7
NOM EXPO GRAND PALAIS 5 MAI 21 JUILLET 2015 © RmnGP 2016 DOSSIER PEDAGOGIQUE © RmnGP 2017 11 OCTOBRE 2017 – 22 JANVIER 2018 GRAND PALAIS GAUGUIN L’ALCHIMISTE L’ESSENTIEL DE L’EXPOSITION À DESTINATION DES ENSEIGNANTS ET DES RELAIS ASSOCIATIFS

GAUNGUI DOSSIER PEDAGOGIQUE NOM EXPO - …fal72.org/laligue72/wp-content/uploads/2016/09/Dossier-Pedagogique... · peinture. dans l’enfance, puis durant ses ... la dictée de Gauguin

  • Upload
    docong

  • View
    222

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

NOM EXPOGRAND PALAIS

5 MAI ∙ 21 JUILLET 2015

© RmnGP 2016

DOSSIER PEDAGOGIQUE

© RmnGP 2017

11 OCTOBRE 2017 – 22 JANVIER 2018 GRAND PALAIS

GAUGUIN L’ALCHIMISTE

L’ESSENTIEL DE L’EXPOSITION À DESTINATION DES ENSEIGNANTS

ET DES RELAIS ASSOCIATIFS

GAUGUIN L’ALCHIMISTE · INTROduCTION

2

ESSENTIEL dE L’EXPOSITION© RmnGP 2017

Paul Gauguin (1848-1903) est l’un des artistes français majeurs du XIXe siècle et l’un des plus importants précurseurs de l’art moderne. L’exposition du Grand Palais retrace son étonnante carrière, dans laquelle il a exploré les arts les plus divers : peinture, dessin, gravure, sculpture et céramique. Les chefs-d’œuvre réunis mettent en avant le travail de l’artiste sur la matière ainsi que son processus de création : Gauguin bâtit son art sur la répétition de thématiques et de motifs récurrents.

Commissaires : Claire Bernardi, conservateur peinture au musée d’Orsay,Ophélie Ferlier-Bouat, conservateur sculpture au musée d’Orsay.Gloria Groom, Senior curator, chair of the European sculpture and painting department, Art Institute, Chicago.

Exposition coproduite par le musée d’Orsay et la Réunion des musées nationaux- Grand Palais et organisée avec l’Art Institute de Chicago.

LA GALERIE CÔTÉ CHAMPS ELYSÉES DANS LE GRAND PALAIS

INTRODUCTION

Cré

atio

n g

rap

hiq

ue :

Epo

k D

esig

n

Dates, titres et visuels indiqués sous réserve de modifications

3

ESSENTIEL dE L’EXPOSITION© RmnGP 2017

GAUGUIN L’ALCHIMISTE · ENTRETIEN AVEC CLAIRE BERNARdI ET OPHELIE FERLIER-BOuAT

Deux expositions majeures ont été consa-crées à Paris à Paul Gauguin par le passé : une monographie en 1989 et une autre sur les années passées en Polynésie, en 2003. Quel sera le propos de l’exposition de 2017 ?Après l’exposition fondatrice présentée déjà au Grand Palais en 1889, puis la belle exposition de 2003 qui se concen-trait sur la production tahitienne de l’ar-tiste, nous espérons présenter au public l’œuvre de Gauguin sous un jour nouveau, en soulignant l’importance de l’expéri-mentation dans son processus créatif. A la lumière des recherches récentes sur les techniques et matériaux utilisés par Gauguin, nous avons pour ambition de révéler les méthodes de travail et les expérimentations de l’artiste dans les domaines les plus divers : peinture, mais également dessin, gravure, sculpture, céramique, montrant ainsi la remarquable complémentarité de ses créations. Nous mettrons ainsi l’accent sur la modernité du processus créateur de Gauguin, sa capacité à repousser sans cesse les limites de chaque médium.

L’exposition, à partir d’une trame chrono-logique, regroupera les œuvres autour de thèmes repris par l’artiste parfois jusqu’à l’obsession, proposant ainsi au regard de circuler d’une œuvre à l’autre, de la peinture à la sculpture, ou encore du dessin à l’œuvre gravée, à l’image du geste créateur de l’artiste. Le parcours sera par ailleurs ponctué de salles de projection qui proposeront une immer-sion dans les techniques et les méthodes de travail de l’artiste.

