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Health -News N N w w e w L’acquisition d’un os de bonne qualité commence tôt dans l’enfance. Au cours de la croissance, la masse osseuse totale s’accroît et ce phénomène se poursuit jusque vers l’âge de trente ans. Puis vient un plateau de quelques an- nées et ensuite, la masse osseuse commence à décroître progressivement avec l’âge. Chez la femme, la ménopause vient accélérer ce phénomène, ce qui donne une décrois- sance plus rapide de la masse osseuse totale que chez l’homme. Si la diminution de la masse osseuse est trop im- portante, on atteint le stade d’ostéoporose avec risque de fractures. Cette évolution de la masse osseuse est liée à celle d’un équilibre dynamique qui persiste tout au long de la vie entre apposition par des cellules appelées ostéoblas- tes et résorption de l’os par d’autres cellules, les ostéoclas- tes. L’apposition est le dépôt de nouvelles couches de tissu osseux. Elle survient en général (mais pas seulement) là où les contraintes mécaniques se font plus fortes. Elle est réa- lisée par des cellules appelées ostéoblastes. La résorption est la destruction de couches d’os, effectuée par un autre type de cellules spécialisées, les ostéoclastes. L’os, un tissu vivant et dynamique On connaît la vitamine K pour son rôle dans la synthèse des facteurs de la coagulation. Mais le rôle d’une forme particulière, la vitamine K 2 , dans la formation de l’os, est nettement moins connu. Portrait d’un bienfaiteur qui gagne à être connu. La vitamine K existe sous trois formes: phylloquinone (vi- tamine K 1 ), ménaquinone-7 (vitamine K 2 ou MK-7) et mé- nadione (vitamine K 3 ). Leur fonction est celle de cofacteur dans la carboxylation post-traductionnelle de certains ré- sidus glutamate attachés à des protéines. Cela aide à la fixation du calcium, indispensable à l’activité des protéines concernées, comme certains facteurs de coagulation et l’ostéocalcine. Celle-ci est la protéine non collagénique la plus abondante de l’os. Sa synthèse a lieu dans les ostéo- blastes sous l’influence du calcitriol (vitamine D 3 ). Elle su- bit ensuite la maturation post-traductionnelle, vitamine K- dépendante, que l’on vient de décrire. Après une dernière transformation, l’ostéocalcine est sécrétée dans le milieu extracellulaire où elle se fixe à des cristaux d’hydroxyapa- tite de l’os. Après prise orale, la demi-vie plasmatique de la vitamine K 1 est courte, de l’ordre de 1 à 2 h, tandis que celle de la vitamine K 2 est nettement plus longue et serait approximativement de trois jours. Il a bien été démontré que la vitamine K 2 est captée notamment par l’os et la pa- roi artérielle, de manière préférentielle par rapport à la vita- mine K 1 . Par conséquent la biodisponibilité de la vitamine K 2 est 2,5 fois plus importante que celle de la vitamine K 1 1 . Son efficacité dans la carboxylation des protéines est su- périeure à celle de la vitamine K 1 , en particulier sur l’ostéo- calcine. Cela explique son intérêt pour la santé de l’os. Un os plus solide Un des paramètres les plus utilisés pour évaluer la résis- tance osseuse et le risque de fracture, surtout au niveau de la hanche, est la densité minérale osseuse (Bone Mineral Density, BMD), mesurée par absorptiométrie biphotonique (DXA-BMD). Mais pour obtenir une information plus com- plète, il est également utile de s’intéresser au contenu minéral osseux (Bone Mineral Content, BMC) et aux di- mensions géométriques de l’os. La supplémentation en vitamine K 2 améliore la géométrie de la hanche et les indi- ces de résistance osseuse chez la femme ménopausée. Une étude clinique randomisée d’intervention chez 325 K 2 , une inconnue qui nous veut du bien 1 Schurgens LJ, Theunissen KJF, Hamulyak K et al. Vitmin K-containing dietary supplements : comparison of synthetic vitmin K1 and natto-derived menaquinone-7. Blood 2007; 109(8): 3279-83. Editeur responsable: Danièle Degossely - Sciences-Today SPRL - Rue de Rixensart 18 bâtiment 17 - 1332 Genval - Tel: +32(0)2 653 21 58 Os en formation

