Fondation ONA Villas des Arts Oct...Nagarjuna, a été le premier à développer ce principe, décrivant la véritable nature de toute chose comme étant ni existence ni non-existence

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Les Villas des Arts, espaces d’art contemporain, lieux de création, d’animation et de rencontres, ont été

créées pour contribuer à mieux faire connaitre

et valoriser le patrimoine artistique marocain. Elles

sont considérées comme des espaces didactiques qui ont

pour objectif de sauvegarder, préserver, inventorier, valoriser et

assurer l’accessibilité de l’art auprès du grand public. A ce titre, les Villas des Arts

sont des lieux dotés d’un caractère intégrateur qui se traduit par l’ampleur et l’abondance de la gamme

des expressions culturelles que ces espaces abritent : arts plastiques, photographie, arts de la scène, cinéma, littérature, festivals, etc. Cet aspect multidimensionnel de l’expression culturelle au Maroc y est intégré de façon permanente. La dynamique des Villas des Arts résulte aussi bien de la richesse de la programmation que de la promotion et de la communication qui permettent ainsi de drainer les talents tant nationaux qu’internationaux, les medias, la jeunesse, les chercheurs et les opérateurs culturels. Le visiteur, tout au long de sa promenade déambule et découvre une peinture, une sculpture, une installation, une rencontre, un spectacle, etc. Chaque exposition est une invitation à découvrir l’autre, le comprendre à travers ses propres modes d’expressions tout en mettant en exergue de nouveaux talents.

Fondation ONAVillas des Arts

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Boulevard Mohamed Zerktouni

Boulevard Bra

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Boulevard Mohamed Zerktouni

Parc de la ligue Arabe

Twin Center

Préfecture de Policedu Grand Casablanca

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Villa des Arts de Casablanca

Plan d’accès

Heures d’ouverture

Du mardi au dimanchede 9h00 à 19h00Fermé lundi et jours fériés

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Adresse : 30 Bd Brahim Roudani - CasablancaTel: (+212) 5 22 29 50 87/94 - Fax: (+212) 5 22 27 86 07

Villa des Arts de CasablancaConstruite en 1934 – Art déco – elle abrite depuis son acquisition, par la Fondation ONA, des activités culturelles.

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Hamid DOUEIB

Du 17 septembre au 15 novembre 2019Villa des Arts de Casablanca

Exposition rétrospective

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La Fondation ONA consacre une exposition rétrospective à Hamid Doueib, artiste peintre maroco-belge, vivant et travaillant entre Bruxelles et Casablanca. Cette manifestation, organisée par la Fondation ONA à la Villa des Arts de Casablanca, constitue la première rétrospective de l’œuvre de Hamid Douieb au Maroc.

Né à Casablanca en 1948, Hamid Douieb émigre en Belgique en 1968. Artiste peintre surréaliste puis hyperréaliste, il définit actuellement sa peinture comme figurale et non figurative. Le corps féminin est à la fois un thème et un support de prédilection comme le sont les visages et les mains. Bien que ce soit en Belgique que Hamid Douieb a découvert sa vocation d’artiste et où il s’est imprégné de ses tendances artistiques, c’est au Maroc qu’il revient pour une reconnaissance.

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Mustapha HAFID

Du 28 novembre 2019 au 15 janvier 2020Vernissage: Jeudi 28 novembre 2019 à 19h00


Exposition

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Les œuvres de l’artiste peintre Mustapha Hafid (né en 1942 à Casablanca) sont animées par une dimension néo abstraite qui ne se borne pas à une simple énonciation expressive, mais implique la notion de rêve liée à celle de représentation subjective. L’artiste, vieux routier dans la cartographie créative d‘ici et d’ailleurs, met en toile les fragments tachistes de la figure et détourne son sens au pluriel qu’il perçoit et perturbe la lisibilité immédiate. Son acte présente des unités chromatiques en l’honneur de notre première nature qui l’a tant inspiré. Artiste singulier, Hafid a laissé une empreinte indélébile sur la scène artistique contemporaine que ce soit dans le domaine de l’enseignement artistique que dans le domaine de la création picturale. Résolument anti-conformiste et moderniste, il est l’auteur d’une œuvre dépassant largement les frontières...

« Je pratique la peinture, le dessin ainsi que la lithographie. Je pratique une peinture abstraite sur toile, sur contre-plaqué, sur isorel et sur carton où la technique mixte est privilégiée. Les différents matériaux que j’utilise, seuls ou ensemble, sont le sable, le plâtre, le goudron, le tissu ainsi que la toile de jute et me permettent d’obtenir les reliefs et matières qui caractérisent mes tableaux. Les petits formats sont travaillés à la gouache, l’acrylique, l’aquarelle et le pastel. Pour les grandes surfaces, je préfère employer la peinture à l’huile et l’acrylique. Une superposition de couches de peinture, de larges aplats ainsi que de coulées de peinture me permettent d’acquérir les effets escomptés. Quant à mes dessins, ils sont réalisés sur carton et sur papier au fusain, au crayon, à la sanguine, à l’encre de Chine et au pastel.»

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Mercredi 16 octobre 2019 à 19h00


« Quoi dire de plus ? » est une critique philosophique des mutations civilisationnelles que donne à voir le moment contemporain un peu partout dans le monde. L’auteur interroge ce rapport ambigu qu’entretiennent les hommes avec l’absolu de la Mort. Rapport à ré-envisager quand le Verbe, le Rêve, la Raison et la Connaissance semblent avoir cessé d’être ce qu’ils sont d’un point de vue civilisationnel. Dévitalisées, évincées, réduites, vidées de leur teneur,

Comme il est dit dans le recueil : « vivre au-delà des limites ordinaires réservées aux humains », dans le nouveau livre de Abdelhak Najib, «Finis Gloriae Mundi» ,on découvre une poésie d’un nouveau genre : une poésie sans vraiment l’être, mais s’imposant comme telle. Une forme de philosophie sans trop toucher au concept. Un rêve car elle est loin du réel. Une magie car elle a du pouvoir. Une prière sans être religieuse. Le poète se libère avec force, tout en enclosant en lui une peur solitaire. Son monde est indéfinissable et c’est ce qui le rend poétique.

Présentation du livre « Quoi dire de plus ? » Samih El Guelta

Présentation du livre « Finis Gloriae Mundi» Najib Abdelhak

ces catégories ne sont plus ce qui a vocation à transcender la société des hommes. Et parce que la nature a horreur du vide, d’autres catégories entrèrent comme par effraction pour sauver ce qui reste de la cité. Le jeu, le ludique, le positif, le matériel, l’agile, l’improvisé et l’utile se substituèrent à ce qui fonda la société des hommes jusques là. Désormais, rien ne semble aller de soi s’il s’affranchit de ces factices nécessités. La société des hommes glissa alors d’un régime de consistance vers un régime de persistance quand elle renonça à ce qui la préservait de la tyrannie de la Mort: le Verbe et la Raison. Cette société doit ainsi sa longévité à un vitalisme grivois qui n’opère plus d’un principe vital mais qui tire sa philosophie des tacites impératifs de la Mort.

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1er séance: Le négatif Le négatif peut s’entendre de différentes façons :- un nombre négatif est un nombre qui est inférieur ou égal à zéro ;

Séminaire de psychanalyse sur « Le négatif en psychanalyse et dans la culture» Rouchdi Chamcham

- En photographie, un négatif désigne à la fois une image aux couleurs inversées, et une pellicule photographique.- Dans la langue arabe le négatif se dit : سلبي et quelque chose de néfaste se dit : سيء. En météorologie des températures négatives se disent : درجات حرارة تحت الصفت- En sanskrit, le concept de sunyata, ou kû en japonais, ont été diversement traduit par latence, non-substantialité, vide ou vacuité. Le bouddhiste Nagarjuna, a été le premier à développer ce principe, décrivant la véritable nature de toute chose comme étant ni existence ni non-existence.- Dans ; Nietzsche et le soufisme : proximités gnostico-hermétiques, Michel Joris, tente un rapprochement entre la mort de Dieu chez Nietzsche, et la notion de vide dans le soufisme des derviches tourneurs musulmans.- Freud avec Malaise dans la culture, affirme que : la culture est édifiée sur du renoncement pulsionnel, car la vie en commun suppose le respect des exigences sociales ce qui crée une tension entre le principe de plaisir, l’égoïsme et l’amour de soi : le ça, et le principe de réalité, l’altruisme et l’amour d’autrui : le moi et c est cette tension entre ces deux principes qui sera la source du sentiment de culpabilité et de la conscience morale qui vont être a la source de la beauté, et de la gratitude.A ce niveau le négatif est un positif, c est le renoncement au plaisir égoïste.La civilisation a toujours été animée par un combat entre la pulsion de vie et la pulsion de mort, mais nul ne peut présumer du succès et de l’issue de ce combat. Freud ne garantit rien : les civilisations, les plus modernes, peuvent s’autodétruire. Il a pris acte de l’absolue nécessité de repenser le travail de la culture, qui s’accomplit par le psychique dans l’individuel et le collectif. le négatif est ce qui rend pensable ce qui indissociablement anime le sujet, le dépasse et lui échappe.Pour Freud, le vingtième siècle naissant a marqué une rupture dans la culture par l’écroulement de ce qui assurait à chacun, à son insu, la certitude d’un pacte entre l’homme et lui-même, et les autres...

