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Étude des facteurs de coagulation dans le plasma frais congelé (PFC) conservé à +2–6°C pendant 15jours

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Page 1: Étude des facteurs de coagulation dans le plasma frais congelé (PFC) conservé à +2–6°C pendant 15jours

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Symposiums / Transfusion Cliniq

EFS Auvergne-Loire, Saint-Étienne, FranceAuteur correspondant.dresse e-mail : [email protected] (P. Oriol)

n groupe de travail animé par le correspondant d’hémovigilance mis en placeès 2007 au CHU de St-Étienne associe tous les secteurs du CHU et des repré-entants de l’EFS.u bout de six ans, le constat appuyé sur plusieurs audits et indicateurs est le

uivant :la mise à jour de toutes les procédures de gestion d’identité, l’organisatione la transmission continue d’informations entre les différents services et’EFS de même que la participation d’un biologiste de l’EFS à la cellule’identitovigilance ont permis une réduction notable des anomalies de saisie’identités et des doublons EFS et CHU, même si des anomalies persistent ;le bracelet d’identification posé à l’entrée de tout patient est de mieux en mieuxccepté et utilisé ;les démarches d’information menées auprès des usagers (affiches, bandeessinée. . .) leur permettent de comprendre et d’accepter les mesures misesn œuvre ;l’intérêt des professionnels pour cette démarche est réel comme en témoignent :leur participation active aux réunions de travail et les modifications de pratiquesans des secteurs variés : néonatalogie, obstétrique, réanimation, bloc opératoire,iologie, imagerie, transport. . .,le taux d’agents inscrits aux formations mises en place,la déclaration croissante d’évènements indésirables avec demande de réunions’analyse des causes ;reste à mobiliser davantage le secteur médical, mais la formation qui débuteu niveau des étudiants en médecine devrait y contribuer.’unité d’hémovigilance et l’EFS doivent rester au centre de cette démarche,ui contribue également à la fiabilité du dossier régional transfusionnel tel qu’ilxiste en Auvergne-Loire avec Edital.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2013.04.104

23 – Plasmaodérateurs : A. Sailliol, T. Schneider

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mpact du type de plasma utilisé sur l’évolution cliniquees patients atteints de purpura thrombotiquehrombocytopénique – Cohorte multicentrique nationaleu Centre national de référence des microangiopathieshrombotiques (CNR-MAT) de 2005 à 2010. Toussaint-Hacquard a,∗, P. Coppo b, M. Soudant c, L. Chevreux a,

. Mathieu-Nafissi a, S. Malot b, T. Lecompte a, S. Gross a, F. Guillemin c,

. Schneider d

EFS Lorraine Champagne, Vandœuvre-lès-Nancy cedex, FranceCentre national de référence maladies rares microangiopathies

hrombotiques, CHU de St-Antoine, Paris, FranceInserm CIC CIE6, service d’épidémiologie et d’évaluation cliniques, centre’épidémiologie clinique, Vandœuvre-lès-Nancy, FranceEFS Pays de Loire, Nantes, FranceAuteur correspondant.dresse e-mail : [email protected]

M. Toussaint-Hacquard)

ntroduction.– Le traitement de référence du purpura thrombotique thrombo-ytopénique (PTT) repose sur les échanges plasmatiques quotidiens jusqu’àémission.bjectif.– Déterminer si le type de plasma utilisé en France lors des échangeslasmatiques est un facteur prédictif de l’évolution clinique dans le PTT.

éthodes.– À partir du registre du CNR-MAT, une analyse nationale

étrospective a été menée sur 108 épisodes (81 traités par du PVA SD seul,t 27 avec du PFC-se seul) chez des sujets adultes traités pour un épisodenitial de PTT acquis idiopathique entre 2005 et 2010. Le critère de juge-

trLN

Biologique 20 (2013) 261–284 283

ent était le délai de normalisation de la numération plaquettaire (DNNP)> 150 G/L).ésultats.– Tous les patients avaient un déficit sévère (< 10 %) acquis enDAMTS13. Le DNNP médian était plus court chez les patients ayant recuu PVA SD que chez ceux traités avec du PFC-se (médiane : 15 versus 17 jours,= 0,030 test log-rank). La régression de Cox multivariée a montré que les fac-

