ENSEMBLE, PRÉPARONS L’AVENIR L’écoquartier « Centrale · En avril 2012 : signature d’un protocole entre l’Etat et la Ville sur le devenir des terrains de l’Ecole Centrale

L’écoquartier « Centrale » ENSEMBLE, PRÉPARONS L’AVENIR

Réunion publique de concertation 22 novembre 2016

CHÂTENAY-MALABRY, bien dans ma ville

Rappel des objectifs du projet

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Après le départ de l’Ecole Centrale Paris sur le Plateau de Saclay :

ü  Aménager un écoquartier avec

logements mixtes, commerces, bureaux, équipements publics.

ü  Créer un quartier animé et ouvert sur la ville.

ü  Mettre en valeur sa situation d’entrée de ville, desservie par les transports.

ü  Favoriser un environnement vert qualitatif et omniprésent, en lien avec les grands espaces verts situés à proximité.

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Où en est-on ?

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En avril 2012 : signature d’un protocole entre l’Etat et la Ville sur le devenir des terrains de l’Ecole Centrale et la Faculté de Pharmacie Depuis 2014, plusieurs réunions d’informations sur différents thèmes pour vous informer, dialoguer et aboutir à un projet partagé : ü 1 réunion « Qu’est-ce qu’un écoquartier ? ». ü 2 réunions spécifiques : « Les espaces publics et paysagers, les déplacements et l’accessibilité » et « Le développement économique : bureaux, services et commerces ». ü 1 réunion sur les orientations urbaines (juin 2016). Les prochaines étapes : ü Résultat de l’étude d’impact ü Bilan de la Concertation ü Modification du PLU ü Création d’une ZAC

Modification du PLU Périmètre concerné

Site de l’école Centrale ainsi que plusieurs parcelles privées en bordure des avenues Division-Leclerc et Sully-Prudhomme.

Modification du PLU

ü  La modification du PLU permet de définir les règles d’urbanisme qui vont être appliqués à ce secteur.

ü  Le Plan Local d’Urbanisme de la Ville a été adopté le 20 décembre 2012.

ü  Le secteur de l’Ecole Centrale avait été répertorié comme « périmètre d’attente ».

ü  Le départ de l’Ecole Centrale est programmé pour fin 2017.

La modification propose la création d’une “zone UEC” concernant les terrains de l’Etat et des parcelles privées en bordure des avenues Division-Leclerc et Sully-Prudhomme.

Modification du PLU

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Les principaux articles concernés : ü L’implantation ü Les hauteurs ü Les espaces verts ü Le stationnement des véhicules et des vélos Le règlement de la zone UEC est complété par un schéma d’ orientation d’aménagement et de programmation qui précise : ü La trame des voies nouvelles et les liaisons douces. ü Les places et espaces verts publics. ü L’emplacement des équipements publics. ü L’implantation des commerce. ü Les principes d’implantation du bâti.

Modification du PLU

Modification du PLU

Modification du PLU

Du lundi 12 décembre 2016 au vendredi 20 janvier 2017 Documents à consulter et registre mis à la disposition du public aux Services techniques à l’Hôtel de Ville. Permanences du Commissaire Enquêteur à l’Hôtel de Ville

ü  Mercredi 14 décembre 2016 de 13h30 à 17h30 ü  Jeudi 5 janvier 2017 de 13h30 à 17h30 ü  Samedi 14 janvier 2017 de 9h à 12h ü  Vendredi 20 janvier 2017 de 13h30 à 17h30

Donnez votre avis

Création d’une ZAC

Pourquoi une ZAC (Zone d’Aménagement Concertée)? ü Moyen de financer les équipements publics par les constructeurs (pas de taxe d’aménagement mais des participations au prorata des m² construits). ü Un urbanisme et une architecture « maîtrisés » grâce à des cahiers des charges techniques sur les bâtiments et les espaces verts privés. ü Un remembrement de terrains publics et privés à effectuer pour une seule et même opération.

Le dossier de création de la ZAC sera prochainement approuvé par le conseil municipal. Il comporte : la zone délimitée, le programme global des constructions et un rapport de présentation justifiant l’opération…

L’étude d’impact

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Ses objectifs ü Mesurer les impacts du projet d’aménagement sur l’environnement : faune, flore, sol, eau, air,… ü Evaluer ou préconiser les mesures pour supprimer, limiter ou compenser les impacts éventuels. Les thèmes abordés ü Environnementaux (milieux naturels, paysage, ressource en eau, gestion des déchets, énergie…), ü Urbains (social, économie…). Comment a-t-elle été réalisée ? Réalisée par le groupement EVEN CONSEIL, BIODIVERSITA et INGEROP entre l’hiver 2015 et l’automne 2016, à partir : - des éléments des diagnostics urbains dans le cadre du projet urbain, - des études réalisées sur le terrain, - des études techniques spécifiques réalisées par l’Etat ou par des experts extérieurs.

