Le chanteur Singuila présente son nouvel album Ghetto Compositeur, qui mélange reggae, pop, rock, R’n’B, hip-hop…©

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LA MÉTÉO DE DEMAIN

Une journaliste de Mon Quotidien a suivi le travail d’une équipe du musée du Louvre sur le site archéologique de Saqqara, en Égypte. pp. 2-7

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Le chantier de fouilles de Saqqara est situé à une trentaine de kilomètres du Caire.

Numéro spécial fouillesarchéologiques en Égypte

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UNIQUEMENT PAR

ABONNEMENT

25mai2006

tous les jours sauf dimanche

et lundi

jeudi

Mon Quotidien remercie

Christiane Ziegler,

Christian Décamps et

toute l’équipe du Louvre présente à Saqqara.

ISSN 1258 - 6447 Le seul journal pour les 10-14 ans qui paraît tous les jours - 0,46 euro

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Au cœur du chantier du Louvre à Saqqara

Du 1er au 27 avril dernier, les égyptologues du musée du Louvre ont poursuivi leurs recherches à Saqqara, en Égypte, sur une zone qu’ils explorent depuis 16 ans. Mon Quotidien y était.

Le chantier de fouilles du Louvre à Saqqara s’étend sur 7 000 m2 et près de 10 mètres de profondeur. Le sol se présente comme un millefeuille : on y trouve des couches correspondant à des époques différentes, de 2 500 avant J.-C. à 800 après J.-C (de l’époque des

pyramides à la conquête arabe). Des mastabas (tombes) de l’Ancien Empire ont été mis au jour. Les prêtres et les familles des morts venaient y déposer des offrandes. 5 puits profonds de 2 à 6 mètres mènent à des tombeaux. 4 tentes ont été dressées pour ranger une partie du matériel et servir d’atelier. 2 réserves en dur ont été construites pour abriter quelques découvertes et ranger le matériel de chantier (cordes, échelles, pelles, pioches, paniers pour remonter le sable...). Le site est délimité par une clôture.

Le chantier de fouilles se trouve au pied de la pyramide à degrés du pharaon Djéser

(2 700 avant J.-C.), construite par l’architecte Imhotep. C’est la première grande

pyramide d’Égypte.

Ci-contre : 60 personnes environ ont participé au chantier de fouilles.

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A F R I Q U E

Paris

Le Caire

3 210 km

Désertdu Sinaï

M e r M é d i t e r r a n é e

M e rR o u g e

Saqqara

GizehMemphis

Le Caire

KarnakVallée

des Rois Louqsor

Abou-Simbel

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La pyramide de Djéser.

Saqqara

Les 3 grandes pyramides Kheops, Khephren et Mikérinos.

Gizeh

On y trouve les tombeaux des grands pharaons d'Égypte, dont ceuxde Ramsès II et de Toutankhamon.

La Vallée des Rois

Ville où se trouve un temple dédié au dieu Amon, bâti sous le règne du pharaon Aménophis III. Ce temple fut agrandi sous le règne de Ramsès II, qui fit aussi tailler 2 obélisques. L'un d'eux est aujourd'hui sur la place de la Concorde, à Paris.

Louqsor

Temples de Karnak

• Population : 70 millions d’habitants.• Superficie : 1 million de km2

(soit environ 2 fois la France).• Capitale : Le Caire.• Langue : arabe.

L’Égypte

Jeudi 25 mai 2006 ● Mon Quotidien ● page 3GRATUIT POUR LES ABONNÉS ! Reçois un mini-journal par e-mail dimanche et lundi : http://www.playbac.com/minijournal

Christiane Ziegler Elle dirige le Département des antiquités égyptiennes au Louvre, à Paris. Responsable de la mission de fouilles, elle définit les objectifs du chantier et coordonne le travail de l’équipe. Elle gère l’argent* de la mission, les assurances, le salaire des ouvriers…

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Pourquoi avoir lancé une mission archéologique du Louvre à Saqqara ?Ces fouilles s’inscrivent

dans une longue tradition inaugurée par Auguste Mariette en 1850. Cet égyptologue français a dégagé et sauvegardé de nombreux sites de l’Égypte antique. Il a mis au jour le Sérapeum, la tombe des taureaux sacrés Apis (lire n° 1 685), à Saqqara. Cet homme est aussi à l’origine du Musée égyptien du Caire, où il est enterré.

Le Louvre possède-t-il des objets de Saqqara ?ll possède plusieurs milliers de pièces trouvées à Saqqara, dont le mastaba (tombe) d’Akhethétep. Nous

disposions de très peu d’éléments sur son origine. C’est pourquoi nous avons orienté nos recherches sur ce site. Nous avons trouvé son emplacement. Depuis, nous avons fait d’autres découvertes.