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Vendredi 1er novembre 2019 à 19h00La vérité : une valeur éthique.On a coutume de séparer les vérités scientifiques des valeurs éthiques. Cette conférence se propose de montrer que la vérité a une valeur éthique en elle-même. Les faits scientifiques et les valeurs éthiques sont enchevêtrés. L’objet de cette conférence est de montrer le comment de cet enchevêtrement.

Cycle de conférences philosophiques avec Ali Benmakhlouf« Valeur et vérité »

تقديم كتاب »الفن التشكييل يف املغرب من البدء إىل الحساسية« لعز الدين بوركة

األربعاء 13 نونرب 2019 عىل الساعة السابعة مساء

يقرتح علينا الباحث والناقد الفني عز الدين بوركة يف هذا املؤلف الجاميل مقاربة تحليلية متحركة

للمنجز التشكييل باملغرب انطالقا من إرهاصاته التاريخية األوىل وبعض تجاربه الحداثية وما بعد

الفن بها: ارتهنت التي اإلشكالية املفاهيم املركزي هو مساءلة بعض املعريف الحداثية. يظل همه

االنعطاف الحرويف، االنعطاف والتجريد، التشخيص والتأسيس، املدرسة والرتاث، الحداثة الخام،

الفوتوغرايف، االنعطاف السرييغرايف، الجسد وصوره، النحت، الحساسية الجديدة أو ما بعد الحداثة، الفن والسياسة وغريها.

وارتياد والتجريب التحديث بهاجس تشكيلية مسكونة لنامذج واملرجعية الجاملية القيم لتمثل عامة أرضية الكتاب فهذا

مغامرة االنزياحات الكربى التي تقتضيها املنظومة اإلبداعية يف بعديها املحيل والكوين لعلها تقيم ثورة هائلة يف سلم القيم

والتمثالت.

ففي ضوء مقاربته املنهجية القامئة عىل الوصف والتحليل والتأويل، تدرج الباحث عز الدين بوركة من عتبة الحفر التاريخي يف

البوادر األوىل لنشأة الفن التشكييل باملغرب قبل فرتة االستعامرين اإلسباين والفرنيس، ليعمق النظر الجاميل يف سؤال البدايات

التي همت الرباطي، والغرباري، والرشقاوي، طارحا قضية املدرسة والتأسيس مع أسامء مغمورة إىل جانب محمـد بنعيل

مدرستي تطوان والدار البيضاء، وأبرزت الرصاع الخفي والظاهر يف اآلن ذاته بني املنزع التشخييص واملنزع التجريبي، وكذا بني

البعد اإليديولوجي والبعد الجاميل، وبني العصامي الفطري واملحرتف األكادميي.

عىل امتداد هذه الجغرافيا الحفرية، بلور الباحث عز الدين بوركة تصوره النقدي ملفهومي الحداثة وما بعد الحداثة، شكال

ومضمونا ورؤية وأداة، حيث انترص لسريورة الهويات التشكيلية املتعددة واملتنوعة باعتبار املعارصة حارضا خاضعا للتأويل

املستمر كام أكد ذلك الباحث السوسيولوجي عبد الكبري الخطيبي )الفن العريب املعارص، مقدمات(، رغم أن فنانينا املعارصين

الجديرين بهذا االسم مل يعودوا منذورين إىل الوحدة والصمت والنظرة الجريحة.

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Mercredi 20 novembre 2019 à 19h00En 386 pages, Abdelhak Najib nous invite dans l’univers fantastique de la peinture. Un voyage dans cet art pictural marocain qui a connu des mouvements divers selon les générations et les périodes. Publié par les Editions Orion, cette œuvre où la littérature s’invite dans l’enceinte des

Présentation du livre « Le temps du rêve» Najib Abdelhak

arts visuels, et où le texte se lit intimement grâce à l’image est un véritable hymne à la peinture marocaine. Imprimé en grand format et agrémenté de belles illustrations, il inaugure une collection de beaux livres dédiés à l’art Marocain tel que la sculpture, le design la photographie, ou encore le cinéma...Cet ouvrage inédit, est un voyage dans les œuvres de grands noms de la peinture marocaine, toutes époques et générations confondues. Des univers différents mais qui ont comme point commun le traitement de l’humain dans leurs travaux à travers des périodes picturales successives.

Mercredi 27 novembre 2019 à 19h00

2ème séance : La réaction thérapeutique négativeChaque fois que l on rencontre une réaction thérapeutique négative chez un patient , c est que celui-ci l utilise comme comme une expulsion de la destructivité et de la négativité hors de l’analyse. Pour comprendre les agirs du patient a ces


moments, le concept de Freud de pulsion de mort est a prendre en compte et aide a saisir dans le vif ce qui agit le patient qui l utilise comme comme une expulsion de la destructivité et de la négativité hors de l’analyse. La réaction thérapeutique négative peut être un outil au même titre que la résistance névrotique un passage à l’acte transférentiel qui doit être entendu comme un retour de la destructivité dans le cadre de l’analyse, dans une tentative d’évitement d’une douleur innommable, que ferait craindre l’amélioration clinique avec son risque de réinvestissement de traces traumatiques.

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Vendredi 29 novembre 2019 à 19h00Vérité, véracité, véridicité, authenticitéCette conférence explore le voisinage de sens entre ces notions. Dire vrai (véridicité), être vérace (vérifier l’information), être authentique (sincérité) sont à la fois des voies distinctes et un même faisceau de vérité.


Mercredi 04 décembre 2019 à 19h00Roman écrit en forme de labyrinthe, ce voyage dans la vie de trois condamnés à mort est un hymne à la liberté, celle des hommes qui refusent d’abdiquer et de s’avouer vaincu par la vie et son corollaire la mort. 700 pages qui donnent le vertige pour raconter l’espoir de retrouver un jour les chemins de la liberté. Un roman puissant au style déroutant où se mêlent narration, théâtre, poésie, cinéma et musique...

Présentation du roman « le labyrinthe de l’archange» Najib Abdelhak

Mercredi 11 décembre 2019 à 19h00

De l’image au verbe, il y a un grand canyon à franchir. Ahmed Boulane le fait allègrement prenant du même coup sa revanche sur le cinéma. Le livre que vous avez entre les mains est une réelle autobiographie. On y retrouve, en vrac et désir de revanche. Ahmed Boulane, le réalisateur ne troque pas ici sa casquette pour devenir auteur. Entre

Présentation du livre « Ma vie est belle » Ahmed Boulane

les lignes, dans le découpage, dans le style, au fil de la narration, le cinéma est bien présent, mais l’écriture est plus libre, plus aérienne, plus audacieuse. En somme, nous retrouvons ici ce qui fait la particularité d’un individu à part, tempétueux, récalcitrant, nerveux, énervé, sincère, profond, drôle, ricaneur, provocateur… au-delà des limites de son cinéma où on l’a toujours senti sur la réserve, dans la retenue, allant même jusqu’à s’imposer le silence là où il faut crier. Ahmed Boulane nous livre une vie, sa vie, avec ses drames, ses rêves déçus, ses espoirs et ses désespoirs. Une vie riche. Une vie pleine de sève. Une vie gorgée de vécu. Ce qui marque dans cette première cuvée (parce

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qu’une suite est en cours) c’est la manière de raconter sans jamais tomber dans le pathos. La catharsis s’opère sans jamais que l’auteur ne tombe dans l’apitoiement sur lui-même. Au contraire, on sent une délivrance. On vit avec Ahmed Boulane ce désir d’aller au bout du mal pour l’extraire et planter à sa place de bonnes grains porteuses d’avenir. Cette belle vie défile comme dans un film en noir et blanc, avec sa reconstitution d’époque, ses costumes, ses décors, son phrasé si spécifique et ses atmosphères inoubliables. C’est un pari réussi par un réalisateur qui a du coffre et dont la voix n’a pas encore porté là il le faut. C’est un livre solide qui nous est donné à lire où l’humain prend toute sa place, dans une volonté certaine de relire tant de pages du passé avant de les tourner.


