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our épartement....4.20 | 2.00 Etranger _ PAR MOIS. bur aux du journal, angle des rues Bourjolly Fort-Per. troupes du Sultan avec celles du | prétendant,s’est terminée par la dé- route des troupes du Sullan qui lais- | sérent 22 morts sur le terrain.--- Le | prétepdant u'aperdu que t0hommes. , au sujet des q ciloyens américains. ise,le Gouvernement efusede soumetireces| 2 | . | Siles grandes. douleurs sont~vrai- | un tribanal d’arbi- t que ce refus améne- relalions diploma- Vénézgndla et les (Carolina du Nord), ya 10 heures, est. eur fédéral Petties, de | ti les femmes et Le canitain é haute - espagnol : hier de Valenci BRLLEGARDE : Mesdames, Messieurs, - menl mueltes. Jaurais dQ pouvoir ine tuire devant cette tombe. Mais si triste “que soit” le devoir qui nous incombe lorsque neous sommes appelés a dire un derner adieu & un. cher dispar ne reculerui pas devant li tache ; car | Crtment BeLvecarpe, |'étre cher dont | la perie prématurée nous plonge en ce | | moment dans une si profonde affliction, | York) 29.—~ Le pe- | Obtenacs, qui fait le: ac Cayuga.a été com. | BS Ge t par un incendie, | mort en Lemportant si brusquement, plus de 50 passagers:. fut non seulement mon camarade de classe el mon ami, mais nous vivior(s | lun et autre comme deux fréres. La saus m'avoir méme accordé la consola- tion de Vussister dans ses derniers | Moments de soulfrance, lu mort, dis-~ e, vient de briser entre lui et moi un j stiacnsiventiosneri G a | iS © TIS ee : Je ne lasserai pas volre douleur, Mesd imes, Messieurs,en retracaut tou- | tes les péripeties de cette courte mais belle vie. Tous nous I pe ne parn ,.. | brillantes qualités qui ornaieut le ceour prit do défunt. vec toutes les prit ardent, toujours occupé de avail su gattirer toul Quand ib Ss les sym- olongée que soutenaient. les | onnaissons, et | anne parmivousgui iaient | re vivantes dans sa pensée tant de | dispositions d'un | &! ISSO CORI BT et a - da | et un bon époux, lous” ces regrets ir | quelque noble passion, Ciément BELLE | priment notre douleur plus hautemer meee pa : | | cée National, e1 mon nom perse ‘comme la mauvaise fortune, ria ; plus souvent de. ses malheurs comme s'il n’en. aviit jamais ~souffert. Amant. pissionné des choses de l'esprit, il ne- perdait jamiuis une occasion de s'ins- trv esse guidé par lidée que | Vactivité hOmaine doit étre 4 tout ins- tant appliqute a quelque.chose d’utile. - Voila Vinfatigable activité qui vient de s’éteindre sans nous donner aucun. ~ averlissement ; voila quel fut Vami | que nous pleuronsaujourd hui.Sa mort | nous plonge tous dans le deuil et nous donne une fois de plus le spectacle de | la fragilité des choses humaines en nous i_montrant 4 cette heure, dans le froid du fombeau, homme gue hier encore © nous aurions pu olfrir comme un mo- déle de force de santé et d’énergie. Si au moment. ot tu entres dans ta derniére demeure,il mest permis, mon cher BeLtecanps, dadresser une pa-- ‘role de consolation a ta famille éplorée, a tant d’étres chers dont la douleur est si légitime en face de ton cercueil, je les convie de prendre en Jegon ta haute philosophie en se rappelant que ceux - qui s’en vont de-ce monde le plu géa d’unnées ne sont pas ceux qui-ont le plus et le mieux vécu.@Si vivre,c’est | agir, c'est faire usage de lous nos or- _ gaues, de toutes nos facultés, de toutes les parties. de nous mémes qui nous -donnent-te-sentiment de notre existen- _ cen, 4 ce compte, ami,.tu a su tirer de la vie ce qielle a de meilleur et de plus noble. - ee ‘Tu _vivras dene longtemps dan é@ur ; et les regrets unanim | laisses comme uu rude champion, un officier d élite. un professeur de méri | te, un ami dévoné,un pirent affect et par dessus lout comme un bon fils. -quede vaines pwoles ar | An nom des anciens élévesdu Ly Vadresse, mon cher BELLEGARDE, -adieu. P

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Page 1: Etranger PAR MOIS....our épartement....4.20 | Etranger 2.00 _ PAR MOIS. bur aux du journal, angle des rues Bourjolly Fort-Per. troupes du Sultan avec celles du | prétendant,s’est

our épartement....4.20 | 2.00 Etranger

_ PAR MOIS.

bur aux du journal, angle des rues Bourjolly Fort-Per.

troupes du Sultan avec celles du | prétendant,s’est terminée par la dé- route des troupes du Sullan qui lais-

| sérent 22 morts sur le terrain.--- Le

| prétepdant u'aperdu que t0hommes.

