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Formation Environnement Windows – 2. Gestions des fichiers et dossiers

Environnement Windows 2. Gestion des fichiers et dossiers

Fichiers et dossiers Parmi les fonctionnalités essentielles à maitriser sur un ordinateur Windows, la gestion des fichiers et des dossiers est certainement la plus importante. C’est en effet la plus transversale à toutes les applications. Dans toutes les tâches, on se retrouvera vite bloqué si on ne sait ni enregistrer, ni trouver où sont enregistrés, les éléments dont on a besoin. Il est nécessaire de commencer par préciser quelques termes. Les débutants confondent en effet souvent fichiers et dossiers.

1. Les fichiers Source fréquente de confusion pour le novice, il faut bien comprendre que le mot « Fichier » en informatique n’a pas du tout le même sens que dans la vie courante. Alors que, dans ce dernier cas, un fichier désigne un ensemble de fiches (d’où aussi la confusion avec « dossier »), un fichier informatique est un document unique.

Attention, un document n’est pas nécessairement un texte. Ce n’est que par abus de langage que les deux mots sont souvent utilisés l’un pour l’autre. Le mot document est générique : un morceau de musique est un document sonore. Dans un autre domaine, l’administration utilise un terme semblable : celui de pièce, dans le sens de pièces (documents) à fournir.

En langage informatique, c’est exactement la même signification du mot « fichier ». Dans l’exemple ci-dessus de « document sonore », on dira ici un fichier de type audio, ou fichier audio.

2. Les types de fichier Cette dernière distinction permet de comprendre la notion de type de fichier. Le mot fichier étant générique, le type ajoute précision quant à la nature du fichier. Par exemple :

Un texte est un fichier de type texte ;

Une photographie est un fichier de type image ;

Un dessin est un fichier de type image (un ordinateur de différentie pas photos et dessins) ;

Un film est un fichier de type vidéo ;

Une musique est un fichier de type audio ;

Un diaporama est un fichier de type présentation ;

Un programme est un fichier de type exécutable (dans le cas de certains programmes informatiques simples, parfois appelés aussi « utilitaires ». En règle générale, un logiciel ou application est plus complexe, et englobe beaucoup de fichiers de différents types).

NB : Un autre type de fichier ne doit pas ajouter à la confusion : le classeur, ou fichier de type classeur, qui est le type de fichier produit par un tableur (tableau de données ou de calculs).

Enfin, un type particulier de fichier mérite l’attention : le pdf (Portable Document format). Les types ci -dessus peuvent en effet présenter un inconvénient lors d’un envoi par Internet : obliger le destinataire à disposer de l’application capable d’ouvrir le fichier envoyé. Le type pdf résout ce problème : il résulte d’une conversion dans ce format d’un fichier source, qui reste transformable par l’application qui l’a créé, alors que le pdf issu de cette conversion ne l’est pas. Mais tout destinataire pourra ouvrir un pdf pour le consulter, d’où son utilisation préférentielle pour les envois.



3. Format d’un fichier On utilise parfois le mot « format » en lieu et place de « type ». Il y a en fait une nuance entre les deux : si un texte est bien un fichier de type texte, quel que soit le traitement de texte qui l’a généré, tous ne le créeront peut-être pas de la même façon (ils n’ont pas tous les mêmes fonctionnalités ni les mêmes façons de les gérer). Chacun aura donc son format. Si on prend l’exemple des Traitements de texte Word de Microsoft, et Open Office, chacun créera donc :

Un fichier de type texte au format Word ;

Un fichier de type texte au format Open Office.

Il peut arriver que différents formats soient compatibles, c’est-à-dire que chaque application soit en mesure de reconnaitre (et donc d’ouvrir) l’autre format. C’est le cas de l’exemple choisi ci-dessus.

4. L’extension d’un fichier L’extension d’un fichier est un groupe de 3 ou 4 lettres (plus rarement 2) ajouté au nom du fichier par l’application utilisée et séparé par un point.

