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ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 RAPPORT 3 : ACTIVITÉ PHYSIQUE ET SÉDENTARITÉ

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ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015RAPPORT 3 : ACTIVITÉ PHYSIQUE ET SÉDENTARITÉ

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ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015RAPPORT 3 : ACTIVITÉ PHYSIQUE ET SÉDENTARITÉ

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Institut Scientifique de Santé PubliqueDirection Opérationnelle Santé publique et SurveillanceRue Juliette Wytsman 141050 Bruxelles | Belgique Tel: 02 642 57 71E-mail : [email protected]

Numéro de dépôt : D/2015/2505/64Référence interne : PHS Report 2016-008

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TABLE DES MATIÈRES

Introduction et méthodologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1

Activité physique et sédentarité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35

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Remerciements

Outre les auteurs et membres de l’équipe de recherche de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015, nous souhaitons également remercier :

Les participants et les enquêteurs pour leur participation à cette enquête.

Stefanie Vandevijvere pour les négociations avec le SPF Santé publique, Sécurité de la chaîne alimentaire et Environnement.

Stefaan Demarest et Johan Van der Heyden de l’Institut Scientifique de Santé publique (WIV-ISP), Bruxelles, pour leur aide au niveau de la préparation de l’enquête et de l’analyse des données.

Sabine Drieskens de l’Institut Scientifique de Santé publique (WIV-ISP), Bruxelles, pour son aide vis-à-vis de l’utilisation du logiciel Blaise et de l’adaptation des macros SAS.

Inge Huybrechts, Geneviève Nicolas et Corinne Casagrande de l’Agence internationale de recherche sur le cancer (IARC), Lyon, France, pour leur soutien dans l’utilisation et l’adapta-tion du logiciel GloboDiet® au contexte belge.

Mieke De Mayer en Mia Bellemans de l’unité de recherche Santé publique de l’Université de Gand, pour leur aide concernant l’adaptation du logiciel GloboDiet® au contexte belge, la création du recueil de photos et la formation des enquêteurs.

Carine Seeuws de NUBEL asbl, Bruxelles, pour la mise à disposition de la table de composi-tion de produits alimentaires NUBEL.

Maryse Niekerk, Zohreh Etemad et leurs collègues du « Rijksinstituut voor Volksgezondheid en Milieu » (RIVM), Bilthoven, Pays-Bas, pour leurs conseils vis-à-vis de l’utilisation du logiciel GloboDiet®, la gestion et le couplage de la base de données avec les tables de composition des aliments.

Marga Ocké, Arnold Dekkers et leurs collègures du « Rijksinstituut voor Volksgezondheid en Milieu » (RIVM), Bilthoven, Pays-Bas, pour leurs conseils durant la phase de préparation de l’enquête et la mise à disposition du logiciel SPADE® pour l’analyse des données de consom-mation alimentaire.

Le conseil d’avis scientifique : Laurence Doughan, Katrien De Pauw, Christine Vinkx, Carl Berthot, Isabelle Laquire, Xavier Van Huffel, Valérie Vromman, Guy Debacker, Ilse Debourdeaudhuij, Greet Cardon, Peter Clarys, Christophe Matthys, Jean Nève, Eline Rademakers, Pierre Du Ville, Philippe Mortier, Benoit Horion, Jean Pottier et Philippe Donnen.

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AUTEURSKoenraad CUYPERSThérésa LEBACQSarah BEL

INTRODUCTION ET MÉTHODOLOGIE

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Remerciements

Ce travail n’aurait pas pu être réalisé sans la collaboration de nombreuses personnes. Des remerciements particuliers sont adressés :

Aux participants et aux enquêteurs pour leur participation à l’enquête ;

À Loes Brocatus, Charlotte Stiévenart et Sofie Van den Abeele pour la préparation et l’organisation du travail de terrain, ainsi que pour leur contribution à la gestion des données collectées ;

À Ledia Jani pour son travail organisationnel et logistique lors de l’enquête, de même que pour la mise en page de ce rapport ;

À Sarah Bel, Koenraad Cuypers, Karin De Ridder, Thérésa Lebacq, Cloë Ost et Eveline Teppers pour le travail de gestion et d’analyse des données collectées.

À Koenraad Cuypers pour la coordination du projet.

Pour toute référence à ce chapitre, veuillez utiliser la citation suivante :

Cuypers K, Lebacq T, Bel S, Introduction et méthodologie. Dans : Lebacq T, Teppers E (éd.). Enquête de consommation alimentaire 2014-2015. Rapport 3. WIV-ISP, Bruxelles, 2016.

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TABLE DES MATIÈRES

1. Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51.1. Contexte général . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51.2. Objectifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51.3. Acteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6

2. Méthodologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82.1. Procédure d’échantillonnage. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8

2.1.1. Population cible. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82.1.2. Taille de l’échantillon . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82.1.3. Sélection de l’échantillon . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92.1.4. Stratégie de remplacement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10

2.2. Questionnaires et mesures. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 112.2.1. Rappel de consommation alimentaire de 24 heures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 112.2.2. Questionnaire sur la fréquence de consommation des aliments. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 122.2.3. Interviews orales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 132.2.4. Questionnaires écrits . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 142.2.5. Accéléromètres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 142.2.6. Mesures anthropométriques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15

2.3. Organisation du travail de terrain . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 152.3.1. Répartition par trimestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 152.3.2. Déroulement des interviews. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 162.3.3. Enquêteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19

2.4. Gestion et contrôle des données . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 212.4.1. Bases de données . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 212.4.2. Contrôle « vertical » des données . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 212.4.3. Contrôle de la base de données GloboDiet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 222.4.4. Fusion des bases de données . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23

3. Participation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24

4. Composition de la population d’étude . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 254.1. Composition par province . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 254.2. Composition selon l’âge et le sexe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 264.3. Composition selon le niveau d’éducation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 274.4. Composition selon la taille et le type de ménage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 284.5. Composition selon la nationalité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29

5. Presentation des résultats de l’enquête. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 305.1. Coefficients de pondération . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 305.2. Présentation des résultats. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31

6. Bibliographie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34

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LISTE DES ABRÉVIATIONS

AFSCA Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire

CAPI Computer assisted personal interview

CPVP Commission de la protection de la vie privée

CSS Conseil Supérieur de la Santé

EFCOSUM European Food Consumption Survey Method

EFCOVAL European Consumption Validation

EFSA European Food Safety Authority

EHIS-PAQ European health interview survey- physical activity questionnaire

EPIC-Soft European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition Software

FFQ Food Frequency Questionnaire

FPAQ Flemish Physical Activity Questionnaire

IARC International Agency for Research on Cancer

IMC Indice de masse corporelle

INAMI Institut national d’assurance maladie-invalidité

IPAQ International Physical Activity Questionnaire

KU Leuven Katholieke Universiteit Leuven

OGM Organisme génétiquement modifié

OR Odd ratio

PANCAKE Pilot study for the Assessment of Nutrient intake and food Consumption Among Kids in Europe

RIVM Rijksinstituut voor Volksgezondheid en Milieu, Pays-Bas

SPADE Statistical Program to Assess Dietary Exposure

SPF Service public fédéral

UE Union européenne

UGent Université de Gand

ULB Université libre de Bruxelles

UPDLP Union Professionnelle des Diplômés en Diététique de Langue Française

VBVD Vlaamse Beroepsvereniging van Voedingsdeskundigen en Diëtisten

VUB Vrije Universiteit van Brussel

WIV-ISP Institut scientifique de Santé publique, Belgique

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1. INTRODUCTION

1.1. CONTEXTE GÉNÉRAL

L’alimentation et le mode de vie des individus possèdent une importance majeure pour la santé publique. L’alimentation et les habitudes alimentaires sont, en effet, des facteurs de risque importants en termes de santé et de développement de maladies (1). Le recours à une alimentation et des habitudes alimen-taires saines, tout au long de la vie, représente ainsi un facteur protecteur majeur contre le développe-ment de maladies non transmissibles, telles que le diabète, les maladies cardiovasculaires et le cancer (2). L’augmentation de la consommation d’aliments caloriques et le manque d’activité physique sont, en outre, à l’origine d’une forte augmentation des problèmes de surpoids et d’obésité au niveau européen et mondial (3), ces derniers constituant également des facteurs de risque majeurs pour le développement de maladies non transmissibles (3). De telles maladies ont un impact important sur la qualité et la durée de vie. Elles engendrent, en outre, un coût économique significatif pour la société (4).

Le recours à une alimentation et des habitudes alimentaires saines, de même que la lutte contre le surpoids et l’obésité représentent, dès lors, des objectifs de santé publique majeurs. Dans ce contexte, il est primor-dial de connaître la prévalence et la distribution des indicateurs nutritionnels (carences, excès en macro- et micronutriments, obésité) au sein de la population et d’identifier les inégalités sociales en matière de qualité nutritionnelle. De telles données sont, en effet, indispensables afin de dresser une image détaillée des besoins de la population et d’ainsi soutenir le développement de politiques nutritionnelles adéquates. D’autre part, les différentes crises dans le domaine de la sécurité alimentaire (la crise de la vache folle ou de la dioxine, par exemple) ont mis en évidence la nécessité de disposer d’informations concernant l’ex-position des consommateurs à certains risques sanitaires (l’exposition à certains contaminants ou additifs, notamment).

Dans ce cadre, les enquêtes de consommation alimentaire ont pour objectif d’estimer la consommation moyenne d’aliments, de macronutriments (les graisses, les glucides, les protéines) et de micronutriments (tels que les vitamines et les minéraux) d’une population dans une région ou un pays donné (5). De telles estimations sont réalisées au départ de données individuelles collectées au sein d’un échantillon représen-tatif de la population étudiée. En Belgique, la dernière enquête nationale de consommation alimentaire a été menée en 2004. Or, les habitudes alimentaires évoluent de manière marquée au cours du temps en raison du changement de la population (suite aux migrations ou au vieillissement, par exemple), de facteurs culturels ou de la modification de l’offre d’aliments (tels que l’accroissement de l’offre de produits alimentaires « tout prêts »). Il s’avère, par conséquent, indispensable d’actualiser les données disponibles afin de disposer d’une image récente de la consommation alimentaire et de l’état nutritionnel de la popu-lation. De telles données sont destinées à soutenir la mise en place de politiques alimentaires adaptées, à évaluer les politiques existantes, à informer la population, de même qu’à être utilisées dans le cadre de recherches scientifiques.

1.2. OBJECTIFS

L’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 a pour objectif général d’étudier la consommation et les habitudes alimentaires de la population résidant en Belgique. Cet objectif général se décline en six objectifs spécifiques :

1. Evaluer la consommation d’aliments, d’énergie et de nutriments dans l’ensemble de la population et comparer ces valeurs aux recommandations nationales ;

2. Evaluer la consommation de suppléments alimentaires et l’apport en micronutriments issus de ces suppléments ;

3. Comparer différents sous-groupes de la population en ce qui concerne leur consommation d’aliments, d’énergie et de nutriments afin d’identifier les sous-groupes ayant un risque de pré-senter un apport excessif ou une carence de certains aliments ou nutriments ;

4. Etudier les connaissances, les attitudes et le comportement de la population en matière de sécu-rité alimentaire et fournir des données permettant d’évaluer l’exposition de la population à cer-tains contaminants, additifs et autres produits chimiques présents dans les aliments ;

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5. Evaluer le niveau d’activité physique et le comportement sédentaire de la population et relier ces informations à la consommation d’aliments et de nutriments ;

6. Décrire les habitudes et comportements alimentaires (telles que la fréquence, la durée et le lieu de consommation des repas ou le suivi de régimes spécifiques), le statut nutritionnel (sur base du tour de taille et de l’indice de masse corporelle, notamment) et l’opinion de la population en matière de politiques nutritionnelles et d’utilisation d’organismes génétiquement modifiés (OGM) dans l’alimentation.

De telles informations visent à soutenir l’élaboration d’une politique de nutrition et de promotion de la santé adaptée aux besoins de la population. Une enquête de consommation alimentaire constitue un outil indispensable pour différents types d’évaluation et d’analyse de risque, de même que pour la prise de décisions politiques en matière d’alimentation et de sécurité alimentaire.

L’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 constitue le suivi de la première enquête de consom-mation alimentaire, menée en 2004, en ce qui concerne la population âgée de 15 à 64 ans. Pour la première fois en Belgique, la présente enquête fournira, en outre, une image représentative de la consommation ali-mentaire des enfants (de 3 à 9 ans) et adolescents (de 10 à 17 ans). Les enfants sont considérés comme un groupe d’âge particulièrement vulnérable et constituent, dès lors, une priorité dans l’évaluation du risque d’exposition aux contaminants. L’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 possède, par consé-quent, une haute valeur stratégique pour le service publique fédéral (SPF) et les différents groupes de recherche travaillant dans le domaine de la santé publique, de l’alimentation et de la sécurité alimentaire.

L’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 fait, en outre, partie du projet de recherche « EU Menu » mené au sein de l’Union européenne (UE) au sujet de la consommation alimentaire (6). Ce projet a pour objectif d’harmoniser la collecte de données de consommation alimentaire à l’échelle européenne afin de disposer de données comparables entre les différents Etats Membres, ce qui s’avère être un enjeu crucial pour l’élaboration de politiques européennes.

1.3. ACTEURS

L’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 a été initiée par la Ministre des Affaires Sociales et de la Santé publique, ainsi que par le Service public fédéral (SPF) Santé publique, Sécurité de la chaîne alimentaire et Environnement. L’enquête a été financée par le SPF Santé publique, Sécurité de la chaîne alimentaire et Environnement, l’Institut Scientifique de Santé publique (WIV-ISP) et l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (« European Food Safety Authority », EFSA1).

La réalisation de cette enquête a été permise grâce à une collaboration entre différents instituts et parte-naires ayant mis leurs compétences et leur expérience au service de ce projet :

1. L’équipe de recherche du WIV-ISP, Direction opérationnelle « Santé publique et surveillance », Service « Enquêtes, mode de vie et maladies chroniques » a été chargée de l’exécution de l’enquête et a été associée à toutes les phases du projet, à savoir la préparation préliminaire, l’élaboration des questionnaires, la formation des enquêteurs, l’organisation et le suivi du travail de terrain, le traitement et l’analyse des données collectées et la rédaction des rapports présentant les résultats de l’enquête.

2. L’Agence internationale de recherche sur le cancer (« International Agency for Research on Cancer », IARC), basée à Lyon en France, est intervenue en appui à l’utilisation et l’adaptation de GloboDiet® (anciennement appelé EPIC-Soft), un logiciel permettant de réaliser les rappels de consommation alimentaire de 24 heures de manière informatiquement assistée.

3. Deux diététiciennes (Mia Bellemans en Mieke de Mayer) de l’Unité de recherche de Santé Publique de l’Université de Gand (UGent) ont participé au développement d’une version Flamande et Wallonne du logiciel GloboDiet® (en fournissant les données nécessaires à l’IARC) et à la conception du recueil de photos ; elles ont également apporté un soutien à la formation des enquêteurs, en ce qui concernait l’utilisation de GloboDiet®.

1 http://www.efsa.europa.eu/

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4. Une collaboration a été régulièrement entretenue avec les chercheurs de l’Institut néerlandais de Santé publique et d’Environnement (« Rijksinstituut Volksgezondheid en Milieu », RIVM) au sujet du traitement des données collectées via le logiciel GloboDiet®, du couplage des données de consommation alimentaire avec les tables de composition des aliments et de l’utilisation du logiciel statistique SPADE® (« Statistical Program to Assess Dietary Exposure ») développé par le RIVM.

5. La plateforme eHealth a apporté son soutien à l’enquête en mettant à disposition de l’équipe de recherche le logiciel « Hector ». Ce logiciel a été utilisé afin de transmettre les données numériques collectées lors de l’enquête (CAPI, GloboDiet et accéléromètres) de l’ordinateur des enquêteurs au WIV-ISP. Cet envoi a été réalisé au moyen de l’eHealthBox, une boîte aux lettres électronique sécurisée.

La mise en œuvre concrète de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 a nécessité d’être suivie de manière continue et d’être adaptée, lorsque c’était nécessaire. Une concertation permanente a, dès lors, été mise en place entre toutes les parties prenantes. Dans ce cadre, un comité de pilotage se réunissant trimestriellement a été créé ; ce comité était composé de deux instances :

1. La Commission des commanditaires était composée des représentants des commanditaires de l’enquête (à savoir des membres du cabinet du Ministre des Affaires sociales et de la Santé publi-que et du SPF Santé publique, Sécurité de la chaîne alimentaire et Environnement). Cette com-mission était chargée du suivi administratif et politique de l’enquête de consommation alimen-taire. Lors de réunions trimestrielles, elle évaluait l’état d’avancement de l’enquête et adaptait, si nécessaire, son déroulement. Des rapports semestriels concernant l’avancement du travail et le budget alloué à l’enquête ont été fournis par le WIV-ISP à la Commission des commanditaires afin d’évaluer la réalisation des objectifs programmés.

2. Le Conseil d’avis scientifique était composé d’experts issus de différents horizons : l’Unité de recherche de Santé publique de l’Université de Gand (UGent), l’Unité de recherche des Sciences de la motricité de l’Université de Gand (UGent), la Faculté de kinésithérapie et d’éducation physique de la « Vrije Universiteit van Brussel » (VUB), le Département de Médecine clinique et expérimentale de la KU Leuven, la Faculté de Pharmacie de l’Université libre de Bruxelles (ULB), le Conseil supé-rieur de la Santé (CSS) et l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (AFSCA). Le Conseil d’avis scientifique a suivi de manière rapprochée le déroulement de l’enquête de consom-mation alimentaire et a apporté son soutien dans le choix des méthodologies, l’élaboration des questionnaires et la rédaction des rapports résumant les résultats de l’enquête.

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2. MÉTHODOLOGIE

La méthodologie utilisée dans l’enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015 se base, en grande partie, sur les recommandations de l’EFSA concernant la collecte de données de consommation alimentaire dans le cadre du projet EU-Menu (6;7). En ce qui concerne la collecte de données de consom-mation alimentaire chez les enfants, la méthodologie utilisée suit les recommandations issues de l’étude pilote du projet européen PANCAKE (« Pilot study for the assessment of nutrient intake and food consumption among kids in Europe ») (8).

La présente enquête a été approuvée par la Commission de la protection de la vie privée (CPVP) et par le Comité d’éthique médicale de l’Hôpital Universitaire de Gand (UZ Gent). L’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 a été menée selon les principes de la Déclaration d’Helsinki.

2.1. PROCÉDURE D’ÉCHANTILLONNAGE

2.1.1. Population cible

L’objectif de la procédure d’échantillonnage est de sélectionner un ensemble de personnes qui soit repré-sentatif de la population cible. La population cible de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 est définie comme l’ensemble de la population âgée de 3 à 64 ans résidant en Belgique au sein de ménages privés, sans restriction de nationalité. Les personnes âgées de moins de 3 ans et de plus de 64 ans n’ont pas été inclues pour des raisons budgétaires.

Le Registre National de population a été utilisé comme cadre d’échantillonnage. La population d’étude  – c’est-à-dire la population réellement atteinte par cette étude – ne coïncide, par conséquent, pas entière-ment avec la population cible. En effet, les personnes n’étant pas enregistrées dans le Registre, telles que les personnes « sans domicile fixe » ou « sans papiers », ne faisaient dès lors pas partie de la population d’étude.

Par ailleurs, certaines catégories de personnes ont été exclues de cette procédure d’échantillonnage pour des raisons pratiques : les personnes résidant dans des institutions, dans une communauté religieuse ou incarcérées (en raison d’une moindre liberté au niveau du choix des aliments), les personnes qui ne maî-trisaient pas suffisamment le français ou le néerlandais, ainsi que les personnes n’ayant pas pu être inter-viewées en raison d’un handicap physique ou mental.

2.1.2. Taille de l’échantillon

Selon les recommandations de l’EFSA, les données de consommation alimentaire ont été collectées dans différents groupes d’âge, parmi lesquels on retrouve les enfants (de 3 à 9 ans), les adolescents (de 10 à 17 ans) et les adultes (de 18 à 64 ans) (6). L’échantillon a été stratifié en cinq groupes d’âge (3-5 ans, 6-9 ans, 10-17 ans, 18-39 ans et 40-64 ans), chacun de ces groupes se divisant lui-même en deux groupes en fonc-tion du genre. Pour les enfants (de 3 à 9 ans) et les adultes (de 18 à 64 ans), deux groupes d’âge ont été considérés afin de s’assurer qu’il y ait suffisamment d’individus sélectionnés chaque groupe.

La taille de l’échantillon a été calculée de manière à ce que la consommation moyenne estimée pour les dif-férents aliments soit inclue avec une certitude de 95 % dans un intervalle de 5 % autour de la moyenne de la population réelle. Sur cette base, il a été déterminé que 500 enfants âgés de 3 à 5 ans, 500 enfants âgés de 6 à 9 ans, 1000 adolescents âgés de 10 à 17 ans, 600 adultes âgés de 18 à 39 ans et 600 adultes âgés de 40 à 64 ans devaient faire partie de l’échantillon. Au total, la taille de l’échantillon a donc été estimée à 3200 individus. Une telle taille est suffisante afin de fournir des informations pertinentes au niveau national et régional (à l’exception de Bruxelles-Capitale) mais n’est pas suffisamment importante pour pouvoir réaliser des estimations au niveau provincial.

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2.1.3. Sélection de l’échantillon

La sélection de l’échantillon a été réalisée en plusieurs étapes : stratification géographique, sélection des communes et sélection des individus.

Stratification géographiqueLe nombre total de personnes à interroger (3200) a été réparti dans les trois régions belges (Flandre, Bruxelles-Capitale et Wallonie) en fonction de la taille de la population de chaque région (sur base des données de population au 01/12/2012). L’objectif était d’interroger 1850 personnes en Flandre, 300 per-sonnes à Bruxelles et 1050 personnes en Wallonie.

Une stratification provinciale a ensuite été réalisée afin de garantir une dispersion géographique équili-brée de l’échantillon. Onze strates ont ainsi été formées, celles-ci comprenant les dix provinces belges et la Région de Bruxelles-Capitale. Le nombre de personnes à interroger au sein de chaque strate provinciale a été déterminé en fonction de la taille de la population de chaque province (Tableau 1).

Tableau 1 | Répartition de l’échantillon dans les onze strates provinciales, Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique

Provinces Nombre de personnes à interroger

Anvers 500

Brabant Flamand 300

Flandre Occidentale 350

Flandre Orientale 450

Limbourg 250

Bruxelles-Capitale 300

Brabant Wallon 100

Hainaut 400

Liège 300

Luxembourg 100

Namur 150

Total 3200

Sélection des communesL’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 n’a pas été organisée dans l’ensemble des communes belges. En effet, pour des raisons pratiques, afin de limiter le nombre d’enquêteurs, les frais de déplace-ment et le temps nécessaire aux interviews, seul un nombre limité de communes a été sélectionné au sein de chaque province.

Le nombre de communes sélectionnées dans chaque province a été déterminé en fonction de la taille (c’est-à-dire du nombre d’habitants) de la province et de la taille des communes/villes situées dans la province2.

2 Echantillonnage systématique pour lequel les communes ont été classées selon leur taille.

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Le fait de tenir compte des tailles des communes garantit la présence des communes/villes de grande taille dans l’échantillon, tout en permettant que des communes de plus petite taille soient aussi sélectionnées. Pour chaque commune sélectionnée, un ou plusieurs groupes de 50 personnes ont été choisis au hasard. Pour les villes les plus grandes (telles qu’Anvers), plusieurs groupes de 50 personnes ont été sélectionnés. La Figure 1 illustre la répartition géographique des communes sélectionnées.

Figure 1 | Répartition géographique des communes sélectionnées, Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique

Sélection des individusDans la dernière étape de la procédure d’échantillonnage, des groupes de 50 individus ont été choisis au hasard au sein de chaque commune sélectionnée de manière à se répartir dans les dix strates d’âge et de genre. L’échantillon final est constitué de 64 groupes (arrondissements ou communes) de 50 personnes.

2.1.4. Stratégie de remplacement

La participation à l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 n’est pas obligatoire. Il est donc pos-sible que certaines personnes sélectionnées refusent de participer. Par ailleurs, il est également possible que certains individus sélectionnés ne puissent pas être contactés par les enquêteurs, parce que ceux-ci ont déménagés, sont décédés ou sont associés à une adresse inexistante (et ce, malgré l’utilisation de la version la plus récente du Registre National).

Afin d’atteindre l’objectif de 3200 personnes interrogées, les individus refusant de participer ou n’ayant pas pu être contactés ont été remplacés par des individus dits « de substitution ». Pour chaque individu sélectionné, trois individus de substitution ont été choisis au hasard. Ces derniers présentaient trois carac-téristiques communes avec la personne sélectionnée : ils habitaient dans la même commune, étaient du même sexe et avaient le même âge. Des groupes de quatre individus – appelés clusters – ont ainsi été créés. Un second cluster de quatre individus a, en outre, été formé, étant donné un taux de participation

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attendu de seulement 50 %. Par conséquent, la taille de l’échantillon total était huit fois supérieure à la taille strictement nécessaire.

Lorsqu’un individu sélectionné refusait de participer à l’enquête ou ne pouvait pas être contacté par l’en-quêteur, celui-ci était remplacé par l’individu suivant du même cluster. Si nécessaire, cette procédure conti-nuait jusqu’à ce que l’enquêteur ait épuisé ce premier cluster. Dans ce cas, le second cluster de quatre per-sonnes était alors activé ; les personnes de ce second cluster habitaient dans la même commune, étaient du même sexe et appartenaient au même groupe d’âge que les personnes du premier cluster.

2.2. QUESTIONNAIRES ET MESURES

Dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015, les données ont été collectées par le biais de différents instruments:

1. Les données de consommation alimentaire ont été collectées via la méthode du rappel de consom-mation alimentaire de 24 heures, combinée à un questionnaire écrit sur la fréquence de consom-mation des aliments (« Food frequency questionnaire », FFQ).

2. Les caractéristiques sociodémographiques, les données concernant les habitudes alimentaires, le mode de vie, l’activité physique et la sécurité alimentaire ont été collectées au cours d’interviews orales.

3. Un questionnaire papier visait à collecter des données concernant la santé physique et mentale des répondants.

4. Le niveau d’activité physique et le comportement sédentaire des enfants et adolescents ont été mesurés de manière objective grâce à l’utilisation d’accéléromètres.

5. Différentes mesures anthropométriques ont été prises : le poids, la taille et le tour de taille des participants ont été mesurés de manière standardisée.

Les personnes sélectionnées ont répondu elles-mêmes aux différents questionnaires. Pour les enfants, un parent ou responsable légal a été utilisé comme proxy.

2.2.1. Rappel de consommation alimentaire de 24 heures

Le rappel de consommation alimentaire de 24 heures est la méthode de collecte recommandée par l’EFSA afin de pouvoir disposer de données de consommation alimentaire comparables à l’échelle européenne (6;7). Cette méthode consiste à enregistrer l’ensemble des aliments et des boissons consommés par la personne interrogée – de même que leurs quantités – durant les 24 heures ayant précédé l’interview (9).

La réalisation d’un unique rappel de consommation alimentaire de 24 heures fournit une image instanta-née de la consommation alimentaire et n’est, par conséquent, pas suffisante pour évaluer la consommation alimentaire habituelle (c’est-à-dire la consommation moyenne des aliments sur une période de longue durée). Un unique rappel 24 heures ne donne, en effet, aucune information sur la variabilité intra-individu de la consommation d’aliments (10). Afin d’obtenir davantage d’information sur cette variabilité, un mini-mum de deux rappels de consommation alimentaire de 24 heures non-consécutifs est indispensable ; un intervalle de une à deux semaines entre les deux rappels est nécessaire pour une estimation correcte de la variabilité intra-individu. Il est également important que les rappels de consommation alimentaire réalisés soient étalés sur les différents jours de la semaine et les différentes saisons.

Un rappel de consommation alimentaire de 24 heures est un questionnaire ouvert ; la standardisation du mode de collecte des données est donc essentielle, d’où la recommandation de recourir au logiciel GloboDiet® (anciennement appelé EPIC-Soft) (6). Ce logiciel permet, en effet, de réaliser des rappels de consommation alimentaire de manière standardisée et d’ainsi prévenir et/ou minimiser le risque d’erreurs systématiques. GloboDiet® est un logiciel développé par l’IARC dont l’utilisation dans le cadre d’études épidémiologiques et d’enquêtes de consommation alimentaire a été testée dans différents projets euro-péens, tels que « European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition study » (EPIC), « European Food Consumption Survey Method » (EFCOSUM) et « European Consumption Validation » (EFCOVAL) (11).

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Un rappel de 24 heures réalisé avec le logiciel GloboDiet® comprend cinq étapes :

1. la collecte d’informations générales (telles que la date de naissance ou le poids) ;

2. une liste chronologique (« quick list ») de tous les aliments et recettes consommés ;

3. la description détaillée et la quantification de ces aliments et recettes ;

4. un contrôle de la qualité des données, au niveau des nutriments ;

5. la collecte d’informations concernant la prise de suppléments alimentaires.

Lors des rappels de 24 heures, les tailles des portions ont été estimées au moyen de mesures ménagères, d’informations provenant du fabriquant et d’un recueil d’images et de photos. Ce recueil a été spécifique-ment conçu pour l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 ; il intègre des photos de spécialités belges, ayant été développées pour d’autres études.

Dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015, le logiciel GloboDiet® a été adapté aux normes et à l’offre alimentaire belge. Bien que GloboDiet® permette une collecte structurée et standar-disée des données, ce logiciel doit être utilisé par des enquêteurs expérimentés afin de garantir la qualité des interviews réalisées. Il est essentiel que ceux-ci disposent d’une bonne connaissance des aliments commercialisés sur le marché et des recettes préparées dans la population d’étude  (12). C’est pourquoi, les enquêteurs possédaient tous une formation de diététicien ; ces derniers ont, en outre, suivi une formation spécifique concernant l’utilisation du logiciel.

L’évaluation de la consommation alimentaire des enfants (de 3 à 9 ans) a mobilisé une méthodologie diffé-rente de celle présentée ci-dessus. Il a été demandé aux parents ou responsables de l’enfant de compléter, à deux reprises, un journal de bord reprenant l’ensemble des aliments et boissons consommés par l’enfant. A chacune des deux reprises, la rédaction du journal de bord a été suivie d’une interview mobilisant le logi-ciel GloboDiet® : la première a été réalisée par téléphone durant l’intervalle entre les deux visites à domicile et la seconde a eu lieu lors de la seconde visite de l’enquêteur. Cette méthode a été identifiée par le projet européen PANCAKE comme la méthode la plus adaptée pour collecter les données de consommation alimentaire des enfants âgés de 0 à 10 ans (8).

Les journaux de bord n’incluaient pas de listes d’aliments ou de recettes prédéfinies ; les parents ou res-ponsables notaient eux-mêmes, de la manière la plus détaillée possible, ce que l’enfant avait mangé et en quelles quantités. Une partie du journal avait été prévue afin de décrire les recettes préparées et les suppléments alimentaires consommés. Le journal de bord contenait également une explication détaillée et illustrée d’exemples de la façon dont celui-ci devait être complété.

2.2.2. Questionnaire sur la fréquence de consommation des aliments

Comme recommandé par l’EFSA (6), un questionnaire écrit sur la fréquence de consommation des ali-ments, adapté selon l’âge, a été complété par tous les participants ; celui-ci consistait à récolter des infor-mations sur la fréquence de consommation de différents produits et suppléments alimentaires durant les douze derniers mois. Le principal objectif d’un tel questionnaire consiste à identifier les individus ne consommant jamais certains aliments ou suppléments alimentaires afin d’obtenir une meilleure estima-tion de la consommation habituelle de ces aliments/suppléments (6;10).

Dans la présente enquête, un questionnaire qualitatif reprenant une liste de 79 produits alimentaires (74 pour les enfants, les boissons alcoolisées ayant été retirées) a été utilisé. Ce questionnaire a été conçu sur base du questionnaire utilisé lors de la précédente enquête de consommation alimentaire, menée en 2004 (13).

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Les catégories de réponse possibles étaient les suivantes :

• jamais ;

• moins d’une fois par mois ;

• 1-3 fois par mois ;

• 1 fois par semaine ;

• 2-4 fois par semaine ;

• 5-6 fois par semaine ;

• 1 fois par jour ;

• 2-3 fois par jour ;

• plus de 3 fois par jour.

Pour les suppléments alimentaires, les catégories « 2-3 fois par jour » et « plus de 3 fois par jour » ont été rassemblées en une catégorie « plus d’1 fois par jour ». Pour ces suppléments, le questionnaire distinguait également la consommation durant l’hiver de celle ayant lieu le reste de l’année.

2.2.3. Interviews orales

Pour les interviews orales, une méthode d’entretien assisté par ordinateur, se basant sur l’utilisation d’un programme développé dans l’application Blaise®, a été mobilisée (« Computer-assisted personal interview », CAPI). Au cours d’une telle interview, l’enquêteur posait les questions au participant, en montrant à celui-ci une carte avec les différentes réponses possibles. Il encodait ensuite directement les réponses dans le programme informatique.

La technique CAPI réduit le risque d’erreur lors de la collecte des données en automatisant la gestion des filtres (pour les questions qui ne s’appliquent pas à tous les répondants) et en détectant directement les réponses incorrectes ou non-cohérentes. Le fait d’introduire les données en direct réduit aussi le risque d’erreurs liées à un encodage ultérieur des données et améliore donc la qualité des données collectées. Cette technique laisse la possibilité aux répondants de refuser de répondre ou de répondre « je ne sais pas » à une question.

Informations sociodémographiques, mode de vie et habitudes alimentairesLes données sociodémographiques, concernant le mode de vie et les habitudes alimentaires ont été col-lectées au cours d’interviews orales ayant eu lieu lors de la première et seconde visite à domicile.

Des informations concernant la composition de ménage du participant ont été collectées ; il s’agit du nombre de personnes présentes dans le ménage, de même que l’âge, le genre, le niveau d’éducation des différents individus du ménage et le lien de ceux-ci avec la personne sélectionnée. La caractérisation socio-démographique des personnes participantes a pour objectifs de décrire la population d’étude, ainsi que de comparer les résultats obtenus entre différents sous-groupes de la population étudiée.

Les informations suivantes ont, en outre, été recueillies auprès de la personne participante : les habitudes alimentaires (telles que la durée de préparation et de consommation des repas, le partage du repas en famille, la consommation de produits biologiques et la fréquence des repas), la présence d’une éventuelle grossesse, l’allaitement, le comportement tabagique, la consommation de sel (iodé), la prise de supplé-ments en vitamine D et l’opinion vis-à-vis des politiques nutritionnelles mises en œuvre en Belgique et de l’utilisation d’OGM dans les aliments.

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Activité physiqueL’activité physique et le comportement sédentaire des personnes interrogées ont été étudiés au moyen de questionnaires d’auto-évaluation (faisant partie de l’interview orale assistée par un ordinateur, CAPI), d’une part, et d’accéléromètres, d’autre part (cf. Section 2.2.5).

En fonction de l’âge, différents types de questionnaires ont été utilisés afin d’évaluer le niveau d’activité et le comportement sédentaire des participants. Pour les adultes, la version longue du questionnaire IPAQ (« International Physical Activity Questionnaire ») a été mobilisé ; celui-ci consiste à évaluer l’intensité, la fréquence et la durée de l’activité physique dans différentes situations : à la maison, au travail et lors du temps libre. Des études ont mis en évidence la validité de ce questionnaire (14). Chez les adolescents, le questionnaire FPAQ (« Flemish physical activity questionnaire ») a été utilisé ; celui-ci cherche à évaluer l’ac-tivité physique des adolescents quand ils sont à l’école et lors de leur temps libre (sport, déplacements), de même qu’à évaluer l’importance d’activités sédentaires telles que la télévision et les jeux d’ordinateur (15). Chez les enfants, c’est le questionnaire développé dans le cadre de l’étude européenne ToyBox qui a été utilisé (16). Ce questionnaire porte sur les activités extérieures des enfants lors de leur temps libre (le sport et les jeux actifs, par exemple), sur leurs déplacements domicile-école, ainsi que sur leur comportement sédentaire. La validation de cet outil est en cours.

Sécurité alimentaireLa méthode d’interview CAPI a également été mobilisée afin d’identifier les connaissances, les attitudes et les comportements de la population en matière d’hygiène et de sécurité alimentaire (le respect de la date de péremption, par exemple). Ces questions ont été adressées au membre du ménage habituellement responsable de la préparation des repas.

2.2.4. Questionnaires écrits

Différentes thématiques concernant la santé des adolescents et adultes interrogés ont été abordées par le biais d’un questionnaire auto-administré : les troubles du comportement alimentaire («  Eating Attitudes Test ») (17), une auto-évaluation de l’état de santé, la présence de détresse psychologique(«  Hopkins Symptom Checklist ») (18), le comportement adopté vis-à-vis de son poids et la prévalence de cinq mala-dies liées à l’alimentation (diabète, hypertension, hypercholestérolémie, maladies cardiovasculaires et allergies alimentaires). Chez les adolescents, le comportement tabagique et le développement pubertaire (« Puberal Development Scale ») (19) ont également été abordés par le biais de ce questionnaire. Chez les enfants, seules les informations concernant l’auto-évaluation de la santé et la prévalence des maladies en lien avec l’alimentation ont été collectées.

En raison du caractère sensible de ces questions, celles-ci ne faisaient pas partie de l’entretien oral. Le questionnaire sur la santé a été complété de manière confidentielle et collecté sous enveloppe fermée par l’enquêteur.

2.2.5. Accéléromètres

La validité des questionnaires d’auto-évaluation de l’activité physique est considérée comme moyenne, voire médiocre, particulièrement chez les enfants et les adolescents (20). Cette situation s’explique par le biais issu d’une certaine désirabilité sociale, de même qu’à la difficulté de se rappeler des activités passées. Par conséquent, dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015, des accéléromètres ont été utilisés chez les enfants et adolescents afin de fournir une mesure objective de leur niveau d’acti-vité physique et de sédentarité.

Un accéléromètre mesure de manière exacte et objective les accélérations provoquées par le mouvement du corps ; il enregistre le nombre d’accélérations (« counts ») ayant lieu sur une période de temps prédé-finie, appelée « epoch ». Le temps passé à réaliser des activités à différents niveaux d’intensité (sédentaire à très intensif ) peut ensuite être calculé à partir de ces counts et de valeurs seuils spécifiques (21). Bien que fournissant une mesure précise de l’intensité, de la fréquence et de la durée de l’activité physique, les accéléromètres ne donnent aucune information sur le type d’activités réalisées.

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Dans le cadre de l’enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, l’accéléromètre triaxial GT3X+ Actigraph® a été utilisé; il s’agit d’un appareil discret et léger (dimension de 4,6 x 3,3 x 1,5 cm et poids de 19 g) qui détecte les mouvements ayant lieu selon trois axes orthogonaux : vertical, médio-latéral et antéropostérieur. Les accéléromètres ont été initiés avec le logiciel Actilife® ; une epoch de 15 secondes a été utilisée.

Il a été demandé aux enfants et adolescents de porter l’accéléromètre (attaché à une ceinture élastique, à hauteur de la hanche droite) durant sept jours consécutifs. Au cours de cette période, ceux-ci devaient également compléter un journal de bord dans lequel ils inscrivaient l’heure à laquelle ils se levaient et allaient dormir. Ces derniers devaient également reporter dans ce journal les activités réalisées lorsque l’accéléromètre était enlevé plus de cinq minutes (pour aller à la piscine, par exemple), l’heure à laquelle celui-ci était retiré et remis, le contexte de l’activité et son intensité.

2.2.6. Mesures anthropométriques

Lors de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015, les mesures anthropométriques des parti-cipants (poids, taille et tour de taille) ont été effectuées par des enquêteurs ayant suivi une formation spécifique, suivant une méthodologie standardisée. Il a été démontré que la prise de mesures par des professionnels est préférable à l’utilisation de données rapportées par les individus ; en effet, les indivi-dus interrogés ont tendance à sous-estimer leur poids et à surestimer leur taille, provoquant dès lors une sous-estimation de la prévalence du surpoids et de l’obésité dans la population (22).

Les participants ont été mesurés en habits légers et sans chaussures. Le poids a été mesuré à l’aide d’une balance électronique (type SECA 815 ou SECA 804) ayant une précision de 0,1 kg. La taille a été mesurée à l’aide d’une toise portable (type SECA 213), au demi-centimètre près, en veillant à ce que la tête de l’indi-vidu soit positionnée dans le plan horizontal de Francfort (c’est-à-dire le plan passant par le bas de l’orbite oculaire et le haut de l’extrémité du conduit auditif ). La mesure du tour de taille a été prise au demi-centi-mètre près, avec un mètre ruban non extensible (type Meterex), de manière horizontale à mi-chemin entre la dernière côté et le sommet de la crête iliaque. Le tour de taille des femmes enceintes n’a pas été mesuré.

Les données de poids et de taille ont été utilisées afin de calculer l’indice de masse corporelle (IMC) ; sur base de l’IMC et de valeurs seuils spécifiques à l’âge et au genre, la prévalence du surpoids et de l’obésité dans la population a été estimée. Le poids et la taille ont également été utilisés, en combinaison avec l’âge et le genre, afin de déterminer le taux métabolique basal de chaque participant et d’identifier ainsi les personnes déclarant un apport énergétique inférieur à leur apport réel. Le tour de taille a, quant à lui, été utilisé afin d’étudier la prévalence de l’obésité abdominale dans la population, sur base de valeurs seuils spécifiques à l’âge et au genre. La taille et le tour de taille ont, enfin, été utilisés afin de calculer le ratio tour de taille/taille et d’étudier cet indicateur au sein de la population.

2.3. ORGANISATION DU TRAVAIL DE TERRAIN

2.3.1. Répartition par trimestre

Dans le cadre d’une enquête de consommation alimentaire, il est important que la collecte des données soit étalée sur une année – et donc répartie par trimestre – afin de prendre en compte les variations sai-sonnières. Cette répartition par trimestre permet également d’utiliser la version la plus récente du Registre National de population pour la constitution de l’échantillon ; ceci vise à s’assurer que les personnes sélec-tionnées aient un âge correspondant aux groupes d’âge ciblés par l’enquête et n’aient pas déménagé.

Initialement, il était prévu de répartir le travail de terrain sur les quatre trimestres de l’année 2014. Afin d’atteindre l’objectif de 3200 personnes interrogées, la collecte de données a finalement été fractionnée en cinq trimestres (quatre en 2014 et un en 2015) : elle a démarré le premier février 2014 pour se terminer le 21 mai 2015.

D’un point de vue théorique, l’idéal consisterait à réaliser 12,5 interviews par groupe (cf. Section 2.1.3) et par trimestre. En effet, 50 interviews (12,5 x 4 trimestres, soit l’entièreté du groupe) seraient ainsi réalisées sur une période d’un an. La suite du processus est dès lors relativement simple: le nombre d’individus acti-

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vés (c’est-à-dire invités à participer à l’enquête) par trimestre a été fixé de manière à respecter le nombre de 12,5 individus par groupe et par trimestre.

Cependant, étant donné qu’à la fin du mois d’avril 2014, le nombre prévu d’interviews à réaliser n’avait pas été atteint, il a été décidé d’activer un nombre plus important d’individus chaque trimestre. Seize individus par groupe ont, par conséquent, été activés au cours des trimestres suivants.

En février 2015, seules 2594 personnes – soit 71 % de l’objectif à atteindre – avaient été interrogées. Le travail de terrain a, par conséquent, été prolongé pendant un cinquième trimestre. La prolongation du travail de terrain en 2015 a également permis d’augmenter le nombre d’interviews réalisées en hiver, cette saison ayant été sous-représentée en 2014 en termes de nombre d’interviews. En outre, afin de s’assurer d’atteindre l’objectif de 3200 personnes, les enquêteurs ont été contactés chaque semaine afin d’obtenir un feed-back concernant le nombre d’interviews effectuées.

Contact des individus sélectionnésAu début de chaque trimestre, une lettre d’invitation et un dépliant d’information ont été envoyés aux personnes sélectionnées. Ce dépliant présentait brièvement les objectifs de l’étude et son organisation. Il décrivait également l’implication en temps de la participation à l’étude et précisait le caractère anonyme des données collectées. Lorsque le dépliant et le courrier d’introduction étaient envoyés aux personnes sélectionnées, la liste des noms, adresses et numéros de téléphone des individus concernés était envoyée aux enquêteurs. Ces derniers pouvaient alors prendre contact avec les personnes échantillonnées, par téléphone, par courrier ou directement via une visite à domicile afin de fixer un rendez-vous.

Les enquêteurs ont été invités à essayer de contacter la personne sélectionnée au moins cinq fois au cours de la période de deux semaines suivant la réception de la liste d’adresses. Si après ce nombre minimal de tentatives (à différents jours et heures), l’enquêteur était convaincu qu’il n’était plus nécessaire d’insister, la personne en question était considérée comme « non-joignable ». Lorsque l’enquêteur envisageait la possi-bilité d’un contact futur, il bénéficiait encore d’un mois pour essayer de contacter l’individu. Sans résultats, l’individu était définitivement considéré comme « non-joignable » et encodé comme tel.

Dans la plupart des cas, l’enquêteur a réussi à contacter la personne sélectionnée. L’enquêteur essayait alors de convaincre celle-ci de l’importance de l’enquête et de sa participation. Si la personne contactée refusait de participer ou était considérée comme non-éligible (parce qu’elle vivait en institution ou ne parlait ni français ni néerlandais, par exemple), l’enquêteur enregistrait la raison de la non-participation de l’individu dans un formulaire. Le cas – relativement rare – où une personne acceptait de participer à la première interview mais se rétractait ensuite pour la seconde a aussi été reporté dans ce formulaire.

En cas de refus de participation de la part de la personne sélectionnée, un individu de substitution du même cluster était alors immédiatement activé et le processus de contact reprenait à son point de départ. A l’inverse, si la personne acceptait de participer, l’enquêteur programmait un rendez-vous avec cette der-nière, réalisait les différentes interviews, notait à l’intention du WIV-ISP si tous les questionnaires avaient été remplis et si ce n’était pas le cas, quelle en était la raison.

2.3.2. Déroulement des interviews

Outre la répartition par trimestre permettant de tenir compte des fluctuations saisonnières, les interviews menées dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire ont également été étalées sur les diffé-rents jours de la semaine afin de considérer les fluctuations journalières des habitudes de consommation. Il a été demandé aux enquêteurs de répartir eux-mêmes leurs interviews sur les différents jours de la semaine, week-end y compris.

Pour chaque personne acceptant de participer à l’enquête de consommation alimentaire, deux interviews ont été réalisées. Pour les enfants (de 3 à 9 ans), un parent ou responsable légal a été utilisé comme proxy. Ce proxy ne remplace pas la personne sélectionnée mais répond au nom de celle-ci. Les Figures 2 à 4 illustrent le déroulement des interviews, respectivement pour les enfants, les adolescents et les adultes.

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Première visitePour les adultes et adolescents, la première visite à domicile de l’enquêteur comprenait le premier rap-pel de consommation alimentaire de 24 heures réalisé avec le logiciel GloboDiet. Pour les enfants, il a été demandé au parent ou responsable de tenir un journal de bord reprenant les aliments et boissons consommés durant deux jours non-consécutifs : ces journaux de bord ont ensuite été utilisés pour réaliser les deux rappels de 24 heures (l’un par téléphone dans l’intervalle entre les deux visites et le second lors de la deuxième visite).

Lors de la première interview, l’enquêteur a également complété, avec le répondant ou son proxy :

• le questionnaire général reprenant les informations sociodémographiques, concernant le mode de vie et les habitudes alimentaires ;

• les questions concernant la sécurité alimentaire (pour les enfants uniquement) ;

• les questions d’auto-évaluation de l’activité physique (pour les enfants et les adolescents).

Ces données ont été collectées au moyen d’une technique d’interview assistée par ordinateur (CAPI).

A l’issue de la première interview, les questionnaires « papier » de fréquence de consommation alimentaire (« Food frequency questionnaire », FFQ) et de santé ont été remis aux participants en leur demandant de les compléter pour la seconde interview. Les accéléromètres et les journaux de bord ont également été remis aux enfants et adolescents.

Figure 2 | Déroulement des interviews pour les enfants (de 3 à 9 ans), Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique

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Figure 3 | Déroulement des interviews pour les adolescents (de 10 à 17 ans), Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique

Figure 4 | Déroulement des interviews pour les adultes (18 à 64 ans), Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique

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Deuxième visiteLa seconde visite à domicile de l’enquêteur a eu lieu de une à quatre semaines après la première, de préfé-rence un autre jour de la semaine. Lors de cette seconde interview, le deuxième rappel de consommation alimentaire de 24 heures a été effectué, pour les adultes et adolescents. Pour les enfants, ce rappel a été réalisé à l’aide d’un parent ou responsable de l’enfant en s’appuyant sur les informations reportées dans le second journal de bord.

La taille, le poids et le tour de taille des participants ont été mesurés par l’enquêteur et directement intro-duits dans le système CAPI.

Pour les adolescents et les adultes, le questionnaire concernant la sécurité alimentaire a été complété, lors de cette seconde interview, au moyen du système CAPI. Pour les adultes spécifiquement, le questionnaire d’auto-évaluation de l’activité physique faisait également partie de la seconde interview.

Les deux questionnaires complétés par écrit ont finalement été repris par l’enquêteur à la fin de la visite  ; celui-ci a vérifié que le questionnaire de fréquence alimentaire avait été correctement complété, tandis que le questionnaire « santé » a été rendu sous enveloppe fermée par le participant, en raison du caractère confidentiel de ces questions.

2.3.3. Enquêteurs

La mission principale des enquêteurs consiste à obtenir deux rappels de consommation alimentaire de 24 heures non-consécutifs. Ceux-ci doivent également collecter d’autres types de données, telles que des données sociodémographiques, liées au style de vie ou à l’activité physique du participant.

Les enquêteurs doivent éviter, dans la mesure du possible, d’interpréter personnellement certaines ques-tions ou réponses ; ils doivent donc être neutres vis-à-vis du répondant et de ses réponses. Il est également nécessaire que les procédures utilisées par les enquêteurs soient objectives et standardisées.

A côté de cette activité de collecte des données, l’enquêteur est également responsable de la prise de contact avec les participants et de la transmission des données collectées à l’équipe du WIV-ISP.

Recrutement des enquêteurs

Dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire, il était primordial que les enquêteurs disposent de connaissances suffisantes en matière d’alimentation afin de pouvoir interpréter correctement les réponses fournies par les participants lors des rappels de consommation alimentaire de 24 heures. Seules des personnes diplômées en diététique et ayant un statut indépendant (ou éventuellement indépendant complémentaire) ont, par conséquent, été sélectionnées comme interviewers.

Des compétences sociales et informatiques étaient également requises : d’une part, l’établissement de contacts de qualité avec les participants était essentiel pour que ces derniers acceptent de participer ; d’autre part, l’encodage et le transfert des données nécessitaient de disposer de compétences informa-tiques. Les enquêteurs sélectionnés devaient finalement être disponibles en soirée et durant les week-ends pour la réalisation des interviews, ainsi qu’être répartis au niveau géographique sur les différentes communes échantillonnées.

Afin de recruter de tels profils, un appel a été lancé en 2013 aux diététiciens enregistrés par l’INAMI (Institut national d’assurance maladie-invalidité) et habitant dans les communes sélectionnées ou, dans certains cas, dans les communes limitrophes. Les associations professionnelles des diététiciens (la « Vlaamse Beroepsvereniging van Voedingsdeskundigen en Diëtisten » – VBVD – et l’Union Professionnelle des Diplômés en Diététique de Langue Française – UPDLF) ont également lancé, de leur côté, un appel à leurs membres. L’objectif était de recruter un diététicien par commune sélectionnée. Au cours du travail de terrain, cette phase de recrutement a dû être mise en œuvre à plusieurs reprises afin de remplacer les enquêteurs qui n’étaient plus disponibles.

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Formation des enquêteursTous les enquêteurs ont suivi une session de formation obligatoire de trois jours. Celle-ci visait, en subs-tance, à garantir une standardisation maximale des questions posées aux répondants et, par conséquent, des données collectées.

Durant le premier jour de formation, les procédures relatives à la prise de contact avec les personnes sélec-tionnées, aux enquêtes proprement dites, à l’utilisation des accéléromètres et aux mesures anthropomé-triques (taille, poids, tour de taille) ont été exposées aux enquêteurs.

Deux jours de formation ont ensuite été consacrés à l’apprentissage du programme CAPI et du logiciel GloboDiet® utilisé pour la réalisation des rappels de consommation alimentaire de 24 heures. La réalisation d’interviews-tests, suivies d’un feed-back individuel, faisait partie intégrante de cette formation.

Lors de la formation, chaque enquêteur s’est vu remettre deux manuels.

• Après explication des objectifs de l’enquête, le premier manuel fournit des instructions détaillées sur la façon de contacter les individus à interroger. Il intègre également une description détaillée du contenu des différents questionnaires, la procédure à suivre pour réaliser les mesures anthro-pométriques, le manuel d’utilisateur du programme CAPI, des accéléromètres et du programme Actilife 6® servant à télécharger les données enregistrées par les accéléromètres.

• Le second manuel détaille l’utilisation du logiciel GloboDiet ; il a été développé par l’Université de Gand (UGent) sur base du manuel original créé par l’IARC.

Au cours du travail de terrain, l’enquêteur a pu bénéficier d’un soutien lorsque cela s’avérait nécessaire, par exemple pour des aspects liés au contenu des questionnaires ou au fonctionnement des programmes informatiques. Un feed-back individuel concernant la qualité des rappels de consommation alimentaire de 24 heures réalisés a également été donné à chaque enquêteur de manière régulière. Les enquêteurs étaient aussi contactés si les interviews CAPI effectuées étaient incohérentes ou incorrectes.

En outre, plusieurs bulletins d’information ont été envoyés aux enquêteurs au cours de l’enquête. Les enquêteurs ont ainsi été informés de l’état d’avancement de l’enquête. Les éventuels problèmes liés à l’utilisation du logiciel GloboDiet (les erreurs les plus souvent commises, par exemple), de même que les mises à jour des logiciels utilisés, y ont aussi été expliqués.

Suivi du travail de terrainLe suivi régulier du travail de terrain est indispensable afin de s’assurer de la qualité de l’enquête. Il garan-tit, d’une part, que les objectifs (à savoir la collecte de données concernant 3200 individus) soient réalisés et, d’autre part, que les enquêtes soient menées conformément à la procédure définie. Lors de l’enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, le suivi du travail de terrain a été réalisé à l’aide du programme Nutris (Nutrition Information System) développé par le WIV-ISP; celui-ci permet de contrôler jour après jour le progrès des interviews, d’identifier rapidement les enquêteurs pour lesquels le travail de terrain stagne ou progresse trop lentement et d’évaluer le taux de participation à l’enquête.

Le progrès du travail de terrain a également été suivi grâce à un relevé hebdomadaire de l’eHealthBox, la boîte aux lettres électronique via laquelle les fichiers électroniques étaient envoyés au WIV-ISP. De cette manière, les problèmes éventuels rencontrés par les enquêteurs concernant les ordinateurs ou les pro-grammes utilisés pouvaient être détectés.

De plus, au cours de la phase de collecte des données, l’équipe du WIV-ISP a régulièrement contacté les diététiciens afin d’obtenir un feed-back quant au déroulement des interviews, de les écouter et d’éven-tuellement intervenir pour les aider dans leur travail (par le renvoi de lettres d’invitation aux personnes sélectionnées, par exemple). Des « jours de retour » ont également été organisés à quatre reprises afin de pouvoir interagir directement avec les diététiciens et adapter les directives selon les problèmes rencontrés. Ces jours étaient également l’occasion pour les diététiciens de se rencontrer et de s’échanger des conseils (sur la prise de contact avec les participants, par exemple).

Enfin, après réception des données d’interview, un formulaire d’évaluation (avec enveloppe de renvoi port payé) a été envoyé à tous les individus ayant participé à l’enquête (en même temps qu’un chèque-cadeau de dix euros). Celui-ci avait pour objectif de déterminer si l’individu avait effectivement été contacté et

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interrogé dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire. Il visait également à évaluer la qualité des contacts et interactions entre l’enquêteur et la personne interrogée.

2.4. GESTION ET CONTRÔLE DES DONNÉES

2.4.1. Bases de données

Suite au travail de terrain, six bases de données – correspondant globalement aux différents question-naires – ont été générées.

• La base de données CAPI a été constituée au moyen du programme Blaise® ; elle reprend les infor-mations collectées à partir des interviews assistées par ordinateur (CAPI).

• La base de données FFQ (« food frequency questionnaire ») est un fichier Access créé suite au scan-ning et à la reconnaissance optique de tous les questionnaires papier de fréquence de consom-mation alimentaire.

• La base de données HQ (« health questionnaire ») a été créée à partir de l’encodage manuel3 de tous les questionnaires papier sur la santé.

• La base de données Accéléromètre a été générée par le programme Meterplus® ; celle-ci inclut les informations enregistrées par les accéléromètres portés par les enfants et les adolescents.

• La base de données Logbook provient de l’encodage manuel, grâce au programme Blaise®, des journaux de bord se référant à l’utilisation des accéléromètres.

• La base de données GloboDiet a été générée par le logiciel GloboDiet® et reprend l’ensemble des informations collectées lors des deux rappels de consommation alimentaire de 24 heures. Cette base de données a ensuite été couplée, par des experts en diététique, avec les tables de composition alimentaires Nubel4 (Belgique) et Nevo (Pays-Bas) afin de générer une nouvelle base de données, comprenant les quantités de macro- (tels que les protéines et les glucides) et micro-nutriments (le calcium, par exemple) contenues dans les aliments consommés.

2.4.2. Contrôle « vertical » des données

Ces différentes bases de données ont été importées dans le logiciel SAS 9.3 afin de réaliser un contrôle « vertical » des données ; ce contrôle a été effectué pour chaque base de données séparément. Le contrôle « vertical » des données a pour principal objectif de vérifier l’exactitude des numéros d’identification attri-bués aux personnes interrogées. Il est, par exemple, possible que ce numéro soit incorrect en raison d’er-reurs d’encodage. Il est indispensable de contrôler et de corriger ces données afin de pouvoir relier les différentes bases de données entre elles et d’assurer ainsi la qualité des analyses qui suivront.

D’un point de vue pratique, le contrôle « vertical » de chaque base de données a nécessité de vérifier que :

• tous les numéros d’identification présents dans la base de données soient bien présents dans le fichier rassemblant les individus faisant partie de l’échantillon et ayant été effectivement interrogés ;la base de données ne comporte pas de doublons, c’est-à-dire des identifiants présents deux fois ou plus dans une même base de données ;

• tous les numéros d’identification soient cohérents, au regard de la manière dont ils ont été définis5.

Pour les identifiants ne respectant pas ces trois conditions, des recherches ont été menées afin d’identifier l’erreur, de la corriger et de générer une base de données « nettoyée ».

3 Grâce à un programme développé en Blaise®.4 Nubel est une banque de données fournissant la composition (quantité de nutriments) de plus de 3600 produits alimen-

taires courants disponibles en Belgique. Nevo est la banque de données équivalente aux Pays-Bas.5 Chaque identifiant est composé de huit chiffres ; chacun de ces chiffres possède une signification (par exemple, la catégo-

rie d’âge et de genre) et se situe dans une gamme définie (par exemple, entre 1 et 10).

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2.4.3. Contrôle de la base de données GloboDiet

En plus du contrôle vertical décrit ci-dessus, la base de données GloboDiet a nécessité une procédure de contrôle spécifique. Cette procédure s’est échelonnée en plusieurs étapes. Les premières étapes de cor-rection ont impliqué de passer en revue les notes générées automatiquement par le logiciel GloboDiet® ou encodées manuellement par les enquêteurs. Il s’agissait, par exemple, de préciser certaines quanti-tés qui n’avaient pas été encodées, de donner certaines précisions sur un aliment consommé, de vérifier l’exactitude d’une nouvelle recette, de nouveaux aliments ou suppléments enregistrés dans le logiciel. Les erreurs d’encodage ont également été corrigées. Chaque correction réalisée a été codifiée et décrite dans un fichier Excel afin d’en garder la trace.

En février 2015, une nouvelle version du logiciel GloboDiet® a été mise à disposition du WIV-ISP par l’IARC ; celle-ci intégrait de nouveaux aliments et suppléments, ainsi que de nouvelles recettes. L’ensemble des données qui avaient été collectées avec la première version de GloboDiet® ont été transférées dans la nou-velle version du logiciel. Ceci a nécessité d’adapter les aliments/suppléments correspondant aux aliments/suppléments nouvellement ajoutés dans le logiciel. Cette phase de correction a également inclus une vérification des numéros d’interviews (premier ou second rappel de 24 heures).

Dans l’étape de correction suivante, les éléments spécifiques suivants ont été vérifiés :

• l’encodage du volume de certains aliments ;

• les aliments en poudre (soupe, par exemple) devant être dilués dans un liquide ;

• l’utilisation de produits crus dans les recettes cuites;

• la quantité des aliments congelés.

La cohérence des marques mentionnées a également été contrôlée afin de faciliter le traitement ultérieur de ces données. Un contrôle de qualité concernant les suppléments alimentaires enregistrés a aussi été réalisé : il s’agissait notamment de préciser certains suppléments n’ayant pas été spécifiés par l’enquêteur, de contrôler les nouveaux suppléments alimentaires ajoutés dans le logiciel par les enquêteurs ou de vérifier l’encodage de certains volumes (dosage en cuillères à café, gouttes, sachets). Pour chaque parti-cipant, la durée de l’intervalle entre deux rappels a finalement été contrôlée afin de ne conserver que les personnes dont les deux interviews n’étaient pas consécutives.

Le logiciel GloboDiet® permet d’enregistrer le type et la quantité d’aliments et de suppléments alimen-taires consommés par un individu, tout en donnant un grand nombre d’informations qualitatives sur les produits sélectionnés (la méthode de cuisson ou le mode de conservation, par exemple). Ce logiciel ne fournit cependant pas les apports énergétiques et nutritionnels (protéines, lipides, etc.) correspondant aux aliments consommés. Afin d’obtenir de tels résultats, les données issues du logiciel GloboDiet® ont été cou-plées à posteriori avec une ou plusieurs tables de composition des aliments. Dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015, les tables de composition Nubel (Belgique) et Nevo (Pays-Bas) ont été utilisées conjointement. Pour les suppléments alimentaires, plus particulièrement, la base de données GloboDiet a été couplée avec une base de données créée sur base des différents compléments alimen-taires consommés par la population belge.

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En parallèle à cette phase de couplage, les aliments consommés par les participants ont été codifiés selon la classification FoodEx2 développée par l’EFSA. Sur base du système FoodEx2, les aliments sont classifiés et décrits de manière standardisée (23). Ce système fournit une identification unique et internationale des aliments. L’utilisation d’un tel système de classification vise à produire des rapports harmonisés – au niveau européen – sur les données de consommation alimentaire et la présence de contaminants dans les aliments (23).

2.4.4. Fusion des bases de données

Suite à une première correction des six bases de données, celles-ci ont été fusionnées afin de constituer une unique base de données finale reprenant l’ensemble des informations relatives aux personnes interro-gées. Cette procédure de fusion a mis en évidence de nouvelles erreurs concernant l’identification des indi-vidus : certains identifiants se trouvaient, par exemple, dans une base de données mais pas dans l’autre, rendant ainsi problématique la fusion de celles-ci.

Un contrôle de qualité a également été réalisé afin de vérifier, pour chaque individu, la cohérence des variables de contexte (âge et genre, essentiellement) et des réponses apportées aux différents ques-tionnaires (si c’est un enfant, a-t-il bien répondu aux questionnaires destinés aux enfants ?). A nouveau, des recherches ont été menées afin d’identifier les erreurs et d’apporter les corrections nécessaires. Les réponses incohérentes, ne pouvant pas être corrigées, ont été considérées comme manquantes.

Cette base de données finale a été utilisée comme source pour l’ensemble des analyses ultérieures. Pour chaque module, c’est-à-dire pour chaque thématique d’analyse, les informations et données nécessaires aux analyses ont été extraites de cette base de données. En amont des analyses proprement dites, ces sous-ensembles de données ont été soumis à un nouveau contrôle de qualité concernant la cohérence interne des données au sein de chaque module. Lors de l’identification de valeurs aberrantes ou d’inco-hérences, des recherches ont été menées afin d’en trouver l’origine. S’il n’était pas possible de corriger le problème, les données problématiques ont été considérées comme « manquantes ».

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3. PARTICIPATION

La participation à l’enquête de consommation alimentaire n’est pas obligatoire ; les personnes contactées sont donc susceptibles de refuser de participer. Le statut de chaque personne invitée à participer à l’en-quête (refus, non-joignable, non-éligible, participante) a été consigné par les enquêteurs.

Afin d’atteindre l’objectif de 3200 personnes interrogées, 9196 individus ont été invités à participer à l’en-quête. Parmi ceux-ci, la répartition suivante est observée (Tableau 2) :

• 7233 ont pu être contactés et étaient éligibles ;

• 1319 n’ont pas pu être contactés ;

• 644 ont pu être contactés mais étaient non-éligibles.

Les personnes contactées peuvent être considérées comme non-éligibles pour diverses raisons : lorsque l’adresse mentionnée était introuvable, lorsque la personne ne résidait pas à l’adresse mentionnée ou lorsque celle-ci ne répondait pas aux critères de sélection (si elle appartenait à une communauté monas-tique ou résidait dans une institution psychiatrique, par exemple).

Tableau 2 | Statut des personnes invitées à participer à l’Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique

Statut Nombre de personnes

Non-éligibles 644

Non-joignables 1319

Eligibles 7233

Refus de participer 3772

Participants 3461

Participants complets* 3122

Participants partiels** 339

TOTAL Invités à participer 9196

* Personnes ayant effectué les deux rappels de consommation alimentaire et les deux interviews CAPI.

** Personnes ayant répondu à au moins l’un des questionnaires de l’enquête.

Le taux de participation a été calculé, suivant les recommandations de l’EFSA, comme étant le rapport entre le nombre d’individus participants et la somme des individus éligibles et non-joignables  (6). Pour l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015, ce taux de participation s’élève à 37 %.

Lors de l’enquête de 2004, le taux de coopération avait été calculé ; celui-ci correspond au rapport entre le nombre d’individus participants et le nombre de personnes éligibles (6). Entre 2004 et 2014, le taux de coopération est resté stable : il était de 42 % en 2004 et de 43 % en 2014.

Le taux de contact a également été calculé ; il s’agit ici du rapport entre le nombre de personnes éligibles et la somme des individus éligibles et non-joignables. En 2014, le taux de contact s’élève à  85 %, ce qui signifie qu’une grande partie des personnes sélectionnées ont pu être contactées par les enquêteurs.

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4. COMPOSITION DE LA POPULATION D’ÉTUDE

4.1. COMPOSITION PAR PROVINCE

L’objectif fixé était d’interroger 3200 individus, répartis dans les onze provinces belges (incluant la Région de Bruxelles-Capitale) en différentes strates d’âge et de genre. Le Tableau 3 illustre la distribution géogra-phique des personnes interrogées, en comparaison à la répartition observée dans la population belge de référence.

Pour chaque province, l’objectif était d’interviewer un nombre d’individus proportionnel à la taille de la population de la province considérée. En raison de taux de participation variant d’une province à l’autre, des différences existent entre la répartition par province dans l’échantillon et celle observée dans la popu-lation belge. Ces différences sont relativement faibles puisqu’elles ne dépassent pas 3 %. Celles-ci ont, en outre, été prises en compte dans le calcul des facteurs de pondération (cf. Section 5.1) afin de rétablir la représentativité de l’échantillon par province en fonction de la composition réelle de la population belge.

Tableau 3 | Distribution de la population d’étude par province, Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique

Provinces Individus dans la population belge* (n)

Individus dans la population belge (%) Interviews (n) Interviews (% de

l’échantillon)

Anvers 1408243 16,0 542 16,4

Brabant Flamand 867709 9,9 317 9,6

Limbourg 675710 7,7 264 8,0

Flandre Orientale 1144733 13,0 389 11,8

Flandre Occidentale 884136 10,1 372 11,3

Brabant Wallon 310801 3,5 102 3,1

Hainaut 1056155 12,0 370 11,2

Liège 863124 9,8 398 12,1

Luxembourg 222645 2,5 93 2,8

Namur 385829 4,4 190 5,8

Bruxelles-Capitale 955125 10,9 260 7,9

Total (Belgique) 8774210 100 3297 100

*Population belge de 3 à 64 ans au 01/01/2014.

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4.2. COMPOSITION SELON L’ÂGE ET LE SEXE

Comme mentionné précédemment, l’échantillon a été stratifié par âge (cinq groupes d’âge) et par genre. L’objectif initial était d’interroger :

• 250 filles et 250 garçons âgés de 3 à 5 ans ;

• 250 filles et 250 garçons âgés de 6 à 9 ans ;

• 500 filles et 500 garçons âgés de 10 à 17 ans ;

• 300 femmes et 300 hommes âgés de 18 à 39 ans ;

• 300 femmes et 300 hommes âgés de 40 à 64 ans.

Globalement, ces différents objectifs ont été atteints (Tableau 4). Toutefois, cette répartition a nécessité de réaliser un sur-échantillonnage de certaines strates en comparaison à la population belge de référence. De même que pour la répartition géographique, ces différences ont été prises en compte dans le calcul des facteurs de pondération de manière à rétablir la représentativité de notre échantillon (cf. Section 5.1).

Tableau 4 | Distribution de la population d’étude selon l’âge et le sexe, Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique

Groupes d’âge et de sexeIndividus dans la population

belge (n)*

Individus dans la population

belge (%)Objectif Interviews (n) Interviews (%

de l’échantillon)

3-5 ans Garçons 202293 2,3 250 243 7,4

Filles 192824 2,2 250 245 7,4

6-9 ans Garçons 259483 3,0 250 305 9,3

Filles 247835 2,8 250 270 8,2

10-17 ans Garçons 502281 5,7 500 470 14,3

Filles 481561 5,5 500 494 15,0

18-39 ans Hommes 1559945 17,8 300 317 9,6

Femmes 1545022 17,6 300 326 9,9

40-64 ans Hommes 1897341 21,6 300 298 9,0

Femmes 1885625 21,5 300 329 10,0

Total Hommes 4421343 50,4 1600 1633 49,5

Femmes 4352867 49,6 1600 1664 50,5

* Population belge de 3 à 64 ans au 01/01/2014.

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4.3. COMPOSITION SELON LE NIVEAU D’ÉDUCATION

Le niveau d’éducation est un indicateur reflétant le niveau socio-économique des individus interrogés. Cet indicateur est calculé à l’échelle du ménage et tient compte du diplôme le plus élevé entre : (i) la personne interrogée et son/sa partenaire pour les adultes (de 18 à 64 ans) ; et (ii) le père et la mère (ou éventuelle-ment, le responsable) pour les enfants et adolescents (de 3 à 17 ans). Les différents niveaux d’éducation détenus par les répondants ont été agrégés en trois catégories :

• Sans diplôme, primaire ou secondaire : cette catégorie regroupe les personnes sans diplôme, celles ayant un diplôme du primaire et celles ayant un diplôme du secondaire (secondaires infé-rieures, secondaires supérieures et post-secondaire) ;

• Supérieur de type court : cette catégorie inclut les personnes diplômées de l’enseignement non-universitaire de type court et celles détenant un bachelier académique ;

• Supérieur de type long : cette troisième catégorie reprend les personnes ayant un diplôme de l’enseignement non-universitaire de type long, celles détenant un master ou équivalent et celles ayant un doctorat.

Le niveau d’éducation est connu pour la majorité des participants ; celui-ci n’a cependant pas pu être calculé pour 38 participants en raison de données manquantes. En outre, 16 participants détiennent un niveau d’éducation classifié comme « autre », c’est-à-dire n’ayant pas pu être rattaché avec certitude aux niveaux d’éducation considérés. Pour les participants dont le niveau d’éducation a pu être calculé, la répar-tition suivant le niveau d’éducation est la suivante (Tableau 5) :

• 41,3 % des participants possèdent le niveau d’éducation le plus faible (absence de diplôme, diplôme de primaire ou de secondaire) ;

• 29,4 % sont diplômées de l’enseignement supérieur de type court ;

• 29,4 % de l’enseignement supérieur de type long.

Tableau 5 | Distribution de la population d’étude selon le niveau d’éducation, Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique

Niveau d’éducationFlandres Bruxelles Wallonie Echantillon total

Nombre % Nombre % Nombre % Nombre %

Sans diplôme, primaire ou secondaire 717 38,5 78 31,3 544 48,1 1339 41,3

Supérieur de type court 564 30,3 53 21,3 335 29,6 952 29,4

Supérieur de type long 582 31,2 118 47,4 252 22,3 952 29,4

Total 1863 100 249 100 1131 100 3243 100

Résultats non pondérés.

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4.4. COMPOSITION SELON LA TAILLE ET LE TYPE DE MÉNAGE

La majorité des personnes interrogées (64,9 %) appartiennent à des ménages de quatre membres ou plus. La distribution des ménages selon leur taille est relativement similaire en Flandre, en Wallonie et à Bruxelles, avec une majorité de ménages (entre 56,8 et 70,0 %) de quatre personnes ou plus (Tableau 6).

Tableau 6 | Distribution de la population d’étude selon la taille du ménage, Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique

Taille du ménageFlandres Bruxelles Wallonie Echantillon total

Nombre % Nombre % Nombre % Nombre %

Une personne 70 3,7 20 7,7 55 4,8 145 4,4

Deux personnes 224 11,9 45 17,4 147 12,8 416 12,6

Trois personnes 328 17,4 47 18,2 220 19,1 595 18,1

Quatre et plus 1262 70,0 147 56,8 731 63,4 2140 64,9

Total 1884 100 259* 100 1153 100 3296 100

Résultats non pondérés.

*La taille du ménage n’a pas pu être calculée pour un individu résidant à Bruxelles (valeur manquante).

En termes de composition de ménage, la plupart des répondants (64,2 %) appartiennent à un ménage de type « couple avec enfant(s) », tandis que 10,5 % des répondants sont issus d’une famille monoparentale, 8,5 % appartiennent à un ménage de type « couple sans enfants » et 4,4 % sont des personnes célibataires. Enfin, 12,4 % des participants à l’enquête font partie d’un autre type de ménage que ceux mentionnés ci-avant (par exemple, un ménage intergénérationnel) (Tableau 7).

