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FABRIQUER LES IMAGESRÉINVENTER LA VILLE
1. Descriptif général
2. Les organismes de rechercheDeVisuCALHISTEFA+U/UMONSU.R.B.A.In.E.
3. Comité organisateur
4. Ambitions et enjeuxObjectifsEnjeux et perspectivesPublics visés
5. Intervenants
6. Film & Spectacle
7. Programme
8. Les lieux d’accueilArenberg Creative MineLa Serre Numérique
9. Partenaires
10. Contact
SOMMAIRE
À l’initiative du Laboratoire DeVisu, en partenariat avec la Faculté d’Architecture et d’Urbanisme de Mons, du centre de recherche U.R.B.A.In.E., de l’université de Mons et du laboratoire le CALHISTE, ces journées visent à engager le dialogue entre architectes, philosophes, artistes et cinéastes autour du renouvellement du regard sur la ville à travers le cinéma et les arts numériques.La ville a depuis toujours inspiré les artistes qui se sont emparés de ses codes, formes, matières, parcours, rythmes, mouvements, lignes et couleurs, afin de réinventer ses modes de représentation. Ils ont tenté, par diverses manières, de perturber nos repères visuels, spatiaux et temporels. L’intégration de nouveaux rapports d’échelle, et la multiplicité des points vues permettent une nouvelle mise en scène des lieux, renouvelant ainsi notre politique du regard. Du Metropolis (Fritz Lang), à Le Cuirassé Potemkine (Sergei Eisenstein) en passant par les œuvres de Mapping du groupe Moment Factory, le fil conducteur de ces différentes productions est la réinterprétation et la transformation d’un territoire et sa réappropriation par le spectateur. La ville est objet d’interprétation, support de projection d’imaginaire autant que médium en elle-même.Notre questionnement est relatif au rôle de l’architecture dans la pensée et la production des images. Nous interrogeons les pratiques des arts numériques et du cinéma comme vecteurs de renouvellement de l’image de la ville. Comment les artistes et les cinéastes prennent possession de la ville pour nourrir leur pratique? La pluralité des pratiques du cinéma et des arts numériques, avec la diversité des outils de conception et de représentation, permettent-elles de révéler un espace et d’impulser un nouvel imaginaire?Dans une démarche résolument transdisciplinaire sollicitant scientifiques et professionnels, ces journées remettent en questions notre manière de voir la ville, elles sont l’occasion d’explorer à travers le prisme du cinéma et des arts numériques les diverses formes de représentation de la ville qui président à ses évolutions.
1. DESCRIPTIF GÉNÉRAL
2. LES ORGANISMES
Le laboratoire DeVisu développe ses activités de recherche autour d’une part des technologies innovantes de l’audiovisuel et des médias numériques et leur transfert dans l’économie et la formation tout au long de la vie, mais également autour du design de services dans l’habitat et dans la ville. Axé en sciences de l’information et de la communication, il dialogue également avec d’autres disciplines (génie mécanique, informatique, psychologie, automatique, traitement du signal, esthétique et sciences de l’art, sciences de l’éducation, sciences des activités physiques et sportives, littérature...), ce qui lui permet d’innover en termes méthodologiques, en croisant les protocoles et les outils liés à ces disciplines.Dirigé par le professeur Sylvie Leleu-Merviel, il compte 45 chercheurs, dont les travaux couvrent trois champs principaux :- Ingénierie du document audiovisuel et multimédia cross et transmédia.- Communication appliquée à l’architecture et l’urbanisme.- Qualité de l’information, des représentations de la connaissance et des communications.Intervenant sur différents types d’objets (Images et sons ; Villes et habitat ; Organisations et sociétés), les travaux du laboratoire DeVisu trouvent des applications concrètes dans de nombreux secteurs économiques : la culture (journalisme, valorisation du patrimoine, médiations muséales…), les industries créatives (industries de programmes, télévision, médias, jeux, arts numériques, recherche-création…), le BTP (architecture, urbanisme…). Ils traitent également de problématiques spécifiques pour tous types d’activités ou d’industries : processus de conception ; aide à la décision ; veille et intelligence économique ; personnes connectées et travail, médiations numériques et humaines, services ; économie de l’attention, publicité,
DeVisumarketing ; questions de pédagogie, nouveaux apprentissages…
Une dynamique d’essaimage des travaux de DeVisu se met également en place : un dépôt de brevet donne lieu à une création d’entreprise, actuellement en incubation à TONIC Incubation ; deux projets sont en outre sur le point d’entrer en phase de maturation à la SATT Nord, Société d’Accélération du Transfert de Technologies.
