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Pâques Mensuel de l’Armée du Salut - 123 e année - N° 4 - 2013 Du fond du gouffre page 3 Pâques exprimée par des dessins d’enfants page 4-5 ais l’anglais n’était pas sa langue mater- nelle aussi je pense que pour prêcher à cette congrégation anglo- phone il avait opté pour la prudence en n’essayant pas d’utiliser un vocabu- laire trop théologique qu’il ne connaissait pas bien. Il racontait simplement des histoires sur Jésus. Ce n’était peut-être pas un sermon qui lui aurait fait remporter le prix du meilleur prédicateur, mais il m’a émue aux larmes et cela reste une expérience inoubliable pour moi. Non seulement ces his- toires servent de support à de puissants sermons, Plus jamais la même La Générale Linda Bond, Cheffe de l’Armée du Salut inter- nationale, encourage à ne pas la croire sur parole, mais à croire Jésus sur parole. Il y a plusieurs années, dans un culte du dimanche matin dans un Poste de l’Armée du Salut, j’ai entendu prêcher un de nos officiers. Ce n’était pas un sermon typique, en fait, cela semblait trop simple, surtout pour ce prédicateur éprouvé. Linda Bond, Générale M page 2 elles sont aussi au cœur de la musique chrétienne. L’Armée du Salut comme la plupart des églises chré- tiennes aime chanter ce qu’elle croit. Les histoires de Jésus mises en musique se gravent pour toujours dans nos mémoires. Quand nous les chantons, cela nous conduit encore et encore à penser à lui, à sa vie, sa mort, sa résurrec- tion et à ce que cela signi- fie pour nous aujourd’hui. Une phrase d’un chant de Pâques me revient : « Seul sur la route, oppressé par le fardeau, Jésus lui- même s’est approché et a marché avec moi ». Cette phrase illustre l’événement raconté dans l’évangile de

Espoir 4/2013 - Plus jamais la même

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Message de Pâques de la Générale Linda Bond

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Page 1: Espoir 4/2013 - Plus jamais la même

Pâques

Mensuel de l’Armée du Salut - 123e année - N° 4 - 2013

Du fond du gouffre page 3

Pâques exprimée par des dessins d’enfants page 4-5

ais l’anglais n’était pas sa langue mater-nelle aussi je

pense que pour prêcher à cette congrégation anglo-phone il avait opté pour la prudence en n’essayant pas d’utiliser un vocabu-laire trop théologique qu’il ne connaissait pas bien. Il racontait simplement des histoires sur Jésus. Ce n’était peut-être pas un sermon qui lui aurait fait remporter le prix du meilleur prédicateur, mais il m’a émue aux larmes et cela reste une expérience inoubliable pour moi.

Non seulement ces his-toires servent de support à de puissants sermons,

Plus jamais la même

La Générale Linda Bond, Cheffe de l’Armée du Salut inter-nationale, encourage à ne pas la croire sur parole, mais à croire Jésus sur parole.

Il y a plusieurs années, dans un culte du dimanche matin dans un Poste de l’Armée du Salut, j’ai entendu prêcher un de nos officiers. Ce n’était pas un sermon typique, en fait, cela semblait trop simple, surtout pour ce prédicateur éprouvé.

 Linda Bond, Générale

M

 page 2

elles sont aussi au cœur de la musique chrétienne. L’Armée du Salut comme la plupart des églises chré-tiennes aime chanter ce qu’elle croit. Les histoires de Jésus mises en musique se gravent pour toujours dans nos mémoires. Quand nous les chantons, cela nous conduit encore et encore à penser à lui, à sa vie, sa mort, sa résurrec-tion et à ce que cela signi-fie pour nous aujourd’hui.

Une phrase d’un chant de Pâques me revient : « Seul sur la route, oppressé par le fardeau, Jésus lui-même s’est approché et a marché avec moi ». Cette phrase illustre l’événement raconté dans l’évangile de

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Pâques

Luc (Luc 14) et elle nous parle encore avec force aujourd’hui. C’est l’histoire de deux disciples de Jésus rentrant chez eux après la crucifixion, leurs espoirs anéantis. La crucifixion était assez horrible pour briser n’importe qui, mais quand cela arrivait à quelqu’un que vous aimiez, quelqu’un d’inno-cent, et pas seulement d’innocent mais de parfait à vos yeux, com-ment supporter tout cela ? Leur peine était encore plus grande du fait qu’ils avaient cru que Jésus était leur Messie, l’espoir pour leur monde. La lumière qu’ils avaient si longtemps attendue venait de s’éteindre. Tout était ténèbres et désespoir. Ils étaient vaincus et écrasés, aveuglés par ce retour-nement de situation horrible et inattendu.