Tableau 7 | Distribution de la population d’étude selon le type de ménage, Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique

Type de ménageFlandres Bruxelles Wallonie Echantillon total

Nombre % Nombre % Nombre % Nombre %

Célibataire 70 3,7 20 7,8 55 4,8 145 4,4

Famille monoparentale 163 8,6 45 17,4 139 12,1 347 10,5

Couple sans enfants 174 9,2 21 8,1 83 7,2 278 8,4

Couple avec enfant(s) 1274 67,6 152 58,9 690 59,9 2116 64,2

Autre 203 10,7 20 7,8 185 16,1 408 12,4

Total 1884 100 258* 100 1152* 100 3294 100

Résultats non pondérés.

* Le type de ménage n’a pas pu être défini pour un individu résidant en Wallonie et deux individus résidant à Bruxelles (valeurs

manquantes).

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4.5. COMPOSITION SELON LA NATIONALITÉ

Dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire belge 2014-2015, 92,9 % de la population d’étude est de nationalité belge. Près de 5 % des participants sont des ressortissants de l’Union européenne tandis que seulement 2,3 % possèdent une nationalité non-européenne. Une répartition relativement similaire est observée en Wallonie et en Flandre. A Bruxelles, la proportion de participants n’ayant pas la nationalité belge est la plus élevée, avec 29,6 % des individus ayant une autre nationalité (Tableau 8).

La distribution observée dans l’échantillon de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 est rela-tivement similaire à celle observée à l’échelle de la Belgique. En effet, en 2015, 88,8 % de la population résidant en Belgique est de nationalité belge, tandis que 7,6 % de la population possède une nationalité européenne (Union européenne) et 3,6 % détient une nationalité non-européenne (24).

Tableau 8 | Distribution de la population d’étude selon la nationalité, Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique

NationalitéFlandres Bruxelles Wallonie Echantillon total

Nombre % Nombre % Nombre % Nombre %

Belges 1787 94,9 183 70,4 1094 94,9 3064 92,9

Européens (EU) 68 3,6 58 22,3 33 2,9 159 4,8

Non-européens 29 1,5 19 7,3 26 2,2 74 2,3

Total 1884 100 260 100 1153 100 3297 100

Résultats non pondérés.

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5. PRESENTATION DES RÉSULTATS DE L’ENQUÊTE

5.1. COEFFICIENTS DE PONDÉRATION

Les résultats de l’enquête de consommation alimentaire ont été pondérés afin de représenter au mieux la population cible, à savoir la population belge âgée de 3 à 64 ans. L’utilisation de coefficients de pondéra-tion est nécessaire en raison du plan d’échantillonnage stratifié (stratification géographique, stratification par âge et par genre) adopté dans cette enquête. Contrairement à un échantillonnage aléatoire simple dans lequel chaque individu possède la même probabilité d’être sélectionné, un échantillonnage stratifié implique des probabilités de sélection différentes d’une strate à l’autre (Tableau 9). Ces différences rendent nécessaire l’utilisation de coefficients de pondération individuels afin d’obtenir des résultats représentatifs de la population belge, d’un point de vue géographique et démographique (âge et genre).

Tableau 9 | Nombre d’interviews et probabilités de sélection selon la province, Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique

Provinces Interviews (n) Interviews(% de l’échantillon)

Individus dans la population belge* (n)

Probabilités de sélection (x 1000)**

Anvers 542 16,4 1408243 0,38

Brabant flamand 317 9,6 867709 0,37

Limbourg 264 8,0 675710 0,39

Flandre Orientale 389 11,8 1144733 0,34

Flandre Occidentale 372 11,3 884136 0,42

Brabant wallon 102 3,1 310801 0,33

Hainaut 370 11,2 1056155 0,35

Liège 398 12,1 863124 0,46

Luxembourg 93 2,8 222645 0,42

Namur 190 5,8 385829 0,49

Bruxelles-Capitale 260 7,9 955125 0,27

Total (Belgique) 3297 100 8774210 0,38

* Population belge de 3 à 64 ans au 01/01/2014.

** Pour chaque province, la probabilité de sélection est le rapport entre le nombre d’interviews et la taille de la population de cette province.

Dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire, un coefficient de pondération a été calculé pour chaque individu. Le calcul de ces coefficients implique de tenir compte de la distribution de l’échantillon selon la province, le sexe et l’âge, de même que de la saison et du jour de la semaine au cours desquels les interviews ont été réalisées. La prise en compte de la saison et du jour de la semaine permet, en effet, d’éliminer l’influence des variations saisonnières et journalières.

Dans une première étape, l’inverse de la probabilité de sélection de l’individu, à savoir le rapport entre le nombre d’interviews dans chaque strate de province-âge-sexe et la taille de la population de cette strate6, a été calculé.

6 La population de référence utilisée est la population belge au 01/01/2014.

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Ce premier coefficient a ensuite été multiplié avec un second coefficient tenant compte de la réparti-tion journalière et saisonnière des interviews afin de fournir le coefficient de pondération individuel final. Le Tableau 10 décrit la distribution des coefficients de pondération individuels utilisés dans le cadre de l’enquête.

Tableau 10 | Moyenne, valeurs extrêmes et percentiles des coefficients de pondération individuels, Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015

Distribution Coefficients de pondération

Moyenne 1,00

Minimum-maximum 0,088-13,90

P25 0,26

Médiane 0,51

P75 1,35

5.2. PRÉSENTATION DES RÉSULTATS

Les résultats de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 sont présentés dans quatre rapports distincts :

• le premier rapport porte sur les habitudes alimentaires de la population, son statut nutritionnel (IMC, tour de taille, ratio tour de taille/taille) et l’avis des citoyens vis-à-vis des politiques nutrition-nelles ;

• le second rapport étudie le comportement, l’attitude et les connaissances de la population en matière de sécurité alimentaire ;

• le troisième rapport concerne l’activité physique et le comportement sédentaire de la population ;

• le quatrième rapport synthétise les résultats concernant la consommation d’aliments, de macro- et de micronutriments de la population.

Au sein de chacun de ces quatre rapports, l’analyse des données issues du travail de terrain et le calcul d’indicateurs sont réalisés par module, c’est-à-dire selon différentes thématiques de recherche bien spé-cifiques (par exemple, le lieu de consommation des repas ou la consommation de produits biologiques).

Dans chaque module, les résultats de l’enquête sont présentés selon une structure commune : ils sont tout d’abord décrits au niveau de la Belgique dans son ensemble, avant d’être présentés et comparés en fonction de différentes caractéristiques sociodémographiques : le sexe, l’âge, le niveau d’éducation et la région de résidence. Dans certains cas, les résultats sont aussi comparés en fonction de l’indice de masse corporelle (IMC).

StandardisationLes indicateurs sont exprimés sous forme de pourcentages (pour les indicateurs binaires et catégoriques) ou de moyennes (pour les indicateurs continus). Les pourcentages – ou taux – bruts correspondent à la proportion réelle de personnes appartenant à une certaine catégorie dans la population étudiée ; il s’agit de pourcentages pondérés. De même, la moyenne brute exprime la valeur moyenne pondérée de l’in-dicateur dans la population d’étude. Ces informations sont descriptives ; elles doivent être interprétées avec précaution lorsque l’on souhaite comparer différents sous-groupes de population (par exemple, les hommes et les femmes).

Afin de pouvoir comparer correctement plusieurs sous-groupes de la population (par exemple, en fonction de la localisation géographique), il est nécessaire d’éliminer l’effet potentiel de la distribution de la popula-tion par âge et/ou par sexe sur les résultats. Celui-ci pourrait, en effet, biaiser l’interprétation des résultats. A titre d’exemple, si la valeur moyenne d’un indicateur est plus élevée chez les personnes domiciliées

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en Wallonie que chez celles domiciliées en Flandre, cette différence peut être liée à une proportion plus élevée d’une certaine tranche d’âge ou d’un des deux sexes en Wallonie, et non pas à un effet direct de la région de résidence. Par conséquent, des taux standardisés ou des moyennes standardisées ont été cal-culés (au moyen de régressions linéaires incluant le sexe et l’âge comme covariables) afin de tenir compte des différences de distribution éventuelles par âge et par sexe entre les groupes étudiés.

Ces taux permettent de réaliser un premier examen rapide afin d’identifier les différences entre plu-sieurs sous-groupes de la population. Ces taux sont toujours calculés et présentés avec un intervalle de confiance. Ce dernier indique les bornes entre lesquelles le paramètre à estimer a une forte probabilité (95 %) de se trouver si l’on répète les estimations. Celui-ci donne donc un ordre de grandeur quant à la pré-cision du résultat. Lorsqu’il n’y a pas de chevauchement des intervalles de confiance entre deux groupes (les hommes et les femmes, par exemple), il est raisonnable de conclure que la différence entre ces deux groupes est significative ; lorsqu’il y a chevauchement, par contre, aucune conclusion ne peut être tirée et des analyses supplémentaires doivent être réalisées.

Tests de signification statistiqueLorsque les intervalles de confiance ne permettaient pas de tirer de conclusion quant aux différences entre sous-groupes, des tests de régression multivariée ont été réalisés (à l’aide du logiciel StataSE 14) afin de vérifier si une différence significative existait entre les différents sous-groupes étudiés.

Lorsque des différences significatives étaient identifiées, des explications détaillées ont été fournies dans le texte. L’« odd ratio » (OR) et son intervalle de confiance ont, en outre, été rapportés ; l’odd ratio corres-pond au rapport entre la cote d’un évènement (une maladie, par exemple) dans un groupe sur la cote de cet évènement dans un autre groupe. En absence de différence significative, la comparaison n’a pas, ou sommairement, été mentionnée dans le texte (« On n’observe pas de variation à ce sujet en fonction de la région de résidence », par exemple).

Présentation des résultats par catégoriePour chaque module, les résultats sont tout d’abord décrits selon le sexe. Ils sont également comparés en fonction de sept classes d’âge : 3-5 ans, 6-9 ans, 10-13 ans, 14-17 ans, 18-34 ans, 35-50 ans, 51-64 ans. Pour la plupart des indicateurs, une figure illustre la distribution par âge, séparément selon le sexe. De manière systématique, l’axe des ordonnées est associé au nom de l’indicateur concerné, suivi de la men-tion « Proportion » dans le cas d’un indicateur binaire ou catégorique ou de la mention « Moyenne » dans le cas d’un indicateur continu.

Les résultats sont ensuite présentés selon le niveau d’éducation le plus élevé du ménage dont font partie les répondants. Trois niveaux ont été explorés : « absence de diplôme, primaire ou secondaire  », « supé-rieur de type court » et « supérieur de type long » (cf. Section 4.3). Le niveau d’éducation est connu pour la majorité des participants ; des données manquantes sont néanmoins présentes pour une petite partie d’entre eux (cf. Section 4.3).

Une quatrième comparaison concerne la région dans laquelle sont domiciliés les répondants. A ce niveau, seules la Wallonie et la Flandre ont été comparées : en effet, l’effectif est assez restreint à Bruxelles, ce qui risquerait de fausser une éventuelle comparaison. Néanmoins, il est important de signaler que les per-sonnes résidant à Bruxelles ont été inclues dans toutes les autres comparaisons et résultats.

Enfin, dans la mesure du possible, une comparaison avec les résultats obtenus en 2004 est également réalisée. Il est important de noter ici qu’à partir de deux années seulement, une telle comparaison ne doit pas être interprétée comme une tendance évolutive au cours du temps. En outre, cette comparaison tient uniquement compte de la population âgée de 15 à 64 ans : en 2004, les enfants et les adolescents jusque 14 ans ne faisaient, en effet, pas partie de la population cible.

La comparaison par année, séparément selon la région, est également illustrée par le biais de graphiques. Le système de légende de l’axe des ordonnées est identique à celui présenté pour les figures selon l’âge et le sexe.

Cette structure générale a, dans certains cas, été adaptée : lorsque cela s’avérait pertinent, des analyses supplémentaires ont, en effet, été réalisées et décrites dans le texte. A titre d’exemple, certains indicateurs

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ont été présentés en fonction d’autres variables que celles faisant partie de la structure générale (en fonc-tion de l’indice de masse corporelle, par exemple).

TableauxChaque chapitre s’achève par la présentation des résultats sous forme de tableaux. En fonction des indi-cateurs, quatre types de tableaux résument les résultats obtenus par sexe, âge, niveau d’éducation, région de résidence et année d’enquête:

• Pour les variables catégoriques (faisant intervenir plus de deux catégories de réponse), les tableaux présentent les pourcentages bruts7.

• Pour les variables continues, deux tableaux sont produits : le premier reprend la moyenne brute et la moyenne standardisé, de même que les intervalles de confiance correspondant (à 95 %) et le deuxième présente la médiane et les quartiles.

• Pour les variables binaires, le tableau se focalise sur l’une des deux catégories de réponse (en fonc-tion de la pertinence du sujet) et présente le pourcentage but et le pourcentage standardisé, de même que les intervalles de confiance correspondant (95 %)

7 Les pourcentages ou moyennes bruts font référence aux pourcentages ou moyennes pondérés.

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(24) Statistics Belgium. Population par nationalité et par sexe 2015. 2015. SPF Economie. Direction générale Statistique. 13-10-2015.

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AUTEURS

Sarah BEL,Karin DE RIDDER,Thérésa LEBACQ,Cloë OST,Eveline TEPPERS

ACTIVITÉ PHYSIQUE ET SÉDENTARITÉ

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Remerciements

Ce travail n’aurait pas pu être réalisé sans la collaboration de nombreuses personnes. Nous tenons tout particu-lièrement à remercier :

Les participants et les enquêteurs pour leur participation à l’enquête ;

Loes Brocatus, Charlotte Stiévenart et Sofie Van den Abeele pour la préparation et l’organisation du travail de terrain, ainsi que pour leur contribution à la gestion des données collectées ;

Ledia Jani pour son travail organisationnel et logistique lors de l’enquête, de même que pour la mise en page de ce rapport ;

Sarah Bel, Koenraad Cuypers, Karin De Ridder, Thérésa Lebacq, Cloë Ost et Eveline Teppers pour le travail de gestion et d’analyse des données collectées ;

Koenraad Cuypers pour la coordination du projet.

Pour toute référence à ce chapitre, veuillez utiliser la citation suivante :

Bel S, De Ridder K, Lebacq T, Ost C, Teppers E. Activité physique et sédentarité. Dans : Bel S, De Ridder K, Lebacq T (éd.). Enquête de consommation alimentaire 2014-2015. Rapport 3. ISP-WIV, Bruxelles, 2016.

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TABLE DES MATIÈRES

Résumé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41

1. Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52

2. Instruments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 562.1. Accélérométrie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56

2.1.1. Accéléromètres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 562.1.2. Journaux de bord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 562.1.3. Echantillon. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 572.1.4. Indicateurs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58

2.2. Questionnaire d’auto-évaluation Toybox . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 582.2.1. Questions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 582.2.2. Indicateurs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61

2.3. Questionnaire d’auto-évaluation FPAQ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 632.3.1. Questions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 632.3.2. Indicateurs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66

2.4. Questionnaire d’auto-évaluation IPAQ. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 682.4.1. Questions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 682.4.2. Indicateurs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71

3. Activité physique et sédentarité chez les enfants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 743.1. Activité physique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74

3.1.1. Activités physiques de faible intensité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 743.1.2. Activités physiques d’intensité modérée à soutenue. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75

3.2. Recommandations en matière d’activité physique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 763.2.1. Enfants âgés de 3 à 5 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 763.2.2. Enfants âgés de 6 à 9 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76

3.3. Domaines d’activité physique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 763.3.1. Transport actif pour se rendre à l’école . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 773.3.2. Temps libre : jeux actifs à l’extérieur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 803.3.3. Durée totale des activités sédentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 823.3.4. Domaines d’activités sédentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 833.3.5. Recommandations concernant le temps passé devant des écrans. . . . . . . . . . . . . . . . . 89

4. Activité physique et sédentarité chez les adolescents . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 924.1. Activité physique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92

4.1.1. Activités physiques de faible intensité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 924.1.2. Activités physiques d’intensité modérée à soutenue. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93

4.2. Recommandations en matière d’activité physique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 944.3. Domaines d’activité physique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95

4.3.1. Transport actif pour se rendre à l’école . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 954.3.2. Temps libre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 964.3.3. École . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 100

4.4. Sédentarité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1024.4.1. Durée totale des activités sédentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102

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4.4.2. Domaines d’activités sédentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1034.4.3. Recommandations concernant le temps passé devant des écrans. . . . . . . . . . . . . . . . 110

5. Activité physique et sédentarité chez les adultes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1115.1. Activité physique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 111

5.1.1. Activités physiques d’intensité modérée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1115.1.2. Activités physiques d’intensité soutenue . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1115.1.3. Activités physiques d’intensité modérée à soutenue. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 112

5.2. Recommandations en matière d’activité physique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1135.2.1. Distribution selon la classification de l’OMS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1135.2.2. Niveau d’activité physique suffisant. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1145.2.3. Niveau d’activité physique ayant un impact positif sur la santé. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 115

5.3. Domaines d’activité physique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1155.3.1. Transport actif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1165.3.2. Temps libre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1185.3.3. Travail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1195.3.4. Tâches ménagères . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1225.3.5. Contribution des quatre domaines à l’activité physique totale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124

5.4. Sédentarité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1265.4.1. Durée passée en position assise en semaine. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1265.4.2. Durée passée en position assise le week-end . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1275.4.3. Durée passée en position assise (en semaine ou le week-end) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1275.4.4. Pourcentage de la population passant plus de huit heures par jour en position assise 1285.4.5. Durée passée en position assise dans un véhicule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1295.4.6. Durée totale passée en position assise (y compris dans un véhicule) . . . . . . . . . . . . . 129

6. Discussion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1316.1. Activité physique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 131

6.1.1. Activité physique totale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1316.1.2. Recommandations en matière d’activité physique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1326.1.3. Domaines d’activité physique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1346.1.4. Activité physique et indice de masse corporelle (IMC) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 140

6.2. Sédentarité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1406.2.1. Durée totale des activités sédentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1416.2.2. Description des activités sédentaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1436.2.3. Sédentarité et indice de masse corporelle (IMC) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145

6.3. Conclusion et implications en termes de santé publique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 146

7. Tableaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1497.1. Enfants (de 3 à 9 ans) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 159

7.1.1. Activité physique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1597.1.2. Sédentarité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 179

7.2. Adolescents (de 10 à 17 ans) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2137.2.1. Activité physique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2137.2.2. Sédentarité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 231

7.3. Adultes (de 18 à 64 ans). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 261

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7.3.1. Activité physique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2617.3.2. Sédentarité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 302

8. Bibliographie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 313

9. Annexes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 320

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RÉSUMÉ

Le manque d’activité physique constitue le quatrième facteur de risque de mortalité au niveau mondial. Chez les adultes, la pratique d’une activité physique régulière s’avère bénéfique car elle permet de réduire le risque de maladie cardio-vasculaire, de diabète, de cancer du sein et du côlon et de dépression. Chez les enfants et adolescents, le fait de pratiquer une activité physique régulière favorise le développement d’un appareil locomoteur et cardiovasculaire sain. Cela leur permet, en outre, d’apprendre à coordonner et contrôler leurs mouvements et de garder un poids adéquat.

Par ailleurs, indépendamment du niveau d’activité physique pratiqué, la sédentarité constitue également un facteur de risque en termes de santé ; celle-ci augmente, en effet, de 20 à 30 % le risque de mortalité.

En termes de santé publique, il s’avère dès lors important d’étudier le style de vie des individus en matière d’activité physique et de sédentarité. Dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015, des données concernant l’activité physique et le comportement sédentaire de la population belge ont, par conséquent, été recueillies en plus des données de consommation alimentaire.

Le présent rapport a pour objectif de décrire l’activité physique et le comportement sédentaire de la popu-lation belge. Trois catégories d’âge sont, plus particulièrement, analysées : les enfants âgés de 3 à 9 ans, les adolescents âgés de 10 à 17 ans et les adultes âgés de 18 à 64 ans. Pour chacune de ces catégories, ce rapport décrit le volume total d’activité physique, le pourcentage de la population rencontrant les recom-mandations en vigueur en matière d’activité physique, les différents domaines dans lesquels les activités physiques peuvent avoir lieu, ainsi que le comportement sédentaire de la population.

ENFANTS (DE 3 À 9 ANS)

Dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015, le niveau d’activité physique des enfants âgés de 3 à 9 ans a été mesuré au moyen d’accéléromètres. Le questionnaire d’auto-évaluation issu de l’étude ToyBox a, en outre, été utilisé afin d’analyser différents domaines d’activité physique, tels que les modes de transport utilisés pour se rendre à l’école ou la pratique de sport.

Activité physique totale

En Belgique, en 2014, les enfants réalisent, en moyenne, 4 heures et 46 minutes par jour d’activités phy-siques de faible intensité (comme jouer à l’intérieur, par exemple). Cette moyenne est plus élevée chez les garçons que chez les filles. Par ailleurs, les enfants les plus jeunes (de 3 à 5 ans) font, en moyenne, davan-tage d’activités physiques de faible intensité que les enfants âgés de 6 à 9 ans. Enfin, la pratique d’activités physiques de faible intensité est plus importante en été et au printemps qu’en automne ou en hiver.

En Belgique, en 2014, les enfants effectuent, en moyenne, 60 minutes par jour d’activités physiques d’in-tensité modérée à soutenue (comme la marche ou le basket, par exemple). Les garçons pratiquent davantage d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue que les filles. Cette moyenne est, en outre, plus élevée chez les enfants âgés de 6 à 9 ans que chez les plus jeunes, âgés de 3 à 5 ans. Une différence régionale a également été observée : les enfants résidant en Flandre consacrent davantage de temps à la pratique d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue que les enfants résidant en Wallonie. Par ailleurs, les enfants font davantage d’activités de ce type au printemps qu’en automne ou en hiver. Enfin, les enfants souffrant d’obésité passent, en moyenne, moins de temps à réaliser des activités physiques de ce niveau d’intensité.

Recommandations en matière d’activité physique

En Belgique, en 2014, 96 % des enfants âgés de 3 à 5 ans effectuent un minimum de trois heures d’activités physiques d’intensité faible, modérée ou soutenue chaque jour et rencontrent donc les recommandations propres à cette tranche d’âge.

Au sein de la catégorie d’âge 6-9 ans, 6 % des enfants effectuent chaque jour un minimum de 60 minutes d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue et rencontrent donc les recommandations de l’OMS en matière d’activité physique. Cette prévalence est plus élevée chez les garçons (11 %) que chez les filles (2 %). Celle-ci est également plus élevée chez les enfants dont les parents ont un niveau d’éducation rela-

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tivement faible (10 %) que chez les enfants dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur de type court (3 %).

La proportion nettement supérieure d’enfants âgés de 3 à 5 ans rencontrant les recommandations en matière d’activité physique (96 %), en comparaison aux enfants âgés de 6 à 9 ans (6 %) s’explique principa-lement par les différentes recommandations utilisées dans ces deux tranches d’âge. Chez les enfants âgés de 3 à 5 ans, toutes les formes d’activités physiques (y compris celles de faible intensité) sont considérées, c’est pourquoi ces derniers sont plus nombreux à atteindre la recommandation de trois heures d’activités physiques quotidiennes. Par contre, chez les enfants âgés de 6 à 9 ans, seules les activités physiques d’in-tensité modérée à soutenue sont inclues, ce qui explique le pourcentage inférieur d’enfants de cet âge effectuant au minimum une heure d’activités physiques d’un tel niveau d’intensité.

Par ailleurs, ces résultats se basent sur une interprétation stricte des recommandations à ce sujet : en effet, seuls les enfants ayant réalisé au minimum 180 minutes d’activités physiques d’intensité faible, modérée ou soutenue (pour les enfants âgés de 3 à 5 ans) ou 60 minutes d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue (pour les enfants âgés de 6 à 9 ans) chaque jour valide enregistré ont été considérés comme suffisamment actifs. Lorsque une interprétation plus « libérale » de cette recommandation est utilisée (c’est-à-dire en considérant les individus pratiquant en moyenne 60 minutes d’activités physiques d’in-tensité modérée à soutenue par jour), ce sont alors 46 % des enfants âgés de 6 à 9 ans qui satisfont aux recommandations de l’OMS.

Domaines d’activité physique

En Belgique, en 2014, 21 % des enfants utilisent exclusivement un mode de transport actif (marche et/ou vélo) pour se rendre à l’école. Plus globalement, ce sont 48 % des enfants qui utilisent un mode de trans-port actif, éventuellement en plus d’un mode de transport passif, pour se rendre à l’école. Les enfants âgés de 3 à 5 ans sont plus nombreux que les enfants âgés de 6 à 9 ans à se rendre à l’école à pied. Ce pourcen-tage est également plus élevé parmi les enfants dont les parents ont un niveau d’éducation relativement faible (absence de diplôme, diplôme de primaire ou de secondaire) que parmi ceux dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur.

L’utilisation d’un mode de transport actif pour se rendre à l’école est plus répandue en Flandre qu’en Wallonie. Cette différence s’explique essentiellement par une plus grande utilisation du vélo en Flandre où 36 % des enfants utilisent un tel mode de transport, contre seulement 4 % en Wallonie. Par ailleurs, les enfants résidant à proximité de leur école (moins de deux kilomètres) sont également plus nombreux que ceux ayant une distance supérieure à parcourir à utiliser un mode de transport actif pour se rendre à l’école.

En Belgique, en 2014, 56 % des enfants sont membres d’un club sportif. Les enfants âgés de 6 à 9 ans sont plus nombreux que les enfants âgés de 3 à 5 ans à être affiliés à un club sportif. Ce pourcentage est également supérieur parmi les enfants dont les parents ont un niveau d’éducation relativement élevé. Les enfants pratiquant un sport au sein d’un club sportif y consacrent, en moyenne, 2 heures et 23 minutes par semaine. Les garçons et les enfants âgés de 6 à 9 ans passent davantage de temps que les filles et les enfants les plus jeunes (de 3 à 5 ans) à exercer un sport au sein d’un club sportif.

En Belgique, en 2014, environ 80 % des enfants ont joué activement à l’extérieur le jour de semaine ou de week-end ayant précédé l’interview. Ce pourcentage est plus élevé parmi les enfants dont les parents ont un niveau d’éducation élevé, parmi les enfants résidant en Flandre et parmi ceux ayant un poids nor-mal. Les enfants sont également plus nombreux à jouer à l’extérieur au printemps et en été qu’en période hivernale.

Les enfants jouant à l’extérieur y consacrent, en moyenne, 3 heures et 53 minutes par jour le week-end et 2 heures et 24 minutes par jour en semaine. Les enfants les plus jeunes (de 3 à 5 ans) et ceux résidant en Flandre consacrent davantage de temps aux jeux d’extérieur en semaine, tandis que les enfants résidant en Wallonie y consacrent plus de temps le week-end.

Sédentarité

En Belgique, en 2014, la durée totale moyenne des activités de type sédentaire (telles qu’être assis cal-mement, lire ou regarder la télévision) chez les enfants s’élève à 6 heures et 27 minutes par jour. Les filles effectuent davantage d’activités de ce type que les garçons. Cette moyenne est, en outre, plus élevée

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chez les enfants âgés de 6 à 9 ans que chez les enfants plus jeunes, âgés de 3 à 5 ans. Les enfants domi-ciliés en Wallonie sont également davantage sédentaires que ceux résidant en Flandre. Enfin, les enfants consacrent plus de temps à réaliser des activités sédentaires en hiver qu’en été.

En Belgique, en 2014, 52 % des enfants utilisent uniquement un mode de transport passif (sur le vélo des parents, en poussette, en transports en commun, en voiture ou en moto) pour se rendre à l’école. Plus globalement, ce sont 79 % des enfants qui utilisent un mode de transport passif pour se rendre à l’école, éventuellement en plus d’un mode de transport actif. Davantage d’enfants domiciliés en Wallonie qu’en Flandre utilisent un mode de transport passif pour se rendre à l’école. Cette différence est principalement due à une plus grande utilisation de la voiture ou de la moto en Wallonie. Les enfants utilisant un mode de transport passif pour se rendre à l’école passent, en moyenne, 1 heure et 36 minutes par semaine dans ce type de transport.

En Belgique, en 2014, environ 95 % des enfants consacrent du temps à jouer calmement à l’intérieur durant leur temps libre. En moyenne, ceux-ci y consacrent deux fois plus de temps le week-end (2 heures par jour) qu’en semaine (54 minutes par jour). Les filles passent plus de temps que les garçons à jouer calmement à l’intérieur. Cette durée moyenne est également plus élevée parmi les jeunes enfants (de 3 à 5 ans) que parmi ceux âgés de 6 à 9 ans. Le week-end, les enfants dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur de type long passent davantage de temps à jouer à l’intérieur que ceux dont les parents ont un niveau d’éducation relativement faible. En hiver, les enfants passent moins de temps qu’au printemps à jouer calmement à l’intérieur durant le week-end.

En Belgique, en 2014, les enfants passent, en moyenne, davantage de temps devant des écrans (télévision, ordinateur) pendant le week-end (2 heures et 29 minutes par jour) que pendant la semaine (1 heure et 12 minutes par jour). Les enfants âgés de 6 à 9 ans passent davantage de temps que les plus jeunes (de 3 à 5 ans) devant des écrans. La durée moyenne consacrée aux écrans est également plus élevée chez les garçons que chez les filles. En outre, le temps consacré chaque jour aux activités sur écrans a tendance à augmenter lorsque le niveau d’éducation diminue. Enfin, les enfants souffrant d’obésité passent davantage de temps devant des écrans que les enfants ayant un poids normal. En semaine, plus spécifiquement, les enfants résidant en Flandre restent plus longtemps devant des écrans que les enfants domiciliés en Wallonie.

En termes de recommandations, il est conseillé aux enfants âgés de 3 à 5 ans de limiter le temps passé devant des écrans à une heure par jour. En Belgique, en 2014, 35 % des enfants de cet âge ne respectent pas cette recommandation en semaine, ce pourcentage grimpant à 75 % le week-end. Davantage de gar-çons que de filles passent plus d’une heure par jour devant des écrans. Le pourcentage d’enfants ne ren-contrant pas cette recommandation augmente également avec l’âge. Ce pourcentage est aussi plus élevé parmi les enfants dont les parents ont le niveau d’instruction le plus faible en comparaison aux enfants dont les parents ont un niveau d’instruction élevé.

Pour les enfants âgés de 6 à 9 ans, il est recommandé de limiter le temps passé devant des écrans à deux heures par jour. En Belgique, en 2014, 11 % des enfants de cet âge ne suivent pas cette recommandation en semaine, un pourcentage qui grimpe à 54 % le week-end. Les garçons sont plus nombreux que les filles à ne pas respecter la recommandation au sujet des écrans ; ce pourcentage augmente, par ailleurs, avec l’âge. Ici aussi, davantage d’enfants dont les parents possèdent un niveau d’éducation relativement faible que d’enfants dont les parents ont un niveau d’éducation élevé ne satisfont pas aux recommandations en la matière. Enfin, les enfants souffrant d’obésité sont aussi plus nombreux que les enfants ayant un poids normal à passer plus de deux heures par jour devant des écrans.

ADOLESCENTS (DE 10 À 17 ANS)

Dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015, le niveau d’activité physique des ado-lescents âgés de 10 à 17 ans a été mesuré au moyen d’accéléromètres. Le questionnaire d’auto-évaluation « Flemish Physical Activity Questionnaire » (FPAQ) a, en outre, été utilisé afin d’analyser différents domaines d’activité physique, tels que les modes de transport utilisés pour se rendre à l’école ou la pratique de sport.

Activité physique totaleEn Belgique, en 2014, les adolescents passent, en moyenne, 3 heures et 21 minutes par jour à réaliser des activités physiques de faible intensité (comme faire la vaisselle, par exemple). Le temps moyen passé

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chaque jour à réaliser ce type d’activités est plus élevé chez les garçons que chez les filles ; il est égale-ment plus élevé chez les adolescents âgés de 10 à 13 ans que chez ceux âgés de 14 à 17 ans. La pratique d’activités physiques de faible intensité a, en outre, tendance à diminuer lorsque le niveau d’éducation du ménage augmente.

En Belgique, en 2014, les adolescents effectuent, en moyenne, 48 minutes par jour d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue (comme faire du vélo, par exemple). Cette moyenne est plus élevée chez les garçons que chez les filles. Les adolescents résidant en Flandre pratiquent également plus d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue que les adolescents résidant en Wallonie. Enfin, la durée quoti-dienne moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue a tendance à diminuer lorsque l’indice de masse corporelle augmente.

Recommandations en matière d’activité physique

En Belgique, en 2014, seuls 2 % des adolescents effectuent au minimum 60 minutes d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue chaque jour et rencontrent donc les recommandations de l’OMS dans ce domaine. Ce pourcentage s’avère plus élevé chez les garçons (4 %) que chez les filles (0,5 %).

Comme pour les enfants âgés de 6 à 9 ans, de tels résultats se basent sur une interprétation stricte de la recommandation de l’OMS : ainsi, seuls les adolescents pratiquant au minimum 60 minutes d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue chaque jour pendant lequel l’accéléromètre était porté ont été considérés comme suffisamment actifs. Lorsque une interprétation plus « libérale » de cette recomman-dation est utilisée (c’est-à-dire en considérant les individus pratiquant en moyenne 60 minutes d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue par jour), ce sont alors 29 % des adolescents qui satisfont aux recommandations de l’OMS en matière d’activité physique.

Domaines d’activité physique

En Belgique, en 2014, 40 % des adolescents utilisent généralement un mode de transport actif pour se rendre à l’école : 27 % des adolescents s’y rendent à vélo, 12 % à pied et 1 % en trottinette ou en rollers (les adolescents ne pouvaient indiquer qu’un seul mode de transport). Les adolescents utilisant un mode de transport actif pour se rendre à l’école y consacrent, en moyenne, 2 heures et 9 minutes par semaine.

Les adolescents dont les parents ont le niveau d’éducation le plus élevé sont plus nombreux que les ado-lescents dont les parents ont le niveau d’éducation le plus faible à utiliser un mode de transport actif (prin-cipalement le vélo) pour se rendre à l’école. L’utilisation d’un mode de transport actif (essentiellement le vélo) pour se rendre à l’école s’avère également plus répandue en Flandre qu’en Wallonie.

En Belgique, en 2014, 75 % des adolescents déclarent faire du sport pendant leur temps libre ; ceux-ci y consacrent, en moyenne, 3 heures et 52 minutes par semaine. Davantage de garçons que de filles déclarent faire du sport pendant leur temps libre. Les adolescents dont les parents ont un niveau d’éduca-tion élevé sont également plus nombreux que ceux dont les parents ont le niveau d’éducation le plus faible à pratiquer une activité sportive pendant leurs loisirs. Les adolescents en situation de carence pondérale déclarent, par contre, moins souvent faire du sport pendant leur temps libre, en comparaison aux adoles-cents ayant un poids normal. Enfin, les adolescents ont tendance à faire davantage de sport pendant leur temps libre en été qu’en hiver.

En Belgique, en 2014, les adolescents ont, en moyenne, 1 heure et 33 minutes par semaine d’éducation physique (incluant également les cours de natation) à l’école. Cette moyenne est légèrement supérieure chez les garçons et les adolescents résidant en Wallonie.

En 2014, 54 % des adolescents belges déclarent avoir la possibilité de faire du sport à l’école en dehors des heures de cours. Les adolescents dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur de type long et les adolescents domiciliés en Flandre sont plus nombreux à mentionner une telle possibilité. Parmi les adolescents ayant la possibilité de participer à des activités sportives à l’école en dehors des heures de cours, 45 % déclarent participer réellement à de telles activités. Ces derniers y consacrent, en moyenne, 2 heures et 7 minutes par semaine.

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Sédentarité

En Belgique, en 2014, la durée totale moyenne des activités de type sédentaire chez les adolescents s’élève à 8 heures et 44 minutes par jour. Cette durée moyenne est plus élevée chez les filles que chez les garçons. Elle est également plus importante chez les adolescents âgés de 14 à 17 ans que chez ceux âgés de 10 à 13 ans. Les adolescents dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur (de type court ou long) passent, en outre, plus de temps à effectuer des activités de type sédentaire que les adolescents dont les parents ont un niveau d’instruction plus faible. Enfin, les adolescents sont significativement plus sédentaires en hiver qu’au printemps ou en été.

En Belgique, en 2014, 60 % des adolescents utilisent généralement un mode de transport passif (voiture, train, bus ou moto) pour se rendre à l’école. Ceux-ci passent, en moyenne, 3 heures et 35 minutes par semaine dans ce type de transport. Les garçons passent davantage de temps que les filles dans ce type de transport. Cette durée moyenne est également supérieure parmi les adolescents âgés de 14 à 17 ans que parmi les plus jeunes, âgés de 10 à 13 ans. En été, les adolescents passent, chaque semaine, moins de temps dans des modes de transport passif qu’en hiver.

En Belgique, en 2014, les adolescents passent, en moyenne, 2 heures et 48 minutes par jour devant des écrans (télévision, ordinateur) en semaine. Cette durée moyenne grimpe à 4 heures et 40 minutes par jour le week-end. Pendant le week-end, les garçons consacrent davantage de temps que les filles aux activités sur écrans. En semaine comme le week-end, les adolescents âgés de 14 à 17 ans passent plus de temps devant des écrans que les adolescents plus jeunes, âgés de 10 à 13 ans. Le temps quotidien passé devant des écrans, en semaine et le week-end, est également supérieur parmi les adolescents résidant en Wallonie que parmi ceux domiciliés en Flandre. Enfin, la durée moyenne consacrée aux activités sur écrans, en semaine et le week-end, a tendance à augmenter lorsque le niveau d’éducation des parents diminue.

En termes de recommandations, il est conseillé aux adolescents de limiter les activités sur écrans à maxi-mum deux heures par jour. En Belgique, en 2014, 55 % des adolescents passent néanmoins plus de deux heures par jour devant des écrans en semaine, ce pourcentage grimpant à 84 % le week-end. Les gar-çons, les adolescents âgés de 14 à 17 ans et les adolescents dont les parents ont le niveau d’éducation le plus faible sont plus enclins à consacrer plus de deux heures par jour aux activités sur écrans, en semaine comme le week-end.

Le fait de faire ses devoirs constitue une autre catégorie d’activité sédentaire. En Belgique, en 2014, les adolescents consacrent, en moyenne, 1 heure et 6 minutes par jour à leurs devoirs (y compris la lecture, l’écriture et le travail sur ordinateur) en semaine et 1 heure et 20 minutes par jour le week-end. Les filles, les adolescents âgés de 14 à 17 ans et les adolescents dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur y consacrent davantage de temps, en semaine et le week-end. La durée moyenne consacrée aux devoirs en semaine est supérieure en Flandre qu’en Wallonie. Enfin, les adolescents ayant un poids normal passent plus de temps à faire leurs devoirs en semaine et le week-end que les adolescents en situation de surpoids.

Enfin, en 2014, les adolescents belges consacrent, en moyenne, 2 heures et 32 minutes par jour à d’autres activités sédentaires (telles qu’écouter de la musique, téléphoner ou discuter avec des amis) en semaine, cette moyenne étant de 3 heures et 40 minutes par jour le week-end. Les filles, les adolescents âgés de 14 à 17 ans et les adolescents résidant en Wallonie consacrent davantage de temps à de telles activités, en semaine comme le week-end.

ADULTES (DE 18 À 64 ANS)

Dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015, l’activité physique et le compor-tement sédentaire des adultes (de 18 à 64 ans) ont été étudiés à l’aide du questionnaire d’auto-évalua-tion « International Physical Activity Questionnaire » (IPAQ). Le questionnaire IPAQ permet, d’une part, d’évaluer le volume total d’activité physique des adultes et, d’autre part, d’analyser leur activité physique selon quatre domaines distincts : pendant le transport, pendant le temps libre, au travail et lors des tâches ménagères.

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Activité physique totale

En Belgique, en 2014, les adultes pratiquent, en moyenne, 1 heure et 46 minutes par jour d’activités phy-siques d’intensité modérée à soutenue. Cette moyenne est plus élevée chez les hommes que chez les femmes. Plus particulièrement, les hommes passent davantage de temps que les femmes à pratiquer des activités physiques d’intensité soutenue. La durée quotidienne moyenne des activités physiques d’inten-sité modérée est, quant à elle, relativement similaire chez les hommes et chez les femmes.

La durée moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue varie peu d’une catégorie d’âge adulte à l’autre. Les adultes plus jeunes (de 18 à 50 ans) pratiquent cependant davantage d’activités phy-siques d’intensité soutenue que les adultes âgés de 51 à 64 ans. En ce qui concerne les activités physiques d’intensité modérée, la relation inverse est observée, les adultes âgés de 51 à 64 ans consacrant davantage de temps que les plus jeunes à ce type d’activités.

La durée moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue a tendance à diminuer lorsque le niveau d’éducation augmente. Cette tendance à la baisse est essentiellement liée à une diminution de la durée moyenne des activités d’intensité modérée avec le niveau d’éducation. Les personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type long consacrent également moins de temps à la pratique d’activités physiques d’intensité soutenue.

La pratique d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue est plus importante en Wallonie qu’en Flandre. En 2014, les adultes belges pratiquent également davantage d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue que ce n’était le cas en 2004. Enfin, les adultes sont physiquement plus actifs en été qu’en hiver

Recommandations en matière d’activité physique

Selon l’OMS, les adultes devraient effectuer au moins 150 minutes par semaine d’activités physiques d’in-tensité modérée ou 75 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité soutenue, ou une combinai-son équivalente d’activités physiques d’intensité modérée et soutenue.

En Belgique, en 2014, 91 % des adultes rencontrent cette recommandation, soit une augmentation de 20  % en comparaison à 2004. Une différence régionale a été observée à ce sujet : ainsi, les adultes résidant en Wallonie sont plus nombreux à rencontrer cette recommandation que ceux résidant en Flandre.

Domaines d’activité physique

Le premier domaine étudié concerne l’activité physique liée à l’utilisation de modes de transport actif. En Belgique, en 2014, les adultes déclarant utiliser un mode de transport actif consacrent, en moyenne, 3 heures et 26 minutes par semaine à la pratique d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue dans le cadre de leurs déplacements. Globalement, il existe peu de différences à ce sujet d’un groupe de la population à un autre. Lorsque la marche et le vélo sont étudiés séparément, les résultats obtenus montrent que les personnes résidant en Wallonie marchent davantage, tandis que l’utilisation du vélo s’avère plus répandue en Flandre.

Le second domaine étudié dans le cadre de cette enquête a trait aux activités physiques prenant place pen-dant le temps libre. En Belgique, en 2014, les adultes pratiquant une activité physique d’intensité modérée à soutenue pendant leur temps libre y consacrent, en moyenne, 3 heures et 32 minutes par semaine. Cette durée moyenne est plus élevée en Wallonie qu’en Flandre. Plus particulièrement, les hommes, les adultes âgés de 18 à 34 ans et les personnes ayant un poids normal pratiquent, en moyenne, légèrement plus d’activités physiques d’intensité soutenue pendant leur temps libre.

L’activité physique liée aux occupations professionnelles constitue le troisième domaine analysé dans ce rapport. Les adultes déclarant travailler font, en moyenne, 7 heures et 35 minutes par semaine d’acti-vités physiques d’intensité modérée à soutenue lorsqu’ils sont au travail. Les hommes, les adultes ayant un niveau d’éducation relativement faible, les adultes domiciliés en Wallonie et ceux souffrant d’obésité déclarent pratiquer davantage d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue dans le cadre de leur travail.

Le quatrième et dernier domaine étudié ici concerne l’activité physique liée aux tâches ménagères. En Belgique, en 2014, les adultes effectuant de telles tâches consacrent, en moyenne, 6 heures et 19 minutes

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par semaine à la pratique d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue dans le cadre de leurs tâches ménagères. Cette durée moyenne s’avère plus élevée parmi les femmes, les adultes âgés de 51 à 64 ans et les personnes résidant en Wallonie. Les adultes font, par ailleurs, davantage d’activités physiques liées au ménage en été qu’en hiver.

Sédentarité

En Belgique, en 2014, les adultes passent, en moyenne, 5 heures et 47 minutes par jour en position assise, soit une heure de moins qu’en 2004. Les personnes diplômées de l’enseignement supérieur passent davan-tage de temps en position assise que les personnes ayant un niveau d’éducation plus faible. Cette diffé-rence s’explique essentiellement par le fait que les personnes diplômées de l’enseignement supérieur restent davantage assises en semaine. Les personnes résidant en Flandre passent également davantage de temps assises que celles habitant en Wallonie. Enfin, les adultes passent davantage de temps en position assise en hiver qu’en été.

Il n’existe pas de consensus international quant à la durée maximale à passer en position assise pour les adultes. Dans le présent rapport, une valeur limite de 8 heures par jour a dès lors été considérée. En Belgique, en 2014, 22 % des adultes passent plus de 8 heures par jour en position assise. Cette prévalence a tendance à diminuer avec l’âge ; elle est, par ailleurs, plus élevée chez les personnes diplômées de l’en-seignement supérieur que chez celles ayant un niveau d’instruction plus faible. Les adultes résidant en Flandre sont plus nombreux que ceux résidant en Wallonie à passer plus de 8 heures par jour en position assise. Enfin, cette proportion est passée de 30 % en 2004 à 22 % en 2014.

CONCLUSIONS

Afin d’interpréter correctement les résultats de ce rapport, il est essentiel de souligner que différentes méthodes – objectives et subjectives – ont été utilisées pour mesurer l’activité physique et le compor-tement sédentaire de la population belge au sein des différents groupes d’âge (adultes, adolescents et enfants). Les comparaisons entre ces différents groupes d’âge doivent, dès lors, être considérées avec précaution.

Activité physique

Activité physique totale

Chez les enfants et les adolescents, l’activité physique – de faible intensité comme d’intensité modérée à soutenue – a tendance à diminuer avec l’âge. Chez les adultes, le volume total d’activité physique ne varie pas avec l’âge ; les adultes âgés de 51 à 64 ans pratiquent cependant moins d’activités physiques d’inten-sité soutenue que les adultes plus jeunes. Quel que soit l’âge, les garçons/hommes sont physiquement plus actifs que les filles/femmes.

Recommandations en matière d’activité physique

Les recommandations en matière d’activité physique varient selon l’âge. Les enfants d’âge préscolaire (de 3 à 5 ans) devraient accumuler un minimum de trois heures d’activités physiques d’intensité faible, modérée ou soutenue chaque jour. Une telle recommandation est atteinte pour la quasi-totalité (96 %) d’entre eux.

Les enfants et adolescents (de 6 à 17 ans) devraient, quant à eux, pratiquer quotidiennement 60 minutes d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue. Selon une interprétation « stricte » de cette recom-mandation, considérant uniquement le pourcentage d’individus présentant 60 minutes d’activités phy-siques d’intensité modérée à soutenue chaque jour valide enregistré, seul 6 % des enfants et 2 % des adolescents possèdent un niveau d’activité physique suffisant. Par contre, lorsque cette recommandation est interprétée de manière plus « libérale » en se focalisant sur la proportion d’individus effectuant, en moyenne, 60 minutes d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue par jour, ce sont 48 % des enfants et 29 % des adolescents qui rencontrent cette recommandation.

Selon l’OMS, les adultes (de 18 à 64 ans) devraient pratiquer, au cours de la semaine, un minimum de 150 minutes d’activités physiques d’intensité modérée ou de 75 minutes d’activités physiques d’intensité sou-tenue, ou encore une combinaison équivalente d’activités physiques d’intensité modérée et soutenue.

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Les résultats de l’enquête, se basant sur le questionnaire d’auto-évaluation IPAQ, montrent que la majorité (91 %) des adultes atteint cette recommandation.

D’une part, le choix de la méthode de mesure et la manière dont sont définies ces recommandations, selon l’âge et l’interprétation considérée, influencent clairement les prévalences obtenues. D’autre part, ces recommandations définissent quel est le niveau d’activité physique à atteindre pour être considéré comme suffisamment actif. Celles-ci ne constituent cependant pas des normes concernant le niveau d’ac-tivité physique minimum à atteindre pour avoir un impact positif sur la santé.

La diminution du niveau d’activité physique avec l’âge et la faible proportion d’enfants et d’adolescents âgés de 6 à 17 ans qui atteignent les recommandations en matière d’activité physique mettent en évi-dence l’importance de promouvoir la pratique d’une activité physique régulière dans ces tranches d’âge.

Domaines d’activité physique

Chez les jeunes comme chez les adultes, la promotion de l’activité physique ne devrait pas se focaliser uniquement sur la pratique de sport(s) lors des loisirs. Il existe, en effet, différents domaines dans lesquels la pratique d’une activité physique peut prendre place : lors des déplacements, au cours du temps libre, au travail ou à l’école et au sein du ménage.

En ce qui concerne les déplacements, 48 % des enfants et 40 % des adolescents se rendent à l’école de manière active, c’est-à-dire à pied ou à vélo. A l’âge adulte, 65 % des individus utilisent un mode de trans-port actif lors de leurs déplacements. Dans ce domaine, l’environnement peut jouer un rôle significatif sur le choix du mode de transport utilisé. La distance entre le domicile et l’école constitue ainsi un facteur influençant le recours des enfants et adolescents à un mode de transport actif pour se rendre à l’école. Par ailleurs, en Flandre, le recours à un mode de transport actif pour se rendre à l’école est plus fréquent qu’en Wallonie. En outre, alors que le cyclisme est plus répandu en Flandre, la marche à pied s’avère plus présente en Wallonie. La présence plus importante de dénivelés en Wallonie peut notamment expliquer la moindre utilisation du vélo au sud du pays.

Au cours de l’adolescence et à l’âge adulte, une pratique plus marquée de la marche et l’utilisation moins fréquente du vélo ont été notées chez les personnes ayant un niveau d’éducation relativement faible. Les résultats de ce rapport ne permettent cependant pas de déterminer si une telle relation s’explique par des raisons économiques ou par d’autres facteurs.

La pratique d’une activité physique peut également prendre place au cours du temps libre. La participation des jeunes à des activités sportives organisées, lors de leur temps libre, augmente avec l’âge. Elle est plus fréquente chez les garçons que chez les filles, de même que chez les enfants dont les parents ont un niveau d’éducation plus élevé. 68 % des adultes marchent ou exercent une activité physique d’intensité modérée à soutenue au cours de leur temps libre. La durée totale des activités physiques prenant place lors des loi-sirs ne varie pas selon le niveau d’éducation ; les adultes ayant un niveau d’instruction inférieur pratiquent moins d’activités physiques d’intensité soutenue mais ceci est compensé par le fait qu’ils marchent davan-tage. Afin de promouvoir la pratique d’activités sportives pendant les loisirs, de tels résultats mettent en exergue la nécessité de tenir compte des relations existant entre le statut socio-économique des individus et le type d’activités réalisées.

L’école constitue également un environnement favorable à la promotion de l’activité physique, celle-ci ras-semblant des enfants et adolescents issus de toutes les couches de la population. Cela peut passer, d’une part, par les cours d’éducation physique faisant partie du programme scolaire ; la durée de ces cours s’avère néanmoins relativement limitée. La pratique de sport à l’école en dehors des heures de cours constitue une seconde alternative, facilement accessible en termes de localisation et de coût. De telles activités sont, en outre, généralement moins compétitives que celles organisées en dehors de l’école. 68 % des adolescents résidant en Flandre et 36 % des adolescents résidant en Wallonie déclarent qu’une telle alternative existe dans leur école. Les adolescents résidant en Wallonie sont cependant plus nombreux à participer à de telles activités et passent, dès lors, davantage de temps à faire du sport à l’école. Ceci confirme certains résultats obtenus par ailleurs : les actions d’intervention mises en œuvre dans les écoles n’augmentent pas systématiquement le taux de participation mais lorsque le taux de participation augmente, le temps consacré à la pratique d’activités physiques augmente également.

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Chez les adultes, la pratique d’une activité physique au travail compte pour 26 % de la durée totale des activités physiques. De grandes disparités ont été observées selon le niveau d’éducation, les personnes ayant le niveau d’instruction le plus faible y consacrant 11 heures par semaine contre seulement 4 heures par semaine pour les personnes ayant un niveau d’éducation élevé. Un tel résultat explique notamment pourquoi les personnes faiblement instruites sont plus nombreuses à rencontrer les recommandations de l’OMS en matière d’activité physique.

Afin d’encourager la population à adopter un comportement plus actif, l’accent devrait également être mis sur les formes d’activité physique ayant lieu dans la vie quotidienne, notamment le ménage et le jardinage. En 2014, 31 % de la durée totale des activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les adultes concerne les tâches ménagères et le jardinage.

Comme il est fréquent pour les adultes de consacrer du temps aux tâches ménagères, le jeu – à l’intérieur comme à l’extérieur – constitue une activité propre aux enfants : environ 80 % des enfants rapportent ainsi avoir joué à l’extérieur le jour précédent l’interview. Ceci varie néanmoins selon la saison : en hiver, les enfants sont moins nombreux à jouer dehors et le temps consacré aux jeux d’extérieur diminue drastique-ment. De tels résultats montrent l’intérêt de chercher à développer des actions ciblées sur cette période critique en montrant, par exemple, la possibilité de jouer à l’extérieur quelles que soient les conditions météorologiques, ainsi qu’en mettant en place des activités physiques « d’intérieur » permettant de com-penser la pratique inférieure d’activités extérieures en hiver.

Contrairement à l’âge et au sexe, le sens selon lequel l’IMC et l’activité physique s’influencent mutuelle-ment n’est pas univoque ni unidirectionnel. Les analyses transversales réalisées dans ce travail montrent que les enfants et adolescents souffrant d’obésité pratiquent moins d’activités physiques d’intensité modé-rée à soutenue que ceux ayant un statut pondéral normal. Le niveau d’éducation des parents explique la relation entre l’IMC et certains types d’activités étudiées (la pratique de sport au sein d’un club sportif, par exemple). Cependant, même après standardisation pour le niveau d’éducation, les enfants souffrant d’obésité sont moins nombreux à jouer dehors. De même, les adolescents souffrant d’obésité sont moins nombreux à pratiquer une activité sportive lors de leur temps libre et lorsque c’est le cas, ces derniers y consacrent moins de temps.

Les adultes souffrant d’obésité sont, quant à eux, plus actifs, une relation qui n’est cependant plus observée après standardisation pour le niveau d’éducation. Les personnes ayant un faible niveau d’éducation sont, en effet, plus nombreuses à souffrir d’obésité et plus nombreuses à être physiquement actives lors de leurs occupations professionnelles. Ces relations montrent, d’une part, l’importance de ne pas se focaliser uni-quement sur le domaine du « temps libre » et sur la pratique de sports mais de considérer l’ensemble des domaines dans lesquels peuvent prendre place les activités physiques. Ceci souligne, d’autre part, la com-plexité de la relation obésité-activité physique, celle-ci ne pouvant dès lors pas se résumer à de simples conseils du type « il faut davantage bouger ».

Sédentarité

Durée totale des activités sédentaires

En parallèle à la diminution de l’activité physique avec l’âge, une augmentation de la sédentarité avec l’âge est observée chez les enfants et adolescents. Il a été montré, au moyen d’accéléromètres, que les enfants sont sédentaires pendant, en moyenne, 6 heures par jour, une moyenne qui grimpe à 9 heures par jour chez les adolescents âgés de 14 à 17 ans. Les adultes rapportent, quant à eux, passer, en moyenne, 6 heures par jour en position assise (sans compter les déplacements). 22 % des adultes passent, en outre, plus de 8 heures par jour en position assise. Comme mentionné précédemment, les résultats concernant les enfants et adolescents ne peuvent toutefois pas être comparés directement aux résultats concernant les adultes, en raison de l’utilisation de méthodes de mesure différentes dans ces différentes catégories d’âge (accélé-romètres pour les enfants et adolescents et questionnaire d’auto-évaluation pour les adultes).

Chez les enfants et adolescents, les filles sont davantage sédentaires que les garçons. Aucune différence entre genres n’a, par contre, été observée chez les adultes. Chez les adultes, il existe une relation entre le temps passé en position assise et le niveau d’éducation. Ainsi, en semaine, les adultes ayant un niveau d’instruction élevé passent davantage de temps en position assise, ce qui s’explique essentiellement par leurs occupations professionnelles. Pendant le week-end, par contre, une telle relation n’est pas observée.

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Domaines d’activités sédentaires

Dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015, l’utilisation de questionnaires a per-mis de donner une description plus précise des différentes catégories d’activités sédentaires réalisées : les activités sur écrans, l’utilisation de modes de transport passif, les devoirs et autres activités sédentaires (jouer calmement ou lire un livre, par exemple).

En ce qui concerne les activités sur écrans, les recommandations varient selon l’âge : pour les enfants âgés de 3 à 5 ans, il est recommandé de limiter le temps passé devant des écrans à une heure par jour, tandis que les enfants et adolescents âgés de 6 à 17 ans ne devraient pas dépasser la limite de deux heures par jour. Les résultats de l’enquête montrent qu’une proportion relativement importante des enfants et adolescents ne respectent pas ces recommandations et ce, davantage le week-end qu’en semaine.

Les garçons passent davantage de temps devant les écrans que les filles ; cette durée augmente également avec l’âge et s’avère plus élevée chez les jeunes dont les parents ont un niveau d’instruction relativement faible. Après une journée d’école, les enfants et adolescents consacrent davantage de temps aux activi-tés sur écrans qu’à la pratique d’activités physiques. Ces résultats montrent qu’il existe des marges de manœuvre afin de promouvoir l’adoption d’un style de vie plus actif. Il s’avère également essentiel, chez les enfants mais aussi et surtout chez les adolescents, d’attirer l’attention sur l’importance, en termes de santé, d’interrompre les activités sédentaires par des périodes d’activités physiques.

En termes de transport, 52 % des enfants et 60 % des adolescents utilisent un mode de transport passif pour se rendre à l’école. Les adultes passent, quant à eux, en moyenne une heure par jour assis dans un véhicule. L’utilisation de la voiture comme moyen de transport pour se rendre à l’école est plus fréquente en Wallonie qu’en Flandre ; les adultes résidant en Wallonie passent, en outre, davantage de temps assis dans un véhicule que ceux résidant en Flandre. Comme mentionné précédemment, certains facteurs environnementaux, tels que la distance entre l’école/le travail et le domicile ou la présence de dénivelés, peuvent expliquer le recours plus important à des modes de transport passif en Wallonie.

Les adolescents consacrent, en moyenne, une heure par jour à leurs devoirs et 3 heures par jour à d’autres activités sédentaires (telles que lire, écouter de la musique, discuter avec des amis) en semaine. Ils y consacrent, par ailleurs, respectivement 1 heure par jour et 4 heures par jour le week-end. Les filles passent davantage de temps que les garçons à jouer calmement, à faire leurs devoirs et à effectuer d’autres types d’activités sédentaires.

Chez les enfants et adolescents, aucune relation n’a été identifiée entre la durée totale des activités séden-taires (mesurée au moyen d’accéléromètres) et l’indice de masse corporelle. De même, aucune relation entre la durée totale passée en position assise par les adultes et leur IMC n’a été observée. Ici également, la plupart des associations observées entre l’IMC des jeunes et leurs comportements sédentaires ne sont plus d’application après standardisation pour le niveau d’éducation. Cependant, même après standardisa-tion pour le niveau d’éducation, les enfants souffrant d’obésité sont plus nombreux à recourir à un mode de transport passif pour se rendre à l’école et consacrent davantage de temps aux activités sur écrans. Les adolescents souffrant d’obésité sont aussi plus nombreux à utiliser un mode de transport passif pour aller à l’école.

Ces résultats confirment que l’augmentation de l’obésité constitue un processus complexe qui ne peut pas être résumé à un seul facteur causal, tel que la présence de mauvaises habitudes alimentaires, le manque d’activité physique ou l’adoption d’un comportement sédentaire. Il a, en outre, été démontré précédem-ment que l’activité physique, la sédentarité, l’alimentation constituent des composantes qui se complètent mutuellement et sont clairement associées aux caractéristiques socio-économiques.

La pratique régulière d’activités physiques et le fait de limiter les comportements sédentaires constituent des composantes essentielles d’un mode de vie sain et doivent, dès lors, être pris en compte pour le déve-loppement d’actions d’intervention efficaces. Se concentrer uniquement sur la responsabilité personnelle des individus quant à leur mode de vie ne constitue pas une approche suffisante afin de contrer l’épidémie d’obésité. D’une part, d’un point de vue individuel, un accompagnement clinique (interprofessionnel) des personnes souffrant d’obésité est nécessaire, en mettant notamment l’accent sur l’alimentation, l’activité physique et le changement de comportement. D’autre part, une vision holistique intégrant les causes sous-jacentes de l’obésité, à un niveau politique, économique et socio-culturel, est aussi primordiale afin

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d’engendrer des changements environnementaux et d’ainsi stimuler et renforcer les stratégies préventives et cliniques.

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1. INTRODUCTIONLe manque d’activité physique constitue le quatrième facteur de risque de mortalité au niveau mondial (1). L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) estime ainsi à 3,2 millions le nombre de décès qui peuvent être attribués chaque année au manque d’activité physique. Chez les adultes, la pratique d’une activité physique régulière s’avère bénéfique car elle permet de réduire le risque de maladie cardio-vasculaire, de diabète, de cancer du sein et du côlon et de dépression (2;3). Les personnes avec un niveau d’ activité phy-sique suffisant présentent également un moindre risque de fracture du bassin ou de fracture vertébrale, elles ont une meilleure capacité cardio-respiratoire et musculaire, elles ont tendance à maintenir leur poids ainsi qu’à présenter une masse corporelle et une répartition des tissus plus saines (3).

Chez les enfants et adolescents, plus particulièrement, le fait de pratiquer une activité physique régulière favorise le développement d’un appareil locomoteur (os, muscles et articulations) et cardiovasculaire sain. Cela leur permet, en outre, d’apprendre à coordonner et contrôler leurs mouvements et de garder un poids adéquat. Certaines études ont également démontré que la pratique d’une activité physique était béné-fique d’un point de vue psychologique, en permettant aux jeunes de surmonter les situations d’anxiété et de dépression (4).

Par ailleurs, indépendamment du niveau d’activité physique pratiqué, la sédentarité constitue également un facteur de risque en termes de santé ; celle-ci augmente, en effet, de 20 à 30 % le risque de mortalité (2). Chez les adultes, l’adoption d’un comportement sédentaire a, en effet, été identifiée comme un facteur de risque pour le développement de maladies chroniques, telles que les maladies cardio-vasculaires, le diabète et certains cancers (5;6). Chez les jeunes, de tels comportements sédentaires ont été associés au développement de l’obésité et de maladies métaboliques, ainsi qu’à une diversité de problèmes physiolo-giques et psychologiques (7;8).

En termes de santé publique, il s’avère important d’étudier les relations entre la santé et certaines com-posantes liées au style de vie, telles que l’activité physique, le comportement sédentaire ainsi que les habitudes alimentaires. A côté des données de consommation alimentaire, l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 a, par conséquent, également collecté des données sur l’activité physique et le comportement sédentaire de la population belge.

MÉTHODES DE MESURE

Différents types de méthodes – objectives et subjectives – existent afin de mesurer l’activité physique et le comportement sédentaire de la population. Les méthodes subjectives incluent, par exemple, les questionnaires d’auto-évaluation et les journaux de bord. Les questionnaires d’auto-évaluation ont pour avantages de :

• permettre d’interroger un grand échantillon à un coût relativement bas ;

• de ne pas influencer le comportement des personnes étudiées ;

• de pouvoir être utilisés dans toutes les populations ;

• de donner une description du contexte dans lequel prennent place les activités physiques et les activités de type sédentaire, ainsi que du type d’activités réalisées.

Les questionnaires d’auto-évaluation ont cependant pour désavantage d’avoir tendance à surestimer le volume d’activité physique mesuré, en raison de la difficulté qu’ont les personnes interrogées à évaluer cor-rectement l’intensité de leur activité physique, de leur difficulté éventuelle à se rappeler des évènements passés et d’un certain souci de désirabilité sociale (9-12). En ce qui concerne les enfants et les adolescents, plus spécifiquement, une revue de la littérature à ce sujet a, en outre, mis en évidence qu’il n’existe actuel-lement pas de questionnaires ayant une validité et une fiabilité suffisantes pour cette tranche d’âge (13).

Afin de surmonter ces défauts, des techniques de mesure objectives ont été développées : il s’agit, par exemple, de méthodes cherchant à suivre le rythme cardiaque ou à détecter les mouvements des per-sonnes étudiées (14). Les accéléromètres sont les appareils de mesure objectifs les plus fréquemment uti-lisés ces dernières années afin de mesurer, avec exactitude, l’activité physique et le comportement séden-taire (15). Ces appareils détectent et mesurent les accélérations provoquées par le mouvement du corps

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selon trois plans orthogonaux (16). Ils permettent de stocker une quantité importante d’informations de manière non-intrusive et non-biaisée ; ils sont, en outre, aisés à porter et à manipuler (14).

Dans ce contexte, l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 avait notamment pour objectif d’évaluer le niveau d’activité physique et le comportement sédentaire des enfants (de 3 à 9 ans) et adoles-cents (de 10 à 17 ans) résidant en Belgique au moyen d’accéléromètres. Afin de décrire le contexte dans lequel ces activités prennent place et le type d’activités réalisées, des questionnaires d’auto-évaluation ont, en outre, été utilisés de manière conjointe : le questionnaire issu de l’étude ToyBox pour les enfants et le « Flemish Physical Activity Questionnaire » (FPAQ) pour les adolescents. En raison du coût relativement important des accéléromètres, l’activité physique et le comportement sédentaire des adultes (de 18 à 64 ans) ont uniquement été étudiés au moyen du questionnaire d’auto-évaluation « International Physical Activity Questionnaire » (IPAQ).

ACTIVITÉ PHYSIQUE

L’activité physique concerne « chaque exercice physique produit par les muscles du squelette et engen-drant une dépense énergétique (supérieure à 1,5 MET1) » (17;18). La quantité d’activité physique peut être mesurée par la durée et l’intensité de l’activité, mais également en fonction du contexte dans lequel cette activité est exercée.

Niveaux d’intensité

Les activités physiques peuvent être catégorisées en trois niveaux d’intensité.

• Les activités physiques de faible intensité (valeur MET comprise entre 1,5 et 2,9) concernent notamment le fait de se tenir debout, de faire la vaisselle, le travail de bureau et la marche à un rythme lent (18;19).

• Les activités physiques d’intensité modérée (valeur MET comprise entre 3,0 et 5,9) incluent notamment la marche, le vélo, le jardinage, le fait de faire son lit et les travaux de plomberie ; il s’agit d’activités pendant lesquelles les pulsations cardiaques augmentent et la respiration s’ac-célère (18;19).

• Les activités physiques d’intensité soutenue (valeur MET de 6 et plus) concernent des efforts physiques impliquant un essoufflement et une augmentation de la transpiration ; il s’agit, par exemple, du jogging, du VTT ou du fait de déménager des meubles (18;19).

Dans le présent rapport, la durée quotidienne moyenne des activités physiques d’intensité modérée à sou-tenue chez les enfants et les adolescents a été mesurée à l’aide d’accéléromètres, tandis que cette durée moyenne a été estimée au moyen du questionnaire d’auto-évaluation « International Physical Activity Questionnaire » (IPAQ) chez les adultes.

Recommandations en matière d’activité physique

Les données issues des accéléromètres et des questionnaires d’auto-évaluation ont également été uti-lisées afin d’évaluer dans quelle mesure la population suit les recommandations en vigueur en matière d’activité physique. Les recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à ce sujet varient selon la catégorie d’âge concernée (20).

• Les enfants et adolescents (de 5 à 17 ans) devraient pratiquer au moins 60 minutes par jour d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue. Il leur est également conseillé d’effectuer des activités d’intensité soutenue au moins trois fois par semaine afin de renforcer leur système musculaire et osseux.

1 Le MET ou « Metabolic Equivalent Task » est une unité exprimant la consommation d’énergie au cours d’un effort physique. 1 MET correspond à la consommation d’énergie au repos, c’est-à-dire 1 kilocalorie par kilogramme de poids corporel par heure ou une consommation d’oxygène de 3,5 millilitres par kilogramme de poids corporel par minute. Lorsque la consommation d’oxygène au cours d’une activité monte, par exemple, à 7 millilitres par kilogramme par minute, la dépense énergétique est de 2 MET.

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• Les adultes (de 18 à 64 ans) devraient, quant à eux, pratiquer au moins 150 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité modérée ou 75 minutes par semaine d’activités physiques d’in-tensité soutenue ou encore une combinaison équivalente d’activités physiques d’intensité modé-rée et soutenue (« norme de mouvement »). Au-delà de cette norme, la pratique d’une activité physique ayant un impact positif sur la santé est définie par la pratique d’un minimum de 300 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité modérée ou 150 minutes par semaine d’ac-tivités physiques d’intensité soutenue ou encore une combinaison équivalente d’activités phy-siques d’intensité modérée et soutenue (« norme de santé »).

Les enfants de moins de 5 ans ne sont pas inclus dans les recommandations de l’OMS. D’un point de vue international, il semble accepté dans divers pays de considérer que ces derniers doivent pratiquer au minimum trois heures par jour d’activités physiques d’intensité faible, modérée et/ou soutenue (21-24). Dans le cadre de la présente enquête, le pourcentage de jeunes enfants (de 3 à 5 ans) étant suffisamment actifs a été estimé en considérant cette recommandation, en analogie notamment aux recommandations émises en Flandre (24).

A l’échelle de la Belgique, le Plan National Nutrition Santé (axe stratégique 2b – Activité physique) recom-mande que :

• les jeunes pratiquent au moins 60 minutes par jour d’activités physiques d’intensité modérée (25) ;

• les adultes effectuent au moins 30 minutes par jour d’activités physiques d’intensité modérée, cinq jours par semaine ou 20 minutes par jour d’activités aérobies intensive, trois jours par semaine (sport) (25).

Dans le présent rapport, le pourcentage d’individus ayant un niveau d’activité physique suffisant a été calculé sur base des recommandations de l’OMS. Pour les enfants et les adolescents, ces recommanda-tions sont identiques aux recommandations belges. Pour les adultes, la recommandation de l’OMS est plus sévère que la recommandation belge, en considérant un minimum de 75 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité soutenue plutôt que de 60 minutes par semaine.

Domaines d’activité physique

Les données collectées dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 ont égale-ment permis de décrire le contexte ou les domaines dans lesquels les activités physiques sont effectuées : le transport, le temps libre, le travail ou l’école et les tâches ménagères. Au sein de ces domaines, le type d’activités réalisées (telles que la marche, le vélo ou le jardinage) a également été décrit. Plus particulière-ment, pour les adolescents, la pratique d’activités sportives a été étudiée dans le cadre de leur temps libre, comme dans le cadre scolaire. A l’inverse, chez les enfants et les adultes, ce type d’activités n’a été étudié que dans le contexte des loisirs.

SÉDENTARITÉ

La sédentarité se réfère aux « activités n’augmentant pas de manière substantielle la dépense énergétique au-delà du niveau de repos » (valeur MET ≤ 1,5) (26). Il s’agit, par exemple, du fait de dormir, d’être assis ou couché, de regarder la télévision ou de toutes autres activités faisant intervenir les écrans (26).

La sédentarité ne doit pas être assimilée à un manque d’activité physique (27). Il est, en effet, possible qu’une personne ait un niveau d’activité physique suffisant (parce qu’elle se rend, par exemple, tous les jours au travail à pied) tout en présentant simultanément un style de vie sédentaire (parce qu’elle reste en position assise au travail). La sédentarité ne concerne pas non plus les activités de faible intensité, telles que le fait de rester debout, de faire la vaisselle ou de marcher à un rythme lent, celles-ci étant associées à une dépense énergétique comprise entre 1,6 et 2,9 MET.

A l’heure actuelle, il n’existe pas de recommandations de l’OMS concernant le comportement sédentaire de la population. De manière générale, il est cependant conseillé à tout un chacun de limiter les périodes prolongées de sédentarité. Au niveau international, certains pays (comme le Canada et l’Australie) ont également formulé des recommandations plus concrètes (21;22) :

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• pour les enfants âgés de 3 à 5 ans, il est conseillé de limiter le temps passé devant des écrans (télévision, ordinateur, jeux vidéo, etc.) à une heure par jour ;

• pour les enfants et adolescents âgés de 6 à 17 ans, il est recommandé de ne pas passer plus de deux heures par jour devant des écrans ;

• pour les adultes, aucune limite concernant le temps passé devant des écrans n’a été fixée mais il est conseillé à ces derniers d’entrecouper régulièrement (c’est-à-dire toutes les 20 à 30 minutes) les périodes de sédentarité.

Dans le présent rapport, les durées moyennes passées par les enfants devant des écrans ont été comparées aux deux premières recommandations présentées ci-dessus afin de calculer le pourcentage d’enfants âgés de 3 à 5 ans passant plus d’une heure par jour devant des écrans et le pourcentage d’enfants et adoles-cents âgés de 6 à 17 ans consacrant plus de deux heures par jour aux activités sur écrans. En absence de consensus international au sujet des adultes, le temps moyen passé par ces derniers en position assise a été comparée à la valeur seuil de huit heures par jour (5;28).

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2. INSTRUMENTS

2.1. ACCÉLÉROMÉTRIE

2.1.1. Accéléromètres

Dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015, l’accéléromètre triaxial GT3X+ Actigraph® a été utilisé afin de mesurer de manière objective l’activité physique et le comportement sédentaire des enfants et adolescents (Figure 1). Il s’agit d’un appareil discret et léger (dimension de 4,6 x 3,3 x 1,5 cm et poids de 19 g) qui détecte les mouvements ayant lieu selon trois axes orthogonaux : vertical, médio-latéral et antéropostérieur. Il a été demandé aux enfants et adolescents de porter l’accéléromètre (attaché à une ceinture élastique, à hauteur de la hanche droite) durant sept jours consécutifs, incluant les deux jours du week-end, pendant au minimum 10 heures par jour la semaine et 8 heures par jour le week-end (29;30). Les accéléromètres ont été distribués aux participants lors de la première visite à domicile de l’enquêteur.

Figure 1 | Accéléromètre triaxial GT3X+ Actigraph® utilisé dans le cadre de l’Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

Les valeurs enregistrées par l’accéléromètre sont converties en « counts » dont l’importance dépend de la fréquence et de l’intensité des signaux reçus au cours d’une période cyclique – appelée « epoch » – dont la durée a été prédéfinie par l’utilisateur (31). Sur base de recherches antécédentes, une durée de 15 secondes a été considérée dans le cadre de la présente enquête (32;33). Au terme d’une période de 15 secondes, la somme des counts mesurés est enregistrée dans la mémoire de l’appareil.

