GAZETTE du 3ème TRIMESTRE 2014 Juillet, août, septembre

Editorial Dans notre société le mot liberté a perdu un peu de sa valeur. Etre libre, c’est quoi ? Un peu comme la définition du bonheur, c’est quelque chose qui se définit par rapport à soi. Faire profiter les autres de son bonheur peut être contagieux, sa liberté s’arrête au moment où commence celle des autres. Ce sont deux mots que l’on bafoue à longueur d’année en fonction, soit de ses convictions, soit de sa philosophie. A nous de réfléchir ! C’est bien sérieux tout ça, alors que le temps nous incite à tout autre chose (soleil, vacances, farniente, famille et diverses choses très agréables). Ne perdons pas de vue que nous avons un devoir de solidarité avec tous les membres de notre amicale. Pensons à ceux qui sont dans la peine, ceux qui ne partiront pas pour des raisons X ou Y et, dans la mesure du possible, apportons leurs un peu de réconfort.

Partager notre bonheur c’est le plus beau message que l’on peut délivrer. Bon été à tous !

Louis CHARBONNIER

Président, Louis Charbonnier 06 84 80 90 94 Louis.charbonnier2@orange.fr Vice-Président, Pierre Baron 06 80 98 52 75 pierre.baron1@sfr.fr Président d’honneur, Michel Rumeau-Maillot michel.rumeau-maillot@orange.fr Secrétaire, Paul-André Gilibert Trésorier, Jean-Robert Richard 06 70 51 92 36 jrrichard@orange.fr Gazette, JC. Christophe 06 33 57 05 89 christjcc@wanadoo.fr

ARLB Amicale de DIJON

Hier la Lyonnaise de Banque …. Place du Bareuzai … ….. aujourd’hui le C.I.C. BEAUNE Les Hospices

Environ quarante personnes se sont retrouvées ce jeudi 13 février sur le parking de la Veuve Ambal, sous la pluie. Mais qui est cette veuve ? Femme d’un banquier parisien décédé très jeune, elle retourne dans son village natal, Rully et y fonde son entreprise en 1898. Son petit fils, puis son arrière petit fils (Actuel PDG), élaborateurs de Crémant, appellation obtenue par les Bourguignons en 1975, développent leur activité et dans les années 2000, à l’étroit à Rully, l’entreprise s’installe tout près de Beaune, capitale des vins de Bourgogne , à Montagny-lès-Beaune. C’est ce site que nous avons visité. Nous avons été accueillis par une équipe fort sympathique.

Chaînes de préparation des bouteilles.

C’est une merveille de savoir-faire et de technologie : Les cuves inox où sont stockés des milliers d’hectolitres du jus de ces raisins provenant des vignes de notre magnifique région (même sous la pluie !). Les caves de vieillissement où dorment 14 millions de bouteilles ! Les robots qui manipulent les bouteilles avec une « dextérité » incroyable !

Robots / Salle de remuage

Les chaînes de préparation des bouteilles : dégorgement, mise à niveau, bouchage, habillage, encartonnage etc.… Cette visite s’est achevée par une dégustation des différents Crémants : rosé, brut, sec et demi-sec…

Vers midi, nous sommes partis à Meursault, au restaurant «Le Relais de la Diligence » où nous avons retrouvé Jean-Luc ESTEBANEZ, Directeur de la Région Bourgogne-Ain-Jura. Après avoir dégusté une petite mise en bouche, un foie gras maison, une cocote de homard accompagnée d’une brunoise de légumes d’automne, un pavé de biche sauce grand veneur, d’une tendreté ravissante, suivi d’un plateau de fromages et d’un dessert, le tout a été arrosé d’un St-Véran et d’un hautes-côtes de Nuits.

Danielle HELIOT, présidente, nous a commenté l’activité 2013 de l’amicale et présenté les projets 2014. Ensuite Alain

OLIVAIN, trésorier, nous a informé de la bonne santé financière de la section de Dijon. Toute l’assemblée a donné quitus à la présidente et au trésorier. Nous nous sommes séparés en fin d’après-midi, ravis et « emballés » par cette journée où ne manquait que le soleil !

Danielle HELIOT

Une assistance nombreuse et attentive au discours de Jean-Luc ESTEBANEZ et de notre présidente Danielle HELIOT

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Section de Marseille

BALADE A TRAVERS LES QUARTIERS DE MARSEILLE

le 15 mai LE QUARTIER DU PANIER – Situé sur la rive Nord du Vieux Port, le Panier est le quartier historique de Marseille, le site même où les grecs s’établirent. Marseille primitive s’étend au nord de la calanque originelle sur 3 buttes :

• St Laurent (altitude 24 m) • Des Moulins (altitude 42 m) • Des Carmes (altitude 38m)

Par sa position dominant à la fois Le Lacydon et l’horizon, la butte St Laurent était le lieu idéal pour une installation durable. Ce quartier est appelé « le panier » car son nom prendrait son origine de l’enseigne d’une auberge « le logis du panier » installée au XVII° siècle dans l’actuelle rue du panier… Ou Religieuse (une statue de vierge au Panier qui recueillait les fleurs accompagnant parfois les prières des paroissiens).

Riche d’histoire toutes ses ruelles que nous empruntons à commencer par la montée des Accoules (photo, montée des Accoules) petite rue typique avec ses degrés en paliers et au milieu des pavés l’espace pour ruisseler l’eau. Pour y accéder nous

passons devant l’Hôtel-Dieu… ancien hôpital du Saint Esprit reconstruit au XVIII° et agrandi sous le second empire.

(Michel Metenier et Fernand Revilla auteurs de «Autrefois Marseille » nous content l’histoire de cet ancien hôpital où médecins et chirurgiens ont fait preuve de dévouement au-delà de ce que l’on peut imaginer.

Charles Peyssonnel (1640-1720) exemple parmi des centaines d’autres qui avec le recteur Garnier ne quitta pas la ville atteinte de la peste en 1720 et mourût du fléau parmi les autres alités à l’hôtel Dieu. On retient le nom de Jacques Daviel (1693-1762) qui devint célèbre pour avoir la premier le 21 Avril 1741, extrait la cataracte de l’œil. L’hôpital était encore en service il y a quelques années transformé en hôtel de luxe au printemps 2013. Nous nous faufilons entre la place des Augustines et l’église des Accoules une des plus

anciennes des Marseille, centre populaire de la vieille ville dès le XI° siècle et son altier clocher. L’histoire nous rappelle que Marseille et ses alentours furent par le passé une terre de résistance et le théâtre

d’actes d’oppression. Le quartier du Panier détruit par les

nazis, c’est un pan entier de l’histoire de la ville qui allait disparaître en 17 jours. Le vieux Marseille, cet espace sur la rive nord du vieux port, presque inchangé sinon depuis l’antiquité du moins depuis 800 ans allait subir un dynamitage qui ne devait laissait que bien peu de maisons sur pied. Une partie du Panier allait être rayée du cadastre. Des richesses architecturales (on pense aux hôtels particuliers ou au monastère St Sauveur) allaient disparaître à tout jamais. Nous empruntons la rue du Panier réhabilitée ainsi que d’autres ruelles ou se côtoient artisans musées restaurants. Certaines rues sont riches d’atmosphère et d’histoire de part l’installation des lieux pendant longtemps par les immigrés, les Italiens, les Corses… Pierrot le fou, le fameux bandit des années 30, y est né.

