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BibliothèqueINSEE PQj LJ ~Ii RE't!T SReçuu le
1 b 3 t 2
1Fis lu IV11N1 0 b1KlIÇxjibile_:
dans dnquante villes de Franoe
Analyser l'emploi par fonctions oc-cupées est un bon moyen de cer-ner les forces et les faiblesses des
villes françaises . La mesure de l'emploidans douze "fonctions stratégiques"montre la prééminence de Paris et la po-sition favorable de quelques métropolesrégionales (Montpellier, Toulouse, Lyonet Strasbourg) ainsi que des principalesvilles de la région Rhône-Alpes .
L'analyse traditionnelle des emplois parsecteur d'activité ou qualification traduit defaçon incomplète les spécificités de tel ou telpôle urbain. Qu'on en juge par deux exem-ples. Les tâches d'informatique au sein desentreprises industrielles n'apparaissent pascomme telles mais sont rapportées au sec-teur auquel appartient l'entreprise (travaildes métaux ou fabrication de chaussurespar exemple) . L'approche sectorielle ne per-met donc pas de mesurer le développementde la fonction informatique . De même, l'ac-tivité d'un journaliste de la presse écrite seraréputée industrielle (secteur imprimerie-presse-édition) tandis que celle de son col-
mN° 300 - FÉVRIER 1994
PRIX : 14 F
Philippe Julien, Insee Midi-Pyrénées
lègue de la radio ou de la télévision seraclassée dans les services marchands (sec-teur radio-diffusion et télévision) . Ne s'agit-ilpas là, pourtant, de deux activités de mêmenature, ce que leurs secteurs d'apparte-nance ne permettent pas d'apercevoir ?Parce qu'elles demandent une haute quali-fication, parce qu'elles confèrent un certainpouvoir, ou encore parce qu'elles attirentd'autres emplois ou de nouvelles popula-tions, certaines fonctions ont un rôle déter-minant sur le développement . Ce n'est paspar hasard qu'on les rencontre plus fré-quemment dans les villes qu'à la campagne,et aussi sans doute dans les villes à fortecroissance plutôt que dans les autres . Cesfonctions sont fortement polarisées, on peutles nommer "fonctions stratégiques" . A par-tir d'une démarche essentiellement empiri-que, on en a identifié douze . Les emploisrelevant de ces fonctions ont une qualifica-tion de niveau cadre, ingénieur ou équiva-lent et l'ensemble de ces emplois est appelé"l'emploi stratégique" (voir encadré : lesdouze fonctions stratégiques) .L'emploi stratégique ne représente que7,2 % de l'emploi total pour la France métro-politaine. Mais le rôle qu'il joue sur l'écono-mie est de plus grande ampleur. Ainsipeut-on observer une relation positive entre
LES DOUZE FONCTIONS STRATÉGIQUES
GESTION : Cadres de direction, d'administration et de finance des établissements industrielsRECHERCHE-INDUSTRIE : Ingénieurs et cadres de recherche, d'études et d'essais des établissements industrielsCOMMERCIAL-INDUSTRIE : Ingénieurs et cadres commerciaux, technico-commerciaux et de la publicité dans lesétablissements industrielsINFORMATIQUE : Ingénieurs et cadres de l'informatique dans les établissements industrielsRECHERCHE : Chercheurs de la recherche publique, emplois supérieurs des établissements de recherche etd'enseignements supérieursINFORMATION : Cadres et emplois supérieurs de l'informationSERVICES : Cadres des services aux entreprisesBANQUE-ASSURANCE : Cadres des banques et des assurancesCOMMERCE DE GROS : Cadres des commerces de gros et interindustrielsTELECOMMUNICATIONS : Ingénieurs et cadres des postes et télécommunicationsTRANSPORTS : Ingénieurs et cadres des transportsART : Artistes et emplois supérieurs artistiques, artisans d'art .En revanche, d'autres fonctions n'ont pas été retenues à ce stade parce qu'elles ne semblent pas liées positivementà la croissance des pôles urbains . Ainsi, n'entrent pas dans les emplois stratégiques des fonctions telles que laproduction industrielle, le commerce de détail, les services aux particuliers, l'administration publique, l'enseignementprimaire et secondaire, la santé ou l'action sociale .