La gestion des données générées par l’accéléromètre a été réalisée au moyen du logiciel Meterplus®. Les périodes durant lesquelles les participants ne portaient pas l’accéléromètre ont été identifiées en considé-rant les périodes de plus de 20 minutes sans counts enregistrés (34). Les counts des jours pendant lesquels l’accéléromètre n’était pas porté suffisamment longtemps (à savoir au minimum 10 heures par jour en semaine et 8 heures par jour le weekend) et les counts étant anormalement élevés (> 15 000 counts par minute, cpm) ont été considérés comme n’étant pas valides et ont été exclus (30;35). En outre, seules les données provenant d’accéléromètres ayant été portés minium deux jours de semaine valides et un jour de week-end valide ont été inclues dans les analyses (36;37).

Des valeurs seuils ont ensuite été utilisées afin de classer les valeurs enregistrées par l’accéléromètre en quatre niveaux d’activité physique et d’ainsi déterminer le temps passé par les participants à ces différents niveaux d’intensité. Dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015, les valeurs seuils identifiées par Evenson et al. ont été utilisées (38;39), à savoir :

• ≤ 100 counts par minute (cpm) pour la catégorie sédentarité ;

• 101-2295 cpm pour les activités physiques de faible intensité ;

• 2296-4011 cpm pour les activités physiques d’intensité modérée ;

• ≥ 4012 cpm pour les activités physiques d’intensité soutenue.

2.1.2. Journaux de bord

De manière complémentaire, il a été demandé aux enfants et adolescents participant à l’enquête de noter, dans un journal de bord, l’heure à laquelle l’accéléromètre était mis le matin et retiré le soir (cf. Annexes). Il

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leur a également été demandé de rapporter dans ce journal les activités réalisées lorsque l’accéléromètre était enlevé (pour prendre sa douche ou aller à la piscine, par exemple), l’heure à laquelle celui-ci était retiré et remis, le contexte de l’activité et son intensité. Il a, en effet, été démontré que la collecte de don-nées concernant les périodes durant lesquelles l’accéléromètre n’était pas porté permettait d’améliorer la précision avec laquelle l’activité physique était mesurée (40;41). Les journaux de bord une fois collectés ont ensuite été encodés manuellement grâce au logiciel Blaise®.

Une valeur de dépense énergétique a été assignée à chaque activité réalisée lorsque l’accéléromètre était retiré, et ce sur base de la table de correspondance développée par Ridley et al. en 2008 (« Compendium of Energy Expenditures for Youth »)2 (19). Dans cette table, les valeurs de dépense énergétique sont expri-mées en MET ou équivalent métabolique (« Metabolic Equivalent of Task »), un MET correspondant à l’éner-gie demandée par le métabolisme de base. Les activités rapportées par les participants ont ensuite été classées par niveau d’intensité à partir des valeurs seuils suivantes (18;19;42) :

• les activités ayant une valeur MET ≤ 1,5 ont été considérées comme sédentaires ;

• les activités ayant une valeur MET comprise entre 1,6 et 2,9 comme des activités physiques de faible intensité ;

• les activités ayant une valeur MET comprise entre 3 et 5,9 comme des activités physiques d’inten-sité modérée ;

• les activités ayant une valeur MET ≥ 6 comme des activités physiques d’intensité soutenue.

La durée des activités physiques d’intensité modérée ou soutenue a été multipliée par un facteur de cor-rection variant selon le type d’activité3 ; il est, en effet, peu probable que l’entièreté d’une durée rapportée soit réalisée à la même intensité (41). L’utilisation d’un facteur de correction permet de tenir compte de cet élément, de même que d’une éventuelle surestimation de la durée d’activité physique de la part du participant (41).

Enfin, le temps passé à réaliser des activités sédentaires, des activités physiques de faible intensité, d’inten-sité modérée ou d’intensité soutenue a été calculé. Ces durées ont été sommées aux valeurs obtenues via l’accéléromètre. C’est cette durée totale (en minutes) par niveau d’activité physique et par jour qui a été utilisée pour la création des indicateurs analysés dans ce chapitre.

2.1.3. Echantillon

Dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015, il a été demandé à l’ensemble des enfants et adolescents participant à l’enquête de porter un accéléromètre pendant sept jours consécutifs. 778 participants ont été exclus des analyses pour diverses raisons : le refus de la part du participant de porter l’accéléromètre, l’enregistrement de données non valides ou encore suite à certains problèmes techniques. Au final, ce sont les données concernant l’activité physique et le comportement sédentaire de 64 % des enfants et 59 % des adolescents participant à l’enquête – c’est-à-dire 676 enfants âgés de 3 à 9 ans et 573 adolescents âgés de 10 à 17 ans – qui ont été utilisées pour effectuer les analyses présentées dans ce chapitre4.

Pour l’ensemble de ces individus, 7791 jours valides (c’est-à-dire présentant des données d’accélérométrie et un journal de bord valides) ont été enregistrés. En moyenne, les enfants et adolescents ont porté l’accé-léromètre durant 6,2 jours valides.

Pour rappel, un minimum de deux jours de semaine et un jour de week-end étaient requis pour considérer les données issues des accéléromètres et des journaux de bord comme valides. La majorité des individus ayant des données valides (80 %) présentaient six jours valides ou plus (jours de semaine et de week-end confondus). En outre, plus de la moitié de ceux-ci (61 %) présentaient au minimum cinq jours de semaine valides, tandis que les trois quarts (77 %) possédaient au minimum deux jours de week-end valides.

2 Lorsque, pour certaines activités ponctuelles, la valeur MET n’était pas présente dans le Compendium pour jeunes, le Compendium pour adultes (Ainsworth et al. 2011) (18) a été utilisé.

3 Activités organisées : 0,8 ; compétition : 0,95 ; temps libre et loisirs : 0,5.4 La distribution de cet échantillon par niveau d’éducation et par région est similaire à celle observée dans l’ensemble de la

population d’étude.

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2.1.4. Indicateurs

AC_1 Durée moyenne (en minutes/jour) des activités de type sédentaire chez les enfants et adoles-cents (de 3 à 17 ans).

AC_2 Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques de faible intensité chez les enfants et adolescents (de 3 à 17 ans).

AC_3 Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les enfants et adolescents (de 3 à 17 ans).

AC_4 Pourcentage d’enfants et d’adolescents (de 3 à 17 ans) rencontrant les recommandations en matière d’activité physique. Pour les enfants les plus jeunes, âgés de 3 à 5 ans, c’est la pratique d’un minimum de trois heures de tout type d’activité physique (d’intensité légère, modérée ou soutenue) chaque jour qui a été considérée afin d’évaluer le pourcentage d’enfants de cette tranche d’âge ayant une activité physique suffisante (21;22;24). Pour les enfants et adolescents âgés de 6 à 17 ans, ce sont les recommandations de l’OMS qui ont été utilisées, à savoir la pratique d’un minimum de 60 minutes d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue chaque jour (4). Seules les personnes rencontrant effectivement ces recommandations chaque jour valide ont été considérées pour le calcul de cet indicateur.

GAC_1 Pourcentage de jours rencontrant les recommandations en termes d’activité physique, à savoir trois heures d’activité physique, tous niveaux d’intensité confondus, pour les enfants âgés de 3 à 5 ans (21;22;24) et 60 minutes d’activité physique d’intensité modérée à soutenue pour les enfants et adolescents âgés de 6 à 17 ans (4).

2.2. QUESTIONNAIRE D’AUTO-ÉVALUATION TOYBOX

2.2.1. Questions

Les questions concernant les enfants âgés de 3 à 9 ans sont issues du projet européen ToyBox (www.toybox-study.eu) ayant pour objectif de prévenir le surpoids et l’obésité chez les enfants âgés de 4 à 6 ans. Dans le cadre de ce projet, des actions ont été menées dans six pays européens (Belgique, Bulgarie, Allemagne, Pologne, Espagne et Grèce) pendant l’année scolaire 2012-2013 afin : d’augmenter le niveau d’activité physique, de réduire la sédentarité, de favoriser la consommation d’eau, de diminuer la consom-mation de boissons sucrées et de stimuler la consommation de collations saines.

L’ensemble des questions présentées ci-dessous ont été adressées oralement aux parents ou tuteurs des enfants participant à l’enquête ; ces questions faisaient partie du questionnaire administré de manière informatique (« Computer Assisted Personal Interviewing », CAPI).

ACTIVITÉ PHYSIQUE

Modes de transport pour se rendre à l’école

Les questions suivantes, portant sur le mode de transport utilisé pour se rendre à l’école, ont été adressées aux parents des enfants allant à l’école :

PA20 A quelle distance de votre maison se situe l’école de votre enfant ?

(1) Moins de 500 mètres ;

(2) De 500 mètres à < 1 kilomètre ;

(3) De 1 kilomètre à < 2 kilomètres ;

(4) De 2 kilomètres à < 3 kilomètres ;

(5) De 3 kilomètres à < 4 kilomètres ;

(6) 4 kilomètres ou plus.

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Ces six possibilités ont été regroupées en deux catégories  : (1) Moins de 2 kilomètres (catégories 1, 2 et 3) et (2) Plus de de 2 kilomètres (catégories 4, 5 et 6).

PA04 – PA15t Comment votre enfant se rend-il à l’école et combien de temps cela lui prend-il ?

Les différentes catégories de réponse sont présentées dans le Tableau 1.

Tableau 1 | Catégories de réponse relatives à la question portant sur le mode de transport utilisé par les enfants (de 3 à 9 ans) pour se rendre à l’école, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

Modes de transport Trajet aller Durée (minutes/jour) Trajet retour Durée

(minutes/jour)

A pied pa04 pa04t pa10 pa10t

A vélo, trottinette, skateboard pa05 pa05t pa11 pa11t

A vélo avec les parents, en poussette pa06 pa06t pa12 pa12t

En transports en commun pa07 pa07t pa13 pa13t

En voiture/moto pa08 pa08t pa14 pa14t

Autre pa09 pa09t pa15 pa15t

La question relative au mode de transport utilisé pour se rendre à l’école est composée de six possibilités de réponse ; les parents ou tuteurs des enfants pouvaient indiquer plusieurs réponses à cette question. Plus précisément, pour chaque mode de transport proposé, il était possible d’indiquer, séparément pour l’aller et le retour, si ce moyen de transport était utilisé ou non. La durée moyenne des trajets aller et retour (en minutes par jour) pouvait ensuite être indiquée (Tableau 1).

Plusieurs réponses par personne étaient autorisées sans néanmoins pouvoir spécifier la fréquence d’utili-sation des modes de transport mentionnés. Par conséquent, le pourcentage d’enfants utilisant un mode de transport actif a été calculé en incluant tous les enfants dont les parents ont mentionné au moins une fois un mode de transport actif dans leurs réponses (même si un mode de transport passif était également indiqué). Inversement, le pourcentage d’enfants utilisant un mode de transport passif englobe tous les enfants dont les parents ont mentionné au moins un mode de transport passif (même si un mode de transport actif était également indiqué).

Les catégories « à pied » et « à vélo, trottinette, skateboard » ont été regroupées afin de calculer le pourcen-tage d’enfants utilisant un mode de transport actif. D’autre part, les catégories « à vélo avec les parents (ou en poussette) », « en transports en commun » et « en voiture/moto » ont été regroupées afin de calculer le pourcentage d’enfants utilisant un mode de transport passif. Les réponses de la catégorie « autre » ont été assignées aux catégories de réponse déjà existantes.

Club sportif

En ce qui concerne les activités sportives organisées au sein d’un club sportif, les questions suivantes ont été adressées aux parents ou tuteurs des enfants :

PA01 Votre enfant est-il membre d’un club sportif ?

(1) Oui ; (2) Non.

Les parents/tuteurs des enfants effectivement membres d’un club sportif ont été interrogés sur le type de sport pratiqué et la durée consacrée chaque semaine à cette activité :

PA02h – PA02m Combien de temps par semaine votre enfant pratique-t-il un sport dans un club spor-tif (en heures et en minutes) ?

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PA03 Quel type de sport votre enfant pratique-t-il dans un club sportif ?

A cette question, le parent/tuteur pouvait donner plusieurs réponses parmi la liste suivante :

• Psychomotricité ;

• Natation ;

• Football ;

• Danse ;

• Autre (PA0301 : décrivez cet autre sport).

L’analyse des réponses de la catégorie « autre » a mené à la création de nouvelles catégories, présentées dans la Section « Résultats » (cf. Section 3.3.2).

Temps libre

Les activités physiques effectuées au cours du temps libre (outre les activités sportives examinées ci-avant) ont été décrites au moyen des questions suivantes :

PA16 Quel temps faisait-il hier ?

A cette question, la personne interrogée était invitée à choisir l’une des réponses de la liste suivante :

• Bon pour jouer dehors ;

• Trop pluvieux pour jouer dehors ;

• Trop chaud ou trop humide pour jouer dehors ;

• Trop froid pour jouer dehors.

PA17h – PA17m Combien de temps votre enfant a-t-il passé hier à des activités/jeux physiques (corde à sauter, vélo) (en heures et en minutes) ?

A cette question, le répondant devait indiquer « 0 » si l’enfant n’avait pas joué dehors. En outre, si la veille était un samedi ou un dimanche, cette question se rapportait au jour de la semaine précédent (vendredi).

PA19h – PA19m Combien de temps votre enfant a-t-il passé à des activités/jeux physiques (corde à sauter, vélo) le week-end dernier (en heures et en minutes) ?

A cette question, le répondant devait indiquer « 0 » si l’enfant n’avait pas joué dehors.

SÉDENTARITÉ

Les activités de type sédentaire, telles que regarder la télévision, utiliser l’ordinateur ou jouer calmement, ont été étudiées à l’aide de trois questions. Ces trois questions concernent la durée pendant laquelle l’en-fant regarde la télévision, utilise l’ordinateur ou la console de jeux et joue calmement (lecture, jeux de construction ou dessin, par exemple) pendant son temps libre, en semaine et le week-end.

SB21 En semaine, combien d’heure(s) par jour environ votre enfant passe-t-il à regarder la télévision (DVD inclus) pendant son temps libre ?

SB22 Le week-end, combien d’heure(s) par jour environ votre enfant passe-t-il à regarder la télévi-sion (DVD inclus) pendant son temps libre ?

SB23 En semaine, combien d’heure(s) par jour environ votre enfant consacre-t-il à des jeux vidéo (Playstation, Xbox, Game Cube, par exemple) ou à l’ordinateur pendant son temps libre ?SB24 Le week-end, combien d’heure(s) par jour environ votre enfant consacre-t-il à des jeux vidéo (Playstation, Xbox, Game Cube, par exemple) ou à l’ordinateur pendant son temps libre ?

SB25 En semaine, combien d’heure(s) par jour environ votre enfant consacre-t-il à jouer calmement (lire des livres, jouer avec des blocs, jouer à la poupée, dessiner) pendant son temps libre ?

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SB26 Le week-end, combien d’heure(s) par jour environ votre enfant consacre-t-il à jouer calmement (lire des livres, jouer avec des blocs, jouer à la poupée, dessiner) pendant son temps libre ?

Pour ces différentes questions, la personne interrogée pouvait choisir une réponse parmi la liste suivante :

• Jamais ;

• Moins de 30 minutes par jour ;

• de 30 minutes à < 1 heure par jour ;

• de 1 à 2 heures par jour ;

• de 3 à 4 heures par jour ;

• de 5 à 6 heures par jour ;

• de 7 à 8 heures par jour ;

• 8 heures par jour ;

• Plus de 8 heures par jour ;

• Je ne sais pas.

2.2.2. Indicateurs

ACTIVITÉ PHYSIQUE

Utilisation d’un mode de transport actif pour se rendre à l’école

TX_1 Distribution des enfants (de 3 à 9 ans) selon le mode de transport utilisé pour se rendre à l’école. Cet indicateur se décline en différents sous-indicateurs : (1) pourcentage d’enfants qui se rendent à l’école à pied (TX_1walkper) ; (2) pourcentage d’enfants qui se rendent à l’école à vélo (TX_1cycper) ; (3) pourcentage d’enfants qui se rendent à l’école à vélo avec leurs parents ou en poussette (TX_1bikeper) ; (4) pourcentage d’enfants qui se rendent à l’école en trans-ports en commun (TX_1pubper) ; (5) pourcentage d’enfants qui se rendent à l’école en voiture ou en moto (TX_1carper).

TX_2 Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui utilisent un mode de transport actif (à pied et/ou à vélo) pour se rendre à l’école. Cet indicateur n’exclut pas les enfants utilisant éventuellement aussi un mode de transport passif.

TX_3 Durée moyenne (en minutes/semaine) que les enfants (de 3 à 9 ans) utilisant un mode de transport actif pour se rendre à l’école consacrent à l’utilisation d’un tel mode de transport. Cet indicateur n’exclut pas les enfants utilisant éventuellement aussi un mode de transport passif.

Club sportif

TX_4 Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui sont membres d’un club sportif.

TX_5 Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) membres d’un club sportif pratiquent une activité sportive au sein d’un club de sport.

TX05 Distribution des sports pratiqués par les enfants (de 3 à 9 ans) membres d’un club sportif. Les proportions sont exprimées en fonction du nombre de répondants, plusieurs réponses par personne étant autorisées.

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Temps libre

TX_playweek Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) ayant joué à l’extérieur de manière active le jour de semaine ayant précédé l’interview.

TX_playweekend Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) ayant joué à l’extérieur de manière active le jour de week-end ayant précédé l’interview.

TX_6 Durée moyenne (en minutes/jour) que les enfants (de 3 à 9 ans) ayant joué active-ment à l’extérieur consacrent à de tels jeux en semaine.

TX_7 Durée moyenne (en minutes/jour) que les enfants (de 3 à 9 ans) ayant joué active-ment à l’extérieur consacrent à de tels jeux le week-end.

SÉDENTARITÉ

Utilisation d’un mode de transport passif pour se rendre à l’école

TX_8 Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui utilisent un mode de transport passif (à vélo avec leurs parents ou en poussette, en transports en commun, en voiture ou en moto) pour se rendre à l’école. Cet indicateur n’exclut pas les enfants utilisant éventuelle-ment aussi un mode de transport actif.

TX_9 Durée moyenne (en minutes/semaine) que les enfants (de 3 à 9 ans) utilisant un mode de transport passif pour se rendre à l’école consacrent à de tels déplacements. Cet indicateur n’exclut pas les enfants utilisant éventuellement aussi un mode de trans-port actif.

Jeux calmes pendant le temps libre

TX_quietweek Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) passant du temps à jouer calmement en semaine.

TX_quietweekend Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) passant du temps à jouer calmement le week-end.

TX_16 Durée moyenne (en minutes/jour) que les enfants (de 3 à 9 ans) à qui il arrive de jouer calmement consacrent à de tels jeux pendant leur temps libre en semaine.

TX_17 Durée moyenne (en minutes/jour) que les enfants (de 3 à 9 ans) à qui il arrive de jouer calmement consacrent à de tels jeux pendant leur temps libre le week-end.

Activités sur écrans pendant le temps libre

TX_tvweek Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) regardant la télévision en semaine.

TX_tvweekend Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) regardant la télévision le week-end.

TX_10 Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) regardent la télévision pendant leur temps libre en semaine. Cet indicateur ne tient pas compte des enfants ne regardant pas la télévision en semaine.

TX_11 Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) regardent la télévision pendant leur temps libre le week-end. Cet indicateur ne tient pas compte des enfants ne regardant pas la télévision le week-end.

TX_PCweek Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) utilisant l’ordinateur ou jouant à des jeux vidéo en semaine.

TX_PCweekend Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) utilisant l’ordinateur ou jouant à des jeux vidéo le week-end.

TX_12 Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) utilisent l’ordinateur ou jouent à des jeux vidéo pendant leur temps libre en semaine. Cet indi-

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cateur ne tient pas compte des enfants n’utilisant jamais l’ordinateur ni la console de jeux en semaine.

TX_13 Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) utilisent l’ordinateur ou jouent à des jeux vidéo pendant leur temps libre le week-end. Cet indicateur ne tient pas compte des enfants n’utilisant jamais l’ordinateur ni la console de jeux le week-end.

TX_14 Durée moyenne (en minutes/jour) que les enfants (de 3 à 9 ans) passent devant des écrans (télévision, ordinateur, console de jeux) pendant leur temps libre en semaine. Cet indicateur ne tient pas compte des enfants qui ne regardent jamais la télévision, n’utilisent jamais l’ordinateur et ne jouent jamais à la console en semaine.

TX_15 Durée moyenne (en minutes/jour) que les enfants (de 3 à 9 ans) passent devant des écrans (télévision, ordinateur, console de jeux) pendant leur temps libre le week-end. Cet indicateur ne tient pas compte des enfants qui ne regardent jamais la télévision, n’utilisent jamais l’ordinateur et ne jouent jamais à la console le week-end.

Les indicateurs concernant les jeux calmes et le temps passé devant des écrans (TX_quietweek à TX_15) ont été construits en considérant systématiquement la limite inférieure de la catégorie de réponse sélec-tionnée (communication personnelle, Universiteit van Gent, Vakgroep bewegings- en sportwetenschap-pen). A titre d’exemple, pour les personnes ayant répondu « moins de 30 minutes par jour », une durée de 15 minutes a été considérée. De même, pour les personnes ayant répondu « de 5 à 6 heures », c’est une durée de 5 heures qui a été considérée.

Recommandations concernant le temps consacré aux activités sur écrans

TX_18 Pourcentage d’enfants âgés de 3 à 5 ans passant plus d’une heure par jour devant des écrans en semaine.

TX_19 Pourcentage d’enfants âgés de 3 à 5 ans passant plus d’une heure par jour devant des écrans le week-end.

TX_20 Pourcentage d’enfants âgés de 6 à 9 ans passant plus de deux heures par jour devant des écrans en semaine.

TX_21 Pourcentage d’enfants âgés de 6 à 9 ans passant plus de deux heures par jour devant des écrans le week-end.

2.3. QUESTIONNAIRE D’AUTO-ÉVALUATION FPAQ

2.3.1. Questions

Les questions ayant été adressées aux adolescents âgés de 10 à 17 ans sont issues du « Flemish Physical Activity Questionnaire » (FPAQ). Ce questionnaire a été rédigé par Philippaerts et al. afin de mesurer et décrire l’activité physique et la sédentarité des jeunes dans différents domaines (43), notamment :

• l’école (cours d’éducation physique et activités sportives en dehors des heures de cours) ;

• le mode de transport utilisé pour se rendre à l’école ;

• le temps libre.

La version informatique de ce questionnaire a été validée en 2005 auprès d’adolescents âgés de 12 à 18 ans et résidant en Flandre ; ce questionnaire s’avère être fiable et valide afin de mesurer l’activité physique des adolescents (43). La version papier de ce questionnaire a également été évaluée en 2006 auprès d’enfants âgés de 9 à 11 ans ; dans ce cadre également, ce questionnaire a été jugé fiable et valide pour mesurer l’ac-tivité physique de ces derniers dans les différents domaines abordés, du moins lorsque ce questionnaire était complété avec l’aide des parents (44).

Ce questionnaire rédigé en néerlandais a été traduit en français par l’équipe de recherche du WIV-ISP. L’ensemble des questions présentées ci-dessous ont été adressées oralement aux adolescents eux-mêmes ;

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ces questions faisaient partie du questionnaire administré de manière informatique (« Computer Assisted Personal Interviewing », CAPI).

ACTIVITÉ PHYSIQUE

Les questions suivantes ont été adressées aux adolescents (de 10 à 17 ans) afin de décrire les activités phy-siques pratiquées lors de leurs déplacements, à l’école et pendant leur temps libre :

FPAQ01 Comment te rends-tu la plupart du temps à l’école ?

A cette question, l’adolescent pouvait choisir une réponse parmi la liste suivante :

• A vélo ;

• À pied ;

• En voiture, en train, en bus ou en moto ;

• En scooter, en rollers.

FPAQ01m Combien de minutes dure le trajet de la maison à l’école ?

FPAQ02 Rentres-tu à la maison sur le temps de midi ?

(1) Oui ; (2) Non.

Les adolescents ayant répondu « oui » à la question FPAQ02 étaient ensuite invités à préciser quels jours de la semaine ceux-ci rentraient à la maison sur le temps de midi, en choisissant une ou plusieurs réponses parmi : Lundi ; Mardi ; Jeudi ; Vendredi (FPAQ0201).

FPAQ04 Combien d’heures d’éducation physique ou de sport (y compris les cours de natation) par semaine suis-tu à l’école ?

FPAQ07 Peux-tu faire du sport à l’école ? (en dehors des heures de cours)

(1) Oui ; (2) Non.

Les questions FPAQ09 et FPAQ11 ont été uniquement adressées aux adolescents ayant effectivement la possibilité de faire du sport à l’école en dehors des heures de cours.

FPAQ09 Participes-tu à l’une de ces activités ?

(1) Oui ; (2) Non.

FPAQ11 Combien d’heures consacres-tu à toutes ces activités sportives à l’école ? (ceci com-prenant la récréation, la pause de midi, les périodes après les cours, le mercredi après-midi, les tournois, etc.).

A cette question, le répondant pouvait indiquer une réponse parmi la liste suivante :

• De temps en temps ;

• Une heure par mois ;

• 2 heures par mois ;

• 3 heures par mois ;

• 1 heure par semaine ;

• 2 heures par semaine ;

• 3 heures par semaine ;

• 4 heures par semaine ;

• Plus de 4 heures par semaine.

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La série de questions suivante concernait les trois sports principaux pratiqués par l’adolescent durant son temps libre. Il lui a été précisé qu’il ne devait pas tenir compte ici des cours d’éducation physique et du sport pratiqué à l’école.

FPAQ1801 Mon sport principal

(1) Je ne fais pas de sport ;

(2) Mon sport principal est…(FPAQ180101 : précisez)

FPAQ1804 Pratiques-tu ce sport chaque semaine ?

(1) Oui, chaque semaine ;

(2) Non, pas chaque semaine.

Pour les adolescents pratiquant ce sport chaque semaine, une fréquence plus précise était demandée au moyen de la question suivante, pour laquelle le répondant pouvait choisir une réponse parmi la liste proposée :

FPAQ1805 Combien de fois par semaine ?

• 1 fois par semaine ;

• 2 fois par semaine ;

• 3 fois par semaine ;

• 4 fois par semaine ;

• 5 fois par semaine ;

• 6 fois par semaine ;

• 7 fois par semaine ;

• Plus de 7 fois par semaine.

Pour les adolescents ne pratiquant pas ce sport chaque semaine, une fréquence plus précise était deman-dée au moyen de la question suivante, pour laquelle le répondant pouvait choisir une réponse parmi la liste proposée :

FPAQ1806 Combien de fois par mois ?

• Quelques fois par an ;

• 1 fois par mois ;

• 2 fois par mois ;

• 3 fois par mois.

FPAQ1807 Combien de temps par séance (heures et minutes) ?

Cette série de questions (FPAQ1801-FPAQ1807) était ensuite réitérée pour le second et le troisième sport pratiqué par l’adolescent.

SÉDENTARITÉ

Afin de décrire les activités sédentaires effectuées par les adolescents et d’évaluer leur durée, une série de questions ont été adressées aux adolescents :

Combien d’heure(s) par jour, en moyenne, exerces-tu les activités ci-dessous pendant un jour normal de la semaine et un jour normal du week-end. Pense à toute la journée du réveil au coucher. Ne prend pas en considération les activités réalisées à l’école.

SB01 Regarder la télévision/des DVD pendant un jour normal de la semaine ?

SB02 Regarder la télévision/des DVD pendant un jour normal du week-end ?

SB03 Jouer aux jeux vidéo, à l’ordinateur pendant un jour normal de la semaine ?

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SB04 Jouer aux jeux vidéo, à l’ordinateur pendant un jour normal du week-end ?

SB05 Aller sur internet, écrire des e-mails, chatter pendant un jour normal de la semaine ?

SB06 Aller sur internet, écrire des e-mails, chatter pendant un jour normal du week-end ?

SB07 Faire ses devoirs (y compris lecture, écriture et travail sur ordinateur) pendant un jour normal de la semaine ?

SB08 Faire ses devoirs (y compris lecture, écriture et travail sur ordinateur) pendant un jour normal du week-end ?

SB09 Rester assis à écouter de la musique (radio, CD, MP3, iPod) pendant un jour normal de la semaine ?

SB10 Rester assis à écouter de la musique (radio, CD, MP3, iPod) pendant un jour normal du week-end ?

SB11 Téléphoner ou envoyer des SMS en position assise pendant un jour normal de la semaine ?

SB12 Téléphoner ou envoyer des SMS en position assise pendant un jour normal du week-end ?

SB13 Rester assis à discuter avec les amis ou la famille pendant un jour normal de la semaine ?

SB14 Rester assis à discuter avec les amis ou la famille pendant un jour normal du week-end ?

SB15 Lire des livres, des magazines ou des bandes dessinées (pas pour l’école) pendant un jour nor-mal de la semaine ?

SB16 Lire des livres, des magazines ou des bandes dessinées (pas pour l’école) pendant un jour nor-mal du week-end ?

SB17 Pratiquer d’autres loisirs inactifs (musique, cinéma, art, …) pendant un jour normal de la semaine ?

SB18 Pratiquer d’autres loisirs inactifs (musique, cinéma, art, …) pendant un jour normal du week-end ?

SB19 Etre assis dans la voiture pendant un jour normal de la semaine ?

SB20 Etre assis dans la voiture pendant un jour normal du week-end ?

Pour l’ensemble de ces questions, il était demandé aux personnes interrogées de choisir une réponse parmi la liste de possibilités suivante :

• Non ;

• 15 minutes ;

• 30 minutes ;

• 1 heure ;

• 2 heures ;

• 3 heures ;

• 4 heures ou plus.

2.3.2. Indicateurs

A partir des questions issues du questionnaire FPAQ, différents indicateurs ont été construits afin de décrire l’activité physique et le comportement sédentaire des adolescents âgés de 10 à 17 ans. Les facteurs de correction éventuellement utilisés dans le calcul des indicateurs sont détaillés dans cette section.

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ACTIVITÉ PHYSIQUE

Utilisation d’un mode de transport actif pour se rendre à l’école

FQ_5 Distribution des adolescents (de 10 à 17 ans) selon le mode de transport utilisé pour se rendre à l’école.

FQ_6 Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) qui utilisent un mode de transport actif (marche, vélo ou trottinette/rollers) pour se rendre à l’école.

FQ_7 Durée moyenne (en minutes/semaine) que les adolescents (de 10 à 17 ans) utilisant un mode de transport actif (marche, vélo et trottinette/rollers) pour se rendre à l’école consacrent à de tels déplacements. Cet indicateur inclut également les déplacements des adolescents qui rentrent chez eux sur le temps de midi.

Pratique d’un sport pendant le temps libre

FQ_12 Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) qui indiquent pratiquer un ou plusieurs sport(s) pendant leur temps libre.

FQ_13 Durée moyenne (en minutes/semaine) que les adolescents (de 10 à 17 ans) pratiquant un sport consacrent à ce sport pendant leur temps libre. Cet indicateur a été calculé en prenant en compte un facteur de correction : les durées rapportées ont ainsi été multipliées par 0,8.

FQ_14 Distribution des sports pratiqués par les adolescents pendant leur temps libre. Les proportions sont exprimées en fonction du nombre de répondants, plusieurs réponses par personne étant autorisées.

Sport à l’école

FQ_1 Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) suivent un cours d’éducation physique ou de sport à l’école. Cet indicateur a été calculé en prenant en compte un facteur de correction ; une heure de cours d’éducation physique rap-portée a été considérée comme 40 minutes effectives de cours.

FQ_2 Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) ayant la possibilité de faire du sport à l’école en dehors des heures de cours.

FQ_3 Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) qui font du sport à l’école en dehors des heures de cours. Cet indicateur tient uniquement compte des adolescents ayant la possibilité de faire du sport à l’école en dehors des heures de cours.

FQ_4 Durée moyenne (en minutes/semaine) que les adolescents (de 10 à 17 ans) faisant du sport à l’école en dehors des heures de cours, consacrent à ce sport.

SÉDENTARITÉ

FQ_15 Durée moyenne (en minutes/semaine) que les adolescents (de 10 à 17 ans) utilisant un mode de transport passif (voiture, train, bus ou moto) pour se rendre à l’école consacrent à de tels déplacements.

FQ_16 Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) regardent la télévision/des DVD en semaine.

FQ_17 Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) regardent la télévision/des DVD le week-end.

FQ_18 Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) jouent aux jeux vidéo ou à l’ordinateur en semaine.

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FQ_19 Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) jouent aux jeux vidéo ou à l’ordinateur le week-end.

FQ_20 Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) vont sur internet, envoient des e-mails ou chattent en semaine.

FQ_21 Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) vont sur internet, envoient des e-mails ou chattent le week-end.

FQ_22 Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) font leurs devoirs (y compris lecture, écriture et travail sur ordinateur) en semaine.

FQ_23 Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) font leurs devoirs (y compris lecture, écriture et travail sur ordinateur) le week-end.

FQ_24 Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) effectuent d’autres types d’activités sédentaires en semaine. Cet indicateur inclut les activités suivantes : rester assis à écouter de la musique, téléphoner ou envoyer des SMS en position assise, rester assis à discuter avec des amis ou la famille, lire un livre, une BD ou un magazine (pas pour l’école), la pratique de loisirs inactifs tels que la musique, le cinéma, l’art.

FQ_25 Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) effec-tuent d’autres types d’activités sédentaires* le week-end. Cet indicateur inclut les activités suivantes : rester assis à écouter de la musique, téléphoner ou envoyer des SMS en position assise, rester assis à discuter avec des amis ou la famille, lire un livre, une BD ou un magazine (pas pour l’école), la pratique de loisirs inactifs tels que la musique, le cinéma, l’art.

FQ_26 Durée moyenne (en minutes/jour) que les adolescents (de 10 à 17 ans) passent devant des écrans en semaine. Cet indicateur correspond à la somme des indicateurs FQ_16, FQ_18 et FQ_20.

FQ_27 Durée moyenne (en minutes/jour) que les adolescents (de 10 à 17 ans) passent devant des écrans le week-end. Cet indicateur correspond à la somme des indicateurs FQ_17, FQ_19 et FQ_21.

FQ_28 Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) passant plus de deux heures par jour devant des écrans en semaine.

FQ_29 Pourcentage des adolescents (de 10 à 17 ans) passant plus de deux heures par jour devant des écrans le week-end.

2.4. QUESTIONNAIRE D’AUTO-ÉVALUATION IPAQ

2.4.1. Questions

Les questions ayant été adressées aux adultes (de 18 à 64 ans) sont issues du « International Physical Activity Questionnaire » (IPAQ). Le questionnaire IPAQ analyse les activités physiques pratiquées par les individus dans quatre domaines :

• les activités physiques liées aux occupations professionnelles ;

• les activités physiques liées aux déplacements (transport) ;

• les activités physiques liées aux tâches ménagères ;

• les activités physiques pratiquées au cours du temps libre.

Le questionnaire IPAQ inclut trois types d’activités physiques : la marche, les activités physiques d’intensité modérée et celles d’intensité soutenue. Ces deux dernières catégories étant difficile à distinguer l’une de l’autre pour les personnes interrogées, les activités physique d’intensité modérée ont été définies comme « des activités faisant respirer un peu plus fort que d’habitude » et celles d’intensité soutenue comme « des

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activités faisant respirer beaucoup plus fort que d’habitude ». Plusieurs exemples spécifiques ont ensuite été donnés pour chaque domaine.

Outre les questions portant sur l’activité physique, le questionnaire IPAQ comporte également deux ques-tions concernant le temps passé quotidiennement en position assise, celle-ci étant associée dans le pré-sent rapport au comportement sédentaire.

L’ensemble des questions présentées ci-dessous ont été adressées oralement aux adultes participant à l’en-quête ; ces questions faisaient partie du questionnaire administré de manière informatique (« Computer Assisted Personal Interviewing », CAPI).

ACTIVITÉS PHYSIQUES LIÉES AU TRAVAIL

Les questions présentées ci-dessous ont été adressées aux adultes afin d’évaluer la quantité d’activités physiques pratiquées dans le cadre de leurs occupations professionnelles.

IPAQ01 Avez-vous un emploi à l’heure actuelle ou exercez-vous un travail rémunéré ou non rémunéré en dehors de votre domicile ?

A cette question la personne interrogée pouvait répondre : (1) Oui ; (2) Non ; (9) Ne sait pas ; et (-1) Pas de réponse. Les questions suivantes ont ensuite été posées uniquement aux personnes ayant un emploi ou exerçant un travail en dehors de leur domicile.

IPAQ02 Ces sept derniers jours, pendant combien de jours avez-vous exercé des activités phy-siques intenses au travail ?

Il a été ici précisé au répondant de considérer uniquement les activités physiques intenses ayant duré au moins 10 minutes d’affilée.

(1) 0 jour ; (2) … jours ; (9) Ne sait pas ; (-1) Pas de réponse.

Pour les personnes ayant effectué au moins un jour des activités physiques intenses au travail, la question suivante a, en outre, été posée :

IPAQ02h – m En moyenne, combien de temps par jour avez-vous consacré à ces activités intenses (heures et minutes par jour) ?

IPAQ03 Ces sept derniers jours, pendant combien de jours avez-vous exercé des activités phy-siques modérées au travail ?

Il a été ici précisé au répondant de ne pas inclure la marche et de considérer unique-ment les activités physiques modérées ayant duré au moins 10 minutes d’affilée.

(1) 0 jour ; (2) … jours ; (9) Ne sait pas ; (-1) Pas de réponse.

Pour les personnes ayant effectué au moins un jour des activités physiques modérées au travail, la question suivante a, en outre, été posée :

IPAQ03h – m En moyenne, combien de temps par jour avez-vous consacré à ces activités modérées (heures et minutes par jour) ?

IPAQ04 Ces sept derniers jours, pendant combien de jours avez-vous marché au travail ?

Il a été ici précisé au répondant de considérer le temps passé à marcher pendant au moins 10 minutes d’affilée au travail et de ne pas inclure la marche éventuellement effectuée entre le domicile et le lieu de travail.

(1) 0 jour ; (2) … jours ; (9) Ne sait pas ; (-1) Pas de réponse.

Pour les personnes ayant marché au moins un jour au travail, la question suivante a, en outre, été posée :

IPAQ04h – m En moyenne, combien de temps par jour avez-vous consacré à la marche (heures et minutes par jour) ?

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ACTIVITÉS PHYSIQUES LIÉES AUX DÉPLACEMENTS

Les questions présentées ci-dessous ont été adressées aux adultes afin d’évaluer la quantité d’activités physiques pratiquées dans le cadre de leurs déplacements (transport).

IPAQ05 Ces sept derniers jours, pendant combien de jours vous êtes-vous déplacé(e) en véhi-cule motorisé comme le train, le bus, la voiture ou le tramway ?

(1) 0 jour ; (2) … jours ; (9) Ne sait pas ; (-1) Pas de réponse.

Pour les personnes s’étant déplacées au moins un jour en véhicule motorisé, la question suivante a, en outre, été posée :

IPAQ05h – m En moyenne (par jour) combien de temps ces déplacements motorisés ont-ils duré (heures et minutes par jour) ?

IPAQ06 Ces sept derniers jours, pendant combien de jours avez-vous fait du vélo pendant au moins 10 minutes d’affilée pour aller d’un endroit à un autre ?

(1) 0 jour ; (2) … jours ; (9) Ne sait pas ; (-1) Pas de réponse.

Pour les personnes s’étant déplacées au moins un jour à vélo, la question suivante a, en outre, été posée :

IPAQ06h – m En moyenne (par jour) combien de temps ces déplacements à vélo ont-ils duré (heures et minutes par jour) ?

IPAQ07 Ces sept derniers jours, pendant combien de jours vous êtes-vous déplacé à pied pendant au moins 10 minutes d’affilée ?

(1) 0 jour ; (2) … jours ; (9) Ne sait pas ; (-1) Pas de réponse.

Pour les personnes s’étant déplacées au moins un jour à pied, la question suivante a, en outre, été posée :

IPAQ07h – m En moyenne (par jour) combien de temps ces déplacements à pied ont-ils duré (heures et minutes par jour) ?

ACTIVITÉS PHYSIQUES LIÉES AUX TÂCHES MÉNAGÈRES

Les questions présentées ci-dessous ont été adressées aux adultes afin d’évaluer la quantité d’activités physiques pratiquées dans le cadre de leurs tâches ménagères.

IPAQ08 Ces sept derniers jours, pendant combien de jours avez-vous exercé des activités phy-siques intenses dans votre jardin ou votre cour ?

(1) 0 jour ; (2) … jours ; (9) Ne sait pas ; (-1) Pas de réponse.

Pour les personnes ayant effectué de telles activités au moins un jour, la question suivante a, en outre, été posée :

IPAQ08h – m En moyenne (par jour) combien de temps ont duré ces activités physiques intenses dans votre jardin ou votre cour (heures et minutes par jour) ?

IPAQ09 Ces sept derniers jours, pendant combien de jours avez-vous exercé des activités modérées dans votre jardin ou votre cour ?

(1) 0 jour ; (2) … jours ; (9) Ne sait pas ; (-1) Pas de réponse.

Pour les personnes ayant effectué de telles activités au moins un jour, la question suivante a, en outre, été posée :

IPAQ09h – m En moyenne (par jour) combien de temps ont duré ces activités physiques modérées dans votre jardin ou votre cour (heures et minutes par jour) ?

IPAQ10 Ces sept derniers jours, pendant combien de jours avez-vous fait des activités modé-rées à l’intérieur de votre domicile ?

(1) 0 jour ; (2) … jours ; (9) Ne sait pas ; (-1) Pas de réponse.

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Pour les personnes ayant effectué de telles activités au moins un jour, la question suivante a, en outre, été posée :

IPAQ10h – m En moyenne (par jour) combien de temps ont duré ces activités physiques modérées à l’intérieur de votre maison (heures et minutes par jour) ?

ACTIVITÉS PHYSIQUES PENDANT LE TEMPS LIBRE

Les questions présentées ci-dessous ont été adressées aux adultes afin d’évaluer la quantité d’activités physiques pratiquées au cours de leur temps libre.

IPAQ11 Sans compter la marche que vous avez déjà mentionnée, ces sept derniers jours, com-bien de jours avez-vous marché pendant au moins 10 minutes pendant votre temps libre ?

(1) 0 jour ; (2) … jours ; (9) Ne sait pas ; (-1) Pas de réponse.

Pour les personnes ayant marché au moins un jour pendant leur temps libre, la question suivante a, en outre, été posée :

IPAQ11h – m En moyenne (par jour), combien de temps avez-vous consacré à la marche durant votre temps libre (heures et minutes par jour) ?

IPAQ12 Ces sept derniers jours, pendant combien de jours avez-vous exercé des activités phy-siques intenses pendant votre temps libre ?

(1) 0 jour ; (2) … jours ; (9) Ne sait pas ; (-1) Pas de réponse.

Pour les personnes ayant effectué des activités physiques intenses pendant leur temps libre, la question suivante a, en outre, été posée :

IPAQ12h – m En moyenne (par jour), combien de temps par jour avez-vous consacré à ces activités physiques intenses durant votre temps libre (heures et minutes par jour) ?

IPAQ13 Ces sept derniers jours, pendant combien de jours avez-vous fait des activités phy-siques modérées pendant votre temps libre ?

(1) (1) 0 jour ; (2) … jours ; (9) Ne sait pas ; (-1) Pas de réponse.

Pour les personnes ayant effectué des activités physiques modérées pendant leur temps libre, la question suivante a, en outre, été posée :

IPAQ13h – m En moyenne (par jour), combien de temps par jour avez-vous consacré à ces activités physiques modérées durant votre temps libre (heures et minutes par jour) ?

TEMPS PASSÉ EN POSITION ASSISE

Enfin, deux questions ont été adressées aux adultes afin d’évaluer le temps passé par ces derniers en posi-tion assise.

IPAQ14h – m En semaine, combien de temps (par jour), en moyenne, avez-vous passé assis, ces sept derniers jours (heures et minutes par jour) ?

IPAQ15h – m Combien de temps en moyenne (par jour) avez-vous passé assis le week-end dernier (heures et minutes par jour) ?

2.4.2. Indicateurs

Les indicateurs présentés dans cette section ont été construits en utilisant une version adaptée du proto-cole d’analyse propre au questionnaire IPAQ (modifications apportées par l’Universiteit van Gent, Vakgroep bewegings- en sportwetenschappen). Cette version adaptée utilise notamment d’autres valeurs seuils afin de limiter la quantité maximale d’activité physique possible dans les différents domaines étudiés (45;46).

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ACTIVITÉ PHYSIQUE

Les données collectées dans les quatre domaines d’activité physique étudiés ont été utilisées conformé-ment au protocole IPAQ afin d’évaluer la durée totale des activités physiques d’intensité modérée à soute-nue chez les adultes. Pour les activités physiques d’intensité modérée, soutenue et modérée à soutenue, un facteur de correction de 0,8 a été appliqué afin de tenir compte de la tendance des individus à suresti-mer la durée des activités physiques rapportées (45;46).

IP_MPA_T Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée (y compris la marche) chez les adultes (de 18 à 64 ans).

IP_VPA_T Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité soutenue chez les adultes (de 18 à 64 ans).

IP_MVPA_T Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée à sou-tenue chez les adultes (de 18 à 64 ans).

Des indicateurs propres à chaque domaine ont également été calculés :

IP_Walk_WO_sub Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) marchent au travail. Cet indicateur tient uniquement compte des personnes décla-rant travailler.

IP_MPA_WO_sub Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) pratiquent une activité physique d’intensité modérée au travail (y compris la marche). Cet indicateur tient uniquement compte des personnes déclarant travailler.

IP_VPA_WO_sub Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) pratiquent une activité physique d’intensité soutenue au travail. Cet indicateur tient uniquement compte des personnes déclarant travailler.

IP_MVPA_WO_sub Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) pratiquent une activité physique d’intensité modérée à soutenue au travail. Cet indi-cateur tient uniquement compte des personnes déclarant travailler.

IP_Walk_TR_sub Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) se déplacent à pied. Cet indicateur tient uniquement compte des personnes décla-rant utiliser un ou plusieurs mode(s) de transport actif.

IP_Mod_TR_sub Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) se déplacent à vélo. Cet indicateur tient uniquement compte des personnes décla-rant utiliser un ou plusieurs mode(s) de transport actif.

IP_MVPA_TR_sub Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) se déplacent à pied et/ou à vélo. Cet indicateur tient uniquement compte des per-sonnes déclarant utiliser un ou plusieurs mode(s) de transport actif.

IP_MVPA_HW_sub Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) pratiquent une activité physique d’intensité modérée à soutenue dans le cadre de leurs tâches ménagères. Cet indicateur tient uniquement compte des personnes déclarant réaliser des tâches ménagères.

IP_Walk_LT_sub Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) marchent pendant leur temps libre. Cet indicateur tient uniquement compte des per-sonnes ayant une activité physique pendant leur temps libre.

IP_MPA_LT_sub Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) pratiquent une activité physique d’intensité modérée pendant leur temps libre (y compris la marche). Cet indicateur tient uniquement compte des personnes ayant une activité physique pendant leur temps libre.

IP_VPA_LT_sub Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) pratiquent une activité physique d’intensité soutenue pendant leur temps libre. Cet

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indicateur tient uniquement compte des personnes ayant une activité physique pen-dant leur temps libre.

IP_MVPA_LT_sub Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) pratiquent une activité physique d’intensité modérée à soutenue pendant leur temps libre (y compris la marche). Cet indicateur tient uniquement compte des personnes ayant une activité physique pendant leur temps libre.

IP_Work_per Proportion moyenne du volume total d’activité physique que les adultes (de 18 à 64 ans) effectuent dans le cadre de leur travail.

IP_Tran_per Proportion moyenne du volume total d’activité physique que les adultes (de 18 à 64 ans) effectuent dans le cadre de leurs déplacements, à savoir la marche et le vélo.

IP_Home_per Proportion moyenne du volume total d’activité physique que les adultes (de 18 à 64 ans) effectuent dans le cadre de leurs tâches ménagères.

IP_LeTi_per Proportion moyenne du volume total d’activité physique que les adultes (de 18 à 64 ans) effectuent pendant leur temps libre.

IP_WHO_Cl_T Distribution des adultes (de 18 à 64 ans) selon leur niveau d’activité physique, en fonction de la classification de l’OMS.

IP_WHO_Suff_T Pourcentage d’adultes (de 18 à 64 ans) ayant un niveau d’activité physique suffisant, selon la recommandation de l’OMS.

IP_WHO_Hepa_T Pourcentage d’adultes (de 18 à 64 ans) ayant un niveau d’activité physique suffisam-ment élevé pour que cela ait un effet bénéfique pour leur santé, selon la recomman-dation de l’OMS.

SÉDENTARITÉ

IP_TTSBD_tot Durée moyenne (en minutes/jour) que les adultes (de 18 à 64 ans) passent en position assise (y compris dans un véhicule).

IP_TVSBD_tot Durée moyenne (en minutes/jour) que les adultes (de 18 à 64 ans) passent en position assise dans un véhicule.

IP_TSSBD_tot Durée moyenne (en minutes/jour) que les adultes (de 18 à 64 ans) passent en position assise, sans tenir compte des moments passés assis dans un véhicule.

IP_T5SBSTD_tot Durée moyenne (en minutes/jour) que les adultes (de 18 à 64 ans) passent en position assise en semaine, sans tenir compte des moments passés assis dans un véhicule.

IP_T2SBSTD_tot Durée moyenne (en minutes/jour) que les adultes (de 18 à 64 ans) passent en position assise le week-end, sans tenir compte des moments passés assis dans un véhicule.

IP_sit_Cl_T Pourcentage d’adultes (de 18 à 64 ans) passant, en moyenne, plus de 8 heures par jour en position assise.

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3. ACTIVITÉ PHYSIQUE ET SÉDENTARITÉ CHEz LES ENFANTS

3.1. ACTIVITÉ PHYSIQUE

Le niveau d’activité physique des enfants (de 3 à 9 ans) a été évalué au départ des données issues des accéléromètres, complétées par les données provenant des journaux de bord. Plus particulièrement, la durée moyenne des activités physiques de faible intensité, de même que la durée moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue ont été calculées et sont analysées dans cette section.

3.1.1. Activités physiques de faible intensité

En Belgique, en 2014, les enfants (de 3 à 9 ans) réalisent, en moyenne, 4 heures et 46 minutes par jour d’acti-vités physiques de faible intensité (c’est-à-dire par exemple s’habiller ou mettre la table) (19). L’importance de ces activités est similaire en semaine et le week-end ; en effet, les enfants passent, en moyenne, 39,2 % du temps total de leur journée5 à réaliser ce type d’activités en semaine et 39,1 % le week-end.

La durée moyenne des activités physiques de faible intensité est plus élevée chez les garçons (4 heures et 50 minutes par jour) que chez les filles (4 heures et 42 minutes par jour), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge. En moyenne, les enfants les plus jeunes (de 3 à 5 ans) passent quotidien-nement plus de temps (5 heures et 8 minutes par jour) que les enfants âgés de 6 à 9 ans (4 heures et 32 minutes par jour) à effectuer des activités physiques de faible intensité (Figure 2). Une telle différence est significative après standardisation pour le sexe.

Le temps passé, en moyenne, à réaliser des activités physiques de faible intensité ne varie pas significati-vement selon le niveau d’éducation du ménage, ni selon la région de résidence6.

Cette moyenne varie, par contre, selon la saison : elle est, en effet, légèrement plus élevée au printemps et en été (4 heures et 52 minutes par jour) qu’en automne et en hiver (respectivement, 4 heures et 39 minutes par jour et 4 heures et 40 minutes par jour). Après standardisation pour l’âge et le sexe, les enfants font significativement plus d’activités physiques de faible intensité en été qu’en hiver.

Figure 2 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques de faible intensité chez les enfants (de 3 à 9 ans), par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

5 Il s’agit de la somme de la durée pendant laquelle l’accéléromètre a été porté et des activités rapportées dans le journal de bord. Le temps passé à dormir n’est donc pas considéré ici.

6 Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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3.1.2. Activités physiques d’intensité modérée à soutenue

En Belgique, en 2014, les enfants (de 3 à 9 ans) effectuent, en moyenne, 60 minutes par jour d’activités physiques d’intensité modérée (la marche, par exemple) à soutenue (du basket, par exemple). La pratique d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue est similaire en semaine et le week-end (8,2 % du temps d’éveil).

Les garçons font davantage d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue (66 minutes par jour) que les filles (54 minutes par jour), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge. Cette durée moyenne est, en outre, plus élevée chez les enfants âgés de 6 à 9 ans (62 minutes par jour) que chez les plus jeunes, âgés de 3 à 5 ans (57 minutes par jour). Bien que cette différence soit relativement limitée (environ 5 minutes), celle-ci s’avère significative après standardisation pour le sexe. La Figure 3 met en évidence que cette différence entre catégories d’âge s’avère plus marquée chez les garçons que chez les filles.

Il n’existe pas de différence à ce sujet en fonction du niveau d’éducation du ménage. Une différence régio-nale a, par contre, été observée : après standardisation pour l’âge et le sexe, les enfants résidant en Flandre font significativement plus d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue (62 minutes par jour) que les enfants résidant en Wallonie (55 minutes par jour).

Le temps passé, en moyenne, à pratiquer des activités physiques d’intensité modérée à soutenue est le plus faible en automne (55 minutes par jour) et le plus élevé au printemps (64 minutes par jour). Après standardisation pour l’âge et le sexe, les enfants font significativement plus d’activités physiques d’inten-sité modérée à soutenue au printemps qu’en automne ou en hiver.

Enfin, une relation entre l’indice de masse corporelle (IMC7) et la durée quotidienne moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue a été mise en évidence. Les enfants souffrant d’obésité passent, en effet, moins de temps que les enfants ayant un IMC inférieur (carence pondérale, normal ou surpoids) à réaliser des activités physiques de ce niveau d’intensité (44 minutes par jour contre 55 minutes par jour pour les enfants en carence pondérale ou en surpoids et 62 minutes par jour pour les enfants ayant un IMC considéré comme normal). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

Figure 3 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les enfants (de 3 à 9 ans), par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

7 Pour davantage d’informations sur l’IMC, se référer au Chapitre « Anthropométrie » du premier rapport.

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3.2. RECOMMANDATIONS EN MATIÈRE D’ACTIVITÉ PHYSIQUE

La proportion d’enfants (de 3 à 9 ans) rencontrant les recommandations en matière d’activité physique a été évaluée au départ des données d’accélérométrie. Il est important de noter que ces recommandations varient pour les deux catégories d’âge étudiées (3-5 ans versus 6-9 ans), ceci expliquant en grande partie les différentes prévalences observées pour ces deux tranches d’âge.

3.2.1. Enfants âgés de 3 à 5 ans

Pour les enfants âgés de 3 à 5 ans, il est recommandé d’effectuer un minimum quotidien de trois heures d’activités physiques de tous niveaux d’intensité (faible, modérée ou soutenue) (21;22;24). Pour rappel, un enfant est ici considéré comme respectant cette recommandation uniquement si un minimum de trois heures d’activités physiques d’intensité faible, modérée ou soutenue a été enregistré chaque jour valide durant lequel il a porté l’accéléromètre.

En Belgique, en 2014, 96,2 % des enfants âgés de 3 à 5 ans effectuent un minimum de trois heures d’activi-tés physiques d’intensité faible, modérée ou soutenue chaque jour. Ce pourcentage ne varie pas significa-tivement selon le genre, le niveau d’éducation des parents, la région de résidence ou la saison.

Par ailleurs, la quasi-totalité (99,2 %8) des jours valides durant lesquels l’activité physique a été mesu-rée chez les enfants âgés de 3 à 5 ans comporte un minimum de trois heures d’activités physiques, tous niveaux d’intensité confondus.

3.2.2. Enfants âgés de 6 à 9 ans

Pour les enfants et adolescents à partir de 6 ans, l’OMS recommande la pratique d’un minimum de 60 minutes d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue chaque jour (3). Dans cette étude, un enfant est considéré comme respectant cette recommandation uniquement si un minimum de 60 minutes d’acti-vités physiques d’intensité modérée à soutenue a été enregistré chaque jour valide durant lequel il a porté l’accéléromètre.

En Belgique, en 2014, seuls 6,5 % des enfants âgés de 6 à 9 ans effectuent au moins 60 minutes d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue chaque jour. Cette prévalence est significativement plus élevée chez les garçons (11,3 %) que chez les filles (1,6 %) (OR 7,58 ; IC 95 % 2,17-26,54).

Le pourcentage d’enfants (de 6 à 9 ans) respectant cette recommandation varie selon le niveau d’éducation du ménage : il est plus élevé chez les enfants dont les parents (ou tuteur) ont un niveau d’éducation relati-vement faible (sans diplôme, diplôme de primaire ou de secondaire) (10,4 %) que chez les enfants dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur de type court (3,3 %). Cette différence est significative après standardisation pour le sexe (OR 3,65 ; IC 95 % 1,13-11,83).

Aucune différence n’a, par contre, été observée selon la région de résidence, ni selon la saison.

Par ailleurs, 45,5 %9 de l’ensemble des jours valides durant lesquels l’activité physique a été mesurée chez les enfants âgés de 6 à 9 ans comportent un minimum de 60 minutes d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue. Ce pourcentage est de 55,0 % chez les garçons et de 35,0 % chez les filles.

3.3. DOMAINES D’ACTIVITÉ PHYSIQUE

Le contexte dans lequel les enfants (de 3 à 9 ans) pratiquent des activités physiques et le type d’acti-vités réalisées ont été décrits sur base des résultats issus du questionnaire provenant de l’étude euro-péenne ToyBox. Ces résultats sont présentés dans cette section selon les trois domaines d’activité physique abordés :

• l’utilisation d’un mode de transport actif pour se rendre à l’école ;

• la pratique d’un sport au sein d’un club sportif ;

• la pratique d’activités physiques pendant le temps libre (jeux d’extérieur actifs).

8 Pourcentage non pondéré.9 Pourcentage non pondéré.

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3.3.1. Transport actif pour se rendre à l’école

PRÉVALENCES

En Belgique, en 2014, 21,0 % des enfants (de 3 à 9 ans) utilisent uniquement un mode de transport actif pour se rendre à l’école. Plus globalement, ce sont 47,6 % des enfants qui utilisent un mode de transport actif pour se rendre à l’école, éventuellement en plus d’un mode de transport passif10. 22,2 % des enfants se rendent à l’école à vélo (parmi laquelle une minorité utilise une trottinette ou un skateboard) et 35,4 % s’y rendent à pied (plusieurs modes de transport par enfant étant possibles).

Les enfants âgés de 6 à 9 ans sont moins nombreux (31,8 %) que les enfants âgés de 3 à 5 ans (40,6 %) à se rendre à pied à l’école, une différence qui s’avère significative après standardisation pour le sexe (OR 0,68 ; IC 95 % 0,49-0,93).

Les enfants dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur (de type court ou long) sont moins nombreux à se rendre à pied à l’école (respectivement, 28,5 % et 32,9 %), en comparaison aux enfants dont les parents ont un niveau d’éducation plus faible (43,5 %). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe (type court : OR 0,51 ; IC 95 % 0,35-0,75 – type long : OR 0,62 ; IC 95 % 0,42-0,92).

L’utilisation d’un mode de transport actif pour se rendre à l’école est moins répandue parmi les enfants résidant en Wallonie que parmi ceux résidant en Flandre (33,4 % versus 53,8 %), une différence qui est significative après standardisation pour l’âge et le sexe (OR 0,34 ; IC 95 % 0,31-0,60). Cet écart s’explique essentiellement par une moindre utilisation du vélo pour se rendre à l’école chez les enfants domiciliés en Wallonie, en comparaison à ceux habitant en Flandre (3,6 % versus 36,2 %), une telle différence étant significative après standardisation pour l’âge et le sexe (OR 0,07 ; IC 95 % 0,03-0,13).

Le pourcentage d’enfants qui se rendent à l’école à pied ne varie pas significativement selon le sexe, la région de résidence, l’IMC ou la saison. Le pourcentage d’enfants qui se rendent à l’école à vélo s’avère, quant à lui, relativement similaire quel que soit le sexe de l’enfant, son âge, son IMC, le niveau d’éducation des parents ou la saison.

DURÉE MOYENNE

Les enfants ayant recours à un mode de transport actif (marche et/ou vélo) pour se rendre à l’école consacrent, en moyenne, 1 heure et 40 minutes par semaine à ces déplacements. Ici également, une dif-férence régionale est observée : les enfants habitant en Wallonie consacrent ainsi moins de temps à l’uti-lisation d’un mode de transport actif pour se rendre à l’école que les enfants résidant en Flandre (1 heure et 24 minutes par semaine versus 1 heure et 42 minutes par semaine). Cette différence s’avère significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

Aucune différence significative n’a été observée à ce sujet selon le sexe, l’âge, le niveau d’éducation des parents, l’IMC ou la saison.

Il existe une relation significative entre l’utilisation d’un mode de transport actif pour se rendre à l’école et la distance à parcourir entre le domicile et l’école. Plus précisément, le pourcentage d’enfants utilisant un mode de transport actif pour se rendre à l’école s’avère supérieur parmi les enfants habitant à maximum deux kilomètres de l’école que parmi ceux habitant à une distance supérieure (Tableau 2).

10 Chaque répondant pouvait, en effet, indiquer plusieurs modes de transport, actif ou passif, à cette question.

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Tableau 2 | Distribution des enfants (de 3 à 9 ans) selon le mode de transport utilisé (passif ou actif) et la distance à parcourir (plus ou moins de 2 km) pour se rendre à l’école (n = 1055), Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014.

Distance domicile-école

Moins de 2 km Plus de 2 km

Transport passif 17 % 36 %

Transport actif 40 % 7 %

Club sportif

En Belgique, en 2014, 56,0 % des enfants (de 3 à 9 ans) sont membres d’un club sportif. Ce pourcentage est plus élevé parmi les enfants âgés de 6 à 9 ans (64,8 %) que parmi les plus jeunes, âgés de 3 à 5 ans (43,6 %), cette différence étant significative après standardisation pour le sexe (OR 2,39 ; IC 95 % 1,76-3,23) (Figure 4).

Une relation entre cette prévalence et le niveau d’éducation a également été observée : ainsi, les enfants dont les parents possèdent un diplôme de l’enseignement supérieur de type court (62,5 %) ou long (63,3 %) sont plus nombreux à être membres d’un club sportif que les enfants dont les parents ont un niveau d’éducation plus faible (44,5 %). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe (type court OR 2,16 ; IC 95 % 1,48-3,14 – type long : OR 2,28 ; IC 95 % 1,57-3,32).

Après standardisation pour l’âge et le sexe, les enfants souffrant d’obésité sont, quant à eux, moins nom-breux à être membres d’un club sportif (39,0 %), en comparaison aux enfants ayant un IMC considéré comme normal (57,7 %) (OR 0,41 ; IC 95 % 0,18-0,95). Cette différence n’est cependant plus significative après standardisation supplémentaire pour le niveau d’éducation des parents.

Le pourcentage d’enfants étant membres d’un club sportif ne varie pas significativement selon le sexe, la région de résidence ou la saison.

Figure 4 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui sont membres d’un club de sport, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

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Les enfants membres d’un club de sport consacrent, en moyenne, 2 heures et 23 minutes par semaine à la pratique d’activités sportives au sein d’un club sportif pendant leur temps libre. Cette durée moyenne est plus élevée chez les garçons (2 heures et 36 minutes par semaine) que chez les filles (2 heures et 10 minutes par semaine), une différence qui est significative après standardisation pour l’âge (Figure 5). La Figure 5 met, en outre, en évidence que cette différence entre genres se marque essentiellement dans la catégorie d’âge 6-9 ans.

Les enfants âgés de 6 à 9 ans consacrent davantage de temps à la pratique d’un sport au sein d’un club (2 heures et 45 minutes par semaine) que les enfants plus jeunes, âgés de 3 à 5 ans (1 heure et 37 minutes par semaine) (Figure 5). Cette différence s’avère significative après standardisation pour le sexe.

Aucune différence significative n’a, par contre, été observée à ce sujet selon le niveau d’éducation des parents, la région de résidence, l’IMC ou la saison.

Figure 5 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) membres d’un club sportif exercent un sport au sein d’un club sportif, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

Les sports les plus fréquemment pratiqués, au sein d’un club sportif, par les enfants membres d’un club, sont : la natation (30,5 %), la danse (25,1 %), le football (20,7 %) et la psychomotricité (14,8 %) (Tableau 3).

La popularité des sports varie fortement en fonction du sexe. Le football et les sports de combat sont plus souvent pratiqués par les garçons, tandis que la danse et l’équitation sont davantage populaires parmi les filles. Des écarts moins importants ont été observés pour les autres catégories de sport étudiées.

La popularité des sports pratiqués par les enfants varient également selon le groupe d’âge. Ainsi, les plus jeunes enfants (de 3 à 5 ans) sont plus nombreux à pratiquer la natation et la psychomotricité (respec-tivement, 37,3 % et 28,8 %) que les enfants âgés de 6 à 9 ans (respectivement, 26,3 % et 6,1 %). En règle générale, les autres sports mentionnés sont davantage pratiqués par les enfants âgés de 6 à 9 ans que par les plus jeunes, âgés de 3 à 5 ans.

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Tableau 3 | Distribution des sports que les enfants (de 3 à 9 ans) exercent au sein d’un club sportif (nombre de réponses divisé par le nombre de répondants ; ntotal = 610 ; ngarçons = 313 ; nfilles = 297), Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

Sports (TX05) % brut total % brut garçons % brut filles

Natation 30,5 31,6 29,3

Danse 25,1 1,9 49,5

Football 20,7 39,0 1,3

Psychomotricité 14,8 12,8 16,8

Sports de combat 8,5 12,1 4,7

Tennis 6,2 8,9 3,4

Autres sports 5,4 6,4 5,1

Equitation 5,4 1,9 9,1

Sports de balle 5,4 5,8 5,1

Gymnastique 3,0 1,9 4,0

Athlétisme et course à pied 2,8 2,9 2,7

Multisports 2,0 2,2 1,7

TOTAL* 129,8 127,4 132,7

* Le total est supérieur à 100 % car chaque répondant pouvait donner plusieurs réponses.

Légende:

• Danse : danse classique, streetdance, jazz, capoeira, etc. ;

• Gymnastique : gymnastique, gymnastique acrobatique, gymnastique au sol, trampoline, cirque, etc. ;

• Sports de combat : aïkido, boxe, judo, karaté, jiu-jitsu, tai-jutsi, taekwondo, qwan ki do et kung-fu ;

• Athlétisme et course à pied : athlétisme, course à pied et triathlon ;

• Sports de balle : basketball, volleyball, handball, « korfbal » ;

• Autres sports : hockey, badminton, ping-pong, squash, vélo, patinage (artistique), saut à la corde, roller et waterpolo.

Certaines différences sont également notées à ce sujet selon la région de résidence (Wallonie versus Flandre). La psychomotricité s’avère ainsi être plus populaire en Flandre (20,1 %) qu’en Wallonie (6,5 %), tandis que la natation et l’équitation sont davantage pratiquées en Wallonie (respectivement, 36,1 % et 10,2 %) qu’en Flandre (respectivement, 26,3 % et 2,8 %).

3.3.2. Temps libre : jeux actifs à l’extérieur

PRÉVALENCES

En Belgique, en 2014, 79,4 % des enfants (de 3 à 9 ans) ont joué dehors de manière active le jour de semaine ayant précédé l’interview, tandis que 82,3 % des enfants ont joué dehors de manière active le jour de week-end ayant précédé l’interview. Ces pourcentages ne varient pas significativement selon l’âge ni le sexe.

Tant en semaine que le week-end, les enfants dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur de type long sont plus nombreux à jouer de manière active à l’extérieur (85,9 % en semaine et 90,6 % le week-end) que les enfants dont les parents n’ont pas de diplôme ou ont un diplôme de primaire ou un diplôme de secondaire (75,0 % en semaine et 76,2 % le week-end). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe (jour de semaine : OR 2,04 ; IC 95 % 1,32-3,14 – jour de week-end : OR 3,04 ; IC 95 % 1,91-4,84).

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Une différence régionale a également été observée à ce sujet : en semaine comme le week-end, les enfants résidant en Wallonie sont, en effet, moins nombreux (76,1 % en semaine et 78,9 % le week-end) que ceux résidant en Flandre (82,8 % en semaine et 85,4 % le week-end) à jouer de manière active à l’extérieur. Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe (jour de semaine : OR 0,66 ; IC 95 % 0,46-0,95 – jour de week-end : OR 0,64 ; IC 95 % 0,43-0,94).

L’IMC s’avère aussi être relié à la pratique de jeux actifs à l’extérieur : en semaine et le week-end, les enfants souffrant d’obésité sont ainsi moins nombreux à jouer dehors de manière active (55,4 % en semaine et 60,4 % le week-end) que les enfants ayant un IMC normal (80,4 % en semaine et 83,9 % le week-end). De telles différences sont significatives après standardisation pour l’âge, le sexe et le niveau d’éducation des parents (jour de semaine : OR 0,32 ; IC 95 % 0,13-0,76 – jour de week-end : OR 0,30 ; IC 95 % 0,14-0,65).

En semaine comme le week-end, le pourcentage d’enfants jouant dehors de manière active s’avère plus élevé au printemps (87,5 % en semaine et 87,3 % le week-end) et en été (90,0 % en semaine et 85,1 % le week-end) qu’en hiver (68,9 % en semaine et 75,0 % le week-end). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

DURÉE MOYENNE

Les enfants ayant joué dehors de manière active y ont consacré, en moyenne, 2 heures et 24 minutes par jour en semaine et 3 heures et 53 minutes par jour le week-end. Les enfants passent donc significativement plus de temps à jouer activement à l’extérieur le week-end qu’en semaine.

Le temps moyen qu’ont passé les enfants à jouer dehors de manière active, en semaine ou le week-end, ne varie pas significativement selon le sexe. Celui-ci varie, par contre, en fonction de l’âge : ainsi, en semaine, les enfants les plus jeunes (de 3 à 5 ans) ont consacré significativement plus de temps (2 heures et 37 minutes par jour) à jouer dehors de manière active que les enfants âgés de 6 à 9 ans (2 heures et 15 minutes par jour) (Figure 6). Cette différence est significative après standardisation pour le sexe.

Figure 6 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) ont joué dehors de manière active le jour de semaine et de week-end ayant précédé l’interview, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

Une différence régionale importante a été notée au niveau de la durée quotidienne consacrée par les enfants à jouer dehors de manière active en semaine et le week-end. Ainsi, les enfants résidant en Flandre passent, en moyenne, davantage de temps (2 heures et 36 minutes par jour) à jouer activement à l’exté-rieur un jour de semaine que les enfants habitant en Wallonie (2 heures et 8 minutes par jour). Le week-end, par contre, ce sont les enfants résidant en Wallonie qui consacrent davantage de temps (4 heures et

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34 minutes par jour) à de tels jeux que les enfants habitant en Flandre (3 heures et 30 minutes par jour). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

Le fait de jouer activement à l’extérieur varie également selon la saison. En semaine comme le week-end, les enfants passent davantage de temps à jouer activement dehors au printemps (2 heures et 31 minutes par jour en semaine et 4 heures et 51 minutes par jour le week-end) et en été (3 heures et 15 minutes par jour en semaine et 4 heures et 12 minutes par jour le week-end) qu’en hiver (1 heure et 44 minutes par jour en semaine et 2 heures et 50 minutes par jour le week-end). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

La durée quotidienne moyenne pendant laquelle les enfants jouent activement à l’extérieur – en semaine et le week-end – ne varie, par contre, pas significativement selon le niveau d’éducation des parents ni selon l’IMC de l’enfant.

SÉDENTARITÉ

La durée totale des activités de type sédentaire chez les enfants (de 3 à 9 ans) a été évaluée au départ des données issues des accéléromètres, complétées par les données provenant des journaux de bord.

Le comportement sédentaire des enfants a ensuite été décrit sur base des résultats issus du questionnaire provenant de l’étude européenne ToyBox et portant sur :

• l’utilisation d’un mode de transport passif pour se rendre à l’école ;

• les activités sédentaires effectuées pendant le temps libre, à savoir les jeux calmes et les activités sur écrans (télévision, ordinateur).

Enfin, les résultats issus du questionnaire ToyBox ont été utilisés afin de calculer le pourcentage d’enfants dépassant les limites recommandées en ce qui concerne le temps maximal à consacrer aux activités sur écrans. Ces recommandations varient pour les deux catégories d’âge étudiées (3-5 ans versus 6-9 ans), ceci contribuant à expliquer les différentes prévalences observées pour ces deux tranches d’âge.

3.3.3. Durée totale des activités sédentaires

En Belgique, en 2014, les enfants (de 3 à 9 ans) passent, en moyenne, 6 heures et 27 minutes par jour à effectuer des activités de type sédentaire, telles qu’être assis calmement, lire ou regarder la télévision. Le temps que consacrent les enfants aux activités sédentaires est similaire en semaine (52,6 % du temps moyen d’une journée) et le week-end (52,7 %).

Les filles consacrent, en moyenne, plus de temps à réaliser des activités sédentaires (6 heures et 34 minutes par jour) que les garçons (6 heures et 21 minutes par jour), cette différence étant significative après stan-dardisation pour l’âge. La Figure 7 met cependant en évidence que cette différence entre genre se marque davantage dans la catégorie d’âge 3-5 ans que dans la catégorie 6-9 ans.

La durée moyenne des activités sédentaires augmente, en outre, d’une catégorie d’âge à l’autre : après standardisation pour le sexe, celle-ci est significativement plus élevée chez les enfants âgés de 6 à 9 ans (6 heures et 50 minutes par jour) que chez les enfants plus jeunes, âgés de 3 à 5 ans (5 heures et 51 minutes par jour) (Figure 7).

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Figure 7 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités de type sédentaire chez les enfants (de 3 à 9 ans), par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

La durée moyenne des activités de type sédentaire chez les enfants ne varie pas significativement selon le niveau d’éducation du ménage. Une différence régionale est, par contre, observée : en moyenne, les enfants domiciliés en Wallonie sont, en effet, plus sédentaires (6 heures et 37 minutes par jour) que ceux résidant en Flandre (6 heures et 21 minutes par jour). Cette différence est significative après standardisa-tion pour l’âge et le sexe.

Le temps passé à réaliser des activités de type sédentaire varie selon la saison : cette durée moyenne est de 6 heures et 37 minutes par jour en hiver, 6 heures et 34 minutes par jour en automne, 6 heures et 28 minutes par jour au printemps et 6 heures et 11 minutes par jour en été. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les enfants consacrent significativement plus de temps à réaliser des activités sédentaires en hiver qu’en été.

Les enfants souffrant d’obésité sont ceux qui passent, en moyenne, le plus temps à effectuer des activités sédentaires (7 heures et 3 minutes par jour), suivis des enfants en situation de carence pondérale (6 heures et 44 minutes par jour) et de ceux en situation de surpoids (6 heures et 33 minutes par jour). A l’opposé, les enfants ayant un IMC considéré comme normal consacrent moins de temps à réaliser des activités séden-taires (6 heures et 23 minutes par jour). Après standardisation pour l’âge et le sexe, ces différences ne sont toutefois pas significatives.