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Ce quartier comptait également de grands bandits comme François Spirito né en Italie. Dans les années 30, il va devenir l’ami et l’associé de Paul Carbone. Tous deux se seraient liés d’amitié en Egypte puis Spirito serait devenu et resté le plus fidèle allié de Carbone. Ils vont devenir des figures centrales du milieu Marseillais en 1930. En 1940, ils ont la main sur la prostitution, le racket et différents trafics. Ils contrôlent également la mairie de la ville via Simon Sabiani, 1er adjoint qui avait fait élire un maire de « représentation » et par conséquence il dirigeait la ville à sa façon avec ses copains truands. Pendant la guerre les deux collaborent avec les occupants allemands par intérêt. Alors que Carbone meurt dans le déraillement d’un train opéré par la résistance en décembre 1943. Spirito, peu avant la libération s’enfuit en Espagne puis en Amérique latine et enfin aux Etats-Unis où il trafique de l’héroïne créant ainsi la « French-Connection ». Les personnages du film « Borsalino » avec Alain Delon et Jean-Paul Belmondo sont inspirés de l’histoire de Carbone et Spirito. Le film fut tourné à Marseille. Beaucoup de marins habitaient le quartier du Panier. La coutume voulait que l’on garde dans les maisons un lit fait pour accueillir tout marin débarqué. Certaines rues au nom évocateur retracent la vie nocturne de certaines femmes aux mœurs libertines qui avaient pris possession des rues. La rue du déshonneur devenue rue des honneurs. Et, au n°7, le Couvent du Refuge, couvent prison pour «fille de mauvaise vie» devenu La Bibliothèque du Panier et aussi la rue des repenties. Nous traversons la place des 13 cantons jolie place ombragée dont l’origine du nom fait référence à la création à l’époque d’une auberge des 13 cantons au XVII° siècle par un Suisse, disparue depuis. (il s’agit des 13 cantons suisses de l’époque).

Notre balade se poursuit par la rue du panier et la très typique rue des moulins. Ce qui nous amène à notre point culminant La place des Moulins, petite place ombragée avec ses bancs et son école, havre de paix au cœur du quartier. Nous découvrons qu’en

1856, il y avait 43 moulins dont 15 à vent. Il semble qu’aujourd’hui la place n’en compte plus que deux dont un transformé en habitation Nous n’avons pas réussi à voir le second. Nous prenons le chemin du retour en nous arrêtant devant « La vieille Charité »…

C’est en 1640 suite à l’édit royal sur l’enfermement des pauvres et des mendiants que la ville de Marseille décide la construction de la

vieille charité permettant «d’enfermer les pauvres natifs de Marseille»… C’est Pierre Puget architecte du roi et enfant du quartier qui sera chargé des travaux en 1670 qui ne devront s’achever qu’en 1749 «une de ses plus belles réalisations». La chapelle disposée au centre de l’édifice s’inspire du baroque romain que l’on retrouve dans sa coupole ovoïde. La façade date du XIX siècle évoque le thème de la charité. La Charité accueille aujourd’hui la direction des musées, plusieurs musées, une librairie et un salon de thé. Nous traversons la Place de Lenche la plus ancienne de Marseille, ancienne agora grecque puis forum romain. Elle se nomme place St Sauveur avant qu’on lui donne le nom du corse « Lencio » . Le 28/8/1588, Antoine Lenche second consul qui fait prospérer la ville veut

rendre l’indépendante Marseille au Roi. La Provence est française depuis le 11/12/1481. Il est assassiné par les

ligueurs indépendantistes ultra-catholiques. Son hôtel particulier abrite aujourd’hui le théâtre de Lenche et la place de nombreux restaurants. Destination finale de

notre balade, l’église St Laurent, paroisse des marins et des pêcheurs et La Chapelle Ste Catherine. Eglise en pierre rose de la couronne cette église est un rare vestige du roman provençal à Marseille. Le campanile du XVII°siècle est classé monument historique. Accolée à l’église, on trouve La chapelle Ste Catherine. Nous terminons là notre découverte

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du Panier, quartier historique, ô combien, et que d’anecdotes encore… Marie-Jo L’honen

NB - Informations recueillies auprès : d’« Autrefois Marseille » de Michel Metenier et Fernand Revilla ; Le Routard 2013 ; Les incontournables 2013, Ville de Marseille

_______________________________________________________________ Maxime GRAS « SERVIR » a été la dominante de sa vie. J’avais eu l’occasion de le constater lorsqu’il était un grand adolescent de 17 ans s’occupant des jeunes Cœurs-Vaillants de sa paroisse. J’ignorais, bien entendu, que je le retrouverais quelques années plus tard à la Lyonnaise…. Son implication à orienter les jeunes qui lui étaient confiés témoignait déjà de son sens du service. Tout au long de sa vie il a montré, dans d’autres domaines, ce qu’étaient le bénévolat, le don de soi, le dévouement. Jeune employé dynamique de l’Agence Rabatau qui venait d’être créée sous la houlette de Raymond FERMAUD, il apportait avec ses collègues un enthousiasme et une adhésion à l’esprit d’équipe qui étaient le gage de la réussite. Différents postes lui furent ensuite proposés, toujours acceptés spontanément. Ses qualités d’exploitant commercial l’amenèrent à suivre les cours de l’Ecole des Démarcheurs à Dijon, dispensés par l’incontournable Monsieur TRIBOLLET. L’ouverture de l’ Agence de Martigues lui fut ensuite confiée. Ses qualités d’organisateur l’aidèrent dans cette tâche. Ces mêmes qualités , dans le contexte de l’époque où les implantations d’agences se succédaient, amenaient sa hiérarchie à lui demander d’abandonner la direction de cette Agence pour la création et la mise en place des différents points de vente dans le réseau régional au sein d’une équipe d’exploitants chevronnés. Son expérience dans ce domaine faisait ensuite de lui un des nouveaux contrôleurs (plus tard appelés inspecteurs de région), corps remanié pour faciliter la bonne application de notre métier. Mais l’ami Max ne se voyait pas dans un rôle d’enquêteur « cynique et suspicieux » dont, d’aucuns, s’étaient fait une spécialité… Se souvenant de ses débuts dans la profession, il se voulait aussi formateur, s’appuyant sur une mauvaise manœuvre pour redresser le tir dans une approche pédagogique et constructive. Dans des cas difficiles où, quelquefois, le portaient ses responsabilités, lorsque l’irrémédiable était atteint, c’est avec beaucoup d’humanité et