Les emplois relevant de chaque fonction ont été déterminés à partir d'un croisement des secteurs d'activité et desprofessions (voir 'pour comprendre ces résultats') .
1il
INSEE
le taux d'emploi stratégique en 1982 etla croissance de l'emploi total entre1982 et 1990 sur les cinquante agglo-mérations françaises qui comptent leplus d'emplois (tableau 1) .
Paris . . .et la province
L'agglomération parisienne, à elleseule, concentre 44 % de l'emploistratégique national pour seulement21 % de l'emploi total . Sur la périodecitée, ce rapport s'est même très lé-gèrement accru, confirmant le dés-équilibre Paris-Province .Loin derrière Paris, un groupe detrois villes dont la réputation de dy-namisme économique n'est plus àfaire, Grenoble, Montpellier et Tou-louse, distancent les autres grandesvilles françaises par la proportiond'emplois stratégiques (tableau 2) .Lyon, deuxième ville par le nombred'emplois l'est également par lenombre des emplois stratégiquesmais elle ne vient qu'en cinquièmeposition par leur proportion dansl'emploi total . L'effet de masse joueencore moins à Lille puisque la mé-tropole du Nord - Pas-de-Calaiscompte beaucoup moins d'emploisstratégiques que celle de Midi-Pyré-nées, pourtant moins riche en res-sources humaines .La taille de l'agglomération a une in-fluence positive sur le taux d'emploistratégique et donc sur le dyna-misme économique . Cette influencen'est cependant pas systématique .Ainsi Montbéliard et Annecy offrent àpeu près le même nombre d'emploismais la seconde possède deux foiset demi plus d'emplois stratégiques .Le classement des villes françaisesrévèle une grande stabilité sur la der-
0 Emploi stratégique et croissance
nière période inter-censitaire : les sixpremières gardent leur place . On notecependant quelques avancées spec-taculaires (Annecy de la 17ème à la9ème, Grasse-Cannes-Antibes de la18ème à la 12ème) et certains reculssignificatifs (Nancy de la Sème à la14ème, Perpignan de la 21 ème à la31 ème) .Si le nombre et la proportion d'em-plois stratégiques, comme leurs évo-lutions dans le temps, constituent unbon indicateur du dynamisme écono-mique, la composition de cet emploipermet de préciser les forces domi-nantes de chaque grande ville .
Les polarisationsde
l'hexagone
Une analyse factorielle permet defaire ressortir les proximités ou éloi-gnements des fonctions entre elles .Les fonctions de l'industrie (gestion,recherche-industrie et, dans unemoindre mesure, commercial-indus-trie et informatique) s'opposent auxfonctions information et télécommu-nications . Les fonctions art et servi-ces sont très corrélées entre elles et,dans une moindre mesure, avec lafonction commerce de gros maissont éloignées de la fonction recher-che. Enfin la fonction transports, quis'oppose à toutes les autres, appa-raît la moins stratégique .Naturellement présente à Paris etdans les deux premières villes fran-çaises en raison du nombre de siè-ges sociaux de grosses entreprisesindustrielles, la fonction gestionl'est aussi dans des villes plus peti-tes : Grenoble, Troyes, Annecy, Or-léans et Saint-Etienne . Moteur del'industrie, la recherche industrielle
Lecture : dans rensembte des 13 agglomérations dont la part de remploi stratégique en 1982 était comprise entre 6% et 8,5 %,
la croissance moyenne de l'emploi total a été de 8,6 % entre 1982 et 1990 .
