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Eugène Boudin Pour les articles homonymes, voir Boudin . Eugène Boudin Portrait d'Eugène Boudin Naissance 12 juillet 1824 Honfleur , France Décès 8 août 1898 (à 74 ans) Deauville , France Nationalité Française Activités Peinture Élèves Claude Monet Mouvement artistique Impressionnisme Influencé par Adolphe-Hippolyte Couveley Récompenses Médaille d'or à l'Exposition universelle de 1889 modifier Eugène-Louis Boudin est un peintre français , né à Honfleur (Calvados ) le 12 juillet 1824 , mort à Deauville (Calvados) le8 août 1898 . Il fut l'un des premiers peintres français à saisir les paysages à l'extérieur d'un atelier. Grand peintre demarines , il est considéré comme l'un des précurseurs de l'impressionnisme . Sommaire [masquer ] 1 Biographie

Eugène Boudin

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Page 1: Eugène Boudin

Eugène Boudin Pour les articles homonymes, voir Boudin.

Eugène Boudin

Portrait d'Eugène Boudin

Naissance12 juillet 1824

 Honfleur, France

Décès8 août 1898 (à 74 ans)

 Deauville, France

Nationalité  Française

Activités Peinture

Élèves Claude Monet

Mouvement artistique Impressionnisme

Influencé par Adolphe-Hippolyte Couveley

Récompenses Médaille d'or à l'Exposition universelle de 1889

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Eugène-Louis Boudin est un peintre français, né à Honfleur (Calvados) le 12 juillet 1824, mort à Deauville (Calvados) le8 août 1898. Il fut l'un des premiers peintres français à saisir les paysages à l'extérieur d'un atelier. Grand peintre demarines, il est considéré comme l'un des précurseurs de l'impressionnisme.

Sommaire

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1 Biographie

o 1.1 La carrière de papetier

o 1.2 Les débuts artistiques

o 1.3 Le tournant impressionniste

Page 2: Eugène Boudin

2 Son œuvre

o 2.1 Quelques tableaux

o 2.2 Galerie

3 Distinctions

4 Notes et références

5 Voir aussi

o 5.1 Bibliographie

Biographie[modifier | modifier le code]

La carrière de papetier[modifier | modifier le code]

Plage à Trouville.

Eugène Boudin est né à Honfleur, en Normandie, fils de Léonard-Sébastien Boudin (1790-1863) et de son épouse Marie-Félicité Buffet (1793-1871) qui lui donnent en 1821 une sœur, prénommée Rose Désirée et en 1827 un frère prénommé Louis. Son père était marin sur les bateaux assurant la liaison Le Havre-Hambourg et sa mère était femme de chambre sur ces bateaux1.

En 1835, sa famille déménage au Havre. À dix ans, il travaille comme mousse sur un bateau à vapeur assurant la liaison entre Le Havre et Honfleur. Par la suite, son père l'établit comme commis chez l'imprimeur Joseph Morlent, puis chez le papetier Alphonse Lemasle. Il commence à travailler l'année suivante comme assistant dans une boutique de papetier-encadreur1.

Les débuts artistiques[modifier | modifier le code]

Canal à Bruxelles.

En 1844, alors âgé de 20 ans, Eugène Boudin fonde avec un associé sa propre boutique de papetier-encadreur où il expose les œuvres des artistes de passage. Dans le cadre de son travail, il entre ainsi en contact avec des peintres des environs associés à l'école de Barbizon, notamment Constant Troyon, Eugène Isabey, ou des artistes comme Charles Baudelaire. Eugène se met alors à dessiner, puis à 22 ans – encouragé par Jean-François Millet et Thomas Couture – il abandonne le monde du commerce et se lance dans une carrière artistique. Il suit des cours à l'école municipale de dessin du Havre et ne se consacre alors plus qu'à la peinture1.