3ème séance : L’irreprésentable, dans la cure, l’art et la religion en partant de la question suivante : existe-t-il un vécu, provenant sans doute du soma, de la période préverbale de l’enfance ou d’états traumatiques, qui est inscrit quelque part, d’une façon ou d’une autre, mais qui n’est pas encore représenté psychiquement ? C’est sur cette question que


j’ouvrais la séance, en m’intéressant à ce qui n’est pas encore représenté, les expériences à l’état brut - Présentation de cas.- L’interdit de la représentation : j’attirant l’attention des séminaristes sur cet interdit qui divise les religieux en deux : ceux qui acceptent la représentation et ceux qui la refusent.- les catholiques et taoïstes l’encouragent. Ils pensent que l’on doit rapprocher la divinité du peuple par des images et statues et leurs lieux de culte en foisonnent.- Les protestants et confucéens, mettent l’accent sur la parole et le Verbe. Leurs églises et temples sont dépourvus de statues. Leur pratique religieuse recourt essentiellement aux écritures.- Dans la Bible poussent l’interdit de la représentation est poussé jusqu’à prohiber le nom de Dieu. On le désigne alors par sa qualité spécifique de ne pouvoir être représenté ni par l’idole, ni par aucun nom, c’est-à-dire par sa qualité même de ne pouvoir être réduit : on l’appelle l’Innommable, l’Éternel, Celui-qui-est.- Les musulmans poussent l’interdit de représentation plus loin, non seulement les statues sont prohibées mais on s’interdit aussi de dessiner les visages, qu’ils soient humains ou animaux. D’où les arabesques si florissant dans l’art

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Vendredi 27 décembre 2019 à 19h00Transmettre les véritésLa question de la transmission des vérités devient de plus en plus cruciale au moment où tout un chacun est soumis à un flux d’informations peu vérifiées. Il devient urgent de séparer le savoir validé des informations qui peuvnet être fausses.


islamique. La représentation figurée dans les arts de l’Islam, fait l’objet de débats complexes à l’intersection de facteurs artistiques, religieux, sociaux, politiques et philosophiques. La question de la licéité de la représentation figurée dans les arts de l’Islam est centrale dans l’historiographie des arts de l’Islam.

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3 ateliers prévus les mercredis après-midi :16H /17H : Enfants de 5 à 10 ans17H15/18H15 : Adolescents de 11 à 16 ans18H30/19H30 : AdultesInscription pour le trimestre : 1 000 DH/Personne

Développer l’élan créateur chez l’enfant entre 5 et 16 ans Développer l’habileté manuelle de l’enfant et des adolescents

Atelier Arts Plastiques avec Said Raji

Lundi et vendredi de 19H00 à 20H30Inscription pour le trimestre : 1 200 DH/PersonneDébut des ateliers à partir du vendredi 4 octobre 2019

Atelier d’Improvisation Théâtrale pour adultesavec la compagnie S’toon ZooDirection artistique : Youssef El Mortaji

Des ateliers ouverts à toute personne ayant envie d’improviser, de jouer, de se faire plaisir, de se tester, de rire ... Allez-y, jetez vous à l’eau !On y améliore sa communication, on apprend a avoir confiance en soi, aussi bien à développer son imaginaire, à gérer l’inattendu, la prise de risques et surtout on se fait plaisir tous ensemble ...

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Initiation aux différentes techniques des Arts Plastiques Développer la créativité et l’imaginaire des enfants par un nouvel atelier « Papier recyclé » ; comment obtenir du papier ? les matières et les différentes pates…Initiation à la bande dessinée


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Ce spectacle met en scène un homme solitaire, vulnérable dont l’unique objectif est de subvenir aux besoins de son quotidien. Le spectacle interroge le rapport entre la précarité sociale et la hantise - économique ou morale - qu’elle peut générer. À travers le récit de cet homme, il est question de la quête de sens dans une société marocaine contemporaine éclatée où l’individu est confronté à une solitude qui ne cesse d’exister.

Chorégraphie et danse : Said El Haddaji Musiques: Murcof, Jecelyn Pook Regard extérieur : Maria Daîf

Chorégraphie : Chris Many Babingui Babingui Interprétation : Chris Many Babingui et Fila Praxecede Scénographie : Christian Blaise et Chris Many

Spectacles de danse dans le cadre du Festival « Les rencontres chorégraphiques de Casablanca » organisé par Col’jam en partenariat avec La Fondation ONA

Vendredi 11 octobre 2019 à 20h30

Partie 1// CIE HNA-YA | MAROC

Spectacle « OBSCURITÉ »

Partie 2// Cie BABINGUI

Spectacle « Nibo Nabo »

Nibo Nabo, autrement dit « du pareil au même », est un ressenti profondément ancré dans le subconscient d’un peuple qui a été victime des oppressions de leurs dirigeants mais aussi de proches divisés par la manipulation. Monter cette création dans un pays où la liberté d’expression n’est qu’une convention inscrite sur le papier est audacieux de notre part. Inspirée par des faits sociaux et des clichés locaux, la création est née dans les danses urbaines et traditionnelles locales. Ces formes d’expressions corporelles sont le catalyseur d’une jeunesse désemparée et sans repère. La danse la plus récurrente dans le duo est basée sur le touché; l’attirance et le refoulement de deux corps qui s’entrechoquent, à la recherche de volupté mais enveloppés de barbarie. Puis nous est venue l’idée de disperser des papiers un peu partout sur la scène pour exprimer la multitude de promesses que les politiciens font au peuple et qui pourtant ne se voient jamais réalisées a la fin d’un mandat, par incapacité ou soit par manque de volonté.

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En créant Bnett Wasla, Héla Fattoumi et Eric Lamoureux s’engagent dans une véritable expérience intergénérationnelle et transculturelle, puisant dans l’intime et le singulier vers le général traversé des enjeux liés à l’émancipation de la femme. Du creux incurvé qui accueille le dos des interprètes, émerge toute une syntaxe du lové, qui enveloppe et découvre tout à la fois des corps chrysalides. Les interprètes glissent d’un bord à l’autre de la paroi et lorsqu’elles s’en décollent, la danse semble subrepticement s’extraire d’une empreinte effacée. Éveillées de cette alcôve-abri, les danseuses s’avancent dans l’espace du trouble, sensualité qui laisse venir le spasme, possession étrangement diaphane qui monte aux visages et les transforme, mains serpentines qui insinuent le désir au plus secret des corps.

Samedi 12 octobre 2019 à 20h30

Bnett Wasla

Création et Chorégraphies : de Hella Fattoumi et Éric Lamoureux pour le Ballet de l‘Opéra de TunisChorégraphies: Hella Fattoumi et Éric LamoureuxDanseuses: Houda Riahi, Cyrinne Douss, Oumiama Manai, Nour Mzoughi Musique: Éric Lamoureux, Extraits : Mounir Bachir -Hamza Eldin Scénographie: Raymond Sarti Construction décor 2018: Ateliers du CDN de BesançonDominique Laine (serrurier) et France Chevassut (peintre)Création lumière 2018: Thierry MeyerProduction : VIADANSE, Centre chorégraphique national de Bourgogne Franche, Comité à BelfortCoproduction: Théâtre de l’Opéra de Tunis et le Théâtre, scène nationale de Maçon

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Le musée en herbe existe à Paris depuis plus de 40 ans. Il s’agit d’un lieu convivial ou les différentes générations (des l’âge de 3 ans) partagent la découverte d’œuvres originales à travers des expositions. D’autre part, le musée a développé un concept original, de mini exposition itinérante, qui va colporter l’art et la culture dans les écoles, dans les bibliothèques et les associations. Le concept « Les minis Z’expos » sont un moyen simple de faire découvrir la vie d’un peintre et son œuvre aux enfants. Grace à une mallette pédagogique constituée de 7 tableaux (reproductions autorisées) du peintre choisi et de jeux (observation, manipulation, gestuelles) autour des tableaux présentés, la médiatrice va stimuler l’imagination de l’enfant et l’initier à la vie du peintre. L’animation est suivie d’un atelier artistique au cours duquel les enfants réalisent une création à partir d’une des œuvres présentées. Les peintres des minis Z’expos sont « Les tableaux de Pablo Picasso » et « Quel artiste ce Matisse » !

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Les minis Z’expos du Musée en Herbe de Casablanca Après-midi « Picasso » pour enfants de 5 à 8 ans.Date: mercredi 16 octobre 2019 de 15h00 à 17h00

Jeudi 21 novembre 2019 à 20h00 Jeud’Impros avec les S’toon Zoo

Les S’toon Zoo reviennent avec les Jeud’Impros ! Le premier rendez-vous est pris ! Ce sera le 21 novembre à 20h à la Villa des Arts de Casablanca ! Les thèmes écrits par le public sont tirés au sort par le maître de cérémonie. Après 20 secondes de concertation, les

comédiens jouent une histoire qu’ils inventeront en direct. Le maître de cérémonie peut à tout moment imposer une catégorie aux improvisateurs : improvisation chantée, à la manière d’un documentaire animalier ou d’un western, de Molière ou de Shakespeare… Tout est permis ! Du burlesque au tragique, ils vous feront voyager dans de nombreux univers et si vous ne savez pas ce que vous allez voir, eux ne savent pas encore ce qu’ils vont jouer. Ce menu, renouvelé tous les mois, contient des thèmes et des catégories d’improvisation. Lorsque le maître de jeu vient «prendre la commande», ce sont les spectateurs eux-mêmes qui décident de l’improvisation qu’ils veulent voir se dérouler en fonction des propositions de la carte. Un spectacle dynamique et interactif avec sur scène 6 comédiens qui vous réserve de belles surprises ! Restez branché !