Votre présence nécessite une autorisation...Nous devons d’abord obtenir un permis de fouilles auprès du Conseil suprême des antiquités du ministère de la Culture égyptien. Il supervise tous les travaux archéologiques en Égypte. Nous négocions tous les ans un nouveau contrat. À la fin du chantier de fouilles, nous faisons le bilan de nos recherches que nous remettons au responsable du Conseil suprême.

Auguste Mariette, égyptologue français (1821-1881).

Saqqara est la nécropole de Memphis, capitale de l’Égypte ancienne. Ce site, long de 40 km, a servi de cimetière aux Égyptiens pendant 30 siècles environ, de 3 000 avant J.-C. au Ier (1er) siècle après J.-C.Il abrite des pyramides royales ainsi que des tombeaux de hauts dirigeants et de membres des familles royales.

Nécropole :vaste cimetière dans l’Antiquité.

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Des égyptologues, avec chacun sa spécialité

Architecte. Aucune carte de la zone de fouilles n’a été réalisée. Jean-Pierre Adam (photo) et Laurent Borel cartographient le sous-sol au fur et à mesure des découvertes. Ils dessinent les plans des tombes ainsi que l’emplacement des sarcophages et des momies. Avec l’aide d’ouvriers, ils consolident les murs et les plafonds des galeries pour assurer la sécurité de l’équipe. Un autre archéologue, Guy Lecuyot, a aussi participé au chantier. Il a observé des céramiques.

Ouvriers. Une cinquantaine d’ouvriers égyptiens, dirigés par le « raïs » (chef), participent au chantier : ils creusent et dégagent les puits, édifient de petits murets de pierres sèches pour éviter les coulées de sable et les effondrements. La quasi-totalité des travaux s’effectuent à la main.

Photographe. Christian Décamps photographie chaque pièce sur le lieu de la découverte (quand cela est possible), lors de son dégagement, mais aussi une fois nettoyée et restaurée. Pour cette dernière étape, le photographe a installé un mini-studio dans une réserve du chantier. Il place une petite règle à côté de la pièce photographiée pour indiquer sa taille.

La quasi-totalité des membres de l’équipe française ont une formation d’égyptologue : spécialistes de l’Égypte ancienne, ils mènent des enquêtes pour connaître la vie des Égyptiens. Ils déchiffrent les hiéroglyphes. Ils constituent des fiches descriptives pour chacune de leurs découvertes afin de pouvoir les étudier à Paris, car ils laissent tous les objets sur place (lire p. 6-7).

Médecins. Roger Lichtenberg, radiologue, et son épouse, Martine,

médecin généraliste, font des radios des

momies. Ils étudient ainsi leur squelette sans toucher aux bandelettes de tissu. Ils développent les radios dans la salle de bains de leur hôtel ! Les radios renseignent sur la morphologie de la personne, son âge, son mode de vie, les

causes de sa mort, etc. Parfois, elles permettent

d’observer des amulettes entre les bandelettes des

momies.

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À la fin de la mission, 4 spécialistes ont rejoint l’équipe.- Victoria Assensi, une archéobotaniste, spécialiste des plantes, pour examiner le bois des sarcophages, les nattes, les paniers découverts dans les tombes... - Roberta Cortopassi, une spécialiste des

textiles, pour étudier les techniques de tissage des bandelettes des momies, par exemple.- Sandrine Pages, une chimiste spécialiste des produits utilisés pour les décors des sarcophages, tels les pigments de couleur (photo ci-dessous).- Francis Janot, un archéologue spécialiste des squelettes et des momies.

Un inspecteur du Conseil suprême des antiquités est présent sur le site. Il ouvre et ferme les puits et les réserves, matin et soir. Il représente les autorités égyptiennes. Le jour, des policiers à dromadaire (photo ci-contre) surveillent le site. La nuit, 2 gardiens les relaient, car les puits renferment des trésors inestimables.

Documentaliste. Catherine Bridonneau et Sophie Labbé-Toutée emballent et classent les objets trouvés. Elles remplissent une fiche pour chacun d’eux. Elles y inscrivent la date et le lieu de la découverte, les dimensions de l’objet, sa matière, son état de conservation... Les photos et les croquis compléteront ce document. En parallèle, elles remplissent un livre d’inventaire. Elles tiennent aussi un « journal » du chantier.

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© Sophie Bordet

Restaurateur. Marie-Françoise de

Rozières nettoie et, au besoin,

restaure les objets découverts.

