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2015
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201
4
Commissariat général au développement durable
Service de l’observation et des statistiques
Bureau des synthèses
sur le logement et l’immobilier
Tour Séquoia
92055 La Défense cedex
Mél : oslc.soes.cgdd@
developpement-durable.gouv.fr
www.developpement-durable.gouv.fr
Compte du logement 2013Premiers résultats 2014
RéférenceSCOMMISSARIATGÉNÉRAL AUDÉVELOPPEMENTDURABLE
Février2015
Service de l’observation et des statistiques
www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr
En 2013, la dépense totale en logement croît plus vite que l’ensemble du PIB, sous l’effet d’une progression relativement soutenue des dépenses courantes, alors que les dépenses d’investissement diminuent, mais cette situation devrait s’inverser en 2014.
La dépense courante connaît toutefois une croissance moins vive qu’en 2012 sous l’effet d’une évolution relativement faible des prix des loyers et d’un retour à des températures plus proches de la moyenne, qui se répercutent sur les dépenses d’énergie. Ces tendances devraient se poursuivre en 2014, la dépense courante en logement progresserait de 1,0 % en valeur (- 0,5 % en volume).
L’investissement global en logement diminue légèrement en 2013 avant de baisser fortement en 2014. La construction de logements collectifs, qui avait été dynamique durant les années 2011, 2012 et jusqu’en 2013, baisserait en 2014 (- 5,5 %). Les prix dans le neuf et dans l’ancien diminueraient en 2014, comme en 2013.
Commissariat général au développement durable
Service de l’observation et des statistiques
Sous-direction des statistiques,
du logement et de la construction
Tour Séquoia
92055 La Défense cedex
Mél : [email protected]
www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr
Bureau de la diffusion
Tour Séquoia
92055 La Défense cedex
Mél : [email protected]
Dépôt légal : février 2015
ISSN : 2102-474X
ISBN : 978-2-11-138807-9
Impression : imprimerie intégrée du Medde. Imprimé sur du papier certifié écolabel européen www.ecolabel.eu
Conditions générales d’utilisationToute reproduction ou représentation intégrale ou partielle, par quelque procédé que ce soit, des pages publiées dans le présent ouvrage, faite sans l’autorisation de l’éditeur ou du Centre français d’exploitation du droit de copie (3, rue Hautefeuille - 75006 Paris), est illicite et constitue une contrefaçon. Seules sont autorisées, d’une part, les reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective, et, d’autre part, les analyses et courtes citations justifiées par le caractère scientifique ou d’information de l’œuvre dans laquelle elles sont incorporées (loi du 1er juillet 1992 - art. L.122-4 et L.122-5 et Code pénal art. 42.
Directeur de la publication : Paul Delduc
Rédactrice en chef : Anne Bottin
Coordination éditoriale : Claude Baudu-Baret
Auteurs : Emmanuel Caicedo, Pauline Delance, Hélène Faur, Yoann Musiedlak et Gwendoline Volat
Crédit photo : Bernard Suard/MEDDE-MLETRLe Vallon des vignes, commune du Beausset (83)
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
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Rapport de la Commission
des comptes du logement
Compte du logement 2013
Premiers résultats 2014
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
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RAPPORT À LA COMMISSION DES COMPTES DU LOGEMENT
Édition 2014
« La commission des comptes du logement, placée auprès du ministre chargé du logement, est chargée notamment :
- de déterminer, pour l’ensemble des logements et des locaux d’hébergement, la dépense de logement, laquelle réunit les dépenses
liées à l’occupation du logement et celles liées aux acquisitions de logements neufs et aux travaux, en faisant apparaître pour les
premières celles acquittées par les occupants et les bailleurs de logements, et la participation de l’État et des collectivités territoriales
au financement de ces dépenses, et pour les secondes leur mode de financement et les parts prises par les organismes prêteurs et la
collectivité publique ;
- de présenter la place du logement dans l’économie ;
- de décrire l’état du parc de logements, son mode d’occupation et son évolution. » (Article 1 du décret n° 2010-1302 du 29 octobre
2010 relatif aux missions et aux modalités de fonctionnement de la commission des comptes du logement)
Madame Sylvia PINEL, Ministre du logement, de l’égalité des territoires et de la ruralité en assure la présidence,
Madame Sabine BAÏETTO-BEYSSON en assure la vice-présidence.
La composition complète de la Commission figure en annexe du présent rapport, page 269.
« Le rapport annuel sur les comptes du logement est élaboré et présenté à la Commission par le Service de l’observation et des statistiques
du Commissariat général au développement durable, en tant que service élaborant l’information statistique du ministère chargé du
logement. » (Article 6 du décret n° 2010-1302 du 29 octobre 2010 relatif aux missions et aux modalités de fonctionnement de la commission
des comptes du logement).
La rédaction de cette édition du rapport annuel sur les comptes a été assurée, au SOeS, par Mesdames Pauline DELANCE, Hélène FAUR et
Gwendoline VOLAT et Messieurs Emmanuel CAICEDO et Yoann MUSIEDLAK.
Madame Annie MESRINE (SOeS) en est le rapporteur.
Le SOeS tient à remercier l’ensemble de ses partenaires et les fournisseurs de données qui ont permis l’élaboration de cette édition du
rapport et notamment, parmi eux :
- l’Institut national des statistiques et des études économiques
(Insee),
- la Direction générale de l’aménagement, du logement et de la
nature (DGALN) et en particulier le bureau FE5 de la DHUP
- la Direction générale des finances publiques (DGFiP),
- la Banque de France,
- la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des
statistiques (Drees),
- la Caisse des dépôts et consignations (CDC),
- l’Union sociale pour l’habitat (USH),
- la Société de gestion du fonds de garantie de l’accession
sociale à la propriété (SGFGAS),
- l'Agence nationale pour la participation des employeurs à
l'effort de construction (Anpeec),
- la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf),
- le Centre national des œuvres universitaires et scolaires
(Cnous),
- l’Adoma.
Le rapport à la Commission des comptes du logement et l’ensemble des tableaux et graphiques qui le composent, au format Excel, sont
consultables sur le site internet à l’adresse suivante :
http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (rubrique Logement – Construction / Données d’ensemble)
On trouvera également sur ce site des données concernant la construction neuve, le parc de logements, les marchés immobiliers, les
entreprises de construction et des études et analyses dans le domaine du logement.
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
4 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
SOMMAIRE
PREMIÈRE PARTIE – LES PREMIERS RÉSULTATS 2014 ET LE COMPTE 2013........................................ 7
Vue d’ensemble ........................................................................................................................................................... 9
R – Premiers résultats 2014....................................................................................................................................... 15 R1 - Les dépenses courantes de logement – prévisions 2014 16
R2 - Les logements achevés – prévisions 2014 18
R3 - L’activité immobilière – prévisions 2014 20
E – Le logement dans l’économie en 2013 ................................................................................................................ 23 E1 - Bilan économique de l’année 2013 24
E2 - La dépense en logement 26
E3 - Le logement dans l’économie 28
E4 - L’action des pouvoirs publics en 2013 30
D – Les dépenses courantes en 2013 ......................................................................................................................... 35 D1 - Le parc de logements 36
D2 - La consommation associée au service de logement 38
D3 - Les loyers 40
D4 - Les loyers sur longue période, dispositifs de revalorisation 42
D5 - Les dépenses d’énergie et d’eau 44
D6 - Les charges des occupants 46
D7 - La consommation de services de logement par filière 48
D8 - Les redevances dans les structures d’hébergement collectif 50
D9 - Conditions d’occupation des résidences principales 52
D10 - Les propriétaires occupants 54
D11 - Les locataires 56
D12 - Les locataires dans le secteur social 58
D13 - Les locataires du secteur privé 60
P – La production de service de logement en 2013 .................................................................................................. 63 P1 - La production de service de logement - logements ordinaires 64
P2 - Les charges des producteurs 66
P3 - Comptes des bailleurs 68
P4 - Comptes des propriétaires occupants 70
P5 - Le compte des producteurs de service d’hébergement collectif 72
I – L’activité immobilière en 2013............................................................................................................................. 75 I1 - Les acquisitions de logements et les travaux 76
I2 - Le financement des acquisitions et des travaux 78
I3 - Les acquisitions de logements et travaux des ménages 80
I4 - Les acquisitions de logements et travaux des personnes morales 82
I5 - La formation brute de capital fixe en logements neufs 84
I6 - La production de logements neufs 86
I7 - Les logements achevés 88
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A – Les aides au logement et les prélèvements en 2013.......................................................................................... 91 A1 - Les aides au logement en 2013 92
A2 - Les aides aux consommateurs 94
A3 - Les subventions d’exploitation et d’investissement 96
A4 - Les avantages de taux 98
A5 - Les avantages fiscaux aux producteurs 100
A6 - Les aides au logement par filières 102
A7 - Les aides au logement par contributeur 104
A8 - L’Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru) 106
A9 - L’Agence nationale de l’habitat (Anah) 108
A10 - Le Fonds national d’aide au logement (Fnal) 110
A11 - Action logement et l’UESL 112
A12 - Le prêt à taux zéro (PTZ) 114
A13 - Les prélèvements 116
DEUXIÈME PARTIE – NOTES ET DOSSIERS .................................................................................... 119 Modifications apportées au compte dans le cadre du passage à la Base 2010 de comptabilité nationale 121
TROISIÈME PARTIE – TABLEAUX STATISTIQUES............................................................................ 141 Les comptes annuels du logement en 2013 143
Les séries chronologiques du compte du logement 1984 - 2013 149
Les aides publiques et les prélèvements 1984 - 2013 186
Les aides personnelles : répartition et évolution 1984 - 2013 191
Les circuits de financement 1984 - 2013 194
Le parc de logements 1984 - 2013 197
QUATRIÈME PARTIE – ANNEXES ................................................................................................. 203 Présentation du compte du logement 204
Nomenclatures 210
Glossaire 214
Composition de la Commission des comptes du logement 225
Remarques des membres de la commission au cours de la réunion plénière du 12 décembre 2014 226
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PREMIÈRE PARTIE
Les premiers résultats 2014
et le compte 2013
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VUE D’ENSEMBLE
En 2013, la dépense totale en logement croît plus vite que l’ensemble du PIB, sous l’effet d’uneEn 2013, la dépense totale en logement croît plus vite que l’ensemble du PIB, sous l’effet d’uneEn 2013, la dépense totale en logement croît plus vite que l’ensemble du PIB, sous l’effet d’uneEn 2013, la dépense totale en logement croît plus vite que l’ensemble du PIB, sous l’effet d’une progression relativement soutenue progression relativement soutenue progression relativement soutenue progression relativement soutenue
des dépenses courantes, alors que les dépenses d’investissementdes dépenses courantes, alors que les dépenses d’investissementdes dépenses courantes, alors que les dépenses d’investissementdes dépenses courantes, alors que les dépenses d’investissement diminuentdiminuentdiminuentdiminuent, mais cette situation devrait s’, mais cette situation devrait s’, mais cette situation devrait s’, mais cette situation devrait s’inverser en 2014inverser en 2014inverser en 2014inverser en 2014....
La dépense courante connaît toutefois une croissance moins vive qu’en 2012 sous l’effet d’uneLa dépense courante connaît toutefois une croissance moins vive qu’en 2012 sous l’effet d’uneLa dépense courante connaît toutefois une croissance moins vive qu’en 2012 sous l’effet d’uneLa dépense courante connaît toutefois une croissance moins vive qu’en 2012 sous l’effet d’une évolution relativement faible des évolution relativement faible des évolution relativement faible des évolution relativement faible des
prix des loyers et d’un retour à des températures plusprix des loyers et d’un retour à des températures plusprix des loyers et d’un retour à des températures plusprix des loyers et d’un retour à des températures plus proches de la moyenne, qui se répercutent sur les dépenproches de la moyenne, qui se répercutent sur les dépenproches de la moyenne, qui se répercutent sur les dépenproches de la moyenne, qui se répercutent sur les dépenses d’énergie. Ces ses d’énergie. Ces ses d’énergie. Ces ses d’énergie. Ces
tendances devraienttendances devraienttendances devraienttendances devraient se poursuivre en 2014, la dépense courante ese poursuivre en 2014, la dépense courante ese poursuivre en 2014, la dépense courante ese poursuivre en 2014, la dépense courante en logement progresserait de 1,0n logement progresserait de 1,0n logement progresserait de 1,0n logement progresserait de 1,0 % en valeur% en valeur% en valeur% en valeur ((((---- 0,50,50,50,5 % en volume).% en volume).% en volume).% en volume).
L’investissement global en logement diminue légèrement en 2013 avant de baisser fortementL’investissement global en logement diminue légèrement en 2013 avant de baisser fortementL’investissement global en logement diminue légèrement en 2013 avant de baisser fortementL’investissement global en logement diminue légèrement en 2013 avant de baisser fortement en 2014. La constren 2014. La constren 2014. La constren 2014. La construction de uction de uction de uction de
logements collectifs, qui avait été dynamique durant les annéeslogements collectifs, qui avait été dynamique durant les annéeslogements collectifs, qui avait été dynamique durant les annéeslogements collectifs, qui avait été dynamique durant les années 2011, 2012 et jusqu2011, 2012 et jusqu2011, 2012 et jusqu2011, 2012 et jusqu’en 2013, baisserait en 2014 (’en 2013, baisserait en 2014 (’en 2013, baisserait en 2014 (’en 2013, baisserait en 2014 (---- 5,55,55,55,5 %). Les prix %). Les prix %). Les prix %). Les prix
dans le neuf et dans l’anciendans le neuf et dans l’anciendans le neuf et dans l’anciendans le neuf et dans l’ancien diminueraient en 2014, diminueraient en 2014, diminueraient en 2014, diminueraient en 2014, comme en 2013.comme en 2013.comme en 2013.comme en 2013.
La dépense totale en logement, qui réunit les dépenses courantes et d’investissement (glossaire), s’élève à 470,8 milliards d’euros en 2013,
soit 22,3 % du PIB (VE2). Dans un contexte où la croissance de l’économie française reste faible (+ 0,3 % en volume), le poids des dépenses
en logement dans le PIB augmente de 0,2 point et atteint ainsi son plus haut niveau depuis 1984.
La forte progression des dépenses en logement relativement au reste de l’économie est portée par les dépenses courantes (+ 3,0 % en
valeur) qui augmentent plus rapidement que la consommation effective des ménages (+ 1,2 %). En revanche, les dépenses d’investissement
sont orientées à la baisse (- 0,6 % en valeur).
Cette tendance de l’investissement en logement s’inscrit dans l’évolution de la formation brute de capital fixe (FBCF) de l’ensemble de
l’économie, qui se replie également (- 0,6 % en valeur) ; la part du logement dans celle-ci reste donc stable à 25,6 % (VE2).
En 2014, la situation devrait globalement s’inverser : les dépenses en logement reculeraient (- 2,1 % en volume), alors que le PIB
progresserait (+ 0,4 % en volume). Les dépenses courantes en logement diminueraient (- 0,5 % en volume) alors que la consommation
effective des ménages progresserait. De plus, le repli de la FBCF en logement (- 5,9 % en volume après - 0,4 % en 2013) devrait être plus
marqué que celui de la FBCF de l’ensemble de l’économie (- 2,2 % en volume après - 0,8 % en 2013).
VE1. Contribution à l’évolution de la dépense en logement
-5
-3
-1
1
3
5
7
9
11
13
1984
1990
1996
2002
2008
2014
-5
-3
-1
1
3
5
7
9
11
13Dépenses courantes (contribution)Dépenses en capital (contribution)Évolution de la dépense en logement
Évolution en %Points de %
Source : CSL2013
VE2. La part du logement dans l'économie
10,0
12,0
14,0
16,0
18,0
20,0
22,0
24,0
26,0
28,0
30,0
1984 1989 1994 1999 2004 2009 2014
En %FBCF logement/FBCF FBCF logement/FBCF FBCF logement/FBCF FBCF logement/FBCF
CF logement/CF ménage totaleCF logement/CF ménage totaleCF logement/CF ménage totaleCF logement/CF ménage totale
Dépense en logement/PIBDépense en logement/PIBDépense en logement/PIBDépense en logement/PIB
Source : CSL2013, Insee
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
10 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
La baisse de l’activité immobilière s’infléchit en 2013
En 2013, l’activité immobilière (glossaire) s’établit à 274,7 milliards d’euros. Après le rebond de 2010 et 2011, elle recule, en valeur, de
5,7 % en 2012 et de 3,9 % en 2013. L’année 2013 marque un retournement des prix qui reculent (- 1,2 % après + 0,6 % en 2012). Ce
retournement est dû à celui des prix dans le neuf (- 0,9 % après + 2,5 % en 2012) et à l’amplification de la baisse des prix des logements
anciens (- 2,1 %) qui s’étaient déjà repliés en 2012 (- 0,5 %). En volume, la baisse de l’activité immobilière s’est atténuée (- 2,7 %) après la
forte correction intervenue en 2012 (- 6,3 %), en raison principalement de l’inflexion sur le marché de l’ancien (- 4,9 % en volume après
- 10,4 % en 2012). L’investissement en logements neufs est en légère hausse (+ 1,0 % en volume), mais les gros travaux d’entretien-
amélioration qui étaient restés stables en 2012 sont orientés à la baisse en 2013 (- 1,3 %).
En 2014, l’ajustement des prix de l’activité immobilière se poursuivrait, mais moins vivement qu’en 2013 (- 0,5 %). Les volumes resteraient
également orientés à la baisse (- 1,5 %) : la reprise des acquisitions dans l’ancien ne compenserait pas la baisse de l’investissement en
logements neufs.
La baisse des prix dans l’ancien se poursuit en 2014,
malgré la hausse du montant des transactions
En 2013, comme en 2012, le montant des acquisitions diminue
en valeur de 6,9 % (après - 10,9 % en 2012), sous l’effet
principalement de la baisse du nombre de transactions. Divers
facteurs expliquent ce nouveau repli parmi lesquels les
anticipations négatives des ménages et la stagnation du pouvoir
d’achat qui pèse sur leur capacité à financer leurs achats
immobiliers. De plus, le dispositif de « prêt à taux zéro » (PTZ+) a
été restreint en 2012 : il se limite quasi exclusivement à
l’acquisition dans le neuf (hors vente du parc HLM à ses
occupants) et les conditions de ressources, qui avaient été
exceptionnellement supprimées en 2011, ont été réintroduites. Le
nombre de bénéficiaires de PTZ+ diminue ainsi fortement de
326 000 en 2011 à 128 000 en 2012 et à 60 000 en 2013. Cette
faiblesse de la demande dans l’ancien contribue à la baisse des
prix (- 2,1 %).
VE3. Contribution à l’évolution de l’activité immobilière
-25
-20
-15
-10
-5
0
5
10
15
20
2009 2010 2011 2012 2013 2014
-25
-20
-15
-10
-5
0
5
10
15
20Neuf*Ancien*Travaux
Évolution de l'ensemble des
acquisitions et travaux en valeur
Contribution
en points
En %
Source : CSL2013
En 2014, l’ajustement sur les prix se poursuit, mais plus modérément (- 1,3 %). Les volumes des transactions rebondissent et
progresseraient de 3,5 %. Au total, le montant des acquisitions dans l’ancien contribuerait positivement au niveau de l’activité immobilière
(VE3).
Parallèlement, la baisse des volumes de gros travaux d’entretien-amélioration s’atténuerait (diminution de 0,2 % en 2014 après celle de
1,3 % en 2013), malgré la hausse des prix induite par la revalorisation du taux de TVA portant sur les travaux, de 7,0 % à 10,0 % au 1er janvier
2014 (les travaux de rénovation énergétique bénéficiant quant à eux d’un taux de TVA de 5,5 % depuis cette même date).
L’investissement en logements neufs se concentre sur le logement collectif en 2013…
L’investissement en logements neufs de l’ensemble de l’économie est stable en valeur en 2013, à 79,1 milliards d’euros : la hausse des
volumes (+ 1,0 % en 2013), tirée par l’investissement des propriétaires occupants, est compensée par la baisse des prix (- 0,9 %).
L’investissement des ménages en logement s’élève à 59,1 milliards d’euros en 2013 et progresse légèrement (+ 0,6 %) en raison d’une
hausse des volumes (+ 1,5 %). Celle-ci s’explique par la croissance de l’investissement des propriétaires occupants pour lesquels la hausse en
volume est de 7,3 % (après - 2,4 % en 2012). Ils expliquent à eux seuls la progression de l’investissement en logements neufs en 2013.
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 11
À l’inverse, l’investissement en volume des ménages bailleurs diminue fortement (- 17,7 % en 2013). Il est soumis à de fortes fluctuations
liées aux décisions d’investissement qui sont notamment corrélées aux dispositifs fiscaux d’incitation à l’investissement locatif privé, avec un
certain retard lié à la mise en œuvre des chantiers. Ainsi, cette baisse peut s’expliquer en partie par les restrictions successives apportées au
dispositif Scellier et par les incertitudes qui ont pu peser sur sa prolongation avant l’annonce de son remplacement par le dispositif Duflot, au
second semestre 2012. Ainsi, cette baisse en volume succède à une année 2012 de transition (- 3,1 %) et à deux années durant lesquelles
l’investissement en volume avait très fortement progressé (+ 19,6 % en 2010 et + 22,5 % en 2011). Fruit des dynamiques territoriales à
l’œuvre, l’investissement en logements neufs se concentre de plus en plus dans les grandes agglomérations et notamment dans les zones
denses, au détriment de la construction dans les communes rurales. Ainsi, la croissance de la production en logements collectifs (qui
concentre l’essentiel de la production de logements sociaux) est vive (+ 5,1 % en 2013) alors que la production de logements individuels purs
diminue pour la deuxième année consécutive (- 5,2 % après - 5,0 % en 2012). Le nombre de logements collectifs et en résidence produits
devient supérieur à celui du nombre de maisons individuelles (54,2 % en 2013) alors qu’il était inférieur à 40 % au début des années 2000.
… et fléchit nettement en 2014
En 2014, l’investissement en logements neufs diminuerait nettement (- 11,5 % en volume). Comme les années précédentes, cette baisse
concernerait avant tout le logement individuel (- 22,9 %). Dans le collectif, dont une part importante est réalisée par les bailleurs sociaux, la
baisse serait moins importante (- 5,5 %).
Les charges d’intérêt des producteurs de service de logement diminuent
Conséquence du fléchissement de l’investissement et des acquisitions de logements anciens au cours des dernières années, l’année 2013
voit le repli des charges financières (- 5,8 %) des bailleurs, pour la première fois depuis 2000. Ce recul s’explique exclusivement par celui des
intérêts des emprunts immobiliers des ménages (- 5,7 % en 2013) en raison de la baisse de leurs investissements et dans une moindre
mesure de la diminution des taux des crédits.
Après un rebond en 2012 et2013, les prix des loyers
ralentissent légèrement en 2014…
Les dépenses courantes associées au service de logement, qui
regroupent les dépenses de loyers, d’énergie, d’eau et les autres
charges, s’établissent, en 2013, à 331,7 milliards d’euros. Ces
dépenses progressent globalement de façon tendancielle, en
raison de l’évolution du parc de logements et de celle des prix
des loyers (VE4). Les fluctuations annuelles sont principalement
imputables aux consommations d’énergie, particulièrement
sensibles aux aléas climatiques. Les dépenses courantes
ralentissent en 2013 (+ 3,0 % en valeur après + 4,2 % en 2012),
puis en 2014 (+ 1,0 %).
VE4. Contribution à l’évolution des dépenses courantes
-1
0
1
2
3
4
5
6
7
8
2009 2010 2011 2012 2013 2014
Énergie ChargesLoyers
Contribution en points
Ensemble des dépenses
courantes
Source : CSL2013
Entre 2005 et 2010, le rythme de croissance des loyers (réels et imputés – glossaire) a continûment baissé (de 5,6 % à 2,0 %) en raison du
ralentissement des prix, le parc de logements progressant tendanciellement de + 1,1 % par an. En 2012 et en 2013, l’évolution de la dépense
de loyers redevient momentanément plus vive (respectivement + 2,8 % et + 2,6 %) avant de ralentir à nouveau en 2014 (+ 2,3 %). Cette
accélération passagère s’explique en partie par des hausses plus importantes des prix des loyers dans le secteur social, de + 1,8 % en 2012 et
+ 2,0 % en 2013.
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…et les dépenses d’énergie baissent…
Les dépenses d’énergie ralentissent nettement en 2013 (+ 6,6 % en valeur après + 13,0 % en 2012). Ce ralentissement s’explique
principalement par les variations climatiques qui jouent sur les volumes consommés : ils progressent de + 2,1 % en 2013 après le rebond de
2012 (+ 7,2 %) qui faisait suite à une année 2011 exceptionnellement douce. Parallèlement, la hausse des prix est plus modérée (+ 4,4 %
après + 5,5 % en 2012). En effet, la baisse des cours du pétrole (- 2,4 % en rythme annuel en 2013), notamment entre mars et juin 2013,
accentuée par l’appréciation de l’euro vis-à-vis du dollar, se répercute sur les énergies fossiles. Ainsi, le prix du fioul baisse (- 3,1 % en 2013
après + 8,7 % en 2012) et celui du gaz ralentit nettement (+ 4,4 % après + 8,7 % en 2012). À l’inverse, la hausse du prix de l’électricité, qui
représente désormais plus de la moitié de la dépense énergétique dans les logements, accélère (+ 6,5 % en 2013 après + 3,1 % en 2012).
En 2014, sous l’effet de conditions météorologiques particulièrement clémentes, les dépenses d’énergie repartiraient à la baisse (- 9,7 % en
volume). Les prix poursuivraient leur ralentissement y compris celui de l’électricité pour lequel la hausse resterait toutefois vive (+ 5,4 %).
…tandis que les autres dépenses restent globalement stables
Les autres dépenses des occupants des logements en valeur sont, quant à elles, atones. En 2013, elles diminuent à nouveau en volume
(- 1,2 % après - 0,2 % en 2012) tandis que les prix ralentissent nettement (+ 2,4 % après + 3,9 %). Depuis 2009, l’entretien et les petits
travaux connaissent des évolutions en volume très faibles : + 0,1 % pour les parties communes en moyenne annuelle et - 1,4 % pour les
logements eux-mêmes. L’année 2013 se situe au-dessus de cette moyenne mais la croissance en volume reste faible (respectivement
+ 0,1 % et - 0,9 %). La taxe d’enlèvement des ordures ménagères progresse de façon moins soutenue qu’en 2012 (+ 2,6 % en valeur après
+ 3,6 % en valeur) tout comme les dépenses liées aux déménagements et aux frais de baux en raison d’une mobilité résidentielle des
ménages toujours orientée à la baisse depuis 2011.
En 2014, l’ensemble de ces dépenses serait stable en volume (+ 0,1 %) malgré la hausse des prix (+ 3,6 %), induite par la revalorisation du
taux de TVA portant sur les travaux.
En 2013, le niveau des aides au logement diminue
légèrement
En 2013, les aides au logement s’élèvent à 40,8 milliards
d’euros, soit 1,9 % du PIB. Elles diminuent de 1,2 %, soit
500 millions d’euros (VE5), après une croissance forte et continue
entre 2004 et 2010 (+ 7,5 % par an en moyenne) suivie d’un
tassement en 2012.
En 2013, les prestations sociales liées au logement progressent
de 3,9 % (après + 2,7 % en 2012), soit une progression de
750 millions d’euros. Dans un contexte de hausse du chômage et
de baisse du revenu disponible brut des ménages, l’aide
personnalisée au logement connaît une troisième année
consécutive de forte croissance (+ 4,7 %). En outre, les montants
distribués au titre de l’allocation de logement sociale et de
l’allocation de logement familiale accélèrent et progressent
respectivement de + 3,5 % et de + 3,0 %.
VE5. Les aides au logement
0,0
0,5
1,0
1,5
2,0
2,5
1985 1989 1993 1997 2001 2005 2009 2013
En % de PIB Avantages de tauxAvantages fiscauxSubventions d'investissementSubventions d'exploitationPrestations sociales
Source : CSL2013
Les subventions d’investissement augmentent légèrement sous l’effet de la montée en puissance des dépenses du Fonds d’aide à la
rénovation thermique et de la hausse des subventions directes en provenance d’Action logement aux bailleurs sociaux.
En revanche, les avantages fiscaux et les avantages de taux diminuent en 2013, respectivement de 380 millions et de 850 millions. La
baisse des avantages fiscaux concerne principalement les propriétaires occupants. Le crédit d’impôt développement durable destiné à financer
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des gros équipements baisse (- 440 millions en 2013) ainsi que le crédit d’impôt au titre des intérêts des emprunts pour l’acquisition d’une
résidence principale : depuis sa suppression, les dépenses fiscales correspondantes se réduisent mécaniquement au fil du temps (-
350 millions). À l’inverse, les avantages liés aux dispositifs d’incitation à l’investissement locatif privé augmentent (+ 300 millions) sous
l’effet des dernières entrées dans le dispositif début 2012, la décision d’investissement étant intervenue fin 2011. Les autres avantages
fiscaux sont globalement stables. La diminution des avantages de taux touche également les propriétaires occupants à travers la diminution
de l’avantage lié aux PTZ (- 330 millions d’euros), dont le nombre de bénéficiaires se réduit à nouveau de moitié. Parallèlement, les
avantages de taux sur les prêts aux bailleurs sociaux diminuent aussi (- 390 millions) sous l’effet de la baisse des taux de marché.
Révisions des comptes du logement
Plusieurs révisions méthodologiques ont été apportées au compte du logement 2013 relativement au compte 2012. Elles portent essentiellement sur les
charges des occupants (dossier) et des bailleurs qui ont été revues structurellement à la hausse de trois milliards d’euros chacune. Ces révisions visent en
premier lieu à intégrer les changements de méthodes et les nouvelles évaluations du cadre central de comptabilité nationale. Elles concernent notamment
l’entretien et les travaux des parties communes et des logements, les services d’assurance logement et les dépenses liées aux personnels d’immeubles.
D’autres révisions portent sur le chiffrage des aides au logement, notamment les subventions d’investissement au logement locatif social, en recalant les
plans de financement des agréments sur les versements de crédits par les Fonds d’épargne de la Caisse des dépôts.
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R - Premiers résultats 2014
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R1 - LES DÉPENSES COURANTES DE LOGEMENT – PRÉVISIONS 2014
Les dépenses courantes en logement ordinaire des ménages
ralentissent de nouveau en 2014 (+ 1,0 % après + 3,0 % en 2013
et + 4,2 % en 2012) pour atteindre 324,6 milliards d’euros (R1.1
et R1.2). La croissance des dépenses courantes en valeur résulte
de la hausse des prix (+ 1,5 %) tandis que les volumes diminuent
de 0,5 %.
Une année 2014 particulièrement douce Les dépenses courantes diminuent en volume principalement
en raison de la baisse des dépenses d’énergie et d’eau : elles
diminueraient de - 8,1 % en volume (R1.4). Cette évolution
s’explique par des conditions météorologiques particulièrement
clémentes en 2014. Parallèlement les prix progressent de 2,6 %
après + 5,7 % en 2013. La décélération des prix serait
directement liée aux évolutions des prix des produits pétroliers,
en forte baisse depuis juin 2014, diminution accentuée par
l’appréciation de l’euro vis-à-vis du dollar sur la même période. En
revanche, l’évolution du prix de l’électricité resterait vive
(+ 5,4 %).
Les dépenses de loyer progresseraient de 2,3 % en 2014, soit
un nouveau ralentissement après celui de 2013 (+ 2,6 % après
+ 2,8 % en 2012). L’évolution en volume resterait proche de
celles des deux dernières années, tandis que les prix ralentiraient
pour la deuxième année consécutive (+ 0,9 % après + 1,3 % en
2012). Contrairement à l’année 2013 où le ralentissement des
prix n’avait concerné que le secteur libre, la décélération des prix
en 2014 concernerait aussi le secteur social en 2014. Les loyers ne
contribueraient donc que pour 1,6 point de croissance aux
dépenses courantes, contre 1,9 point en 2013 (R1.3).
Enfin, les autres charges des occupants devraient expliquer
0,4 point de croissance des dépenses courantes en valeur. Ces
autres charges progresseraient de 3,7 % en valeur imputable
essentiellement à l’augmentation des prix (+ 3,6 %) en raison
notamment du passage de 7 % à 10 % du taux de TVA réduit
dans le secteur de l’entretien et des petits travaux. Les volumes
des autres charges sont quasiment stables (+ 0,1 %).
Des évolutions de dépenses courantes proches d’une
filière à l’autre Les évolutions des dépenses par filières sont aussi imputables
aux effets de structure induits par l’évolution du parc de logement
par filière et en termes d’équipements énergétiques. Ainsi, les
évolutions en volume sont très différentes d’une filière à l’autre
(R1.5). En revanche, les évolutions des dépenses par logement
(R1.6) sont plus proches. En 2014, les dépenses par logement des
occupants du secteur libre devraient connaître une très légère
hausse (+ 0,2 %) alors que celle des locataires du secteur social et
celles des propriétaires occupants seraient en baisse (- 0,1 %).
Cette différence tient notamment à des évolutions des prix des
loyers différentes mais également à des effets de structure des
charges dont les prix évoluent de façon diverses, notamment
pour les énergies.
Prévisions 2014 : les hypothèses retenues
Les évolutions annuelles des dépenses en volume et en prix présentées pour l’année 2014 mêlent données observées et prévisions.
PrixPrixPrixPrix
Énergie : les prix sont gelés à fin octobre 2014 et une évolution de - 0.01 % a été appliquée sur les produits pétroliers en accord avec les prévisions
conjoncturelles de l’Insee.
Eau : les prix sont gelés à fin octobre 2014.
Loyers : l’évolution des prix est obtenue à partir des évolutions trimestrielles enregistrées par les enquêtes sur les loyers de l’Insee. Les trois premiers
trimestres de l’année 2014 sont connus pour le secteur libre et seulement les deux premiers pour le secteur social. Les évolutions ont été considérées
comme identiques jusqu’à la fin de l’année.
Charges : les indices de prix des différents postes sont calés sur l’évolution des prix à la consommation, à octobre 2014, les deux derniers mois étant
estimés.
VolumesVolumesVolumesVolumes
Parc de logements : l’évolution du parc de logements repose en 2014 sur une baisse du nombre de logements terminés (fichefichefichefiche R3 R3 R3 R3). L’ensemble du parc
progresserait de + 1,1 %. Les structures par filières évoluent tendanciellement.
Énergie : la météo est mesurée par le nombre de degrés-jours relevés par Météo France (nombre cumulé de degrés en deçà de 18°C des jours où la
température est inférieure à 18 degrés). Les données sont disponibles de janvier à octobre 2014 et estimées pour les deux derniers mois à partir de la
moyenne du nombre de degrés-jours observés depuis 1984. Au total, sur l’année 2014, la baisse s’établirait à - 18,7 %. La structure du parc de logements
par équipement de chauffage est supposée évoluer comme les années précédentes. Les consommations unitaires (en kWh par m²) à climat constant des
énergies sont maintenues identiques à celles de 2013.
Autres charges : pour l’entretien et les petits travaux des logements, les volumes évoluent conformément à la note de conjoncture de la CAPEB en raison
de la suspension du baromètre entretien amélioration. L’évolution des autres charges en volume est calée sur des tendances d’évolution des
consommations unitaires et est donc essentiellement liée au parc.
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R1.1 Le montant des dépenses courantes dans les logements ordinaires
VolumeVolumeVolumeVolume PrixPrixPrixPrix ValeurValeurValeurValeur VolumeVolumeVolumeVolume PrixPrixPrixPrix ValeurValeurValeurValeur
Loyers 1,3 1,3 2,6 1,3 0,9 2,3 234 916 72,4
Énergie et eau 1,7 4,0 5,7 -8,1 2,6 -5,7 52 645 16,2
Charges -1,2 2,4 1,2 0,1 3,6 3,7 37 045 11,4
Ensemble des dépenses courantesEnsemble des dépenses courantesEnsemble des dépenses courantesEnsemble des dépenses courantes 1,11,11,11,1 1,91,91,91,9 3,03,03,03,0 -0,5-0,5-0,5-0,5 1,51,51,51,5 1,01,01,01,0 324 605 324 605 324 605 324 605 100,0 100,0 100,0 100,0
Structure 2014 Structure 2014 Structure 2014 Structure 2014
(en %)(en %)(en %)(en %)
2013/2012 (en %)2013/2012 (en %)2013/2012 (en %)2013/2012 (en %) Montant 2014Montant 2014Montant 2014Montant 2014
(millions d'euros)(millions d'euros)(millions d'euros)(millions d'euros)
2014/2013 (en %)2014/2013 (en %)2014/2013 (en %)2014/2013 (en %)
Champ : logements ordinaires uniquement
Source : CSL2013, prévision pour 2014
R1.2 Décomposition volume / prix de l’évolution des
dépenses courantes
-1
0
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
1985
1990
1995
2000
2005
2010
Prix
Volume
en %
Champ : logements ordinaires uniquement
Source : CSL2013, prévision pour 2014
R1.3 Contribution des postes de dépenses à l’évolution en
valeur de la dépense courante
-1
0
1
2
3
4
5
6
7
8
2009 2010 2011 2012 2013 2014
Énergie ChargesLoyers
Contribution en points
Ensemble des dépenses
courantes
Champ : logements ordinaires uniquement
Source : CSL2013, prévision pour 2014
R1.4 Évolution en volume des dépenses courantes
100
110
120
130
140
150
160
170
1985 1989 1993 1997 2001 2005 2009 2013
LoyersEnergieChargesEnsemble des dépenses courantes
évolutions en volume, indice 100 en 1984
Champ : logements ordinaires uniquement
Source : CSL2013, prévision pour 2014
R1.5 Évolution par filières des dépenses courantes
VolumeVolumeVolumeVolume PrixPrixPrixPrix ValeurValeurValeurValeur
Propriétaires accédants -3,1 1,5 -1,6 58 251
Propriétaires non accédants 0,6 1,4 2,0 139 935
Locataires secteur libre -0,4 1,5 1,1 62 971
Locataires secteur social -0,8 1,9 1,1 39 439
Résidences secondaires 0,8 1,2 2,0 24 010
Ensemble des filièresEnsemble des filièresEnsemble des filièresEnsemble des filières -0,5-0,5-0,5-0,5 1,51,51,51,5 1,01,01,01,0 324 605 324 605 324 605 324 605
Montant 2014Montant 2014Montant 2014Montant 2014
(millions d'euros)(millions d'euros)(millions d'euros)(millions d'euros)
2014/2013 (en %)2014/2013 (en %)2014/2013 (en %)2014/2013 (en %)
Source : CSL2013, prévision pour 2014
R1.6 Évolution des dépenses par logement pour les
principales filières en 2014 LoyersLoyersLoyersLoyers ÉnergieÉnergieÉnergieÉnergie ChargesChargesChargesCharges TOTALTOTALTOTALTOTAL
Propriétaires occupants 1,0 -6,4 2,7 -0,1
Locataires secteur libre 1,7 -7,0 2,9 0,2
Locataires secteur social 1,6 -7,5 2,5 -0,1
Source : CSL2013, prévision pour 2014
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R2 - LES LOGEMENTS ACHEVÉS – PRÉVISIONS 2014
En 2014, les autorisations de construire, nettes des annulations,
baissent pour la troisième année consécutive (- 8,4 % après
- 14,6 % en 2013). Les mises en chantier diminuent également
(- 11,7 % après - 0,8 % en 2013). Le nombre de logements
terminés connaît, lui aussi, une évolution similaire
(- 5,3 % après + 5,0 % en 2013 - R2.1). Il s’élève à 412 000
unités après 435 000 en 2013, et 414 200 en 2012.
Le nombre de logements terminés dans le collectif
continue d’augmenter, l’individuel chute
Le nombre de logements individuels terminés en 2014 décroît
fortement (- 11,6 % après – 2,0 % en 2013 – R2.2). Cette baisse
concerne à la fois l’individuel pur et l’individuel groupé. Le
nombre de maisons individuelles (individuel pur) terminées
s’élève à 124 700 unités contre 144 800 en 2013, soit une
diminution de 13,9 %. Il se situe donc à un niveau très en dessous
de celui des années 2000, proche des 160 000 maisons
individuelles terminées par an et en-dessous du creux de 2010.
L’individuel groupé, diminue lui aussi (- 5,8 % en 2014 après
+ 1,7 % en 2013). Le niveau de logements terminés (près de
55 000 en 2014) reste néanmoins supérieur à celui des années
2000.