Topographie Etat actuel : la topographie du site a été constituée artificiellement lors de l’aménagement du campus fin des années 60. Le ru de Châtenay enterré traverse le site. Impact et mesures prévues pour conserver la topographie globale du site et permettre l’écoulement des eaux pluviales : -  différents niveaux de terrassement des îlots. -  équilibre déblais/remblais.

L’étude d’impact : milieu physique

Géologie Etat actuel : remblais sableux et limoneux présents sur tout le site. Terrain naturel constitué d’argiles vertes, de marnes marrons et argileuses et de gypse. Marnes blanchâtres et bleues à l’Est du site. Impact et mesures prévues : La réalisation n’aura que peu d’effets sur les couches géologiques caractéristiques du sous-sol. ü Conception des parkings souterrains et des fondations répondant aux exigences techniques induites par la nature des sols et sa sensibilité à l’eau (retrait/gonflement). ü Répartition des niveaux de parking par îlot en fonction des résultats des analyses géotechniques. ü Protection contre les eaux en phase chantier et en phase d’exploitation, notamment pour les murs de sous-sol.


Climat, vent et ensoleillement Etat actuel : Températures moyennes : 20°C maximale en juillet. 4°C minimale en janvier. 32 jours de gel/an. Vents dominants ouest et sud-ouest et nord-nord-est (origine anticyclonique). Impact et mesures prévues : ü Pour bénéficier de l’ensoleillement :

- orientation des futurs bâtiments favorables à la mise en œuvre des principes bioclimatiques. - zones les moins exposées au soleil réservées aux locaux techniques et cages d’escaliers.

ü Pour limiter le phénomène d’îlot de chaleur : - implantation des espaces publics protégés du vent. - végétalisation des espaces publics.



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! Des hauteurs adaptées qui respectent le paysage, notamment les vues depuis le parc de Sceaux

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Paysage Etat actuel : Site aujourd’hui enclavé, à proximité de deux espaces verts exceptionnels (Parc de Sceaux et Coulée verte), occupé par des bâtiments imposants entourés d’espaces verts. Impact et mesures prévues pour désenclaver le quartier et répondre aux principes de la Ville Parc :

- aménagement d’une prairie centrale irriguée par le ru pour créer un lien paysager entre le Parc de Sceaux et la Coulée Verte. - élargissement de la Coulée Verte et conservation de l’alignement de tilleuls. - construction des logements, commerces et équipements accompagnée d’un paysagement des futurs espaces publics et de la prairie (cultures nourricières). - choix des hauteurs, de la disposition et de l’architecture des bâtiments pour préserver les vues sur les grands paysages depuis l’extérieur du site (parc de Sceaux).

Flore et faune Etat actuel : Zone 1 : Terrain de sport en plein air Zone très fréquentée et tonte rase : conditions peu propices à l’installation d’espèces de faune ou de flore qui présente un potentiel faible à nul. Zone 2 : Espace vert Espaces verts localisés autour des bâtiments (intérêt potentiel faible pour la faune et la flore) et talus herbacé de 3500 m2 (intérêt écologique modéré). Zone 3 : Espace vert arboré Des deux zones localisées au nord/est et au sud/ouest peuvent être des habitats potentiels à certaines espèces typiques des parcs et jardins (intérêt modéré à fort pour la potentialité de présence d’espèces remarquables). Zone 4 : Parcelle privée Au sud de la zone (intérêt écologique modéré).

L’étude d’impact : milieu écologique

Flore Etat actuel : ü Des espaces verts très entretenus et donc peu intéressants sur le plan écologique. ü Aucun zonage réglementaire, aucune protection ZNIEFF ou NATURA 2000. ü 80 espèces de flore vasculaire (dont 69 indigènes). Grande majorité de ligneux. Des espèces banales en Ile-de-France et diversifiées grâce une gestion en partie différenciée et des espaces livrés à la dynamique naturelle. ü Espace situé entre des deux réservoirs de biodiversité (Coulée Verte et le Parc de Sceaux).


Faune Etat actuel : ü Peuplement très banal d’insectes : 14 espèces d’insectes lépidoptères recensées (tircis abondant sur les espaces tondus). 8 espèces d’insectes orthoptères recensées (criquet verte-échine le plus répandue (espèce fréquentant les espaces tondus). ü Peuplement très commun d’oiseaux : 27 espèces recensées (pigeons, mésanges, pinsons, merles, corneilles, moineaux, étourneaux…). Présence de la sittelle torchepot (espèce commune qui régresse en petite couronne) grâce aux grands espaces boisés alentours, assurant ainsi la conservation de cette espèce. ü Mammifères chiroptères : 4 espèces dont la pipistrelle de Kuhl et la noctule commune (deux espèces forestières en transit probable entre les massifs de Verrières et du parc de Sceaux).


