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Test : préampli convertisseur N/A Sugden Sapphire DAP 800 et

amplificateur FBA 800 (1/2)

Les nouveaux joyaux de la Couronne

Par Antoine Gresland

Prix du préampli Sapphire DAP 800 : 4 290 euros + éco participation

Prix de l’amplificateur FBA 800 : 6 750 euros + éco participation

Durée du test : cinq semaines

Date de publication : juin 2013

Introduction Technique Sugden DAP 800 Technique Sugden FBA 800 Test Audio En conclusion

Fiches techniques

19 avril 2013, l’excitation est à son comble dans la petite rédaction d’EcoutezVoir : nous venons de recevoir deux gros colis contenant les nouveaux composants de la gammeSugden Sapphire, le préampli convertisseur DAP 800 et son compagnon naturel,l’amplificateur FBA 800. Sur les cartons, les numéros de série 003 ne laissent aucun doute :après les deux couples de préséries réservés aux mesures et à la mise au point finale, noussommes devant les premiers exemplaires sortis de l’usine Sugden destinés à la vente ! Un événement en soi pour une marque qui n’a pas l’habitude de commercialiser un nouveau

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modèle tous les trois mois ni même tous les trois ans… On est ici très loin du renouvellement de gamme incessant qui agite la grande distribution et les constructeursgrand public. Une attitude exigeante qui fait figure de symbole à l’heure où notre société cherche à retrouver son équilibre loin des habitudes de consommation qui privilégienttoujours plus la nouveauté, bien souvent au détriment de la pérennité et de la qualité desproduits…

Il fait chaud dans notre auditorium, et pas seulement parce que nous sommes excités, maisaussi parce que ce couple au design délicieusement intemporel fonctionne en classe A,comme tous les appareils du constructeur britannique qui fut le précurseur desamplificateurs à transistors utilisant cette technologie réputée à juste titre pour ses qualitésmusicales. Les plus grincheux me diront qu’il ne s’agit pas de la meilleure manière de faire des économies d’énergie ou de servir l’écologie, avec son rendement très inférieur à celui d’un amplificateur en classe AB ou en classe D. C’est vrai, mais personne ne pointe du doigt le cholestérol induit par la dégustation d’une délicieuse crème brûlée ! Il faut ce qu’il faut, et les Sugden ont été conçus pour se faire plaisir !

Le préampli convertisseur N/A Sugden Sapphire DAP 800

Chez Sugden, on ne présente un nouvel appareil que lorsque l’on est persuadé qu’il peut apporter quelque chose de plus à l’expérience musicale du mélomane. Pour s’en convaincre, il suffit de jeter un œil sur les derniers préamplis de la marque. Après le Masterclass AA présenté en 1998, il aura fallu près de 8 ans pour voir apparaître sonsuccesseur, le Masterclass LA-4, en 2006, et encore presque ’aussi longtemps pour créer le Sapphire DAP 800. Ce dernier ne remplace pas le LA-4, mais cherche plutôt à s’adapter aux habitudes d’écoute d’aujourd’hui, en intégrant un convertisseur N/A muni notamment d’une entrée USB, sans pour autant trahir le mot d’ordre que les ingénieurs se sont fixé : « sauver la musique de la technologie ». C’est la raison pour laquelle le Sapphire DAP 800 reste conçu à partir de composants traditionnels plutôt qu’à partir de composants de surface (CMS) autant que possible, dans le but d’accroître la durée de vie de l’appareil, mais aussi, d’après Sugden, les performances et la fiabilité. Rien n’est parfait : la télécommande en plastique livrée avec le préampli manque singulièrement de classe ! Enplus du volume (mais pas de la sélection des sources…) elle pilote un lecteur CD ou une source utilisant le code RC5 de Philips.

Avec ses quatre entrées asymétriques et son entrée symétrique XLR, le DAP 800 estd’abord un préampli analogique de haut de gamme auquel on a ajouté une section deconversion N/A totalement autonome servant trois entrées coaxiales S/PDIF, deux entréesoptiques TosLink et un port USB de type B, c’est-à-dire asynchrone, afin de ne pas récupérer le jitter en provenance de la liaison avec l’ordinateur auquel il est connecté. On a tout fait pour que la section numérique ne pollue pas la partie analogique, en séparantphysiquement les deux étages dès l’alimentation. Le circuit analogique est ainsi équipé d’un transformateur torique de 50 W alors que la section numérique reçoit un transformateur EIde 15 W, suivi de son propre étage de redressement.


