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Le marais Ararat est l’un des aménagements de CIC à Gagetown Island. Joyau de l’une des plus belles réserves d’espaces non touchées au Nouveau‑Brunswick, l’île a été achetée récemment par CIC de la famille Campbell, dont les membres sont des sympathisants de longue date de l’organisme de conservation. VOLUME 23, NUMéRO 3, 2009 RéGION DE L’EST (QUéBEC/ATLANTIQUE) Québec • Nouveau‑Brunswick • Nouvelle‑Écosse • Île‑du‑Prince‑Édouard • Terre‑Neuve‑et‑Labrador U Une propriété d’aire naturelle intacte à Gagetown Island, au Nouveau-Brunswick, est maintenant protégée à perpétuité grâce à la famille Campbell, dont les membres sont des sympathisants de longue date de Canards Illimités Canada (CIC). Duncan Campbell est un administrateur émérite de CIC et bénévole depuis longtemps pour CIC dans la région de l’Atlantique. Lui et ses sœurs, Janet Stevenson et Andrea Dolan, ont hérité de cette propriété au décès de leurs parents. Au cours des dernières années, CIC a acheté une superficie de milieux humides de plus de 647 hectares de la famille Campbell, dont la propriété de Gagetown Island, le marais Black Duck ainsi que « Allen Farm », à Foshay Lake. « Mon père croyait qu’il était important de protéger les aires naturelles et je partage cet avis, mentionne Duncan Campbell. Moi et de nombreuses autres personnes de la région avons constaté que ces espaces contribuent à augmenter la nidification de la sauvagine et les haltes migratoires. » La propriété de Gagetown Island, d’une superficie de 388 hectares, se compose de deux importants milieux humides, y compris des terres hautes inondables, restaurés par CIC : le marais Ararat (1989) et le marais du Mont (1988). Cette île est située dans la zone inférieure de conservation prioritaire des plaines inondables de Saint John. Cette zone est reconnue par le ministère des Ressources naturelles comme le meilleur habitat faunique au Nouveau-Brunswick. Des études ont démontré que jusqu’à 2 000 oiseaux migrateurs de la catégorie de la sauvagine font halte dans ces deux milieux humides chaque automne. « Auparavant, les Campbell détenaient une entente avec le gouvernement du Nouveau-Brunswick qui désignait cette propriété comme réserve de sauvagine. CIC craignait que, dans le cas d’une vente, l’acheteur puisse exercer l’option de refus de cette entente avec la pro- vince par un préavis de 30 jours, mentionne Mme Deanne Meadus, directrice des programmes de conservation pour les provinces de l’Atlantique. Par conséquent, soumettre une offre était devenu une importante priorité. » Le public de cette région appuie la réserve de sauvagine, et la protection de cette propriété assurera le potentiel de reproduction et les haltes migratoires pour l’avenir. Cette zone demeurera une réserve de sauvagine, puisque CIC signera une nouvelle entente avec le gouvernement de la province très bientôt. « Il est temps pour nous de confier cette propriété à d’autres, mentionne M. Campbell. Je sais que Canards Illimités la protégera et je suis très heureux qu'il en ait la responsabilité. Étant donné que ses aménagements s’y trouvent, il va de soi qu'il en soit le propriétaire. » S Une autre aire naturelle intacte protégée par CIC et des sympathisants de longue date

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A Ducks Unlimited Canada french language newsletter featuring conservation stories from across the atlantic region.

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Le marais Ararat est l’un des aménagements de CIC à Gagetown Island. Joyau de l’une des plus belles réserves d’espaces non touchées au Nouveau‑Brunswick, l’île a été achetée récemment par CIC de la famille Campbell, dont les membres sont des sympathisants de longue date de l’organisme de conservation.

voluMe 23, nuMéRo 3, 2009

Région de l’est (QuéBec/AtlAntiQue)Québec • Nouveau‑Brunswick

• Nouvelle‑Écosse • Île‑du‑Prince‑Édouard • Terre‑Neuve‑et‑Labrador

UUne propriété d’aire naturelle intacte à Gagetown Island, au Nouveau-Brunswick, est maintenant protégée à perpétuité grâce à la famille Campbell, dont les membres sont des sympathisants de longue date de Canards Illimités Canada (CIC).