Pourquoi avez-vous intitulé cette exposi-tion Gauguin l’alchimiste ? Si le terme d’alchimiste n’a jamais été employé pour qualifier Gauguin, il permet de résumer plusieurs de ses particularités : l’idée d’une quête incessante sans véri-

table point d’achèvement, et sa capacité exceptionnelle à transfigurer les maté-riaux, à voir en eux des qualités indéce-lables par le commun des mortels. Il écrit en 1889 : « Avec un peu de boue on peut faire du métal, des pierres précieuses, avec un peu de boue et aussi un peu de génie ! N’est-ce point donc là une matière intéressante ? ».La référence à l’alchimie dans le titre fait également allusion à l’intérêt que portait Gauguin au symbolisme, au mysticisme et à l’occultisme de la fin du XIXe siècle, intérêt qui a guidé son choix de titres énig-matiques, mais aussi la manière étonnante dont il manipule les matériaux.

Gauguin l’alchimiste met ainsi de côté la biographie de l’artiste, pour souligner son approche très libre des techniques et des matériaux, un moteur fondamental de son aventure artistique.

Pourquoi Gauguin part-il toujours plus loin, d’abord en Bretagne, puis à Tahiti et finalement aux Marquises ? Que cherche-t-il ? Peut-on comparer sa démarche à celle d’un ethnologue ?Il n’y a pas de frontière entre le monde personnel et l’univers esthétique de Gauguin : quand il évoque son art, il parle de lui-même ; et ses choix personnels sont toujours guidés par des choix esthé-tiques. Ainsi, sa volonté d’aller toujours plus loin, de découvrir de nouveaux terri-toires, correspond à un besoin constant de perfectionner sa pratique artistique.

Ses origines péruviennes constituent le vecteur de cette quête d’inconnu et d’ailleurs : Gauguin cherche sans cesse à mettre au jour le versant « sauvage » de sa personnalité, dont il trouve des échos d’abord en Bretagne, puis en Polynésie. Il retient de ces différents lieux et en absorbe uniquement ce qui trouve en lui une résonance intérieure.

ENTRETIEN AVEC CLAIRE BERNARDI ET OPHELIE FERLIER-BOUAT

COMMISSAIRES DE L’EXPOSITION

Claire Bernardi,

conservateur peinture au musée

d’Orsay.

Ophélie Ferlier-Bouat,

conservateur sculpture au musée

d’Orsay.

4

ESSENTIEL dE L’EXPOSITION© RmnGP 2017

GAUGUIN L’ALCHIMISTE · L’EXPOSITION EN QuELQuES MOTS

L’EXPOSITION EN QUELQUES MOTS

L’histoire de l’art traditionnelle a fait la part belle à la peinture de Paul Gauguin (Paris, 1848 - Atuona, îles Marquises, 1903) dont le nom évoque de somp-tueuses toiles aux couleurs oniriques, d’inspiration bretonne ou polynésienne. Le propos de l’exposition est d’élargir cette vision à l’œuvre multiforme d’un artiste à la fois peintre, sculpteur, graveur, céramiste et écrivain et d’expli-quer son processus créateur singulier.

GAUGUIN L’ALCHIMISTEGauguin s’est exprimé sur l’art et a clai-rement formulé l’idée, présente déjà au XVIe siècle chez Léonard de Vinci, que la peinture est d’abord l’expression d’une intériorité. Si la peinture est pour Gauguin « le plus beau de tous les arts », il s’inté-resse également à d’autres disciplines qu’il aborde de manière très libre et décomplexée : en sculpture sur bois, en céramique et en gravure, il fait preuve d’une grande inventivité formelle et

technique, pour des résultats parfois inattendus. La céramique, à laquelle il a été initié à vingt-neuf ans par Ernest Chaplet (1835-1909), lui apparaît comme une discipline majeure. Il s’y adonne à partir de 1886 et en souligne l’importance dans ses écrits : « La céramique n’est pas une futilité. » À la manière de l’alchimiste qui étudie et tente de transformer la matière dans un creuset, Gauguin transfigure par la cuisson une matière en apparence modeste, il aime son

aspect brut et a réalisé une centaine de pièces.