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Jeudi 12 décembre 2019 à 20h00 Jeud’Impros avec les S’toon Zoo

Les S’toon Zoo sont de retour pour un deuxième round le 12 décembre à la Villa des Arts de Casablanca pour un Jeud’Impro de folie ! Les thèmes écrits par le public sont tirés au sort par le maître de cérémonie. Après 20 secondes de concertation, les

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Jeudi 05 décembre 2019 à 20h00 Concert Blues Ramblers Band

The Blues Ramblers Band est avant tout le fruit d’une passion. Tout commence par la rencontre de deux bluesmen chevronnés voulant apporter une pierre a l’édifice de cette musique au Maroc en 2012 : Casablanca Kid, harmoniciste et chanteur résidant en Belgique et Mississippi Joe, guitariste

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indépendant au goût prononcé pour le Blues. Partageant des conceptions et voulant apportant une pierre a l’édifice de cette musique au Maroc, les deux musiciens décident alors de solliciter les services d’Omar Fig à la basse et Youssef Rami a la batterie assurant une section rythmique des plus efficaces. Etrange mixture mélodique allant du Mississippi à Chicago en passant par l’école Texane, le tout sur fond de groove voluptueux, le groupe se produira essentiellement sur Casablanca, Mohammedia et Rabat. En Avril 2013, deux nouvelles recrues : Kamil Sabri remplace Omar Fig à la basse avec Reda Loukili qui rejoint le groupe, venant compléter pour de bon une formation qui, par son amour de la musique, ravive à chaque prestation l’âme intemporelle du blues.

comédiens jouent une histoire qu’ils inventeront en direct. Le maître de cérémonie peut à tout moment imposer une catégorie aux improvisateurs : improvisation chantée, à la manière d’un documentaire animalier ou d’un western, de Molière ou de Shakespeare… Tout est permis ! Du burlesque au tragique ils vous feront voyager dans de nombreux univers et si vous ne savez pas ce que vous allez voir, eux ne savent pas encore ce qu’ils vont jouer. Ce menu, renouvelé tous les mois, contient des thèmes et des catégories d’improvisation. Lorsque le maître de jeu vient «prendre la commande», ce sont les spectateurs eux-mêmes qui décident de l’improvisation qu’ils veulent voir se dérouler en fonction des propositions de la carte. Un spectacle dynamique et interactif avec sur scène 6 comédiens qui vous réserve de belles surprises !

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Heures d’ouverture

Du mardi au dimanchede 9h00 à 19h00Fermé lundi et jours fériés

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Villa des Arts de RabatConstruite en 1929 - période Art déco – cette élégante demeure est située au cœur d’un îlot de musées et de galeries. Inaugurée en tant qu’espace culturel en décembre 2006, elle a été pensée et réfléchie de telle façon que les artistes, tout autant que les visiteurs, puissent s’y reconnaître.

Adresse : 10 rue Beni Mellal, angle avenue Mohammed V, Hassan, RabatTel: (+212) 5 37 66 85 79 à 82 - Fax: (+212) 5 37 76 60 47

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La Fondation ONA-Villa des Arts de Rabat, l’ambassade d’Italie, l’’Institut Culturel Italien et le Musée Maxii à Rome organisent l’exposition inédite « CLASSIC RELOADED MEDITERRANEA »Vernissage : vendredi 07 juin 2019 à 19hExposition du 08 juin au 30 octobre 2019.

Artistes participants : SALVATORE ARANCIO, MAURIZIO CATTELAN, ENZO CUCCHI, GINO DE DOMINICIS, BRUNA ESPOSITO, FLAVIO FAVELLI, MIMMO JODICE, SABRINA MEZZAQUI, LILIANA MORO, LUIGI ONTANI, PIETRO RUFFO, REMO SALVADORI, LUCA TREVISANI

L’exposition « Classic Reloaded », collection du MAXXI, clôture son voyage en Méditerranée à la Villa des Arts de Rabat après son passage à la Villa Audi, Musée de la Mosaïque de Beyrouth et au Musée National du Bardo à Tunis. Le contenu de l’exposition est une œuvre messagère du dialogue entre les peuples et le lien entre tradition classique et recherche artistique contemporaine. La Collection du Musée MAXXI, Musée national des arts du XXI siècle, est considérée comme l’ambassadrice du dialogue entre les peuples et instrument de diplomatie culturelle. Organisée par Bartolomeo Pietromarchi, Directeur de MAXXI Art, avec Eleonora Farina, L’exposition « CLASSIC RELOADED » propose la revitalisation d’un patrimoine identitaire commun, une base culturelle et artistique

Classic Reloaded Exposition

Du 7 juin au 30 octobre 2019Villa des Arts de Rabat

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grâce à laquelle il est possible d’aller de l’avant pour reprendre un dialogue, pour faciliter la compréhension entre les peuples, aujourd’hui plus nécessaire que jamais, le véritable antidote contre le fondamentalisme. Elle représente à travers 20 œuvres de 13 artistes italiens qui font partie de la collection du musée, la culture de la « mer qui se trouve entre les terres », l’autonomie culturelle et, en même temps, la cohabitation entre les peuples et les mouvements migratoires qui caractérise les pays de la Méditerranée.Ces œuvres vont dialoguer dans la magnifique Villa du Parc, espace principale de la Villa des Arts de Rabat et concrétisant ainsi la mission et la démarche de la Fondation ONA également. Le rapport avec la ville de Rabat et avec la culture de la capitale marocaine renforce la citation de la tradition byzantine du fond en or de Senza Titolo de Gino De Dominicis, ou la référence ironique à la mythologie romaine de Lapsus Lupus di Luigi Ontani. L’installation de Remo SalvadoriLa stanza dei verticali, avec une utilisation sensuelle du cuivre et la référence aux concepts fondateurs de la géométrie, nous ramène à l’architecture classique, tandis que dans les sculptures de Bruna Esposito, en marbre polychrome et bâtons de bambou, la dimension domestique et architecturale s’entremêle.Avec ses photos, Mimmo Jodice revisite les sculptures, les peintures et les mosaïques de l’époque classique et leur permet de reprendre vie, alors que Flavio Favelli avec le collage de tapis de différentes origines qui composent Fiori Persiani, reproduit cette culture de dialogues et de rencontres qui fait partie de l’identité méditerranéenne. Les céramiques de Salvatore Arancio, nous emportent aux traditions populaires autochtones avec des références archaïques et mythologiques. Les œuvres de Sabrina Mezzaqui font référence à une culture millénaire de très haute qualité artisanale, celle de la broderie et du découpage, qui dialogue parfaitement avec les décorations moresques. Pour une esthétique aniconique et ornementale à la matrice arabo-musulmane, on retrouve Icosaedro de Pietro Ruffo, tandis que les compositions de Luca Trevisani s’interrogent sur la présence et sur l’absence, sur la fragilité et sur l’équilibre, des binômes sur lesquels se base la sculpture classique.Pour conclure le parcours, une œuvre de Liliana Moro: le son du chant d’un oiseau sifflé par l’artiste elle-même, qui compense avec les motifs ornementaux des salles ; aux côtés de ces deux travaux qui nous reportent au culte des morts, aux sépultures, aux hypogés: Mother, le fakir sous terre de Maurizio Cattelan et Porta addormita d’Enzo Cucchi, un cadre-sculpture avec des têtes de morts, œuvres à même de capturer notre attention et de nous faire franchir le seuil.

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Figures du double Exposition

Du jeudi 12 septembre au 08 novembre 2019Villa des Arts de Rabat

Seloua Ejjennane

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Artiste autodidacte, Seloua Ejjennane vit et travaille à Rabat. Ses réalisations consistent en une composition de figurines à partir de recyclage.

On y découvre un univers fantasque et décalé, habité par des personnages divers. Ces œuvres sont réalisées à partir de matériaux en verre qui intègrent fossiles, céramique, bouchons, débris d’assiettes et « nous renvoient à la fragilité de l’existence », selon les mots de l’artiste.

Tout a commencé par un jeu consistant à imaginer les personnages, les objets et la nature sous un angle de vue inattendu. Après un bac scientifique, des études en économétrie et en coaching, elle s’est lancée dans la création. Après le dessin, la décoration d’intérieur et la danse, c’est à la réalisation de personnages inspirés par sa vie qu’elle consacre la plupart de son temps.

Les personnages présentent un double visage rappelant tout à la fois l’unicité et la complexité des visages humains, ce qui a donné le nom de « Vice et verre ça » à l’une de ses expositions. Le détournement des objets, avec liberté et humour, est caractéristique de ses créations : vases art déco, masques et plumes ont été chinés à travers ses voyages en Europe, en Amérique du Sud, en Chine et au Maroc, dans les placards de sa propre famille ou au sein de brocantes. Les noms donnés aux figurines : « El Haz », « El Haza », « El Bergag », rappellent l’ancrage marocain de l’artiste.

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Du 24 septembre au 05 novembre 2019Vernissage : le mardi 24 septembre 2019 à 19h00

Villa des Arts de Rabat

Participantes : Katrin Sigurdardottir (island), Amal Kenawy (Egypte), Majida Khtari (Maroc) et Katharina Cibulka

(Autriche).