Editeur responsable: Danièle Degossely - Sciences-Today ...a4mstatic.actito.net/media/MediQuality/TEVA/Cacivit k2...tation en calcium soit associée à une tendance à la hausse de

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Health-NewsNewsNewsNewsNewsNewsNewsL’acquisition d’un os de bonne qualité commence tôt dans l’enfance. Au cours de la croissance, la masse osseuse totale s’accroît et ce phénomène se poursuit jusque vers l’âge de trente ans. Puis vient un plateau de quelques an-nées et ensuite, la masse osseuse commence à décroître

progressivement avec l’âge. Chez la femme, la ménopause vient accélérer ce phénomène, ce qui donne une décrois-sance plus rapide de la masse osseuse totale que chez l’homme. Si la diminution de la masse osseuse est trop im-portante, on atteint le stade d’ostéoporose avec risque de fractures. Cette évolution de la masse osseuse est liée à celle d’un équilibre dynamique qui persiste tout au long de la vie entre apposition par des cellules appelées ostéoblas-tes et résorption de l’os par d’autres cellules, les ostéoclas-tes. L’apposition est le dépôt de nouvelles couches de tissu osseux. Elle survient en général (mais pas seulement) là où les contraintes mécaniques se font plus fortes. Elle est réa-lisée par des cellules appelées ostéoblastes. La résorption est la destruction de couches d’os, effectuée par un autre type de cellules spécialisées, les ostéoclastes.

L’os, un tissu vivant et dynamique

On connaît la vitamine K pour son rôle dans la synthèse des facteurs de la coagulation. Mais le rôle d’une forme particulière, la vitamine K2, dans la formation de l’os, est nettement moins connu. Portrait d’un bienfaiteur qui gagne à être connu.

La vitamine K existe sous trois formes: phylloquinone (vi-tamine K1), ménaquinone-7 (vitamine K2 ou MK-7) et mé-nadione (vitamine K3). Leur fonction est celle de cofacteur dans la carboxylation post-traductionnelle de certains ré-sidus glutamate attachés à des protéines. Cela aide à la fixation du calcium, indispensable à l’activité des protéines concernées, comme certains facteurs de coagulation et l’ostéocalcine. Celle-ci est la protéine non collagénique la plus abondante de l’os. Sa synthèse a lieu dans les ostéo-blastes sous l’influence du calcitriol (vitamine D3). Elle su-bit ensuite la maturation post-traductionnelle, vitamine K- dépendante, que l’on vient de décrire. Après une dernière transformation, l’ostéocalcine est sécrétée dans le milieu extracellulaire où elle se fixe à des cristaux d’hydroxyapa-

tite de l’os. Après prise orale, la demi-vie plasmatique de la vitamine K1 est courte, de l’ordre de 1 à 2 h, tandis que celle de la vitamine K2 est nettement plus longue et serait approximativement de trois jours. Il a bien été démontré que la vitamine K2 est captée notamment par l’os et la pa-roi artérielle, de manière préférentielle par rapport à la vita-mine K1. Par conséquent la biodisponibilité de la vitamine K2 est 2,5 fois plus importante que celle de la vitamine K11. Son efficacité dans la carboxylation des protéines est su-périeure à celle de la vitamine K1, en particulier sur l’ostéo-calcine. Cela explique son intérêt pour la santé de l’os.

Un os plus solideUn des paramètres les plus utilisés pour évaluer la résis-tance osseuse et le risque de fracture, surtout au niveau de la hanche, est la densité minérale osseuse (Bone Mineral Density, BMD), mesurée par absorptiométrie biphotonique (DXA-BMD). Mais pour obtenir une information plus com-plète, il est également utile de s’intéresser au contenu minéral osseux (Bone Mineral Content, BMC) et aux di-mensions géométriques de l’os. La supplémentation en vitamine K2 améliore la géométrie de la hanche et les indi-ces de résistance osseuse chez la femme ménopausée. Une étude clinique randomisée d’intervention chez 325

K2, une inconnue qui nous veut du bien

1 Schurgens LJ, Theunissen KJF, Hamulyak K et al. Vitmin K-containing dietary supplements : comparison of synthetic vitmin K1 and natto-derived menaquinone-7. Blood 2007; 109(8): 3279-83.