La Faculté d’Architecture et d’Urbanisme délivre au terme d’un cursus de 5 années universitaires un diplôme d’Architecte. Les études en architecture s’inscrivent au croisement de différentes disciplines telles que les Sciences Humaines, les Techniques et l’Art de bâtir. Elles répondent aux besoins de la société en formant des concepteurs d’espaces et acteurs sensibles et responsables dont le travail participe activement à la conception de notre environnement bâti et paysager, à l’innovation et l’adaptation de notre mode de vie à travers le temps. Notre enseignement s’inscrit dans une pratique pédagogique spécifique articulée autour du projet d’architecture et d’urbanisme développé sous forme d’ateliers d’une quinzaine d’étudiants.
LE CURSUSBachelier en architecture (180 crédits)La FA+U propose, dès le Bachelier un ensemble de cours articulés autour du projet d’architecture. Ceux-ci permettent aux étudiants d’acquérir les premières connaissances techniques, scientifiques et artistiques.
Master en architecture à finalité spécialisée en ART de BÂTIR (120 crédits)En Master, la finalité « ART de BÂTIR » est structurée autour de quatre filières thématiques, Habitats, Patrimoine, Paysage, Urbanité. Chaque filière développe une approche et une méthodologie du projet spécifique en lien avec sa thématique. Elle offre également aux étudiants en architecture la possibilité d’élargir leurs compétences en matière de technologies numériques (modélisation 3D), de performance énergétique des bâtiments et d’art contemporain.
Master en architecture à finalité spécialisée en URBANISME (120 crédits)De nos jours, l’enseignement de l’urbanisme, discipline pluridisciplinaire depuis sa fondation, renvoie à de nombreuses disciplines encore peu stabilisées et ne forme pas suffisamment à l’action urbaine intégrant méthodes de conception, mécanismes de décision et processus de projet comme producteur d’intelligence territoriale. Face à ce manquement où l’urbanisme de projet reste inexploré, la FA+U de l’UMONS propose d’élargir l’offre de sa formation pour former les architectes à l’art de fabriquer les villes et les territoires face à l’émergence des nombreuses questions de l’aménagement durable, en fonction de l’évolution des questions urbaines et territoriales telles que la montée des réflexions sur le renouvellement urbain, les capacités d’adaptation des villes et des territoires… Cet enseignement, basé sur le projet, est structuré autour des 4 filières existantes de la faculté : Patrimoine, Paysage, Urbanités et Habitat.
Doctorat en architecture et formation doctorale (120 crédits + 60 crédits)Notre enseignement permet de s’associer aux thématiques de recherche du centre U.R.B.A.In.E qui constitue une bonne interface entre l’enseignement et la recherche.
FA+U
Le centre de Recherche inter et transfacultaire en Urbanisation, Revitalisation, Bâtiment, Architecture, INnovations, Espaces de l’Université de Mons (U.R.B.A.In.E.) s’articule autour de quatre domaines de recherche : le patrimoine, la mobilité, le paysage et la morphologie / technologie croisant les outils d’évaluation, d’aide à la décision et de conception spatiale. Les chercheurs de l’équipe U.R.B.A.In.E. mettent en place une recherche appliquée autour de l’architecture et de la modélisation multi-échelle des espaces bâtis liés à l’aménagement spatial et/ou au renouvellement urbain, dans le cadre de projets multipartenaires.
Centre de Recherche U.R.B.A.In.E. CALHISTE
Le CALHISTE est né de la fusion de deux laboratoires, le CAMELIA (qui regroupait principalement des chercheurs en lettres et en arts) et le CRHiCC (composée principalement d’historiens, de géographes et de linguistes). La nouvelle structure qui s’intitule alors Culture, Arts, Littératures, Histoires, Sociétés et Territoires Étrangers change à nouveau son intitulé plus tard, sans changer son acronyme, préférant Cultures, Arts, Littératures, Histoire, Imaginaires, Sociétés, Territoires, Environnement, pour permettre l’intégration de nouveaux collègues à l’équipe.Le CALHISTE a pour particularité de rassembler un nombre très important de disciplines des Sciences Sociales et Humaines, fédérant pas moins de 12 sections disciplinaires dans les domaines de l’espace, l’environnement et les sociétés, l’esprit humain, le langage et l’éducation, les langues, les textes et les arts et cultures, ainsi que les mondes anciens et contemporains.Le principal objet d’étude de l’équipe est l’homme, sa vie en société et ses productions artistiques et littéraires, saisis dans un large champ interdisciplinaire. Le CALHISTE s’attache à l’étude du social et des humanités à travers toutes les activités de la vie en société, à travers les rapports au territoire et à l’environnement, dans la longue durée, dans des aires chrono-culturelles et des milieux diversifiés. L’étude croisée de l’espace et du temps, du texte, de l’image, de l’objet et de la donnée de terrain, s’y veut au service d’une meilleure compréhension des sociétés du passé comme des réalités contemporaines.