Duncan Campbell est un administrateur émérite de CIC et bénévole depuis longtemps pour CIC dans la région de l’Atlantique. Lui et ses sœurs, Janet Stevenson et Andrea Dolan, ont hérité de cette propriété au décès de leurs parents.

Au cours des dernières années, CIC a acheté une superficie de milieux humides de plus de 647 hectares de la famille Campbell, dont la propriété de Gagetown Island, le marais Black Duck ainsi que « Allen Farm », à Foshay Lake.

« Mon père croyait qu’il était important de protéger les aires naturelles et je partage cet avis, mentionne Duncan Campbell. Moi et de nombreuses autres personnes de la région avons constaté que ces espaces contribuent à augmenter la nidification de la sauvagine et les haltes migratoires. »

La propriété de Gagetown Island, d’une superficie de 388 hectares, se compose de deux importants milieux humides, y compris des terres hautes inondables, restaurés par CIC : le marais Ararat (1989) et le marais du Mont (1988). Cette île est située dans la zone inférieure de conservation prioritaire des plaines inondables de Saint John. Cette zone est reconnue par le ministère des Ressources naturelles comme le meilleur habitat faunique au Nouveau-Brunswick. Des études ont démontré que jusqu’à 2 000 oiseaux migrateurs de la catégorie de la sauvagine font halte dans ces deux milieux humides chaque automne.

« Auparavant, les Campbell détenaient une entente avec le gouvernement du Nouveau-Brunswick qui désignait cette propriété comme réserve de sauvagine. CIC craignait que, dans le cas d’une vente, l’acheteur puisse exercer l’option de refus de cette entente avec la pro- vince par un préavis de 30 jours, mentionne Mme Deanne Meadus, directrice des programmes de conservation pour les provinces de l’Atlantique. Par conséquent, soumettre une offre était devenu une importante priorité. »

Le public de cette région appuie la réserve de sauvagine, et la protection de cette propriété assurera le potentiel de reproduction et les haltes migratoires pour l’avenir. Cette zone demeurera une réserve de sauvagine, puisque CIC signera une nouvelle entente avec le gouvernement de la province très bientôt.

« Il est temps pour nous de confier cette propriété à d’autres, mentionne M. Campbell. Je sais que Canards Illimités la protégera et je suis très heureux qu'il en ait la responsabilité. Étant donné que ses aménagements s’y trouvent, il va de soi qu'il en soit le propriétaire. » S

Une autre aire naturelle intacte protégée par CIC et des sympathisants de longue date

MM. Bernard Filion, directeur de Canards Illimités au Québec a annoncé la protection du marécage Vaudreuil-Dorion lors d’une conférence de presse qui s’est tenue le 4 mai 2009, en présence du député libéral, monsieur Yvon Marcoux.

La concrétisation de ce projet d’acquisition permettra de protéger l'intégrité écologique de ce site extraordinaire, qui était

menacée en raison de l’attrait pour le lac des Deux Montagnes et de sa proximité avec la métropole.

Ce territoire recèle l’un des derniers grands marécages de la municipalité de Vaudreuil-Dorion. À la lumière des données existantes, il reste à peine 275 hectares de milieux humides dans cette municipalité, soit environ 3 % de sa superficie. Le site constitue une mosaïque d’habitats composée de zones boisées, de marais et de marécages. Cette variété d’habitats permet une grande diversité biologique, notamment une aire de concentra-tion d’oiseaux aquatiques qui offre un bon potentiel pour la nidification et l’alimentation de la sauvagine. Ces habitats pro-curent également des conditions favorables à la reproduction des amphibiens, des reptiles et des poissons. S