À l’inverse, le nombre de logements collectifs et en résidence
terminés reste en légère augmentation en 2014 (+ 0,2 %) pour
s’établir à 232 400 unités. Cette hausse s’explique exclusivement
par celle des logements collectifs (+ 0,7 % en 2014) qui est en
partie compensée par la diminution du nombre de logements et
en résidence (- 3,5 % en 2014). Après quatre années de
progression, le niveau de logements collectifs en résidence
terminés s’établit à un niveau historique en 2014, largement
supérieur à celui des années 2000 à 2005 (de l’ordre de 114 700
à 147 000 logements terminés). Ce maintien de l’activité et du
nombre de logements terminés fait écho au nombre de
logements collectifs et en résidence autorisés (nets des
annulations) les années précédentes, et ce malgré la diminution
des autorisations intervenue en 2013 (181 000 logements
autorisés contre 214 000 en 2012). La progression des logements
collectifs et en résidence terminés résulte d’une part de l’effort
d’investissement des bailleurs sociaux au cours des dernières
années (fiche I4) et d’autre part du raccourcissement des délais
de construction (infra).
Repli de la construction sauf dans l’unité urbaine de
Paris
Les évolutions très contrastées entre le collectif et l’individuel,
se traduisent sur le territoire : le nombre de logements achevés
se replie avant tout dans les communes rurales (- 15,5 % en 2014
- R2.3). Seule l’unité urbaine de Paris connaît une progression du
nombre de logements terminés (+ 7,4 % en 2014). Les unités
urbaines de plus de 100 000 habitants sont en léger repli
(- 2,0 %).
Les délais de construction se contractent Tous types de logements confondus, le délai entre l’ouverture de
chantier et l’achèvement des travaux se replie encore en 2014. Il
s’établit désormais à 16,1 mois en moyenne pour les chantiers
fermés en 2014 (après 16,8 mois en 2013 et 17,1 mois en 2012).
Cette diminution est due à une contraction des délais à la fois
dans le collectif (18,8 mois en 2014 après 20,0 mois en 2013) et
dans l’individuel (12,7 mois en 2014 après 13,2 mois en 2013).
Shon – Surface plancher
Suite à l’ordonnance n° 2011-1539, à partir du 1er mars 2012 la « surface de plancher » est l’unique référence pour l’application de l’ensemble des règles
d’urbanisme.... La mesure de la surface plancher pour un logement ou un permis diffère de l’ancienne mesure en Shon (surface hors œuvre nette) et induit
une rupture dans les séries établies à partir de la base Sit@del2. Afin de reconstruire des séries homogènes (en surface de plancher), des coefficients ont été
appliqués aux permis anciens, permettant de traduire une Shon en surface plancher, et ce en fonction de leur date de dépôt (antérieure ou postérieure à la
date d’application de la nouvelle norme de surface). Les dates de dépôts ne correspondant pas à la date réelle d’autorisation, la déformation est étalée sur
l’ensemble des permis autorisés en 2012. Le graphique R2.4 montre le résultat de cette rétropolation par type de logement.
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R2.1 Logements autorisés bruts et nets des annulations et
logements terminés (données annuelles)
50
150
250
350
450
550
650
2000 2002 2004 2006 2008 2010 2012 2014
terminésterminésterminésterminésautorisés netsautorisés netsautorisés netsautorisés nets
autorisés brutsautorisés brutsautorisés brutsautorisés bruts
Milliers de logements
Champ : France métropolitaine
Source : CSL2013 d’après SOeS-Sit@del2 base au 30/10/14
R2.2 Logements terminés selon le type (données
annuelles)
100
130
160
190
220
250
280
2000 2002 2004 2006 2008 2010 2012 2014
Milliers de logements
CollectifCollectifCollectifCollectif
IndividuelIndividuelIndividuelIndividuel
Champ : logements terminés en France métropolitaine - Le collectif
intègre les résidences.
Source : CSL2013 d’après SOeS-Sit@del2 base au 30/10/14
R2.3 Nombre de logements achevés selon le type
d’espace
0
20
40
60
80
100
120
140
160
180
2000 2002 2004 2006 2008 2010 2012 2014
Commune ruraleUnité urbaine de moins de 100 000 habitantsUnité urbaine de plus de 100 000 habitantsUnité urbaine de Paris
Milliers de logements
Champ : logements terminés en France métropolitaine
Source : CSL2013 d’après SOeS-Sit@del2 base au 30/10/14
R2.4 Rétropolation des surfaces plancher
40
50
60
70
80
90
100
110
120
130
140
2011 2012 2013
individuel purindividuel purindividuel purindividuel pur
individuel groupéindividuel groupéindividuel groupéindividuel groupé
surface collectée surface plancher
collectifcollectifcollectifcollectif
résidencesrésidencesrésidencesrésidences
m² par nombre de logements
Champ : logements terminés en France.
Source : CSL2013 d’après SOeS-Sit@del2 base au 30/09/13
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R3 – L’ACTIVITÉ IMMOBILIÈRE - PRÉVISIONS 2014
LLLL’ac’ac’ac’activité immobilièretivité immobilièretivité immobilièretivité immobilière en 2014 s’établit à 269,4 milliards
d’euros. Elle recule pour la troisième année consécutive, mais à
un rythme ralenti (- 1,9 % après - 3,9 %). La diminution est
moins importante tant pour les volumes (- 1,5 % en 2014 après
- 2,7 %), que pour les prix (- 0,5 % après – 1,2 % en 2013).
La formation brute de capital fixe (FBCF)La formation brute de capital fixe (FBCF)La formation brute de capital fixe (FBCF)La formation brute de capital fixe (FBCF) s’établit à
113,6 milliards d’euros. En volume, elle fléchit à nouveau (- 5,9 %
après - 0,4 % en 2013 et – 1,2 % en 2012 – R3.5). En revanche,
son prix augmente légèrement (+ 0,7 % en 2014 après - 0,2 %
en 2013).
Diminution de la construction neuve en 2014 Contrairement aux années précédentes, c’est le neuf qui
explique seul la baisse de l’activité immobilière en 2014
(- 3,7 points de croissance). L’investissement en logements neufs
diminue nettement (- 12,8 %) en 2014 après une quasi stabilité
en 2013 (+ 0,1 %). Il s’établit à 69,0 milliards d’euros (R3.2).
Cette baisse s’explique par la diminution des volumes (- 11,5 %
en 2014 après + 1,0 % en 2013), accompagnée d’une nouvelle
diminution des prix (- 1,4 % en 2014 après - 0,9 % en 2013 -
R3.1).
Cette estimation fait écho à une forte diminution de la
production de logements neufs de 13,8 %. Elle s’effondre pour le
logement individuel pur (- 22,9 %) orienté à la baisse depuis la
crise de 2008 à l’exception d’un rebond en 2011. Mais elle
diminue également fortement pour le collectif (- 5,5 %) alors
même qu’elle était en forte croissance les trois années
précédentes (+ 6,5 % en moyenne annuelle). L’investissement
pourrait néanmoins être un peu supérieur compte tenu du
phénomène de stockage des années précédentes et de la baisse
de prix qui semble se poursuivre.
Les acquisitions de logements anciens et les travaux
augmentent en 2014
La contribution importante du neuf à la baisse de l’activité
immobilière en valeur (- 3,7 points) est contrebalancée par un
retour à la hausse des acquisitions dans l’ancien (+ 1,2 point) et
par une relative stabilité des gros travaux (+ 0,6 point – R3.3).
L’activité immobilière dans l’ancien reprend légèrement en
2014 (+ 2,1 %) après deux années de baisse. Les acquisitions de
logements anciens s’établissent à 152,9 milliards d’euros. La
baisse des prix des transactions ralentit (- 1,3 % en 2014 après
- 2,1 % en 2013 - R3.4).
De même, les travaux d’entretien-amélioration du logement
augmentent en 2014 (+ 3,6 % en valeur après - 0,2 % en 2013)
pour s'établir à 47,5 milliards d’euros. Toutefois, les volumes
restent orientés à la baisse (- 0,2 %), alors que les prix
progressent sous l’effet de la hausse de TVA (+ 3,9 %).
Perspectives 2014 : les hypothèses retenues
Acquisitions de logements anciensAcquisitions de logements anciensAcquisitions de logements anciensAcquisitions de logements anciens - L’évolution en valeur des acquisitions des logements anciens est estimée à partir de la série des droits
d’enregistrement, publiée par le CGEDD à partir des données de la DGFiP. On retient les logements assujettis aux droits de mutation à 3,60 % (3,80 % depuis
le 1er janvier 2011, le taux de 0,20 % au profit de l’État ayant parallèlement disparu), soit des logements vendus plus de cinq ans après leur achèvement, ou
vendus avant ce délai, mais ayant déjà fait l’objet d’une mutation à titre onéreux postérieure à l’achèvement. Les droits d’enregistrement sont connus
jusqu’à octobre 2014 puis estimés pour les deux derniers mois.
Les prix sont issus de l’indice Insee-Notaires. Les trois premiers trimestres 2014 sont connus et le dernier trimestre estimé à partir de l’évolution du dernier
trimestre 2013.
TravauxTravauxTravauxTravaux - Les travaux d’entretien-amélioration recouvrent une gamme très diverse de prestations (réfection de toiture, ravalement, installation d’un
système de chauffage…). Ils sont classés en investissement dans la mesure où ils accroissent la valeur du logement existant ou prolongent sa durée de vie.
En 2014, en raison de la suspension du baromètre entretien amélioration du logement publié par le club de l’amélioration de l’habitat, les évolutions
retenues sont celles de la note de conjoncture de la CAPEB. L’évolution des prix des travaux est donnée par l’IPEA ; le premier semestre 2014 est connu et le
dernier estimé.
Investissements en logementsInvestissements en logementsInvestissements en logementsInvestissements en logements neufs neufs neufs neufs - L’évolution en valeur découle de l’estimation faite sur les prix et sur les volumes. Concernant les prix, l’estimation
est basée sur l’ICC (Indice du coût de la construction) : le premier semestre est connu, le deuxième estimé. Concernant les volumes, ils sont donnés par la
production en volume selon la même méthodologie que pour les fiches I et en s’appuyant sur des estimations des autorisations. Les évolutions de stocks
sont nulles pour 2014.
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R3.1 Activité immobilière et évolution en 2013 et 2014
2014201420142014 2013201320132013 VolumeVolumeVolumeVolume PrixPrixPrixPrix ValeurValeurValeurValeur VolumeVolumeVolumeVolume PrixPrixPrixPrix ValeurValeurValeurValeur
Investissement en logements neufs 69,0 79,1 -11,5 -1,4 -12,8 1,0 -0,9 0,1
Acquisition de logements anciens 152,9 149,7 3,5 -1,3 2,1 -4,9 -2,1 -6,9
Travaux 47,5 45,9 -0,2 3,9 3,6 -1,3 1,2 -0,2
Ensemble de l'activité immobilièreEnsemble de l'activité immobilièreEnsemble de l'activité immobilièreEnsemble de l'activité immobilière 269,4269,4269,4269,4 274,7274,7274,7274,7 -1,5-1,5-1,5-1,5 -0,5-0,5-0,5-0,5 -1,9-1,9-1,9-1,9 -2,7-2,7-2,7-2,7 -1,2-1,2-1,2-1,2 -3,9-3,9-3,9-3,9
Valeur Valeur Valeur Valeur Évolution 2014/2013Évolution 2014/2013Évolution 2014/2013Évolution 2014/2013 Évolution 2013/2012Évolution 2013/2012Évolution 2013/2012Évolution 2013/2012
(en milliards d'euros) (en %) (en %)
Source : CSL 2013, prévision pour 2014
R3.2 Montant de l’activité immobilière par segments
0
50
100
150
200
90 92 94 96 98 00 02 04 06 08 10 12 14
Logements neufs*
Acquisition dans l'ancien*
Travaux
en milliards d'euros
* : y compris frais et droits liés
Source : CSL 2013, prévision pour 2014
R3.3 Contributions des différents segments à l’activité
immobilière
-25
-20-15
-10
-50
5
1015
20
2009 2010 2011 2012 2013 2014
-25
-20-15
-10
-50
5
1015
20Neuf*Ancien*Travaux
Évolution de l'ensemble des
acquisitions et travaux en valeur
Contribution
en points
En %
* : y compris frais et droits liés
Source : CSL 2013, prévision pour 2014
R3.4 Évolution annuelle des prix de l’activité immobilière
-10
-5
0
5
10
15
20
00 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 13 14
Neuf (1)Ancien (2)Travaux (3)
en %
Sources : (1) : Insee – Indice du coût de la construction (ICC)
(2) : Indices Notaires-Insee
(3) : Insee – Indice de prix de l’entretien amélioration (IPEA)
SOeS, prévision pour 2014
R3.5 Partage volume-prix de la formation brute de capital
fixe (FBCF)
-15
-10
-5
0
5
10
15
03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 13 14
en prixen volume
en %
* : y compris frais et droits liés
Source : CSL 2013, prévision pour 2014
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E – Le logement dans l’économie
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E1 - BILAN ÉCONOMIQUE DE L'ANNÉE 2013
En 2013, la croissance de l’économie française reste faible : le
produit intérieur brut en volume progresse de 0,3 % pour la
deuxième année consécutive.
Les stocks diminuent également pour la deuxième année
consécutive, après leur reconstitution qui avait tiré la croissance
en 2011, quoique de façon moins marquée qu’en 2012 : ils
contribuent pour – 0,2 point de PIB (- 0,6 point en 2012).
La consommation des ménages, qui avait connu, en 2012, son
premier recul depuis la crise de 1993, repart légèrement à la
hausse (+ 0,2 % après – 0,5 % en 2012), et ce malgré une
poursuite à la baisse sur les biens manufacturés (- 0,8 % après
– 1,5 % en 2012). Elle tire avec elle les importations, qui repartent
plus sensiblement à la hausse (+ 1,7 % après - 1,3 %). Dans le
même temps, les exportations accélèrent légèrement (+ 2,2 %
après + 1,1 %), profitant de l’accélération du commerce mondial.
L’investissement, en revanche, repart à la baisse (- 1,0 % après
+ 0,3 %) et pèse sur le dynamisme de la demande intérieure.
L’investissement des ménages décélère encore Seul
l’investissement des administrations reste orienté à la hausse.
Les investissements diminuent pour l’ensemble des
agents économiques
Après le rebond de 2010 et 2011, la formation brute de capital
fixe (FBCF) de l’ensemble des agents économiques repart à la
baisse en 2013 (- 1,0 % après + 0,3 % en 2012 et + 2,1 % en
2011 et 2010) ; elle contribue pour - 0,2 point à l’évolution du PIB
(E1.1). Compte tenu de leur poids, ce repli est avant tout dû aux
entreprises non financières qui réduisent nettement leurs
investissements (- 0,9 % après + 0,1 %), notamment dans la
construction (- 2,7 % après - 4,0 %). Mais elle est aussi imputable
aux ménages qui connaissent une baisse de leur investissement
pour la deuxième année consécutive (- 3,1 % en 2013 après
– 2,2 %). De ce fait, la production dans la construction se
contracte de nouveau (- 1,4 % après – 1,7 % en 2012). La FBCF
des administrations ralentit mais sa croissance reste positive.
L’emploi repart à la baisse et le pouvoir d’achat par
unité de consommation recule encore
Après avoir progressé de 2,7 % en 2010 et de 2,0 % en 2011,
l’emploi intérieur total ralentit nettement en 2012 et en 2013
(respectivement + 0,1 % et + 0,4 % - E1.2). L’emploi salarié
recule (- 0,3 % après + 0,0 % en 2012). Dans le même temps, le
salaire moyen par tête décélère à nouveau (+ 1,2 % en 2013,
après + 1,9 % en 2012 et + 2,1 % en 2011) tandis que les
cotisations sociales salariales accélèrent suite à la suppression des
exonérations sur les heures supplémentaires (+ 5,0 % en 2013).
Enfin, les prestations sociales décélèrent. En conséquence, le
revenu disponible brut des ménages ne croît que faiblement en
2013 (+ 0,6 % en valeur après + 0,5 % en 2012), malgré un
ralentissement de la hausse des impôts et une contribution
positive des revenus du patrimoine. Ainsi, malgré des prix de la
consommation des ménages qui ralentissent à nouveau (+ 0,6 %
en 2013 après + 1,2 % en 2012), le pouvoir d’achat du revenu
disponible brut des ménages par unité de consommation recule
pour la troisième année consécutive (E1.3).
Mais les dépenses de consommation des ménages
se redressent, au détriment de l’épargne
Après la baisse historique de la dépense de consommation
finale des ménages en 2012, celles-ci repartent à la hausse en
2013 (+ 0,2 %). Les dépenses des administrations publiques
accélèrent légèrement.
De fait, la légère hausse des dépenses de consommation des
ménages joue sur leur épargne brute, qui diminue de 0,4 % en
valeur (après – 1,9 % en 2012). Leur taux d’épargne perd ainsi
0,1 point, pour s’établir à 15,1 %.
Ainsi, malgré des taux d’intérêt des prêts à l’habitat
historiquement bas en 2013 (E1.4), l’investissement des ménages
en logement reste orienté à la baisse (fiche I3). Le montant des
nouveaux crédits à l’habitat se stabilise autour de 125 milliards
d’euros et leurs charges d’intérêt liés aux prêts immobiliers
diminuent (fiche ¨P1).
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E1.1 Contributions à l’évolution du Produit intérieur brut
en volume
-3
-2
-1
0
1
2
3
4
2002
2004
2006
2008
2010
2012
Dépense de consommation finaleFormation brute de capital fixeSolde extérieur des biens et servicesVariation de stocks
En points de PIB
PIB
Source : Insee
E1.2 Évolutions de la production, de l'emploi et de la
productivité du travail
-5
-4
-3
-2
-1
0
1
2
3
4
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
Production en volume
Productivité horaire du travail
Emploi intérieur total en ETP
En %
Source : Insee
E1.3 Évolution du pouvoir d'achat et de la consommation
des ménages
-2
-1
0
1
2
3
2002
2004
2006
2008
2010
2012
Évolution des dépenses de consommation
finale des ménages en volume
Évolution du pouvoir d'achat du RDB des
ménages
En %
Sources : Insee-Comptes nationaux
E1.4 Évolution des taux d'intérêts et de l'endettement et
l'épargne des ménages
-4
0
4
8
12
16
20
2002
2004
2006
2008
2010
2012
En %
Évolution annuelle de
l'endettement des ménages
Taux d'épargne des ménages
Taux d'intérêt
nominal EONIA
Taux d'intérêt réel
Sources : Insee, Banque de France, BCE
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E2 - LA DÉPENSE EN LOGEMENT
En 2013, la dépense en logement, qui mesure l’effort consacré
par l’ensemble des agents économiques au domaine du
logement (encadré), s’établit à 470,8 milliards d’euros (E2.1). Elle
progresse de 2,6 %, soit l’évolution la plus faible depuis 1984 en
dehors de l’année 2009 qui avait connu un recul 3,7 %.
Baisse des dépenses d’investissement La dépense d’investissement englobe les dépenses destinées à
accroître le parc de logements ou à prolonger sa durée de vie,
c’est-à-dire les acquisitions de logements neufs et les gros
travaux (encadré). Elle s’établit à 139,1 milliards d’euros en 2013,
soit 29,5 % de la dépense en logement de l’année.
Après le rebond qui a succédé à la crise de 2009, la dépense
d’investissement s’est fortement ralentie en 2012 (+ 0,5 %) et
diminue légèrement, en 2013 (- 0,5 %). Elle contribue
négativement à hauteur de 0,1 point à la croissance de la
dépense en logement (E2.1 et E2.2). Cette baisse tient à celle de
la FBCF en volume (- 2,7 %) en partie compensée par la hausse
des prix (+ 1,9 %) (E3.5 et fiche I1).
Accélération des dépenses courantes Les dépenses courantes s’élèvent à 331,7 milliards d’euros en
2013, soit plus des deux tiers de la dépense totale en logement
(E2.4). Elles connaissent une progression plus tendancielle que les
dépenses d’investissement (E2.3) : le parc de logements ainsi que
l’évolution des prix des loyers et l’inflation impriment largement
cette tendance. Les fluctuations sont principalement imputables
aux consommations d’énergie, particulièrement sensibles aux
aléas climatiques.
En 2013, les dépenses courantes progressent de 3,0 %, une
évolution relativement modérée et proche de celle de moyen
terme (+ 3,6 % sur 10 ans). Elle s’explique par une évolution des
prix des loyers relativement faible malgré une accélération dans
le secteur social et par un retour à des températures plus proches
de la moyenne en 2012 et 2013, qui limite le côté erratique des
dépenses d’énergie des occupants.
La dépense en logement
La dépense en logementLa dépense en logementLa dépense en logementLa dépense en logement est un agrégat qui mesure l’effort consacré par l‘ensemble des agents économiques au domaine du logement. Il est évalué sans
double compte.
Les dépenses courantesLes dépenses courantesLes dépenses courantesLes dépenses courantes incluent les dépenses retracées aux tableaux 20 du CSL que les ménages consacrent à l’usage courant de leur logement
(consommation de service de logement). Elles couvrent les loyers des locataires, les loyers imputés des propriétaires occupants, évalués sur la base de loyers
quittancés pour des logements similaires dans le parc locatif privé, mais aussi les dépenses connexes liées à l’occupation du logement, telles que les
dépenses d’énergie, les charges locatives, les travaux d’entretien courant, les impôts et les taxes. Y est adjointe, dans le cas des locaux d’hébergement
collectif, le montant des redevances versées par les résidents. Ces dépenses sont, depuis la Base 2010, de la consommation finale de biens et services dans
le cadre central. Elles incluent également les charges des producteurs liées aux logements vacants ainsi que les subventions d’exploitation reçues par les
producteurs de service de logement (encadré fiche E3). Elles n’incluent pas les avantages fiscaux aux consommateurs.
Les dépenses d’investissementLes dépenses d’investissementLes dépenses d’investissementLes dépenses d’investissement ou dépenses en capital, comprennent les achats de logements - les acquisitions de logements neufs et le solde des
acquisitions et des cessions de logements anciens - les achats de terrains, les travaux de gros entretien et les frais liés à ces opérations. À l’exclusion des
terrains d’assises, ces dépenses contribuent à la formation brute de capital fixe de l’ensemble de l’économie et, de ce fait, entrent dans le produit intérieur
brut, à l’instar des dépenses courantes. Elles incluent également deux avantages fiscaux aux producteurs, directement destinés à favoriser l’investissement :
les exonérations de TFPB pour les logements sociaux et les logements neufs ainsi que le le régime de TVA à taux réduit pour les opérations d’investissement
locatif social.
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E2.1 Les composantes de la dépense en logement
montants en milliards d'euros 1990199019901990 1995199519951995 2000200020002000 2005200520052005 2010201020102010 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013
Consommation effective de biens et services des occupants 129,9 173,1 204,1 254,4 302,3 305,8 319,1 328,7
Logements ordinaires 127,8 169,7 200,4 249,9 296,7 299,5 312,1 321,3
Locaux d'hébergement collectif 2,2 3,4 3,7 4,5 5,7 6,3 7,0 7,4
Charges des producteurs liées aux logements vacants 2,3 2,2 1,8 2,0 2,4 2,5 2,7 2,8
Subventions d’exploitation aux producteurs (hors bonifications) 0,1 0,1 0,2 0,2 0,2 0,2 0,2 0,2
Dépense couranteDépense couranteDépense couranteDépense courante 132,4132,4132,4132,4 175,5175,5175,5175,5 206,1206,1206,1206,1 256,6256,6256,6256,6 304,9304,9304,9304,9 308,5308,5308,5308,5 321,9321,9321,9321,9 331,7331,7331,7331,7
Formation brute de capital fixe 59,2 59,7 74,0 101,0 109,5 119,7 120,4 119,6
Logements neufs 31,6 29,5 36,2 53,7 54,5 62,0 63,4 63,4
Gros travaux d'entretien-amélioration 22,9 26,4 31,7 36,8 44,2 45,3 46,0 45,9
Autres composantes de la FBCF 4,7 3,8 6,1 10,4 10,8 12,4 11,0 10,3
Investissement en terrains (sur le champ de la FBCF) 6,9 5,7 10,8 16,1 14,0 16,2 16,3 16,3
Avantages fiscaux liés à l'investissement (partiel) 0,8 0,7 1,4 1,8 3,2 3,2 3,1 3,2
Dépense d'investissementDépense d'investissementDépense d'investissementDépense d'investissement 66,966,966,966,9 66,266,266,266,2 86,286,286,286,2 118,9118,9118,9118,9 126,7126,7126,7126,7 139,0139,0139,0139,0 139,8139,8139,8139,8 139,1139,1139,1139,1
Dépense en logementDépense en logementDépense en logementDépense en logement 199,3199,3199,3199,3 241,7241,7241,7241,7 292,3292,3292,3292,3 375,4375,4375,4375,4 431,6431,6431,6431,6 447,6447,6447,6447,6 461,7461,7461,7461,7 470,8470,8470,8470,8
Source : CSL2013
E2.2 Contribution à l’évolution de la dépense en logement
-5
-3
-1
1
3
5
7
9
11
13
1985
1990
1995
2000
2005
2010
-5
-3
-1
1
3
5
7
9
11
13Dépenses courantes (contribution)Dépenses en capital (contribution)Évolution de la dépense en logement
Évolution en %Points de %
Source : CSL2013
E2.3 Évolution annuelle des dépenses courantes et de
l’investissement
-15
-10
-5
0
5
10
15
1985 1990 1995 2000 2005 2010
Évolution annuelle en %
Dépenses courantes
Investissement
Source : CSL2013
E2.4 Montant des différentes composantes de la dépense
en logement
0
100
200
300
400
500
1984 1987 1990 1993 1996 1999 2002 2005 2008 2011
Dépenses courantes
Dépenses en capital
Dépenses en logement en milliards d'euros
Source : CSL2013
E2.5 Évolution des dépenses courantes et de la FBCF neuf
en prix et en volume
-45
-35
-25
-15
-5
5
15
2000
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013 -6
-3
0369
121518
2124
Dépenses courantes en prix (->)Dépenses courantes en prix (->)Dépenses courantes en prix (->)Dépenses courantes en prix (->)
FBCF neuf en prix ( ->)FBCF neuf en prix ( ->)FBCF neuf en prix ( ->)FBCF neuf en prix ( ->)
Dépenses courantes en Dépenses courantes en Dépenses courantes en Dépenses courantes en
volume (<-)volume (<-)volume (<-)volume (<-)
Évolution en volume en % Évolution en prix en %
FBCF neuf en volume (<-)FBCF neuf en volume (<-)FBCF neuf en volume (<-)FBCF neuf en volume (<-)
Source : CSL2013
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E3 - LE LOGEMENT DANS L’ÉCONOMIE
Globalement, en 2012, la dépense en logement, qui intègre les
dépenses courantes et celles en capital (encadré fiche E2), s’élève
à 470,8 milliards d’euros et équivaut à 22,3 % du PIB (encadré).
Ce ratio augmente de 0,2 point en 2013 et atteint ainsi son plus
haut niveau depuis 1984. Il a fortement progressé tous les ans
entre 2002 et 2006 (E3.1). Depuis le début de la crise
économique en 2007, les cycles immobilier et économique
étaient redevenus assez proches en amplitude, contrairement à
ce qui avait été observé sur la période 2002-2006, où la vitalité
du secteur du logement contrastait avec la relative atonie du
reste de l’économie (E3.2). Dans un contexte de ralentissement,
la dépense en logement redevient plus dynamique que la
demande intérieure en 2012 et 2013.
La FBCF logement représente 29,8 % de la FBCF
totale
Le poids du logement dans la FBCF totale reste stable en 2013
après un léger rebond en 2011, consécutif à la crise de 2009 et
2010 qui a particulièrement concerné le logement.
La FBCF en logements neufs (+ 0,0 %) évolue de façon
comparable à la FBCF des entreprises non financières (- 0,4 %).
La FBCF des ménages en logement (97,1 milliards d’euros en
2013) équivaut à 48,6 % de leur épargne en 2013.
Le logement : premier poste de la consommation
des ménages
Le logement est le premier poste de la consommation des
ménages devant l’alimentation ou les transports. En vingt-quatre
ans, la part du logement s’est accrue : en 1984, 17,4 % de la
consommation effective des ménages était consacrée au
logement contre 21,9 % en 2013.
Comme en 2012, la croissance des dépenses courantes est
supérieure à celle de la dépense de consommation effective des
ménages en 2013 (+ 3,0 % contre + 1,2 % - E3.4), accentuant
encore le poids du logement : les dépenses courantes
représentent 19,4 % du revenu disponible brut ajusté des
ménages.
Les aides au logement représentent 1,9 % du PIB Cette dépense courante n’est pas intégralement supportée par
les ménages. En 2013, les prestations sociales liées au logement
s’élèvent à 19,9 milliards d’euros et représentent 2,8 % de
l’ensemble des prestations sociales. Elles couvrent 5,1 % des
dépenses courantes des ménages. Cette part a progressivement
augmenté jusqu’en 2000 avant de décroître (E3.5).
Malgré ces aides, le logement occupe une place majeure dans
le budget des ménages : en 2012, ceux-ci consacrent 23,5 % de
leur revenu disponible brut aux dépenses courantes de logement
(nettes des aides), soit deux fois plus qu’aux dépenses
d’alimentation ou de transport.
Au-delà de ces aides aux consommateurs, 19,4 milliards d’aides
sont versées aux producteurs de logements notamment afin de
favoriser leur investissement. Elles représentent 0,9 % du PIB en
2013, contre 1,0 % pour les aides aux consommateurs (E3.6).
Concepts et méthodes : le logement dans l’économie
Un logement est destiné à loger un ménage qui peut en être propriétaire ou locataire. L’usage des logements s’interprète comme la consommation d’un
« service » produit par les propriétaires pour le compte de leurs locataires, s’ils sont bailleurs ou pour leur propre compte, s’ils occupent eux-mêmes leur
logement.
Les logements constituent le capital productif des producteurs du service de logement, en l’occurrence leurs propriétaires. Il est logique de considérer que
le service lié à l’occupation des logements abonde la richesse nationale dès lors que ce capital est utilisé, c’est-à-dire lorsque les logements sont occupés,
que leur occupant soit locataire ou propriétaire. Pour les propriétaires occupants, la production du service de logement, effectuée pour leur compte propre,
est une activité non marchande. Le montant de cette production, évalué par les loyers imputés, abonde leurs revenus et apparaît en emploi dans leur
consommation finale.
Ainsi, la production du service de logement dépend du nombre de logements occupés et de leurs caractéristiques, mais pas du statut d’occupation des
logements. Il diffère des sommes effectivement dépensées par les ménages pour se loger qui n’intègrent pas de loyers imputés mais à l’inverse
comprennent les remboursements d’emprunts immobiliers des accédants. Son évolution, comme celle de la dépense nationale, n’est pas affectée par la
hausse de la proportion de propriétaires qui fut une des tendances fortes des cinquante dernières années, ni par la baisse de la proportion de logés gratuits
(de 7,7 % des ménages en 1984 à 2,6 % en 2012).
Les dépenses courantes de logement, qui représentent une part importante de la consommation effective des ménages, contribuent au produit intérieur
brut (PIB). C’est aussi le cas de la FBCF en logement, qui correspond aux dépenses en capital exceptée la valeur des terrains d’assises des logements neufs.
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E3.1 Part entre agrégats du compte du logement et la
comptabilité nationale
10,0
15,0
20,0
25,0
30,0
1984 1989 1994 1999 2004 2009
En %
FBCF logement/FBCF FBCF logement/FBCF FBCF logement/FBCF FBCF logement/FBCF
CF logement/CF ménage totaleCF logement/CF ménage totaleCF logement/CF ménage totaleCF logement/CF ménage totale
Dépense en logement/PIBDépense en logement/PIBDépense en logement/PIBDépense en logement/PIB
Sources : CLS2013, Insee
E3.2 Évolution annuelle de la dépense en logement et de
la demande intérieure
-4
-1
2
5
8
1985 1988 1991 1994 1997 2000 2003 2006 2009 2012
Demande intérieure
Demande en logement
Évolution annuelle en %
Sources : CLS2013, Insee
E3.3 Évolution en prix et en volume de la dépense en
logement
-6,0
-4,0
-2,0
0,0
2,0
4,0
6,0
8,0
2001 2003 2005 2007 2009 2011 2013
En volume
En prix
En %
Source : CLS2013
E3.4 Évolution annuelle de prix
-1,0
0,0
1,0
2,0
3,0
4,0
5,0
2001 2003 2005 2007 2009 2011 2013Dépense couranteConsommation finale effectiveDépense en logementPIB
En %
Sources : CLS2013, Insee
E3.5 Part des prestations sociales liées au logement dans
la dépense courante et dans l’ensemble des prestations
sociales
2,0
3,0
4,0
5,0
6,0
7,0
1985 1989 1993 1997 2001 2005 2009 2013
Part des aides personnelles dans les dépenses courantes
Part des prestations sociales liées au logement* dans
l'ensemble des prestations sociales
En %
* hors FSL et ALT
Sources : CLS2013, Insee-Comptes nationaux
E3.6 Part des aides au logement dans le PIB
0,0
0,5
1,0
1,5
2,0
2,5
1985 1989 1993 1997 2001 2005 2009 2013
En %
Total des aides / PIB
Aides aux producteurs / PIB
Aides aux consommateurs / PIB
Sources : CLS2013, Insee-Comptes nationaux
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E4 – L’ACTION DES POUVOIRS PUBLICS EN 2013
Publication de la loi de mobilisation du foncier public et de renforcement des obligations de
logement social
La loi n° 2013-61 du 18 janvier 2013 vise à favoriser la résorption du déficit de logements et à favoriser la construction de logements
sociaux au travers de diverses mesures.
1. La mobilisation du foncier de l’État
Le texte prévoit la mobilisation du foncier de l’État et de ses établissements publics, pour la construction de logements, notamment sociaux.
Ainsi, il est prévu une décote sur la valeur vénale des terrains du domaine privé de l’État, et de ses établissements publics, pouvant aller
jusqu’à la gratuité, lorsque cette cession est faite pour la construction de logements sociaux et très sociaux. Le programme de construction
concernant les parcelles doit être réalisé dans les 5 ans et consacrer 75 % de la surface de plancher à la construction de logements. En outre,
la décote est d’autant plus importante que les loyers sont plus bas (projets en PLAI ou en PLUS) et les terrains situés dans des zones tendues
(A et B1). L’accession sociale, certains locaux d’hébergement collectif et les aires d’accueil pour les gens du voyage sont également éligibles à
la décote. Le foncier public peut être aussi mobilisé par l’intermédiaire de baux emphytéotiques qui peuvent faire l’objet d’une décote.
2. Le renforcement du dispositif de réquisitions de logements vacants
Le texte prévoit la réduction à 12 mois (contre 18 auparavant) du délai au terme duquel la vacance peut être constatée et la limitation à
24 mois (sans limitation auparavant) du délai pendant lequel un propriétaire peut réaliser des travaux et met en location son logement.
3. Le relèvement du quota de logements sociaux
Le texte relève, à horizon du 31 décembre 2025, de 20 % à 25 % le taux minimum de logements sociaux inscrits à l’article 55 de la loi SRU
pour les communes de plus de 3 500 habitants (1500 pour l’Île-de-France), comprises dans une agglomération de plus de 50 000 habitants
pour lesquelles le parc de logements existant justifie d’un effort de production supplémentaire pour répondre à la demande et aux capacités à
se loger des personnes à revenus modestes. Le taux de 20 % est maintenu dans les agglomérations ne justifiant pas de ce dernier critère. Le
texte étend également, à compter du 1er janvier 2017, le périmètre de cette obligation d’atteindre en 2025 un taux de 20 % de logements
sociaux aux communes dites « isolées », de plus de 15 000 habitants, connaissant une croissance rapide et durable du parc de logements et
nécessitant également un effort de construction supplémentaire. Le décret n° 2013-670 définit notamment les modalités selon lesquelles la
nécessité de cet effort de production supplémentaire est évaluée en s’appuyant sur les indicateurs de tensions construits à partir des données
issues des systèmes d’informations nationaux (RPLS, SNE et CNAF) et le décret n° 2014-870 fixe la liste des EPCI, des agglomérations et des
communes isolées concernées par une obligation de 20 % de logements sociaux.
4. Le renforcement des sanctions pour les communes ne remplissant pas leurs obligations de construction de logements sociaux
Le texte prévoit enfin le renforcement des pénalités applicables aux communes ne respectant pas les obligations de taux de logements
sociaux. Il permet aux préfets de département de quintupler le montant du prélèvement prévu en cas de constatation de la carence et
plafonne ce montant à 7,5 % des dépenses de fonctionnement (contre 5 % auparavant) pour les communes disposant d’un potentiel fiscal
supérieur à 150 % du potentiel fiscal médian des communes concernées. Les communes concernées par un arrêté de carence se voient par
ailleurs imposer d’autres obligations et sanctions comme, par exemple, la nécessité de respecter un minimum de 30 % de logements sociaux
dans toute construction d’immeuble collectif (plus de douze logements ou plus de 800 m² de surface plancher).
Les majorations de prélèvements dues à des arrêtés de carence financent un Fonds national de développement géré par la Caisse de
garantie du logement locatif social (CGLLS) destiné à la construction de logements locatifs sociaux pour les personnes rencontrant des
difficultés économiques et sociales.
Publication de la loi habilitant le Gouvernement à adopter des mesures législatives pour
accélérer les projets de construction La loi n° 2013-569 du 1er juillet 2013 a pour objet de répondre, dans l’urgence, aux difficultés des personnes à se loger et aux difficultés
économiques frappant le secteur de la construction en habilitant le Gouvernement à adopter par ordonnance, dans un délai de quatre à huit
mois, des mesures législatives permettant d'accélérer les projets de construction. Plus concrètement, cette loi et les sept ordonnances qui en
ont découlé ont permis :
- De lutter contre les recours malveillants et fluidifier le traitement des contentieux (ordonnance n° 2013-638) en permettant
notamment le versement de dommages et intérêts aux porteurs des projets de construction en cas d’allongement excessif des délais
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de réalisation lié à ces recours malveillants, en obligeant à la transparence fiscale des transactions liées à la résorption des litiges, en
transférant pour une durée expérimentale de cinq ans la compétence en premier et dernier ressort sur ces dossiers aux tribunaux
administratifs et en permettant aux juges de régulariser des permis de construire en cours d’instance et de contenir la durée
d’instruction (date limite au dépôt de motifs d’annulation).
- De favoriser les projets de densification, et notamment la transformation d’immeubles de bureaux inutilisés en logements (ordonnance
n° 2013-889) en permettant aux maires des communes situées en zones tendues de déroger aux règles du PLU relatives au volume,
au gabarit, et à la densité de la construction, quand un projet le mérite.
- De sécuriser les acquéreurs en mettant fin à la garantie intrinsèque prévue en cas de défaillance du promoteur (ordonnance
n° 2013-890) et obliger ces derniers de justifier au 1er janvier 2015 d’une garantie financière de l’achèvement de l’immeuble ou d’une
garantie financière de remboursement.
- De créer une procédure intégrée pour le logement dans le cadre de la réalisation de projets d'aménagement ou de construction
considérés d'intérêt général (ordonnance n° 2013-888). Celle-ci vise à rendre compatibles les différents documents d’urbanisme (plans
locaux d’urbanisme, schémas de cohérence territoriale, schémas d'aménagement régionaux, schéma directeur d'Ile-de-France, plan
d'aménagement et de développement durable de Corse) et à simplifier et fusionner les étapes des procédures d'urbanisme afin de
permettre l’adaptation de normes supérieures (respect du principe de lutte contre l’étalement urbain et de l’artificialisation des sols
notamment) et de diviser par deux les délais nécessaires à la réalisation de ces projets.
- De lancer la création d’un portail national de l'urbanisme à horizon du 1er janvier 2016 afin d'améliorer l'accès aux documents
d'urbanisme et aux servitudes d'utilité publique opposables aux projets d'aménagement et de construction (ordonnance
n° 2013-1184).
- D’augmenter le taux de garantie d’emprunt maximal accordé par les collectivités territoriales pour la réalisation d’opérations
d’aménagement présentant un intérêt général particulier, notamment la construction de logements à coûts maîtrisés, afin de faciliter
leur concrétisation (ordonnance 2013-1185)
- De créer un statut spécifique pour soutenir la construction de logements intermédiaires (ordonnance n° 2014-559) dont le décret
n°2014-1102 fixe les plafonds de ressources, de loyers et de prix.
Mesures inscrites ou découlant des lois de finances (LF 2013 et LFR 2012)
1. Le dispositif d’investissement locatif Duflot succède au Scellier Le dispositif Duflot de soutien à l’investissement locatif privé (article 199 novovicies du CGI) entre en vigueur au 1er janvier 2013 et se
substitue au dispositif Scellier. Il est prévu qu’il s’éteigne au 31 décembre 2016.