de délicatesse qu’il opérait. Il devait terminer sa carrière en qualité de Responsable de la Sécurité pour la région. Enfin, quand il a rejoint la joyeuse cohorte des retraités et lorsqu’il s’est agi de trouver un successeur au Président Albert PARDINI qui souhaitait passer la main, je l’ai poussé (oh, pas trop fort !) à accepter cette présidence de l’Amicale… Toujours disponible, notre Max ! Ses convictions et sa conception de la vie, la chaleur humaine qu’il dégageait, son franc sourire, son sens de l’amitié dont nous avons été nombreux à bénéficier, aidé en cela par son épouse, font que Max aura marqué tous ceux qui l’ont approché et qui ne l’oublieront pas.

Max, ne nous oublie pas non plus, là où tu es, maintenant…

Lucien SENTENAC

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Le 5 juin, C’est à AUBUSSON (Creuse) que l’Amicale de MONTLUÇON avait invité ses adhérents. Au programme : 10 Heures visite guidée du Musée de la Tapisserie :

° 11h30, visite guidée du Musée du Carton de tapisserie ° 12h30, déjeuner à l’HOTEL DE France ° 15h, Visite guidée du Château de Villemonteix (près de Chénerailles) 25 personnes ont participé à cette journée découverte avec un temps exceptionnel

Musée de la tapisserie : inauguré en 1981, il retrace l’histoire tissée d’Aubusson/Felletin, lieu de production depuis 600 ans : œuvres du XVIIème au XXème (verdures, scènes d’histoire, de mythologie, de littérature…). Période de « la renaissance de la tapisserie » conduite par JEAN LURÇAT, dès les années 1940, avec des œuvres signées Wogensky, Braque, le Corbusier, Léger… et la création contemporaine.

A AUBUSSON, les lissiers utilisent des métiers à tisser horizontaux, dits de « basse lisse » : le tissage s’effectue sur l’envers de la future tapisserie, le modèle étant fourni par le peintre cartonnier. Les fils sont renouvelés à chaque changement de couleur. Les premières tapisseries sont des verdures. Avec le

temps, les motifs évoluent avec des fleurs, scènes de chasse…

Musée des cartons de tapisseries Avant de commencer une tapisserie, des peintres spécialisés ou des artistes réalisent une maquette inversée et agrandie à l’échelle de la tapisserie. Cette œuvre sert de modèle au lissier : c’est le carton de tapisserie. Ce support peut être une huile sur toile, une gouache sur papier, un calque ou un dessin numéroté. Le lissier place ce carton sous la chaîne tendue de son métier et tisse les formes et couleurs qu’il voit à travers les fils de chaine. 13 heures : repas creusois à l’HOTEL DE France : Terrine limousine aux pruneaux, gratin de saucisse de viande à la marchoise accompagné de cèpes et pommes de terre, fromage, tarte poires amandines. Puis nous reprenons nos voitures pour rejoindre le château de VILLEMONTEIX près de CHENERAILLES Très ancienne seigneurie dépendant des comtes de

la Marche, ayant haute, moyenne et basse justice, le château de Villemonteix est une des plus élégantes constructions civiles de la fin du Moyen-âge en

Creuse. Propriété privée ayant connu une période d’abandon au XXème siècle. Il est actuellement habité et meublé. Parmi le mobilier d’époque, on peut remarquer un exceptionnel piano double, des tapisseries d’AUBUSSON DES 17 et 18ème siècle et des tapisseries des Flandres. Après avoir visité tous les étages et admiré le superbe paysage verdoyant, il est 18h. Nous regagnons nos voitures « fatigués mais contents » d’une aussi belle journée.

Laurine LEPINE

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Nice

Des nouvelles de nos grands anciens....

Bernard DE LOSTAU BERNADOTTE dont la carrière s'est terminée à NICE comme patron de groupe nous avait habitué, nous les jeunes du groupe de MACON, à ne pas penser uniquement aux problèmes d'argent de nos clients, mais aussi à apprécier ce qui est beau et plaisant à étudier et à admirer. Bernard de LOSTAU, vous le constaterez par vous-mêmes, ne manque pas de talent. Ses créations sous forme de cartes postales ne manquent pas de charmes et, s'il est passionné par LYON et sa région, il a su également styliser d'autres régions et d'autres cités dans le monde.

Sa fille tient une boutique, rue Auguste Comte, à LYON Il est répertorié dans le catalogue AKOUN :

« LA COTE DES PEINTRES 2014-2015 » et, ma foi, pardonnez-moi, il a une certaine cote.

je vous laisse le soin de vous faire votre propre opinion !

Pierre BARON

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Section de St Etienne

Le vendredi 16 Mai, les adhérents de la section de St-Etienne ont visité le château de Bouthéon.

Témoin du patrimoine ligérien, l’histoire du château se confond avec l’histoire du Forez. Les premières mentions écrites du Château de Bouthéon remontent au XIIIe siècle. A cette époque, il ne s’agissait certainement que d’un simple donjon. Entre le XIIIe et le XVe siècle, différents propriétaires vont se succéder. Le donjon va être agrandi pour former un bâtiment correspondant, aujourd’hui, peu ou prou, à l’aile Sud ; c’est-à-dire l’aile du Château dans laquelle se situe l’accueil et le Centre d’Interprétation du Forez. En 1424, le maréchal Gilbert III Motier de la Fayette, compagnon de Jeanne d’Arc, épouse Jeanne de Joyeuse au Château de Bouthéon. Leur fils Antoine sera "seigneur de Bouthéon". En 1462, Jean II duc de Bourbon et Comte du Forez achète le château. Il le donne en 1486 à son fils naturel, Mathieu de Bourbon, dit le Grand Bâtard. L’aile Sud ne correspondant plus aux commodités de l’époque, ce serait Mathieu qui fit construire un nouveau bâtiment au Nord dans lequel il aménage ses appartements (aile nord actuelle). Il aurait agrémenté la cour d’une galerie à l’Est (aujourd’hui disparue) qui permettait de circuler entre les deux bâtiments. Un autre corps de bâtiment se trouvait également à l’Ouest. Les aménagements de Mathieu de Bourbon transforment le vieux château fort en un château de la Première Renaissance. En 1561, le Château est racheté par Guillaume de Gadagne. Descendant d’une riche famille de banquiers florentins installés à Lyon, il poursuit l’œuvre de Mathieu de Bourbon en créant, notamment, une véritable cour d’Honneur : destruction de la galerie à l’Est, installation d’un portique d’entrée et d’un puits monumental et réalisation d’une façade italianisante pour masquer le château médiéval. Le château restera dans la famille Gadagne d’Hostun jusqu’à la fin du XVIIIe siècle où il fut racheté par Claude Antoine Praire de Neysieux puis, en 1803, par Grailhe, futur baron de Montaima. Enfin, Claude Coignet, riche rubanier stéphanois, rachète le Château à la fin du XIXe siècle. Il est l’un des derniers propriétaires qui a considérablement marqué l’architecture de ce château. Il est à l’origine des toitures néogothiques, de la construction