En conclusion : un peuplement de faune pauvre Le choix de semis homogène (espèces banales en Ile-de-France en grande majorité des ligneux), le rythme de tonte, l’utilisation ancienne de phytosanitaires et l’absence de zone humide se traduisent par un cortège faunistique peu diversifié et peu qualitatif.


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Impact et mesures prévues pour créer et favoriser la biodiversité : - création d’un réservoir de biodiversité grâce à l’aménagement de la prairie d’environ 24 000 m2 irriguée par le ru ouvert reliant la Coulée Verte et le Parc de Sceaux.

Faune (suite) Impact et mesures prévues pour créer et favoriser la biodiversité : - gestion raisonnée des espaces ouverts pour l’obtention du label EVE (Espace Végétal Ecologique) comme au parc de Sceaux. - végétalisation des toitures des bâtis. - intégration de cavités de substitution aux nouveaux bâtiments types nichoirs, gîtes ou abris. - création de haies (points d’appui des chiroptères). - extension de la gestion différenciée et maintien d'îlots en friche pour améliorer la qualité des habitats. - limitation de vitesse des dessertes internes pour protéger la faune.


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Eau superficielle, souterraine et pluviale Etat actuel : La nappe est haute, voire affleurante, selon les saisons. Des circulations aléatoires d’eau peuvent intervenir dans les couches géologiques supérieures. Le site (9.35 ha de pleine terre) n’est aujourd’hui concerné par aucun écoulement d’eaux superficielles : le ru de Châtenay (qui présente aujourd’hui une mauvaise qualité écologique) traverse le site en souterrain.


Eau superficielle, souterraine et pluviale (suite) Impact et mesures prévues : ü Pour gérer les eaux pluviales, choix de solutions alternatives comme :

- récupération des eaux pluviales «au bâtiment » pour l’arrosage des espaces verts. -  création de stockage temporaire des eaux pluviales avant

restitution au réseau (ex : chaussées réservoirs) au niveau du ru, avec un débit régulé des eaux vers le canal du Parc de Sceaux (eaux filtrées en amont si nécessaires).

-  requalification du ru de Châtenay en différenciant ses écoulements d’eau selon leur degré de pollution.

ü 7,52 ha d’espaces publics en pleine terre (41% de la surface) et végétalisés afin de faciliter la limitation des transferts de polluants. ü Prise en compte du niveau de la nappe phréatique dans la conception technique du projet, notamment pour les parkings souterrains. ü Etudes géotechniques pour déterminer les moyens de protection des sous-sol et rez-de-jardin vis-à-vis de l’eau souterraine.


Eau potable et usée Etat actuel : réseaux intérieurs anciens reliés sur l’avenue Sully-Prudhomme et l’avenue de la Division-Leclerc. Impact et mesures prévues : ü Pour évacuer les eaux usées : - remplacement de réseaux intérieurs d’eau usées raccordés à la station d’épuration de Seine Amont, gérée par le SIAAP. ü Pour limiter l’utilisation de l’eau potable : - mise en place d’un système de récupération des eaux pluviales permettant de limiter la consommation d’eau potable (réutilisation pour l’entretien des espaces verts…).


Risques industriels Etat actuel : La zone d’étude n’est pas concernée par le risque industriel. Présence de 2 installations classées sur le site. Aucune installation classée SEVESO sur la commune. Impact et mesures prévues pour prévenir les risques éventuels pendant le chantier : - décaissement des remblais dépassant les valeurs et orientation vers une filière spécifique. - recouvrement des remblais touchés par des impacts ponctuels en plomb afin d’éviter toute exposition.

Risques sismiques Etat actuel : Risque de séisme est très faible. Aucune exigence de construction n’est obligatoire pour le bâti neuf.


Qualité de l’air Etat actuel : Peu de sources d’émission de gaz à effet de serre (GES) pour les déplacements motorisés limités au sein du site. Concentrations en dioxyde d’azote les plus fortes détectées au niveau des axes routiers. Impact et mesures prévues pour réduire les émissions de gaz à effet de serre : -  application de la norme thermique RT 2012 -20%. -  amélioration de la qualité de l’air par la végétalisation du site. -  maîtrise de la vitesse de circulation (zones 30 sur les voies de circulation à double sens, voies partagées). -  aménagement paysager des voies de dessertes internes pour favoriser les déplacements en modes doux. -  réduction de la pollution liée au trafic routier sur l’avenue de la Division-Leclerc grâce au futur tramway.


