Paroisse Sainte-Rosalie 50, bd Auguste Blanqui 75013 Paris Tél : 01 43 31 36 83 www. sainte-rosalie.org paroisse@sainte-rosalie.org

FEVRIER 2019 numéro 206

L’agenda de février 2019 Ven 1, 8, 15, 22

Prière du vendredi : 18h-19h

Sam 2 Casa Blanki : 12h-17h

Sam 2, 16 Rosalie Jeunes : 14h

Dim 3 Marché Blanqui : Présence mission-naire (p.4)

Catéchisme CE1 : 9h45, rencontre

Messe des familles : 11h

Mar 5, 12, 19

Atelier Icônes : 9h-12h30

Atelier chants grégoriens : 18h

Petit Chœur : 19h

Jeu 7 Animation liturgique : 19h, réunion

Jeu 7, 14, 21

Lecture de l’Apocalypse : 20h30-21h30

Sam 9 Les petits Rosaliens : 15h30-16h30, temps de prière (p.4)

Messe d’aumônerie : 18h30

Dim 10 Catéchisme : 9h45, rencontre pour les enfants qui se préparent au baptême ou à la communion

Dimanche communautaire : 11h (p.4)

Lun 11 Conseil pastoral : 20h30

Mer 13 Mercredi de Sainte-Rosalie : 14h-17h(p.4)

Conférence SVP : 19h-20h, prière de la miséricorde

Mer 13, 20 Atelier Icônes : 18h30-21h30

Jeu 14 M.C.R. : 15h-17h, rencontre (p.4)

Sam 16 Catéchisme : 14h-16h, rencontre des catéchistes

Dim 17 Aumônerie : 10h, visite du Mémorial de la Shoah

Sam 23 Conférence SVP : 12h30-17h, repas de fraternité

Du 23 au 26 Rome : pèlerinage

Lun 25 Conférence SVP : 14h30-18h, café du lundi

Mar 12 Rosalien : 19h, rencontre de l’équipe de rédaction

ISSN : 2417-4831

La liberté spirituelle

P. Lionel DUMOULIN

le Rosa-lien

Nous avons fait le choix, avec l’aumônerie, de proposer aux jeunes lycéens (15-18ans) de vivre un pèlerinage en Pologne et notamment à Auschwitz au mois d’Avril prochain. Cette décision est le fruit notamment des JMJ en Pologne qui ont eu lieu en 2016 et qui avaient per-mis à un certain nombre d’étu-diants de vivre déjà cette expé-rience. Pourquoi partir dans un lieu de mort, dans un lieu qui apparaît comme le symbole de la folie nazie, de ce crime de masse organisé méthodique-ment ?

D’abord, parce qu’au moment où ces faits ont eu lieu, beau-coup ont été complices. On sait aujourd’hui que pour arriver à mettre à mort 6 millions de juifs, il a fallu la complicité d’un million de personnes : de l’employé de bureau qui réper-toriait les personnes d’origine juive dans son secteur, au contrôleur des trains qui plani-fiait les départs vers les camps de concentration, aux grandes entreprises de caoutchouc ou de carburant, qui tiraient profit du travail gratuit de ces prisonniers « bon marché ». Ces collabora-tions ne sont pas le fait de per-sonnes intrinsèquement perver-ses ou volontairement criminel-les, mais de personnes qui se sont laissées prendre par l’esprit du moment, qui ont fait ce qu’il était « bon ton » de faire, qui ont cherché à préserver leurs inté-rêts. Elles ont petit à petit dé-missionné de leur conscience et ont glissé dans une complicité plus ou moins active à cette opération criminelle.