Sources : recensements de la population .
estparticulièrement développée dansquelques villes moyennes commePau, Montbéliard ou Valence . Lafonc-tion commercial-industrie restel'apanage des grandes métropolesrégionales, auxquelles il faut adjoin-dre Grenoble et Valence ; ce qui faitdu cceur de Rhône-Alpes un noeudcommercial particulièrement déve-loppé . L'informatique est un pointfort bien connu de Grenoble, de Niceet de Montpellier, avec un renforce-ment net à Grenoble dans la décen-nie passée . C'est aussi à Montpellieret à Grenoble ainsi qu'à Toulouseque la recherche s'épanouit lemieux. Stratégique par dessus tou-tes, la fonction information est aussil'une des plus centralisée : seuleRennes émerge après Paris. L'in-fluence des métropoles régionalesse retrouve dans la présence de lafonction services ; seules trois au-tres agglomérations se distinguentGrasse-Cannes-Antibes, Grenobleet Annecy. Cette influence se re-trouve également dans la fonctioncommerce (commerce de gros et in-terindustriel) où l'on retrouve aussiAnnecy et Grasse-Cannes-Antibesainsi que Perpignan et Avignon . Lafonction banque-assurance dont lepilier reste Paris est très développéeà Strasbourg et au Mans . C'est àMontpellier, Rennes, Orléans et Poi-tiers que la fonction télécommuni-cations est la plus présente et c'estsans grande surprise, dans les ports,mais aussi à Chambéry, qu'on re-trouve le plus nettement la fonctiontransports . Enfin, la fonction artprésente la particularité de n'êtrevraiment très bien représentée qu'ausud d'une ligne Bordeaux-Nice endehors de Paris qui arrive loin entête .La prééminence parisienne s'affirmedonc dans presque toutes les fonc-tions stratégiques . Paris arrive entête sept fois pour la proportion dechaque fonction dans l'emploi total .Le poids important de chaque fonc-tion se conjugue à un volume massifd'emplois pour laisser à la capitaletoutes les chances de continuer àdistancer la province. On ne sauraittrouver à Paris qu'une très relativefaiblesse dans la recherche publiqueet les télécommunications .Lyon a manifestement un rôle demétropole industrielle complété par
INSEE - 18, BD ADOLPHE PINARD - 75675 PARIS CEDEX 14 - TÉL. : 33 (1) 4117 50 50
Nombre d'agglomérationsPart de l'emploi stratégique en
1982(%)
Evolution relative de l'emploi
total entre 1982 et 1990 (%)
1(Paris) 11,5 +7,4
13 entre 6 et 8,5 +8,6
15 entre 5 et 6 +4,9
10 entre 4 et 5 +3,5
12 moins de 4 -31
Ils
© Les fonctions stratégiques dans les cinquante premières agglomérations deFrance métropolitaine
Lecture : les agglomérations sont classées par ordre décroissant de la proportion d'emplois stratégiques en 1990
Sources : recensements de la population
une importante fonction de commercede gros et interindustriel et une fonc-tion de services aux entreprises plusdéveloppées que la moyenne . Lesfonctions de recherche et d'informati-que n'y sont pas particulièrement for-tes mais reçoivent l'appui des troissatellites : Grenoble pour la rechercheindustrielle ou publique, les serviceset l'informatique, Valence pour la re-cherche industrielle et l'informatique,Annecy pour les services .Marseille est caractérisée par sa si-tuation portuaire. La fonction transporty domine avec un rôle secondaire desservices aux entreprises et du com-merce de gros et interindustriel .Toulouse, en revanche, apparaît pluspuissante que les autres grandes mé-tropoles dans un grand nombre defonctions : la recherche sous toutesses formes et l'informatique, maisaussi les services aux entreprises,les télécommunications ainsi quel'art comme toutes les villes du sud .Mais la vigueur toulousaine souffresans doute de n'être accompagnéed'aucun autre pôle important dans sarégion .Les fonctions stratégiques sont relati-vement faibles à Lille. Les fonctionscommerciales et les banques et assu-rances y sont quelque peu dévelop-pées mais pas plus que dans lesautres villes de même taille. Les pôlessecondaires qui pourraient appuyerLille sont particulièrement faibles .À Bordeaux, aucune fonction ne do-mine nettement . Outre les fonctions detransports et le commerce de grosliées au port, il n'y a que les télécom-munications et la recherche indus-trielle qui aient quelque force . Le pôlepalois, orienté vers la recherche in-dustrielle et l'informatique, est bienlointain pour créer une synergie avecla métropole bordelaise .Les fonctions tertiaires sont dévelop-pées à Strasbourg mais seules lesfonctions de banques et assurances etla recherche y sont plus développéesque dans les autres métropoles .À Nantes, les quelques points fortscomme les fonctions de banque-as-surance, de transports, d'informati-que et la fonction commerciale sontconformes à la taille de l'aggloméra-tion. Mais Rennes, la proche capitalede la région voisine, est développéedans les fonctions complémentairesde recherche et d'information .