3.3.4. Domaines d’activités sédentaires

TRANSPORT PASSIF POUR SE RENDRE À L’ÉCOLE

En Belgique, en 2014, 52,4 % des enfants (de 3 à 9 ans) utilisent uniquement un mode de transport passif (à vélo avec les parents, en poussette, en transports en commun, en voiture ou en moto) pour se rendre à l’école. Plus globalement, ce sont 79,0 % des enfants qui utilisent un mode de transport passif pour se rendre à l’école, éventuellement en plus d’un mode de transport actif11. 10 % des enfants se rendent à l’école à vélo avec leurs parents (ou en poussette), 9 % en transports en commun et 73 % en voiture ou en moto.

En Wallonie, les enfants sont plus nombreux (85,4 %) qu’en Flandre (76,3 %) à utiliser un mode de transport passif pour se rendre à l’école, cette différence étant significative après standardisation pour l’âge et le sexe (OR 1,81 ; IC 95 % 1,20-2,75). Cet écart s’explique essentiellement par une plus grande utilisation de la voiture ou de la moto chez les enfants résidant en Wallonie (82,4 %) que chez ceux habitant en Flandre 11 Chaque répondant pouvait, en effet, indiquer plusieurs modes de transport, actif ou passif, à cette question.

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(69,0 %), une telle différence étant significative après standardisation pour l’âge et le sexe (OR 2,10 ; IC 95 % 1,44-3,07).

Le pourcentage d’enfants se rendant à l’école assis sur le vélo de leurs parents ou en poussette est plus faible parmi les enfants âgés de 6 à 9 ans (5,7 %) que parmi les enfants plus jeunes, âgés de 3 à 5 ans (14,8 %). Cette différence est significative après standardisation pour le sexe (OR 0,35 ; IC 95 % 0,21-0,60). En analogie à l’utilisation du vélo en tant que tel (cf. Section 3.3.1), le fait de se rendre à l’école à vélo avec les parents est moins répandu en Wallonie (4,2 %) qu’en Flandre (12,4 %), une différence qui s’avère signifi-cative après standardisation pour l’âge et le sexe (OR 0,30 ; IC 95 % BI 0,15-0,62). Le pourcentage d’enfants qui se rendent à l’école assis sur le vélo de leurs parents (ou en poussette) ne varie, par contre, pas signifi-cativement selon le sexe, le niveau d’éducation des parents, l’IMC ou la saison.

Les enfants plus âgés (de 6 à 9 ans) sont, par contre, plus enclins que les plus jeunes (de 3 à 5 ans) à prendre les transports en commun pour se rendre à l’école, une différence qui est significative après standardi-sation pour le sexe (OR 2,06 ; IC 95 % 1,19-3,57). Le pourcentage d’enfants allant à l’école en transports en commun varie, en outre, selon le niveau d’éducation des parents : ainsi, les enfants dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur de type court ou long sont moins nombreux (5,7 % et 5,8 %, respectivement) que ceux dont les parents possèdent un niveau d’éducation relativement faible à utiliser ce mode de transport pour aller à l’école (14,0 %). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe (type court OR 0,36 ; IC 95 % 0,17-0,73 – type long : OR 0,38 ; IC 95 % 0,20-0,72). Par ailleurs, les enfants souffrant d’obésité sont plus nombreux (27,9 %) à prendre les transports en communs pour se rendre à l’école, en comparaison aux enfants ayant un IMC normal (8,9 %). Une telle différence est significative après standardisation pour l’âge, le sexe et le niveau d’éducation des parents (OR 3,62 ; IC 95 % 1,44-9,06). Le pourcentage d’enfants utilisant les transports en commun pour aller à l’école s’avère similaire quel que soit le sexe de l’enfant, la région de résidence ou la saison.

Contrairement à l’utilisation des transports en commun, l’utilisation de la voiture (ou de la moto) pour se rendre à l’école est plus répandue parmi les enfants dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur de type court ou long (77,1 % et 76,1 %, respectivement) que parmi les enfants dont les parents ont un niveau d’éducation relativement faible (67,3 %). Ces différences sont significatives après standardi-sation pour l’âge et le sexe (type court OR 1,64 ; IC 95 % 1,09-2,48 – type long : OR 1,56 ; IC 95 % 1,02-2,40). Le pourcentage d’enfants qui se rendent à l’école en voiture ou en moto ne varie, par contre, pas significa-tivement selon le sexe, l’âge, la région de résidence, l’IMC ou la saison.

Enfin, les enfants qui utilisent un mode de transport passif pour se rendre à l’école consacrent, en moyenne, 1 heure et 36 minutes par semaine à ce type de déplacements. Cette durée moyenne s’avère relativement similaire quel que soit le sous-groupe de la population considéré.

TEMPS LIBRE

Jeux calmes

En Belgique, en 2014, 93,9 % des enfants (de 3 à 9 ans) passent du temps à jouer calmement (par exemple, lire des livres, jouer à la poupée ou dessiner) pendant leur temps libre en semaine et 94,7 % des enfants consacrent du temps à de telles activités le week-end. En d’autres termes, la quasi-totalité des enfants consacre chaque jour du temps à des activités ludiques calmes. Ces pourcentages ne varient pas signifi-cativement selon l’âge de l’enfant, son sexe, le niveau d’éducation des parents, la région de résidence ou la saison.

Après standardisation pour l’âge, le sexe et le niveau d’éducation, les enfants souffrant d’obésité (77,7 %) (OR 0,16 ; IC 95 % 0,05-0,48) et ceux en situation de surpoids (86,0 %) (OR 0,25 ; IC 95 % 0,08-0,81) sont significativement moins nombreux que ceux ayant un IMC normal (95,5 %) à passer du temps à jouer calmement en semaine. Le week-end également, les enfants souffrant d’obésité (77,7 %) (OR 0,12 ; IC 95 % 0,04-0,39) et de surpoids (84,8 %) (OR 0,17 ; IC 95 % 0,05-0,54) sont significativement moins nombreux que les enfants ayant un IMC normal (96,6 %) à consacrer du temps à de telles activités.

Les enfants qui jouent à des jeux calmes consacrent, en moyenne, 54 minutes par jour à de telles activités en semaine et 2 heures et 3 minutes par jour le week-end. Les enfants passent donc significativement plus de temps à jouer calmement le week-end qu’en semaine.

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En semaine et le week-end, les filles passent davantage de temps (57 minutes par jour en semaine et 2 heures et 14 minutes par jour le week-end) que les garçons (50 minutes par jour en semaine et 1 heure et 51 minutes par jour le week-end) à jouer calmement pendant leur temps libre, des différences qui sont significatives après standardisation pour l’âge (Figure 8). Tant en semaine que le week-end, les enfants les plus jeunes (de 3 à 5 ans) consacrent également plus de temps (1 heure et 4 minutes par jour en semaine et 2 heures et 19 minutes par jour le week-end) que les enfants âgés de 6 à 9 ans (46 minutes par jour en semaine et 1 heure et 51 minutes par jour le week-end) à jouer calmement, cette différence étant signifi-cative après standardisation pour le sexe (Figure 8).

Le week-end plus particulièrement, les enfants dont les parents sont diplômés de l’enseignement supé-rieur de type long jouent plus longtemps (2 heures et 13 minutes par jour) à des activités calmes que les enfants dont les parents ont un niveau d’éducation relativement faible (1 heure et 52 minutes par jour). Cette différence est significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

Figure 8 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) jouent calmement à la maison pendant leur temps libre en semaine et le week-end, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

Après standardisation pour l’âge et le sexe, les enfants passent significativement plus de temps à jouer calmement le week-end en hiver (2 heures et 11 minutes par jour) qu’au printemps (1 heure et 52 minutes par jour).

La durée moyenne des jeux calmes en semaine ne varie pas significativement selon le niveau d’éducation des parents, la région de résidence, l’IMC ou la saison. La durée moyenne des jeux calmes le week-end ne varie, quant à elle, pas significativement selon la région de résidence ni selon l’IMC.

Activités sur écrans

Dans cette section, le « temps passé devant des écrans » concerne toutes les activités sur écrans effectuées par les enfants (de 3 à 9 ans), à savoir regarder la télévision ou des DVD, jouer à des jeux vidéo (Playstation ou Xbox, par exemple) ou utiliser l’ordinateur.

Les enfants qui regardent la télévision et/ou utilisent l’ordinateur passent, en moyenne, 1 heure et 12 minutes par jour devant des écrans en semaine et 2 heures et 29 minutes par jour le week-end. Comme pour les précédentes activités abordées, les enfants passent significativement plus de temps devant des écrans le week-end qu’en semaine.

En semaine et le week-end, les garçons consacrent davantage de temps (1 heures et 18 minutes par jour en semaine et 2 heures et 46 minutes par jour le week-end) aux activités sur écrans que les filles (1 heure et 6 minutes par jour en semaine et 2 heures et 11 minutes par jour le week-end). Ces différences sont signi-

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ficatives après standardisation pour l’âge. Les enfants âgés de 6 à 9 ans passent également plus de temps (1 heure et 18 minutes par jour en semaine et 2 heures et 46 minutes par jour le week-end) devant des écrans que les enfants plus jeunes, âgés de 3 à 5 ans (1 heure et 3 minutes par jour en semaine et 2 heures et 5 minutes par jour le week-end). La Figure 9 met, en outre, en évidence que la différence entre genres à ce sujet se marque davantage dans la catégorie d’âge 6-9 ans.

Figure 9 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les enfants (de 3 à 9 ans) devant des écrans (télévision et ordinateur) pendant leur temps libre en semaine et le week-end, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

Le temps passé par les enfants devant des écrans varie également selon le niveau d’éducation des parents. En effet, en semaine et le week-end, cette durée moyenne a tendance à augmenter lorsque le niveau d’éducation des parents diminue. En semaine, cette durée moyenne passe ainsi de 60 minutes par jour chez les enfants dont les parents ont le niveau d’éducation le plus élevé à 1 heure et 31 minutes par jour chez les enfants dont les parents ont le niveau d’éducation le plus faible. De même, le week-end, cette durée moyenne passe de 1 heure et 59 minutes par jour chez les enfants dont les parents ont le niveau d’éducation le plus élevé à 2 heures et 57 minutes par jour chez les enfants dont les parents ont le niveau d’éducation le plus faible.

Une relation a aussi été observée à ce sujet en fonction de l’IMC : en semaine comme le week-end, les enfants souffrant d’obésité passent, en effet, significativement plus de temps (2 heures et 22 minutes par jour en semaine et 4 heures et 42 minutes par jour le week-end) que les enfants ayant un IMC normal (1 heure et 7 minutes par jour en semaine et 1 heure et 55 minutes par jour le week-end) devant des écrans. Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge, le sexe et le niveau d’éducation des parents.

En semaine, plus particulièrement, les enfants résidant en Flandre passent, en moyenne, significativement plus de temps (1 heure et 17 minutes par jour) que ceux résidant en Wallonie (1 heure et 6 minutes par jour) devant des écrans et ce, après standardisation pour l’âge et le sexe.

Le temps consacré par les enfants aux activités sur écrans en semaine ne varie pas significativement selon la saison. En outre, le temps consacré aux activités sur écrans le week-end ne varie pas significativement selon la région de résidence ni selon la saison.

Télévision

En Belgique, en 2014, 95,4 % des enfants (de 3 à 9 ans) regardent généralement la télévision en semaine et 98,2 % le week-end. En d’autres termes, la quasi-totalité des enfants regarde quotidiennement la télévision (y compris des DVD ou vidéos).

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Les enfants qui regardent la télévision y consacrent, en moyenne, 54 minutes par jour en semaine et 1 heure et 54 minutes par jour le week-end. Les enfants passent donc significativement plus de temps à regarder la télévision pendant le week-end qu’en semaine.

Les garçons regardent davantage la télévision (2 heures et 2 minutes par jour) que les filles (1 heure et 46 minutes par jour) le week-end, une différence qui est significative après standardisation pour l’âge. Les enfants âgés de 6 à 9 ans regardent également davantage la télévision le week-end (2 heures et 1 minute par jour) que les enfants âgés de 3 à 5 ans (1 heure et 44 minutes par jour), cette différence étant significa-tive après standardisation pour le sexe. La Figure 10 met, en outre, en évidence que la différence observée entre genres se marque essentiellement dans la catégorie d’âge 6-9 ans.

Figure 10 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) regardent la télévision en semaine et le-weekend, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

La durée quotidienne moyenne consacrée par les enfants à la télévision, en semaine et le week-end, a tendance à augmenter lorsque le niveau d’éducation des parents diminue. Un tel gradient s’avère signi-ficatif après standardisation pour l’âge et le sexe. Ainsi, en semaine, les enfants dont les parents ont le niveau d’éducation le plus faible regardent la télévision pendant, en moyenne, 1 heure et 8 minutes par jour, tandis que les enfants dont les parents ont le niveau d’éducation le plus élevé la regardent pendant, en moyenne, 44 minutes par jour. D’autre part, le week-end, les enfants dont les parents ont le niveau d’éducation le plus faible regardent, en moyenne, la télévision pendant 2 heures et 16 minutes par jour, les enfants dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur de type court pendant 1 heure et 53 minutes par jour et les enfants dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur de type long pendant 1 heure et 30 minutes par jour.

En semaine comme le week-end, les enfants souffrant d’obésité regardent plus longtemps la télévision que les enfants ayant un IMC normal, une différence qui est significative après standardisation pour l’âge et le sexe. Cette différence ne s’avère cependant plus significative après standardisation supplémentaire selon le niveau d’éducation des parents. Ceci peut s’expliquer par la relation existant, d’une part, entre l’IMC et le niveau d’éducation et, d’autre part, entre le niveau d’éducation et le fait de regarder la télévision.

La durée moyenne pendant laquelle les enfants regardent la télévision, en semaine et le week-end, ne varie pas significativement selon la région de résidence ni selon la saison.

Utilisation de l’ordinateur et jeux vidéo

En Belgique, en 2014, 55,5 % des enfants (de 3 à 9 ans) utilisent l’ordinateur ou la console de jeux en semaine et 68,6 % des enfants le week-end. Il y a donc significativement plus d’enfants qui utilisent l’ordi-nateur ou la console le week-end qu’en semaine.

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En semaine comme le week-end, les filles sont moins nombreuses (49,5 % en semaine et 62,0 % le week-end) que les garçons (61,3 % en semaine et 74,9 % le week-end) à utiliser l’ordinateur ou la console de jeux. Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge (jour de semaine : OR 0,61 ; IC 95 % 0,45-0,82 – jour de week-end : OR 0,52 ; IC 95 % 0,38-0,72) (Figure 11). Ces pourcentages sont également plus élevés parmi les enfants âgés de 6 à 9 ans (65,3 % en semaine et 79,5 % le week-end) que parmi les plus jeunes, âgés de 3 à 5 ans (41,7 % en semaine et 53,2 % le week-end). Ces différences sont significatives après standardisation pour le sexe (jour de semaine : OR 2,66 ; IC 95 % 1,97-3,61 et jour de week-end : OR 3,50 ; IC 95 % 2,53-4,85) (Figure 11).

En semaine et le week-end, les enfants habitant en Wallonie sont moins nombreux (47,4 % en semaine et 61,2 % le week-end) que ceux habitant en Flandre (63,1 % en semaine et 75,0 % le week-end) à utiliser l’ordinateur ou la console de jeux. Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe (jour de semaine : OR 0,49 ; IC 95 % 0,36-0,68 – jour de week-end : OR 0,48 ; IC 95 % 0,34-0,68).

En semaine, plus spécifiquement, davantage d’enfants souffrant d’obésité (73,6 %) que d’enfants ayant un IMC normal utilisent l’ordinateur (55,4 %) (OR 2,16;  IC 95 % 1,01-4,63). Bien qu’étant significative après standardisation pour l’âge et le sexe, cette différence n’est toutefois plus significative après standardisation supplémentaire pour le niveau d’éducation des parents.

Le pourcentage d’enfants utilisant l’ordinateur, en semaine et le week-end, ne varie pas significativement selon le niveau d’éducation des parents ni selon la saison.

Figure 11 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui utilisent l’ordinateur ou la console de jeux, en semaine et le week-end, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

Les enfants utilisant l’ordinateur ou une console de jeux y consacrent, en moyenne, 32 minutes par jour en semaine et 52 minutes par jour le week-end. Ici également, les enfants consacrent significativement plus de temps à cette activité le week-end qu’en semaine.

En semaine comme le week-end, les enfants âgés de 6 à 9 ans consacrent significativement plus de temps à utiliser l’ordinateur ou la console de jeux (34 minutes par jour en semaine et 58 minutes par jour le week-end) que les enfants âgés de 3 à 5 ans (27 minutes par jour en semaine et 41 minutes par jour le week-end) et ce, après standardisation pour le sexe (Figure 12).

Le week-end, plus particulièrement, les garçons passent davantage de temps (60 minutes par jour) que les filles (42 minutes par jour) à utiliser l’ordinateur ou la console de jeux, cette différence étant significative après standardisation pour l’âge (Figure 12). Le week-end également, les enfants dont les parents ont un niveau d’éducation relativement faible (sans diplôme, diplôme de primaire ou de secondaire) consacrent plus de temps (60 minutes par jour) à l’ordinateur ou aux jeux vidéo que les enfants dont les parents sont

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diplômés de l’enseignement supérieur de type long (43 minutes par jour). Cette différence est significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

Tant en semaine que le week-end, les enfants souffrant d’obésité consacrent davantage de temps (1 heure et 27 minutes par jour en semaine et 2 heures et 10 minutes par jour le week-end) que les enfants ayant un IMC normal (27 minutes par jour en semaine et 49 minutes par jour le week-end) à l’ordinateur ou la console de jeux. Une telle différence reste significative après standardisation pour l’âge, le sexe et le niveau d’éducation des parents.

La durée moyenne pendant laquelle les enfants utilisent l’ordinateur ou la console de jeux en semaine ne varie pas significativement selon le sexe, le niveau d’éducation des parents, la région de résidence ou la saison. D’autre part, la durée moyenne pendant laquelle les enfants utilisent l’ordinateur ou la console le week-end ne varie pas significativement selon la région de résidence ni selon la saison.

Figure 12 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) utilisent l’ordinateur ou la console de jeux, en semaine et le week-end, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

3.3.5. Recommandations concernant le temps passé devant des écrans

ENFANTS ÂGÉS DE 3 À 5 ANS

Pour les enfants âgés de 3 à 5 ans, il est recommandé de limiter à maximum une heure par jour la durée quotidienne consacrée aux activités sur écrans (21;22). En Belgique, en 2014, 35,4 % des enfants âgés de 3 à 5 ans ne suivent pas cette recommandation en semaine et 74,8 % des enfants âgés de 3 à 5 ans ne suivent pas cette recommandation le week-end.

Davantage de garçons (81,6 %) que de filles (67,7 %) ne suivent pas cette recommandation le week-end et passent plus d’une heure par jour devant des écrans. Cette différence est significative après standardi-sation pour l’âge (OR 2,17 ; IC 95 % 1,20-3,92) (Figure 13). La Figure 13 met, en outre, en évidence que le pourcentage d’enfants ne suivant pas la recommandation relative au temps passé devant des écrans a tendance à augmenter avec l’âge de façon linéaire. Cette augmentation linéaire s’avère plus marquée chez les garçons que chez les filles.

Tant la semaine que le week-end, le pourcentage d’enfants passant plus d’une heure par jour devant des écrans s’avère supérieur parmi les enfants dont les parents ont le niveau d’éducation le plus faible (53,4  % en semaine et 84,0 % le week-end) que parmi ceux dont les parents ont le niveau d’éducation le plus élevé (27,6 % en semaine et 62,0 % le week-end). Ces différences sont significatives après standardisation pour

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l’âge et le sexe (jour de semaine : OR 3,17 ; IC 95 % 1,59-6,30 – jour de week-end : OR 3,35 ; IC 95 % 1,65-6,81). En outre, en semaine, le pourcentage d’enfants ne suivant pas cette recommandation est également plus élevé parmi les enfants dont les parents n’ont pas de diplôme, ont un diplôme de primaire ou secon-daire (53,4 %) que parmi ceux dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur de type court (24,0 %), une différence qui est significative après standardisation pour l’âge et le sexe (OR 3,92 ; IC 95 % 1,94-7,93).

Figure 13 | Pourcentage d’enfants âgés de 3 à 5 ans passant plus d’une heure par jour devant des écrans en semaine et le week-end, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

En ce qui concerne la semaine, ce pourcentage ne varie pas significativement selon le sexe, la région de résidence, la saison ou l’IMC ; au niveau du week-end, ce pourcentage ne varie pas significativement selon la région de résidence, la saison ou l’IMC.

ENFANTS ÂGÉS DE 6 À 9 ANS

Pour les enfants âgés de 6 à 9 ans, il est recommandé de limiter à maximum deux heures par jour la durée quotidienne consacrée aux activités sur écrans (21;22). En Belgique, en 2014, 10,9 % des enfants âgés de 6 à 9 ans ne suivent pas cette recommandation en semaine et 53,7 % des enfants âgés de 6 à 9 ans ne suivent pas cette recommandation le week-end.

Davantage de garçons que de filles ne suivent pas cette recommandation et passent plus de deux heures par jour devant des écrans en semaine (15,8 % versus 5,9 %) et le week-end (65,4 % versus 42,3 %). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge (jour de semaine : OR 3,35 ; IC 95 % 1,66-6,75 – jour de week-end : OR 2,75 ; IC 95 % 1,79-4,23) (Figure 14). Le pourcentage d’enfants consacrant plus de deux heures par jour aux activités sur écrans a, en outre, tendance à augmenter avec l’âge de façon linéaire (Figure 14). Cette augmentation linéaire se marque davantage chez les garçons que chez les filles.

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Figure 14 | Pourcentage d’enfants âgés de 6 à 9 ans passant plus de deux heures par jour devant des écrans en semaine et le week-end, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

Comme cela avait été observé pour les enfants plus jeunes, le pourcentage d’enfants (de 6 à 9 ans) ne respectant pas la limite de deux heures par jour devant des écrans a tendance à augmenter lorsque le niveau d’éducation des parents diminue. Ainsi, les enfants dont les parents ont un niveau d’instruction relativement bas sont plus nombreux que les enfants dont les parents ont le niveau d’éducation le plus élevé à passer plus de deux heures par jour devant des écrans, tant la semaine (19,6 % contre 7,4 %) que le week-end (62,7 % contre 41,2 %). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe (jour de semaine : OR 2,86 ; IC 95 % 1,03-7,95 – jour de week-end : OR 2,25 ; IC 95 % 1,32-3,83). En outre, en semaine, le pourcentage d’enfants ne suivant pas cette recommandation s’avère plus élevé parmi les enfants dont les parents n’ont pas de diplôme, ont un diplôme de primaire ou de secondaire (19,6 %) que parmi ceux dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur de type court (4,3 %) ; cette différence est significative après standardisation pour l’âge et le sexe (OR 5,87 ; IC 95 % 2,53-13,60).

En semaine et le week-end, les enfants souffrant d’obésité sont plus nombreux (43,8 % en semaine et 92,5 % le week-end) que les enfants ayant un IMC normal (7,6 % en semaine et 50,8 % le week-end) à consacrer plus de deux heures par jour à des activités sur écrans. Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge, le sexe et le niveau d’éducation des parents (jour de semaine : OR 8,43 ; IC 95 % 2,85-24,94 – jour de week-end : OR 11,09 ; IC 95 % 2,16-57,0612). En outre, en semaine plus particulièrement, ce pourcentage est également plus élevé parmi les enfants en situation de surpoids (21,1 %) que parmi ceux ayant un IMC normal (7,6 %) (OR 3,10;  IC 95 % 1,29-7,44).

Le pourcentage d’enfants ne suivant pas les recommandations à ce sujet, en semaine et le week-end, ne varie, par contre, pas significativement selon la région de résidence ni selon la saison.

12 Les intervalles de confiance présentés ici sont importants en raison du pourcentage relativement faible d’enfants souffrant d’obésité.

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4. ACTIVITÉ PHYSIQUE ET SÉDENTARITÉ CHEz LES ADOLESCENTS

4.1. ACTIVITÉ PHYSIQUE

Le niveau d’activité physique des adolescents (de 10 à 17 ans) a été évalué au départ des données issues des accéléromètres, complétées par les données provenant des journaux de bord. Plus particulièrement, la durée moyenne des activités physiques de faible intensité, de même que la durée moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue ont été calculées et sont analysées dans cette section.

4.1.1. Activités physiques de faible intensité

En Belgique, en 2014, les adolescents (de 10 à 17 ans) passent, en moyenne, 3 heures et 21 minutes par jour à réaliser des activités physiques de faible intensité (faire la vaisselle, par exemple). Ces activités sont légèrement mais significativement plus importantes le week-end (26,5 % de la journée13 ; IC 95 % 25,8-27,2) qu’en semaine (25,8 % de la journée ; IC 95 % 25,1-26,4).

Les garçons font davantage d’activités physiques de faible intensité (3 heures et 28 minutes par jour) que les filles (3 heures et 14 minutes par jour), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge. Dans la continuité de ce qui avait été observé chez les enfants, le temps quotidien moyen passé à réaliser ce type d’activités diminue avec l’âge : après standardisation pour le sexe, cette moyenne est signi-ficativement inférieure chez les adolescents âgés de 14 à 17 ans (3 heures et 1 minute par jour) que chez ceux âgés de 10 à 13 ans (3 heures et 42 minutes par jour) (Figure 15).

La pratique d’activités physiques de faible intensité a tendance à diminuer lorsque le niveau d’éducation du ménage augmente. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les adolescents dont les parents ont un niveau d’instruction relativement bas (sans diplôme, diplôme de primaire ou de secondaire) font significa-tivement plus d’activités de ce type (3 heures et 29 minutes par jour) que les adolescents dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur de type long (3 heures et 14 minutes par jour).

Aucune différence significative n’a, par contre, été observée à ce sujet en fonction de la région de résidence14.

La pratique d’activités physiques de faible intensité varie selon la saison : en moyenne, les adolescents font, en effet, moins d’activités physiques de ce type en hiver (3 heures et 13 minutes par jour) qu’au printemps (3 heures et 31 minutes par jour), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

13 Il s’agit de la somme de la durée pendant laquelle l’accéléromètre a été porté et des activités rapportées dans le journal de bord. Le temps passé à dormir n’est donc pas considéré ici.

14 Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Figure 15 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques de faible intensité chez les adolescents (de 10 à 17 ans), par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

4.1.2. Activités physiques d’intensité modérée à soutenue

En Belgique, en 2014, les adolescents (de 10 à 17 ans) effectuent, en moyenne, 48 minutes par jour d’ac-tivités physiques d’intensité modérée à soutenue (comme faire du vélo, par exemple). Ceux-ci effectuent significativement plus d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue les jours de semaine (6,3 % du temps d’éveil ; IC 95 % 6,0-6,6) que le week-end (5,8 % ; IC 95 % 5,4-6,3).

Les garçons pratiquent davantage d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue (56 minutes par jour) que les filles (41 minutes par jour), une différence qui s’avère significative après standardisation pour l’âge (Figure 16). La pratique d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les adolescents ne varie, par contre, pas significativement selon l’âge (10-13 ans versus 14-17 ans), le niveau d’éducation des parents ou la saison.

Comme chez les enfants, une différence régionale a été observée : après standardisation pour l’âge et le sexe, les adolescents résidant en Flandre pratiquent, en effet, significativement plus d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue (50 minutes par jour) que les adolescents résidant en Wallonie (44 minutes par jour).

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Figure 16 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les adolescents (de 10 à 17 ans), par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

Enfin, la durée quotidienne moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue a tendance à diminuer lorsque l’indice de masse corporelle (IMC15) augmente : elle est de 52 minutes par jour chez les adolescents en situation de carence pondérale, 49 minutes par jour chez les adolescents ayant un IMC normal, 45 minutes par jour chez les adolescents en surpoids et 39 minutes par jour chez les adolescents souffrant d’obésité. Après standardisation pour l’âge et le sexe, la moyenne observée chez les adolescents obèses s’avère significativement inférieure à celle des adolescents ayant un IMC normal ou étant en situa-tion de carence pondérale.

4.2. RECOMMANDATIONS EN MATIÈRE D’ACTIVITÉ PHYSIQUE

La proportion d’adolescents rencontrant les recommandations en matière d’activité physique a été éva-luée au départ des données d’accélérométrie. Comme pour les enfants âgés de 6 à 9 ans, il est recom-mandé aux adolescents âgés de 10 à 17 ans d’effectuer un minimum de 60 minutes d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue chaque jour (3). Dans la présente enquête, seuls les adolescents accumu-lant un minimum de 60 minutes d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue chaque jour valide durant lequel l’accéléromètre a été porté sont considérés comme respectant cette recommandation.

Sur base de cette recommandation, seuls 2,4 % des adolescents belges s’avèrent suffisamment actifs en 2014. Ce pourcentage est significativement plus élevé chez les garçons (4,2 %) que chez les filles (0,5 %) (OR 9,00 ; IC 95 % 1,16-70,00). Cette prévalence ne varie pas significativement selon l’âge (10-13 ans versus 14-17 ans), le niveau d’éducation des parents, la région de résidence, ni la saison.

Par ailleurs, 29,4 %16 de l’ensemble des jours valides durant lesquels l’activité physique a été mesurée chez les adolescents âgés de 10 à 17 ans comportent un minimum de 60 minutes d’activités physiques d’inten-sité modérée à soutenue. Ce pourcentage est de 37,3 % chez les garçons et de 21,9 % chez les filles.

15 Pour davantage d’informations sur l’IMC, se référer au Chapitre « Anthropométrie » du premier rapport.16 Pourcentages non pondérés.

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4.3. DOMAINES D’ACTIVITÉ PHYSIQUE

Le contexte dans lequel les adolescents (de 10 à 17 ans) pratiquent des activités physiques et le type d’activités réalisées ont été décrits sur base des résultats issus du questionnaire FPAQ. Ces résultats sont présentés dans cette section selon les trois domaines d’activité physique abordés :

• l’utilisation d’un mode de transport actif pour se rendre à l’école ;

• la pratique d’activités sportives pendant le temps libre ;

• la pratique d’activités sportives à l’école.

4.3.1. Transport actif pour se rendre à l’école

En Belgique, en 2014, 40,2 % des adolescents (de 10 à 17 ans) utilisent la plupart du temps un mode de transport actif pour se rendre à l’école : 27,3 % des adolescents se rendent à l’école à vélo, 12,3 % à pied et une petite minorité (0,7 %) en trottinette ou en rollers17.

L’utilisation d’un mode de transport actif pour se rendre à l’école est plus répandue parmi les adolescents dont les parents ont le niveau d’éducation le plus élevé (48,1 %) que parmi les adolescents dont les parents ont le niveau d’éducation le plus faible (35,6 %), une différence qui est significative après standardisation pour l’âge et le sexe (OR 1,68 ; IC 95 % 1,18-2,38). Cet écart s’explique essentiellement par une utilisation plus importante du vélo pour se rendre à l’école par les adolescents dont les parents ont le niveau d’éduca-tion le plus élevé (36,5 %), en comparaison à ceux dont les parents ont le niveau d’éducation le plus faible (20,1 %) (OR 2,28 ; IC 95 % 1,56-3,36).

Une différence régionale a également été observée à ce sujet (Figure 17) : ainsi, davantage d’adolescents résidant en Flandre utilisent un mode de transport actif pour se rendre à l’école (58,9 %), en comparaison aux adolescents domiciliés en Wallonie (16,5%). Cette différence est significative après standardisation pour l’âge et le sexe (OR 7,40 ; IC 95 % 4,90-11,16). Cette différence régionale s’explique principalement par un faible recours au vélo des adolescents vivant en Wallonie pour se rendre à l’école : en effet, seuls 1,9 % d’entre eux vont à l’école à vélo, contre 48,4 % des adolescents résidant en Flandre ; une telle différence est significative après standardisation pour l’âge et le sexe (OR 0,02 ; IC 95 % 0,01-0,06)

Le pourcentage d’adolescents utilisant un mode de transport actif pour se rendre à l’école ne varie, par contre, pas significativement selon le sexe, l’âge, l’IMC ou la saison.

Figure 17 | Distribution des adolescents (de 10 à 17 ans) en fonction du mode de transport utilisé pour se rendre à l’école, par région, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

17 Contrairement à la question adressée aux enfants, les adolescents ne pouvaient donner ici qu’une seule réponse (le mode de transport majoritairement utilisé).

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Les adolescents utilisant un mode de transport actif pour se rendre à l’école consacrent, en moyenne, 2 heures et 9 minutes par semaine à de tels déplacements. Les adolescents âgés de 14 à 17 ans consacrent davantage de temps (2 heures et 26 minutes par semaine) à ce type de déplacements que les adolescents plus jeunes, âgés de 10 à 13 ans (1 heure et 52 minutes par semaine), cette différence étant significative après standardisation pour le sexe (Figure 18).

Cette durée moyenne varie également selon le niveau d’éducation des parents : ainsi, les adolescents dont les parents ont le niveau d’éducation le plus élevé passent davantage de temps (2 heures et 23 minutes par semaine) que les adolescents dont les parents ont le niveau d’éducation le plus faible (1 heure et 55 minutes par semaine) à se déplacer de manière active pour aller à l’école. Cette différence est significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

Après standardisation pour l’âge, le sexe et le niveau d’éducation des parents, les adolescents ayant un IMC considéré comme normal consacrent significativement plus de temps (2 heures et 13 minutes par semaine) à se déplacer de manière active pour se rendre à l’école que les adolescents souffrant d’obésité (1 heure et 28 minutes par semaine).

La durée moyenne consacrée aux déplacements actifs pour se rendre à l’école chez les adolescents ne varie, par contre, pas significativement selon le sexe, la région de résidence ou la saison.

Figure 18 | Durée moyenne (en minutes/semaine) que les adolescents (de 10 à 17 ans) qui utilisent un mode de transport actif (marche, vélo, trottinette/rollers) pour se rendre à l’école consacrent à ces déplacements, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

4.3.2. Temps libre

En Belgique, en 2014, 75 % des adolescents (de 10 à 17 ans) déclarent pratiquer une ou plusieurs activité(s) sportive(s) pendant leur temps libre. Ce pourcentage est plus élevé chez les garçons (78,2 %) que chez les filles (71,7 %), une différence qui est significative après standardisation pour l’âge (OR 1,25 ; IC 95 % 0,91-1,72) (Figure 19). Ce pourcentage s’avère, par contre, relativement similaire d’une catégorie d’âge à l’autre (10-13 ans versus 14-17 ans).

La pratique d’une activité sportive par les adolescents pendant leur temps libre varie selon le niveau d’édu-cation des parents. Ainsi, les adolescents dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur de type court (77,3 %) (OR 1,71 ; IC 95 % 1,17-2,52) ou long (83,8 %) (OR 2,60 ; IC 95 % 1,69-4,01) sont plus nombreux à pratiquer un sport pendant leur temps libre que les adolescents dont les parents ont le niveau d’éducation le plus faible (66,8 %). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

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Après standardisation pour l’âge, le sexe et le niveau d’éducation des parents, les adolescents en situa-tion de carence pondérale sont significativement moins nombreux (65 %) que ceux ayant un IMC normal (77,2 %) à pratiquer une activité sportive pendant leur temps libre (OR 0,52 ; IC 95 % 0,31-0,88).

Une variation saisonnière a également été observée à ce sujet : en effet, après standardisation pour l’âge et le sexe, la pratique d’une activité sportive pendant le temps libre est significativement plus répandue parmi les adolescents en été (82,6 %) qu’en hiver (70,8 %) (OR 1,82 ; IC 95 % 1,05-3,14).

Aucune différence significative n’a, par contre, été observée à ce sujet selon la région de résidence.

Figure 19 | Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) qui pratiquent une ou plusieurs activité(s) sportive(s) pendant leur temps libre, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

Les adolescents pratiquant un ou plusieurs sport(s) pendant leur temps libre consacrent, en moyenne, 3 heures et 52 minutes par semaine à ces activités sportives. Les garçons consacrent, en moyenne, davan-tage de temps (4 heures et 37 minutes par semaine) que les filles (3 heures par semaine) à la pratique d’activités sportives, cette différence étant significative après standardisation pour l’âge (Figure 20). Cette durée moyenne ne varie, par contre, pas significativement d’une catégorie d’âge à l’autre (10-13 ans versus 14-17 ans).

En Flandre, les adolescents consacrent davantage de temps à la pratique de sport(s) pendant leur temps libre (4 heures et 10 minutes par semaine) qu’en Wallonie (3 heures et 28 minutes par semaine). Une telle différence est significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

Après standardisation pour l’âge, le sexe et le niveau d’éducation des parents, les adolescents souffrant d’obésité passent, quant à eux, significativement moins de temps à faire du sport pendant leurs loisirs (2 heures et 50 minutes par semaine) que les adolescents ayant un IMC normal (3 heures et 49 minutes par semaine).

Enfin, aucune différence significative n’a été observée à ce sujet en fonction du niveau d’éducation des parents ni de la saison.

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Figure 20 | Durée moyenne (en minutes/semaine) que les adolescents (de 10 à 17 ans) qui pratiquent un ou plusieurs sport(s) pendant leur temps libre consacrent à ces activités sportives, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

Les sports que les adolescents déclarent le plus fréquemment pratiquer pendant leur temps libre sont : le football (24,6 %), la danse (19,7 %), l’athlétisme et la course à pied (14,9 %), ainsi que la natation (11,5 %).

Le type de sport pratiqué par les adolescents varie fortement en fonction de leur genre. D’une part, le football, le cyclisme et le basket-ball sont plus souvent pratiqués par les garçons. D’autre part, la danse, l’équitation et la gymnastique s’avèrent plus populaires parmi les filles. Des différences de moins grande envergure peuvent être observées selon le sexe pour les autres catégories sportives étudiées (Tableau 4).

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Tableau 4 | Distribution des sports que les adolescents (de 10 à 17 ans) exercent durant leur temps libre (nombre de réponses divisé par le nombre de répondants ; ntotal = 711 ; ngarçons = 367 ; nfilles = 344), Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

Sports (FQ_12) % brut total % brut garçons % brut filles

Football 24,6 45,8 2,0

Danse 19,7 2,2 38,4

Athlétisme et course à pied 14,9 13,6 16,3

Natation 11,5 9,8 13,4

Tennis 10,4 11,7 9,0

Cyclisme 9,6 13,6 5,2

Equitation et sports équestres 8,3 1,4 15,7

Fitness 7,9 9,0 6,7

Gymnastique 7,6 4,1 11,3

Autres sports 7,2 7,4 7,0

Sports de combat 6,6 9,0 4,1

Basket-ball 4,9 7,9 1,7

Volley-ball 4,4 2,7 6,1

Sports aquatiques 3,1 2,5 3,8

Sports à roulettes et patinage 3,1 3,8 2,3

Badminton 3,0 3,0 2,9

Tennis de table 2,8 4,9 0,6

Autres sports de balles 2,5 3,3 1,7

TOTAL* 152,1 155,7 148,2

* Le total est supérieur à 100% car chaque participant pouvait indiquer donner plusieurs réponses.

Légende :

• Football : y compris le mini-foot et le football en salle.

• Danse : danse moderne, danse classique, hip hop, zumba, streetdance, etc.

• Cyclisme : cyclisme (extérieur et intérieur), VTT, BMX.

• Fitness : entraînement cardio et musculation (abdominaux, aérobic, step, body attack, body combat, etc.).

• Gymnastique : gymnastique, acrobatie, trampoline, yoga, etc.

• Autres sports : corde à sauter, « airsoft », hockey, escalade, ski, sport de salle, squash, tir à l’arc, motocross, golf, « freerunning », etc.

• Sports de combat : boxe, kickboxing, judo, autodéfense, karaté, jiujitsu, aïkido, kung fu, etc.

• Sports aquatiques : natation synchronisée, plongée, surf, waterpolo, voile, kayak, aquagym, etc. Cette catégorie ne comprend pas la natation en tant que telle.

• Sports à roulettes et patinage : skateboard, longboard, rollers, patin à glace, etc.

• Autres sports de balles : handball, kinball, rugby, base-ball, softball, « korfbal » etc.

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La popularité des sports pratiqués par les adolescents varie également selon l’âge (10-13 ans versus 14-17 ans). D’une part, le fitness, l’athlétisme et la course à pied sont plus souvent pratiqués par les adoles-cents âgés de 14 à 17 ans (respectivement, 13,8 % et 19,4 %) que par les plus jeunes, âgés de 10 à 13 ans (respectivement, 2,0 % et 10,4 %). D’autre part, la danse et la natation s’avèrent plus populaires chez les adolescents âgés de 10 à 13 ans (respectivement, 24,7 % et 14,6 %) que chez les adolescents plus âgés (respectivement, 14,6 % et 8,5 %).

De légères différences régionales (Wallonie versus Flandre) peuvent également être observées : la gym-nastique semble, par exemple, être davantage pratiquée par les adolescents résidant en Flandre (10,4 %) que par ceux résidant en Wallonie (3,3 %).

4.3.3. École

COURS D’ÉDUCATION PHYSIQUE

En Belgique, en 2014, les adolescents (de 10 à 17 ans) suivent un ou des cours d’éducation physique à l’école pendant, en moyenne, 1 heure et 33 minutes par semaine (cette durée comprenant également les cours de natation).

Cette durée moyenne est légèrement plus élevée chez les garçons (1 heure et 36 minutes par semaine) que chez les filles (1 heure et 29 minutes par semaine), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge. La durée moyenne des cours d’éducation physique chez les adolescents ne varie, par contre, pas significativement d’une catégorie d’âge à l’autre (10-13 ans versus 14-17 ans).

Une différence régionale a été observée à ce sujet : en moyenne, les adolescents habitant en Wallonie consacrent, en effet, davantage de temps (1 heure et 39 minutes par semaine) au(x) cours d’éducation physique à l’école que les adolescents domiciliés en Flandre (1 heure et 29 minutes par semaine). Cette différence s’avère significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

Enfin, aucune différence significative n’a été observée à ce sujet en fonction du niveau d’éducation des parents, de l’IMC ou de la saison.

ACTIVITÉS SPORTIVES PRATIQUÉES EN DEHORS DES HEURES DE COURS

En Belgique, en 2014, 54,4 % des adolescents (de 10 à 17 ans) indiquent avoir la possibilité de faire du sport à l’école en dehors des heures de cours. Ce pourcentage ne varie pas significativement selon le sexe de l’adolescent ni selon son âge.

Les adolescents dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur de type long sont plus nom-breux (61,3 %) que les adolescents dont les parents n’ont pas de diplôme, ont un diplôme de primaire ou de secondaire (50,0 %) à indiquer une telle possibilité. Cette différence est significative après standardisa-tion pour l’âge et le sexe (OR 1,58 ; IC 95 % 1,12-2,25).

Le pourcentage d’adolescents ayant la possibilité de faire du sport à l’école en dehors des heures de cours est nettement plus élevé en Flandre (68,1 %) qu’en Wallonie (35,8 %), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge et le sexe (OR 3,83 ; IC 95 % 2,77-5,30). Ce pourcentage ne varie, par contre, pas significativement selon l’IMC ni selon la saison.

En Belgique, en 2014, 44,7 % des adolescents (de 10 à 17 ans) qui ont la possibilité de faire du sport à l’école en dehors des heures de cours déclarent participer effectivement à de telles activités sportives. Les filles y participent moins fréquemment (32,9 %) que les garçons (55,3 %) (OR 0,36 ; IC 95 % 0,24-0,55), une différence qui est significative après standardisation pour l’âge (Figure 21). Le pourcentage d’adolescents participant à ce genre d’activités varie également selon l’âge : ainsi, les adolescents les plus jeunes, âgés de 10 à 13 ans, sont plus nombreux (57,3 %) que les adolescents âgés de 14 à 17 ans (34,0 %) à participer à des activités sportives à l’école en dehors des heures de cours (Figure 21). Cette différence est significative après standardisation pour le sexe (OR 2,82 ; IC 95 % 1,89-4,22).

Au printemps, les adolescents sont significativement plus nombreux (53,4 %) qu’en hiver (39,2 %) à décla-rer participer à ces activités sportives (OR 1,94 ; IC 95 % 1,17-3,24) et ce, après standardisation pour l’âge et le sexe.

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La participation à des activités sportives à l’école en dehors des heures de cours ne varie pas significative-ment selon le niveau d’éducation des parents, la région de résidence ou l’IMC.

Figure 21 | Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) qui participent à des activités sportives à l’école en dehors des heures de cours, parmi ceux en ayant la possibilité, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

En considérant le groupe d’adolescents déclarant participer à une ou des activité(s) sportive(s) à l’école en dehors des heures de cours, les résultats de l’enquête montrent que ces derniers consacrent, en moyenne, 2 heures et 7 minutes par semaine à la pratique de ces activités sportives. Après standardisation pour l’âge, les garçons consacrent significativement plus de temps (2 heures et 27 minutes par semaine) que les filles à de telles activités (1 heure et 31 minutes par semaine). Les adolescents plus jeunes, âgés de 10 à 13 ans, passent également plus de temps à faire du sport à l’école en dehors des heures de cours (2 heures et 31 minutes par semaine), en comparaison aux adolescents âgés de 14 à 17 ans (1 heure et 33 minutes par semaine). Cette différence est significative après standardisation pour le sexe (Figure 22).

Cette durée moyenne ne varie, par contre, pas significativement selon le niveau d’éducation des parents, la région de résidence, l’IMC ou la saison.

Figure 22 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) pratiquent un sport à l’école en dehors des heures de cours (parmi ceux pratiquant un sport en dehors des heures de cours), par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

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4.4. SÉDENTARITÉ

La durée totale des activités de type sédentaire chez les adolescents (de 10 à 17 ans) a été évaluée au départ des données issues des accéléromètres, complétées par les données provenant des journaux de bord.

Le comportement sédentaire des adolescents a ensuite été décrit sur base des résultats issus du question-naire FPAQ et portant sur :

• l’utilisation d’un mode de transport passif pour se rendre à l’école ;

• le temps consacré aux activités sur écrans : télévision et DVD, jeux d’ordinateur et vidéo, internet, e-mail et chat ;

• le temps consacré aux devoirs ;

• d’autres types d’activités sédentaires.

Enfin, les résultats issus du questionnaire FPAQ ont été utilisés afin de calculer le pourcentage d’adoles-cents dépassant les limites recommandées en ce qui concerne le temps maximal à consacrer aux activités sur écrans.

4.4.1. Durée totale des activités sédentaires

En Belgique, en 2014, les adolescents (de 10 à 17 ans) consacrent en moyenne, 8 heures et 44 minutes par jour à des activités de type sédentaire. Le comportement sédentaire des adolescents est similaire en semaine (67,9 % du temps moyen d’une journée) et le week-end (67,7 %).

Les filles consacrent plus de temps aux activités sédentaires (8 heures et 56 minutes par jour) que les gar-çons (8 heures et 33 minutes par jour), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge. Cette différence filles-garçons concerne cependant davantage la tranche d’âge des 14-17 ans que celle des 10-13 ans (Figure 23).

En outre, dans la continuité de ce qui avait été observé chez les enfants, la durée quotidienne moyenne des activités sédentaires a tendance à augmenter avec l’âge (Figure 23) : après standardisation pour le sexe, celle-ci est significativement supérieure chez les adolescents âgés de 14 à 17 ans (9 heures et 12 minutes par jour) que chez ceux âgés de 10 à 13 ans (8 heures et 16 minutes par jour).

Figure 23 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités de type sédentaire chez les adolescents (de 10 à 17 ans), par sexe et par âge, Belgique, 2014

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Le temps moyen consacré par les adolescents aux activités sédentaires varie en fonction du niveau d’édu-cation le plus élevé du ménage. Ainsi, les adolescents dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur (de type court ou long) passent, en moyenne, plus de temps à effectuer des activités de type sédentaire (respectivement, 8 heures et 46 minutes par jour et 8 heures et 54 minutes par jour) que les adolescents dont les parents ont un niveau d’instruction plus faible (8 heures et 31 minutes par jour). Ces différences s’avèrent significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

Aucune différence significative n’a été notée à ce sujet en fonction de la région de résidence.

Il existe une relation entre la saison et le comportement sédentaire des adolescents. En effet, la durée quo-tidienne moyenne des activités de type sédentaire chez les adolescents est de 8 heures et 57 minutes par jour en hiver, 8 heures et 51 minutes par jour en automne, 8 heures et 36 minutes par jour au printemps et 8 heures et 35 minutes par jour en été. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les adolescents sont significativement plus sédentaires en hiver qu’au printemps ou en été.

4.4.2. Domaines d’activités sédentaires

TRANSPORT PASSIF POUR SE RENDRE À L’ÉCOLE

En Belgique, en 2014, 59,8 % des adolescents (de 10 à 17 ans) utilisent la plupart du temps un mode de transport passif (voiture, moto ou transports en commun) pour se rendre à l’école. Ce pourcentage ne varie pas significativement selon le sexe ni selon l’âge.

Les adolescents dont les parents ont le niveau d’éducation le plus élevé sont moins nombreux (51,9 %) que ceux dont les parents ont le niveau d’éducation le plus faible (64,4 %) à utiliser un mode de transport passif pour se rendre à l’école. Cette différence est significative après standardisation pour l’âge et le sexe (OR 0,60 ; IC 95 % 0,42-0,84).

Comme pour le transport actif, il existe une différence régionale à ce sujet : ainsi, l’utilisation d’un mode de transport passif pour aller à l’école s’avère plus répandue parmi les adolescents résidant en Wallonie (83,5 %) que parmi ceux habitant en Flandre (41,4 %), cette différence étant significative après standardi-sation pour l’âge et le sexe (OR 7,40 ; IC 95 % 4,90-11,16) (Figure 17).

Les adolescents utilisant un mode de transport passif pour se rendre à l’école consacrent, en moyenne, 3 heures et 35 minutes par semaine à de tels déplacements. Les garçons passent davantage de temps (3 heures et 52 minutes par semaine) que les filles (3 heures et 16 minutes par semaine) dans ce type de transport, une différence qui est significative après standardisation pour l’âge (Figure 24). De même, les adolescents âgés de 14 à 17 ans utilisant un mode de transport passif pour se rendre à l’école consacrent davantage de temps à ces déplacements (4 heures et 18 minutes par semaine) que les adolescents plus jeunes, âgés de 10 à 13 ans (2 heures et 44 minutes par semaine).

En été, les adolescents indiquent passer moins de temps dans des modes de transport passif pour se rendre à l’école (3 heures et 6 minutes par semaine) qu’en hiver (3 heures et 42 minutes par semaine). Cette différence est significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

La durée hebdomadaire moyenne consacrée à l’utilisation d’un mode de transport passif pour se rendre à l’école ne varie pas significativement selon le niveau d’éducation des parents, la région de résidence ou l’IMC.

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Figure 24 | Durée moyenne (en minutes/semaine) que les adolescents (de 10 à 17 ans) utilisant un mode de transport passif pour se rendre à l’école consacrent à ce type de déplacements, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

ACTIVITÉS SUR ÉCRANS

Dans cette section, le « temps passé devant des écrans » concerne toutes les activités sur écrans effectuées par les adolescents (de 10 à 17 ans), à savoir regarder la télévision ou des DVD, jouer à l’ordinateur ou à des jeux vidéo, utiliser l’ordinateur pour consulter internet, envoyer des e-mails ou chatter.

Durée totale des activités sur écrans

En Belgique, en 2014, les adolescents (de 10 à 17 ans) passent, en moyenne, 2 heures et 48 minutes par jour devant des écrans en semaine. Le week-end, cette durée moyenne est significativement plus longue et s’élève à 4 heures et 40 minutes par jour.

Après standardisation pour l’âge, les garçons passent significativement plus de temps (4 heures et 52 minutes par jour) que les filles devant des écrans le week-end (4 heures et 27 minutes par jour).

En semaine et le week-end, les adolescents plus âgés (de 14 à 17 ans) passent davantage de temps devant des écrans (3 heures et 17 minutes par jour en semaine et 5 heures et 9 minutes par jour le week-end) que les adolescents plus jeunes, âgés de 10 à 13 ans (2 heures et 16 minutes par jour en semaine et 4 heures et 9 minutes par jour le week-end) (Figure 25). Ces différences sont significatives après standardisation pour le sexe.

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Figure 25 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les adolescents (de 10 à 17 ans) devant des écrans en semaine et le week-end, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

Tant en semaine que le week-end, la durée moyenne consacrée aux activités sur écrans chez les adoles-cents a tendance à augmenter lorsque le niveau d’éducation des parents diminue. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les adolescents dont les parents ont le niveau d’éducation le plus bas passent, en moyenne, significativement plus de temps devant des écrans (3 heures et 15 minutes par jour en semaine et 5 heures et 9 minutes par jour le week-end) que les adolescents dont les parents sont diplômés de l’en-seignement supérieur de type court (2 heures et 41 minutes par jour en semaine et 4 heures et 36 minutes par jour le week-end) ou long (2 heures et 19 minutes par jour en semaine et 4 heures et 5 minutes par jour le week-end).

La durée quotidienne consacrée aux activités sur écrans en semaine et le week-end varie également selon la région. Ainsi, en Wallonie, les adolescents passent davantage de temps devant des écrans, en semaine comme le week-end (respectivement, 3 heures et 5 minutes par jour et 5 heures et 13 minutes par jour), que les adolescents habitant en Flandre (respectivement, 2 heures et 39 minutes par jour et 4 heures et 22 minutes par jour). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

Le week-end plus spécifiquement, les adolescents en surpoids consacrent plus de temps (5 heures et 4 minutes par jour) que les adolescents ayant un IMC normal (4 heures et 35 minutes par jour) aux activités sur écrans et ce, après standardisation pour l’âge et le sexe. Cette différence n’est toutefois plus significative après standardisation supplémentaire pour le niveau d’éducation des parents.

La durée moyenne passée devant des écrans en semaine ne varie pas significativement selon le sexe, l’IMC ou la saison ; en outre, la durée moyenne passée devant des écrans le week-end ne varie pas significative-ment selon la saison.

Télévision (ou DVD)

En Belgique, en 2014, les adolescents (de 10 à 17 ans) regardent la télévision (ou des DVD) pendant, en moyenne, 1 heure et 14 minutes par jour en semaine. Ceux-ci passent, en outre, significativement plus de temps à regarder la télévision le week-end, cette moyenne s’élevant alors à 2 heures et 6 minutes par jour.

La durée moyenne que les adolescents consacrent à la télévision en semaine a tendance à augmenter lorsque le niveau d’éducation des parents diminue : celle-ci passe, en effet, de 1 heure et 1 minute par jour pour le niveau d’éducation le plus élevé à 1 heure et 26 minutes par jour pour le niveau d’éducation le plus bas. Les adolescents dont les parents ont le niveau d’éducation le plus faible passent également plus de temps devant la télévision le week-end (2 heures et 15 minutes par jour) que les adolescents dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur de type court (2 heures et 7 minutes par jour) ou

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long (1 heure et 52 minutes par jour). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

Après standardisation pour l’âge et le sexe, les adolescents en situation de surpoids (1 heure et 26 minutes par jour) ou souffrant d’obésité (1 heure et 41 minutes par jour) passent significativement plus de temps à regarder la télévision en semaine que les adolescents ayant un IMC normal (1 heure et 11 minutes par jour). La différence observée entre les adolescents en surpoids et ceux ayant un IMC normal reste, en outre, significative après standardisation supplémentaire pour le niveau d’éducation des parents (ce qui n’est pas le cas pour la différence notée entre les adolescents souffrant d’obésité et ceux ayant un IMC normal). Après standardisation pour l’âge, le sexe et le niveau d’éducation des parents, les adolescents en situation de surpoids passent également plus de temps devant la télévision le week-end (2 heures et 28 minutes par jour) que les adolescents ayant un IMC considéré comme normal (2 heures et 3 minutes par jour).

Le temps passé à regarder la télévision en semaine et le week-end ne varie, par ailleurs, pas significative-ment selon le sexe, l’âge, la région de résidence ou la saison.

Jeux d’ordinateur et jeux vidéo

En Belgique, en 2014, les adolescents (de 10 à 17 ans) passent, en moyenne, 39 minutes par jour à jouer à des jeux d’ordinateur ou à des jeux vidéo en semaine. Cette durée moyenne est significativement plus élevée le week-end, celle-ci atteignant 1 heure et 15 minutes par jour.

En semaine comme le week-end, les garçons consacrent plus de temps (52 minutes par jour en semaine et 1 heure et 43 minutes par jour le week-end) que les filles (26 minutes par jour en semaine et 46 minutes par jour le week-end) à ce genre d’activités (Figure 26). Ces différences sont significatives après standar-disation pour l’âge. La Figure 26 met, en outre, en évidence que cette différence entre genres se marque essentiellement chez les adolescents âgés de 14 à 17 ans (Figure 26).

Figure 26 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) jouent à l’ordinateur ou aux jeux vidéo en semaine et le week-end, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

En semaine comme le week-end, les adolescents dont les parents sont diplômés de l’enseignement supé-rieur de type long passent, en moyenne, moins de temps à jouer à l’ordinateur ou à des jeux vidéo (30 minutes par jour en semaine et 60 minutes par jour le week-end) que les adolescents dont les parents ont un niveau d’éducation plus faible (de 39 à 47 minutes par jour en semaine et de 1 heure et 17 minutes à 1 heure et 28 minutes par jour le week-end). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

Par ailleurs, tant en semaine que le week-end, les adolescents résidant en Wallonie consacrent, en moyenne, davantage de temps aux jeux électroniques (50 minutes par jour en semaine et 1 heure et 32 minutes par

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jour le week-end) que ceux résidant en Flandre (33 minutes par jour en semaine et 1 heure et 5 minutes par jour le week-end). Ces différences régionales sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

Après standardisation pour l’âge et le sexe, les adolescents en situation de carence pondérale ou de sur-poids passent significativement plus de temps (respectivement, 1 heure et 34 minutes par jour et 1 heure et 24 minutes par jour) que les adolescents ayant un IMC normal (1 heure et 10 minutes par jour) à jouer à l’ordinateur ou à des jeux vidéo le week-end. Cette différence ne s’avère cependant plus significative après standardisation supplémentaire pour le niveau d’éducation des parents.

La durée moyenne des jeux d’ordinateur ou vidéo en semaine ne varie pas significativement selon l’âge, l’IMC ou la saison ; en outre, la durée moyenne des jeux d’ordinateur ou vidéo le week-end ne varie pas significativement selon l’âge ni selon la saison.

Internet, e-mails et chat

En Belgique, en 2014, les adolescents (de 10 à 17 ans) passent, en moyenne, 55 minutes par jour à consulter internet, leurs e-mails ou à chatter en semaine. Le week-end, cette durée moyenne est significativement plus importante et atteint 1 heure et 19 minutes par jour.

En semaine et le week-end, les filles consacrent, en moyenne, davantage de temps (1 heure et 3 minutes par jour en semaine et 1 heure et 32 minutes par jour le week-end) à consulter internet, leurs e-mails et à chatter que les garçons (47 minutes par jour en semaine et 1 heure et 7 minutes par jour le week-end) (Figure 27). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge.

Les adolescents âgés de 14 à 17 ans passent, tant en semaine que le week-end, plus de temps à consulter internet, leurs e-mails et à chatter (1 heure et 17 minutes par jour en semaine et 1 heure et 50 minutes par jour le week-end) que les adolescents plus jeunes, âgés de 10 à 13 ans (30 minutes par jour en semaine et 46 minutes par jour le week-end) (Figure 27). De telles différences sont significatives après standardisation pour le sexe.

Figure 27 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) vont sur internet, envoient des e-mails ou chattent en semaine et le week-end, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

En semaine plus particulièrement, les adolescents dont les parents ont le niveau d’éducation le plus faible passent, en moyenne, plus de temps à consulter internet, leurs e-mails et à chatter (1 heure et 2 minutes par jour) que les adolescents dont les parents ont un niveau d’éducation plus élevé (de 48 à 50 minutes par jour). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

La durée moyenne consacrée à internet, aux e-mails et au chat varient également selon la région. Ainsi, en semaine comme le week-end, cette durée moyenne s’avère supérieure parmi les adolescents résidant en

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Wallonie (1 heure et 1 minute par jour en semaine et 1 heure et 28 minutes par jour le week-end) que parmi ceux habitant en Flandre (49 minutes par jour en semaine et 1 heure et 12 minutes par jour le week-end), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

La durée moyenne consacrée par les adolescents à internet, aux e-mails et au chat en semaine ne varie pas significativement selon l’IMC ni selon la saison ; en outre, la durée moyenne consacrée par les adolescents à internet, aux e-mails et au chat le week-end ne varie pas significativement selon le niveau d’éducation des parents, l’IMC ou la saison.

DEVOIRS

En Belgique, en 2014, les adolescents (de 10 à 17 ans) consacrent, en moyenne, 1 heure et 6 minutes par jour à faire leurs devoirs (y compris la lecture, l’écriture et le travail sur ordinateur) en semaine. Le week-end, les adolescents y consacrent significativement plus de temps, à savoir en moyenne 1 heure et 20 minutes par jour.

En semaine, les filles passent davantage de temps (1 heure et 17 minutes par jour) que les garçons (55 minutes par jour) à faire leurs devoirs, cette différence étant significative après standardisation pour l’âge. Une telle différence est, en outre, également observée le week-end (1 heure et 33 minutes par jour pour les filles versus 1 heure et 6 minutes par jour pour les garçons) (Figure 28).

Cette durée moyenne varie également selon l’âge (Figure 28). Ainsi, en semaine et le week-end, les adoles-cents âgés de 14 à 17 ans consacrent plus de temps à la réalisation de leurs devoirs (1 heure et 14 minutes par jour en semaine et 1 heure et 36 minutes par jour le week-end) que les adolescents plus jeunes, âgés de 10 à 13 ans (57 minutes par jour en semaine et 1 heure et 2 minutes par jour le week-end). Ces différences sont significatives après standardisation pour le sexe.

Figure 28 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) font leurs devoirs en semaine et le week-end, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

En semaine comme le week-end, les adolescents dont les parents ont le niveau d’éducation le plus faible passent significativement moins de temps à faire leurs devoirs (54 sexe.

Après standardisation pour l’âge, le sexe et le niveau d’éducation des parents, les adolescents ayant un IMC normal consacrent significativement plus de temps à leurs devoirs que les adolescents en situation de surpoids. Une telle différence est observée tant en semaine (1 heure et 10 minutes contre 44 minutes par jour) que le week-end (1 heure et 24 minutes contre 49 minutes par jour).

La durée moyenne consacrée par les adolescents à leurs devoirs en semaine ne varie pas significativement selon la saison ; en outre, la durée moyenne consacrée aux devoirs le week-end ne varie pas significative-ment selon la région de résidence ni selon la saison.

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AUTRES ACTIVITÉS DE TYPE SÉDENTAIRE

Les activités sédentaires suivantes ont été regroupées dans le groupe « autres activités de type sédentaire » :

• écouter de la musique en position assise (radio, CD, MP3, iPod, etc.) ;

• téléphoner ou envoyer des SMS en position assise ;

• rester assis à discuter avec des amis ou la famille ;

• lire un livre, une BD ou un magazine (à l’exception des livres dédiés à l’école) ;

• la pratique de loisirs inactifs, tels que la musique, le cinéma, l’art, etc.

En Belgique, en 2014, les adolescents (de 10 à 17 ans) consacrent, en moyenne, 2 heures et 32 minutes par jour aux autres activités sédentaires en semaine. Ceux-ci y consacrent, par ailleurs, significativement plus de temps le week-end, la durée moyenne de ces activités s’élevant alors à 3 heures et 40 minutes par jour.

Tant en semaine que le week-end, les filles consacrent davantage de temps (2 heures et 51 minutes par jour en semaine et 4 heures et 16 minutes par jour le week-end) que les garçons (1 heure et 55 minutes par jour en semaine et 2 heures et 49 minutes par jour le week-end) à ce type d’activités sédentaires. Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge (Figure 29).

En outre, les adolescents âgés de 14 à 17 ans consacrent, en semaine (3 heures et 5 minutes par jour) et le week-end (4 heure et 28 minutes par jour), plus de temps aux autres activités de type sédentaire que les adolescents plus jeunes, âgés de 10 à 13 ans (1 heure et 55 minutes par jour en semaine et 2 heure et 49 minutes par jour le week-end) (Figure 29). Ces différences sont significatives après standardisation pour le sexe.

Figure 29 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) effectuent d’autres activités de type sédentaire en semaine et le week-end, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

Le temps consacré à ces activités sédentaires varie également selon la région : en semaine et le week-end, la durée quotidienne moyenne de ces activités est, en effet, supérieure parmi les adolescents résidant en Wallonie (3 heures et 1 minute par jour en semaine et 4 heures et 4 minutes par jour le week-end) que parmi ceux résidant en Flandre (2 heures et 13 minutes par jour en semaine et 3 heures et 22 minutes par jour le week-end). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

Aucune différence significative n’a été observée à ce sujet selon le niveau d’éducation des parents, l’IMC ou la saison.

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4.4.3. Recommandations concernant le temps passé devant des écrans

Comme pour les enfants à partir de 6 ans, il est recommandé aux adolescents de limiter à maximum deux heures par jour la durée quotidienne consacrée aux activités sur écrans (21;22). En Belgique, en 2014, 54,9 % des adolescents (de 10 à 17 ans) ne suivent pas cette recommandation et passent plus de deux heures par jour devant des écrans en semaine. Le week-end, ce sont même 83,8 % des adolescents qui passent plus de deux heures par jour devant des écrans.

Les garçons sont plus enclins (58,8 %) que les filles (50,9 %) à passer plus de deux heures par jour devant des écrans en semaine (OR 0,71 ; IC 95 % 0,54-0,95). De même, le week-end, les garçons sont plus nom-breux (87,0 %) que les filles (80,6 %) à dépasser cette recommandation (OR 0,61 ; IC 95 % 0,41-0,91). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge (Figure 30).

Le pourcentage d’adolescents passant plus de deux heures par jour devant des écrans varie également avec l’âge (Figure 30) : tant en semaine que le week-end, celui-ci est, en effet, supérieur chez les adoles-cents âgés de 14 à 17 ans (65,2 % en semaine et 89,0 % le week-end) que chez les plus jeunes, âgés de 10 à 13 ans (43,9 % en semaine et 78,3 % le week-end). Ces différences sont significatives après standardisation pour le sexe (jour de semaine : OR 2,41 ; IC 95 % 1,80-3,21 – jour de week-end : OR 2,26 ; IC 95 % 1,51-3,38).

Figure 30 | Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) qui passent plus de deux heures par jour devant des écrans en semaine et le week-end, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

En semaine, les adolescents dont les parents ont le niveau d’éducation le plus faible sont plus nombreux (64,9 %) à dépasser la limite de deux heures par jour recommandée, en comparaison aux adolescents dont les parents ont un diplôme de l’enseignement supérieur de type court (51,6 %) (OR 2,43 ; IC 95 % 1,69-3,49) ou long (44,6 %) (OR 1,74 ; IC 95 % 1,22-2,49). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

En outre, le week-end, les adolescents dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur de type long sont moins nombreux à passer plus de deux heures par jour devants des écrans (76,7 %), en compa-raison aux adolescents dont les parents sont diplômés de l’enseignement supérieur de type court (84,5 %) (OR 0,58 ; IC 95 % 0,35-0,94) et aux adolescents dont les parents n’ont pas de diplôme, ont un diplôme de primaire ou de secondaire (88,3 %) (OR 0,43 ; IC 95 % 0,26-0,68). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

Aucune différence significative n’a, par contre, été observée à ce sujet selon la région de résidence, l’IMC ou la saison.

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5. ACTIVITÉ PHYSIQUE ET SÉDENTARITÉ CHEz LES ADULTES

5.1. ACTIVITÉ PHYSIQUE

La durée totale des activités physiques pratiquées par les adultes (de 18 à 64 ans) a été calculée à l’aide du questionnaire IPAQ. Les données concernant les quatre domaines d’activité physique abordés dans ce questionnaire ont été utilisées, conformément au protocole IPAQ, afin de calculer la durée totale des activités physiques d’intensité modérée, soutenue et modérée à soutenue.

5.1.1. Activités physiques d’intensité modérée

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) passent, en moyenne, 1 heure et 31 minutes par jour à réaliser des activités physiques d’intensité modérée. Cette durée moyenne s’avère relativement similaire chez les hommes (1 heure et 33 minutes par jour) et les femmes (1 heure et 29 minutes par jour). Par ail-leurs, les adultes âgés de 18 à 34 ans font, en moyenne, moins d’activités physiques d’intensité modérée (1 heure et 23 minutes par jour) que les adultes plus âgés (environ 1 heure et 35 minutes par jour), cette différence étant significative après standardisation pour le sexe.

La durée quotidienne moyenne des activités physiques d’intensité modérée varie également en fonc-tion du niveau d’éducation. Les personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type long et celles diplômées de l’enseignement supérieur de type court consacrent, en effet, moins de temps à la pratique d’activités physiques d’intensité modérée (respectivement, 1 heure et 13 minutes par jour et 1 heure et 30 minutes par jour) que les personnes n’ayant pas de diplôme de l’enseignement supérieur (1 heure et 44 minutes par jour). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

Une différence régionale a également été observée à ce sujet : après standardisation pour l’âge et le sexe, les personnes résidant en Wallonie pratiquent significativement plus d’activités physiques d’intensité modérée (1 heure et 47 minutes par jour) que les personnes qui résident en Flandre (1 heure et 26 minutes par jour)18.

En 2014, la durée quotidienne moyenne des activités physiques d’intensité modérée, au sein de la popu-lation adulte, s’avère plus élevée qu’en 2004. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les adultes font significativement plus d’activités physiques d’intensité modérée en 2014 (1 heure et 31 minutes par jour) qu’en 2004 (1 heure et 4 minutes par jour).

Il existe également une relation entre la pratique d’activités physiques d’intensité modérée et l’indice de masse corporelle (IMC19) : la durée moyenne de ces activités est de 1 heure et 11 minutes par jour chez les personnes en situation de carence pondérale, 1 heure et 25 minutes par jour chez les personnes ayant un IMC normal, 1 heure et 36 minutes par jour chez les personnes en surpoids et 1 heure et 41 minutes par jour chez les personnes souffrant d’obésité. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les personnes souffrant d’obésité pratiquent significativement plus d’activités physiques d’intensité modérée que les personnes ayant un IMC normal. En raison de la relation existant, d’une part entre l’IMC et le niveau d’édu-cation et, d’autre part, entre la durée des activités d’intensité modérée et le niveau d’éducation, une stan-dardisation supplémentaire pour le niveau d’éducation a été apportée ; à la suite de cette standardisation, les différences observées entre catégories d’IMC ne sont plus significatives.

Enfin, la pratique d’activités physiques d’intensité modérée varie selon la saison. En effet, la durée moyenne des activités physiques d’intensité modérée chez les adultes est de 1 heure et 24 minutes par jour en hiver, 1 heure et 25 minutes par jour en automne, 1 heure et 38 minutes par jour au printemps et 1 heure et 39 minutes par jour en été. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les adultes font significativement plus d’activités physiques de ce type au printemps et en été qu’en hiver.

5.1.2. Activités physiques d’intensité soutenue

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) consacrent, en moyenne, 15 minutes par jour à la pratique d’activités physiques d’intensité soutenue. Les hommes font davantage d’activités physiques d’intensité

18 Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

19 Pour davantage d’informations sur l’IMC, se référer au Chapitre « Anthropométrie » du premier rapport.

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soutenue (19 minutes par jour) que les femmes (10 minutes par jour), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge. Par ailleurs, la durée moyenne des activités physiques d’intensité soute-nue s’avère supérieure chez les adultes âgés de 18 à 34 ans (18 minutes par jour) et chez les adultes âgés de 35 à 50 ans (16 minutes par jour) que chez ceux âgés de 51 à 64 ans (10 minutes par jour). Ces différences sont significatives après standardisation pour le sexe.

La pratique d’activités physiques d’intensité soutenue varie également selon le niveau d’éducation. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type long font significativement moins d’activités physiques d’intensité soutenue (12 minutes par jour) que les per-sonnes diplômées de l’enseignement supérieur de type court (17 minutes par jour) ou n’ayant pas de diplôme de l’enseignement supérieur (16 minutes par jour).

Aucune différence n’a été observée à ce sujet selon la région de résidence, l’année ou la saison. De même, la durée moyenne des activités physiques d’intensité soutenue ne varie pas non plus significativement selon la catégorie d’IMC : en effet, dans toutes ces catégories, les personnes déclarent pratiquer, en moyenne, 15 minutes par jour d’activités physiques d’intensité soutenue.

5.1.3. Activités physiques d’intensité modérée à soutenue

Les activités physiques d’intensité modérée à soutenue correspondent à la somme des deux types d’ac-tivité physique étudié ci-dessous, à savoir les activités physiques d’intensité modérée et les activités phy-siques d’intensité soutenue.

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) passent, en moyenne, 1 heure et 46 minutes par jour à réaliser des activités physiques d’intensité modérée à soutenue. Les hommes font davantage d’activi-tés physiques d’intensité modérée à soutenue (1 heure et 52 minutes par jour) que les femmes (1 heure et 40 minutes par jour), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge. Cette durée moyenne s’avère, par contre, relativement similaire d’une catégorie d’âge à l’autre (Figure 31).

Figure 31 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée, d’intensité soutenue et d’intensité modérée à soutenue chez les adultes (de 18 à 64 ans), par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

La pratique d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue a tendance à augmenter lorsque le niveau d’éducation du ménage diminue. La durée moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue passe ainsi de 1 heure et 24 minutes par jour chez les personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type long, à 1 heure et 47 minutes par jour chez les personnes diplômées de l’enseignement de type court et 2 heures par jour chez les personnes n’ayant pas de diplôme ou ayant un diplôme de primaire ou de secondaire. Un tel gradient s’avère significatif après standardisation pour l’âge et le sexe.

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Une différence régionale a également été notée à ce sujet : après standardisation pour l’âge et le sexe, les adultes domiciliés en Wallonie font davantage d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue (2 heures et 4 minutes par jour) que les personnes résidant en Flandre (1 heure et 40 minutes par jour).