Elle travaille dans les puits ou dans un

petit atelier, sous une tente. Avec

des pinceaux, des pinces, des résines,

elle recolle des pièces, fixe

les couleurs, etc.

Restaurer :réparer, remettre en état.Hiéroglyphe :signe d’écriture des anciens Égyptiens.Morphologie :aspect général du corps humain.Amulette :petit objet porte-bonheur.Inventaire :liste précise et détaillée.

Dessinateur. Nathalie Couton-Perche relève des détails de sarcophages et d’objets sur un calque (inscriptions, décors...). Un hiéroglyphe effacé ? Elle devine la partie manquante et la reconstitue, en respectant le style de l’artiste d’origine. Elle réalise aussi des croquis et des plans de sarcophages en y indiquant des mesures. Son travail complète celui du photographe.

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Sarcophages de SaqqaraSaqqara abrite des trésors inestimables. Voici quelques découvertes récentes de l’équipe du musée du Louvre. Celles de cette année n’ont pas encore été dévoilées !

À savoir

Sarcophage « barbu ». Ce sarcophage en bois est très décoré : on y voit un scarabée ailé, un collier « ousekh » (large), la déesse ailée Nout à genoux… La momie qu’il contenait a été endommagée par des pilleurs.

Que deviennent les découvertes ?

Imhotep. Ce sarcophage a été trouvé en 2003. Seuls les yeux sont peints. Son nom, Imhotep (qui n’est pas l’architecte de la pyramide de Djéser) et sa date d’inhumation (360 avant J.-C.) sont inscrits sur le sarcophage. Il a été sorti de la tombe cette année pour être présenté dans la vitrine réservée au Louvre au nouveau musée Imhotep de Saqqara. La momie a été laissée sur le lieu de la découverte, avec une photo du sarcophage pour lui permettre de poursuivre son voyage dans l’éternité, selon les croyances de l’époque.

« Nous remettons les résultats de nos travaux au responsable du Conseil suprême des antiquités égyptiennes, explique Christiane Ziegler, chef du chantier de fouilles. Nous ne dévoilons rien de nos découvertes tant que lui-même n’en a pas fait l’annonce. C’est la règle. Les objets mis au jour sont reposés là où ils ont été trouvés, ou placés dans des réserves dont s’occupent des égyptologues égyptiens. Les plus belles pièces sont exposées au Musée égyptien du Caire ou au nouveau musée Imhotep de Saqqara. Nous ne rapportons rien en France, même si la loi autorise le partage des œuvres découvertes. Les dernières antiquités égyptiennes entrées au musée du Louvre sont des achats. »

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« Il n’y a pas deux sarcophages identiques »« Chaque découverte me procure une émotion intense. Je ne connais pas de lieu équivalent à Saqqara. La première fois que nous nous sommes retrouvés devant des momies et des statuettes, nous nous sommes mis à parler à voix basse. Les objets sont d’une grande richesse et d’une rare beauté. Il n’y a pas 2 sarcophages identiques. Le premier regard est unique.

C’est un vrai plaisir d’être le premier à les découvrir après des milliers d’années. On abolit les millénaires. Cela donne aussi le sentiment de “casser” une éternité. Les autorités égyptiennes souhaitent dégager les plus belles pièces. Je préférerais les laisser sur place pour ne pas dépouiller le site. »

Jean-Pierre Adam, égyptologue et architecte.

Inhumation :enterrement.Abolir :annuler, supprimer.Scribe : dans l’Antiquité, personne qui rédigeait les papiers officiels ou religieux.

Funéraire :qui concerne la cérémonie d’enterrement.Bas-relief :sculpture effectuée sur un bloc plat, et dont le relief est peu marqué.

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Sarcophage doré. Ce sarcophage de femme a été trouvé dans une tombe pillée. Il était intact. Son nom et sa date d’inhumation ne sont pas connus. Ses décorations sont très travaillées.

À lire

• L’Égypte au Louvre, une visite guidée, de Geneviève Pierrat-Bonnefois (RMN 1998, 5,95 €).

• Encyclopédie Fleurus Junior-Égypte, de Florence Maruéjol (Fleurus, 19,95 €).

• Atlas de l’Égypte des pharaons, de Florence Maruéjol (éd. Casterman, 22,75 €).

Momies aux pieds cartonnés. Ces momies avec des « pieds cartonnés » ont été aperçues par une petite ouverture en 2005. On pense qu’elles ont été enterrées vers le milieu du IVe (4e) siècle avant J.-C.

À voir

Les Secrets du trésor de Saqqara, documentaire de Frédéric Wilner, DVD, (France 3, 22 €).

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La salle du temple, au Louvre.