Par exemple, si on crée un texte dans l’application Word, et qu’on enregistre ce fichier sous le nom « Mon-texte », on le découvre sous le nom « Mon-texte.docx ». En revanche, si on a enregistré ce même texte avec OpenOffice, le nom de mon fichier apparaitra alors « Mon-texte.odt ». Dans les deux cas, c’est l’application utilisée qui a ajouté automatiquement ce point et ces trois lettres : Word a ajouté « .doc » ; OpenOffice a ajouté « .odt ».

Ce groupe de lettres est appelé « extension au nom du fichier », ou plus simplement « extension ». C’est ce qui permet à Windows de reconnaitre le type et le format du fichier. Ainsi, si on double-clique sur un fichier « .docx » pour l’ouvrir, Windows saura qu’il doit d’abord ouvrir Word. Dans le langage courant, l’extension sert souvent pour préciser le format. Ainsi un texte Word peut être appelé « .docx » (prononcer « point doc x »), et un texte OpenOffice peut être appelé « .odt » (prononcer « point o d t »).

« Type » et « format » se confondent dans le vocabulaire quand le format d’origine (le programme pour lequel il a été conçu) s’est généralisé à toutes les applications compatibles (notamment les fichiers audio, vidéo ou image). Voici quelques formats parmi les principaux :

Type Format Extension Acronyme de

Texte Word (avant 2007) .doc Document

Texte Word (après 20007) .docx Document + « x »

Texte OpenOffice Writer .odt Open Document Text

Classeur Excel (avant 2007) .xls Non communiqué

Classeur Excel (après 2007) .xlsx Non communiqué

Classeur OpenOffice Calc .ods Open Document Sheet

Présentation PowerPoint .pps PowerPoint Show

Présentation OpenOffice Impress .odp Open Document Présentation

Fichier d’échange - .pdf Portable Document Format

Programme - .exe Exécutable

Vidéo - .avi Audio Video Interleave

Vidéo - .mkv MatrosKa Video

Vidéo - .mp4 Moving Picture 4

Audio - .mp3 Moving Picture 3

Audio - .wav WAVeform audio format

Page web - .htm ou .html HyperText Markup Language

Archive compressée - .zip zip (« fermeture éclair »)

Archive compressée - .rar Roshal ARchive

Image d’un disque - .iso International Standard Organization



5. Les formats d’image On voit ci-dessus que les formats de type audio et vidéo existent en plusieurs formats. Créé pour une application à l’origine, ils se sont généralisés aux applications compatibles. C’est aussi le cas des fichiers image (photos et dessins). Le fait qu’une multiplicité de format persiste s’explique par des avantages particuliers propres à ces formats. Notamment :

Le format jpeg ou jpg (acronyme de Joint Photographic Experts Group) : très répandu, est un format d’image compressé, c’est-à-dire qu’il occupe moins de place sur le disque avec une perte plus ou moins négligeable de qualité ;

Le format bmp (bitmap) : format sans perte de qualité assez lourd (un des plus anciens).

Le format png (Portable Network Graphics) : format sans perte de qualité adapté aux aplats de couleurs, souvent préféré au bmp. Il peut aussi gérer la transparence.

Le format gif (Graphics Interchange Format) : format avec une faible perte de qualité, limité à 256 couleurs, mais le seul à gérer l’animation (« gif animé »). Il gère aussi la transparence.

D’autres formats peuvent présenter des avantages spécifiques comme le tiff, le rle ou le tga.

6. Les dossiers Si les fichiers étaient enregistrés simplement à la suite les uns des autres sur le disque dur, on se retrouverait rapidement dans l’impossibilité de les retrouver parmi des milliers de lignes de noms de fichier, exactement comme si on rangeait tous ses papiers en piles dans un placard.

Les dossiers permettent de les organiser. Un dossier contient des fichiers. Il se présente comme eux, avec un nom, mais son icône caractéristique montre qu’il s’agit d’un dossier, que l’on peut donc ouvrir pour voir apparaitre d’autres fichiers rangés à l’intérieur (voire d’autres dossiers, on parle alors de « sous-dossiers »).

L’icône d’un dossier présente parfois des fioritures comme des fichiers qui en sortent, comme ici des images. Ce n’est qu’un simple gadget. Il n’y a aucune différence fonctionnelle entre les deux dossiers représentés ci-contre.