CIC sauvegarde un marécage menacé

RRécemment, Canards Illimités Canada (CIC) a partagé son exper-tise avec la Forêt d’enseignement et de recherche du lac Duparquet (FERLD) pour la réalisation d’un plan d’aménagement des milieux d’eau profonde, des milieux humides et des milieux forestiers rive- rains. La FERLD est une forêt expérimentale située en plein cœur de la forêt boréale en Abitibi-Témiscamingue. Elle couvre une superfi-cie d’environ 80 km² en terres publiques et est gérée par l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) et l’Université du Québec à Montréal (UQÀM). Dans le cadre de ce projet, le travail de CIC consistait à classifier et à cartographier ces milieux; les résul-tats obtenus ont fait ressortir plusieurs éléments intéressants. D’une part, dans ce paysage ondulé forestier, l’abondance des milieux d’eau profonde, humides et forestiers riverains est marquante, car ils occupent 40 % du territoire de la FERLD. Les eaux lentiques profondes (lacs) et les marécages forestiers résineux-riches, domi-nés par l’épinette noire, sont les écosystèmes les mieux représentés. D’autre part, les castors sont très actifs sur le territoire; on y a dénombré et cartographié plus de 458 barrages de castor (5 barrages par km). On calcule que près des deux tiers des petits cours d’eau de la FERLD sont modifiés par les activités du castor. Ce nombre de sites modifiés (433) est élevé, mais leur superficie totale ne couvre

que 3 % du territoire de la FERLD, et ils sont relativement petits, avec une taille moyenne de 0,64 ha, soit à peine plus grand qu’un terrain de football.

Cette étude a également permis d’identifier le plus long barrage de castor connu jusqu’à maintenant au Québec. D’une longueur de 437 mètres, il est en partie situé sur le territoire de la FERLD et dynamise une zone de milieux humides de 13 hectares.

Malheureusement, ce barrage est localisé dans un secteur très convoité par les activités minières. Une visite sur le terrain a d’ailleurs permis de constater qu’il est inactif et qu’il a une brèche, probablement créée par une machine. Au fait, le record mondial du plus long barrage est détenu par les castors albertains (850 m).

La FERLD possède actuellement une zone de conservation qui couvre environ 27 % de son territoire. CIC a suggéré d’ajouter cer-tains secteurs à cette zone, dont celui du plus long barrage de castor connu au Québec. La FERLD pourra ainsi protéger un échantillon représentatif de ces milieux d’eau profonde, humides et forestiers riverains. CIC prévoit également signer une entente de conservation avec les gestionnaires de la FERLD (UQAT et UQÀM) concenant ces milieux, ce qui constituerait un bon outil de protection et aid-erait à la gestion intégrée des ressources de ce territoire public. S

Le plus long barrage de castor connu au Québec est en Abitibi!

De g. à d. : M. Yvon Marcoux, député de Vaudreuil‑Dorion, M. Bernard Filion, directeur de Canards Illimités au Québec, M. Mario Grilli, ancien propriétaire du terrain et M. Rénald Gabriele, conseiller à la Ville de Vaudreuil‑Dorion.

R é g i o n d e l ’ e s t ( Q u é B e c / A t l A n t i Q u e )

UUn simple passe-temps s’est transformé en honneur lorsque Robert (Bob) Harding s’est vu remettre le Prix Aile verte du lieutenant-gouverneur pour la conservation de Canards Illimités Canada (CIC), le 20 mai 2009.

« Bob est un bénévole remarquable dont la passion pour les insectes des milieux humides, comme les demoiselles et les libel-lules des Maritimes, n’a d’égale que son empressement à partager ces connaissances », a mentionné Wade Lewis, spécialiste en con-servation pour l’Île-du-Prince-Édouard, au moment d’annoncer le récipiendaire de cet honneur.

M. Lewis a raconté que Bob Harding note ses connaissances selon des normes rigoureuses et que les renseignements qu’il recueille ainsi sont utilisés par les musées, le gouvernement et d’autres organisations non gouvernementales. De plus, il partage ses connaissances sur le site www.wildspecies.ca et rédige des articles pour le bulletin de la Société d’histoire naturelle de l’Î.-P.-É. Il travaille actuellement avec Donna Giberson à l'Université de l'Île-du-Prince-Édouard et d’autres spécialistes pour publier de l’information sur les demoiselles et les libellules. Sa passion s’étend aussi à sa collection de papillons et d’autres insectes.

Bod Harding mentionne que son père lui a transmis la passion du plein air. Il lui a enseigné la valeur de l’observation : il n’est pas nécessaire d’aller bien loin pour voir des choses incroyables et il est important de noter et de partager ses découvertes.

« Si nous ne connaissons pas la faune qui se trouve dans ces endroits, nous ne savons pas comment la conserver », a-t-il affirmé.