En 1851, grâce au soutien du journaliste Alphonse Karr ainsi que de Constantin Troyon, de Thomas Couture et du conservateur du musée du Havre Adolphe-Hippolyte Couveley 2 , il reçoit du conseil municipal du Havre une bourse d'étude de 1 200 francs par an, afin d'aller étudier la peinture à Paris pendant trois ans. La Société des Amis des Arts du Havre dit alors de lui : "Il prit le crayon, il prit le pinceau et sans autres leçons qu'un sens merveilleux, une volonté opiniâtre, il est devenu peintre, mais peintre créateur, peintre avec son individualité, son originalité personnelle."3 C'est ainsi que, le 30 juin 1851, il rejoint la capitale et étudie la peinture au sein de l'atelier d'Eugène

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Isabey ainsi qu'au Louvre où il s'inscrit comme élève copiste. Eugène Boudin y réalise des copies de peintures de maîtres (notamment hollandais et flamands) pour quelques amateurs, ce qui lui permet d'approfondir son apprentissage4. Il produit également de nombreuses natures mortes entre 1853 et 1865, genre fort apprécié des bourgeois de l'époque5.

Dès 1855, il adopte un rythme de vie particulier passant ses hivers à Paris et ses étés en Normandie à Honfleur, tout en séjournant régulièrement en Bretagne à Douarnenez,Tréboul et ses environs. À Portrieux, il peint les bateaux terre-neuvas et « Un an avant sa mort, il fait un long voyage entre Le Croisic et la pointe du Raz en passant par Pont-Aven » 6.

Boudin fait sa première exposition en 1857 à Paris et la même année il parvient à vendre une vingtaine de ses toiles à l'occasion d'une vente aux enchères au Havre.

Rivage de Portrieux, Côtes-du-Nord.

Au cours de l'année 1859, le peintre – alors âgé de 35 ans – expose sa première toile au Salon à Paris : Un pardon à Saint-Anne-la-Palud. Il se fait remarquer pour ses atmosphères et ses pastels originaux, et reçoit conseils et hommages du poète Charles Baudelairerencontré la même année alors qu'il est en villégiature chez sa mère. Il se lie également d'amitié avec Gustave Courbet qui, ayant remarqué une peinture de Boudin chez un commerçant parisien, chercha à rencontrer son auteur. Il rencontre aussi le peintre hollandais Johan Barthold Jongkind  et surtout Claude Monet 7  qu'Eugène Boudin initiera à la peinture en plein-air, notamment lors des séjours à laferme Saint-Siméon à Honfleur où se retrouvent régulièrement de nombreux peintres parisiens et normands4. Monet dira de lui "Si je suis devenu peintre, c'est à Boudin que je le dois" car son maître et ami lui apprend "à voir et à comprendre"8.

En 1862, alors qu'il est fatigué de réaliser des œuvres de commandes pour vivre difficilement de son art, il assiste à la naissance de la mode des bains de mer et à la création de Deauville, nouvellement desservie par le chemin de fer. Il a alors l'idée en voyant les estivants de la bourgeoisie et de la noblesse parisienne flâner sur les plages des stations balnéaires normandes de représenter ces mondanités et ces élégantes. Ces scènes de plage ne rencontrent pas le succès du public qui juge ses peintures voyeuristes et bâclées mais attirent l'attention des critiques et des artistes d’avant-garde9. "On aime beaucoup mes petites dames sur la plage", écrit-il par exemple en février 1863 à son ami Ferdinand Martin, "d'aucuns prétendent qu'il y a là un filon d'or à exploiter"10. Mais dans ces peintures mondaines, la véritable quête du peintre reste la recherche de la lumière. Boudin aspire avant tout à "chercher son rayonnement, la fulguration, la condenser, la poursuivre dans sa chaleur". En témoigne la composition des tableaux où le ciel occupe toujours une très large bande supérieure11.

Le 14 janvier 1863, Eugène Boudin se marie avec Marie-Anne Guédès, née le 17 avril 1835 à Ruzaden, village de la commune d'Hanvec. En février de la même année, il s'installe à nouveau à Paris. Les conditions de vie du couple sont difficiles : le montant des loyers et leurs faibles revenus les obligent à déménager fréquemment. Ils occupent des logements souvent situés sous les toits, qui font également office d'ateliers. Le peintre souffre de la mauvaise lumière, du froid de l'exiguïté des lieux12. En septembre, Boudin revient en Normandie à Trouville, à proximité de Courbet qui est à Deauville et de Monet et Jongkind qui résident à Honfleur. Il fait alors de fréquents séjours en Bretagne, résidant un temps dans le manoir en grande partie déjà ruiné de Kerhoan, dans la commune du Faou. Il profite de ses séjours bretons pour peindre des tableaux de la région comme Le port de Camaret, L'Hôpital-Camfrout, Vue de Douarnenez, l'île Tristan, le matin...