Ces faits doivent nous ensei-gner. Comment construisons-

nous notre liberté spirituelle, notre capacité de discernement pour être capable de dire « non » à ce qui détruit l’hom-me, à ce qui l’atteint dans sa dignité ou dans sa vie ? Le concile Vatican II a cette parole très forte et très percutante : « Des cérémonies même très belles, des groupements même florissants n’auront guère d’uti-lité, s’ils ne servent pas à édu-quer les hommes et à leur faire atteindre leur maturité spirituel-le. Elle consiste à savoir lire dans les évènements, petits ou grands, ce que réclame une si-tuation, ce que Dieu attend d’eux ». (Presbyterorum ordinis n°6). La maturité spirituelle consiste à avoir un sens moral exercé à discerner le bien et le mal pour pouvoir en conscience choisir le bien et rejeter le mal. Cela demande de la réflexion : prendre le temps de se poser pour réfléchir droitement si telle ou telle attitude (personnelle ou collective) est respectueuse de la dignité humaine ; cela deman-de aussi la force de mettre en pratique notre discernement dans nos actes concrets pour progresser dans notre capacité à choisir le bien.

Nos rencontres fraternelles paroissiales, nos temps de for-mation, nos engagements de charité sont des appuis pour entrer chacun dans cette « liberté spirituelle ». Nous continuerons d’ailleurs à la réfléchir lors de notre diman-che communautaire du 10 fé-vrier. Nous espérons aider les jeunes sur ce chemin à travers cette aventure, ce pèlerinage et sa préparation.

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Tout un groupe de jeunes va effec-tuer un pèlerinage à Auschwitz. C’est l’occasion pour nous de nous interroger sur la genèse de ce géno-cide et sur la façon dont des nations chrétiennes ont pu laisser ces massa-cres successifs d’handicapés, de dé-viants et l’élimination de la commu-

nauté juive se dérouler sous leurs yeux. Comment des gens ordinaires, pas plus méchants que d’autres, ont pu être complices ou agents de ces crimes. Certains ont pu abdiquer toute pensée personnelle, décervelés par le matraquage permanent de la propagande nazie ou la peur des re-

présailles.

Ce passé peut nous sembler déjà lointain, mais aujourd’hui l’opinion publique est prête à accepter ce qui était autrefois inacceptable, à se lais-ser persuader que l’eugénisme est une chose souhaitable, que l’homme

Du 23 au 27 avril prochain, l’aumô-nerie de Sainte Rosalie, le lycée Le Rebours et le Groupe scolaire Saint-Vincent-de-Paul emmèneront 44 jeunes à Auschwitz. Plus qu’une dé-marche de mémoire, un itinéraire spirituel…

Charlotte (15 ans), Damien (16 ans) et Tiphaine (17 ans), élèves en Pre-mière et membres de l’Aumônerie du 13è Ouest ont immédiatement souhaité participer à ce voyage en Pologne. Pour découvrir la Pologne et sa culture bien sûr mais surtout pour voir, sur place et de manière incarnée, ce qu’ils ont appris dans leurs livres d’Histoire sur les camps de concentration et la solution finale mise en œuvre par le régime nazi afin d’exterminer les Juifs pendant la Deuxième Guerre mondiale.

Ces jeunes ont bien conscience que ce voyage ne sera pas comme les autres, qu’il sera chargé d’émotions et bouleversant parfois. Mais leur motivation est impressionnante ! Ils souhaitent se confronter à l’Histoire, à ce qui s’est passé là-bas. « Nous avons tous en tête des images des camps de concentration mais ce n’est pas pareil que de le vivre…Aller sur place, voir la litanie des noms, les tas de vêtements, de dents ou de cheveux…, ça doit être saisis-

sant », confie Charlotte. Tiphaine, elle, sait déjà que ce voyage va la faire grandir, changera son regard sur les autres, notamment ceux que l’on juge « différents ». Quant à Da-mien, il y voit une occasion unique de réfléchir, hors cadre scolaire, de débattre de sujets importants comme celui de la valeur de la vie humaine et pourquoi pas puiser dans le passé de quoi devenir un jeune homme engagé dans le présent. Car, rappelle-t-il « nous, nous avons la chance d’avoir toujours la possibilité de choisir… ».