Editeur responsable: Danièle Degossely - Sciences-Today SPRL - Rue de Rixensart 18 bâtiment 17 - 1332 Genval - Tel: +32(0)2 653 21 58

Os en formation

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femmes ménopausées recevant soit un placebo, soit 45 µg/j de vitamine K2 pendant 3 ans a conclu que cette vi-tamine contribuait au maintien de la résistance osseuse au niveau du col fémoral chez les femmes ménopausées

en améliorant le BMC et la FNW (Femoral Neck Width)2. Dans le groupe placebo, la résistance osseuse a diminué de 1,5% par an chez les participantes les plus jeunes. Le taux total d’ostéocalcine carboxylée était déjà plus impor-tant après un an de supplémentation dans le groupe K2 que dans le groupe placebo. On peut donc conclure que la vitamine K2 contribue à assurer la solidité de l’os et à éviter les fractures. Les apports journaliers recomman-dés en vitamine K2 sont de 45 µg/j. Il faut toutefois s’abs-tenir de dépasser les apports journaliers recommandés. En effet, une étude a montré que la prise quotidienne de quantités de MK-7 (vitamine K2) supérieures à 50 µg/j peut interférer de manière cliniquement significative avec les traitements anticoagulants pris par voie orale1.

Calcium & vitamine D pour les os Depuis très longtemps on connaît l’importance du calcium et de la vitamine D pour la solidité des os. C’est à ce point vrai que même un traitement de l’ostéoporose ne peut se concevoir sans suppléments de calcium et de vitamine D, y compris lorsqu’on fait appel

à des médicaments.

Plus personne n’ignore que le calcium est un élément in-dispensable à la formation et à l’entretien du squelette. Il est le constituant essentiel du cristal de l’os, l’hydroxya-patite de calcium. C’est sa fonction principale: 99% du calcium de l’organisme se trouve dans les os. Les ap-ports alimentaires constituent un facteur majeur du bilan calcique de l’organisme. Il est donc capital que ces apports soient suffisants. Les apports journaliers recommandés par le Conseil Supérieur de la Santé en 2009 sont de 1200 mg/j chez les plus de 60 ans (aussi chez les 11-18 ans) et de 900 mg/j chez les adultes (hommes et femmes)8. Le cal-cium est absorbé au niveau de l’intestin selon un mode dépendant de la vitamine D.

Un acteur majeur La vitamine D exerce dans l’organisme une multitude d’ef-fets: modulation de l’immunité, protection de la peau, ren-forcement des muscles, protection contre le cancer, ... Au niveau du squelette, elle un acteur majeur du métabolisme du calcium. Le terme de vitamine D inclut deux stéroïdes, l’ergocalciférol ou vitamine D2 et le cholécalciférol ou vita-mine D3. Elles sont toutes deux formées à partir de précur-seurs sous l’action du soleil et diffèrent par leur chaîne la-térale. La vitamine D3 est formée dans la peau ou apportée par l’alimentation et doit subir deux activations successives

pour devenir du 1,25(OH)2 cholécalciférol, dont l’efficacité est maximale. Le rôle majeur de la vitamine D consiste à favoriser l’absorption du calcium, ainsi que celle du phos-phore, au niveau intestinal3. Au niveau osseux, elle stimule la synthèse de certaines protéines de la matrice et le dépôt de calcium et de phosphate.