Peut-être que pour beaucoup de ceux qui lisent cet article, cette histoire chrétienne n’a aucun sens : Dieu nous a tant aimés qu’il a envoyé son Fils sur la terre. Jésus s’est incarné dans le bébé

dans la crèche, il a vécu une vie exemplaire, guérissant, prêchant, accomplissant des miracles. Puis il est mort comme un criminel, a pris nos péchés sur lui et a brisé la puissance du péché par son sacri-fice. Par lui une relation avec Dieu est rétablie et par lui nous pouvons connaître le pardon la liberté et la vie complète. Et peut-être que le plus difficile est de croire qu’il est revenu à la vie et qu’il est apparu physiquement à ses disciples. Pas un fantôme ou une apparition, mais le vrai Jésus vivant ! S’il vous plait, ne rejetez pas ces faits comme fan-taisistes ou sans importance. Juste un moment, regardez-les comme une vérité, la vraie vérité. Pas une fiction mais des faits.

Alors dans ce récit de Luc nous voyons le Seigneur, le Sauveur du monde, Jésus ressuscité qui prend le temps de marcher sur une route solitaire avec deux person-nes anéanties, pour leur ouvrir les yeux et leur redonner de l’espoir. Ce même Jésus vivant embrasse tous

Ne faites pas le che-min tout seul ! Jésus vous propose de marcher avec vous.

les âges. Il marche aujourd’hui sur votre route, espérant seulement que vous ouvrirez vos yeux pour le voir, vos oreilles pour l’entendre et votre cœur pour le recevoir.

Cette phrase du cantique « Seul sur la route, oppressé par mon fardeau » peut vous décrire aujourd’hui. « Etre seul » ce n’est pas mathématique. Si je suis tout seul, alors je suis seul. Non, vous et moi avons connu des moments où nous étions entourés de monde mais où nous ressentions une soli-tude, un vide que tous les corps humains du monde ne pouvaient pas combler. Le poids sur nos épaules, les fardeaux que nous portions semblaient nous couper des sourires et de l’amitié légère que ressentaient les autres. Peut-être la maladie, des soucis finan-ciers, des problèmes familiaux, des addictions, des échecs, ou même des limites imposées par les autres ont-ils contribué à laisser nos rêves irréalisés. Peut-être nous sommes-nous sentis trompés par la vie et par les gens.

Mes amis, Pâques parle de la vie,

la vie avec ses tragédies et ses triomphes. Le désespoir ne doit jamais être un choix. Vous n’avez pas besoin d’être un théologien pour comprendre Jésus. Que son histoire soit votre histoire. Jésus lui-même est avec vous. Il s’appro-che comme le dit le cantique. Pas à distance, vous reprochant votre dépression ou vos attentes limi-tées. Pas du tout ! Il est mort pour vous, et il croit en vous. Il veut que vous croyiez en lui, que vous le voyiez comme votre compagnon de tous les instants, votre Sau-veur. Ne me croyez pas sur parole. Croyez-le sur parole, et la vie ne sera plus jamais la même.

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Dans la Bible

« Seigneur, écoute ma prière, accueille mon appel avec bien-veillance. Ne te détourne pas de moi quand je suis dans la dé-tresse. Tends vers moi une oreille attentive ; le jour où je t’appelle au secours, réponds-moi sans tarder. Car ma vie s’évanouit comme une fumée, mes derniè-res forces se sont consumées.

Du fond du gouffre

ui d’entre nous n’a expé-rimenté ce sentiment terrible d’être complète-ment seul et incompris

face à sa propre détresse ? A ce propos, un poète brésilien a com-posé un texte magnifique que je vous offre avec plaisir.

Des pas sur le sableUne nuit, j’ai eu un songe.J’ai rêvé que je marchais sur une

plage, en compagnie du Seigneur.Dans le ciel apparaissaient, les

unes après les autres, toutes les scènes de ma vie.

J’ai regardé en arrière et j’ai vu qu’à chaque scène de ma vie, il y avait deux paires de traces sur le sable : l’une était la mienne, l’autre était celle du Seigneur.

Ainsi nous continuions à mar-cher, jusqu’à ce que tous les jours de ma vie aient défilés devant moi.

Alors je me suis arrêté et j’ai regardé en arrière. J’ai remarqué qu’en certains endroits, il n’y avait qu’une seule paire d’empreintes, et cela correspondait exactement avec les jours les plus difficiles de ma vie, les jours de plus grande angoisse, de plus grande peur et

aussi de plus grande dou-leur.

Je l’ai donc interrogé : « Seigneur … tu m’a dit que tu étais avec moi tous les jours de ma vie et j’ai accepté de marcher avec toi. Mais j’ai remarqué que dans les pires moments de ma vie, il n’y avait qu’une seule trace de pas. Je ne peux pas comprendre que tu m’aies laissé seul aux moments où j’avais le plus besoin de toi. »

Et le Seigneur répon-dit : « Mon fils, tu m’es tellement précieux ! Je t’aime ! Je ne t’aurais jamais abandonné, pas même une seule minute !