Charlotte, Tiphaine et Damien ont conscience de l’importance de se préparer à ce voyage et c’est pour-quoi, au-delà des livres conseillés - comme celui de Primo Levi « Si c’est un homme » - l’équipe de l’au-mônerie a prévu, de janvier à avril, quatre séances thématiques autour des questions comme l’eugénisme, l’exclusion des Juifs, la solution fi-nale mais également de la découver-te des personnalités de résistants spirituels comme Maximilien Kolbe, mort en 1941 à Auschwitz. Enfin, deux visites conduiront le groupe au mémorial de la Shoah et à la synago-gue de Copernic pour participer à la prière de Shabbat.

Du côté des accompagnateurs, l’inté-rêt pour ce voyage en Pologne est tout aussi vif. François Chopineau, professeur d’histoire au Lycée Le Rebours et animateur des lycéens, rappelle qu’à l’aumônerie chacun est invité à se questionner sur le sens de sa vie. « Ce qui s’est passé à Aus-chwitz interroge sur l’importance des choix que nous pouvons faire : la question de qui donne la vie et qui

donne la mort est très importante. » Et au-delà, choisissons-nous de ren-dre le monde meilleur ou sommes-nous complices d’un système qui atteint l’homme ? Il revient sur l’un des objectifs de ce voyage : « transmettre aux jeunes l’importan-ce de respecter la Vie car elle est donnée par Dieu ».

Patricia Barsanti, membre du comité de parents et accompagnatrice, a toujours, quant à elle, voulu entre-prendre un tel voyage car le sujet de la Deuxième Guerre mondiale a tou-jours suscité beaucoup d’intérêt dans sa famille. Mais, souligne-t-elle, elle ne souhaitait pas faire n’importe quel voyage à Auschwitz. Le projet proposé par l’aumônerie fut pour elle l’élément déclencheur, une op-portunité précieuse afin de visiter Auschwitz autrement. En effet, le programme de ce voyage se fera en deux temps précise-t-elle : « la dé-couverte du camp d’Auschwitz et de l’idéologie nazie dans un premier temps; et un chemin de miséricorde ensuite au travers les visages des Justes ou les grandes figures spiri-tuelles comme Sœur Faustine, Maxi-milien Kolbe et Jean-Paul II ».

Oui, faire ce voyage dans le cadre de l’aumônerie est vraiment important car chacun des participants pourra devenir un rempart contre ces idéo-logies qui peuvent conduire à l’éli-mination d’une partie de la popula-tion. Et si chacun, à l’issue de ce voyage en Pologne, « réalise la chance qu’il a d’être en vie et la va-leur de cette vie » glisse Patricia… « alors ce sera une réussite ».

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Portail d’entrée du camp d’Auschwitz

Préserver la liberté spirituelle Par Geneviève BOISARD

Voyage historique et spirituel à Auschwitz (Pologne) par Odile BLETRY

Février 2019 n°206 le Rosa-lien page 3

Depuis septembre dernier, l’équipe d’animation de l’Aumônerie du 13è Ouest s’est en partie renouvelée avec l’arrivée du Père Henri Beaussant en tant qu’aumônier et de Maud Milon e n t a n t q u e r e s p o n s a b l e « administrative » (mais pas seule-ment) aux côtés de Patricia Collet.

Maud, jeune ma-man d’un bébé de 10 mois, s’est installée dans notre quartier après son maria-ge il y a deux ans. Après des études en agro-nomie, elle s’est

reconvertie en tant qu’illustratrice en free lance. Elle réalise des faire-part de mariage et de naissance et travail-le sur un projet de bande dessinée qui devrait voir le jour l’année pro-chaine.

Elle a découvert la paroisse Sainte-Rosalie lors de son arrivée dans le quartier et, avec son mari, fait partie d’une équipe ‘jeunes couples’. Son goût pour la musique l’a amenée également à animer ponctuellement les chants à la messe et elle contri-buera, à partir de ce mois-ci, avec une maman, à l’animation d’une chorale d’enfants sur la paroisse.