Le nouveau dispositif est basé sur le même schéma fiscal, à savoir une réduction d’impôt sur le revenu du montant de l’investissement en
logements neufs ou acquis en l’état futur d’achèvement (ou assimilés, en cas de gros travaux), étalée sur 9 ans (un neuvième par an),
plafonné à 300 000 euros, à un taux de 18 % (13 % pour le Scellier 2012, avec des possibilités de prolongation du dispositif portant le taux à
17 % sur 12 ans et 21 % sur 15 ans), sous couvert d’un engagement de location sur 9 ans pour un loyer inférieur à des plafonds de loyer
définis par zones. Le taux de réduction d’impôt pour l’outremer est de 29 %.
Le nouveau dispositif est étendu à deux logements maximun par an et non plus un seul (dans la limite des 300.000 euros néanmoins). Par
ailleurs, les zones éligibles ont été revues (seuls les logements en zone A, B1 et B2 ayant fait l’objet d’un agrément préfectoral sont
désormais éligibles) et les plafonds de loyers au m² sont calculés afin de refléter un loyer au m² égal à 80 % celui du marché libre (le loyer
maximum s’obtient par multiplication du plafond de loyer au m² par le coefficient : 0,7 + 19/surface, coefficient plafonné à 1,2). Le loyer au
m² ne peut excéder les plafonds ci-dessous (qui peuvent être modulés localement à la baisse par les préfets de région).
2009-20102009-20102009-20102009-2010 2011-20122011-20122011-20122011-2012 2009-20102009-20102009-20102009-2010 2011-20122011-20122011-20122011-2012
Zone A bis 22,08 € 17,66 € 16,52 €
Zone A 16,38 € 13,10 € 12,27 €
Zone B 1 15,45 € 13,22 € 12,36 € 10,58 € 9,88 €
Zone B 2 12,63 € 10,78 € 10,10 € 8,62 € 8,59 € *
Zone C - 7,50 € - 6,00 € -
2013201320132013
Situation du Situation du Situation du Situation du
logementlogementlogementlogement
22,22
secteur libresecteur libresecteur libresecteur libre
17,78
secteur intermédiaire secteur intermédiaire secteur intermédiaire secteur intermédiaire
Les modifications intervenues entre le dispositif Scellier et le dispositif Duflot affectant le coefficient de structure ne permettent pas une comparaison directe
entre les plafonds des différents dispositifs.
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En outre, certaines restrictions à l’éligibilité sont apportées relativement au précédent dispositif :
- des plafonds de ressources des locataires sont requis ;
- le locataire ne peut être ni un membre du foyer fiscal ni un ascendant, ni un descendant ;
- le prix d’achat ne doit pas dépasser 5 500 € / m² (décret du 29 décembre 2012) ;
- les délais de construction sont restreints et l’achèvement doit intervenir dans les trente mois (à compter de la déclaration d’ouverture
de chantier pour les vefa et de la date d’obtention du permis de construire pour la construction pour compte propre).
2. Prolongation du dispositif Censi-Bouvard Le dispositif fiscal Censi-Bouvard d’investissement locatif concernant la location meublée non professionnelle de résidences étudiants, de
tourisme ou pour personnes âgées (article 199 sexvicies du CGI), qui prenait fin au 31 décembre 2012, est prolongé jusqu’en 2016. Le taux de
la réduction d’impôt, calculé sur la valeur de l’investissement plafonné à 300 000 euros est fixé à 11 %.
3. Crédit d’impôt pour les dépenses prescrites par un plan de prévention des risques technologiques (PPRT)
Le taux du crédit d’impôt lié aux dépenses des propriétaires occupants ou des propriétaires bailleurs (sous conditions de location) pour des
travaux prescrits par un plan de prévention des risques technologiques (PPRT) (article 200 quater A du CGI) passe de 30 % à 40 % à compter
du 1er janvier 2013 et jusqu’au 31 décembre 2014.
4. Diminution de la part de CSG déductible La contribution sociale généralisée (CSG) reste fixée à 8,2 % des revenus imposables au titre de l’impôt sur le revenu, mais la part
déductible passe de 5,8 % à 5,1 %.
5. Renforcement de la taxe sur les logements vacants À compter de 2013, la taxe sur les logements vacants (article 232 du CGI) connaît un élargissement de son champ d’application. D’une part,
elle s’applique désormais aux zones d’urbanisation continue de plus de 50 000 habitants (contre les seules agglomérations de plus de
200 000 habitants auparavant) en cas de déséquilibre marqué entre l’offre et a demande de logements ; la liste des communes concernées
est fixée par le décret n° 2013-392. D’autre part, les critères d’appréciation de la vacance sont renforcés : un logement est considéré vacant
(au 1er janvier) s’il n’a pas été occupé plus de 90 jours consécutifs au cours de l’année écoulée alors qu’il était auparavant considéré comme
vacant s’il n’avait pas été occupé plus de 30 jours consécutifs sur les deux dernières années.
En outre, le taux de la taxe à compter de la deuxième année de vacance est porté de 15 % à 25 % (il reste de 12,5 % la première année).
Dans le même temps, la période de vacance ouvrant la possibilité pour les communes hors champ d’application de la taxe sur les logements
vacants d’imposer à la taxe d’habitation les logements vacants est raccourcie de cinq à deux ans.
6. Création d’une taxe additionnelle sur les plus-values immobilières Une taxe additionnelle sur les plus-values immobilières (article 1609 nonies G du CGI) est créée, pour les ventes d’immeubles réalisées à
compter du 1er janvier 2013, lorsque le montant imposable (au titre des plus-values et après application de l’abattement pour durée de
détention) est supérieur à 50 000 euros. Elle ne concerne donc ni les cessions de terrains à bâtir ni les cessions de résidences principales
(exonérées d’impôts sur les plus-values). Elle est calculée en appliquant un barème progressif (2 % à 6 %) au montant total de la plus value
imposable.
Le produit de cette taxe est affecté, pour les années 2013, 2014 et 2015, à un fonds contribuant au financement du logement locatif social
et de la rénovation urbaine suite à la supression du prélèvement sur le potentiel financier des organismes HLM.
7. Le PTZ est recentré sur les ménages les plus modestes Le plafond de ressources fixé par décret pour accéder au dispositif de PTZ oscillera entre 18 500 (zone C) et 36 000 euros (zone A) pour une
personne seule (contre une fourchette de 26 500 à 43 500 euros auparavant). Un différé total de remboursement est réintroduit pour les
deux premières tranches de ressources. En outre, la condition de performance énergétique est entrée en vigueur au 1er janvier 2013.
8. Modification du financement de l’Anah La loi de finances pour 2013 (article 43) a affecté à l'Anah, dans la limite annuelle de 590 millions d’euros, le produit de la vente d'actifs
carbone et de la mise aux enchères de quotas d'émission de gaz à effet de serre. Ce produit constitue désormais la plus grande partie des
ressources de l'Agence.
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9. Action Logement : financement partiel du Fnal et accès aux ressources du Fonds d’épargne
De façon concomitante au nouveau dispositif de financement de l’Anah (supra), la loi de finances pour 2013 prévoit que Action logement
finance le fonds national d’aide au logement (Fnal) à hauteur de 400 millions d’euros.
L’UESL a par ailleurs accès aux ressources du Fonds d’épargne de la Caisse des dépôts et consignations pour un emprunt d’un montant total
de 3 milliards d’euros sur la période 2013-2015. Ces ressources permettront au mouvement Action logement afin de consentir des prêts
finançant la construction, la réhabilitation et l’acquisition de logements sociaux. Les prêts souscris par l’UESL auprès du fonds d’épargne
bénéficient en outre de la garantie de l’État.
Autres points sur la politique du logement
1. Entrée en vigueur de la réglementation thermique 2012 (RT 2012) Suite au « Grenelle de l’environnement », la nouvelle réglementation thermique (RT2012) fixe à 50 kWh d’énergie primaire par m² et par
an le niveau moyen performance énergétique des bâtiments neufs. Déjà entrée en vigueur au 28 octobre 2011 pour les logements en zone
Anru, elle devient applicable au 1er janvier 2013 à tous les permis de construire pour des bâtiments à usage d’habitation : maisons
individuelles, logements collectifs, cités universitaires, foyers de jeunes travailleurs…
2. Prime « rénovation énergétique » de 1350€ Dans le cadre du plan de rénovation énergétique de l’habitat, l’État a mis en place fin 2013, pour une durée limitée, une prime
exceptionnelle de 1 350 € pour aider les ménages aux revenus moyens à financer des travaux de rénovation énergétique de leur logement.
Cette prime s’adresse uniquement aux propriétaires occupant leur logement, pour des travaux de rénovation thermique lourde concernant
leur résidence principale. L’octroi de l’aide est soumis à des conditions de ressources et concerne certaines catégories de travaux identifiées.
Les demandes de primes peuvent être effectuées jusqu’au 31 décembre 2014.
3 Encadrement de l’évolution des loyers à la relocation et au renouvellement de bail En application de l'article 18 de la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 qui permet de fixer un montant maximum d'évolution des loyers dans les
zones géographiques où le niveau et l'évolution des loyers traduisent une situation anormale du marché locatif, le décret n° 2013-689 du
30 juillet 2013 encadre les loyers en cas de nouveau bail. Il prévoit qu’un bail pour un logement remis en location et qu’un renouvellement de
bail ne puissent pas être l’objet d’une hausse de loyer supérieure à celle de l’indice de référence des loyers (IRL). Le décret fixe en outre les
limites de la hausse possible dans les cas particuliers, notamment lorsqu’il est constaté une sous-estimation manifeste des loyers ou lorsque
des travaux d’amélioration ont été réalisés.
4. Signature du pacte État-HLM
L’État et le Mouvement HLM, au travers de l’USH et des cinq fédérations concernées (OPH, ESH, FNSCHLM, UESAP et FNAR) ont signé, le
lundi 8 juillet 2013, un pacte d’objectifs et de moyens afin d’assurer la mise en œuvre du Plan d’investissement pour le logement, annoncé le
21 mars 2013 par le Président de la République et, en particulier, la construction de 150 000 logements locatifs sociaux par an et la
réhabilitation thermique de 120 000 logements locatifs sociaux par an.
Selon les termes de ce pacte, conclu pour la période 2013-2015, et en contrepartie des moyens mis en œuvre par l’État en faveur du
logement social (moyens financiers accrus, stabilisation de l’environnement fiscal et de financement, taux de TVA réduits sur la construction et
la rénovation des logements sociaux, mobilisation du foncier public, renforcement des obligations de production s’imposant aux
communes…), le mouvement HLM s’engage notamment :
- à construire 120 000 logements locatifs sociaux par an,
- à en réhabiliter thermiquement 100 000,
- à mettre en place un dispositif de mutualisation d’une partie des fonds propres afin de garantir que ceux-ci se portent là où les
investissements sont nécessaires,
- à accompagner la mise en place de la réforme des attributions,
- et à étendre le champ des missions sociales des organismes HLM.
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D – Les dépenses courantes
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D1 – LE PARC DE LOGEMENTS EN 2013
Au 1er juillet 2013, le parc s’élève à 34,6 millions de logements
(France entière). Il se compose pour l’essentiel de résidences
principales (28,8 millions de logements en 2013, soit 83,2 % du
parc) mais également de résidences secondaires (9,3 %) et de
logements vacants (7,5 %). Il progresse de 369 000 unités par
rapport à l’année précédente, soit + 1,08 % (D1.1).
Une légère accélération de la croissance du parc, qui
concerne toutes les catégories
La croissance du parc est très régulière : autour d’une croissance
annuelle moyenne de 1,12 % sur les 20 dernières années, la
croissance du parc a oscillé entre + 0,97 % et + 1,26 % par an,
soit une augmentation pouvant varier de 280 000 à
400 000 logements selon les années. En 2013, la hausse s’établit
à 1,08 %, soit une légère accélération par rapport à 2012
(+ 1,06 %) et 2011 (+ 1,05 %), qui avait marqué un point bas.
Cette accélération est tirée par les résidences principales. Après
une période de ralentissement de leur croissance entre 2001
(+ 1,41 %) et 2010 (+ 0,92 %), celle-ci repart à la hausse depuis
2011. Elle s’établit à + 1,04 % en 2013 (soit 295 000 logements
supplémentaires par rapport à 2012), encore éloignée de la
croissance de long terme (+ 1,16 % sur 20 ans).
Le nombre de résidences secondaires renoue également, depuis
2011, avec une croissance relativement élevée par rapport à la fin
des années 2000. Leur nombre progresse de 0,64 % en 2013, au-
dessus de la croissance sur 20 ans (+ 0,56 %).
Les logements vacants, eux, restent sur une croissance forte
(+ 2,11 % en 2013) mais ralentie par rapport à celle de la fin des
années 2000.
L’accélération du nombre de résidences principales
concerne l’ensemble des segments
L’accélération du nombre de résidences principales concerne
désormais toutes les filières. Si celle du nombre de locataires du
secteur social (+ 0,86 % en 2013) est en accélération constante
depuis 2005 (+ 0,45 %) et celle des locataires du secteur privé
(+ 1,21 % en 2013) l’est depuis 2008 (+ 0,90 %), la croissance du
nombre de propriétaires occupants semble aussi repartir
légèrement à la hausse : elle s’établirait à 1,05 % en 2013 après
0,97 % en 2011. Ainsi, la part des propriétaires occupants dans
l’ensemble du parc de résidences principales se stabilise à 57,6 %
depuis 2009.
Cette accélération concerne en outre les logements individuels
(+ 1,06 %) comme les logements collectifs (+ 1,01 %), à
l’exception des logements sociaux individuels dont la croissance
resterait faible (+ 0,48 % en 2013).
Elle s’appliquerait également à l’ensemble des zonages, y
compris les grandes agglomérations où la croissance du nombre
de résidences principales est en légère reprise, bien que très
inférieure à la hausse du début des années 2000. Ce sont les
zones rurales qui restent les plus dynamiques : + 1,4 % en 2013
contre + 0,7 % dans les unités urbaines de plus de 100 000
habitants et + 0,6 % dans l’agglomération parisienne.
Le chiffrage du parc de logements
Chaque année, l’Insee réalise, en partenariat avec le SOeS, un travail de synthèse et d’arbitrage pour chiffrer le parc des logements ordinaires au 1er janvier
et le décrire en fonction de la catégorie de logement (résidence principale, résidence secondaire, logement vacant), le type de logement (collectif,
individuel), le statut d’occupation (ou la filière) et la localisation (par tailles d’unités urbaines). Pour les besoins du CSL, cette estimation est ramenée à un
parc annuel moyen par demi-somme entre deux 1ers janvier. Cela permet de caler sur ce parc moyen les estimations des flux monétaires correspondant à
une année civile entière décrits dans le CSL et, notamment, les évolutions en volume des loyers et des autres dépenses courantes.
Jusqu’en 2006, deux sources principales permettaient d’estimer les séries : le parc total était essentiellement assis sur les recensements de la population
(1982 et 1990 et 1999) tandis que les ventilations réalisées étaient essentiellement assises sur les enquêtes nationales logement (ENL – 1984, 1988, 1992,
1996, 2001, 2006). Entre deux recensements, les flux annuels entrants et sortants étaient estimés : destruction, fusion, éclatement, changement
d’affectation, et surtout construction neuve à partir de la base Sit@del. Ces flux permettaient d’estimer un stock à la période suivante. À chaque nouveau
recensement, un recalage était réalisé.
Depuis 2006, le recensement est disponible annuellement, le dernier étant daté du 1er janvier 2011. De ce fait, la méthode d’estimation par les flux a
laissé place à une estimation annuelle directe des stocks. Le recensement donne, en outre, des indications sur l’évolution par catégorie et type de logement,
par taille d’unité urbaine ainsi que par filière agrégée (distinction locataires / propriétaires occupants). ). D’autres sources servent à prolonger l’estimation
jusqu’au 1er janvier 2014 : il s’agit essentiellement des fichiers de la taxe d’habitation et du répertoire de gestion du recensement (Répertoire des
Immeubles Localisés, RIL) et de l’estimation du nombre de logements neufs achevés dans l’année. La prochaine ENL (2013) permettra une actualisation de
la connaissance approfondie du parc de logements et donnera lieu à un recalage des ventilations du parc, notamment pour la décomposition par filière fine
et pour l’identification des logés gratuits.
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D1.1 Le parc de logements en 2012 En milliers de logements Évolution en %
1985198519851985 1990199019901990 1995199519951995 2000200020002000 2005200520052005 2010201020102010 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013 2013/20122013/20122013/20122013/2012Résidences principalesRésidences principalesRésidences principalesRésidences principales 20 83420 83420 83420 834 22 03022 03022 03022 030 23 37123 37123 37123 371 24 79924 79924 79924 799 26 50726 50726 50726 507 27 90727 90727 90727 907 28 17328 17328 17328 173 28 45928 45928 45928 459 28 75428 75428 75428 754 1,0 1,0 1,0 1,0
Propriétaires occupants 11 000 12 088 12 823 13 816 15 101 16 077 16 233 16 400 16 572 1,1
Accédants 5 113 5 508 5 253 5 247 5 220 5 039 4 995 4 953 4 911 -0,9 Non-accédants 5 887 6 580 7 570 8 569 9 881 11 038 11 238 11 447 11 662 1,9 Locataires * 9 834 9 942 10 548 10 983 11 406 11 830 11 941 12 059 12 182 1,0
Secteur libre 6 456 6 042 6 053 6 248 6 451 6 631 6 682 6 738 6 796 0,9 Secteur social 3 378 3 901 4 495 4 735 4 955 5 199 5 259 5 322 5 386 1,2 Résidences secondairesRésidences secondairesRésidences secondairesRésidences secondaires 2 5312 5312 5312 531 2 8372 8372 8372 837 2 8902 8902 8902 890 2 9462 9462 9462 946 3 0683 0683 0683 068 3 1473 1473 1473 147 3 1663 1663 1663 166 3 1863 1863 1863 186 3 2063 2063 2063 206 0,6 0,6 0,6 0,6
Logements vacantsLogements vacantsLogements vacantsLogements vacants 1 9221 9221 9221 922 1 9391 9391 9391 939 2 0082 0082 0082 008 2 0462 0462 0462 046 2 0072 0072 0072 007 2 4302 4302 4302 430 2 4982 4982 4982 498 2 5502 5502 5502 550 2 6042 6042 6042 604 2,1 2,1 2,1 2,1
Ensemble des logements ordinairesEnsemble des logements ordinairesEnsemble des logements ordinairesEnsemble des logements ordinaires 25 28825 28825 28825 288 26 80626 80626 80626 806 28 27028 27028 27028 270 29 79129 79129 79129 791 31 58231 58231 58231 582 33 48433 48433 48433 484 33 83733 83733 83733 837 34 19534 19534 19534 195 34 56434 56434 56434 564 1,1 1,1 1,1 1,1
*Les ménages logés gratuitement (2,6 % des ménages en 2013) sont comptés avec les locataires.
Source : Parc Insee et SOeS (au 1er juillet) – France entière
D1.2 Partage individuel / collectif dans l’ensemble du parc
0
5
10
15
20
1984 1988 1992 1996 2000 2004 2008 2012
55,8
56,2
56,6
57
57,4
Individuel (millions de logements)Collectif (millions de logements)Part de l'individuel dans le parc (%)
Source : Parc Insee-SOeS (au 1er juillet) – France entière
D1.3 Type d’occupation pour les résidences principales
0
5
10
15
20
25
30
35
1984 1988 1992 1996 2000 2004 2008 2012
millions de logementsBailleurs
sociaux
Bailleurs
privés
Non
accédants
Accédants
Loca
tair
esPr
opri
étai
res
16,0%
24,1%
28,0%
31,9%
18,7%
40,6%
17,1%
23,6%
Source : Parc Insee-SOeS (au 1er juillet) - Résidences principales, France
entière
D1.4 Évolution de la localisation du parc de logements En milliers de logements
1985198519851985 1990199019901990 1995199519951995 2000200020002000 2005200520052005 2010201020102010 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013Communes rurales 22,9 22,9 22,9 22,7 21,5 21,6 21,7 21,8 21,9
Unités urbaines de moins de 100 000 habitants 29,8 30,0 30,2 30,4 30,9 31,1 31,1 31,1 31,1
Unités urbaines de plus de 100 000 habitants 29,3 29,4 29,7 30,0 30,9 30,9 30,9 30,8 30,8
Agglomération parisienne 18,0 17,7 17,3 16,9 16,7 16,4 16,4 16,3 16,3
EnsembleEnsembleEnsembleEnsemble 100,0100,0100,0100,0 100,0100,0100,0100,0 100,0100,0100,0100,0 100,0100,0100,0100,0 100,0100,0100,0100,0 100,0100,0100,0100,0 100,0100,0100,0100,0 100,0100,0100,0100,0 100,0100,0100,0100,0
NB : les séries par zonage géographique prennent en compte les nouveaux zonages en unités urbaines portant sur l'année 2007 (dites UU2010). Elles sont
interpolées sur la période 1999-2007 afin de rendre progressifs les basculements de communes d'une zone à l'autre entre les deux dates de définition des
zonages.
Source : Parc Insee-SOeS (au 1er juillet) – Résidences principales, France métropolitaine
D1.5 Taille des logements En m²
IndividuelIndividuelIndividuelIndividuel CollectifCollectifCollectifCollectif EnsembleEnsembleEnsembleEnsemblePropriétaires occupants 120,7 80,1 111,9
Locatif privé 90,1 55,2 67,2
Locatif social 82,9 65,0 67,9
Résidences secondaires 101,3 57,3 82,6
Ensemble des logementsEnsemble des logementsEnsemble des logementsEnsemble des logements 111,6111,6111,6111,6 64,164,164,164,1 91,091,091,091,0
Champ : France entière
Sources : SOeS d’après Parc Insee-SOeS (au 1er juillet) et Insee-Enquêtes
logement
D1.6 Part des logements sans confort sanitaire de base
0
5
10
15
20
1984 1988 1992 1996 2002 2006
En %
Source : Insee-Enquêtes logement
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D2 – LA CONSOMMATION ASSOCIÉE AU SERVICE DE LOGEMENT EN 2013
En 2013, les dépenses courantes associées au service de
logement des occupants des logements ordinaires s’établissent à
321,3 milliards d’euros (D2.1) (1).
Les dépenses courantes ralentissent par rapport à 2012 (+ 3,0 %
après + 4,2 %). Cette évolution, moins marquée que les années
précédentes, résulte à la fois d’un ralentissement des volumes et
des prix.
Croissance modérée en volume des dépenses
courantes
Après trois années d’importantes variations des volumes des
dépenses courantes liées aux fortes fluctuations des conditions
climatiques, l’évolution des dépenses courantes en volume est
moins marquée en 2013 (+ 1,1 %). Ce ralentissement en volume
traduit trois phénomènes concomitants.
Les dépenses en loyers (fiche D3) connaissent une croissance de
1,3 % en volume. Sans être particulièrement élevée par rapport à
la moyenne sur vingt ans (+ 1,5 %), il s’agit néanmoins de la
troisième année consécutive où l’on observe une légère
accélération par rapport aux croissances observées depuis 2006.
Compte tenu du poids des loyers, réels et imputés, dans la
dépense courante (D2.2), cette légère accélération tire à la
hausse l’agrégat global.
Le retour à la normale des températures en 2012 et 2013
permet de retrouver une évolution moins marquée pour la
dépense d’énergie et d’eau en volume (+ 1,7 %). Deuxième
poste de la dépense courante, les dépenses d’énergie et d’eau
contribuent positivement à la croissance en volume.
Enfin, à l’inverse, les dépenses liées aux charges des occupants
(fiche D6) connaissent, pour la deuxième année consécutive, une
baisse des volumes (- 1,2 %) et contribue négativement à
l’évolution des dépenses courantes en volume.
Ralentissement des prix pour l’ensemble des postes Les prix des dépenses courantes ralentissent, retrouvant ainsi un
rythme d’évolution identique à 2009 après deux années de
hausses continues (+ 1,9 % après + 2,5 % en 2012 et + 2,1 % en
2011). Le recul des prix concerne l’ensemble des postes.
Après un ralentissement constant entre 2006 et 2011 qui avait
porté la croissance à seulement + 0,9 % en 2011, les prix des
loyers avaient accéléré en 2012 (+ 1,6 %). En 2013, les prix des
loyers augmentent de + 1,3 %, soit une évolution légèrement
inférieure à celle de l’année précédente. En 2013, cette
décélération des prix concerne seulement le secteur libre et, par
extension, les loyers imputés des propriétaires occupants. Les prix
des loyers du secteur social restent orientés à la hausse.
En 2013, la croissance des prix de l’énergie est plus modérée
qu’en 2012 (+ 4,0 % en moyenne annuelle, y compris eau) mais
reste élevée. En effet, malgré le ralentissement du prix du gaz et
la baisse du prix du fioul, l’accélération des prix de l’électricité tire
à la hausse les prix de l’énergie.
Les prix des charges des occupants ralentissent également
(+ 2,4 % après + 3,9 %).
(1) Les dépenses des résidents en locaux d’hébergement collectif s’établissent
quant à elles à 7,4 milliards d’euros (fiche D8).
La consommation associée au service de logement
La consommation associée au service de logement dans le CSL englobe l’ensemble des dépenses courantes des occupants des logements (les
consommateurs de service de logement) liées à cette occupation. Elle inclut les loyers réels ou imputés (fiche D3), les dépenses d’énergie et d’eau
(fiche D5) et les charges des occupants qui rassemblent plusieurs postes de dépense allant de l’entretien courant des parties communes aux services
d’assurances (fiche D6) ; dans le cas des logements non ordinaires, c’est-à-dire des logements d’hébergement collectif, la redevance regroupe l’ensemble de
ces postes de dépense (fiche D8). Elle est retracée selon une nomenclature fine et par filières dans les tableaux 20 des annexes du CSL.
S’agissant de dépenses courantes des ménages, la consommation associée au service de logement n’inclut, au sens du cadre central de comptabilité
nationale, que des dépenses de consommation finale effective des ménages. Ainsi, ne font notamment pas partie de cet agrégat :
- les achats de logements et les gros travaux d’entretien-amélioration qui sont enregistrés parmi les dépenses d’investissement réalisées par les
propriétaires bailleurs ou occupants (les producteurs de service de logement) et donc retracés aux tableaux 23 et aux tableaux 24 ;
- les consommations intermédiaires des producteurs de service de logement comme les charges dites « non récupérables » ou les intérêts des emprunts
immobiliers, qui apparaissent aux tableaux 21-22 ;
- la taxe d’habitation qui, par convention du CSL, n’est pas associée au service de logement en raison de son assiette et de ses taux qui laissent une place
prépondérante aux revenus relativement au service de logement fourni.
Le compte satellite analyse l’évolution en valeur de cette consommation associée au service de logement en distinguant, annuellement, d’une part l’effet
des prix, d’autre part l’effet des volumes. Les prix étant, en principe, mesurés à qualité constante, les variations en volume intègrent donc, outre les
évolutions des quantités (croissance du parc de logements, variation de l’énergie consommée en fonction des variations climatiques, évolution des
comportements des ménages…), les évolutions en qualité de ces dépenses. Toutefois, le partage volume-prix de l’évolution en valeur comporte une part
d’incertitude due aux limites des instruments de mesure.
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D2.1 Les dépenses courantes des occupants des logements ordinaires
VolumeVolumeVolumeVolume PrixPrixPrixPrix ValeurValeurValeurValeur VolumeVolumeVolumeVolume PrixPrixPrixPrix ValeurValeurValeurValeur
Loyers 1,2 1,6 2,8 1,3 1,3 2,6 229 739 71,5
Énergie et eau 5,5 5,2 10,9 1,7 4,0 5,7 55 838 17,4
Charges -0,2 3,9 3,6 -1,2 2,4 1,2 35 707 11,1
Ensemble des dépenses courantesEnsemble des dépenses courantesEnsemble des dépenses courantesEnsemble des dépenses courantes 1,71,71,71,7 2,52,52,52,5 4,24,24,24,2 1,11,11,11,1 1,91,91,91,9 3,03,03,03,0 321 284 321 284 321 284 321 284 100,0 100,0 100,0 100,0
Structure 2013 Structure 2013 Structure 2013 Structure 2013
(en %)(en %)(en %)(en %)
2012/2011 (en %)2012/2011 (en %)2012/2011 (en %)2012/2011 (en %) 2013/2012 (en %)2013/2012 (en %)2013/2012 (en %)2013/2012 (en %) Montant 2013Montant 2013Montant 2013Montant 2013
(millions d'euros)(millions d'euros)(millions d'euros)(millions d'euros)
Champ : logements ordinaires uniquement, y compris résidences secondaires
Source : CSL2013
D2.2 Les charges des occupants des logements ordinaires
par poste et filière agrégée en 2013
44 53525 030
11 5148 067
6 266 5 931
139 930
35 046
21 438
0%
20%
40%
60%
80%
100%
Propriétaires
occupants
Locataires
secteur privé
Locataires
secteur social
Charges
Énergie
et eau
Loyers
En millions d'euros
Champ : logements ordinaires, y compris RS
Source : CSL2013
D2.3 Partage volume-prix de l’évolution des dépenses
courantes des occupants
-1
0
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
1985
1990
1995
2000
2005
2010
Prix
Volume
En %
Champ : logements ordinaires, y compris RS
Source : CSL2013
D2.4 Contributions des différents postes à la croissance
des dépenses courantes
-1
0
1
2
3
4
5
6
7
8
2008 2009 2010 2011 2012 2013
Énergie ChargesLoyers
Contribution en points
Ensemble des dépenses
courantes
Champ : logements ordinaires, y compris RS
Source : CSL2013
D2.5 Évolution en volume des différents postes de la
dépense courante des occupants
100
110
120
130
140
150
160
170
1984 1988 1992 1996 2000 2004 2008 2012
LoyersÉnergieChargesEnsemble des dépenses courantes
Évolutions en volume, indice 100 en 1984
Champ : logements ordinaires, y compris RS
Source : CSL2013
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D3 - LES LOYERS EN 2013
En 2013, le montant des loyers s’élève à 229,7 milliards d’euros.
Les loyers réels, acquittés par les locataires représentent moins du
tiers de ce montant (69,6 milliards d’euros – D3.2). Par ailleurs,
les locataires ne supportent pas l’intégralité de ce coût en raison
des aides personnelles versées (aux ménages ou directement aux
bailleurs) : les prestations sociales pour les locataires de
logements ordinaires représentent, en 2013, 15,9 milliards
d’euros, soit 22,9 % du montant des loyers. Ce rapport s’élève à
19,5 % pour les locataires du secteur libre et 28,9 % pour les
locataires du secteur social.
Les deux autres tiers correspondent à des loyers imputés
(encadré) : 139,9 milliards d’euros pour les résidences principales
des propriétaires occupants et 20,2 milliards pour les résidences
secondaires. Les prestations sociales ne représentent, pour ces
ménages, que 0,7 % des loyers imputés.
Léger ralentissement de la dépense de loyers en
2013
Depuis le pic à la hausse en 2005 (+ 5,6 %), le rythme de
croissance du montant des loyers a connu six années consécutives
de ralentissement, jusqu’en 2011, où la hausse n’avait été que de
2,0 % (D3.3). Ce ralentissement s’explique avant tout par un effet
prix puisque le parc de logements connaît une évolution peu
heurtée (fiche D1). En 2013, comme en 2012, l’évolution de la
dépense de loyers redevient plus vive (+ 2,6 % en 2013 après
+2,8 % en 2012).
L’évolution de la dépense de loyers des locataires du secteur
social est particulièrement vive (+ 3,5 % après + 3,2 % en 2012)
alors que celle du secteur libre ralentit légèrement en 2013
(+ 2,8 % après + 3,1 % en 2012 tout comme celle des
propriétaires occupants (D3.1).
Accélération des prix dans le secteur social La croissance des loyers en volume (encadré) s’établit à 1,3 %
en 2013, soit un niveau proche de 2012. C’est donc le
ralentissement des prix des loyers (hors effet qualité, encadré)
qui explique cette inflexion : les prix des loyers progressent de
1,3 % en 2013 (après + 1,6 % en 2012) soit, comme en 2012,
légèrement plus vite que les prix à la consommation (D3.5). La
croissance des prix des loyers est également légèrement
supérieure à l’évolution de l’Indice de référence des loyers
(fiche D4) qui s’établit à 1,2 % en 2013 (après + 2,2 % en 2012).
Le ralentissement de la dépense en loyers sur la période
2005-2011 a concerné l’ensemble des segments, même si pour
le secteur social les prix n’ont ralenti qu’à partir de 2010 (D3.4).
Après la légère accélération de 2012, les prix ralentissent à
nouveau dans le secteur libre mais ceux du secteur social
accélèrent encore (+2,0 % après + 1,8 %). Cela s’explique par le
fort renouvellement du parc social au cours des dernières années.
Le concept de loyers imputés
Les loyers des locataires des parcs privé et social correspondent aux loyers effectivement acquittés par les locataires (hors allocations logement et autres
prestations sociales, le cas échéant). Pour les propriétaires occupants, le CSL comme le cadre central de comptabilité nationale considèrent qu’il existe, au
même titre que pour les locataires, une consommation de service de logement. Cette valeur de consommation est produite par les propriétaires occupants
eux-mêmes. Le loyer correspondant à ce service de logement est évalué par les loyers imputés, dont la valeur équivaut aux loyers dont les propriétaires
s’acquitteraient pour un logement identique à celui qu’ils occupent s’ils étaient locataires du secteur privé. Le montant de ce loyer imputé apparaît donc en
revenus de ces ménages (revenus de la production de service de logement, aux tableaux 21-22 du CSL) et en dépenses de ces mêmes ménages (dépense
associée au service de logement, aux tableaux 20 du CSL). Les loyers imputés constituent 70 % des montants des loyers.
Prix des loyers et effet volume
L’évolution en valeur de la dépense en loyers des occupants, qu’ils soient réels ou imputés, se décompose en un effet prix et un effet volume.
L’évolution des prix par filières est calculée, depuis la dernière ENL, à partir des indices de prix des loyers produits par l’Insee pour la métropole et retraduits
dans l'indice des prix à la consommation (IPC). Celui-ci est scindé en deux variétés : les loyers des résidences principales du secteur libre et les loyers des
résidences principales du secteur social.
Les loyers imputés étant mesurés au prix du secteur libre, c’est l’indice du secteur libre qui est retenu pour la filière des propriétaires occupants. Compte
tenu du poids des loyers du secteur libre et des loyers imputés (91 % du montant des loyers), l’évolution des prix des loyers du CSL est donc proche de celle
donnée par l’IPC pour le secteur libre. L’indice du prix du secteur HLM s’applique, lui, à la filière des bailleurs HLM et à celle des autres bailleurs sociaux.
Les indices de prix Insee mesurent les évolutions des loyers à qualité constante. L’effet volume mesure donc, par solde, l’ensemble des autres effets qui
participent à l’évolution du montant des loyers, notamment, l’accroissement du parc de logements (quantité) mais également des modifications de structure
et de sa qualité (type d’habitat, localisation, confort des logements, surface moyenne) qui évoluent lentement et régulièrement.
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Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 41
D3.1 Partage volume-prix de l'évolution des loyers en 2012 et 2013
2012201220122012 2013201320132013 VolumeVolumeVolumeVolume PrixPrixPrixPrix ValeurValeurValeurValeur VolumeVolumeVolumeVolume PrixPrixPrixPrix ValeurValeurValeurValeurRésidences principalesRésidences principalesRésidences principalesRésidences principales 204 236204 236204 236204 236 209 495209 495209 495209 495 1,21,21,21,2 1,61,61,61,6 2,82,82,82,8 1,31,31,31,3 1,31,31,31,3 2,62,62,62,6
Propriétaires occupants * 136 723 139 930 1,1 1,6 2,7 1,1 1,2 2,3
Locataires 67 513 69 565 1,4 1,7 3,1 1,5 1,5 3,0
Secteur libre 43 319 44 535 1,5 1,6 3,1 1,6 1,2 2,8Secteur social 24 194 25 030 1,4 1,8 3,2 1,4 2,0 3,5Résidences secondaires *Résidences secondaires *Résidences secondaires *Résidences secondaires * 19 72919 72919 72919 729 20 24420 24420 24420 244 1,31,31,31,3 1,61,61,61,6 2,92,92,92,9 1,41,41,41,4 1,21,21,21,2 2,62,62,62,6
Ensemble des logements ordinairesEnsemble des logements ordinairesEnsemble des logements ordinairesEnsemble des logements ordinaires 223 964223 964223 964223 964 229 739229 739229 739229 739 1,21,21,21,2 1,61,61,61,6 2,82,82,82,8 1,31,31,31,3 1,31,31,31,3 2,62,62,62,6
Valeur des loyers (G€)Valeur des loyers (G€)Valeur des loyers (G€)Valeur des loyers (G€) Évolution 2012 (%)Évolution 2012 (%)Évolution 2012 (%)Évolution 2012 (%) Évolution 2013 (%)Évolution 2013 (%)Évolution 2013 (%)Évolution 2013 (%)
Champ : Ensemble des logements occupés, France entière
* Loyers imputés
Source : CSL2013
D3.2 Montant des loyers par filière en valeur en 2013
Locataires
social; 25
Mds€
Locataires
privé; 45
Mds€
Résidences
secondaires
*; 20 Mds€
Propriétai-
res
occupants *;
140 Mds€
* loyers imputés
Source : CSL2013
D3.3 Partage volume / prix de l'évolution des loyers
0,0
2,0
4,0
6,0
8,0
1985
1990
1995
2000
2005
2010
En %
Prix
Volume
Champ: ensemble des loyers (imputés et réels)
Source : CSL2013
D3.4 Évolution des prix des loyers réels dans le compte du
logement
-2,0
0,0
2,0
4,0
6,0
1985 1990 1995 2000 2005 2010
Loyers réels - secteur libre *Loyers réels - secteur social *
En %
* Indices de prix dans le Compte du logement, calculés y compris Droit de
bail et Contribution représentative du droit de bail jusqu'en 2001.
Source : CSL2013
D3.5 Évolution des prix des loyers dans le compte du
logement et prix de la consommation des ménages
-2,0
0,0
2,0
4,0
6,0
8,0
1985 1990 1995 2000 2005 2010
Évolution des prix des loyers *Évolution des prix de la consommation des ménages **
En %
* Indice de prix synthétique dans le Compte du logement, intégrant
loyers réels, imputés et résidences secondaires, calculés y compris Droit
de bail et Contribution représentative du droit de bail jusqu'en 2001.
** Indice de prix de la dépense de consommation finale des ménages
dans le cadre central de comptabilité nationale (Base 2010).
Sources : * CSL2013 et ** Insee-Comptes nationaux
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D4 - LES LOYERS SUR LONGUE PÉRIODE, DISPOSITIFS DE REVALORISATION
Une croissance annuelle moyenne des loyers
nettement supérieure à l’inflation Sur longue période, depuis 1984, les prix des loyers ont
progressé plus vite que les prix à la consommation : + 3,0 % en
moyenne par an contre + 2,1 % pour les prix à la consommation
et 2,2 % pour l’indice de référence (ICC puis IRL) (D4.1). Leur
évolution est liée à celle du prix de l'immobilier mais elle est
aussi significativement amortie, en raison notamment de la
réglementation des loyers (encadré).
De 1984 à 1993, la croissance des prix des loyers est vive et
nettement supérieure à celle de l’indice de référence des loyers,
alors que l’inflation poursuit son mouvement de reflux initié au
début des années 80 (D4.2). Le contexte de hausse soutenue des
prix de l'immobilier conduit les bailleurs à augmenter les loyers, à
l'occasion d'un renouvellement de bail ou d'un changement de
locataire, pour maintenir le rendement locatif.
À partir de 1993, l'évolution des prix des loyers décélère sous
l'effet du ralentissement économique qui affecte la solvabilité des
locataires. En outre, l’infléchissement, voire la baisse du prix des
logements en Île-de-France déplace l’arbitrage entre la location et
la propriété, ce qui rend le marché locatif plus fluide. Les
réévaluations de loyers à l’occasion des changements de
locataires sont beaucoup plus modérées. L’évolution des prix des
loyers (+ 1,5 % en moyenne annuelle entre 1996 et 2001)
s’aligne quasiment sur l’inflation (+ 1,4 %) et l’indice de référence
(+ 1,3 %), qui connaissent une faible croissance. Dans le secteur
social, moins sensible aux logiques de marché, le ralentissement
est moins prononcé que dans le secteur libre, à l'exception de la
période de gel des loyers en 2000 et 2001.