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de la chapelle (tour Nord-Est), de l’aménagement du petit salon, et de l’ensemble du décor de l’aile Nord. Le Château resta dans la famille Coignet Calemard Allimant jusqu’à sa vente aux Hospices civils de Saint Etienne en 1938. En 1961, le château est acheté par un industriel, M. Paul Grousset. En 1995, la Commune d’Andrézieux-Bouthéon devient propriétaire du Château de Bouthéon. La Ville a pour projet de restaurer entièrement le Château et son parc afin de proposer des espaces muséographiques et un espace séminaires et de donner au château une place de véritable fleuron du patrimoine ligérien et forézien. Le Domaine du Château de Bouthéon est aujourd’hui l’un des sites les plus visités du département de la Loire avec plus de 63.000 visiteurs en 2012. Le Parc animalier et botanique du Château de Bouthéon, ce sont 12ha de détente pour une balade au cœur du patrimoine vert de la Loire en Rhône-Alpes (42)…

40 races domestiques : chèvres Angora, mouton Noir-du-Velay, pigeons frisés milanais, ânes du bourbonnais... Un espace animalier étonnant ! les jardins à la française, le potager, la roseraie, les plantes aromatiques et médicinales, l’arboretum, les étangs, la ferme forézienne... Sans doute l’un des plus beaux jardins botaniques de la Loire !

Journée très agréable, fraiche mais ensoleillée, agrémentée d’un repas gourmand pris vers les 12h30 au restaurant « L’Orée du Château ».

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Quelques photos des participants…

Merci à la Présidente (Nicole Grail), pour l’organisation de cette belle journée !

Guy POYET

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Section de Toulon

COMPTE RENDU DE L’ASSEMBLEE GENERALE DU 25 JANVIER 2014

34 membres de notre Amicale se sont retrouvés le samedi 25 janvier au restaurant LE LINGOUSTO, à proximité de CUERS, pour notre repas de début d’année.

Situé en pleine campagne, entouré de champs de vignes, le restaurant nous a permis de déguster, dans un cadre agréable, un très bon repas dans une ambiance détendue et conviviale. A la fin du repas, le président Jean Claude HEMERY a remercié les présents de leur participation.

Dans le cadre de l’Assemblée Générale qui s’est tenue après le repas, il a fait part de l’obligation faite aux personnes non retraités L.B. qui désirent participer à nos manifestations d’adhérer à l’Amicale, afin de bénéficier de la couverture de l’assurance pour tout problème ou incident qui pourrait survenir.

Le bureau étant élu pour 3 ans, il n’y avait pas lieu à renouvellement. Nous avons également évoqué notre voyage à Barcelone du mois de septembre dernier qui n’a laissé que de bons souvenirs aux participants. Le président a ensuite présenté le projet de voyage pour l’année 2014, un séjour à ROME, et il a distribué des documents afin que chacun puisse lui faire part de ses intentions le plus rapidement possible. Nous nous sommes ensuite séparés, tous les convives étant visiblement contents de cette rencontre.

Christiane BONIDAN

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ILS NOUS ONT QUITTES

BELLON André 09/06/1928 Var 08/05/2014

CAMUSSO Dolorès 13/12/1925 Rhône 26/04/2014

FORICHON Jacques 22/12/1927 Auvergne 09/04/2014

LELOUCH Roger 19/01/1929 Rhône 25/05/2014

MARTIN Nicole 06/12/1946 Rhône 12/05/2014

ROBERT Denise 26/08/1928 Rhône 11/04/2014 VIZIER Pierre 26/11/1947 Rhône 05/05/2014

Nos pensées vont vers eux et leurs familles à qui nous transmettons nos condoléances les plus sincères !

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BULLETIN D'ADHÉSION ARLB A retourner complété et signé

_________ Je soussigné(e), Né(e) le : Adresse complète : Tél. Fixe : Tél. Portable : Courriel :

Souhaite adhérer à l’Amicale des Retraités de la Lyonnaise de Banque section de ____________ ____________________________________________ Cotisation annuelle : 23 Euros prélevés chaque année en janvier. Pour cette première adhésion joindre un chèque » Pour l’avenir je vous autorise à prélever le montant de celle-ci sur mon compte : N° _____________________________________ agence de ___________________ Ci-joint : - R I B A__________________ le______________

Signature

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AMICALE DES RETRAITES LYONNAISE DE BANQUE LA GAZETTE

DE LA SECTION DE LYON 3ème trimestre 2014 / juillet, août, septembre

Bureau de Lyon : Louis Charbonnier - Jean Claude Christophe - Nicole Cugnet Laurence Danna - Jean-Claude Garel Lucette Grumel – Alain Guastini - Mireille Jannon - Danielle Pillot - Gérard Platon

EDITORIAL

L’été est arrivé avec un peu d’avance cette année. Espérons qu’il ne va pas trop s’essouffler en cours de route et qu’il nous permettra de profiter de bons moments en famille et entre amis. Cette année, nous innovons avec une rencontre amicale le 4 juillet. Nous n’avons pas pu vous avertir dans notre Gazette précédente, la décision ayant été prise en avril. Nous avons pensé que tous nos adhérents ne partent pas pendant l’été et seraient contents de se retrouver encore en juillet. Votre présence lors de nos rencontres amicales est importante, elle permet de vous informer d’activités non prévues dans la Gazette. C’est ainsi que nous avons visité le stade de Gerland pour son architecture, ainsi que l’Hôtel-Dieu de Lyon avant sa transformation prévue dès cet été, et notre escapade à Londres, en septembre. Nous devons réagir très vite pour organiser ces sorties, et avoir des réponses rapidement. Notre rentrée sera encore riche en événements divers : voyages, visites de sites industriels, musée, ainsi que la pétanque, la belote, le théâtre… En attendant, nous vous souhaitons un bel été et vous donnons rendez-vous en

septembre !