GAUGUIN SCULPTEURCette part de la création de Gauguin est moins connue alors qu’il manifeste très tôt un grand intérêt pour l’art en trois dimen-sions, allant jusqu’à considérer qu’il y avait des aptitudes plus grandes que pour la peinture. dans l’enfance, puis durant ses

voyages en tant que matelot, il taille le bois au couteau. Le caractère hybride et exotique de ces premières créations se retrouve ensuite dans les sculptures produites à Tahiti. Ces « idoles » mêlant bois et matériaux divers et dont les références et les formes sont empruntées à diverses cultures offrent une esthétique radicale.

Pot anthropomorphe

(Portrait de Paul Gauguin

en forme de tête grotesque),

1889, 28,4 x 21,5 cm, grès,

Paris, musée d’Orsay.

Camille Pissarro, Gauguin sculptant

La Parisienne, 1880, fusain sur papier,

23,3 x 29,7 cm,

Stokholm, Nationalmuseum.

Tii, dit aussi Idole à la coquille, 1892,

bois de toa (bois de fer), coquille

de meleagris margaritifera, dent

pharyngienne de poisson-perroquet,

34,4 x14,8 x 18,5 cm, Paris, musée

d’Orsay.

5

ESSENTIEL dE L’EXPOSITION© RmnGP 2017

GAUGUIN L’ALCHIMISTE · L’EXPOSITION EN QuELQuES MOTS

dans ses recherches, l’artiste tente d’abolir les frontières entre les arts, les mêlant parfois, ou empruntant les caractéris-tiques de l’un pour faire évoluer l’autre. Ainsi, il taille d’une manière très proche ses sculptures et planches de bois desti-nées à la gravure.

L’INITIATEUR D’UN ART RÉNOVÉMarin jusqu’à vingt-six ans, Gauguin fait ses débuts dans l’art en autodidacte, alors qu’il est agent de change. Il est remarqué par les impressionnistes Camille Pissarro (1830-1903) et Edgar degas (1834-1917) qui l’invitent à rejoindre leur groupe. Il expose à leurs côtés de 1879 à 1886 et bénéficie de leur exemple. Sa touche divisée et rapide évoque Pissarro mais, rapidement, il emprunte à degas ses cadrages insolites et ses éclairages artificiels. La rupture survient en 1884 quand il se met à rejeter la primauté de l’observation et de la sensation pour la subjectivité de l’artiste. Lorsqu’il participe à la VIIIe exposition impressionniste en

1886, il est en total désaccord avec les nouveaux venus, Seurat et Signac. Comme le peintre Odilon Redon (1840-1916), il revendique la supériorité du rêve sur le réel. Gauguin est résolument symboliste. Selon lui, le langage de la peinture est la couleur, comme le mot est celui de la poésie.

À son tour, il théorise et transmet. C’est en Bretagne, en 1888, que le jeune Paul Sérusier (1864-1927) peint sous la dictée de Gauguin un petit paysage presque abstrait, retranscrit avec des couleurs pures, sans ombres ni dessin. Véritable manifeste, le tableau prendra pour les Nabis (un groupe de jeunes peintres indépendants) le nom évoca-teur de « Talisman ».

FUIR LÀ-BAS ! FUIR ! (IN. BRISE MARINE, STÉPHANE

MALLARMÉ, 1865)

Est-ce le fait d’avoir passé les six premières années de sa vie au Pérou ou d’avoir

sillonné les mers, lorsqu’il était dans la marine, que Gauguin ne peut résister au besoin de partir toujours plus loin ? Il s’ins-crit ce faisant dans les pas des peintres et écrivains qui l’ont précédé comme Stéphane Mallarmé (1842-1898), dans la recherche d’un ailleurs qui soit à la fois rupture de civilisation et quête de soi. Partir, c’est fuir la cherté de la vie parisienne et surtout se confronter à un ailleurs propre à alimenter une inspiration nouvelle. Il dit cher-cher le « primitif », le « sauvage ». Il se rend en Bretagne d’abord (de 1886 à 1890), région où