Il rédige aussi en 1867 à l'attention de son frère Louis, écrivain à ses heures perdues13, Notes d'un voyage en Bretagne (1867), texte publié en 1924 par le Mercure de France 14 où il décrit la vie quotidienne dans la région d'Hanvec, Le Faou, Rumengol à cette époque. Il s'inspire pour ces scènes rurales du travail de Jean-François Millet : "Etudier cette belle figure d'homme appuyé sur son bâton, se souvenir de Millet, le berger, mais étudier le beau fond limpide et plein d'air et donner

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à cela un aspect saisissant."15 Observer les paysans bretons habitués "au rude labeur des champs, au pain sec et à l'eau" lui inspire un enthousiasme qui génère parallèlement chez lui "une certaine honte à peintre la paresse désœuvrée", ces "parasites dorés" des plages de Trouville-Deauville16.

Le 25 mars 1868, Boudin organise une vente publique de ses œuvres, ce qui lui rapporte quelques revenus et donne lieu à des critiques élogieuses venues du milieu des peintres mais aussi d'Émile Zola, qui voit en lui "un peintre qui a le sens des horizons humides, de l'eau et des tâches vibrantes que fait une toilette de femme sur un ciel gris."17L'année 1869 est consacrée en grande partie à la réalisation d'une commande du couple Rosenlecher, propriétaires du château de Bourdainville, dont Boudin doit réaliser l'intégralité du décor de la salle à manger18.

Fuyant la guerre franco-prussienne, Boudin séjourne à Bruxelles fin 1870 sur l'invitation de Gauchez, marchand Bruxellois19. Il poursuit ensuite son travail de peintre de marineet séjourne plusieurs fois à Fervaques, dans l'arrière-pays bas-normand, chez son ami le Docteur Jaquette20.

Le tournant impressionniste[modifier | modifier le code]

Impératrice Eugénie sur la plage à Trouville.

Place Saint-Marc à Venise.

En 1874, il participe à la première exposition « impressionniste », qui se tient à Paris dans les studios du photographe Félix Nadar. Par la suite, les expositions impressionnistes se tiendront dans les locaux du marchand d'art Paul Durand-Ruel.

À partir de cette date, il passera pour un des précurseurs de ce mouvement, bien qu'il ne se considérât jamais lui-même comme un grand innovateur. Sa réputation grandissante lui permit d'effectuer de nombreux voyages dans les années 1870. Il visita notamment lesFlandres, les Pays-Bas, le sud de la France ainsi que l'Italie, où il découvre différents courants artistiques du XIXe   siècle .

Il continue d'exposer à Paris et reçoit la médaille de la troisième place du Salon de 1881 avec son œuvre La Meuse, à Rotterdam. En1886, plusieurs de ses œuvres apparaissent à la grande exposition impressionniste organisée à New York par Durand-Ruel. Il obtient ensuite la médaille d'or lors de l'Exposition universelle de Paris de 1889 avec les deux toiles qu'il expose : Un coucher de soleil et Marine - Les Lamaneurs. La même année, son épouse décède le 24 mars.

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La villa Breloque à Deauville où le peintre vécut et mourut en 1898.

Vieillissant et marqué par la perte de sa femme, Boudin séjourne dans le midi chaque hiver à partir de 1890. Le climat lui permet, peintre de plein air, de travailler tous les jours, et il y apprécie les "splendeurs de la lumière"21. Malade, il s'installe en 1892 à Villefranche-sur-Mer, sur la côte d'Azur. La même année, Eugène Boudin est nommé chevalier de la Légion d'honneur. La décoration lui est remise par le peintre symboliste Pierre Puvis de Chavannes qui l'avait par ailleurs convaincu de rejoindre la société nationale des beaux-arts. Il entreprend des voyages réguliers à Venise jusqu'en 1895 en quête d'inspirations.