En 2014, la pratique d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue, au sein de la population adulte, s’avère plus importante (1 heure et 46 minutes par jour) qu’en 2004 (1 heure et 17 minutes par jour), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

La durée moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue a tendance à augmenter lorsque l’IMC augmente : elle est de 1 heure et 26 minutes par jour chez les adultes en situation de carence pondérale, 1 heure et 40 minutes par jour chez les adultes ayant un IMC normal, 1 heure et 50 minutes par jour chez les adultes en situation de surpoids et 1 heure et 55 minutes par jour chez les adultes souffrant d’obésité. Après standardisation pour l’âge, le sexe et le niveau d’éducation, ces différences ne sont toute-fois pas significatives.

Une variation saisonnière a finalement été observée : en moyenne, les adultes font davantage d’activités physiques de ce niveau d’intensité au printemps et en été (respectivement, 1 heure et 53 minutes par jour et 1 heure et 56 minutes par jour) qu’en automne ou en hiver (respectivement, 1 heure et 37 minutes par jour et 1 heure et 39 minutes par jour). Après standardisation pour l’âge et le sexe, les adultes font signifi-cativement plus d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue en été qu’en hiver.

5.2. RECOMMANDATIONS EN MATIÈRE D’ACTIVITÉ PHYSIQUE

5.2.1. Distribution selon la classification de l’OMS

Selon les recommandations de L’OMS, les adultes (de 18 à 64 ans) devraient pratiquer au moins 150 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité modérée ou 75 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité soutenue ou encore une combinaison équivalente d’activités physiques d’inten-sité modérée et soutenue (« norme de mouvement »). Au-delà de cette norme, la pratique d’une activité physique est considérée comme ayant un impact positif sur la santé lorsqu’un minimum de 300 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité modérée ou 150 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité soutenue ou encore une combinaison équivalente d’activités physiques d’intensité modérée et soutenue sont pratiquées par les adultes (« norme de santé »).

A partir de ces recommandations, les adultes ont été répartis en trois groupes : (1) les adultes ayant un niveau d’activité physique insuffisant ; (2) les adultes ayant un niveau d’activité physique suffisant ; et (3) les adultes ayant un niveau d’activité physique suffisant pour que cela leur soit bénéfique en termes de santé.

Sur base de la durée totale des activités physiques d’intensité modérée à soutenue, calculée à l’aide des résultats issus du questionnaire IPAQ, la population adulte belge (de 18 à 64 ans) se répartit comme suit, en 2014 :

• 9,1 % des adultes possèdent un niveau d’activité physique insuffisant ;

• 12,0 % des adultes possèdent un niveau d’activité physique suffisant ;

• 78,9 % des adultes possèdent un niveau d’activité physique suffisamment élevé pour que cela leur soit bénéfique en termes de santé.

Les femmes sont légèrement moins nombreuses que les hommes à rencontrer les recommandations de l’OMS en matière d’activité physique : 77,5 % d’entre elles possèdent un niveau d’activité physique ayant un impact positif en termes de santé, 12,9 % possèdent un niveau d’activité physique suffisant et 9,7 % un niveau d’activité physique insuffisant. Chez les hommes, ces pourcentages sont de 80,3 %, 11,1 % et 8,6 %, respectivement. Après standardisation pour l’âge, ces différences hommes-femmes ne sont toutefois pas significatives.

Il existe, par ailleurs, une relation entre l’âge et la proportion de personnes qui suivent les recommanda-tions de l’OMS. Le pourcentage de personnes ayant un niveau d’activité physique suffisamment élevé pour que cela leur soit bénéfique en termes de santé a, en effet, tendance à augmenter avec l’âge : il passe ainsi de 74,6 % chez les adultes âgés de 18 à 34 ans, à 80,1 % chez les adultes âgés de 35 à 50 ans et 82,1% chez les adultes âgés de 51 à 64 ans. Après standardisation pour le sexe, la prévalence observée dans la

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catégorie la plus âgée s’avère significativement plus élevée que celles observées dans les deux catégories d’âge plus jeunes (Figure 32).

Figure 32 | Distribution des adultes (de 18 à 64 ans) en fonction de leur niveau d’activité physique (selon la classification de l’OMS), par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

Une relation entre la distribution des adultes selon la classification de l’OMS et le niveau d’éducation a également été notée : ainsi, le pourcentage de personnes ayant un niveau d’activité physique bénéfique en termes de santé s’avère plus élevé parmi les personnes ayant le niveau d’éducation le plus bas (absence de diplôme, diplôme de primaire ou de secondaire) (83,6 %), en comparaison aux personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type court (78,1 %) ou long (72,5 %). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

D’un point de vue régional, les adultes résidant en Wallonie sont plus nombreux (84,8 %) que ceux résidant en Flandre (77,2 %) à avoir un niveau d’activité physique suffisamment élevé pour que cela ait un impact positif sur leur santé, cette différence étant significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

En 2014, les adultes belges sont plus nombreux qu’en 2004 à détenir un niveau d’activité physique suffi-sant ou ayant un impact positif en termes de santé (90,9 % versus 70,9 %). Vu d’une autre manière, en 2014, les adultes belges sont également moins nombreux qu’en 2004 à posséder un niveau d’activité physique insuffisant (9,1 % versus 29,1 %), une différence qui s’avère significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

Par ailleurs, après analyse de la classification de l’OMS en fonction de l’IMC, la proportion de personnes ayant un niveau d’activité insuffisant semble diminuer lorsque l’IMC augmente. Cette prévalence est, en effet, de 30,0 % chez les adultes en situation de carence pondérale, 9,0 % chez les adultes ayant un IMC nor-mal, 7,9 % chez les adultes en situation de surpoids et 8,3 % chez les adultes souffrant d’obésité. Ces diffé-rences ne sont toutefois pas significatives après standardisation pour l’âge, le sexe et le niveau d’éducation.

5.2.2. Niveau d’activité physique suffisant

Afin d’étudier les relations possibles entre le niveau d’activité physique des individus et différents facteurs socio-démographiques, le pourcentage de personnes étant suffisamment actives physiquement a été plus particulièrement analysé dans cette section. Cette catégorie se compose des personnes ayant un niveau d’activité physique suffisant et des personnes ayant un niveau d’activité physique suffisamment élevé pour que cela ait un effet positif sur leur santé.

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En Belgique, en 2014, 90,9 % des adultes (de 18 à 64 ans) possèdent un niveau d’activité physique suffisant. Cette prévalence s’avère relativement similaire chez les hommes (91,4 %) et les femmes (90,3 %). Elle ne varie pas non plus significativement d’une catégorie d’âge à l’autre, ni selon le niveau d’éducation.

La proportion de personnes rencontrant les recommandations de l’OMS en matière d’activité physique varie, par contre, selon la région de résidence. Celle-ci s’avère, en effet, significativement plus élevée en Wallonie (94,7 %) qu’en Flandre (88,5%) (OR 2,37 ; IC 95 % 1,44-3,90) et ce, après standardisation pour l’âge et le sexe.

En 2014, les adultes belges sont plus nombreux (90,9 %) qu’en 2004 (70,9 %) à détenir un niveau d’activité physique suffisant, une différence qui est significative après standardisation pour l’âge et le sexe (OR 4,13 ; IC 95 % 3,15-5,42). Cette différence reste, en outre, significative même après standardisation supplémen-taire pour le niveau d’éducation.

Enfin, le pourcentage d’adultes ayant un niveau d’activité physique suffisant a tendance à augmenter lorsque l’IMC augmente. Cette prévalence est, en effet, de 70,0 % chez les adultes en situation de carence pondérale, 91,0 % chez les adultes ayant un IMC normal, 92,1 % chez les adultes en situation de surpoids et 91,7 % chez les adultes souffrant d’obésité. Ici également, ces différences ne sont toutefois pas significa-tives après standardisation pour l’âge, le sexe et le niveau d’éducation.

5.2.3. Niveau d’activité physique ayant un impact positif sur la santé

Cette troisième partie se focalise sur le pourcentage de personnes ayant un niveau d’activité physique suffisamment élevé pour que cela ait un effet favorable sur leur santé. En Belgique, en 2014, 78,9 % des adultes (de 18 à 64 ans) appartiennent à cette catégorie. Ce pourcentage s’avère relativement similaire parmi les hommes (80,3 %) et les femmes (77,5 %). Il augmente, par ailleurs, légèrement d’une catégorie d’âge à l’autre, en passant de 74,6 % chez les adultes âgés de 18 à 34 ans, à 80,1 % chez les adultes âgés de 35 à 50 ans et 82,1 % chez les adultes âgés de 51 à 64 ans. Après standardisation pour le sexe, cette préva-lence est significativement plus élevée dans la catégorie d’âge 51-64 ans que dans la catégorie 18-34 ans (OR 1,57 ; IC 95 %1,06-2,33).

Le pourcentage de personnes ayant un niveau d’activité physique suffisant pour avoir un impact positif en termes de santé varie selon le niveau d’éducation. Après standardisation pour l’âge et le sexe, ce pourcen-tage est, en effet, significativement plus faible parmi les personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type long (72,5 %) que parmi celles n’ayant pas de diplôme, un diplôme de primaire ou de secondaire (83,6 %) (OR 0,52 ; IC 95 % 0,35-0,78).

Une différence régionale a également été notée à ce sujet : la proportion de personnes suffisamment actives physiquement pour que cela ait un effet positif sur leur santé est ainsi plus élevée chez les adultes résidant en Wallonie (84,8 %) que chez ceux résidant en Flandre (77,2 %), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge et le sexe (OR 1,67 ; IC 95 % 1,17-2,40).

En 2014, les adultes belges sont significativement plus nombreux (78,9 %) qu’en 2004 (55,2 %) à atteindre un niveau d’activité physique qui leur soit bénéfique en termes de santé et ce, après standardisation pour l’âge et le sexe (OR 3,07 ; IC 95 % 2,49-3,79).

Il n’existe finalement pas de différence significative à ce sujet en fonction de l’IMC. En effet, à l’exception des personnes en situation de carence pondérale, les pourcentages observés varient peu d’une catégorie à l’autre : 54,0 % chez les adultes en situation de carence pondérale, 76,8 % chez les adultes ayant un IMC normal, 81,9 % chez les adultes en surpoids en 82,2 % chez les adultes souffrant d’obésité.

5.3. DOMAINES D’ACTIVITÉ PHYSIQUE

Le contexte dans lequel les adultes (de 18 à 64 ans) pratiquent des activités physiques a été décrit sur base des résultats issus du questionnaire IPAQ. Ces résultats sont tout d’abord présentés dans cette section selon les quatre domaines d’activité physique abordés :

• l’utilisation d’un mode de transport actif, à savoir la marche et le vélo ;

• la pratique d’activités physiques (marche, activités d’intensité modérée et d’intensité soutenue) au cours du temps libre ;

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• la pratique d’activités physiques (marche, activités d’intensité modérée et d’intensité soutenue) au travail ;

• la pratique d’activités physiques (activités d’intensité modérée à soutenue) dans le cadre des tâches ménagères.

La contribution, exprimée en pourcentage, de ces quatre domaines à la durée totale des activités phy-siques est ensuite présentée dans une cinquième partie.

5.3.1. Transport actif

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) consacrent, en moyenne, 2 heures et 15 minutes par semaine à l’utilisation de mode(s) de transport actif, dont en moyenne 1 heure et 41 minutes à la marche et 33 minutes au vélo. Étant donné qu’une proportion relativement élevée de la population adulte (35 %) ne recourt jamais à ce type de transport, seules les personnes déclarant utiliser un ou plusieurs mode(s) de transport actif ont été considérées pour le calcul des indicateurs analysés ci-dessous.

DÉPLACEMENTS À PIED

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) qui déclarent utiliser un mode de transport actif marchent, en moyenne, pendant 2 heures et 35 minutes par semaine. Cette durée moyenne s’avère relativement similaire chez les hommes et les femmes, de même que dans les différentes catégories d’âge (Figure 33).

La durée moyenne consacrée à la marche chez les adultes a tendance à diminuer lorsque le niveau d’édu-cation augmente. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les adultes n’étant pas diplômés de l’en-seignement supérieur marchent, en moyenne, significativement plus longtemps (3 heures et 7 minutes par semaine) que les adultes ayant un diplôme de l’enseignement supérieur de type long (2 heures et 9 minutes par semaine). Les adultes diplômés de l’enseignement supérieur de type court marchent quant à eux, en moyenne, 2 heures et 12 minutes par semaine.

Une différence régionale a également été observée à ce sujet : ainsi, les adultes résidant en Wallonie consacrent davantage de temps aux déplacements réalisés à pied (3 heures et 47 minutes par semaine) que les adultes qui habitent en Flandre (1 heure et 58 minutes par semaine). Cette différence s’avère signi-ficative après standardisation pour l’âge et le sexe.

Enfin, parmi les personnes déclarant utiliser un ou plusieurs mode(s) de transport actif, la durée moyenne consacrée à la marche ne varie pas significativement selon l’IMC ni selon la saison.

DÉPLACEMENTS À VÉLO

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) déclarant utiliser un ou plusieurs mode(s) de transport actif se déplacent à vélo pendant, en moyenne, 51 minutes par semaine. Les hommes se déplacent légère-ment plus à vélo (56 minutes par semaine) que les femmes (47 minutes) ; cette différence n’est cependant pas significative après standardisation pour l’âge. De même, la durée moyenne consacrée aux déplace-ments à vélo ne varie pas non plus significativement selon l’âge ni selon le niveau d’éducation.

L’utilisation du vélo pour se déplacer s’avère nettement plus populaire en Flandre (1 heure et 14 minutes par semaine) qu’en Wallonie (15 minutes par semaine), une différence qui est significative après standar-disation pour l’âge et le sexe.

Par ailleurs, la durée moyenne consacrée aux déplacements à vélo varie d’une catégorie d’IMC à l’autre : celle-ci est de 51 minutes par semaine chez les personnes en situation de carence pondérale, 1 heure et 3 minutes par semaine chez les personnes ayant un IMC normal, 44 minutes par semaine chez les personnes en surpoids et 37 minutes par semaine chez les personnes souffrant d’obésité. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les adultes ayant un statut pondéral normal se déplacent significativement plus longtemps à vélo que les personnes en situation de surpoids ou souffrant d’obésité.

Enfin, il n’existe pas de variation saisonnière significative à ce sujet.

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DÉPLACEMENTS À PIED ET À VÉLO

Cette section décrit les résultats concernant la durée totale moyenne consacrée à l’utilisation de modes de transport actif, à savoir la marche et le vélo. Les résultats décrits ici correspondent donc à la somme des deux variables décrites dans les deux sections précédentes.

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) déclarant utiliser un ou plusieurs mode(s) de transport actif consacrent, en moyenne, 3 heures et 26 minutes par semaine à de tels déplacements. Les hommes se déplacent légèrement davantage (3 heures et 35 minutes) que les femmes (3 heures et 18 minutes) de manière active, cette différence n’étant cependant pas significative après standardisation pour l’âge. De même, cette moyenne ne varie pas non plus significativement selon l’âge (Figure 33).

En moyenne, les personnes ayant le niveau d’éducation le plus faible passent davantage de temps (3 heures et 52 minutes par semaine) que les personnes diplômées de l’enseignement supérieur (3 heures et 5 minutes par semaine) à se déplacer de manière active. Ces différences ne sont toutefois pas significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

Après standardisation pour l’âge et le sexe, la durée totale moyenne consacrée à l’utilisation de modes de transport actif ne varie pas significativement selon la région (3 heures et 52 minutes par semaine en Wallonie versus 3 heures et 12 minutes par semaine en Flandre). Dans les deux parties précédentes, cer-taines différences régionales ont toutefois été constatées : ainsi, les personnes qui habitent en Wallonie se déplacent davantage à pied que les personnes résidant en Flandre, tandis que les personnes qui habitent en Flandre se déplacent davantage à vélo que les personnes résidant en Wallonie.

Se déplacer à pied et/ou à vélo semble légèrement moins répandu parmi les adultes ayant un IMC plus élevé que parmi celles ayant un IMC inférieur. En effet, la durée moyenne des déplacements réalisés à pied et/ou à vélo est de 3 heures et 14 minutes par semaine chez les personnes obèses, 3 heures et 16 minutes par semaine chez les personnes en surpoids, 3 heures et 41 minutes par semaine chez les personnes ayant un IMC normal et 3 heures et 27 minutes par semaine chez les personnes en situations de carence pondé-rale. Ces différences ne sont cependant pas significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

Enfin, il n’existe pas non plus de variation saisonnière significative à ce sujet.

Figure 33 | Durée moyenne (en minutes/semaine) que les adultes (de 18 à 64 ans) déclarant utiliser des modes de transport actif consacrent à de tels déplacements (marche, vélo, marche et vélo), par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

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5.3.2. Temps libre

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) consacrent, en moyenne, 3 heures et 5 minutes par semaine à la pratique d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue pendant leur temps libre. Plus spécifiquement, ceux-ci pratiquent, en moyenne, 2 heures et 8 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité modérée (dont 1 heure et 29 minutes de marche) et 57 minutes par semaine d’activités phy-siques d’intensité soutenue. Étant donné qu’une proportion relativement élevée de la population adulte (32 %) n’effectue aucune forme d’activité physique pendant leurs loisirs, seules les personnes déclarant avoir une activité physique pendant leur temps libre ont été considérées pour le calcul des indicateurs analysés ci-dessous.

PRATIQUE DE LA MARCHE PENDANT LE TEMPS LIBRE

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) déclarant avoir une activité physique pendant leur temps libre consacrent, en moyenne, 2 heures et 11 minutes par semaine à la marche pendant ce temps libre. Cette durée moyenne ne varie pas significativement selon le sexe, l’âge (Figure 34) ou le niveau d’éducation.

Une différence régionale a, par contre, été observée à ce sujet : la marche pendant le temps libre s’avère ainsi plus répandue parmi les adultes résidant en Wallonie (2 heures et 59 minutes par semaine) que parmi ceux résidant en Flandre (1 heure et 45 minutes par semaine), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

Aucune différence n’a ici été observée selon l’IMC ni selon la saison.

PRATIQUE D’ACTIVITÉS PHYSIQUES D’INTENSITÉ MODÉRÉE PENDANT LE TEMPS LIBRE

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) déclarant avoir une activité physique pendant leur temps libre effectuent, en moyenne, 3 heures et 8 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité modérée (marche inclue) pendant ce temps libre. Cette durée moyenne ne varie pas significativement selon le sexe, l’âge (Figure 34) ou le niveau d’éducation.

Ici également, une différence régionale a été notée : les personnes habitant en Wallonie pratiquent, en moyenne, davantage d’activités physiques d’intensité modérée (marche inclue) (3 heures et 45 minutes par semaine) que les personnes résidant en Flandre (2 heures et 45 minutes par semaine). Cette différence est significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

Aucune différence n’a, par contre, été observée selon l’IMC ni selon la saison.

PRATIQUE D’ACTIVITÉS PHYSIQUES D’INTENSITÉ SOUTENUE PENDANT LE TEMPS LIBRE

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) déclarant avoir une activité physique pendant leur temps libre consacrent, en moyenne, 1 heure et 24 minutes par semaine à la pratique d’activités physiques d’in-tensité soutenue pendant ce temps libre. Les hommes font davantage d’activités physiques d’intensité soutenue pendant leur temps libre (1 heure et 48 minutes par semaine) que les femmes (59 minutes par semaine), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge. Cette durée moyenne varie également selon l’âge : après standardisation pour le sexe, les adultes âgés de 51 à 64 ans font significati-vement moins d’activités de ce type (54 minutes par semaine) que les adultes âgés de 35 à 50 ans (1 heure et 12 minutes par semaine) ou de 18 à 34 ans (2 heures et 1 minute par semaine) (Figure 34).

Il existe une relation entre la pratique d’activités physiques d’intensité soutenue pendant le temps libre et l’IMC. La durée moyenne consacrée à ces activités est de 22 minutes par semaine chez les adultes en situation de carence pondérale, 1 heure et 48 minutes par semaine chez les adultes ayant un IMC normal, 1 heure et 12 minutes par semaine chez les adultes en surpoids et 39 minutes par semaine chez les adultes souffrant d’obésité. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les personnes ayant un statut pondéral normal passent significativement plus de temps à pratiquer des activités physiques d’intensité soutenue pendant leur temps libre que les personnes en situation de surpoids ou souffrant d’obésité.

La durée moyenne consacrée aux activités physiques d’intensité soutenue pendant le temps libre ne varie, par contre, pas significativement selon le niveau d’éducation, la région de résidence ou la saison.

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PRATIQUE D’ACTIVITÉS PHYSIQUES D’INTENSITÉ MODÉRÉE À SOUTENUE PENDANT LE TEMPS LIBRE

Cette section décrit les résultats concernant la durée moyenne consacrée à la pratique d’activités phy-siques d’intensité modérée à soutenue. Il s’agit donc ici de la somme des deux variables décrites dans les sections précédentes, à savoir la durée consacrée aux activités d’intensité modérée (marche inclue) et celle consacrée aux activités d’intensité soutenue.

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) déclarant avoir une activité physique pendant leur temps libre effectuent, en moyenne, 4 heures et 32 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité modé-rée à soutenue pendant ce temps libre. Cette durée moyenne ne varie pas significativement selon le sexe, l’âge (Figure 34) ou le niveau d’éducation.

La pratique d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue pendant le temps libre varie selon la région de résidence, les personnes résidant en Wallonie consacrant davantage de temps à de telles activi-tés (5 heures et 5 minutes par semaine) que les personnes résidant en Flandre (4 heures et 10 minutes par semaine). Une telle différence est significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

Enfin, la durée moyenne consacrée aux activités physiques d’intensité modérée à soutenue pendant le temps libre a tendance à diminuer lorsque l’IMC augmente : cette durée moyenne s’élève ainsi à 5 heures et 29 minutes par semaine chez les adultes en situation de carence pondérale, 4 heures et 51 minutes par semaine chez les adultes ayant un IMC normal, 4 heures et 23 minutes par semaine chez les adultes en surpoids et 3 heures et 55 minutes par semaine chez les adultes souffrant d’obésité. Ces différences ne sont toutefois pas significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

Enfin, il n’existe pas de variation saisonnière significative à ce sujet.

Figure 34 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant une activité physique pendant leur temps libre marchent ou effectuent des activités physiques d’intensité modérée, soutenue ou modérée à soutenue pendant ce temps libre, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

5.3.3. Travail

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) effectuent, en moyenne, 5 heures et 24 minutes par semaine d’activités physiques dans le cadre de leur travail. Cette durée moyenne inclut 4 heures et 11 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité modérée (dont 2 heures et 4 minutes de marche à pied) et 1 heure et 13 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité soutenue. Étant donné qu’une proportion relativement élevée de la population adulte (29 %) indique ne pas travailler, la durée des acti-

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vités physiques réalisées au travail a uniquement été analysée ci-dessous chez les personnes indiquant travailler.

PRATIQUE DE LA MARCHE AU TRAVAIL

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) indiquant travailler marchent, en moyenne, pendant 2 heures et 54 minutes par semaine lorsqu’ils sont au travail. Les hommes marchent davantage au travail (3 heures et 34 minutes par semaine) que les femmes (2 heures et 7 minutes par semaine), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge. Cette durée moyenne ne varie, par contre, pas signifi-cativement selon l’âge (Figure 35).

La pratique de la marche au travail a tendance à augmenter lorsque le niveau d’éducation diminue : la durée moyenne pendant laquelle les adultes marchent lorsqu’ils sont au travail passe, en effet, de 1 heure et 39 minutes par semaine chez les personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type long, à 2 heures et 53 minutes par semaine chez les personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type court et 4 heures et 5 minutes par semaine chez les personnes ayant un diplôme de secondaire, de pri-maire ou n’ayant pas de diplôme. Un tel gradient s’avère significatif après standardisation pour l’âge et le sexe.

Après standardisation pour l’âge et le sexe, les adultes résidant en Wallonie marchent significativement plus au travail (4 heures et 31 minutes par semaine) que ceux résidant en Flandre (2 heures et 13 minutes par semaine). Une telle différence reste significative même après standardisation supplémentaire pour le niveau d’éducation.

Le fait de marcher au travail varie également selon l’IMC : la durée moyenne consacrée à la marche au tra-vail est de 1 heure et 4 minutes par semaine chez les adultes en situation de carence pondérale, 2 heures et 7 minutes par semaine chez les adultes ayant un IMC normal, 3 heures et 11 minutes par semaine chez les adultes en surpoids et 4 heures et 24 minutes par semaine chez les adultes obèses. Après standardisa-tion pour l’âge, le sexe et le niveau d’éducation, les personnes ayant un statut pondéral normal consacrent significativement moins de temps à la marche lorsqu’ils sont au travail que les personnes en surpoids ou souffrant d’obésité.

Enfin, la pratique de la marche au travail ne varie pas significativement selon la saison.

PRATIQUE D’ACTIVITÉS PHYSIQUES D’INTENSITÉ MODÉRÉE AU TRAVAIL

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) déclarant travailler consacrent, en moyenne, 5 heures et 53 minutes par semaine à la pratique d’activités physiques d’intensité modérée (marche inclue) lorsqu’ils sont au travail. Après standardisation pour l’âge, les hommes pratiquent significativement plus d’activités physiques d’intensité modérée au travail (7 heures et 8 minutes par semaine) que les femmes (4 heures et 25 minutes par semaine). La durée moyenne des activités physiques d’intensité modérée effectuées au travail ne varie, par contre, pas significativement selon l’âge (Figure 35).

Comme pour la marche, le temps moyen consacré aux activités physiques d’intensité modérée au travail a tendance à augmenter lorsque le niveau d’éducation diminue. La durée moyenne pendant laquelle les adultes réalisent des activités physiques d’intensité modérée lorsqu’ils sont au travail passe, en effet, de 2 heures et 58 minutes par semaine chez les personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type long, à 5 heures et 46 minutes par semaine chez les personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type court et 8 heures et 34 minutes par semaine chez les personnes ayant un diplôme de secondaire, de primaire ou n’ayant pas de diplôme. Un tel gradient s’avère significatif après standardisation pour l’âge et le sexe.

Une différence régionale existe également à ce sujet : après standardisation pour l’âge et le sexe, les adultes qui habitent en Flandre consacrent significativement moins de temps à la pratique d’activités physiques d’intensité modérée au travail (5 heures et 16 minutes par semaine) que les adultes habitant en Wallonie (7 heures et 53 minutes par semaine). Cette différence reste, en outre, significative après standardisation supplémentaire pour le niveau d’éducation.

La pratique d’activités physiques d’intensité modérée au travail varie avec l’IMC : en effet, la durée moyenne de ces activités est de 4 heures et 2 minutes par semaine chez les adultes en situation de carence pondé-

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rale, 4 heures et 27 minutes par semaine chez les adultes ayant un statut pondéral normal, 6 heures et 11 minutes par semaine chez les adultes en surpoids et 8 heures et 56 minutes par semaine chez les adultes souffrant d’obésité. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les personnes ayant un statut pondéral normal effectuent significativement moins d’activités physiques d’intensité modérée lorsqu’elles sont au travail que les personnes en surpoids ou souffrant d’obésité. Cependant, après standardisation supplé-mentaire pour le niveau d’éducation, seule la différence entre les personnes ayant un IMC normal et celles souffrant d’obésité reste significative.

Enfin, la durée moyenne consacrée à la pratique d’activités physiques d’intensité modérée au travail s’avère relativement similaire quelle que soit la saison.

PRATIQUE D’ACTIVITÉS PHYSIQUES D’INTENSITÉ SOUTENUE AU TRAVAIL

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) déclarant travailler réalisent, en moyenne, 1 heure et 42 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité soutenue lorsqu’ils sont au travail. Après standar-disation pour l’âge, les hommes font significativement plus d’activités physiques d’intensité soutenue au travail (2 heures et 6 minutes par semaine) que les femmes (1 heure et 15 minutes par semaine). L’âge ne semble, par contre, pas influencer significativement la durée moyenne des activités physiques d’intensité soutenue réalisées au travail (Figure 35).

Cette durée moyenne a tendance à diminuer lorsque le niveau d’éducation augmente : elle passe de 2 heures et 42 minutes par semaine chez les personnes n’ayant pas de diplôme de l’enseignement supérieur à 1 heure et 51 minutes par semaine chez les personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type court et 30 minutes par semaine chez les personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type long. Les différences observées entre ces trois groupes sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

En Wallonie, les adultes consacrent, en moyenne, davantage de temps à la pratique d’activités physiques d’intensité soutenue lorsqu’ils sont au travail (2 heures et 24 minutes par semaine) que les personnes résidant en Flandre (1 heure et 33 minutes), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge et le sexe. Cette différence reste, en outre, significative après standardisation supplémentaire pour le niveau d’éducation.

La pratique d’activités physiques d’intensité soutenue au travail varie également d’une catégorie d’IMC à l’autre : en effet, la durée moyenne de ces activités est de 3 heures et 21 minutes par semaine chez les adultes en carence pondérale, 1 heure et 13 minutes par semaine chez les adultes ayant un IMC normal, 1 heure et 49 minutes par semaine chez les adultes en surpoids et 2 heures et 31 minutes par semaine chez les adultes souffrant d’obésité. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les personnes ayant un IMC normal font significativement moins d’activités physiques d’intensité soutenue lorsqu’elles sont au travail que les personnes souffrant d’obésité. Cette différence reste, en outre, significative après standardisation supplémentaire pour le niveau d’éducation.

Enfin, il n’existe pas de variation saisonnière significative à ce sujet.

PRATIQUE D’ACTIVITÉS PHYSIQUES D’INTENSITÉ MODÉRÉE À SOUTENUE AU TRAVAIL

Cette section décrit les résultats concernant la durée moyenne consacrée à la pratique d’activités phy-siques d’intensité modérée à soutenue au travail. Il s’agit donc ici de la somme des deux variables décrites dans les sections précédentes, à savoir la durée consacrée aux activités d’intensité modérée (marche inclue) et celle consacrée aux activités d’intensité soutenue.

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) déclarant travailler pratiquent, en moyenne, 7 heures et 35 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue lorsqu’ils sont au travail. Après standardisation pour l’âge, les hommes font significativement plus d’activités physiques d’inten-sité modérée à soutenue au travail (9 heures et 14 minutes par semaine) que les femmes (5 heures et 40 minutes par semaine). L’âge n’influence, par contre, pas significativement la durée moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue réalisées au travail (Figure 35).

En parallèle aux résultats observés pour les activités d’intensité modérée et celles d’intensité soutenue séparément, la durée moyenne des activités d’intensité modérée à soutenue pratiquées au travail a ten-

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dance à diminuer lorsque le niveau d’éducation augmente. Cette durée moyenne passe, en effet, de 11 heures et 16 minutes par semaine chez les personnes n’ayant pas de diplôme ou ayant un diplôme de primaire ou de secondaire à 7 heures et 37 minutes par semaine chez les personnes ayant un diplôme de l’enseignement supérieur de type court et 3 heures et 29 minutes par semaine chez les personnes diplô-mées de l’enseignement supérieur de type long. Un tel gradient s’avère significatif après standardisation pour l’âge et le sexe.

Comme attendu sur base des résultats des deux sections précédentes, les adultes résidant en Flandre font moins d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue lorsqu’ils sont au travail (6 heures et 48 minutes par semaine) que les adultes résidant en Wallonie (10 heures et 18 minutes par semaine), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge et le sexe. Ce résultat reste, en outre, signifi-catif même après standardisation supplémentaire pour le niveau d’éducation.

La durée moyenne consacrée aux activités physiques d’intensité modérée à soutenue au travail varie éga-lement selon l’IMC : celle-ci s’élève à 7 heures et 23 minutes par semaine chez les adultes en situation de carence pondérale, 5 heures et 40 minutes par semaine chez les adultes ayant un IMC normal, 8 heures par semaine chez les adultes en surpoids et 11 heures et 27 minutes par semaine chez les adultes souffrant d’obésité. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les personnes ayant un IMC normal font significa-tivement moins d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue lorsqu’elles sont au travail que les personnes en surpoids ou souffrant d’obésité. Cependant, après standardisation supplémentaire pour le niveau d’éducation, seule la différence entre les personnes ayant un IMC normal et les personnes souffrant d’obésité reste significative.

Enfin, le temps consacré hebdomadairement aux activités physiques d’intensité modérée à soutenue au travail ne varie pas significativement en fonction de la saison.

Figure 35 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant un emploi marchent ou effectuent des activités physiques d’intensité modérée, soutenue ou modérée à soutenue lors de leurs occupations professionnelles, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

5.3.4. Tâches ménagères

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) pratiquent, en moyenne, 4 heures et 44 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue dans le cadre de leurs tâches ménagères (à la maison et au jardin). Étant donné qu’une proportion relativement élevée de la population adulte (25 %) indique ne pas effectuer ce genre de travaux, l’activité physique liée aux tâches ménagères a uniquement été étudiée ci-dessous chez les personnes déclarant réaliser de telles tâches ménagères.

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PRATIQUE D’ACTIVITÉS PHYSIQUES D’INTENSITÉ MODÉRÉE À SOUTENUE LIÉES AUX TÂCHES MÉNAGÈRES

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) déclarant effectuer des tâches ménagères consacrent, en moyenne, 6 heures et 19 minutes par semaine à réaliser des activités physiques d’intensité modérée à soutenue dans le cadre de leurs tâches ménagères. Les femmes font davantage d’activités physiques d’in-tensité modérée à soutenue liées à leurs tâches ménagères (6 heures et 49 minutes par semaine) que les hommes (5 heures et 44 minutes par semaine), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge. Par ailleurs, les jeunes adultes (de 18 à 34 ans) y consacrent significativement moins de temps (4 heures et 30 minutes par semaine) que les adultes âgés de 35 à 64 ans (un peu plus de 7 heures par semaine) et ce, après standardisation pour le sexe (Figure 36).

La durée moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue liées aux tâches ménagères varie également selon le niveau d’éducation. Les personnes non diplômées ou ayant un diplôme de pri-maire ou de secondaire passent, en moyenne, plus de temps à pratiquer des activités physiques d’intensité modérée à soutenue dans le cadre de leurs tâches ménagères (7 heures et 18 minutes par semaine) que les personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type court (5 heures et 59 minutes par semaine) ou long (5 heures et 13 minutes par semaine). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

En outre, les personnes résidant en Wallonie effectuent davantage d’activités physiques d’intensité modé-rée à soutenue dans le cadre de leurs tâches ménagères (7 heures et 15 minutes par semaine) que les per-sonnes résidant en Flandre (6 heures et 8 minutes par semaine), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

Aucune différence significative n’a été observée à ce sujet en fonction de l’IMC.

Enfin, la pratique d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue liées aux tâches ménagères varie selon la saison : la durée moyenne de ces activités est de 5 heures et 27 minutes par semaine en hiver, 6 heures et 5 minutes par semaine en automne, 6 heures et 25 minutes par semaine au printemps et 7 heures et 25 minutes par semaine en été. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les adultes font significative-ment plus d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue dans le cadre de leurs tâches ménagères en été qu’en hiver.

Figure 36 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) effectuent des activités physiques d’intensité modérée à soutenue liées aux tâches ménagères ou au jardinage (parmi les adultes effectuant de telles tâches), par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

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5.3.5. Contribution des quatre domaines à l’activité physique totale

CONTRIBUTION DES ACTIVITÉS PHYSIQUES LIÉES AU TRANSPORT ACTIF

En Belgique, en 2014, 19,4 % de la durée totale des activités physiques d’intensité modérée à soutenue pratiquées par les adultes (de 18 à 64 ans) est liée à l’utilisation de mode(s) de transport actif. Des pour-centages relativement similaires sont observés chez les femmes (20,1 %) et chez les hommes (18,7 %). En ce qui concerne l’âge, ce pourcentage s’avère inférieur chez les adultes âgés de 35 à 50 ans (15,7 %), en comparaison aux adultes âgés de 51 à 64 ans (20,0 %) et de 18 à 34 ans (23,0 %). Après standardisation pour le sexe, la contribution des déplacements actifs à l’activité physique totale est significativement inférieure dans la catégorie d’âge 35-50 ans que dans la catégorie 18-34 ans (Figure 37).

Par ailleurs, la contribution des déplacements actifs à l’activité physique totale est plus élevée chez les personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type long (24,4 %) que chez les adultes diplômés de l’enseignement supérieur de type court (16,0 %) ou n’ayant pas de diplôme de l’enseignement supérieur (18,5 %). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

Une différence régionale existe également à ce sujet : ainsi, chez les adultes résidant en Flandre, l’activité physique liée à l’utilisation de modes de transport actif compte pour une plus grande part de l’activité phy-sique totale (19,8 %) que chez les adultes résidant en Wallonie (15,5 %), une différence qui est significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

La contribution des déplacements réalisés de manière active à l’activité totale varie légèrement d’une catégorie d’IMC à l’autre : elle est de 26,0 % chez les adultes en situation de carence pondérale, 22,4 % chez les adultes ayant un IMC normal, 16,8 % chez les adultes en surpoids et 16,2 % chez les adultes souffrant d’obésité. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les personnes ayant un IMC normal ont une propor-tion significativement plus grande de leur activité physique totale qui est liée à l’utilisation de mode(s) de transport actif que les personnes en surpoids ou souffrant d’obésité.

Enfin, il n’existe pas de variation saisonnière significative à ce sujet.

CONTRIBUTION DES ACTIVITÉS PHYSIQUES PRATIQUÉES PENDANT LE TEMPS LIBRE

En Belgique, en 2014, 23,4 % de la durée totale des activités physiques d’intensité modérée à soutenue pratiquées par les adultes (de 18 à 64 ans) s’effectue au cours de leur temps libre. Des pourcentages relati-vement similaires sont observés chez les femmes (22,5 %) et chez les hommes (24,4 %). Ce pourcentage ne varie pas non plus significativement selon la région de résidence ni selon la saison.

Le pourcentage de l’activité physique totale qui est pratiquée pendant le temps libre a tendance à dimi-nuer avec l’âge : il passe, en effet, de 26,7 % dans la catégorie d’âge 18-34 ans, à 22,9 % dans la catégorie d’âge 35-50 ans et 20,6 % dans la catégorie d’âge 51-64 ans. Après standardisation pour le sexe, ce pour-centage est significativement plus faible chez les adultes âgés de 51 à 64 ans que chez les adultes âgés de 18 à 34 ans (Figure 37).

D’un point de vue socio-économique, ce sont les adultes diplômés de l’enseignement supérieur de type long pour lesquels la contribution des activités physiques pratiquées pendant le temps libre s’avère la plus élevée (32,6 %). Après standardisation pour l’âge et le sexe, ce pourcentage est significativement plus élevé que celui observé chez les adultes ayant un diplôme de l’enseignement supérieur de type court (22,6 %) ou chez ceux n’ayant pas de diplômé de l’enseignement supérieur (17,5 %).

En ce qui concerne les différentes catégories d’IMC, la contribution des activités réalisées pendant le temps libre à l’activité physique totale est de 19,0 % chez les adultes en carence pondérale, 29,1 % chez les adultes ayant un IMC normal, 20,1 % chez les adultes en surpoids et 17,3 % chez les adultes souffrant d’obésité. Après standardisation pour l’âge et le sexe, la pratique d’activités physiques pendant le temps libre compte pour une part significativement plus importante de l’activité physique totale chez les personnes ayant un IMC normal que chez celles en situation de surpoids ou souffrant d’obésité. Ces différences restent signifi-catives après standardisation supplémentaire pour le niveau d’éducation.

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CONTRIBUTION DES ACTIVITÉS PHYSIQUES LIÉES AU TRAVAIL

En Belgique, en 2014, 24,1 % de la durée totale des activités physiques d’intensité modérée à soutenue pratiquées par les adultes (de 18 à 64 ans) s’effectue dans le cadre de leur travail. Ce pourcentage est plus élevé chez les hommes (30,7 %) que chez les femmes (17,3 %), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge. Ce pourcentage varie également en fonction de l’âge : il s’élève à 25,7 % dans la catégorie d’âge 18-34 ans et 27,0 % dans la catégorie 35-50 ans, puis diminue à 18,8 % dans la catégorie la plus âgée (51-64 ans). Après standardisation pour le sexe, la proportion de l’activité physique totale qui est réalisée au travail est significativement plus faible chez les adultes âgés de 51 à 64 ans que chez les adultes plus jeunes (de 18 à 50 ans) (Figure 37).

La proportion des activités physiques qui sont réalisées par les adultes lorsqu’ils sont au travail est nette-ment plus faible chez les adultes ayant un diplôme de l’enseignement supérieur de type long (15,6 %), en comparaison aux personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type court (27,0 %) ou n’ayant pas de diplôme de l’enseignement supérieur (27,7 %). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

En ce qui concerne les différentes catégories d’IMC, la contribution des activités réalisées au travail à l’ac-tivité physique totale est de 16,5 % chez les adultes en situation de carence pondérale, 19,1 % chez les adultes ayant un IMC normal, 26,8 % chez les adultes en surpoids et 31,2 % chez les adultes souffrant d’obésité. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les personnes en surpoids et les personnes souf-frant d’obésité ont une proportion significativement plus grande de leur activité physique qui est réalisée lorsqu’elles sont au travail, en comparaison aux personnes ayant un IMC normal. Cette différence reste, en outre, significative après standardisation supplémentaire pour le niveau d’éducation.

La proportion de l’activité physique totale effectuée au travail ne varie, par contre, pas significativement selon la région de résidence ni selon la saison.

CONTRIBUTION DES ACTIVITÉS PHYSIQUES LIÉES AUX TÂCHES MÉNAGÈRES

En Belgique, en 2014, 31,2 % de la durée totale des activités physiques d’intensité modérée à soutenue pratiquées par les adultes (de 18 à 64 ans) s’effectue dans le cadre des tâches ménagères. En moyenne, les femmes effectuent 38,1 % de leur activité physique totale pendant leurs tâches ménagères, ce qui est significativement plus que les hommes (24,3 %), après standardisation pour l’âge. Par ailleurs, la proportion de l’activité physique totale qui est réalisée pendant les tâches ménagères tend à augmenter avec l’âge : après standardisation pour le sexe, cette proportion est significativement plus élevée chez les adultes âgés de 51 à 64 ans (38,3 %) que chez les adultes plus jeunes (33,0 %dans la catégorie 35-50 ans et 22,6 % dans la catégorie 18-34 ans) (Figure 37).

La proportion de l’activité physique totale réalisée dans le cadre des tâches ménagères a tendance à dimi-nuer lorsque le niveau d’éducation augmente : elle passe, en effet, de 34,3 % chez les personnes sans diplôme, ayant un diplôme de primaire ou de secondaire, à 31,5 % chez les personnes ayant un diplôme de l’enseignement supérieur de type court et 26,5 % chez les personnes ayant un diplôme de l’enseignement supérieur de type long. Après standardisation pour l’âge et le sexe, ce pourcentage est significativement plus élevé chez les personnes sans diplôme, ayant un diplôme de primaire ou de secondaire que chez les personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type long.

Aucune différence significative n’a été observée à ce sujet selon la région de résidence, l’IMC ou la saison.

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Figure 37 | Proportion des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui sont réalisées par les adultes (de 18 à 64 ans) au cours de leurs déplacements, de leurs loisirs, quand ils sont au travail ou dans le cadre de leur tâches ménagères, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

5.4. SÉDENTARITÉ

Le comportement sédentaire des adultes (de 18 à 64 ans) a été étudié à partir de la durée moyenne passée par ces derniers en position assise. Différents indicateurs ont été calculés à ce sujet et sont présentés dans les sections suivantes :

• la durée quotidienne moyenne passée en position assise en semaine (en dehors du temps passé dans un véhicule en position assise) ;

• la durée quotidienne moyenne passée en position assise le week-end (en dehors du temps passé dans un véhicule en position assise) ;

• la durée quotidienne moyenne passée en position assise en semaine et le weekend (en dehors du temps passé dans un véhicule en position assise) ;

• le pourcentage d’individus passant plus de huit heures par jour en position assise (en dehors du temps passé dans un véhicule en position assise) ;

• la durée quotidienne moyenne passée en position assise dans un véhicule ;

• la durée quotidienne totale passée en position assise en semaine et le week-end (y compris le temps passé dans un véhicule en position assise).

5.4.1. Durée passée en position assise en semaine

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) passent, en moyenne, 6 heures et 6 minutes par jour en position assise en semaine (sans compter le temps passé assis dans un véhicule). Cette durée moyenne s’avère relativement similaire chez les hommes (6 heures et 11 minutes par jour) et chez les femmes (6 heures et 2 minutes par jour). Après standardisation pour le sexe, le temps moyen qu’un adulte passe en position assise en semaine ne varie pas significativement selon son âge (Figure 38).

La durée quotidienne moyenne passée en position assise en semaine varie, par contre, selon le niveau d’éducation. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les personnes non diplômées, ayant un diplôme de primaire ou de secondaire passent significativement moins de temps en position assise en semaine (5 heures et 17 minutes par jour) que les personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type court (6 heures et 16 minutes par jour) ou long (7 heures et 14 minutes par jour).

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En Wallonie, le temps moyen passé par les adultes en position assise en semaine est plus faible (5 heures et 18 minutes par jour) qu’en Flandre (6 heures et 23 minutes par jour), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

En ce qui concerne les différentes catégories d’IMC, la durée quotidienne moyenne passée en position assise en semaine est de 5 heures et 2 minutes par jour chez les adultes en situation de carence pondé-rale, 6 heures et 19 minutes par jour chez les adultes ayant un IMC normal, 5 heures et 51 minutes par jour chez les adultes en surpoids et 5 heures et 45 minutes par jour chez les adultes souffrant d’obésité. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les adultes en surpoids et les adultes souffrant d’obésité restent significativement moins longtemps assis en semaine que les personnes ayant un statut pondéral normal. Ces différences ne sont toutefois plus significatives après standardisation supplémentaire pour le niveau d’éducation.

Une variation saisonnière concernant le comportement sédentaire des adultes en semaine a été observée : ainsi, les adultes passent, en moyenne, 6 heures et 24 minutes par jour en position assise en automne, 6 heures et 22 minutes par jour en hiver, 6 heures et 5 minutes par jour au printemps et 5 heures et 32 minutes par jour en été. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les adultes passent significativement plus de temps assis en semaine pendant l’hiver que pendant l’été.

5.4.2. Durée passée en position assise le week-end

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) passent, en moyenne, 4 heures et 57 minutes par jour en position assise le week-end (sans compter le temps passé assis dans un véhicule), soit environ une heure de moins qu’en semaine (6 heures et 6 minutes par jour). Cette durée moyenne ne varie pas significative-ment selon le sexe. L’âge s’avère, par contre, relié à ce comportement : après standardisation pour le sexe, les adultes âgés de 35 à 50 ans passent significativement moins de temps en position assise le week-end (4 heures et 31 minutes par jour) que les adultes âgés de 18 à 34 ans (5 heures et 8 minutes par jour) et de 51 à 64 ans (5 heures et 17 minutes par jour) (Figure 38).

Ici également, une différence régionale a été notée : les adultes résidant en Flandre passent, en moyenne, davantage de temps en position assise le week-end (5 heures et 12 minutes par jour) que les adultes rési-dant en Wallonie (4 heures et 30 minutes). Cette différence est significative après standardisation pour l’âge et le sexe.

La durée quotidienne moyenne que les adultes passent en position assise le week-end ne varie pas signi-ficativement selon le niveau d’éducation, l’IMC ou la saison.

5.4.3. Durée passée en position assise (en semaine ou le week-end)

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) passent, en moyenne, 5 heures et 47 minutes par jour en position assise (sans compter le temps passé assis dans un véhicule). Cette durée moyenne ne varie pas significativement selon le sexe, l’âge ou l’IMC.

La durée quotidienne moyenne passée en position assise varie, par contre, selon le niveau d’éducation. Ainsi, les personnes non diplômées, ayant un diplôme de primaire ou de secondaire ont tendance à passer moins de temps en position assise (5 heures et 9 minutes par jour) que les personnes diplômées de l’en-seignement supérieur de type court (5 heures et 58 minutes par jour) ou long (6 heures et 34 minutes par jour). Ces différences sont significatives après standardisation pour l’âge et le sexe.

Après standardisation pour l’âge et le sexe, les personnes domiciliées en Flandre passent significativement plus de temps en position assise (6 heures et 3 minutes par jour) que les personnes domiciliées en Wallonie (5 heures et 5 minutes par jour).

En 2014, la durée quotidienne moyenne passée en position assise, au sein de la population adulte, s’avère plus faible qu’en 2004. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les adultes restent assis significative-ment moins longtemps en 2014 (5 heures et 47 minutes par jour) qu’en 2004 (6 heures et 47 minutes par jour).

Enfin, les adultes passent, en moyenne, 6 heures et 45 minutes par jour en position assise en automne, 6 heures et 54 minutes par jour en hiver, 6 heures et 51 minutes par jour au printemps et 6 heures et 37

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minutes par jour en été. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les adultes passent davantage de temps assis en hiver qu’en été.

Figure 38 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise en semaine et le week-end, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

5.4.4. Pourcentage de la population passant plus de huit heures par jour en position assise

En Belgique, en 2014, 22,2 % des adultes (de 18 à 64 ans) passent plus de huit heures par jour en position assise (sans tenir compte du temps passé assis dans un véhicule). Cette prévalence est relativement simi-laire chez les hommes (24,0 %) et chez les femmes (20,4 %). Elle a, par ailleurs, tendance à diminuer avec l’âge : elle passe, en effet, de 27,8 % chez les personnes âgées de 18 à 34 ans à 21,6 % chez les personnes âgées de 35 à 50 ans et 16,9 % chez les personnes âgées de 51 à 64 ans. Après standardisation pour le sexe, la proportion de personnes passant plus de huit heures par jour en position assise est significativement plus faible dans la catégorie la plus âgée que dans la catégorie la plus jeune (OR 0,53 ; IC 95 % 0,35-0,81) (Figure 39).

D’un point de vue socio-économique, le pourcentage de personnes passant plus de huit heures par jour en position assise a tendance à augmenter lorsque le niveau d’éducation augmente : il passe ainsi de 16,5 % chez les adultes non diplômés ou ayant un diplôme de primaire ou de secondaire à 23,8 % chez les personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type court et 29,4 % chez les personnes diplô-mées de l’enseignement supérieur de type long. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les personnes diplômées l’enseignement supérieur de type court (OR 1,58 ; IC 95 % 1,05-2,40) ou long (OR 3,54 ; IC 95 % 1,39-3,11) sont significativement plus nombreuses que les personnes ayant un niveau d’instruction plus faible à passer plus de huit heures par jour en position assise.

Le fait de rester assis plus de huit heures par jour s’avère moins répandu parmi les adultes résidant en Wallonie (12,8 %) que parmi ceux résidant en Flandre (26,8 %), cette différence étant significative après standardisation pour l’âge et le sexe (OR 0,39 ; IC 95 % 0,27-0,57).

En 2014, le pourcentage d’adultes passant plus de huit heures par jour en position assise (22,2 %) est infé-rieur à celui qui avait été observé en 2004 (29,8 %). Cette différence s’avère significative après standardisa-tion pour l’âge et le sexe (OR 0,66 ; IC 95 % 0,53-0,82).

Le pourcentage de personnes passant plus de huit heures par jour en position assise est plus élevé parmi les adultes ayant un IMC considéré comme normal (26,7 %), en comparaison aux personnes des autres catégories d’IMC (15,3 % chez les adultes en carence pondérale, 19,0 % chez les adultes en surpoids et 15,8 % chez les adultes souffrant d’obésité). Après standardisation pour l’âge et le sexe, les personnes ayant

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un IMC normal sont significativement plus nombreuses que les personnes en surpoids ou obèses à rester assises plus de huit heures par jour. Ces différences ne sont toutefois plus significatives après standardisa-tion supplémentaire pour le niveau d’éducation.

Enfin, aucune différence significative n’a été observée à ce sujet en fonction de la saison.

Figure 39 | Pourcentage d’adultes (de 18 à 64 ans) qui passent, en moyenne, plus de huit heures par jour en position assise, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

5.4.5. Durée passée en position assise dans un véhicule

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) passent, en moyenne, 53 minutes par jour en position assise dans un véhicule. Cette durée moyenne ne varie pas significativement selon le sexe. Les adultes les plus âgés (de 51 à 64 ans) passent moins de temps en position assise dans un véhicule (41 minutes par jour) que les adultes plus jeunes (1 heure et 3 minutes par jour dans la catégorie d’âge 35-50 ans et 52 minutes par jour dans la catégorie 18-34 ans), cette différence étant significative après standardisation pour le sexe (Figure 40).

Une différence régionale a également été notée à ce sujet : après standardisation pour l’âge et le sexe, les adultes résidant en Wallonie passent, en effet, significativement plus de temps en position assise dans un véhicule (1 heure par jour) que ceux résidant en Flandre (49 minutes par jour).

La durée moyenne passée en position assise dans un véhicule ne varie, par contre, pas significativement selon le niveau d’éducation, l’IMC ou la saison.

5.4.6. Durée totale passée en position assise (y compris dans un véhicule)

En Belgique, en 2014, les adultes (de 18 à 64 ans) passent, en moyenne, une durée totale de 6 heures et 39 minutes par jour en position assise, cette durée moyenne comprenant également le temps passé en position assise dans un véhicule. Cette moyenne ne varie pas significativement selon le sexe ni selon l’âge (Figure 40).

La durée moyenne passée en position assise a, par contre, tendance à augmenter lorsque le niveau d’édu-cation augmente. Après standardisation pour l’âge et le sexe, les personnes ayant un niveau d’éducation relativement faible (sans diplôme, diplôme de primaire ou de secondaire) passent significativement moins de temps en position assise (5 heures et 59 minutes par jour) que les personnes ayant un diplôme de l’en-seignement supérieur de type court (6 heures et 55 minutes par jour) ou long (7 heures et 27 minutes par jour).

Comme pour les précédents indicateurs ayant trait au comportement sédentaire des adultes, une diffé-rence régionale a été observée : après standardisation pour l’âge et le sexe, les adultes résidant en Flandre

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passent, en moyenne, significativement plus de temps en position assise (6 heures et 52 minutes par jour) que ceux résidant en Wallonie (6 heures et 4 minutes par jour).

La durée totale passée en position assise par les adultes ne varie pas significativement d’une catégorie d’IMC à l’autre.

Une variation saisonnière a, par contre, été mise en évidence, la durée totale passée par les adultes en position assise étant plus élevée en automne et en hiver (6 heures et 54 minutes par jour et 7 heures et 1 minute par jour, respectivement) qu’au printemps et en été (6 heures et 28 minutes par jour et 6 heures et 10 minutes par jour, respectivement). Après standardisation pour l’âge et le sexe, les adultes restent assis significativement plus longtemps en hiver qu’en été.

Figure 40 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise (lors des déplacements, à l’exclusion des déplacements et au total), par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014

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6. DISCUSSION

6.1. ACTIVITÉ PHYSIQUE

6.1.1. Activité physique totale

La petite enfance constitue une période critique pour l’établissement d’habitudes de vie saines, notam-ment en termes d’activité physique. En effet, si des habitudes ou comportements sains sont pris dès le plus jeune âge, ceux-ci-ci ont davantage de chances d’être acquis et de perdurer lors de l’enfance, l’adolescence et jusqu’à l’âge adulte (47).

Des mesures objectives réalisées au moyen d’accéléromètres ont permis de constater que les enfants (de 3 à 9 ans) pratiquent, en moyenne, une heure d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue par jour, tandis que cette durée moyenne tombe à trois quarts d’heure par jour chez les adolescents (de 10 à 17 ans). Par ailleurs, la durée moyenne des activités physiques de faible intensité diminue également avec l’âge et passe de 4,8 heures par jour chez les enfants âgés de 3 à 5 ans à 3,4 heures par jour chez les adolescents âgés de 14 à 17 ans. Cette tendance à la diminution de l’activité physique avec l’âge concorde avec les résultats observés précédemment dans d’autres études transversales menées en Belgique (48).

A l’instar d’autres études (49-52), les garçons montrent un comportement plus actif que les filles et ce, tant chez les enfants que chez les adolescents. De telles différences peuvent s’expliquer par des aspects socio-culturels : les garçons pratiquent, en effet, davantage d’activités intensives, tant pendant les cours d’éducation physique à l’école qu’en dehors de ces cours. Ceux-ci participent également plus fréquem-ment à des sports d’équipe (50). Cette tendance se voit confirmée par les résultats découlant des analyses des questionnaires d’auto-évaluation et décrivant le contexte et le type d’activités physiques pratiquées par les enfants et les adolescents.

Les adultes déclarent, quant à eux, pratiquer des activités physiques d’intensité modérée à soutenue pen-dant, en moyenne, 1,8 heures par jour. Cette moyenne diffère des résultats de l’enquête de santé 2013, celle-ci ayant estimé que les adultes belges (de 15 ans et plus) effectuaient, en moyenne, 43 minutes par jour d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue (53). Une telle différence s’explique, d’une part, par l’absence de prise en compte de la marche dans la durée moyenne calculée par l’enquête de santé. Sans inclure la marche, la durée moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue – esti-mée dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire – tombe, en effet, à 54 minutes par jour. Un tel résultat montre, par conséquent, que la marche compte pour une part non-négligeable de l’activité physique chez l’adulte. D’autre part, certaines différences méthodologiques liées aux questionnaires utili-sés et à l’âge de la population étudiée peuvent également contribuer à expliquer les différences observées entre les deux enquêtes.

Chez les adultes également, les hommes sont physiquement plus actifs que les femmes, un résultat qui concorde avec les conclusions d’études antérieures (27). Les personnes ayant un niveau d’éducation relati-vement faible et les personnes résidant en Wallonie consacrent également davantage de temps à réaliser des activités physiques d’intensité modérée à soutenue. Ce résultat s’explique principalement par une pratique plus importante d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue au cours de leurs occupa-tions professionnelles. Plusieurs études ont, en effet, montré que les personnes exerçant un métier manuel présentaient un niveau d’activité physique supérieur que les personnes ayant un métier non manuel (54).

Aucune relation entre l’activité physique totale et l’âge n’a été observée chez les adultes sur base des résul-tats de l’enquête ; les adultes âgés de 18 à 50 ans pratiquent néanmoins davantage d’activités physiques d’intensité soutenue que les personnes plus âgées (51-64 ans).

Lors de la précédente enquête de consommation alimentaire, menée en 2004, les adultes consacraient, en moyenne, 1,3 heures par jour à réaliser des activités physiques d’intensité modérée à soutenue, soit environ une demi-heure de moins que la durée moyenne estimée en 2014. La durée moyenne des activités physiques d’intensité soutenue pratiquées par les adultes est restée relativement stable entre 2004 et 2014, tandis que la pratique d’activités physiques d’intensité modérée a augmenté d’environ une demi-heure entre ces deux enquêtes. L’utilisation de deux formes différentes de questionnaires d’auto-évaluation IPAQ en 2004 (forme courte) et 2014 (forme longue, analysant l’activité physique dans quatre domaines) peut néanmoins contribuer à expliquer ces différences. Selon la littérature, l’usage de la version longue du

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questionnaire IPAQ pourrait, en effet, entraîner une surestimation de l’activité physique totale, en com-paraison à la version abrégée (55). Les différences observées entre 2004 et 2014 doivent, par conséquent, être interprétées avec précaution.

L’utilisation d’accéléromètres constitue une méthode de mesure fiable et objective de l’activité physique. Cette méthode ne fournit toutefois aucune information sur le type d’activités physiques réalisées. A contra-rio, les questionnaires d’auto-évaluation présentent une fiabilité et une validité relativement faibles en ce qui concerne la mesure de l’activité physique mais permettent de décrire et classer les activités réalisées (56). L’utilisation exclusive d’un questionnaire d’auto-évaluation chez les adultes est probablement à la source d’une surestimation du volume total d’activité physique et de la durée des activités physiques d’intensité modérée à soutenue, d’une part, et d’une sous-estimation de la durée des activités sédentaires, d’autre part (12;57;58). Les résultats obtenus à l’aide d’un tel questionnaire (chez les adultes) sont donc dif-ficilement comparables à des données plus objectives telles que celles obtenues à l’aide d’accéléromètres (chez les enfants et adolescents).

L’utilisation d’accéléromètres possède néanmoins certains inconvénients à prendre en compte dans l’in-terprétation des résultats obtenus chez les enfants et adolescents. Lorsqu’ils sont portés à la taille, les accéléromètres sont peu à même d’évaluer correctement les activités physiques impliquant peu de mou-vements de la partie supérieure du corps, tels que le cyclisme (59). Cet élément pourrait avoir un impact sur l’estimation de l’activité physique pour les personnes qui se déplacent plus régulièrement à vélo. Une autre limite concerne la valeur seuil utilisée pour définir les activités physiques d’intensité modérée à soutenue (≥ 2296 counts per minute) : bien que cette valeur seuil ait été considérée, jusqu’il y a peu, comme valide chez les enfants et jeunes âgés de 5 ans et plus, il a été démontré récemment que celle-ci est peu appro-priée chez les enfants âgés de 4 à 6 ans et n’a pas été validée chez les enfants de moins de 4 ans (39;60;61). L’estimation de la durée des activités physiques d’intensité modérée à soutenue dans la catégorie d’âge 3-5 ans doit, par conséquent, être interprétée avec précaution.

6.1.2. Recommandations en matière d’activité physique

ENFANTS ET ADOLESCENTS

Pour les enfants d’âge préscolaire (c’est-à-dire de moins de 5 ans), plusieurs pays ou régions (Australie, Canada, Royaume-Uni, Flandre) ont récemment développé des recommandations spécifiques : selon celles-ci, les enfants de cet âge devraient accumuler un minimum de trois heures (180 minutes) par jour d’activités physiques (d’intensité faible, modérée ou soutenue) (21;22;24;47). Les résultats de l’enquête montrent qu’en Belgique, en 2014, la grande majorité (96 %) des enfants âgés de 3 à 5 ans rencontrent une telle recommandation. Cette prévalence est supérieure à celle de 84 % observée au Canada parmi des enfants âgés de 3 et 4 ans, entre 2009 et 2011 (62). Les résultats de la présente enquête sont, par contre, du même ordre de grandeur que ceux d’une étude menée au Portugal parmi un échantillon d’enfants âgés de 4 à 6 ans : celle-ci identifiait, en effet, que 97 % des filles et 99 % des garçons rencontraient les recom-mandations en matière d’activité physique (63).

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande que les enfants et adolescents âgés de 5 à 17 ans effectuent un minimum de 60 minutes par jour d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue (4). La présente enquête montre qu’en Belgique, 7 % des enfants âgés de 6 à 9 ans (11 % des garçons et 2 % des filles) atteignent ce niveau d’activité en 2014. Ces taux sont plus bas parmi les adolescents (de 10 à 17 ans) avec seulement 2 % de ceux-ci qui atteignent le niveau recommandé (4 % des garçons et 0,5 % des filles). En moyenne, ce sont donc 4 % des enfants et adolescents belges âgés de 6 à 17 ans (7 % des garçons et 1 % des filles) qui sont suffisamment actifs chaque jour. Ces résultats sont légèrement inférieurs à la prévalence de 7 % observée au Canada parmi des enfants et jeunes âgés de 6 à 19 ans, entre 2007 et 2009 (49). Ils sont, par ailleurs, relativement similaires aux résultats d’une étude internationale récente qui identifiait que 9 % des garçons et 2 % des filles (de 3 à 18 ans) réalisaient un minimum de 60 minutes d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue chaque jour (60).

Dans ce domaine, les comparaisons entre études doivent néanmoins être réalisées avec précaution. En effet, le traitement des données issues des accéléromètres (appelé « réduction des données ») fait interve-nir plusieurs choix méthodologiques susceptibles d’influencer les résultats obtenus. Il s’agit notamment :

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• du choix de l’« epoch » ;

• du choix des valeurs seuils utilisées pour déterminer lorsque l’accéléromètre n’était pas porté ;

• du choix des valeurs seuils utilisées pour définir les différents niveaux d’intensité (sédentarité, activité physique de faible intensité, d’intensité modérée ou soutenue) ;

• de la définition des jours valides (nombre minimum d’heures pendant lequel l’accéléromètre doit être porté) ;

• du nombre minimum de jours valides à considérer.

Autant d’éléments qui peuvent contribuer aux différences entre études et rendent dès lors difficiles les comparaisons. Les valeurs seuils utilisées pour définir les niveaux d’intensité ont une influence particulière-ment importante sur les résultats obtenus : ainsi, en fonction des valeurs choisies, le pourcentage d’enfants respectant les recommandations de l’OMS passe de 1 % pour les valeurs seuils les plus strictes à 78-100 % pour les moins strictes (64).

La proportion nettement supérieure d’enfants âgés de 3 à 5 ans rencontrant les recommandations en termes d’activité physique (96 %), en comparaison aux catégories d’âge supérieures (7 %, 3 % et 2 % pour les catégories 6-9 ans, 10-13 ans et 14-17 ans, respectivement), s’explique par les différences de volume et d’intensité d’activité physique des deux recommandations utilisées : 180 minutes à tous niveaux d’in-tensité versus 60 minutes à un niveau modéré à soutenu (62). Dans le premier cas, toutes les observations se situant au-dessus de la valeur seuil de la sédentarité (100 counts par minute) sont considérées, ce qui représente donc une durée journalière importante. A titre d’exemple, les enfants âgés de 3 à 5 ans passent, en moyenne, 6,1 heures par jour à réaliser ce type d’activités. Les valeurs seuils utilisées pour définir les activités physiques d’intensité modérée à soutenue sont, à l’inverse, plus restrictives (≥ 2296 counts par minute), ce qui explique le pourcentage inférieur d’enfants et d’adolescents âgés de 6 à 17 ans rencontrant cette recommandation.

Une autre raison expliquant les faibles pourcentages observés chez les enfants et adolescents âgés de 6 à 17 ans est à trouver dans l’interprétation relativement stricte de la recommandation de l’OMS utilisée dans cette étude. En effet, dans le cadre de la présente enquête, ce n’est pas la durée moyenne passée à réaliser des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui a été considérée pour calculer la pré-valence de la population ayant un niveau d’activité physique suffisant. Seuls les enfants ou adolescents ayant strictement 60 minutes d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue chaque jour valide ont été considérés comme respectant la recommandation. Ceci explique également pourquoi seuls 6 % des enfants âgés de 6 à 9 ans respectent les recommandations en matière d’activité physique alors même que la durée moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue est de 62 minutes par jour dans cette catégorie d’âge.

En effet, en considérant une interprétation moins stricte de la recommandation de l’OMS faisant appel à la durée quotidienne moyenne passée à réaliser des activités physiques d’intensité modérée à soutenue (moyenne calculée cette fois sur l’ensemble des jours valides), ce sont alors 48 % des enfants âgés de 6 à 9 ans (34 % des filles et 61 % des garçons) et 29 % des adolescents âgés de 10 à 17 ans (15 % des filles et 43 % des garçons) qui satisfont aux recommandations (60 minutes par jour) en matière d’activité physique. A titre de comparaison, une étude européenne récente se référant à une interprétation moins stricte de cette recommandation (utilisation de la moyenne) estimait que 23 % des enfants (12 % des filles et 34 % des garçons) étaient suffisamment actifs (au sein d’un échantillon non-représentatif d’enfants belges âgés de 2 à 11 ans) (50).

Une seconde interprétation plus « libérale » de la recommandation de l’OMS consiste à exprimer la propor-tion de jours valides accumulant un minimum de 60 minutes d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue, au sein de l’ensemble de l’échantillon. Les résultats de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 montrent que 46 % des jours valides atteignent cette recommandation pour les enfants de 6 à 9 ans (55 % pour les garçons et 35 % pour les filles) et 29 % pour les adolescents de 10 à 17 ans (37 % pour les garçons et 22 % pour les filles). En moyenne, pour les enfants et adolescents (de 6 à 17 ans), ce sont donc 36 % des jours valides qui comportent un minimum de 60 minutes d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue : 45 % pour les garçons et 27 % pour les filles, soit des résultats similaires à ceux obser-

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vés dans une étude récente faisant intervenir des données internationales (46 % des jours valides chez les garçons et 22 % chez les filles) (60).

ADULTES

Selon les recommandations de l’OMS en matière d’activité physique, les adultes (de 18 à 64 ans) devraient pratiquer au minimum 150 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité modérée ou 75 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité soutenue ou encore une combinaison équivalente d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue (« norme de mouvement »). Cependant, afin d’en retirer des bénéfices pour leur santé, les adultes devraient aller au-delà de cette « norme de mouvement » et atteindre 300 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité modérée ou 150 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité soutenue ou encore une combinaison équivalente d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue (« norme de santé »).

En Belgique, en 2014, 91 % de la population adulte répond à la première recommandation de l’OMS (« norme de mouvement »). Cette prévalence est supérieure de 20 % à celle observée lors de l’enquête de consommation alimentaire de 2004. Davantage de personnes résidant en Wallonie (95 %) qu’en Flandre (89 %) atteignent cette « norme de mouvement ». Les hommes sont aussi plus nombreux que les femmes à rencontrer cette recommandation, principalement parce qu’ils déclarent pratiquer davantage d’activités physiques d’intensité soutenue.

En outre, le pourcentage d’adultes ayant un niveau d’activité physique suffisamment élevé pour en retirer des bénéfices en termes de santé (« norme de santé ») s’élève à 79 % en 2014 ; une telle prévalence est supérieure de 24 % à celle observée en 2004. Ce pourcentage a, par ailleurs, tendance à diminuer lorsque le niveau d’éducation augmente.

Comme mentionné précédemment dans cette discussion, la comparaison des résultats de 2014 avec ceux de 2004 doit être interprétée avec précaution. En effet, l’utilisation de la version longue du questionnaire IPAQ en 2014 et de la version courte en 2004 explique probablement en partie les différences observées entre ces deux enquêtes (55). De manière plus générale, l’utilisation du questionnaire IPAQ entraîne une surestimation de la durée des activités physiques d’intensité modérée à soutenue et a, par conséquent, également pour effet de surestimer la proportion de personnes atteignant les recommandations en matière d’activité physique (12;57).

6.1.3. Domaines d’activité physique

L’étude de l’activité physique de la population s’intéresse généralement aux activités réalisées pendant les loisirs, ce domaine étant associé à davantage de contrôle et de flexibilité pour les individus que d’autres domaines tels que le transport ou le travail. A l’heure actuelle, la littérature sur le sujet comprend davan-tage de publications concernant les activités physiques pratiquées pendant les loisirs que concernant celles liées au transport, au travail, à l’école ou aux tâches ménagères. Malgré cette attention marquée pour l’activité physique pratiquée lors du temps libre (de même que pour l’alimentation), la prévalence de l’obé-sité et les maladies chroniques qui y sont associées continuent à prendre de l’ampleur. Afin de mettre en place des actions de santé publique ciblées et efficaces, il importe donc de ne pas se focaliser uniquement sur le domaine des loisirs mais d’essayer de mieux comprendre dans quel contexte les personnes sont ou pourraient être plus actives tout au long de leur journée. A titre d’exemple, la pratique d’activités sportives d’intensité soutenue pendant le temps libre s’avérera moins importante chez les personnes ayant déjà un travail physiquement lourd.

Selon la catégorie d’âge, trois questionnaires d’auto-évaluation ont été utilisés afin de décrire le type d’ac-tivités physiques réalisées et le contexte dans lequel celles-ci prennent place. Les domaines d’activité phy-sique étudiés varient selon le questionnaire utilisé.

• Le questionnaire issu du projet ToyBox a été adressé aux parents/tuteurs des enfants (de 3 à 9 ans) ; celui-ci porte notamment sur le mode de transport utilisé pour se rendre à l’école, la pratique d’activités sportives au sein d’un club sportif et le fait de jouer à l’extérieur. Bien que la fiabilité des questions relatives à l’activité physique et à la sédentarité semble excellente chez les jeunes âgés de 10 à 12 ans, cette fiabilité s’avère plutôt modérée pour les enfants plus jeunes (65). Ceci s’ex-

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plique entre autres par le comportement plus sporadique et moins structuré des jeunes enfants (65).

• Le questionnaire FPAQ a été adressé aux adolescents (de 10 à 17 ans) ; il étudie notamment le mode de transport utilisé pour se rendre à l’école, ainsi que les activités sportives pratiquées à l’école et pendant les heures de loisirs. Les adolescents ont répondu eux-mêmes à ces questions au cours d’une interview en face-à-face ; cette méthode a permis de préciser les questions qui n’étaient pas claires pour le participant et d’améliorer ainsi la qualité des données collectées. Une étude de validité portant sur le questionnaire FPAQ a toutefois démontré que, lorsque les jeunes âgés de 9 à 11 ans complétaient le questionnaire en présence des parents, les données étaient plus fiables et présentaient une meilleure validité que lorsque le questionnaire était complété sans l’aide des parents (44).

• La version longue de l’IPAQ a été adressée aux adultes (de 18 à 64 ans) ; ce questionnaire inclut quatre principaux domaines : le transport, les loisirs, le travail et les tâches ménagères. Comme signalé précédemment, l’utilisation de questionnaires d’auto-évaluation a pour désavantage de surestimer le volume d’activité physique des individus. D’un point de vue descriptif, ceux-ci consti-tuent néanmoins des outils adéquats pour classer les différents domaines en fonction de leur importance (56). Contrairement à la version longue, la version courte de l’IPAQ, utilisée en 2004, n’inclut pas une telle répartition en domaines. Il convient dès lors de comparer avec précaution les résultats de 2014 à ceux de 2004.

De manière générale, il s’avère plus facile de comparer entre eux les résultats de différents questionnaires plutôt que les résultats issus de méthodes de mesure différentes, par exemple ceux issus de questionnaires et ceux mesurés via des accéléromètres (66). En raison de la grande diversité des questions présentes dans les différents questionnaires, les résultats issus de ces derniers doivent néanmoins être comparés avec une certaine prudence.

TRANSPORT

L’utilisation d’un mode de transport actif pour se rendre à l’école ou au travail possède probablement un effet positif sur le poids corporel et contribue à une amélioration de la condition cardiovasculaire (67;68). Le recours à un mode de transport actif permet, en outre, d’augmenter le temps quotidien consacré à la pratique d’activités physiques.

L’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 a mis en évidence que 48 % des enfants (de 3 à 9 ans) et 40 % des adolescents (de 10 à 17 ans) se rendent à l’école à pied et/ou à vélo. Ceux-ci y consacrent, en moyenne, respectivement 1,7 heures par semaine et 2,1 heures par semaine. Les enfants et les adolescents résidant en Flandre sont plus nombreux à se rendre à l’école à pied et/ou à vélo que les enfants et les ado-lescents résidant en Wallonie.

Chez les adultes (de 18 à 64 ans), le temps consacré à l’utilisation d’un mode de transport actif représente près d’un cinquième de la totalité du temps consacré à la pratique d’activités physiques d’intensité modé-rée à soutenue. 65 % des adultes déclarent recourir à un mode de transport actif lors de leurs déplace-ments ; ceux-ci y consacrent, en moyenne, 3,4 heures par semaine.