Un sérieux paradoxe

Mais le calcium, s’il renforce les os, augmente aussi le ris-que d’affection cardiovasculaire. Bolland et al.4(Nouvelle Zélande), ont suivi 1.471 femmes en post-ménopause, randomisées pour recevoir soit un placebo, soit 1000 mg de calcium par jour. Ils ont enregistré pendant cinq ans les événements cardiovasculaires indésirables: décès, mort su-bite, infarctus, angor ou autre douleur thoracique, accident cérébro-vasculaire, accident ischémique transitoire et un composite d’infarctus, d’AVC et de mort subite. L’infarctus a été plus fréquent dans le groupe «calcium» que sous pla-cebo (45 cas chez 31 femmes vs 19 cas chez 14 femmes; p=0,01). Le composite également: 101 événements chez 69 femmes contre 54 cas chez 42 personnes ( p = 0,008). Sur base des données accessibles via un registre national, le risque relatif d’infarctus était de 1,49 et celui du compo-site était de 1,21. On ne peut donc nier que la supplémen-tation en calcium soit associée à une tendance à la hausse de la fréquence des problèmes cardiovasculaires. Plus ré-cemment encore, la même équipe a confirmé ces données en conclusion d’une méta-analyse de 15 études portant sur un total d’un peu plus de 20.000 patientes5. Au terme d’un suivi de 3,6 ans en moyenne, le risque d’infarctus du myo-carde, par exemple, était 1,27 à 1,31 fois plus élevé parmi les patientes qui recevaient du calcium que chez celles qui prenaient un placebo. Il s’agit donc bien d’une réalité dont on ne tient pas assez compte. Les facteurs de risque car-diovasculaires sont pourtant déjà trop présents dans nos modes de vie: mieux vaut s’abstenir d’en ajouter, même pour traiter une affection telle que l’ostéoporose.

2 Knapen MHJ, Schungers LJ, Vermeer C. Vitamin K2 supplementation improves hip bone geometry and bone strenght indices in postmenopausal women. Osteop Int 2007; 18: 963-72.3 Brown AJ, Dusso A, Slatopolsky E. Vitamin D. Am J Physiol Renal Physiol 1999; 277: F157-75.4 Bolland MJ, Barber PA, Doughty RN et al. Vascular events in healthy older women receiving calcium supplementation: a randomized controlled trial. BMJ 2008; 336(7638): 262-6.5 Bolland MJ, Avenell A, Baron JA et al. Effect of calcium supplements on risk of myocardial infarction and cardiovascular events: meta-analysis.BMJ. 2010 Jul 29;341:c3691

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Changement de largeur du col fémoral (FNW) et du contenu minéral osseux (BMC) après 3 ans de vit. K

Changement de largeur du col fémoral (FNW) et duminéral osseux (BMC) après 3 ans de vit. K

Changement de largeur du col fémoral (FNW) et du2minéral osseux (BMC) après 3 ans de vit. K2minéral osseux (BMC) après 3 ans de vit. K (45 mcg/j)

Changement de largeur du col fémoral (FNW) et du(45 mcg/j)

Changement de largeur du col fémoral (FNW) et du

D’après Knapen et al., 20072D’après Knapen et al., 20072D’après Knapen et al., 2007

BMC (hanche)

00.50.5

1.0

1.51.5

2.0FNW

3.03.03.02.0

1.0

0.0

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PLPL

K2 PL K2

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Donner du calcium seul à des personnes ostéoporotiques ne sert pas à grand-chose et augmente le risque cardiovasculaire. L’accompagner de vitamine D3 permet une meilleure absorption du minéral et une meilleure apposition osseuse. Ajouter de la vitamine K2 à ce tandem permet de maîtriser le risque cardiovasculaire lié à la supplémentation en calcium.

La prévention et le traitement de l’ostéoporose posent un dilemme difficile: il faut en même temps fournir du calcium au patient et maîtriser le risque cardiovasculaire, augmen-té par la prise de calcium. Les connaissances actuelles en physiologie et en physiopathologie permettent heureuse-ment de résoudre cette sorte de quadrature du cercle. En effet, la vitamine D3 contribue à l’absorption du calcium alimentaire. Et la vitamine K2 contribue à une bonne cons-truction de l’incorporation du calcium à l’os. Ensemble, el-les devraient donc opérer une bonne synergie.