L’étage de préamplification analogique, qui peut délivrer le signal en asymétrique RCA ouen symétrique XLR, incorpore le circuit VCV de Sugden dans sa forme la plus évoluée. Cecircuit est constitué d’une section d’entrées à haute impédance suivie d’un étage de gain en courant qui drive, via un étage cascode replié, un étage de sortie en classe A. Le circuitcascode replié facilite l’obtention d’une large bande passante avec un maximum de dynamique, tout en maintenant une basse capacitance sur l’ensemble du trajet du signal.

En matière de conversion, Sugden se démarque de la plupart de ses concurrents enréduisant le traitement du signal à sa plus simple expression. Pas de DSP donc, desuréchantillonnage ou de filtrage numérique sophistiqué, mais un DAC Wolfson 24 bits –96 kHz suivi d’un étage de filtrage analogique propre à Sugden. Le signal en provenance del’entrée USB est converti en S/PDIF via un circuit incluant un composant Texas InstrumentUniversal IC dont la sortie est resynchronisée et débarrassée du jitter par l’interface Wolfson chargée de le transmettre au convertisseur. Cette configuration de DAC dépourvuede DSP a été adoptée après de nombreuses heures d’écoute attentives des différentes solutions proposées par les technologies les plus récentes. Pour les ingénieurs de Sugden,cette conversion réduite à sa plus simple expression se révèle plus satisfaisante etémotionnellement convaincante qu’une solution utilisant un traitement numérique du signal sophistiqué. Un choix, nous le verrons, parfaitement défendable sur le terrain.


L’arrière du préampli Sapphire sépare clairement la section analogique, à gauche, del’étage de conversion, à droite, qui a droit à son propre interrupteur d’alimentation. À noter l’entrée Path Thrue destinée à ceux qui souhaitent intégrer les Sugden à un système homecinéma. Pour l’actionner – et passer outre le potentiomètre de volume du DAP 800 pourattaquer directement l’amplificateur depuis les sorties frontales d’un processeur ou d’un gros intégré audio-vidéo –, il faudra éteindre l’appareil, ce qui est un peu dommage lorsque l’on connaît le temps qu’il faut à un préamplificateur pour se stabiliser en température etdonner le meilleur de lui-même.

L’amplificateur Sugden Sapphire FBA 800

En façade, de part et d’autre du gros bouton-poussoir de mise sous tension, on trouve aux deux extrémités les voyants témoins de fonctionnement, le choix de l’entrée symétrique ou

asymétrique à droite et un sélecteur de sensibilité à gauche qui permet de réduire cette dernière de 6 dB pour ajuster la compatibilité de l’ensemble préampli ampli au rendement

des enceintes.

Voilà 45 ans cette année que Sugden fabrique des amplificateurs en classe A. Rappelonsque cette configuration se distingue de la classe AB couramment utilisée dans lesamplificateurs conventionnels par une absence de distorsion de croisement et donc par unequalité de timbres et une microdynamique exceptionnelles. Pour en arriver là, il estimpératif de faire fonctionner les transistors de l’étage de sortie à pleine puissance en permanence, l’énergie qui n’est pas utilisée par le signal étant dissipée sous forme dechaleur. Le FBA 800 est un amplificateur stéréo en classe A fonctionnant en mode bridgéavec la terre de sortie flottante.


Chaque canal est constitué de deux amplificateurs fonctionnant en courant drivant un étagede sortie utilisant des transistors de puissance bridgés. Cette configuration a pour avantageun bruit de fond très bas, une puissance de sortie supérieure en rapport avec les deux railsen courant et, bien sûr, un fonctionnement en classe A, c’est-à-dire avec un courant de repos fixe qui autorise une impédance de sortie basse et une meilleure tolérance à lacharge. Lorsque le FBA 800 est attaqué en XLR, les deux amplificateurs par canal sontutilisés en symétrique pour assurer un fonctionnement symétrique de l’entrée jusqu’à la sortie. Cet étage de puissance est directement couplé en courant continu à l’alimentation, à l’aide d’un circuit de verrouillage servo-contrôlé, permettant un excellent contrôle dans les basses fréquences. L’appareil est également équipé d’un circuit de protection statique contre le courant continu constitué de modules de commutation MOSFET à très basseimpédance, circuit qui assure également la mise sous et hors tension progressive del’amplificateur.