Environnement sonore Etat actuel : Niveaux sonores faibles (entre 50 et 67 dB(A) de jour, et entre 43,5 et 60 dB(A) de nuit). Ambiance sonore de la zone d’étude modérée à l’exception des abords immédiats de RD 986 (avenue de la Division-Leclerc). Impact et mesures prévues pour maîtriser l’environnement sonore, même si l’arrivée future du tramway sur la RD986 réduira à terme l’impact sonore : - isolement acoustique des bâtiments. -  choix d’agencement des bâtiments adaptés aux nuisances connues.


Déchets Etat actuel : collecte gérée en interne sur le campus (nombreux déchets spéciaux). Impact et mesures prévues pour collecter et gérer les déchets ménager : - mise en place de points d’apport volontaire (PAV) équipés de capteurs de remplissage permettant d’optimiser la fréquence de passage des camions afin de minimiser les émissions de polluants ou tout autre système innovant de collecte de déchets. - sensibilisation des habitants à la limitation de la production de déchets (réutilisation, recyclage, compostage…).


Energies Etat actuel : bâtiments anciens (1969) vecteurs de déperditions énergétiques importantes. Impact et mesures prévues pour limiter l’utilisation des ressources énergétiques : -  bâtiments à performances énergétiques. -  orientation et exposition au soleil favorables à la mise en œuvre des principes bioclimatiques. Espaces publics végétalisés protégés du vent et du phénomène d’îlot de chaleur. -  étude de solutions thermiques innovantes (comme le solaire thermique et de réseau de chaleur en géothermie profonde). -  étude de solutions pour récupérer la chaleur sur les eaux usées des logements, voire la possibilité de récupérer des émissions de chaud/ froid à l’échelle de certains îlots.


Chantier vert Les mesures prévues pour réduire au maximum les impacts (nuisances, déchets…) de la période de chantier : -  réutilisation optimale des déchets de chantier (recyclage sur le site). -  mise en place d’un plan global de circulation des Poids Lourds et d’itinéraires de déviations. -  privilégier l’utilisation d’engins en dehors des périodes de reproductions de la faune. -  participation à un réseau de plateformes d’échange de terre. -  favoriser le choix de proximité pour l’approvisionnement des matériaux.


Dimension sociale et économique Etat actuel : site enclavé à usage monofonctionnel, clôturé et fermé au public. 800 logements étudiants dans des bâtiments anciens sans surface commerciale. Impact et mesures prévues pour relier le quartier à la ville et créer un lieu de vie ouvert : - création d’une voie commerçante traversant le quartier du nord au sud. - création d’une place publique, animée et commerçante au niveau du carrefour de l’Europe. - création d’une place publique ouvrant vers le quartier au Parc de Sceaux. - création d’une prairie favorisant la promenade entre le parc de Sceaux et la Coulée Verte. - création de 15 000 m² de commerces complémentaires à l’offre du centre ville et de l’avenue de la Division-Leclerc. - mixité sociale, avec une offre de logement de toutes catégories.

L’étude d’impact : dimension urbaine

Stationnement/Mobilité/Transports Etat actuel : Site fermé ne présentant pas de difficulté en terme de circulation automobile, desservi en arrêts de bus. Saturation ponctuelle des espaces de stationnement à ses abords. Impact et mesures prévues : Favoriser un part de 50% pour l’écomobilité : - création de deux voies principales reliées à l’avenue de la Division-Leclerc et à la Grande Voie des Vignes, de voies internes de desserte secondaires et des voies modes doux. - circulation de certaine voie en sens unique pour limiter les entrées de véhicules. Mise en place de zones 30 ou des zones partagées.


Impact et mesures prévues : Favoriser un part de 50% pour l’écomobilité : - requalification de l’avenue Sully-Prudhomme pour pacifier la circulation.


- création de places en stationnement privé et sur voirie, tout en rationnalisant l’offre. Zone bleue le long des Commerces. - limitation de l’usage des véhicules motorisés grâce au programme mixte de logements, bureaux, équipements et commerces. - transports en commun renforcé et performant aux portes du quartier (tramway).

Stationnement/Mobilité/Transports (suite)

L’Autorité environnementale Etude d’impact remise le 27 octobre 2016 à l’Autorité Environnementale, qui a 2 mois pour donner un avis. Consultation Suite à l’avis de l’Autorité environnementale, le public pourra prendre connaissance :

•  de l’étude, •  de l’avis, •  des réponses aux remarques éventuelles.

Consultation de l’étude

Vous avez la parole !

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