En revanche, la forme particulière de ces icônes induit parfois une mauvaise interprétation chez les débutants. Les dossiers ci-dessus sont bien fermés. C’est-à-dire qu’on ne voit pas les fichiers à l’intérieur (les deux images qui « débordent » ne sont là qu’à titre indicatif).

L’ambiguïté était moins évidente avec l’ancienne représentation des dossiers (à gauche). La logique à suivre est représentée à droite : Un dossier est fermé quand on le voit. On comprend

alors que le dessin choisi pour l’icône est conventionnel. En revanche, on ne voit pas le dossier ouvert. On ne voit que les documents (fichiers) qu’il contient (ici 2).

En voyant ces deux fichiers, on comprend bien ici qu’on ne voit pas le dossier ouvert qui les contient.

Il est donc toujours important de savoir où trouver le nom de ce dossier (en principe au-dessus).

Nous allons le voir un peu plus loin, après avoir évoqué la présentation des fichiers.



7. Présentation des fichiers Comme les dossiers, les fichiers se présentent sous la forme d’un nom et d’une icône.

Contrairement à eux en revanche, celles-ci sont beaucoup plus variées. Heureusement, il n’est pas nécessaire de les connaitre tous. Il suffit de reconnaitre que l’icône d’un élément ne ressemble en rien à un dossier pour déduire qu’il s’agit d’un fichier. Formats et types sont désignés par l’icône et le cas échéant par l’extension (parfois masquée). Lorsque le fichier est une image, ou contient une image, l’icône peut être remplacée par une miniature de cette image.

Il peut aussi y avoir différents modes d’affichage. Ci-dessous exactement les mêmes fichiers…

… présentés dans le mode d’affichage « Détails ». On remarque que les icônes très réduites sont reléguées dans la marge, pour laisser plus de place aux détails des fichiers.

Tous ces objets, dossiers et fichiers, apparaissent grâce à un programme du système d’exploitation : « l’explorateur de fichiers ». Celui de Windows s’appelle « Explorateur Windows », dont l’icône évolue au gré des versions (celui d’Apple s’appelle « Finder »).

EXERCICE

1. Trouver l’explorateur Windows et ouvrez-le. 2. Dans Windows 10, les « modes d’affichage » s’appellent autrement. Comment et combien y

en a-t-il ? 3. Dans la représentation ci-dessous, combien y-a-t-il de fichiers et de dossiers ? Combien

d’images ? Lesquelles ? Combien de types de fichiers différents ? Combien de formats de fichiers différents ? Justifiez les réponses.



L’arborescence des fichiers Le système de fichier dans un ordinateur est schématisé ci-dessous :

Ce mode d’organisation rappelle un arbre qui, à partir du tronc

(lecteur) se divise en branches (dossiers) puis en sous-branches

(sous-dossiers), etc. C’est pourquoi on l’appelle arborescence.

Ici un nombre

indéterminé

de dossiers,

chacun ayant

son contenu.

Le dossier « Documents »

contient, parmi d’autres, un

dossier « Informatique »…

…qui contient à son

tour, parmi d’autres,

un dossier « Word »…

…contenant à son tour

des objets qui ne sont

pas ici des dossiers. Ce

sont donc des fichiers.



Dans l’exemple ci-dessus, considérons le fichier Liste.txt se trouvant dans le dossier « Word ». On y accède en ouvrant successivement les dossiers « Documents », « Informatique » et enfin « Word » (dans ce cheminement, il ne manque pour l’instant que l’endroit où on trouve le dossier Documents. Faisons momentanément abstraction de cette information que nous noterons […]). Notre fichier se note donc de manière conventionnelle :

[…] / Documents / Informatique / Word / Liste.txt

Ce qui s’interprète ainsi : « dans le dossier Documents se trouve (entre autres) un dossier Informatique contenant (entre autres) un dossier Word contenant (entre autres) le fichier Liste.txt ». Ce qui se décompose en :

[…]/Documents/Informatique/Word/Liste.txt

« Chemin d’accès » Nom du fichier

Chemin d’accès + Nom du fichier forment le nom complet du fichier.

