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Vacances page 2 Bimensuel de l’Armée du Salut - 121 e année - N°15 / 16 - 2011 Péché et Pardon page 3 « Dieu m’aime au point qu‘il a envoyé son fils mourir pour mes péchés » pages 4-5 L’observation On se sert du paysage pour se lancer des défis d’observation. L’idéal serait de préparer avant le départ une feuille remplie de suggestions, selon le trajet que vous emprunterez. On part du principe des livres-jeux qui demandent que l’on trouve certains objets dans chacune des pages et on l’applique à notre environnement. Si vous passez par la campagne, on peut chercher des animaux précis (chiens, vaches, chevaux, oiseaux, etc.), sur l’autoroute on surveille les autres véhicules (couleurs, formes, etc.), en ville, on observe les panneaux de signalisation, les affiches ou les adresses. Il est possible de créer de petites cartes et de les distribuer, le premier Rédaction Plus on est de fous, plus on rit Jouer en famille nous redonne de la force. Enfin les vacances, temps de se relaxer. Mais attention, d’un côté l’ennui nous guette et de l’autre, les enfants s’ennuient et ont donc tendance de se chamailler. Alors pourquoi ne pas se détendre ensemble, par exemple en jouant ? Voici quelques idées pour petits et grands que nous avons récoltées pour vous.

Espoir 15-16/2011 - Plus on est de fous, plus on rit

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Enfin les vacances, temps de se relaxer. Mais attention, d’un côté l’ennui nous guette et de l’autre, les enfants s’ennuient et ont donc tendance de se chamailler. Alors pourquoi ne pas se détendre ensemble, par exemple en jouant ? Voici quelques idées pour petits et grands que nous avons récoltées pour vous.

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Vacances

 page 2

Bimensuel de l’Armée du Salut - 121e année - N°15 / 16 - 2011

Péché et Pardon page 3

« Dieu m’aime au point qu‘il a envoyé son fils mourir pour mes péchés » pages 4-5

L’observationOn se sert du paysage pour se

lancer des défis d’observation. L’idéal serait de préparer avant le départ une feuille remplie de suggestions, selon le trajet que vous emprunterez. On part du principe des livres-jeux qui demandent que l’on trouve certains objets dans chacune des pages et on l’applique à notre environnement. Si vous passez par la campagne, on peut chercher des animaux précis (chiens, vaches, chevaux, oiseaux, etc.), sur l’autoroute on surveille les autres véhicules (couleurs, formes, etc.), en ville, on observe les panneaux de signalisation, les affiches ou les adresses.

Il est possible de créer de petites cartes et de les distribuer, le premier

 Rédaction

Plus on est de fous, plus on rit

Jouer en famille nous redonne de la force.

Enfin les vacances, temps de se relaxer. Mais attention, d’un côté l’ennui nous guette et de l’autre, les enfants s’ennuient et ont donc tendance de se chamailler. Alors pourquoi ne pas se détendre ensemble, par exemple en jouant ? Voici quelques idées pour petits et grands que nous avons récoltées pour vous.

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vacances

Les parents peu-vent témoigner de leur amour aux enfants en leur vouant de leur temps.

par B, C, D, E, F ... et ainsi de suite. Pour les lettres difficiles, le meneur de jeu décide d’im-poser une catégorie (un animal pour Z).

2ème version du même jeu : tous les joueurs jouent les uns contre les autres, on sélectionne une lettre, le temps est limité, et chaque joueur liste sur une feuille de papier les éléments trouvés. A la fin de la manche, les joueurs déclarent à haute voix tous les mots qu’ils ont découverts et les comparent avec ceux qui ont été trouvés par les autres joueurs. Chaque joueur compte un point pour chaque mot en commun avec un ou plusieurs joueurs, et cinq points pour ceux que personne d’autre n’a découvert.

Par exemple, si on s’est limité à l’intérieur de la voiture et qu’on a choisi la lettre P : pantalon, pierre (de la bague de maman), peau (de tout le monde), pull,

qui voit tous les objets de son tas de cartes a gagné.