Entre 2001 et 2007, les prix des loyers augmentent à nouveau
fortement (+ 3,0 % en, moyenne annuelle) relativement à
l’inflation (+ 2,0 %), sous l’effet de la hausse soutenue de l’indice
du coût de la construction (+ 3,1 %), liée notamment au
renchérissement des matériaux et aux contraintes de production
des entreprises du bâtiment. Les tensions sur le marché locatif
s'accentuent avec la croissance des prix de l'immobilier et
favorisent également les hausses à la relocation.
Depuis 2008, une hausse des prix des loyers ralentie Depuis 2008, l’évolution annuelle des prix des loyers est
inférieure à l’inflation, sauf en 2009, lors de la baisse des prix à la
consommation. Le repli de l’activité immobilière et économique
pèse sur les prix des loyers et sur la solvabilité des locataires.
L’écart entre la hausse des loyers à la relocation et celle pour les
locataires en place s’amenuise en 2012 avec la forte hausse de
l’IRL. Les prix des loyers connaissent, en 2013 une hausse de
1,3 %, supérieure à celle de l’inflation (+ 1,1 %) et de l’IRL
(+ 1,2 %).
Réglementation des loyers
Dans le secteur libreDans le secteur libreDans le secteur libreDans le secteur libre (hors loi de 1948), la loi Quilliot (22 juin 1982) sur les rapports entre locataires et bailleurs est la première loi qui réglemente de
manière spécifique le bail d’habitation qui, auparavant, relevait du droit commun des contrats. Elle a été remplacée par la loi Méhaignerie (23 décembre
1986), puis par la loi Mermaz-Malandain (n° 89-462 du 6 juillet 1989), plusieurs fois amendée et complétée, elle règlemente toujours les rapports entre
bailleurs et locataires. Les loyers du secteur libre sont fixés par le bailleur, à l’entrée dans les lieux, et inscrit dans le contrat de bail signé entre le bailleur et
le locataire. Pour autant, l’évolution du loyer est spécifiquement encadrée :
- les révisions de loyers en cours de bail : le loyer peut être révisé annuellement, si une clause spécifique le prévoit, soit à la date d’anniversaire du contrat
de bail soit à une date librement prévue par les parties. Cette révision ne peut excéder les variations d’un indice de référence. Cet indice a longtemps été
l’indice du coût de la construction. À partir de janvier 1995, il convenait de prendre en compte la variation de la moyenne sur quatre trimestres associée à
l'indice du coût de la construction pour la révision des loyers soumis à la loi du 6 juillet 1989 à la date anniversaire du bail (ICC – moyenne associée). Depuis
le 1er janvier 2006, la hausse des loyers en cours de bail ne peut dépasser la variation de l’indice de référence des loyers (IRL) publié chaque trimestre par
l’Insee. Cet indice qui, entre les années 2006 et 2008, était égal à la somme pondérée des moyennes associées de l’indice des prix à la consommation hors
tabac et hors loyers (60 %), de l’indice du coût de la construction (20 %) et de l’indice des prix entretien-amélioration (20 %) ne dépend plus désormais que
de l’indice des prix à la consommation hors tabac et hors loyers,
- lors d’un renouvellement de bail, le loyer ne peut être réévalué que s’il est manifestement sous-évalué au regard des loyers constatés dans le voisinage
pour des logements similaires. Lorsque le logement est neuf ou s’il est vacant, ou s’il fait l’objet d’une première location, le loyer est fixé librement,
- dans certaines agglomérations, un décret pris en application de l'article 18 de la loi du 6 juillet 1989, d’une validité d’un an, limite l’évolution des loyers.
Pour l’année 2013, le dernier décret en vigueur est le décret n° 2013-689 du 30 juillet 2013 relatifs à l’évolution de certains loyers dans le cadre d’une
nouvelle location ou d’un renouvellement de bail, pris en application de l’article 18 de la loi n°89-642 du 6 juillet 1989. Ce décret encadre, dans 39
agglomérations, l’évolution des loyers tant dans le cadre d’une relocation que d'un renouvellement de bail (fiche E4).
Dans le secteur socialDans le secteur socialDans le secteur socialDans le secteur social, le loyer pratiqué fixé par l’organisme HLM ne doit pas dépasser un plafond fixé par la convention prévue à l’article L. 351-2 du CCH
(« convention APL »). Le loyer-maximum fixé par convention est lui-même encadré par un plafond fixé par voie réglementaire, modulé en fonction de la
catégorie de logement, de sa surface et de sa localisation. L’évolution du loyer maximum fixé par la convention APL est actualisé chaque année au 1er janvier
en fonction des variations de l’indice qui sert de référence dans le secteur privé (voir ci-avant - l’IRL depuis janvier 2006). Dans le secteur non conventionné,
le loyer maximum est encadré par voie réglementaire, et fixé par le conseil d’administration de l’organisme, par catégorie de logement.
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Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 43
D4.1 Évolution des prix des loyers, des prix à la consommation et de l’indice de référence
100
120
140
160
180
200
220
240
1984 1989 1994 1999 2004 2009
Indice des prix à la consommation
Indice général des loyers
Indice de référence (ICC puis IRL)
Glissements annuels juillet N / juillet N-1 (indice 100 en 1984)
Source : Insee – calculs SOeS
D4.2 Évolution trimestrielle des prix des loyers, des prix à la consommation et de l’indice de référence
-2
-1
0
1
2
3
4
5
6
7
8
janv-85 janv-88 janv-91 janv-94 janv-97 janv-00 janv-03 janv-06 janv-09 janv-12
Indice des prix à la consommation
Indice général des loyers (évolution T/T-4 en %)
Indice de référence (ICC puis IRL)
Glissement annuel T/T-4 en %
Source : Insee – Calculs SOeS
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D5 - LES DÉPENSES D'ÉNERGIE ET D’EAU EN 2013
Les dépenses d’énergie et d’eau s’élèvent à 55,8 milliards
d’euros, soit 17,4 % des consommations associées au service de
logement des occupants de logements ordinaires. Elles décélèrent
en 2013 (+ 5,7 % après + 10,9 %) en raison du ralentissement en
volume des dépenses d’énergie (D5.1).
Températures proches de la normale en 2013 En 2013, les dépenses d’énergie dans les logements ordinaires
s’élèvent à 46,5 milliards. Après de fortes fluctuations climatiques
entre 2009 et 2012, avec une année 2010 particulièrement
rigoureuse et une année 2011 exceptionnellement douce, les
dépenses d’énergie ralentissent et présentent une évolution
moins marquée (+ 6,6 % en 2013). Cette évolution s’explique par
une hausse modérée des volumes consommés, liée à un premier
semestre de 2013 plus rigoureux qu’en 2012 (+ 2,0 %).
Les dépenses d’énergie sont très sensibles aux variations
climatiques car une part importante de ces dépenses concerne le
chauffage. Or, en 2013, le nombre de degrés jours, indicateur de
la rigueur des températures est en hausse (+ 8,1 %). En 2013,
l’indice de rigueur climatique s’établit à 2 398 degrés-jours soit un
niveau légèrement supérieur à la moyenne de long terme
(2 250 degrés-jours).
Baisse du prix du fioul en 2013 Dans le même temps, bien qu’ils restent dynamiques, les prix
des dépenses d’énergie (D5.2) ralentissent à nouveau en 2013
(+4,4 % après + 5,5 % en 2012).
Cette évolution traduit en grande partie celle des prix du
pétrole, qui se répercute sur l’ensemble des énergies fossiles. Or,
le prix du baril de Brent a connu une baisse entre mars et juin
2013 entraînant une diminution de – 2,4 % en rythme annuel par
rapport à 2012. L’appréciation de l’euro vis à vis du dollar en 2013
accentue cette baisse. Le prix du fioul, qui réagit quasi
instantanément aux fluctuations des cours pétroliers, diminue de
3,1 % en moyenne en 2013, après + 9,6 % en 2012 (D5.4).
Les évolutions de prix du fioul ont désormais un impact moindre
sur les évolutions de prix du gaz à usage résidentiel suite aux
nouvelles dispositions législatives concernant les tarifs
réglementés. Ainsi, le prix du gaz, qui représente le quart des
dépenses d’énergie à usage résidentiel, connaît, en 2013, une
hausse, bien que moins vive qu’en 2012 (+ 4,4 % après + 8,7 %).
A l’inverse, le prix de l’électricité accélère (+ 6,5 % en 2013
après + 3,1 % en 2012 – D5.5). L’électricité représentant plus de
la moitié des dépenses d’énergie dans les logements (chauffage
et usages spécifiques confondus), elle contribue à elle seule à
expliquer 3,4 points de la hausse des prix de l’énergie.
Les dépenses d’eau continuent de baisser en volume En 2013, les dépenses de distribution et d’assainissement de
l’eau s’élèvent à 9,3 milliards d’euros et représentent 2,9 % des
consommations associées au service de logement des occupants
de logements ordinaires. En 2013, pour la quatrième année
consécutive, la dépense d’eau diminue en volume (- 0,1 %)
tandis que les prix ralentissent (+ 1,6 % après + 3,6 % - D5.3).
Les hausses rétroactives du gaz prises en compte dans le chiffrage du Compte satellite du logement 2013
Par décision du 30 janvier 2013, le Conseil d'État a annulé trois arrêtés relatifs aux tarifs réglementés de vente de gaz naturel fourni à partir des réseaux
publics de distribution de GDF Suez : arrêté du 27 juin 2011 fixant les tarifs pour la période du 1er juillet 2011 au 30 septembre 2011, arrêté du 18 juillet 2012
fixant les tarifs pour la période du 20 juillet 2012 au 28 septembre 2012, arrêté du 26 septembre 2012 fixant les tarifs pour la période du 29 septembre
2012 au 31 décembre 2012. Trois nouveaux arrêtés en date du 15 avril 2013 fixent, rétroactivement et pour ces périodes, les nouveaux tarifs réglementés
des prix du gaz. Ces hausses rétroactives sont effectivement supportées par les ménages sur leurs factures de 2013 mais sont, dans le compte satellite du
logement, reportées sur les prix de 2011 et 2012 : les évolutions de prix retenues pour le gaz en 2011 et 2012 tiennent compte de cette décision du Conseil
d’État et divergent donc des prix retenus par le cadre central de comptabilité nationale qui a traité ces paiements rétroactifs des ménages en « transferts
courants » des ménages. On estime à 0,3 % pour 2011 et à 0,8 % sur 2012 l’impact de ces hausses rétroactives sur la valeur de la consommation finale des
ménages en gaz.
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Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 45
D5.1 Dépenses d’énergie et d’eau par filière, en valeur
Dépenses d’énergieDépenses d’énergieDépenses d’énergieDépenses d’énergie
(en millions d’euros)(en millions d’euros)(en millions d’euros)(en millions d’euros)
Dépenses d’eauDépenses d’eauDépenses d’eauDépenses d’eau
(en millions d’euros)(en millions d’euros)(en millions d’euros)(en millions d’euros)
Poids dans les Poids dans les Poids dans les Poids dans les
dépenses dépenses dépenses dépenses
d’énergie et d'eau d’énergie et d'eau d’énergie et d'eau d’énergie et d'eau
2012/20112012/20112012/20112012/2011 2013/20122013/20122013/20122013/2012 2013201320132013 2013201320132013 2013201320132013
PropriétairesPropriétairesPropriétairesPropriétaires 10,910,910,910,9 5,55,55,55,5 28 76728 76728 76728 767 6 2796 2796 2796 279 62,862,862,862,8
Accédants 10,7 5,3 9 709 1 855 20,7
Non accédants 11,0 5,7 19 058 4 424 42,1
LocatairesLocatairesLocatairesLocataires 10,910,910,910,9 6,06,06,06,0 16 81116 81116 81116 811 2 7702 7702 7702 770 35,135,135,135,1
Parc privé 10,8 6,0 9 972 1 542 20,6
Parc social 11,0 5,8 6 839 1 228 14,4
Résidences principalesRésidences principalesRésidences principalesRésidences principales 11,011,011,011,0 5,75,75,75,7 45 57845 57845 57845 578 9 0499 0499 0499 049 97,897,897,897,8
Résidences secondairesRésidences secondairesRésidences secondairesRésidences secondaires 10,310,310,310,3 5,35,35,35,3 942942942942 269269269269 2,22,22,22,2
EnsembleEnsembleEnsembleEnsemble 10,910,910,910,9 5,75,75,75,7 46 52046 52046 52046 520 9 3189 3189 3189 318 100,0100,0100,0100,0
Évolution (en %)Évolution (en %)Évolution (en %)Évolution (en %)
Source : CSL2013
D5.2 Partage volume-prix des dépenses d’énergie
-20,0
-15,0
-10,0
-5,0
0,0
5,0
10,0
15,0
2003
2005
2007
2009
2011
2013
En prixEn volume
En %
Sources : CSL2013, Insee
D5.3 Partage volume-prix des dépenses d’eau
-4,0
-2,0
0,0
2,0
4,0
6,0
8,0
2003
2005
2007
2009
2011
2013
En prixEn volume
En %
Sources : CSL2013, Insee
D5.4 Évolution des prix des énergies
2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013 (en %)
Électricité 6,5 3,1 6,5 53,0
Gaz 10,0 8,7 4,4 24,7
Fioul 23,1 9,6 -3,1 12,8
Autres -11,4 4,1 4,2 0,4
Chauffage urbain 3,9 6,6 6,5 3,6
Bois 1,9 2,3 0,7 3,2
GPL 14,9 5,6 4,8 2,4
ÉnergieÉnergieÉnergieÉnergie 9,39,39,39,3 5,55,55,55,5 4,44,44,44,4 100,0 100,0 100,0 100,0
Évolution des prix n/n-1 Évolution des prix n/n-1 Évolution des prix n/n-1 Évolution des prix n/n-1
(en %)
Poids dans les dépenses Poids dans les dépenses Poids dans les dépenses Poids dans les dépenses
d’énergie en 2013 d’énergie en 2013 d’énergie en 2013 d’énergie en 2013
Champ : résidences principales de France métropolitaine
Sources : CSL2013, Insee
D5.5 Évolution des prix des énergies principales depuis
1990
50
100
150
200
250
300
1990
1992
1994
1996
1998
2000
2002
2004
2006
2008
2010
2012
Fioul
Électricité
Gaz
naturel
Base 100 en 1990
Champ : résidences principales de France métropolitaine
Sources : CSL2013, Insee
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46 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
D6 - LES CHARGES DES OCCUPANTS EN 2013
En 2013, les charges acquittées par les ménages pour leur
logement (encadré) s’élèvent à 35,7 milliards d’euros (D6.1) soit
11,7 % des consommations associées au service de logement des
occupants de logements ordinaires. Elles n’augmentent que de
1,2 % en 2013 (après + 3,6 % en 2012). Ce ralentissement
s ‘explique par une baisse en volume plus importante encore
qu’en 2012 (- 1,2 % après - 0,2 %) à laquelle s’ajoute un
ralentissement des prix (+ 2,4 % après + 3,9 % - D6.3).
Le volume de petits travaux continue de stagner La progression des charges est largement déterminée par
l’évolution des travaux qui incombent aux occupants : l’entretien
et les petits travaux, dans les logements d’une part et pour les
parties communes des immeubles d’autre part. Ils représentent
respectivement 53,9 % et 13,6 % de l’ensemble des charges,
toutes filières confondues (D6.1 et D6.2), soit 24,1 milliards
d’euros.
Depuis 2009, l’un comme l’autre poste d’entretien et travaux
connaissent des évolutions en volume très faibles : + 0,1 % pour
les parties communes en moyenne annuelle et - 1,4 % pour les
logements eux-mêmes. L’année 2013 se situe au-dessus de cette
moyenne mais la croissance en volume reste faible
(respectivement + 0,1 % et - 0,9 %). Dans le même temps, les
évolutions de prix de ces dépenses restent modérées depuis 2010
et s’établissent à + 2,0 % en 2013. Pour autant, compte tenu du
poids de ces dépenses dans l’ensemble des charges, elles
expliquent à elles seules 0,8 point de croissance des charges
(D6.4).
Les volumes de l’ensemble des postes de charges
sont à la baisse
Second poste de dépenses des charges, les services d’assurance
contribuent à hauteur de 0,3 point à la croissance des charges. En
2013, la consommation de service d’assurances logement ralentit
après la forte hausse de 2012 (+ 2,3 % après + 12,5 %). Cette
évolution résulte d’un retournement des volumes à la baisse
tandis que l’évolution des prix est proche de celle de 2012
(+ 5,5 % après + 6,7 %).
Les prestations de services, qui incluent notamment la taxe
d’enlèvement des ordures ménagères, progressent de façon
moins soutenue qu’en 2012 (+ 2,6 % après + 3,6 %) poursuivant
ainsi leur ralentissement après la forte hausse de 2011 (+ 8,9 %).
Ce poste explique 0,3 point de la croissance des charges.
Enfin, les dépenses liées aux déménagements et aux frais de
baux et d’agences ralentissent, sous l’effet d’une mobilité
résidentielle des ménages toujours orientée à la baisse depuis
2011 et qui joue sur les volumes : ils sont à la baisse pour les
déménagements tandis qu’ils ralentissent fortement pour les frais
de baux. Les frais liés aux gardiens des immeubles collectifs sont
également orientés à la baisse.
La notion de charges
Le CSL retient à travers la notion de charges une acception très large. Au-delà des charges collectives payées par les occupants des logements d’une
copropriété qui couvrent principalement l’entretien des parties communes et les frais de personnel, elles comprennent également certaines dépenses des
occupants au titre de leur logement : les travaux de petit entretien effectués par les ménages dans leur logement, les prestations de service liées au
logement (taxe d’enlèvement des ordures ménagères et taxe de balayage), les frais de déménagement, de bail et d’agence, les consommations en service
d’assurance logement… Elles comprennent en fait toutes les consommations des occupants associées au service de logement, autres que les dépenses de
loyers (réels ou imputés) et d’énergie et d’eau.
Les charges sont retracées dans une nomenclature détaillée dans les tableaux 20 des annexes (consommation associée au service de logement). Ces
dépenses n’englobent, au sens du cadre central de comptabilité nationale, que des dépenses de consommation finale effective des ménages. En cohérence
avec cette notion :
- Les travaux de petit entretien retenus dans les charges du CSL s’opposent aux travaux de gros entretien qui abondent le chiffrage de l’investissement en
logement (et sont enregistrés en formation brute de capital fixe – FBCF – dans le cadre central). Les travaux de petit entretien sont renouvelés plus ou moins
fréquemment (peinture, plomberie, de réfection de sols…) alors que les travaux de gros entretien correspondent à des interventions plus lourdes et plus
durables qui, par définition de la FBCF, contribuent à prolonger la durée de vie du logement.
- L’entretien des parties communes est défini comme l'ensemble des prestations réalisées sous le contrôle du syndic qui sont nécessaires au bon
fonctionnement de l'immeuble (nettoyage des escaliers et des parties communes, entretien des chaufferies, des ascenseurs, des espaces verts, désinfection
des vide-ordures...). Seule la partie dite « récupérable » de ces charges de copropriété est retracée ici car elle est due par les occupants. Les charges dites
« non récupérables », dues par les bailleurs, sont enregistrées dans le compte du producteur de service de logement, aux tableaux 21-22, en tant que
charges de producteur. Il en va de même pour les petits travaux dans les logements réalisés par les bailleurs.
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D6.1 Les charges des occupants des logements ordinaires
VolumeVolumeVolumeVolume PrixPrixPrixPrix ValeurValeurValeurValeur VolumeVolumeVolumeVolume PrixPrixPrixPrix ValeurValeurValeurValeur
Entretien et petits travaux des parties communes -0,7 3,7 3,0 0,1 2,0 2,0 4 850 13,6
Entretien et petits travaux dans les logements -1,1 3,7 2,6 -0,9 2,0 1,0 19 249 53,9
Services d'assurances 5,5 6,7 12,5 -3,1 5,5 2,3 4 980 13,9
Personnels d'immeuble -4,0 2,6 -1,5 -1,4 1,1 -0,2 1 468 4,1
Prestations de service* 0,3 3,3 3,6 -0,1 2,8 2,6 3 928 11,0
Déménagements -4,1 0,0 -4,1 -0,9 -1,2 -2,1 642 1,8
Frais de baux -1,6 1,6 -0,1 -9,1 1,2 -8,0 590 1,7
Ensemble des chargesEnsemble des chargesEnsemble des chargesEnsemble des charges -0,2-0,2-0,2-0,2 3,93,93,93,9 3,63,63,63,6 -1,2-1,2-1,2-1,2 2,42,42,42,4 1,21,21,21,2 35 707 35 707 35 707 35 707 100,0 100,0 100,0 100,0
Structure 2013 Structure 2013 Structure 2013 Structure 2013
(en %)(en %)(en %)(en %)
2012/2011 (en %)2012/2011 (en %)2012/2011 (en %)2012/2011 (en %) 2013/2012 (en %)2013/2012 (en %)2013/2012 (en %)2013/2012 (en %) Montant 2013Montant 2013Montant 2013Montant 2013
(millions d'euros)(millions d'euros)(millions d'euros)(millions d'euros)
* Taxe de balayage et taxe d'enlèvement des ordures ménagères
Champ : logements ordinaires y compris résidences secondaires - Source : CSL2013
D6.2 Les charges des occupants des logements ordinaires
par poste et filière agrégée en 2013
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Prop
riét
aire
s
occu
pant
s
Loca
tair
e
sect
eur
libre
Loca
tair
e
sect
eur
soci
al
Frais de baux
Déménagements
Prestations de
service*
Personnels
d'immeuble
Assurances
Entretien
logements
Entretien parties
communes
* Taxe de balayage et taxe d'enlèvement des ordures ménagères
Champ : logements ordinaires y compris résidences secondaires
Source : CSL2013
D6.3 Partage volume-prix de l’évolution des charges des
occupants
-4
-3
-2
-1
0
1
2
3
4
5
6
7
8
1985
1990
1995
2000
2005
2010
Prix
Volume
En %
Champ : logements ordinaires y compris résidences secondaires
Source : CSL2013
D6.4 Partage volume prix pour les différents postes de charges et contributions à la croissance totale
Contribution à la
croissance totale
0,3
0,5
0,3
0,0
0,3
0,0
-0,1
1,21,21,21,2-10 -8 -6 -4 -2 0 2 4 6 8
Entretien et petits travaux des parties communes
Entretien et petits travaux dans les logements
Services d'assurances
Personnels d'immeuble
Prestations de service*
Déménagements
Frais de baux
Volume
Prix
* Taxe de balayage et taxe d'enlèvement des ordures ménagères - Champ : logements ordinaires y compris résidences secondaires – Source : CSL2013
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D7 – LA CONSOMMATION DE SERVICE DE LOGEMENT PAR FILIÈRES
En 2013, les dépenses courantes associées au service de
logement des occupants des logements ordinaires s’établissent à
321,3 milliards d’euros (fiche D2), dont 23,5 milliards au titre de
résidences secondaires. Ainsi, les ménages dépensent
297,8 milliards d’euros pour l’usage courant de leur résidence
principale. Les dépenses courantes des propriétaires occupants
s’élèvent à 196,4 milliards d’euros. Celles des locataires atteint
101,3 milliards d’euros, soit 34 % de la dépense, et se
décompose en 62,3 milliards pour les locataires du secteur libre et
39,0 milliards pour les locataires du secteur social (D7.1).
Une évolution de la dépense courante des occupants
très contrastée d’une filière à l’autre
L’évolution du nombre de logements par filières est
déterminante dans le chiffrage par filières de la dépense
courante. Par ailleurs, le poids des différentes dépenses varie
grandement d’une filière à l’autre. De plus, les prix d’une même
dépense peuvent évoluer différemment selon les filières ; c’est
notamment le cas des loyers qui connaissent des évolutions de
prix différentes dans le secteur social et le secteur privé.
Ainsi, en 2013, les dépenses courantes des locataires
progressent de 3,1 % pour le secteur libre et de 3,7 % pour le
secteur social. Celles des propriétaires non accédants croît quant à
elle de 3,8 % et celle des propriétaires accédants progresse de
0,4 % (D7.1) compte tenu des évolutions du parc (fiche D1).
Les dépenses courantes par logement diffèrent
grandement selon les filières La dépense courante pour un propriétaire occupant s’élève, en
moyenne, à 11 850 euros par an en 2013. Cela représente 29 %
de plus qu’un locataire du secteur libre (9 170 euros par an), et
64 % de plus qu’un locataire du secteur social (7 250 euros).
Les principales différences entre ces dépenses moyennes
tiennent au poids des loyers, imputés pour les propriétaires
occupants et réels pour les locataires. Alors que les propriétaires
occupants ont une dépense moyenne en loyer de 8 440 euros par
an, légèrement plus élevée pour les non accédants que pour les
accédants, les locataires du secteur privé dépensent en moyenne
6 550 euros et ceux du secteur social 4 650 euros (D7.2).
Ces différences s’expliquent en partie par la taille des logements
mais également par la structure du parc, par type et âge entre les
différentes filières (fiches D10 à D13) : huit propriétaires sur dix
habitent une maison individuelle tandis que la moitié des
locataires occupent un appartement construit avant 1975. Mais le
loyer annuel moyen d’un ménage est aussi fortement corrélé à
son revenu. En 2006, le loyer annuel moyen des ménages les
plus modestes (par quartile de revenu) était inférieur de 40 % à
celui des ménages les plus aisés. Ces écarts sont toutefois moins
marqués au sein d’une même filière (20 % pour les accédants,
24 % pour les locataires HLM).
Concernant les dépenses d’énergie et d’eau, on observe
également des différences importantes. Elles sont sensiblement
plus élevées pour les propriétaires accédants (2 360 euros) que
pour les propriétaires non accédants (2 010 euros). Elles sont
surtout moindres pour les locataires : 1 694 euros pour ceux du
secteur libre et légèrement plus faibles pour le secteur social
(1 498 euros). Outre la taille des logements et la prédominance
de l’habitat individuel parmi les propriétaires occupants, les types
d’énergies utilisées pour le chauffage jouent de façon importante
sur ces dépenses et sur leur évolution.
Enfin, en ce qui concerne les charges, on constate également
d’importants écarts entre les filières. Les charges des propriétaires
accédants sont plus importantes que celles des non accédants
(1 530 euros contre 1 200 euros), les premiers réalisant
davantage de petits travaux au sein de leur logement. Pour les
locataires, ces charges sont moins élevées, de 920 euros pour le
secteur libre à 1 100 euros pour le secteur social.
Ainsi, les locataires du secteur social bénéficient de loyers plus
bas que les locataires du parc privé, mais leurs dépenses de
charges sont plus élevées : elles représentent 15,2 % de la
dépense moyenne d’un ménage locataire du parc social, contre
10,1 % pour un locataire du parc privé. Cela s’explique par la
prépondérance de grands immeubles collectifs, impliquant des
dépenses accrues en frais de personnels et en entretien des
équipements (ascenseurs, espaces verts).
Évolutions des dépenses moyennes par logement
sur long terme
Sur le long terme, les dépenses moyennes par logement
évoluent nettement moins vite dans le parc social (D7.3). Cela est
vrai en ce qui concerne les loyers (fiche D4). Mais cela est
également vrai en ce qui concerne l’énergie (D7.4), même si les
évolutions sont désormais proches compte tenu de la forte
évolution des prix du gaz, dont dépend grandement le parc HLM.
Concernant les charges (D7.5), le secteur social a connu des
évolutions moins importantes que le secteur libre, et ce, jusqu’en
2004 pour ensuite augmenter fortement en 2005 suite à nouvelle
définition du petit entretien récupérable. Désormais les charges
des occupants du secteur social ont des évolutions proches de
celles du secteur libre. Les charges des propriétaires occupants
connaissent la progression la plus faible.
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D7.1 Les dépenses courantes des occupants des logements ordinaires par filières
VolumeVolumeVolumeVolume PrixPrixPrixPrix ValeurValeurValeurValeur VolumeVolumeVolumeVolume PrixPrixPrixPrix ValeurValeurValeurValeur
Propriétaires accédants -0,7 2,5 1,8 -1,4 1,8 0,4 59 193 18,4
Propriétaires non accédants 2,8 2,4 5,2 2,0 1,8 3,8 137 220 42,7
Locataires secteur libre 1,9 2,4 4,4 1,2 1,9 3,1 62 314 19,4
Locataires secteur social 1,8 2,8 4,7 1,1 2,5 3,7 39 028 12,1
Résidences secondaires 1,4 2,0 3,4 1,2 1,5 2,7 23 528 7,3
Ensemble des dépenses courantesEnsemble des dépenses courantesEnsemble des dépenses courantesEnsemble des dépenses courantes 1,71,71,71,7 2,52,52,52,5 1,81,81,81,8 1,11,11,11,1 1,91,91,91,9 0,40,40,40,4 321 284 321 284 321 284 321 284 100,0 100,0 100,0 100,0
Structure 2013 Structure 2013 Structure 2013 Structure 2013
(en %)(en %)(en %)(en %)
2012/2011 (en %)2012/2011 (en %)2012/2011 (en %)2012/2011 (en %) 2013/2012 (en %)2013/2012 (en %)2013/2012 (en %)2013/2012 (en %) Montant 2013Montant 2013Montant 2013Montant 2013
(millions d'euros)(millions d'euros)(millions d'euros)(millions d'euros)
Champ : logements ordinaires uniquement, y compris résidences secondaires
Source : CSL2013
D7.2 Dépense par logement selon les filières et les
principaux postes de dépense
8 4446 553
4 647
2 115
1 694
1 498
1 294
922
1 101
0
2 000
4 000
6 000
8 000
10 000
12 000
14 000
Propriétaires
occupants
Locataires
secteur libre
Locataires
secteur social
Charges
Énergie
Loyers
En euros par logement
Champ : résidences principales uniquement
Source : CSL2013
D7.3 Évolution de la dépense totale des occupants par
logement selon les filières
100
120
140
160
180
200
220
240
260
280
300
1984 1988 1992 1996 2000 2004 2008 2012
Locataires secteur libreLocataires secteur socialPropriétaires occupants
En euros par logement, indice 100 en 1984
Champ : résidences principales uniquement
Source : CSL2013
D7.4 Évolution de la dépense en énergie et eau des
occupants par logement selon les filières
80
100
120
140
160
180
200
1984 1988 1992 1996 2000 2004 2008 2012
Propriétaires occupantsLocataires secteur libreLocataires secteur social
En euros par logement, indice 100 en 1984
Champ : résidences principales uniquement
Source : CSL2013
D7.5 Évolution de la dépense en charges des occupants
par logement selon les filières
100
120
140
160
180
200
220
240
260
280
300
320
1984 1988 1992 1996 2000 2004 2008 2012
Propriétaires occupantsLocataires secteur libreLocataires secteur social
En euros par logement, indice 100 en 1984
Champ : résidences principales uniquement
Source : CSL2013
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D8 - LES REDEVANCES DANS LES STRUCTURES D’HÉBERGEMENT COLLECTIF
En 2013, les structures d’hébergement collectif ont accueilli en
moyenne 1,1 million de personnes, soit 1,7% de la population
française. Six sur dix résident dans des structures pour personnes
âgées ; le reste de cette population est constitué d’étudiants en
cités universitaires, de travailleurs en foyers (jeunes ou migrants),
d’adultes handicapés et de personnes en difficulté sociale en
structures d’accueil dédiées (D8.2).
Les dépenses courantes en logement de ces résidents (leurs
redevances - encadré) s’élèvent à 7,4 milliards d’euros en 2013.
Des évolutions des capacités d’accueil contrastées
Les capacités d’accueil dans les structures d’hébergement
collectif ont cru de 1,3 % en moyenne annuelle entre 1990 et
2013. Cette évolution masque des disparités importantes entre
les différents types d’hébergement collectifs (D8.4).
Le nombre de lits pour les personnes en difficulté sociale a été
multiplié par 2,7 sur la période, en partie en raison de l’apparition
de structures d’accueil pour demandeurs d’asiles (Cada, CPH).
Dans une moindre mesure, la prise en charge de personnes
handicapées plus dépendantes au sein de structures dédiées
(MAS, FAM) a également progressé, les places d’accueil pour les
adultes handicapés ayant doublé. L’évolution des capacités
d’accueil des établissements pour personnes âgées est, elle, plus
faible (+ 1,8 % en moyenne annuelle) et inférieure à l’évolution
de la population âgée de 75 ans ou plus (+ 2,0 % en moyenne
annuelle). Les politiques sociales de maintien à domicile ont en
effet permis un recours plus tardif aux structures d’accueil.
À l’inverse, les capacités d’accueil des établissements destinés
aux étudiants ont diminué (- 38,6 % entre 1990 et 2013) en lien
avec le recours plus fréquent à la location au sein du parc de
logements ordinaires. En 2012, 3,5 % des étudiants sont logés en
cités universitaires traditionnelles contre 8,0 % en 1990.
Une croissance des redevances supérieure aux
dépenses courantes de logements ordinaires
Au cours des deux dernières décennies, la croissance des
dépenses courantes en structures d’hébergement collectif a été
forte (+ 5,5 % en moyenne annuelle entre 1990 et 2012) et
supérieure à celle des dépenses de logements ordinaires (+ 4,1 %
en moyenne annuelle entre 1990 et 2012). Même si les capacités
d’accueil augmentent légèrement plus vite que le parc de
logements ordinaires, ce sont surtout les prix qui expliquent cette
différence : la croissance de la redevance par lit s’établit à 4,1 %
en moyenne annuelle entre 1990 et 2013 contre + 3,0 % pour la
dépense par logement ordinaire.
Des structures très diverses Toutes structures d’hébergement collectif confondues, la
redevance annuelle moyenne par occupant est évaluée à 7 010 €
en 2013. Pour autant, elle varie fortement selon le type
d’hébergement, notamment en fonction de la qualité et de la
quantité des prestations en logement offertes qui dépendent
elles-mêmes du degré de spécialisation de l’établissement. Les
personnes accueillies peuvent percevoir des prestations sociales
afin d’assurer tout ou partie de cette dépense (D8.3).
Ainsi, dans les établissements pour personnes handicapées qui
nécessitent à la fois des personnels qualifiés et nombreux ainsi
que des locaux respectant des normes contraignantes de sécurité
et d’équipement, la redevance annuelle par occupant s’élève à
12 840 €. Alors que ces établissements ne représentent que 12 %
des lits occupés, ils pèsent pour 22,3 % des redevances des
logements collectifs (D8.1).
Dans une moindre mesure, et compte tenu des besoins en
personnel, les redevances annuelles moyennes dans les
établissements pour personnes âgées et dans les foyers pour
personnes en difficulté sociale sont également assez élevées
(respectivement 7 420 € et 5 720€).
À l’autre extrémité, les redevances annuelles par lit sont bien
moins élevées dans les foyers d’étudiants (1 800 €) et de
travailleurs (3 790 €). Cela s’explique par une offre de services
plus réduite mais également par le fait que la présence des
occupants est essentiellement limitée à la nuit, ce qui réduit les
dépenses d’énergie.
Les redevances aux établissements d’hébergement collectif
Les locaux d’hébergement collectif sont des structures qui rendent un service de logement à leurs occupants mais pour lesquels la dépense n’est pas
intégrée à la mesure de la consommation associée au service de logement de la fiche D2, car non comptabilisés dans les logements ordinaires. On regroupe
dans cette filière particulière les structures accueillant des personnes âgées, des adultes handicapés, des jeunes travailleurs et travailleurs migrants, des
étudiants et des personnes en difficulté sociale.
De façon générale, les occupants acquittent une « redevance », inscrite en ressource dans les comptes de ces établissements, qui couvre l’intégralité des
services rendus et qui excède généralement le seul service de logement : assistance médicale, aide pour effectuer les gestes quotidiens, restauration… Le
CSL ne retient que la part de cette redevance correspondant au seul service de logement, par analogie avec la consommation des occupants de logements
ordinaires (loyers, dépenses d’énergie et d’eau, charges) ; de même, les charges des producteurs retenues (fiche P5) ne couvrent que les charges liées au
service de logement. C’est cette part de la redevance qui définit la consommation associée au service de logement pour cette filière.
Les résidents peuvent percevoir des prestations sociales les aidant à financer cette « redevance » (aides personnelles au logement, aide
départementale…).
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D8.1 L’hébergement collectif en 2012
Capacité d'accueilCapacité d'accueilCapacité d'accueilCapacité d'accueil Lits occupésLits occupésLits occupésLits occupés Taux d'occupationTaux d'occupationTaux d'occupationTaux d'occupation RedevancesRedevancesRedevancesRedevances Part dans les redevancesPart dans les redevancesPart dans les redevancesPart dans les redevances
(en milliers)(en milliers)(en milliers)(en milliers) (en milliers)(en milliers)(en milliers)(en milliers) (en %)(en %)(en %)(en %) (en millions d'euros)(en millions d'euros)(en millions d'euros)(en millions d'euros) (en %)(en %)(en %)(en %)
Personnes âgées 649 617 95% 4 581 62,0
Adultes handicapés 133 128 97% 1 649 22,3
Personnes en difficulté sociale 86 81 93% 461 6,2
Travailleurs 170 144 84% 544 7,4
Étudiants 84 84 100% 153 2,1
EnsembleEnsembleEnsembleEnsemble 1 1231 1231 1231 123 1 0541 0541 0541 054 94%94%94%94% 7 3887 3887 3887 388 100,0100,0100,0100,0
Type d'hébergementType d'hébergementType d'hébergementType d'hébergement
Source : CSL2013
D8.2 Répartition des capacités d'accueil par type
d’hébergement collectif
Personnes
âgées
58%
Adultes
handicapés
12% Personnes
en difficulté
sociale
8%
Travailleurs
15%
Etudiants
7%
Source : CSL2013
D8.3 Redevance par lit occupé selon le type
d’hébergement collectif
En €/lit occupé7010
12840
7420
5720
3790
1800
0 5000 10000 15000
Ensemble
Adultes handicapés
Personnes âgées
Personnes en difficulté sociale
Travailleurs
Étudiants
Paiement des résidentsAPLALSAutres prestations sociales
Source : CSL2013
D8.4 Évolution des capacités d’accueil En nombre de lits (base 100 en 1990)
50
100
150
200
250
300
1990 1994 1998 2002 2006 2010
Personnes âgéesAdultes handicapésPersonnes en difficulté socialeTravailleursÉtudiantsEnsemble
Source : CSL2013
D8.5 Évolution des redevances en euros/lit occupé En euros par lit (base 100 en 1990)
50
100
150
200
250
300
1990 1994 1998 2002 2006 2010
Personnes âgéesAdultes handicapésPersonnes en difficulté socialeTravailleursEtudiantsEnsemble
Source : CSL2013
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52 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
D9 – CONDITIONS D’OCCUPATION DES RÉSIDENCES PRINCIPALES
En 2013, selon Filocom (encadré), les ménages sont composés
en moyenne de 2,35 personnes. La taille moyenne des ménages,
égale à 2,51 en 1999, a diminué à un rythme moyen de 0,6%
jusqu’en 1999, puis 0,2% ensuite.
Ce repli est de même amplitude pour tous les statuts
d'occupation entre 1999 et 2013. Il est davantage marqué pour
les ménages dont la personne de référence est âgée entre 30 et
69 ans, tandis que la taille de ceux âgés de 70 ans ou plus a
tendance à augmenter au cours du temps sous l'effet des progrès
de l'espérance de vie, qui entraînent un veuvage plus tardif. La
part des ménages mariés ou pacsés a diminué entre 2003 et
2013, passant de 48,7 % à 44,8 % (D9.1). La part des personnes
seules a significativement progressé, atteignant 33 % des
ménages en 2013.
Des logements plus grands et moins peuplés Entre 2011 et 2013, la surface moyenne par personne progresse
de 0,55 % par an, pour s'établir à 36,5 m² en 2013. Les ménages
propriétaires occupants disposent en moyenne de 40,6 m² par
personne, soit près de 9 m² de plus que les locataires du parc
privé et 13 m² de plus que ceux du parc social. L'augmentation de
la surface moyenne par personne tient à celle de la taille
moyenne des logements (+ 0,26 %) et à la diminution de la taille
des ménages (- 0,28 %). Dans le parc social, la progression de la
surface moyenne par personne (+ 0,24 %) s’explique en grande
partie par la diminution de la taille des ménages (- 0,29 %). C’est
aussi le cas dans le parc privé où la diminution de la taille des
ménages (- 0,27%) explique l’augmentation de la surface
moyenne par personne (+ 0,35%), la surface du logement étant
quasiment stable en 2013.
Les logements apparus après 2011 sont en moyenne 6 m² plus
spacieux que ceux qui ont disparu dans le même temps (D9.3).