INSEE - 18, BD ADOLPHE PINARD - 75675 PARIS CEDEX 14 - TÉL . : 33 (1) 4117 50 50 l
AGGLOMÉRATIONS
Nombred'emplois
stratégiquesen 1990
Proportiond'emplois
stratégiquesen 1990
Rangen1990
Rangen1982
Fonctions stratégiques les mieuxreprésentées par ordre décroissant (3)
PARIS
GRENOBLE
MONTPELLIER
TOULOUSE
LYON
STRASBOURG
NANTES
BORDEAUX
ANNECY
MARSEILLE(1)
RENNES
CANNES (2)
NICE
NANCY
ORLÉANS
DIJON
LILLE
VALENCE
BESANCON
PAU
REIMS
POITIERS
CLERMONT-FERRAND
AVIGNON
CHAMBÉRY
ROUEN
CAEN
METZ
TOURS
ANGERS
PERPIGNAN
MULHOUSE
BREST
LIMOGES
SAINT-ÉTIENNE
LE HAVRE
NIMES
AMIENS
BAYONNE
TROYES
LE MANS
ANGOULÉME
TOULON
SAINT-NAZAIRE
VALENCIENNES
DUNKERQUE
THIONVILLE
DOUAI
MONTBÉLIARD
LENS
705 432
21 752
12 744
34848
60 796
18 789
18 826
26 704
5 556
38 360
11 780
9 960
15 504
11 424
9 292
8466
29 484
3 844
4 485
4 452
6248
4 028
8 940
5 264
3 244
11132
6 244
6140
8120
5 804
3 796
5 976
5 028
4 816
6772
5 004
3 516
3948
3 236
2 872
4 336
2 380
6 548
2 152
3 568
2 708
1 844
2220
2092
2 272
15,2
11,3
11,2
11,1
10,1
9,6
8,5
8,4
8,3
8,2
8,1
8,1
7,9
7,9
7,7
7,4
7,3
7,2
6,9
6,8
6,8
6,7
6,7
6,6
6,5
6,3
6,3
6,3
6,3
6,1
6,0
5,9
5,8
5,6
5,4
5,4
5,3
5,1
5,0
4,7
4,6
4,5
4,4
3,9
3,8
3,7
3,7
3,6
3,3
2,8
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
32
33
34
35
36
37
38
39
40
41
42
43
44
45
46
47
48
49
50
1
2
3
4
5
6
10
7
17
9
13
18
11
8
12
15
16
22
24
14
25
19
27
28
20
26
30
31
29
23
21
33
36
35
38
35
37
34
39
40
42
41
43
44
45
47
46
48
49
51
Toutes fonctions sauf Recherche
Informatlque, Recherche, Recherche-Industrie,Commercid-Industrie, Gestion, services
Recherche,Informatique,T t communkations,Art,Senlas
Informatique,~~he srcWR ech srcl~ ATélécommunications
Commercial-Industrie, Gestion, Commerce de gros,Recherche-industrie, ServicesBanque-Assurance, Recherche Commerce de gros,Information, Services
CommercW-Industrie, T6lééommunkstlons,Transports, Banque-Assurance
Tue: cations~ec~ ndustrle,
Recherche-Industrie, Services, Banque.Aseurance,Gestion, Commerce de gros, Informatique
Transports
Information, Té tscomnunkalkna, Recherche
Recherche-Industrie, Sarvlcee, Art
Informatique, Art
Recherche, Information
Informatique, Télécommunications, Recherche,Gestion
Borique-Assurance, Télécommunications
Commerclddndustrie, Banque-Assurance
Recherche-Industrie, Informatique, Commercial.Industrie, InformationRecherche, Information
Recherche-Industde, Informatique
Télécommunications, Recherche
Recherche-Induatde, Recherche, Information
Art, Commerce de gros
Transports
Transports
Télécommunications, Recherche
Information
Informatique
Commerce de gros, Banque-Assurance, Information
Gestion
Recherche
Tétéiéommunlatlons, Information
Gestion
Transports
Art, Banque-Assurance
Télécommunications
Art
Gestion
Banque-Assurance
Transports
Recherche-Industrie
1 . Agglomération de Marseille-Aiu-en-Provence2 . Agglomération de Grasse-Cannes-Antibes3 . Pour croque agglomération sont indiquées les fonctions qui dépassent de 25 % la proportion moyenne observée sur les 50 premières aggbmératiorx
Emploi stratégique
agglomérations de plus de 50 000 emplois
Lecture : sont représentées les agglomérations comptant
plus de 50 000 emplois en 1990 . Le demi-cercle blanc re-
présente l'emploi stratégique en 1982 ; le demi-cercle gris
représente l'emploi stratégique en 1990
Sources : recensements de 1982 et 1990
A RETOURNER A : INSEE-CNGP, B.P. 2718, 80027 AMIENS CEDEX 01
Oui, je souhaite m'abonner à INSEE PREMIERSD Ion, 60 numéros= 468 F . (Fronce)
l- 585 F . (Etranger)
u 745 F. (Etranger par avion)
Nom ou raison sociale : Activité
Adresse
Tél .