Les jours où tu n’as vu qu’une seule trace de pas sur le sable, ces jours d’épreuve et de souffrances, eh bien : c’était moi qui te por-tais. »

Ademar De Barros

Certains penseront que le poète brésilien, au-delà de son talent, a une imagination bienfaisante …mais fertile. Détrompez-vous ! Son poème s’appuie sur une connais-

 Marianne Hefhaf

Même lorsque nous nous sentons seuls, abandonnés,

Dieu nous promet de nous soutenir et

de nous garder.

Comme l’herbe coupée, mes fa-cultés ont perdu toute fraîcheur ; j’en oublie même de manger. On entend que mes soupirs, je n’ai plus que la peau sur les os. Je fais penser au hibou du désert, je suis comme la chouette des rui-nes. Je reste en éveil comme un oiseau solitaire sur le toit. »

Psaume 102 : 2-8

« Mais je n’ai plus la force d’espérer encore : à quoi bon patienter, je n’ai plus d’avenir. Suis-je une pierre, moi, pour résister à tout ? Mon corps est-il de bronze ? Je n’ai plus en moi-même une seule res-source, je me trouve privé du plus petit secours. »

Job 6 : 11-13

sance approfondie des textes bibliques. Pour répondre à la sup-plication du désespéré qui crie du fond du gouffre, laissons, finale-ment, la parole à Jésus le Fils, et à Dieu le Père :

« … Et sachez-le : je vais être avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde. » Matthieu 28 : 20

« L’Eternel, ton Dieu, t’a porté comme un homme porte son fils, dans tout le chemin où vous avez marché, jusqu’à ce que vous soyez arrivés en ce lieu-ci. » Deutéro-nome 1 : 31

évangile

Q

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C’est Pâques ! Merveilleuse nouvelle, la mort est morte ! Ce sont des en-fants de sept à dix ans qui vous le disent avec leurs dessins. Comme eux, laissons- nous bouleverser dans notre imaginaire, toucher par la tendres-se de leurs représentations.

en dessin

Pour Anaïs, juste Jésus et un brigand. Le ciel pleure, les crucifiés sai-gnent, mais tout en haut, en violet, Dieu envoie à chacun son amour, symbolisé par un petit cœur. Le plus touchant, vous l’aurez remarqué, c’est que les deux croix se touchent, comme si Jésus dans sa souf-france donne encore la main à son voisin.

Pour Noémie, deux petites croix, un soldat romain tout frisé, et une immense croix pour Jésus, qui trouve encore la force de sourire.

 Annelise Bergmann

La signification de Pâques exprimée par des dessins d’enfants

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en dessin

Et Jason n’a pas trop de toute la symbolique des préadolescents pour proclamer, en dessus d’une croix massive, le message de Pâques qui défie toutes les lois naturelles : la mort est morte ! Tout est dit ! Alléluia !

Pour Noémie, deux petites croix, un soldat romain tout frisé, et une immense croix pour Jésus, qui trouve encore la force de sourire.

La signification de Pâques exprimée par des dessins d’enfants

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témoignage

Sans tambourni trompette

Rien dans les mains …

« Rien dans les mains, rien dans les poches ! » Ces quelques mots sont parfois prononcés par un pres-tidigitateur avant de présenter un tour, pour laisser penser qu’il n’y a pas de trucage. « N’apportez sur-tout rien ! Venez sans rien dans les mains, rien dans les poches ! », demande souvent l’hôte aux visites qu’il invite. C’est bien sympathique, mais il est généralement assez dif-ficile d’obéir à cette recommanda-tion.

Quand Jésus nous invite à venir à lui, c’est aussi comme cela qu’il nous attend. Rien dans les mains, rien dans les poches. Car son invi-tation est gratuite. Il ne demande rien en échange de son salut, sinon d’accepter de venir à lui en toute simplicité, en toute humilité. Par contre, c’est lui qui nous ouvre ses mains percées par les clous de la croix sur laquelle il est mort pour le prix de nos péchés. Vides, mais prêtes à accueillir celui qui vient à lui.

t soudainement, elle était devant la porte, son nou-veau- né de 3 ou 4 jours dans les bras. Elle était

arrivée en Suisse juste à temps, passant la frontière avec ses deux petits pour accoucher de son troisième enfant dans la relative sécurité que nous pouvions lui proposer. D’où venait-elle exac-

tement ? Quelle tragédie, quelle histoire se cachaient-elles derrière cette arrivée abrupte ? Parlait-elle amharique ? tigrinya ? Etait-elle musulmane, chrétienne, juive ? Y avait-il quelque part un papa pour ces enfants, au pays, à l’armée, en prison, ou décédé comme tant de ses compatriotes ?