Dans l’ensemble, la surface moyenne des résidences principales
augmente entre 2011 et 2013, passant de 85,2 m² à 85,7 m².
Une sur-occupation localisée En 2013, la sur-occupation recule, touchant 2,9 % des
résidences principales contre 3 % en 2011, soit 12 070 logements
de moins (encadré). Le parc locatif privé est le plus concerné par
ce phénomène : 5,3 % des logements sont concernés. Celui
détenu par les propriétaires occupants est le moins touché avec
1,6 % de logements sur-occupés (D9.4). La sur-occupation est
essentiellement localisée en Île-de-France (la plupart des
communes situées à la périphérie de Paris enregistrent des taux
très nettement supérieurs à la moyenne) et dans le Sud-Est, Corse
comprise, mais le phénomène couvre également le Nord dans le
parc locatif.
Une forte rotation dans le parc privé Le taux annuel moyen de rotation dans le parc de logements
(encadré) entre 2011 et 2013 s’établit à 7,3 % (D9.2). C’est dans
le parc locatif privé que la mobilité résidentielle est la plus élevée.
Le taux de rotation s’y établit en moyenne à 17,8 %. Il y est de
16,5 % pour les 30-49 ans et atteint 33 % chez les moins de
30 ans.
Le parc locatif social soumis à des règles en particulier de droit
au maintien dans les lieux et composé de ménages plus âgés et
de taille plus grande que le parc privé, enregistre un taux deux
fois inférieur (8,9 %), en diminution régulière au cours des
années 2000. Au même âge, un locataire social demeure moins
mobile qu’un locataire du parc privé. Quant aux propriétaires
occupants, plus âgés et dont les logements sont plus grands en
moyenne, ils présentent un taux de mobilité très bas, à 3 % en
moyenne.
Définitions
Filocom est un fichier par logement qui résulte de l’appariement de quatre fichiers gérés par la Direction générale des finances publiques (DGFiP) : le fichier
de la taxe d’habitation, le fichier foncier (des propriétés bâties), le fichier des propriétaires et le fichier de l’impôt sur les revenus des personnes physiques. Il
est fourni tous les deux ans au service statistique du Medde, sur les années impaires (et exceptionnellement en 2010). Son champ est l’ensemble des
logements entrant dans le champ de la taxe d’habitation (TH). Les résidences principales y sont repérées par le mode d’occupation du logement. Les
ménages sont reconstitués à partir des foyers fiscaux rattachés au logement. Ils ne coïncident pas toujours avec les ménages au sens du recensement de la
population de l’Insee. Les chiffres calculés à partir de Filocom (taille des ménages, surface moyenne du logement par personne…) peuvent donc différer de
ceux calculés à partir du recensement, et donc ceux donnés par le parc du CSL (fiche D1).
La sur-occupation mesure l’inadéquation entre la composition du ménage et la surface habitable du logement. Est sur-occupé un logement dans lequel la
surface est strictement inférieure à 16 m² pour une personne, plus 11 m² pour chaque personne suivante.
La mobilité est mesurée à travers la notion de rotation entre deux dates dans les logements existant à ces deux mêmes dates, soit les logements occupés
à chacune de ces deux dates, appelés logements permanents. Le taux de rotation est défini comme le nombre de logements permanents ayant changé
d’occupants rapporté au nombre de logements permanents.
Famille monoparentale : Filocom renseigne sur le nombre d’enfants mineurs dans un ménage mais ne donne pas l’âge des personnes majeures
fiscalement à charge. On retient comme définition d’une famille monoparentale dans Filocom un ménage composé d’une personne ayant des personnes
fiscalement à charge, enfants mineurs ou majeurs, ou autres personnes majeures (ascendant). Ainsi, à la différence du recensement, un ménage ne sera pas
une famille monoparentale si un enfant réside dans le logement sans être à charge (il déclare ses propres revenus). En revanche, il sera considéré comme
une famille monoparentale même si les personnes à charge ne sont pas des enfants, contrairement au recensement.
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 53
D9.1 Situation matrimoniale en 2011 et 2013 (en %)
2011201120112011 2013201320132013
Personnes seules Personnes seules Personnes seules Personnes seules 32,632,632,632,6 33,033,033,033,0
Mariés ou pacsés Mariés ou pacsés Mariés ou pacsés Mariés ou pacsés 45,945,945,945,9 44,844,844,844,8
sans enfant mineur 28,0 27,4
1 enfant mineur 7,0 6,7
2 enfants mineurs 7,4 7,3
3 enfants mineurs ou plus 3,5 3,4
Familles monoparentales Familles monoparentales Familles monoparentales Familles monoparentales 6,76,76,76,7 6,96,96,96,9
sans enfant mineur 1,2 1,2
1 enfant mineur 3,5 3,6
2 enfants mineurs 1,5 1,5
3 enfants mineurs ou plus 0,5 0,5
Autres Autres Autres Autres 14,914,914,914,9 15,315,315,315,3
sans enfant mineur 8,6 8,9
1 enfant mineur 2,9 3,0
2 enfants mineurs 2,3 2,3
3 enfants mineurs ou plus 1,0 1,0
EnsembleEnsembleEnsembleEnsemble 100,0100,0100,0100,0 100,0100,0100,0100,0
Champ : résidences principales, France métropolitaine.
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
D9.2 Taux moyen de rotation entre 2011 et 2013 selon le
parc et l’âge des occupants
En %
0
5
10
15
20
25
30
35
18-29 ans 30-49 ans 50 ans ou plus
Locataires du parc social et des collectivités territoriales
Locataires du parc privé
Propriétaires occupants
Champ : Résidences principales, France métropolitaine.
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
D9.3 Surface moyenne par personne, surface moyenne du logement et taille des ménages en 2011 et 2013
2011201120112011 2013201320132013 2011201120112011 2013201320132013 2011201120112011 2013201320132013
Logements n’ayant pas changé d'occupants 36,5 37,5 88,7 89,0 2,43 2,37
Logements ayant changé d’occupants 32,3 32,2 71,7 72,1 2,22 2,24
Logements disparus après 2011 35,0 - 68,7 - 1,96 -
Logements apparus après 2011 - 33,3 - 74,2 - 2,23
Ensemble Ensemble Ensemble Ensemble 36,136,136,136,1 36,536,536,536,5 85,285,285,285,2 85,785,785,785,7 2,362,362,362,36 2,352,352,352,35
Surface moyenne
par personne
(en m²)
Surface moyenne
des logements
(en m²)
Nombre de
personnes par
ménage
Champ : résidences principales, France métropolitaine. Pour les deux premières lignes, il s’agit des logements présents en 2011 et 2013.
Lecture : en 2013, les personnes qui n’ont pas déménagé depuis 2011 habitent des logements de 89 m² en moyenne.
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
D9.4 Sur-occupation des résidences principales en 2013
Propriétaires occupants
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
Locataires
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D10 - LES PROPRIÉTAIRES OCCUPANTS
En 2013, 16,6 millions de ménages sont propriétaires de leur
résidence principale, soit 57,6 % de l’ensemble des ménages
(D10.1). Cette part, qui progresse tendanciellement, s’était
néanmoins stabilisée entre 1990 et 1996 lors du net recul du
nombre d’accédants. Reprise en 2003, la baisse du nombre
d’accédants se poursuit. Le nombre de propriétaires non
accédants n’a cessé d’augmenter à un rythme nettement
supérieur à celui du nombre de résidences principales. En
conséquence, la proportion de ménages propriétaires de leur
résidence principale progresse depuis 1996, à un rythme annuel
de 0,23 point jusqu’en 2008, puis de 0,1 point annuel depuis
2009.
Parmi les propriétaires, la part des accédants, c’est-à-dire ceux
qui ont toujours un emprunt immobilier en cours, poursuit sa
diminution et s’établit à 30 % en 2013 (elle avait atteint 47 % en
1988).
Selon Filocom, l’âge moyen de l’occupant principal (59 ans) est
plus élevé pour les propriétaires qu’il ne l’est pour la moyenne
des ménages (55 ans). La part des moins de 30 ans est très faible
et 87 % ont au moins 40 ans (D10.2). Après 60 ans, le nombre de
propriétaires diminue, mais leur proportion reste très élevée par
rapport à celle des locataires de la même classe d’âge.
Les revenus des propriétaires sont plus élevés que la
moyenne
Le revenu imposable annuel moyen des ménages propriétaires
occupants (47 300 euros) est 23 % plus élevé que celui de
l’ensemble des ménages (38 330 euros). Cela résulte en partie de
la structure par âge de cette population. La moitié des ménages
propriétaires perçoit un revenu imposable annuel par unité de
consommation supérieur à 23 300 euros, soit 3 360 euros de plus
que le revenu imposable par unité de consommation médian des
ménages en France (D10.4).
Un parc constitué essentiellement de logements
individuels
Le parc des propriétaires occupants est ancien : 54,9 % des
propriétaires occupent des logements construits avant 1975, et
15,3 % des logements sont postérieurs à 1999 (D10.3). Les
logements en immeuble collectif occupés par leur propriétaire
sont globalement plus vieux que ne le sont les logements
individuels, ces derniers formant la grande majorité du parc en
propriété occupante (77,6 %).
Selon Filocom, les logements des propriétaires ont une
superficie moyenne de 99 m² en 2013. Ils sont plus vastes que la
moyenne des résidences principales : les logements individuels
qu’ils possèdent sont un peu plus spacieux que la moyenne
(107 m² contre 103 m²), et leurs appartements sont nettement
plus grands (72 m² contre 61 m²).
Les ménages propriétaires disposent en moyenne de 1,7 pièce
par personne, contre 1,4 pour les locataires.
Un habitat essentiellement rural La proportion de propriétaires occupants est plus faible que la
moyenne dans l’agglomération parisienne, dans les régions du
Sud-Est et le long de la frontière italienne, là où l’habitat collectif
est prépondérant (D10.5).
Avertissement
Dans le CSL, la répartition du parc par filières est obtenue à partir des recensements de la population et les enquêtes nationales logement (ENL) réalisées
par l’Insee (encadré fiche D1). Dans Filocom (encadré fiche D9), les propriétaires occupants sont définis à partir du statut d’occupation des résidences
principales et du type de propriétaire du logement (personne physique). Les résultats présentés dans cette fiche sont principalement issus de Filocom et
permettent de disposer d’éléments descriptifs sur les logements et les occupants qui ne sont pas directement accessibles à partir des résultats de la fiche D1.
Définitions
Le nombre de pièces considérées dans le fichier Filocom fait référence à la notion d’habitabilité. Sont donc exclues les pièces telles que cuisine, salle de
bain, douche, cabinet de toilette…
Les revenus pris en compte sont les revenus imposables annuels, qui comprennent les revenus d’activité professionnelle (traitements, salaires, pensions)
sans déduction (abattements, pension alimentaire…). Ils ne comprennent pas les aides ou prestations sociales non imposables (prestations familiales,
allocations de logements, RSA…).
Le nombre d’unités de consommation est, par convention, évalué comme suit : 1,0 pour le premier adulte du ménage ; 0,5 pour chacun des adultes
suivants (personne de 14 ans ou plus) ; 0,3 pour chaque enfant du ménage (personne de moins de 14 ans).
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Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 55
D10.1 Les propriétaires occupants depuis 1991
0,0
4,0
8,0
12,0
16,0
1991
1994
1997
2000
2003
2006
2009
2012
54
55
56
57
58
59AccédantsNon-accédants
En millions de ménages Part des propriétaires parmi les
résidences principales (en %)
Champ : France entière
Source : Parc Insee et SOeS (au 1er juillet)
D10.2 Répartition des propriétaires occupants par tranche
d’âge
0
5
10
15
20
25
30
<25
ans
25-29
ans
30-39
ans
40-49
ans
50-59
ans
60-69
ans
70-79
ans
80 ans
ou +
En % 2003 2013
14%14%
Champ : France métropolitaine, ménages propriétaires de leur résidence
principale
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
D10.3 Caractéristiques des logements en 2013
Logements
individuels
(%)
Logements
en immeuble
collectif (%)
Répartition par type d’habitat 100,0 77,6 22,4
Nombre de piècesNombre de piècesNombre de piècesNombre de pièces
1 ou 2 pièces 10,5 5,7 27,0
3 pièces 19,3 15,1 33,9
4 pièces 32,0 33,4 27,4
5 pièces 23,9 28,2 9,2
6 pièces ou + 14,2 17,6 2,6
100,0 100,0 100,0
Année constructionAnnée constructionAnnée constructionAnnée construction
avant 1949 31,3 32,0 28,9
entre 1949 et 1974 23,6 20,2 35,6
entre 1975 et 1999 29,8 31,8 22,9
après 1999 15,3 16,0 12,6
100,0 100,0 100,0
LocalisationLocalisationLocalisationLocalisation
Commune rurale 29,2 36,3 4,7
U, U < 20 000 h, 19,5 22,7 8,5
U, U de 20 à 100 000 h, 12,9 13,2 12,1
U, U > de 100 000 h, 25,8 21,1 42,3
Agglomération parisienne 12,5 6,8 32,5
100,0 100,0 100,0
Ensemble des
propriétaires
occupants
(%)
Dont
Champ : France métropolitaine, ménages propriétaires de leur résidence
principale
UU = unités urbaines 2010
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
Île de France
D10.4 Distribution des revenus imposables par unité de
consommation des propriétaires occupants en 2013
En milliers d'euros
0 5 10 15 20 25 30
Moins de 55 à moins de 10
10 à moins de 15 15 à moins de 2020 à moins de 2525 à moins de 3030 à moins de 3535 à moins de 40
40 ou plusEn %
Propriétaires occupantsEnsemble des ménages
Champ : France métropolitaine, ménages propriétaires de leur résidence
principale
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
D10.5 Localisation des propriétaires occupants en 2013
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
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D11 - LES LOCATAIRES
En 2013, le nombre de ménages locataires du parc social et du
parc privé s’élève à 12,2 millions (D11.1). Depuis 1996, ce
nombre progresse à un rythme inférieur à celui des résidences
principales (0,7 % par an en moyenne contre 1,1 %). Leur part
dans l’ensemble des ménages enregistre donc un recul sur cette
période et atteint 42,4 % en 2013. La part des locataires sociaux
parmi l’ensemble des locataires, qui était passée de 33 % en
1984 à 43 % en 1997, atteint 44 % en 2013, contre 56 % de
locataires du parc privé.
Des ménages jeunes
Selon Filocom, les locataires sont en majorité des ménages
jeunes dont l’occupant principal est âgé de 48 ans en moyenne,
contre 59 ans pour les propriétaires occupants (D11.2). La part des
locataires parmi les ménages diminue à mesure que l’âge
augmente. Elle est de 66 % pour les moins de 40 ans, alors
qu’elle n’est que de 30 % pour les ménages de plus de 50 ans.
Un niveau de vie relativement faible Le revenu imposable annuel moyen des ménages locataires
atteint 26 220 euros, contre 38 330 en moyenne pour l’ensemble
des ménages (D11.4). La moitié des ménages locataires
perçoivent un revenu imposable annuel par unité de
consommation inférieur à 15 400 euros, soit 4 540 euros de
moins que le revenu médian des ménages en France.
Des logements collectifs de petite taille Les locataires sont beaucoup plus nombreux dans les logements
collectifs qu’individuels : 75 % des logements locatifs sont en
immeubles collectifs. 69 % des logements loués possèdent moins
de quatre pièces contre seulement 30 % pour les propriétaires
occupants (D11.3). Les logements ont une superficie moyenne
plus faible que ceux des propriétaires (64 m² contre 99 m²), que
ce soit dans le collectif (57 m² contre 72 m²) ou dans l’individuel
(85 m² contre 107 m²). De plus, cet écart est accentué par la plus
grande proportion de logements collectifs, notoirement plus
petits, parmi les locataires.
Dans l’individuel, les logements du parc locatif privé sont en
moyenne plus spacieux que les logements du parc social (87 m²
contre 80 m²) ; ils sont en revanche significativement plus petits
dans le collectif (52 m² contre 63 m²).
Les ménages locataires disposent en moyenne de 1,4 pièce par
personne s’ils logent dans un habitat collectif, et 1,5 pièce dans
l’individuel.
Le parc locatif est très urbain L’ancienneté du parc locatif, globalement proche de celle des
logements de propriétaires, est hétérogène : dans le parc privé
41 % des logements ont été construits avant 1949, contre
seulement 9 % dans le parc social. L’habitat collectif, qui forme
les trois quarts du parc locatif, est essentiellement situé en zone
urbaine. La localisation des locataires reflète cette structure : 38 %
résident dans les agglomérations de plus de 100 000 habitants et
20 % dans l’agglomération parisienne (D11.5).
Définitions
Le nombre de pièces considérées dans le fichier Filocom fait référence à la notion d’habitabilité. Sont donc exclues les pièces telles que cuisine, salle de
bain, douche, cabinet de toilette…
Les revenus pris en compte sont les revenus imposables annuels, qui comprennent les revenus d’activité professionnelle (traitements, salaires, pensions)
sans déduction (abattements, pension alimentaire…). Ils ne comprennent pas les aides ou prestations sociales non imposables (prestations familiales,
allocations de logements, RSA…).
Le nombre d’unités de consommation est, par convention, évalué comme suit : 1,0 pour le premier adulte du ménage ; 0,5 pour chacun des adultes
suivants (personne de 14 ans ou plus) ; 0,3 pour chaque enfant du ménage (personne de moins de 14 ans).
Avertissement
Dans le CSL, les logements locatifs sont répartis selon la nature juridique du bailleur : les filières de locataires rassemblent les locataires du secteur social
(fiche D12) et du secteur privé (fiche D13). Dans Filocom, les locataires sont définis à partir du statut d’occupation des résidences principales et du type de
propriétaire du logement (personne physique ou personne morale pour les locataires du parc privé ; HLM, SEM, État ou collectivité locale pour les locataires
du parc social). Les résultats présentés dans cette fiche sont principalement issus de Filocom et permettent de disposer d’éléments descriptifs sur les
logements et les occupants qui ne sont pas directement accessibles à partir des résultats de la fiche D1.
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 57
D11.1 Les locataires depuis 1991
0,0
3,0
6,0
9,0
12,0
1991
1994
1997
2000
2003
2006
2009
2012
40
42
44
46
48
Parc social
Parc privé
En millions de ménages Part des locataires parmi les
résidences principales (en %)
Source : Parc Insee et SOeS (au 1er juillet) - France entière
D11.2 Répartition des locataires par tranche d’âge
0
5
10
15
20
25
30
<25
ans
25-29
ans
30-39
ans
40-49
ans
50-59
ans
60-69
ans
70-79
ans
80 ans
ou +
En %2003 2013
14%14%
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
D11.3 Caractéristiques des logements en 2013
Logements
individuels
(%)
Logements
en immeuble
collectif (%)
Répartition par type d’habitat 100,0 25,0 75,0
Nombre de piècesNombre de piècesNombre de piècesNombre de pièces
1 ou 2 pièces 37,2 14,2 44,9
3 pièces 30,9 27,2 32,1
4 pièces 22,7 35,8 18,3
5 pièces 7,2 16,5 4,1
6 pièces ou + 2,0 6,2 0,6
100,0 100,0 100,0
Année constructionAnnée constructionAnnée constructionAnnée construction
avant 1949 26,9 37,9 23,1
entre 1949 et 1974 30,2 16,1 35,0
entre 1975 et 1999 25,8 25,0 26,1
après 1999 17,1 21,0 15,7
100,0 100,0 100,0
LocalisationLocalisationLocalisationLocalisation
Commune rurale 11,7 34,7 4,0
U, U < 20 000 h, 14,6 25,1 11,2
U, U de 20 à 100 000 h, 15,4 14,4 15,7
U, U > de 100 000 h, 37,9 22,0 43,2
Agglomération parisienne 20,4 3,8 25,9
100,0 100,0 100,0
Ensemble des
locataires (%)
Dont
Champ : France métropolitaine, ménages locataires de leur résidence
principale
UU = unités urbaines 2010
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
Île de France
D11.4 Distribution des revenus imposables par unité de
consommation des locataires en 2013
En milliers d'euros
0 5 10 15 20 25 30
Moins de 55 à moins de 10
10 à moins de 15 15 à moins de 2020 à moins de 2525 à moins de 3030 à moins de 3535 à moins de 40
40 ou plus En %
LocatairesEnsemble des ménages
Champ : France métropolitaine, ménages locataires de leur résidence
principale
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
D11.5 Localisation des locataires en 2013
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
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58 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
D12 - LES LOCATAIRES DANS LE SECTEUR SOCIAL
En 2013, 5,4 millions de ménages sont locataires dans le secteur
social (D12.1). Bien que ce nombre progresse tendanciellement,
leur part dans l’ensemble des ménages se stabilise à 18,7 %
depuis 2009, après un recul continu entre 1998 et 2009, moins
rapidement toutefois que pour les locataires du parc privé. Les
principaux bailleurs des locataires de logements sociaux sont les
organismes HLM. Ils représentent 80 % de l’ensemble des
bailleurs sociaux en 2013 ; 4,3 millions de ménages sont
locataires des bailleurs HLM.
L’âge moyen des locataires s’élève
Le parc social abrite des ménages dont l’âge moyen de la
personne de référence augmente davantage que dans les autres
segments. Selon Filocom, elle atteint en moyenne 51,8 ans en
2013, contre 48,5 ans en 1999. Les locataires âgés de 25 à
39 ans, qui représentaient 32 % des locataires du parc social en
2003, voient leur poids diminuer à 24 % en 2013 (D12.2). En
contrepartie, la tranche des 50-69 ans a progressé, passant de
27 % en 2003 à 35 % en 2013.
Un niveau de vie relativement faible Le revenu imposable annuel moyen des ménages locataires du
parc social atteint 22 275 euros, contre 38 330 euros en moyenne
pour l’ensemble des ménages (D12.4). La moitié des ménages
logeant dans le secteur social perçoit un revenu annuel par unité
de consommation inférieur à 13 250 euros, soit 6 700 euros de
moins que le revenu médian des ménages en France.
Essentiellement des logements de type collectif Les logements locatifs sociaux sont constitués à 85 %
d’appartements. Les logements sont composés essentiellement
de 3 et de 4 pièces (respectivement 35 % et 29 % - D12.3). Ils
sont plus récents que ceux du parc locatif privé, mais vieillissants :
42 % d’entre eux ont été construits entre 1949 et 1974.
Les logements sociaux ont une superficie moyenne de 66 m²,
soit 19 m² de moins que la moyenne des résidences principales.
Les ménages locataires du parc social disposent en moyenne de
1,3 pièce s’ils résident dans le collectif, et de 1,4 dans l’individuel.
Le parc social est très urbain Le parc locatif social est surtout situé en zone urbaine : 38,4 %
des logements sociaux sont localisés dans les agglomérations de
plus de 100 000 habitants (D12.5). Un quart des locataires du parc
social réside dans l’agglomération parisienne.
Le parc est avant tout implanté à l’est d’une diagonale reliant
Rennes à Nice.
Définitions
Le nombre de pièces considérées dans le fichier Filocom fait référence à la notion d’habitabilité. Sont donc exclues les pièces telles que cuisine, salle de
bain, douche, cabinet de toilette…
Les revenus pris en compte sont les revenus imposables annuels, qui comprennent les revenus d’activité professionnelle (traitements, salaires, pensions)
sans déduction (abattements, pension alimentaire…). Ils ne comprennent pas les aides ou prestations sociales non imposables (prestations familiales,
allocations de logements, RSA…).
Le nombre d’unités de consommation est, par convention, évalué comme suit : 1,0 pour le premier adulte du ménage ; 0,5 pour chacun des adultes
suivants (personne de 14 ans ou plus) ; 0,3 pour chaque enfant du ménage (personne de moins de 14 ans).
Avertissement
Dans le CSL, la filière des locataires de bailleurs HLM rassemble les locataires de logements gérés par les offices publics, entreprises sociales pour l’habitat
(ESH) ou offices publics pour l’habitat (OPH). La filière des locataires d'autres bailleurs sociaux rassemble quant à elle les occupants des logements loués par
les sociétés civiles immobilières anciennement à participation majoritaire de la Société Centrale Immobilière de la Caisse des Dépôts (SCIC devenue Icade),
les Sociétés d’économie mixte (SEM), l’État, les collectivités locales et les établissements publics. L’ensemble de ces deux filières forme le secteur social. La
définition du parc social dans le CSL est donc large puisque sont regroupés les logements sociaux accessibles à une catégorie de population spécifique
(revenus inférieurs à un seuil défini chaque année) et les autres logements détenus par des collectivités ou des établissements publics.
Dans Filocom, les locataires du parc social sont définis à partir du statut d’occupation des résidences principales et du type de propriétaire du logement
(HLM, SEM, État et collectivités locales). Les résultats présentés dans cette fiche sont principalement issus de Filocom et permettent de disposer d’éléments
descriptifs sur les logements et les occupants qui ne sont pas directement accessibles à partir des résultats de la fiche D1. Le nombre de pièces, les revenus, ainsi que les unités de consommation sont définis dans l’encadré fiche D10.
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 59
D12.1 Les locataires du secteur social depuis 1991
0,0
2,0
4,0
6,0
1991
1994
1997
2000
2003
2006
2009
2012
18
19
20
21
Autres bailleurs sociaux
Bailleurs HLM
Part du parc social parmi les
résidences principales (en %)
En millions de ménages
Source : Parc Insee et SOeS (au 1er juillet) - France entière
D12.2 Répartition des locataires du secteur social par
tranche d’âge
0
5
10
15
20
25
30
<25
ans
25-29
ans
30-39
ans
40-49
ans
50-59
ans
60-69
ans
70-79
ans
80 ans
ou +
En % 2003 2013
Champ : France métropolitaine, HLM, SEM, État et coll. Locales
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
D12.3 Caractéristiques des logements en 2013
Logements
individuels
(%)
Logements
en immeuble
collectif (%)
Répartition par type 100,0 15,3 84,7
Nombre de piècesNombre de piècesNombre de piècesNombre de pièces
1 ou 2 pièces 27,0 10,1 30,1
3 pièces 35,0 25,9 36,6
4 pièces 29,0 43,5 26,4
5 pièces 7,9 17,0 6,2
6 pièces ou + 1,1 3,4 0,7
100,0 100,0 100,0
Année constructionAnnée constructionAnnée constructionAnnée construction
avant 1949 8,7 13,0 7,9
entre 1949 et 1974 42,4 13,6 47,9
entre 1975 et 1999 34,6 46,4 32,3
après 1999 14,3 27,0 11,9
100,0 100,0 100,0
LocalisationLocalisationLocalisationLocalisation
Commune rurale 6,5 24,6 3,3
U. U < 20 000 h. 12,7 24,3 10,6
U. U de 20 à 100 000 h. 16,3 16,3 16,2
U. U > de 100 000 h. 38,4 29,8 40,0
Agglomération parisienne 26,1 4,9 29,9
100,0 100,0 100,0
Ensemble
des
locataires du
secteur
Dont
Champ : France métropolitaine, ménages locataires de leur résidence
principale dans le secteur social
UU = unités urbaines 2010
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
Île de France
D12.4 Distribution des revenus imposables par unité de
consommation des locataires du secteur social en 2013
En milliers d'euros
0 5 10 15 20 25 30
Moins de 55 à moins de 10
10 à moins de 15 15 à moins de 2020 à moins de 2525 à moins de 3030 à moins de 3535 à moins de 40
40 ou plusEn %
Locataires du secteur socialEnsemble des ménages
Champ : France métropolitaine HLM, SEM, État et coll. Locales
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
D12.5 Localisation des locataires du secteur social en 2013
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
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60 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
D13 - LES LOCATAIRES DU SECTEUR PRIVÉ
En 2013, 6,8 millions de ménages sont locataires de leur
résidence principale dans le secteur privé (D13.1). Ils représentent
23,6 % des ménages. Parmi eux, 96 % louent leur résidence
principale à des bailleurs personnes physiques. Cette part a
progressé de 10 points depuis 1990. À l’inverse, la part du locatif
privé possédée par les bailleurs personnes morales est passée de
14 % à 4 % sur la même période.
Des ménages jeunes Selon Filocom, les locataires du parc privé sont en majorité des
ménages jeunes dont l’occupant principal est âgé de 46 ans en
moyenne, contre 52 ans dans le parc social (D13.2). 24% des
occupants principaux sont âgés de 30 à 40 ans, 15 % ont entre 25
et 29 ans et seulement 22 % ont plus de 60 ans.
Le revenu imposable annuel moyen des ménages locataires du
privé est de 28 740 euros, contre 38 330 euros en moyenne pour
l’ensemble des ménages. La moitié des ménages logeant dans le
secteur privé ont un revenu par unité de consommation inférieur
à 16 880 euros par an, soit 3 060 euros de moins que le niveau
médian des ménages en France (D13.4).
De nombreux studios et 2 pièces dans le parc locatif
privé
Les locataires sont plus nombreux dans les logements collectifs
qu’individuels : 70 % des logements locatifs privés sont en
immeubles collectifs. 45 % des logements possèdent moins de
trois pièces (57,5 % dans le collectif). Les logements ont une
superficie moyenne de 63 m², contre 66 m² dans le parc social. Si
dans l’individuel, ils sont plus spacieux que les logements du parc
social (88 m² contre 80 m²), ils sont significativement plus petits
dans le collectif (52 m² contre 63 m²).
Les ménages locataires du parc privé disposent en moyenne de
1,5 pièce qu’ils résident dans le collectif ou dans l’individuel.
Le parc est ancien Le parc locatif privé est plutôt ancien : 61 % des logements ont
été construits avant 1975 et 20 % du parc est postérieur à 1999,
une proportion en moyenne plus importante que pour les
propriétaires occupants ou les locataires du parc social (D13.3).
Les logements individuels de ce parc sont de construction plus
ancienne que les logements en immeubles collectifs.
L’agglomération parisienne concentre à elle seule 17,4 % des
logements locatifs privés. Les régions méridionales (Provence-
Alpes-Côte d’Azur, Midi-Pyrénées, Aquitaine) sont caractérisées
par une forte présence de logements privés (plus de 25 % de
l’ensemble du parc - D13.5).
Définitions
Le nombre de pièces considérées dans le fichier Filocom fait référence à la notion d’habitabilité. Sont donc exclues les pièces telles que cuisine, salle de
bain, douche, cabinet de toilette…
Les revenus pris en compte sont les revenus imposables annuels, qui comprennent les revenus d’activité professionnelle (traitements, salaires, pensions)
sans déduction (abattements, pension alimentaire…). Ils ne comprennent pas les aides ou prestations sociales non imposables (prestations familiales,
allocations de logements, RSA…).
Le nombre d’unités de consommation est, par convention, évalué comme suit : 1,0 pour le premier adulte du ménage ; 0,5 pour chacun des adultes
suivants (personne de 14 ans ou plus) ; 0,3 pour chaque enfant du ménage (personne de moins de 14 ans).
Avertissement
Dans le CSL, la filière des locataires de bailleurs personnes physiques rassemble les locataires, à titre gratuit ou onéreux, de logements détenus par des
particuliers. Les locataires d'autres bailleurs personnes morales occupent des logements loués par des personnes morales qui ne sont pas des bailleurs
sociaux (fiche D12) : associations, mutuelles, banques, sociétés d’assurances, sociétés immobilières etc. L’ensemble forme le secteur locatif privé.
Dans Filocom, les locataires du parc privé sont définis à partir du statut d’occupation des résidences principales et du type de propriétaire du logement
(personne physique, personne morale autre que HLM, SEM, État ou collectivité locale). Les résultats présentés dans cette fiche sont principalement issus de
Filocom et permettent de disposer d’éléments descriptifs sur les logements et les occupants qui ne sont pas directement accessibles à partir des résultats de
la fiche D1.
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 61
D13.1 Les locataires du secteur privé depuis 1991
0,0
2,0
4,0
6,0
1991
1994
1997
2000
2003
2006
2009
2012
22
24
26
28
Autres personnes moralesBPP
Part du parc privé parmi les
résidences principales (en %)
En millions de ménages
Source : Parc Insee et SOeS (au 1er juillet) - France entière
D13.2 Répartition des locataires du secteur privé par
tranche d’âge
0
5
10
15
20
25
30
<25
ans
25-29
ans
30-39
ans
40-49
ans
50-59
ans
60-69
ans
70-79
ans
80 ans
ou +
En %2003 2013
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
D13.3 Caractéristiques des logements en 2013
Logements
individuels
(%)
Logements
en immeuble
collectif (%)
Répartition par type 100,0 30,4 69,6
Nombre de piècesNombre de piècesNombre de piècesNombre de pièces
1 ou 2 pièces 44,6 15,0 57,5
3 pièces 27,7 27,1 27,9
4 pièces 18,3 33,7 11,6
5 pièces 6,7 16,5 2,5
6 pièces ou + 2,7 7,6 0,6
100,0 100,0 100,0
Année constructionAnnée constructionAnnée constructionAnnée construction
avant 1949 40,7 46,7 38,0
entre 1949 et 1974 20,7 16,6 22,5
entre 1975 et 1999 19,0 16,9 20,0
après 1999 19,5 19,8 19,4
100,0 100,0 100,0
LocalisationLocalisationLocalisationLocalisation
Commune rurale 14,3 36,1 4,8
U. U < 20 000 h. 16,0 24,8 12,2
U. U de 20 à 100 000 h. 15,0 13,7 15,6
U. U > de 100 000 h. 37,2 21,7 44,0
Agglomération parisienne 17,4 3,6 23,5
100,0 100,0 100,0
Ensemble
des
locataires du
secteur
Dont
Champ : France métropolitaine, ménages locataires de leur résidence
principale dans le secteur privé
UU = unités urbaines 2010
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
Île de France
D13.4 Distribution des revenus imposables par unité de
consommation des locataires du secteur privé en 2013
En milliers d'euros
0 5 10 15 20 25 30
Moins de 55 à moins de 10
10 à moins de 15 15 à moins de 2020 à moins de 2525 à moins de 3030 à moins de 3535 à moins de 40
40 ou plusEn %
Locataires du secteur privé
Ensemble des ménages
Champ : France métropolitaine, ménages locataires de leur résidence
principale dans le secteur privé
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
D13.5 Localisation des locataires du secteur privé en 2013
Source : SOeS-Filocom 2013, d’après DGFiP
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62 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
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P – La production de service
de logement
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64 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
P1 - LA PRODUCTION DE SERVICE DE LOGEMENT - LOGEMENTS ORDINAIRES
En 2013, les ressources des producteurs de service de logement
ordinaire s’élèvent à 231,1 milliards d’euros et les emplois à
91,9 milliards d’euros (P1.1). Le résultat brut courant (RBC -
encadré) dégagé par cette activité s’élève à 139,2 milliards
d’euros, soit 60,2 % du montant de la production.
Les loyers, qu’ils soient réels ou imputés, représentent plus de
99 % des ressources des producteurs de logement. Les
subventions versées, notamment sous forme de bonifications
d’intérêts aux bailleurs HLM et aux propriétaires accédants,
représentaient près de 5 % des ressources en 1984. Depuis
l’extinction quasi-totale de ces dispositifs au profit d’aides à
l’investissement et du dispositif fiscal qui s’y est substitué, seules
les indemnités d’assurances (1), s’ajoutent aux loyers pour
constituer les ressources.
Retour à la hausse du ratio de rentabilité de
l’activité de production de service de logement
En 2013, le ratio de rentabilité (RBC / loyers) de l’activité de
production de service de logement s’établit à 60,6 %. Il est en
nette hausse par rapport à 2012 (59,5 %, + 1,1 point) après une
phase de repli entre le point haut de 2004 (64,5 %) et 2012
(P1.2).
Entre 2005 et 2012, la progression annuelle des loyers (+ 2,3 %
en moyenne annuelle) a été inférieure à celle des charges
(+ 4,1 %), ce qui a dégradé le ratio de rentabilité. Cet écart de
croissance s’explique avant tout par les charges financières qui se
sont fortement accrues sur cette période (+ 4,9 %), tant pour les
bailleurs sociaux (hors point 2010 – fiche P3) que pour les
ménages. Mais les charges d’exploitation (+ 3,8 %) ainsi que les
autres charges comme les primes d’assurances (+ 3,4 %) ont
également connu des évolutions supérieures à celles des loyers.
En 2013, le repli des charges financières (- 4,8 %), qui
s’explique exclusivement par les filières ménages (fiches P3
et P4), inverse cette tendance : malgré une évolution des loyers
relativement faible (+ 1,5 %), les charges des producteurs
évoluent à la baisse (- 1,2 %), améliorant nettement le ratio de
rentabilité de 1,1 point (60,6 % en 2013 contre 59,5 % en 2012,
P1.4). Dans le même temps, les charges d’exploitation
connaissent un nouveau ralentissement (+ 2,2 % en 2013) tandis
que les autres charges, qui incluent les impôts et les primes
d’assurances accélèrent légèrement (+ 2,9 % en 2013).
Ce constat concerne l’ensemble des filières à l’exception des
bailleurs sociaux pour lesquels, en l’absence de modification des
taux d’intérêt, les charges financières progressent de 2 % en
2013. Leur ratio de rentabilité reste donc stable.
(1) Celles-ci peuvent fluctuer assez sensiblement lors de catastrophes
naturelles, comme par exemple après les tempêtes de décembre 1999 (année
2000 - P1.2).
Le résultat brut courant
Les comptes des producteurs traitent de la production, de la distribution et de la redistribution des revenus. Ils permettent d’appréhender la situation
financière des différentes filières, et donc le résultat de la gestion locative : le résultat brut courant (RBC) tient compte des éléments du compte de
producteur décrits dans le tableau ci-après. Les autres activités des producteurs (promotion immobilière, construction...) ne sont pas prises en compte dans
cette analyse. De même, les produits et les charges financières comme la gestion de trésorerie, qui ne sont pas directement liés au service de logement,
sont ignorés.
EEEEMPLOISMPLOISMPLOISMPLOIS RESSOURCESRESSOURCESRESSOURCESRESSOURCES
Consommation intermédiaire Production
OEP11 Entretien et petits travaux sur parties communes OEPR11 Loyers nets de CRL (anciennement TADB puis CACRDB)
OEP21 Honoraires de syndic, autres frais
OEP22 Petits travaux
OEP23 Rémunération d’intermédiaires
OEP61 Prestations de service non récupérées
OEP62 Dépenses diverses
Valeur ajoutée brute (VA)
OEP31 Frais de personnels d’immeuble OEPR2 Subventions d’exploitation
OEP32 Frais de personnels de gestion
OEP41 Taxe foncière sur la propriété bâtie (TFPB)
Excédent brut d’exploitation (EBE)
OEP42 Autres impôts et taxes OEPR3 Indemnités d’assurances
OEP51 Intérêts des emprunts
OEP24 Primes d’assurances
OEP8 Transferts à l’occupant (loyers imputés aux ménages logés gratuitement)
Résultat brut courant (RBC)
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Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 65
P1.1 Emplois et ressources des producteurs de logements ordinaires par filières en 2013 en millions d’euros
Propriétaires Propriétaires Propriétaires Propriétaires
occupantsoccupantsoccupantsoccupants
Bailleurs secteur Bailleurs secteur Bailleurs secteur Bailleurs secteur
librelibrelibrelibre
Bailleurs secteur Bailleurs secteur Bailleurs secteur Bailleurs secteur
socialsocialsocialsocial RS+LVRS+LVRS+LVRS+LV
Ensemble des Ensemble des Ensemble des Ensemble des
logements logements logements logements
ordinairesordinairesordinairesordinaires
RessourcesRessourcesRessourcesRessources 140 237 140 237 140 237 140 237 45 226 45 226 45 226 45 226 25 214 25 214 25 214 25 214 20 418 20 418 20 418 20 418 231 095 231 095 231 095 231 095
EmploisEmploisEmploisEmplois 44 776 44 776 44 776 44 776 24 337 24 337 24 337 24 337 15 533 15 533 15 533 15 533 7 257 7 257 7 257 7 257 91 903 91 903 91 903 91 903
Charges d'exploitation 15 999 11 375 8 760 3 915 40 048 40 048 40 048 40 048
Charges financières 28 312 3 848 4 067 2 576 38 803 38 803 38 803 38 803
Autres charges 465 9 115 2 707 293 12 580 12 580 12 580 12 580
RBCRBCRBCRBC 95 461 95 461 95 461 95 461 20 888 20 888 20 888 20 888 9 681 9 681 9 681 9 681 13 162 13 162 13 162 13 162 139 192 139 192 139 192 139 192
Source : CSL2013
P1.2 Évolution des principaux ratios de production
40
50
60
70
80
90
100
1984 1989 1994 1999 2004 2009
Ratio en %
EBE/VA
VA/Production
EBE/Production
RBC/Production
Source : CSL2013 – Champ : logements ordinaires uniquement
P1.3 Charges rapportées à la valeur ajoutée
0
5
10
15
20
25
30
35
1984 1988 1992 1996 2000 2004 2008 2012
Ratio en %
intérêts des emprunts /
valeur ajoutée
impôts et taxes / VA
frais de personnel / VA
Source : CSL2012 – Champ : logements ordinaires uniquement
P1.4 Évolution des emplois et des ressources des producteurs de service de logement ordinaire
0
1 000
2 000
3 000
4 000
5 000
6 000
7 000
8 000
1990
1991
1992
1993
1994
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
40
45
50
55
60
65
70
75
80Ressources par logementEmplois par logementRBC / Production
en euros ratio RBC / Production en %
Source : CSL2012 – Champ : résidences principales
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P2 - LES CHARGES DES PRODUCTEURS
En 2013, les charges des producteurs de service de logement
ordinaire (encadré) s’élèvent à 91,9 milliards d’euros. Elles pèsent
essentiellement sur les résidences principales (84,6 milliards, soit
92,1 % du montant total) ; 5,2 % concernent les résidences
secondaires et 2,7 % les logements vacants. En 2013, leur
montant reste stable (- 0,1 %) marquant un net ralentissement
par rapport à la croissance des dix années précédentes (+ 5,0 %
en moyenne annuelle). Ce ralentissement s’explique quasi-
exclusivement par la baisse des intérêts d’emprunts dus par les
ménages qui connaissent un net reflux (- 5,5 %) : compte tenu de
leur poids dans l’ensemble ils contribuent à - 2,1 point de
croissance de l’ensemble des charges en 2013 (P2.4).
