. Electro-Magntisme La Force vitale. Notre corps vital fluidique,sa formule biomtrique, avec fg. . . . 4 fr.

54 Importauts ouvrages d'un mdecin, dont les dernier intresse particulirement le mdecins. BARTY. Lo Magntisme animal, tudi, sous lo nom do force nourique rayonnante, dans ses proprits physiques, physiologiques et th14 fr. rapeutiques, avec SI fig Volumineuxouvrage d'un mdecin que le hasard a rendu magntiseur. Il contient quelques observations nouvellessur les proprits physiques de l'agent magntique. Un grand nmbre d'expriences sur l'action physiologiqueet thrapeutique de cet agent sont rapportes avec force dtails. Bon lire et a consulter. T. BARTHELEMY. tude sur le dcrmographisme, ou dormo-neuroso toxivasomotrice, avec 17 planches hors toxto 7 fr- 50 Etude srieuse d'un mdecin, la plus complte qui ait paru sur cetto question des stigmates ou marques du diable, observs si souvent, surtout chez.les hystriques, sans tre expliqus. RAYONNE. De l'Ignium, ou Magntisme animal . . 3 fr. La physiologie et l'action do certaines substances sont traites autant que le magntisme humain. C'est l'oeuvred'un mdecin, qui s'adresse surtout aux "mdecins. BEAUNIS. Le Somnambulisme provoqu. Etudes physiologiques et psychologiques, avec 3 fr. 50 fig. Bon ouvrage de l'un des matres de l'cole hypnotique de Nancy. BERNHEIM. De la Suggestion et de ses applications thrapeutiques, avec fig. .... ofr. Hypnotisme, suggestion, psychothrapie. tudes nouvelles . 9 fr. Volumineuxouvrages de l'un des matres de l'cole hypnotique de Nancy. BOURRU et BUROT. La Suggestion mentale

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et l'action distance des substances toxiques ot mdicamenteuses, avec 10 planches ." . 3 fr. 50 Variations de la personnalit, avec 14 planches 3 fr. 50 Curieux ouvrages de deux mdecins, professeurs la Facult de mdecinede Rochefort. BINET.Psychologie du Raisonnement, Recherches exprimentales par l'hypnotisme ,2 fr. 50 Excellent ouvrage ae psychologie dont les conclusions sont lires des expriences que l'auteur, un mdecin distingu, a faites sur le magntisme et l'hypnotisme. ", BONJEAN. ^- L'Hypnotisme. Ses rapports avec le droit, la thrapeutique, la suggestion mentale 3 f r. Ouvrage d'un avocat belge, traitant surtout de la pratique du magntisme et de l'hypnotisme devant la loi. BRIERRE DE BOISMONT. Des Hallucinations, ou Histoire raisonne des apparitions, des visions, des songes, de l'extase, du magntisme et du somnambulisme. 3* dit 7 fr. Le titre indique assez la nature de l'ouvrage. On y trouve de trs bonnes observations sur le magntisme et le somnambulisme. '* s A. BUE. Le Maqntisme curatif, 2 vol. * I. Manuel 2 fr. " IL technique 3 fr. Psycho-physiologie Excellents ouvrages. Le premier expose la pratique magntique; le second traite plus spcialementdes diverses thories. CAHAGNET. Thrapeutique du Magntisme et du somnambulisme ... . . . 5 fr. Magie magntique,ou Trait historique et pratique de fascinations, miroirs cabalistiques, apports, suspensions, talismans, possessions, envotements, sortilges,etc. 3e dition. . . 7 fr.

56 Guide du Magntiseur, ou Procds magntiques, d'aprs Mesmer, de Puysgur et Deleuze, mis la porte do tout le monde. . . . 1 fr. Sanctuaire du spiritualisme. Etude de l'me humaine et de ses rapports avec l'univers* d'aprs le somnambulisme et l'extase. . . 5 fr. Mditations d'un penseur, ou Mlanges de philosophie et do spiritualisme, d'apprciations, d'aspirations et do dceptions, 2 vol . . 10 fr. Encyclopdie magntique et spiritualistem Trait de faits physiologiqnes ; magie magnti. que, swedenborgianisme, ncromancie, magie c28 fr; leste, 7 vol Oahagnetfut un grand penseur, un vritable aptre qui a beaucoup crit ; mais il n'a pas assez pratiqu le magntisme pour que ses ouvrages soient considrs commedes manuels d'enseignement pratique. Malgr, cela, tous ses ouvrages, qui constituent uo vritable enseignementphilosophique, sont bons lire et conserver. ED. GAVAILHON. La Fascination 'magnti3 fr. 50 que, avec prface de Donato Ouvrageintressant, qui est surtout consacr la dmonstration des expriences de Donato. ' J. DE CAZENEUVE. Les Grands hommes caractriss par leurs noms (Lamartine, Flammarion, V. Hugo, le baron du Potet), avec appendice 3 fr. sur le magntisme OEuvred'un magntiste convaincu, qui voit dans les, noms une relation intime avec le caractre et l'aptitude des individus. Ouvrage trs curieux, que tous tes partisans du magntisme et.de l'occultisme devraient possder. GHARCOT. OEuores compltes, tome IX : Hmorragie et ramollissement du cerveau, mtallothrapie et hypnotisme, lectrothrapie, avec 34 fig. dans le texte et 13 planches . . . 15 fiS:

-57 La thorie du matre de l'hypnotisme, rsume dans cet ouvrage, montre bien que l'hypnotisme n'est que le magntisme dfigur. GHEVILLARD. ludes exprimentales sur certains phnomnes nerveux, et solution rationnelle dit spirite. 4 dit., revue, corrige et duproblme prcde d'un aperu sur le Magntisme. . % fr. L'auteur cherche dmontrer que le plus grand nombre des phnomnesspirites ne sont dus qu'au magntisme. GULLERRE. Magnlis?nc et hypnotisme. Expos des phnomnes observs pendant le sommeil nerveux provoqu, avec 36 fig. 3 fr. 50 La thrapeutique suggestive et ses applications aux maladies nerveuses et mentales. 3 frj50 Ouvrages d'un mdecin, o sont exposes les thories du magntisme confondues avec celles de l'hypnotisme. * DAVID. Magntisme animal, suggestion ... 2 fr. 50hypnotique et post-hypnotique. On y trouve plusieurs expriences trs curieuses et assez importantes. A. DEBAY. Les Mystres du sommeil et du magntisme, ou Physiologie anecdotique du somnambulisme naturel et magntique ; songes prophtiques, extases, visions, etc., 8' . . 3 fr. Lo succs de cet ouvrage, du la plume d'un mdecin littrateur, indique assez sa valeur. C'est uu livre remplide faits intressants relatifs la prvisionet la lucidit somnambulique. M. DEGRESPE. Magntisme, hypnotisme, somnambulisme, avec [figures, 20 cent., parla 30 cent. poste.. *L'Extriorisation de la Force nerveuse et les travaux de M. de Narkiewicz Iodko, avec son lfr. portrait photograv *Recherches sur les conditions d[exprimenta-

58 lion personnelle en physiopsychologie . 75 cent. Excellents ouvrages d'un jeune .chercheur qui est aussi clair quo consciencieux.Lo premier ost un petit trait o la thoriedo la polarit est fort bien expose ; lo secondexplique les travaux du savant russe qui ont merveillle mondesavant ; lo dernier, plus spcial, tudie les conditions que tout exprimentateur doit remplir pour devenirun Matre praticien. ' DELBOEUF. L'Hypnotisme, ot la libert des runions publiquos 2 fr. Le Magntisme animal, . propos d'une visito l'Ecole do la Salptrir'o 2fr. 50 L'auteur, un aptro convaincu du magntisme et de l'hypnotisme, voudrait la libert entire des reprsentations publiques et do la pratique du magntismeeu* ratiK * DIGBY. Discovrsfait en vne clbre Assemble, par le Chevalier Dgby, touchant la Gurison des Playes par la poudre de sympathie. Edit. de 1666, reproduito par G. Demarest. . . 3 fr. Dans cet ouvrage,on trouve expos' de la-thorie des gurisons obtenues par la poudre de sympathie du chevalier Dygby.-quilit tant de bruit au XVIIe sicle. Trs important pour ceux qui s'intressentaux origines du magntisme thrapeutique. DURAND (DK GROS). Le Merccillcux scientifi6 fr. que Cours thorique et pratique de ffraidisme, ou Hypnotismo nerveux, considr dans ses rapports avec la psychologie, la physiologie Ja pathologie, et dans ses applications la mdecine, la chi*-. rurgie, la physiologie exprimentale, la mdecine lgale et h l'ducation. . . . . 3 fr. 50 L'auteur est un des prcurseurs de rhypnotismet et ses ouvrages, remplis de documents, sont curieux a plus d'un titre. Lo dernier a t publi sousjlo pseudonyme de Philips.

