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Education des enfants
N° 2
N° 5
On ne peut pas s'adresser à tous de la même façon (ville, banlieue ou rural). Tenir compte de chacun en
particulier. Éducation par l’exemple plus que par des discours. On transmet plus par ce qu'on est que par ce
qu'on fait. Autrefois les mouvements de jeunes avaient un programme d'éducation sexuelle et affective.
Qu'en est-il aujourd'hui ? Comment leur faire comprendre qu'entrer en relation, aimer c'est s'oublier un peu
et respecter l'autre dans un monde où paraît prévaloir l'individualisme.
N° 7
L’éducation : les choix éducatifs sont importants. Il est clair aujourd’hui que de nombreuses familles, même non
catholiques, privilégient l’école privée catholique, car l’éducation dispensée est plus conforme aux valeurs que
l’enseignement public. Le respect de l’autre y est largement présent.
L’éducation sexuelle et sentimentale doit aussi faire partie de l’éducation des adolescents ; en effet la
pornographie sur internet et les théories ambiantes sur le « genre » sont vécues comme une menace pour la
dignité de l’individu. L’Eglise a des choses à dire sur le sujet : il existe des textes dans la bible (création, cantique
des cantiques, etc…) sur lesquels s’appuyer.
N° 8
- Commencer dès le plus jeune âge, sans mettre de tabou, en rendant les choses les plus naturelles
possibles. Ne jamais laisser de question en suspens.
- Donner des clés aux parents, des outils (conférences dans les écoles, livres d’enfants adaptés…)
- Protéger les enfants : impact de l’image, des dessins animés (qui ont évolué depuis notre propre
enfance), puis des sites internet . Surveiller et contrôler ce qu’ils font sur leur téléphone portable et
sur l’ordinateur.
- Les enfants sont sensibles à la parole entendue à l’extérieur du foyer parental, notamment à
l’adolescence. Soutien dans l’éducation des parents par le patronage, le scoutisme, des mouvements
de jeunes
- L’éducation affective est plus facile en cas de non mixité, réfléchir à un retour en arrière sur cette
mixité étendue de manière presque universelle notamment dans les écoles.
- Apport d’un mélange des générations, avec par exemple des grands-parents ? Mais risque de prendre
à la légère leur parole car époque différente.
- Teenstar : adressé aux adolescents, site internet, interventions dans les écoles…
N° 9
L’éducat ion ne se fa it pas seulement avec les parents mais aussi avec les grands -parents qui
transmettent des valeurs , à l ’école, dans les organisations de jeunesse (comme les scouts,
l ’Action Catholique des Enfants, le Mouvement Rural de la Jeunesse Chrétienne ,…) , dans les
associations sportives et culturel les .
N°13
La première urgence se situe dans l’éducation chrétienne des enfants des familles recomposées : le témoignage de vie est prépondérant et « dire » sans « faire » soi même en cohérence est tout simplement rejeté. Il y a là une conséquence objectivement injuste et discriminatoire de la discipline à l’égard des enfants des familles recomposées qui est tout simplement inacceptable et non évangélique (Mc 10, 13-16).
N° 16
L’Eglise aide les parents dans leur mission éducative grâce aux mouvements de jeunes tels que le
scoutisme, le MEJ, les propositions faites par les communautés nouvelles…
Pour la catéchèse, il serait bon que les hommes s’investissent davantage. Ils ont aussi un témoignage à
donner, la catéchèse n’est pas seulement une mission féminine. Et puis beaucoup de jeunes manquent
d’une présence adulte masculine.
N°20
Le cheminement des sacrements ne correspond pas à des étapes affectives importantes pour le jeune. La 1ere
communion est donnée à des enfants pour qui la pratique dominicale est souvent rare (je ne parle pas même pas
de la compréhension de l'Eucharistie). La confirmation ne correspond à rien de vraiment notable (pas de
changement dans sa vie d'Eglise), même si elle est vécue comme un moment fort.
Personnellement je mettrai la confirmation à 30 ans. C'est l'age auquel le Christ s'est mis en chemin, c'est un age
charnière dans l'age adulte, pour la foi la vie, les engagements. Je regrette d'avoir vécu la mienne sans rien
comprendre, sans pouvoir m'engager. Je ne crois pas que les jeunes en age de Lycée soit encore en age de
s'engager.. D'une manière générale, les sacrements sont vécus comme la fin de la participation à la vie de l'Eglise.
L'Eglise c'est le lieu des temps forts (c'est déjà bien), pas le lieu de l'accompagnement. Le moment où les jeunes
quittent l'Eglise est le moment de leur vie, où devient ils deviennent adulte leur relation affective, et où
l'accompagnement devrait être le plus pertinent. Sauf exception, les jeunes adultes n'ont que rarement l'occasion
de cheminer avec l'Eglise. D'autre part, de mon expérience en Aumônerie, ce sont les modèles des parents sont
repris par les enfants. Les parents ne participant pas à la vie de l'Eglise, les enfants s'en éloignent visiblement
ensuite, naturellement. Contrairement à leurs parents qui vivaient dans un mode chrétien, les enfants sont au prise
à un monde globalement déchristianisé, ce qui rendra leur lien avec l'Eglise de plus en plus incertain. Si les enfants
avaient comme exemple des parents qui tirent bénéfice de l'apport de l'Eglise, qui en vivent "même" quand ils sont
adultes, il y aurait des chances que les jeunes prenne au sérieux le cheminement en Eglise. Je le résumerai de
manière un peu lapidaire : si on veut s'occuper des jeunes il faut d'abord s'occuper des parents ! Un autre point : la
recherche d'intériorité des jeunes et la communication dans la famille est singulièrement diminuées par les moyens
de communication moderne. L'envahissement des réseaux sociaux (qui pourtant ne permette pas de vraies
relations), de la télé diminue le temps de silence, d'ennui dont on a besoin pour se trouver. Il faudrait que les
aumôneries/familles aient des brouilleurs de portables ! ou des règles fermes.