, au sujet des q ciloyens américains. ise,le Gouvernement

efusede soumetireces| ™ 2 | . | Siles grandes. douleurs sont~vrai- | un tribanal d’arbi-

t que ce refus améne- relalions diploma-

Vénézgndla et les

(Carolina du Nord), ya 10 heures, est.

eur fédéral Petties, de |

ti les femmes et

Le canitain

é haute - espagnol : hier de Valenci

BRLLEGARDE :

Mesdames, Messieurs, -

menl mueltes. Jaurais dQ pouvoir ine tuire devant cette tombe. Mais si triste “que soit” le devoir qui nous incombe lorsque neous sommes appelés a dire un derner adieu & un. cher dispar

ne reculerui pas devant li tache ; car | Crtment BeLvecarpe, |'étre cher dont | la perie prématurée nous plonge en ce |

| moment dans une si profonde affliction, | York) 29.—~ Le pe- |

Obtenacs, qui fait le: ac Cayuga.a été com. | BS Ge

t par un incendie, | mort en Lemportant si brusquement,

plus de 50 passagers:.

fut non seulement mon camarade de classe el mon ami, mais nous vivior(s |

lun et autre comme deux fréres. La

saus m'avoir méme accordé la consola- tion de Vussister dans ses derniers | Moments de soulfrance, lu mort, dis-~ e, vient de briser entre lui et moi un

j stiacnsiventiosneri G a | iS © TIS ee :

Je ne lasserai pas volre douleur,

Mesd imes, Messieurs,en retracaut tou- | tes les péripeties de cette courte mais belle vie. Tous nous I

pe ne parn

,.. | brillantes qualités qui ornaieut le ceour prit do défunt. vec toutes les

prit ardent, toujours occupé de

avail su gattirer toul Quand ib

Ss

les sym-

olongée que soutenaient. les |

onnaissons, et |

anne parmivousgui iaient |

re vivantes dans sa pensée tant de |

dispositions d'un | &! ISSO CORI BT et a - da | et un bon époux, lous” ces regrets

ir | quelque noble passion, Ciément BELLE | priment notre douleur plus hautemer meee pa : |

| cée National, e1 mon nom perse

‘comme la mauvaise fortune, ria ; plus souvent de. ses malheurs comme s'il n’en. aviit jamais ~souffert. Amant. pissionné des choses de l'esprit, il ne- perdait jamiuis une occasion de s'ins- —

trv esse guidé par lidée que | Vactivité hOmaine doit étre 4 tout ins- — tant appliqute a quelque.chose d’utile. - Voila Vinfatigable activité qui vient de s’éteindre sans nous donner aucun. ~ averlissement ; voila quel fut Vami

| que nous pleuronsaujourd hui.Sa mort | nous plonge tous dans le deuil et nous donne une fois de plus le spectacle de

| la fragilité des choses humaines en nous i_montrant 4 cette heure, dans le froid du fombeau, homme gue hier encore © nous aurions pu olfrir comme un mo- déle de force de santé et d’énergie.

Si au moment. ot tu entres dans ta derniére demeure,il mest permis, mon cher BeLtecanps, dadresser une pa-- ‘role de consolation a ta famille éplorée, a tant d’étres chers dont la douleur est si légitime en face de ton cercueil, je les convie de prendre en Jegon ta haute philosophie en se rappelant que ceux - qui s’en vont de-ce monde le plu géa d’unnées ne sont pas ceux qui-ont le plus et le mieux vécu.@Si vivre,c’est | agir, c'est faire usage de lous nos or- _ gaues, de toutes nos facultés, de toutes — les parties. de nous mémes qui nous — -donnent-te-sentiment de notre existen- _ cen, 4 ce compte, ami,.tu a su tirer de la vie ce qielle a de meilleur et de plus noble. - ee ‘Tu _vivras dene longtemps dan

é@ur ; et les regrets unanim | laisses comme uu rude champion, un officier d élite. un professeur de méri

| te, un ami dévoné,un pirent affect et par dessus lout comme un bon fils.