les traditions sont restées vivaces, puis à Tahiti à deux reprises, en Martinique et enfin aux îles Marquises où il finira ses jours en 1903. Il s’immerge dans la culture locale, se mêle aux habitants dont il veut adopter mœurs et croyances. Très vite déçu par l’occidentalisation et la perte des traditions dans la société tahitienne, il s’appuie sur les quelques traces maté-rielles conservées dans des collections particulières et se plonge dans la lecture de l’ouvrage ethnographique Voyage aux îles du Grand Océan de Jacques-Antoine Morenhout, publié plus de 50 ans plus tôt. Sa démarche n’est pourtant pas celle d’un ethnologue. Partant du choc culturel, il assimile, mêle les sources visuelles puis crée un art personnel insolite, entre réel et imaginaire.

Laveuses à Arles, 1888, huile sur toile, 74 x 92

cm, Bilbao, Bilbao Fine Arts Museum.

Te nave nave fenua (Terre délicieuse),

1892, huile sur toile, 92 x 73,5 cm,

Kurashiki, Ohara Museum of Art.

6

ESSENTIEL dE L’EXPOSITION© RmnGP 2017

GAUGUIN L’ALCHIMISTE · ANNEXES ET RESSOuRCES

CRÉDITS PHOTOGRAPHIQUESCouverture : Arearea (Joyeusetés), (détail), 1892, huile sur toile, 74,5 x 93,5 cm, Paris, musée d’Orsay © Photo RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski. | Page 02 : Localisation de la Galerie côté Champs Elysées dans le Grand Palais © dR. | Page 03 : Claire Bernardi © Sophie Boegly, musée d’Orsay | Page 03 : Ophélie Ferlier-Bouat © Sophie Boegly, musée d’Orsay | Page 04 : Pot anthropomorphe (Portrait de Paul Gauguin en forme de tête grotesque), 1889, 28,4 x 21,5 cm, grès, Paris, musée d’Orsay © Photo Rmn-Grand Palais (musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski. | Page 04 : Camille Pissarro, Gauguin sculptant La Parisienne, 1880, fusain sur papier, 23,3 x 29,7 cm, Stokholm, Nationalmuseum © Stokholm, Nationalmuseum. | Page 04 : Idole à la coquille, 1892, bois de toa (bois de fer), coquille de meleagris margaritifera, dent pharyngienne de poisson-perroquet, 34,4 x 14,8 x 18,5 cm, Paris, musée d’Orsay © Photo Rmn-Grand Palais (musée d’Orsay) / Gérard Blot. | Page 05 : Laveuses à Arles, 1888, huile sur toile, 74 x 92 cm, Bilbao, Bilbao Fine Arts Museum © Bilboko Arte Ederren Museoa-Museo de Bellas Artes de Bilbao. | Page 05 : Te nave nave fenua (Terre délicieuse), 1892, huile sur toile, 92 x 73,5 cm, Kurashiki, Ohara Museum of Art © Ohara Museum of Art, Kurashiki

ANNEXES ET RESSOURCES

AUTOUR DE L’EXPOSITION

L’offre des visites guidées

Scolaireshttp://grandpalais.fr/fr/

Adultes et familles pour groupes et individuelsBientôt en ligne

Le Magazine de l’expositionhttp://www.grandpalais.fr/fr/magazine

http://www.grandpalais.fr/fr/jeune-public

POUR PRÉPARER ET PROLONGER SA VISITE

Dossiers pédagogiqueshttp://www.grandpalais.fr/fr/article/tous-nos-dossiers-pedagogiques

Tutoriels d’activitésDes propositions d’activités pédagogiques et créatives à imprimer ou à faire en ligne.http://www.grandpalais.fr/fr/tutoriels-dactivites-pedagogiques

http://www.grandpalais.fr/fr/jeune-public

Livrets-jeux des expositions du Grand palaishttp://www.grandpalais.fr/fr/tutoriels-dactivites-pedagogiques

Itunes.fr/grandpalais et GooglePlay : nos e-albums,

conférences, vidéos, entretiens, films, applications et audioguides

Panoramadelart.com : des œuvres analysées et contextualisées

Photo-Arago.fr : un accès libre et direct à l’ensemble des collections photographiques conservées en France

Tutoriels des activités pédagogiques des expositions du Grand Palais : http://www.grandpalais.fr/fr/

tutoriels-dactivites-pedagogiques

www.grandpalais.fr/fr/les-applications-mobiles

un catalogue de 40 applications mobiles et livres numériques disponibles pour smartphones et tablettes et sur IOS et Android

BIBLIOGRAPHIE

Gauguin l’alchimiste, Galeries nationales du Grand Palais, 2017, Paris RMN / musée d’Orsay, Paris, 2017 (à paraître).