En 1898 – alors qu'il est à Paris et se sent défaillir – il demande à mourir « face à la mer » et se fait transporter à Deauville. Il décède le 8 août au matin dans la villa Breloque au 8, rue Oliffe, et est enterré le 12 août au cimetière Saint-Vincent – dans le quartier de Montmartre – à Paris.

Son œuvre[modifier | modifier le code]

Boudin, Bateaux dans le port.

BOUDIN Eugène, Trouville. Les jetées marée haute.

Eugène Boudin est un peintre marin, expert en matière de rendu de tout ce qui est lié à la mer et à ses rivages. Il peint notamment de nombreux tableaux décrivant la vie des pêcheurs sur les ports et les marchés ; ainsi que celle des familles bourgeoises du XIXe   siècle  sur les plages de Normandie. S'il ne rencontre un succès public relatif qu'à l'approche de la soixantaine, son travail de peintre d’avant-garde est reconnu par les critiques et peintres impressionnistes dès les années 1870, les collectionneurs (Ivan Tourgueniev, Georges Feydeau, puis les Rothschild ou Cary Grant) se mettant dès lors à acheter ses tableaux de paysage mais c'est surtout à partir de 1929, année qui voit Jeanne Lanvin acheter une de ses toiles, que le succès et la reconnaissance lui sont définitivement assurés9.

L'importance du ciel et des effets atmosphériques dans ses peintures lui vaut d'être surnommé le « roi des ciels » par le peintre françaisCamille Corot et le « peintre des beautés météorologiques » par Charles Baudelaire. Ce peintre des paysages attache en effet une grande importance au soleil, aux nuages, au ciel et à leurs effets changeants sur le paysage en mouvement22. Baudelaire écrit

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même : "La légende cachée avec la main, vous devineriez la saison, l'heure, le vent."23 Dans une courte biographie qu'il rédige en 1887, Boudin évoque son ambition d'avoir eu une "petite part d'influence dans le mouvement qui porte la peinture vers l'étude de la grande lumière, du plein air et de la sincérité dans la reproduction des effets du ciel..."24

Au cours de sa vie, il aura peint près de 4 500 tableaux et laissé autant de dessins, pastels et aquarelles. C'est le musée d'art moderne André-Malraux du Havre qui possède la plus grande collection de tableaux de Boudin, avec 224 peintures dont de nombreuses esquisses et études, toutes exposées. Une grande partie provient du « legs Boudin », comportant 60 toiles et 180 panneaux, reliquat de la vente aux enchères, le 21 mars 1899, des œuvres retrouvées dans son atelier à sa mort25. Le Musée Eugène-Boudin de Honfleur possède en outre 93 œuvres de l'artiste. Ce musée a été créé en 1868 par Louis-Alexandre Dubourg, peintre honfleurais et ami de Boudin. Ce dernier enrichit les collections du musée en léguant à sa ville natale 53 de ses œuvres ainsi que 17 œuvres de ses amis (Ribot, Hamelin...)26.

Sa correspondance nous offre l'image d'un homme passionné, acharné au travail jusqu'au l'étourdissement, mais humble et souvent insatisfait de sa production, cherchant sans cesse à s'améliorer et toujours prompt à vanter le talent d'autres peintres27.

Quelques tableaux[modifier | modifier le code]

Noce à Quimper (huile sur bois, 1857, musée des beaux-arts de Quimper)

vers 1848-1853, Ciel, 4 heures, levant, musée d'art moderne André

Malraux - MuMa, Le Havre

1857  : Le port de Quimper, 40,3 × 62,3 cm, Musée des beaux-arts

de Quimper 28 .

1857  : Noce à Quimper (huile sur bois, 1857, musée des beaux-arts

de Quimper)

vers 1857 : Vue du port de Quimper, prise de l'aval (vers 1857,

musée des beaux-arts de Quimper)

1858  : Le Pardon de Sainte-Anne-la-Palud , musée d'art moderne

André Malraux - MuMa, Le Havre.

1859  : Étude de ciel, musée d'art moderne André Malraux -

MuMa, Le Havre.

1860  : Sur la plage de Trouville, Minneapolis Institute of

Arts, Minneapolis.

1864  : La Plage à Trouville, 26 × 48 cm, musée d'Orsay, Paris.