Dans le présent rapport, la durée moyenne consacrée à l’utilisation d’un mode de transport actif a été cal-culée en excluant les individus n’y ayant pas recours. Une alternative consisterait à calculer cette moyenne en considérant l’ensemble de la population (les personnes y ayant recours comme celles n’utilisant jamais ce type de transport). Sur base d’une telle méthode, la durée moyenne d’utilisation de modes de transport actif est de 52 minutes par semaine chez les adolescents, soit 10 minutes par jour, une telle valeur étant similaire aux résultats issus d’une étude antérieure consacrée aux adolescents résidant en Flandre (69). En accord avec ce qui a été observé dans la présente enquête, d’autres études réalisées en Flandre auprès d’enfants et d’adolescents constatent que ces derniers pratiquent autant (voire plus) la marche et/ou le vélo pendant leurs loisirs que pour se rendre à l’école (69-71).

La distance entre le domicile et le lieu de destination (l’école ou le travail, par exemple) constitue un facteur déterminant dans le choix d’un mode de transport actif (marche et/ou vélo) pour les enfants, les adoles-cents et les adultes (72;73). 70 % des enfants (de 3 à 9 ans) habitant à moins de deux kilomètres de l’école se rendent de manière active à l’école, tandis que ce pourcentage tombe à 16 % parmi les enfants habitant

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à plus de deux kilomètres de l’école. La distance entre l’habitation et l’école pourrait également expliquer les grandes disparités régionales (Wallonie versus Flandre) observées au niveau de l’utilisation d’un mode de transport actif pour se rendre à l’école chez les enfants et les adolescents.

Quelle que soit la catégorie d’âge (enfants, adolescents et adultes), l’usage du vélo est plus répandu en Flandre, tandis que la marche à pied est davantage pratiquée en Wallonie. Ce résultat peut s’expliquer par une présence plus marquée de dénivelé en Wallonie, ceux-ci limitant l’usage du vélo, ce qui n’est pas le cas pour la marche (73). La présence d’infrastructures cyclistes (pistes cyclables, notamment) a également été identifiée comme un facteur influençant le temps consacré à la pratique du vélo (69). Afin d’encourager les enfants et adolescents à recourir davantage à un mode de transport actif, il s’agirait de développer des actions ciblées, impliquant les écoles, les parents et la communauté ; de telles actions se sont, en effet, avérées plus efficaces que les actions ayant un objectif plus large (74).

Afin de motiver l’utilisation de modes de transport actif, il est essentiel de comprendre ce qui influence les choix des individus. Les résultats de la présente enquête indiquent des différences socio-culturelles claires concernant le type de mode de transport actif utilisé. La moitié des enfants dont les parents ont un niveau d’éducation relativement faible utilisent un mode de transport actif –essentiellement la marche à pied – pour se rendre à l’école. Cette proportion est plus faible chez les enfants dont les parents ont un niveau d’éducation plus élevé. Une relation inverse est observée chez les adolescents : les adolescents dont les parents ont un niveau d’éducation élevé sont plus nombreux à se rendre à l’école de façon active ; ceux-ci le font essentiellement à vélo et possèdent également un temps de parcours plus long, ce qui correspond aux résultats d’une étude antécédente réalisée en Flandre (75). Par contre, seul un tiers des adolescents dont les parents ont un niveau d’éducation relativement faible se rendent à l’école de façon active, princi-palement en raison d’une moindre utilisation du vélo.

La distance domicile-école et la sécurité vis-à-vis du trafic constituent des facteurs explicatifs importants concernant le choix du vélo comme mode de transport (75). D’autre part, le fait de se rendre ou non à pied à l’école dépendrait en grande partie, pour les enfants et adolescents, de la perception des parents quant à « l’accessibilité » de l’école (est-elle facilement accessible à pied ?) (75).

En matière de transport actif, les adultes ayant un niveau d’éducation relativement faible sont plus nom-breux à se déplacer à pied mais moins nombreux à utiliser le vélo. La littérature sur le sujet confirme que les relations existant entre les variables socio-culturelles et le type de transport utilisé est complexe. La prise en compte de ces différences socio-culturelles constitue dès lors un défi dans le cadre de la promotion de l’utilisation de modes de transport actif (76).

ACTIVITÉS SPORTIVES

En Belgique, en 2014, 44 % des enfants âgés de 3 à 5 ans sont membres d’un club de sport, un pourcentage qui grimpe à 65 % chez les enfants âgés de 6 à 9 ans. Les résultats obtenus montrent que les enfants dont les parents ont un niveau d’éducation relativement faible sont moins nombreux à être membres d’un club de sport. Les enfants âgés de 3 à 5 ans consacrent, en moyenne, 1,6 heures par semaine à la pratique d’un sport dans un club sportif, tandis que les enfants âgés de 6 à 9 ans y consacrent, en moyenne, 2,8 heures par semaine. Le taux de participation à ce type d’activités est similaire quel que soit le genre ; les garçons y consacrent toutefois davantage de temps (environ une demi-heure de plus). Chez les garçons, le sport le plus populaire est le football, tandis qu’il s’agit de la danse chez les filles. Tant chez les garçons que chez les filles, la natation et la psychomotricité occupent la deuxième et la troisième place. La gymnastique et la psychomotricité semblent, par ailleurs, être plus répandues en Flandre.

En 2014, 75 % des adolescents belges indiquent pratiquer un sport pendant leur temps libre. Ce taux de participation est comparable aux résultats obtenus dans d’autres études menées en Flandre (77;78). Comme chez les enfants, le taux de participation a tendance à augmenter lorsque le niveau d’éducation des parents augmente. Les garçons participent plus fréquemment à des activités sportives et y consacrent, en moyenne, davantage de temps que les filles (4,6 heures par semaine versus 3,0 heures par semaine). Les adolescents participant à ce type d’activités et résidant en Flandre y consacrent, en moyenne, 4,2 heures par semaine, soit davantage que ceux résidant en Wallonie. La moyenne observée en Flandre s’avère supé-rieure à celle estimée dans une étude antérieure auprès d’adolescents âgés de 13 à 15 ans (2,5 heures par semaine) (69). Cette différence s’explique notamment par l’absence de prise en compte, dans les résultats présentés ici, des adolescents ne participant pas à de telles activités ; lorsque ces derniers sont intégrés, la

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durée moyenne calculée tombe, en effet, à 3,3 heures par semaine. Sur base des résultats de l’enquête, les sports les plus populaires parmi les adolescents semblent être le football, l’athlétisme, la course à pied et le cyclisme chez les garçons, ainsi que la danse, l’athlétisme, la course à pied et l’équitation chez les filles.

En tant que telle, la pratique d’un sport contribue à augmenter le volume total d’activité physique. En fonction du sport pratiqué, la pratique d’une activité sportive n’est cependant pas automatiquement asso-ciée à une augmentation de la durée des activités physiques d’intensité modérée à soutenue (79). Il a, par exemple, été montré que l’augmentation de la durée des activités physiques d’intensité modérée à soute-nue s’avère supérieure pour le football que pour le volleyball (79).

Dans le questionnaire adressé aux adultes, aucune question ne concernait spécifiquement le type d’acti-vités sportives réalisées pendant les loisirs. Les questions, plus générales, portaient sur le temps consacré à la marche (en dehors des déplacements) et aux activités sportives d’intensité modérée à soutenue pen-dant le temps libre. 68 % des adultes belges déclarent avoir une activité physique lors de leur temps libre. Les adultes actifs pendant leurs loisirs y consacrent, en moyenne, 4,5 heures par semaine. Les personnes résidant en Wallonie sont plus actives pendant leurs loisirs (5,1 heures par semaine) que celles résidant en Flandre (4,2 heures par semaine), notamment parce qu’elles consacrent plus de temps à la marche.

Parmi les adultes, il n’existe pas de grandes différences socio-économiques concernant la pratique d’acti-vités physiques d’intensité modérée à soutenue au cours des loisirs, probablement parce que la marche est également inclue dans cette catégorie d’activités. En effet, comme observé à l’échelle internationale, les résultats de la présente enquête montrent que les personnes ayant un niveau d’éducation relative-ment faible réalisent moins d’activités physiques d’intensité soutenue que celles étant plus instruites mais consacrent, par contre, plus de temps à la marche, ceci limitant les différences socio-économiques concer-nant la pratique globale d’activité physiques au cours des loisirs (80).

Au cours de la dernière décennie, la pratique d’activités sportives a fortement augmenté et ce, quelle que soit la catégorie d’âge considérée (77). Une telle augmentation s’explique, d’une part, par le développe-ment des associations et clubs sportifs mais aussi par la pratique plus fréquente de sports en dehors de ces clubs. Dans le cadre de la présente enquête, les données collectées n’ont cependant pas permis de faire une distinction, chez les adolescents et les adultes, entre la pratique de sport au sein d’un club sportif et la pratique de sport en-dehors d’une telle organisation.

Sur le plan sociétal, l’accessibilité des activités sportives constitue un réel défi. A l’heure actuelle, il subsiste toujours des inégalités sociales en ce qui concerne la pratique d’activités sportives. Afin de promouvoir l’activité physique, il ne faut donc pas oublier les activités peu coûteuses, telles que la marche. La mise en place d’actions pertinentes et ciblées visant à augmenter le niveau d’activité physique de la population peut s’avérer efficace si ces actions sont adaptées aux besoins des groupes cibles, ainsi qu’aux caractéris-tiques personnelles des personnes concernées (81;82).

ACTIVITÉS PHYSIQUES À L’ÉCOLE

L’école est l’endroit idéal pour promouvoir la pratique d’activités physiques, celle-ci rassemblant les enfants et adolescents issus des différentes couches socio-économiques de la population (78). Bien que les cours d’éducation physique restent une façon importante de promouvoir le sport auprès des adolescents, les heures consacrées à ces cours sont souvent limitées. La pratique d’activités physiques à l’école, en dehors des heures de cours, constitue dès lors une seconde alternative, relativement accessible en termes de lieu et de coût. En outre, de telles activités sont souvent moins compétitives que celles organisées en dehors de l’école (78). Globalement, les actions ciblées sur la pratique d’activités physiques à l’école ont montré des résultats positifs afin d’améliorer la condition physique des jeunes (83).

L’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 ne comporte pas de données concernant la pratique de sport à l’école pour les enfants (de 3 à 9 ans). Pour les adolescents (de 10 à 17 ans), par contre, de telles données ont été collectées via le questionnaire FPAQ : les adolescents belges consacrent, en moyenne, 1,5 heures par semaine au cours d’éducation physique, soit légèrement moins que la durée standard de 1,6 heures par semaine. Cette durée moyenne a été calculée en intégrant un facteur de correction ayant pour objectif d’exclure les temps de déplacement et d’habillement et d’ainsi considérer uniquement le temps consacré à l’activité sportive en tant que telle.

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Outre les cours d’éducation physique, la moitié des adolescents ont la possibilité de pratiquer une acti-vité physique à l’école en dehors des heures de cours. 68 % des adolescents résidant en Flandre et 36 % des adolescents résidant en Wallonie déclarent disposer de cette possibilité. Seuls 45 % des adolescents ayant une telle possibilité participent réellement à ces activités. Les adolescents résidant en Wallonie sont plus nombreux à participer à ce genre d’activités. En outre, parmi les adolescents participant à ces activi-tés, ceux résidant en Wallonie y consacrent davantage de temps. Ces résultats confirment que les actions ciblées sur l’activité physique à l’école n’augmentent pas nécessairement le taux de participation mais bien le temps consacré à la pratique d’activités physiques (en cas de participation) (83).

En termes de comparaison, une étude menée auprès d’adolescents âgés de 9 à 13 ans et résidant en Flandre orientale et Flandre occidentale a estimé que la plupart des adolescents (76 %) participaient à des activités sportives à l’école en dehors des heures de cours (78). Dans le cadre de l’enquête de consomma-tion alimentaire 2014-2015, réalisée à l’échelle de la Belgique, le taux de participation des adolescents âgés de 10 à 13 ans à de telles activités n’est que de 57 % (54 % en Flandre et 65 % en Wallonie).

Les garçons indiquent plus fréquemment que les filles pratiquer des activités sportives à l’école en dehors des heures de cours, un constat déjà établi dans une étude précédente menée auprès d’adolescents âgés de 9 à 13 ans résidant en Flandre (78).

Afin de promouvoir la participation des jeunes aux activités sportives proposées à l’école, il s’avère impor-tant d’adopter une attitude positive à cet égard. D’une part, les enseignants et le personnel scolaire peuvent jouer un rôle important en encourageant les jeunes à être plus actifs lorsqu’ils sont à l’école. D’autre part, il s’agit également d’impliquer les parents dans ce type d’actions. Enfin, il est essentiel que la pratique d’activités sportives s’intègre dans une politique cohérente d’éducation à la santé et que des moyens soient donnés afin de promouvoir, globalement, la pratique d’activités physiques dans le système scolaire (83).

Le système scolaire actuel se focalise essentiellement sur les performances académiques et attache relati-vement peu d’importance au fait de bouger et d’être actif (84). Le développement d’actions efficaces visant à promouvoir l’activité physique doit tenir compte des spécificités propres à chaque tranche d’âge : une action réussie pour une catégorie d’âge ne sera, en effet, pas nécessairement adaptée à une autre caté-gorie d’âge. Ainsi, les actions concernant l’après quatre heures semblent positives pour favoriser l’activité physique des enfants, tandis que pour les adolescents, ce sont les actions axées sur le temps scolaire qui s’avèrent plus efficaces (85).

ACTIVITÉS PHYSIQUES LIÉES AU TRAVAIL

En Belgique, en 2014, les activités physiques liées au travail représentent 24 % du volume total d’acti-vité physique chez les adultes. Ce pourcentage varie toutefois de manière non négligeable au sein de la population étudiée. D’une part, 29 % de la population indique ne pas avoir de travail (étudiants, retrai-tés, chômeurs, etc.) et ne pratique donc pas d’activités physiques dans ce domaine. D’autre part, il existe de grandes disparités à ce sujet selon le niveau d’éducation : ainsi, parmi les personnes ayant un niveau d’éducation élevé, plus de la moitié ne sont pas physiquement actives au travail. Les personnes ayant un niveau d’éducation relativement faible consacrent, en moyenne, nettement plus de temps à réaliser des activités physiques d’intensité modérée à soutenue au travail (11,3 heures par semaine), en comparaison aux personnes diplômées de l’enseignement supérieur de type long (3,5 heures par semaine). De telles relations sont similaires à celles décrites précédemment dans la littérature et expliquent, en grande partie, pourquoi les personnes ayant un niveau d’éducation relativement faible sont plus nombreuses à rencon-trer les recommandations de l’OMS (« norme de mouvement et de santé ») (54).

Comme l’a déjà montré la littérature (86), la proportion du volume total d’activité physique liée à la pra-tique d’activités physiques au travail est plus élevée chez les hommes (31 %) que chez les femmes (17 %). Cette différence ne s’explique cependant pas par des niveaux d’éducation différenciés entre les deux genres. En absence de données appropriées, il n’a pas été possible de vérifier si cette relation s’expliquait par le type de professions exercées par les hommes et les femmes ou par une différence dans la manière dont les individus ont rapporté les activités physiques réalisées.

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ACTIVITÉS LIÉES AUX TÂCHES MÉNAGÈRES ET AU JARDINAGE

En matière d’activité physique, l’OMS recommande aux adultes de pratiquer au moins 150 minutes par semaine d’activités physiques d’intensité modérée. La pratique quotidienne d’activités d’intensité modé-rée a, en effet, été associée à une réduction du risque de mortalité (87). Afin d’encourager les gens à rester actif physiquement, il s’agit d’insister, non pas seulement sur la pratique « organisée » de sports ou d’ac-tivités physiques, mais aussi sur des activités faisant partie de la vie quotidienne, notamment les tâches ménagères et le jardinage. De telles activités constituent un moyen accessible d’augmenter l’activité phy-sique des individus, et plus particulièrement des personnes disposant de moyens financiers limités et de peu de temps (88).

En Belgique, en 2014, les tâches liées au ménage et au jardinage comptaient pour 31 % du temps consa-cré à la pratique d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les adultes. Ce pourcentage s’avère plus élevé chez les femmes et les adultes âgés de 51 à 64 ans (38 %). Quoique ces pourcentages soient plus élevés que ceux rapportés dans d’autres études (au Royaume-Unis et en Irlande du Nord), les différences notées selon l’âge et le sexe sont quant à elle similaires (89;90). Certains aspects méthodolo-giques, concernant notamment les questionnaires utilisés, peuvent expliquer les différentes proportions rapportées par ces études.

JEUX D’EXTÉRIEUR

Tout comme il est assez fréquent pour les adultes de consacrer une partie de leur temps aux tâches ména-gères, le jeu constitue une activité typique des enfants. Le fait de jouer à l’extérieur permet aux enfants de développer leurs aptitudes motrices et possède un effet positif sur leur santé ; il s’agit également d’une activité bénéfique pour leur bien-être général et leur développement émotionnel, social et cognitif (91).

Les résultats obtenus montrent, d’une part, que 82 % des enfants âgés de 3 à 9 ans ont joué à l’extérieur pendant, en moyenne, 3,9 heures au cours du jour de week-end ayant précédé l’interview. D’autre part, 79 % des enfants ont joué activement à l’extérieur pendant, en moyenne, 2,4 heures, le jour de semaine ayant précédé l’interview. Les enfants dont les parents possèdent un niveau d’éducation plus élevé sont plus nombreux à jouer à l’extérieur. Les chiffres rapportés ici doivent être interprétés avec précaution : il est, en effet, possible que ceux-ci soient surestimés. La question posée étant très ouverte, les réponses des parents peuvent potentiellement inclure les moments passés à l’école (lors de la récréation, par exemple) et les déplacements recourant à un moyen de transport actif (le vélo, par exemple).

Bien que n’ayant pas d’étude comparable à l’échelle de la Belgique, des études internationales signalent qu’à l’heure actuelle, les enfants passent moins de temps à jouer à l’extérieur que ne le faisaient leurs parents ; leurs jeux sont de plus en plus organisés et se déroulent souvent à l’intérieur (92). Une étude menée en Flandre a révélé qu’en 2008, nettement moins d’enfants jouaient à l’extérieur qu’en 1989, cette différence concernant principalement les jeux d’extérieur dans les lieux publics (91). L’importance que les parents accordent aux jeux d’extérieur et la cohésion sociale d’un quartier sont deux facteurs qui influencent positivement les jeux d’extérieur des enfants (93). D’autre part, l’angoisse (des parents) quant à la sécurité des enfants possède un effet négatif sur la pratique de jeux à l’extérieur (94;95).

La saison semble également influencer le fait de jouer ou non à l’extérieur chez les enfants : le pourcen-tage d’enfants jouant activement à l’extérieur en hiver est, en effet, plus faible qu’au printemps et en été (70 % contre 90 %). La durée moyenne que les enfants passent à jouer à l’extérieur est, en outre, nettement inférieure en hiver : le week-end, les enfants jouent près de 2 heures par jour de moins à l’extérieur qu’au printemps. L’impact de la saison et des conditions météorologiques sur l’activité physique des enfants – mesurée de manière subjective ou objective – a déjà été observé dans d’autres études (96;97). En Belgique, les mesures réalisées au moyen d’accéléromètres montrent également que les enfants ont un niveau d’ac-tivité physique supérieur au printemps et en été qu’en hiver, quel que soit le niveau d’intensité considéré. Afin d’inciter les enfants à jouer à l’extérieur, il s’agit d’adopter une attitude positive vis-à-vis des jeux d’ex-térieur, quelle que soit la saison (« il n’y a pas de mauvais temps, il n’y a que des vêtements non adaptés » et « on ne tombe pas malade avec un peu de pluie ») (98). En période d’hiver, des actions visant à mettre en place des activités physiques alternatives à l’intérieur peuvent également s’avérer efficaces chez les enfants, ce qui ne semble pas être le cas pour les adolescents. Ces derniers répondraient, en effet, davan-tage à des actions mises en œuvre tout au long de l’année (99).

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6.1.4. Activité physique et indice de masse corporelle (IMC)

Contrairement à l’âge et au sexe, le sens selon lequel l’IMC et l’activité physique s’influencent mutuelle-ment n’est pas univoque ni unidirectionnel. En effet, même si l’effet protecteur de la pratique d’activités physiques contre l’obésité a été identifié dans plusieurs études (100;101), certaines études scientifiques ont montré que l’augmentation du niveau d’adiposité chez les enfants provoque une diminution de leur niveau d’activité physique (102). L’existence possible d’une relation bidirectionnelle entre ces deux aspects – IMC et activité physique – impliquerait qu’un faible changement d’IMC ou d’activité physique puisse être à la source d’un cercle « vicieux » d’augmentation de poids et d’inactivité (102;103).

A partir des données disponibles, il s’est avéré difficile de comparer les différents indicateurs présentés dans ce chapitre en fonction de l’indice de masse corporelle (IMC) des enfants ou des adolescents. En effet, de grandes disparités peuvent être observées dans notre échantillon en ce qui concerne le nombre d’enfants ou adolescents appartenant à chaque catégorie d’IMC (carence pondérale, normal, surpoids et obésité). Ceci peut notamment expliquer pourquoi relativement peu de différences statistiquement signi-ficatives (p < 0,05) ont pu être mises en évidence à partir de ces comparaisons.

Une relation entre la durée moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue et l’IMC a été observée chez les enfants, comme chez les adolescents. En Belgique, en 2014, les enfants et adolescents souffrant d’obésité réalisent ainsi moins d’activités physiques d’un tel niveau d’intensité (44 minutes par jour pour les enfants et 39 minutes par jour pour les adolescents) que les enfants ou les adolescents ayant un IMC normal. Une telle relation s’avère cohérente avec les résultats de nombreuses études scientifiques réalisées précédemment dans ce domaine (60;100;101).

Les associations observées entre l’IMC et les différents domaines d’activité analysés semblent souvent déterminées par le niveau d’éducation des parents. Ainsi, le taux de participation inférieur des enfants souffrant d’obésité à club sportif n’est plus observé après standardisation pour le niveau d’éducation des parents. Certaines relations persistent cependant même après standardisation pour le niveau d’éducation des parents : à titre d’exemple, les enfants souffrant d’obésité sont moins nombreux à jouer activement à l’extérieur. Les adolescents souffrant d’obésité sont, quant à eux, moins nombreux à pratiquer des activités sportives pendant leurs loisirs et lorsqu’ils pratiquent une telle activité, le temps qui y est consacré est, en outre, plus limité.

Chez les adultes, les personnes souffrant d’obésité déclarent pratiquer davantage d’activités physiques. Des analyses complémentaires montrent cependant que ce résultat est liée à la relation existant entre le niveau d’éducation et la prévalence de l’obésité : les personnes ayant un niveau d’éducation relativement faible sont, en effet, plus nombreuses à souffrir d’obésité20 et celles-ci sont également davantage actives au travail. Après standardisation pour le niveau d’éducation, de telles relations ne sont dès lors plus observées.

Certaines différences concernant les domaines d’activité physique analysés ont néanmoins été observées selon l’IMC chez les adultes. Les personnes ayant un poids normal se déplacent plus souvent à vélo et pra-tiquent davantage d’activités physiques d’intensité soutenue pendant leurs temps libre, en comparaison aux personnes en situation de surpoids ou souffrant d’obésité. Par contre, les personnes en surpoids ou souffrant d’obésité sont plus actives lors de leur occupations professionnelles et ce, même après stan-dardisation pour le niveau d’éducation. A l’instar d’une étude menée en Bulgarie (104), les personnes en surpoids ou souffrant d’obésité s’avèrent globalement plus actives que celles ayant un poids normal, en raison des activités physiques liées à leur profession. Ce résultat montre, d’une part, que les activités phy-siques réalisées en-dehors des moments de loisir comptent pour une part non-négligeable de l’activité physique totale. Il souligne, d’autre part, la nécessité de ne pas aborder l’épidémie d’obésité avec une vision réductrice se focalisant sur une unique dimension et prodiguant des conseils du type « il faut bouger davantage » (105;106).

6.2. SÉDENTARITÉ

Indépendamment du niveau d’activité physique, l’adoption d’un comportement sédentaire – c’est-à-dire le fait de rester assis pendant de longues périodes de la journée sans pratiquer d’activités physiques – a été associée à l’obésité, ainsi qu’au développement de maladies métaboliques et de différents troubles 20 Pour davantage d’informations sur l’IMC, se référer au Chapitre « Anthropométrie » du premier rapport.

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physiologiques et psychologiques (8). Un tel comportement est favorisé par de nombreux éléments tou-chant notre environnement social et physique, que ce soit lors de nos déplacements, au travail, à l’école ou à la maison (107). En termes de santé publique, il est dès lors important de pouvoir quantifier et décrire le comportement de la population belge à ce sujet afin d’identifier les groupes à risque en termes de séden-tarité et de développer des actions de santé publique adaptées aux besoins et spécificités de la population.

6.2.1. Durée totale des activités sédentaires

Chez les enfants et les adolescents, une mesure objective de la sédentarité a été effectuée au moyen d’ac-céléromètres. Les résultats de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 montrent qu’en 2014, les activités de type sédentaire, telles que regarder la télévision ou lire un livre, comptent pour une part importante du temps quotidien d’éveil chez les jeunes âgés de 3 à 17 ans (7,6 heures par jour). En outre, comme le montre la littérature (108;109), le comportement sédentaire des jeunes (de 3 à 17 ans) a ten-dance à se renforcer avec l’âge : en Belgique, en 2014, la durée moyenne des activités sédentaire passe, en effet, d’environ 6 heures par jour dans la catégorie d’âge 3-5 ans à plus de 9 heures par jour dans la catégorie d’âge 14-17 ans.

Les résultats obtenus pour les enfants concordent avec ceux rapportés au Royaume-Uni où une médiane de 6,4 heures par jour avait été obtenue au sein d’un échantillon d’enfants âgés de 7 et 8 ans (données collectées en 2008-2009) (51). Les résultats de la présente enquête sont également du même ordre de grandeur que ceux obtenus récemment dans le cadre d’une étude internationale : celle-ci évaluait, en effet, le temps sédentaire moyen de jeunes âgés de 9 à 11 ans à 8,6 heures par jour en 2011-2013 (sur base de la même valeur seuil que celle utilisée dans la présente enquête) (110).

En accord avec la littérature sur le sujet (49-51;60), les mesures réalisées au moyen des accéléromètres montrent que les filles sont davantage sédentaires que les garçons. Chez les enfants, cette différence se marque surtout chez les plus jeunes (de 3 à 5 ans), tandis que chez les adolescents, l’écart entre genres est supérieur dans la catégorie des 14-17 ans que dans celle des 10-13 ans.

Par ailleurs, les résultats de l’enquête montrent que les enfants et adolescents sont davantage sédentaires en hiver qu’en été. Les conditions climatiques (température, précipitations) et le nombre d’heures de clarté seraient donc susceptibles d’influencer le comportement sédentaire des jeunes (111). Le peu d’études analysant la variation saisonnière de la sédentarité et les différences méthodologiques existant entre ces études (analyse des données d’accélérométrie et définition du terme « saison », notamment) rendent néanmoins difficiles les comparaisons à ce sujet (112).

Contrairement aux mesures objectives réalisées chez les enfants et adolescents, le concept de sédentarité chez les adultes (de 18 à 64 ans) a été évalué au moyen du questionnaire d’auto-évaluation IPAQ, ce der-nier se focalisant essentiellement sur le temps passé quotidiennement en position assise par les adultes. En Belgique, en 2014, la population adulte passe, en moyenne, 5,8 heures par jour en position assise, sans compter ici le temps passé assis dans un véhicule. En outre, en 2014, 22 % des adultes belges passent, en moyenne, plus de huit heures par jour en position assise. En absence de recommandations vis-à-vis du comportement sédentaire des adultes, le fait de dépasser cette limite de huit heures par jour a, en effet, été considéré comme problématique par certains experts (communication personnelle, Prof. Cardon21).

La comparaison des résultats de 2014 avec ceux de la précédente enquête, menée en 2004, suggère une diminution de la durée quotidienne moyenne passée en position assise par les adultes, ainsi que de la proportion d’adultes restant assis plus de huit heures par jour. Une telle comparaison doit néanmoins être interprétée avec précaution. En effet, les questions adressées aux participants n’étaient pas complètement identiques lors des deux enquêtes. Une étude récente concernant l’évolution au cours du temps de la pro-portion d’adultes sédentaires (c’est-à-dire restant en position assise plus de 7,5 heures par jour) dans 27 pays européens a néanmoins aussi mis en évidence une tendance à la diminution de celle-ci entre 2002 (23,1 %), 2005 (21,8 %) et 2013 (17,8 %) (28).

Les résultats de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 sont cohérents avec ceux d’une étude européenne récente ayant estimé à 5,7 heures par jour, le temps moyen passé par la population (de 15 ans et plus) en position assise en Belgique (113). Cette étude mettait également en évidence que, parmi 32 pays européens, la Belgique était le sixième pays ayant le temps moyen passé en position assise le plus 21 Universiteit van Gent, Vakgroep bewegings- en sportwetenschappen.

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élevé, après les Pays-Bas, le Danemark, la République Tchèque, la Grèce et Chypre (113). Les auteurs de cette étude expliquent les disparités géographiques observées par les différents niveaux de richesse des pays impliqués. Le niveau de vie plus élevé des pays du Nord-Ouest de l’Europe est, en effet, susceptible d’influencer à la hausse le temps passé en position assise dans les différents domaines de la vie courante : au travail (travail de bureau plus fréquent), lors des transports (prédominance de la voiture) et à la maison (utilisation d’appareils ou de services visant à soulager la charge de travail du ménage) (113).

Les hommes et les femmes (de 18 à 64 ans) passent, en moyenne, le même temps en position assise chaque jour. La prévalence d’adultes dépassant la limite des 8 heures par jour en position assise s’avère également similaire pour les deux sexes. En comparaison, une étude menée parmi 20 pays sur base du questionnaire IPAQ a montré que la durée quotidienne en position assise ne variait pas selon le genre au sein de l’échantillon global, tandis que des résultats divergents étaient observés au sein des différents pays impliqués (58). En outre, les études se basant sur une mesure objective de la sédentarité au moyen d’accéléromètres montrent également des résultats divergents à ce sujet (48;114-116).

Contrairement à l’augmentation de la sédentarité avec l’âge chez les enfants et les adolescents, on ne constate pas, chez les adultes (de 18 à 64 ans), de relation entre la durée quotidienne moyenne passée en position assise et l’âge. Bien que certaines études, utilisant le questionnaire IPAQ comme méthode de mesure, mettent en évidence que les jeunes adultes passent davantage de temps en position assise que leurs homologues plus âgés (58;113), les résultats issus d’études utilisant une mesure objective de la sédentarité ne soulignent pas de différences entre différentes catégories d’âge adulte (à l’exception des adultes âgés de plus de 60 ans) (114;117).

Le temps passé par les adultes en position assise a tendance à augmenter avec le niveau d’éducation, un résultat également observé dans la littérature (58;113;118). De même, la proportion d’individus passant, en moyenne, plus de 8 heures par jour en position assise est plus élevée chez les adultes diplômés de l’enseignement supérieur (de type court ou long) que chez ceux ayant un niveau d’instruction plus faible. Cette relation peut s’expliquer par le fait que les personnes ayant un niveau d’éducation plus élevé sont probablement plus nombreuses à avoir une profession nécessitant d’être souvent en position assise. Une telle hypothèse est confortée par les différences observées entre jours de semaine et de week-end : en effet, le temps passé en position assise augmente avec le niveau d’éducation en semaine, tandis qu’une telle relation n’est pas observée le week-end.

De manière générale, le fait que les adultes passent une grande partie de leur journée en position assise n’est pas uniquement lié à leurs occupations professionnelles. En effet, même si les résultats montrent que les personnes ayant un niveau d’éducation plus élevé passent plus de temps assis en semaine que le week-end, probablement en raison de leurs obligations professionnelles, cette durée quotidienne moyenne s’avère néanmoins relativement élevée le week-end également (près de 5 heures par jour). En outre, paral-lèlement aux résultats observés chez les jeunes, la saison influence également le comportement séden-taire des adultes, ces derniers passant, en moyenne, plus de temps assis en hiver et en automne qu’en été.

D’un point de vue méthodologique, des études antécédentes ont montré que les méthodes de mesure objectives, telles que les accéléromètres, menaient à une estimation du temps moyen passé en position assise supérieure de 20 % aux estimations issues de questionnaires (58). A titre d’exemple, des études nationales se basant sur des mesures objectives par accéléromètres ont estimé à 8,8 – 11,2 heures par jour la durée quotidienne moyenne des activités sédentaires chez les adultes (113;114;117;119). La sous-esti-mation obtenue à partir des questionnaires peut être liée à la difficulté de se souvenir des activités passées ou d’un souci de désirabilité sociale. D’autre part, les accéléromètres ne permettent pas de distinguer la position assise de la position debout : ces deux activités sont donc considérées comme sédentaires, ce qui peut également contribuer à expliquer pourquoi les mesures obtenues par accéléromètres sont plus élevées que celles issues de questionnaires d’auto-évaluation (58).

Les résultats obtenus dans le cadre de cette enquête confirment que la population belge présente, en moyenne, un comportement sédentaire pendant une part importante de son temps d’éveil. Il s’avère donc essentiel de chercher à développer des programmes de santé publique visant à réduire le comportement sédentaire de la population. A ce titre, les résultats de l’enquête mettent en évidence que de telles actions devraient notamment chercher à cibler les jeunes filles, celles-ci montrant en effet un comportement sédentaire relativement marqué. En termes d’intervention, il s’agirait aussi de mettre en place des actions visant à proposer des activités alternatives en hiver, cette saison étant particulièrement propice à la séden-

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tarité (111). Ces résultats montrent également que l’adolescence constitue une période critique en termes de sédentarité : il s’agit donc de cibler la période de transition entre l’enfance et l’adolescence afin de pré-venir l’augmentation de la sédentarité au cours de cette période (120).

Il s’avère, par contre, difficile de tirer des conclusions quant à l’évolution de la sédentarité lors du passage de l’adolescence à l’âge adulte en raison de l’utilisation d’outils de mesure différents dans ces deux catégo-ries d’âge. En effet, le comportement sédentaire global des adolescents a été mesuré au moyen d’accéléro-mètres, tandis que la sédentarité des adultes a été approchée uniquement par le temps passé en position assise (sans inclure le fait de rester debout, par exemple), au moyen d’un questionnaire d’auto-évaluation. La baisse du niveau de sédentarité observée entre les adolescents et les adultes pourrait donc s’expliquer, en partie, par des différences méthodologiques. Une telle tendance a néanmoins été également observée dans certaines études utilisant une mesure objective de la sédentarité ; ces dernières ont, en effet, mon-tré un niveau de sédentarité inférieur chez les adultes que chez les adolescents (114;117). A ce sujet, une étude menée en Flandre a montré que l’évolution de la sédentarité lors du passage à l’âge adulte est diffé-rente pour les hommes et les femmes : alors que la durée moyenne des activités sédentaires a tendance à augmenter chez les hommes, celle-ci diminue lors du passage à l’âge adulte chez les femmes (48).

6.2.2. Description des activités sédentaires

Le concept de sédentarité englobe une diversité d’activités telles que l’étude ou les devoirs, l’utilisation de modes de transport passif, les activités sur écrans ou d’autres activités intérieures (107). L’utilisation d’accéléromètres ne permettant pas d’identifier quelles sont les activités sédentaires réalisées, des ques-tionnaires ont été utilisés de manière conjointe afin de fournir une description du type et de la durée des activités sédentaires effectuées par les enfants et adolescents (par exemple, les trajets en voiture, la télévi-sion, les devoirs). Etant donnés les différents questionnaires utilisés chez les enfants, les adolescents et les adultes, il n’est toutefois pas possible d’effectuer de comparaisons directes entre ces différentes catégories d’âge; certaines tendances peuvent néanmoins être suggérées.

TEMPS PASSÉ DEVANT DES ÉCRANS

Les activités sédentaires majoritairement étudiées dans la littérature sont certainement celles faisant intervenir les écrans (télévision, ordinateur). En plus du caractère sédentaire des activités liées aux écrans, celles-ci peuvent avoir un effet défavorable sur la qualité du régime alimentaire, la composition corporelle, le risque de maladie cardiovasculaire, la santé mentale, la qualité du sommeil et les performances scolaires des enfants et adolescents (121-123), d’où l’importance d’étudier le comportement des enfants et adoles-cents belges à ce sujet.

En Belgique, en 2014, les enfants (de 3 à 9 ans) passent, en moyenne 1,2 heures par jour devant des écrans en semaine et 2,5 heures par jour, soit environ le double, le week-end.

Environ un tiers des enfants âgés de 3 à 5 ans passent plus d’une heure par jour devant des écrans en semaine. Ce pourcentage grimpe à 75 % le week-end (82 % des garçons et 68 % des filles). Pour les enfants à partir de 6 ans, il est recommandé de ne pas dépasser deux heures par jour devant des écrans : 11 % des enfants âgés de 6 à 9 ans (16 % des garçons et 6 % des filles) ne respectent pas cette recommandation en semaine, un pourcentage qui s’élève à 54 % le week-end (65 % des garçons et 42 % des filles). De telles pré-valences sont plus optimistes que celles rapportées dans le cadre de l’étude européenne IDEFICS menée en 2007-2008 : celle-ci estimait, en effet, qu’en Belgique, 24 % des garçons et 15 % des filles de 6 à 9 ans passaient plus de deux heures par jour devant des écrans en semaine, des prévalences qui atteignaient 73 % et 57 % le week-end (120).

Les adolescents (de 10 à 17 ans) passent, en moyenne, 2,8 heures par jour devant des écrans en semaine et 4,7 heures par jour le week-end. En semaine, 55 % des adolescents dépassent le maximum de deux heures par jour recommandé, ce pourcentage grimpant à 84 % le week-end, soit des prévalences assez similaires à celles rapportées pour la Belgique dans une large étude transnationale portant sur des jeunes âgés de 11 à 15 ans (124).

Les résultats de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015 suggèrent une augmentation avec l’âge du temps moyen passé devant les écrans et du pourcentage de jeunes (de 6 à 17 ans) passant plus de deux heures par jour devant des écrans. Bien que les résultats observés chez les enfants et les adolescents

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doivent être comparés avec précaution en raison des différents questionnaires utilisés, de tels résultats concordent avec les conclusions de recherches antécédentes dans ce domaine (107;120;124;125). Cette augmentation est associée, par certains auteurs, à une utilisation plus importante de l’ordinateur chez les adolescents plus âgés, notamment à des fins éducatives (124). La présente étude montre, en effet, que les jeunes âgés de 14 à 17 ans passent, en moyenne, plus de temps sur internet que ceux âgés de 10 à 13 ans (77 versus 30 minutes par jour en semaine et 110 versus 46 minutes par jour le week-end).

Par ailleurs, les résultats de l’enquête montrent que la proportion d’enfants ne respectant pas les recom-mandations concernant la durée maximale passée devant les écrans est plus élevée chez les enfants les plus jeunes (de 3 à 5 ans) que chez les plus âgés (de 6 à 9 ans). Ceci s’explique par la recommandation plus stricte pour la tranche d’âge la plus jeune, à savoir maximum une heure par jour (contre deux heures par jour chez les 6 ans et plus). Un tel résultat met en évidence la présence de marges d’amélioration – davan-tage le week-end qu’en semaine – afin d’atteindre cette recommandation et souligne l’intérêt de renforcer l’information des parents à ce sujet.

Durant l’enfance comme à l’adolescence, les garçons passent, en moyenne, davantage de temps devant des écrans que les filles. Les garçons âgés de 6 à 17 ans sont, en outre, plus nombreux que les filles de cet âge à dépasser le maximum de deux heures par jour recommandé. De tels résultats sont similaires à ceux mentionnés dans la littérature (120;121;124;125) ; ils mettent en évidence que les garçons âgés de 6 à 17 ans constituent un groupe cible pour la mise en place d’actions d’intervention visant à réduire le temps que passent les jeunes devant les écrans.

Outre l’âge et le genre, le temps passé par les jeunes devant des écrans a été associé au niveau d’éducation des parents. Ainsi, la durée quotidienne moyenne passée devant des écrans s’avère plus élevée chez les enfants et adolescents dont les parents détiennent un niveau d’éducation relativement faible. A l’instar d’autres études (121;126;127), les résultats de cette enquête montrent également que les jeunes issus de milieux moins favorisés sont plus nombreux à ne pas respecter les recommandations concernant la durée quotidienne maximale passée devant des écrans, en semaine comme le week-end.

TRANSPORT PASSIF

En Belgique, en 2014, la moitié (52 %) des enfants (de 3 à 9 ans) utilisent exclusivement un mode de trans-port passif pour aller et revenir de l’école. Cette proportion est inférieure aux résultats de l’étude IDEFICS (2007-2008) montrant qu’en Belgique, 61-62 % des enfants de 3 à 5 ans et 67-68 % des enfants de 6 à 9 ans utilisent exclusivement un mode de transport passif pour aller à l’école (120). Ces pourcentages s’avèrent particulièrement élevés en comparaison à ceux observés dans d’autres pays européens (120).

Par ailleurs, 60 % des adolescents (de 10 à 17 ans) utilisent généralement un mode de transport passif, tel que la voiture ou les transports en communs, pour se rendre à l’école. Ces derniers passent environ trois quart d’heure par jour dans ce type de transport. Quant aux adultes, les résultats obtenus via le question-naire IPAQ montrent que ces derniers passent, en moyenne, 53 minutes par jour en position assise dans un véhicule.

A ce sujet, le comportement de la population diffère selon la région (Wallonie versus Flandre). Les enfants et adolescents résidant en Wallonie ont ainsi davantage recours à un mode de transport passif que ceux résidant en Flandre. De manière similaire, les adultes habitant en Wallonie passent quotidiennement plus de temps assis dans un véhicule que ceux résidant en Flandre. Différents facteurs peuvent contribuer à expliquer ces différences régionales : une plus longue distance entre le domicile et l’école ou le lieu de travail, le manque d’infrastructures favorisant les déplacements à pied ou à vélo, un niveau d’urbanisation inférieur et la présence plus marquée de dénivelés ont notamment été associés à un moindre recours à des modes de transport actif (73).

AUTRES ACTIVITÉS SÉDENTAIRES

Bien que la télévision et les jeux d’ordinateur constituent des activités sédentaires importantes chez les enfants et adolescents, certaines études ont montré que d’autres activités représentent également une proportion relativement élevée de la durée totale des activités sédentaires (107). Il s’avère, par conséquent, important de décrire de telles activités si l’on souhaite mettre en place des actions visant à réduire le com-portement sédentaire de la population.

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En Belgique, en 2014, les jeux d’intérieur calmes (tels que lire des livres, jouer à des jeux de construction, à la poupée ou dessiner) constituent une activité réalisée quotidiennement par la majorité des enfants (de 3 à 9 ans), que ce soit en semaine (94 % des enfants) ou le week-end (95 %). En moyenne, les enfants passent presque une heure par jour à jouer calmement en semaine et deux fois plus le week-end.

Par ailleurs, les adolescents (de 10 à 17 ans) passent, en moyenne, 66 minutes par jour à réaliser leurs devoirs en semaine et 80 minutes par jour le week-end, des valeurs supérieures à celles observées dans une étude de VIGEZ22 qui estimait cette durée à 45 minutes par jour en semaine (128). Les adolescents passent, en outre, 2,5 heures par jour à réaliser d’autres types d’activités sédentaires en semaine (écouter de la musique, téléphoner, discuter avec des amis, lire), cette moyenne étant de 3,7 heures par jour le week-end.

Parmi les enfants, les filles passent davantage de temps que les garçons à jouer calmement à l’intérieur, en semaine comme le week-end. Les adolescentes âgées de 10 à 17 ans consacrent, quant à elles, quoti-diennement davantage de temps que les garçons de cet âge à leurs devoirs et aux autres types d’activités sédentaires, que ce soit en semaine ou le week-end.

Une augmentation du temps passé à faire ses devoirs et à réaliser d’autres activités de type sédentaire est, par ailleurs, observée au cours de l’adolescence (10-13 ans versus 14-17 ans). De tels résultats ont déjà été observés par ailleurs et seraient dus aux exigences scolaires plus strictes durant cette période, ainsi qu’aux changements physiologiques diminuant la spontanéité des activités physiques et menant à une pratique intermittente de ces dernières (129).

6.2.3. Sédentarité et indice de masse corporelle (IMC)

Dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015, aucune relation significative n’a pu être identifiée chez enfants et les adolescents entre la durée des activités sédentaires mesurée objective-ment au moyen d’accéléromètres et l’indice de masse corporelle (IMC). Un tel résultat est cohérent avec d’autres études transversales n’ayant pas identifié d’association entre la mesure objective de la sédentarité et l’IMC ou d’autres indicateurs du niveau d’adiposité, chez les enfants et adolescents (107;130;131).

Les comparaisons entre catégories d’IMC réalisées dans le cadre de cette enquête doivent néanmoins être interprétées avec précaution, particulièrement pour les enfants et adolescents. En effet, de grandes disparités sont observées dans notre échantillon en ce qui concerne le nombre d’enfants ou d’adolescents appartenant à chaque catégorie d’IMC (carence pondérale, normal, surpoids et obésité), ce qui pourrait expliquer pourquoi peu de différences statistiquement significatives (p < 0,05) ont été identifiées à partir de ces comparaisons.

L’analyse des différents types d’activités sédentaires (issus de questionnaires) a cependant permis d’identi-fier certaines relations avec l’indice de masse corporelle chez les enfants et ce, même après standardisation selon le niveau d’éducation des parents. Les enfants (de 3 à 9 ans) souffrant d’obésité sont ainsi plus nom-breux que les enfants ayant un IMC normal à utiliser un mode de transport passif (tel que les transports en commun) pour se rendre à l’école. Ils passent, en outre, deux fois plus de temps devant des écrans, en semaine comme le week-end, ce résultat s’expliquant principalement par une utilisation plus marquée de l’ordinateur ou des consoles de jeux. Les enfants âgés de 6 à 9 ans souffrant d’obésité sont, en outre, plus nombreux que ceux ayant un poids normal à passer plus de deux heures par jour devant des écrans, en semaine comme le week-end. Ce résultat est en accord avec de nombreuses études sur le sujet montrant que les enfants obèses ou en situation de surpoids sont plus nombreux à dépasser la durée maximale recommandée (121;123). Comme mentionné précédemment, la direction d’une telle association n’a tou-tefois pas encore été clairement expliquée : davantage d’études sont encore nécessaires afin d’identifier si c’est le fait d’être sédentaire qui mène à un IMC élevé, s’il s’agit plutôt de la relation explicative inverse ou encore d’une relation bidirectionnelle (121).

Chez les adolescents (de 10 à 17 ans), la majorité des relations observées avec l’IMC ne sont plus significa-tives après standardisation selon le niveau d’éducation des parents. La seule différence persistant lorsque le niveau d’éducation est pris en compte concerne le temps consacré aux devoirs : les adolescents en situation de surpoids consacrent ainsi moins de temps à faire leurs devoirs que les adolescents ayant un IMC normal.

22 Vlaams Instituut voor Gezondheidspromotie en Ziektepreventie vzw.

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Au sein de la population adulte (de 18 à 64 ans), aucune relation significative n’a été observée entre le temps moyen passé en position assise et l’indice de masse corporelle des individus. Ce résultat diffère d’autres études ayant, au contraire, identifié une telle relation : Plotnikoff et al. ont ainsi montré, chez les individus âgés de 45 ans et plus, une association entre le fait d’être obèse et le temps passé assis pendant plus de 6 heures par jour (118). Chau et al. ont, quant à eux, mis en évidence que les travailleurs ayant un emploi nécessitant d’être assis présentaient davantage de risque d’être obèses ou en surpoids que ceux ayant un emploi consistant à rester debout (132). De plus, les personnes restant assises plus de quatre heures par jour durant leurs loisirs présentaient aussi un risque supérieur d’obésité (132). De tels résul-tats sont néanmoins issus d’études transversales. Or, peu d’études longitudinales mettent en évidence la présence d’une relation entre le comportement sédentaire, la prise de poids et le risque d’obésité à l’âge adulte (133).

En outre, dans le présent rapport, le comportement sédentaire de la population a été étudié dans l’op-tique d’une absence de dépense d’énergie sans tenir compte du contexte social dans lequel prennent place les activités sédentaires. Une étude longitudinale a, par exemple, révélé que la participation à des activités culturelles, au sens large, possède un effet protecteur plus marqué contre le développement de l’obésité chez les adolescentes que les activités sociales (134). Ceci confirme que le développement de l’obésité constitue un processus complexe et multifactoriels qui ne peut pas être réduit à une mauvaise alimentation ou de mauvaises habitudes alimentaires, à l’absence d’activité physique ou à l’adoption d’un comportement sédentaire (135).

Contrairement aux résultats observés chez les enfants (de 3 à 9 ans) pour lesquels certaines associations entre l’IMC et le comportement sédentaire subsistent après standardisation pour le niveau d’éducation des parents, les différences observées s’avèrent moins importantes dans les catégories d’âge supérieures et disparaissent même lorsque le niveau d’éducation est pris en considération. En effet, les habitudes des individus en termes d’activité physique, de sédentarité et d’alimentation se complètent l’une l’autre et constituent des composantes reliées aux variables socio-économiques caractérisant les individus (136).

6.3. CONCLUSION ET IMPLICATIONS EN TERMES DE SANTÉ PUBLIQUE

Dans le cadre de l’enquête de consommation alimentaire 2014-2015, l’utilisation d’accéléromètres a été combinée, chez les jeunes (de 3 à 17 ans), à l’utilisation de questionnaires d’auto-évaluation (questions du projet ToyBox pour les enfants et questionnaire FPAQ pour les adolescents). Chez les adultes, le question-naire IPAQ a été utilisé comme unique outil de mesure. Ces instruments ont permis d’obtenir une image précise et relativement complète du comportement de la population belge âgée de 3 à 64 ans en matière d’activité physique et de sédentarité.

CHEz LES ENFANTS ET ADOLESCENTS

En Belgique, en 2014, seule une faible proportion des enfants et adolescents âgés de 6 à 17 ans rencontre les recommandations de l’OMS en matière d’activité physique. Indépendamment de leur niveau d’activité physique, ces derniers adoptent, en outre, un comportement sédentaire pendant une part non négli-geable de leur journée. De tels résultats soulignent la nécessité de mettre en place des actions visant à promouvoir la pratique d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue, ainsi qu’à réduire la durée journalière des activités sédentaires, et plus particulièrement le temps passé devant des écrans (télévision, ordinateur).

La jeune enfance constitue une période clé pour le développement de programmes de promotion de la santé visant à promouvoir l’activité physique et limiter la sédentarité : en effet, les bonnes habitudes adop-tées au cours de cette période ont davantage de chances de perdurer ultérieurement, pendant l’enfance, à l’adolescence et à l’âge adulte (47). Par ailleurs, la diminution de l’activité physique et l’augmentation de la sédentarité au cours de l’enfance et de l’adolescence en font des périodes critiques à prendre en compte pour le développement de telles actions.

Une diversité d’actions peuvent être mises en place afin d’augmenter le niveau d’activité physique des jeunes, en stimulant leur participation à des activités sportives mais également dans d’autres domaines. Le trajet domicile-école a notamment été reconnu comme constituant une bonne opportunité d’aug-menter le volume total d’activités physiques ainsi que le volume d’activités physiques intenses (51). Pour

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les enfants vivant en ville, l’environnement constitue aussi un facteur important, la disponibilité d’espaces verts et la sensation de sécurité ayant un impact positif sur leur niveau d’activité physique (51).

En termes de sédentarité, il s’agit de mettre en place des actions visant à réduire le comportement séden-taire des jeunes dans différents domaines : à la maison, comme à l’école et lors des transports. Il a été démontré que l’adoption d’un comportement sédentaire durant l’enfance et l’adolescence constitue un indicateur important du risque d’obésité à l’âge adulte (133), d’où l’importance d’intervenir afin de cher-cher à réduire la sédentarité des jeunes. La prévalence élevée de jeunes passant trop de temps devant des écrans montre la nécessité de mettre en place des actions visant à informer la population des consé-quences néfastes d’un tel comportement et proposant des activités alternatives. A ce sujet, il s’avère par-ticulièrement important de cibler les garçons, les adolescents âgés de 14 à 17 ans et les jeunes dont les parents possèdent un niveau d’instruction relativement faible.

Au-delà des activités liées aux écrans, d’autres types d’activités – telles que le fait de faire ses devoirs, de suivre des cours, de lire ou d’écouter de la musique – sont également susceptibles de représenter une part importante de la durée totale des activités sédentaires chez les jeunes. Il s’avère dès lors important d’inter-venir afin d’entrecouper les périodes passées à réaliser des activités sédentaires par des périodes d’activité physique même relativement courtes. Il a, en effet, été montré que le fait d’entrecouper les périodes de sédentarité par d’autres activités possède un effet bénéfique pour la santé (107;116). Les résultats de l’en-quête montrent que les adolescentes âgées de 14 à 17 ans devraient constituer un groupe cible pour ce type d’interventions.

CHEz LES ADULTES

En Belgique, en 2014, la quasi-totalité (91 %) de la population adulte rencontre les recommandations de l’OMS en ce qui concerne la durée minimale d’activité physique et 79 % de la population adulte semble posséder un niveau d’activité physique suffisamment élevé pour avoir un impact positif sur la santé. En parallèle, les adultes belges passent néanmoins une grande partie de leur journée en position assise, ce comportement sédentaire constituant un facteur de risque pour le développement de maladies chro-niques, telles que le diabète, les maladies cardiovasculaires et certains cancers. Ces résultats mettent en évidence la nécessité d’intervenir afin de réduire et d’entrecouper les périodes prolongées passées en position assise.

Les résultats de l’enquête montrent qu’il existe des marges de manœuvre afin d’augmenter le niveau d’ac-tivité physique de la population adulte belge lors des déplacements, des loisirs et des activités prenant place au sein du ménage. Des actions pourraient, par exemple, être mises en place afin de stimuler le recours à un mode de transport plus actif pour se rendre au travail (descendre du tram un arrêt plus tôt pour marcher ou prendre le vélo, par exemple).

Par ailleurs, le fait que les adultes passent une partie non négligeable de leur journée en position assise, et ce également le week-end, montre l’intérêt d’intervenir afin de chercher à réduire le temps passé en posi-tion assise durant le temps libre, ceci ne nécessitant pas toujours de participer à des activités coûteuses. A ce titre, les interventions axées sur des changements de l’environnement (social ou physique), l’auto-contrôle ou des campagnes visant à informer des conséquences de la sédentarité sur la santé constituent des voies prometteuses afin de réduire le comportement sédentaire des adultes (137).

SURPOIDS ET OBÉSITÉ

Dans l’interprétation des résultats concernant les relations identifiées entre, d’une part, l’activité physique ou le comportement sédentaire des individus et, d’autre part, leur indice de masse corporelle, il est impor-tant de souligner qu’il s’agit ici d’observations transversales, à partir desquelles il n’est pas possible de tirer des conclusions sur le lien de causalité entre facteurs liés au style de vie et statut pondéral.

Les enfants (de 3 à 9 ans) et adolescents (de 10 à 17 ans) en situation de surpoids ou souffrant d’obésité consacrent moins de temps à la pratique d’activités physiques d’intensité modérée à soutenue. Les enfants souffrant d’obésité passent également moins de temps à jouer à l’extérieur ; ils passent, par contre, davan-tage de temps devant les écrans. Chez les adolescents, lorsque le niveau d’éducation des parents est pris en compte dans les analyses, la plupart des associations entre l’activité physique ou le comportement sédentaire et l’IMC ne sont plus observées.

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Les adultes (de 18 à 64 ans) souffrant d’obésité déclarent pratiquer davantage d’activités physiques. Ceci s’explique par le pourcentage plus élevé de personnes obèses parmi les individus ayant un niveau d’édu-cation relativement faible, ces derniers ayant un niveau d’activité physique supérieur en raison de leurs occupations professionnelles. Les personnes ayant un IMC normal se déplacent plus fréquemment à vélo et consacrent davantage de temps à la pratique d’activités physiques pendant leurs loisirs. En termes de sédentarité, le temps moyen passé en position assise ne varie pas selon l’IMC chez les adultes.

En conclusion, ces observations soulignent que l’enfance constitue une période clé pour mettre en place des actions visant à lutter contre l’obésité. Même si la prévalence de l’obésité chez les enfants est relati-vement limitée (3 à 4 %), l’obésité est une maladie chronique associée au développement de diabète et de maladies cardiovasculaires ; elle possède également un impact sur la qualité de vie et la vie sociale des individus, d’où l’importance d’intervenir le plus tôt possible (138). Un changement de l’environnement possède un effet bénéfique pour prévenir l’obésité mais ne suffit pas à provoquer une perte de poids (suffi-sante) chez les personnes souffrant d’obésité (106;139). Il existe une large gamme de possibilités d’actions ayant un effet positif sur le poids corporel de l’enfant. Il est toutefois encore nécessaire de déterminer comment intégrer ces actions de la façon la plus efficace possible aux soins de santé et à l’enseignement afin d’avoir un impact durable (106;138;140;141).

Les relations existant entre, d’une part, l’IMC et, d’autre part, l’activité physique et la sédentarité sont fré-quemment expliquées par des différences liées au niveau d’éducation des individus (136). Même si l’acti-vité physique et l’alimentation sont des composantes importantes à prendre en compte pour le dévelop-pement d’actions efficaces, le fait de se focaliser uniquement sur la responsabilité des individus vis-à-vis de leur style de vie personnel ne constitue donc pas une approche suffisante pour contrer l’épidémie d’obésité (105). Au niveau individuel, d’une part, il importe de fournir aux personnes souffrant d’obésité un accompagnement clinique (interprofessionnel) portant, entre autres, une attention marquée au régime alimentaire, à l’activité physique et aux comportements adoptés. (106). D’autre part, une vision holistique, prenant en compte les causes sous-jacentes au niveau politique, économique et socio-culturel et iden-tifiant les facteurs environnementaux menant à des habitudes mauvaises pour la santé, est également essentielle p²our induire des changements environnementaux permettant de renforcer les stratégies pré-ventives et cliniques mises en œuvre (105;106;139;142). L’OMS a déclaré, il y a une dizaine d’années, que le principal défi dans la lutte contre l’obésité consistait à sensibiliser et mobiliser tous les secteurs sociaux, ainsi qu’à impliquer tous les acteurs politiques dans les efforts communs menés par les Ministères de la santé publique (143). Ainsi, l’obésité n’est pas uniquement le problème du secteur de l’enseignement. Il est nécessaire de lutter contre cette maladie à un niveau multisectoriel, en tenant notamment compte du rôle que jouent les pouvoirs publics, les organisations non gouvernementales et les médias (143).

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Tableau 1 | Catégories de réponse relatives à la question portant sur le mode de transport utilisé par les enfants (de 3 à 9 ans) pour se rendre à l’école, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59

Tableau 2 | Distribution des enfants (de 3 à 9 ans) selon le mode de transport utilisé (passif ou actif ) et la distance à parcourir (plus ou moins de 2 km) pour se rendre à l’école (n = 1055), Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78

Tableau 3 | Distribution des sports que les enfants (de 3 à 9 ans) exercent au sein d’un club spor-tif (nombre de réponses divisé par le nombre de répondants ; ntotal = 610 ; ngarçons = 313 ; nfilles = 297), Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80

Tableau 4 | Distribution des sports que les adolescents (de 10 à 17 ans) exercent durant leur temps libre (nombre de réponses divisé par le nombre de répondants ; ntotal = 711 ; ngarçons = 367 ; nfilles = 344), Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 99

Tableau 5 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques de faible intensité chez les enfants (de 3 à 9 ans), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 159

Tableau 6 | Durée (en minutes/jour) des activités physiques de faible intensité chez les enfants (de 3 à 9 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 160

Tableau 7 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les enfants (de 3 à 9 ans), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 161

Tableau 8 | Durée (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les enfants (de 3 à 9 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 162

Tableau 9 | Pourcentage d’enfants âgés de 3 à 5 ans réalisant au minimum trois heures d’activité phy-sique (tous niveaux d’intensité confondus) chaque jour, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 163

Tableau 10 | Pourcentage d’enfants âgés de 6 à 9 ans réalisant au minimum 60 minutes d’activité phy-sique d’intensité modérée à soutenue chaque jour, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 164

Tableau 11 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui se rendent à l’école à pied (sans exclure l’utilisation d’autres modes de transport), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 165

Tableau 12 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui se rendent à l’école à vélo (sans exclure l’utilisation d’autres modes de transport), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 166

Tableau 13 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui utilisent un mode de transport actif (à pied ou à vélo) pour aller à l’école (sans exclure l’utilisation de modes de transport passif ), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 167

Tableau 14 | Durée moyenne (en minutes/semaine) des trajets domicile-école effectués de manière active (à pied ou à vélo) par les enfants (de 3 à 9 ans) utilisant un mode de transport actif, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 168

Tableau 15 | Durée (en minutes/semaine) des trajets domicile-école effectués de manière active (à pied ou à vélo) par les enfants (de 3 à 9 ans) utilisant un mode de transport actif : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 169

7. TABLEAUX

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Tableau 16 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) étant membres d’un club sportif, Belgique, 2014 . . . . . . . 170

Tableau 17 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) exercent un sport dans un club sportif (parmi les enfants membres d’un club sportif ), Belgique, 2014 . 171

Tableau 18 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) exercent un sport dans un club sportif (parmi les enfants membres d’un club sportif ) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 172

Tableau 19 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) ayant joué à l’extérieur de manière active le jour de semaine précédant l’interview, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 173

Tableau 20 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) ayant joué à l’extérieur de manière active le jour de week-end précédant l’interview, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 174

Tableau 21 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) ont joué dehors de manière active le jour de semaine ayant précédé l’interview (parmi les enfants ayant joué à l’extérieur), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 175

Tableau 22 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) ont joué dehors de manière active le jour de semaine ayant précédé l’interview (parmi les enfants ayant joué à l’extérieur) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 176

Tableau 23 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) ont joué dehors de manière active le jour de week-end ayant précédé l’interview (parmi les enfants ayant joué à l’extérieur), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 177

Tableau 24 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) ont joué dehors de manière active le jour de week-end ayant précédé l’interview (parmi les enfants ayant joué à l’extérieur) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 178

Tableau 25 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités de type sédentaire chez les enfants (de 3 à 9 ans), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 179

Tableau 26 | Durée (en minutes/jour) des activités de type sédentaire chez les enfants (de 3 à 9 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 180

Tableau 27 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui se rendent à l’école assis sur le vélo d’un de leurs parents ou en poussette (sans exclure l’utilisation d’autres modes de transport), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 181

Tableau 28 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui se rendent à l’école en transports en commun (sans exclure l’utilisation d’autres modes de transport), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 182

Tableau 29 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui se rendent à l’école en voiture, en moto ou en scooter (sans exclure l’utilisation d’autres modes de transport), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . 183

Tableau 30 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui utilisent un mode de transport passif pour se rendre à l’école (sans exclure l’utilisation de modes de transport actif ), Belgique, 2014 . . . . . . . 184

Tableau 31 | Durée moyenne (en minutes/semaine) que les enfants (de 3 à 9 ans) utilisant un mode de transport passif pour se rendre à l’école consacrent à ce type de déplacements, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 185

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Tableau 32 | Durée (en minutes/semaine) que les enfants (de 3 à 9 ans) utilisant un mode de transport passif pour se rendre à l’école consacrent à ce type de déplacements : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 186

Tableau 33 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui passent du temps à jouer calmement en semaine, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 187

Tableau 34 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui passent du temps à jouer calmement le week-end, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 188

Tableau 35 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) jouent cal-mement en semaine (parmi les enfants à qui il arrive de jouer calmement en semaine), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 189

Tableau 36 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) jouent calmement en semaine (parmi les enfants à qui il arrive de jouer calmement en semaine) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 190

Tableau 37 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) jouent cal-mement le week-end (parmi les enfants à qui il arrive de jouer calmement le week-end), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 191

Tableau 38 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) jouent calmement le week-end (parmi les enfants à qui il arrive de jouer calmement le week-end) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 192

Tableau 39 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les enfants (de 3 à 9 ans) devant des écrans (télévision et ordinateur) pendant leur temps libre en semaine, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . 193

Tableau 40 | Durée (en minutes/jour) passée par les enfants (de 3 à 9 ans) devant des écrans (télévision et ordinateur) pendant leur temps libre en semaine : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 194

Tableau 41 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les enfants (de 3 à 9 ans) devant des écrans (télévision et ordinateur) pendant leur temps libre le week-end, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . 195

Tableau 42 | Durée (en minutes/jour) passée par les enfants (de 3 à 9 ans) devant des écrans (télévision et ordinateur) pendant leur temps libre le week-end : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 196

Tableau 43 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui regardent la télévision en semaine, Belgique, 2014 . 197

Tableau 44 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui regardent la télévision le week-end, Belgique, 2014 . 198

Tableau 45 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) regardent la télévision en semaine (parmi les enfants regardant la télévision en semaine), Belgique, 2014 199

Tableau 46 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) regardent la télévision en semaine (parmi les enfants regardant la télévision en semaine) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 200

Tableau 47 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) regardent la télévision le week-end (parmi les enfants regardant la télévision le week-end), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 201

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Tableau 48 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) regardent la télévision le week-end (parmi les enfants regardant la télévision le week-end) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 202

Tableau 49 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui utilisent l’ordinateur ou la console de jeux en semaine, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 203

Tableau 50 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui utilisent l’ordinateur ou la console de jeux le week-end, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 204

Tableau 51 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) utilisent l’or-dinateur ou la console de jeux en semaine (parmi les enfants utilisant l’ordinateur ou la console de jeux en semaine), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 205

Tableau 52 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) utilisent l’ordinateur ou la console de jeux en semaine (parmi les enfants utilisant l’ordinateur ou la console de jeux en semaine) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 206

Tableau 53 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) utilisent l’or-dinateur ou la console de jeux le week-end (parmi les enfants utilisant l’ordinateur ou la console de jeux le week-end), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 207

Tableau 54 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) utilisent l’ordinateur ou la console de jeux le week-end (parmi les enfants utilisant l’ordinateur ou la console de jeux le week-end) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 208

Tableau 55 | Pourcentage d’enfants âgés de 3 à 5 ans qui ne suivent pas les recommandations et passent plus d’une heure par jour devant des écrans en semaine, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 209

Tableau 56 | Pourcentage d’enfants âgés de 3 à 5 ans qui ne suivent pas les recommandations et passent plus d’une heure par jour devant des écrans le week-end, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 210

Tableau 57 | Pourcentage d’enfants âgés de 6 à 9 ans qui ne suivent pas les recommandations et passent plus de deux heures par jour devant des écrans en semaine, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . 211

Tableau 58 | Pourcentage d’enfants âgés de 6 à 9 ans qui ne suivent pas les recommandations et passent plus de deux heures par jour devant des écrans le week-end, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . 212

Tableau 59 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques de faible intensité chez les ado-lescents (de 10 à 17 ans), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 213

Tableau 60 | Durée (en minutes/jour) des activités physiques de faible intensité chez les adolescents (de 10 à 17 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 214

Tableau 61 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les adolescents (de 10 à 17 ans), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 215

Tableau 62 | Durée (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les adolescents (de 10 à 17 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . 216

Tableau 63 | Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) pratiquant au minimum 60 minutes d’activité physique d’intensité modérée à soutenue chaque jour, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 217

Tableau 64 | Distribution des adolescents (de 10 à 17 ans) en fonction du mode de transport qu’ils uti-lisent pour se rendre à l’école, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 218

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Tableau 65 | Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) qui utilisent un mode de transport actif pour se rendre à l’école, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 219

Tableau 66 | Durée moyenne (en minutes/semaine) des trajets domicile-école effectués de manière active par les adolescents (de 10 à 17 ans) utilisant un mode de transport actif, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220

Tableau 67 | Durée (en minutes/semaine) des trajets domicile-école effectués de manière active par les adolescents (de 10 à 17 ans) utilisant un mode de transport actif : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 221

Tableau 68 | Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) qui pratiquent un ou plusieurs sport(s) pendant leur temps libre, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 222

Tableau 69 | Durée moyenne (en minutes/semaine) consacrée au sport par les adolescents (de 10 à 17 ans) pratiquant un sport durant leur temps libre, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 223

Tableau 70 | Durée (en minutes/semaine) consacrée au sport par les adolescents (de 10 à 17 ans) prati-quant un sport durant leur temps libre : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . 224

Tableau 71 | Durée moyenne (en minutes/semaine) des cours d’éducation physique suivis par les ado-lescents (de 10 à 17 ans) à l’école, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 225

Tableau 72 | Durée (en minutes/semaine) des cours d’éducation physique suivis par les adolescents (de 10 à 17 ans) à l’école : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 226

Tableau 73 | Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) qui ont la possibilité de faire du sport à l’école en dehors des heures de cours, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 227

Tableau 74 | Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) pratiquant un sport à l’école en dehors des heures de cours (parmi ceux en ayant la possibilité), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 228

Tableau 75 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) pratiquent un sport à l’école en dehors des heures de cours (parmi ceux pratiquant un sport en dehors des heures de cours), Belgique, 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 229

Tableau 76 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) pratiquent un sport à l’école en dehors des heures de cours (parmi ceux pratiquant un sport en dehors des heures de cours) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 230

Tableau 77 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités de type sédentaire chez les adolescents (de 10 à 17 ans), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 231

Tableau 78 | Durée (en minutes/jour) des activités de type sédentaire chez les adolescents (de 10 à 17 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 232

Tableau 79 | Durée moyenne (en minutes/semaine) que les adolescents (de 10 à 17 ans) utilisant un mode de transport passif pour se rendre à l’école consacrent à ce type de déplacements, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 233

Tableau 80 | Durée (en minutes/semaine) que les adolescents (de 10 à 17 ans) utilisant un mode de transport passif pour se rendre à l’école consacrent à ce type de déplacements : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 234

Tableau 81 | Durée moyenne (en minutes/jour) que passent les adolescents (de 10 à 17 ans) devant des écrans en semaine, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 235

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Tableau 82 | Durée (en minutes/jour) que passent les adolescents (de 10 à 17 ans) devant des écrans en semaine : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 236

Tableau 83 | Durée moyenne (en minutes/jour) que passent les adolescents (de 10 à 17 ans) devant des écrans le week-end, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 237

Tableau 84 | Durée (en minutes/jour) que passent les adolescents (de 10 à 17 ans) devant des écrans le week-end : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 238

Tableau 85 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) regardent la télévision en semaine, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 239

Tableau 86 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) regardent la télévision en semaine : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 240

Tableau 87 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) regardent la télévision le week-end, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 241

Tableau 88 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) regardent la télévision le week-end : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . 242

Tableau 89 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) jouent à l’ordinateur ou aux jeux vidéo en semaine, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 243

Tableau 90 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) jouent à l’ordi-nateur ou aux jeux vidéo en semaine : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . 244

Tableau 91 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) jouent à l’ordinateur ou aux jeux vidéo le week-end, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 245

Tableau 92 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) jouent à l’ordi-nateur ou aux jeux vidéo le week-end : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . 246

Tableau 93 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) vont sur internet, envoient des e-mails ou chattent en semaine, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . 247

Tableau 94 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) vont sur internet, envoient des e-mails ou chattent en semaine : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 248

Tableau 95 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) vont sur internet, envoient des e-mails ou chattent le week-end, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . 249

Tableau 96 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) vont sur internet, envoient des e-mails ou chattent le week-end : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 250

Tableau 97 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) font leurs devoirs en semaine, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 251

Tableau 98 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) font leurs devoirs en semaine: moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 252

Tableau 99 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) font leurs devoirs le week-end, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 253

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Tableau 100 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) font leurs devoirs le week-end : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .254

Tableau 101 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) effec-tuent d’autres activités de type sédentaire en semaine, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . .255

Tableau 102 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) effectuent d’autres activités de type sédentaire en semaine  : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .256

Tableau 103 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) effec-tuent d’autres activités de type sédentaire le week-end, Belgique, 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . .257

Tableau 104 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) effectuent d’autres activités de type sédentaire le week-end : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .258

Tableau 105 | Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) qui passent plus de deux heures par jour devant des écrans en semaine, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .259

Tableau 106 | Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) qui passent plus de deux heures par jour devant des écrans le week-end, Belgique, 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .260

Tableau 107 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée (marche inclue) chez les adultes (de 18 à 64 ans), Belgique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .261

Tableau 108 | Durée (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée (marche inclue) chez les adultes (de 18 à 64 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique . . . . . . . . . . . . . . . . .262

Tableau 109 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité soutenue chez les adultes (de 18 à 64 ans), Belgique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .263

Tableau 110 | Durée (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité soutenue chez les adultes (de 18 à 64 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .264

Tableau 111 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les adultes (de 18 à 64 ans), Belgique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .265

Tableau 112 | Durée (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les adultes (de 18 à 64 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .266

Tableau 113 | Distribution des adultes (de 18 à 64 ans) en fonction de leur activité physique, selon la clas-sification de l’OMS, Belgique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .267

Tableau 114 | Pourcentage d’adultes (de 18 à 64 ans) ayant une activité physique suffisante selon la classi-fication de l’OMS, Belgique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .268

Tableau 115 | Pourcentage d’adultes (de 18 à 64 ans) ayant une activité physique suffisante pour avoir un impact positif sur la santé selon la classification de l’OMS, Belgique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .269

Tableau 116 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) utilisant des modes de transport actifs marchent lors de leurs déplacements, Belgique, 2014. . . . . .270

Tableau 117 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) utilisant des modes de transport actifs marchent lors de leurs déplacements : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .271

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Tableau 118 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) utilisant des modes de transport actifs font du vélo lors de leurs déplacements, Belgique, 2014 . . .272

Tableau 119 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) utilisant des modes de transport actifs font du vélo lors de leurs déplacements : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .273

Tableau 120 | Durée moyenne (en minutes/semaine) des activités physiques d’intensité modérée à sou-tenue ayant lieu lors des déplacements chez les adultes (de 18 à 64 ans) utilisant des modes de transport actifs, Belgique, 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .274

Tableau 121 | Durée (en minutes/semaine) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue ayant lieu lors des déplacements chez les adultes (de 18 à 64 ans) utilisant des modes de transport actifs : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .275

Tableau 122 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) marchent lors de leur temps libre (parmi les adultes ayant une activité physique lors de leur temps libre), Belgique, 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .276

Tableau 123 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) marchent lors de leur temps libre (parmi les adultes ayant une activité physique lors de leur temps libre) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .277

Tableau 124 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant une activité physique lors de leur temps libre effectuent des activités physiques d’intensité modérée (marche inclue) pendant ce temps libre, Belgique, 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .278