Laurence DANNA

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LA VIE DE L’AMICALE

Adresses – Amicale des Retraités de la Lyonnaise de Banque, section de Lyon (Chez CIC–LB), 8 rue de la République, 69001 Lyon. Internet : http://christjcc.magix.net/public/

Rencontres amicales et manifestations : 8, rue HENON, 69004 LYON

Les membres du bureau et comment les joindre

Laurence Danna, présidente, tél. 0472368272 / 0617854725, danna.laurence@neuf.fr Louis Charbonnier, vice-président, Trésorier-adjoint, voyages longs, tél. 0478446854 / 0684809094 louis.charbonnier2@orange.fr Jean Claude Christophe, secrétaire, tél. 0960061012 / 0633570589, christjcc@orange.fr Nicole Cugnet, trésorière, tél. 0478345129 / 0614659576, nicolecugnet@sfr.fr Jean-Claude Garel, animations / relations ALCR. tél. 0472271728 / 0606829230, jeanclaude.garel@dbmail.com Lucette Grumel, tél. 0478854304, 0622537945 visites/culture/spectacles, lucette.grumel@numericable.fr Alain Guastini, tél 0478254438 / 0608020782, randonnées, alain.guastini@dartybox.com Mireille Jannon, tél. 0478594636 / 0686997605, r.jannon@orange.fr Danielle Pillot, relations avec nos anciens, tél. 0478752575, danielle.pillot@neuf.fr Gérard Platon, secr. adjoint / randonnées, tél. 0478256760 / 0684057621, gerard.platon0629@orange.fr

Une nouvelle fois, ils sont attentifs à l’écoute de notre conférencier Bruno BENOÎT, intarissable sur la franc-maçonnerie… ainsi que lors de la Réunion Amicale de début juin

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COUP D’ŒIL DANS LE RETROVISEUR

REPAS de PRINTEMPS En ce 11 avril, nous étions 90 personnes à fêter l’arrivée du printemps. Le soleil était au rendez-vous, à l’unisson de l’ambiance qui régnait parmi nous.

Notre repas, commencé par une farandole d’amuse-bouches, fût à la hauteur de nos espérances. La température s’est encore élevée lorsque la musique s’est mise en route pour agiter en mesure nos gambettes.

Avant de nous séparer, et ce fut difficile, une nouvelle farandole a fait l’unanimité.

Celle-ci, menée allègrement par Lucette, a réuni tous les présents sur la piste.

Vivement le printemps prochain !

Laurence DANNA

LE FORT DE BRON Visite du 17 avril

Le Fort de Bron fait partie du système de défense fortifié, mis en place autour de Lyon, après le conflit de 1870, à l’instigation du général SERE DE RIVIERES, responsable des fortifications au niveau national. Il était chargé, grâce à l’armement qu’il comportait (pièces de 155 ou 120mm, mortiers de 220mm), d’interdire à un ennemi éventuel débouchant des hauteurs de Chassieu ou de St-Priest, de s’avancer vers Lyon ou d’installer ses propres canons qui auraient pu, alors, bombarder la ville.

Avant d’être opérationnel il faut obtenir les terrains nécessaires fournis par un jugement d’expropriation rendu le 10 juin 1874. Plusieurs centaines d’ouvriers, à

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l’aide de pioches, de pelles, de brouettes, creusent les fossés et fournissent une partie de la terre qui monte les buttes placées à l’intérieur. Fin 1877, le fort est virtuellement terminé. Il se présente selon un tracé pentagonal délimité par un fossé profond de 6 à 8m et large de 12 à 14m. Le total de l’effectif est porté à 841 personnes. Au premier étage, les hommes de troupe sont logés à raison de 56 hommes par chambrée, deux cuisines, une boulangerie qui exige à elle seule 69400kg de farine, un puits creusé à 37m fournit l’eau potable. Pendant la guerre 1914-1918, le fort placé à proximité de l’aérodrome est désigné pour servir de lieu de dépôt et magasin pour le 2ème groupe d’aviation, replié de Reims. La guerre terminée, le fort perd tout intérêt. Les magasins se vident. Seul le 35ème régiment d’aviation conserve quelques matériels entreposés par-ci par-là et assure la surveillance des lieux. Le 8 juin 1963, son déclassement définitif intervient et en 1975 la COURLY se porte acquéreur du fort dans le but de construire des réservoirs d’eau sur la partie supérieure de la caserne centrale dans un premier temps et ultérieurement sur les ailes.

L’association du fort de Bron naît en mars 1982. On les appelait alors les F.F.I « les farfelus du fort interdit ». Aujourd’hui, ils développent des activités culturelles et de loisirs qui respectent le lieu avec le plaisir de le découvrir et de le faire vivre.

Lucette GRUMEL

Pétanque à Caluire Record battu pour ce concours de pétanque, du lundi 28 avril 2014, où l'on

enregistra 59 inscriptions dont quelques imprévus réduisit ce chiffre de 6.

Par un jour sans pluie (comparé à la veille et au lendemain du concours), 3 doublettes se distinguèrent en remportant 3 parties : Bernard Leygnac/Marcel Chanet - Jacques Duranton/Marc Michel - Roland Della Flora/Daniel Fiorentino. Un ''couple'' de filles se fit remarquer mais dans l'autre sens, en perdant 3 parties : Christiane de Uffredi/Annie Giraudier le tout dans la bonne humeur habituelle. Repas du jour : Saladiers lyonnais - confit de canard aux champignons et pommes saladaises - Fromage blanc à la crème - Dessert glacé au coulis de fruits rouges...

Revanche prévue pour le lundi 29 septembre… même lieu mais pas même repas. Qu'on se le dise !

Jean-Claude GAREL

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Exposition photos L'exposition-photos sur le thème : ''La porte… dans tous ses états'', mérite bien un petit retour en arrière. Et même si c'est pour enfoncer une ''porte ouverte'', il faut redire et louer la qualité générale des photos présentées.

Un grand merci à vous tous de votre participation. Grâce à vous, cette exposition a remportée un grand succès où la qualité et l'originalité de vos présentations y sont pour beaucoup.

Le thème de la prochaine expo. sera dévoilé à la Rencontre Amicale de septembre et nous en reparlerons sur la prochaine Gazette. Quelques chiffres sur l'expo écoulée :

--- 4 prix décernés : prix du jury / prix du public / prix de l'insolite / prix spécial. --- 12 participants primés sur 30 participants inscrits --- 6 photos par exposant --- 156 photos exposées --- 73 photos (sur 156) ont été "citées" pour l'ensemble des votes --- Seuls 2 participants n'ont pas récoltés de voix

Restez mobilisés et ne rangez pas vos appareils ! La prochaine expo est pour bientôt.