1865  : Femme en robe bleu sous un parasol, musée d'art moderne

André Malraux - MuMa, Le Havre.

Page 7: Eugène Boudin

1865  : Concert au Casino de Deauville, National Gallery of Art,

Washington.

1867  : Scène de plage à Trouville, 20 × 34,9 cm, collection

particulière.

1869  : Dame en blanc sur la plage de Trouville, musée d'art

moderne André Malraux - MuMa, Le Havre.

1870  : L'Hôpital-Camfrout (Bretagne). National Gallery, Londres.

1871  : Port d'Anvers, 31,3 × 46,7 cm, musée d'Orsay, Paris.

1871  : Le Port de Bruxelles, National Gallery, Londres.

1872  : Le Port de Camaret, 36 × 59 cm, musée d'Orsay, Paris.

1873  : Portrieux, bateaux dans le port, 35,9 × 59,1 cm, collection

particulière.

1874  : Rivage de Portrieux, Côtes-du-Nord, 85 × 148 cm, collection

particulière.

1874  :

Le Port de Bordeaux, 41 × 65 cm, musée des beaux-arts

de Pau.

Étude de ciel sur le Bassin du Commerce au Havre, 1888-

1895,Musée d'art moderne André Malraux - MuMa

Le Port de Bordeaux vu du quai Bacalan, Musée des beaux-

arts de Reims.

1876  : La conversation sur la Plage de Trouville,

12,3 × 25 cm, Musée Eugène-Boudin de Honfleur

1880  : Scène de plage à Trouville, 21,5 × 35,5 cm, Musée Eugène-

Boudin de Honfleur

1881  : Entrée du village, Musée Baron Gérard

1881 : Vaches, musée d'art moderne André Malraux - MuMa, Le

Havre.

1882  : Fervaques, La Place du Village, le Jour du Marché,

24 × 23 cm, Musée Eugène-Boudin de Honfleur

1884  : Trouville, scène de plage, au Musée des beaux-arts, à Liège.

Page 8: Eugène Boudin

1884  : Le Havre. Coucher de soleil sur le rivage, marée basse,

117 × 160 cm, Musée des beaux-arts de Saint-Lô

1885  : Le Bassin de l'Eure au Havre, huile sur toile, signé et daté en

bas à droite E. Boudin 1885, 65 × 90 cm (sans cadre). musée d'art,

histoire et archéologie d'Évreux.

vers 1885 : Blanchisseuses près d'un ruisseau, National Gallery,

Londres.

vers 1888 : Le Port de Deauville, National Gallery, Londres.

1888  : L'Entrée du port de Trouville, National Gallery, Londres.

vers 1888-1895 : Dimanche sur la plage de Trouville, musée d'art

moderne André Malraux - MuMa, Le Havre.

1888  : Coucher de soleil au bord de la mer, musée d'art moderne

André Malraux - MuMa, Le Havre

1889  : La Seine, Caudebec en Caux, musée d'art moderne André

Malraux - MuMa, Le Havre

1890  : Lavadeiras nas margens do rio Touque], 37,6 × 55 cm,

Museum Nacional de Belas Artes, Rio de Janeiro.

1891  : Port de Trouville, 41 × 55,5 cm, musée du Louvre, Paris.

1893  : Deauville, la plage, 50 × 74,5 cm, collection particulière.

1893  : La Plage à Tourgéville-les-Sablons, National Gallery,

Londres.

1893  : Le Port d’Antibes, Musée d'Orsay, Paris.

1894  : Trouville, Femmes et enfants devant le Casino,

22 × 42 cm, Musée Eugène-Boudin de Honfleur

Vers 1894-1897 : Barques et estacade (Trouville), musée d'art

moderne André Malraux - MuMa, Le Havre

1895  : * Entrée des jetées du Havre par gros temps, musée d'art

moderne André Malraux - MuMa, Le Havre

1896  : Voiliers au port, 26,5 × 35 cm, musée des beaux-arts de

Lyon.

Plage à Trouville, marée haute, la Seine à Rouen, jour de

foire, musée Faure d'Aix-les-Bains.