Ci-joint mon règlement en Francs par chèque à l'ordre de l'INSEE : F .
Date : Signature
Pour comprendreces résultats
Les emplois relevant de chaque fonction ont été
établis à partir d'un croisement des secteurs d'ac-
tivité et des professions . La source statistique
utilisée est le recensement de la population au lieu
de travail en 1990 et 1982 (sondage au quart) .
A ces deux dates, on bénéficie de la stabilité des
deux principales nomenclatures, à savoir la NAP
600 et la PCS . L'ensemble des emplois dans les
fonctions stratégiques constitue l'emploi stratégi-
que .
Voici quelques exemples de définition simplifiée
de fonctions stratégiques
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------
TARIF 1993
Pour en savoir plus
Ph . Julien : "Pour une approche fonctionnellede l'emploi", Relief n°9 Insee Midi-Pyrénées,Janvier 1994
Ph . Julien : "Emplois stratégiques : Toulousebien placée', Relief n°8 Insee Midi-Pyrénées,Octobre 1993
MC. Bureau, F. Moatty, A . Valeyre : "Configu-ration organisationnelle des entreprises et di-vision spatiale du travail industriel' . Dossierde recherche n° 37 du CEE, Février 1991 .
P. Beckouche, J . Cohen, F. Damette, J . Ch .Fisher, J . Scheibling : 'Métropolisation et ai-res métropolitaines : internationalisation etenjeu urbain" . Rapport pour le CommissariatGénéral au Plan, 1989 .
P . Beckouche, F . Damette, : 'Pour une géo-graphie globale de l'emploi, une grille d'ana-lyse structurale fonctionnelle' . Economie etstatistique n° 270 (à paraître) .
Direction Générale :
18, Bd Adolphe Pinard
75675 Paria cedex 14
Directeur de la publication
Paul Champsaur
Rédacteur en chef :
Baudouin Soya
Rédacteurs : P. Franceschl,
M . Garo, V . Guihard, C . Dulon
Maquette : Valérie Le Meillour
ISSN 0997 . 3192
C INSEE 1994
laINSEEINS iir I V'' \1il)N \ i
DE LA SIAIlS1IQUÉ
ET DES ÉTUDES
FONCTION SECTEUR D'ACTIVITE PROFESSION
INFORMATION Presse-édition, Radio-télévision Chefs d'entreprises, cadres
Etudes, conseil et assistance Journalistes, cadres de la presse, de l'édition, del'audiovisuel, et des spectacles
RECHERCHE Administration publique Chercheurs
Recherche et enseignement sup . Chefs d'entreprise, ingénieurs, cadres et(marchand et non marchand) enseignants
RECHERCHE-INDUSTRIE Industrie (sauf presse-édition) Ingénieurs de recherche, études, essais,méthodesenseignants du supérieur, chercheurs, médecins,architectes
COMMERCE DE GROS Commerce de gros et inter-industriel Chefs d'entreprises, cadres
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