Rabat présente sa première Biennale d’art

« Un instant avant le monde »

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Intitulée “Un instant avant le monde”, la proposition curatoriale de cette première édition entend contribuer à redéfinir l’art et ses paradigmes en partant du Sud et de Rabat, désignée « Ville lumière » et capitale culturelle du Maroc. Grâce au dialogue entre les disciplines – allant des arts visuels et de l’architecture à la danse et la performance -, la biennale ouvre une réflexion sur l’urgence de la création, en examinant les raisons, les révoltes, les moments décisifs qui poussent les artistes à passer à l’action et à contribuer à l’histoire.

Dédiée aux artistes femmes, l’exposition est répartie dans plusieurs lieux culturels de la ville de Rabat. Elle réunit 63 artistes et collectifs d’artistes, issues de 27 nationalités différentes et de nombreuses disciplines. Parmi celles-ci, des plasticiennes et peintres (Mona Hatoum, Etel Adnan, Marcia Kure, Ghada Amer, Zoulikha Bouabdellah, Amina Benbouchta, Candice Breitz), de sculptrices (Sara Favriau, Ikram Kabbaj), des cinéastes et vidéastes (Tala Hadid, Habiba Djahnine…), des chorégraphes, metteuses en scène et performeuses (Bouchra Ouizguen, Séverine Chavrier…), des photographes (Deborah Benzaquen, Mouna Jemal Siala ) et des artistes digitales (Naziha Mestaoui), mais aussi des architectes (BLACK SQUARE, Manthey Kula, Zaha Hadid, Maria Mallo…).

Parmi les moments forts de la Biennale, un hommage vibrant sera rendu à la cantatrice égyptienne Oum Kalthoum, la première artiste sélectionnée par le commissaire, à travers la projection de son concert mythique à Rabat en 1968 comme préambule à toute l’exposition.

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A fleur de mondesExposition

Un jour, une femme… Ici ou ailleurs…

Un jour, une femme te dira la mer

Elle te dira divines aquarelles coulées bleu rose et or sous les miroirs du ciel qui cueille dans sa chair les expires des sels écumés dans les vents. Te taira ses mémoires, immondes, qui montent des eaux craquelées indicible palimpseste de siècles et de siècles de cris encavés. Un jour, une femme te dira la mer quêtée à travers bois braqués comme des armes. Te dira, la mer, fabuleuse, soudain, après longs périples de silence et de froid entre les jours d’épines et de plomb et de chair close nouée dans la broussaille. Te taira les nuits aveugles de branchages acérés comme des lames, comme ses larmes, et ses flancs battus, battant infâme souvenance d’une fleur de lys brûlée à même la peau. Un jour, une femme te dira ces mémoires de lys tatouées rouges dans la chair. Elle les porte à présent parure à ses cheveux comme un défi aux traîtrises des temps. Un jour, elle te dira… La beauté des forêts et des soleils levants, les étoiles complices et la nacre des marées, miroir, envoûtant, pour charnier innommable. Et elle te parlera les yeux clos, de peur que

Du 12 novembre au 30 décembre 2019Vernissage : le mardi 12 novembre à 19h00


Bouthaina Azami

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tu ne t’enlises dans les sables brûlants, les laves des soleils, que tu ne passes de l’autre côté miroir, que tu ne te noies, enfant, dans l’étal des silences qu’elles étouffe à l’envers des paupières et qui grondent, sais-tu, en dedans, grondent comme un volcan. Elle les laisse la déborder parfois, à l’ombre des regards, quand un œil s’ouvre sur une trouée de larmes, quand le corps cède à sismiques douleurs. Quand la colère, parfois, fend le miroir hideux des temps pour répandre nuée de papillons blancs parmi fureur de braises et naufrage des oiseaux.Un jour, ici ou ailleurs, une femme te chantera la mer sur des airs de blues. Ne lui demande pas d’où lui monte ce chant qui vibre comme un écho, tremble comme un mirage. Un chant qui vient de loin. Il charrie des pirogues de terreur et des corps enchaînés à destins impossibles. Il charrie dans les airs des flocons de coton et les âmes tourmentées de peupliers qui pleurent encore, sais-tu, mémoires de fruits improbables pendus à leur cou. Il charrie les eaux d’un lac rose. Charrie les bruits et la haine, là, partout, qui bat toujours les pavés. « I had a dream »…Un jour, ici ou ailleurs, le visage d’une femme. Tu y liras des terres insensées fleuries à même sa peau où une fleur honteuse, à présent, dégorge larmes de sang. Tu y liras des mirages aveuglants, de savanes tremblant lumières fauves. Des terres insensées. Des terres boréales. Mais elle te taira les terres incendiées. Te taira les terres éclatées où des pas sont restés saisis dans le chaos, empreintes, désolées. Et puis un jour, ici ou ailleurs, pour que tu rêves encore à printemps innocents, de bouquets de cerises et vertiges coquelicotUn jour, une femme, pour crever les silences avant qu’ils ne te prennent, que ne tombent les voiles des contes enchantés, fera trembler les murs jusqu’au ventre de la terre. Et la pierre fusera feu, s’ouvrira sources fusant des fissures.

Et tu verras alors les oiseaux venir s’abreuver juste au creux de son cou, un jour de printemps d’oiseaux libres.

Bouthaina Azami

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Mardi 08 octobre 2019 à 18h30

Vendredi 11 octobre 2019 à 18h00


Basé sur des événements et des personnages réels, il relate l’histoire du Morisque Ahmed Al-Hajari, alias Diego Bejarano. Né en Andalousie aux alentours de 1568, il est exilé à Marrakech (après un passage par Mazagan alors sous domination portugaise),

Les Phéniciens de Carthage ou Puniques fondèrent Sala au 8ème siècle av.J.-C.,un port et une cité florissante. Ils introduisirent l’olivier, la vigne...Sala commerçait avec les grands ports phéniciens de LIXUS et

De l’Italie au Maroc : quand l’art contemporain brise les frontières

L’art contemporain constitue une véritable rupture dans l’histoire de l’art. Se débarrassant des techniques classiques de la

Présentation du livre: « Les Manuscrits perdus »Mouna Hachem

Le Maroc antique du ChellahDr Chastel

Conférence sur l’art contemporain Italien et Marocain Bouthaina Azami

chargé d’ambassades en France et aux Pays-Bas dans un monde désemparé fait d’Inquisition en Espagne, d’expulsion massive des Morisques, de guerre civile au Maroc... Et, en toile de fond, l’histoire de manuscrits fascinants découverts à Grenade qui incarnent dualité des mondes et quête de symbiose...

de GADES (Cadix). À la 3ème Guerre Punique en 146 av. J.-C. Carthage fut détruite et Sala phénicienne devint Sala Colonia romaine, administrée par les derniers rois berbères de Maurétanie, Juba II et son fils Ptolémée. Une Antiquité méditerranéenne de 15 siècles pour Rabat, une ville atlantique... À découvrir.

figuration, il va jusqu’a bouleverser l’idée que nous nous faisions, jusque-la, de l’œuvre d’art, bousculant ainsi et l’objet et le concept projetés, désormais, dans un espace affranchi de tout cadre, de toute chaîne, de toute limite. Un espace du corps où l’œuvre d’art va puiser ses mouvements, un espace tout-monde où l’artiste va puiser dans la pierre, le bois, la terre et ses éléments, les déchets détournés et magnifiés, les mémoires ancestrales et les mythes urbains, les tracés artisanaux et les nouvelles technologies. Et, dans l’effervescence de cette liberté où les temps se mêlent et se rejoignent au bout du précipice de l’instant

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Jeudi 17 octobre 2019 à 18h00


Premier essai consacré à la peinture dans l´œuvre foisonnante de Philippe Sollers, Sollers en peinture - Une contre-histoire de lárt interroge le discours iconoclaste quún romancier et théoricien de la littérature tient sur lárt le plus primitif qui soit.

Ce roman relate le parcourt chaotique d’une mère et de sa fille. Contraintes de quitter Sefrou suite a un drame familial, elles s’installent à Rabat où commence pour chacune d’elle une existence aux multiples rebonds. Par delà les aventures de

Présentation du livre: « Sollers en Peinture »Olivier Rachet

Présentation du roman: « Le dernier manuscrit »Mamoun Lahbabi

Un discours qui alimente une pratique d´écriture toujours avant-gardiste et la relance, a línfini. À quelle expérience intérieure nous convient, dáilleurs, les peintres?? Pourquoi faut-il abolir l´Histoire de lÁrt? Pour quelles raisons nést-il pas de Salut en dehors de la figuration? Quand le mouvement du pinceau rejoint celui de la plume et de la main branlante, cést tout un art de vivre qui alors apparaît dans sa plus scandaleuse innocence.

l’une et les vicissitudes de l’autre, ce roman est composé d’histoires enchâssées dopées par une ardente célébration de l’écriture. Car il s’agit bien de cela dans « Le dernier manuscrit » : l’écriture est une catharsis, mais aussi l’écrin précieux pour déposer les morceaux de passé traumatique encombrant la mémoire. Extrait« Le passé est une terre que j’habiterai toujours, et de ce temps je porterai continûment des traces sur ma peau. Il m’apostrophe, me convoque, m’empoigne, et à mon grand bonheur me fait courber le dos. Mes souvenirs ne sont pas des châtiments, et je ressens un immense vertige a les fixer sur la page blanche avec l’impudeur de l’écrivain qui s’arroge la liberté de l’exhibition de ses sentiments. »

fuyant, qui nous saisit comme miroir prémonitoire. Agencements, installations, mises en scène dans le mariage de matières et de temps qui se veulent parfois éphémères pour mieux nous interpeller sur le sens de l’art et son impact, ineffable et ineffaçable, mais, aussi, sur la finitude que seules peuvent dépasser la mémoire et la conscience, vive, de ce qui nous entoure. Libre, provocateur certes, parfois -mais la provocation n’est-elle pas, dans l’art, un appel à l’éveil ?-, l’art contemporain est souvent, avant tout, mu d’une éthique indéniable. Non pas une éthique moralisatrice. Mais une éthique sensible qui tend, dans un perpétuel mouvement, à rendre visible au monde ce qui du monde est fracturé.