Tableau 125 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant une acti-vité physique lors de leur temps libre effectuent des activités physiques d’intensité modé-rée (marche inclue) pendant ce temps libre : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .279

Tableau 126 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant une activité physique lors de leur temps libre effectuent des activités physiques d’intensité soutenue pendant ce temps libre, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .280

Tableau 127 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant une activité physique lors de leur temps libre effectuent des activités physiques d’intensité soutenue pendant ce temps libre : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . .281

Tableau 128 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant une activité physique lors de leur temps libre effectuent des activités physiques d’intensité modérée à soutenue pendant ce temps libre, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .282

Tableau 129 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant une activité physique lors de leur temps libre effectuent des activités physiques d’intensité modérée à soutenue pendant ce temps libre : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014. . . . .283

Tableau 130 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant un emploi marchent lors de leurs occupations professionnelles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . .284

Tableau 131 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant un emploi marchent lors de leurs occupations professionnelles : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .285

Tableau 132 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant un emploi effectuent des activités physiques d’intensité modérée (marche inclue) lors de leurs occupations professionnelles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .286

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Tableau 133 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant un emploi effectuent des activités physiques d’intensité modérée (marche inclue) lors de leurs occupa-tions professionnelles : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014. . . . . . . . . . . . . . . .287

Tableau 134 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant un emploi effectuent des activités physiques d’intensité soutenue lors de leurs occupations professionnelles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .288

Tableau 135 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant un emploi effectuent des activités physiques d’intensité soutenue lors de leurs occupations profession-nelles : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .289

Tableau 136 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant un emploi effectuent des activités physiques d’intensité modérée à soutenue lors de leurs occupations professionnelles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .290

Tableau 137 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant un emploi effectuent des activités physiques d’intensité modérée à soutenue lors de leurs occupations professionnelles : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .291

Tableau 138 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) effec-tuent des activités physiques d’intensité modérée à soutenue liées aux tâches ménagères ou au jardinage (parmi les adultes effectuant de telles tâches), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . .292

Tableau 139 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) effectuent des activités physiques d’intensité modérée à soutenue liées aux tâches ménagères ou au jar-dinage (parmi les adultes effectuant de telles tâches) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .293

Tableau 140 | Proportion moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui sont effec-tuées par les adultes (de 18 à 64 ans) lors de leurs déplacements, Belgique, 2014 . . . . . . . . .294

Tableau 141 | Proportion des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui sont effectuées par les adultes (de 18 à 64 ans) lors de leurs déplacements : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .295

Tableau 142 | Proportion moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui sont effec-tuées par les adultes (de 18 à 64 ans) lors de leur temps libre, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . .296

Tableau 143 | Proportion des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui sont effectuées par les adultes (de 18 à 64 ans) lors de leur temps libre : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .297

Tableau 144 | Proportion moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui sont effec-tuées par les adultes (de 18 à 64 ans) lors de leurs occupations professionnelles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .298

Tableau 145 | Proportion des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui sont effectuées par les adultes (de 18 à 64 ans) lors de leurs occupations professionnelles : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .299

Tableau 146 | Proportion moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui sont effec-tuées par les adultes (de 18 à 64 ans) pendant leurs tâches ménagères, Belgique, 2014 . . .300

Tableau 147 | Proportion des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui sont effectuées par les adultes (de 18 à 64 ans) pendant leurs tâches ménagères: moyenne, médiane et percen-tiles, Belgique, 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .301

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Tableau 148 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise en semaine (à l’exception des déplacements), Belgique, 2014. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .302

Tableau 149 | Durée (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise en semaine (à l’exception des déplacements) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . .303

Tableau 150 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise le week-end (à l’exception des déplacements), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .304

Tableau 151 | Durée (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise le week-end (à l’exception des déplacements) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 305

Tableau 152 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise (à l’exception des déplacements), Belgique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .306

Tableau 153 | Durée (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise (à l’excep-tion des déplacements) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .307

Tableau 154 | Pourcentage d’adultes (de 18 à 64 ans) qui passent, en moyenne, plus de 8 heures par jour en position assise, Belgique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .308

Tableau 155 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise dans un véhicule, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .309

Tableau 156 | Durée (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise dans un véhicule : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .310

Tableau 157 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise (y compris lors des déplacements), Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .311

Tableau 158 | Durée (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise (y compris lors des déplacements) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . .312

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7.1. ENFANTS (DE 3 À 9 ANS)

7.1.1. Activité physique

Tableau 5 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques de faible intensité chez les enfants (de 3 à 9 ans), Belgique, 2014

AC_2 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 290,0 (283,7-296,2) 292,5 (286,7-298,4) 343

Filles 281,8 (276,4-287,2) 283,3 (278,2-288,3) 333

AGE 3 - 5 307,6 (301,7-313,5) 308,0 (302,1-313,8) 289

6 - 9 272,4 (267,2-277,6) 272,5 (267,3-277,6) 387

NIVEAUD’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

282,2 (274,9-289,5) 284,7 (277,8-291,5) 204

Supérieur de type court 287,9 (280,4-295,4) 289,8 (282,9-296,7) 233

Supérieur de type long 287,2 (280,3-294,1) 289,1 (282,9-295,3) 230

REGION**** Flandre 287,5 (282,3-292,7) 289,1 (284,2-294,1) 413

Wallonie 283,6 (276,2-291,0) 285,9 (279,1-292,6) 219

TOTAL 285,9 (281,7-290,0) 676

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 6 | Durée (en minutes/jour) des activités physiques de faible intensité chez les enfants (de 3 à 9 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

AC_2 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 290,0 255,7 286,7 326,6 343

Filles 281,8 252,3 279,5 312,1 333

AGE 3 - 5 307,6 282,8 308,2 335,2 289

6 - 9 272,4 244,2 272,3 298,9 387

NIVEAU D’EDUCATION** Sans diplôme, primaire ou secondaire

282,2 247,3 282,9 314,6 204

Supérieur de type court 287,9 256,2 282,7 320,9 233

Supérieur de type long 287,2 256,6 284,7 315,3 230

REGION*** Flandre 287,5 255,4 283,8 317,6 413

Wallonie 283,6 254,1 280,0 316,8 219

TOTAL 285,9 253,6 283,6 316,0 676

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 7 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les enfants (de 3 à 9 ans), Belgique, 2014

AC_3 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 66,3 (63,1-69,5) 65,8 (62,5-69,0) 343

Filles 53,9 (51,5-56,3) 53,8 (51,4-56,2) 333

AGE 3 - 5 56,9 (53,6-60,2) 57,2 (53,8-60,5) 289

6 - 9 62,0 (59,3-64,6) 62,1 (59,6-64,6) 387

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

58,7 (54,9-62,5) 58,6 (54,6-62,5) 204

Supérieur de type court 60,6 (57,1-64,1) 60,2 (56,8-63,6) 233

Supérieur de type long 60,7 (57,2-64,2) 60,8 (57,5-64,0) 230

REGION**** Flandre 61,9 (59,1-64,6) 61,9 (59,2-64,6) 413

Wallonie 54,9 (51,6-58,1) 54,8 (51,8-57,9) 219

TOTAL 60,0 (58,0-62,1) 676

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 8 | Durée (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les enfants (de 3 à 9 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

AC_3 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 66,3 48,7 64,2 81,4 343

Filles 53,9 39,3 52,9 65,3 333

AGE 3 - 5 56,9 40,2 54,6 67,5 289

6 - 9 62,0 44,8 59,0 77,1 387

NIVEAU D’EDUCATION** Sans diplôme, primaire ou secondaire

58,7 40,4 56,2 74,6 204

Supérieur de type court 60,6 46,0 56,9 70,3 233

Supérieur de type long 60,7 40,8 57,9 73,4 230

REGION*** Flandre 61,9 44,1 58,8 75,9 413

Wallonie 54,9 39,7 53,4 67,5 219

TOTAL 60,0 42,4 57,1 72,9 676

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 9 | Pourcentage d’enfants âgés de 3 à 5 ans réalisant au minimum trois heures d’activité physique (tous niveaux d’intensité confondus) chaque jour, Belgique, 2014

AC_4 Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 95,0 (91,1-98,9) 139

Filles 97,4 (94,1-100,0) 150

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

93,4 (86,8-100,0) 93,0 (86,2-99,9) 77

Supérieur de type court 98,4 (95,9-100,0) 98,3 (95,8-100,0) 100

Supérieur de type long 96,3 (92,4-100,0) 96,1 (92,1-100,0) 105

REGION**** Flandre 97,1 (94,3-99,8) 97,0 (94,1-99,8) 183

Wallonie 95,1 (89,6-100,0) 95,2 (90,1-100,0) 88

TOTAL 96,2 (93,7-98,8) 289

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 10 | Pourcentage d’enfants âgés de 6 à 9 ans réalisant au minimum 60 minutes d’activité physique d’intensité modérée à soutenue chaque jour, Belgique, 2014

AC_4 Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand**(%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 11,3 (6,1-16,4) 204

Filles 1,6 (0,0-3,5) 183

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

10,4 (3,5-17,2) 10,6 (3,8-17,3) 127

Supérieur de type court 3,3 (0,5-6,2) 3,3 (0,5-6,1) 133

Supérieur de type long 6,5 (1,9-11,0) 6,8 (2,1-11,5) 125

REGION**** Flandre 6,9 (3,1-10,7) 7,0 (3,3-10,8) 230

Wallonie 3,5 (0,1-7,0) 3,6 (0,2-6,9) 131

TOTAL 6,5 (3,7-9,3) 387

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 11 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui se rendent à l’école à pied (sans exclure l’utilisation d’autres modes de transport), Belgique, 2014

TX_1 Walkper Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 37,3 (32,2-42,4) 37,7 (32,7-42,7) 545

Filles 33,5 (28,4-38,5) 33,6 (28,5-38,6) 512

AGE 3 - 5 40,6 (34,9-46,3) 40,7 (35,0-46,4) 484

6 - 9 31,8 (27,2-36,3) 31,8 (27,2-36,3) 573

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

43,5 (37,6-49,5) 44,0 (38,1-49,8) 372

Supérieur de type court 28,5 (22,3-34,7) 28,6 (22,5-34,7) 328

Supérieur de type long 32,9 (26,2-39,6) 32,9 (26,3-39,5) 339

REGION**** Flandre 32,4 (27,8-37,0) 32,6 (28,0-37,1) 600

Wallonie 33,2 (27,4-39,0) 33,4 (27,7-39,1) 378

TOTAL 35,4 (31,8-39,0) 1057

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 12 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui se rendent à l’école à vélo (sans exclure l’utilisation d’autres modes de transport), Belgique, 2014

TX_1 cycper Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 20,7 (16,5-24,9) 20,6 (16,4-24,8) 545

Filles 23,7 (19,4-28,1) 23,6 (19,3-27,9) 512

AGE 3 - 5 19,2 (14,8-23,7) 19,2 (14,8-23,7) 484

6 - 9 24,3 (20,2-28,4) 24,3 (20,2-28,4) 573

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

20,3 (15,4-25,1) 20,0 (15,3-24,7) 372

Supérieur de type court 23,5 (18,0-29,0) 23,4 (18,1-28,8) 328

Supérieur de type long 23,6 (18,0-29,2) 23,6 (18,2-29,0) 339

REGION**** Flandre 36,2 (31,5-40,9) 36,0 (31,4-40,6) 600

Wallonie 3,6 (1,4-5,9) 3,7 (1,5-6,0) 378

TOTAL 22,2 (19,2-25,2) 1057

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 13 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui utilisent un mode de transport actif (à pied ou à vélo) pour aller à l’école (sans exclure l’utilisation de modes de transport passif), Belgique, 2014

TX_2 Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 48,4 (43,2-53,6) 48,5 (43,4-53,7) 545

Filles 46,9 (41,7-52,1) 46,9 (41,6-52,1) 512

AGE 3 - 5 49,0 (43,3-54,6) 49,0 (43,4-54,6) 484

6 - 9 46,7 (41,9-51,6) 46,7 (41,9-51,6) 573

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

51,8 (45,9-57,8) 52,0 (46,1-57,9) 372

Supérieur de type court 45,1 (38,6-51,7) 44,9 (38,5-51,4) 328

Supérieur de type long 45,1 (38,3-51,9) 45,1 (38,3-51,9) 339

REGION**** Flandre 53,8 (48,9-58,6) 53,7 (48,9-58,5) 600

Wallonie 33,4 (27,6-39,2) 33,6 (27,9-39,3) 378

TOTAL 47,6 (44,0-51,3) 1057

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 14 | Durée moyenne (en minutes/semaine) des trajets domicile-école effectués de manière active (à pied ou à vélo) par les enfants (de 3 à 9 ans) utilisant un mode de transport actif, Belgique, 2014

TX_3 Moyenne brute* IC 95% brut Moyenne

stand**IC 95% stand N

SEXE Garçons 97,8 (87,1-108,5) 97,8 (87,0-108,6) 256

Filles 102,1 (88,2-115,9) 102,5 (89,0-116,0) 237

AGE 3 - 5 107,5 (91,2-123,9) 107,8 (91,8-123,8) 230

6 - 9 94,1 (85,2-103,1) 94,1 (85,2-103,1) 263

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

96,1 (85,6-106,7) 96,2 (85,6-106,7) 195

Supérieur de type court 94,6 (80,4-108,8) 96,3 (80,7-111,8) 136

Supérieur de type long 110,1 (89,6-130,5) 110,7 (93,3-128,1) 153

REGION**** Flandre 101,7 (92,4-111,0) 102,1 (92,8-111,5) 321

Wallonie 84,4 (70,6-98,2) 82,0 (69,7-94,2) 127

TOTAL 99,8 (91,1-108,6) 493

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 177: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 15 | Durée (en minutes/semaine) des trajets domicile-école effectués de manière active (à pied ou à vélo) par les enfants (de 3 à 9 ans) utilisant un mode de transport actif : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

TX_3 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 97,8 45,3 77,7 100,1 256

Filles 102,1 45,0 96,0 124,7 237

AGE 3 - 5 107,5 46,8 95,6 134,7 230

6 - 9 94,1 44,1 81,9 117,3 263

NIVEAU D’EDUCATION** Sans diplôme, primaire ou secondaire

96,1 43,1 95,0 119,2 195

Supérieur de type court 94,6 45,1 76,5 98,1 136

Supérieur de type long 110,1 47,4 95,9 141,3 153

REGION*** Flandre 101,7 46,6 95,8 119,6 321

Wallonie 84,4 38,9 54,8 95,9 127

TOTAL 99,8 45,2 95,0 119,4 493

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 178: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 16 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) étant membres d’un club sportif, Belgique, 2014

TX_4 Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 54,8 (49,7-60,0) 54,2 (49,2-59,3) 548

Filles 57,3 (52,1-62,5) 56,8 (51,9-61,8) 515

AGE 3 - 5 43,6 (38,1-49,1) 43,6 (38,0-49,1) 488

6 - 9 64,8 (60,2-69,4) 64,8 (60,2-69,4) 575

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

44,5 (38,5-50,4) 43,9 (38,2-49,7) 374

Supérieur de type court 62,5 (56,2-68,8) 62,3 (56,1-68,6) 331

Supérieur de type long 63,3 (56,6-69,9) 63,2 (57,1-69,2) 340

REGION**** Flandre 60,4 (55,8-65,1) 60,1 (55,5-64,7) 603

Wallonie 53,4 (47,3-59,5) 52,9 (47,0-58,8) 378

TOTAL 56,0 (52,4-59,7) 1063

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 179: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 17 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) exercent un sport dans un club sportif (parmi les enfants membres d’un club sportif), Belgique, 2014

TX_5 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 156,0 (141,8-170,2) 146,1 (134,4-157,7) 313

Filles 130,2 (114,4-146,0) 124,3 (110,7-137,9) 297

AGE 3 - 5 96,9 (87,5-106,3) 97,1 (87,7-106,5) 233

6 - 9 165,1 (150,9-179,3) 165,4 (151,3-179,4) 377

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

146,7 (127,8-165,6) 139,0 (123,5-154,5) 169

Supérieur de type court 144,9 (123,6-166,2) 139,3 (120,7-158,0) 211

Supérieur de type long 138,9 (124,1-153,6) 131,4 (118,8-144,1) 223

REGION**** Flandre 148,0 (133,4-162,6) 140,1 (128,0-152,2) 358

Wallonie 133,9 (117,5-150,2) 128,2 (114,3-142,2) 216

TOTAL 143,1 (132,5-153,7) 610

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 180: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 18 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) exercent un sport dans un club sportif (parmi les enfants membres d’un club sportif) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

TX_5 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 156,0 59,4 116,2 201,1 313

Filles 130,2 53,2 86,5 152,9 297

AGE 3 - 5 96,9 53,5 59,6 113,7 233

6 - 9 165,1 70,9 117,8 225,3 377

NIVEAU D’EDUCATION** Sans diplôme, primaire ou secondaire

146,7 56,4 100,1 180,0 169

Supérieur de type court 144,9 56,5 110,3 163,7 211

Supérieur de type long 138,9 56,3 97,6 177,8 223

REGION*** Flandre 148,0 57,0 102,5 182,2 358

Wallonie 133,9 55,8 105,7 157,4 216

TOTAL 143,1 57,0 109,8 174,2 610

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 181: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 19 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) ayant joué à l’extérieur de manière active le jour de semaine précédant l’interview, Belgique, 2014

TX_playweek Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 76,4 (72,2-80,6) 76,4 (72,2-80,6) 539

Filles 82,5 (78,9-86,1) 82,5 (78,9-86,1) 513

AGE 3 - 5 79,1 (75,0-83,3) 79,1 (74,9-83,2) 482

6 - 9 79,6 (75,9-83,4) 79,6 (75,9-83,3) 570

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

75,0 (70,1-79,9) 75,0 (70,1-79,9) 370

Supérieur de type court 77,8 (72,5-83,2) 77,8 (72,6-83,1) 326

Supérieur de type long 85,9 (81,7-90,1) 85,7 (81,5-89,9) 338

REGION**** Flandre 82,8 (79,4-86,2) 82,9 (79,5-86,2) 600

Wallonie 76,1 (71,2-81,0) 75,7 (70,8-80,5) 371

TOTAL 79,4 (76,6-82,2) 1052

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 182: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 20 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) ayant joué à l’extérieur de manière active le jour de week-end précédant l’interview, Belgique, 2014

TX_playweekend Taux brut* (%) IC 95% brut Taux

stand** (%)IC 95% stand N

SEXE Garçons 81,8 (77,8-85,8) 81,8 (77,8-85,8) 545

Filles 82,9 (79,3-86,4) 82,8 (79,3-86,3) 514

AGE 3 - 5 81,7 (77,5-86,0) 81,8 (77,5-86,0) 485

6 - 9 82,7 (79,3-86,2) 82,7 (79,3-86,2) 574

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

76,2 (71,2-81,1) 76,3 (71,4-81,2) 374

Supérieur de type court 81,3 (76,1-86,6) 81,4 (76,2-86,6) 329

Supérieur de type long 90,6 (87,4-93,9) 90,7 (87,6-93,9) 338

REGION**** Flandre 85,4 (82,1-88,7) 85,4 (82,1-88,7) 602

Wallonie 78,9 (74,2-83,6) 78,8 (74,2-83,5) 376

TOTAL 82,3 (79,6-85,0) 1059

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 183: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 21 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) ont joué dehors de manière active le jour de semaine ayant précédé l’interview (parmi les enfants ayant joué à l’extérieur), Belgique, 2014

TX_6 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 148,1 (134,1-162,1) 149,0 (135,1-163,0) 394

Filles 140,2 (126,6-153,7) 140,5 (127,0-153,9) 399

AGE 3 - 5 157,0 (141,6-172,5) 157,5 (141,9-173,1) 361

6 - 9 135,0 (122,6-147,3) 135,0 (122,7-147,3) 432

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

148,0 (130,2-165,7) 148,6 (130,9-166,2) 257

Supérieur de type court 135,7 (117,2-154,2) 136,4 (117,9-155,0) 243

Supérieur de type long 150,3 (135,3-165,3) 151,1 (136,2-166,1) 279

REGION**** Flandre 156,0 (142,4-169,5) 156,4 (142,9-169,9) 470

Wallonie 128,4 (114,2-142,6) 128,9 (114,9-142,9) 266

TOTAL 144,1 (134,3-153,8) 793

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 22 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) ont joué dehors de manière active le jour de semaine ayant précédé l’interview (parmi les enfants ayant joué à l’extérieur) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

TX_6 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 148,1 57,0 116,9 189,8 394

Filles 140,2 54,5 112,6 167,8 399

AGE 3 - 5 157,0 57,8 114,9 196,3 361

6 - 9 135,0 53,0 115,6 169,9 432

NIVEAU D’EDUCATION** Sans diplôme, primaire ou secondaire

148,0 52,1 113,5 200,5 257

Supérieur de type court 135,7 50,7 105,3 156,7 243

Supérieur de type long 150,3 76,3 118,1 199,4 279

REGION*** Flandre 156,0 57,9 118,1 188,0 470

Wallonie 128,4 54,7 94,5 158,0 266

TOTAL 144,1 56,3 116,6 176,5 793

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 23 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) ont joué dehors de manière active le jour de week-end ayant précédé l’interview (parmi les enfants ayant joué à l’extérieur), Belgique, 2014

TX_7 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 233,7 (215,3-252,0) 234,0 (215,5-252,6) 439

Filles 231,7 (212,6-250,8) 231,5 (212,8-250,2) 405

AGE 3 - 5 234,6 (215,2-254,1) 234,7 (215,2-254,2) 383

6 - 9 231,4 (213,5-249,3) 231,3 (213,5-249,2) 461

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

230,8 (208,7-253,0) 230,8 (208,9-252,7) 274

Supérieur de type court 240,3 (213,9-266,6) 242,0 (216,3-267,6) 262

Supérieur de type long 231,4 (210,1-252,6) 231,5 (210,4-252,6) 295

REGION**** Flandre 210,1 (196,2-223,9) 210,3 (196,3-224,2) 500

Wallonie 273,6 (243,9-303,4) 273,5 (244,2-302,8) 283

TOTAL 232,7 (219,5-245,9) 844

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 24 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) ont joué dehors de manière active le jour de week-end ayant précédé l’interview (parmi les enfants ayant joué à l’extérieur) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

TX_7 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 233,7 109,8 179,9 298,2 439

Filles 231,7 113,3 180,2 295,2 405

AGE 3 - 5 234,6 111,3 195,2 296,2 383

6 - 9 231,4 112,3 177,9 296,1 461

NIVEAU D’EDUCATION** Sans diplôme, primaire ou secondaire

230,8 101,1 210,9 297,4 274

Supérieur de type court 240,3 109,2 178,2 335,0 262

Supérieur de type long 231,4 117,5 180,3 281,1 295

REGION*** Flandre 210,1 110,7 174,0 287,5 500

Wallonie 273,6 108,4 224,3 346,4 283

TOTAL 232,7 111,8 180,0 296,9 844

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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7.1.2. Sédentarité

Tableau 25 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités de type sédentaire chez les enfants (de 3 à 9 ans), Belgique, 2014

AC_1 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 380,8 (370,9-390,6) 376,1 (367,8-384,5) 343

Filles 393,6 (385,6-401,6) 391,4 (383,8-398,9) 333

AGE 3 - 5 350,8 (341,7-359,9) 350,0 (341,3-358,7) 289

6 - 9 409,8 (402,4-417,2) 409,8 (402,4-417,2) 387

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

385,6 (373,7-397,5) 381,6 (370,2-392,9) 204

Supérieur de type court 384,3 (373,3-395,3) 380,9 (372,0-389,8) 233

Supérieur de type long 391,5 (381,2-401,8) 388,2 (379,1-397,3) 230

REGION**** Flandre 381,1 (372,7-389,6) 377,7 (370,6-384,8) 413

Wallonie 397,3 (388,0-406,6) 394,9 (386,1-403,8) 219

TOTAL 387,2 (380,9-393,6) 676

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 188: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 26 | Durée (en minutes/jour) des activités de type sédentaire chez les enfants (de 3 à 9 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

AC_1 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 380,8 338,4 374,9 425,6 343

Filles 393,6 348,3 388,7 435,5 333

AGE 3 - 5 350,8 309,2 350,9 388,7 289

6 - 9 409,8 362,9 406,2 452,5 387

NIVEAU D’EDUCATION** Sans diplôme, primaire ou secondaire

385,6 338,5 374,4 432,3 204

Supérieur de type court 384,3 339,3 383,9 432,0 233

Supérieur de type long 391,5 353,1 386,3 432,0 230

REGION*** Flandre 381,1 336,7 376,8 424,5 413

Wallonie 397,3 352,9 393,2 437,6 219

TOTAL 387,2 342,7 383,5 432,7 676

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 27 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui se rendent à l’école assis sur le vélo d’un de leurs parents ou en poussette (sans exclure l’utilisation d’autres modes de transport), Belgique, 2014

TX_1 bikeper Taux brut* (%) IC 95% brut Taux

stand** (%)IC 95% stand N

SEXE Garçons 8,2 (5,4-11,0) 8,5 (5,7-11,3) 545

Filles 10,8 (7,6-13,9) 10,9 (7,8-14,1) 512

AGE 3 - 5 14,8 (11,0-18,5) 14,7 (11,0-18,5) 484

6 - 9 5,7 (3,4-8,1) 5,7 (3,4-8,1) 573

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

8,2 (4,9-11,5) 8,5 (5,2-11,8) 372

Supérieur de type court 9,4 (5,5-13,3) 10,0 (6,0-13,9) 328

Supérieur de type long 11,3 (7,4-15,2) 11,3 (7,4-15,3) 339

REGION**** Flandre 12,4 (9,3-15,5) 12,7 (9,6-15,7) 600

Wallonie 4,2 (1,6-6,7) 4,3 (1,7-6,8) 378

TOTAL 9,5 (7,4-11,6) 1057

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 190: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 28 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui se rendent à l’école en transports en commun (sans exclure l’utilisation d’autres modes de transport), Belgique, 2014

TX_1 pubper Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 11,4 (8,1-14,7) 11,1 (7,9-14,2) 545

Filles 6,3 (3,9-8,8) 6,3 (3,9-8,8) 512

AGE 3 - 5 5,7 (3,4-8,1) 5,7 (3,3-8,1) 484

6 - 9 11,2 (8,0-14,3) 11,1 (8,1-14,2) 573

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

14,0 (9,7-18,3) 13,8 (9,7-17,9) 372

Supérieur de type court 5,7 (2,4-9,0) 5,4 (2,4-8,4) 328

Supérieur de type long 5,8 (2,9-8,7) 5,9 (3,0-8,7) 339

REGION**** Flandre 5,3 (3,3-7,3) 5,2 (3,3-7,2) 600

Wallonie 7,0 (3,9-10,2) 6,8 (3,8-9,8) 378

TOTAL 8,9 (6,8-11,0) 1057

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 191: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 29 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui se rendent à l’école en voiture, en moto ou en scooter (sans exclure l’utilisation d’autres modes de transport), Belgique, 2014

TX_1carper Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 71,3 (66,5-76,0) 71,2 (66,4-76,0) 545

Filles 73,9 (69,1-78,7) 73,8 (69,0-78,6) 512

AGE 3 - 5 69,8 (64,2-75,4) 69,8 (64,2-75,4) 484

6 - 9 74,5 (70,3-78,7) 74,5 (70,4-78,7) 573

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

67,3 (61,8-72,8) 67,4 (61,9-72,8) 372

Supérieur de type court 77,1 (71,3-82,8) 77,0 (71,3-82,7) 328

Supérieur de type long 76,1 (69,7-82,5) 76,1 (69,8-82,3) 339

REGION**** Flandre 69,0 (64,4-73,6) 68,9 (64,4-73,5) 600

Wallonie 82,4 (77,9-86,9) 82,3 (77,8-86,8) 378

TOTAL 72,6 (69,2-75,9) 1057

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 192: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 30 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui utilisent un mode de transport passif pour se rendre à l’école (sans exclure l’utilisation de modes de transport actif), Belgique, 2014

TX_8 Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 78,7 (74,3-83,2) 78,5 (74,1-83,0) 545

Filles 79,3 (74,7-83,8) 79,2 (74,6-83,8) 512

AGE 3 - 5 76,1 (70,7-81,6) 76,1 (70,6-81,6) 484

6 - 9 81,0 (77,2-84,8) 81,0 (77,2-84,8) 573

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

75,1 (70,0-80,1) 75,0 (69,9-80,1) 372

Supérieur de type court 83,3 (78,1-88,5) 83,3 (78,1-88,4) 328

Supérieur de type long 80,2 (73,9-86,5) 80,2 (74,0-86,4) 339

REGION**** Flandre 76,3 (72,0-80,7) 76,3 (72,0-80,5) 600

Wallonie 85,4 (81,2-89,6) 85,3 (81,1-89,5) 378

TOTAL 79,0 (75,8-82,2) 1057

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 193: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 31 | Durée moyenne (en minutes/semaine) que les enfants (de 3 à 9 ans) utilisant un mode de transport passif pour se rendre à l’école consacrent à ce type de déplacements, Belgique, 2014

TX_9 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 94,3 (83,7-104,9) 93,5 (83,4-103,7) 440

Filles 98,5 (87,9-109,0) 98,3 (87,9-108,6) 409

AGE 3 - 5 89,4 (80,1-98,6) 89,2 (80,0-98,4) 383

6 - 9 101,0 (90,2-111,8) 101,0 (90,2-111,8) 466

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

99,3 (85,2-113,3) 98,5 (84,8-112,1) 273

Supérieur de type court 92,5 (81,9-103,1) 92,4 (82,2-102,6) 278

Supérieur de type long 96,6 (82,2-110,9) 96,4 (82,5-110,3) 286

REGION**** Flandre 91,2 (82,0-100,4) 90,8 (81,8-99,8) 471

Wallonie 94,2 (82,6-105,7) 93,5 (82,2-104,8) 320

TOTAL 96,3 (88,9-103,8) 849

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 194: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 32 | Durée (en minutes/semaine) que les enfants (de 3 à 9 ans) utilisant un mode de transport passif pour se rendre à l’école consacrent à ce type de déplacements : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

TX_9 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 94,3 36,7 49,7 121,0 440

Filles 98,5 40,5 66,2 131,2 409

AGE 3 - 5 89,4 37,8 49,7 120,2 383

6 - 9 101,0 40,1 61,0 124,4 466

NIVEAU D’EDUCATION** Sans diplôme, primaire ou secondaire

99,3 35,7 49,9 122,9 273

Supérieur de type court 92,5 40,8 63,5 104,3 278

Supérieur de type long 96,6 37,9 49,4 127,6 286

REGION*** Flandre 91,2 36,9 49,1 109,5 471

Wallonie 94,2 45,3 60,7 120,4 320

TOTAL 96,3 39,6 53,2 122,9 849

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 33 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui passent du temps à jouer calmement en semaine, Belgique, 2014

TX_quietweek Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 91,4 (88,1-94,7) 91,6 (88,3-94,8) 547

Filles 96,6 (93,6-99,6) 96,5 (93,5-99,6) 515

AGE 3 - 5 94,8 (91,0-98,6) 94,8 (91,0-98,6) 487

6 - 9 93,3 (90,6-96,1) 93,4 (90,7-96,0) 575

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

91,9 (88,5-95,3) 91,9 (88,5-95,3) 373

Supérieur de type court 94,5 (91,3-97,7) 94,9 (92,0-97,8) 331

Supérieur de type long 95,4 (90,4-100,0) 95,4 (90,5-100,2) 340

REGION**** Flandre 95,9 (93,6-98,2) 96,0 (93,8-98,2) 603

Wallonie 93,7 (90,8-96,6) 93,7 (90,9-96,6) 377

TOTAL 93,9 (91,7-96,2) 1062

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 34 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui passent du temps à jouer calmement le week-end, Belgique, 2014

TX_quietweekend Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 92,6 (89,4-95,8) 92,7 (89,6-95,8) 547

Filles 96,8 (93,8-99,9) 96,8 (93,7-99,9) 515

AGE 3 - 5 95,4 (91,6-99,2) 95,4 (91,6-99,1) 487

6 - 9 94,2 (91,5-96,9) 94,2 (91,6-96,8) 575

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

92,0 (88,4-95,5) 92,0 (88,5-95,5) 373

Supérieur de type court 96,2 (93,4-99,0) 96,4 (93,9-99,0) 331

Supérieur de type long 95,9 (90,8-100,0) 95,8 (91,0-100,7) 340

REGION**** Flandre 96,9 (94,7-99,1) 97,0 (94,8-99,1) 603

Wallonie 94,7 (92,1-97,4) 94,6 (92,0-97,3) 377

TOTAL 94,7 (92,5-96,9) 1062

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 197: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 35 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) jouent calmement en semaine (parmi les enfants à qui il arrive de jouer calmement en semaine), Belgique, 2014

TX_16 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 50,2 (45,3-55,1) 50,4 (45,5-55,2) 509

Filles 56,8 (51,8-61,7) 57,4 (52,4-62,3) 500

AGE 3 - 5 64,0 (57,5-70,6) 64,0 (57,4-70,6) 471

6 - 9 45,9 (42,5-49,4) 45,8 (42,4-49,3) 538

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

51,7 (46,8-56,6) 51,5 (46,7-56,3) 343

Supérieur de type court 50,9 (44,0-57,8) 51,2 (44,5-58,0) 317

Supérieur de type long 55,5 (49,6-61,5) 55,4 (49,6-61,3) 333

REGION**** Flandre 54,5 (49,4-59,5) 54,5 (49,5-59,5) 581

Wallonie 53,1 (48,2-58,1) 53,4 (48,5-58,4) 353

TOTAL 53,5 (50,0-57,0) 1009

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 198: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 36 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) jouent calmement en semaine (parmi les enfants à qui il arrive de jouer calmement en semaine) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

TX_16 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 50,2 17,3 28,6 46,5 509

Filles 56,8 20,2 33,9 49,6 500

AGE 3 - 5 64,0 22,7 36,9 52,0 471

6 - 9 45,9 16,2 27,5 44,8 538

NIVEAU D’EDUCATION** Sans diplôme, primaire ou secondaire

51,7 18,2 32,3 48,4 343

Supérieur de type court 50,9 18,4 27,9 45,5 317

Supérieur de type long 55,5 18,8 33,0 49,3 333

REGION*** Flandre 54,5 18,4 30,9 48,4 581

Wallonie 53,1 18,6 32,3 48,5 353

TOTAL 53,5 18,6 31,1 48,2 1009

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 37 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) jouent calmement le week-end (parmi les enfants à qui il arrive de jouer calmement le week-end), Belgique, 2014

TX_17 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 111,3 (102,1-120,5) 111,7 (102,7-120,7) 516

Filles 134,0 (124,1-143,9) 134,7 (125,0-144,5) 506

AGE 3 - 5 138,6 (129,1-148,2) 138,5 (128,9-148,1) 474

6 - 9 111,2 (102,0-120,4) 110,8 (101,7-119,9) 548

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

111,9 (101,2-122,5) 111,6 (101,0-122,2) 347

Supérieur de type court 121,1 (109,6-132,7) 121,8 (110,8-132,8) 322

Supérieur de type long 132,8 (119,9-145,6) 132,6 (120,1-145,1) 336

REGION**** Flandre 122,3 (113,5-131,0) 122,2 (113,5-130,9) 591

Wallonie 126,0 (113,9-138,0) 126,2 (114,7-137,8) 357

TOTAL 122,7 (115,9-129,4) 1022

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 200: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 38 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) jouent calmement le week-end (parmi les enfants à qui il arrive de jouer calmement le week-end) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

TX_17 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 111,3 29,3 52,1 118,6 516

Filles 134,0 38,3 59,8 143,5 506

AGE 3 - 5 138,6 39,8 74,3 145,7 474

6 - 9 111,2 30,7 50,9 116,7 548

NIVEAU D’EDUCATION** Sans diplôme, primaire ou secondaire

111,9 30,5 52,2 118,7 347

Supérieur de type court 121,1 34,3 55,7 130,4 322

Supérieur de type long 132,8 37,1 59,9 140,6 336

REGION*** Flandre 122,3 35,1 55,9 129,8 591

Wallonie 126,0 32,0 58,2 135,7 357

TOTAL 122,7 34,0 56,1 131,4 1022

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 39 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les enfants (de 3 à 9 ans) devant des écrans (télévision et ordinateur) pendant leur temps libre en semaine, Belgique, 2014

TX_14 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 77,7 (70,7-84,7) 76,8 (70,2-83,4) 531

Filles 66,1 (59,9-72,3) 66,0 (59,7-72,3) 501

AGE 3 - 5 62,9 (56,2-69,6) 62,9 (56,2-69,6) 471

6 - 9 78,3 (71,9-84,8) 78,2 (72,0-84,5) 561

NIVEAU D’EDUCATION***Sans diplôme, primaire ou secondaire 91,3 (82,4-100,2) 90,9 (82,1-99,7) 367

Supérieur de type court 61,8 (56,0-67,6) 61,2 (55,5-66,9) 323

Supérieur de type long 59,5 (51,1-67,8) 59,8 (52,1-67,6) 326

REGION**** Flandre 76,5 (70,0-83,0) 76,1 (69,8-82,3) 588

Wallonie 66,1 (59,1-73,1) 65,8 (59,2-72,3) 368

TOTAL 72,0 (67,3-76,7) 1032

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 202: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 40 | Durée (en minutes/jour) passée par les enfants (de 3 à 9 ans) devant des écrans (télévision et ordinateur) pendant leur temps libre en semaine : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

TX_14 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 77,7 28,8 54,0 80,6 531

Filles 66,1 23,7 47,4 68,3 501

AGE 3 - 5 62,9 20,8 45,0 62,8 471

6 - 9 78,3 31,7 55,5 81,2 561

NIVEAU D’EDUCATION** Sans diplôme, primaire ou secondaire

91,3 38,8 59,9 90,4 367

Supérieur de type court 61,8 23,9 49,1 68,4 323

Supérieur de type long 59,5 21,1 40,3 63,3 326

REGION*** Flandre 76,5 28,6 54,1 78,8 588

Wallonie 66,1 24,9 48,6 67,9 368

TOTAL 72,0 26,0 50,8 73,9 1032

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 203: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 41 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les enfants (de 3 à 9 ans) devant des écrans (télévision et ordinateur) pendant leur temps libre le week-end, Belgique, 2014

TX_15 Moyenne brute* IC 95% brut Moyenne

stand**IC 95% stand N

SEXE Garçons 166,2 (152,0-180,4) 164,2 (151,0-177,4) 544

Filles 131,3 (120,4-142,2) 131,0 (120,1-141,9) 509

AGE 3 - 5 125,2 (114,0-136,3) 125,2 (114,1-136,3) 482

6 - 9 166,0 (152,9-179,1) 165,8 (153,1-178,4) 571

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

177,3 (162,7-191,9) 177,0 (162,5-191,5) 369

Supérieur de type court 147,8 (129,6-166,1) 145,2 (129,0-161,4) 330

Supérieur de type long 118,5 (104,2-132,8) 119,1 (106,3-132,0) 337

REGION**** Flandre 150,8 (140,4-161,2) 150,1 (140,1-160,2) 599

Wallonie 147,7 (132,0-163,4) 145,8 (131,7-159,8) 374

TOTAL 149,1 (140,0-158,3) 1053

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 204: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 42 | Durée (en minutes/jour) passée par les enfants (de 3 à 9 ans) devant des écrans (télévision et ordinateur) pendant leur temps libre le week-end : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

TX_15 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 166,2 63,1 113,5 208,8 544

Filles 131,3 50,3 75,9 190,7 509

AGE 3 - 5 125,2 48,7 69,9 177,3 482

6 - 9 166,0 65,0 113,1 212,2 571

NIVEAU D’EDUCATION** Sans diplôme, primaire ou secondaire

177,3 64,1 143,1 223,6 369

Supérieur de type court 147,8 55,4 93,6 201,1 330

Supérieur de type long 118,5 47,9 74,5 169,7 337

REGION*** Flandre 150,8 58,0 98,7 205,4 599

Wallonie 147,7 53,1 94,7 201,8 374

TOTAL 149,1 55,0 93,2 202,8 1053

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 205: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 43 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui regardent la télévision en semaine, Belgique, 2014

TX_TVweek Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 95,2 (92,9-97,5) 95,2 (92,8-97,5) 548

Filles 95,5 (93,1-97,9) 95,5 (93,1-97,9) 515

AGE 3 - 5 94,3 (91,5-97,1) 94,3 (91,5-97,0) 488

6 - 9 96,1 (94,1-98,2) 96,1 (94,1-98,2) 575

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

97,3 (95,0-99,5) 97,2 (94,9-99,5) 374

Supérieur de type court 95,5 (92,2-98,7) 95,4 (92,2-98,7) 331

Supérieur de type long 94,2 (91,2-97,1) 94,1 (91,2-97,0) 340

REGION**** Flandre 95,9 (93,8-98,1) 95,9 (93,7-98,1) 603

Wallonie 96,1 (93,5-98,7) 96,1 (93,5-98,7) 378

TOTAL 95,4 (93,7-97,0) 1063

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 206: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 44 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui regardent la télévision le week-end, Belgique, 2014

TX_TVweekend Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 97,9 (96,1-99,6) 97,8 (96,0-99,6) 548

Filles 98,5 (97,2-99,7) 98,5 (97,2-99,7) 515

AGE 3 - 5 97,5 (95,5-99,4) 97,4 (95,5-99,4) 488

6 - 9 98,7 (97,4-99,9) 98,7 (97,4-99,9) 575

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

98,2 (96,4-99,9) 98,1 (96,2-99,9) 374

Supérieur de type court 98,7 (96,9-100,0) 98,8 (97,2-100,5) 331

Supérieur de type long 98,3 (96,6-99,9) 98,3 (96,7-99,9) 340

REGION**** Flandre 97,9 (96,2-99,5) 97,9 (96,2-99,5) 603

Wallonie 99,3 (98,6-100,0) 99,3 (98,6-100,1) 378

TOTAL 98,2 (97,1-99,3) 1063

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 45 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) regardent la télévision en semaine (parmi les enfants regardant la télévision en semaine), Belgique, 2014

TX_10 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 56,9 (51,3-62,5) 56,5 (51,1-61,8) 525

Filles 51,3 (46,8-55,9) 51,4 (46,8-56,1) 499

AGE 3 - 5 51,4 (46,0-56,8) 51,4 (46,0-56,8) 468

6 - 9 56,1 (51,3-60,9) 56,0 (51,3-60,8) 556

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

68,4 (61,4-75,5) 68,5 (61,5-75,5) 366

Supérieur de type court 47,0 (43,1-50,8) 46,7 (43,0-50,4) 321

Supérieur de type long 43,8 (37,6-50,1) 44,2 (38,1-50,2) 321

REGION**** Flandre 56,8 (51,5-62,1) 56,6 (51,5-61,7) 585

Wallonie 52,1 (47,1-57,1) 52,1 (47,2-57,1) 365

TOTAL 54,2 (50,6-57,8) 1024

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 46 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) regardent la télévision en semaine (parmi les enfants regardant la télévision en semaine) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

TX_10 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 56,9 19,8 33,1 49,6 525

Filles 51,3 18,7 29,4 47,1 499

AGE 3 - 5 51,4 16,3 28,6 47,0 468

6 - 9 56,1 21,0 33,1 49,3 556

NIVEAU D’EDUCATION** Sans diplôme, primaire ou secondaire

68,4 24,9 39,0 54,1 366

Supérieur de type court 47,0 18,7 30,1 46,2 321

Supérieur de type long 43,8 15,0 25,1 42,0 321

REGION*** Flandre 56,8 19,8 33,2 49,6 585

Wallonie 52,1 19,7 29,9 47,5 365

TOTAL 54,2 19,2 31,1 48,5 1024

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 47 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) regardent la télévision le week-end (parmi les enfants regardant la télévision le week-end), Belgique, 2014

TX_11 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 122,4 (111,8-132,9) 121,3 (111,3-131,3) 540

Filles 105,6 (96,8-114,5) 105,6 (96,7-114,5) 507

AGE 3 - 5 104,3 (94,9-113,8) 104,3 (94,9-113,7) 479

6 - 9 121,0 (111,3-130,7) 120,9 (111,5-130,4) 568

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

136,2 (124,4-147,9) 136,3 (124,6-148,1) 367

Supérieur de type court 112,5 (99,9-125,0) 111,2 (99,6-122,8) 329

Supérieur de type long 90,3 (78,7-101,8) 90,5 (79,7-101,4) 334

REGION**** Flandre 116,3 (108,0-124,6) 116,0 (107,9-124,2) 594

Wallonie 114,3 (102,1-126,4) 113,3 (101,9-124,8) 374

TOTAL 114,2 (107,2-121,1) 1047

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 210: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 48 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) regardent la télévision le week-end (parmi les enfants regardant la télévision le week-end) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

TX_11 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 122,4 37,1 55,7 123,9 540

Filles 105,6 31,4 49,4 106,0 507

AGE 3 - 5 104,3 31,3 48,8 102,1 479

6 - 9 121,0 36,5 55,4 123,6 568

NIVEAU D’EDUCATION** Sans diplôme, primaire ou secondaire

136,2 39,2 62,3 144,5 367

Supérieur de type court 112,5 35,3 53,4 114,0 329

Supérieur de type long 90,3 28,9 45,0 67,6 334

REGION*** Flandre 116,3 35,7 54,4 121,1 594

Wallonie 114,3 33,7 51,9 114,8 374

TOTAL 114,2 34,2 52,5 116,5 1047

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 211: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 49 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui utilisent l’ordinateur ou la console de jeux en semaine, Belgique, 2014

TX_PCweek Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 61,3 (56,3-66,3) 60,8 (55,9-65,6) 548

Filles 49,5 (44,3-54,7) 48,9 (44,0-53,9) 515

AGE 3 - 5 41,7 (36,2-47,2) 41,8 (36,5-47,1) 488

6 - 9 65,3 (60,7-69,9) 65,3 (60,7-69,9) 575

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

57,1 (51,1-63,0) 56,7 (50,8-62,5) 374

Supérieur de type court 54,2 (47,7-60,7) 53,5 (47,2-59,9) 331

Supérieur de type long 56,6 (49,9-63,3) 56,9 (51,1-62,7) 340

REGION**** Flandre 63,1 (58,5-67,7) 62,8 (58,3-67,2) 603

Wallonie 47,4 (41,2-53,5) 46,4 (40,7-52,1) 378

TOTAL 55,5 (51,9-59,2) 1063

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 212: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 50 | Pourcentage d’enfants (de 3 à 9 ans) qui utilisent l’ordinateur ou la console de jeux le week-end, Belgique, 2014

TX_PCweekend Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 74,9 (70,6-79,2) 74,2 (70,0-78,4) 548

Filles 62,0 (56,8-67,2) 61,5 (56,6-66,4) 515

AGE 3 - 5 53,2 (47,6-58,8) 53,3 (47,8-58,7) 488

6 - 9 79,5 (75,7-83,4) 79,5 (75,7-83,3) 575

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

70,0 (64,5-75,4) 69,5 (64,1-74,9) 374

Supérieur de type court 69,7 (63,8-75,6) 68,6 (63,0-74,2) 331

Supérieur de type long 67,5 (61,1-74,0) 67,8 (62,4-73,2) 340

REGION**** Flandre 75,0 (70,9-79,1) 74,7 (70,7-78,6) 603

Wallonie 61,2 (55,2-67,2) 60,1 (54,6-65,5) 378

TOTAL 68,6 (65,2-72,0) 1063

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 213: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 51 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) utilisent l’ordinateur ou la console de jeux en semaine (parmi les enfants utilisant l’ordinateur ou la console de jeux en semaine), Belgique, 2014

TX_12 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 33,9 (28,8-38,9) 32,6 (28,2-37,0) 331

Filles 29,5 (24,7-34,2) 29,3 (24,1-34,4) 257

AGE 3 - 5 26,9 (22,2-31,6) 27,2 (22,0-32,4) 214

6 - 9 34,2 (29,6-38,8) 33,9 (29,5-38,4) 374

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

39,1 (32,0-46,2) 37,6 (31,4-43,8) 217

Supérieur de type court 28,1 (23,8-32,4) 28,3 (22,1-34,4) 176

Supérieur de type long 27,3 (21,5-33,0) 25,5 (20,9-30,1) 189

REGION**** Flandre 30,8 (27,2-34,3) 30,3 (26,5-34,0) 373

Wallonie 30,2 (24,0-36,5) 27,2 (22,8-31,6) 181

TOTAL 31,9 (28,4-35,4) 588

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 214: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 52 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) utilisent l’ordinateur ou la console de jeux en semaine (parmi les enfants utilisant l’ordinateur ou la console de jeux en semaine) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

TX_12 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 33,9 15,0 15,0 27,7 331

Filles 29,5 15,0 15,0 23,8 257

AGE 3 - 5 26,9 15,0 15,0 20,6 214

6 - 9 34,2 15,0 15,0 27,7 374

NIVEAU D’EDUCATION** Sans diplôme, primaire ou secondaire

39,1 15,0 17,9 33,0 217

Supérieur de type court 28,1 15,0 15,0 24,6 176

Supérieur de type long 27,3 15,0 15,0 20,0 189

REGION*** Flandre 30,8 15,0 15,0 26,5 373

Wallonie 30,2 15,0 15,0 24,6 181

TOTAL 31,9 15,0 15,0 26,1 588

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 53 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) utilisent l’ordinateur ou la console de jeux le week-end (parmi les enfants utilisant l’ordinateur ou la console de jeux le week-end), Belgique, 2014

TX_13 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 60,1 (51,9-68,3) 57,7 (50,1-65,3) 407

Filles 42,0 (35,8-48,2) 40,5 (34,8-46,2) 323

AGE 3 - 5 40,5 (33,8-47,2) 39,9 (33,4-46,3) 275

6 - 9 57,6 (50,4-64,8) 56,6 (49,7-63,6) 455

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

60,0 (50,4-69,6) 59,1 (49,9-68,4) 261

Supérieur de type court 51,8 (40,8-62,8) 47,2 (39,0-55,5) 230

Supérieur de type long 43,0 (36,2-49,8) 39,8 (34,2-45,3) 231

REGION**** Flandre 48,0 (42,3-53,6) 46,5 (41,0-52,0) 449

Wallonie 54,3 (43,8-64,8) 49,5 (41,4-57,5) 234

TOTAL 52,1 (46,7-57,5) 730

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 216: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 54 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les enfants (de 3 à 9 ans) utilisent l’ordinateur ou la console de jeux le week-end (parmi les enfants utilisant l’ordinateur ou la console de jeux le week-end) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

TX_13 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 60,1 15,0 28,3 49,5 407

Filles 42,0 15,0 20,4 35,6 323

AGE 3 - 5 40,5 15,0 17,9 33,3 275

6 - 9 57,6 15,2 27,4 47,8 455

NIVEAU D’EDUCATION** Sans diplôme, primaire ou secondaire

60,0 15,0 28,6 49,9 261

Supérieur de type court 51,8 15,0 24,1 43,8 230

Supérieur de type long 43,0 15,0 21,8 36,3 231

REGION*** Flandre 48,0 15,0 23,0 42,4 449

Wallonie 54,3 15,3 26,8 45,7 234

TOTAL 52,1 15,0 24,5 44,6 730

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 55 | Pourcentage d’enfants âgés de 3 à 5 ans qui ne suivent pas les recommandations et passent plus d’une heure par jour devant des écrans en semaine, Belgique, 2014

TX_18 Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 39,4 (30,3-48,4) 182

Filles 31,1 (22,5-39,7) 173

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

53,4 (42,3-64,5) 53,5 (42,4-64,7) 110

Supérieur de type court 24,0 (15,1-32,9) 24,1 (15,5-32,7) 110

Supérieur de type long 27,6 (16,7-38,4) 27,8 (17,9-37,7) 126

REGION**** Flandre 42,1 (33,4-50,8) 42,2 (33,5-50,9) 206

Wallonie 31,5 (21,7-41,2) 31,1 (21,6-40,6) 121

TOTAL 35,4 (29,1-41,6) 355

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 56 | Pourcentage d’enfants âgés de 3 à 5 ans qui ne suivent pas les recommandations et passent plus d’une heure par jour devant des écrans le week-end, Belgique, 2014

TX_19 Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 81,6 (74,7-88,4) 192

Filles 67,6 (59,5-75,7) 193

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

84,0 (76,7-91,3) 83,9 (76,8-91,1) 128

Supérieur de type court 76,5 (66,5-86,5) 76,7 (66,7-86,7) 121

Supérieur de type long 62,0 (51,4-72,6) 61,4 (51,4-71,5) 128

REGION**** Flandre 77,8 (71,1-84,5) 77,7 (71,1-84,3) 234

Wallonie 71,1 (61,0-81,1) 71,0 (61,7-80,3) 126

TOTAL 74,8 (69,5-80,2) 385

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 57 | Pourcentage d’enfants âgés de 6 à 9 ans qui ne suivent pas les recommandations et passent plus de deux heures par jour devant des écrans en semaine, Belgique, 2014

TX_20 Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 15,8 (9,9-21,6) 269

Filles 5,9 (2,9-8,8) 249

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

19,6 (12,9-26,4) 19,7 (13,2-26,3) 194

Supérieur de type court 4,3 (1,6-7,1) 4,4 (1,5-7,2) 159

Supérieur de type long 7,4 (0,9-13,9) 7,9 (1,3-14,5) 160

REGION**** Flandre 11,9 (7,0-16,8) 11,9 (7,1-16,7) 279

Wallonie 8,4 (3,9-12,8) 8,6 (4,2-13,1) 202

TOTAL 10,9 (7,5-14,3) 518

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 58 | Pourcentage d’enfants âgés de 6 à 9 ans qui ne suivent pas les recommandations et passent plus de deux heures par jour devant des écrans le week-end, Belgique, 2014

TX_21 Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 65,4 (58,5-72,3) 261

Filles 42,3 (35,2-49,5) 246

NIVEAU D’EDUCATION*** Sans diplôme, primaire ou secondaire

62,7 (54,4-71,0) 62,9 (54,8-70,9) 191

Supérieur de type court 55,6 (46,3-64,8) 55,4 (46,1-64,7) 155

Supérieur de type long 41,2 (31,6-50,9) 44,1 (35,3-53,0) 156

REGION**** Flandre 55,5 (48,7-62,3) 55,8 (49,1-62,5) 279

Wallonie 53,7 (44,8-62,6) 54,7 (46,8-62,6) 189

TOTAL 53,7 (48,5-58,9) 507

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’enfant).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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7.2. ADOLESCENTS (DE 10 À 17 ANS)

7.2.1. Activité physique

Tableau 59 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques de faible intensité chez les adolescents (de 10 à 17 ans), Belgique, 2014

AC_2 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 208,3 (201,4-215,1) 207,8 (201,4-214,3) 282

Filles 193,6 (187,0-200,2) 193,9 (188,0-199,8) 291

AGE 10 - 13 222,0 (215,9-228,2) 221,8 (215,7-227,9) 288

14 - 17 180,6 (174,3-187,0) 180,6 (174,4-186,9) 285

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

208,5 (200,1-216,9) 207,5 (199,9-215,2) 211

Supérieur de type court 202,0 (193,4-210,7) 200,5 (192,1-209,0) 168

Supérieur de type long 193,5 (185,9-201,2) 194,6 (187,9-201,4) 180

REGION**** Flandre 202,8 (196,8-208,9) 202,5 (196,8-208,2) 353

Wallonie 202,3 (193,5-211,1) 202,0 (194,5-209,5) 182

TOTAL 201,2 (196,4-206,0) 573

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 222: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 60 | Durée (en minutes/jour) des activités physiques de faible intensité chez les adolescents (de 10 à 17 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

AC_2 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 208,3 169,4 203,7 247,4 282

Filles 193,6 158,3 187,4 223,9 291

AGE 10 - 13 222,0 188,9 219,6 253,7 288

14 - 17 180,6 144,5 172,5 206,6 285

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

208,5 167,6 199,1 249,6 211

Supérieur de type court 202,0 163,3 204,7 239,9 168

Supérieur de type long 193,5 160,5 188,8 220,8 180

REGION*** Flandre 202,8 165,5 201,4 240,7 353

Wallonie 202,3 163,1 194,6 239,7 182

TOTAL 201,2 163,0 195,4 239,2 573

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 61 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les adolescents (de 10 à 17 ans), Belgique, 2014

AC_3 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 55,5 (52,1-58,8) 55,4 (52,1-58,8) 282

Filles 40,8 (37,9-43,7) 40,8 (37,9-43,7) 291

AGE 10 - 13 50,7 (47,6-53,9) 50,5 (47,5-53,4) 288

14 - 17 46,1 (42,7-49,6) 46,1 (42,9-49,4) 285

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

47,0 (43,1-50,9) 46,3 (42,9-49,6) 211

Supérieur de type court 47,4 (43,4-51,4) 47,7 (43,8-51,6) 168

Supérieur de type long 51,5 (47,2-55,9) 51,7 (47,3-56,1) 180

REGION**** Flandre 50,1 (47,0-53,3) 50,0 (46,9-53,0) 353

Wallonie 44,1 (40,5-47,7) 43,8 (40,6-47,0) 182

TOTAL 48,4 (46,1-50,7) 573

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 224: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 62 | Durée (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les adolescents (de 10 à 17 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

AC_3 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 55,5 34,2 55,8 70,9 282

Filles 40,8 24,9 37,7 51,3 291

AGE 10 - 13 50,7 32,7 48,1 64,2 288

14 - 17 46,1 24,5 41,4 63,9 285

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

47,0 30,7 40,3 62,9 211

Supérieur de type court 47,4 29,3 44,9 60,2 168

Supérieur de type long 51,5 30,3 48,5 68,6 180

REGION*** Flandre 50,1 29,7 47,3 65,9 353

Wallonie 44,1 30,3 41,3 57,2 182

TOTAL 48,4 30,3 44,8 64,1 573

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 63 | Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) pratiquant au minimum 60 minutes d’activité physique d’intensité modérée à soutenue chaque jour, Belgique, 2014

AC_4 Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 4,2 (1,9-6,6) 4,2 (1,9-6,6) 282

Filles 0,5 (0,0-1,4) 0,5 0,0-1,4) 291

AGE 10 - 13 3,1 (1,0-5,3) 3,0 (1,0-5,1) 288

14 - 17 1,7 (0,2-3,3) 1,7 (0,2-3,3) 285

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

4,1 (1,2-6,9) 3,8 (1,1-6,4) 211

Supérieur de type court 1,2 (0,0-3,1) 1,1 (0,0-2,6) 168

Supérieur de type long 1,5 (0,0-3,3) 1,8 (0,0-3,8) 180

REGION**** Flandre 2,6 (0,8-4,3) 2,5 (0,8-4,1) 353

Wallonie 1,5 (0,0-3,2) 1,5 (0,0-3,2) 182

TOTAL 2,4 (1,1-3,8) 573

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 226: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 64 | Distribution des adolescents (de 10 à 17 ans) en fonction du mode de transport qu’ils utilisent pour se rendre à l’école, Belgique, 2014

FQ_5 À vélo* À pied* En voiture, train, bus ou moto*

En roller, trottinette* N

SEXE Garçons 25,1 12,8 61,1 1,0 469

Filles 29,6 11,7 58,4 0,3 494

AGE 10 - 13 28,3 14,0 57,2 0,5 469

14 - 17 26,4 10,7 62,1 0,8 494

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

20,1 14,5 64,4 1,1 393

Supérieur de type court 28,1 10,4 61,0 0,5 266

Supérieur de type long 36,5 11,2 51,9 0,4 283

REGION*** Flandre 48,4 10,2 41,1 0,2 546

Wallonie 1,9 13,3 83,5 1,2 337

TOTAL 27,3 12,3 59,8 0,7 963

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pourcentages pondérés.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 65 | Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) qui utilisent un mode de transport actif pour se rendre à l’école, Belgique, 2014

FQ_6 Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 38,9 (34,1-43,8) 39,0 (34,2-43,8) 469

Filles 41,6 (36,8-46,4) 41,7 (36,8-46,5) 494

AGE 10 - 13 42,8 (37,8-47,7) 42,8 (37,8-47,7) 469

14 - 17 37,9 (33,2-42,6) 37,9 (33,2-42,6) 494

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

35,6 (30,4-40,9) 35,7 (30,6-40,7) 393

Supérieur de type court 39,0 (32,5-45,4) 38,9 (32,6-45,2) 266

Supérieur de type long 48,1 (41,6-54,6) 47,9 (41,6-54,3) 283

REGION**** Flandre 58,9 (54,4-63,4) 59,1 (54,6-63,5) 546

Wallonie 16,5 (11,5-21,4) 16,4 (11,4-21,4) 337

TOTAL 40,2 (36,9-43,6) 963

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 228: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 66 | Durée moyenne (en minutes/semaine) des trajets domicile-école effectués de manière active par les adolescents (de 10 à 17 ans) utilisant un mode de transport actif, Belgique, 2014

FQ_7 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 133,9 (120,2-147,6) 135,0 (122,0-148,1) 185

Filles 123,3 (111,2-135,4) 123,5 (111,3-135,6) 201

AGE 10 - 13 112,0 (100,6-123,4) 111,9 (100,6-123,2) 198

14 - 17 145,9 (131,8-159,9) 146,5 (132,8-160,2) 188

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

115,0 (100,8-129,3) 117,3 (102,7-131,9) 137

Supérieur de type court 126,0 (110,6-141,4) 127,1 (111,8-142,5) 105

Supérieur de type long 142,5 (125,2-159,8) 140,4 (125,3-155,5) 136

REGION**** Flandre 132,6 (122,4-142,8) 133,6 (123,9-143,4) 317

Wallonie 108,5 (84,4-132,6) 105,4 (83,5-127,2) 52

TOTAL 128,5 (119,3-137,7) 386

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 67 | Durée (en minutes/semaine) des trajets domicile-école effectués de manière active par les adolescents (de 10 à 17 ans) utilisant un mode de transport actif : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

FQ_7 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 133,9 62,5 99,6 182,6 185

Filles 123,3 56,1 99,1 149,5 201

AGE 10 - 13 112,0 48,6 92,9 137,9 198

14 - 17 145,9 67,2 141,7 196,5 188

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

115,0 49,8 92,0 136,9 137

Supérieur de type court 126,0 55,9 109,4 173,2 105

Supérieur de type long 142,5 65,6 118,8 195,6 136

REGION*** Flandre 132,6 62,1 99,6 192,1 317

Wallonie 108,5 54,4 76,4 136,8 52

TOTAL 128,5 59,1 99,4 171,1 386

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 230: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 68 | Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) qui pratiquent un ou plusieurs sport(s) pendant leur temps libre, Belgique, 2014

FQ_12 Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand

N

SEXE Garçons 78,2 (74,1-82,4) 78,3 (74,2-82,5) 470

Filles 71,7 (67,4-75,9) 71,7 (67,5-76,0) 494

AGE 10 - 13 77,2 (73,1-81,3) 77,2 (73,1-81,3) 469

14 - 17 73,0 (68,7-77,4) 73,0 (68,7-77,4) 495

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire 66,8 (61,7-71,9) 66,6 (61,5-71,7) 394

Supérieur de type court 77,3 (71,9-82,7) 77,5 (72,2-82,8) 266

Supérieur de type long 83,8 (79,0-88,7) 84,0 (79,2-88,7) 283

REGION**** Flandre 77,1 (73,4-80,9) 77,2 (73,4-80,9) 547

Wallonie 73,6 (68,4-78,9) 73,6 (68,4-78,8) 337

TOTAL 75,0 (72,1-78,0) 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 231: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 69 | Durée moyenne (en minutes/semaine) consacrée au sport par les adolescents (de 10 à 17 ans) pratiquant un sport durant leur temps libre, Belgique, 2014

FQ_13 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 276,5 (251,0-302,0) 276,6 (251,1-302,1) 368

Filles 180,4 (163,0-197,8) 180,3 (162,9-197,8) 344

AGE 10 - 13 219,3 (196,9-241,6) 217,1 (195,7-238,5) 356

14 - 17 243,9 (219,8-268,0) 241,8 (219,1-264,4) 356

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire 239,3 (211,5-267,1) 232,5 (206,3-258,7) 255

Supérieur de type court 222,6 (193,5-251,8) 222,7 (195,0-250,5) 203

Supérieur de type long 230,5 (201,2-259,8) 230,2 (202,6-257,8) 239

REGION**** Flandre 250,0 (226,8-273,2) 248,2 (226,0-270,4) 415

Wallonie 208,2 (184,5-232,0) 206,8 (185,1-228,5) 242

TOTAL 231,7 (215,3-248,1) 712

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 232: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 70 | Durée (en minutes/semaine) consacrée au sport par les adolescents (de 10 à 17 ans) pratiquant un sport durant leur temps libre : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

FQ_13 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 276,5 141,3 220,5 331,7 368

Filles 180,4 67,3 139,1 235,6 344

AGE 10 - 13 219,3 91,8 183,3 272,0 356

14 - 17 243,9 90,1 208,8 317,7 356

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

239,3 83,2 204,6 285,8 255

Supérieur de type court 222,6 92,8 159,6 282,4 203

Supérieur de type long 230,5 88,0 203,4 287,7 239

REGION*** Flandre 250,0 94,3 207,2 329,2 415

Wallonie 208,2 84,9 175,2 282,2 242

TOTAL 231,7 92,3 190,0 286,8 712

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 233: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 71 | Durée moyenne (en minutes/semaine) des cours d’éducation physique suivis par les adolescents (de 10 à 17 ans) à l’école, Belgique, 2014

FQ_1 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 96,2 (90,4-102,1) 96,2 (90,4-102,0) 461

Filles 88,6 (85,2-91,9) 88,6 (85,2-91,9) 492

AGE 10 - 13 91,8 (87,6-95,9) 91,7 (87,6-95,9) 468

14 - 17 93,1 (87,8-98,5) 93,2 (87,9-98,5) 485

NIVEAU D’EDUCATION***

Garçons 94,1 (88,8-99,5) 94,2 (88,7-99,6) 388

Filles 93,0 (86,0-99,9) 93,0 (86,1-99,9) 262

Supérieur de type long 89,4 (83,7-95,0) 89,2 (84,0-94,4) 282

REGION**** Flandre 88,6 (83,8-93,5) 88,6 (83,8-93,4) 541

Wallonie 99,0 (93,4-104,6) 99,0 (93,4-104,6) 333

TOTAL 92,5 (89,1-95,9) 953

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 234: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 72 | Durée (en minutes/semaine) des cours d’éducation physique suivis par les adolescents (de 10 à 17 ans) à l’école : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

FQ_1 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 96,2 65,5 73,0 82,8 461

Filles 88,6 65,1 72,0 78,9 492

AGE 10 - 13 91,8 65,1 73,0 84,8 468

14 - 17 93,1 51,0 64,1 77,3 485

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire 94,1 50,6 66,3 86,0 388

Supérieur de type court 93,0 51,1 64,5 77,8 262

Supérieur de type long 89,4 65,1 71,8 78,5 282

REGION*** Flandre 88,6 64,6 70,7 76,7 541

Wallonie 99,0 67,0 76,1 97,0 333

TOTAL 92,5 65,3 72,5 79,6 953

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 235: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 73 | Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) qui ont la possibilité de faire du sport à l’école en dehors des heures de cours, Belgique, 2014

FQ_2 Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 55,6 (50,6-60,6) 55,5 (50,5-60,5) 469

Filles 53,2 (48,3-58,1) 53,1 (48,2-58,0) 493

AGE 10 - 13 51,6 (46,6-56,6) 51,6 (46,6-56,6) 468

14 - 17 57,0 (52,1-61,9) 57,0 (52,1-61,9) 494

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

50,0 (44,5-55,5) 49,6 (44,2-54,9) 393

Supérieur de type court 53,9 (47,3-60,5) 54,0 (47,5-60,5) 265

Supérieur de type long 61,3 (54,9-67,7) 60,7 (54,4-67,1) 283

REGION**** Flandre 68,1 (63,7-72,4) 67,8 (63,5-72,1) 545

Wallonie 35,8 (30,0-41,6) 35,8 (30,0-41,5) 337

TOTAL 54,4 (50,9-57,9) 962

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 236: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 74 | Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) pratiquant un sport à l’école en dehors des heures de cours (parmi ceux en ayant la possibilité), Belgique, 2014

FQ_3 Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 55,3 (48,8-61,9) 56,5 (50,2-62,9) 263

Filles 32,9 (26,8-39,1) 33,6 (27,6-39,6) 269

AGE 10 - 13 57,3 (50,5-64,2) 57,3 (50,7-63,9) 244

14 - 17 34,0 (28,0-40,1) 33,6 (27,8-39,3) 288

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

45,5 (38,0-53,1) 46,8 (39,9-53,6) 203

Supérieur de type court 41,3 (32,5-50,1 41,0 (32,6-49,3) 148

Supérieur de type long 45,7 (37,6-53,8) 45,3 (37,6-53,1) 174

REGION**** Flandre 42,2 (36,7-47,7) 43,7 (38,3-49,0) 372

Wallonie 49,5 (39,4-59,5) 47,0 (38,0-55,9) 124

TOTAL 44,7 (40,0-49,3) 532

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 237: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 75 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) pratiquent un sport à l’école en dehors des heures de cours (parmi ceux pratiquant un sport en dehors des heures de cours), Belgique, 2014

FQ_4 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 146,7 (126,8-166,6) 142,0 (123,1-160,8) 138

Filles 90,7 (69,3-112,0) 84,8 (64,0-105,6) 91

AGE 10 - 13 151,2 (130,9-171,5) 143,3 (124,1-162,5) 136

14 - 17 92,8 (71,6-113,9) 85,3 (64,9-105,7) 93

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire 133,5 (109,2-157,8) 112,6 (90,2-135,0) 91

Supérieur de type court 124,0 (92,3-155,7) 106,6 (83,8-129,4) 60

Supérieur de type long 126,6 (100,9-152,2) 114,5 (89,5-139,6) 74

REGION**** Flandre 114,9 (96,8-133,0) 106,1 (90,3-121,9) 150

Wallonie 159,9 (127,4-192,3) 129,8 (96,6-163,1) 62

TOTAL 127,0 (111,7-142,2) 229

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 238: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 76 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) pratiquent un sport à l’école en dehors des heures de cours (parmi ceux pratiquant un sport en dehors des heures de cours) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

FQ_4 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 146,7 30,8 105,7 232,1 138

Filles 90,7 0,0 50,2 129,0 91

AGE 10 - 13 151,2 30,6 116,3 243,9 136

14 - 17 92,8 1,5 51,4 129,2 93

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire 133,5 21,5 79,2 216,2 91

Supérieur de type court 124,0 3,9 72,1 191,0 60

Supérieur de type long 126,6 19,2 77,0 176,7 74

REGION*** Flandre 114,9 9,6 60,2 167,1 150

Wallonie 159,9 35,9 138,6 254,6 62

TOTAL 127,0 16,5 72,4 193,1 229

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 239: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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7.2.2. Sédentarité

Tableau 77 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités de type sédentaire chez les adolescents (de 10 à 17 ans), Belgique, 2014

AC_1 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 513,4 (503,5-523,3) 513,9 (504,5-523,4) 282

Filles 535,6 (526,1-545,2) 535,2 (526,7-543,6) 291

AGE 10 - 13 495,6 (486,9-504,3) 495,8 (487,2-504,5) 288

14 - 17 552,3 (542,7-561,9) 552,2 (542,9-561,5) 285

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

511,3 (498,9-523,8) 512,1 (500,8-523,3) 211

Supérieur de type court 525,5 (514,3-536,8) 526,6 (515,9-537,3) 168

Supérieur de type long 533,8 (522,0-545,7) 531,9 (521,4-542,5) 180

REGION**** Flandre 526,7 (518,0-535,4) 527,1 (518,9-535,3) 353

Wallonie 516,0 (502,7-529,3) 516,5 (505,6-527,5) 182

TOTAL 524,1 (517,1-531,1) 573

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 240: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 78 | Durée (en minutes/jour) des activités de type sédentaire chez les adolescents (de 10 à 17 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

AC_1 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 513,4 459,2 508,7 566,9 282

Filles 535,6 492,5 540,2 583,0 291

AGE 10 - 13 495,6 448,2 498,7 544,9 288

14 - 17 552,3 506,7 557,9 611,2 285

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

511,3 459,1 516,9 567,1 211

Supérieur de type court 525,5 480,4 527,3 571,6 168

Supérieur de type long 533,8 481,5 530,8 588,9 180

REGION*** Flandre 526,7 475,2 530,9 577,1 353

Wallonie 516,0 464,7 521,6 571,5 182

TOTAL 524,1 473,0 525,5 576,1 573

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 79 | Durée moyenne (en minutes/semaine) que les adolescents (de 10 à 17 ans) utilisant un mode de transport passif pour se rendre à l’école consacrent à ce type de déplacements, Belgique, 2014

FQ_15 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 233,1 (206,9-259,3) 230,5 (205,1-256,0) 283

Filles 196,4 (176,5-216,2) 192,7 (174,7-210,7) 293

AGE 10 - 13 164,3 (143,0-185,5) 163,7 (143,1-184,4) 271

14 - 17 259,6 (235,7-283,5) 259,4 (235,7-283,1) 305

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

233,8 (203,9-263,8) 227,9 (199,6-256,1) 256

Supérieur de type court 205,5 (179,6-231,3) 203,9 (179,4-228,4) 160

Supérieur de type long 196,0 (168,4-223,7) 195,3 (170,9-219,6) 147

REGION**** Flandre 242,8 (214,8-270,8) 233,7 (207,1-260,3) 229

Wallonie 198,1 (172,9-223,3) 197,1 (173,5-220,7) 284

TOTAL 215,5 (198,8-232,3) 576

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 80 | Durée (en minutes/semaine) que les adolescents (de 10 à 17 ans) utilisant un mode de transport passif pour se rendre à l’école consacrent à ce type de déplacements : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

FQ_15 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 233,1 98,3 179,2 278,3 283

Filles 196,4 90,3 138,8 242,5 293

AGE 10 - 13 164,3 49,2 99,5 186,2 271

14 - 17 259,6 99,9 191,6 298,4 305

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

233,8 91,6 146,9 280,5 256

Supérieur de type court 205,5 92,3 143,4 275,8 160

Supérieur de type long 196,0 90,8 142,7 229,3 147

REGION*** Flandre 242,8 92,9 184,8 294,0 229

Wallonie 198,1 78,5 130,5 227,4 284

TOTAL 215,5 98,2 145,3 277,6 576

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 81 | Durée moyenne (en minutes/jour) que passent les adolescents (de 10 à 17 ans) devant des écrans en semaine, Belgique, 2014

FQ_26 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 173,3 (161,3-185,3) 172,2 (161,0-183,3) 470