Salariée à mi-temps de l’aumônerie en complément de son activité pro-fessionnelle, ses principales fonc-tions administratives concernent la comptabilité et la communication. Dans ce cadre, elle réalise les tracts pour les différents évènements de l’aumônerie et assure la communica-tion avec les parents. Au-delà de ces fonctions administratives, elle est également impliquée dans la vie de l’aumônerie, au contact des jeunes, et a pris la responsabilité d’un grou-pe de sixièmes. Elle participe aux messes de l’aumônerie et apporte son appui à l’animation du groupe de musique. L’un de ses objectifs est de favoriser l’intégration de collégiens dans ce groupe, composé actuelle-ment en majorité de lycéens. Elle participe également à certains temps forts comme le prochain camp de ski.

Quelques mois après son arrivée, elle met en avant les aspects de sa mission qui lui plaisent le plus : le travail en équipe avec Patricia, le contact avec les jeunes, en particu-lier son groupe de sixièmes, et l’ou-verture sur le quartier, notamment avec la Casa Blanki. Elle apprécie également le cheminement spirituel que sa mission implique, à travers la prière et la lecture de la Bible.

Le Père Henri succède au Pè-re Louis Bar-don qui a quitté le quartier. Après quatre années de droit puis sa forma-tion au sémi-

naire, à Paris et à Bruxelles, il a été ordonné prêtre en juin 2018. Il est vicaire sur la paroisse Sainte-Anne de la Butte-aux-Cailles, où il a repris l’ensemble des attributions du Père Louis, essentiellement des missions en charge de la jeunesse : catéchis-me, scouts, parcours EVEN, jeunes professionnels, préparation au maria-ge. Il est également aumônier du collège et lycée Saint-Vincent-de-Paul. Au sein de l’aumônerie du 13ème Ouest, il est plus particulièrement en charge des jeunes de la 6è à la 4è et de leurs animateurs.

Au bout des quatre premiers mois, il souligne la bonne ambiance grâce à laquelle l’équipe d’animation fonc-tionne très bien. L’objectif partagé par l’équipe est de construire une communion entre responsables pour ensuite rayonner auprès des jeunes.

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est un être inachevé, donc perfecti-ble, qu’il peut être « augmenté », en partie remplacé par l’intelligence artificielle, et que l’humanité peut s’affranchir de sa condition mortelle. Le vrai et le faux circulent ensemble sur les réseaux sociaux qui véhicu-lent sans contrôle les pires appels à la haine.

Dans son message pour la 52e jour-née mondiale des communications sociales, le 13 mai 2018, le pape François fait remarquer aux journa-listes que Satan est le premier auteur de « fausse nouvelle » en déformant la parole divine et, citant Dostoïevs-ki, souligne que celui qui se ment à lui-même devient incapable de dis-cerner la vérité.

Dans notre monde actuel on peut noter « l’influence plus ou moins marquée de courants de pensée qui en viennent à séparer la liberté hu-maine de sa relation nécessaire et constitutive avec la véri-té » (Veritatis splendor 4). En effet, « la nécessaire exigence de la vérité a disparu au profit d’un critère de sincérité, d’authenticité, d’accord avec soi même » (VS32). Or Jésus affirme, au contraire, le lien intrinsè-que entre la liberté et la vérité : « La vérité vous rendra libres » (Jn 8, 32), et le Concile Vatican II précise « la vraie liberté est en l’homme le signe de l’image divine, car Dieu a voulu laisser l’homme à son conseil (Si, 15, 14) pour qu’il puisse de lui-même chercher son créateur en ad-

hérant librement à Lui » (G&S, 17).

Si c’est rechercher la vérité qui nous rend libres, cela demande du discer-nement et du courage. Le discerne-ment fait partie intégrante de la di-gnité de l’homme et le courage peut aller dans certaines circonstances jusqu’au martyre.

Voilà pourquoi il est plus que jamais nécessaire aujourd’hui de veiller sur sa liberté intérieure vis à vis de tou-tes les pressions sociales, politiques, voire éventuellement cléricales. Par l’effort de formation et de réflexion, d’étude de l’Écriture poursuivi à Sainte-Rosalie nous rendons un ser-vice à nous-mêmes et à la société.