Le bébé était emballé dans un linge éponge qu’on avait dû lui donner. Il n’avait ni couffin, ni lit, ni chambre, ni jouet. Avait-il même un avenir chez nous ? Et pourtant la maman, toute fatiguée et chancelante, était radieuse en le serrant sur son cœur. Il était là ; un petit garçon, un trésor, une promesse. La maman baragouinait péniblement trois mots d’anglais. Je ne me souviens même plus comment elle s’appelait. Je lui ai demandé la permission de faire un geste de bénédiction sur son petit, un tout petit geste pour une très grande détresse, une immense incertitude, mais aussi, je l’ai découvert, une confiance à déplacer les montagnes. Ce que je n’ai pas oublié, c’est le nom qu’elle a donné à son tout nouveau-né : Eben Ezer. Et vous savez ce que cela signifie ? Eben Ezer signifie : jusqu’ici l’Eternel a secouru. Que vous dire de plus ? Il y a des fois, une foi, à laquelle il faut juste répondre amen.

Une rencontre

E Pierre-André Combremont

Quel précieux cadeau de pouvoir accueillir un enfant ! Photo symbolique.

 Annelise Bergmann

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infos

Reconstruire après le passage de la tornade

Au plus fort de l’urgence, six unités mobiles d’alimentation de l’Armée du Salut ont été actives à Hattiesburg et à travers la « Pine Belt » (région du Mississippi). Chaque unité pouvant approvisionner et servir plusieurs centaines de repas au déjeuner et au dîner, ce sont plus de 9 200 repas, 14 000 collations et 11 000 boissons qui ont été distribués en l’espace de dix joursAprès l’aide d’urgence, les équipes de l’Armée du Salut et des bénévoles

du Canada ont continué à parcourir les alentours de Hattiesburg pour distribuer des kits de nettoyage, des box de nourriture et des trousses d’hygiène.Les trousses de nettoyage se compo-sent d’un seau, d’un balai, d’éponges, de sacs poubelles, de matériel de nettoyage et de gants. Chaque box de nourriture est capable de subvenir aux besoins nutritionnels de base d’une famille de quatre personnes.« Les box de nourriture et les kits

de nettoyage permet-tront aux résidents de franchir un pas supplé-mentaire vers la nor-malité. Nous savons que ces petits gestes ne permettent pas à une personne de revenir totalement à la normale, mais nous prions qu’ils servent d’encourage-ment pour que nous puissions reconstruire ensemble. », a déclaré le capitaine de l’Armée du Salut Andy Gilliam.

INR

Le Service d’urgence en cas de catastrophe de l’Armée du Salut est engagée depuis le 10 février à Hattiesburg, Mississippi, suite aux dom-mages causés par une tornade. Plus de 200 maisons ont été endomma-gées uniquement à travers la ville.

Une maison complètement détruite après le passage de la tornade, le 10 février à Hatties-burg, Mississippi.

Mensuel de l’Armée du Salut | Laupenstrasse 5 | Case 6575 | CH-3001 Berne | Tél. 031 388 05 91 - Fax: 031 382 05 91 | Courriel : [email protected] | Internet : http://www.armeedusalut.ch | CP: 30-3117-4| Abonnement 1 an: CHF 48.-, CHF 67.- (étranger), CHF 72.- (par avion) | Fondateur : William Booth | Général e : Linda Bond | Chef de territoire : Commissaire Franz Boschung | Rédaction Berne: Gabrielle Keller (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction : Pierre-André Combremont, Yverdon-les-Bains / Marianne Hefhaf, Lausanne / Annelise Berg-mann, Suchy | Concept graphique : Didier Chassagnot | Mise en page : Rolf Messerli | Imprimerie : Rub Media SA, Wabern | Tirage : CH: 5000 ex. BE : 4000 ex. | Crédit photo : P 1 : Patrick Lüthy, AdS ; P 2 : Gilderic Photography_flickr.com ; P 3 : *pascal*_flickr.com ; P 6 : Philippe Streicher_flickr.com ; P 7: National Weather Service Jackson, Mississippi ; P 8 : cobanene_flickr.com | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines.

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PP3001 BerneAnnoncer les

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Sudoku

détente

Règle du jeuIl faut placer dans la grille, par ligne horizon-tale, verticale, également dans les 9 carrés, les chiffres de 1 à 9, sans exception. Ils peuvent être mis dans n’importe quel or-dre. Vous devez retrouver la totalité des chif-fres : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9. Voilà, le défi est lancé, à vous de jouer !

Solution du Sudoku

«  N’oublions pas que ce n’est pas le nombre et la longueur de ses branches, mais la profondeur et la santé de ses racines qui font la vigueur d’un arbre.  »      

Gustave Thibon