59 FR et BINET. Le Magntisme animal, avec fig., reli 6 fr. Bon ouvra :e, exposant surtout la mthode hypnotique do la Salphiro. FONT AN ot SEGARD. Elments de mdecine suggestive. Hypnotisme et suggostioh. Faits cli4 fr. niques Le titre de cet ouvrage, d a la plume do deux mdecins, indique assez ce qu'il contient. FOVEAU DE COURMELLES.Le Magntisme 1 fr, devant la loi * L'Hypnotisme, avec 43 fig ... . 3 fr. Ouvrages d'un jeune mdecin trs apprci. L'IIyp. notisme est une trs bonne oeuvrede vulgarisation, o toutes les mthodes magntico-hypnotiquessont exposes. GARCIN. Le Magntisme expliqu par luimme, nouvolle thorie dos phnomnes du magntisme compars aux phnomnes de l'tat 4 fr. ordinaire Ouvrage ancien, qui n'a pas t apprci sa juste valeur. Trs bon consulter. A. GAUTHIER. Histoire du Somnambulisme, connu choz tous los peuples do l'antiquit sous les nomstliversd'oxtase, songes, oracles, visions. Examen des doctrines de l'antiquit, et des temps modernes, sur ses causes, ses offets, ses abus, ses avantages et l'utilit de son concours avec la . 10 fr. mdecine. 2 vol Travail do trs haute rudition, le plus complet et le plus remarquable qui ait paru sur la question si controverse du somnambulismelucide. * J. GRARD. Mmoire sur l'tat actuel du . . . 1 fr. gntisme L'auteur, devenu un mdecin distingu, est un -vtran du magntisme. Son mmoire, trs bien crit, mrite d'tre lu.

60 GRARD. Guide de l'hypnotiseur, illustr par A. Le Roy 3 fr. 50 Trs bon ouvrage recommander aux amateurs de magntisme thtral. Le mcanismede toutes les expriences que'l'on a vues dans les sances publiques est clairementexpliqu. GOYARD. Le Magntisme contemporain et 1 fr. 25 la mdecine pratique Excellent petit ouvrage d'un mdecin qui reconnat au magntismede trs grandes proprits curatives, et voudrait le voir dfinitivementacceptpar la mecine ui classique. * HUGUET. Mmoire sur le Magntisme 1 fr. curatif Petit ouvrage d'un mdecin,qui cite quelques gurisons extraordinaires obtenuesdans sa pratique, ; Devrait tre entre les mains de tous les mdecinset de tous les malades. ROUXEL. Rapports du Magntisme cl du Spiritisme . . . 5 fr. *Histoire et Philosophie du Magntisme. 2 vol. illustrs de nombreuses figures. Relis. ' I. Chez les anciens N3 fr. * II. Chez les modernes 3 fr. Excellents ouvrages, traitant surtout de l'histoire du magntismeet de ses rapports avec le spiritisme. L'auteur y dmontre que toutes las thories hypnotiques taient connues des disciples de Mesmer ds la fin du sicle dernier. Le dernier est le Cours profess par l'auteur l'Ecole pratique de Magntisme et de Massage. TLPATHIE SPIRITISME, CAMPET DE SAUJON. L'Ide, la Vie, ta Survivance 2 fr. ERNY. Le Psychisme exprimental. Etude ds phnomnes psychiques. . . . . . 3 fr. 50

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* FUGAIRON. Essai sur les phnomnes lectriques des tres vivants. Explication scientifique des phnomnes spirites. . . . / . 2 fr. 50 P. GRENDEL.Esprit ancien,Esp. nouv.lt.25 * METZGER. Mdiums et Groupes, spiritisme ot hypnotisme 50 cent. * Essai de Spiritisme scientifique .. 2fr. 50 A.-R. WALLAGE. Les Miracles et le moderne spiritualisme, avec portrait de l'autour. . 5 fr. OCCULTISME (Astrologie, Alchimie, Chiromancie, Graphologie, Phrnologie, Thosophie, etc.) ARUSS. La Graphologie simplifie. Art de connatre le caractre par l'criture. Thorie et pra3 fr. 50 tique *R. BACON. Lettre sur les Prodiges de la nature et de l'art, avec portrait de l'auteur, traduite et commente par A. Poisson. . 75 cent. 'BARLET.Essai sur l'volution del'ide. 3 fr. 50 *Instruction intgrale. Instruction primaire, ' 4 fr. avec tableaux; * Universit libre des Hautes-Etudes. 75 cent. * Principes de sociologie synthtique . 1 (r, * BARLET et LEJAY.Synthse de l'esthtique, la Peinture 1 fr. 25 ANNIE BESANT. Pourquoi je devins tho. 1 50 sophe H, P. BLAVATSKY. La Clef de la thosophie, 3 traduit de l'anglais, par Mme DE NEUFVILLE.fr. 50 *J. BOIS.Les Noces de Sathan, drame strique, avec dessin de H. Colas. . . . * 2 fr. La Porte hroque du Ciel . . . . . 3 fr. Le Satanisme et la Magie, avec une tude de