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| An nom des anciens éléves du Ly

Vadresse, mon cher BELLEGARDE, -adieu. P

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- HOUVELLES. DIVERSES. =

Socists Astronomique” et MErfonoLocique DE Port-au-PRINCE Observations faites ce matin & 7 beures

Pression barométriquée 40>... 763 seh iy Température a Pombre. eee. oe 528? 8 Homidité relative en centiémes..6f 0° ~

« Direction du vent...0.. Est 25° Sad. Nébulosité........Alto cumalus 1 Pluie... e cece ce ceoee veces NEANt

rilité sia Maximum de température d’bier 37° 3 de Paul de Port-: Minimum & 24° 2 Proportion d’ozone | 6,

Observations particuliéres: on dit beaucoup de bien € Eclairs a Quest et au“Nord dans la} par conséquent le concours officie

soirée d’hier. lexcellente mesure price ~Nowmbreax groupes de mouvements sis- | Législatif constitue dans |

mniques ont été enregistrés dans les 24 b. | sérieux appoint poer lor jusqu’’a ce matin 2 6 heures 30. | Passistance publique.

le Directeur de | Observatoire, | Aussi sonhaitons cous que les Fr. CONSTANTIN. mentaires déja en bonne voie. f

Chambre des Deputes en méme temps le développement

Laborieuse séance landi Ala Chambre. |

Aprés sanction d’un procés-verbal, Por- i homanitaire. De telles initiatives dre du jour fur interverti pour entendre | | toujours houneur & leurs promotears. le rapport de la Commission do Budget ; }

PP B Lycée Pétion oe ce document a é1é envoyé 4 "impression. laiie, La lecture de la correspondance pré- | _Nous annongons avec. iy Lyte r ‘Pio

, sentait, eotr autres, une refat ation par M. Redalphe-Gardére de ta-protestarion tte = aoraee-bientor; a} . C. 5, — un o message da Sénat exposant | depuis deux mois, s gue ce Grand Corps a réduit a rso gdes | << les appointements de [Instructeu: en] chef de la Garde du Gouvernement et 3 200 ceux de (Iogénieur-en chef de la-flo- | tille haitienne ; ces mod fications sont

- adaptées par la Chambre, | laloigqui es rept josqo’l ‘ici ie matier Le Seciétaire d Etat des Travaux pues dont Js modification 3h pose

blics lit et dtpo e ensuite un projet de lot | rendre confarme au régime ace, sur la police des Chemins de fer. ~ Paccordé bien des. coacessions de Mi

Enfic sont vorées la propossion dela} [lest utile de reveniy 657 loi sur la Equidation jadiciaire, celle az- | que le tréror public peut arr uirer cordant une renie vispere de 100 gourdes | de cette Industrie extractive ae tend ; a Mr Péeviow Dérré, archiviste da Palai “établir-dens-te+ 4 ce tls déclarant Vane publique les Hose |

dreserver ¢ contre le~

| sédait rien que son. amo | honnéteté, armes puis vcd pada ne | faire durer UY ‘ban “Quant a “Bernard. Dargennes, trois mola |

aprés l’arrivée de Vilma en Haiti, troublé | qué -par la présence dans sa BBHion, ts celle sds duisante fille, il essayait d -inflvence a laque soi, et qu'il subissait contre son gré, mais | jenne et tissue nléj apo ni Vobsédait comme le signe avant-coureuc | amoindrir. Dans les entrain van peril. fedoutable, mondaine, Bern Se marier a si-deux. ans, sans-avoir bu | sions heureuses s, qui lui aya coupe amére de la passion, sang avoir | installé A la ane

Jas emandé anx caprices des fernmes la science | ché de celle qui ce dela vie, sans avotr interrogé Vamour qui} Lilsolement, le ealr passe, pour connaltre le prix de Vamour pour la passion des _» oi dure, apperter dans le marisge une 4me | las Merge et loutesses illusions, vorlé ce qui est Yate et ce qui étre considéré comm page de bonheur. A ane condition se aeepes cesl qu'asucune tentalion ne vee Tra

Ja jorledece copay q

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