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Jeudi 31 octobre 2019 à 18h00La vérité : une valeur éthique.On a coutume de séparer les vérités scientifiques des valeurs éthiques. Cette conférence se propose de montrer que la vérité a une valeur éthique en elle-même. Les faits scientifiques et les valeurs éthiques sont enchevêtrés. L’objet de cette conférence est de montrer le comment de cet enchevêtrement.


الدورة الثالثة من امللتقى الدويل » الشعر بجميع اللغات«

الجمعة 8 نونرب 2019 عىل الساعة السادسة مساء

برشاكة اإلبداع أوركيدا تنظيمها جمعية عىل دأبت دولية أدبية تظاهرة اللغات« بجميع »الشعر

مع دار الفنون بالرباط، احتفاء بالقصيدة وإميانا منها بتالقح الثقافات وتعدد األلوان اإلبداعية، وقد

عرفت الدورتان األوىل والثانية مشاركة شعراء من دول عديدة .يعرف الحفل حضور شخصيات مهمة

الضيوف واإلعالميني واملهتمني، املشاركة وعددا كبريا من للدول الثقافية املراكز من سفراء وممثيل

املشاركة للدول مختلفة وإيقاعات جهة من املغربية للموسيقى نوعيا امللتقى حضورا يعرف كام

من جهة ثانية.

Mercredi 13 novembre 2019 à 18h00Hamid Doueib est un artiste peintre maroco-belge, vivant et travaillant entre Bruxelles et Casablanca. Né à Casablanca en 1948, Hamid Douieb émigre en Belgique en 1968. Artiste peintre surréaliste puis hyperréaliste, il définit actuellement sa peinture comme figurale et non figurative. Le corps féminin est à la fois un thème et un support de prédilection comme le sont

Présentation du livre « Hamid Douieb »Modérateur : Youssef Wahboune

les visages et les mains. Bien que ce soit en Belgique que Hamid Douieb a découvert sa vocation d’artiste et où il s’est imprégné de ses tendances artistiques, c’est au Maroc qu’il revient pour une reconnaissance.

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Jeudi 14 novembre 2019 à 18h00

Mardi 26 novembre 2019 à 18h00

Sous le Sceau de l’Islam. En 670, l’influence romaine disparaît avec la conquête arabe de Oqba Ibn Nafi, poursuivie par Moussa Ibn Noussair qui envahit l’Espagne en 711.L’islamisation des tribus berbères se fit avec Oqba Ibn

L’histoire de La Terre aux trois couleurs, le premier ouvrage à offrir, en version longue, un panorama complet de la céramique marocaine, remonte à la poterie domestique rurale des peuples indigènes des montagnes du Rif, jusqu’au modernisme du

Les ports du Bouregreg du Maroc islamique à la course Saletine Dr Robert Chastel

La Terre aux trois couleurs : éloge de la céramique marocaine David Packer

Nafi. Il imposa de force l’islam au prix de nombreux massacres et de captifs, terrorisant la population. L’arsenal de Bab El Mrissa à Salé fut instauré par Yacoub el Mansour alors que Rabat avait son port en eau profonde sous la Tour Hassan. La naissance de Rabat doit beaucoup à l’hérésie Berghouata. Salé deviendra le 1er port des Mérinides. L’expulsion des Morisques d’Espagne et des Juifs (les Maranes) par les Rois Catholiques en 1492 entraînera des désordres incalculables. En 1609-1610, Philippe III d’Espagne expulsa 400 000 Morisques et 160 000 Juifs alors qu’ils avaient été tous convertis au christianisme. Rabat s’adonnera immédiatement à la piraterie avec les renégats, attaquant les navires de toute la chrétienté et en faisant des raids esclavagistes, kidnappant des dizaines de milliers de chrétiens rendus esclaves à Meknès et dans les Régences barbaresques d’Alger, de Tunis et de Tripoli.Avec la dynastie alaouite, dès 1666, on parle de la Course Salétine, les corsaires ont leur lettre de marque. Une période dure et très dense où s’illustrèrent de grands souverains comme Moulay Ismail (1672-1727) et Sidi Mohammed Ben Abdallah (1757-1790).

20ème siècle, et irrigue l’art contemporain à Marrakech. Ce livre a trois parties qui se concentrent sur les trois différentes couleurs d’argile en usage au Maroc : rouge indigène, gris traditionnel et blanc industriel. Cette édition reliée, avec dix chapitres, écrite en anglais et traduite en français, s’adresse aux historiens, aux collectionneurs, aux céramistes et aux voyageurs, et se présente comme une enquête importante visant à mettre en valeur, pour la première fois et à l’échelle internationale, l’histoire fascinante, et inconnue jusqu’alors, de la céramique

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Vendredi 29 novembre 2019 de 18h00 à 19h00et samedi 30 novembre 2019 de 9h00 à 17h00

Avec Pascale Hassoun, Nazir Hamad, Tarik Haddi, Nadia Jamai, Mohamed Jamai, Abdellah Ouardini, Corrine Charton, Amal Bouhmida,Selma Idrissi, Fadoua Nacer, Farid Merini.

Colloque«Psychanalyse, dette et lien social dans le monde contemporain»La société psychanalytique marocaine

Dans le monde moderne régi par une économie capitaliste effrénée, la question de la dette est omniprésente. Cette question nous interpelle en psychanalyse et nous interroge sur la fonction symbolique de la dette et sur le rôle capital qu’elle joue dans le lien social. La dette est en effet une donnée constitutive de la subjectivité en tant que celle-ci se construit dans une étroite dépendance du lien à l’autre.Que devient la dette symbolique dans le monde contemporain ? Quelles en sont les nouvelles figures ? Que nous enseigne la clinique ?

Jeudi 28 novembre 2019 à 18h00Vérité, véracité, véridicité, authenticitéCette conférence explore le voisinage de sens entre ces notions. Dire vrai (véridicité), être vérace (vérifier l’information), être authentique (sincérité) sont à la fois des voies distinctes et un même faisceau de vérité.


marocaine.Né en Angleterre, David Packer est artiste qui travaille souvent avec de la céramique ; il a vécu aux États-Unis depuis 1983, y compris Miami et New York City. Les étapes les plus marquantes de son considérable parcours dans le domaine des expositions sont des présentations de ses œuvres au centre culturel Exit Art et à la Garth Clark Gallery, les deux à New York City, ainsi qu’au Japon, en France et au Maroc. Il a été en résidence à la MacDowell Colony, à Yaddo, au Kohler/Arts/Industry Program, tous situés aux États-Unis. L’intérêt de M. Packer pour la céramique marocaine, et son désir de lui consacrer un livre, est né en 2011, à Fès, où il était boursier Fulbright.

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تقديم وتوقيع كتاب ) املنت الشعري للطرب األندليس (برواية موالي أحمد الوكييل

الجمعة 6 دجنرب 2019 عىل الساعة السادسة مساء

يضم هذا املجموع الذي سيوقع اليوم مبقر دار الفنون جميع مستعمالت الطرب األندليس الشعرية

يف وتقها كام ) 1988 - 1908 ( الوكييل أحمد موالي باملغرب األندليس الطرب عميد برواية

سنة 30 مرور بعد لروحه تكرميا اإلصدار هذا يعترب اإلذاعة. لدى تسجيالته يف أو مخطوطاته

دار إدريس كديرة ونرشته و الوكييل الفنانني حاتم الكتاب إنجاز هذا عىل وفاته و أرشف عىل

النرش األمان.

إرشاف تحت الكتاب هذا يف موجود هو مام شذرات املوسيقية املجموعة ستقدم باملناسبة و

األستاذ حاتم الوكييل الذي يعترب من الحفاظ والباحثني القالئل يف هذا امليدان.

Jeudi 26 décembre 2019 à 18h00Transmettre les véritésLa question de la transmission des vérités devient de plus en plus cruciale au moment où tout un chacun est soumis à un flux d’informations peu vérifiées. Il devient urgent de séparer le savoir validé des informations qui peuvnet être fausses.


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Enfants : Tous les samedis de 9h30 à 11h00 et de 11h00 à 12h30Adultes : Tous les samedis de 15h30 à 17h00 Tarif : 1200 dhs/trimestre

L’apprentissage des différentes techniques des arts plas-tiques; dessin, peinture, sculpture ...