Je pars en vacances …et je mets dans ma valise … : ce

jeu très rigolo permet d’aiguiser sa mémoire et son imagination ! Parce que chacun doit répéter la suite, tout en y ajoutant un objet chaque fois ! Les premiers tours sont faciles, mais quand la liste s’allonge, c’est le fou rire assuré !

Devine qui je suis ?Chacun doit penser à quelqu’un

et donne quelques indices aux autres pour qu’ils trouvent de qui il s’agit. On peut déterminer des catégories et limiter le nombre d’indices pour compliquer un peu les choses ! On peut également imiter ces personnes.

Le jeu de l’alphabetA trouver dans le paysage : une

chose qui commence par A, puis

pansement (sur le genou de bébé), etc …

ImprovisationOn remet aux joueurs une liste

de mots qu’ils vont devoir utili-ser dans une improvisation en respectant leur ordre. On réalise une affiche qui permettra à tous les spectateurs de suivre la per-formance des joueurs. Les joueurs peuvent s’ils font partie ou non d’une équipe bénéficier d’un temps de préparation. Le meneur du jeu pourra donner un thème afin de guider l’improvisation et faciliter la tâche des enfants. Il faut bien entendu que les phra-ses employées aient un sens. Un autre enfant devra trouver les mots imposés.

http://boowakwala.uptoten.com

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évangile

Dans la Bible

Venez et discutons ensem-ble, dit l’Eternel : si vos pé-chés sont rouges comme de l‘écarlate, ils deviendront aussi blancs que la neige. Oui, s‘ils sont rouges comme

Péché et Pardon

a Bible a plusieurs expressions qui ont toutes un dénomina-teur commun : le péché.

Elle a de même plusieurs mots qui en décrivent le remède : pardon divin, réconciliation et guérison. Voyons par exemple cette rencontre entre Jésus et la femme accusée d’adultère (Evangile de Jean, chapitre 8) : Dans ce texte, deux termes sont aujourd’hui passés au vocabu-laire qu’on peut qualifier de désuet: adultère et péché. A les lire, beaucoup les associent aux banalités et aux incidents de l’existence. Quant à l’infidélité conjugale incriminée dans ce texte, elle n’est plus un argu-ment majeur de divorce.

Alors, si vous le voulez bien, définissons autrement. Quand la Bible mentionne le péché, elle parle du mal, mal sous toutes les formes, tache indélébile sur notre humanité.

Elle dit que c’est un ratage de route ; on passe complètement à côté du but envisagé. Elle dit aussi que c’est une infraction notoire à une règle commune à tous. Elle dit encore que c’est une

chute sévère après un dérapage. Elle ajoute encore c’est vie anar-chique vis-à-vis de toute éthi-que. Elle parle enfin de faiblesse, d’échec, de vie charnelle.

On peut résumer en parlant d’une situation de vie qui nous contraint à cheminer sur une voie sans issue, sans vision d’avenir, sans possibilité d’en sortir, rési-gné et sans force pour réagir aux erreurs. Dur, comme réquisitoire, imperméable aux circonstances atténuantes.

Seul redressement de situa-tion : la repentance ; une pro-messe divine : le pardon.

Ce pardon, c’est l’effacement de l’ardoise, la dette payée, une force adverse qu’on estimait indomp-table dorénavant vaincue. Cette repentance et ce pardon, disait un pasteur français aujourd’hui disparu, (*) « s’accompagne de l’étonnement devant une décou-verte : qu’il existe des chemins dont nous ne soupçonnions pas l’existence ; des émerveillements de liberté, des soulagements après des fardeaux abandonnés, des réconciliations avec le Dieu vivant. »

On peut dire, « aux grands

L

maux, grand remède » . Cette expérience, digne d’être vécue, c’est comme le kilomètre zéro d’un nouveau voyage.

(*) Alphonse Maillot (1920-2003)

la pourpre, ils deviendront aussi blancs que la laine.

La Bible, livre d’Isaïe, chapitre 1, verset 18

Lorsque le mal nous pèse et nous enfonce, sachons

que le pardon existe.