Albane AmorosAprès l’obtention de son diplôme en 2013 à la Faculté d’Architecture et d’Urbanisme de l’UMONS, Albane Amoros poursuit sa formation en intégrant le centre de recherche U.R.B.A.In.E, ou elle effectue une thèse de doctorat sous la direction de Damien Darcis. Son travail de recherche, «les formes du partage du sensible dans la création architecturale. Une approche esthétique, politique et sociale de l’architecture», a une fonction critique visant à questionner l’impact en matière d’inclusion sociale des projets de requalification des anciens espaces industriels en milieu urbain.Depuis 2014, elle intervient auprès des étudiants de Master 1 et 2 en intégrant l’équipe d’Etienne Holoffe, dans le cadre du cours de «composition architecturale et urbanistique», filière « Architectures - Territoires - Stratégies - Paysages ».
Antonin JousseAntonin Jousse entame une thèse de doctorat à l’Université de Valenciennes et du Hainaut Cambrésis après y avoir été diplômé d’une Licence en Arts Plastiques et d’un Master Création Numérique. Sous la direction de Catherine Chomarat-Ruiz (UVHC) et de David Bihanic (Paris 1), il effectue une recherche poïétique et esthétique autour de l’art interactif, du nouvel engagement du spectateur et des nouvelles formes de narration qui en découles.Parallèlement à ses recherches, il enseigne l’art des nouveaux médias, l’utilisation des outils numériques pour la culture et l’infographie à l’Université de Valenciennes.
3. COMITÉ ORGANISATEUR
Mei MenasselAprès l’obtention de son diplôme d’architecte de l’école polytechnique d’architecture et d’urbanisme d’Alger, Mei Menassel s’est orientée vers un master complémentaire de design d’espace à l’école Supérieure d’art et design de Valenciennes.Elle poursuit son parcours avec une thèse dont le propos d’un point de vue théorique et épistémologique questionne la conception de contenus numériques liés à la ville et l’impact cognitif et émotionnel de ceux-ci sur les usagers, d’un point de vue opérationnel, elle souhaite dégager les éléments théoriques et pratiques pour penser, connaître et assister la conception de dispositifs numériques créatifs dans l’espace urbain.Depuis 2014, elle intervient auprès des étudiants en création numérique au département art de l’université de Valenciennes, abordant les thématiques relatives à la création numérique contemporaine, les nouveaux médias et les espaces hybrides.
Eulalie PierquinEulalie Pierquin entame un doctorat en arts, esthétiques et théories, suite à l’obtention de son master en Création et Ingénierie numérique à l’Université de Valenciennes et du Hainaut Cambrésis. Sa thématique de recherche, «Ville numérique et mobilités créatives», se situant à la croisée des Arts, des SIC et de l’urbanisme, elle effectue deux premières années en co-encadrement entre deux laboratoires de l’UVHC (CALHISTE et DeVisu) avant d’entamer un encadrement en cotutelle entre le CALHISTE et la Faculté d’Architecture et d’Urbanisme de l’UMONS, en 2014. Son travail tend à explorer les rapports entre les technologies mobiles, les formes de socialisation, et l’urbain, à travers le champ artistique, à la fois de manière pratique et réflexive. Dans cette dynamique de recherche, le travail d’Eulalie vient questionner les processus/mécanismes de perception et de cognition du réel, travaillant à la jonction de la réalité physique et de la réalité numérique, et avec un attachement particulier à la notion d’engagement du spectateur-utilisateur.