Atelier Arts Plastiques avec Said Raji

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tous les vendredis de 17h00 à 18h30

Atelier d’improvisation théâtrale Compagnie d’impro R’BatiaLes groupes seront composés de maximum 10 enfants entre 7 et 12 ans. Des exercices ludiques et amusants seront proposés aux enfants. En jouant, ils pourront améliorer leur niveau de langue, leur capacité de concentration et donner libre court à leur imagination !

Tous les lundis de 19h00 à 20h30

Atelier de danse Saâd BennounaCet atelier vous propose un programme de danses multiples et pour tous les goûts. Salsa, Rock, Tango…


Les mercredis :15h00 à 17h00 / Enfants à partir de 8 ansInscription pour le trimestre : 1 200 DH/Personne

Dar El Maalama est un atelier qui a pour objectif de développer la concentration, les capacités imaginatives, artistiques de l’enfant ou l’adulte et les libérer de l’effet dévastateur des

Atelier de travaux manuels «Dar El Maalma»avec Aicha Lahboussi

écrans vidéos !Description : Ateliers de Crochet, Recyclage d’objets, Aprentissage de broderies et couture à la main pour les débutants.

Initiation : Mercredi de 14h30 à 16h00 et samedi de 9h30 à 11h00le samedi après midi de 15h à 16h30Formation : Mercredi de 16h00 à 17h30 et samedi de 11h00 à 12h30Age : à partir de 7 ans / Tarif : 1200 dhs/trimestre

Initiation à l’Art dramatique pour développer les qualités personnelles telles que la découverte de Soi, l’écoute de l’autre…

Atelier théâtre pour enfants avec Saloua Regragui et Hicham Ibrahimi

Des moments de pur bonheur vous attendent chaque lundi, encadrés par un professionnel et passionné des danses latines.Saâd Bennouna à pour ambition d apporter aux participants un apprentissage de qualité tout en favorisant la joie et le plaisir de s’exprimer à travers la danse.

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Vendredi 4 octobre 2019 à 19h30 Mercredi 27 novembre 2019 à 19h30Vendredi 13 décembre 2019 à 19h30

Cycle d’improvisation théâtrale Impro R’batia

C’est reparti pour une nouvelle saison de rires et d’émotions avec les comédiens de la CIR-Maroc, ligue professionnelle d’improvisation théâtrale ! Leurs spectacles mensuels sont une montagne russe d’émotions, une multitude d’univers, et du rire a n’en plus finir. Les improvisations se créent au fur et à mesure, devant et avec le public.


À l’arrivée de sa belle-mère et de la fille de celle-ci, la jeune fille est chassée de la demeure familiale. Dans la forêt, elle rencontre un prince et tous deux se jurent l’amour éternel. Mais le prince perd la mémoire et décide d’épouser la fille de la belle-mère. La jeune fille essaie alors de raviver ses souvenirs grâce a une pièce de théâtre.Hassan El Jaï présente l’adaptation théâtrale de ce conte de Grimm par Olivier Py – figure incontournable du théâtre contemporain.Durée : 1h20

Cycles de lectures dramatiquesHassan El JaïLa vraie fiancée d’olivier py

Cette collaboration donne lieu à un spectacle vivant, hilarant et imprévisible, grâce à la réactivité et à la spontanéité des comédiens. Un must pour vos sorties culture.

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Parler de la chance du mélodrame ne signifie pas faire référence exclusive à l’histoire du théâtre, car l’opéra trouva, dans une manière certainement différente, l’espace, des bons interprètes et une certaine suite même dans la vie des petites salons privés de l’aristocratie qui se propageaient à travers l’Italie dans la seconde moitié du XIXème siècle.Bien sûr, l’endroit le plus important pour l’opéra a été et est resté le théâtre, mais il était commun aussi , dans ces années, à se rassembler dans des cénacles culturels à écouter les airs les plus fameuses, les duos favoris, les ouvertures les plus attrayante en forme pour ainsi dire, “réduite”, avec les instrumentistes et les chanteurs qui animaient les salons du patron du moment.Le rôle du “salon aristocratique,” comme un lieu privilégié pour l’exposition des œuvres des artistes les plus en vogue à l’époque - souvent rejoints par des amateurs - doit être repensé et réévalués: c’est là que plusieurs virtuoses du piano, chanteurs célèbres ou inconnus, chefs d’orchestre, compositeurs d’ œuvres ou de romances, ont donné vie, parfois juste après être sortie des Théâtres, à soirées musicales très hétérogènes.Le salon était alors le lieu où cette société réservait pour soi-même la pratique culturel et artistique : une sorte de salle de musique et lieu de réunion, dans lequel, à côté de l’amateur aristocratique, on pouvait écouter une célèbre soprano, qui venait d’être applaudi dans le théâtre.

Dans le cadre du partenariat culturel entre l’Institut Culturel Italien et la Villa des Arts de Rabat, l’Opéra Italien est à l’honneur !Le salon musical italien fin de siècle

Soprano – Romina Casucci, Tenore – Angelo Villari, Baritono – Elia Fabbian , Violino - Dino De Palma , Pianoforte – Donato Della Vista

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Soprano – Romina Casucci, Tenore – Angelo Villari, Baritono – Elia Fabbian , Violino - Dino De Palma , Pianoforte – Donato Della Vista


RecitalChant : Jalila BennaniPiano : Réda Bennani

Jalila Bennani est Soprano lyrique, chef de choeur et pédagogue. Après sa formation au conservatoire de musique de la gendarmerie Royale et au conservatoire

régional de Bordeaux, elle se perfectionne en chant auprès de Valérie Guillorit, Sophie Hervé et Glenn Chambers… Au Maroc elle a dirigé pendant plus de dix ans de nombreuses formations et a enseigné le chant. A son arrivée en France, elle enseigne dans plusieurs conservatoires le chant, la polyphonie dont le conservatoire régional de Paris (CRR) et à dirigé le choeur intermédiaire de la « Maitrise de Paris ». Réda Bennani débute le piano au Conservatoire de Musique de la Gendarmerie Royale où il enseigne actuellement. Après son prix d’honneur à Rabat, il poursuit au Conservatoire Régional de St-Maur-des-fossés et obtient son DEM. IL a effectué des Masters classes en Autriche, Pologne et Croatie et a gagné plusieurs concours internationaux de Piano. Il effectue régulièrement des concerts solo et musique de chambre. De l’envie de partager et de faire de la musique entre frère et soeur est né ce projet de récital piano/voix d’une durée d’1h15 autour de la musique Romantique, du lied allemand et de la mélodie française… Des compositeurs Brahms, Schubert,Strauss ,Liszt, Mahler, Chausson, Bizet ,Berlioz…

مرسح. عن مرسحية نزلو عىل سالمتكمالجمعة 1 نونرب 2019 عىل الساعة السابعة و النصف مساء

عمل مرسحي من تأليف و إخراج السيدة نعيمة زيطان ، كوميدي املنحى، لكنه يتناول موضوع

يف املرأة تقطعها التي النفسية و البيولوجية باملراحل األمر يتعلق الجدية، و األهمية غاية يف

فرتات الحمل، و الرضاعة، ثم بعدها ما تبذله األم من مجهودات يف تربية الطفل الذي سيشكل

يف املستقبل جيال محبا للسلم و السالم، مؤمنا مبفهوم األرسة، والحي، والجار، والوطن. قادر عىل

التعايش مع اآلخر، قابل لكل االختالفات املحتملة. عرض مدته الزمنية ساعة ونصف، يعيش فيها

الجمهور، حاالت و وضعيات إنسانية مختلفة، أحيانا تقلب األدوار، لتعكس الصور النمطية التي

املناهج و الطرق من بعضا لنسائل و الحديثة. الرتبية مفهوم تخدم ال التي و املشاهد، ألفها

تشخيص

جميلة الهوين، عصام الدين محرم، عادل ابا تراب

الرتبوية العتيقة، التي قد تجعل أبناءنا ينفرون من كل املبادئ الجميلة و العريقة التي ورثناها عرب أجيال مضت. عمل فني

يشارك فيه مجموعة من الفنانني املحرتفني خريجي املعهد العايل للفن املرسحي و التنشيط الثقايف، فاعلني يف الساحة الفنية،

سواء تعلق األمر باألعامل املرسحية، أو التلفزية، او السينامئية.

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Jeudi 07 novembre 2019 à 19h30

Concert «YALLA» Jean-Philippe Collard-Neven Piano et Nasser Houari Oud

L’album «Yalla» est le fruit de la rencontre entre le pianiste Jean-Philippe Collard Neven et le joueur de oud marocain Nasser Houari. Un album à la croisée des genres alliant improvisations sur des classiques de la musique arabe et compositions personnelles.