N° 25
N° 27
La Famille = petite église domestique de Jean-Paul II (?) m' a fait extrapoler à…
La Famille = laboratoire de vie sociale (le fameux 'vivre-ensemble)
La Famille = petite école de la bienveillance, de la confiance, de l'entr'aide, de l'union des forces
pour l'accomplissement de chacun.
N° 31
Tenir davantage compte de : « Laissez venir à Moi les petits enfants » :
- Rôle des parents dès l’âge de 1 ou 2 ans, - Rôle de l’Eveil à la Foi dès l’âge de 3 ans.
Envers ces très jeunes enfants qui posent déjà des questions d’ordre existentiel, il ne s’agit nullement
de les embrigader, mais de témoigner du sens de la vie – la Foi chrétienne ? – des adultes qui les
côtoient.
° Etendre aux parents qui demandent le Baptême pour leur jeune enfant les étapes proposées aux
personnes de plus de 7 ans qui font cette même demande pour eux-mêmes. Ces étapes pouvant être
rapprochées les unes des autres, en fonction de la Foi des demandeurs.
° Au sein de la catéchèse des 7 - 10 ans, adjoindre un module relatif aux couples mariés. Ex : Jacob
et Rachel ou les époux Martin, parents de Thérèse de Lisieux. Le faire avec délicatesse, compte tenu
des multiples familles recomposées ou monoparentales. Mais cet ajout n’en est que plus nécessaire ;
les enfants ont besoin de savoir qu’existent des couples unis à vie et heureux de l’être. Ils peuvent ainsi
espérer en vivre un, quand l’heure sera venue pour eux.
N° 32
Questions : A quel moment/ quel âge s’arrête l’éducation et comment toucher les familles de la
périphérie ?
Des convictions
Les parents doivent en premier prendre toute leur place dans l’éducation des enfants
Il est très important de ne jamais rompre le contact avec ses enfants même si on n’est pas d’accord avec
leur choix.
Des solutions existent pour accompagner les parents sur ce chemin de l’éducation (Alpha par exemple)
Propositions
Des ateliers au cours de la préparation au mariage sur la parentalité avant et après la naissance du
premier enfant.
Ouvrir la formation au-delà de l’église : s’adresser aux communes afin de toucher un large public
N° 35-3
témoignage des difficultés avant le divorce (alcool, violences) Elle a cherché à protéger les enfants du papa. Recherche à pardonner à son conjoint, par la prière et auprès d'un psychologue. Lui a permis de ne pas lui en vouloir, et de conserver l'estime de ses enfants pour leur père. Dans sa démarche, elle a vu un prêtre pour l'aider à conserver le rôle du père auprès des enfants. Il l'a aidée dans sa décision de divorcer. Ils ont divorcé d'un commun accord, ce qui était plus facile. Question importante : comment faire pour rendre ces situations de divorce plus faciles à vivre. Selon elle : garder la fratrie unie, conserver le rôle du père comme de la mère (droit de garde) Prendre soin des bonnes relations entre les parents.
N° 35-7
Il faudrait une formation continue pour les parents et grands parents basée sur la Bible (parcours Alpha)… avoir des célébrations vivantes…. utiliser les moyens de communication modernes, internet… Les jeunes aiment les grands rassemblements : JMJ, Paray le Monial, Hautecombe, Taizé… On se sent responsables de la non pratique de nos enfants…. cependant la foi est un don : on prépare le
terrain , on n’est pas responsable si ça ne pousse pas !.... mais on peut et on doit prier inlassablement pour
nos enfants !
N° 40
- La formation des jeunes :
o Rôle des parents dès la petite enfance puis éveil à la foi
o Catéchèse primaire : les situations familiales vécues par les enfants sont très diverses, une
catéchiste souligne donc qu’il est délicat d’insister sur un idéal de famille non vécu par les
enfants. Parler du couple est peut-être plus facile en aumônerie de collège ou après. A tous les
âges l’exemple de couples qui durent est important.
N° 42
L'éducation de la jeunesse doit être basée sur l'exemple. Il en va donc de la responsabilité des parents, grands-
parents et de la société en général. Les enfants et la jeunesse ont besoin pour cela de témoignages et d'une vie de
famille où règnent le dialogue et l'écoute.
Progresser dans l'éducation affective, c'est progresser dans les valeurs de respect de soi et des autres. Cela
nécessite de la part des parents un engagement permanent. A cette fin il est nécessaire qu'ils puissent bénéficier
davantage encore d'outils, de conseils et de lieux d'expression.
L'Eglise a de nombreuses offres mais il semble que seuls les initiés en soient informés. Davantage de
communication sur le sujet nous semble être une piste d'amélioration.
N° 43
La famille ressent le besoin d’avoir/de proposer des outils de réflexion éducative destinés aux parents
(ateliers, conférence, etc.)
Que l’Eglise relaye davantage les outils éducatifs destinés aux enfants : visuels pour expliquer « les
choses de la vie » (sexualité, conflits…)
Les relations parents/enfants
Transparence et vérité de la famille, dans la famille.
Assumer la mission première : procréer, éduquer, aimer
Ne pas couper le dialogue parents-enfants, partager le repas, des moments conviviaux
Faire confiance à nos enfants (ne pas craindre, avoir peur du monde)
N°57