Le début de chemin (« […] ») dépend de plusieurs cas de figure :

1. « Jean/Documents » (exemple ici sous vista) : indique qu’il s’agit du Dossiers Documents de l’utilisateur actuel (ici « Jean ») ;

2. « Bibliothèques/Documents » : Windows 7 a introduit les Bibliothèques. Ce n’est pas un dossier ni un quelconque emplacement sur le disque dur. C’est une « collection » (ou un « dossier virtuel ») qui rassemble sous un seul affichage des dossiers situés à divers endroits. Quatre bibliothèques sont créées par défaut (Documents, Images, Musique, vidéos) mais on peut en créer d’autres. Dans ce chemin, « Bibliothèques » remplace de nom de l’utilisateur ;

3. « Ce PC/Documents » (à partir de Windows 8 et 10) semble à priori erroné, puisqu’il n’y a pas un dossier Documents par PC mais par utilisateur. Cet affichage s’explique par le fait que l’utilisateur dispose désormais de deux dossiers Documents, l’un n’étant pas sur son ordinateur mais dans son compte Microsoft (« OneDrive »). L’affichage s’entend donc : le dossier Documents (de l’utilisateur actuel) sur ce PC (par opposition à celui sur son Drive). Mais selon le chemin emprunté, on pourrait aussi bien lire ici « Bibliothèque ».

EXERCICE

1. Ouvrez l’explorateur de fichiers 2. Afficher le contenu de la bibliothèque « Documents » 3. Créez un sous-dossier dans « Documents » et nommez-le « Factures » 4. Déplacez la fenêtre du gestionnaire de fichiers de façon laisser apparaitre ces deux fichiers

présents sur le bureau (redimensionnez la fenêtre au besoin) : - facture_juin_2015.pdf - facture_mars_2016.pdf

5. Glissez/Déposez les deux fichiers dans le dossier que vous venez de créer. 6. Affichez les deux fichiers dans les modes d’affichages suivants :

- Grandes icônes - Très grandes icônes - Liste - Détails



Le gestionnaire de fichiers Le gestionnaire de fichiers permet de trouver, créer, renommer, déplacer, classer, supprimer, en un

mot gérer fichiers et dossiers. De façon abstraite, il se présente ainsi :

Ces trois zones sont les premières à repérer dans le gestionnaire qui peut se présenter sous

différentes formes, selon la version ou les options affichées.

Par exemple, le gestionnaire sous Windows 10 est plus détaillé. Il inclut cependant les trois zones

principales avec des zones supplémentaires qui peuvent être optionnelles (pas obligatoires mais

souvent pratiques). La première chose à faire est d’y repérer les trois zones principales :

Le code couleur ci-après permettra de mieux repérer les différentes zones :

La barre d’adresse

qui indique le

dossier consulté (ici

« Word ») et son

chemin d’accès

La zone de

contenu (pour

voir ce qu’il

contient) Le volet de

navigation (pour

aller voir ailleurs)



On retrouve nos principales zones dans le même code couleur que précédemment : La barre

d’adresse en bleu, la zone de contenu en orange et le volet de navigation en vert. On note aussi :

En jaune au-dessus : un menu et ses différentes options (à noter au passage : celle qui

autorise l’affichage des extensions) ;

En jaune à droite le volet des détails (sélectionné dans le menu), qui affiche à nouveau l’icône

du fichier sélectionné. Au même endroit on aurait pu afficher le volet de visualisation ;

D’autres outils comme tout en bas à droite : deux boutons pour changer de mode d’affichage

(détails / grandes icônes).

Dans la zone de navigation, l’arborescence des fichiers est représentée selon la méthode conventionnelle.

Le dossier Word (sélectionné en bleu) présente un décalage à droite par rapport à Informatique juste au-dessus. Cela signifie qu’il se trouve à l’intérieur. On peut voir ce contenu parce que Informatique est développé, ce qu’indique dans la marge la flèche pointant en bas.

En dessous, le dossier Tutoriels a aussi des sous-dossiers, ce qu’indique la flèche qui ici pointe à droite, car le dossier est réduit, c’est-à-dire que ses sous-dossiers ne sont pas affichés. On développe et/ou réduit les dossiers en cliquant sur la flèche.