Un duo piano/oud représente la confluence de plusieurs mondes, genres et époques. Il y a d’abord la rencontre de l’orient et de l’occident. Si le piano pourrait incarner d’une certaine manière l’histoire de la musique classique occidentale, le oud occupe depuis des siècles une place centrale dans le monde arabe et même au-delà puisqu’on le retrouve également en Grèce, en Arménie ou en Azerbaïdjan. Mais le piano et le oud ont également connu une réappropriation par le monde des musiques non-classiques et improvisées.Et c’est peut-être cela plus que tout qui réunit ici le oudiste marocain Nasser Houari et le pianiste belge Jean-Philippe Collard-Neven. S’il y a une profonde affinité de Jean-Philippe Collard-Neven pour les musiques arabes, si Nasser Houari est pétri de culture occidentale, ce qui les relie peut-être par-dessus tout, c’est qu’ils vivent tous deux au quotidien le grand écart qui consiste à pratiquer de manière inclusive des musiques que l’on dit « savantes » et d’autres que l’on dit « populaires ». Nasser est autant à l’aise dans la musique modale que dans les rythmes Gnawa, Jean Philippe, dans Ravel que dans des grilles d’accords de jazz...

Mardi 05 novembre 2019 à 20h00

La légende tragique des amours contrariées de Qays et de sa cousine Layla, deux enfants du désert d’Arabie. Lorsque le père de Layla s’oppose à leur union, Qays, fou de douleur, se retire dans le désert parmi les bêtes sauvages, chantant son amour à tous les vents. Il reçoit alors le surnom de Majnûn – « le fou » en arabe, symbole

Cycles de lectures dramatiquesHassan El JaïMajnûn, le fou de Layla

de la passion amoureuse qui ne s’accomplit que dans l’anéantissement. Hassan El Jaï présente une adaptation personnelle de cet amour légendaire, accompagné par les chants spirituels solos du maître Mohammed Azzeddine.Durée : 1h40

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Vendredi 15 novembre 2019 à 20h00

Concert HBS Quintet (Jazz/Musiques marocaines)“l’ivresse de la métamorphose”

Le trompettiste et compositeur marocain Hamza Bennani Smires, nous présente son premier album de compositions originales intitulé « l’ivresse de la

métamorphose ». Sédiments de musiques marocaines teintés de jazz moderne, cet album nous invite dans l’intimité du musicien, au cœur d’une quête musicale et esthétique passionnée, entre tradition et renouveau, où le oud traditionnel côtoie naturellement le son chaud du bugle. Enveloppées de la délicatesse des accords du piano, les mélodies nous emportent, soutenues par un groove basse/batterie redoutable ou quand les musiques marocaines flirtent avec le jazz!

Mardi 19 novembre2019 à 19h30

Spectacle de conte : « Laissez-moi parler ! »Adaptation : Halima Hamdane

Mon projet de roman était de raconter l’histoire de Dada Yitto qui a été esclave pendant de longues années dans une famille marocaine. L’intérêt d’écrire ce récit de vie venait du parcours exceptionnel de

cette femme que j’ai connue et qui m’avait fascinée. L’idée m’est venue à sa mort ; j’avais beaucoup de chagrin et je voulais raconter pour qu’elle continue à vivre, tout simplement. Mais pendant l’écriture d’autres voix de femmes, qui évoluaient autour d’elle, se sont imposées à moi et j’ai dû les intégrer au fur et à mesure. J’ai pensé à la structure des Mille et une nuits pour garder mon premier récit comme histoire cadre et enchâsser les autres pour former un tout cohérent. C’est ainsi qu’est né le roman « laissez-moi parler ! ». Le festival Paroles de conteurs de Vassivière m’a proposé d’adapter mon roman à la scène et l’idée m’a séduite par sa justesse; dans ce milieu où les femmes étaient plutôt analphabètes les récits étaient ancrés dans l’oralité.

Hamdane Halima est née au Maroc où elle fait des études de lettres et accède au poste de professeur de français. Elle s’installe en France et enseignera à la faculté d’Evry Val d’Essonne, pendant dix ans.Sa rencontre avec le conteur Henri Gougaud va la réconcilier à la fois avec le conte et sa langue maternelle. Elle raconte en arabe et en français et puise dans la littérature orale marocaine la majorité des histoires qu’elle raconte. Aujourd’hui, elle se consacre au conte et à l’écriture.

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«Raconte-moi le Maroc extraordinaire !»Le Voyage de DelacroixFrédéric Calmès : conte, chant, guitare, percussion Léo Fabre-Cartier : conte, chant, lotar

Il est des aventures qui changent votre vie et d’autres qui changent le cours de l’histoire. C’est une de ces aventures qu’a débutée le peintre français Eugène Delacroix lorsqu’il débarqua le 25 janvier 1832 dans la baie de Tanger. Il ne le savait pas encore, mais ce qu’il allait vivre lors de ce voyage extraordinaire dans le Royaume Chérifien

allait bouleverser profondément son art mais aussi toute l’histoire de la peinture occidentale.De fêtes juives multicolores en embuscades redoutables, de fantasias bigarrées en cérémonies soufies fascinantes, de la poussière des chemins a la noble cour du sultan, ce voyage incroyable nous emporte avec force, humour, émotion et en chansons, de Tanger à Meknès, au cœur d’un Maroc presque inconnu des européens d’alors. Durée : 50 minutesPour grands et petits à partir de 10 ans

Du 20 au 23 Novembre 2019

Le rendez-vous incontournable des musiques d’Afrique et du Moyen-Orientvisa for music

La Villa des arts de Rabat, initiatrice de projets culturels et une démarche d’ouverture sur le monde, soutient le concept novateur Visa For Music depuis 2014 ; C’est le premier marché/festival des musiques d’Afrique et du

Moyen-Orient qui s’inscrit dans les projets socioculturels porteurs de fortes valeurs humaines. Rabat, la ville lumière et Capitale Culturelle africaine connaitra la sixième édition.

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Jeudi 12 décembre 2019 à 20h00

Hassan El Jaî propose une sélection personnelle de contes de la tradition Soufie, tirés d’ouvrages de grands mystiques tels que ‘Attar, Rûmi et Saadi. Les sagesses de ces histoires initiatiques, plus que jamais d’actualité, sont pour tout auditeur une invitation à la contemplation, à l’amusement, à l’éveil.Durée : 1h 20

Cycles de lectures dramatiquesHassan El JaïContes soufis

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Partenaires

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Une équipe à votre service

1. Des espaces culturels accessibles au plus grand nombre

Dès votre arrivée sur les espaces culturels et tout au long de votre visite, nous nous tenons à votre disposition pour rendre votre parcours le plus agréable et le plus enrichissant possible.

2. Modalités de visite

Afin de préparer votre visite, une documentation sur la programmation trimestrielle des Villas des Arts vous sera remise à l’entrée.

Visites libres :Du mardi au dimanche de 9h30 à 19h00.

Visites groupes :Visites possibles tous les jours sur réservation. Pour un plus grand confort de visite et une meilleure répartition des groupes, une réservation est nésessaire.

3. À votre écoute

Pour toute question, veuillez nous contacter à la Villa des Arts de Casablanca au 05 22 29 50 87/94 ou à la Villa des Arts de Rabat au 05 37 66 85 79 à 82.

4. Charte du visiteur

Afin de préserver le site, merci de :1 - respecter les oeuvres, les espaces, la propreté, la flore...2 - ne pas fumer, ni boire ni manger pendant votre promenade. 3 - ne pas laisser vos enfants non accompagnés. 4 - ne pas prendre de photos dans le musée virtuel.

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Découvrir le musée virtuel

Le musée virtuel de la Villa des Arts de Rabat s’articule autour de 3 espaces dédiés :

La galerie virtuelle où défilent les œuvres de la Fondation ONA ainsi que les œuvres des artistes ayant exposé aux Villas des Arts.

L’espace «Arts contemporains» où le visiteur découvre l’expression artistique contemporaine par le biais de la photo, la peinture, etc.

L’espace «Arts traditionnels» est consacré à la poterie, aux costumes, aux bijoux, à l’art culinaire et d’une manière générale, à l’art de vivre dans les différentes régions du Maroc.

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Espace

Les Villas des Arts de Rabat et de Casablanca sont des sites exceptionnels, dotés d’une superbe architecture datant de la période art déco. Elles abritent en leur sein des espaces fonctionnels, agréables et élégants, appropriés pour accueillir des évènements privés.


Esplanade, Jardin et Forum :

Des espaces magiques, de jour comme de nuit un forum équipé pour l’accueil de troupes de théâtre ou d’animation musicale. Données Techniques : Equipement audiovisuel, Système de son et de lumière performants.

Salle Al Qantara :

Un choix judicieux pour l’organisation de réunion de travail, d’une conférence, d’un colloque ou d’une table ronde dans un cadre d’une grande distinction.

Données Techniques : Vidéo projecteur, système de son, microphones.

Capacité d’accueil : 100 personnes

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Jardin et Salles :

Des lieux exceptionnels pour l’organisation d’évènements aussi bien en plein air qu’à l’intérieur.

Pour tout information complémentaire, veuillez nous contacter au :

Villa des Arts de Casablanca : 05 22 29 50 87/94

Villa des Arts de Rabat : 05 37 66 85 78/82

ou par e-mail : [email protected]

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www.fondationona.ma

Documents

Fondation ONA Villas des Arts Oct...Nagarjuna, a été le premier à développer ce principe, décrivant la véritable nature de toute chose comme étant ni existence ni non-existence