Ces grands principes lui ont bien servi et lui ont permis de découvrir la grenouille des marais à l'Î.-P.-É. En effet, lorsqu’il a aperçu une grenouille lors d'une sortie avec ses enfants, il était certain qu'il s'agissait d'une grenouille des marais, même si les experts avaient affirmé qu'il n'y en avait pas sur l'Île. Après avoir multiplié ses observations et sa documentation, il a pu prouver qu’elle y était bel et bien présente, ce qui fait de Bob Harding la première personne à ajouter un nouvel amphibien à la liste de l’Î.-P.-É en plus d'un demi-siècle.

Bob Harding n’est pas seulement un observateur assidu, mais également un excellent pédagogue. Il participe chaque année à la Journée Aile verte, au cours de laquelle il fait découvrir la vie dans

les étangs aux naturalistes en herbe et leur montre comment faire une collection de libellules. « Les efforts de Bob nous ont consi-dérablement aidés à comprendre la faune des milieux humides de l’Î.-P.-É et nous le remercions de son engagement et de son dévouement », a mentionné Wade Lewis.

L'honorable Barbara A. Hagerman a présenté à Bob Harding son certificat de mérite et sa médaille. M. Harding ne s'attribue pas un grand mérite pour ce prix, mais dit qu'il revient plutôt aux aires naturelles qu'il apprécie et où il aime passer le plus de temps possible.

« Nous sommes choyés sur l’île, car la nature n’est jamais très loin, mentionne M. Harding. Les boisés de l'île foisonnent de vie actuel-lement. Prenez le temps d’y aller et de regarder autour de vous. »

Ce prix reconnaît ceux qui ont démontré un esprit d’initiative dans un projet ou une activité ayant contribué à sensibiliser le public à la conservation des milieux humides au bénéfice de la sauvagine, de la faune et des humains. S

Pour assurer la protection du marécage Vaudreuil-Dorion à perpétuité afin de préserver ses caractéristiques naturelles, écologiques et paysagères, Canards Illimités le fera enregistrer à titre de réserve naturelle. Le site étant exposé à de fortes pres-sions, une protection la plus intégrale possible est souhaitée, mais certaines activités récréatives, touristiques et éducatives seront permises dans des zones moins sensibles. « Le site offre un potentiel récréatif intéressant grâce à la présence de sentiers; ces derniers seront accessibles à population, mais avec certaines limi-tations », a précisé M. Filion, en ajoutant que Canards Illimités préconise la création d’un partenariat avec les acteurs locaux pour la gestion du site.

« L’urbanisation intensive peut représenter une menace rela-tivement à la conservation des milieux humides. Heureusement, les mentalités changent et plusieurs promoteurs immobiliers se montrent plus sensibles à l’environnement et tiennent davantage compte des milieux humides dans leurs plans de développe- ment », a déclaré Bernard Filion.

La protection du site a été rendue possible grâce à la par-ticipation financière du ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs du Québec, dans le cadre de son programme Partenaires pour la nature, ainsi que la participation du gouvernement du Canada par l’entremise de son programme de conservation des aires naturelles. S

Canards Illimités Canada honore un héros des milieux humides

Robert Harding, récipiendaire du prix, l’honorable Barbara Hagerman, lieutenante‑gouverneure de l’Î.‑P.‑É., et Wade Lewis après la cérémonie.

LLe championnat d’appel de canards et d’oies de Canards Illimités Canada (CIC) est de retour cette année à Amherst, en Nouvelle-Écosse.

Cette activité se tiendra le 26 septembre au Club de curling d’Amherst. Les participants peuvent s’inscrire à la fois pour l’appel d’oies et l’appel de canards dans les catégories senior, intermédiaire et junior, en solo ou en équipe de deux. Ce concours comprend également une partie d’appel d’oies avec appeau flûté dans la catégorie senior.