 André SterckxOfficier de l’Armée du Salut

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« Dieu m’aime au point qu’il a envoyé son fils mourir pour mes péchés »

Ce ne sont pas les actes qui définissent les chrétiens, mais c’est leur cœur. Jésus dit que celui qui croit en lui sera sauvé. Notre collaborateur, Jérôme Grandet, a demandé à plusieurs personnes quelle était leur relation avec Dieu.

Jésus se compare avec une porte : nous devons avoir le courage de passer le pas et nous en remettre à lui.

évangile

 Propos recueillis par Jérôme Grandet

Myriam 46 ans : Dieu est mon Papa qui pose un regard attendri sur moi jour et nuit. Il est fidèle, et a les bras ouverts en disant : « Viens te reposer sur mes genoux, ma fille bien-aimée ». Il ne me trahit jamais, a une ten-dresse infinie, me comprend mieux que moi-même, ouvre un chemin passionnant devant moi. Mon cœur est rempli de reconnaissance de penser que le Dieu tout-puissant s’intéresse à moi. Je me réjouis de le voir face à face.

Aurélien, 24 ans : Dieu est seulement un petit peu plus grand que les 1200 cm3 de mon cerveau ... juste suffisamment plus grand pour qu’il demeure un être transcendant, mais pas trop pour qu’il se révèle à moi. Autrement dit, Dieu est Tout et il est Autre, il est Tout-Autre, il est infiniment grand, mais en contact de proximité avec moi. Il est mon Créateur, qui chaque jour m’aide à former ma personnalité. Il est le Crucifié ressuscité, qui par son don me libère et attendrit mon cœur.

Elodie 16 ans : Pour moi, Dieu est un ami à qui je peux tout dire, quelqu’un qui est toujours présent, à qui je peux me remettre quand ça ne va pas. Je sais qu’il m’aidera et fera tout pour me rendre heureuse. Quelqu’un qui me laisse être moi-même, qui m’accepte comme je suis et qui m’aime comme je suis. C’est la personne la plus importante pour moi, celle à qui je dois tout. Il m’a créé et m’a donné une place précise sur cette terre. C’est à lui que je m’adresse quand ça ne va plus et il sait me répondre et me consoler. Je l’aime plus que tout et je ne pourrai jamais assez le remercier ...

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« Dieu m’aime au point qu’il a envoyé son fils mourir pour mes péchés »

Ce ne sont pas les actes qui définissent les chrétiens, mais c’est leur cœur. Jésus dit que celui qui croit en lui sera sauvé. Notre collaborateur, Jérôme Grandet, a demandé à plusieurs personnes quelle était leur relation avec Dieu.

« C’est moi qui suis la porte. Celui qui entre par moi sera sauvé : il pourra aller et venir librement, il trouvera de quoi se nourrir. » (Evangile de Jean, chapitre 10, versets 8 et 9)

évangile

Jésus est un bon berger. Il connaît ses brebis et ses brebis le connaissent. Il ne veut pas

qu’une seule d’entre elles se perde.

Ariane 59 ans : Dieu est avant tout souverain et trois fois saint. Dans la vie quotidienne, Il est Dieu au cœur de ma vie. Il pourvoit d’une façon merveilleuse à mes besoins, quelle que soit leur nature.

Une visite inattendue, un enfant qui rit, un sourire d’une personne inconnue dans la rue, une fleur qui s’ouvre, la nature qui s’endort en automne ou qui se réveille au printemps et par mille autre façons, Dieu me sourit. Dieu, peintre du ciel lors des levers ou couchers du soleil au-dessus des montagnes et du lac. Dieu est avec moi, Il se réjouit avec moi, Il pleure avec moi quand je suis triste, Il est là ... au cœur de ma vie.

Stève 28 ans : Dieu est mon meilleur ami, c’est lui qui m’encourage en tout temps, celui en qui je peux placer toute ma confiance, celui qui me guérit, celui qui me restaure, celui qui me donne de nouveaux rêves, celui qui me donne la vie et lui donne un sens. C’est celui qui un jour a tout bouleversé et celui qui m’épate de jour en jour.