Les intérêts des emprunts connaissent une faible
croissance
Les charges financières des producteurs de service de logement
représentent à elles seules 38,8 milliards d’euros, soit 42,2 % de
l’ensemble de leurs charges courantes (P2.1). Les propriétaires
occupants de leur résidence principale en supportent à eux seuls
les trois quarts (27,1 milliards en 2013) ; elles représentent pour
cette filière plus de 80 % de l’ensemble de leurs charges de
producteur. Si l’on ajoute les emprunts souscrits par les occupants
non-accédants pour financer leurs travaux sur des résidences
secondaires ou sur des logements en location, les ménages
s’acquittent de près de 90 % de l’ensemble des charges d’intérêt
sur la production de service de logement.
En 2013, les charges d’intérêt reculent pour la première fois
depuis 2000 (- 4,8 %). Ce recul s’explique exclusivement par les
charges des ménages. En effet, celles des bailleurs sociaux restent
orientées à la hausse en raison de leur effort de construction
soutenu au cours des dernières années et ce malgré de nouvelles
baisses du taux du livret A qui induisent mécaniquement une
diminution des intérêts dus sur les prêts contractés.
Pour les ménages, le recul intervient dans un contexte de net
ralentissement des prêts immobiliers versés, lui-même lié au
ralentissement de l’activité immobilière (acquisitions dans le
neuf, dans l’ancien et gros travaux – fiche I3) : à peine plus de
110 milliards en 2012 et 2013 alors même que ceux-ci avaient
atteint les 150 milliards en 2006 et 2007. Ainsi, les encours des
ménages progressent beaucoup moins vivement que les années
précédentes, de l’ordre de 3 % en 2012 et 2013, contre plus de
10 % sur la période 2004-2007. De ce fait, l’avancement de la
maturité des crédits du milieu des années 2000, largement
prépondérants dans les intérêts, implique une diminution des
charges financières. En outre, les nouveaux crédits, moins
nombreux, bénéficient de taux historiquement bas, ce qui
favorise également un plus grand nombre de renégociations de
crédits. Au final, les intérêts des emprunts immobiliers des
ménages sont estimés en baisse de 5,7 % en 2013. La baisse
pèse essentiellement sur les ménages bailleurs pour lequel
l’activité immobilière a connu un fort coup d’arrêt en 2013
( - 9,8 %, fiche I3).
La plupart des autres charges décélèrent Les charges autres que les intérêts d’emprunts restent orientées
à la hausse, à l’exception des frais de baux (- 8,0 %), qui
diminuent avec la moindre mobilité des locataires, et les charges
liées aux gardiens d’immeuble. Leur croissance est néanmoins
ralentie par rapport aux années précédentes : les postes
d’entretien et petits travaux ne progressent plus que faiblement,
tout comme les frais de syndics. Dans le même temps, la
croissance de la TFPB (+ 4,1 % en 2013) se réduit par rapport à
celle qui avait prévalu les années précédentes (+ 5,7 % sur les dix
années précédentes). Seules les primes d’assurances connaissent
une nouvelle accélération, répercutant la forte hausse des
indemnités en 2012.
Les charges des producteurs
Lorsqu’ils sont locataires, les occupants n’ont pas à acquitter la totalité des charges liées à l’usage de leur logement : certaines d’entre elles, les charges
dites « non récupérables », sont supportées par le propriétaire. Ainsi le coût des gardiens, de l’entretien des parties communes, des ascenseurs… est réparti
entre le locataire et le bailleur. Cette répartition est encadrée, en particulier, par les décrets n° 82-955 et n° 82-1164 qui fixent la liste des charges
récupérables. Par analogie, on peut isoler, parmi les charges des propriétaires occupants, celles qu’ils continueraient à supporter s’ils mettaient leur propre
logement en location.
Les bailleurs et les propriétaires occupants supportent, en outre, des charges spécifiques en tant que producteurs de service de logement : intérêts des
emprunts immobiliers, taxe foncière sur la propriété bâtie et impôts sur les revenus fonciers pour les bailleurs.
On peut classer les charges des producteurs en trois catégories :
- les charges d'exploitation liées à la production de service de logement, qui correspondent à la consommation intermédiaire et à la rémunération des
personnels (partie non récupérable des charges locatives) : elles comprennent l’entretien et les petits travaux, les frais de personnels, d’agence, de syndic,
les prestations de services, les frais de baux et d’agences et la TFPB ainsi que le prélèvement sur le potentiel financier des bailleurs HLM, supprimé à compter
du 1er janvier 2013 ;
- les charges financières ou les intérêts des emprunts ;
- les « autres charges » : impôts sur les revenus fonciers, taxe sur les logements vacants et taxe d’habitation sur les logements vacants (non applicable aux
logements sociaux), taxe de solidarité active (1,1 % pour financer le RSA - mise en place en 2009), primes d’assurances à la charge des bailleurs et les
transferts à l’occupant que constituent les loyers imputés aux ménages logés gratuitement.
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P2.1 Les charges des producteurs de service de logement ordinaire
2007/ 2007/ 2007/ 2007/
2006200620062006
2008/ 2008/ 2008/ 2008/
2007200720072007
2009/ 2009/ 2009/ 2009/
2008200820082008
2010/ 2010/ 2010/ 2010/
2009200920092009
2011/ 2011/ 2011/ 2011/
2010201020102010
2012/ 2012/ 2012/ 2012/
2011201120112011
2013/ 2013/ 2013/ 2013/
2012201220122012
Montants 2013 Montants 2013 Montants 2013 Montants 2013
((((G€G€G€G€))))
Structure 2013 Structure 2013 Structure 2013 Structure 2013
(en %)(en %)(en %)(en %)
Entretien / travaux 7,6 5,4 4,9 4,0 2,9 2,4 2,0 3 575 3,9
Frais de syndic 3,0 5,1 6,6 4,1 1,7 3,1 2,2 2 343 2,5
Petits travaux 4,6 3,1 2,7 2,5 2,2 2,9 2,6 4 891 5,3
Rémunération d'intermédiaires 3,8 2,7 2,6 2,3 2,3 3,2 2,9 1 755 1,9
Primes d'assurances 7,9 2,7 6,5 2,6 4,0 4,8 7,7 2 171 2,4
Personnel d'immeuble (NR) -2,9 -0,9 0,5 0,1 2,1 -3,0 -3,3 293 0,3
Personnel de gestion 3,3 3,7 8,1 3,4 2,9 3,6 4,4 6 648 7,2
TFPB 4,8 4,3 8,9 5,0 5,0 4,7 4,1 19 577 21,3
Impôts sur les revenus 5,6 2,3 12,0 2,0 5,7 2,6 4,9 4 427 4,8
Intérêts des emprunts 10,1 10,3 5,5 -0,4 5,2 3,4 -4,8 38 803 42,2
Prestations de services 5,8 14,3 1,6 1,1 10,0 4,2 2,6 375 0,4
Frais de baux, frais d'agences 14,9 -1,8 1,9 3,6 4,1 -0,1 -8,0 590 0,6
Frais liés aux logements vacants (*) 1,1 7,6 -3,1 9,3 -5,8 11,6 6,0 3 575 3,9
Loyers imputés pour les logés gratuits 3,4 2,5 2,4 1,9 1,5 2,2 2,0 5 982 6,5
ENSEMBLE DES CHARGESENSEMBLE DES CHARGESENSEMBLE DES CHARGESENSEMBLE DES CHARGES 7,07,07,07,0 6,66,66,66,6 6,16,16,16,1 1,81,81,81,8 4,34,34,34,3 3,53,53,53,5 -0,1-0,1-0,1-0,1 91 90391 90391 90391 903 100,0100,0100,0100,0
Source : CSL2013 – Champ : logements ordinaires uniquement – (*) Les frais relatifs aux logements vacants concernent des taxes spécifiques (taxe sur les
logements vacants) mais également les charges courantes dues par les proprétaires malgré la vacance: énergie, eau, charges de copropriété, TFPB…
P2.2 Répartition des charges selon les filières
0%
20%
40%
60%
80%
100%
Bailleurs
sociaux
Bailleurs
secteur libre
Propriétaires
occupants
accédants
Propriétaires
occupants
non
accédants
Autres chargesCharges financièresCharges d'exploitation
Source : CSL2013 – Champ : logements ordinaires uniquement
P2.3 Évolution des différents postes de charges
0
5
10
15
20
25
30
35
40
45
1984 1988 1992 1996 2000 2004 2008 2012
TFPBAutres charges d'exploitationCharges financièresAutres charges
en milliards d'euros
Source : CSL2013 – Champ : logements ordinaires uniquement
P2.4 Contribution à la croissance totale des différents postes de charges
-3
-2
-1
0
1
2
3
4
5
6
7
8
2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
Charges d'exploitationCharges financièresAutres chargesSérie4
contribution en points
Ensemble des Ensemble des Ensemble des Ensemble des
emplois emplois emplois emplois
courantescourantescourantescourantes
Source : CSL2013 – Champ : logements ordinaires uniquement
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P3 - COMPTES DES BAILLEURS
En 2013, les bailleurs perçoivent en moyenne 5 782 euros par
logement de ressources liées à l’activité de location, quasi-
intégralement sous forme de loyers, et acquittent 3 273 euros de
charges, soit un résultat brut courant (RBC – encadré fiche P1) de
2 509 euros par logement.
Les données en emplois et ressources diffèrent
fortement entre bailleurs privés et bailleurs sociaux
La principale différence entre secteur libre et bailleurs sociaux
concerne les loyers. En 2013, les ressources des bailleurs sociaux
s’établissent à 4 681 euros en moyenne par logement et celles
des bailleurs du secteur libre à 6 655 euros, soit 42 % de plus.
Après s’être largement creusé entre 2000 et 2007, passant de
31 % à 44 %, ce différentiel semble depuis se stabiliser, voire
refluer légèrement.
La structure des charges est également dissemblable entre les
deux filières (P3.2). Cette différence s’explique avant tout par le
traitement fiscal puisque les bailleurs particuliers du secteur libre
en location nue sont assujettis à l’impôt sur les revenus fonciers
alors que les bailleurs sociaux (personnes morales) sont exonérés
d’impôt sur les sociétés. Celui-ci représente 17 % de leurs charges
(620 € par logement en 2013(1)). Mais elle est également due à la
structure par type de logement : la prédominance de grands
immeubles collectifs dans le parc locatif social induit des
dépenses d’entretien et des frais de personnels plus importants.
Enfin, les charges d’intérêts par logement supportées par les
bailleurs HLM sont généralement plus élevées en raison du poids
des emprunts dans le financement de leur investissement. Cet
écart qui avait eu tendance à se réduire durant les années 2000
se creuse à nouveau depuis 2010. Cela s’explique par l’effort
d’investissement des bailleurs sociaux depuis le milieu des
années 2000, en grande partie financé par emprunt : l’encours de
bailleurs sociaux s’est fortement accru et se répercute sur les
charges financières, malgré la forte diminution du taux de
rémunération du livret A sur lequel sont indexés les taux des
prêts aidés au logement locatif social.
Au final, le RBC est largement supérieur pour les bailleurs privés
que pour les bailleurs sociaux (respectivement 3 070 et
1 800 euros par logement en 2013).
La rentabilité des BPP repart à la hausse, celle des
bailleurs sociaux est plutôt orientée à la baisse
La rentabilité de gestion locative (encadré) dans le secteur libre
s’établit, en 2013, à 46,9 % (P3.4). Elle repart à la hausse après
avoir baissé entre le point haut de 2006 (48,1 %) mais reste
néanmoins supérieure à celle qui était mesurée durant les
décennies antérieures. Cette hausse du ratio s’explique avant tout
par la diminution des charges financières liées aux acquisitions et
aux travaux réalisés par les ménages bailleurs.
La rentabilité pour le secteur social en 2013 est de 38,7 %
(P3.5). Elle se stabilise par rapport à 2012 et revient au même
niveau qu’en 2008. Entre ces deux dates, le ratio a connu une
forte hausse en 2010 suite à l’abaissement du taux du livret A, de
4,0 % à 1,25 %, courant 2009. Cette diminution se répercute
mécaniquement sur les charges financières en raison de
l’indexation des crédits sur ce taux. Hors ce phénomène, depuis
2004, l’effort d’investissement tend à peser sur les encours et les
charges financières des HLM et joue donc, à la baisse, sur le RBC.
En outre, depuis 2006, une partie des travaux réalisés par les
organismes HLM sont désormais inscrits en charges courantes
alors même qu’ils étaient inscrits en investissement, jouant
également à la baisse sur ce ratio.
(1) L’impôt sur les revenus fonciers est enregistré ici sur l’année correspondant
aux revenus ; il est donc décalé d’un an par rapport à l’impôt perçu par l’État,
qui intervient l’année suivante.
La rentabilité de gestion locative – le cas des bailleurs
La rentabilité de gestion locative est mesurée par le rapport entre le RBC et les loyers. Ce ratio peut être perturbé par des événements accidentels, comme
c’est le cas en 2000 où son augmentation est liée à la perception d’indemnités exceptionnelles d’assurances suite à la tempête de décembre 1999, qui a
sensiblement augmenté les ressources des producteurs de logement.
Sur le long terme, il est un indicateur synthétique de l’évolution des emplois et des ressources des producteurs de service de logement, qui peut
s’appliquer à chacune des filières. Pour les HLM, par exemple, son évolution reflète les fluctuations de la fiscalité applicable aux logements sociaux et,
notamment, de la TFPB qui a pesé sur le ratio de rentabilité au cours des années 90 (fiche A12). Mais elle traduit également l’évolution des charges
d’exploitation, qui avait été vive dans le courant des années 1980 ou encore celle des charges d’intérêts qui ont fortement diminué à partir de 1986, en lien
avec la baisse de la rémunération du livret A sur laquelle est indexé le taux des prêts au logement locatif social puis en raison du réaménagement de la
dette en 1989 et du repli de l’investissement jusqu’en 1990. À l’inverse, les années 1990 comme la fin des années 2000 ont connu une augmentation des
charges financières en raison des efforts d’investissement, contrecarrée dès 2010 par la baisse des taux d’intérêts.
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P3.1 Emplois et ressources des bailleurs sociaux et des bailleurs du secteur libre
1990199019901990 2000200020002000 2010201020102010 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013 1990199019901990 2000200020002000 2010201020102010 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013
Montant des ressources par logementMontant des ressources par logementMontant des ressources par logementMontant des ressources par logement 2 2882 2882 2882 288 3 4023 4023 4023 402 4 4354 4354 4354 435 4 4874 4874 4874 487 4 5784 5784 5784 578 4 6814 6814 6814 681 3 1183 1183 1183 118 4 5264 5264 5264 526 6 2856 2856 2856 285 6 3686 3686 3686 368 6 5226 5226 5226 522 6 6556 6556 6556 655
dont loyers* 2 266 3 375 4 406 4 460 4 546 4 647 3 103 4 518 6 199 6 289 6 429 6 553
Montant des charges par logementMontant des charges par logementMontant des charges par logementMontant des charges par logement 1 5531 5531 5531 553 2 0232 0232 0232 023 2 4982 4982 4982 498 2 6782 6782 6782 678 2 8292 8292 8292 829 2 8842 8842 8842 884 1 9041 9041 9041 904 2 4562 4562 4562 456 3 4583 4583 4583 458 3 5123 5123 5123 512 3 5783 5783 5783 578 3 5813 5813 5813 581
Charges d'exploitation 616 1 003 1 515 1 559 1 597 1 626 872 1 134 1 559 1 593 1 634 1 674
Charges financières 717 745 565 654 749 755 135 281 604 623 632 566
Autres charges 220 275 418 465 483 503 896 1 041 1 295 1 296 1 312 1 341
Résultat brut courant (RBC)Résultat brut courant (RBC)Résultat brut courant (RBC)Résultat brut courant (RBC) 735735735735 1 3791 3791 3791 379 1 9381 9381 9381 938 1 8101 8101 8101 810 1 7501 7501 7501 750 1 7971 7971 7971 797 1 2141 2141 2141 214 2 0702 0702 0702 070 2 8262 8262 8262 826 2 8562 8562 8562 856 2 9442 9442 9442 944 3 0743 0743 0743 074
RBC / Loyers* (en %) 32,5 40,9 44,0 40,6 38,5 38,7 39,1 45,8 45,6 45,4 45,8 46,9
Intérêts / Loyers* (en %) 31,6 22,1 12,8 14,7 16,5 16,2 4,4 6,2 9,7 9,9 9,8 8,6
Secteur libreSecteur libreSecteur libreSecteur libre Secteur socialSecteur socialSecteur socialSecteur social
Source : CSL2013
(*) Nets de CRDB
P3.2 Structure des charges des bailleurs par filière
5647
16
26
1737
0
20
40
60
80
100
Bailleurs du secteur
privé
Bailleurs sociaux
en %
Autres
charges
Charges
financières
Charges
d'exploita-
tion
Source : CSL2013
P3.3 Évolution de la TFPB par logement
0
100
200
300
400
500
600
700
1990 1994 1998 2002 2006 2010
Secteur socialSecteur librePropriétaires occupants
en euros
Source : CSL2013
P3.4 Évolution des charges, des produits et du RBC pour
les bailleurs du secteur libre
0
1 000
2 000
3 000
4 000
5 000
6 000
7 000
1990
1992
1994
1996
1998
2000
2002
2004
2006
2008
2010
2012
0
10
20
30
40
50
60
70
Ressources par logementCharges par logementRBC / Ressources
Montant en euros
RBC / Production en %
Source : CSL2013
P3.5 Évolution des charges, des produits et du RBC pour
les bailleurs du secteur social
0
1 000
2 000
3 000
4 000
5 000
6 000
7 000
1990
1992
1994
1996
1998
2000
2002
2004
2006
2008
2010
2012
0
10
20
30
40
50
60
70
Ressources par logementCharges par logementRBC / Ressources
Montant en euros
RBC / Production en %
Source : CSL2013
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P4 - COMPTES DES PROPRIÉTAIRES OCCUPANTS
Les loyers imputés par logement des propriétaires accédants et
non accédants sont très proches, respectivement de 8 180 et
8 560 euros en 2013. Il en va de même pour les charges hors
intérêts des emprunts (1 150 euros par logement contre
950 euros).
Pour les accédants, le poids des charges d’intérêt sur
le ratio de rentabilité est primordial
En revanche, les propriétaires accédants supportent des charges
d’intérêts importantes sur leurs emprunts : 5 530 euros par
logement en moyenne en 2013. Ces intérêts modifient
fondamentalement la structure du compte de producteur : le
résultat brut courant (encadré et P4.2) pour les propriétaires
accédants s’élève à 1 570 euros en moyenne par logement alors
que celui des non accédants s’élève à 7 530 euros. Il en va de
même pour la rentabilité du service de logement (encadré) : alors
qu’elle est de 87,9 % pour les non-accédants (P4.5), elle s’élève à
19,2 % pour les accédants en 2013 (P4.4).
Après avoir connu une baisse constante entre 2003 et 2012, le
ratio de rentabilité pour les propriétaires accédants repart à la
hausse en 2013. De fait, ce ratio dépend fortement du poids des
charges financières, qui avaient fortement cru durant les
dernières années.
En 2013, ce montant s’inscrit en baisse de 4,9 %. Le montant
des charges financières varie d’une année sur l’autre en fonction
de divers critères (P4.3). Ces charges sont d’abord liées aux
encours de crédits immobiliers contractés par les ménages, qui
dépendent eux-mêmes des flux entrants (nouveaux crédits
distribués) et des flux sortants (crédits dont le remboursement est
arrivé à échéance et crédits faisant l’objet d’un rachat) ; ces
encours connaissent un net ralentissement en raison de la nette
diminution des nouveaux crédits versés en 2012 et 2013. Par
ailleurs, ces charges diminuent, pour une même génération de
crédits, en fonction de l’avancement du remboursement ; ce
facteur joue également à la baisse en 2013 puisqu’une part
importante des encours aux ménages ont été distribués sur la
période 2003-2007 et les charges financières dues au titre de ces
emprunts diminuent désormais fortement. Enfin, le taux des
nouveaux crédits immobiliers pèse sur les charges d’intérêts dues
au titre des nouveaux emprunts ; la nouvelle baisse de ces taux
contribue donc aussi à la baisse des charges financières des
propriétaires occupants.
D’autres facteurs ont joué sur la dégradation du ratio pour les
propriétaires occupants (P4.1). Tout d’abord la hausse de
l’entretien et des petits travaux des parties communes au cours
des années 2000, en partie liée à la hausse de l’habitat collectif
relativement aux logements individuels. Ensuite le ralentissement
des loyers imputés dont l’évolution moyenne a été diminuée de
moitié (+ 3,2 % entre 2000 et 2007 contre + 1,4 % entre 2007 et
2013).
Les comptes des propriétaires occupants
En comptabilité nationale, on considère que les propriétaires occupants produisent un service de logement, à l’instar des bailleurs, mais pour leur compte
propre. Il s’agit alors d’une production non marchande, dont la valeur est évaluée par des loyers imputésloyers imputésloyers imputésloyers imputés. La valeur des loyers imputés correspond aux
loyers que les propriétaires acquitteraient dans le secteur locatif privé pour des logements identiques à ceux qu’ils occupent.
Les charges des propriétaires occupants sont les mêmes que celles des autres producteurs de service de logement (bailleurs). Ce sont celles dont
continueraient de s’acquitter les propriétaires occupants s’ils mettaient leur logement en location (encadré fiche P2).
À compter de À compter de À compter de À compter de cette annéecette annéecette annéecette année, le Compte du logement retrace, conformément au cadre central de comptabilité nationale, une partie des petits , le Compte du logement retrace, conformément au cadre central de comptabilité nationale, une partie des petits , le Compte du logement retrace, conformément au cadre central de comptabilité nationale, une partie des petits , le Compte du logement retrace, conformément au cadre central de comptabilité nationale, une partie des petits
travaux réalisés danstravaux réalisés danstravaux réalisés danstravaux réalisés dans les logements en charges des producteurs. les logements en charges des producteurs. les logements en charges des producteurs. les logements en charges des producteurs. Les années précédentes, l’intégralité des petits travaux réalisés dans le logement par
les propriétaires occupants étaient retracés dans les charges des occupants (fiche D7 et annexes 20). Cela crée un déséquilibre de traitement relativement
aux autres filières et n’était pas conforme au choix retenu par le cadre central, pour lequel les consommations intermédiaires pesant sur les loyers imputés
jouent sur le PIB. Le CSL s’aligne donc sur les choix du cadre central au moment du passage à la Base 2010 (note méthodologique).
Le résultat brut courant (RBC) est le solde entre les ressources des producteurs de logement et leurs emplois. Dans le cas des bailleurs personnes physiques
et des bailleurs d’HLM, pour lesquels le service de logement est une activité marchande, il traduit le « bénéfice brut » (avant déduction des amortissements)
dégagé par ces producteurs à travers cette activité. Dans le cas des propriétaires occupants, les ressources sont constituées par les loyers imputés. Le résultat
brut courant donne donc simplement une mesure de l’importance des charges par rapport à la valeur d’usage de leur logement. Il représente également
l’avantage en nature réel que leur procure le fait de posséder le logement qu’ils occupent. En effet, ils font l’économie d’un loyer mais supportent tout de
même des charges (l’équivalent des charges non récupérables des bailleurs) qu’ils n’auraient pas à acquitter s’ils étaient locataires.
La rentabilité de service de logement est mesurée, ici, par le rapport entre le RBC et les loyers imputés. En 2000, l’élévation de ce ratio est liée à la
perception d’indemnités exceptionnelles d’assurances, suite à la tempête de décembre 1999, qui a sensiblement augmenté les ressources des producteurs
de logement.
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P4.1 Emplois et ressources des propriétaires occupants accédants et non accédants
1990199019901990 2000200020002000 2010201020102010 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013
Montant des ressources par logementMontant des ressources par logementMontant des ressources par logementMontant des ressources par logement 4 2464 2464 2464 246 6 2446 2446 2446 244 8 1488 1488 1488 148 8 2198 2198 2198 219 8 3548 3548 3548 354 8 4628 4628 4628 462 0,90,90,90,9 1,61,61,61,6 1,31,31,31,3
dont loyers* 4 238 6 234 8 133 8 204 8 337 8 444 0,9 1,6 1,3
Montant des charges par logementMontant des charges par logementMontant des charges par logementMontant des charges par logement 1 7891 7891 7891 789 1 7521 7521 7521 752 2 6502 6502 6502 650 2 7352 7352 7352 735 2 7832 7832 7832 783 2 7022 7022 7022 702 3,23,23,23,2 1,81,81,81,8 -2,9-2,9-2,9-2,9
Charges d'exploitation 396 595 887 914 942 965 3,1 3,0 2,5
Charges financières 1 382 1 144 1 738 1 795 1 815 1 708 3,3 1,1 -5,9
Autres charges 11 13 25 25 26 28 3,5 3,6 6,7
Résultat brut courant (RBC)Résultat brut courant (RBC)Résultat brut courant (RBC)Résultat brut courant (RBC) 2 4572 4572 4572 457 4 4914 4914 4914 491 5 4995 4995 4995 499 5 4845 4845 4845 484 5 5715 5715 5715 571 5 7605 7605 7605 760 -0,3-0,3-0,3-0,3 1,61,61,61,6 3,43,43,43,4
RBC / Loyers* (en %) 58,0 72,0 67,6 66,8 66,8 68,2
Intérêts / Loyers* (en %) 32,6 18,4 21,4 21,9 21,8 20,2
Montants en eurosMontants en eurosMontants en eurosMontants en euros Évolutions en %Évolutions en %Évolutions en %Évolutions en %
Source : CSL2013
(*) Nets de CRDB
P4.2 Structure des charges des propriétaires par filière
16
88
10
83
1 2
0
20
40
60
80
100
Accédants Non-accédants
En %
Autres
charges
Charges
financières
Charges
d'exploita-
tion
Source : CSL2013
P4.3 Évolution des charges d’intérêt
55
60
65
70
1990
1994
1998
2002
2006
2010
0
1 000
2 000
3 000
4 000
5 000
6 000
7 000Part des intérêts
d'emprunt dans les
charges (en %)
Montant annuel moyen
des intérêts par
logement (en euros)
Source : CSL2013 – Champ : propriétaires occupants accédants
P4.4 Évolution des charges, des produits et du RBC pour
les propriétaires accédants
01 000
2 0003 000
4 0005 000
6 0007 000
8 0009 000
1990
1992
1994
1996
1998
2000
2002
2004
2006
2008
2010
2012
0
20
40
60
80
Ressources par logementCharges par logementRBC / Ressources
Montant en euros RBC / Production en %
Source : CSL2013
P4.5 Évolution des charges, des produits et du RBC pour
les propriétaires non accédants
01 000
2 0003 000
4 0005 000
6 0007 000
8 0009 000
1990
1992
1994
1996
1998
2000
2002
2004
2006
2008
2010
2012
81
83
85
87
89
Ressources par logementCharges par logementRBC / Ressources
Montant en euros RBC / Production en %
Source : CSL2013
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P5 - LE COMPTE DES PRODUCTEURS DE SERVICE D’HÉBERGEMENT COLLECTIF
Les ressources des producteurs de service d’hébergement
collectif s’élèvent, en 2013, à 7,6 milliards d’euros (P5.1). Elles
sont essentiellement composées des redevances, décomposables
en paiement effectif des résidents et prestations sociales liées au
logement. Les charges des producteurs représentent, quant à
elles, 5,9 milliards d’euros. Ainsi le résultat brut courant s’élève à
1,7 milliard d’euros, soit 22,2 % des ressources. La faiblesse de ce
ratio tient au caractère essentiellement non lucratif des locaux
d’hébergement.
Le montant annuel des charges par lit s’élève à 5 610 euros
avec, comme pour les redevances, une forte diversité entre les
types de structures (P5.3).
Baisse des subventions au profit des aides directes
aux résidents
Les locaux d’hébergement collectif relèvent essentiellement du
secteur social ; leur financement est donc en partie issu de
versements publics. Ces dépenses publiques, originellement
versées aux établissements, ont été peu à peu transférées
directement aux résidents, sous forme de prestations sociales
liées au logement. Ainsi, 6,2 % des ressources provenaient des
subventions en 1990 contre seulement 2,8 % en 2013. À
l’inverse, la part des prestations sociales liées au logement a
progressé régulièrement passant de 24,1 % à 40,6 % des
ressources (P5.2). Cependant, ce sont les paiements effectifs des
résidents qui constituent l’essentiel des ressources. Bien que leur
participation ait diminué en 1996, leur part progresse
régulièrement et s’établit à 56,6 % des ressources en 2013.
Les frais de personnel constituent l’essentiel des
charges
En 2013, les frais de personnel, rémunérations des personnels
de gestion et d’entretien, s’élèvent à 2,3 milliards d’euros soit
38,8 % de l’ensemble des charges de service de logement (P5.4).
Quelle que soit la structure d’hébergement collective, les frais
de personnel constituent l’un des principaux postes de dépense et
expliquent en grande partie les différences de coût moyen annuel
d’un type de locaux d’hébergement à l’autre. En raison des
normes qui prévalent dans les établissements pour personnes
handicapées et personnes âgées, ils sont particulièrement élevés
pour ces établissements (respectivement 4 690 et 1 854 euros
par lit occupé). L’intégration de l’activité des veilleurs de nuits
explique le coût élevé pour les établissements pour personnes en
difficulté sociale.
Dans une moindre mesure, les charges locatives (dépenses
d’entretien des locaux, d’énergie et d’eau), participent également
aux différences de coûts entre types d’établissements. Ils sont
proches pour les structures dont la présence des occupants est
limitée à la nuit (835 € en moyenne pour les établissements
dédiés aux étudiants, aux travailleurs et aux personnes en
difficulté sociale). À l’inverse, ils sont plus élevés pour les
établissements pour personnes âgées et personnes handicapées
où le temps de présence des résidents est plus élevé.
Une rentabilité en hausse mais toujours inférieure à
celle des logements ordinaires Contrairement aux comptes des logements ordinaires, tant les
ressources que les charges des producteurs incluent les charges
dites « récupérables », selon la terminologie des logements
ordinaires (encadré). Ainsi, le résultat brut courant est homogène
avec celui observé sur les logements ordinaires.
La rentabilité se mesure ici par le ratio entre résultat brut
courant et le total des ressources. Cet indicateur a régulièrement
augmenté depuis 1990 (+ 1,8 % en moyenne annuelle) tout en
restant inférieur au ratio observé au sein des logements
ordinaires. En 2013, il s’établit à 22,2 % contre 60,6 % pour les
logements ordinaires.
La rentabilité est différente d’une structure à l’autre : quasiment
nul pour les établissements pour les personnes en difficulté
sociale, elle s’établit à 25,3 % pour les établissements d’accueil
des personnes âgées. La présence d’établissements privés à but
lucratif au sein de cette sous filière explique en partie ces
différences.
Le compte des producteurs de service de logement collectif
Le compte de production de la filière de service d’hébergement collectif s’appuie sur les comptes des établissements eux-mêmes. Le CSL isole, au sein des
produits et des charges, celles qui sont liées à la seule activité de service de logement, étant entendu que ces établissements ont des productions autres
(restauration, accueil, assistance et suivi médicaux…).
Lorsque les prestations sociales liées au logement dont bénéficient les résidents au titre de leur occupation (APL, APA, ASH…) sont globalisées à
l’établissement, elles apparaissent directement en ressources des établissements dans leurs comptes. Pour autant, conformément aux concepts de la
comptabilité nationale, celles-ci sont retracées comme un versement aux ménages, qui l’utilisent pour payer leur redevance.
Dans les comptes des établissements, il n’est pas possible de distinguer, comme pour les logements ordinaires (encadré fiche D6), les charges dites
« récupérables » (à la charge des occupants) des « non récupérables » (à la charge des producteurs) ; l’ensemble de ces charges sont ici à la charge du
producteur et incluses dans les « redevances » versées par les occupants. Le résultat brut courant n’est pas affecté par cette différence : il reste homogène
avec celui des bailleurs de logements ordinaires puisque l’équivalent des charges « récupérables » (pour les logements ordinaires) sont ajoutées (dans le cas
des producteurs de service d’hébergement collectif) à la fois en emplois et en ressources des producteurs. En revanche, le ratio de rentabilité (RBC /
ressources) inclut ici, au dénominateur, des charges « récupérables » et est donc par construction, plus faible.
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P5.1 Emplois et ressources des locaux d'hébergement collectif par filière En millions d’euros
Personnes Personnes Personnes Personnes
âgéesâgéesâgéesâgées
Adultes Adultes Adultes Adultes
handicapéshandicapéshandicapéshandicapés
Personnes en Personnes en Personnes en Personnes en
difficultés socialesdifficultés socialesdifficultés socialesdifficultés sociales TravailleursTravailleursTravailleursTravailleurs ÉtudiantsÉtudiantsÉtudiantsÉtudiants EnsembleEnsembleEnsembleEnsemble
Redevances 4 581 1 649 461 544 153 7 388
Paiements des résidents 3 372 484 77 279 89 4 301
Aides des admnistrations publiques 1 208 1 165 384 265 65 3 087
Subventions d'exploitation 11,2 5,8 99,1 88,4 9,9 214
Ensemble des ressourcesEnsemble des ressourcesEnsemble des ressourcesEnsemble des ressources 4 5924 5924 5924 592 1 6551 6551 6551 655 560560560560 633633633633 163163163163 7 6027 6027 6027 602
Ensemble des emploisEnsemble des emploisEnsemble des emploisEnsemble des emplois 3 4323 4323 4323 432 1 2791 2791 2791 279 527527527527 527527527527 151151151151 5 9165 9165 9165 916
Résultat brut courantRésultat brut courantRésultat brut courantRésultat brut courant 1 1601 1601 1601 160 376376376376 33333333 105105105105 13131313 1 6861 6861 6861 686
RBC/Ressources (en %) 25,3% 22,7% 5,9% 16,7% 7,7% 22,2%
Source : CLS2013
P5.2 Évolution du poids des composantes des ressources
0
20
40
60
80
100
1990
1992
1994
1996
1998
2000
2002
2004
2006
2008
2010
2012
Subventions
Prestations
sociales
Paiements des
résidents
en %
Source : CLS2013
P5.3 Répartition des charges par poste
Services
extérieurs
28%
Charges
locatives (*)
20%
Intérêts des
emprunts
9%
Impôts et
taxes autres
que la TVA
2%
Frais de
personnel
41%
Source : CLS2013
P5.4 Coût moyen par lit occupé en 2013
en euros par lit occupé
5610
9960
6540
5560
3670
1780
0 2 500 5 000 7 500 10 000
Ensemble
Adultes handicapés
Personnes en difficulté sociale
Personnes âgées
Travailleurs
Étudiants
Charges locatives (*) Services extérieurs
Frais de personnel Impôts
Intérêts
*:Y compris dépenses d’énergie et d’eau
Source : CLS2013
P5.5 Évolution du coût moyen par lit.
50
70
90
110
130
150
170
190
210
230
1990 1992 1994 1996 1998 2000 2002 2004 2006 2008 2010 2012
Personnes âgéesAdultes handicapésPersonnes en difficulté socialeTravailleursEtudiantsEnsemble
en euros par lit (base 100 en 1990)
Source : CLS2013
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I – L’activité immobilière
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I1 - LES ACQUISITIONS DE LOGEMENTS ET LES TRAVAUX
En 2013, l’activité immobilière (encadré) s’établit à
274,7 milliards d’euros, en baisse de 3,9 % en valeur (I1.1). Après
le point haut de 2011, elle se rapproche de son niveau de 2006
(279,2 milliards d’euros). Le rattrapage de 2010 et 2011 n’est
plus effectif en 2012 et 2013. Cette baisse porte essentiellement
sur l’ancien (- 6,9 %) alors que dans le neuf l’activité est presque
stable (+ 0,1 %). Les gros travaux d’entretien amélioration
diminuent après trois années de hausse (- 0,2 % après + 1,6 en
2012).
L’activité immobilière des ménages et des
personnes morales diminue L’activité immobilière des ménages, qui représente la grande
majorité de l’activité immobilière totale, diminue en 2013
(- 4,0 %) pour se situer à 247,6 milliards d’euros. Elle reste
malgré tout supérieure au niveau de 2009 qui s’établissait à
204,4 milliards d’euros.
En 2013, l’activité immobilière des personnes morales diminue
de 2,5 % pour la première fois depuis 2001. Les organismes HLM
en constituent la majeure partie (64,9 %). L’activité immobilière
des HLM diminue (en valeur) de 1,4 % en 2013 après + 8,5 % en
2012.
L’activité immobilière dans l’ancien se replie
fortement
L’activité immobilière diminue nettement dans l’ancien
(- 6,9 %), contribuant à hauteur de – 3,9 points au repli de
l’activité immobilière totale. La baisse de l’activité immobilière
dans l’ancien résulte de la diminution du volume (- 4,9 %) et de
celle des prix (- 2,1 %). En revanche, les travaux et le neuf
stagnent en 2013 respectivement - 0,2 % et + 0,1 % (0,0 point
de contribution – I1.2 et I1.3)
Ralentissement des prix L’indice du prix de l’entretien amélioration décélère en 2013
(1,2 % après 1,6 % en 2012). Les indices du coût de la
construction et du prix notaires-Insee diminuent en 2013 ; leur
variation s’établit respectivement à – 0,9 % et - 2,1 %, après
+ 2,5 % et - 0,5 % en 2012 (I1.4).
Activité immobilière, investissement et FBCF
L’activité immobilière comprend trois types d’opérations :
- l'investissement en logements neufs (construits à l’initiative de l’acquéreur final ou achetés à un promoteur), pour lequel on distingue la valeur des
terrains d’assiette, le coût de la construction et les frais et droits liés ;
- les travaux d'amélioration et de gros entretien qui, par opposition aux petits travaux d’entretien courant, participe à la formation brute de capital fixe en
logement ;
- les transactions sur les logements d'occasion qui incluent, de fait, la valeur du bâti et du terrain ainsi que celle des frais et droits liés, calculés sur barèmes.
Elles sont évaluées en valeur TTC.
La formation brute de capital fixe (FBCF) est incluse dans l’activité immobilière. Elle comprend uniquement la production de logements neufs acquis par
les producteurs des filières du CSL et les travaux de gros entretien. Elle n’inclut pas les terrains. En outre, en raison de la limitation du champ du CSL aux
producteurs de service de logement, la FBCF du CSL inclut les acquisitions de logements d’occasion nettes des cessions (hors terrains, y compris frais et droits
liés). C’est-à-dire les flux entrants nets de logements anciens dans le champ du CSL.
L’investissement en logements prend en compte, en plus de la FBCF, les terrains d’assise des logements neufs (et des logements d’occasion, nets des
cessions).