Un grain, musée de Morlaix

Le Faou, marée basse, paysage aux lavandières, musée d'Orsay,

Paris

Clair de lune à L'Hôpital-Camfrout, collection particulière

Bras de mer à L'Hôpital-Camfrout, collection particulière

Mariage à L'Hôpital-Camfrout, collection particulière

Page 9: Eugène Boudin

Sortie d'église à Plougastel, collection particulière

Plougastel, le Passage', collection particulière

L'Arrivée du bac du Passage à Plougastel, crayon et

aquarelle, musée du Louvre, Paris

Le bac à Plougastel, collection particulière

La baie de Kerhor, collection particulière

Femmes de Kerhor assises devant l'Élorn, crayon et aquarelle,

musée du Louvre, Paris)

Femmes de pêcheurs sur le rivage, collection particulière

Le débarquement des marins dans la Rade de Brest, collection

particulière

Brest  : la rade, Oblastini Galerie, Liberec

Camaret  : le port (plusieurs tableaux portent ce titre)

Rivage en Bretagne : environs de Camaret, Oblastini Galerie,

Liberec

Foire en Bretagne (Le Faou ?), collection particulière

Foule dans une rue du Faou, crayon et aquarelle, collection

particulière

Femmes en prière dans l'église (Hanvec ?), 1865, musée du

Louvre, Paris

Hanvec, intérieur d'église, musée d'art moderne André Malraux -

MuMa, Le Havre

Ciel d’orage sur l’estuaire du Havre

Crépuscule sur le Bassin du Commerce au Havre

Les régates au Havre

Le port du Havre

Coup de vent à Frascatti, Le Havre

Le Havre, sortie du port

Galerie[modifier | modifier le code]

Œuvres d'Eugène Boudin

Paysage avec vaches (1881),Musée d'art moderne André Malraux - MuMa

Page 12: Eugène Boudin

L'heure du bain à Deauville (1865)

 

Entrée des jetées du Havre par gros temps (1895), Musée d'art moderne André Malraux - MuMa

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Distinctions[modifier | modifier le code]

Prix Eugène Boudin, prix décerné par la Société nationale des

beaux-arts.

Notes et références[modifier | modifier le code]

1. ↑ a, b et c « Hors-série Eugène Boudin », Connaissance des arts, mars

2013, p. 36

2. ↑  De Knyff 1976, p. 38

3. ↑  Françoise Cohen, Catalogue de la rétrospective consacrée à Boudin par

le Musée Eugène-Boudin de Honfleur en 1992, p. 17

4. ↑ a et b Eugène Boudin (1824-1898) [archive], Biographie sur le site du Musée

Eugène Boudin de Honfleur

5. ↑  Anne-Marie Bergeret-Gourbin, Catalogue de la rétrospective consacrée

à Boudin par le Musée Eugène-Boudin de Honfleur en 1992, p. 21

6. ↑  Notice de Denise Delouche, dans Les Noms qui ont fait l'histoire de

Bretagne, 1997, p. 56. Au moins onze rues portent son nom en Bretagne.