Jean-Claude GAREL La FRANC-MAÇONNERIE avec

Bruno BENOÎT, le 16 mai La salle de l’ALCR Croix-Rousse s’est transformée en amphithéâtre rempli d’étudiants attentifs et disciplinés. Une belle assistance pour venir découvrir les mystères de la Franc-maçonnerie… Cette association à but philosophique trouverait ses origines à la construction du Temple de Salomon à Jérusalem : le temple maçonnique est parfois vu comme une reproduction symbolique de celui-ci. Et, selon la légende, ce pourrait être le moment de la naissance du compagnonnage. Deux heures de voyage avec Bruno BENOÎT comme guide dans le monde, l’histoire et dans le temps. Dans le temple, lieu des réunions ou « tenues », les ateliers ont pour thèmes des travaux de réflexion, philosophique ou d’actualité. La Franc-maçonnerie a traversé les siècles, les divers régimes : Royauté, République, et les océans : Europe, Amérique, Afrique. Sur son livre d’or des personnages historiques de tous horizons : Chagall, Washington, C. de Mille, Montgolfier, Atatürk, Churchill, Casanova, Bernadotte, Haydn, Mozart… Sans évoquer les divers apprentis, compagnons, maîtres et vénérables actuels qui peuvent ne pas dévoiler leur appartenance. Les éclairages donnés avec sourire et bonhommie sur cette organisation ont suscité de nombreuses questions et réponses qui ont prolongé agréablement notre après midi. Où voyagerons-nous lors de la prochaine conférence ?? Nous avons quelques mois

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pour en arrêter le sujet… Mais ce sera passionnant. Promis !

Mireille JANNON

Visite de l’aéroport Saint Ex. l’ARLB LYON prête à

embarquer 14H30, l’escadrille de l’ARLB, sous la houlette de Lucette atterrit à l’aéroport de Lyon Saint Exupéry (LYS dans le code aviation AITA, Association Internationale du Transport Aérien). Notre charmante hôtesse Catherine (alias Kasia, nom d’usage d’origine polonaise) nous équipe de tablettes interactives qui nous donneront toutes les explications utiles sur les différents points visités. L’aéroport a été construit en 1975 sous le nom de Satolas (devenu Saint Exupéry en 2000 à l’occasion du centième anniversaire de l’aviateur). Il couvre une surface de 2000ha, possède 2 pistes dont une, a la particularité d’être dans les plus grandes, avec une longueur de 4km (à l’époque demande avait été faite qu’une navette spatiale puisse atterrir !). Ses 3 terminaux (dont un pour le low-cost) accueillent 8,5 millions de passagers par an (troisième aéroport de France). Le terminal T1 sera agrandi d’ici 2016, 2017 pour accueillir encore plus de passagers. Les ressources financières sont la taxe d’atterrissage payée par les passagers, la taxe commerciale payée par les boutiques présentes, la taxe domaniale pour la location des bureaux (100 euros le m2) et les parkings. Le capital est détenu par différents acteurs ;

- 60% par l’état, - 25% par la CCI (Chambre de Commerce et d’Industrie), - 5% par la région Rhône Alpes, - 5% par le grand Lyon, - 5% par le conseil général.

Saint Exupéry dessert 115 destinations avec la participation de 59 compagnies aériennes dont 45 étrangères. La gestion du fonctionnement est assurée par un poste de coordination technique et un poste de coordination aérogare.

Nous avons découvert des mots comme le catering (gestion des repas servis aux passagers), le push-back (action de pousser les avions vers l’arrière)…

61 pompiers assurent la sécurité du site en vacation de 9 personnes. L’aéroport consomme 37 gigawatts par an soit l’équivalent de la consommation d’une ville de 30000 habitants. A l’écart de l’aéroport, nous avons pu monter dans un avion TRISTAR, avion arrivé sur le site le 6 juillet 2001 après avoir « essuyé » un orage très violent, sur un vol Lyon-Berlin, l’appareil ayant dû faire demi-tour, suite aux dégâts (pare-brise « explosé », gros impacts de grêlons de 4cm de diamètre. Nous avons également visité la Gare TGV qui accueille aujourd’hui 1 million de visiteurs par an, après un démarrage difficile. Elle a été construite en 1994, par l’architecte espagnol Santiago Calatrava. Une visite très agréable et instructive, merci à Lucette pour cette organisation !

Jacques CHAMPETIER

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REGARD SUR DEMAIN, en synthèse

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REGARD SUR DEMAIN

Concours de pétanque lundi 29 Septembre

Comme d'habitude, notre concours de pétanque se déroulera sur les jeux du FCL, 9 rue François Peissel à Caluire (stade Henri Cochet). Contrairement à certains, le soleil brillera ce jour-là nous a-t-on assurés !!!

Tradition oblige, vers midi on stoppe les "hostilités du terrain" pour assouvir une autre passion : les coups de fourchette entre amis. Venez nombreux, passer un bon moment de convivialité à l'air libre. Rappel : même les non-participants de la pétanque sont les bienvenus au restaurant, "Le Ricochet". Repas seul : 27 €, repas + inscription pétanque : 34 €. Tous les participants seront primés. 1ère partie à 11h, reprise à 14h. Distribution des lots vers 17h.

Jean-Claude GAREL

Concours de coinche à la Croix-Rousse

Dix jours après le concours de pétanque du 25 septembre, nous offrons, à ceux qui ont été malheureux ce jour là, de se racheter en venant remporter le concours de belote du vendredi 10 octobre, à l'ALCR. Car, il existe un point commun entre ces deux exercices : il faut, pour vaincre, quelques atouts… et nous savons que beaucoup n'en manquent pas…

Alors, d'ici là, tenez-vous à… carreau ! Inscriptions : 7 € - Début des parties, 13h 30 -- Salle de l'ALCR -- Tous les participants primés. Les premiers inscrits auront les meilleures tables, en terrasse, avec vue sur le jeu de l'adversaire !

Jean-Claude GAREL Vaudeville sur la Croix-Rousse Vendredi 17 octobre, ne manquez pas votre après-midi théâtre. Ce serait dommage. D'autant que nous renouons avec le classique vaudeville. Nous devons celui-ci, cette année, à Colette Toutain, dont la troupe "Répliques" nous gratifiera de sa : " Céleste mission " !

Une heure cinquante d'imbroglios entre religieuses, vieilles filles, jeune curé, sacristain benêt et épouse volage. Comme à l'accoutumée, un accueil-café vous attendra et nous trinquerons durant l'entracte . N'est-il pas alléchant cet après-midi où vous serez, nous en sommes persuadés, encore plus nombreux que d'habitude. Raison de plus pour vous inscrire le plus vite possible même si aucun centime ne vous sera réclamé.

Jean-Claude GAREL

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MUSÉE PAUL DINI Villefranche/Saône, le 13 novembre

Nous vous convions à visiter l’exposition temporaire : « Théâtres et Cafés » peintures et décors à Lyon (1840-1930) au musée Paul Dini de Villefranche…

A Lyon, les lieux de spectacles furent nombreux entre 1840 et 1930 : le Grand Théâtre (actuel Opéra), l’Olympia où vint danser Josephine Baker, etc.