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I1.1 Activité immobilière, FBCF et investissement en logements
ValeurValeurValeurValeur
(en milliards d'euros)
2012/20112012/20112012/20112012/2011 2013/20122013/20122013/20122013/2012 2013201320132013
(1) Construction de logements neufs 2,4 0,0 62,4
(2) Terrains d'assise des logements neufs 1,3 0,3 15,7
(3) Frais et droits (neuf) 0,9 -1,4 1,1
(4) Investissement en logements neufs (1 + 2 + 3)(4) Investissement en logements neufs (1 + 2 + 3)(4) Investissement en logements neufs (1 + 2 + 3)(4) Investissement en logements neufs (1 + 2 + 3) 2,22,22,22,2 0,10,10,10,1 79,179,179,179,1
(5) Acquisition de logements d'occasion, hors terrains -10,9 -6,9 100,4
(6) Valeur des terrains des logements d'occasion -10,9 -6,9 39,4
(7) Frais et droits (ancien) -11,6 -6,2 9,9
(8) Acquisition de logements d'occasion, yc terrains (5 + 6 + 7)(8) Acquisition de logements d'occasion, yc terrains (5 + 6 + 7)(8) Acquisition de logements d'occasion, yc terrains (5 + 6 + 7)(8) Acquisition de logements d'occasion, yc terrains (5 + 6 + 7) -10,9-10,9-10,9-10,9 -6,9-6,9-6,9-6,9 149,7149,7149,7149,7
(9) Gros travaux d'entretien et d'amélioration(9) Gros travaux d'entretien et d'amélioration(9) Gros travaux d'entretien et d'amélioration(9) Gros travaux d'entretien et d'amélioration 1,61,61,61,6 -0,2-0,2-0,2-0,2 45,945,945,945,9
(10) Ensemble de l'activité immobilière (4 + 8 + 9)(10) Ensemble de l'activité immobilière (4 + 8 + 9)(10) Ensemble de l'activité immobilière (4 + 8 + 9)(10) Ensemble de l'activité immobilière (4 + 8 + 9) -5,7-5,7-5,7-5,7 -3,9-3,9-3,9-3,9 274,7274,7274,7274,7
(11) Acquisitions nettes de cessions hors terrains -10,9 -6,9 0,5
(12) Acquisitions nettes de cessions yc terrains -10,9 -6,9 0,6
(13) FBCF (1 + 3 + 7 + 9 + 11)(13) FBCF (1 + 3 + 7 + 9 + 11)(13) FBCF (1 + 3 + 7 + 9 + 11)(13) FBCF (1 + 3 + 7 + 9 + 11) 0,60,60,60,6 -0,7-0,7-0,7-0,7 119,8119,8119,8119,8
(14) Investissement (1 + 2 + 3 + 7 + 9 + 12)(14) Investissement (1 + 2 + 3 + 7 + 9 + 12)(14) Investissement (1 + 2 + 3 + 7 + 9 + 12)(14) Investissement (1 + 2 + 3 + 7 + 9 + 12) 0,70,70,70,7 -0,5-0,5-0,5-0,5 135,5135,5135,5135,5
Évolution Évolution Évolution Évolution
(en %)
Source : CSL2013
I1.2 Montant de l’activité immobilière par segments
0
50
100
150
200
1990 1995 2000 2005 2010
Logements neufs *
Acquisition dans l'ancien *
Travaux
Source : CSL2013
* y compris frais et droits liés
I1.3 Contributions des segments à l’activité immobilière
-25
-20
-15-10
-5
0
510
15
20
2008 2009 2010 2011 2012 2013
-25
-20
-15-10
-5
0
510
15
20Neuf*Ancien*Travaux
Évolution de l'ensemble des
acquisitions et travaux en valeur
Contribution
en points
en %
Source : CSL2013
* y compris frais et droits liés
I1.4 Évolution annuelle des prix de l’activité immobilière
-10
-5
0
5
10
15
20
2000 2005 2010
Neuf (1)Travaux (2)Ancien (3)
en %
Sources : (1) Insee – Indice du coût de la construction (ICC)
(2) Insee – Indice de prix de l’entretien amélioration (IPEA)
(3) indice Insee-Notaires
I1.5 Partage volume-prix de la formation brute de capital
fixe (FBCF)
-15
-10
-5
0
5
10
15
2003 2005 2007 2009 2011 2013
en prixen volume
en %
Source : CSL2013
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I2 - LE FINANCEMENT DES ACQUISITIONS ET DES TRAVAUX
Dans un contexte où l’activité immobilière poursuit sa baisse
(- 3,9 % en 2013 après - 5,7 % en 2012 - fiche I1), les encours de
crédits à l’habitat des ménages pour le logement connaissent une
progression de 3,3 % en 2013, après + 3,0 % en 2012.
Diminution des flux de crédits nouveaux versés aux
ménages en 2013
Le flux brut des crédits immobiliers aux ménages diminue peu
en 2013 (- 1,2 %) après sa forte baisse de 2012 (- 22,4 %). Le
montant des crédits nouveaux versés (encadré) aux ménages
s’établissent ainsi à 116,5 milliards d’euros. Ce montant ne tient
pas compte des opérations de rachats et de renégociations de
prêts (représentant plus d’un tiers des montants versés) suscitées
par la baisse des taux enclenchée à partir d’avril 2012. Cette
configuration favorable aux emprunteurs témoigne de l’absence
de contraintes sur l’offre de financements bancaires mis à la
disposition des candidats à une acquisition.
Les flux de crédits nouveaux sont en diminution pour le neuf
(- 15,2 % en 2013 – I2.1) et les travaux (- 3,8 %). En revanche, ils
augmentent dans l’ancien (+ 6,7 %). La baisse des crédits libres,
qui représentent l’essentiel des crédits immobiliers accordés aux
ménages, et des crédits aidés décélère en 2013 (respectivement -
0,1 % et - 32,4 % après – 20,8 % et – 51,4 % en 2012). La
diminution des crédits aidés est certainement due au repli du prêt
à taux zéro (PTZ – fiche A12) : le montant des mises en force
s’établit à 2,2 milliards d’euros, en net recul par rapport à 2012 (-
37,8 %). Cette diminution s’explique par l’effet du recentrage du
dispositif sur le neuf à compter du 1er janvier 2012 (un certain
nombre de PTZ émis en 2011 pour des logements anciens ayant
été versés en 2012).
Les crédits versés pour les travaux (11,6 milliards en 2013) sont
orientés à la baisse (- 3,8 %) pour la troisième année consécutive.
Cela peut être dû à la diminution de 3,9 % de l’éco-prêt à taux
zéro qui représente 0,6 milliard en 2013.
Les prêts versés aux organismes HLM diminuent
légèrement
Dans le même temps, les prêts aidés versés aux organismes
HLM, qui représentent plus de la moitié de leur financement, sont
en légère diminution (- 0,7 %). Cette évolution est différente
selon le neuf (+ 2,1 %), les travaux (- 5,6 %) et l’ancien
(- 21,7 %). Au total, ils restent à un niveau élevé (10,3 milliards
d’euros en 2013), comme le niveau des subventions
d’investissement (2,3 milliards), et les encours continuent de
progresser à un rythme soutenu (environ 6,0 % pour les concours
du Fonds d’épargne) traduisant la poursuite de l’effort
d’investissement induit par le plan de relance et par le PNRU
(fiche I4).
Les fonds propres
Les fonds propres associés au financement sont calculés par
solde entre l’investissement et les divers crédits mesurés. Ils
s’établissent à 141,4 milliards d’euros en 2013, représentant ainsi
51,5 % du financement de l’activité immobilière (I2.5).
Les conditions de financement Les taux fixes des crédits habitat accordés aux ménages
continuent de baisser en moyenne annuelle en 2013 (3,2 %
contre 3,4 % en 2012). Ils se stabilisent autour de 3,1 % (I2.2) en
fin d’année avant de reprendre leur baisse en 2014.
La durée moyenne des crédits à l’habitat hors prêts relais
diminue pour la deuxième année consécutive (- 5,0 mois en 2013
après – 3,5 mois en 2012) pour s’établir à 212,5 mois en 2013.
Crédits aux logements
Crédits versés / crédits signés
Le suivi des crédits à l’habitat aux ménages s’appuie sur les résultats du modèle Sachem développé par l’Observatoire de la production de crédits
immobiliers jusqu’en 2011 puis sur les données Banque de France. Le modèle Sachem est basé sur des durées de vie des encours et permet notamment de
déterminer des dates de versement des fonds liés aux crédits ainsi que des remboursements en capital. Les résultats de ce modèle, pour une période
donnée, diffèrent donc des crédits mesurés par la Banque de France qui publie des statistiques en dates de mise en force (signature des crédits). Pour le
neuf, cette différence de mesure temporelle est particulièrement importante puisque les crédits versés correspondent à des tranches de financement
associées à un état d'avancement des travaux de construction. Ils sont donc plus à même d’être comparés à de la formation brute de capital fixe (FBCF) ou à
de l’investissement, tels que mesurés dans le compte du logement à partir de permis de construire contenus dans Sit@del2 (fiche I3).
Les crédits versés se distinguent selon le segment (neuf, ancien, travaux, étant entendu qu’une certaine perméabilité peut exister entre ces catégories,
notamment entre ancien et travaux) et selon les types de crédits.
Crédits aidés / crédits libres
Les crédits considérés comme aidés sont : le prêt aidé pour l'accession à la propriété (PAP), le PTZ (fiche A12) et l’Éco-PTZ qui ne concerne que les travaux
(voir glossaire).
Les crédits non aidés incluent, outre les crédits libres, les prêts d’épargne logement (0,7 milliard d’euros en 2013) qui, dans un contexte de taux d’intérêt
des crédits à l’habitat faible, ne représentent pas d’avantage de taux relativement aux crédits libres ; les Pass-foncier suspendus en 2012 ; les PC-PAS.
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I2.1 Crédits à l’habitat versés dans l’ancien, dans le neuf
et dans les travaux en 2012
0
20
40
60
80
100
120
2000 2005 2010
Ancien
Neuf
Travaux
en milliards d'euros
Source : CSL2013 d’après Banque de France et modèle Sachem jusqu’en
2011
I2.2 Taux fixes et durée des crédits aux ménages
2,5
3,0
3,5
4,0
4,5
5,0
2004200520062007200820092010201120122013
190,0
200,0
210,0
220,0
230,0
240,0
Taux fixes moyens des crédits à
l'habitat aux ménages (en %)
Durée moyenne des crédits
immobiliers (en mois)
Source : Banque de France
I2.3 Le financement de l’investissement en logements des
ménages
0
20
40
60
80
100
1990 1994 1998 2002 2006 2010
Subventions
d'investissement
Emprunts
aidésEmprunts
non aidés
Fonds propres
en %
Source : CSL2013
I2.4 Le financement de l’investissement en logements des
personnes morales
0
20
40
60
80
100
1990 1994 1998 2002 2006 2010
Subventions d'investissement
Emprunts aidés
en %
Emprunts non aidés
Fonds propres
Source : CSL2013
I2.5 Le financement des acquisitions et des travaux Montants Montants Montants Montants (en
milliards d’euros)
2013201320132013 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013Fonds propres * 34,9 23,3 36,4 44,1Subventions d'investissement 2,1 3,1 2,9 2,7Emprunts aidés 11,6 15,3 15,3 14,7Emprunts non aidés 30,4 58,3 45,3 38,5Ensemble logements neufsEnsemble logements neufsEnsemble logements neufsEnsemble logements neufs 79,179,179,179,1 100100100100 100100100100 100100100100Fonds propres* 75,2 47,9 56,4 50,2Subventions d'investissement 0,2 0,2 0,2 0,1Emprunts aidés 0,6 3,0 1,0 0,4Emprunts non aidés 73,7 48,9 42,4 49,2Ensemble logements d'occasionEnsemble logements d'occasionEnsemble logements d'occasionEnsemble logements d'occasion 149,7149,7149,7149,7 100100100100 100100100100 100100100100Fonds propres* 31,3 65,3 67,1 68,2Subventions d'investissement 0,9 2,0 1,7 2,0Emprunts aidés 2,6 5,9 5,9 5,6Emprunts non aidés 11,1 26,8 25,2 24,2Ensemble travauxEnsemble travauxEnsemble travauxEnsemble travaux 45,945,945,945,9 100100100100 100100100100 100100100100Fonds propres* 141,4 44,2 52,6 51,5Subventions d'investissement 3,3 1,2 1,2 1,2Emprunts aidés 14,8 6,6 5,8 5,4Emprunts non aidés 115,2 48,0 40,5 42,0Total acquisitions et travauxTotal acquisitions et travauxTotal acquisitions et travauxTotal acquisitions et travaux 274,7274,7274,7274,7 100100100100 100100100100 100100100100
StructureStructureStructureStructure
(en %)
* Les fonds propres sont calculés comme étant le solde entre d’une part, la mesure de l’investissement et d’autre part, celle des crédits versés aux ménages
estimés à partir des données de la Banque de France et du modèle Sachem jusqu’en 2011.
Source : CSL2013
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I3 - LES ACQUISITIONS DE LOGEMENTS ET TRAVAUX DES MÉNAGES
L’activité immobilière des ménages s’établit, en 2013, à
247,6 milliards d’euros (I3.1). Ainsi, les ménages représentent, à
eux seuls 90,1 % de l’activité immobilière totale. Après la reprise
de 2010 et de 2011, leur activité immobilière diminue ces deux
dernières années (- 4,0 % en 2013 après - 6 ,9 % en 2012). Cette
diminution concerne avant tout les acquisitions dans l’ancien
(- 6,8 % en 2013). Les acquisitions dans le neuf et les gros
travaux ont des évolutions plus modérées (respectivement
+ 0,6 % et – 0,1 % - I3.2).
L’ensemble des filières de ménages sont orientées à la baisse.
Elle est plus marquée pour les bailleurs (- 9,8 %) ; l’activité
immobilière des autres filières baisse relativement moins (- 3,1 %
pour les propriétaires occupants et – 5,0 % pour les résidences
secondaires).
Forte diminution du niveau d’acquisitions de
logements anciens en 2013
Les acquisitions de logements anciens réalisées par les ménages
représentent 147,4 milliards d’euros en 2013, soit près des deux
tiers de leur activité immobilière. Elles baissent fortement pour la
deuxième année consécutive (- 6,8 % en 2013 après – 10,9 % en
2012). Cette évolution traduit à la fois une baisse des volumes
(- 4,8 % pour 2013(1)) et des prix (– 2,1 % en 2013). Toutefois la
diminution des prix reste modérée par rapport à l’ajustement des
prix important qui avait marqué l’année 2009 (– 7,1 %).
Cette évolution des prix France entière ne rend pas compte des
disparités sur le territoire et de la différence qu’il peut exister sur
les ajustements de prix entre les différents marchés locaux. Pour
autant cette année les tendances convergent en Île-de-France
(- 1,3 %) et en Province (– 2,5 %).
(1) Le volume des acquisitions de logements anciens est obtenu en déflatant la
valeur des acquisitions basée sur l'assiette des droits de mutation par les prix.
L'évolution de ce volume diffère de celle du nombre de transactions. En effet, la
date de l'acte de vente est antérieure à la date d'enregistrement des droits de
mutation par la Direction générale des finances publiques (DGFiP). Ces
décalages temporels créent des divergences d’évolution sur une année civile.
Augmentation en volume du neuf et baisse des
travaux
Après une année de diminution, l’investissement en volume en
logements neufs des ménages augmente en 2013
(1,5 % en volume après – 2,3 % en 2012 et + 0,6 % en valeur). Il
s’établit désormais à 59,1 milliards d’euros, représentant ainsi un
peu plus d’un cinquième de l’ensemble de leur activité
immobilière.
Cette hausse se concentre sur les propriétaires occupants, qui
continuent de bénéficier du dispositif PTZ+ : leur dépense
d’investissement s’élève à 43,2 milliards d’euros en 2013
(+ 6,9 %). Dans le même temps, celle des ménages bailleurs
connaît un net recul (- 15,8 %), conséquence des rabotages
successifs du dispositif Scellier et des incertitudes qui ont pu peser
sur la prolongation des dispositifs d’investissement locatif avant la
mise en place du dispositif Duflot, par ailleurs moins avantageux.
Les travaux d’entretien-amélioration représentent 41,1 milliards
d’euros en 2013. Après deux années de croissance, les travaux
d’entretien-amélioration diminuent en valeur (- 0,1 % après
+ 0,8 % en 2012). Les travaux baissent en volume en 2013
(- 1,2 % après - 0,8 % en 2012).
Légère diminution de la FBCF La FBCF des ménages (y compris frais et droits liés) est
composée à 47,3 % par les acquisitions de logements neufs et à
42,3 % par les gros travaux d’entretien amélioration, les 10,4 %
restants étant attribués à de l’ancien (où seuls les frais et le solde
des acquisitions et cessions hors terrains sont comptabilisés).
Compte tenu d’une baisse dans les travaux d’entretien
amélioration et l’ancien, la FBCF recule de 0,3 % en volume après
– 2,8 % en 2012 (I3.3). Les prix diminuent également (- 0,2 %
après + 1,8 % en 2012), tant dans le neuf que pour l’ancien et les
travaux, portant l’évolution en valeur à – 0,4 % en 2013.
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I3.1 L’activité immobilière des ménages
en milliards d'euros 1993199319931993 2003200320032003 2004200420042004 2005200520052005 2006200620062006 2007200720072007 2008200820082008 2009200920092009 2010201020102010 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013
Investissement en logements neufs* 24,1 46,8 54,2 58,8 68,5 71,7 70,4 52,2 49,6 58,7 58,8 59,1
Acquisition de logements anciens* 39,2 105,0 121,9 139,9 158,3 167,4 151,4 112,3 153,2 177,5 158,1 147,4
Travaux 21,3 31,0 32,7 34,3 36,2 38,6 40,4 39,9 39,7 40,8 41,1 41,1
Ensemble Ensemble Ensemble Ensemble 84,584,584,584,5 182,8182,8182,8182,8 208,9208,9208,9208,9 233,0233,0233,0233,0 263,1263,1263,1263,1 277,6277,6277,6277,6 262,2262,2262,2262,2 204,4204,4204,4204,4 242,6242,6242,6242,6 276,9276,9276,9276,9 258,0258,0258,0258,0 247,6247,6247,6247,6
* y compris frais et droits liés
Source : CSL2013
I3.2 Contributions des différents segments à l’activité
immobilière des ménages
-25
-20-15
-10
-50
5
1015
20
2008 2009 2010 2011 2012 2013
-25
-20-15
-10
-50
5
1015
20Neuf*Ancien*Travaux
évolution de l'ensemble des
acquisitions et travaux en
valeur (en %)
contribution
(en points)
Source : CSL2013
* y compris frais et droits liés
I3.3 Partage volume/prix de la formation brute de capital
fixe* (FBCF) des ménages
-15
-10
-5
0
5
10
15
2002 2004 2006 2008 2010 2012
En prixEn volume
En %
Source : CSL2013
* y compris frais et droits liés
I3.4 L’activité immobilière* des ménages par filière
0
30
60
90
120
150
180
1984 1989 1994 1999 2004 2009
accédants
non accédants
BPP RSRSRSRS
en milliards d'euros
BPP : bailleurs personnes physiques
RS : résidences secondaires
* y compris frais et droits liés
Source : CSL2013
I3.5 L’investissement en logements neufs des ménages
par filière
0,0
10,0
20,0
30,0
40,0
50,0
60,0
1984 1988 1992 1996 2000 2004 2008 2012
accédants
non accédants
BPP
RSRSRSRS
en milliards d'euros
BPP : bailleurs personnes physiques
RS : résidences secondaires
Source : CSL2013
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I4 - LES ACQUISITIONS DE LOGEMENTS ET TRAVAUX
DES PERSONNES MORALES
En 2013, l’activité immobilière des personnes morales s’élève à
27,1 milliards d’euros (I4.1). Malgré une légère baisse (- 2,5 %),
le niveau reste élevé compte tenu de l’effort d’investissement
des organismes HLM qui se maintient à un niveau historiquement
haut.
L’investissement des organismes HLM reste à un
niveau historiquement élevé
Les dépenses d’acquisitions et travaux des bailleurs HLM
(entreprises sociales pour l’habitat ESH et offices publics pour
l’habitat OPH) atteignent 17,6 milliards d’euros en 2013 soit
presque les deux tiers de l’activité immobilière des personnes
morales.
Après de nombreuses années de forte progression (+ 15,2 % en
moyenne annuelle entre 2005 et 2012), tant pour le neuf que
pour l’ancien et les travaux, l’investissement se maintient en
2013 à des niveaux très élevés. Le léger recul de 2013 (- 1,4 %)
est avant tout le fait des acquisitions de logements anciens. Dans
le neuf et les travaux, le niveau de l’investissement reste stable, à
un point haut : 12,7 milliards d’euros investis dans le neuf et
4,2 milliards en travaux.
Il est intrinsèquement lié aux conditions de financement des
logements sociaux (encadré) et à l’effort financier public en
faveur du logement social (avantages fiscaux et subventions).
Celui-ci est monté en puissance entre 2005 et 2010 dans le cadre
du plan de cohésion sociale, du plan de relance ou du plan
national de rénovation urbaine. Ainsi, cet effort d’investissement
des HLM se traduit également dans les montants d’aides
distribués à cette filière (fiche A6).
Baisse de l’investissement des autres bailleurs
sociaux et des autres personnes morales
L’activité immobilière des autres personnes morales (sociétés
immobilières d’investissement, sociétés d’assurances,
établissements bancaires…) est estimée à 6,7 milliards en 2013
(I4.4). Elle diminue de 1,3 % en 2013, à la fois le neuf, qui
représente l’essentiel de leur activité immobilière, dans l’ancien
et les travaux d’entretien amélioration.
L’activité immobilière des autres bailleurs sociaux estimée à
2,8 milliards en 2013 diminue également (- 11,3 %). Elle
concerne également tous les segments et notamment le neuf
(- 15,0 % en 2013).
Dispositifs de financement de bailleurs sociaux
Les prêts au logement locatif social sont la composante principale du financement de l’investissement en logements sociaux. Ces prêts de très long terme
(40 ans, voire 50 ans pour la partie du prêt finançant la charge foncière et 60 ans dans les zones tendues à compter de 2014) sont distribués
majoritairement par le Fonds d’épargne géré par la caisse des dépôts (CDC) et financés sur les fonds épargnés sur livret A, centralisés auprès du Fonds
d’épargne. Les taux de ces prêts sont variables et indexés sur la rémunération du livret A, qui peut être revue une fois au 1er février et 1er août
(éventuellement au 1er mai ou au 1er novembre en cas de variation importante du taux) sur la base des taux interbancaires Euribor et Eonia et de l’inflation
sans que sa variation ne dépasse 1,5 point à la hausse ou à la baisse.
On distingue trois types de crédits regroupés dans le terme de prêt au logement locatif social :
---- le Plus le Plus le Plus le Plus (prêt locatif à usage social), mis en place en 1999, produit « standard » du logement social dont le taux est égal à celui du Livret A + 60 points de
base (soit 1,85 % au 1er août 2013) ;
---- le PLA le PLA le PLA le PLA----IIII (prêt locatif aidé d’intégration) pour des logements réservés aux ménages qui cumulent difficultés financières et sociales (taux égal au Livret A
- 20 pb, soit 1,05 % au 1er août 2013) ;
---- le PLS le PLS le PLS le PLS (prêt locatif social), en priorité pour des logements situés dans les zones où le marché locatif est tendu (taux égal au Livret A + 111 pb, soit 2,36 %
au 1er août 2013, livret A + max 136 pbs si autre que personne morale).
Chacun de ces types de crédits dispose de conditions particulières associées, au sein d’un dispositif de financement global, à des montants de subvention
et à des aides fiscales particulières (TVA à taux réduit, exonération de TFPB, etc). (Encadré fiche A6)
S’ajoutent à ces crédits au logement locatif social :
---- le PLI le PLI le PLI le PLI (prêt locatif intermédiaire) pour des logements dont les loyers se situent entre ceux des logements locatifs sociaux et ceux du marché libre (taux
égal au Livret A + 140 pb, soit 2,65 % au 1er août 2013),
- le prêt à l’améliorationle prêt à l’améliorationle prêt à l’améliorationle prêt à l’amélioration (au taux égal au taux du PLUS) qui finance les travaux d’amélioration ou de rénovation des logements sociaux (les travaux
d’amélioration de la performance énergétique bénéficiant d’un prêt au taux plus avantageux, l’éco-prêt logement social). Une subvention - la Palulosla Palulosla Palulosla Palulos
(Prime à l’amélioration des logements à usage locatif et occupation sociale) - est destinée aux travaux d’amélioration du confort ou de mise en conformité
aux normes notamment. Elle n’est plus octroyée que marginalement.
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I4.1 Activité immobilière des personnes morales (résidences principales) en milliards d'euros 2005200520052005 2006200620062006 2007200720072007 2008200820082008 2009200920092009 2010201020102010 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013NeufNeufNeufNeufOrganismes HLM 4,1 5,0 6,9 8,3 10,2 11,9 11,6 12,7 12,7Autres bailleurs sociaux 1,1 1,5 1,9 2,2 2,1 2,1 2,1 1,9 1,6Autres personnes morales 4,2 4,8 4,6 5,1 4,5 4,2 5,0 5,7 5,7Ensemble investissement logements neufsEnsemble investissement logements neufsEnsemble investissement logements neufsEnsemble investissement logements neufs 9,49,49,49,4 11,311,311,311,3 13,313,313,313,3 15,615,615,615,6 16,816,816,816,8 18,218,218,218,2 18,718,718,718,7 20,320,320,320,3 20,020,020,020,0% Neuf / Total 67,7 70,0 71,4 74,4 75,7 71,9 71,6 73,1 73,8OccasionOccasionOccasionOccasionOrganismes HLM 0,4 0,5 0,6 0,6 0,8 1,0 1,0 0,9 0,7Autres bailleurs sociaux 0,7 0,8 0,8 0,8 0,6 0,8 0,9 0,8 0,7Autres personnes morales 0,8 0,9 1,0 0,9 0,6 0,9 1,0 0,9 0,9Ensemble acquisitions logements d’occasionEnsemble acquisitions logements d’occasionEnsemble acquisitions logements d’occasionEnsemble acquisitions logements d’occasion 1,91,91,91,9 2,22,22,22,2 2,42,42,42,4 2,32,32,32,3 2,02,02,02,0 2,72,72,72,7 3,03,03,03,0 2,62,62,62,6 2,32,32,32,3% Occasion / Total 14,1 13,6 12,8 10,9 9,0 10,5 11,4 9,4 8,5TravauxTravauxTravauxTravauxOrganismes HLM 2,1 2,2 2,5 2,6 2,8 3,8 3,8 4,2 4,2Autres bailleurs sociaux 0,3 0,3 0,3 0,4 0,4 0,5 0,5 0,5 0,5Autres personnes morales 0,1 0,2 0,2 0,2 0,2 0,2 0,2 0,2 0,2Ensemble des travauxEnsemble des travauxEnsemble des travauxEnsemble des travaux 2,52,52,52,5 2,62,62,62,6 3,03,03,03,0 3,13,13,13,1 3,43,43,43,4 4,54,54,54,5 4,44,44,44,4 4,94,94,94,9 4,84,84,84,8% Travaux / Total 18,3 16,4 15,8 14,7 15,3 17,6 17,0 17,5 17,7TotalTotalTotalTotalOrganismes HLM 6,6 7,6 9,9 11,5 13,8 16,7 16,4 17,8 17,6Autres bailleurs sociaux 2,1 2,6 3,0 3,3 3,1 3,4 3,5 3,1 2,8Autres personnes morales 5,2 5,9 5,7 6,2 5,3 5,2 6,2 6,8 6,7Ensemble de l'activité immobilièreEnsemble de l'activité immobilièreEnsemble de l'activité immobilièreEnsemble de l'activité immobilière 13,813,813,813,8 16,116,116,116,1 18,718,718,718,7 21,021,021,021,0 22,222,222,222,2 25,325,325,325,3 26,126,126,126,1 27,827,827,827,8 27,127,127,127,1
Source : CSL2013
I4.2 Contributions des différents segments à l’activité
immobilière des personnes morales
-10
-5
0
5
10
15
2009 2010 2011 2012 2013
-10
-5
0
5
10
15NeufAncienTravaux
évolution de l'ensemble des acquisitions
et travaux en valeur (en %)
contribution
en points
Source : CSL2013
I4.3 Partage volume/prix de la formation brute de capital
fixe (FBCF) des personnes morales
-5
0
5
10
15
20
2003 2005 2007 2009 2011 2013
En prixEn volume
évolution en %
Source : CSL2013
I4.4 L’activité immobilière des personnes morales par
filières
0
5
10
15
20
1990 1995 2000 2005 2010
Organismes HLMAutres personnes moralesAutres bailleurs sociaux
Source : CSL2013
I4.5 La rémunération du livret A
0%1%2%3%4%5%6%7%8%9%
janv.-84 janv.-89 janv.-94 janv.-99 janv.-04 janv.-09
Taux du livret A
Source : CSL2013
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I5 - LA FORMATION BRUTE DE CAPITAL FIXE EN LOGEMENTS NEUFS
En 2013, la formation brute de capital fixe en logements neufs
(FBCF), hors frais et droits liés, s’élève à 62,4 milliards d’euros.
Après deux années de hausse (+ 2,4 % en 2012 et + 13,5 % en
2011), la FBCF stagne en 2013 (+ 0,0 % hors frais et droits liés).
En 2013, la FBCF en volume des particuliers baisse pour la
deuxième année consécutive (- 6,3 % après - 5,5 % en 2012).
Cette réduction a été accentuée notamment par une nouvelle
diminution des plafonds de ressources pour le PTZ+.
Diminution des prix en 2013 L’indice du coût de la construction diminue en 2013 après trois
années de hausse : - 0,9 % en 2013 après + 2,5 % en 2012.
L’augmentation des volumes (+ 0,9 %) a donc été compensée
par la baisse des prix (I5.1).
Augmentation de la FBCF en volume pour les
logements neufs
L’évolution de la FBCF en logements neufs redevient positive
(+ 0,9 % en 2013 après – 0,1 % en 2012). En effet, la production
en volume augmente de 0,3 % (fiche I6 – I5.3) tandis que, les
stocks des promoteurs ralentissent en 2013 par rapport à ceux de
2012.
En 2013 pour la troisième année consécutive, les stocks de
logements construits des promoteurs sont positifs (+ 350 000 m²
en 2013 après + 570 000 m² en 2012 - I5.2).
La production de logements neufs en volume augmente de
nouveau en 2013 pour la troisième année consécutive (+ 0,3 %
en 2013 après + 1,3 % en 2012). Cette augmentation est à relier
avec un niveau élevé de mises en chantiers au premier trimestre
2013 dû à la fin du dispositif Scellier. La production en volume de
maisons individuelles baisse toujours en 2013 (- 4,7 % après
- 4,1 % en 2012). Les logements individuels groupés produits en
2013 augmentent (+ 1,2 % après + 0,2 % en 2012). La
construction de logements collectifs continue également
d’augmenter (+ 5,0 % en 2013 après + 7,7 % en 2012).
Les autres composantes de la FBCF La FBCF en logement inclut d’autres éléments que la production
de logements neufs : frais et droits liés aux transactions (yc
ancien) et gros travaux d’entretien amélioration (encadré fiche
I1). En revanche elle ne comprend pas les terrains (I5.4). Compte
tenu des évolutions de ces autres éléments, la FBCF totale
s’établit à 119,8 milliards d’euros. Elle connaît une diminution en
volume de 0,4 % ainsi qu’une baisse des prix (- 0,2 %).
Évaluation de la FBCF en logements neufs à partir de la production
En comptabilité nationale, la FBCF est enregistrée au moment du transfert de propriété. Lorsqu’ils sont produits pour compte propre et lorsqu’ils font l’objet
d’un contrat de vente à l’avance (vente en l’état futur d’achèvement), les logements sont enregistrés en FBCF de l’acquéreur au prorata de l’avancement
des travaux. Ainsi, dans le CSL, la mesure de la FBCF en logements neufs découle de celle de la production (fiche I6).
L’évaluation de la FBCF en logements neufs, repose sur une estimation à partir des données physiques (tableau I5.3) assurant ainsi une cohérence
intrinsèque entre ces deux mesures.
(1) La production de logements neufs est estimée sur la base de l’avancement des travaux liés aux permis de construire de la base Sit@del2 (fiche I6) en
quantités physiques (m²).
(2) Les variations de stocks promoteurs sont comptabilisées (cf. ci-dessous).
(3) Des coefficients de volume sont introduits permettant d’évaluer différemment les surfaces selon les segments. Ces coefficients correspondent aux
différentiels de prix par type de logement et région livrés par l’enquête prix de revient des logements neufs (EPRLN). Les évolutions obtenues définissent
une évolution en volume. La méthode permet ainsi de capter les effets liés à la déformation de la structure de la construction au cours du temps
(répartition par type et région).
(4) L’évolution en prix est donnée par l’indice du coût de la construction (ICC) et permet d’obtenir des évolutions en valeur.
(5) Le montant en valeur est donné par les évolutions et un niveau de base défini pour les années 1995 et 1996.
La FBCF en logements neufs est déterminée par filière d’investisseurs. Les promoteurs ne sont pas considérés dans le compte du logement comme une
filière d’investisseurs. Dans le cas d’un logement construit par un promoteur et ayant déjà trouvé un acquéreur, sa production est prise en compte dans la
filière d’investisseurs correspondante à l’acquéreur. Dans le cas contraire, sa production est comptabilisée dans les stocks. Les logements en cours de
construction n’ayant pas encore d’acquéreur final sont comptabilisés, tout comme les logements achevés détenus par les promoteurs, en « variation de
stocks utilisateurs ». Les données relatives aux stocks sont issues de l’enquête sur la commercialisation des logements neufs (ECLN).
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I5.1 Évolution en volume et prix de la FBCF
-20-15
-10-50
510
1520
99 00 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 13
En prix
En volume
Évolution en %
Sources : CSL 2012, insee, Indice du coût de la construction et SOeS,
Sit@del2 base au 30/10/14, estimations en dates réelles, ECLN et EPRLN
I5.2 Production en équivalent surface et variation de
stocks
-60 000
-40 000
-20 000
0
20 000
40 000
60 000
99 00 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 13
-600
-400
-200
0
200
400
600
Milliers de m² Milliers de m² Production en Production en Production en Production en
équivalent surfaceéquivalent surfaceéquivalent surfaceéquivalent surface
Variation de stocksVariation de stocksVariation de stocksVariation de stocks
Sources : SOeS, Sit@del2 base au 30/10/14 et ECLN
I5.3 De la production à la FBCF en volume 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
Évolution de la production en volume 4,6 3,1 9,6 9,5 9,4 4,0 -5,6 -19,2 -2,5 9,8 1,3 0,3
Évolution de la production en surface 4,7 3,1 9,7 9,2 9,3 3,7 -5,8 -19,4 -2,4 10,0 1,0 -0,1
Production en équivalent surface (millions de m²) 33,6 34,6 37,9 41,4 45,2 46,9 44,2 35,6 34,7 38,1 38,4 38,4
∆Stocks (millions de m²) -0,1 -0,3 -0,1 0,1 0,2 0,6 0,6 -0,5 -0,6 0,1 0,6 0,3
FBCF (millions de m²) 33,7 34,8 38,1 41,3 45,0 46,3 43,6 36,1 35,3 38,1 37,9 38,1
Évolution de la FBCF en quantités physiques (%) 4,7 3,5 9,3 8,5 9,0 2,9 -5,9 -17,1 -2,3 7,8 -0,5 0,5
Évolution de la FBCF en volume (%) 4,7 3,5 9,2 8,7 9,3 3,1 -5,7 -16,7 -2,3 7,6 -0,1 0,9
Évolution de la FBCF en valeur (%) 7,3 6,6 14,5 11,3 16,9 7,2 1,5 -19,0 -1,2 13,5 2,4 0,0
FBCF en valeur (millions d'euros) 38 790 41 343 47 318 52 670 61 554 65 997 67 008 54 294 53 629 60 875 62 341 62 358
Sources : SOeS, Sit@del2 base au 30/10/14, estimations en dates réelles, ECLN et EPRLN
I5.4 Les différentes composantes de la FBCF
Terrains d'assise des
logements neufs 12%
Logements neufs 46%
Frais liés aus logements
neufs (yc terrains) 1%
Gros travaux d'entretien
amélioration 34%
Frais des acquisitions
dans l'ancien 7%
Acquisitions nettes de
cessions hors terrains 0%
Terrains des acquisitions nettes
de cessions 0%
Source : CSL2013
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I6 - LA PRODUCTION DE LOGEMENTS NEUFS
La production de logements en équivalent logement
ralentit en 2013
Les fins de chantier continuent d’augmenter en 2013 (+ 5,0 %),
au même rythme qu’en 2012 (I6.1). Dans le même temps et
malgré la forte baisse du nombre d’autorisations en 2012 et 2013
(fiche I7), les mises en chantier diminuent moins fortement
(- 0,8 % en 2013 après – 6,0 % en 2012).
Dans ce contexte, la production de logements neufs (encadré)
reste orientée à la hausse mais subit un nouveau ralentissement
après le pic de 2010 (+ 0,3 % en volume en 2013, après deux
années de hausse + 1,3 % en volume en 2012 et + 9,8 % en
2011).
En effet, la production étant calculée entre le début et la fin des
chantiers, même si le nombre de mises en chantier n’augmente
plus, les mises en chantiers des deux années passées continuent
de participer à la production car la durée de chantier, selon le
type de logements, varie en moyenne de 13 à 20 mois.
La production de logements progresse dans le
collectif mais diminue dans l’individuel
La croissance de la production en logements neufs tient à la
forte augmentation de la production de logements collectifs
(+ 5,1 % en 2013). L’individuel groupé progresse légèrement
(+ 0,2 % après + 0,0 % en 2012). À l’inverse, la production de
logements individuels purs diminue pour la deuxième année
consécutive (- 5,2 % après - 5,0 % en 2012 - I6.2).
Par conséquent, la part des maisons individuelles (c’est-à-dire
de l’individuel pur) dans les logements produits passe de 34,6 %
en 2012 à 32,5 % en 2013. La part de l’individuel groupé reste
stable (13,3 % en 2013). À l’inverse, la part des logements
collectifs augmente (54,2 % en 2013 et 52,1 % en 2012).
Diminution de la durée moyenne des travaux
achevés en 2013
Ainsi la production de logements neufs est maintenue grâce à
l’effort de construction des bailleurs sociaux et par les incitations
fiscales à l’investissement locatif, qui pèsent avant tout sur le
collectif. Pour autant, le maintien du niveau de production tient
aussi au repli du délai entre l’ouverture de chantier et
l’achèvement des travaux (16,8 mois en moyenne en 2013
contre 17,1 mois en 2012). Cette diminution des délais de
production concerne à la fois le collectif (20,8 mois en moyenne
en 2012 à 20,0 en 2013) et l’individuel (13,2 mois en moyenne
en 2013 contre 13,5 mois en 2012 – I6.4).
Diminution de la surface moyenne des logements
produits en 2013
La mesure de la production en volume (+ 0,3 %) en 2013
s’appuie sur des mesures en quantités physiques (encadré). Ainsi,
à cette évolution en volume correspondent des évolutions en
nombre de logements et en surface, qui peuvent différer
légèrement (I6.5). En 2013, l’évolution en logements de la
production s’établit à + 0,9 % et l’évolution en surface est de
– 0,1 %. Cela correspond à 420 200 équivalents logements
produits et à 38,9 milliers de m², un niveau en deçà des points
hauts de 2007 et 2008 mais relativement élevé, notamment dans
le collectif (I6.2).
Divers facteurs expliquent ces légères différences en évolution
entre les trois mesures et notamment la surface moyenne des
logements produits. Celle-ci diminue de 0,9 m² entre 2012 et
2013. Elle s’établit à 92,6 m² par logement, niveau le plus faible
sur les dix dernières années (I6.3). Ceci est dû au repli de la
surface moyenne des logements dans le collectif et par la hausse
de la part de ces derniers augmentant dans la production en
équivalent logement.
La production de logements
La production de logements est estimée en quantités physiques à partir des informations sur le début et la fin des chantiers enregistrées dans la base
Sit@del2. La construction d'un logement peut s’étendre sur plusieurs années civiles, alors que le compte satellite cherche à évaluer une production annuelle.
Il convient alors de répartir le nombre de logements produits par année de construction, au prorata de l’avancement des travaux. Ainsi, la construction d'une
maison individuelle dont le chantier a par exemple commencé au 1er janvier de l’année 2005 et s’est terminé le 1er juillet de l’année 2006 donne lieu à une
production en 2005 à hauteur de deux tiers de logement et de un tiers de logement en 2006, en faisant l’hypothèse que l’avancement des travaux est
linéaire.