Julia 28 ans : Dieu est amour, Il est un Père pour moi, Il est pré-sent chaque jour à mes côtés, il est mon réconfort. Quand je traverse des moments difficiles et que je me tourne vers lui, il est présent. Dieu m’aime au point qu’il a envoyé son fils mourir pour mes péchés. Si je suis ici maintenant c’est à cause du sacrifice de Jésus-Christ sur la croix. Je vis pour servir Dieu, pour le faire connaître aux autres per-sonnes qui ne connaissent pas le Dieu d‘amour, le Tout-puissant.

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témoignage

Sans tambourni trompetteHaut les cœurs !

Un de mes proches était hos-pitalisé un jour et venait de subir une intervention chirurgi-cale. L’infirmière s’approche et l’encourage à se lever. Il vacille, pris de vertige, de douleurs et de peur. Alors qu’il est à deux doigts de tomber elle lui dit : levez la tête, regardez en haut, on arrive toujours là où on regarde !

J’ai retenu la leçon : on arrive toujours là où on regarde ; pas derrière nous, où nous attendent les regrets, les remords. Pas de côté, où le regard de l’autre, le « quand dira-t-on », l’orgueil, le jugement auront vite fait de nous décourager. Mais en haut. Un très vieux cantique me trotte dans la tête : « Regarde, âme angoissée au mourant du calvaire, regarde à Christ sur le bois attaché. C’est là qu’est ton Sauveur, contemple-le mon frère, un seul regard et sois sauvé ; regarde et crois ! »

Pas besoin d’attendre d’être à l’hôpital pour apprendre la leçon !

 Annlise Bergmann

Dieu est pré-sent dans la joie comme dans le deuil.

n réponse à un appel précis de Dieu pour le servir à plein temps, je me suis engagé dans une

institution sociale de l’Armée du Salut. Mais, au bout de quatre années, différents problèmes, essentiellement de santé, ont remis en question mon occupa-tion du moment. S’est alors posé pour moi un grand problème de

conscience. Avais-je le droit de renier cette vocation que le Sei-gneur m’avait adressée de manière si puissante ? Ne serait-ce pas une trahison, une défection, une désertion ? Pourtant, mon corps ne pouvait plus supporter les lourdes charges à porter, les étages à gravir, dans le travail qui m’avait été assigné à la brocante. En outre, des portes s’étaient fer-mées, des projets d’accueil ou de prise en charge sociaux avaient échoué. Etais-je en train de céder au découragement, ma foi, même, n’était-elle plus assez forte pour marcher sur la voie que j’avais

cru voir tracée pour moi ? Je ne compte plus les nuits sans som-meil, les heures d’angoisse et de remise en question, tout cela dans le secret de mon cœur. Que faire ?

C’est alors que mon attention a été attirée par une offre d’emploi parue dans un quotidien local : le Service municipal des Pompes funèbres cherchait un assistant pour l’accueil des familles en deuil, l’organisation des cérémonies d’obsèques et ce qui s’y rapporte. Les qualités demandées, écoute, disponibilité, compréhension, respect, m’ont semblé correspon-dre à celles que j’avais acquises par mon expérience d’assistant social et de chrétien engagé. Cela m’a paru comme une réponse à mes questionnements. Restait ce cas de conscience : renoncer ou non à mon engagement profes-sionnel dans l’Armée du Salut. Il m’a fallu du courage pour m’en ouvrir à mes chefs ainsi qu’à mes Officiers du Poste salutiste. Avec eux, nous avons prié et Dieu a répondu : là se présentait une véritable occasion de partager, avec les gens dans la souffrance, l’espérance que le Christ ressus-cité peut donner face à la mort, de faire preuve de l’empathie que donne l’amour de Dieu pour tous les hommes qui sont dans la souf-france. C’est dans cet esprit que j’ai pu, durant de longues années, exercer une forme de ministère et apporter un témoignage dis-cret mais réel de ce que le Sei-gneur peut donner, même dans les épreuves les plus dures. Que Dieu bénisse encore les milliers de per-sonnes que j’ai pu ainsi assister dans leur deuil !