Gauguin Tahiti : l’atelier des tropiques, Galeries nationales du Grand Palais, 2003-2004 - Boston, 2004, Réunion des musées nationaux, Paris, 2003.

Gauguin. Ce malgré moi de sauvage, Françoise Cachin, Collection découvertes Gallimard, Série Arts, Gallimard, Paris, 1989.

Gauguin, Galeries nationales du Grand Palais, 1989, Réunion des musées nationaux, Paris, 1989.

SITOGRAPHIE

www.gauguin-alchimiste-musee-orsay.grand-palais.electre.com (à paraître)

http://www.musee-orsay.fr/fr/collections/oeuvres-commentees/peinture.html

http://www.gauguinetprimitivisme. wordpress.com

Les activités pédagogiques du Grand Palais bénéficient du soutien de la Fondation Ardian, de la MAIF «Mécène d’honneur et partenaire Education» et de Canson.

7

ESSENTIEL dE L’EXPOSITION© RmnGP 2017

GAUGUIN L’ALCHIMISTE · ANNEXES ET RESSOuRCES

4 formules et 4 manières d’aborder l’histoire de l’art

∙ L’histoire générale de l’art (vendredi 16h-18h / samedi 11h-13h)

∙ Les thématiques (vendredi 18h30-20h / samedi 16h-17h30)

∙ Voyage en famille au pays de l’art (samedi 14h30-15h30)

∙ une brève histoire de l’art (samedi 14h-15h30)

INFORMATIONS ET TARIFShttp://histoires-dart.grandpalais.fr/

Les MOOC (Massive Online Open Courses) sont des cours en ligne, ouverts à tous et gratuits, permettant au plus grand nombre de suivre des enseignements.

Le MOOC présentera 5 périodes phare de l’histoire de l’art : Renaissance, XVIIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècle. Ces thématiques seront traitées via des supports audiovisuels (vidéos) et enrichies par des articles, références sitographiques, galeries photos, extraits vidéo, quiz, activités et forum de discussion.

du 24 avril au 23 juillet 2017.

www.mooc-brevehistoiredart.com

L’objectif est de sensibiliser les enfants à l’art, pour les rapprocher de la culture tout en leur proposant des nouvelles formes d’apprentissage, lors du temps périscolaire... ou scolaire !

Ainsi est né le projet Histoires d’art à l’école, composée de 4 mallettes :disponible : Le Portrait dans l’art, pour les 7-11 ansFin 2017 : l’Objet dans l’art pour les 3-6 ansFin 2018 : Le Paysage dans l’art pour les 7-11 ansFin 2019 : L’Animal dans l’art pour les 3-6 ans

INFORMATIONS ET TARIFS

∙ Tarif : 150 € TTC (+ frais d’envoi)

∙ Pour tout renseignement : [email protected]

∙ Pour tout savoir : http://www.grandpalais.fr/fr/les-mallettes-pedagogiques

HISTOIRES D’ART À L’ÉCOLELe changement des rythmes scolaires a amené les équipes de médiation de notre établissement à réfléchir à la création d’un outil pédagogique pour le temps périscolaire. 

HISTOIRES D’ART AU GRAND PALAISDécouverte des grands courants de l’histoire de l’art, pour adulte ou en famille ; approfondir ses connaissances sur un artiste ou un mouvement.

« Rendre l’art accessible à tous » est l’un des objectifs centraux de la Réunion des Musées Nationaux – Grand Palais. Initiées en 2016, les histoires d’art proposent un éventail

d’activités autour de l’Histoire de l’art.

© Lysiane Bollenbach et Clément Vuillier

© Joaquim Rossettini