www.vaulx-en-velin-lejournal.com

L’association des commerçants Centre vie organisesa fête d’automne, avec la traditionnelle braderiedans le centre-ville le 7 octobre. Quand le 8, lesVaudais sont invités à participer au vide greniersur le parking de l’Hôtel de ville. Lire p.13

Le quatrième cycle des assemblées générales dequartier démarre jeudi 29 septembre. Au pro-gramme de cette première rencontre avec le mairesur le projet urbain : la Draisienne, le centre aqua-tique et le relogement au Mas. Lire p.4

AGQ au Mas du Taureau :les projets s’affinent

▲L’automne se fêteau centre-ville

21 septembre 2011n° 36 - 0,76 €

Favoriser la réussite des jeunesvaudais, un objectif partagéSi les suppressions de postes et les réformes font grincer des dents et conduisent à une journée de grève le 27septembre, collèges et lycées poursuivent leur effort pour la réussite de tous. Quand le programme de réussiteéducative et l’école de la 2e chance entendent ne laisser personne au bord du chemin. Lire pages 8 et 9

Salim Kechiouche,du ringaux stars Lire p.3

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PRÉSENT dans plus de 20 pays avecun chiffre d’affaires annuel de plus de11 milliards d’euros, le groupe AGCest le leader dans le segment duverre flotté. Pare-brises, doublevitrage ou encore verre pour bâti-ment et travaux publics, la gammede produits est vaste. Depuis mars, lasociété s’est installée dans un entre-pôt rue Mendès-France. Ici, sur1500m2, AGC stocke plus d’une cen-taine de références. Du verre soustoutes ses formes, du traditionnelmiroir jusqu’au fleuron de l’entreprise :l’antibactérien destiné aux hôpitaux.Après Paris et Nantes, il s’agit du troi-sième entrepôt français du groupe.Sa zone de chalandise va de Lyon jus-qu’à Marseille. “Le groupe AGC a choisi Vaulx-en-Velinpour sa position stratégique, expliquePhilippe Bernad, responsable du cen-tre lyonnais. Avec la rocade à proxi-mité, les livraisons se font très rapide-ment. Sur notre site, nous sommesquatre personnes, plus un intérimaire.Nous stockons et manipulons des pan-

neaux de verre de 3,21 par 2,50 mètres.Et assurons deux livraisons par jour àdestination des grossistes”.Au cœur de l’entrepôt, la prudenceest de mise. On manipule un matérieltrès fragile et coupant. Chaussures desécurité et chemises en kevlar sontde rigueur. Le verre est produit par legroupe et vient essentiellement deFrance et de Belgique. L’ouverture du

dépôt est très récente et malgré lacrise qui touche de nombreux pro-fessionnels, le groupe table sur unchiffre d’affaires à 2,5 millions d’eurospour le site vaudais. AGC prévoitd’ouvrir un autre entrepôt dans larégion bordelaise. En plus d’être unmatériel 100% recyclable, le verresemble donc être qui une affaire quiroule. R.C

“RETROUVER les fondamentaux pourpartager l’espace et trouver soi-mêmela voix du corps”. C’est ainsi que lajeune danseuse envisage la danse.Cette conception, elle entend bien lafaire partager à tous ceux qui aurontle plaisir, soit d’assister à ses specta-cles dans le cadre de sa résidence àVaulx-en-Velin, soit de participer auxateliers qu’elle compte mettre enplace sur la ville à l’espace Carco. “Leprincipe sur lequel se base notre com-pagnie est d’être en contact direct avecla population. Je souhaite en particu-lier toucher les familles en difficultés,notamment monoparentales”, souli-gne Anan.Après un apprentissage en danseclassique au Japon, l’artiste part seformer aux Etats-Unis et découvre ladanse contemporaine. “Ce fut unerévélation”, confie-t-elle et, un sacrébagage qui l’a menée jusqu’enTunisie où, précise-telle, “j’ai enseignéla danse classique et contemporainependant deux ans”. Une expériencequi lui permet d’asseoir ses compé-tences d’artiste mais aussi de consoli-der sa maîtrise de la langue française,un atout pour sa volonté d’exprimer

avec précision les valeurs qui la gui-dent et de pouvoir les transmettre :“L’essentiel pour moi est la rencontreavec l’autre et soi-même. C’est toucherl’énergie qui nous fait vivre, utilisernotre potentiel, nos capacités”. Desnotions qui font totalement écho aunom de la compagnie : “Atou est unmot ancien qui signifie possibilité etcapacité en japonais”, précise Anan. Sa soif d’apprendre, aux autres maisaussi des autres, relève du désirqu’elle considère vital, “de se nourrir,de grandir et de s’amuser dans cetéchange”. La danse est pour elle unoutil puissant, capable de creuser auplus profond de soi pour laisser surgirses émotions “les plus profondes,même s’il y a quelque chose de négatif,comme la colère ou la tristesse”, insisteAnan. Car le but est de “libérer sesémotions en utilisant notre corps”,conclut-elle.

Jeanne Paillard

Contact : compagnie Atou au 06 7352 46 40. Espace Carco : 20, rueRobert-Desnos. Tél. 04 78 80 22 61.Email : auto.info@gmail.com

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Christophe Mondiès, un esthète à Valdo

SON RETOUR comme inspecteur de l’éducation nationale(IEN) de la circonscription de Vaulx-en-Velin le réjouit visi-blement. Jean-Claude Séguy a été enseignant, directeurd’école et conseiller pédagogique sur la commune de1979 à 2004, et notamment à l’école Henri-Wallon.Nominé dans l’ordre national du mérite en 2006 et “aprèsdifférentes expériences en milieu rural dans l’Ain, le terrain etle dynamisme de Vaulx me manquaient”, explique-t-il. Luiqui y a débuté sa carrière et “découvert l’ampleur de la tâcheà accomplir pour les élèves défavorisés ou en difficulté”. Ilsouhaite donc innover dans les méthodes et l’organisationdes classes et des cycles et mettre l’accent sur les sciences.“Beaucoup de très jeunes enseignants font leurs premièresarmes dans la circonscription. Je tient à leur faire profiter demon expertise”, ajoute le nouvel IEN. Qui, à 56 ans, pourraitbien ne plus repartir…

Jean-Claude Séguy“Vaulx est un joli laboratoire”

A 21 ANS, Emilie Ravassard anime unatelier de commedia dell’arte à laMJC. Et ne cesse de vanter les vertusdu spectacle vivant. Que l’on soitdevant les projecteurs comme dansla pénombre du théâtre. Il lui suffitd’une scène... Pas de ménage mais decelles faites de planches, qu’elle aimeautant fouler que “zieuter” depuis lasalle. Emilie Ravassard ne peut se pas-ser du spectacle vivant, qu’il soit théâ-tre, cirque, danse ou commedia del-l’arte et prend autant de plaisir à jouer qu’admirer. Depuis janvier, elle anime àla MJC un atelier autour de la spécialité italienne de théâtre improvisé. Avis auxPantalon en herbe (l’atelier est réservé aux 8-12 ans), il reste encore quelquesplaces. “Je suis une formation en alternance au théâtre du Mouvement à Lyon pourdécrocher un diplôme dans l’animation culturelle”, explique-t-elle. Et assure queles enfants se laissent facilement prendre au jeu burlesque des masques. Le théâtre, elle est tombée dedans quand elle avait six ans. Ou même un peuavant puisque ses parents font depuis toujours partie de compagnies de théâ-tre amateur. Qu’elle ne manque pas de fréquenter. Installée jusque récemmentà Besançon, elle tâte bien sûr de théâtre universitaire. Maintenant établie àVilleurbanne, Emilie court les salles de spectacle de l’agglomération, de Chaplinau TNP. Sans vouloir devenir professionnelle, elle se dit ouverte et curieuse et yvoit aussi la possibilité de multiplier les moyens d’expression. “C’est merveilleuxd’être capable de se déplacer sur scène, d’utiliser son corps. Du coup j’ai ressenti lebesoin de transmettre cela”, insiste la jeune femme. Etre à l’aise en développantson esprit critique, voilà qui devrait être déclaré d’utilité publique. Les mercredis de 14h à 16h à la MJC (13, avenue Henri-Barbusse), renseigne-ments et inscriptions au 04 72 04 13 89.

Emilie Ravassard, Colombine cherche Arlequins

Le géant de la vitrerie s’implante dans la commune

La jeune danseuse et chorégraphe d’origine japo-naise, créatrice de la compagnie Atou, s’installe enrésidence pour deux ans au centre culturel communalCharlie-Chaplin.

AVANT d’accéder à la fonction de principal, ce professeuragrégé de sciences physiques a exercé pendant dix ansdans différents établissements, enseignant les sciencesavec l’accent de l’Aude. “J’ai travaillé trois ans en Zep àStrasbourg, dans la couronne parisienne, à Lyon au lycéeAmpère et ailleurs”, énumère Christophe Mondiès. L’anpassé, il était en poste à Villefranche et le voici aujourd’huiprincipal du collège Valdo. “J’étais partant pour venir àVaulx-en-Velin”, dit-il. Sur le pont depuis le mois d’août, il aeu le temps de se faire au lieu et d’être séduit. “Ce collègeest très beau. J’adore le béton brut, apprécie-t-il. Le précé-dent établissement, je l’avais choisi en fonction de l’architec-ture”, de béton brut aussi. L’esthétique lui importe et il s’in-téresse particulièrement à l’art contemporain. D’où le pro-jet déjà en marche “d’emmener les élèves à l’usine Tase etdans les autres lieux de la biennale”.

Présent dans plus de vingt pays, le leader du segment s’est implanté dans la zoneindustrielle Est de la ville. Ainsi, le groupe AGC Flat glass Europe a installé undépôt pour livrer tout le quart Sud-Est de la France.

Anan Atoyama, la danse, c’est l’expression de la vie

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Anan Atoyama et son partenaireMarc Ribault en répétition

pour leur prochaine création dont le thème est le désir d’amour.

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Salim Kechiouche, du ring aux starsSi sa vie est à Paris, Salim Kechiouche, aujourd’hui comédien professionnel reconnu par ses pairs, a débuté à Vaulx. Du ring de boxe auxsalles obscures, du Grand-Bois aux plateaux de cinéma, portrait d’un futur grand nom du septième art.

Mbarka Ben Haj Mohamedsurveillante multi-casquettes PREMIÈRE rentrée au lycée Doisneau pour Mbarka. Ellequi est assistante d’éducation depuis plus de cinq années,effectue sa première rentrée dans un lycée. La jeune bron-dillante est inscrite par correspondance à l’université deRennes en licence d’histoire dans l’optique de devenirprofesseure dans le secondaire. “J’ai déjà eu l’occasion devenir ici à maintes fois, lance-t-elle. C’était à l’associationFrameto où j’ai donné un coup de main pour le soutien sco-laire. Je ne suis pas en terrain inconnu”. Etudiante, assistanted’éducation mais aussi journaliste, Mbarka préside le LyonBondy Blog depuis février 2011, un média associatif quiintervient ponctuellement dans la ville à de nombreusesreprises. D’ailleurs elle ambitionne de partager sa passionpour le reportage et l’écriture en montant un journal avecles lycéens. Un projet qui sera à la fois pédagogique etludique. R.C

Xavier Cotte, un nouveaucoach pour le VBCENTRE le basket-ball et lui, c’est une histoire d’amour deplus de trente ans. A aujourd’hui 42 ans, Xavier Cotte poseson matériel dans le gymnase Aubert. Le Caluirard a com-mencé en tant que joueur au Cro, le club de la Croix-Rousse, où il a gravi les échelons de poussin jusqu’àentraîneur. Puis de 2003 à 2008, il part à Caluire pour évo-luer en nationale 3. De 2008 à 2011, Xavier devient mana-ger sportif et passe de l’entraînement à la gestion et à lalogistique. Et depuis la rentrée, le voilà donc au Vaulx bas-ket club (VBC). “J’ai souhaité me rapprocher du terrain et leprojet du VBC me plaît, explique le nouvel entraîneur del’équipe Une. Ici, on axe les choses sur la formation desjoueurs. Notre objectif est le haut du tableau et pourquoi pasla montée en N2”. Des objectifs ambitieux certes, mais sansoublier une notion clef pour tous les joueurs, le plaisir detâter le ballon rond et de dribbler sur le parquet. R.C

CE TEMPS LÀ est loin. Ces momentsoù avec ses amis, il prenait la camérade ses parents pour filmer des petitesscénettes chemin du Grand-Bois.Aujourd’hui, à trente deux ans, Salimn’en est plus à son premier film.Même s’il vit à Paris, il reste toujourstrès attaché à Vaulx où il passe régu-lièrement rendre visite à sa famille età ses proches.Rien ne le prédestinait au cinéma, luiqui était au départ attiré par la boxe.Tout a donc démarré en 1993. A cetteépoque, Salim s’imaginait enfiler lesgants sur les rings de l’Hexagone. Laboxe aurait pu lui offrir une carrièrebrillante, lui qui a été champion deFrance de kick-boxing en 1998 etvice-champion de boxe-thaïlandaiseen 1999 et 2002. C’est justement à laMJC qu’il trouve ses marques. Grâce àun voyage à Paris, il participe à undocumentaire sur la jeunesse et ren-contre le réalisateur Gaël Morel origi-naire de Villefranche, qui le repèrera. Grâce à cette rencontre, les chosess’accélèrent et le comédien en herbeparticipera à quelques films. “Je n’en-visageais pas de me diriger vers lacomédie, évoque Salim. De quinze àvingt ans, j’ai enchaîné les rôles sanstrop y croire. Je me mettais des barriè-res tout seul. Je me voyais faire carrièredans la boxe. J’ai toujours été fonceurde nature et au final, je me suis renducompte que le cinéma me passionnaitdavantage”. Et des beaux rôles, Salim en a joué.Notamment avec François Ozon,dans les Amants criminels, sorti en

1999. Le bac en poche, le futur comé-dien professionnel s’engage dans desétudes d’histoire. Puis à l’âge de vingtans, il intègre l’école de théâtre Lascène sur Saône. “Entrer dans cette

école m’a permis de côtoyer beaucoupde gens du milieu du spectacle, pour-suit-il. Ça m’a également permis d’élar-gir mes horizons en découvrant lesclassiques du théâtre. On m’a parfois

regardé comme un Ovni. Mais j’ai tou-jours su faire mes preuves”. Cinéma, couts-métrages, théâtre outéléfilms, Salim enchaîne les rôles.Quoi de plus normal, pour un acteur

professionnel. “Quand on commence,on n’a pas trop le choix, il faut prendrece qui vient, lance-t-il. J’ai eu de lachance, j’ai été bien entouré.Aujourd’hui, on me propose des rôles etdes scenarii à lire. Pour entrer dans lapeau d’un personnage, j’essaye d’être leplus sincère possible. Je me documenteen lisant ou en regardant des filmsmais j’écoute aussi les conseils du met-teur en scène. On est au service du filmet de l’art en général, on tente de serapprocher du vrai”.2010 aura été une année marquanteavec une présélection pour le Césardu meilleur espoir masculin. Uneconsécration pour toute une carrière.Salim a également eu le premier rôledans Fortunes, une série téléviséediffusée sur Arte. Le meilleur reste àvenir et les mois prochains serontprometteurs pour le gône de Vaulx.Deux longs métrages sont en postproduction, dont Le noir vous va sibien, de Jacques Bral où il partageral’affiche avec Thierry Lhermitte et Ceque le jour doit à la nuit, le dernierfilm d’Alexandre Arcady. Et plus tard,le jeune homme envisage de passerde l’autre côté de la caméra avec unprojet qu’il a écrit ici, à Vaulx-en-Velin.Mais le rideau tombe sur cet article etla carrière du jeune homme sera àsuivre sur les planches, les écrans detélévision ou dans les salles decinéma.

R.CPratique : pour suivre l’actualité del’acteur http://www.salimkechiouche.com

Romain Amate, le toqué réfléchi des tatamis

LE HASARD chamboule souvent lesvies. Quand Romain Amate a pousséla porte du club de Vaulx-en-Velin, en1995, “simplement pour suivre uncopain”, imaginait-il seulement quele kimono allait se muer en secondepeau ? De retour dans son club for-mateur depuis deux ans, il vient dedécrocher le plus haut diplôme d’en-seignant. A écouter les parolesenflammées de ce passionné, on l’i-magine chaque soir déplier méthodi-quement sa couverture sur un bordde tatami et remiser au matin sonoreiller dans un coin du dojo. RomainAmate semble respirer taekwondojour et nuit. “Dès le premier entraîne-ment, ça m’a plu. Pour l’esprit martial

qui anime le sport, l’ordre et le respectdes règles et des professeurs”, se sou-vient-il. Même dans son parcours l’onsent l’homme aussi réfléchi quedéterminé. “L’on peut appréhender ladiscipline de différentes manières. Al’occidentale, comme ici ou à la vietna-mienne, beaucoup plus rigoureuse”,explique celui qui a, du coup, fait letour des clubs du coin après quatreans passés à Vaulx. Une terre qu’il adonc récemment retrouvée. Entre temps, Romain s’est piqué decompétition, puisqu’il a décroché untitre de champion de France junior.Mais il a surtout attrapé le virus del’enseignement. Passant de nomb-reux diplômes. Jusqu’au dernier, le

brevet d’Etat deuxième degré, qui luipermet à son tour de former lesfuturs éducateurs rhônalpins. Et d’a-jouter d’une petite voix : “Ah oui, j’ou-bliais, je suis toujours formateur pour leclub de Vaulx. Et j’apprends tout autantde mes élèves que le contraire”, assure-t-il. Cet homme aux journées de plus de24 heures a aussi trouvé le temps defaire des études de droit, pour entrerdans la police. Des études qu’il vientde reprendre pour tenter unconcours externe et prendre dugalon. Et qu’a-t-il fait en arrivant à lafac ? Ouvert studieusement sescahiers mais, surtout, enfilé sonkimono et rejoint le tatami de l’uni-

versité. Infatigable stakhanoviste dutaekwondo. “C’est pour le plaisir”,modère-t-il. Ah… Romain dresse sonindex dans les airs. “Je suis aussi juge”,glisse-t-il. Son rêve ultime : devenir

arbitre international et du coup voya-ger. Et pourquoi pas officier aux Jeuxolympiques. Il a tout le temps pourcela…

S.L

A 25 ans, il a le taekwondo dans le sang. Sociétaire du Taekwondo club de Vaulx,il vient de décrocher le brevet d’Etat lui permettant de former des entraîneurs.Arbitre il a également repris des études de droit pour booster sa carrière dans lapolice. Mais comment parvient-il à honorer cet agenda de ministre ?

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AVEC la même volonté d’être encoreplus proche des préoccupations deshabitants, les assemblées généralesde quartier (AGQ) redémarrent pourun quatrième cycle. Ainsi le maire,Bernard Genin ira à la rencontre deshabitants pour présenter les grandesorientations de la Ville et répondreaux questions des habitants relativesau cadre de vie. Les rencontresreprendront par le Mas, le Pré del’Herpe et Cervelières-Sauveteursjeudi 29 septembre et Noirettes-Grolières jeudi 6 octobre. Au Mas du Taureau, le renouvelle-ment urbain prend forme. Sur le sitede l’ancien terrain de bi-cross, la Villea signé le permis de construire pourle projet dit “la Draisienne” avec lebailleur Alliade habitat. A terme,soixante dix logements sortiront deterre. Autre avancée significative,l’obtention d’un arrêté préfectoralqui permettra de construire un étageen sous-sol pour un parking. Ce quin’était initialement pas prévu à lasuite de l’enquête sur les champscaptants qui affirmait le caractèreinondable de la zone. Au Pré de l’Herpe, le futur centreaquatique change de localisation. Ilsera implanté non plus sur l’espla-nade Duclos, mais en face, sur le sitede l’actuelle piscine Jean-Gellet.La concertation de la Ville dansle cadre du projet “Grande Ile”démarrera à l’automne. Il s’agitdu plan de composition urbaineentre le Mas du Taureau et lequartier voisin de Saint-Jean àVilleurbanne. A terme, le tram-way T1 pourrait être prolongéjusqu’au Mas.

Enfin, le processus de relogement vas’accélérer pour les habitants deschemins Mont-Gerbier et Mont-Cindre. Le patrimoine deVilleurbanne Est habitat devenantvieillissant, le calendrier a donc étéavancé. Lors des deux prochaines AGQ, unlarge temps sera accordé aux partici-pants pour faire le point avec le mairemais également les bailleurs et lespartenaires sociaux de la Ville.

R.CPratique :AGQ du Mas du Taureau-Pré del’Herpe-Cervelières/Sauveteurs, jeudi29 septembre à 19h, salle Victor-Jara,rue Lesire. AGQ des Noirettes-Grolières, jeudi 6octobre à 19h, au local commun rési-dentiel (LCR) des Grolières, 5 rue desVergers.

A venir :Jeudi 13 octobre à 19h, AGQ desquartiers Est (Vernay, Verchères,Ecoin, Thibaude), grande salle del’espace Carco, 20 rue Desnos.Jeudi 3 novembre à 19h, AGQ duPont des Planches, gymnase écoleMistral, 3 rue Satlingrad.Jeudi 10 novembre à 19h, AGQGrappinière-Petit Pont, centre Jean-Moulin, avenue jean-Moulin.Jeudi 24 novembre à 19h, AGQVillage, école Paul-Langevin, rueLouis-Duclos.Jeudi 1er décembre à 19h, AGQ LaCôte, salle de la mairie annexe duSud, 32 rue Alfred-de-Musset.Mardi 13 décembre à 19h, AGQCentre ville, salle Edith-Piaf, 41 rueGabriel-Péri.

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Le quatrième cycle des assemblées générales de quartier démarre jeudi 29 septembre. Le dispositif qui entre dans le cadre de la démocra-tie locale, permet de rencontrer directement le maire et de faire la lumière sur le projet urbain. Au programme pour ce début de cycle: laDraisienne, le centre aquatique et le relogement au Mas.

CONCERTATION Grand Mas : les projets s’affinent Va

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LA DÉCISION est tombée au débutdu mois d’août et c’est un coup trèsdur porté au Monde réel. Le conseild’administration de la Caisse d’allo-cations familiales (Caf) a retiré sonagrément. Désormais, l’associationbasée au Mas du Taureau perd lelabel de centre social et un de sesprincipaux financeurs. Il s’agit égale-ment d’une perte de près 100 000euros de subventions pour le fonc-tionnement de l’animation globale etdu secteur famille de l’ancien centresocial. Pourtant le Monde réel reste en lienavec les habitants, ses activités sontaxées vers l’éducation populaire. Lesréseaux d’échanges de savoirs sontau cœur de son fonctionnement. Aurez-de-chaussée du 1 chemin desEcharmeaux, les enfants et les ado-lescents de 6 à 17 ans sont accueillisau sein de Lart (Loisir animation réus-site transmission). Les activités sontaxées sur la culture, l’écrit, les scien-ces et l’environnement mais égale-ment l’aide aux devoirs.“Nous faisons autre chose que des acti-vités de loisirs et du sport, expliquentDanielle Roffino, présidente de l’as-sociation, Louisette Delgado Gomes,trésorière et Olga Panon trésorièreadjointe. Au Monde réel, on valorise larichesse des cultures et des populationset nous sommes en quête de sens. Leprojet avait été approuvé par les adhé-rents et les habitants. Mais la Caf ne l’apas entendu de cette oreille. On n’a pasde précisions sur la suppression d’agré-ment. L’année écoulée a été éprou-vante et nous avons rencontré de nom-breuses difficultés de fonctionnement.Le coup est rude. Toutefois, on peutcompter sur la municipalité et noustravaillons activement avec nos parte-naires pour trouver des solutions”.Certes, les rapports étaient parfoistendus avec la Caf, notamment àcause du mode de fonctionnementde l’ancien centre social. Mais l’asso-ciation, qui connaissait déjà un défi-

cit structurel de 48 000 euros, aurabeaucoup de mal à se relever. Enoctobre, le conseil d’administrationse réunira pour une réorganisationqui s’annonce douloureuse pour lesadhérents et le personnel. Tentant de ramener la Caf à demeilleures dispositions, le maireBernard Genin a envoyé un courrier àMarc Tixier, président de la Caissed’allocations familiales. “Le Mas duTaureau est concerné par une des plusimportantes opérations de rénovationurbaine de France ; 250 millions d’eurossont ainsi engagés dans cette opéra-tion dont près de 100 millions d’eurospar l’Agence nationale pour la rénova-tion urbaine, pointait le premiermagistrat dans son courrier. Mais, lerenouvellement urbain, pour être effi-cace, c’est le développement de l’actionsociale et surtout de l’humain”. Faisantvaloir que dans un secteur comme leMas du Taureau, le Monde réel restela seule association structurante. Sielle venait à disparaître, elle laisseraitun énorme vide sur tout un quartier,qui concentre de nombreuses diffi-cultés sociales. R.C

Pratique : Initialement prévue mardi27 septembre, l’assemblée généralede l’association est reportée à unedate ultérieure. Des rencon tres ponc-tuelles avec le conseil d’administra-tion ont lieu les lundis et mercredisde 18h à 20h au 1, chemin desEcharmeaux : adhérents et habitantspeuvent échanger et apporter dessuggestions. Pour les inscriptions aux activités,l’association tient une permanenceau rez-de-chaussée de l’espaceFrachon (3 avenue Maurice-Thorez)le lundi de 14h à 19h. Du mardi auvendredi de 9h30 à 12h et de 14h à19h. Tél : 04 72 97 09 96.Reprise des activités en octobre. A partir de janvier 2012, Lart ou lesecteur enfant du Monde réel intég-rera le Local commun résidentiel(LCR) du quartier Cervelières-Sauveteurs. Une convention tripar-tite a été signée avec la Ville et l’asso-ciation syndicale des propriétaires(ASP) du quartier. Les travaux demises en conformité seront pris encharge par la collectivité.

Sérieuse menace sur le Monde réelSOCIALC’est une nouvelle amère pour le Monde réel. La structure se retrouve le dos au mur,après le désengagement d’un de ses principaux partenaires, la Caisse d’allocationsfamiliales (Caf).

Moment de proximité avec le maire Bernard Genin et son équipe munici-pale, les visites de quartier ont repris le 9 septembre au Pont des Planches,en présence d’un peu plus d’une quinzaine d’habitants. L’occasion pour lesriverains d’évoquer les problèmes du quotidien mais aussi de se faire expli-quer en direct les projets de la Ville. Les prochaines visites de quartierconcernent le Village le 30 septembre, puis la Thibaude le 14 octobre. A par-tir du mois de novembre, les visites du maire n’auront plus lieu le vendredisoir, mais le samedi matin, horaires d’hiver obligent. Pour plus de précisionsur les périmètres concernés, consulter l’agenda en fin de journal ou se ren-dre sur le site Internet de la mairie : www.mairie-vaulx-en-velin.fr

Les visites de quartier reprennent

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Parmi les actions du Monde réel,les Amap qui délivrent aussi

des paniers solidaires.

La place Guy-Môquet au Mas du Taureau.

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APRÈS la douche froide de la baisseannoncée de 16 % des financementsdu contrat urbain de cohésionsociale (Cucs), la venue début sep-tembre à Vaulx-en-Velin de la prési-dente de l’Agence nationale pour lacohésion sociale et l’égalité des chan-ces (Acsé), Salima Saa, a été un signepositif pour la Ville. “Nous espéronsque l’Etat, tant à travers ses conven-tions qu’avec ses crédits classiques,intervienne de façon largement plusvolontariste et porte l’action publiqueau cœur de nos quartiers”, expliquaitle maire, Bernard Genin. Car si ledispositif du contrat urbain de cohé-sion sociale est prolongé jusqu’en2014, le désengagement de l’Etatdans son financement a conduit àune baisse très significative des cré-dits de 135 000 euros, notammentpour les associations structurantesque sont les centres sociaux dans lesquartiers. “Les opérations de renouvel-lement urbain sont significatives surnotre ville mais ne peuvent suffire,poursuivait le maire. Il faut accompa-gner des populations parfois extrême-ment fragiles et cela ne peut se fairesans être au plus près des besoins deshabitants, tout en accueillant et enintégrant les nouvelles populations”. Mi-février, dans un courrier au minis-tre de la Ville, Maurice Leroy, BernardGenin dénonçait la fragilisation qu’o-pérerait cette baisse de crédits sur leshabitants des quartiers populaires.Rappelant que la Ville devait déjà pal-lier “les carences volontaires de l’Etaten finançant une grande partie de la

Maison de justice et du droit, compé-tence régalienne de l’Etat s’il en est”.Dans le même temps, le premierministre, François Fillon, réunissait lecomité interministériel des villes(CIV), déclarant qu’une expérimenta-tion sera lancée dans trente troisquartiers. Expérimentation qui com-portera des engagements précis et concrets en matière d’emploi, d’édu-cation et de sécurité. Lors de cetteréunion, le CIV a aussi choisi de valo-riser l’action des acteurs de terrain àtravers les associations, la reconnais-sance des métiers de la médiationsociale, les centres de ressource et lesgardiens d’immeubles. C’est ainsique la Ville, qui au départ n’était pasprévue pour participer à ces expéri-mentations, en fera tout de mêmepartie. Sur ces thématiques, Vaulx-en-Velinbénéficiera de crédits de “droit com-mun” qui permettront de préparer lesformes nouvelles que pourrait pren-dre le prochain Cucs après 2014. Pourla Ville, il s’agit de mettre prioritaire-ment en avant la prévention de ladélinquance et la sécurité, l’éduca-tion, notamment à travers la cultureet l’éducation à la santé, et l’insertionet le développement économique.Pour autant, le maire se demande“comment faire du droit commun enmatière d’éducation par exemple,quand 16 000 emplois sont encore sup-primés et que Vaulx compte deux foismoins d’infirmières scolaires quenécessaire ?”. C’est pourtant sur l’édu-cation que la présidente de l’Agencenationale pour la cohésion sociale etl’égalité des chances, lors de sa visite

à Vaulx-en-Velin, a souligné “l’exem-plarité de la Ville en matière de projetéducatif”, après s’être fait expliquer lefonctionnement du Programme deréussite éducative et avoir visité l’é-cole de la seconde chance. Une visitequi devrait conduire à un soutienfinancier accru. Ce qui n’a pas empêché le maire desolliciter le préfet pour un réexamenfinancier des projets du contraturbain de cohésion sociale, notam-

ment ceux des centres sociaux “quiont vu leurs crédits baisser de façonimportante alors que, dans le mêmetemps, ils sont en première ligne avecla Ville, sur des territoires en renouvelle-ment urbain, comme le Mas duTaureau ou les Verchères, territoires quirestent cependant fragiles”. Des asso-ciations qui, selon Bernard Genin,

coproduisent les politiques de cohé-sion sociale. L’engagement de l’Etatpour les années à venir sera dans cesdomaines tout aussi déterminantque la poursuite des opérations derenouvellement urbain, que le maireappelle de ses vœux avec la mise enplace d’une seconde programma-tion. E.G

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Prolongé jusqu’en 2014, le contrat urbain de cohésion sociale définit les actions auxquelles l’Etat entend accorder une priorité dans lesquartiers en politique de la ville. Après la douche froide de la baisse de 16 % des crédits l’hiver dernier, l’Etat lance aujourd’hui des ave-nants expérimentaux.

Les hauts et les bas de la cohésion socialeDÉVELOPPEMENT

LA PREMIÈRE pierre avait été posée le 25 juin dernier sur son futur site : à l’anglede la rue Lesire et de l’avenue Monmousseau. Aujourd’hui, le projet de la mos-quée de Vaulx-en-Velin commence à prendre forme. Au mois d’août, un marchéavait été organisé à l’occasion du mois du ramadan. Près d’une trentaine decommerçants étaient présents sur le terrain. “Au moment de la pose de la pre-mière pierre nous étions à 536 000 euros récoltés grâce aux dons des fidèles, indiqueFaouzi Hamdi, président du collectif de la future mosquée de Vaulx-en-Velin. Lemarché a eu du succès, il a permis de générer beaucoup de dons, mais a étécoûteux. Il a fallu louer des chapiteaux, un camion frigorifique entre autres. Le pro-jet avance à grands pas. Aujourd’hui, nous en sommes à 600 000 euros de dons col-lectés. L’architecte a lancé le dossier de consultation des entreprises (DCE) au débutdu mois de septembre. Tout le côté architectural est désormais terminé, nous allonspouvoir entreprendre les travaux”. Quelques retards ont été observés sur l’aspectadministratif, avec les mesures de sécurités propres aux sites pouvant accueillirplus de 300 personnes. La phase de travaux démarrera donc à partir du moisd’octobre. Le montant total de la construction de l’édifice est estimé à quatremillions d’euros. R.C

Le point sur la future mosquéeCULTE

Depuis la pose de la première pierre de la mosquée aumois de juin, le site a accueilli un marché à l’occasiondu mois du ramadan. Le projet avance à grands paset devrait sortir de terre très prochainement. Vaulx-en-Velinjournal- 21 septem

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TRANSFÉRÉE à l’école Langevin, l’é-cole maternelle Cachin au Village aretrouvé une nouvelle destination.Après quelques travaux de réaména-gement, la Ville vient d’y ouvrir uncentre de loisirs (lire ci-dessous). Maiselle ne compte pas s’arrêter là, sefixant comme objectif de mainteniret développer des services publics deproximité dans les quartiers, notam-ment au Village, là où elle a recenséune demande des habitants.D’autant que le Village est un quar-tier qui se développe et que la Villeentend préserver l’équilibre entrel’ancien et le nouveau et accompa-gner les habitants au cours de cesmutations. C’est ainsi que, d’ici à la finde l’année, le nouveau centre Cachinaccueillera, en plus du centre de loi-sirs des 3-10 ans, un espace jeux, des

animations par le service municipaldes Sports, un pôle projets du servicemunicipal Médiation/Jeunesse et unchargé de développement pour fairele lien avec les habitants. Et si Cachinest un équipement de proximité auVillage, il renforce l’accueil à l’atten-tion de tous les Vaudais, notammentavec l’accueil de loisirs.Un nouveau centre de loisirs au VillageLe réaménagement de l’école mater-nelle Cachin a déjà permis l’ouver-ture depuis le 7 septembre d’un cen-tre de loisirs en capacité d’accueillir28 enfants : seize âgés de 3 à 6 ans etdouze de 6 à 10 ans, issus de tous lesquartiers de la ville, les mercredis etdurant les vacances scolaires à partirde 9h et jusqu’à 18h. Il propose desactivités en adéquation avec le projet

pédagogique de la Ville, “la prioritéétant, souligne la directrice, SéverineLefaure, le vivre ensemble mais ausside travailler en partenariat avec lesautres services municipaux qui serontprésents sur le site”. Le centre accueilleles enfants à la journée avec une col-lation le matin, le repas de midi et ungoûter l’après-midi. Et la Ville a mis enplace un ramassage en car le matin àpartir de 8h et le soir à partir de17h20. Trois animateurs, tous titulai-res du Bafa, encadrent les enfants.Sorties, activités psychomotrices,activités manuelles, jeux d’éveil, artsplastiques, danse, chant seront auprogramme de l’année.

Renseignements au service munici-pal de l’Education, Hôtel de ville,place de la Nation. Tél. 04 72 04 81 01.

Des services de proximité à l’espace CachinAMÉNAGEMENT

Favoriser la présence de services publics de proximité, tel est le sens de l’aménage-ment par la Ville de l’espace Cachin. Un équipement qui accueille un centre de loi-sirs et qui va se développer avec la mise en place de nouveaux services.

Les associations qui souhaitent demander un financement pour une ouplusieurs actions dans le cadre de la politique de la ville, à travers le Contraturbain de cohésion sociale (Cucs) doivent s’adresser à la direction duDéveloppement social et de la Vie associative (DDSVA), seul interlocuteurdes différentes phases de la programmation au niveau local (réception desdossiers de demande de subvention, examen des propositions, participa-tion aux réunions de pré programmation locales et de programmation). LaDDSVA doit donc être destinataire de l’ensemble des documents, afin d’enassurer le suivi. Attention, les dossiers doivent être retournés complétésavant le 30 septembre.Le site Internet de la mairie met à disposition des associations les formulai-res nécessaires à ces demandes de subvention, ainsi que les explicationspour remplir les dossiers, à télécharger sur www.mairie-vaulx-en-velin.fr

Demander des financements pour 2012

Alain Marc le préfet délégué pour l'Egalité des chances, Salima Saa la présidente de l'Acsé et le maire Bernard Genin.

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PLUS DE 30 ans que Daniel Lucasétait à la tête de la maison. Alors, àl’heure de sa retraite, on voyait malson successeur, Georges Piris, arriveret casser la baraque, enfiler lecostume de directeur et chamboulerl’organisation de l’école de musiqueinstallée au pôle culturel René-Carrier. “Je suis arrivé au début du moisde septembre et envisage ma missiondans la continuité de son précieux tra-vail”, confirme ce dernier. Avec le conservatoire à rayonnementcommunal, la Ville montre son “atta-chement à la démocratisation de l’ac-cès aux pratiques culturelles”. Et auxpratiques diversifiées, du rock au jazzen passant par la musique classique.Ne serait-ce que pour s’ouvrir à l’in-connu et ne pas “se contenter de sui-vre aveuglément l’air du temps et sespréoccupations marchandes”, lanceGeorges Piris. Vont donc se poursui-vre les classes à horaire aménagé(Cham) montées au collège Henri-Barbusse, comme les activités péris-colaire dans les écoles Henri-Wallonet Angelina-Courcelles. “Cela permet

à l’enseignement musical de franchirles mur du conservatoire. En multi-pliant les styles abordés, en favorisantles relations intergénérationnelles, en

proposant par exemple des initiationsà la musique aux adultes”, détaille lenouveau directeur. Le visage de l’an-née 2011-2012 devrait adopter les

traits de “L’homme à la tête de chou”puisque la musique de SergeGainsbourg reviendra tout au longde l’année. A commencer par le

concert de Noël, début décembre àChaplin, dont il sera le fil rouge.Comme du travail mené avec laclasse Cham de Barbusse. “Nousveillerons à adapter encore plus nosprestations aux demandes de nos élè-ves”, insiste Georges Piris. Sansoublier que les élèves du conserva-toire proposeront un mini festivaldébut mai. Continuation égalementavec la poursuite de la mise en placedu cursus de danse classique entamél’an passé avec les 5/6 ans.“L’enseignante va maintenant propo-ser des cours pour les adultes et lesadolescents”, confirme-t-il. Tant de diversité proposée aux 550élèves de l’école ne devrait pas chif-fonner plus que ça son nouveaudirecteur. Lui qui avant de poser sespartitions à Vaulx-en-Velin a pas malbourlingué, de la Réunion en passantpar le Languedoc-Roussillon. S.L

Pratique : conservatoire municipalde musique et de danse, espace cul-turel René-Carrier, 55 rue de laRépublique. Tél. 04 78 79 51 41.

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Georges Piris vient de prendre la direction du conservatoire à rayonnement communal de Vaulx-en-Velin. S’il envisage sa tâche dans lacontinuité de son prédécesseur, il pointe quelques nouveautés pour cette année…

CULTURE Sur le thème de Gainsbourg au conservatoire

L’AMBIANCE autour de la table, oùsont réunies les personnes touchéespar le drame de la maladie est plutôtbon enfant. C’est le résultat des sixséances dont elles ont pu bénéficierà Vaulx-en-Velin, l’hiver dernier. Al’occasion du bilan de cette action, lesparticipants ont apporté leur témoi-gnage sur cette initiative qui leur apermis d’acquérir de bons réflexesvis-à-vis des malades, grâce à unemeilleure connaissance de la mal-adie. “Nous avons pu échanger sur l’at-titude à adopter face aux comporte-ments de nos proches. C’est importantde pouvoir parler avec d’autres person-nes, touchées aussi par cette maladie”,s’accordent-ils à dire. Un moyen d’é-chapper à cette tension permanentequ’ils vivent : “Nous voyons de plus enplus d’aidants craquer tant leur rôle estusant. De plus, ils sont souvent isolés.Depuis des années, nous avons fait leconstat que pour aider les malades, ilfaut soutenir les personnes qui lesaident”, note Claire Helly, bénévole del’association France Alzheimer.

Donner des clés pour connaître lamaladie et ses conséquences, c’estaussi un moyen de lutter contre lamaltraitance, phénomène suscepti-ble de se produire en raison des diffi-cultés à accepter les troubles de com-portements des malades. “Lors de laformation, nous expliquons que lespersonnes atteintes d’Alzheimer agis-sent de telle manière à cause de la mal-adie”, insiste Sophie Meyronin, lapsychologue. Douze personnes ont pu bénéficierde cette action et toutes espèrentqu’elle sera reconduite tant l’impact aété bénéfique : “Nous sommes venuespour être rassurées, car nous culpabili-sons beaucoup. Parler de la maladie,c’est aussi échapper au risque de sabanalisation”, affirment-elles. Souli -gnant la bonne entente du groupe,les participants se sont risqués à évo-quer l’usage de l’humour :“L’ambiance entre nous était excel-lente, nous étions en totale confianceet avons pu nous laisser aller parfois àplaisanter autour de la maladie. C’est

un très bon exutoire”. Claire Hellyconfie “avoir aussi beaucoup appris aucontact des familles” et avance “qu’undes projets l’année prochaine serait demettre en place une formation plusspécifique pour le personnel soignant”.La réforme de la prise en charge despersonnes âgées promise par l’Etatlaissait espérer une meilleure prise encompte de la situation des famillesmais son report rend incertaine lacontinuité des actions envisagées. A l’occasion de la Journée mondialeAlzheimer, le 21 septembre, l’associa-tion France Alzheimer se mobiliseune fois de plus. Du 21 septembre au6 octobre, le train Alzheimer, menépar la SNCF, sera dans les gares desgrandes villes. A Lyon Perrache le 27septembre, les bénévoles de l’asso-ciation seront présents pour répon-dre aux questions de tous.

J.P

Pratique : service municipal desRetraités, 41 avenue Gabriel-Péri. Tél.04 72 04 78 40.

Association France AlzheimerRhône : l’association apporte desinformations pratiques concernantnotamment les aides juridiques etsociales auxquelles les malades etleurs familles peuvent prétendre.

Ecoute au 04 78 42 76 51. 6 placeCarnot. Lyon 2. Les mardis et mercre-dis de 14h30 à 16h30. Vendredi 14hà16h et sur rendez-vous. www.francealzheimer.org

La formation proposée par la Ville, avec l’association France Alzheimer, afin d’accompagner les familles des malades, affiche un bilan trèspositif, à l’heure de la Journée mondiale Alzheimer le 21 septembre.

SOLIDARITÉ Aider les proches des malades d’Alzheimer

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- N°3

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SANTÉ

LA COQUELUCHE est une maladie fortement contagieuse, en pleine recrudes-cence. La contamination s’effectue entre individus par voie aérienne. Ce sont lesgouttelettes d'eau expulsées (éternuement, toux) qui disséminent les bactéries.Les symptômes apparaissent entre 6 et 21 jours (moyenne de 7 à 10 jours) aprèsl’exposition aux bactéries. La coqueluche peut se produire à n’importe quel âge,mais c’est chez les enfants en bas âge que les conséquences peuvent être lesplus graves (en particulier pour ceux qui ne sont pas immunisés ou en coursd'immunisation). La coqueluche touche aussi de plus en plus les adultes et lesenfants plus âgés, notamment ceux qui n'ont pas effectué le rappel de leur vac-cination. Quels sont les symptômes ? La coqueluche commence souvent de façon peuévocatrice, inaperçue du fait de signes peu importants : rhume, légère fièvre,toux sèche plus intense la nuit. Ces symptômes peuvent durer jusqu’à deuxsemaines et l’apparition d’une toux persistante (pendant parfois plus de troissemaines) se manifestant par des quintes violentes. La fièvre, si elle est présente,n'est pas très importante. La prévention s’effectue par la vaccination : dès deux mois, le bébé peut êtrevacciné. Trois injections à un mois d'intervalle sont réalisées, suivies d’un pre-mier rappel vers 16-18 mois et d’un second vers 11-13 ans Il n’y a aucune protection définitive contre la coqueluche, l’immunisation est lameilleure mesure préventive pour les enfants, mais tout comme la protectionacquise, elle ne dure que quelques années. Seulement 10% des adultes sontprotégés contre cette maladie. C’est pourquoi, il est recommandé aux futursparents de se faire vacciner auprès de leur médecin traitant ou auprès du CDHS(25 rue Rabelais à Vaulx-en-Velin. Tél. 04 78 80 98 12)Pour toutes questions complémentaires : service municipal de Promotion santéau 04 72 04 80 33.

Attention la coqueluche revient

ASSOCIATION

L’ASSOCIATION les Petits frères des pauvres recherche, pour la reprise de sesactivités sociales, un ou deux chauffeurs bénévoles pour assurer le transport depersonnes âgées, le jeudi après-midi de 13h à 14h et de 16h à 17h, le vendredide 11h à 12h et de 17h à 18h. L’association remboursera les frais de carburantsuivant le barème kilométrique appliqué aux bénévoles du service des impôts.Contact : Estelle Duhr, Les petits frères des Pauvres, espace Benoît-Frachon, 3avenue Maurice-Thorez. Tél. 04 78 80 42 55.

Recherche chauffeurs bénévoles

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7Vaulx-en-Velinjournal- 21 septem

bre 2011 - N°36

“C’EST un retour d’ascenseur vis à vis duJapon qui a aidé l’Europe à surmontersa crise du textile lors de l’épidémie quia détruit les vers à soie au 19e siècle”,explique Isabelle Moulin, directriceartistique du projet Silk me back.“Aujourd’hui, ce pays traverse unepériode difficile et notre association adécidé de lui venir en aide par le biaisd’un événement artistique”.La vente d’une collection de kimonoset de yukatas conçus en pièces

uniques ou séries limitées devra per-mettre de réaliser des bénéfices quiseront versés au Japon pour lui veniren aide. “Nous avons sollicité des artis-tes pour produire des œuvres symboli-sant les influences réciproques entrenos deux pays”, note Isabelle Moulin.Un kimono de Frédéric-Jacques Huetest visible à la Tase dans le cadre del’exposition Friche en œuvre.L’ensemble de la collection seraensuite exposé au musée des Tissus,

puis dans d’autres lieux et notam-ment au Japon avant sa vente.Les liens historiques entre la Franceet le Japon et plus précisemment,ceux entre l’usine Tase, les soieriesBonnet et la filature de Tomioka auJapon, seront évoqués lors d’uneconférence le 23 septembre à l’usineTase à 14h30. “L’histoire sera abordéesous l’angle des usines Pensionnat.Après la première guerre mondiale, lesingénieurs sont allés recruter des jeu-

nes filles dans les campagnes en Italie,en Espagne et dans les pays de l’Estpour les faire travailler à l’usine Tase.Elles logeaient sur place encadrées pardes sœurs”, relate Isabelle Moulin. Unrécit recueilli dans le livre deGhislaine Chassine et dont desextraits seront lus par Mohammed ElAmraoui, écrivain. Jocelyne Béard, del’association partenaire Vive la Tase etNathalie Foron-Dauphin, responsa-ble de la mission d’inventaire aux

soieries Bonnet, se joindront à lui,pour animer la conférence. J.PContact : Silk me back, 6 rue de laFavorite. Lyon 5e. Tél. 06 64 12 42 85.silkmeback.blogspot.com

L’association Silk me back donne à voir une autre facette de l’usine Tase, à traversun projet artistique original, destiné à valoriser les liens tissés entre la région lyon-naise et le Japon.

HISTOIRE Le Japon entre à la Tase

APRÈS son inauguration à LaSucrière, en présence du ministre dela Culture Frédéric Miterrand, la bien-nale d’art contemporain s’est ouverteau public. Jusqu’au 31 décembre, elleoccupe quatre lieux, dotés chacund’une atmosphère particulière. A LaSucrière se côtoient œuvres monu-mentales et dessins. Au musée d’artcontemporain se raconte une his-toire où il est question de lignes, detemps, de frontières. La fondationBullukian fait place à l’utopie. Et ladémesure, le joyeux artifice sont enscène à l’usine Tase.“A quoi avons nous affaire ? Y a t il seu-lement un sens à cela ? Ou pas ?”, écritThierry Raspail dans le catalogue del’exposition. A chacun d’aviser. Déjàfaut-il parcourir, regarder, écouter.Les œuvres se donnent à voir, don-nent à penser la frontière, les passa-ges, l’opposition, les imbricationsentre le beau et le terrible. L’état de

l’art renvoie à l’état du monde, l’art enmême temps se distancie du réel,mais l’art peut-il vraiment transfor-mer le monde ?

Pratique : usine Tase, 14 allée duTextile (entrée piéton, rue du Rail).www.labiennaledelyon.com

A l’intérieur d’une terrible beauté

L’USINE TASE qui compte parmi les premiers sites d’industrialisation de la soieartificielle(1) est inscrite au titre des monuments historiques depuis le 25 mai der-nier. Les associations Vive la Tase et Silk me back ont fêté l’événement le 15 sep-tembre, en présence notamment d’Alain Lombard, directeur des affaires cultu-relles Rhône-Alpes, Jean-Jacques Queyranne, président de la Région,Nassreddine Hassani, conseiller municipal délégué à la Culture, à la Vie associa-tive et aux Fêtes. Alain Lombard d’évoquer le temps écoulé depuis la demandede classement en urgence en 2007. En expliquant que le classement de ce patri-moine devait aller de pair avec un projet de réutilisation. Projet désormais portépar Bouwfonds Marignan qui vient de démarrer le chantier.L’avenir du bâtiment est en jeu. Certains voudraient en faire un lieu culturel, unobjet actif de la création contemporaine, mettre l’art au cœur de la cité ouvrière.L’exposition Friche en œuvre présentant des travaux de Frédéric-Jacques Huetet Julien Morel, deux artistes stéphanois, comme l’installation d’œuvres de labiennale d’art contemporain dans l’aile est de l’usine, montrent combien le lieus’y prêterait. D’autres voudraient y abriter la mémoire collective de ceux qui ontfait la Tase. Pour Nassreddine Hassani une chose est sûre : “L’avenir d’un tel sitedépend de l’implication des citoyens”.

(1) En 1923, le groupe Gillet décide de créer la Société de soie artificielle du sud-est (Sase) à Vaulx-en-Velin pour exploiter le procédé de fabrication de la viscose. L’usine est bâtie par la société Desseux etAlexandre. Autour d’elle, se construisent les cités ouvrières, une chapelle, un foyer de jeunes travailleu-ses… En 1925, la Sase emploie 1000 ouvriers. Ils sont près de 3000 à la fin des années 20. En 1935, cettesociété devient la Tase (Textile artificiel du Sud-Est).

LOISIRS CRÉATIFS

Une nouvelle vie pour l’usine ASSOCIATION consacrée aux artsplastiques, l’Artistorium propose desactivités aussi diverses que la pein-ture, la sculpture, le modelage, l’a-quarelle, la mosaïque, l’enluminure, lescrapbooking et, pour ceux qui veu-lent en plus faire travailler leursméninges, le scrabble. Les ateliers libres se déclinent sous la forme detemps d’activités conviviaux, sansprofessionnel, où chacun travaillelibrement et rencontre d’autres pas-sionnés. Ils ont lieu les lundi de 14h à18h, mardi de 9h à 16h (complet),jeudi de 14h à 18h. Le scrapbookingse déroule le mardi de 18h à 21h et lescrabble le jeudi de 14h à 18h.L’Artistorium propose aussi tout aulong de l’année des concours, confé-rences, soirées, débats, jeux, sorties etexpositions.Artistorium : 1 allée de la Boule enSoie. Tél 04 72 81 75 71. artistorium1@aliceadsl.fr

Les activités del’Artistorium

ART

Dans le cadre de la biennale d’art contemporain, la Fédévo organise un pla-teau axé sur les cultures urbaines. L’événement aura lieu samedi 1er octobresur le site de l’ancienne usine Tase. L’association vaudaise lance un appelaux jeunes entre 16 et 25 ans intéressés par le hip-hop, le graffiti ou la dansepour prêter main-forte dans l’organisation de l’événement. Toutes les bon-nes volontés sont appelées à contacter l’association par téléphone au 04 2701 55 45 ou par courriel : fvhhcu@gmail.com avant mardi 27 septembre.

Biennale : la Fédévo cherche des bénévoles

Des habitantes des cités Tase devant une œuvre de Frédéric-Jacques Huet.

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508 élèves ont été accueillis au lycéeDoisneau et les effectifs sont enhausse. Avec l’ouverture de huit clas-ses de seconde, le lycée redevientattractif. “Pour cela, nous avons tra-vaillé avec tous les établissements deVaulx, assure le proviseur. Des liaisonscollèges-lycée ont été mises en place,les équipes travaillent ensemble. Ducoup, on démystifie la représentationque certains peuvent avoir du lycée.Pour preuve, le rectorat tablait sur unebaisse des effectifs. Nous avons qua-rante élèves supplémentaires par rap-port aux prévisions”.Pour la session 2011, les résultats desbaccalauréats montrent un taux deréussite de 75 % pour l’ensemble desfilières, avec près de 77 % pour lesbacs généraux et 67 % pour les bacstechnologiques. Des résultats enhausse depuis 2010. Seule ombre autableau : le brevet de techniciensupérieur (BTS) technico-commercialdans le domaine des énergies et del’environnement affiche un taux deréussite de 50%. Taux qui le placepourtant plutôt bien par rapport auxautres sections publiques del’Académie. “Nos résultats aux exa-mens sont globalement satisfaisants,souligne Bernard Rosier, proviseur dulycée. Nous devons poursuivre nosefforts dans ce sens. Depuis deux ans,les équipes travaillent sur l’orientation.On tente de pousser les élèves vers lesfilières d’excellence, faire en sorte qu’ilsvoient au-delà du bac +2 et aillent versdes études plus longues”. Des résultats et des effectifs en évolu-tion, mais aussi des projets. Ils seronttournés vers l’environnement avec leprojet Ecome. L’étude du bâtimentécolo se poursuivra avec la réalisa-tion de la maquette au dixième. Lepermis de construire sera déposé

pour 2013. Ce travail se fera avecl’Ecole nationale supérieure d’archi-tecture de Lyon (Ensal), l’Institut uni-versitaire technologique (IUT) Lyon 1et les collèges de la ville. Toujoursdans la même lignée, la réalisationd’une marre pédagogique ainsi quela construction d’un mur végétaliséavec les classes de seconde, en lienavec la Fédération Rhône-Alpes deprotection de la nature (Frapna) etlycée horticole de Dardilly. L’objectifsera de présenter les métiers verts.Dans la continuité des années précé-dentes, l’accompagnement des élè-ves de seconde se poursuivra. Avecune spécificité propre à l’établisse-ment, la remobilisation des élèves envoie de décrochage. L’objectif : unemeilleure préparation à la réorienta-tion. Les bases semblent donc êtreposées pour une année scolaire pro-metteuse qui devrait se déroulerdans les meilleures conditions possi-bles. A quelques encâblures du lycéeDoisneau, au lycée Les Canuts, DavidLaposse est un proviseur satisfait. Eneffet, le lycée professionnel poursuitson travail autour de la réussite deses élèves. “Notre objectif est de ne paslaisser de jeune sans solution, expliquele proviseur. Nous sommes en étroiterelation avec le lycée Doisneau pouraccueillir les élèves en échec enseconde avec un dispositif passerelle.Ça remet le jeune dans une dynamiquepositive”. Parmi les nouveautés, unbac pro vente en alternance, en par-tenariat avec le lycée Magenta(Villeurbanne) de la nouvelle chance.Là encore, il s’agit de remettre en for-mation des jeunes en décrochage.Une filière qui accueille des stagiairesrémunérés en partie par la Région etrecrutés par le biais des Missions

locales et d’autres, issus des collèges.Une mixité qui n’est pas pourdéplaire au proviseur.Autre motif de satisfaction, le lycée aréussi à inverser la tendance, aujour-d’hui la voie professionnelle retrouvede son attractivité. “60 à 70 % des 500élèves que nous recevons ont choisi LesCanuts en premier vœu, la taxe d’ap-prentissage remonte… C’est significa-tif, même s’il reste encore à progresser”.Et les filières vente, comptabilité,électrotechnique font toujours leplein. Un résultat dû aussi à un grostravail de publicité, explique le provi-seur adjoint, Cyrille Jacquin. “Lors desjournées portes ouvertes nous rece-vons plus de 450 collégiens qui sontguidés par les classes de commerce,afin de leur faire découvrir les filièresindustrielles”. David Laposse a cepen-dant un regret : que la filière techni-cien d’usinage n’attire pas plus lesvocations. “Il existe une demande desentreprises, le lycée est doté d’atelierstrès performants mais les jeunes etleurs parents restent sur une idée de lavieille mécanique générale alors quec’est un métier qui a beaucoup évolué,toutes les machines sont informati-sées”. Même constat en métalleriechaudronnerie, où Djamel Kali, pro-fesseur, travaille avec le professeurd’art du lycée et un technicien de laVille, Jacques Billet, pour réaliser uneœuvre d’art et donner aux élèves uneautre vision de leur futur métier.Quand la formation de monteur enisolation thermique industrielle a étécertifiée Iso 9002 et que le lycée vaaccueillir mi-novembre le concoursnational du jeune calorifugeur. Quidonnera à voir l’excellence d’une for-mation.

R.C et E.G

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LES QUELQUES 280 000 titulaires de la carte M’ra bénéficient désormais nonseulement d’avantages culturels mais aussi du Pass contraception, dispositifadopté en mai dernier par le Conseil régional, après les Régions Poitou-Charentes et Ile-de-France. Il s’agit d’un “dispositif d’accès à la contraception, àla prévention des grossesses non désirées et à l’information sur les infectionssexuellement transmissibles chez les jeunes”. Celui-ci complète la démarche d’é-ducation sexuelle assurée par les centres de planification et la sensibilisationeffectuée dans les établissements scolaires. Ainsi, de façon anonyme, les jeunespeuvent bénéficier gratuitement d’une consultation médicale, d’une prise desang et d’une analyse médicale, d’un mode contraceptif et être sensibilisé auxrisques de maladies sexuellement transmissibles. Le crédit ajouté à la carte M’raest de 144 euros pour les filles et de 49 euros pour les garçons. L’objectif estnotamment de réduire le nombre d’interruptions volontaires de grossesse et derappeler la nécessité d’avoir des rapports sexuels protégés. Quand “7,3% desjeunes filles de Rhône-Alpes de 15 à 25 ans ont déjà subi une IVG. Et 13,5% des jeu-nes ont eu un premier rapport non protégé”, rappelait, en mai dernier, SarahBoukaala conseillère régionale déléguée à la Jeunesse.

Le Pass contraception pour les jeunes

Une rentrée en vert au lycée Doisneau,valoriser les filières industrielles aux Canuts

SANTÉ

Trois collèges sur quatre dans le dispositif EclairMOYENS

Favoriser la réussite des jeunes vaudMalgré les suppressions de postes et les réformes qui font grincer des dents et conduisent à une journée de grève et de mobilisation le 27septembre, collèges et lycées vaudais poursuivent leur effort pour la réussite de tous. Quand les dispositifs tels que le programme de réus-site éducative ou l’école de la 2e chance entendent ne pas laisser de jeunes au bord du chemin.

Enseignement général et technologique à Doisneau, enseignement professionnelaux Canuts, les deux lycées vaudais offrent une riche palette de formations.

LES QUATRE collèges ont fait leur ren-trée et préparent déjà les projets del’année. “Une année qui apporte dessatisfactions car la réhabilitation descollèges est engagée, apprécie PaulBoghossian, conseiller municipalchargé de l’Enseignement secon-daire. Après Les Noirettes, celle deBarbusse commence et nous nous ren-drons bientôt avec le maire dans tousles collèges, comme chaque année”.Satisfaisant aussi, ajoute le maire,Bernard Genin, qui a fait sa scolaritéaux Noirettes, car “le nombre de collé-giens augmente. Un beau collège, cen’est pas tout, mais ça fait beaucoup”.Et le premier magistrat de se féliciter“que le Conseil général a entendu lesdemandes des parents et de la Ville parrapport aux entrées des deux collèges,mais aussi la proposition de PaulBoghossian de dénommer le collègedes Noirettes – le seul à Vaulx qui n’aitpas de nom – Aimé Césaire”. Pourautant, pas de satisfecit général parrapport au dispositif Eclair (Ecoles,collèges et lycées pour l’ambition,

l’innovation et la réussite) quiconcerne désormais trois collègessur les quatre de la ville. “Commentpeut-on dire qu’il y aura des moyenssupplémentaires, alors que le nombrede professeurs ne cesse de diminuerd’année en année ?”, questionneBernard Genin.

Innovations à Duclos En douceur, tel est le mot d’ordrepour la rentrée des 270 élèves du col-lège de la rue de la Poudrette. Avec70% de réussite au brevet des collè-ges et 100% de réussite au certificatde formation générale, toutes lesconditions semblent être réuniespour travailler sereinement. Cetteannée, le collège Duclos entre dansle dispositif Eclair. Ce qui dote l’éta-blissement de moyens pédago-giques supplémentaires, sans pré-sence policière comme c’est toujoursle cas aux Noirettes. Le collège lancedonc des innovations. Pour les cin-quièmes, place aux cours le matin etau sport l’après-midi. Des conven-

tions avec les clubs locaux ont étésignées notamment avec le Vaulxbasket club (VBC), le Cercle d’escrimevaudais et l’Asul handball. L’annéedes troisièmes sera axée autour de lacitoyenneté, du devoir de mémoireet des valeurs républicaines.Barbusse prend ses marques à VilarLe collège Barbusse vient d’acheverson déménagement dans les locauxde l’ancien collège Jean-Vilar àVilleurbanne Saint-Jean pendant lesdeux ans que dureront ses travaux deréhabilitation. “Nous sommes dansune phase d’adaptation, enseignantset élèves prennent leurs marques. Auniveau des transports, il y a aussi desajustements : la ligne 7 est renforcée lematin, des navettes ont été rajoutées à16h30 et 17h30…”, indique le princi-pal, Eric Bellot. Le nouvel établisse-ment est cependant plus petit quel’ancien. “Cette rentrée, le nombre d’é-lèves a diminué, passant de 590 à 520,mais nous disposons de moins de sal-les de classes et il a fallu optimiser leurutilisation”. Au déménagement s’est

ajoutée l’entrée de Barbusse dans ledispositif Eclair. Perdurent des dispo-sitifs mis en place depuis plusieursannées : le pôle compétences (où lesappréciations remplacent les notes)pour les 6e, les heures “travail desuivi” pour les 6e et les 4e, les heuresde “méthodologie” en français,mathsqq et histoire géo pour les 3e…Rentrée dynamique à ValdoLe collège Valdo a accueilli cette ren-trée 543 élèves, sous la direction d’unnouveau principal, ChristopheMondiès, qui prend le relais de Jean-Luc Forel. “L’ensemble des professeursest là, indique le chef d’établisse-ment. C’est une équipe assez jeune, lamoyenne d’âge étant de 35 ans, et soninvestissement est exceptionnel. Jedécouvre les projets qu’ils ont initiés etconduits avec mon prédécesseur. Ilssont nombreux et a priori nous allonspoursuivre ce qui a été engagé”. Quiplus est, ayant l’art comme centred’intérêt, Christophe Mondiès nemanquera pas de favoriser la curio-sité des collégiens dans ce domaine.

Plus de sixièmes au NoirettesPrès de 520 élèves ont fait leur ren-trée au collège des Noirettes etdécouvert leurs nouveaux locauxcolorés, lumineux, fonctionnels…Les collégiens sont plus nombreuxque l’an passé, le nombre de sixièmea augmenté (sept sixièmes classiqueset une Segpa), toutefois la capacitéd’accueil de l’établissement de 600élèves reste à atteindre. “Quelquesnouveaux enseignants ont aussi fait ladécouverte des lieux. Notamment lesprofesseurs recrutés dans le cadre dudispositif Eclair, Ecoles collèges etlycées pour l’ambition, l’innovation etla réussite”, indique CatherineDurand qui fait à Vaulx-en-Velin sapremière rentrée comme principale.Elle arrive ici avec des idées plein latête et la ferme volonté d’optimisertous les moyens qu’apporte à sesyeux le dispositif Eclair.

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“L’ÉCOLE rayonne bien au-delà deVaulx.” Un an et demi après sonouverture, le 1er avril 2010, PascaleBouysset, la directrice de l’école de ladeuxième chance (E2C) installée àl’espace Frachon, n’envisage l’avenirqu’en termes de développement deson établissement. “Nous avons jus-qu’à présent accueilli une centaine destagiaires. Et sommes en capacité derecevoir une dizaine de promotions paran”, détaille-t-elle. Surtout, de plus enplus viennent de l’extérieur de Vaulx-en-Velin. Feyzin, Lyon, Villeurbanneou Pierre-Bénite : toute l’aggloméra-tion est représentée. Actuellement,simplement 50 % des stagiaires estoriginaire de la commune. “Nousespérons donc que le Grand-Lyon vadavantage s’impliquer, notammentfinancièrement”, explique PascaleBouysset. D’autant que l’école

répond aux objectifs de mixité, demobilité et de travail au plus près desréalités des entreprises de l’agglomé-ration. “Nous songeons même à ouvrird’autres sites en 2012 ou 2013”, pro-jette-t-elle. Pour l’instant les 955 000euros de budget de l’école sontessentiellement versés, et à partségales, par la Ville, la Région et l’Etat. Du côté de l’E2C, l’on avance plus de35 % de sorties positives pour 2011.Le chiffre définitif ne sera connuqu’en fin d’année. Par sorties positi-ves, comprendre les jeunes ayantdécroché un contrat ou une forma-tion. Leur part est en sensible aug-mentation puisqu’il n’était que de20% dans les premiers temps. Unchiffre que la directrice tient à relati-viser : “D’une part nous suivons pen-dant un an les stagiaires après leur sor-tie et d’autre part certains, qui n’a-

vaient par exemple pas de carte desécurité sociale ou de logement ont étérelancés. Et c’est déjà beaucoup”. Maispour atteindre les 59 % obtenus enmoyenne par la trentaine d’E2C deFrance, elle est à la recherche de for-mateurs pour compléter l’équipe enperpétuel développement. Et attendtoujours d’être labellisée pour rejoin-dre son réseau. Pascale Bouyssetattend d’ailleurs assez sereinement leverdict de la commission nationalede labellisation. “L’évaluateur del’Afnor (Association française de nor-malisation) est venu en juin et a renduun avis favorable”, reconnaît la direc-trice avant d’ajouter : “De bonneaugure pour la décision de la commis-sion qui se réunira le 5 octobre”.

S.LE2C : espace Frachon, 3 avenueMaurice-Thorez.

Objectif label et agglo !2e CHANCEAprès un an d’activité, l’Ecole de la deuxième chance de Vaulx-en-Velin pourraitvoir ses résultats en progression salués par une labellisation officielle. Elle affirmepar ailleurs sa place au sein de l’agglomération.

“LE PROGRAMME de réussite éduca-tive, c’est le petit plus quand les acteursde droit commun se trouvent sanssolution, explique Sylvie Perlès, coor-dinatrice du Programme de réussiteéducative (PRE) de Vaulx-en-Velin. LePRE est venu compléter les dispositifsexistants en apportant une approcheindividuelle”. Né du Plan de cohésionsociale de Jean-Louis Borloo, ilentend prendre en charge “l’enfantou l’adolescent dans tous les champsde son environnement familial, social,scolaire, sanitaire et culturel”. Il s’a-dresse aux enfants de 2 à 16 ans,dont les difficultés sont repérées parl’instituteur ou le professeur, l’anima-teur de centre de loisirs, un éduca-teur, une assistante sociale… Le PRE

permet alors de résoudre un pro-blème particulier en apportant uneassistance sanitaire, un accompagne-ment, une aide matérielle… qui nepeut être trouvée ailleurs. Ce dispositif de partenariat, basé surla co-construction, est financé parl’Etat à travers l’Acsé et reçoit le sou-tient logistique du CCAS. Il réunitl’Education nationale, la Ville, leConseil Général, la Caf, la Protectionjudiciaire de la jeunesse (PJJ), leCentre médico-psychologique (CMP)et le CCAS au sein d’un comité opéra-tionnel. “Il existait déjà un importantpartenariat en matière d’éducation,une vraie intelligence collective àVaulx-en-Velin. Ce programme a per-mis de mettre en place une cohérence

éducative et a institutionnalisé le par-tenariat”, poursuit Sylvie Perlès. Al’exemple de ce qui a été mené pourles enfants exclus des collèges. Afinde ne pas les laisser livrés à eux-mêmes, les collèges se sont associésau service de prévention, aux servi-ces sociaux et au service municipalde la Jeunesse, en proposant auxparents que leur enfant soit accueilliau service Jeunesse le temps de sonexclusion. Là, il poursuit ses devoirsmais travaille aussi sur les raisons deson renvoi. Il découvre en mêmetemps l’existence de relais comme leservice Jeunesse. Signe de son inté-rêt, le Conseil régional s’est saisi duProgramme de réussite éducative eny intégrant les 16-18 ans. E.G

Le PRE, une aide ciblée pour la réussiteSOUTIENDepuis cinq ans, le Programme de réussite éducative permet d’aider de manièreindividuelle les enfants à partir de 2 ans et les jeunes jusqu’à 15 ans. Un exemplede coopération partenariale.

UNE PREMIÈRE journée de grève contre les suppressions de postes est prévuele mardi 27 septembre à l’appel des fédérations et syndicats de l’Educationnationale, avant une autre action importante envisagée en octobre. “Le dogmedu non remplacement d’un fonctionnaire sur deux met l’école publique à genoux.Cette politique maintient un système éducatif inégalitaire qui ne permet pas de lut-ter réellement contre l’échec scolaire”, dénonce l’intersyndicale. Enseignants,parents, lycéens sont appelés à participer à la manifestation contre la casse del’Education le 27 septembre à 10h30, départ place Guichard (Bourse du travail)pour aller au rectorat.

Grève et manifestation

APRÈS la période estivale où le Secours populaire a accueilli et aidé des centai-nes de foyers en difficulté, l’association fait sa rentrée en proposant de l’accom-pagnement scolaire et culturel pour donner des chances de réussite à un maxi-mum d’enfants. Pour cette action, le Secours populaire recherche des étudiantsbénévoles, prêts à s’engager une année auprès d’un enfant. Secours populaire, fédération du Rhône : 6 rue Gaspard-André, 69002 Lyon. Tél.04 72 77 87 77. Mail : accompagnement.scolaire@spf69.org

Etre bénévole pour l’accompagnement scolaire

LES REPAS servis dans les cantines scolaires contiennent 16 à20 % de produits bio chaque jour, privilégient les produits issusdu commerce équitable, font le choix des circuits courts avecdes produits régionaux. Un choix de la Ville, après une réflexionmenée par un groupe de travail réunissant enseignants, parents,personnel municipal, élus et associations telles que la CoordinationRhône-Alpes de l’agriculture biologique. Ainsi, les élèves trouventchaque jour sur la table de la cantine : pain bio, yaourts, compotes etpommes, bio aussi. Sucre et quinoa, quand il y en a, sont issus du com-merce équitable. Quant aux autres fruits et légumes, ils viennent de la région,notamment par la filière des Associations pour le maintien d’une agriculturepaysanne (Amap).Les inscriptions se font à l’Hôtel de Ville (place de la Nation), du lundi au ven -dredi de 9h à 12h et de 13h30 à 16h30. A la mairie annexe du Sud (rue Alfred-de Musset), du lundi au vendredi de 9h à 12h.Menus sur : www.mairie-vaulxenvelin.fr

Cantines : des produitsbio et locaux

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Les brigades spécialisées de terrain ont pris la place des unité territoriales de quartier. Le changement ? Une étendue de la zone géogra-phique et des VTT lors de certaines patrouilles.

POLICE Les brigades élargissent leur terrain

LE CERCLE D’ESCRIME VAUDAIS n’en finit plus de grandir. En plus de sa perpé-tuelle recherche de nouveaux créneaux pour répondre à la demande, des coursen périscolaire et des initiations dans les centres sociaux, il vient d’entamer unnouveau partenariat, avec le collège Duclos. Depuis la rentrée, 16 élèves desixième croisent le fer. Enfin, le Cercle vient d’ouvrir un bureau à l’espace Carco.Pratique : espace Carco (24, rue Robert-Desnos), les lundis, mardis et vendredide 9h à 12h et les mardis, jeudis et vendredis de 14h à 16h. Tél. 06 11 76 69 83.

ESCRIMEBureau à Carco et cours à Duclos

Fin août des accusations ont été lan-cées à l’encontre du FC Vaulx. Ellesportaient sur des soupçons de triche-ries lors du dernier match de l’équiperéserve face à l’UGA Décines. Maiségalement sur des malversationsd’argent perçu lors du parcours du

club en coupe de France. Suite à uncourrier écrit par Slim Dahmane,ancien dirigeant de l’équipe locale, etses répercussions dans la presselocale, la ligue Rhône-Alpes avaitouvert une enquête. Aujourd’hui,l’affaire est close et le club semble

blanchi de tout soupçon. D’après lesdirigeants du FC Vaulx, MonsieurDahmane aurait poursuivi ses accu-sations en envoyant un autre courrieravec copie au président de laRépublique !

FOOTBALLL’enquête de ligue sur le FC Vaulx est terminée

IL FAUT LE VOIR pour le croire maispour le voir, il fallait boire beaucoupde café et veiller. En deux nuits, du 6au 8 septembre, les équipes duGrand-Lyon ont mis en place la pre-mière partie de la passerelle piéton-nière de la Soie en la… tirant à l’aided’un treuil. A la faramineuse vitessede 30 mètres par heure. Assemblée

sur place il “suffisait” en effet dedéplacer cette charpente métalliquepour la déposer sur une culée etdeux piles en béton. Longue de 80mètres, elle surplombe la rueJacquard et les voies du métro. “LeGrand-Lyon était maître d’œuvre surcette première phase, Altaréa prendrasa suite sur la deuxième”, explique

Frédéric Peillon, du Grand-Lyon. Lapasserelle reliera alors le Pôle decommerces et de loisirs dont Altaréaest le promoteur. L’ouvrage favori-sant les circulations douces, et entoute sécurité, devrait être mis enfonctionnement au printemps pro-chain.

Printemps 2012 : on enjambe le métro !TRAVAUX

DÈS 1901, le préfet de police de Paris,Louis Lépine, avait créé une brigadecycliste. Leur surnom, hirondelles, leurfut donné parce que leur vélo portaitce nom, et leur pèlerine flottant auvent leur donnait une silhouette évo-quant l'oiseau du même nom.Aujourd’hui, les brigades à vélo ontrepris du service, mais sur des vélostout terrain (VTT), nouvelle époqueoblige. Les brigades spécialisées deterrain, qui remplacent les unités terri-toriales de quartier (Uteq), ont pourterritoire une zone plus étendue, àsavoir le Mas du Taureau et LaGrappinière comme les Uteq, maisaussi le centre-ville et les quartiersEst : Vernay, Verchères, Ecoin etThibaude. Ces brigades sont en effetattachées à des zones de délinquanceet non plus aux territoires comme l'é-taient les Uteq. Leur principe : deséquipes de patrouilleurs, à pied, à véloou exceptionnellement en voiture,sillonnent un quartier deux ou troisheures par jour, “selon les analyses dela délinquance et les remontées du ter-rain qui nous parviennent, expliqueMarion Audigier, commissaire deVaulx-en-Velin. Avec comme principela flexibilité pour mieux occuper la voiepublique”. Quant aux effectifs, ils restent stables.

En effet la quinzaine d’agents affectéeaux anciennes unités territoriales dequartier sont les mêmes qui compo-sent les brigades spécialisées de ter-rain. “Il s’agit plus d’adapter les métho-des de travail”, poursuit MarionAudigier. Mais ne parlez pas de policede proximité ! Cette police qui se vou-lait plus proche de la population etdevait lutter contre le sentiment d’in-sécurité avait été mise en place à par-tir de 1998 par Jean-PierreChevènement. Elle avait été suppri-mée en 2003 par le nouveau ministreNicolas Sarkozy, lui préférant unepolice d’intervention comme la bri-gade anti-criminalité (Bac). En 2008cependant, il lance les unités territo-riales de quartier par le biais de saministre Michèle Alliot-Marie. Il y a unan, Brice Hortefeux, ministre del’Intérieur, les a remplacées par desBrigades spécialisées de terrain où “lespoliciers ne sont pas des agents d’am-biance ou des éducateurs sociaux. Ilsont, en réalité, un seul mot d’ordre : leterrain, uniquement le terrain et tout leterrain. Ils ont, en fait, une seule mis-sion : l’intervention et la répression descrimes et des délits”. Dont acte.

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Les patrouilleurs des brigades spécialisées de terrain sillonnent les quartiers à pied ou à VTT, selon une organisation flexible pour une meilleure occupation de la voie publique.

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LA VILLE compte trois cimetières : leplus petit, le cimetière de l’Eglisesitué place Antoine-Saunier, le cime-tière de l’Egalité rue de l’Egalité et leplus grand et le plus récent, le cime-tière des Brosses rue Alexandre-Dumas. Près de 2800 concessions ontété enregistrées en 2010 par le ser-vice municipal de l’Etat civil, qui enre-gistre les décès et gère les achat etrenouvellement de concessions, ainsique les inhumations. Afin d’améliorer la prise en chargedes familles des défunts, la municipa-lité a décidé d’anticiper l'obligation,faite par la loi du 19 décembre 2008aux communes de 2 000 habitants etplus, de créer avant 2013 un site ciné-raire destiné à l'accueil des cendresdes personnes décédées dont lecorps a donné lieu à crémation.Un projet a donc été élaboré pour

répondre à la fois aux obligationsposées par le législateur et aux atten-tes des usagers de Vaulx-en-Velin depouvoir marquer le deuil et d’entre-tenir le souvenir des personnesdisparues dans un lieu de recueille-ment adapté. Pour ce faire, un espacecinéraire a été aménagé au cimetièredes Brosses. Il comprend un jardindes souvenirs, espace dédié à ladispersion des cendres des défunts,un jardin cinéraire permettant dedéposer les urnes dans des cavurnesenterrées et un nouveau colomba-rium pouvant accueillir les urnesfunéraires. Ces trois équipements ont été com-plétés par un monument support desouvenir afin de conserver sur uneplaque gravée le souvenir desdéfunts dont les cendres ont étédispersées, un socle de cérémonie,

permettant le dépôt momentané del’urne lors d’un dernier discours et durassemblement précédant la disper-sion ou la mise en case, un ou plu-sieurs bancs permettant le repos desvisiteurs et le temps du recueille-ment. Mais cette cérémonie de dispersiondes cendres dans le jardin des souve-nirs est réglementée. En effet, toutedispersion doit faire au préalablel’objet d’une demande auprès desservices municipaux de l’Etat civil parla personne ayant qualité pour pour-voir aux funérailles. Les cendresseront dispersées par une personnedésignée par la famille, sous lecontrôle d’un agent municipal qui nepourra y procéder lui-même. Ladispersion des cendres est interditedans toutes les autres parties ducimetière.

Enfin, toujours au cimetière desBrosses, après le carré confessionnelmusulman créé en 2007, la Ville a amé-nagé un carré confessionnel israélite.

Pratique : service municipal de l’Etatcivil, Hôtel de ville niveau 2, place dela Nation. Tél. 04 72 04 80 03.

Pas toujours facile de s’y retrouver quand survient un décès, encore moins en ce qui concerne la dispersion des cendres après une créma-tion. Entre la volonté du défunt, la douleur des proches et les exigences réglementaires, aperçu du fonctionnement des cimetières vaudais.

CIMETIÈRES De nouveaux aménagements funéraires

DANS le cadre du renouvellementurbain des quartiers Est, les bailleursDynacité et Grand Lyon Habitat enta-ment la démolition partielle de septlogements situés 11 chemin Berliozet 8 rue Claude-Debussy, avant deprocéder à leur restructuration (T3transformés en T2). Les travaux béné-ficient d’un financement de l’Agencenationale pour la rénovation urbaine(Anru) et Grand Lyon Habitat a la maî-trise d’ouvrage. Ces logements sontconstruits au dessus du passage tra-versant, au centre du quartier, or lavolonté du projet de restructurationdes Verchères est de désenclaver le

quartier en créant notamment unevoie reliant l’avenue Allende. Ladémolition achevée, les façadesseront reprises et les sept logementsrestructurés seront remis aux normeset à nouveau en location. Les espacesextérieurs du secteur seront remis enétat. Et dans un second temps l’en-semble des espaces extérieurs feral’objet d’un programme complet d’a-ménagement (pieds d’immeubles,aires de jeux). Il s’agira d’aménagerun grand axe piéton qui améliorera ladesserte interne du quartier et sonouverture sur la ville.En janvier 2012, Dynacité prévoit de

racheter 120 logements à GrandLyon habitat et de renforcer ainsi saposition sur les quartiers Est.Les étapes du chantier Septembre : déconstruction inté-rieure et recyclage des matériaux ;octobre : sciage et démolition par gri-gnotage ; novembre : reconstructiondes deux pignons extérieurs ; décem-bre : travaux dans les logements res-tructurés.

Contact : Yamina Méchalikh, chargéede développement des quartiers Est.Tél. 04 37 45 32 25.

Vernay-Verchères, la démolition partielle a démarréAMÉNAGEMENT

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VEN23SEPLa salsa autrementL’association Cali salsa propose uneactivité “cardio salsa” les vendredis de20h à 21h30, le 23 septembre à l’é-cole Curie (route de Genas) puis aucentre social Peyri (rue Joseph-Blein).José Vargas conduit 45 minutes demouvements rythmiques de salsa,merengue, bachata, cumbia et reg-gaeton. Puis, le public danse la salsaen toute liberté. Il s’agit de tonifier sesabdos, perdre quelques rondeursindésirables sur les rythmes endia-blés de l’Amérique latine, mais sur-tout sortir de sa coquille, retrouver laspontanéité de l’enfance et positiver.Tel. : 06 45 11 34 39.Atelier coutureL’association Lyon Outremer vientd’ouvrir un atelier couture à l’espaceFrachon. Cette activité, animée parClaudine Yoyo, a lieu de 14h30 à16h30. Elle est ouverte à tous sanslimite d’âge. Inscriptions et rensei-gnements à l’Espace Frachon : 3, av.Maurice-Thorez. Tel : 04 72 04 94 56.

DIM25SEPFootballEn promotion d’excellence départe-mentale, l’Olympique Vaulx reçoitDeux-Fontaines à 15h au stadeLadoumègue (158, avenue Péri). Pharmacie de gardeDupret Vukovic, Pharmacie deI'Eglise, 9 place Curial à Bron. Tel : 0478 26 85 39.

VEN30SEPVisite de quartier du maire au VillageLe maire Bernard Genin se rend au Village : rendez-vous à 18h l’angle des ruesLouis-Duclos et des Gentianes et à 19h place du Mottet. Le périmètre concerné :chemin de la Digue (de la rue Louis-Duclos à la rue Lamartine), rue Lamartine,chemin du Bois-Galland, rue Franklin (de la place du 24 avril 1915 au chemin dela Digue), rue Louis-Duclos (de la rue Franklin au chemin de la Digue), alléeCamille-Claudel, impasse Les Roses, rue des Gentianes, impasse Les Myosotis,impasse et rue Marie-Claire-Petit, place du Mottet, rue Lavoisier prolongée (dela rue Louis-Duclos en direction du chemin de la Colombière), place Baumer,allée du Cardon, chemin de la Colombière, allée Jean-Thomas, chemin du BoisDoré.“Bouger dans ma ville, c’est mon affaire”L’espace projets interassociatifs (Epi) lance une rencontre entre vingt groupesde jeunes ayant un projet professionnel ou associatif et des professionnels dedifférents secteurs. Le but, créer une rencontre et des échanges autour de qua-tre thématiques : la culture, le sport, la solidarité et la communication afin decréer des réseaux. Cette rencontre aura lieu au centre social Levy, place André-Bollier, de 17h30 à 21h30. Pratique : Epi, 11 chemin Auguste-Renoir. Tél. 04 78 79 52 79.

LUN26SEPPoint information diabèteUne diététicienne et un médecinendocrinologue, ancien responsablechef de service CHU, accueillent,informent, conseillent, orientent lorsd’une permanence organisée par lamairie, les lundis de 15h à 19h. Il nes’agit pas d’une consultation médi-cale mais d’un échange avec sur lediabète et d’un accompagnementdans le suivi de cette maladie (unentretien d’une heure maximum). Laprestation étant gratuite, elle estréservée aux habitants de Vaulx-en-Velin.Café Folk and CountryL’association fait sa rentrée au centresocial et culturel Peyri et propose unenouvelle saison de danses du mondeet danse country. Rythmes bulgares,québécois, anglais… sur des formesrondes, en longways, quadrilles sontproposés le mardi soir de 19h30 à21h30. Les cours de country sedéroulent le lundi de 18h à 19h30(niveau intermédiaire), de 19h30 à21h30 (perfectionnement) et lemardi de 18h à 19h (deux niveaux :débutant et intermédiaire).Centre social et culturel Peyri, rueJoseph-Blein. Contacts : 06 26 59 0774 ou 06 10 45 26 65 ou cafefolkcoun-try@hotmail.fr

MAR27SEPCélébrer la reconnaissance de l’Etat palestinienAPRÈS avoir fait pavoiser l’Hôtel de ville auxcouleurs de la Palestine, la Ville entend célé-brer la reconnaissance de l’Etat palestinienpar les Nations unies. Le maire, BernardGenin et son adjointe aux Relations interna-tionales, Sophie Senouci recevront donc unedélégation composée de Hael Al Fahoum,ambassadeur de Palestine en France, Hani Al Hayek, maire de Beit Sahour(Palestine), Adam Keller et Beate Zilversmidt,de l’association israélienne du bloc de la paixGush Shalom. A partir de 19h, au centre cul-turel Charlie-Chaplin, place de la Nation.

SAM24SEPLes quartiers Est en fêteRendez-vous est donné aux habitants des Vernay-Verchères, de l’Ecoin sous lacombe et de la Thibaude pour la fête des quartiers Est, le samedi 24 septembreà partir de 14h au Parc François-Mitterrand. Sur le thème “Nature urbaine – tousartistes”, celle-ci mettra l’accent sur les cultures urbaines. Au programme :démonstration de graffiti ; des stands (calligraphie, henné, quiz, micro-fusées…) ; des concours (déco de chaises, tartes, kapla) ; de la musique. Et l’ani-mation Ciel des quartiers proposée à partir de 20h par le Planétarium, l’associa-tion Cala, le lycée Doisneau et Planète sciences.Fête d’automne au Grand parcUn ensemble d’activités ludiques et artistiques (jeux, spectacles vivants, lectu-res et contes…) destinées à toute la famille pour découvrir de manière originaleet atypique les richesses des jardins des Allivoz. Cette année, le thème de l’ali-mentation éveillera les sens des petits et grands, le potager et le verger sont misà l’honneur. Peut-être certains se laisseront également tenter, entre deux activi-tés, par les hamacs installés sur place pour la sieste de bébé comme pour celledes plus grands. A noter : un espace buvette bio et une nouvelle aire de pique-nique seront à disposition. Manifestation gratuite ouverte à tous dès la petiteenfance. Au jardin des Allivoz (fléchage sur place). Grand parc de Miribel-Jonage : chemin de la Bletta. Tél. 04 78 80 56 20. www.grand-parc.frInscriptions adultes au club de natationElles se déroulent à la salle Victor-Jara (rue Lesire) de 9h à 17h. Elles concernentles différentes activités du club comme la natation bien sûr, mais aussi l’aqua-forme. Renseignements au 04 78 80 72 42.Rencontres sportivesDunks ou petits ponts ? Le choix est cornélien. Le Vaulx basket club affronte enN3 à 20h au gymnase Edouard-Aubert (allée du Stade), l’équipe de Saint-Vallier.Quand en football, le FC Vaulx accueille Saint-Julien-en-Genevois à 18h cettefois. Une rencontre au stade Francisque-Jomard (avenue Paul-Marcellin) pour lecompte du championnat d’honneur Rhône-Alpes. “Pommes en ville” au Carré de SoieLe collectif Raccourci (Alter-conso, A deux pas des champs, Alliance Pec,Arbralégumes, Croc’ethic) propose une animation autour de la consommationlocale et responsable le samedi 24 septembre de 13h à 18h au Carré de Soie.Distribution de pommes produites localement et information sur le collectif quimet l’accent sur les valeurs de l’économie sociale et solidaire. www.raccourci.orgStage danse countryL’association Café Folk and Country organise un stage de danse country ouvertaux débutants le samedi 24 septembre de 9h à 11h30 au centre social et cultu-rel Peyri, rue Joseph-Blein. Tarif : 5 euros. Contacts : 06 26 59 07 74 ou 06 10 4526 65 ou cafefolkcountry@hotmail.fr17e Pyramide des chaussuresHandicap International organise la 17e édition des Pyramides de chaussuressamedi 24 septembre dans trente et une villes de France. L’occasion pour l’asso-ciation de mobiliser l’opinion contre les mines antipersonnel et les bombes àsous-munitions (BASM). A Lyon, c’est place Bellecour que le public est invité àvenir apporter des chaussures, en signe de protestation, et à signer une péti-tion. Handicap International présentera ses actions grâce à des stands d’infor-mation et des animations pédagogiques, et proposera aussi des animations fes-tives. L’an dernier, ce sont douze tonnes de chaussures qui ont ainsi étérecueillies grâce à la mobilisation de plus de 600 bénévoles et de près de centpartenaires publics ou privés. C’est en effet à Lyon, berceau et siège internatio-nal de l’association, que l’événement connaît la plus grande affluence. L’objectifest aussi de recueillir un grand nombre de signatures de la pétition adressée auxEtats, pour que ces armes cessent d’être une menace quotidienne pour les civilset un frein au développement des pays affectés. En 2010, les Pyramides dechaussures avaient permis de recueillir 45 201 signatures au plan national, dont9 305 à Lyon.

Solidarité JaponDANS LE CADRE de son projet dénommé “d’Hiroshima à Nagasaki… des jeunesvaudais face au désarmement nucléaire”, la section karaté de la MJC proposeune conférence débat sur le thème : “D’Hiroshima à Fukushima… qu’avonsnous fait du nucléaire ?”, le 23 septembre à 18h30 au lycée Doisneau. Devraientintervenir Miho Cibot-Shimma, écrivain japonais, présidente de l’InstitutHiroshima-Nagasaki, Charlotte Mijeon de l’association Sortir du nucléaire,Patrick Bouveret directeur de l’Observatoire des armements et Michel Cibot,délégué général de l’Association française des communes, départements etrégions pour la paix (AFCDRP) et expert en désarmement nucléaire. Quand lelendemain soir, samedi 24 septembre, la section karaté, en collaboration avec laVille et la MJC organisent un concert de solidarité pour les sinistrés du Japon, aucentre culturel communal Charlie-Chaplin. En partenariat avec l’AFCDRP et avecle soutien de la Région, du Rotary Club et de la Ligue du lyonnais de karaté, ceconcert sera donné par le Hiroshima Junior Marimba Ensemble, dans le cadrede sa tournée française. Cet ensemble de percussions, fondé en 1991, regroupedes collégiennes et lycéennes de la ville d’Hiroshima. Au gré de ses voyages, ilpromeut la paix et œuvre au rapprochement des cultures. Son répertoire estriche de plus de deux cents titres. Il puise dans la musique classique, la musiquepopulaire, le jazz, la musique latino-américaine…Tarifs : adultes 10 euros, associations vaudaises 7 euros, moins de 12 ans 5euros. Réservation à la MJC, 13 avenue Henri-Barbusse. Tel : 04 72 04 13 89.

23/24SEP

Solidarité avec les femmes dans les révolutions arabesA LYON, un collectif s’est constitué en solidarité avec les femmes syriennes, tuni-siennes, égyptiennes, algériennes, marocaines, libyennes… qui s’engagentpour installer durablement la démocratie dans leur pays. Ce collectif organiseune semaine de rencontres et débats du 26 au 30 septembre dans l’aggloméra-tion (Vaulx-en-Velin, Lyon 5e, Lyon 8e, Villeurbanne). Le lundi 26 septembre à19h, salle Edith-Piaf (rue du Méboud), le débat s’engagera autour des nouveauxmodes d’expression et de mobilisation – blogs, twitter, facebook et autres – leurrôle dans l’émergence et la propagation des mouvements révolutionnaires. Enquoi ont-ils favorisé la prise de parole et l’action des femmes ? Quel rôle jouent-ils aujourd’hui dans la poursuite du processus démocratique ? Avec la participa-tion de Aïda Toula-Sliman (Palestine), Sarah Ben Hamadi et Sihem Bensedrine(Tunisie), Zineb El Rhazoui et Maria Moukrim (Maroc) et le Bondy blog. Jeudi 29septembre, une rencontre aura lieu entre les associations de femmes d’ici etd’ailleurs : du local à l’international, même combat, au centre social du Grand-Vire, 23 rue Jules-Romains. Tout le programme sur http://femmes-en-revolu-tion.blogspot.com/Les membres du Collectif : Planning Familial, Centre de documentation et d’in-formations des femmes et des familles (CIDFF), Collectif régional d’associationstunisiennes Rhône-Alpes pour la liberté et la démocratie en Tunisie (Coraldt),Espace Projets Interassociatifs (Epi) de Vaulx-en-Velin, Femmes contre les inté-grismes (FCI), Femmes informations juridiques internationales en Rhône-Alpes(Fijira), Femmes solidaires, Maison des Passages, Marche mondiale des femmesRhône-Alpes, Osez le féminisme.

26/30SEP

5e Grand prix depétanque de la ville de Vaulx-en-VelinL’ASSOCIATION de pétanque Vaulx village organise son cinquième challenge.Pour l’occasion la ville vibrera au son des boules. Les hostilités démarreront dèsle vendredi 23 septembre avec un Gentlemen à pétanque avec des personnali-tés locales. La compétition se déroulera le samedi 24 et dimanche 25 septem-bre. Pas moins de 180 triplettes, venues de la région et de nombreux paysseront au rendez-vous (lire p.16).Renseignements au 06 87 60 19 62 ou 06 62 18 30 79.

23/25SEP

29/30SEPLe hip-hop s’ouvre à ChaplinLa compagnie Stylistik, créée en 2006par Clarisse Veaux et Abdou N’gom,s’est fait une spécialité de confronterle hip-hop à d’autres arts. Leur carteblanche, présentée jeudi 29 à 19h30et vendredi 30 à 20h30, en est l’illus-tration en trois chorégraphies. Avec“Vis-à-vis”, traitant du regard exté-rieur, les artistes ont insisté sur lesportés et la danse contact, quand lesarts plastiques enrichissent “Entredeux”. Enfin ce sont les arts numé-riques qui sont explorés dans “A tonimage”.Au centre culturel Charlie-Chaplin,place de la Nation. Tél. 04 72 04 81 18.Billeterie en ligne sur www.centre-charliechaplin.com

Après le Pont des Planches le 9 septembre, c’est au Village que se rendra le maire Bernard Genin pour une visite de quartier, le 30 septembre.

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CE RENDEZ-VOUS annuel permet auxhabitants de partager en famille unmoment festif et convivial tout endécouvrant des produits locaux oud’artisanat. “C’est un moment fort de larentrée, explique David Louis, prési-dent de l’association des commerçantdu centre-ville, Centre Vie, le momentoù nous reprenons les animations ducentre-ville. Avec la fête de printemps etMédiévaulx, mais aussi les animationsde Noël ou des actions plus ponctuellescomme la fête des mères, nous partici-pons pleinement à l’activité du centre-ville”.La fête aura donc lieu sur la rue Emile-Zola et l’esplanade Maurice-Audin oùva s’installer la braderie, depuis lemagasin Fashion Minut, coiffeur enface de Casino jusqu’au début desdeux esplanades et sur la rue Maurice-

Audin. A cette occasion, la rue Emile-Zola restera fermée aux automobilis-tes pendant ces deux jours sauf pourle Sytral qui refuse toujours de détour-ner ses lignes de bus. “Le seul point noirde cette fête, ajoute David Louis, car lepassage des bus met en danger les pié-tons”.Il y en aura pour tous les goûts et lamanifestation sera animée par PatrickBouquet. Des structures gonflablesseront accessibles aux enfants surl’esplanade du Lycée et les petits pour-ront également s’amuser au jeu de lapêche à la ligne. Les Vaudais pourrontparticiper au tirage au sort qui auralieu le 8 octobre à 16h. Pour ce faire, ilspourront soit utiliser le prospectus dis-tribué en boîtes aux lettres, soit le reti-rer chez les commerçants du centre-ville, à partir du 3 octobre. Ce bulletin,

une fois complété, devra être mis dansles urnes de ces commerces et peutpermettre de gagner soit deux bonsd’achat d’un montant de 200 euros,soit deux bons d’achat d’un montantde 50 euros, le tout à valoir chez l’undes commerçants de l’associationCentre vie, aux choix du gagnant.L’association organise aussi un videgrenier le 8 octobre sur le parking del’Hôtel de ville. Ouvert aux Vaudais, cevide-grenier connaît chaque année unsuccès croissant. “Il ne s’agit pas pournous d’offrir uniquement une animationcommerciale, mais aussi, à travers levide grenier, de permettre aux habitantsde participer à la vie de leur quartier”,poursuit David Louis.

Pratique : fête d’automne des com-merçants de Centre Vie, les 7 et 8 octo-

bre. Vide grenier le 8 octobre sur leparking de l’Hôtel de ville : clôture desinscriptions le 2 octobre. Pour touteréservation, appeler au 04 78 80 64 44ou 06 85 07 91 73. Pour les particuliers,réservé seulement aux habitants de

Vaulx-en-Velin (conformément à l’arti-cle L320-2 du Code du commerce).

Association des commerçantsCentre vie : 25, rue Condorcet. Tél. 04 78 80 64 44.

Vaulx-en-Velinjournal- 21 septembre 2011 - N°36

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WEB

▲En permanenceRetrouvez l’actualité de la ville Evénements, résultats sportifs, actualité des associations, entreprises, ou des établissementsscolaires : tout ce qui n’a pu être publié dans saversion papier est à retrouver sur le site du journal.www.vaulx-en-velin-journal.com

7/8 OCT

L’automne se fête au centre-ville

L’association des commerçants Centre vie organise sa fête d’automne, avec braderie et vide grenier dans lecentre-ville en partenariat avec des forains et des producteurs.

Lumière débarqueà Vaulx

Street art au kiosqueDans la friche de l’usine Tase, lekiosque de la biennale d’art contem-porain fait place à la culture urbaine.La journée est programmée par l’as-sociation vaudaise Fedevo. Avenuedes Canuts.Vide grenier de FrametoL’association Frameto organise unvide grenier, de 9h à 17h, place duCarreau (marché de la Thibaude),avenue Georges-Dimitrov.Inscriptions jusqu’au 28 septembre, 3euros le mètre auprès de Frameto, 16avenue Voltaire. Tél. 06 13 58 71 60.RencontreFrançoise Jay, l’auteure lauréate dudernier prix Ado’Lire 2010/2011 pourson roman Les enfants rats, rencontreles lecteurs à 10h30 à la bibliothèqueGeorges-Perec (rue Louis-Michoy).Tél. : 04 72 97 03 50.

LE FESTIVAL de cinéma de Lyon pro-pose deux séances en terres vaudai-ses pour sa troisième édition. Lemardi 4 octobre à 20h30, les Amphisproposent, en copie neuve,Frankenstein junior, de Mel Brooks.Dans cette comédie fantastique de1975, la folie du cinéaste américainoffre un nouveau visage à lamythique créature. Quant au PathéCarré de soie, il diffuse le légendaireTouchez pas au grisbi, de JacquesBecker, le jeudi 6 octobre à 20h30.Informations au 04 78 76 77 78, desbillets imprimables sont disponiblessur www.festival-lumiere.org Tarif unique : 4 euros.

Métisse AntypodyLe chorégraphe Stanislaw Wisniewskiet son danseur Patrick Zingilé don-nent dans la hype. Et l’on ne parle pasde mode, mais de la new jack swingdanse. Dans “Antypody”, sur fond demusique contemporaine, elle évoqueles questionnements que soulèventl’inconnu et l’étrangeté du temps pré-sent. En première partie, “Naissancecyclique” allie danse, musique etchant, texte et dessin. Jeudi 6 à 19h30et vendredi 7 à 20h30, au centre cul-turel Charlie-Chaplin. Tél. 04 72 04 8118. www.centrecharliechaplin.comSAM1EROCT

4/6OCT 6/7OCT

Observer les oiseaux Chaque premier dimanche du mois,d’octobre à mai, de 9h à 12h, unematinée d’observation des oiseauxdu Grand parc avec les membres del’association ornithologique desNaturalistes Rhodaniens. Rendez-vous au belvédère des Grands-Vernes. Accès libre et gratuit.Renseignements : 04 78 36 96 36.http://naturalistes69.free.frHandballRendez-vous à 16h au palais dessports Jean-Capiévic (place de laNation) pour soutenir les filles del’Asul (D2) face à Octeville-sur-Mer. Pharmacie de gardeFournier, 121 av. Pierre-Brossolette àBron. Tel : 04 78 26 74 10.

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Portes ouvertes au Cocon à soiLe lieu d’accueil enfants parents leCocon à soi ouvre ses portes de 14h à16h30, dans ses locaux au centresocial et culturel Peyri, rue Joseph-Blein. Un lieu d’accueil enfantsparents est un espace réservé auxenfants de 0 à 4 ans accompagnésd’un parent. Il permet de se rencont-rer, de passer un moment agréable etrester le temps que l’on veut, le toutgratuitement et sans formalité d’ins-cription. Un espace où deuxaccueillants sont là pour recevoir lepublic.

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8e raid du castor

SAM8OCTLes rencontres sportivesEn promotion d’excellence de districtde football, l’US Vaulx reçoit Neuville-sur-Saône à 15h au stade Edouard-Aubert (allée du Stade). La réserve del’Asul (N2), reçoit quant à elle leshandballeuses de Toulon à 16h aupalais des sports Jean-Capiévic (placede la Nation).Pharmacie de gardeGuinet, 7 rue Victor-Hugo à Vaulx-en-Velin. Tel : 04 78 80 75 55.

DIM9OCT

Raid famille (de 8 à 12 ans, accompa-gné d’un capitaine majeur). Samedi 8octobre, départ à 15h, épreuve chro-nométrée par équipe de deux, adap-tée aux jeunes de 8 à 12 ans, le capi-taine étant majeur. Course d’orienta-tion, canoë, VTT. Raid découverte (dès 12 ans, accom-pagné d’un capitaine majeur).Dimanche 9, départ à 10h30, épreuvemultisports ouverte à tous paréquipe de deux (environ 2h30) tech-niquement facile, enchaînant coursed’orientation, VTT et canoë. Raid Défi. Dimanche 9, départ à 9h,épreuve multisports en autonomieréservée à un public sportif, entraînéet majeur. Parcours entièrementréalisé en orientation par équipe dedeux. Enchaînement de 4 sections :canoë (course au score d’1h), VTT,bike and run et course d’orientation.Durée totale de 4h à 7h. Uniquement sur inscription. Clôturedes inscriptions vendredi 7 octobre à12h. Tarifs majorés pour toute inscrip-tion à partir du samedi 1er octobre.Certificat médical obligatoire.Bulletin d’inscription et programmecomplet téléchargeable sur le siteInternet du Grand Parc : www.grand-parc.fr Possibilité de déposer uneannonce sur le forum pour constituerune équipe ou la compléter.

8/9OCT

Semaine nationale du reinLa Fédération nationale d’aide auxinsuffisants rénaux (FNAIR) organiseune semaine d’information et de sen-sibilisation autour des maladies réna-les, du 8 au 15 octobre. Cette éditionmettra l’accent sur le dépistage despopulations en situation de précarité.Des opérations de dépistage ano-nyme et gratuit se dérouleront dansdifférents établissements médicauxet laboratoires d’analyses.Renseignements au 04 81 07 22 84ou 85 et sur www.semainedurein.fr

8/15OCT

Mais aussi...

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BasketEn championnat N3, le VBC affrontePierre-Bénite à 20h au gymnaseEdouard-Aubert (allée du Stade). SolidaritéLa MJC s’associe à l’Afa (AssociationFrançois-Aupetit) à l’occasion de lajournée consacrée aux maladiesinflammatoires et chroniques de l’in-testin (Mici). Toute la journée, untournoi de tennis de table est ouvertà tous et permet de récolter desfonds pour l’association (inscription :1 euro). A 20h30, la compagnie Peut-être reprend la pièce d’Agnès Jaoui etJean-Pierre Bacri, Un air de famille.L’intégralité de la recette (entrée : 10euros) sera également reversée.Réservations au 04 72 04 13 89. MJC,13 avenue Henri-Barbusse.Renseignements sur www.demici.fr

Accueil nouveaux habitantsLA VILLE organise une journée à l’at-tention des nouveaux habitants, àpartir de 9h jusqu’à 12h. Les nou-veaux Vaudais sont invités à unaccueil à l’Hôtel de Ville, à une visiteguidée de la ville et à une découvertedes spectacles proposés par le centreculturel Charlie Chaplin. Direction dela Communication au 04 72 04 81 06ou par mail à dircomm@mairie-vaul-xenvelin.com (inscriptions avant le 3octobre).

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ENVIRONNEMENTEmplacements réservés déménagements, dépôts de bennes, échafaudages…Vous êtes un particulier et vous souhaitez disposer d’un emplacement réservé surle domaine public pour déménagements, dépôts de bennes… Afin de respecter lesobligations liées à l’occupation du domaine public, il est nécessaire de disposerd’une autorisation. Votre demande devra comporter les informations suivantes :type d’occupation et description, nom et coordonnées du pétitionnaire, adresseprécise, jours et heures. Pour obtenir votre arrêté municipal, la procédure est la suivante : - Par mail : adresser votre demande à l’adresse suivante : arretes.voirie@vaulx.sitiv.frDans ce cas, le délai minimum d’instruction à respecter entre la date de réceptionde la demande et le début de l’occupation est de 12 jours ouvrés. - Par fax : adresser votre demande au 04.37.45.32.54.Dans ce cas, le délai minimum d’instruction à respecter entre la date de réceptionde la demande et le début de l’occupation est de 17 jours ouvrés. - Par courrier : adresser votre demande à Monsieur le MaireDans ce cas, le délai minimum d’instruction à respecter entre la date de réceptionde la demande et le début de l’occupation est de 1 mois. Une autorisation temporaire de stationnement vous sera envoyée.Vous devrez contacter la police municipale au 04 72 04 80 96 pour effectuer un affi-chage de l’autorisation 48h avant l’occupation du domaine public. Pour tout renseignement, merci de contacter le service Espaces Publics au 04 37 4532 58 et 04 72 04 78 21.Collecte des déchets ménagers et des déchets assimilésLa mairie rappelle les réglementations en vigueur.Prescriptions du règlement sanitaire départemental et de l’arrêté municipal :- les bacs sont sortis dès 6h les jours de collecte et ils sont rentrés dès le passage ducamion de collecte,- les bacs à ordures ménagères, leurs emplacements ainsi que les locaux où ils sontremisés doivent être maintenus en constant état de propreté, désinfectés et désin-sectisés aussi souvent que nécessaire et au moins une fois par an. Le nettoyage desbacs est effectué après chaque vidage ; ce nettoyage ne doit pas être effectué sur lavoie publique. Ces opérations d’entretien ne doivent occasionner aucune gêne auvoisinage ou porter atteinte à la santé des occupants des immeubles.- Les ordures ménagères doivent toujours être préconditionnées dans des sacsavant d’être mises dans le bac roulant gris. Les sacs ne doivent en aucun cas êtredéposés sur la voie publique et en dehors des bacs.Tri des déchetsLes déchets recyclables ne doivent pas être mélangés avec les ordures ménagères.Les bouteilles et pots en verre sont collectés en apport volontaire dans les silosdisposés sur la voie publique. Les emballages ménagers (bouteilles et flacons enplastique, boîtes de conserve, barquettes aluminium, canettes de boissons, aéro-sols, emballages cartons, briques alimentaires) et les journaux/magazines sont col-lectés dans les bacs verts.Collecte en déchèterieLa déchèterie (15 rue Pierre Mendès-France. Tél : 04 78 80 71 39) est ouverte du 1ernovembre au 31 mars, du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h, le samedide 9h à 17h et le dimanche de 9h à 12h. Du 1er avril au 31 octobre, du lundi au ven-dredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 18h, le samedi de 8h30 à 18h30 et le dimanchede 9h à 12h. Fermeture les jours fériés. La redevance est gratuite pour la première catégorie : véhicule léger, véhicule utili-taire y compris véhicule de société modèle break dont le PTAC (poids total autoriséen charge) est inférieur ou égal à 2 tonnes, remorque dont le PTAC est inférieur ouégal à 0,5 tonne.Il faut se rendre en déchèterie pour déposer les déchets suivants :- déchets encombrants : gros cartons, vieux meubles, literie, électroménager, gra-vats, ferraille.- déchets ménagers spéciaux : peintures, produits de nettoyage, d’entretien, de bri-colage, de la maison, d’hygiène et de santé, de jardinage, huiles de vidange, batte-ries, piles, aérosols, tubes néon, lampes halogènes... Les produits doivent êtreapportés, dans la mesure du possible, dans leurs emballages d’origine.- déchets électriques et électroniques : réfrigérateurs et congélateurs, télévisions,ordinateurs. lave-vaisselle, cuisinière, four, four à micro-ondes, sèche-linge, lave-linge, radiateur, appareils de loisirs, outillage électrique, petits appareils ménagers…- déchets textiles : vêtements usagés, vieux tapis, rideaux...- déchets végétaux.

PratiqueLes petites annonces ne pouvantfaire l’objet de vérifications systéma-tiques, elles sont publiées sous laseule responsabilité de leursauteurs.

SERVICES

• Dame fait ménage, repassage, cour-ses avec expérience et travail soigné.Chèque emploi service possible. Tel :04 78 80 46 11.• Recherche à faire ménages dansbureaux. Horaires à votre convenance.J’ai un véhicule et suis libre de suite.Tel : 06 34 60 44 01.• Professeur de maths donne des coursdu primaire au secondaire. Bilanassuré. Tel : 06 29 88 15 14.• Assistante maternelle agréée cherchegarde d’enfants ou bébé, bons soinsassurés. Secteur Malval. Tel : 04 78 8017 69.• Recherche assistante maternelle pourgarder un bébé à partir de janvier 2012sur 3 jours pour 24h au total + 1 péris-colaire. Tel : 06 83 85 36 44.• Jeune maman sérieuse cherche à gar-der à son domicile 1 ou 2 enfants de 10mois à 5 ans du lundi au vendredi etvoir samedi de 6h à 18h. Tel : 06 14 5945 54.

MEUBLES / MÉNAGER

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euros + meuble blanc jamais servi avec2 portes et tiroirs 80 euros + commode4 tiroirs 60 euros + grande table ovaleen bois 50 euros + petit meuble télémarron vitré 30 euros. Tel : 06 17 23 7686.

VÉHICULES

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DIVERS

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édité par la Ville de Vaulx-en-Velin

Diffusion : 20 500 exemplaires - Directeur de la publication : Bernard Genin -Rédactrice en chef : Edith Gatuing - Rédacteur en chef adjoint : Stéphane Legras -Rédaction : Fabienne Machurat, Jeanne Paillard, Rochdi Chaabnia - Photos : Jean-Loup Bertheau, Charly Bourganel - Illustrations : Alexandre Bresson - PAO : BrunoValéra, Aleksandar Zauli - Réalisation : Public Imprim®, BP 553, 69637 Vénissieuxcedex - Impression : IPS - ZI des Communaux 01600 Reyrieux - N° ISSN : 2106-7813

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Lancé en 2006 par l’ASPVV, le petit challenge de pétanque est devenu une véritable institution et un rendez-vous prisé des boulistes de France et de Navarre. Pour l’occasion, la ville vibrera au rythme des carreaux. Tirez, pointez, la compétition régionale se déroulera les 23, 24 et 25 septembre.

IL MONTE et continue d’atteindre dessommets ! Le challenge régional, lancéil y a cinq années par l’ASPVV, prend del’ampleur. 180 triplettes, soit 60 équi-pes, pour trois jours de compétitionsautour du cochonnet, ce n’est pas rien.Dire qu’au départ, son organisation aété lancée sur un coup de tête et main-tenant voilà le résultat. “Nous pouvons être fiers, le prix gagneses lettres de noblesse, pointe FrédéricVeglione, président de l’Associationsportive pétanque Vaulx village(ASPVV). Notre challenge est un des plusrelevés de Rhône-Alpes et attire dumonde. La preuve : nous sommes passésde 128 à 180 triplettes. Nous accueille-rons des pointures régionales et mêmedes équipes internationales avec laTunisie, l’Algérie et le Maroc. Mais égale-ment des joueurs d’Espagne et deMonaco. Nous aurons parmi nous le

champion de France de pétanque. Au-delà du nombre, la compétition sedéroule en famille. Nous avons des habi-tués qui reviennent”. Cerise sur le gâteau, un gentleman àpétanque est prévu en présence depersonnalités, d’élus et de partenairesdont l’ancien du monde poids moyensWBC, Hacine Chérifi, et avec de nom-breuses surprises. Pour l’occasion, les aires de jeux s’élar-gissent. En plus de la place de Nation,muée en carré d’honneur, le terrainRousseau, l’esplanade du lycéeDoisneau et le parvis du palais dessports Jean-Capiévic seront transfor-més en immenses boulodromes à cielouvert. Un programme des plus allé-chants qui n’aurait pu se tenir sansl’aide des nombreux bénévoles qui ontprêté main-forte à toute l’organisationde la compétition. R.C

Des titres à gogo pour l’ASPVV

“Si on arrive à faire aussi bien qu’en 2010, je serai le plus heureuxdes présidents“, lançait Frédéric Véglione. Et le club a su fairemieux, deux fois mieux même ! Avec un sacré palmarès.Hommes, femmes et même les bambins ont su s’illustrer encompétition régionale et ont représenté Vaulx dans tout lepays. Une pluie de titres acquis grâce à beaucoup de labeur etsurtout grâce à une cohésion formidable au sein du club.Palmarès du club :Champions du Rhône en doublette (sur 700 équipes) :Christian Perret, Guy Vinson.Champions du Rhône en doublette provençale : MickaelBousch, Nicolas Bousch.Champions du Rhône en triplette provençale : Mickael Bousch,Nicolas Bousch, Mohamed Hassisi.Champion du Rhône de tir de précision (une première) :Stéphane Garin.Vice champions du Rhône en doublette féminine : JenniferRollet, Linda Bakhouche.Vice champions du Rhône en triplette féminine : JenniferRollet, Monique Gauthier, Isabelle de Cuevas.Vice champion du Rhône en doublette benjamin : LorenzoVéglione, Kevin Lepetit.

Le programme : Vendredi 23 septembre : à 16h30, Gentleman à pétanque du Grand-Lyon organisé par le comité du Rhône et l’ASPVV.Samedi 24 septembre : à partir de 14h, début de la compétition jusqu’aux 16e de finale. Parallèlement l’ASPVV organise un concours avec 90 triplettes.Dimanche 25 septembre : à 9h, suite du grand prix de la Ville et finale. Renseignements : 06 87 60 19 62 ou 06 62 18 30 79.

PLACE AU 5e GRAND PRIX DE LA VILLE Pétanque

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