Les théâtres lyonnais ont créé un style propre à la région, Lyon atteint dans ses plaisirs, en cette première moitié du XXème siècle, les mêmes sommets que la capitale : théâtres, cafés-concerts, guinguettes, guignols se sont partagé les palettes lyonnaises. Chacun s’est, peu ou prou, plongé dans le rêve du monde du spectacle.

Rendez-vous : 10h : place Flaubert – à Villefranche. Prix de l’entrée : 7,50 € (restaurant possible).

Lucette GRUMEL

MARCHES DE NOËL en Alsace du 7 au 10 décembre

Nous visiterons plusieurs villes d’Alsace pendant les marchés de Noël qui remontent au XIVème siècle, en Allemagne, sous l’appellation « Marchés de Saint Nicolas ».

Le premier sera celui de Kaysersberg au cœur de cette cité médiévale (art floral, poterie, spécialités alsaciennes…).

Le lendemain, après un arrêt au musée du pain d’épices chez Lips à Gertwiller, nous arriverons à Strasbourg où nous ferons un tour panoramique de la ville et la visite guidée de la cathédrale. Après un déjeuner choucroute, nous pourrons flâner sur le marché de Noël réparti sur 11 sites au cœur de la ville et qui est le plus célèbre d’Alsace (il en est à sa 443ème édition). Le 3ème jour, après la visite guidée de

Riquewhir, village au milieu des vignes, nous déjeunerons vers Kirrwiller au PALAIS ROYAL et assisterons à son spectacle

« Farouche » sa nouvelle revue dans la pure tradition des grands cabarets.

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Le dernier jour, nous visiterons Colmar, puis temps libre sur son marché de Noël, ses vitrines, ses maisons décorées, ses ruelles animées où se mêlent des odeurs d’orange et de cannelle. Nous déjeunerons à Mittelwihr et reprendrons la route pour rejoindre Lyon après ces 4 journées bien remplies.

PRIX : 505 €, si nous sommes au moins 30 participants.

Lucette GRUMEL

Voyages 2015 Portugal Andalousie / Guatemala

Nous proposons deux voyages Portugal/Espagne et Guatemala, ouverts aux membres de toutes les Sections de l’Amicale. Pourquoi proposer deux voyages totalement différents ? Le choix a été difficile aussi nous avons pensé que vous étiez les meilleurs juges.

Portugal / Andalousie Construit sur notre demande par Voyages Michel nous traverserons le Portugal en suivant la côte au départ de Porto, jusqu’en Andalousie en passant par l’Algarve. Les principales étapes ou visites : Guimaraès, Braga, Coimbra, Fatima, Nazare, Lisbonne,

Faro, ensuite passage en Espagne, l’Andalousie s’offre à nous, Séville, Ronda, Cordoue, Grenade, les Alpujarras, Malaga. Tous ces noms nous parlent, souvenirs, rêves, etc. Nous aurons l’occasion de mieux connaître ce beau pays qu’est le Portugal, sa riche histoire, son apport à notre civilisation, ses paysages que vous n’oublierez pas. Et cerise sur le gâteau nous terminerons notre périple par l’Andalousie. Nous partons pour 14 jours, coût du voyage de 1875 à 2100 € selon le nombre de participants. Il nous reste à négocier la période mai ou septembre 2015. Renseignements et plaquette louis.charbonnier2@orange.fr

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Le Guatemala Voyage pour découvrir une nature exubérante, pays riche de la civilisation Maya qui ne nous est pas très familière.

La présence européenne est encore très visible. Les paysages sont totalement différents de ce que nous connaissons, flores, et faunes. Le pays ne manque pas d’atouts mais suppose une certaine discipline, notamment ne pas sortir du groupe (Bien prendre connaissance des infos sur le site) www.diplomatie.gouv.fr/fr/spip.php?page=recherche&recherche=guatemala Syltours propose un voyage de 13 jours, dont le dernier libre et formule all inclusive. Prix 2070 € sur une base de participants de 35 personnes. Documentation, plan du voyage sur demande à louis.charbonnier2@orange.fr.

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Sur la prochaine Gazette et au cours des rencontres amicales, nous vous informerons plus complètement selon l’avancement des dossiers. En attendant il est recommandé de nous faire part rapidement de vos préférences pour l’un ou l’autre, à l’adresse mail ci-dessus. C’est pour nous très important pour discuter les contrats et nous consacrer à la préparation du ou des voyages.

Pensez à vous inscrire au voyage, en Alsace : « les Marchés de Noël », du 7 au 10 décembre

18 septembre 29 septembre 10 octobre 17 octobre 28 octobre 13 novembre Périphérique

Nord Pétanque Belote Théâtre

X- Rousse Le Progrès Musée Paul Dini

° RV St Exup. Bellecour, 13h15

° Début du concours, à 11h, rue F. Peissel ° Resto « Ricochet », au FCL

° RV à 13h30 à l’ALCR

° RV, 14h30 à l’ALCR

° RV 22h30 devant l’entrée, 93 av du Progrès, Chassieu

° RV, 10h, sur place, à Villefranche (Resto possible)

18 septembre Périph. nord

Bulletin d’inscription Nom : Prénom : Tél.

Prix : 5 €

29 septembre Pétanque

Bulletin d’inscription Nom : Prénom : Tél.

CHQ : 7€ + repas 27€

10 octobre Belote

Bulletin d’inscription Nom : Prénom : Tél.

Prix : 7 €

17 octobre Théâtre

Bulletin d’inscription Nom : Prénom : Tél.

Participation

28 octobre Le Progrès

Bulletin d’inscription Nom : Prénom : Tél.

Prix : 6,50 €

13 novembre Musée P. Dini

Bulletin d’inscription Nom : Prénom : Tél.

Prix : 7,50 €

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Petites histoires lyonnaises…

Qui ne mâche pas n’est pas Lyonnais.

A l’occasion de la récupération d’archives familiales, je trouvais quelques feuilles dactylographiées. Elles relataient la 19ème Assemblée Générale des Francs-Mâchons tenue le 30 janvier 1982. Deux personnes de ma famille assistaient à cette journée, d’où l’idée de ce texte. En 1964 se crée une société philanthropique pour la défense et l’encouragement de la tradition du Mâchon. Cette association très active œuvre encore aujourd’hui.

