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Exemple facebook pontivyjournal 1

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Page 1: Exemple facebook pontivyjournal 1

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Voilà encore un débat qui asuscité des commentaires per-tinents dans leur ensemble.Avec des avis bien souventdivergents. Pas facile en effetde trouver le juste milieudans… l’assiette : un menuéquilibré et qui plaît aussi àl’enfant ! « Des repas que lesenfants mangent », dixitAlain Mehr.

À la maison ! On peut cependant dégager

une tendance, au final.Comme le dit Jean-René Abi-ven, « les repas équilibrés,c’est à la maison ! ». Ils sontdonc plusieurs parents, voya-geurs du train, à estimer que« ce n’est pas nécessaire-ment le rôle de l’école ; c’està nous, parents, de prendrel’éducation alimentaire denos enfants en charge »,affirme ainsi haut et fort Isa-belle Le Moing. « Les parentscomptent sur la cantinepour nourrir leurs enfants etlorsque l’on apprend cequ’ils mangent chez eux… »,confirme pour sa part, IsabelleKergosien-Weber.

Le ventre pleinVoilà pourquoi, le repas dit

« classique » revient souventen force. « Repas classique neveut pas dire malbouffe.Mais j’en ai marre de voirmon argent jeté par la fenê-tre parce que ma fille de 5ans ne mange quasimentrien à l’école », lance Caro-line Trehin. Même sentimentpour Coccinelle Cocci oupour Pierre Marteil qui préfè-rent que leurs enfants aient

« le ventre plein à la can-tine ».

Celles et ceux qui sontdavantage pour des menuséquilibrés, n’en font cepen-dant pas une… montagne.« Je fais confiance aux servi-ces concernés et franche-ment, je trouve leurs menussensés. Maintenant, quel-ques écarts de temps entemps, c’est pas la fin dumonde non plus », com-mente pour sa part Sonia Cor-bihan-jegat.

Qualité douteuse ? Une confiance dans la

conception des menus que nepartage pas Catherine Le Clé-zio. « Il faut savoir que 92 %de la viande consommée

dans les collectivités n’estpas d’origine française !Alors quand on prétendfaire du bon pour la santé denos enfants ! ». Et de pour-suivre sur le fait qu’il « existepourtant des producteurslocaux qui se battent pourfournir aux restaurants sco-laires, mais c’est toujours leprix qui prime ! »

Reste un désaccord entreceux qui estiment commeAlain Meh que « si ce sont lesélèves qui décidaient cequ’ils veulent manger, il yaurait steak hâché-frites unjour sur deux ». Ou commeHamza Djé qui estime que les« jeunes n’ont pas à se plain-dre vues les conditions danslesquelles sont préparésleurs repas. Quand j’étaispetit, on nous demandaitpas notre avis ! »

Et les élèves ? A contrario, Isabelle Le

Moing s’appuie sur un exem-

ple concret pour montrer queles lycéens, notamment, ontun rôle à jouer dans le choixdes menus. « Cette année,certains élèves du lycéeJoseph-Loth se sont insurgéscontre les plats proposés auself : trop gras, trop salés,trop lourds le soir. Au lieu derâler bêtement, ce grouped’élèves a pris les choses enmain. Ils ont sondé leurscamarades, listé leursdemandes et desiderata. Etun vrai dialogue s’est établientre les élèves et les cuis-tots. Contre toute attente,les demandes étaient vrai-ment censées, du menuvégétarien au légume pro-posé toujours les jours. Ilfaut aussi leur faireconfiance, aux jeunes ! »

Des jeunes que l’on a mal-heureusement pas beaucoupentendu dans le train, dans cepassionnant débat.

Gilles Queffélec

> C’est bon à la cantine ?La question de Pontivy Journal : à la cantine, qu’est-ce qui est prioritaire pour vous… des repas équilibrés mêmes’ils ne sont pas du goût de vos enfants ou des repas classiques où vous êtes certains qu’ils mangent ?

> Les jeunes, exprimez-vous !S’il y a de nombreux jeunes dans le train de Pontivy

Journal, le chef de gare (la rédaction) regrette que cesderniers ne se soient pas vraiment exprimés sur cesujet qui les concerne en priorité. On aurait bien aiméconnaître leur sentiment. Mais ils peuvent d’ailleursencore jouir de leur liberté de paroles en allant conver-ser avec les différents intervenants. Bref, le chef de gareles incite à le faire !

Le classement Top Participation permet de mettre à l’hon-neur les voyageurs les plus actifs dans le train. Celles et ceuxqui répondent régulièrement aux questions posées par lechef de gare (la rédaction).

Le classement s’établit sur un mois avec la désignationd’un TGV (Très Grand Voyageur) à chaque fois. Les comp-teurs seront donc remis à zéro à la fin de chaque mois.

À quelques jours de la fin du mois de mars, le tenant dutitre Michel Colin est bien parti pour réaliser le doublé !

Le classement au 26 mars1. Michel Colin 165 points*2. Georges-Yves Guillot 123 pts3. Pierre Marteil 99 pts4. Isabelle Renard 90 pts 5. Mafibra Lala 89 pts 6. Pierre-Yves Loïc Jan (83 pts), 7. Alain Mehr (82 pts), 8.