62 Huysmans et illustrations do Malvost. . . 8 fr. *E. liOSC, Adda-Nari, ou l'Occultisme dans l'Inde antique. 4 fr. ' La Psychologie devant la science et les savants. Od ot fluide odique, polarit hum ai no, ma. 3 fr. 50 gntisme, otc. ' Trait thorique et pratique du Haschich et autres substances psychiques 3 fr. * La Chiromancie mdicinale, suivie d'un Trait sur laPhysiognomonie, d'un autre sur les Marques dos onglos.avoc un Avant-propos et uno Chiromancie synthtique, avec fig . . . 3 fr. *Dictionnaire d'Orientalisme, d'Occultisme et Psychologie,2 vol. illu., avec port, dfaut. 12 fr. *J. G. BOURGEAT.- -Magie. Exotrismo Essotrismo; l'homme, l'univers ; Dieu ot lo dmon ; lo plan astral ; la mort, ses mystres ; l'au-del ; los sorciers, l'envotement; moyen facilo de prophtiser los vnements, etc., otc . . . . 2 fr Maison hante. 2 fr. *UUIAVER-LYTTON.-/n II. CHATEAU. Z.eZoA>as j mitas, espieds t l'organe cliez'homme. gnital l de ki des e Lei'2 : Contre affections jambes, la gorgetdu larynx. lasurdil. Len3 : Contre bourdonnements, lamigraine, l.s iramauxe d lesmaux e ttoet toubs affection d l les dents,'S nu.ilgles, l'insomnie, ducerveau,rompris lesaiTections -s.o\ntre sciat!i]iie. mental la y des dis Len4: Centre lesaffections reins, poumons,foie, ucoeur, du d lavessie, deh rate, el'estomac, d ovalreS. ilel'iiitcstin.dc delainatriecetdes Contre maladies delamoelle les pinire. la r.ue et Ces nerpondent IJUICS,nediffrent parlacourbure longueur, qui sne 4 l besoins;f.:lt on dsunies nas tou-es diWtspfcialeportant denumro., pas lame dans t cas. 5x. quiservent ceiains l'rix dechaque Plastrons, magntiques de I>aus anciennes etrebelles, uneseuleame'est as l n p beaucojp maladies une g sulflsante vaincremil.Pour btenir plus randi le o soniuii toujours pour lames r des d'actiou, plusieurs sont unies former plastnns. pour Les ont finironsvalent10,15ouOfr., selon qu'us 2,3ou4 lamtt, Barreau magntique Avecccessoires magntiserboissons aliments. a lu et pour Prixdechaque ppjreil. 10fr. a Bracelet magntique t contre malaises detteot : maux Bijoursefgant. S'emploie tous de et migraine d'estomac, ttions patnlt etbattementscoeur, nvralgie lgres, dans dauleur lesbras, rampe crivains planistes, etc. n des etdes etc.. O te c fait equatre randeurs numro les d :sans avec g pour enfants; lesnumros I, l Pour la du 2, 3, poures grandes personnes. celles-ci, Indiquer grosseur poignet l'undesmots par gros. petit,moyen, l'rixdubracelet, 10fr, que quelle soitla grandeur Porte'Plume magntique contrecrampe crivains, duporle-plume la des l'rix 5fr.

Sensltlvomtre surtout s si sent c S'emploie pour erendreompte les personnes susceptible ou et endormies lemagntismeparl'hypnotismeponr esurer d'tre m par leoi sensitivomtre desensUivil. Prix de chaque 10fr. degr du H. sont Lesaimants professeur DurviHe soumis l'atmantatten ordk naireetuneopration : considspcialela vilaUsatien, augmente qui leur rablement puissancecurative. perdent eu p deleur imantation, Quoiqu'ils a aubout e1 & mois, l'usag' d h force vitaledisparat oumoins 4 selon plus tre en fait.Il a les qu'on dela faut lors renvoyerl'institutpour revitaliss. Prix 9 fr, vitalisation, pourchaque icesimpletd p o Prix de la vitalisation, 3 fr. niekelage ugarniture.. Lesmalades choisir ux-mmes appareils ui leursont e les peuvent q dansles aladiescompllques.il ncessaires; toutefois, m estprfrable d'expos au directeur l'Institut,la nature, cause, symptmes maladie, de la les dela on. etc. lemode 'emploi, on depuisaquelle souffre, Enprcisant l d l'poque avec plus lesappareils d Indiqueemande qoel'ondoitemployer le dechancee succs, d doit tre accompagne dunmandatl'ordreeM.lt. Toute d Durvllle, Paris. sont OD 23,rueSt-Merrl, Hoiries ays p olesenvols 'argent coteux, d en le une de15 moyennant augmentation 0/, acceptepayementtimbres-poste,

Paris. Typ. A, Malverve 171 ru St-)eai3^: