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1 Fessée pour Gourmandise Mon père m’a laissé exprès la boîte de chocolats ouverte. Je l’ai découverte ainsi en rentrant du collège. Si j’en prends ne serait-ce qu’un seul, ce n’est pas uniquement avec la langue que je vais déguster. Quelle tentation ! Mais j’ai trop la trouille pour mes fesses. S’il compte les chocolats dans la boîte, il va bien s’apercevoir qu’il en manque ne serait-ce qu’un seul, et je serais bonne pour prendre ma correction sur le cul nu. Il m’a bien dit que j’allais voir mes fesses si j’étais gourmande. Il a levé sa main d’un petit geste menaçant pour bien me faire comprendre qu’à la moindre incartade, ça allait chauffer. Le voilà partir quelques heures et moi, seule ici avec ma tentation. Un, juste un, Papa n’y verra que du feu… Et puis j’ai fini mes devoirs, je le mérite presque… Je l’ai mangé. J’en ai soudain la trouille au cul. Mais il ne va quand même pas me dérouiller pour un seul chocolat ! Je suis tranquille. Même deux, il n’y verra rien. Je mange le deuxième, puis, sans réfléchir, un troisième, parce que c’est trop bon. Je m’aperçois l’énorme vide que ça fait soudain dans la boîte. Je me mets à trembler. Là, je n’y couperai pas. Papa va me chauffer les fesses. Je serre les jambes de peur. Je l’imagine déjà, rabattant d’un coup ma jupe sur la tête, baissant ma culotte pour mettre mes fesses à nu et battant à coups redoublés mon pauvre cul rouge comme une cerise. Qu’est-ce que je vais prendre ! J’ai la trouille au cul. D’un geste maladroit, je rebrousse ma jupe étroite, je fais glisser la fermeture éclair pour libérer mieux mes hanches. Je baisse ma culotte aux chevilles et je me mets à genoux comme ça, par terre, le nez au fond d’un fauteuil, les seins plaqués sur le coussin. Papa va rentrer, il va voir la boîte vide et va aller direct à mon cul offert. Peut-être qu’il sera touché de cette soumission, que pour une fois il m’épargnera. Les minutes passent. La fenêtre mal fermée me fait grelotter. J’ai la chair de poule sur mes cuisses nues. Je suis là, demi-nue, indécente, soumise, le sexe dégoulinant de peur et d’attente. J’y glisse une main pour me soulager. Mais le moment où on va me réchauffer le cul arrive : la clé tourne dans la serrure. Mon père rentre. Sans un mot, il soulève la boîte de chocolats, qu’il repose sur la table avec un petit bruit sec. Il s’approche de moi, s’assoit sur le bras du fauteuil et commence à me caresser les fesses. – Alors, on a encore été gourmande ? Je fais signe que « oui », honteusement, la tête enfouie dans les coussins. – Et qu’est-ce qu’on mérite pour sa gourmandise ? Je m’étrangle en répondant : « Une bonne fessée déculottée. » Il me caresse toujours. Mes fesses tremblent dans l’attente de la punition qui va s’abattre. – Je me demande avec quoi je vais te corriger ce soir, Armelle... Si je me souviens bien, il n’y a pas deux jours que tu as pris la volée au martinet. Et tu en veux encore, petite gourmande, tu en veux encore du martinet ? Finies les douces caresses paternelles. Il me fait lever, s’installe sur le lit, me couche en travers de ses jambes en remontant bien haut mes fesses. Je cache ma tête dans mes mains. Il a saisi le martinet et me passe rêveusement les lanières dans la raie des fesses.

Fessée pour Gourmandise

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Une jeune fille trop gourmande reçoit une fessée de son père.

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Fessée pour Gourmandise

Mon père m’a laissé exprès la boîte de chocolats ouverte. Je l’ai découverte ainsi en rentrant du collège. Si j’en prends ne serait-ce qu’un seul, ce n’est pas uniquement avec la langue que je vais déguster. Quelle tentation ! Mais j’ai trop la trouille pour mes fesses. S’il compte les chocolats dans la boîte, il va bien s’apercevoir qu’il en manque ne serait-ce qu’un seul, et je serais bonne pour prendre ma correction sur le cul nu.

Il m’a bien dit que j’allais voir mes fesses si j’étais gourmande. Il a levé sa main d’un petit geste menaçant pour bien me faire comprendre qu’à la moindre incartade, ça allait chauffer. Le voilà partir quelques heures et moi, seule ici avec ma tentation.

Un, juste un, Papa n’y verra que du feu… Et puis j’ai fini mes devoirs, je le mérite presque…

Je l’ai mangé.

J’en ai soudain la trouille au cul. Mais il ne va quand même pas me dérouiller pour un seul chocolat ! Je suis tranquille. Même deux, il n’y verra rien.

Je mange le deuxième, puis, sans réfléchir, un troisième, parce que c’est trop bon.

Je m’aperçois l’énorme vide que ça fait soudain dans la boîte. Je me mets à trembler. Là, je n’y couperai pas.

Papa va me chauffer les fesses. Je serre les jambes de peur. Je l’imagine déjà, rabattant d’un coup ma jupe sur la tête, baissant ma culotte pour mettre mes fesses à nu et battant à coups redoublés mon pauvre cul rouge comme une cerise. Qu’est-ce que je vais prendre !

J’ai la trouille au cul. D’un geste maladroit, je rebrousse ma jupe étroite, je fais glisser la fermeture éclair pour libérer mieux mes hanches. Je baisse ma culotte aux chevilles et je me mets à genoux comme ça, par terre, le nez au fond d’un fauteuil, les seins plaqués sur le coussin. Papa va rentrer, il va voir la boîte vide et va aller direct à mon cul offert. Peut-être qu’il sera touché de cette soumission, que pour une fois il m’épargnera.

Les minutes passent. La fenêtre mal fermée me fait grelotter. J’ai la chair de poule sur mes cuisses nues. Je suis là, demi-nue, indécente, soumise, le sexe dégoulinant de peur et d’attente. J’y glisse une main pour me soulager.

Mais le moment où on va me réchauffer le cul arrive : la clé tourne dans la serrure. Mon père rentre.

Sans un mot, il soulève la boîte de chocolats, qu’il repose sur la table avec un petit bruit sec. Il s’approche de moi, s’assoit sur le bras du fauteuil et commence à me caresser les fesses.

– Alors, on a encore été gourmande ?

Je fais signe que « oui », honteusement, la tête enfouie dans les coussins.

– Et qu’est-ce qu’on mérite pour sa gourmandise ?

Je m’étrangle en répondant : « Une bonne fessée déculottée. »

Il me caresse toujours. Mes fesses tremblent dans l’attente de la punition qui va s’abattre.

– Je me demande avec quoi je vais te corriger ce soir, Armelle... Si je me souviens bien, il n’y a pas deux jours que tu as pris la volée au martinet. Et tu en veux encore, petite gourmande, tu en veux encore du martinet ?

Finies les douces caresses paternelles. Il me fait lever, s’installe sur le lit, me couche en travers de ses jambes en remontant bien haut mes fesses. Je cache ma tête dans mes mains. Il a saisi le martinet et me passe rêveusement les lanières dans la raie des fesses.

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– Idéal, le martinet, pour corriger une gourmande... Mais tu l’as déjà pris il y a deux jours, le martinet... Tes fesses sont encore toutes zébrées de rouge... Je crois que je vais y aller à mains nues, ce soir... Tiens, non, j’ai une idée.

Il a saisi une règle en plastique, d’une trentaine de centimètres de long. Et ça y va ! Les coups s’abattent sur mon pauvre cul. J’ondule des hanches, je frétille, je gémis. Qu’est-ce que ça fait mal ! Je sens le vent que fait l’instrument avant de me cingler. Il en faudrait plus pour me rafraîchir ! Mon cul se boursoufle, tout rouge.

Impitoyable, mon père continue le supplice ; et je danse du cul sous les coups. Qu’est-ce que je prends ! J’ai tellement mal que je crie, que je le supplie d’arrêter. « Un moment seulement », dit-il. Les coups s’arrêtent de pleuvoir. Papa passe la main dans mon sexe gluant et palpe, en connaisseur, mon bouton dur qui roule sous ses doigts.