L’alimentation utilise un schéma à basse impédance basé sur un seul transformateurspécifiquement conçu pour l’appareil et doté de quatre enroulements secondaires. Lescondensateurs de filtrage de l’étage de puissance sont des modèles spécialement développés pour des applications audio professionnelles. Les quatre transistors par canal del’étage de sortie sont des modèles multi-émetteurs capables de délivrer chacun 26 A. De quoi faire face à la demande ! Vous l’aurez compris : le Sugden FBA 800 a été chouchouté par ses concepteurs à l’aide des meilleurs composants disponibles, de circuits aux pistes plaquées or, d’un câblage interne en argent et de milliers d’heures de mise au point et de développement. L’appareil s’incarne dans un coffret au design raffiné, conçu pour dissiperefficacement les calories excédentaires.

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Test : préampli convertisseur N/A Sugden Sapphire DAP 800 et

amplificateur FBA 800 (2/2))

À l’écoute

Il n’est pas faux de dire que j’attendais beaucoup de ce nouvel ensemble Sugden Sapphire,porté par les souvenirs de l’ensemble Masterclass testé ici même voici quelques années. Ilm’aura fallu patienter quelques jours pour roder les deux appareils et trouver la meilleureconfiguration d’écoute avant de profiter pleinement de ces électroniques britanniques. Le préampli DAP 800 mérite d’être posé sur un meuble stable et bien isolé des perturbationsextérieures. On le laissera sous tension en permanence pour s’assurer que ses circuits sont stabilisés en température. Une précaution dont on pourra s’abstenir avec l’amplificateur qui arrive à maturité en une dizaine de minutes. Le FBA-800 dispose de deux copieux radiateurs sur ses côtés et de nombreuses ouvertures sur le capot supérieur. Ce n’est pas une raison pour l’enfermer dans un meuble car l’appareil chauffe copieusement, comme tout amplificateur fonctionnant réellement en classe A. En matière de câblage, on choisirale symétrique ou l’asymétrique en fonction de sa source préférée, même si j’avoue une petite préférence subjective pour l’asymétrique qui semble mieux exprimer les qualités naturelles du préamplificateur.

Comme souvent avec les amplificateurs en classe A, la puissance subjectivement disponibleest nettement supérieure à celle qui est annoncée sur la fiche technique. On évitera tout demême d’associer les 40 watts du FBA 800 à des enceintes au rendement inférieur à 87 dBsi l’on souhaite profiter d’une écoute à fort niveau sur de la musique moderne etcompressée. En même temps, j’ai passé quelques moments délicieux la nuit en compagnie des Sugden et d’une paire de Leedh E2 au rendement pourtant ingrat de 82 dB.

Pour dire les choses simplement, il semble que Sugden ait trouvéle compromis idéal entre les qualités objectives que l’on attendd’une électronique de haut de gamme et la sensibilité qui permetau mélomane d’oublier son système pour plonger dans lamusique. Que ce soit sur le « Earth Blues » de l’album posthumede Jimmy Hendrix People, Hell & Angels ou sur le violon d’Amandine Beyer interprétant une partita pour violon de Bach,la kora de Ballaké Sissoko sur At Peace ou les délires

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psychotropes de Brian Eno, l’ensemble Sugden ouvre en grand lafenêtre devant l’auditeur à travers une restitution d’une fluidité et d’une richesse de timbres à tomber par terre !

La sensualité de la voix d’Anja Garbarek aux détours de « Stay Tuned », extrait de son album Smiling & Waving, me laisse rêveur devant ma paire de ProAc D2. La foule de petits samples et le mélange de sons électroniques et acoustiques s’exposent en parfaite cohérence devant moi avec une évidence rare, chaque détail venant prendre sa place dans la musique naturellement, parfaitement intégré dans une scène sonore aussi large que profonde, totalement détachée des enceintes. Quel bonheur ! D’autant que le bas du spectre est d’une lisibilité réjouissante, à la fois profond et modulé, et tellement expressif sur les paroles de Gilles Scott-Heron sur son dernier album I’m New Here. Le FBA 800 n’a pas le poids et la densité que donne la puissance de notre ampli de référence dans les deux dernières octaves, mais l’équilibre tonal est somptueux en toutes circonstances.