Filles 162,1 (151,2-173,0) 161,5 (151,0-171,9) 494

AGE 10 - 13 136,1 (126,8-145,3) 136,1 (126,8-145,3) 469

14 - 17 197,2 (185,0-209,5) 197,2 (185,0-209,4) 495

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

194,8 (180,9-208,7) 194,2 (181,1-207,3) 394

Supérieur de type court 161,0 (148,0-173,9) 161,0 (149,1-172,9) 266

Supérieur de type long 138,6 (123,9-153,3) 136,9 (123,4-150,5) 283

REGION**** Flandre 158,8 (149,6-168,0) 157,9 (149,1-166,6) 547

Wallonie 185,2 (169,0-201,3) 184,8 (170,2-199,5) 337

TOTAL 167,8 (159,7-175,9) 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 244: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 82 | Durée (en minutes/jour) que passent les adolescents (de 10 à 17 ans) devant des écrans en semaine : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

FQ_26 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 173,3 81,9 141,6 227,6 470

Filles 162,1 76,4 123,9 225,8 494

AGE 10 - 13 136,1 63,3 112,0 172,5 469

14 - 17 197,2 88,2 173,2 242,0 495

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

194,8 90,9 168,6 235,3 394

Supérieur de type court 161,0 83,1 125,8 205,7 266

Supérieur de type long 138,6 56,0 102,6 179,0 283

REGION*** Flandre 158,8 79,8 129,7 207,0 547

Wallonie 185,2 81,0 147,7 228,3 337

TOTAL 167,8 79,0 136,8 226,7 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 245: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 83 | Durée moyenne (en minutes/jour) que passent les adolescents (de 10 à 17 ans) devant des écrans le week-end, Belgique, 2014

FQ_27 Moyenne brute* IC 95% brut Moyenne

stand** IC 95% stand N

SEXE Garçons 292,3 (278,5-306,2) 291,3 (278,0-304,7) 470

Filles 267,4 (253,3-281,6) 266,8 (253,0-280,5) 494

AGE 10 - 13 249,1 (236,3-261,9) 249,1 (236,3-261,8) 469

14 - 17 309,0 (294,7-323,3) 309,0 (294,7-323,2) 495

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

308,8 (292,6-325,0) 307,8 (292,2-323,5) 394

Supérieur de type court 276,1 (258,3-293,8) 276,5 (259,3-293,8) 266

Supérieur de type long 244,9 (226,7-263,1) 242,0 (224,9-259,1) 283

REGION**** Flandre 261,6 (249,3-274,0) 260,4 (248,5-272,3) 547

Wallonie 313,2 (295,3-331,0) 312,7 (295,6-329,8) 337

TOTAL 280,2 (270,3-290,1) 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 246: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 84 | Durée (en minutes/jour) que passent les adolescents (de 10 à 17 ans) devant des écrans le week-end : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

FQ_27 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 292,3 180,4 268,3 354,8 470

Filles 267,4 148,8 244,1 344,1 494

AGE 10 - 13 249,1 141,8 233,5 314,0 469

14 - 17 309,0 197,0 290,1 393,0 495

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

308,8 201,5 289,3 401,5 394

Supérieur de type court 276,1 173,4 255,6 345,7 266

Supérieur de type long 244,9 135,5 231,1 311,3 283

REGION*** Flandre 261,6 165,7 236,3 335,1 547

Wallonie 313,2 200,9 285,9 405,3 337

TOTAL 280,2 172,1 258,5 350,4 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 247: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 85 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) regardent la télévision en semaine, Belgique, 2014

FQ_16 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 74,3 (68,6-80,0) 74,2 (68,6-79,8) 470

Filles 73,7 (68,2-79,2) 73,6 (68,2-79,0) 494

AGE 10 - 13 70,1 (65,1-75,0) 70,1 (65,1-75,0) 469

14 - 17 77,7 (71,6-83,7) 77,7 (71,6-83,7) 495

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

85,7 (79,1-92,4) 85,9 (79,3-92,4) 394

Supérieur de type court 72,2 (65,3-79,1) 72,3 (65,4-79,1) 266

Supérieur de type long 60,8 (53,9-67,6) 60,4 (53,8-67,0) 283

REGION**** Flandre 76,2 (71,3-81,2) 76,2 (71,3-81,1) 547

Wallonie 74,5 (67,2-81,8) 74,4 (67,3-81,4) 337

TOTAL 74,0 (70,1-78,0) 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 248: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 86 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) regardent la télévision en semaine : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

FQ_16 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 74,3 22,5 45,5 82,4 470

Filles 73,7 21,8 44,9 82,3 494

AGE 10 - 13 70,1 23,2 44,6 76,0 469

14 - 17 77,7 21,3 45,9 89,0 495

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

85,7 28,2 53,1 95,5 394

Supérieur de type court 72,2 25,4 45,4 75,2 266

Supérieur de type long 60,8 16,0 33,5 67,6 283

REGION*** Flandre 76,2 25,7 47,7 83,8 547

Wallonie 74,5 20,7 44,6 84,2 337

TOTAL 74,0 22,2 45,2 82,4 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 249: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 87 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) regardent la télévision le week-end, Belgique, 2014

FQ_17 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 122,2 (114,9-129,4) 122,2 (114,9-129,4) 470

Filles 129,1 (121,7-136,5) 129,1 (121,8-136,5) 494

AGE 10 - 13 126,3 (119,2-133,4) 126,3 (119,2-133,4) 469

14 - 17 124,9 (117,4-132,4) 124,9 (117,4-132,4) 495

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

135,4 (126,7-144,1) 135,9 (127,2-144,6) 394

Supérieur de type court 126,6 (117,6-135,7) 126,6 (117,5-135,7) 266

Supérieur de type long 111,6 (102,3-120,8) 111,5 (102,4-120,5) 283

REGION**** Flandre 124,8 (118,2-131,3) 124,7 (118,2-131,2) 547

Wallonie 132,8 (123,5-142,1) 132,8 (123,5-142,1) 337

TOTAL 125,6 (120,4-130,7) 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 250: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 88 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) regardent la télévision le week-end : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

FQ_17 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 122,2 46,3 89,7 147,0 470

Filles 129,1 47,6 95,0 161,8 494

AGE 10 - 13 126,3 48,0 92,5 153,4 469

14 - 17 124,9 46,1 91,6 155,5 495

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

135,4 47,2 104,2 180,3 394

Supérieur de type court 126,6 54,9 94,4 145,9 266

Supérieur de type long 111,6 42,1 78,4 126,1 283

REGION*** Flandre 124,8 46,7 93,0 151,8 547

Wallonie 132,8 51,5 96,6 171,1 337

TOTAL 125,6 47,0 92,0 154,5 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 251: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 89 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) jouent à l’ordinateur ou aux jeux vidéo en semaine, Belgique, 2014

FQ_18 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 52,4 (45,9-58,9) 52,1 (45,8-58,4) 470

Filles 25,5 (21,0-30,1) 25,7 (21,2-30,2) 494

AGE 10 - 13 36,0 (31,0-41,0) 36,0 (31,0-41,0) 469

14 - 17 42,3 (36,0-48,7) 42,3 (36,3-48,2) 495

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

47,0 (39,4-54,7) 47,0 (39,9-54,1) 394

Supérieur de type court 39,1 (31,8-46,3) 39,5 (32,5-46,5) 266

Supérieur de type long 29,8 (24,3-35,2) 29,5 (24,3-34,7) 283

REGION**** Flandre 33,2 (28,7-37,7) 33,2 (28,8-37,5) 547

Wallonie 49,8 (41,8-57,8) 49,6 (42,3-56,8) 337

TOTAL 39,3 (35,2-43,4) 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 252: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 90 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) jouent à l’ordinateur ou aux jeux vidéo en semaine : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

FQ_18 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 52,4 0,0 23,0 55,0 470

Filles 25,5 0,0 0,0 24,4 494

AGE 10 - 13 36,0 0,0 15,0 37,8 469

14 - 17 42,3 0,0 0,0 47,3 495

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

47,0 0,0 12,1 49,1 394

Supérieur de type court 39,1 0,0 10,0 44,5 266

Supérieur de type long 29,8 0,0 3,1 32,0 283

REGION*** Flandre 33,2 0,0 3,6 34,7 547

Wallonie 49,8 0,0 18,6 54,6 337

TOTAL 39,3 0,0 8,3 42,1 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 91 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) jouent à l’ordinateur ou aux jeux vidéo le week-end, Belgique, 2014

FQ_19 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 103,2 (94,6-111,7) 103,0 (94,5-111,5) 470

Filles 46,3 (39,6-53,0) 46,5 (39,8-53,1) 494

AGE 10 - 13 76,6 (68,7-84,5) 76,6 (69,0-84,2) 469

14 - 17 74,2 (65,8-82,7) 74,2 (66,4-81,9) 495

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

87,5 (77,9-97,2) 86,9 (78,0-95,9) 394

Supérieur de type court 76,6 (65,6-87,5) 77,8 (67,3-88,2) 266

Supérieur de type long 59,7 (50,3-69,1) 58,8 (50,2-67,3) 283

REGION**** Flandre 64,9 (57,6-72,1) 64,8 (57,9-71,7) 547

Wallonie 92,4 (82,3-102,4) 92,0 (82,9-101,0) 337

TOTAL 75,4 (69,6-81,2) 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 92 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) jouent à l’ordinateur ou aux jeux vidéo le week-end : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

FQ_19 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 103,2 16,9 60,5 146,8 470

Filles 46,3 0,0 1,3 51,0 494

AGE 10 - 13 76,6 0,0 38,5 98,9 469

14 - 17 74,2 0,0 23,1 107,6 495

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

87,5 0,0 42,2 126,3 394

Supérieur de type court 76,6 0,0 38,0 103,8 266

Supérieur de type long 59,7 0,0 21,6 71,7 283

REGION*** Flandre 64,9 0,0 21,4 83,8 547

Wallonie 92,4 0,0 52,2 126,2 337

TOTAL 75,4 0,0 32,5 102,9 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 255: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 93 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) vont sur internet, envoient des e-mails ou chattent en semaine, Belgique, 2014

FQ_20 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 46,6 (40,5-52,7) 45,9 (40,3-51,6) 470

Filles 62,8 (55,6-70,0) 62,1 (55,6-68,7) 494

AGE 10 - 13 30,0 (25,4-34,5) 30,0 (25,5-34,5) 469

14 - 17 77,2 (69,8-84,7) 77,3 (70,0-84,6) 495

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

62,0 (53,8-70,2) 61,3 (53,8-68,9) 394

Supérieur de type court 49,7 (41,8-57,6) 49,3 (42,4-56,1) 266

Supérieur de type long 48,1 (39,3-56,9) 47,0 (39,3-54,7) 283

REGION**** Flandre 49,4 (44,1-54,6) 48,5 (43,8-53,2) 547

Wallonie 60,9 (51,0-70,8) 60,9 (52,2-69,5) 337

TOTAL 54,5 (49,7-59,3) 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 256: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 94 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) vont sur internet, envoient des e-mails ou chattent en semaine : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

FQ_20 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 46,6 0,0 16,2 46,7 470

Filles 62,8 3,9 28,3 62,2 494

AGE 10 - 13 30,0 0,0 7,0 27,7 469

14 - 17 77,2 15,2 39,9 88,9 495

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

62,0 0,0 23,2 62,0 394

Supérieur de type court 49,7 0,0 20,0 53,5 266

Supérieur de type long 48,1 0,9 21,5 48,0 283

REGION*** Flandre 49,4 0,0 21,2 51,1 547

Wallonie 60,9 0,0 22,7 58,7 337

TOTAL 54,5 0,0 22,2 54,5 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 257: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 95 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) vont sur internet, envoient des e-mails ou chattent le week-end, Belgique, 2014

FQ_21 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 67,0 (59,6-74,4) 66,1 (59,4-72,9) 470

Filles 92,1 (83,5-100,6) 91,2 (83,5-98,8) 494

AGE 10 - 13 46,2 (40,2-52,2) 46,2 (40,3-52,1) 469

14 - 17 109,9 (101,5-118,3) 109,9 (101,7-118,1) 495

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

85,8 (76,2-95,4) 85,0 (76,4-93,7) 394

Supérieur de type court 72,9 (62,7-83,1) 72,2 (63,3-81,0) 266

Supérieur de type long 73,6 (63,2-84,0) 71,7 (63,0-80,4) 283

REGION**** Flandre 72,0 (65,2-78,8) 70,9 (64,8-76,9) 547

Wallonie 88,0 (77,0-99,0) 88,0 (78,3-97,7) 337

TOTAL 79,2 (73,5-85,0) 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 258: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 96 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) vont sur internet, envoient des e-mails ou chattent le week-end : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

FQ_21 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 67,0 0,0 27,4 75,1 470

Filles 92,1 13,0 48,3 120,3 494

AGE 10 - 13 46,2 0,0 15,6 47,9 469

14 - 17 109,9 25,5 64,8 156,2 495

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

85,8 2,2 40,1 117,6 394

Supérieur de type court 72,9 0,7 29,5 92,5 266

Supérieur de type long 73,6 8,6 33,5 88,7 283

REGION*** Flandre 72,0 4,6 32,9 87,3 547

Wallonie 88,0 2,8 41,5 118,1 337

TOTAL 79,2 4,2 36,1 101,2 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 259: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 97 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) font leurs devoirs en semaine, Belgique, 2014

FQ_22 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 55,2 (50,6-59,8) 55,1 (50,5-59,6) 470

Filles 76,7 (71,7-81,6) 76,3 (71,5-81,1) 494

AGE 10 - 13 56,9 (52,7-61,0) 56,9 (52,8-61,0) 469

14 - 17 73,8 (68,5-79,2) 73,9 (68,7-79,0) 495

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

53,9 (49,1-58,8) 54,0 (49,4-58,6) 394

Supérieur de type court 72,9 (65,9-79,9) 72,7 (65,7-79,6) 266

Supérieur de type long 73,7 (67,5-79,9) 73,6 (68,3-78,9) 283

REGION**** Flandre 70,0 (65,3-74,7) 69,6 (65,2-74,0) 547

Wallonie 58,0 (52,4-63,6) 58,1 (52,9-63,4) 337

TOTAL 65,7 (62,2-69,1) 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 260: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 98 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) font leurs devoirs en semaine: moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

FQ_22 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 55,2 16,5 32,1 55,8 470

Filles 76,7 25,9 48,3 85,5 494

AGE 10 - 13 56,9 19,5 34,9 55,0 469

14 - 17 73,8 21,4 46,7 85,6 495

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

53,9 14,7 30,8 54,2 394

Supérieur de type court 72,9 24,4 45,2 79,1 266

Supérieur de type long 73,7 24,7 47,2 82,3 283

REGION*** Flandre 70,0 21,4 43,0 78,8 547

Wallonie 58,0 17,6 35,8 57,4 337

TOTAL 65,7 20,3 40,2 69,3 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 261: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 99 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) font leurs devoirs le week-end, Belgique, 2014

FQ_23 Moyenne brute* IC 95% brut Moyenne

stand**IC 95% stand N

SEXE Garçons 66,3 (59,9-72,6) 65,9 (59,7-72,1) 470

Filles 93,3 (86,4-100,2) 92,7 (86,2-99,3) 494

AGE 10 - 13 61,6 (56,0-67,3) 61,6 (56,0-67,2) 469

14 - 17 96,0 (88,8-103,2) 96,0 (89,0-103,1) 495

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

60,9 (54,3-67,6) 60,8 (54,5-67,2) 394

Supérieur de type court 88,9 (79,6-98,1) 88,6 (79,7-97,5) 266

Supérieur de type long 93,7 (84,8-102,6) 93,0 (85,3-100,7) 283

REGION**** Flandre 82,1 (75,5-88,7) 81,2 (75,2-87,2) 547

Wallonie 72,9 (65,4-80,3) 73,0 (65,8-80,2) 337

TOTAL 79,5 (74,7-84,2) 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 262: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 100 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) font leurs devoirs le week-end : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

FQ_23 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 66,3 11,8 35,9 71,4 470

Filles 93,3 23,7 54,7 113,7 494

AGE 10 - 13 61,6 13,2 33,7 61,5 469

14 - 17 96,0 23,5 56,7 116,5 495

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

60,9 3,0 30,5 66,3 394

Supérieur de type court 88,9 23,7 50,1 106,4 266

Supérieur de type long 93,7 25,0 54,8 113,8 283

REGION*** Flandre 82,1 18,0 45,0 99,5 547

Wallonie 72,9 16,7 41,2 85,4 337

TOTAL 79,5 17,9 44,2 95,6 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 263: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 101 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) effectuent d’autres activités de type sédentaire en semaine, Belgique, 2014

FQ_24 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 132,9 (121,6-144,2) 132,0 (121,2-142,8) 470

Filles 171,1 (157,6-184,6) 170,0 (157,5-182,6) 494

AGE 10 - 13 115,3 (105,9-124,8) 115,4 (106,1-124,7) 469

14 - 17 185,1 (171,2-199,0) 185,2 (171,6-198,7) 495

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

160,3 (146,1-174,6) 159,5 (147,0-172,1) 394

Supérieur de type court 144,3 (129,5-159,1) 143,6 (130,0-157,2) 266

Supérieur de type long 144,0 (126,3-161,6) 143,6 (127,3-159,9) 283

REGION**** Flandre 133,0 (122,9-143,1) 132,0 (122,4-141,7) 547

Wallonie 180,6 (162,6-198,5) 180,6 (164,8-196,3) 337

TOTAL 151,6 (142,6-160,5) 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 102 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) effectuent d’autres activités de type sédentaire en semaine : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

FQ_24 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 132,9 48,8 90,8 164,8 470

Filles 171,1 68,0 120,6 231,7 494

AGE 10 - 13 115,3 45,5 80,1 141,1 469

14 - 17 185,1 76,4 131,9 256,9 495

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

160,3 53,8 111,2 216,0 394

Supérieur de type court 144,3 56,8 98,1 184,8 266

Supérieur de type long 144,0 58,9 105,3 173,0 283

REGION*** Flandre 133,0 49,9 92,7 166,5 547

Wallonie 180,6 68,2 125,0 256,6 337

TOTAL 151,6 56,1 105,6 194,8 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

.

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Tableau 103 | Durée moyenne (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) effectuent d’autres activités de type sédentaire le week-end, Belgique, 2014

FQ_25 Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Garçons 185,7 (171,4-200,1) 184,5 (171,0-197,9) 470

Filles 256,2 (237,6-274,7) 254,7 (237,7-271,7) 494

AGE 10 - 13 168,8 (156,4-181,2) 168,8 (156,8-180,9) 469

14 - 17 267,7 (249,2-286,2) 267,8 (250,0-285,5) 495

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire 231,0 (212,0-249,9) 230,3 (213,8-246,7) 394

Supérieur de type court 211,1 (190,5-231,7) 210,0 (190,9-229,0) 266

Supérieur de type long 212,6 (188,7-236,5) 211,6 (190,2-233,0) 283

REGION**** Flandre 202,0 (188,7-215,3) 200,7 (188,2-213,3) 547

Wallonie 243,8 (218,7-268,9) 243,9 (222,9-264,9) 337

TOTAL 220,1 (208,1-232,1) 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 104 | Durée (en minutes/jour) pendant laquelle les adolescents (de 10 à 17 ans) effectuent d’autres activités de type sédentaire le week-end : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

FQ_25 Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Garçons 185,7 67,9 142,4 247,1 470

Filles 256,2 111,6 222,9 352,6 494

AGE 10 - 13 168,8 64,3 129,0 228,7 469

14 - 17 267,7 124,2 229,7 365,9 495

NIVEAU D’EDUCATION**

Sans diplôme, primaire ou secondaire

231,0 83,4 183,5 322,2 394

Supérieur de type court 211,1 80,5 166,5 290,6 266

Supérieur de type long 212,6 86,9 161,2 277,4 283

REGION*** Flandre 202,0 82,1 160,6 272,4 547

Wallonie 243,8 87,3 177,9 357,1 337

TOTAL 220,1 84,9 170,2 294,3 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 267: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 105 | Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) qui passent plus de deux heures par jour devant des écrans en semaine, Belgique, 2014

FQ_28 Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 58,8 (53,8-63,7) 58,5 (53,7-63,3) 470

Filles 50,9 (46,0-55,8) 50,6 (45,9-55,4) 494

AGE 10 - 13 43,9 (38,9-48,8) 43,9 (38,9-48,8) 469

14 - 17 65,2 (60,5-69,8) 65,2 (60,5-69,8) 495

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

64,9 (59,6-70,1) 64,6 (59,4-69,7) 394

Supérieur de type court 51,6 (45,0-58,3) 51,6 (45,4-57,7) 266

Supérieur de type long 44,6 (38,1-51,1) 43,9 (37,5-50,3) 283

REGION**** Flandre 53,1 (48,5-57,7) 52,8 (48,3-57,2) 547

Wallonie 58,5 (52,5-64,5) 58,4 (52,8-64,0) 337

TOTAL 54,9 (51,4-58,4) 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 268: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 106 | Pourcentage d’adolescents (de 10 à 17 ans) qui passent plus de deux heures par jour devant des écrans le week-end, Belgique, 2014

FQ_29 Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Garçons 87,0 (83,6-90,4) 86,8 (83,4-90,3) 470

Filles 80,6 (76,6-84,5) 80,4 (76,4-84,3) 494

AGE 10 - 13 78,3 (74,0-82,5) 78,3 (74,1-82,5) 469

14 - 17 89,0 (85,9-92,1) 89,0 (85,9-92,1) 495

NIVEAU D’EDUCATION***

Sans diplôme, primaire ou secondaire

88,3 (84,7-91,9) 88,1 (84,5-91,7) 394

Supérieur de type court 84,5 (79,6-89,4) 84,6 (79,8-89,4) 266

Supérieur de type long 76,7 (71,2-82,2) 76,1 (70,8-81,5) 283

REGION**** Flandre 82,4 (78,7-86,0) 82,1 (78,5-85,7) 547

Wallonie 87,4 (83,4-91,4) 87,3 (83,4-91,3) 337

TOTAL 83,8 (81,2-86,5) 964

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Niveau d’éducation le plus élevé du ménage (parents ou responsables de l’adolescent).

**** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 269: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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7.3. ADULTES (DE 18 À 64 ANS)

7.3.1. Activité physique

Tableau 107 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée (marche inclue) chez les adultes (de 18 à 64 ans), Belgique

IP_MPA_T Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 92,9 (87,0-98,8) 92,6 (86,8-98,5) 613

Femmes 89,4 (83,6-95,2) 88,8 (83,0-94,5) 652

AGE 18 - 34 83,0 (75,8-90,2) 82,9 (75,8-90,1) 486

35 - 50 94,9 (87,4-102,5) 94,7 (87,3-102,1) 426

51 - 64 95,4 (88,8-101,9) 95,1 (88,6-101,6) 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

104,1 (98,1-110,2) 104,9 (98,8-110,9) 570

Supérieur de type court 90,0 (82,5-97,5) 89,0 (81,5-96,6) 353

Supérieur de type long 72,8 (64,7-80,8) 73,4 (65,8-81,0) 327

REGION*** Flandre 85,6 (80,5-90,6) 85,1 (80,1-90,1) 732

Wallonie 106,6 (98,8-114,4) 105,9 (98,5-113,4) 436

TOTAL 91,1 (87,0-95,3) 1265

ANNEE 2004 63,8 (58,8-68,8) 63,9 (59,0-68,9) 1256

2014 91,1 (87,0-95,3) 90,8 (86,7-94,8) 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 270: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 108 | Durée (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée (marche inclue) chez les adultes (de 18 à 64 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique

IP_MPA_T Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 92,9 37,4 84,4 146,7 613

Femmes 89,4 39,5 81,8 133,0 652

AGE 18 - 34 83,0 30,3 69,6 129,0 486

35 - 50 94,9 37,4 84,1 151,6 426

51 - 64 95,4 51,6 89,1 134,3 353

NIVEAU D’EDUCATIONSans diplôme, primaire ou secondaire 104,1 52,3 99,3 157,1 570

Supérieur de type court 90,0 38,2 81,5 136,7 353

Supérieur de type long 72,8 27,2 58,6 102,9 327

REGION** Flandre 85,6 34,6 77,4 135,1 732

Wallonie 106,6 53,6 102,3 167,8 436

TOTAL 91,1 37,6 83,7 140,4 1265

ANNEE 2004 63,8 8,3 29,9 89,0 1256

2014 91,1 37,6 83,7 140,4 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 271: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 109 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité soutenue chez les adultes (de 18 à 64 ans), Belgique

IP_VPA_T Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 19,3 (16,8-21,8) 19,4 (16,9-21,8) 613

Femmes 10,3 (8,5-12,1) 10,4 (8,6-12,1) 652

AGE 18 - 34 17,9 (15,2-20,6) 17,9 (15,4-20,3) 486

35 - 50 16,0 (13,3-18,6) 15,8 (13,2-18,4) 426

51 - 64 10,1 (7,3-12,8) 10,1 (7,4-12,9) 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

15,9 (13,4-18,5) 16,6 (14,0-19,1) 570

Supérieur de type court 16,6 (13,4-19,7) 16,5 (13,5-19,4) 353

Supérieur de type long 11,6 (9,1-14,2) 11,7 (9,1-14,2) 327

REGION*** Flandre 14,1 (12,1-16,1) 14,3 (12,4-16,2) 732

Wallonie 17,2 (14,3-20,0) 16,9 (14,1-19,6) 436

TOTAL 14,8 (13,2-16,4) 1265

ANNEE 2004 13,5 (11,7-15,4) 13,4 (11,6-15,3) 1256

2014 14,8 (13,2-16,4) 14,9 (13,3-16,4) 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 272: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 110 | Durée (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité soutenue chez les adultes (de 18 à 64 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique

IP_VPA_T Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 19,3 0,0 0,0 32,8 613

Femmes 10,3 0,0 0,0 9,8 652

AGE 18 - 34 17,9 0,0 5,1 27,1 486

35 - 50 16,0 0,0 0,0 23,7 426

51 - 64 10,1 0,0 0,0 6,2 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

15,9 0,0 0,0 23,1 570

Supérieur de type court 16,6 0,0 0,0 23,2 353

Supérieur de type long 11,6 0,0 0,0 15,8 327

REGION** Flandre 14,1 0,0 0,0 18,5 732

Wallonie 17,2 0,0 0,0 26,8 436

TOTAL 14,8 0,0 0,0 19,7 1265

ANNEE 2004 13,5 0,0 0,0 12,4 1256

2014 14,8 0,0 0,0 19,7 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 273: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 111 | Durée moyenne (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les adultes (de 18 à 64 ans), Belgique

IP_MVPA_T Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 112,2 (105,4-119,0) 112,0 (105,2-118,8) 613

Femmes 99,7 (93,4-106,0) 99,1 (92,8-105,5) 652

AGE 18 - 34 100,9 (92,6-109,2) 100,8 (92,7-108,9) 486

35 - 50 110,9 (102,5-119,2) 110,5 (102,4-118,6) 426

51 - 64 105,4 (97,8-113,1) 105,2 (97,5-112,9) 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

120,0 (113,0-127,1) 121,4 (114,4-128,4) 570

Supérieur de type court 106,6 (98,0-115,2) 105,5 (96,9-114,1) 353

Supérieur de type long 84,4 (75,6-93,1) 85,1 (76,5-93,6) 327

REGION*** Flandre 99,7 (93,8-105,5) 99,4 (93,6-105,2) 732

Wallonie 123,8 (115,3-132,2) 122,8 (114,7-130,9) 436

TOTAL 106,0 (101,3-110,7) 1265

ANNEE 2004 77,3 (71,7-83,0) 77,4 (71,8-83,0) 1256

2014 106,0 (101,3-110,7) 105,6 (101,0-110,2) 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 274: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 112 | Durée (en minutes/jour) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue chez les adultes (de 18 à 64 ans) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique

IP_MVPA_T Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 112,2 50,2 99,4 173,6 613

Femmes 99,7 42,9 91,6 150,4 652

AGE 18 - 34 100,9 36,5 85,6 153,5 486

35 - 50 110,9 44,3 99,5 168,3 426

51 - 64 105,4 51,9 95,6 156,7 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

120,0 58,6 111,4 180,3 570

Supérieur de type court 106,6 44,2 91,7 166,6 353

Supérieur de type long 84,4 32,4 69,9 116,6 327

REGION** Flandre 99,7 43,2 87,0 150,2 732

Wallonie 123,8 64,0 120,3 190,3 436

TOTAL 106,0 45,7 95,6 162,7 1265

ANNEE 2004 77,3 14,3 42,9 108,5 1256

2014 106,0 45,7 95,6 162,7 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 113 | Distribution des adultes (de 18 à 64 ans) en fonction de leur activité physique, selon la classification de l’OMS, Belgique

IP_WHO_Cl_T Insuffisant* Suffisant* Impact positif sur la santé* N

SEXE Hommes 8,6 11,1 80,3 613

Femmes 9,7 12,9 77,5 652

AGE 18 - 34 11,4 14,0 74,6 486

35 - 50 7,3 12,6 80,1 426

51 - 64 8,8 9,1 82,1 353

NIVEAU D’EDUCATIONSans diplôme, primaire ou secondaire 9,0 7,4 83,6 570

Supérieur de type court 7,6 14,3 78,1 353

Supérieur de type long 11,4 16,1 72,5 327

REGION** Flandre 11,5 11,2 77,2 732

Wallonie 5,3 9,9 84,8 436

TOTAL 9,1 12,0 78,9 1265

ANNEE 2004 29,1 15,7 55,2 1256

2014 9,1 12,0 78,9 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pourcentages pondérés.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 114 | Pourcentage d’adultes (de 18 à 64 ans) ayant une activité physique suffisante selon la classification de l’OMS, Belgique

IP_WHO_Suff_T Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Hommes 91,4 (89,0-93,9) 91,4 (88,9-93,9) 613

Femmes 90,3 (87,5-93,2) 90,1 (87,2-93,0) 652

AGE 18 - 34 88,6 (85,2-92,0) 88,6 (85,2-91,9) 486

35 - 50 92,7 (89,5-95,8) 92,6 (89,5-95,8) 426

51 - 64 91,2 (87,8-94,6) 91,1 (87,6-94,5) 353

NIVEAU D’EDUCATIONSans diplôme, primaire ou secondaire 91,0 (88,3-93,8) 90,9 (88,1-93,7) 570

Supérieur de type court 92,4 (89,4-95,5) 92,1 (88,8-95,3) 353

Supérieur de type long 88,6 (84,2-92,9) 88,5 (84,3-92,8) 327

REGION*** Flandre 88,5 (85,7-91,3) 88,4 (85,6-91,1) 732

Wallonie 94,7 (92,7-96,8) 94,6 (92,5-96,7) 436

TOTAL 90,9 (89,0-92,8) 1265

ANNEE 2004 70,9 (67,9-73,9) 70,8 (67,8-73,8) 1256

2014 90,9 (89,0-92,8) 90,8 (88,9-92,7) 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 115 | Pourcentage d’adultes (de 18 à 64 ans) ayant une activité physique suffisante pour avoir un impact positif sur la santé selon la classification de l’OMS, Belgique

IP_WHO_Hepa_T Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Hommes 80,3 (76,8-83,9) 80,2 (76,7-83,8) 613

Femmes 77,5 (73,4-81,5) 77,1 (73,0-81,1) 652

AGE 18 - 34 74,6 (69,9-79,4) 74,6 (69,9-79,3) 486

35 - 50 80,1 (75,4-84,8) 80,0 (75,2-84,7) 426

51 - 64 82,1 (77,7-86,6) 82,0 (77,5-86,4) 353

NIVEAU D’EDUCATIONSans diplôme, primaire ou secondaire 83,6 (80,0-87,1) 83,6 (80,1-87,1) 570

Supérieur de type court 78,1 (73,0-83,3) 77,7 (72,6-82,8) 353

Supérieur de type long 72,5 (66,6-78,4) 72,6 (66,8-78,4) 327

REGION*** Flandre 77,2 (73,8-80,7) 76,9 (73,5-80,4) 732

Wallonie 84,8 (81,0-88,6) 84,8 (81,0-88,5) 436

TOTAL 78,9 (76,2-81,6) 1265

ANNEE 2004 55,2 (51,8-58,5) 55,1 (51,8-58,4) 1256

2014 78,9 (76,2-81,6) 78,7 (76,0-81,4) 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 116 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) utilisant des modes de transport actifs marchent lors de leurs déplacements, Belgique, 2014

IP_Walk_TR_sub Moyenne brute* IC 95% brut Moyenne

stand** IC 95% stand N

SEXE Hommes 159,1 (131,0-187,3) 158,9 (130,8-187,1) 377

Femmes 151,0 (129,9-172,1) 149,6 (129,3-169,9) 446

AGE 18 - 34 151,0 (116,6-185,5) 151,5 (116,2-186,9) 342

35 - 50 147,5 (123,4-171,6) 147,4 (123,5-171,3) 237

51 - 64 166,2 (135,9-196,4) 166,2 (136,4-195,9) 244

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

187,4 (155,5-219,2) 191,2 (159,9-222,4) 367

Supérieur de type court 131,9 (102,2-161,6) 130,2 (104,8-155,6) 207

Supérieur de type long 128,9 (106,3-151,4) 130,6 (108,2-153,1) 238

REGION*** Flandre 117,7 (96,2-139,2) 118,3 (96,0-140,6) 487

Wallonie 216,8 (180,5-253,2) 214,4 (180,5-248,4) 254

TOTAL 154,8 (137,5-172,2) 823

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 117 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) utilisant des modes de transport actifs marchent lors de leurs déplacements : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_Walk_TR_sub Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 159,1 25,1 84,9 204,7 377

Femmes 151,0 27,5 86,7 208,7 446

AGE 18 - 34 151,0 28,2 71,1 201,5 342

35 - 50 147,5 18,5 96,4 209,0 237

51 - 64 166,2 26,2 89,8 205,9 244

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

187,4 28,4 117,4 239,1 367

Supérieur de type court 131,9 26,9 67,9 178,6 207

Supérieur de type long 128,9 18,8 71,5 201,0 238

REGION** Flandre 117,7 0,0 58,1 148,7 487

Wallonie 216,8 59,7 151,0 278,4 254

TOTAL 154,8 27,2 87,5 208,7 823

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 118 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) utilisant des modes de transport actifs font du vélo lors de leurs déplacements, Belgique, 2014

IP_Mod_TR_sub Moyenne brute* IC 95% brut Moyenne

stand** IC 95% stand N

SEXE Hommes 56,2 (43,3-69,2) 56,1 (43,3-69,0) 377

Femmes 46,6 (35,6-57,7) 45,2 (34,9-55,6) 446

AGE 18 - 34 52,7 (37,1-68,2) 53,1 (37,3-68,9) 342

35 - 50 42,8 (31,2-54,4) 42,7 (31,2-54,1) 237

51 - 64 57,8 (41,7-73,8) 57,8 (42,1-73,4) 244

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

44,3 (31,7-56,8) 40,5 (29,8-51,3) 367

Supérieur de type court 56,5 (39,9-73,0) 53,7 (38,9-68,4) 207

Supérieur de type long 56,3 (40,1-72,4) 55,7 (40,0-71,3) 238

REGION*** Flandre 74,4 (61,9-86,8) 73,4 (61,3-85,6) 487

Wallonie 14,8 (2,8-26,9) 13,8 (2,9-24,7) 254

TOTAL 51,2 (42,7-59,6) 823

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 119 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) utilisant des modes de transport actifs font du vélo lors de leurs déplacements : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_Mod_TR_sub Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 56,2 0,0 0,0 77,0 377

Femmes 46,6 0,0 0,0 51,2 446

AGE 18 - 34 52,7 0,0 0,0 59,8 342

35 - 50 42,8 0,0 0,0 58,2 237

51 - 64 57,8 0,0 0,0 59,1 244

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

44,3 0,0 0,0 55,4 367

Supérieur de type court 56,5 0,0 0,0 57,8 207

Supérieur de type long 56,3 0,0 0,0 79,0 238

REGION** Flandre 74,4 0,0 18,9 98,5 487

Wallonie 14,8 0,0 0,0 0,0 254

TOTAL 51,2 0,0 0,0 59,7 823

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 282: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 120 | Durée moyenne (en minutes/semaine) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue ayant lieu lors des déplacements chez les adultes (de 18 à 64 ans) utilisant des modes de transport actifs, Belgique, 2014

IP_MVPA_TR_sub Moyenne brute* IC 95% brut Moyenne

stand** IC 95% stand N

SEXE Hommes 215,4 (184,9-245,9) 215,1 (184,7-245,4) 377

Femmes 197,6 (174,4-220,8) 194,8 (172,8-216,9) 446

AGE 18 - 34 203,7 (166,1-241,3) 204,6 (166,2-243,1) 342

35 - 50 190,3 (164,3-216,3) 190,1 (164,5-215,7) 237

51 - 64 224,0 (190,9-257,0) 223,9 (191,9-256,0) 244

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

231,6 (196,7-266,5) 231,7 (198,5-264,9) 367

Supérieur de type court 188,4 (156,8-219,9) 183,9 (156,6-211,2) 207

Supérieur de type long 185,1 (158,9-211,3) 186,3 (160,4-212,2) 238

REGION*** Flandre 192,1 (168,3-215,8) 191,7 (168,0-215,4) 487

Wallonie 231,7 (189,7-273,7) 228,3 (189,0-267,5) 254

TOTAL 206,0 (187,0-225,0) 823

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 121 | Durée (en minutes/semaine) des activités physiques d’intensité modérée à soutenue ayant lieu lors des déplacements chez les adultes (de 18 à 64 ans) utilisant des modes de transport actifs : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_MVPA_TR_sub Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 215,4 59,8 149,0 293,2 377

Femmes 197,6 58,7 119,3 262,2 446

AGE 18 - 34 203,7 59,7 136,0 237,8 342

35 - 50 190,3 59,1 139,7 270,3 237

51 - 64 224,0 62,6 139,2 295,0 244

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

231,6 62,4 148,4 293,5 367

Supérieur de type court 188,4 59,2 118,8 236,9 207

Supérieur de type long 185,1 59,0 135,3 239,6 238

REGION** Flandre 192,1 58,9 118,7 259,9 487

Wallonie 231,7 65,7 160,0 292,8 254

TOTAL 206,0 59,6 139,2 277,2 823

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 122 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) marchent lors de leur temps libre (parmi les adultes ayant une activité physique lors de leur temps libre), Belgique, 2014

IP_Walk_LT_sub Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 118,6 (100,0-137,2) 119,1 (100,6-137,6) 419

Femmes 143,2 (117,6-168,7) 143,0 (117,3-168,6) 431

AGE 18 - 34 128,3 (95,5-161,1) 128,1 (95,8-160,5) 332

35 - 50 126,2 (103,2-149,3) 127,2 (103,7-150,8) 286

51 - 64 139,6 (114,6-164,7) 139,1 (114,9-163,3) 232

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

140,9 (116,8-165,1) 146,5 (121,1-171,8) 350

Supérieur de type court 123,9 (92,8-155,0) 125,8 (91,2-160,5) 254

Supérieur de type long 125,9 (97,1-154,7) 133,3 (103,9-162,6) 233

REGION*** Flandre 105,2 (88,9-121,5) 103,7 (88,0-119,3) 474

Wallonie 179,2 (142,2-216,1) 179,7 (144,8-214,7) 297

TOTAL 130,9 (115,1-146,7) 850

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 285: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 123 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) marchent lors de leur temps libre (parmi les adultes ayant une activité physique lors de leur temps libre) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_Walk_LT_sub Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 118,6 0,0 58,5 177,9 419

Femmes 143,2 0,0 59,7 178,8 431

AGE 18 - 34 128,3 0,0 48,1 178,4 332

35 - 50 126,2 0,0 58,1 177,7 286

51 - 64 139,6 0,0 83,6 179,0 232

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

140,9 0,0 59,0 179,5 350

Supérieur de type court 123,9 0,0 59,4 161,8 254

Supérieur de type long 125,9 0,0 59,5 178,4 233

REGION** Flandre 105,2 0,0 44,4 138,2 474

Wallonie 179,2 18,2 87,5 252,0 297

TOTAL 130,9 0,0 59,7 179,0 850

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 124 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant une activité physique lors de leur temps libre effectuent des activités physiques d’intensité modérée (marche inclue) pendant ce temps libre, Belgique, 2014

IP_MPA_LT_sub Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 177,4 (153,1-201,6) 179,3 (154,7-203,9) 419

Femmes 198,4 (169,7-227,2) 197,6 (168,8-226,3) 431

AGE 18 - 34 179,4 (140,8-218,0) 179,4 (140,8-218,0) 332

35 - 50 175,5 (150,0-201,1) 177,7 (151,1-204,4) 286

51 - 64 212,9 (180,0-245,8) 212,4 (180,9-244,0) 232

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

193,7 (164,8-222,6) 195,3 (166,7-224,0) 350

Supérieur de type court 178,6 (141,5-215,6) 180,8 (139,0-222,6) 254

Supérieur de type long 188,6 (155,0-222,3) 198,7 (163,6-233,8) 233

REGION*** Flandre 165,4 (145,0-185,9) 163,4 (144,4-182,5) 474

Wallonie 224,8 (183,8-265,8) 225,5 (186,3-264,6) 297

TOTAL 187,9 (169,1-206,7) 850

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 125 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant une activité physique lors de leur temps libre effectuent des activités physiques d’intensité modérée (marche inclue) pendant ce temps libre : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_MPA_LT_sub Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 177,4 29,5 114,6 238,8 419

Femmes 198,4 43,6 119,0 238,8 431

AGE 18 - 34 179,4 17,0 89,2 232,2 332

35 - 50 175,5 38,2 118,9 238,8 286

51 - 64 212,9 58,9 125,0 302,2 232

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

193,7 29,8 118,8 263,9 350

Supérieur de type court 178,6 36,0 111,4 203,4 254

Supérieur de type long 188,6 29,1 119,2 239,8 233

REGION** Flandre 165,4 29,6 118,9 203,9 474

Wallonie 224,8 29,7 117,8 354,9 297

TOTAL 187,9 29,9 119,1 239,3 850

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 126 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant une activité physique lors de leur temps libre effectuent des activités physiques d’intensité soutenue pendant ce temps libre, Belgique, 2014

IP_VPA_LT_sub Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 107,7 (88,2-127,2) 107,9 (89,1-126,7) 419

Femmes 59,4 (47,1-71,8) 60,2 (47,8-72,6) 431

AGE 18 - 34 121,2 (98,2-144,1) 121,5 (99,8-143,1) 332

35 - 50 71,8 (54,9-88,7) 70,5 (53,6-87,3) 286

51 - 64 54,3 (35,7-72,9) 56,1 (36,4-75,8) 232

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

71,5 (53,6-89,5) 69,5 (53,6-85,4) 350

Supérieur de type court 79,9 (60,4-99,4) 82,3 (63,5-101,0) 254

Supérieur de type long 103,9 (79,5-128,2) 106,4 (79,6-133,2) 233

REGION*** Flandre 84,1 (68,6-99,5) 87,4 (72,0-102,8) 474

Wallonie 80,1 (61,7-98,6) 78,1 (59,9-96,3) 297

TOTAL 83,5 (71,8-95,3) 850

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 289: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 127 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant une activité physique lors de leur temps libre effectuent des activités physiques d’intensité soutenue pendant ce temps libre : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_VPA_LT_sub Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 107,7 0,0 0,0 172,7 419

Femmes 59,4 0,0 0,0 69,3 431

AGE 18 - 34 121,2 0,0 55,1 174,7 332

35 - 50 71,8 0,0 0,0 89,0 286

51 - 64 54,3 0,0 0,0 23,8 232

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

71,5 0,0 0,0 66,5 350

Supérieur de type court 79,9 0,0 0,0 91,0 254

Supérieur de type long 103,9 0,0 46,6 171,5 233

REGION** Flandre 84,1 0,0 0,0 111,7 474

Wallonie 80,1 0,0 0,0 89,9 297

TOTAL 83,5 0,0 0,0 111,4 850

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 290: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 128 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant une activité physique lors de leur temps libre effectuent des activités physiques d’intensité modérée à soutenue pendant ce temps libre, Belgique, 2014

IP_MVPA_LT_sub Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 285,1 (253,5-316,6) 287,2 (255,6-318,7) 419

Femmes 257,9 (226,4-289,4) 257,8 (226,4-289,2) 431

AGE 18 - 34 300,6 (253,4-347,8) 300,9 (254,3-347,5) 332

35 - 50 247,3 (220,1-274,6) 248,2 (220,2-276,3) 286

51 - 64 267,3 (228,5-306,0) 268,5 (229,7-307,3) 232

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

265,2 (232,5-297,9) 264,8 (233,0-296,7) 350

Supérieur de type court 258,5 (214,9-302,0) 263,0 (215,2-310,9) 254

Supérieur de type long 292,5 (250,0-335,0) 305,1 (257,7-352,5) 233

REGION*** Flandre 249,5 (224,3-274,7) 250,9 (225,5-276,2) 474

Wallonie 305,0 (261,9-348,1) 303,6 (263,0-344,2) 297

TOTAL 271,5 (249,1-293,8) 850

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 291: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 129 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant une activité physique lors de leur temps libre effectuent des activités physiques d’intensité modérée à soutenue pendant ce temps libre : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_MVPA_LT_sub Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 285,1 101,3 188,5 387,9 419

Femmes 257,9 71,3 149,5 343,6 431

AGE 18 - 34 300,6 86,5 192,7 389,2 332

35 - 50 247,3 85,4 178,3 355,3 286

51 - 64 267,3 84,0 167,4 348,0 232

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

265,2 77,0 176,5 358,0 350

Supérieur de type court 258,5 79,7 146,8 333,7 254

Supérieur de type long 292,5 106,2 208,5 411,2 233

REGION** Flandre 249,5 87,2 169,5 328,0 474

Wallonie 305,0 78,6 208,9 438,4 297

TOTAL 271,5 86,6 177,3 358,2 850

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 292: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 130 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant un emploi marchent lors de leurs occupations professionnelles, Belgique, 2014

IP_Walk_WO_sub Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 214,3 (183,8-244,7) 211,0 (180,1-241,9) 449

Femmes 127,4 (103,2-151,6) 131,6 (106,4-156,8) 422

AGE 18 - 34 183,1 (147,6-218,6) 180,7 (145,1-216,3) 312

35 - 50 172,4 (142,2-202,6) 168,2 (140,3-196,0) 377

51 - 64 165,2 (122,6-207,7) 164,5 (123,2-205,7) 182

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

244,7 (206,4-282,9) 234,3 (198,1-270,4) 326

Supérieur de type court 173,4 (138,2-208,7) 174,7 (138,9-210,6) 271

Supérieur de type long 98,6 (69,8-127,4) 95,0 (68,4-121,6) 268

REGION*** Flandre 132,7 (109,2-156,3) 135,2 (111,9-158,6) 527

Wallonie 270,5 (229,5-311,5) 255,8 (219,2-292,4) 277

TOTAL 174,1 (153,9-194,2) 871

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 293: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 131 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant un emploi marchent lors de leurs occupations professionnelles : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_Walk_WO_sub Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 214,3 0,0 23,5 500,6 449

Femmes 127,4 0,0 0,0 141,9 422

AGE 18 - 34 183,1 0,0 0,0 403,3 312

35 - 50 172,4 0,0 0,0 294,2 377

51 - 64 165,2 0,0 0,0 281,4 182

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

244,7 0,0 47,4 579,7 326

Supérieur de type court 173,4 0,0 7,4 292,5 271

Supérieur de type long 98,6 0,0 0,0 79,8 268

REGION** Flandre 132,7 0,0 0,0 149,2 527

Wallonie 270,5 0,0 197,0 578,0 277

TOTAL 174,1 0,0 0,0 297,8 871

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 294: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 132 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant un emploi effectuent des activités physiques d’intensité modérée (marche inclue) lors de leurs occupations professionnelles, Belgique, 2014

IP_MPA_WO_sub Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 428,1 (378,0-478,2) 432,3 (380,6-484,0) 449

Femmes 264,8 (225,3-304,3) 272,7 (233,2-312,1) 422

AGE 18 - 34 404,5 (347,5-461,5) 397,0 (340,3-453,7) 312

35 - 50 318,3 (269,2-367,3) 312,3 (266,0-358,6) 377

51 - 64 351,7 (281,1-422,2) 349,8 (282,0-417,7) 182

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

513,8 (449,7-578,0) 495,4 (436,0-554,9) 326

Supérieur de type court 346,4 (291,6-401,1) 348,4 (295,0-401,7) 271

Supérieur de type long 178,4 (137,0-219,8) 178,2 (136,8-219,6) 268

REGION*** Flandre 315,6 (274,8-356,5) 321,4 (281,4-361,3) 527

Wallonie 473,4 (407,4-539,5) 464,3 (402,5-526,0) 277

TOTAL 352,5 (319,4-385,6) 871

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 133 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant un emploi effectuent des activités physiques d’intensité modérée (marche inclue) lors de leurs occupations professionnelles : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_MPA_WO_sub Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 428,1 0,0 245,7 694,0 449

Femmes 264,8 0,0 30,1 538,8 422

AGE 18 - 34 404,5 0,0 239,9 650,5 312

35 - 50 318,3 0,0 59,3 588,4 377

51 - 64 351,7 0,0 179,6 593,3 182

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

513,8 0,0 553,6 899,9 326

Supérieur de type court 346,4 0,0 185,5 590,2 271

Supérieur de type long 178,4 0,0 0,0 255,4 268

REGION** Flandre 315,6 0,0 55,0 590,6 527

Wallonie 473,4 0,0 343,7 788,8 277

TOTAL 352,5 0,0 144,2 596,0 871

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 296: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 134 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant un emploi effectuent des activités physiques d’intensité soutenue lors de leurs occupations professionnelles, Belgique, 2014

IP_VPA_WO_sub Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 126,1 (102,0-150,2) 125,2 (100,5-149,9) 449

Femmes 74,7 (55,3-94,1) 74,1 (54,1-94,2) 422

AGE 18 - 34 104,9 (78,4-131,5) 100,3 (75,5-125,1) 312

35 - 50 103,3 (80,1-126,5) 101,7 (79,2-124,3) 377

51 - 64 96,8 (60,3-133,3) 96,6 (60,2-133,1) 182

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

162,3 (130,7-193,9) 154,2 (124,3-184,2) 326

Supérieur de type court 110,7 (81,2-140,2) 109,7 (79,0-140,5) 271

Supérieur de type long 30,3 (15,7-44,9) 29,3 (14,8-43,8) 268

REGION*** Flandre 92,8 (73,5-112,1) 91,8 (72,6-110,9) 527

Wallonie 144,4 (110,9-177,9) 139,2 (105,6-172,8) 277

TOTAL 102,3 (86,5-118,2) 871

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 135 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant un emploi effectuent des activités physiques d’intensité soutenue lors de leurs occupations professionnelles : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_VPA_WO_sub Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 126,1 0,0 0,0 112,0 449

Femmes 74,7 0,0 0,0 0,0 422

AGE 18 - 34 104,9 0,0 0,0 41,6 312

35 - 50 103,3 0,0 0,0 0,0 377

51 - 64 96,8 0,0 0,0 0,0 182

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

162,3 0,0 0,0 294,1 326

Supérieur de type court 110,7 0,0 0,0 66,7 271

Supérieur de type long 30,3 0,0 0,0 0,0 268

REGION** Flandre 92,8 0,0 0,0 0,0 527

Wallonie 144,4 0,0 0,0 236,9 277

TOTAL 102,3 0,0 0,0 0,0 871

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 136 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant un emploi effectuent des activités physiques d’intensité modérée à soutenue lors de leurs occupations professionnelles, Belgique, 2014

IP_MVPA_WO_sub Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 554,2 (489,0-619,4) 557,5 (489,8-625,2) 449

Femmes 339,5 (290,6-388,4) 346,8 (298,7-394,9) 422

AGE 18 - 34 509,4 (438,7-580,2) 497,3 (428,3-566,2) 312

35 - 50 421,6 (357,8-485,3) 414,0 (353,6-474,5) 377

51 - 64 448,5 (356,4-540,6) 446,5 (357,0-536,0) 182

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

676,1 (592,9-759,4) 649,7 (572,9-726,4) 326

Supérieur de type court 457,0 (385,7-528,4) 458,1 (387,4-528,8) 271

Supérieur de type long 208,7 (161,5-256,0) 207,5 (159,8-255,3) 268

REGION*** Flandre 408,4 (356,4-460,4) 413,1 (362,5-463,8) 527

Wallonie 617,9 (532,6-703,1) 603,5 (524,4-682,5) 277

TOTAL 454,9 (412,4-497,3) 871

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 137 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) ayant un emploi effectuent des activités physiques d’intensité modérée à soutenue lors de leurs occupations professionnelles : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_MVPA_WO_sub Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 554,2 0,0 349,4 1125,0 449

Femmes 339,5 0,0 57,1 582,3 422

AGE 18 - 34 509,4 0,0 337,6 948,0 312

35 - 50 421,6 0,0 88,9 713,3 377

51 - 64 448,5 0,0 205,6 651,3 182

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

676,1 0,0 590,3 1188,8 326

Supérieur de type court 457,0 0,0 235,9 755,5 271

Supérieur de type long 208,7 0,0 0,0 307,8 268

REGION** Flandre 408,4 0,0 119,5 604,4 527

Wallonie 617,9 0,0 532,4 1131,1 277

TOTAL 454,9 0,0 189,4 749,3 871

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 138 | Durée moyenne (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) effectuent des activités physiques d’intensité modérée à soutenue liées aux tâches ménagères ou au jardinage (parmi les adultes effectuant de telles tâches), Belgique, 2014

IP_MVPA_HW_sub Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 343,6 (296,6-390,7) 336,6 (293,8-379,4) 411

Femmes 409,3 (374,0-444,6) 398,6 (365,2-432,1) 529

AGE 18 - 34 269,6 (233,9-305,4) 268,0 (232,5-303,5) 322

35 - 50 421,4 (365,8-477,1) 420,7 (363,8-477,5) 335

51 - 64 429,6 (384,5-474,7) 421,5 (377,1-465,9) 283

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

438,4 (390,9-485,8) 432,7 (386,3-479,1) 422

Supérieur de type court 358,6 (311,5-405,6) 341,7 (298,9-384,6) 277

Supérieur de type long 312,5 (263,3-361,6) 307,6 (263,3-352,0) 228

REGION*** Flandre 368,3 (330,1-406,5) 356,2 (320,6-391,8) 545

Wallonie 435,1 (387,5-482,8) 422,5 (379,6-465,4) 334

TOTAL 379,2 (350,5-407,9) 940

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 301: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 139 | Durée (en minutes/semaine) pendant laquelle les adultes (de 18 à 64 ans) effectuent des activités physiques d’intensité modérée à soutenue liées aux tâches ménagères ou au jardinage (parmi les adultes effectuant de telles tâches) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_MVPA_HW_sub Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 343,6 71,0 223,6 477,9 411

Femmes 409,3 149,4 299,6 621,8 529

AGE 18 - 34 269,6 59,5 178,6 359,1 322

35 - 50 421,4 114,3 295,8 624,8 335

51 - 64 429,6 174,9 345,5 660,9 283

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

438,4 148,3 358,2 718,2 422

Supérieur de type court 358,6 111,6 239,1 477,9 277

Supérieur de type long 312,5 69,9 221,7 447,3 228

REGION** Flandre 368,3 106,7 265,5 513,5 545

Wallonie 435,1 175,6 310,4 676,7 334

TOTAL 379,2 109,4 267,9 540,0 940

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 302: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 140 | Proportion moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui sont effectuées par les adultes (de 18 à 64 ans) lors de leurs déplacements, Belgique, 2014

IP_Tran_perProportion moyenne

brute*

IC 95% brut

Proportion moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 18,7 (16,0-21,4) 18,8 (16,2-21,5) 613

Femmes 20,1 (17,5-22,8) 20,3 (17,6-22,9) 652

AGE 18 - 34 23,0 (19,6-26,4) 23,0 (19,7-26,4) 486

35 - 50 15,7 (12,7-18,8) 15,8 (12,7-18,9) 426

51 - 64 20,0 (16,7-23,2) 20,0 (16,7-23,3) 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

18,5 (16,0-21,0) 18,1 (15,7-20,6) 570

Supérieur de type court 16,0 (12,8-19,3) 16,3 (12,9-19,7) 353

Supérieur de type long 24,4 (20,1-28,7) 24,5 (20,3-28,8) 327

REGION*** Flandre 19,8 (17,2-22,3) 20,1 (17,5-22,7) 732

Wallonie 15,5 (12,8-18,2) 15,6 (12,9-18,3) 436

TOTAL 19,4 (17,5-21,3) 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 303: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 141 | Proportion des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui sont effectuées par les adultes (de 18 à 64 ans) lors de leurs déplacements : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_Tran_per Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 18,7 0,0 6,6 26,9 613

Femmes 20,1 0,0 9,3 32,4 652

AGE 18 - 34 23,0 0,0 10,8 37,0 486

35 - 50 15,7 0,0 3,8 21,1 426

51 - 64 20,0 0,0 9,8 29,2 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

18,5 0,0 8,0 28,0 570

Supérieur de type court 16,0 0,0 3,9 18,7 353

Supérieur de type long 24,4 0,0 13,5 36,6 327

REGION** Flandre 19,8 0,0 7,9 29,5 732

Wallonie 15,5 0,0 4,4 20,5 436

TOTAL 19,4 0,0 8,1 29,2 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 304: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 142 | Proportion moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui sont effectuées par les adultes (de 18 à 64 ans) lors de leur temps libre, Belgique, 2014

IP_LeTi_perProportion moyenne

brute*

IC 95% brut

Proportion moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 24,4 (21,7-27,1) 24,5 (21,8-27,1) 613

Femmes 22,5 (19,8-25,2) 22,6 (20,0-25,3) 652

AGE 18 - 34 26,7 (23,5-29,9) 26,7 (23,5-29,8) 486

35 - 50 22,9 (19,4-26,4) 22,9 (19,4-26,4) 426

51 - 64 20,6 (17,7-23,4) 20,6 (17,7-23,5) 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

17,5 (15,3-19,8) 17,6 (15,3-19,9) 570

Supérieur de type court 22,6 (19,3-25,9) 22,8 (19,4-26,2) 353

Supérieur de type long 32,6 (28,3-36,9) 32,3 (28,4-36,3) 327

REGION*** Flandre 22,5 (20,3-24,8) 22,5 (20,3-24,7) 732

Wallonie 22,8 (18,7-26,8) 23,2 (19,4-27,1) 436

TOTAL 23,4 (21,5-25,3) 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 305: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 143 | Proportion des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui sont effectuées par les adultes (de 18 à 64 ans) lors de leur temps libre : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_LeTi_per Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 24,4 0,0 12,6 41,1 613

Femmes 22,5 0,0 12,5 37,1 652

AGE 18 - 34 26,7 0,0 19,5 48,5 486

35 - 50 22,9 0,0 10,4 33,8 426

51 - 64 20,6 0,0 10,5 33,7 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

17,5 0,0 6,2 26,1 570

Supérieur de type court 22,6 0,0 13,0 32,6 353

Supérieur de type long 32,6 0,0 25,0 51,8 327

REGION** Flandre 22,5 0,0 11,0 36,9 732

Wallonie 22,8 0,0 9,1 34,5 436

TOTAL 23,4 0,0 12,6 38,4 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 144 | Proportion moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui sont effectuées par les adultes (de 18 à 64 ans) lors de leurs occupations professionnelles, Belgique, 2014

IP_Work_perProportion moyenne

brute*

IC 95% brut

Proportion moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 30,7 (27,2-34,2) 30,6 (27,1-34,1) 613

Femmes 17,3 (14,9-19,8) 17,5 (15,0-20,0) 652

AGE 18 - 34 25,7 (21,9-29,4) 25,6 (22,0-29,2) 486

35 - 50 27,0 (23,2-30,7) 26,7 (23,1-30,3) 426

51 - 64 18,8 (14,8-22,7) 19,0 (15,0-23,0) 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

27,7 (24,1-31,4) 28,1 (24,4-31,7) 570

Supérieur de type court 27,0 (23,0-31,1) 27,0 (23,1-31,0) 353

Supérieur de type long 15,6 (12,2-18,9) 15,1 (12,0-18,2) 327

REGION*** Flandre 23,5 (20,6-26,4) 23,6 (20,7-26,4) 732

Wallonie 27,5 (23,6-31,5) 27,0 (23,3-30,8) 436

TOTAL 24,1 (21,9-26,3) 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 145 | Proportion des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui sont effectuées par les adultes (de 18 à 64 ans) lors de leurs occupations professionnelles : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_Work_per Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 30,7 0,0 2,7 67,2 613

Femmes 17,3 0,0 0,0 33,5 652

AGE 18 - 34 25,7 0,0 0,0 52,9 486

35 - 50 27,0 0,0 2,7 55,2 426

51 - 64 18,8 0,0 0,0 34,7 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

27,7 0,0 0,0 61,5 570

Supérieur de type court 27,0 0,0 2,6 55,7 353

Supérieur de type long 15,6 0,0 0,0 26,6 327

REGION** Flandre 23,5 0,0 0,0 49,3 732

Wallonie 27,5 0,0 0,0 60,6 436

TOTAL 24,1 0,0 0,0 49,9 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 146 | Proportion moyenne des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui sont effectuées par les adultes (de 18 à 64 ans) pendant leurs tâches ménagères, Belgique, 2014

IP_Home_perProportion moyenne

brute*

IC 95% brut

Proportion moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 24,3 (21,2-27,5) 24,2 (21,2-27,2) 613

Femmes 38,1 (35,0-41,2) 37,7 (34,6-40,7) 652

AGE 18 - 34 22,6 (19,7-25,5) 22,6 (19,7-25,6) 486

35 - 50 33,0 (28,8-37,1) 33,2 (29,1-37,4) 426

51 - 64 38,3 (34,3-42,2) 37,9 (34,0-41,8) 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

34,3 (30,5-38,0) 34,1 (30,4-37,8) 570

Supérieur de type court 31,5 (27,8-35,2) 31,1 (27,7-34,5) 353

Supérieur de type long 26,5 (22,5-30,4) 27,0 (23,3-30,7) 327

REGION*** Flandre 31,7 (28,8-34,6) 31,4 (28,6-34,1) 732

Wallonie 32,6 (28,8-36,4) 32,5 (29,0-36,1) 436

TOTAL 31,2 (28,9-33,4) 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 147 | Proportion des activités physiques d’intensité modérée à soutenue qui sont effectuées par les adultes (de 18 à 64 ans) pendant leurs tâches ménagères: moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_Home_per Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 24,3 0,0 12,9 38,4 613

Femmes 38,1 9,0 32,4 65,0 652

AGE 18 - 34 22,6 0,0 11,5 36,0 486

35 - 50 33,0 2,4 22,5 54,2 426

51 - 64 38,3 8,0 30,8 66,2 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

34,3 2,4 25,4 60,8 570

Supérieur de type court 31,5 2,9 22,5 54,1 353

Supérieur de type long 26,5 0,0 15,7 43,2 327

REGION** Flandre 31,7 2,1 24,1 51,8 732

Wallonie 32,6 2,4 22,3 58,1 436

TOTAL 31,2 0,0 21,7 52,2 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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7.3.2. Sédentarité

Tableau 148 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise en semaine (à l’exception des déplacements), Belgique, 2014

IP_T5SBSTD_tot Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 370,7 (350,8-390,6) 371,0 (351,1-391,0) 613

Femmes 362,0 (338,8-385,3) 363,1 (340,1-386,2) 652

AGE 18 - 34 377,0 (353,5-400,4) 376,9 (353,5-400,3) 486

35 - 50 372,4 (342,9-401,9) 372,7 (342,9-402,4) 426

51 - 64 347,6 (322,9-372,3) 348,4 (323,8-372,9) 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

316,5 (296,1-337,0) 312,3 (292,8-331,8) 570

Supérieur de type court 376,0 (341,8-410,2) 377,5 (345,8-409,3) 353

Supérieur de type long 434,3 (409,0-459,6) 431,5 (405,9-457,1) 327

REGION*** Flandre 383,2 (365,5-401,0) 384,6 (367,5-401,8) 732

Wallonie 318,2 (294,7-341,8) 318,3 (295,9-340,7) 436

TOTAL 366,4 (351,1-381,7) 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 149 | Durée (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise en semaine (à l’exception des déplacements) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_T5SBSTD_tot Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 370,7 179,5 322,4 518,5 613

Femmes 362,0 176,1 322,7 474,1 652

AGE 18 - 34 377,0 200,1 342,0 529,4 486

35 - 50 372,4 168,3 330,5 519,2 426

51 - 64 347,6 179,1 297,0 463,0 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

316,5 161,3 239,8 409,1 570

Supérieur de type court 376,0 202,5 299,1 518,7 353

Supérieur de type long 434,3 279,1 443,8 576,6 327

REGION** Flandre 383,2 203,8 339,2 533,9 732

Wallonie 318,2 163,5 242,3 438,4 436

TOTAL 366,4 178,0 323,7 501,9 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 312: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 150 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise le week-end (à l’exception des déplacements), Belgique, 2014

IP_T2SBSTD_tot Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 308,3 (291,0-325,6) 309,2 (292,0-326,4) 613

Femmes 284,9 (271,0-298,8) 284,8 (271,0-298,5) 652

AGE 18 - 34 307,6 (286,1-329,0) 307,5 (286,3-328,7) 486

35 - 50 270,5 (254,1-287,0) 270,2 (253,8-286,6) 426

51 - 64 316,9 (297,7-336,0) 317,8 (298,4-337,2) 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

290,4 (272,8-308,0) 285,0 (268,1-302,0) 570

Supérieur de type court 311,2 (288,9-333,6) 311,4 (289,2-333,7) 353

Supérieur de type long 291,4 (273,3-309,5) 297,9 (279,1-316,7) 327

REGION*** Flandre 312,0 (296,9-327,2) 312,3 (297,5-327,0) 732

Wallonie 270,2 (253,7-286,7) 272,8 (256,3-289,4) 436

TOTAL 296,7 (285,5-307,8) 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 313: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 151 | Durée (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise le week-end (à l’exception des déplacements) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_T2SBSTD_tot Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 308,3 168,8 272,3 377,1 613

Femmes 284,9 167,9 238,1 346,1 652

AGE 18 - 34 307,6 164,8 266,2 402,2 486

35 - 50 270,5 160,9 233,2 297,9 426

51 - 64 316,9 175,9 284,5 376,2 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

290,4 163,7 238,6 354,4 570

Supérieur de type court 311,2 173,4 272,4 371,9 353

Supérieur de type long 291,4 172,1 239,3 344,4 327

REGION** Flandre 312,0 173,4 275,0 374,1 732

Wallonie 270,2 162,8 234,5 335,9 436

TOTAL 296,7 169,7 246,9 354,3 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 314: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 152 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise (à l’exception des déplacements), Belgique

IP_TSSBD_T Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 352,9 (335,2-370,5) 353,4 (335,8-371,0) 613

Femmes 340,0 (321,6-358,4) 340,7 (322,4-359,0) 652

AGE 18 - 34 357,1 (336,3-377,9) 357,1 (336,3-377,8) 486

35 - 50 343,3 (320,1-366,5) 343,4 (320,0-366,8) 426

51 - 64 338,8 (317,5-360,1) 339,6 (318,4-360,9) 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

309,1 (291,0-327,2) 304,5 (287,3-321,7) 570

Supérieur de type court 357,5 (330,1-384,9) 358,7 (332,6-384,7) 353

Supérieur de type long 393,5 (372,7-414,3) 393,3 (372,0-414,6) 327

REGION*** Flandre 362,9 (347,2-378,6) 363,9 (348,8-379,0) 732

Wallonie 304,5 (285,0-324,1) 305,3 (286,6-324,0) 436

TOTAL 346,5 (333,8-359,2) 1265

ANNEE 2004 406,9 (393,8-420,0) 407,9 (395,0-420,8) 1256

2014 346,5 (333,8-359,2) 347,0 (334,4-359,6) 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 315: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 153 | Durée (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise (à l’exception des déplacements) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique

IP_TSSBD_T Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 352,9 211,6 317,1 477,6 613

Femmes 340,0 201,0 308,6 443,6 652

AGE 18 - 34 357,1 209,0 332,7 501,5 486

35 - 50 343,3 179,9 308,6 471,4 426

51 - 64 338,8 212,0 298,5 428,0 353

NIVEAU D’EDUCATIONSans diplôme, primaire ou secondaire 309,1 177,3 271,9 405,8 570

Supérieur de type court 357,5 214,2 299,9 476,8 353

Supérieur de type long 393,5 275,3 397,1 504,1 327

REGION** Flandre 362,9 214,3 346,7 502,0 732

Wallonie 304,5 178,0 270,4 417,6 436

TOTAL 346,5 204,4 308,6 471,4 1265

ANNEE 2004 406,9 238,3 359,9 535,0 1256

2014 346,5 204,4 308,6 471,4 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 316: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 154 | Pourcentage d’adultes (de 18 à 64 ans) qui passent, en moyenne, plus de 8 heures par jour en position assise, Belgique

IP_sit_Cl_T Taux brut* (%)

IC 95% brut

Taux stand** (%)

IC 95% stand N

SEXE Hommes 24,0 (19,8-28,2) 24,2 (20,0-28,3) 613

Femmes 20,4 (16,5-24,3) 20,8 (16,9-24,6) 652

AGE 18 - 34 27,8 (22,4-33,2) 27,8 (22,4-33,2) 486

35 - 50 21,6 (17,0-26,3) 21,6 (17,0-26,3) 426

51 - 64 16,9 (12,3-21,5) 17,1 (12,5-21,7) 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

16,5 (12,8-20,3) 16,3 (12,6-20,0) 570

Supérieur de type court 23,8 (18,1-29,5) 24,0 (18,5-29,5) 353

Supérieur de type long 29,4 (23,4-35,5) 29,4 (23,3-35,6) 327

REGION*** Flandre 26,8 (22,9-30,7) 27,2 (23,4-31,0) 732

Wallonie 12,8 (9,4-16,2) 12,8 (9,4-16,2) 436

TOTAL 22,2 (19,4-25,1) 1265

ANNEE 2004 29,8 (26,8-32,8) 30,1 (27,1-33,1) 1256

2014 22,2 (19,3-25,1) 22,4 (19,6-25,3) 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Prévalence pondérée.

** Prévalence pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 317: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 155 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise dans un véhicule, Belgique, 2014

IP_TVSBD_tot Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 57,3 (51,8-62,8) 57,0 (51,4-62,5) 613

Femmes 48,3 (43,9-52,8) 48,8 (44,5-53,1) 652

AGE 18 - 34 52,3 (46,5-58,2) 52,3 (46,5-58,1) 486

35 - 50 62,9 (56,4-69,4) 62,7 (56,2-69,2) 426

51 - 64 41,1 (35,5-46,7) 41,4 (35,8-47,0) 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

49,7 (43,8-55,6) 51,4 (45,0-57,8) 570

Supérieur de type court 57,2 (50,3-64,1) 57,0 (50,3-63,6) 353

Supérieur de type long 53,4 (48,1-58,8) 52,0 (46,8-57,2) 327

REGION*** Flandre 49,4 (45,0-53,8) 49,3 (45,0-53,6) 732

Wallonie 59,5 (52,4-66,6) 58,7 (51,8-65,5) 436

TOTAL 52,8 (49,3-56,4) 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

Page 318: ENQUÊTE DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE 2014-2015 documenten/FRANS/Rapport_PA_F… · travail de gestion et d’analyse des données collectées. À Koenraad Cuypers pour la coordination

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Tableau 156 | Durée (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise dans un véhicule : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_TVSBD_tot Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 57,3 17,0 33,3 79,2 613

Femmes 48,3 14,6 33,8 59,2 652

AGE 18 - 34 52,3 16,1 33,2 62,1 486

35 - 50 62,9 25,0 44,6 86,2 426

51 - 64 41,1 11,3 25,7 55,4 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

49,7 13,3 29,4 58,4 570

Supérieur de type court 57,2 19,3 40,3 72,8 353

Supérieur de type long 53,4 19,0 39,6 80,8 327

REGION** Flandre 49,4 14,9 29,8 59,6 732

Wallonie 59,5 17,2 39,3 84,5 436

TOTAL 52,8 16,4 33,6 64,5 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 157 | Durée moyenne (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise (y compris lors des déplacements), Belgique, 2014

IP_TTSBD_tot Moyenne brute*

IC 95% brut

Moyenne stand**

IC 95% stand N

SEXE Hommes 410,2 (391,5-428,8) 410,3 (391,8-428,9) 613

Femmes 388,4 (369,6-407,1) 389,5 (371,0-408,0) 652

AGE 18 - 34 409,4 (388,6-430,3) 409,4 (388,6-430,1) 486

35 - 50 406,2 (381,5-430,9) 406,1 (381,2-431,0) 426

51 - 64 380,0 (358,1-401,8) 381,0 (359,3-402,8) 353

NIVEAU D’EDUCATION

Sans diplôme, primaire ou secondaire 358,8 (339,9-377,7) 355,9 (337,4-374,5) 570

Supérieur de type court 414,7 (386,9-442,5) 415,6 (389,3-442,0) 353

Supérieur de type long 446,9 (424,8-469,0) 445,3 (422,3-468,3) 327

REGION*** Flandre 412,2 (395,9-428,6) 413,2 (397,5-428,9) 732

Wallonie 364,0 (342,9-385,1) 364,0 (343,5-384,4) 436

TOTAL 399,3 (386,2-412,5) 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Moyenne pondérée.

** Moyenne pondérée après standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).

*** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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Tableau 158 | Durée (en minutes/jour) passée par les adultes (de 18 à 64 ans) en position assise (y compris lors des déplacements) : moyenne, médiane et percentiles, Belgique, 2014

IP_TTSBD_tot Moyenne* P25* Médiane* P75* N

SEXE Hommes 410,2 268,4 381,4 528,7 613

Femmes 388,4 239,5 362,9 505,4 652

AGE 18 - 34 409,4 268,8 398,6 535,2 486

35 - 50 406,2 246,5 389,1 529,1 426

51 - 64 380,0 255,2 346,0 475,7 353

NIVEAU D’EDUCATION Sans diplôme, primaire ou secondaire

358,8 217,3 321,3 467,7 570

Supérieur de type court 414,7 267,2 377,1 552,6 353

Supérieur de type long 446,9 312,4 443,0 556,2 327

REGION** Flandre 412,2 265,7 392,1 545,7 732

Wallonie 364,0 227,1 319,5 484,4 436

TOTAL 399,3 257,1 373,9 515,4 1265

Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.

* Pondéré.

** Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles) ont, par contre, été inclues dans toutes les autres analyses.

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9. ANNEXES

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Editeur responsable : Dr Johan PeetersNuméro de dépôt : D/2015/2505/67

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