On retrouve très souvent cette convention d’affichage, souvent appelée « arborescence » par abus de langage, car ce mot désigne en principe l’organisation des dossiers plus que cette représentation.



L’exemple ci-après montre une autre forme du gestionnaire de fichiers, telle qu’on pouvait le trouver dans d’anciennes versions de Windows, mais toujours utilisée par certaines applications.

Ce qu’on remarque au premier abord, c’est une zone de navigation (toujours à gauche) beaucoup plus simple qui se réduit à cinq icônes. Ici, pas d’arborescence à développer, ce qui limite les risques de confusion.

A noter : l’affichage semble distinguer « bibliothèques » de « Ce PC », alors que les bibliothèques sont évidemment enregistrées sur ce PC. Par convention, on admet que « Ce PC » renvoie non aux dossiers mais aux lecteurs connectés.

On note également un volet « Aperçu », à rapprocher à l’évidence du volet des détails de l’exemple précédent, mais qui ici se détache plus clairement, visuellement, de la zone de contenu.

Ce qui frappe en revanche, c’est la barre d’adresse qui mentionne le nom du Dossier Word en cours de consultation, mais sans préciser son chemin d’accès. On affiche cette information en cliquant sur la petite flèche à droite de la zone. Celle-ci confirme vite ce qu’il était facile de soupçonner, à savoir que ce chemin d’accès est simplement présenté sous une autre forme, en l’occurrence d’une arborescence à développer.

La première conclusion à tirer ici est qu’on ne peut pas apprendre à utiliser le gestionnaire de fichiers de façon mécanique. Comme deux automobiles n’ont pas le même tableau de bord, deux gestionnaires peuvent présenter les mêmes outils à différents endroits et sous différentes formes.

Voyons encore ce dernier exemple :

1 La barre d’adresse se

trouve ici au-dessus et non en dessous du menu ;

2 Le menu est ici de type « menu déroulant » alors que, dans l’exemple précèdent, il était de type « ruban » ;

3 La zone de navigation est de type arborescence à développer ;

4 La zone de contenu présente ici un affichage

« mosaïque ». Les modes d’affichages sont modifiables au moyen du bouton cerclé ici de rouge.

5 Le volet tout en bas est optionnel (il s’affiche ou non dans le menu « Organiser »). C’est le volet des détails affiché en bas dans cette version (à droite dans l’exemple précédent).



Utilisation du gestionnaire de fichiers Dans tous les cas, la première zone à repérer est la barre d’adresse, pour savoir quel dossier on est en train de consulter, justement parce qu’elle ne saute pas aux yeux au premier abord.

Ici ce dossier est Programmes qui se trouve dans Bibliothèque/Documents/CNFPT.

Mauvaise question : Pourquoi l’explorateur s’ouvre-t-il sur ce chemin d’accès plutôt qu’un autre ? (Il peut y avoir plusieurs réponses, la plus fréquente étant que c’est le dernier chemin d’accès utilisé).

Bonne question : ce chemin d’accès est-il celui que je cherche ou non ? Si oui, ce que je cherche se voit dans la zone de contenu (ici un fichier pdf).

Sinon, je dois changer le chemin en me rendant dans la zone de navigation.

Si on se sent à l’aise avec l’arborescence, on peut développer à cet endroit les dossiers nécessaires jusqu’à l’emplacement recherché. La méthode est cependant malaisée (risques de déplacement accidentel de dossiers).

La méthode la plus simple est de ne rechercher dans la zone de navigation que la première étape du chemin (ici Documents).

Dans tous les cas, il faut toujours vérifier que l’action dans la zone de navigation est confirmée dans la zone d’adresse.

Il suffit ensuite d’ouvrir l’un après l’autre (double-clic gauche) les dossiers apparaissant dans la zone de contenu pour parvenir au fichier recherché (dans cet exemple : Bibliothèques/documents/Blocs-notes OneNote/Mon bloc-notes/Notes rapides.one).