7. ↑  Rencontre en 1854 dans la boutique d’un encadreur-papetier havrais qui

expose dans sa vitrine à la fois les tableaux de Boudin et les caricatures

de Monet. Source : Laurent Ridel, « Claude Monet, l’impressionniste

normand [archive] » , Histoires de personnages, 14 septembre 2010

Page 13: Eugène Boudin

8. ↑  Anne-Marie Bergeret-Gourbin, Catalogue de la rétrospective consacrée

à Boudin par le Musée Eugène-Boudin de Honfleur en 1992, p. 30

9. ↑ a et b Stéphane Leblanc, «   Le musée Jacquemart-André rend hommage à

Eugène Boudin, paparazzi malgré lui  »  [archive], sur 20 minutes, 25 mars

2013

10. ↑  "Eugène Boudin, Lettre à Ferdinand Martin (1861-1870)" d'Isolde

Pludermacher (2011), p. 27

11. ↑  Anne-Marie Bergeret-Gourbin, Catalogue de la rétrospective consacrée

à Boudin par le Musée Eugène-Boudin de Honfleur en 1992, pp. 84-85

12. ↑  Isolde Pludermacher, "Eugène Boudin, Lettre à Ferdinand Martin (1861-

1870)" (2011), pp. 36-37

13. ↑  "Eugène Boudin, Lettre à Ferdinand Martin (1861-1870)" d'Isolde

Pludermacher (2011), pp. 131 et 234

14. ↑  Mercure de france [archive] Notes d'un voyage en Bretagne, publiées par

G. Jean-Aubry, à propos du Centenaire de Boudin

15. ↑  Denise Delouche, Catalogue de la rétrospective consacrée à Boudin par

le Musée Eugène-Boudin de Honfleur en 1992, p. 74

16. ↑  "Eugène Boudin, Lettre à Ferdinand Martin (1861-1870)" d'Isolde

Pludermacher (2011), p. 133

17. ↑  Laurent Manoeuvre dans "Eugène Boudin, Lettre à Ferdinand Martin

(1861-1870)" d'Isolde Pludermacher (2011), p. 139

18. ↑  "Eugène Boudin, Lettre à Ferdinand Martin (1861-1870)" d'Isolde

Pludermacher (2011), p. 188

19. ↑  Laurent Manoeuvre dans "Eugène Boudin, Lettre à Ferdinand Martin

(1861-1870)" d'Isolde Pludermacher (2011), p. 217

20. ↑  Anne-Marie Bergeret-Gourbin, Catalogue de la rétrospective consacrée

à Boudin par le Musée Eugène-Boudin de Honfleur en 1992, p. 105

21. ↑  Laurent Manoeuvre, Catalogue de la rétrospective consacrée à Boudin

par le Musée Eugène-Boudin de Honfleur en 1992, p. 165

22. ↑  Huguette Meunier, «   Boudin, « roi des ciels »  »  [archive],

sur histoire.presse.fr, 27 mars 2013

23. ↑  Charles Baudelaire, Salon de 1859, VII, "le Paysage" (cité dans le

Catalogue de la rétrospective consacrée à Boudin par le Musée Eugène-

Boudin de Honfleur en 1992, p. 53)

24. ↑  Françoise Cohen, Catalogue de la rétrospective consacrée à Boudin par

le Musée Eugène-Boudin de Honfleur en 1992, p. 65

25. ↑  Yaccob A., Le fonds d'Eugène Boudin du musée Malraux, ces

« prodigieuses magies de l'air et de l'eau », L'Objet d'art, hors série no 63,

septembre 2012 p. 26-29.

Page 14: Eugène Boudin

26. ↑  Catalogue du Musée Eugène-Boudin de Honfleur, texte de Anne-Marie

Bergeret-Gourbin, p. 8

27. ↑  Isolde Pludermacher, "Eugène Boudin, Lettre à Ferdinand Martin (1861-

1870)" (2011), pp. 19-20

28. ↑  http://www.mbaq.fr/musee-collections/peinture-bretonne/oeuvre/o/le-

port-de-quimper/ [archive]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Catégorie Eugène Boudin de l’annuaire DMOZ

Bibliographie[modifier | modifier le code]

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Congrès • Gemeinsame Normdatei •Bibliothèque nationale de la

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Gustave Cahen, Eugène Boudin, H. Floury Éditeur, Paris, 1900

Claude Roger-Marx , Boudin, Georges Crès et Cie, 1927

Robert Schmit, Catalogue raisonné de l’œuvre peint d’Eugène

Boudin, Galerie Schmit, Paris, 1973, et deux suppléments, 1984,

1993

Peter C. Sutton, Boudin : Impressionist Marine Paintings,

1991, (ISBN 0875771564)

Laurent Maneuvre, Boudin-Dessins, 2000, (ISBN 2-914239-50-5)

Denise Delouche, Eugène Boudin et la Bretagne, Palantines,

2000, (ISBN 2-911434-12-9), deuxième édition revue et augmentée jan.

2011 (ISBN 978-2-35678-044-7)

Gilbert De Knyff, Eugène Boudin raconté par lui-même : sa vie, son

atelier, son œuvre, Éditions Mayer, 1976

 Portail de la peinture

 

 Portail du monde maritime

 

Page 15: Eugène Boudin

 Portail du Calvados

Catégories : 

Peintre français du XIXe siècle

Peintre impressionniste français

Peintre paysagiste français

Peintre normand

Naissance en juillet 1824

Naissance à Honfleur

Décès en août 1898

Décès à Deauville  | [+]

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