ObjectifsLe premier volet des journées d’études, Fabriquer les images, réinventer la ville, est naît de l’association de quatre doctorants dont les domaines de recherche s’articulent autour des thématiques de la ville et des arts numériques.Tout au long de cette manifestation, des conférences, discussions, projections et live favoriseront les rencontres entre professionnels, chercheurs et grand public. Ces échanges, permettront notamment de débattre et de construire une réflexion autour du renouvellement du regard sur la ville à travers le cinéma et les arts numériques. Favoriser ce type d’événement, permettra d’explorer les manières de vivre la ville, une ville contemporaine, une ville numérique. Les regards des artistes, cinéastes et chercheurs permettront de comprendre le rôle de l’architecture et du nouvel urbanisme dans la pensée et la production d’images. A l’inverse, la ville est-elle transformée par ces images, dans sa construction, mais aussi dans la manière de la pratiquer par ses
habitants ? A travers le prisme du cinéma et de l’art numérique réside une nouvelle façon de vivre et de penser la ville.Le numérique a facilité le renouvellement de la ville par les arts. Les rencontres Fabriquer les images, réinventer la ville veulent se situer à l’amorce de l’avenir de la ville, souhaitant devenir un événement majeur et fédérateur d’un vivier d’information et de connaissance pour construire autour de la ville créative.
4. AMBITIONS ET ENJEUX
Enjeux et perspectivesA l’échelle du territoire, ces deux jours de rencontres souhaitent mettre en exergue la riche reconversion des activités de la région Nord-Pas-de-Calais, en investissant des lieux dédiés à la culture numérique dans le Valenciennois et le Cambrésis : la Serre Numérique et la mine Créative d’Arenberg. Grâce à la coopération de nombreuses institutions régionales, publiques et privées, l’organisation de ces journées permettra d’accueillir des intervenants français et étrangers, experts des domaines de l’architecture, de l’urbanisme, des arts et cultures. Cet événement est l’occasion d’affirmer la présence et la compétitivité de la région, autant à l’échelle nationale qu’internationale.A terme, Fabriquer les images souhaite devenir un événement annuel, tant dans la sphère scientifique qu’événementielle. Les journées de cette première édition se terminent par une projection de film et un concert live. Une autre manière de porter une réflexion précise sur les thématiques abordées.
Publics visésL’organisation de ces deux journées a pour but de réunir des chercheurs, des doctorants, des étudiants et des professionnels de disciplines différentes autour de thématiques communes et qui s’entrecroisent, à savoir l’architecture, le cinéma et les arts numériques ici. Les journées se clôturent par des événements (film et live show) ouvrant ainsi la manifestation à un public plus large.
5. INTERVENANTS
Pascal BouchezMaître de conférence à l’Université de Valenciennes et du Hainaut CambrésisMembre du laboratoire DeVisu, Valenciennes
Jean-Luc AntonucciMaître de conférence à l’École Supérieur d’Audiovisuel (ESAV), Université Toulouse II Le MirailMembre du laboratoire LARA-SEPPIA, Toulouse
Cédric BrandillyPlasticien / PerformeurAuteur d’Architectural / SonarWorks co-produit en 2014 par Les Tombées de la Nuit, spectacle présenté lors de ces journées d’études.
Ludovic BurczykowskiPlasticienDocteur et enseignant à l’Université de Valenciennes et du Hainaut CambrésisMembre du laboratoire EPHA (recherche Esthétique, Pratique et Histoire des Arts), Paris 8Chercheur associé du laboratoire CALHISTE, Valenciennes
Clotilde SimondMaître de conférence à l’Université de Paris 3, à l’Université de Metz et à l’École Supérieure d’Études Cinématographiques de Paris (E.S.E.C.)Membre du laboratoire IRCAV à Paris3.
Françoise VeryArchitecte IUA VeniseMembre du laboratoire de recherche MHAevt (Métiers de l’Histoire de l’Architecture, édifices-villes-territoires), École Nationale Supérieur d’Architecture de Grenoble.
Nicolas LissarragueMaître de conférence à l’Université de Valenciennes et du Hainaut CambrésisMembre du laboratoire CALHISTE, Valenciennes
Sophie PaviolArchitecte DPLGMaître de conférence à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Grenoble (ENSAG)
Jérôme Saint-ClairArtisteFondateur du Graffiti Research Lab
Romain DuboisCompositeur et régisseur sonCo-compositeur d’Archtectural / SonarWorks avec Cédric Brandilly.
Blow UpMichelangelo AntonioniAvec Vanessa Redgrave, David Hemmings et Sarah Miles.Sortie en 1967.
Dans un parc Londonien, un jeune photographe surprend un couple d’amoureux qu’il photographie. Il découvre sur ses clichés une toute autre réalité : un homme armé et un corps inerte...
6. FILM & SPECTACLE
Architectural SonarWorksCédric BrandillyCe projet artistique détourne les modes habituels de représentation du territoire en combinant algorithmes et données géomatiques dans le but de créer une cartographie sonore sensible des villes.
Chaque bâtiment devient une note, le relief une harmonie.