Elle représente le sommet d’une pyramide d’amateurs de cuisine d’inspiration locale, car Lyon est une ville où l’on sait manger. Cet art culinaire peut être consommé dans les Bouchons. Au 18ème siècle, ces maisons lyonnaises de tradition ancienne se distinguaient des nombreux cabarets. Sur l’enseigne en façade se trouvait, parait- il, une petite botte de paille ou une petite branche de pin pour bouchonner les chevaux. Ici, l’essentiel est dans la salle commune, tenue à l’origine par des mères. Un intérieur où se ressentait une ambiance chaleureuse sans chichis, ni tape à l'œil. Au 19ème siècle, chaque bouchon défend sa notoriété par la serviabilité du patron qui trône derrière le comptoir, au savoir-faire de l’épouse qui œuvre dans la cuisine aux prises avec son fourneau, sans oublier la qualité du vin proposé. Il arrive que les portemanteaux rares en ces lieux s’écroulent sous le poids des vêtements et les couvre-chefs se trouvent écrasés comme des matefaims (crêpes). Le décor est planté, à ce sujet citons le regretté Félix Benoit : « Le mâchon lyonnais est la messe dominicale des vrais gones ». Une tradition de casse-croûte à base de cochonnailles ou de tripes, dévoré à une heure matinale arrosé de beaujolais ou de mâconnais. Une petite pause pour se requinquer (reprendre des forces) sur le coup des huit heures du matin pour les travailleurs qui se dépensent depuis six heures ou avant, pour continuer la journée de labeur assez longue. Ce rituel gourmand s’est transformé comme la société. Il en résulte aujourd’hui toute une cuisine de bouchons très prisée par les amateurs ou les touristes à la recherche de saveurs culinaires authentiques. Afin de ne pas tromper la clientèle, une Association de défense des Bouchons lyonnais s’est créée en 1997. L’Association des Francs-Mâchons recommande une cinquantaine d’établissements dignes de la tradition sur Lyon et les environs. Pour mettre l’eau à la bouche du lecteur on peut citer ici quelques spécialités de la cuisine des traboules, mais toute une littérature gourmande existe par ailleurs. Les salades de groins d’âne ou pissenlits ou frisée suivant la saison avec ses lardons poêlés, croûtons et œufs pochés. Saladier lyonnais de pieds de moutons en dés, œuf, foies de volailles et filets de harengs. Fromage de tête de cochon ; gratons ; cervelas truffé ou pistaché cuit servi chaud ou froid.

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Gâteau de foies de volailles ; quenelles sauce Nantua (aux écrevisses) ; andouillette à la beaujolaise. Tablier de sapeur (régal du Maréchal de Castellane 1) ; matelote d’anguilles au côtes-du-rhône Saucisson brioché ; poulet au vinaigre ; galette lyonnaise (purée au four et oignons). Cardons à la moelle. Fromage fort ; St Marcellin affiné par la Mère Richard ; cervelle de Canut Tarte aux pralines ou aux noix ; à la cuerde (citrouille et semoule) Poire beaujolaise ou autres bugnes 2. Tous ces plats sont arrosés avec modération pour le plaisir du gosier. Pour le vin, le patron propose des pots de Beaujolais, Mâconnais, coteaux du Lyonnais, côte rôtie ou Côte-du-Rhône identifiés grâce à des élastiques de couleur passés autour du goulot. La contenance de 46 cl est fixée par une loi de 1843 jugée scélérate par certains. La bouteille élaborée à partir de verre de recyclage présente un gros cul de 4cm. Ce pot lyonnais faisait l’objet d’une vente curieuse et guignolesque surtout dans les clos de jeux de boules. Le bistroquet facturait au métrage les cadavres alignés sur le comptoir suivant la règle mathématique de 14 pots par mètre. Il existe aussi la fillette de 25 à 29 cl. L’humour lyonnais se manifeste à toutes occasions. Durant de nombreuses années, le siège des Francs-Mâchons se trouvait dans Lyon 6ème, à l’angle des rues Garibaldi et Tronchet. En ce lieu se retrouvaient de joyeux participants pour des réunions de dégustations rabelaisiennes dans la joie et la fraternité. En face se trouvait une loge où de doctes Francs-Maçons tenaient des rites initiatiques, mais le tablier n’était pas le même.

Jean-Yves LARGE

Ouvrages consultés / La Cuisine Lyonnaise de Félix Benoit Henri Clos Jouve / La Cuisine Des Traboules de Félix Benoit / Les Bonnes Recettes des Bouchons Lyonnais d’Evelyne et Jean-Marc

BoudouEt…internet. Notes 1 voir gazette ARLB 3ème trim. 2013

2 voir gazette ARLB 4ème trim. 2012

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BRÉVES et INDISCRÉTIONS… retour sur l’actualité

On peut rire de tout, mais pas avec n'importe qui... mais vous, vous n'êtes pas

n'importe qui ! Donc, avec vous, on peut rire de tout ! -------------------------

--- Après les municipales, des ministres ont fait leur valises : ''Le rangement c'est maintenant" ! --- D.S.K va écrire un livre historique : '' Si Dofissotrou Diallo m'était décomptée '' ! Après un 1er tome, il y aura une suite… la 2806 ! --- Bertrand Delanoë cède son fauteuil… et Paris sera, maintenant, muni d'un label car la maire qu'on voit danser, c'est : " label Hidalgo " ! --- Disparition de Micheline Dax. "Micheline" a rejoint… ’’l'essieu" ! --- Les politiques ne veulent pas se rendre en Russie pour défendre l'Ukraine car en jouant les James Bond ils peuvent devenir un… '' Bon baisé de Russie '' ! --- La Bque Pasche Monaco est dans le viseur de la justice. Les juges ont vu rouge et sont sortis de leur "réserve" pour combattre " la Pasche " ! --- Si le mariage n'a pu se faire entre SFR et Bouyghes, c'est qu'ils n'avaient pas la… "fibre" ! --- Présidentielles en Algérie : cette année, nouveau protocole dans les bureaux de vote : on ne disait plus '' A voté'', mais '' A. V. C '' ! --- Divorce de Georges Tronc, le masseur de pieds des secrétaires. Il a passé une annonce : '' Recherche moitié pour devenir femme Tronc '' ! --- Finale de la coupe de la ligue : l'équipe de Rémi Garde a perdu contre celle de Laurent Blanc du PSG. Autrement dit, on a beau être sur ses… Garde, on reste à la merci d'une balle à… Blanc ! --- Jean-Louis Borloo disparaît de la vie politique ....... Il s'est noyé ....... dans un verre d'eau ! --- Surpris au Vatican à distribuer des oeufs de pâques, Urbi et Orbi se sont fait sonner les cloches ! --- Présidentielles en Algérie : Abdellaziz Boutéflika élu… dans un fauteuil ! --- Comme son "Médiator", en son temps, Jacques Servier a été retiré du marché ! --- Berlusconi a été condamné à des travaux d'intérêts général : on va lui faire ravaler des façades ! --- A quoi bon parler du festival de Cannes. On s'y ennuie si fort que même la palme… dort ! --- Crash du boeing de la Malaisia Airlines : les jaunes voient rouge car les blancs n'ont pas trouvés… la boîte noire !

Jean-Claude GAREL