Jean-rené Abiven (79 pts), 9. Ninie Ptitcanard (76 pts), 10.Mino Rico (73 pts).

* Le nombre de points correspond désormais à une réponse d’unfan suite à une question. Et qu’importe ensuite le nombre de sesinterventions.

■ Une tartine à la compoteSoufflée par Mafibra Lala, la question de savoir si on remet-

tait en service les colonies de vacances telles qu’ils les ontconnues il y a quelques années, leur plairait, a permis à l’un denos voyageurs, Mino Rico, de reparler du bon vieux temps. Etde se remémorer de bons souvenirs « sauf le goûter avec la tar-tine de pain et la compote de pomme saupoudrée de sable ».Mais pour d’autres comme Laurene D’euveilher, ce ne fut pasle cas : « j’ai détesté la colo de Plenuef val-André ». Souvenirs,souvenirs…

■ Elle danse bretonC’était la semaine du breton et du gallo il y a quelques jours.

Et à la question de savoir qui, dans le train, parlait breton, lechef de gare s’est aperçu qu’ils étaient finalement peu. Ou alorscomme Françoise L’Hostis ou Sylvain Sophie Hochet, « on neretient que les insultes ! ». Mais pour Michel Colin ou IsabelleRenard qui ne sont pas Bretons d’origine, ça paraissait logique.« Mélange de Bourguignon, Espagnol et Russe, a réponducette dernière. Je ne parle pas breton, je n’écris pas breton etje ne comprends pas le breton mais… je danse breton ! »Cétait déjà pas mal !

Cette photo a été publiéepar Isabelle Renard qui s’estimmédiatement posée laquestion de savoir pourquoice gwen ha du et ce drapeaujamaïcain ont été accrochéstout en haut d’un immenseséquoia dans le square Len-glier à Pontivy. Le chef degare a alors proposé à… Mai-gret d’enquêter sur cecurieux geste. Mais il semblequ’il n’a pas été entendu.Tout juste Alexandre le Bre-ton a parlé d’élagueurs enformation au lycée du Gros-Chêne sans en connaître le

motif. Si dans le train, Mai-gret a fait chou blanc, le chefde gare espère qu’à l’exté-rieur, via ce petit article,quelqu’un le soufflera laréponse !

Finalement, c’était un scoop un peu percé ! Contrairementà ce qui a été affirmé dans le train, il y a quelques semaines,le magasin Sésame de Pontivy ne fermera pas ses portes. Sondirecteur, Romuald Bernard a formellement démenti cetteinformation. Et il s’en est expliqué : « Le magasin Sésame dePontivy restera un magasin à l’enseigne Sésame comme àce jour. S’il y a bien un projet d’intégration programméavec l’enseigne But au niveau national, celle-ci neconcerne pas Pontivy puisque But y est déjà présent. Il n’yaura pas deux magasins But à Pontivy ». Quant à l’ensei-gne Gifi, elle cherche bien à s’implanter sur la ville de Pon-tivy mais on ne sait pas encore où. C’est clair, non ?

100 000. En euros, c’est le prix que l’on a proposé de gagneraux voyageurs s’ils jouaient au loto. Et de savoir ce qu’il enferait. Le chef de gare a ainsi aimé la réponse de Sonia Corbi-han-jegat qui s’offre « un safari en Afrique, une balade enchien de traîneau en Laponie, une après-midi shopping àLondres, un bon café avec georges Clooney et je terminepar un massage en Thaïlande ! ». Avant de voir son rêve sebriser face aux réponses bien plus réalistes de certains autresvoyageurs. « Ah oui, j’avais oublié les impôts, le permis deconduire du petit mec, prévoir pour ses études supérieures,la maison aussi… ». Mais d’insister sur un point : « Je persisteet signe : je veux boire un café avec Georges Clooney ! »

Chaque semaine, nous revenons sur les débats qui ani-ment la page Facebook de Pontivy Journal. Le principeest simple : vous cliquez sur « J’aime » et vous montezdans le train ! À l’intérieur, les voyageurs échangentsur des sujets locaux et/ou d’actualité grâce à desquestions posées par le chef de gare (la rédaction). Etun classement (Top Participation) permet de mettre àl’honneur les internautes les plus actifs…

Le coup de gueule de cette semaine émane d’une maman,Anne-cécile Navarro, qui amène, comme beaucoup d’au-tres, ses enfants à l’école le matin. Un coup de gueule contrele stationnement autour des écoles et en particulier del’école Marcel-Collet et de son entrée côté« maternelle (rueWarrec). «Les parents se garent n’importe comment dansle virage et du coup, même en arrivant à 10 km/h tousles matins, j’ai la frousse de renverser les petits qui tra-versent n’importe comment aussi ou qui descendentdans des voitures sans que les parents surveillent» . Unproblème récurrent que l’on retrouve aux abords de tous lesétablissements scolaires de la ville.

Internet > www.pontivyjournal.fr - Page Facebook

> Entendu dans le train

> L’image

726 voyageurs

Top participation

> Le chiffre

> Le coup de gueule

Le scoop