Le projet est soutenu par la Culture Europe, co-produit par le réseau européen In Situ et par les Tombées de la Nuit.
Une installation du projet est exposée au Ars Electronica Center (Linz, Autriche) dans le cadre du festival Ars Electronica - Post City / Elements of Art and Science / jusqu’au 26 février 2016.
7. PROGRAMMELundi 9 novembreAccueil du public
Ouverture de la journée
Jean-Luc Antonucci | ESAV Toulouse IIUne perspective cinématographique de l’espace urbain.
Françoise Very | ENSAG GrenobleFilmer pour créer les possibilités du projet (urbain).
Repas
Sophie Paviol | ENSAG GrenobleProjections en quête d’espace : de la ville en mouvement à la ville flux.
Table ronde avec Nicolas Lissarrague (UVHC) & Pascal Bouchez (UVHC)
Diffusion du film Blow Up de Michelangelo Antonioni.
Mardi 10 novembreAccueil du public
Ouverture de la journée
Ludovic Burczykowski | Paris 8 & UVHC
Jérôme Saint-Clair | Artiste, Nancy
Repas
Clotilde Simond | Paris 3, ESEC de Paris, Université de MetzVariations sur l’objet filmique : de l’étude sur la ville au processus de construction.
Cédric Brandilly & Romain Dubois| Plasticien, performeurImaginer la ville comme une partition.
Spectacle Live Architectural / Sonar Works de Cédric Brandilly
9.009.30
10.00
11.15
12.1514.00
15.30
16.30
9.009.30
10.00
11.15
12.1514.00
15.15
16.30
La Serre Numérique, ValenciennesLieu de convergence et d’échange des savoirs, la Serre Numérique offre à ses résidents un écosystème dynamique et un environnement de travail exceptionnel. Développée par la CCI Grand Hainaut à Valenciennes, elle propose 17000 m2 entièrement dédiés aux métiers de l’image et de la création numérique.www.serre-numerique.fr
8. LES LIEUX D’ACCUEIL
Arenberg Creative MineAujourd’hui siège de la Communauté d’Agglomération de La Porte du Hainaut (46 communes – 159 000 habitants), ce prestigieux site se tourne vers l’avenir… vers l’image ! Un premier investissement de plus de 20 millions d’euros pour une reconversion innovante centrée sur l’Image, les médias numériques et la recherche.arenberg-minecreative.fr
Université de Valenciennes et du Hainaut Cambrésis (UVHC) L’université de Valenciennes et du Hainaut Cambrésis (UVHC) accueille plus de 10 600 étudiants sur des campus à taille humaine à Valenciennes, Cambrai et Maubeuge. En plus de la qualité de ses formations, aux contenus alimentés notamment par 8 laboratoires de recherche, l’UVHC est reconnue pour son taux d’insertion professionnelle, parmi les meilleurs de France ! www.univ-valenciennes.fr
UMONS, BelgiqueL’université de Mons, en abrégé “UMONS”, est une université francophone implantée en Belgique, dans la province de Hainaut, à proximité de la frontière franco-belge. Depuis sa création, l’Université de Mons soutient au mieux la recherche au sein de ses différentes facultés. Aujourd’hui, l’UMONS comporte 700 chercheurs et une centaine de cellules de recherche, faisant de la recherche un de ses piliers fondamentaux, avec l’enseignement et les services à la société.portail.umons.ac.be
9. PARTENAIRES
PictanovoAccompagner et cofinancer la communauté régionale de l’image, c’est la mission de cette structure issue de la fusion du CRRAV et du Pôle Images Nord-Pas de Calais. Le spectre est volontairement très large : du cinéma au jeu vidéo en passant par le documentaire, la fiction télé et les œuvres interactives. L’ensemble des acteurs de l’image dans le Nord-Pas de Calais est ainsi réuni autour d’une même entité dont la vocation est triple : artistique, économique et innovante.www.pictanovo.com
CAPHCommunauté d’agglomération de la porte du Hainaut. Le territoire de la Communauté d’Agglomération, composé des 46 villes et villages de l’Amandinois, du Denaisis, de l’Ostrevant et de la Vallée de la Scarpe, compte 159 486 habitants.www.agglo-porteduhainaut.fr
Valenciennes MétropoleL’arrondissement de Valenciennes couvre 63 480 hectares. Il est peuplé de 349 038 habitants (données 2009). soit une densité de 549,8 hab/km2 ce qui en fait le territoire le plus peuplé de la région Nord-Pas-de-Calais.www.valenciennes-metropole.fr