En ce sens, la section conversion du Sugden DAP 800 est en tout point conforme avec ce qu’annonce le constructeur : musicale ! C’est vrai, elle ne peut pas lutter en termes de précision, de dynamique ou de bande passante avec celle, par exemple, de notre lecteur réseau de référence Linn Akurate DS II ni avec le convertisseur Moon D380 que nous testons au même moment. Et pourtant… Ici encore, on ne peut que saluer l’équilibre et la qualité de timbres dont le DAP 800 fait preuve sur ses entrées numériques que ce soit en S/PDIF ou sur son port USBasynchrone qui fait plus qu’assurer devant une concurrence pourtant bien armée. Lasensation de présence et de profondeur que le convertisseur du Sugden est capabled’amener à la musique dématérialisée donne envie à chacun de se pencher sur la question,sans même parler du haut du spectre qui se met tout à coup à exister à travers unerichesse tonale à laquelle aucun ordinateur « de série » ne peut rivaliser.

Comme toujours avec les électroniques du constructeur,l’élégance fait partie intégrante du charme dégagé par le coupleSapphire. Sur le dernier album de Nick Cave, Push the Sky Away,impossible de décrocher de l’écoute ! Sans rien mettre en avant, car les Sugden affichent une neutralité de bon aloi sur toute labande passante, le couple m’amène au frisson en restituant avecune délicatesse exquise toutes les ambiances de la prise de sonet les effets incorporés avec subtilité au mixage. Le haut duspectre n’est jamais inutilement surdéfini, tout en se montrantlumineux quand il le faut, comme sur la kora de Ballaké Sissokoou la trompette de Paolo Frésu interprétant « Crepusculo » avec

Omar Sosa au piano et Jacques Morelenbaum au violoncelle, sur l’album Alma. Un jazz léché et haut de gamme que les Sugden retranscrivent avec une sensibilité rare, entraînantfacilement l’auditeur vers la rêverie mélancolique suggérée par le titre.

À force de vous parler de subtilité et de musicalité, je vous ai peut-être amené à penser que les Sugden ne sont pas adaptés à des écoutes plus roboratives, or il n’en est rien. Indépendamment des qualités du préampli DAP 800, le bloc de puissance démontre unesanté réjouissante aussi bien sur le dernier album des Daft Punk que lorsqu’il vient s’inscrire dans un système audio-vidéo ambitieux. Branché à la sortie pre-out d’un Pioneer SC-LX86 à la place des canaux frontaux de ce dernier, le FBA 800 apporte un vrai plus à larestitution. Ça pousse avec distinction d’un bout à l’autre du spectre, même si l’écoute n’a pas la violence et la force objective de notre Karan KAS 450 ou d’un ampli en classe D intrinsèquement plus puissant. Très défini dans les dernières octaves, le FBA 800 se montreredoutable lorsqu’il s’agit de recréer une ambiance sophistiquée, avec une séparation descanaux qui privilégie une restitution holographique, moins dense et moins posée dansl’absolu que celle du Karan, mais finalement très satisfaisante, notamment dans sa capacitéà homogénéiser l’image stéréo. Les dialogues sont d’une lisibilité rare et sur une bande-son en anglais, on a clairement la sensation de comprendre plus de mots qu’à l’habitude. Le timing est une donnée essentielle de la musique et les Sugden savent respecter cettedonnée comme peu d’autres appareils qui me sont passés entre les oreilles. Du coup, lesrythmes africains, le funk, la bossa et le reggae trouvent en lui un allié de choix. Bien sûr,on finira par venir à bout de ses réserves d’énergie si l’on s’acharne à écouter très fort le signal compressé d’un disque mixé pour la radio, mais le Sugden FBA 800 se montretellement doux que même dans cette situation, l’écoute demeure confortable, le tassement de la dynamique apparaissant très tard et tout en douceur. Avant ça, l’ampli aura fait parler ses capacités à accélérer en vous administrant deux ou trois claques bien senties avec unefacilité et une sensation de liberté déconcertantes ! La musique rebondit en permanence et,très vite, on a juste envie d’écouter des disques ou des fichiers, sans se poser de question,en oubliant toute forme d’analyse. C’est exactement ce que j’attends d’un ensemble Sugden…

En conclusion

Les nouveaux joyaux de la Couronne Sugden brillent de mille feux et méritent l’attention de tous les mélomanes à la recherche d’une électronique de haut de gamme.