– Petite vicieuse, tu aimes ça ! dit-il.

Et d’y retourner de plus belle. Il dit qu’il adore voir mon derrière rouge comme ça, qui s’agite, avec ces ondes de chair ferme qui courent, comme pour s’échapper, sous ses coups. La règle redouble d’ardeur et j’en prends plein mon grade, une salve de coups cuisants, bien mérités. J’ai un cul qui claque bien ; Papa me l’a toujours dit.

Je tressaute comme une folle sur ses genoux, je me bats, je tente de mordre ; d’une main, il me bloque les bras derrière le dos, et de l’autre il continue à me cuire tellement les fesses que j’en pleure comme un pourceau. J’ai beau tortiller du cul pour m’échapper, mon cul est offert, soumis à son bon plaisir.

Je parviens néanmoins à mordre sa cuisse. Sévèrement, il arrête la fessée et m’admoneste.

– Dis donc ! Tu n’as pas honte de mordre ton père ?

Je fais signe que « si », en pleurant.

– Tends le cul, maintenant.

Je m’arc-boute pour mieux m’offrir.

– Mieux que ça !

Je ne suis plus que soumission. Mon ventre humide glisse sur ses genoux. D’un geste appréciateur, il caresse ma croupe offerte.

– Ouvre-toi, Armelle. Montre-moi ton trou du cul.

À deux mains, je m’ouvre, je me fends en deux. Il me fait mettre à quatre pattes et m’oblige à tenir une pose humiliante, à genoux, mon cul rougi et tendu, le nez enfoui dans le tapis. J’ai alors droit à deux claques à main nue, une sur chaque fesse, tellement sonores que j’en ai les oreilles assourdies, tellement fortes que je roule par terre.

Il me relève, me saisit par la taille, me remet en position sur ses genoux et me dit que maintenant je vais prendre le bouquet final. Il me prévient que tout ça c’était bien mignon, mais que maintenant je vais le sentir passer, et pas qu’un peu.

Sa main de fer me bloque les bras, ses genoux m’enserrent. Je fais avec le cul quelques mouvements dérisoires de poisson hors de l’eau, pour tenter d’échapper à son emprise paternelle, mais peine perdue. Affolée, je pousse un petit gémissement de souris ; encore quelque mouvements impuissants des fesses et des hanches, puis je m’immobilise totalement, résignée. C’est ce qu’il attendait.

Je ferme les yeux, attendant le premier coup. Or c’est une dizaine qui s’abattent. Il frappe de toutes ses forces, sa main grande ouverte sur mes fesses, à toute vitesse. J’ai l’impression de prendre une

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canonnade. Je hurle, sans reprendre mon souffle, d’un hurlement qui vient du ventre. Il me maintient ferme, pétrissant mes hanches, tant je m’agite comme un serpent pour fuir.

Malgré moi, tétanisée, je me mets à osciller frénétiquement d’avant en arrière, tendant et détendant spasmodiquement les fesses, comme pour mieux recevoir les coups qui pleuvent sur ma croupe. Ces dix coups-là, les plus forts, pour les déguster je les déguste. Je pleure tellement que j’ai des larmes plein la bouche.

Et puis, plus rien. C’est fini. Je suis écroulée, pantelante, le cœur battant, le cul en feu. Mon père se relève et m’invite à me reculotter. Ça me brûle tellement que je ne peux pas supporter ma culotte. Alors je vais à la cuisine cul nu, et je lui sers son repas toujours cul nu, les fesses brûlantes, le sexe dégoulinant, les joues rouges de honte d’avoir mérité qu’il me mette le cul dans cet état.

À la fin du repas, Papa m’offre un chocolat. Il me promet que s’il me reprend encore au péché de gourmandise, ma punition sera augmentée par la récidive : il m’attachera et je prendrai cette fois des coups de canne sur mon cul. D’avance, j’en serre les cuisses de trouille et de délices.

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