eurs significativement associés (risque relatif, intervalle de confiance à 95 %) àn DNNP plus court étaient : le plasma PVA SD pour une numération plaquet-aire (NP) initiale inférieure à 18 G/L (63 % des patients) (1,94 [1,17 ; 3,23] RRéterminé à la NP médiane de 14 G/L), l’âge inférieur à 40 ans (1,63 [1,07–2,48])t l’absence de traitements additionnels (3,26 [2,08–5,10]).onclusion.– Les résultats sont en faveur d’un effet bénéfique du PVA SD vsFC-se sur le DNNP pour des NP initiales inférieures à 18 G/L (ce qui représente

a majorité des patients). Bien que cette étude soit à ce jour celle avec le plusort effectif, un essai randomisé serait nécessaire pour confirmer ces résultats.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2013.04.105

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tude des facteurs de coagulation dans le plasma fraisongelé (PFC) conservé à +2–6 ◦C pendant 15 jours.-G. Chartois-Leaute a,∗, M. Toussaint-Hacquard b, B. Laviron a, S. Gross b,. Schneider a

EFS - Pays de la Loire, Nantes, FranceEFS - Lorraine Champagne, Nancy, FranceAuteur correspondant.dresse e-mail : [email protected] (A.-G. Chartois-Leaute)

es nouvelles recommandations de transfusion de PFC préconisent une trans-usion précoce de plasma en cas d’hémorragie massive. Du fait du processus deécongélation des PFC, la délivrance de ce PSL ne peut se réaliser, le plus sou-ent, qu’une heure après la prescription médicale. Une solution pour une misedisposition rapide de PFC est la constitution par le service de délivrance, d’un

tock d’urgence de PFC conservé à +4 ◦C. Des travaux montrent une activitéoagulante compatible avec une efficacité thérapeutique pendant cinq à 28 jours.ertains pays autorisent ainsi la conservation à +4 ◦C de plasma décongeléendant des périodes allant jusqu’à cinq jours.otre étude porte sur l’évolution de l’activité des facteurs de coagulation dans leFC sécurisé par quarantaine décongelé et conservé à 2–6 ◦C pendant 15 jours.rente plasmas issus d’aphérèse mixte CPA-Plasma sont échantillonnés puisurgelés en deux poches unitaires.

j0, une unité est décongelée à 37 ◦C ± 2 ◦C et divisée en deux sous-unitésSU1 et SU2), SU1 est gardée à température ambiante pendant six heures puisonservée à 2–6 ◦C tandis que SU2 est directement stockée à 2–6 ◦C. Les deuxU sont ainsi conservées 15 jours. À j15, la deuxième poche est décongelée.es activités des facteurs II, V, VII, VIII, IX, X, XI, le facteur Willebrand anti-ène, le fibrinogène, l’antithrombine, les protéines C et S, le TP et le TCA sontesurés à j0, j0 + 6 heures, j1, j2, j5 et j15. Un contrôle de stérilité est réalisé à

15.eurs taux sont comparés à ceux obtenus sur l’échantillon témoin prélevé avantongélation et sur l’unité témoin conservée à –30 ◦C et décongelée à j15.es résultats de cette étude seront présentés lors du congrès.

ttp://dx.doi.org/10.1016/j.tracli.2013.04.106

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raitement du plasma par la riboflavine. Boussoulade ∗, S. Acquart , P. Morata , P. Chavarin , C. Argaud ,. Garraud

EFS - Auvergne-Loire, St-Étienne, FranceAuteur correspondant.dresse e-mail : [email protected] (F. Boussoulade)

e procédé Mirasol est un procédé d’atténuation des pathogènes qui permet de

raiter le plasma à usage thérapeutique issu d’aphérèse ou de sang total avec laiboflavine pour agent photo inactivant.e plasma d’aphérèse traité issu du procédé Mirasol est déjà utilisé en Europe.on encore inscrit sur la liste des PSL en France, il a fait l’objet d’une étude