Smiling & Waving | Anja Garbarek


Merveilleusement timbrés et équilibrés, expressifs et sensuels en diable, le préampliSugden DAP 800 et l’amplificateur FBA 800 font partie de ces appareils dont on ne selassera pas. Si la section conversion N/A du préampli n’a pas la résolution et la dynamique objective des meilleures réalisations du genre, il apporte une humanité rare aux sourcesnumériques et à la musique dématérialisée via son entrée USB. Quant à l’amplificateur, pour peu qu’on l’associe à des enceintes de rendement convenable, il se montresuffisamment puissant pour profiter des avantages de la classe A dans une grande variétéde systèmes. Difficile dès lors de ne pas tomber amoureux de cette écoute modulée,délicate et vivante à la fois, enthousiasmante sur les voix et les instruments acoustiques,comme sur l’électro la plus complexe, de cette sensation de liberté et de naturel qui donnedes couleurs à toutes les musiques. F*ck, ils sont forts ces Anglais !

Fiches techniques

Préampli convertisseur N/A Sugden Sapphire DAP 800

Entrées analogiques : 4 asymétriques, 1 symétrique, 1 by-pass Entrées numériques : 3 coaxiales S/PDIF, 2 optiques TosLink, 1 USB type B asynchrone Sorties : 2 asymétriques RCA, 1 symétrique, 1 sortie tape Convertisseur : Wolfson 24 bits – 96 kHz Sensibilité d’entrée : 120 mV pour 1 V en sortie Niveau de sortie maximum : 9 V Réponse en fréquence : 15 Hz – 98 kHz à 0 dB ; 8 Hz – 125 kHz dans 3 dB Rapport signal/bruit : > 85 dB Distorsion : < 0,05 % à 1 kHz, pour un 1 V en sortie Poids : 10 kg Dimensions (H × L × P) : 120 × 430 × 340 mm

Ampli stéréo Sugden Sapphire FBA 800 Classe A

Entrées : symétrique XLR – asymétrique RCA Sensibilité d’entrée : 735 mV Puissance de sortie : 40 W sous 8 Ω, les deux canaux en service Réponse en fréquence : 20 Hz – 80 kHz à 0 dB Bande passante (3 dB) : 6 Hz – 113 kHz Rapport signal/bruit : > 96 dB Distorsion pour 1 W à 1 kHz : > 0,05 % Poids : 25 kg Dimensions (H × L × P) : 206 × 430 × 460 mm

Système d'écoute : Sources : drive CEC TL51X VM, lecteur Oppo BDP-93EU (utilisé en tant que drive), convertisseur N/A Moon 380D, lecteur réseau Linn Akurate DS II ; amplificateurs intégrés : Sugden A21 SE ; préamplificateur : Linn Kisto ; amplificateur : Karan KAS 450 ; enceintes : Moca Audio Ulysse , ProAc Response 'D' Two, Leedh E2 ; caisson de basses : Linn AV5150, câbles de modulation asymétriques : Linn Silver Interconnect, Esprit Kappa, Cardas Golden Cross ; câble numérique : MPC Audio Absolute, Esprit Etherna AES-EBU, MPC Audio Absolute coaxial , Real Cable optique TosLink ; câble HP : Fa Dièse Alto Plus , Esprit Kappa , Linn K400 ; Supports : Klinger Favre Foating board , HRS R1; accessoires : pieds Millenium M-Puck, HRS Nimbus, plaquettes amortissantes HRS Damping Plate MK II, barrette secteur : Neodio PW1 ; câbles secteurs : Esprit Etherna & Lumina ; Esprit Manta

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