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Le Département des antiquités égyptiennes du Louvre

L’Égypte antique te fascine ? Cours au musée du Louvre !Le Département des antiquités égyptiennes du musée présente des milliers d’œuvres de la civilisation qui a duré en Égypte de la fin de la préhistoire, vers 4000 ans J.-C., à l’époque chrétienne, au IVe (4e) siècle après J.-C. Il a été créé en 1826. Il était alors dirigé par Jean-François Champollion, célèbre pour avoir déchiffré les hiéroglyphes. Les œuvres proviennent de collections de particuliers et de chantiers de fouilles : en 1852 et 1853, Auguste Mariette, en mission en Égypte pour le Louvre, envoya près de 6 000 œuvres à Paris, dont le fameux Scribe accroupi.

Au rez-de-chaussée, des salles présentent des objets de la vie quotidienne classés par thème (instruments de musique, bijoux, jouets...). On peut aussi y admirer le mastaba (tombe) d’Akhethétep, la chapelle funéraire (une partie du mastaba) en granite rose de Ramsès III, de magnifiques sarcophages et d’étonnantes momies d’animaux. Au premier étage, des salles présentent l’évolution de l’art égyptien au fil des siècles. On peut y voir le Scribe accroupi, une statue d’Aménophis IV, un bas-relief de la déesse Hathor et du roi Séthi Ier...

Des visites guidées et des ateliers sont organisés pour les enfants (ateliers sur le thème des hiéroglyphes, de l’art égyptien au temps des pharaons, etc.).Renseignements par tél. : 01 40 20 51 77 ou sur Internet : www.louvre.fr

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Play Bac Presse SARL*, 33, rue du Petit-Musc, 75004 ParisRÉDACTION : 21, rue du Petit-Musc, 75004 Paris. Tél. : 01 53 01 23 60ABONNEMENTS : MON QUOTIDIEN - B 460 - 60732 SAINTE-GENEVIÈVE CEDEX

TÉL. : 0825 093 393 (0,15 € TTC/MIN) - FAX : 03 44 12 57 55ABONNEMENTS EN SUISSE : ABONNE@EDIGROUP.CH

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« Mes mots reflètent mon milieu d’origine »

M6 DIFFUSE LE CLIP DE GHETTO COMPOSITEUR

Ghetto Compositeur est le nouvel album de Singuila. Il s’était fait connaître avec le titre On ne vit qu’une fois.

Singuila est un chanteur français de R’n’B.

Serrure - « Sur la pochette de l’album, on aperçoit mon œil derrière un pendentif représentant le S de mon nom… J’ai un regard un peu malin. C’est comme regarder à travers le trou d’une serrure. Je propose de venir découvrir mon univers. »

Titre de l’album - « Ghetto Compositeur est le titre d’un de mes morceaux et celui de l’album. Ces mots ont pour but de crédibiliser les artistes venant de la banlieue. Nous ne sortons peut-être pas du conservatoire, mais notre musique vaut quelque chose. Nous avons le feeling… On peut nous comparer aux grands footballeurs ou aux basketteurs issus de la rue. Ils ont un style bien à eux. »

Vocabulaire - « Je n’hésite pas à utiliser un vocabulaire

cru. Car c’est le mien. Mes mots sont ceux du langage courant des jeunes. Ils reflètent mon milieu d’origine. »

Cinéma - « J’aime le cinéma. Mes morceaux sont construits : je chante des petits contes, des histoires avec un début et une fin. Dans cet album, on entend

du reggae, du rock, de la pop, du hip-hop, de la soul… Je ne voulais pas de boîte à rythmes. C’est facile de faire danser en boîte de nuit. Moi, j’aime les instruments de musique et j’ai évité d’utiliser trop d’électro. Le R’n’B français cherche à copier les États-Unis (Amérique). Dommage ! »

Entretien réalisé par R. Botte

Singuila a travaillé avec de nombreux artistes comme Wallen, Jamelia, Lino d’Arsenik ou Jacky des Neg’Marrons…

Ce documentaire raconte l’histoire de la NASA : du 1er homme sur la Lune à la création de la Station spatiale internationale.Durée : 1 heure 40 min.

Bradin décide d’aller à Hawaii pour participerà une compétition de surf. Mona et Johnny fêtent l’ouverture de leur bar, avec des amis.Durée : 52 minutes.

F5 - DEMAIN - 16 H 10LA NASA, COULISSES ET HISTOIRES SECRÈTES

M6 - DEMAIN, 18 H 55SUMMERLAND

Crédibiliser :rendre sérieux aux yeux de tous.Feeling :ressenti, en anglais.

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