« Nous attendons avec impatience l’activité de cette année, mentionne Jamie Young, coordonnateur des activités-bénéfice pour la Nouvelle-Écosse et l’Île-du-Prince-Édouard. Le tout premier championnat a eu lieu ici et a connu un grand succès; nous attendons de nombreux participants et spectateurs encore cette année. »

Le vainqueur du concours de CIC dans la catégorie senior en solo pour l’appel de canards pourra participer au Championnat mondial, qui aura lieu cet automne à Stuttgart, en Arkansas. De plus, les billets d’avion, l’hébergement à l’hôtel pour trois nuités, ainsi que 350 $ US en argent de poche et les frais d’inscription au concours lui seront offerts gracieusement.

Cette année, CIC accueillera le juge invité Buck Gardner, de Germantown, Tennessee, lequel est reconnu comme l’un des meilleurs aux États-Unis dans l’appel de canards. Il a remporté le Championnat mondial de 1994 et, en 1995, a obtenu le trophée ultime d’appel de canards, soit le titre de « Champion des champions », ce qui l’a obligé à abandonner les concours. Il participe maintenant à titre de juge aux compétitions qui se déroulent partout au pays.

M. Gardner a également fondé l’entreprise Buck Gardner Calls, LLC en 1996, qui détient une gamme complète d’appeaux pour canards, oies, prédateurs, chevreuils et dindes, ainsi que des accessoires et des vêtements. En 2005, Buck Gardner a été reconnu par ses pairs pour ses contributions humanitaires et pour son impact positif sur l’industrie au cours de son intronisation au temple de la renommée Legends of the Outdoors. Il est donateur à vie des organismes Delta Waterfowl et Ducks Unlimited et contribue à la tenue des championnats U.S. Open et Tennessee State Duck Calling.

« Buck Gardner est de calibre international et nous sommes heureux de l’accueillir en tant que juge invité, a mentionné Jamie Young. C’est une occasion formidable pour les participants d’être évalués par l’un des meilleurs au monde. »

Le gagnant du premier concours, Matthew Wilson, de Woodstock, au Nouveau-Brunswick, a mentionné avoir vraiment apprécié son expérience au Championnat mondial. Il s’est également fait connaître au Canada en participant à des entrevues et a pu montrer son savoir-faire grâce aux médias régionaux et nationaux.

Les formulaires d’inscription et les règlements sont publiés à l’adresse ducks.ca/calling championship ou en écrivant à [email protected]. SMatthew Wilson, champion canadien d’appel de canards de CIC en 2007, à l’œuvre au premier concours tenu à Amherst, lors duquel il a remporté le titre.

Retour du championnat d’appel de canards et d’oies!

Région de l’est ( )

Le bulletin Voie migratoire est publié par Canards Illimités Canada, Centre de conservation du marais Oak Hammock, C. P. 1160, Stonewall (Manitoba) R0C 2Z0Tél. : 204‑467‑3000 Téléc. : 204‑467‑9028Sans frais : 1‑800‑665‑3825 Pour toute question ou tout commentaire, veuillez contacter :Région de l'Est Atlantique : Kelly Macdonald Québec : Bernard Filion Ontario : Lynette MaderRégion de l'Ouest Prairies et boréale de l'Ouest : Marci Dube Colombie‑Britannique : Wendy Fister

À la production de Voie migratoire :Directrice des communications et du marketing : Madeleine ArbezRédacteur : Duncan MorrisonAssistante : Deb MenardDirecteur artistique : Tye GreggConcepteurs graphiques : Lindsay Pikta‑Marie, Aquila Samson, Jeope Wolfe

© Canards Illimités Canada 2009Imprimé au Canada sur du papier recyclé à 100 % (100 % post‑consommation).

QuéBec/AtlAntiQue

Personnes–ressources par secteurDirecteur de l'AtlantiqueTom Duffy 1-866-903-8257, p. 234

Directeur du QuébecBernard Filion 1-800-565-1650, p. 15

Gestionnaires des activités-bénéfice

QuébecJocelyn Landry 1-877-551-5757

Nouveau-BrunswickBarry Burke 1-888-920-3330

Coordonnateurs des activités-bénéfice

Ouest du QuébecPascal Desmedt 1-877-547-9494

Nouvelle-ÉcosseJames Young 1-888-557-5554

Terre-Neuve-et-LabradorKelly Sandoval 1-877-243-8257

Agent de liaison, Aile verteKim Votour, Fredericton 1-888-920-3330, p. 3

Entente de publication no 40064849