NB : dans ce cas on « oublie »

la zone de navigation après

avoir cliqué sur « Documents »



EXERCICES

Exercice 1 - Ouvrez le dossier « Factures » créé précédemment.

On s’aperçoit que les deux factures qu’il contient ne sont pas de la même année. Si on n’y prend pas garde tout de suite, on se retrouvera vite saturé à mesure qu’on continue à ranger les factures dans ce dossier…

Pour y remédier…

- Dans le dossier « Factures », créez 2 sous-dossiers et nommez-les « 2015 » et « 2016 » - Rangez les factures dans les sous-dossiers correspondants par un glisser/déposer - Annulez l’action précédente en cliquant autant de fois nécessaire sur le bouton « annuler » - Recommencer en utilisant soit un copier/coller, soit un couper/coller. Lequel de ces deux

choix est-il adéquat ici ? Pourquoi ? Quelle méthode est plus pratique ?

Exercice 2

- Créez l’arborescence ci-dessus dans la bibliothèque « Documents » - Renommer le dossier « Web » en « Page Web » - Renommer le dossier « Portable » en « Portatif » - Supprimer le dossier « Bureau » - Déplacez le dossier « Théorique » de « Informatique » à « Internet » - Dupliquez le dossier « Internet » et nommez cette copie « Internet exemples ».

Vérifiez son contenu - Déplacez le dossier « Factures » dans le dossier « Nom prénom »

Réponse : un « Copier/Coller » duplique, un « Couper/Coller déplace ».

Ici un « Glisser/Déposer » requiert moins de manipulations.



Exercice 3 - Glisser/Déposez le dossier « Factures » dans le dossier « Nom prénom » - Connectez une clé USB à l’ordinateur. - Affichez côte-à-côte la fenêtre de son contenu et la fenêtre de la bibliothèque « Documents » - Glisser/Déposez le dossier « Nom prénom » dans la clé. - Quelles différences dans le résultat des deux glisser/Déposez. Pourquoi cette différence ?

Exercice 4 - Créez un dossier « Images » dans « Nom prénom » - Téléchargez quelques images sur Internet et enregistrez-les dans ce dossier - Dupliquez le dossier « Images » vers un dossier « Images -copie » - Triez les images successivement par ordre croissant / décroissant de : nom, type, date de

modification, taille et dimension. Ces deux dernières informations sont-elles les mêmes ?

Exercice 5 - Dans le dossier « Nom prénom », supprimez le dossier « Internet exemples » - Repérez la corbeille sur le bureau et ouvrez-la. - Repérez le dossier que vous venez de supprimer ainsi que le dossier supprimé dans l’exercice

2. Comment se nomme-t-il ? - Sélectionner ce dossier et restaurez-le. - Retournez à son emplacement d’origine pour vérifier qu’il y soit bien revenu. - Créez un raccourci sur le bureau vers ce dossier (clic droit sur le dossier / « Envoyer vers » /

« Bureau (créer un raccourci ») - Retournez dans la corbeille et videz-la.

Exercice 6 - Afficher le contenu de la Bibliothèque « Documents » - Repérez le moteur de recherche et utilisez-le pour retrouver le fichier « facture_juin_2015 » - Observez son emplacement dans la colonne « Dossier ». Comment est-il indiqué ?

Exercice 7 - Essayer de renommer le fichier « facture_mars_2016.pdf » en « facture_mars_2016.pdd » - Expliquez la demande de confirmation qui vous est posée.

Exercice 8 - Supprimez toute trace de votre passage sur cet ordinateur.

Réponse : Le Glisser/Déposer aboutit à un déplacement dans la source et la destination

se trouvent sur le même lecteur (ici sur le même disque dur), et à une duplication quand

les lecteurs sont différents (ici disque dur et clé USB).

Réponse : Non. La taille est la place occupée par le fichier sur le disque dur, exprimée en

octets ou multiple d’octets. La dimension est le nombre de pixels en largeur et en

hauteur. Si la colonne n’est pas affichée dans le mode « Détails », on la fait apparaitre

par un clic droit sur la ligne d’entêtes de colonnes, dans le vide après la dernière.

Réponse : le nom du dossier précède le chemin indiqué entre parenthèses.