Une décision difficile Pierre-André Combremont

E

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infos

Bimensuel de l’Armée du Salut | Laupenstrasse 5 | Case 6575 | CH-3001 Berne | Tél. 031 388 05 91 - Fax: 031 388 05 95 | Courriel : [email protected] | Internet : http://www.armeedusalut.ch | CP: 30-3117-4| Abon-nement 1 an: CHF 48.-, CHF 67.- (étranger), CHF 72.- (par avion) | Fondateur : William Booth | Général : Shaw Clifton | Chef de territoire : Kurt Burger | Rédaction Berne: Gabrielle Keller (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction : André Sterckx, Berne / Pierre-André Combremont, Yverdon-les-Bains / Marianne Hefhaf, Lausanne | Concept graphique : Didier Chassagnot | Mise en page : Rolf Messerli | Imprimerie : Rub Graf-Lehmann SA, Berne | Tirage : CH: 5000 ex. BE : 4000 ex. | Crédit photo : P 1, 2 : Wikimédia ; P 3, 4, 5, 6, 8 : Gabrielle Keller ; P 7 : Bernhard Hottiger | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines.

Oui, je m’abonne pour une année au mensuel «Espoir»

pour la somme de CHF 48.–

Nom:Prénom:Adresse:

Localité:

Date:Signature:

A envoyer à: Armée du Salut, Service des abonnements, Case postale 6575, 3001 [email protected]

Adieux solennels aux Commissaires Officiers, salutistes et amis de l’Armée du Salut du Territoire Suisse-Autriche-Hongrie ont officiellement fait leurs adieux aux commissaires Kurt et Alicia Burger, dimanche 19 juin, à Berne.

Pour leur retraite du service actif, le Chef du Territoire Suisse, Autriche et Hongrie et son épouse retourneront aux Etats-Unis. « Vous êtes restés assez longtemps ... », tiré de la Bible (Deutéronome, chapitre 1, verset 6), fut le début de sa prédication, ce qui a déclenché un éclat de rire autant chez lui que dans l’assemblée.

La parole de Dieu dans la vie des gens est souvent dérangeante, c’est aussi le cas lorsqu’il s’agit de rupture et de nouvelle tâche à remplir. Le commissaire Burger a exhorté les quelques 280 personnes présentent à observer la Parole de Dieu et à y répondre positivement.

Lors de cette réunion, Chris-tin Stachl a également été

accueillie comme cadette : cette jeune de 26 ans sera formée à Bâle, paral-lèlement à son instruction comme officière de l‘Armée du Salut. Le culte constitué de contributions édifiantes et humoristiques, ainsi que de la musique allant des traditionnel-

Des stars suisses de la chanson ont symboli-quement offert leurs tubes à l‘Armée du Salut. Ces chansons de Stress, Peter Reber, Baschi, Patent Ochsner et d‘autres ont été chantées à Noël lors de la traditionnelle collecte des marmites.

C’est ainsi qu’une publicité « live » a été créée avec la participation de nombreux chanteurs volontaires. La campagne a gagné un lion de bronze dans la catégorie « Meilleure utilisation de l’expérience marketing dans une campagne publicitaire » et l’autre dans la catégorie « Pro-

duits et services dans le domaine de la charité » au Festival International de la Publicité, qui s’est déroulé à Cannes du 19 au 25 juin.

AdS

Deux lions pour la collecte des marmitesL’agence de publicité zurichoise, Wirz/BBDO a remporté deux lions de bronze avec la campagne de l’Armée du Salut « Don de chanson ».

les marches jusqu’à la musique pop, ont permis à chacun, jeunes et vieux, d’y trouver leur compte.

Elsbeth Cachelin

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Sudoku

Solution du Sudoku

détente

Règle du jeuIl faut placer dans la grille, par ligne horizon-tale, verticale, également dans les 9 carrés, les chiffres de 1 à 9, sans exception. Ils peuvent être mis dans n’importe quel or-dre. Vous devez retrouver la totalité des chif-fres : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9. Voilà, le défi est lancé, à vous de jouer !

« Nous ne sommes vivants que pour devenir immortels. » Pierre Sanson