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De nouvelles arrivées dans l’équipe d’animation de l’Aumônerie Par Catherine BUC

page 4 le Rosa-lien Février 2019 n°206

OUVERTURE DE L’ÉGLISE tous les jours : de 8h20 à 19h00

MESSES du mardi au vendredi : 8h30

samedi : 18h30 dimanche : 9h00 et 11h00

ACCUEIL du lun au vend : 10h-12h & 17h-19h samedi : 10h - 12h

SECRÉTARIAT du lundi au vendredi : 8h00-12h00

ACCUEIL des PRÊTRES P. L. DUMOULIN / P. H. CAUCHOIS sur rendez-vous au 01 43 31 36 83

CONFESSIONS: mardi au vendredi après la messe de 8h30 ou sur Rendez-vous au 01 43 31 36 83

Nos joies et nos peines du mois de janvier a été baptisé : Edmond DROZDOWSKI

Nous leur avons dit adieu : Maria CUILLIERE et Paulette LAVIE.

HORAIRES Les rendez-vous du mois de février

CONCERT

Les mercredis de Sainte-Rosalie

Mercredi 13 février :1 4h-17h

Les enfants du primaire sont invités au prochain Mercredi de Sainte-Rosalie.

Au programme : Foot et ping-pong, jeux de société, ateliers culinaires et manuels.

Tracts sur les présentoirs

Sacrements

Les contre-sujets

Dimanche 17 février : 17h

"Telemann et la viole de gambe" Sonates en trio pour flûte à bec, basse et dessus de viole de gambe, clavecin. Les Contre-Sujets ont la joie d'inviter la grande violiste Lucile Boulanger pour explorer ce répertoire baroque allemand méconnu, où les passions de l'âme font dialoguer la virtuosité mélodique de la flûte à bec, la profondeur harmonique du clavecin et bien sûr la suavité mélancoli-que de la viole de gambe.

Jeunesse

Les petits Rosaliens

Samedi 9 février : 15h30-16h30

Adoration eucharisti-que d’1/4 d’heure pour les enfants de 0 à 10 ans suivie d’un goûter.

Contact : lespetitsrosaliens@gmail.com

MCR

Jeudi 14 février : 15h-17h

L’équipe paroissiale du Mouvement Chrétien des Retraités se retrouve pour sa rencontre men-suelle. Ils poursuivront leur réflexion sur la foi dans la vie de fa-mille.

Entrée par le 65 rue Corvisart

Enfants du catéchisme

Dimanche 10 février : 9h45-10h55

Les enfants inscrits au catéchisme commencent leur préparation au bap-tême ou à la première

communion. Les parents sont invités au même horaire à un temps de formation.

Entrée par l’église

Pèlerinage Rome

Du samedi 23 au mardi 26 février

31 paroissiens participeront au pèleri-nage à Rome.

Ils réfléchiront sur la place et la mission de l’Église en ce monde. Ils porteront dans leur priè-

re toute la communauté.

Denier de l’église 2018

Merci à tous et à chacun pour votre participa-tion au denier de l’église pour l’année 2018.

Celui-ci est stable par rapport à 2017.

Votre contribution permet à la parois-se de poursuivre sa mission et de fi-nancer les nombreux projets mis en œuvre. Soyez-en encore remerciés !

Présence sur le marché Blanqui

Dimanche 3 février : 10h-13h

Nous serons présents sur le marché Blanqui le dimanche 3 février pour aller à la rencontre des passants et leur proposer les activités paroissiales.

Rendez-vous à 10h devant l’église

Dimanche communautaire

Dimanche 10 février : 11h-16h

La messe de 11h sera présidée par Mgr Jachiet. Elle sera suivie d’un repas partagé puis d’un temps de formation sur le thème :

« La vision chrétienne de l’homme dans le Concile Vatican II »

Tracts au fond de l’Église

Collecte de vêtements de ski

L’aumônerie du 13è Ouest collecte des vêtements pour le camp de ski pour des jeunes de 12 à 18 ans : combinaisons, blousons, pantalons, gants, chaussures après ski. Vous pouvez déposer vos vêtements, entre le 4 et 16 février à l’aumônerie. Merci de prendre contact avec Patricia Mihoubi-Collet : 07 88 37 92 22 patriciay.mc13@gmail.com