En pratique comme en théorie

Reste à savoir si les résultats d’études cliniques vont dans le même sens que les raisonnements théoriques. On a de bonnes raisons de penser qu’il en est bien ainsi. Dif-férentes études, en effet, ont montré que l’association de vitamine K2, de vitamine D3, de calcium et de bisphospho-nates est plus efficace que ces moyens pris séparément. La «Rotterdam Study»6 s’est intéressée à 4.807 person-nes âgées de 55 ans au moins, suivies pendant 10 ans. Elle a montré que la consommation quotidienne de plus de 32,7 µg de vitamine K2 permettait d’obtenir une réduc-

tion de l’ordre du nombre des cas de calcification aortique majeure. Dans le même temps, la mortalité cardiovas-culaire avait chuté de près de 50% et la mortalité pour toutes causes avait chuté de 20 à 25% par rapport à cel-les des personnes qui avaient des apports nutritionnels faibles en cette vitamine.

La force d’une triple alliance

Il s’agit donc effectivement d’une synergie qui va dans le bon sens, celui d’une efficacité accrue sur l’os et d’une protection significative au niveau cardiovasculaire. C’est encore ce qu’a montré une étude menée par Iwamoto et al7. chez 92 femmes ménopauses depuis plus de cinq ans. Ces auteurs ont enregistré une augmentation signi-ficative de la densité minérale osseuse dans le groupe D3K2 par comparaison avec les groupes n’ayant reçu qu’un des suppléments: Ca, D3 et K2 (p< 0,0001; p< 0,05; p<0,01 respectivement). Les résultats de cette comparai-son indiquent que l’administration conjointe de vitamine D3 et de vitamine K2, en même temps que l’administra-tion de calcium, favorise l’augmentation de la densité os-seuse au niveau de la colonne lombaire chez les femmes ménopausées atteintes d’ostéoporose, par rapport à l’ad-ministration de calcium seul.

Les bienfaits d’une synergie: Ca, D3 et K2

Apports journaliers recommandés8

Calcium 1200 mg/jour pour les 60+ (et les 11-18 ans)900 mg/jour pour les adultes

Vitamine D* 600 UI/j pour les personnes à risque d’ostéoporose400-600 UI/j pour les enfants et adultes

Vitamine K 50-70 µg (adultes)

6 Geleijnse JM, Vermeer C, Grobbee DE et al. Dietary Intake of Menaquinone Is Associated with a Reduced Risk of Coronary Heart Disease: The Rotterdam Study J. Nutr 2004; 134: 3100–3105.7 Iwamoto J, Takeda T, Ichimura S. Effect of combined administration of vitamin D3 and vitamin K2 on bone mineral density of the lombar spine in postmenopausal women with osteoporosis. J Orthoped Sci 2004; 5(6): 546-51.8 Conseil Supérieur de la Santé. Recommandations Nutritionnelles pour la Belgique. Révision 2009 (CSS N° 8309)

D’après Geleijnse, 20046

*Conversion dans l’ancien système d’UI

25% de réduction des décès toutes causes (✝TC).

50% de réduction des décès cardiovasculaires (✝CV).

50% de réduction des calcifi cations artérielles (CA).100

60

80

4040

<21 µg(moy. 12,4 µg)

<21 µg(moy. 12,4 µg)

<21 µg 21 - 32 µg(moy. 26,2 µg)

21 - 32 µg(moy. 26,2 µg)

21 - 32 µg >32 µg(moy. 45,8 µg)

>32 µg(moy. 45,8 µg)

>32 µg

Apport alimentaire en vitamine K2Apport alimentaire en vitamine K2Apport alimentaire en vitamine K (µg/jour)

Risq

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Calcifi cations artérielles et mortalité apès prise de vitamine K2Calcifi cations artérielles et mortalité apès prise de vitamine K2Calcifi cations artérielles et mortalité apès prise de vitamine K pendant 10 ans

CA ✝ CV ✝ TC CA ✝ CV ✝ TC CACACA ✝ ✝ CVCV ✝ TC

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