La méthode de calcul, qui se fonde sur les dates réelles des événements, et non sur leurs dates de prise en compte dans le système d’information, est
simple dès lors que le début et la fin des chantiers sont connus. Or, toutes les informations n'étant pas disponibles au moment de l’estimation, elle impose
de formuler des hypothèses sur le déroulement des chantiers durant la période récente. Ces hypothèses se fondent sur les observations passées (taux
d’annulation des projets, délais de mise en chantier et durées des travaux) et sur les informations conjoncturelles dans le secteur de la construction.
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I6.1 Nombre de logements commencés, terminés et
produits
200
250
300
350
400
450
500
1997 1999 2001 2003 2005 2007 2009 2011 2013
TerminésTerminésTerminésTerminés CommencésCommencésCommencésCommencés
ProduitsProduitsProduitsProduits
Milliers de logements
Source : SOeS, estimation à partir de Sit@del2 (base au 30/10/14)
I6.2 Production en équivalent logement par type
0
50
100
150
200
250
1997 1999 2001 2003 2005 2007 2009 2011 2013
Individuel purIndividuel purIndividuel purIndividuel pur
CollectifCollectifCollectifCollectifIndividuel groupéIndividuel groupéIndividuel groupéIndividuel groupé
RésidencesRésidencesRésidencesRésidences
Millier d'équivalents logements
Source : SOeS, estimation à partir de Sit@del2 (base au 30/10/14)
I6.3 Surface moyenne par type de logement
50
70
90
110
130
1997 1999 2001 2003 2005 2007 2009 2011 2013
individuel pur individuel groupé collectif
Milliers de logements
Source : SOeS, estimation à partir de Sit@del2 (base au 30/10/14)
I6.4 Délais moyens par type de logement
10,0
12,0
14,0
16,0
18,0
20,0
22,0
1997 1999 2001 2003 2005 2007 2009 2011 2013
Individuel Collectif
Mois
Source : SOeS, estimation à partir de Sit@del2 (base au 30/10/14)
I6.5 Évolution de la production
-20
-15
-10
-5
0
5
10
15
20
1997 1999 2001 2003 2005 2007 2009 2011 2013
Production en équivalent logement Production en équivalent surfaceProduction en volume
En %
Source : SOeS, estimation à partir de Sit@del2 (base au 30/10/14)
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I7 - LES LOGEMENTS ACHEVÉS EN 2013
En 2013, le nombre d’autorisations de permis de construire, nets
des annulations, s’établit à 337 800 (I7.4). Après un rebond en
2010 et 2011, il baisse fortement pour la deuxième année
consécutive
(-14,6 % après - 10,6 % en 2012) et retrouve progressivement
son niveau du début des années 2000 (I7.1).
La diminution des mises en chantier est beaucoup moins forte
(- 0,8 % en 2013 après – 6,0 % en 2012). Cela s’explique par un
lissage des mises en chantier relativement aux autorisations au
cours du temps, qui permet, encore en 2013, de bénéficier du
nombre élevé d’autorisations les années précédentes. En outre,
l’augmentation massive s’explique par les modifications des
dispositifs d’investissement locatif qui ont déclenché la mise en
œuvre des projets de construction.
Le nombre de logements terminés reste, quant à lui, orienté à la
hausse pour la troisième année consécutive (+ 5,0% en 2013). Il
s’établit à 434 900 unités en métropole, après 414 200 unités en
2012 (I7.1). La croissance du nombre de logements terminés en
2013 s’explique par celle, en 2011, des mises en chantier, compte
tenu des délais moyens de construction qui varient entre 13 et
20 mois selon les types de logements.
Une croissance qui ne se dément pas dans le collectif L’individuel et le collectif connaissent en 2013 des évolutions
divergentes. Le nombre de logements individuels achevés repart
à la baisse (- 2,0 % en 2013 – I7.2). Elle est due à l’individuel pur
(– 3,4 %) alors que le nombre de logements achevés en
individuel groupé croît (+ 1,7 %). À l’inverse, dans le collectif, la
croissance du nombre de logements achevés accélère nettement
(+ 12,0 % après + 6,6 % en 2012). Elle concerne tant les
résidences (+ 2,3 %) que les autres logements collectifs
(+ 13,4 %). Elle est tirée par la poursuite de l’effort continu de
construction de logements sociaux et par les dispositifs
d’investissement locatif des années précédentes, même si ces
derniers induisent parfois des évolutions erratiques en raison des
modifications fiscales des dispositifs.
Ainsi, en 2013, le nombre de logements collectifs achevés
devient nettement supérieur à celui du nombre de logements
individuels, alors même qu’il était en dessous jusqu’en 2008. Il
s’établit à un niveau historiquement élevé (232 000 logements
achevés) et maintient le rythme du renouvellement du parc de
logements. Après un léger rebond, le nombre de logements
individuels achevés retrouve, lui, son niveau du début des années
2000 (203 000 logements achevés en 2013).
La construction à Paris progresse De ce fait, les logements achevés dans les grandes villes (plus
de 100 000 habitants), qui représentent plus de la moitié de la
construction dans le collectif, progressent en 2013 pour la
troisième année consécutive (+ 9,0 % en 2013 après + 8,4 % en
2012 et + 19,0 % en 2011). Notamment, les logements achevés
dans l’unité urbaine de Paris reste en forte hausse (+ 19,5 % en
2013 et + 12,3 % en 2012) et atteint 52 400 logements achevés
en 2013 (I7.3). Cette hausse traduit le ciblage de l’investissement
en logements collectifs dans les zones denses et tendues des
politiques publiques. À l’inverse, les zones rurales, qui concentrent
près de 40 % de la construction de l’habitat individuel,
connaissent un nouveau repli du nombre de logements achevés
(- 4,6 % en 2013).
Estimation des logements terminés
Le calcul du nombre de logements terminés repose sur des hypothèses : compte tenu des délais de remontée de l’information dans la base Sit@del2, la date
réelle d’achèvement des travaux n’est connue qu’avec retard et doit donc être estimée pour une part des permis de construire. Cette part est d’autant plus
importante que l’année sur laquelle porte l’estimation est récente. Pour les permis de construire de 2013, 86 % sont encore au statut « autorisé » ou au statut
« commencé » dans Sit@del2.
Pour les chantiers ouverts avant 2011, la non réponse, peu fréquente, est corrigée en appliquant aux permis dont l’information sur l’achèvement est
manquante, les délais observés des permis présentant les mêmes caractéristiques (année et trimestre d’ouverture du chantier, type - individuel ou collectif -,
région…). Pour les chantiers ouverts plus récemment, les grilles délais observées rendent mal compte de la réalité car seuls les chantiers rapides sont
enregistrés dans la base. Un laps de temps suffisant doit s’écouler pour connaître la véritable distribution des délais des chantiers ouverts récemment. Pour
estimer les dates d’achèvement de ces chantiers, on s’appuie alors sur la distribution des délais observée sur les années passées, modulée en fonction des
indicateurs de conjoncture qui influent sur la durée moyenne des chantiers (enquête de conjoncture, activité dans le bâtiment).
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I7.1 Logements autorisés bruts et nets des annulations et
logements terminés (données trimestrielles)
50
70
90
110
130
150
170
2000 2002 2004 2006 2008 2010 2012
TerminésTerminésTerminésTerminésAutorisés brutsAutorisés brutsAutorisés brutsAutorisés bruts
Milliers de logements
Autorisés netsAutorisés netsAutorisés netsAutorisés nets
Champ : France métropolitaine
Source : CSL2013 d’après SOeS-Sit@del2 (base au 30/10/14)
I7.2 Logements individuels et collectifs terminés (données
annuelles)
100
130
160
190
220
250
280
2000 2002 2004 2006 2008 2010 2012
Milliers de logements
CollectifCollectifCollectifCollectif
IndividuelIndividuelIndividuelIndividuel
Champ : logements terminés en France métropolitaine - le collectif
intègre les résidences
Source : CSL2013 d’après SOeS-Sit@del2 (base au 30/10/14)
I7.3 Logements achevés selon le type d’espace
0
20
40
60
80
100
120
140
160
180
200
2000 2002 2004 2006 2008 2010 2012
Commune ruraleUnité urbaine de moins de 100 000 habitantsUnité urbaine de plus de 100 000 à 1 999 999 habitantsUnité urbaine de Paris
Milliers de logements
Champ : logements terminés en France métropolitaine
Source : CSL2013 d’après SOeS-Sit@del2 (base au 30/10/14)
I7.4 Évolution des logements brut et nets des annulations et des logements commencés et terminés
T1 T2 T3 T4
Logements autorisés bruts 9,6 -7,6 13,0 -26,7 0,4 7,7 -12,3 408 121
Logements autorisés nets 10,6 -10,6 14,6 -28,7 0,7 7,2 -14,6 337 834
Logements commencés 5,2 -6,0 -11,6 -2,3 -11,7 18,3 -0,8 390 716
Logements achevés 8,3 4,9 -14,4 3,7 3,6 13,7 5,0 434 937
Nombre 20132013Évolution
2011 (%)
Évolution
2012 (%)
Évolution
2013 (%)
Champ : logements terminés en France métropolitaine
Source : CSL2013 d’après SOeS-Sit@del2 (base au 30/10/14)
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A – Les aides au logement et
les prélèvements en 2013
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A1 - LES AIDES AU LOGEMENT EN 2013
Les diverses formes d’aides au logement (encadré)
représentent, en 2013, un avantage pour leurs bénéficiaires de
40,8 milliards d’euros, soit 1,9 % du PIB (A1.3).
Après avoir fortement progressé entre 2004 et 2011 (+ 7,5 %
par an en moyenne) avant de ralentir en 2012 (- 8,1 % par
rapport à 2011), ce montant reste stable en 2013 (- 0,7 % - A1.1
et A1.2) et retrouve le niveau de 2009. Cette stabilité des aides
fait suite à une croissance forte et continue du montant des aides
depuis l’année 2004 qui avait marqué, d’une part le début d’une
période de forte hausse de l’investissement des bailleurs sociaux
et privés jusqu’à un niveau historiquement élevé (construction
neuve, rénovation urbaine, investissement locatif), d’autre part la
montée en charge des dispositifs PTZ. En 2012, la baisse des aides
s’expliquait par la forte réduction des avantages de taux et des
avantages fiscaux. Le durcissement du « CIDD » et la hausse du
taux réduit de TVA (de 5,5 % à 7,0 %) au 1er janvier 2012 pour les
travaux d’entretien-amélioration du logement et pour
l’investissement des HLM expliquent grandement le recul des
avantages fiscaux.
En 2013, les prestations sociales et les subventions à
l’investissement augmentent, ainsi que les avantages fiscaux aux
consommateurs (A1.4). Toutefois, cette hausse est compensée
par la baisse des avantages de taux, à travers la diminution des
prêts versés au titre du logement social et la diminution de la
rémunération du Livret A. De plus, le durcissement de certains
dispositifs fiscaux d’exonération ou de réduction d’impôt pour les
producteurs de service de logement participe également à cette
légère baisse.
Les aides au logement
Le compte du logement analyse les aides en se plaçant du point de vue des bénéficiaires de ces aides. Ainsi, l’ensemble des avantages conférés aux
bénéficiaires, qu’ils soient consommateurs ou producteurs de service de logement (occupants ou bailleurs), sont-ils retenus dans le chiffrage, que ces
avantages donnent lieu à une dépense (un versement) de la part d’un financeur ou qu’ils réduisent une dépense (réduction d’impôt, baisse de taux
d’intérêt).
On distingue cinq types d’aides au logement.
- Les prestations d’aide au logement sont des aides versées aux consommateurs de service de logement (les occupants, qu’ils soient locataires ou
propriétaires) pour couvrir une partie de leur dépense de logement. Elles incluent, pour le logement, les aides personnelles au logement (ALF, APL, ALS –
glossaire), ainsi que d’autres prestations plus marginales (FSL, primes de déménagement, ALT, part logement de l’ASH, subventions de l’Action Logement à
la mobilité, …). Dans le cadre central, elles sont considérées comme des prestations sociales en nature (D63), qui viennent en déduction de la dépense de
consommation (cf tableaux 20 du CSL).
- Les subventions d’exploitation sont des aides versées aux producteurs de service de logement (bailleurs) pour influencer leur niveau de production, leur
prix, ou la rémunération des facteurs de production. Du point de vue du cadre central, il peut s’agir de subventions sur les produits, lorsque ces subventions
sont versées par unité de bien ou de service produite, ou des autres subventions à la production, dénommées aussi subventions d’exploitation qui portent
sur les coûts des facteurs de production. Elles incluent par exemple les bonifications d’intérêts sur des prêts ou des subventions à des producteurs spécifiques
comme les organismes gestionnaires de structures d’hébergement collectif et sont désormais très marginales relativement aux autres types d’aides. Elles
sont retracées aux tableaux 21-22 du CSL (emplois-ressources des producteurs de service de logement).
- Les subventions d’investissement sont également versées aux producteurs de service de logement afin de diminuer le coût de leurs investissements.
Elles incluent notamment les aides liées aux investissements des bailleurs sociaux ainsi que celles versées par l’Anru et l’Anah. Elles sont retracées dans les
tableaux 24 du CSL (financement de l’investissement en logement) avec néanmoins un décalage temporel afin de coïncider avec la période
d’enregistrement de l’investissement, qui peut être différente de la période du versement effectif de ces aides.
- Les avantages de taux résultent de crédits accordés à des taux inférieurs à ceux pratiqués sur le marché bancaire. Ces prêts à taux bas visent en très grande
majorité à stimuler l’investissement en logements des producteurs de service de logement (bailleurs), notamment des bailleurs sociaux et en résidences
principales des ménages (PTZ). Les avantages de taux sont calculés relativement à un prix de marché et enregistrés, dans le CSL, au moment de
l’investissement, comme les aides à l’investissement.
- Les avantages fiscaux résultent de dispositions fiscales plus favorables que le droit commun. Ils ne sont pas tous considérés comme des versements par le
cadre central de comptabilité nationale qui les traite en partie comme une diminution de recettes fiscales (opérations D2 et D5). Afin de rendre compte de
l’ensemble des avantages conférés aux occupants et aux bailleurs, le CSL retrace ces avantages comme s’ils étaient une dépense publique (ou dépense
fiscale en termes budgétaires). Les avantages fiscaux sont essentiellement des mesures visant à favoriser l’investissement en logement ; ils concernent donc
avant tout les producteurs de service de logement. Toutefois, le taux de TVA réduit pour les travaux réalisés dans le logement bénéficie également aux
occupants, au titre des « petits travaux », qui sont de la consommation (des ménages), contrairement aux « gros travaux » qui sont considérés comme de
l’investissement.
Les aides au logement décrites dans le CSL ne sont pas toutes versées par des administrations publiques (au sens du cadre central) ; c’est par exemple le
cas des subventions versées par l’UESL et les CIL, qui ne sont pas classées dans le cadre central, parmi les administrations publiques.
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A1.1 Montants des aides au logement par type d’aide
en millions d'euros 2007200720072007 2008200820082008 2009200920092009 2010201020102010 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013
Prestations sociales (consommateurs) 16 414 17 582 18 169 18 255 18 708 19 206 19 942
Subventions d'exploitation (producteurs) 147 128 134 153 176 189 214
Subventions d'investissement (producteurs) 2 848 3 383 4 098 4 317 3 641 3 352 3 411
Avantages fiscaux 11 407 13 032 14 546 15 517 16 476 14 999 14 519
aux consommateurs 1 536 1 599 1 492 1 512 1 695 1 480 1 492
aux producteurs 9 871 11 432 13 053 14 005 14 781 13 519 13 027
Avantages de taux (producteurs) 2 894 3 232 3 867 5 604 5 688 3 543 2 696
Ensemble des aidesEnsemble des aidesEnsemble des aidesEnsemble des aides 33 71033 71033 71033 710 37 35637 35637 35637 356 40 81440 81440 81440 814 43 84643 84643 84643 846 44 68944 68944 68944 689 41 28941 28941 28941 289 40 78240 78240 78240 782
Évolution annuelle (en %) 8,8% 10,8% 9,3% 7,4% 1,9% -7,6% -1,2%
Source : CSL2013
A1.2 Montants des aides au logement selon le type d’aide
0
5
10
15
20
25
30
35
40
45
50
1984 1988 1992 1996 2000 2004 2008 2012
En milliards d'euros Avantages de taux
Avantages fiscaux
Subventions d'investissement
Subventions d'exploitation
Prestations sociales
Source : CSL2013
A1.3 Part des aides au logement dans le PIB
0,0
0,5
1,0
1,5
2,0
2,5
1984 1988 1992 1996 2000 2004 2008 2012
En %
Total des aides / PIB
Aides aux producteurs / PIB
Aides aux consommateurs / PIB
Source : CSL2013
A1.4 Montants des aides au logement selon le bénéficiaire
11,8 10,4 8,9 10,6 11,7
20,6 19,3
5,1 7,7 11,3
14,917,2
20,7 21,4
0
10
20
30
40
1985 1990 1995 2000 2005 2010 2013
Consommateurs
ProducteursEn milliards d'euros
Source : CSL2013
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A2 - LES AIDES AUX CONSOMMATEURS
Les aides aux consommateurs de service de logement visent à
couvrir une partie des dépenses courantes associées au service de
logement des occupants. Elles représentent en 2013
21,4 milliards d’euros.
Les aides aux consommateurs sont surtout des
prestations sociales liées au logement Ces aides comprennent principalement des prestations sociales
et en premier lieu les trois aides personnelles au
logement (encadré) : l’allocation de logement familiale (ALF),
l’aide personnalisée au logement (APL), et l’allocation de
logement sociale (ALS) représentent un montant total de
17,4 milliards d’euros en 2013, soit 81,1 % du total ; 44,7 % sont
distribuées au titre de l’APL, 25,1 % au titre de l’ALF et 30,2 % au
titre de l'ALS (A2.3).
L’aide sociale à l’hébergement (ASH), versée aux résidents de
certains locaux d’hébergement collectif (personnes âgées,
personnes handicapées) participe également à réduire le reste à
charge des consommateurs de service de logement. La part
couvrant les dépenses de logement des bénéficiaires de l’ASH est
estimée à 2,2 milliards d’euros en 2013. D’autres prestations
comme l’allocation de logement temporaire (ALT), les aides des
fonds de solidarité logement (FSL), ou les subventions d’Action
logement aux personnes physiques complètent les prestations
sociales, pour un montant de 319 millions d’euros.
Les consommateurs de service de logement bénéficient
également d’avantages fiscaux liés à leurs dépenses courantes
associées au service de logement. Seul le taux de TVA réduit à
7,0 % pour les petits travaux (taux passé à 10,0 % en 2014) est
aujourd’hui en vigueur et représente, en 2013, un montant de
1,5 milliard d’euros(1).
Forte progression des aides personnelles L’ensemble des aides aux consommateurs est en progression de
3,6 % par rapport à 2012 (A2.1) surtout porté par la hausse des
aides personnelles au logement (+ 3,8 %) qui atteignent
19,9 milliards d’euros en 2013. L’évolution du montant distribué
au titre de l’APL est nettement plus dynamique que celle de
l’ALS : + 4,8 % pour l’APL contre + 3,5 % pour l’ALS et + 3,0 %
pour l’ALF.
Cette forte augmentation s’explique par une meilleure
revalorisation des barèmes et une augmentation du nombre de
chômeurs.
6,3 millions de ménages bénéficient des aides personnelles au
logement(2) en 2013, soit un ménage sur cinq occupant un
logement ordinaire. Parmi les locataires, la part s’élève à plus de
deux sur cinq (44,4 % des locataires), contre un sur dix pour les
propriétaires accédants (10,1 % – A2.2 et A2.4).
Approche par contributeurs
Les régimes sociaux sont les contributeurs (fiche A7)
majoritaires de ces aides : ils représentent 45,0 % du montant
versé en 2013, notamment au titre de l’ALF et d’une part de l’APL
(représentant l’équivalent de l’ALF) mais également par le
financement de certains locaux d’hébergement collectif
(personnes handicapées). L’État participe à hauteur de 31,4 % à
travers les taxes affectées et sa dotation au Fonds national d’aide
au logement (Fnal, fiche A10) ainsi que par le financement de
certains types de locaux d’hébergement collectif (personnes en
difficulté sociale). Les cotisations employeurs au titre de l’ALS et,
en 2013, la contribution exceptionnelle d’Action logement au Fnal
de 400 millions d’euros, représentent 15,5 % de ces aides. Enfin,
les collectivités territoriales contribuent via l’Aide sociale à
l’hébergement pour les personnes âgées et/ou dépendantes en
établissement.
(1) Seul est retracé ici le montant lié aux petits travaux payés par les occupants ;
ceux payés par les bailleurs et l’avantage de taux pour gros travaux ne font pas
partie des aides aux consommateurs. (2) Les moyennes annuelles sont calculées à partir des données trimestrielles
recalées sur des données Etat/Cnaf. Elles diffèrent des effectifs généralement
publiés par la Cnaf, qui correspondent aux allocataires au 31 décembre de
l’année.
Les aides personnelles au logement Les aides personnelles au logement sont versées sous conditions de ressources aux ménages modestes qui s’acquittent d’une dépense de logement. L’ALF,
l’APL et l’ALS ne sont pas cumulables : l’ordre de priorité est le suivant : APL, ALF, ALS. l’APL est versée aux occupants du parc conventionné en location ou
foyer, ou qui ont signé un prêt conventionné pour l’acquisition de leur résidence principale, l’ALF aux familles ne pouvant bénéficier de l’APL et l’ALS aux
autres ménages n’entrant pas dans les deux premières catégories. L’ALF, l’APL et l’ALS ne sont pas cumulables : l’ordre de priorité est le suivant : APL, ALF,
ALS. L’APL est versée aux occupants du parc conventionné, l’ALF aux familles et l’ALS aux autres ménages n’entrant pas dans les deux premières catégories.
La proportion de ménages allocataires, stable autour de 19 % de 1984 à 1990, augmente fortement au début des années 1990, période du « bouclage »
des aides personnelles, par l’extension de l’ALS à de nouvelles catégories de bénéficiaires et le conventionnement du parc HLM. Les bénéficiaires sont ainsi
passés de 4,2 millions à 5,5 millions en quatre ans. La réforme de 2001 et 2002 a unifié les barèmes de l’AL et de l’APL en secteur locatif. Le barème de l’AL
est mis au niveau de celui de l’APL et le nouveau barème est amélioré pour les plus bas revenus. Cette réforme a augmenté l’aide moyenne, mais n’a pas
augmenté le nombre de bénéficiaires. À compter de 2008, les paramètres représentatifs de la dépense de logement des barèmes des aides personnelles
sont indexés sur l’IRL.
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A2.1 Aides aux consommateurs
2010/2010/2010/2010/
2009200920092009
2011/2011/2011/2011/
2010201020102010
2012/2012/2012/2012/
2011201120112011
2013/2013/2013/2013/
2012201220122012
Prestations d'aide au logementPrestations d'aide au logementPrestations d'aide au logementPrestations d'aide au logement 0,50,50,50,5 2,52,52,52,5 2,72,72,72,7 3,83,83,83,8 19 942 19 942 19 942 19 942 93,093,093,093,0
Allocation personnalisée au logement (APL) 2,2 4,0 3,8 4,8 7 764 36,2
Allocation de logement à caractère social (ALS) 1,7 1,9 1,5 3,5 5 255 24,5
Allocation de logement familiale (ALF) 2,1 1,4 0,7 3,0 4 365 20,4
Aide sociale à l'hébergement (ASH) 2,7 3,6 6,5 2,6 2 239 10,4
Autres prestations sociales* -44,1 -13,2 -2,7 5,7 319 1,5
Avantages fiscauxAvantages fiscauxAvantages fiscauxAvantages fiscaux 1,31,31,31,3 12,112,112,112,1 -12,7-12,7-12,7-12,7 0,80,80,80,8 1 492 1 492 1 492 1 492 7,07,07,07,0
dont taux de TVA réduit pour travaux 1,3 12,1 -12,7 0,8 1 492 7,0
Ensemble des aides aux consommateursEnsemble des aides aux consommateursEnsemble des aides aux consommateursEnsemble des aides aux consommateurs 0,50,50,50,5 3,23,23,23,2 1,41,41,41,4 3,63,63,63,6 21 434 21 434 21 434 21 434 100,0100,0100,0100,0
Structure 2013 Structure 2013 Structure 2013 Structure 2013
(en %)(en %)(en %)(en %)
Montant 2013 Montant 2013 Montant 2013 Montant 2013
(millions (millions (millions (millions
d'euros)d'euros)d'euros)d'euros)
Évolutions en %Évolutions en %Évolutions en %Évolutions en %
Source : CSL2013 * Primes de déménagement, fonds de solidarité logement, aide au logement temporaire, aides des régimes sociaux , prime à la cuve et
subventions d’Action logement aux ménages
A2.2 Montants des prestations sociales selon la filière
1,6 0,9
4,7 7,2
5,4
8,72,0
3,1
0
5
10
15
20
25
2000 2013
Locaux
d'hébergement
collectif
Locataires du
secteur libre
Locataires du
secteur social
Propriétaires
occupants
En milliards d'euros
Source : CSL2013
A2.3 Montants total perçu selon le type d’aide
APL
ALS
ALF
Autres PS *
Avantages
fiscaux
0
5
10
15
20
1984 1988 1992 1996 2000 2004 2008 2012
En milliards d'euros
Source : CSL2013 d’après Cnaf et DGALN * Rupture de série ASH
A2.4 Part des bénéficiaires des allocations logement *
0
10
20
30
40
50
1984 1988 1992 1996 2000 2004 2008 2012
En %
Locataires
Propriétaires occupants
Ensemble des
ménages
Source : CSL2013 d’après Cnaf et DGALN
* ALF, APL et ALS, hors locaux d’hébergement collectif
A2.5 Nombre de bénéficiaires et montant mensuel moyen
des aides personnelles au logement en 2013*
Nombre de Nombre de Nombre de Nombre de
bénéficiairesbénéficiairesbénéficiairesbénéficiaires
(en milliers)(en milliers)(en milliers)(en milliers)
Montant mensuel Montant mensuel Montant mensuel Montant mensuel
moyen moyen moyen moyen
(en euros)(en euros)(en euros)(en euros)
APLAPLAPLAPL 2 446 2 446 2 446 2 446 243243243243
Propriétaires occupants 140 172
Locataires 2 305 247
ALSALSALSALS 2 019 2 019 2 019 2 019 208208208208
Propriétaires occupants 66 123
Locataires 1 953 211
ALFALFALFALF 1 293 1 293 1 293 1 293 281281281281
Propriétaires occupants 285 154
Locataires 1 008 317
Source : CSL2013 d’après Cnaf et DGALN
* ALF, APL et ALS, hors locaux d’hébergement collectif
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A3 - LES SUBVENTIONS D’EXPLOITATION ET D’INVESTISSEMENT
Deux types de subventions sont versés aux producteurs : les
subventions d’exploitation et les subventions d’investissement. En
2013, les subventions d’exploitation sont devenues très
marginales (encadré) et concernent exclusivement les locaux
d’hébergement collectif.
Les subventions d’investissement s’élèvent, quant à elles, à
3 411 millions d’euros (A3.1 et A3.3). On y retrouve en premier
lieu les subventions versées aux bailleurs sociaux, qui bénéficient
aux filières des HLM, des autres bailleurs sociaux mais également
des locaux d’hébergement collectif (A3.2). Les plans de
financement des logements sociaux associent à des subventions
des avantages fiscaux (fiche A5) et des prêts sur la ressource du
livret A à des conditions adaptées à ce type d’investissement
(fiche A4). Les subventions d’investissement elles-mêmes sont
versées par l’État, les collectivités territoriales, l’Anru ou Action
logement (A3.5) et concernent majoritairement de
l’investissement dans le neuf (A3.4). D’autres subventions,
versées par l’Anru (fiche A8) ou l’Anah (fiche A9), bénéficient
aussi aux propriétaires occupants ou aux bailleurs privés. Les
subventions de l’Anah sont exclusivement destinées aux
logements anciens.
Au total, en 2013, les bailleurs sociaux reçoivent 2 786 millions
d’euros de subventions d’investissement (81,7 % du total A3.2).
Le montant des subventions d’investissement repart
à la hausse en 2013
En 2013, après deux années de repli suite au niveau
historiquement élevé atteint en 2010, le montant des
subventions d’investissement repart à la hausse (+ 1,7 %).
Cela marque avant tout la poursuite de l’effort de construction
neuve des bailleurs sociaux, qui avait imprimé la forte hausse des
subventions d’investissement entre 2004 et 2010, à la fois dans
le cadre du plan de cohésion sociale, du plan de relance en 2008
et 2009 et, de façon concomitante, de la montée en charge de
l’Anru pour la mise en œuvre du programme national de
rénovation urbaine. Les subventions d’investissement aux
bailleurs sociaux (y compris locaux d’hébergement collectif)
progressent de 0,8 % en 2013. Cette hausse s’explique quasi
exclusivement par le doublement de la contribution d’Action
logement aux organismes constructeurs, qui passe de
114 millions en 2012 à 236 millions en 2013 (bailleurs sociaux
uniquement). Les subventions des autres contributeurs (État,
collectivités territoriales et Anru) sont plutôt orientées à la baisse.
Dans le même temps, les subventions d’investissement versées
par l’Anah (fiche A9) diminuent. Pour autant, la montée en
charge du Fonds d’aide à la rénovation thermique (Fart), délégué
par l’État à hauteur de 500 millions d’euros pour verser l’aide de
solidarité écologique (ASE), contribue également à la hausse des
subventions d’investissement. En 2013, le Fart verse 108 millions
d’euros (contre 31 millions en 2012). Par ailleurs, le fonds de
soutien à la rénovation énergétique de l’habitat, mis en place en
2013 pour aider les propriétaires occupants à effectuer des
travaux de rénovation thermique, a permis le versement de
2,1 millions d’euros sous forme d’une prime de 1 350 euros par
dossier.
Approche par contributeurs La modification de la répartition par contributeurs des
subventions d’investissement s’explique par le changement des
modes d’intervention de l’État et la participation en hausse des
collectivités locales et de la part d’Action logement. En 1984, les
collectivités locales apportaient 12,8 % des subventions
d’investissement et Action logement 20,6 % (A3.5), l’État en
prenant alors à sa charge les deux tiers. Près de 30 ans après, la
contribution de l’État a pris pour partie la forme d’avantages
fiscaux (TVA à taux réduit, notamment pour les HLM) et les
subventions directes de l’État représentent 33,4 % des
subventions d’investissement (1 138 millions en 2013). Cette part
est néanmoins en forte croissance en 2013 suite à la montée en
puissance du Fart puisqu’elle n’était que de 25,2 % en 2012
(846 millions d’euros).
À l’inverse, les collectivités territoriales contribuent désormais à
hauteur de 41,3 % (1 409 millions d’euros en 2013). La
contribution à ces subventions d’Action logement, qui avait
atteint le tiers sur la période 2006-2010 et jusqu’à 44,0 % en
2009 (1 831 millions distribués, y compris à l’Association foncière
logement – fiche A11) est en forte baisse depuis 2011, dans le
cadre de la nouvelle convention triennale qui réoriente les
ressources d’Action logement et favorise l’émission de prêts ; sa
contribution aux subventions d’investissement s’établit à 25,1 %
Les subventions d’exploitation
Les subventions d’exploitation représentaient un montant important en 1984. Elles se composaient essentiellement des bonifications d’intérêt versées aux
établissements financiers pour les prêts aux HLM et les prêts du Crédit foncier de France (CFF) accordés avant 1978, les bonifications d’intérêt des prêts
locatifs aidés (jusqu’en 1986) et des PAP (prêts à l’accession à la propriété jusqu’en 1988). Ces bonifications étaient versées sur toute la durée des prêts et se
traduisaient par une réduction du taux de ces prêts. Leur poids s’est amenuisé progressivement et est devenu très faible à présent.
D’autres subventions d’exploitation concernent directement les locaux d’hébergement collectif, acteurs spécifiques du CSL. Celles-ci étaient auparavant
retracées dans le CSL aux tableaux 21-22, en ressources des producteurs de cette filière particulière, mais n’étaient pas reprises, avant le CSL2012, dans les
tableaux de la partie A, récapitulative des différents types d’aides.
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A3.1 Les subventions d’investissement
2010/ 2010/ 2010/ 2010/
2009200920092009
2011/ 2011/ 2011/ 2011/
2010201020102010
2012/ 2012/ 2012/ 2012/
2011201120112011
2013/ 2013/ 2013/ 2013/
2012201220122012
Anru 23,5 -6,7 -3,5 -1,7 681 20,0
Anah -6,3 -5,4 -24,4 -8,7 304 8,9
Fonds d’aide à la rénovation thermique n.s. n.s. 108 3,2
Subventions liées aux prêts locatifs sociaux (État) 16,3 -9,9 -2,8 -6,1 634 18,6
Subventions liées aux prêts locatifs sociaux (Coll. territ.) 16,7 -4,8 3,0 -4,7 1 409 41,3
Subventions Action logement -21,8 -57,5 -62,0 106,4 257 7,5
Autres subventions -13,7 -60,3 33,5 0,0 18 0,5
Ensemble des subventions d'investissementEnsemble des subventions d'investissementEnsemble des subventions d'investissementEnsemble des subventions d'investissement 5,35,35,35,3 -15,7-15,7-15,7-15,7 -7,9-7,9-7,9-7,9 1,71,71,71,7 3 4113 4113 4113 411 100,0100,0100,0100,0
Structure 2013Structure 2013Structure 2013Structure 2013
(en %)(en %)(en %)(en %)
Évolutions (en %)Évolutions (en %)Évolutions (en %)Évolutions (en %) Montant 2013Montant 2013Montant 2013Montant 2013
(en millions (en millions (en millions (en millions
d'euros)d'euros)d'euros)d'euros)
Source : CSL2013
A3.2 Montants des subventions d’investissement selon la
filière bénéficiaire
127 150
881
2 786
308
334132
57
0
500
1 000
1 500
2 000
2 500
3 000
3 500
4 000
2000 2013
Résidences
secondaires et
logements
vacantsLocaux
d'hébergement
collectif
Locataires du
secteur libre
Locataires du
secteur social
En millions d'euros
Source : CSL2013
A3.3 Montants des différentes subventions
d’investissement
0,0
0,5
1,0
1,5
2,0
2,5
3,0
3,5
4,0
4,5
1984 1988 1992 1996 2000 2004 2008 2012
En milliards
d'euros
Autres
Anru
Fart
Anah
Logement locatif social
Source : CSL2013
A3.4 Montants des subventions d’investissement selon
l’objet
0,0
0,5
1,0
1,5
2,0
2,5
3,0
3,5
1984 1988 1992 1996 2000 2004 2008 2012
En milliards
d'euros NeufAncienTravaux
Source : CSL2013
A3.5 Montants des subventions d’investissement selon le
contributeur
0
500
1 000
1 500
2 000
2 500
3 000
3 500
4 000
4 500
5 000
1984 1989 1994 1999 2004 2009
AutresEmployeursCollectivités territorialesTaxes affectéesÉtat
En millions d'euros
Source : CSL2013
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A4 - LES AVANTAGES DE TAUX
Après plusieurs années de progression, le montant des
avantages de taux chute pour la 2ème année consécutive, passant
de 3,5 milliards d’euros à 2,7 milliards d’euros (A4.1 et A4.2). Cela
s’explique par la baisse des taux de marché, mais aussi par le
recul du nombre de bénéficiaires des prêts à taux zéro. Ainsi, tous
les types de crédits considérés sont concernés par cette baisse des
avantages de taux (hors prêts Épargne logement - PEL).
Les avantages de taux aux ménages Les avantages de taux consentis aux ménages représentent, en
2013, 897 millions d’euros, soit un tiers de l’ensemble. La
majeure partie de ces aides sont liées au dispositif de Prêt à taux
zéro (PTZ, 631 millions d’euros d’avantages en 2013) auxquels
s’ajoutent l’éco-PTZ (117 millions d’euros d’avantages en 2013) et
les prêts versés par Action logement (129 millions d’euros
d’avantages en 2013). Les autres prêts considérés ne
représentent qu’un avantage de taux faible ou nul pour les
ménages (PEL, Prêts conventionnés…).
La chute des avantages de taux aux ménages est fortement liée
à la forte diminution du montant des PTZ versés, désormais
amplement réservés à la construction neuve mais également à la
réinstauration de conditions de ressources dans l’accès au
dispositif : le nombre de PTZ mis en force en 2012 recule de
127 900 à 60 300 prêts en 2013 (- 52,9 %) tandis que les mises
en force pour l’éco-PTZ diminuent de 5,0 % pour s’établir à
32 400 prêts (fiche A12). Ces diminutions de mises en force
impactent le montant de prêts versés : - 37,8 % pour le PTZ, à 2,2
milliards d’euros en 2013 et – 3,9 % pour l’Eco-PTZ, à 565 millions
d’euros en 2013. En revanche, en raison du recentrage sur le
neuf, le montant moyen des prêts est en augmentation pour le
dispositif PTZ (36 800 en 2013 contre 28 000 euros en 2012). De
ce fait, la subvention moyenne, qui représente l’avantage de taux
liée aux prêts augmente également (10 500 euros après 7 500 en
2012).
En ce qui concerne les prêts Action logement aux ménages, si le
montant des prêts versés est en hausse (+ 12,7 % entre 2012 et
2013 pour atteindre près de 750 millions d’euros en 2013), la
diminution de l’avantage de taux est due à la diminution du taux
de marché (taux calculé sur la base du taux d’usure des crédits
aux particuliers).
Les avantages de taux aux bailleurs sociaux Les avantages de taux aux bailleurs sociaux sont également en
forte diminution : ils représentent une aide de 1,8 milliards
d’euros en 2013 (2,3 milliards en 2012), soit une baisse de
18,3 % (A4.4). Comme pour les ménages, la baisse est avant tout
liée à celle des montants de prêts accordés : - 4,9 %, soit
12,8 milliards de crédits versés en 2013. Notamment, les prêts à
l’acquisition et à l’amélioration diminuent de 15,1 % pour
atteindre 2,4 milliards de prêts versés (A4.5).
La diminution des avantages de taux provient de la baisse du
taux de référence permettant le calcul de l’avantage de taux
(encadré). Celui-ci recule de 2,83 % en moyenne en 2012 pour
s’établir à 2,42 % en 2013, soit un taux pouvant être supérieur
aux taux 2013 de certains prêts au logement social, indexés sur le
livret A, dont le taux est passé successivement de 2,25 % à
1,75 % au 1er février et à 1,25 % au 1er août 2013. De ce fait,
l’avantage de taux calculé en 2013 se réduit fortement : dans la
mesure où le taux des prêts au logement social est variable,
indexé sur le livret A, et que le taux du livret A de long terme est
estimé à 2,75 %, l’avantage de taux dont bénéficieront
effectivement les organismes sur la durée de vie du prêt sera
toutefois sans doute plus élevé que celui calculé en 2013.
Calcul des avantages de taux
Les avantages de tauxLes avantages de tauxLes avantages de tauxLes avantages de taux concernent les prêts dont le taux est inférieur à celui du marché. Le principe de mesure de ces avantages consiste à évaluer le
montant du prêt qui aurait été obtenu au taux du marché avec un échéancier de paiement (intérêt + remboursement) identique à celui de l’emprunt à taux
préférentiel considéré puis à effectuer la différence entre ce montant et celui effectivement accordé. Ce calcul ne tient pas compte, dans le cas des prêts à
taux révisables, des changements de taux qui peuvent intervenir pendant la durée du remboursement. Pour évaluer ces avantages de taux et les
transformer en équivalents-subventions, on utilise des taux de référence : le taux moyen des obligations du secteur public pour les emprunts des personnes
morales (pour l'essentiel les organismes HLM) et le taux des emprunts libres pour les prêts aux ménages.
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A4.1 Montants des avantages de taux
2010/ 2010/ 2010/ 2010/
2009200920092009
2011/ 2011/ 2011/ 2011/
2010201020102010
2012/ 2012/ 2012/ 2012/
2011201120112011
2013/ 2013/ 2013/ 2013/
2012201220122012
Prêts aux bailleurs sociauxPrêts aux bailleurs sociauxPrêts aux bailleurs sociauxPrêts aux bailleurs sociaux 74,174,174,174,1 -0,5-0,5-0,5-0,5 -26,4-26,4-26,4-26,4 -21,2-21,2-21,2-21,2 1 7991 7991 7991 799 66,766,766,766,7
Prêts au logement locatif social 83,0 -1,7 -25,3 -18,3 1 721 63,8
Prêts à l'amélioration et Eco-prêt logement social 243,6 -12,0 -11,3 -83,5 12 0,4
Prêts Action logement au locatif social -19,4 27,8 -48,6 -36,8 66 2,5
Prêts aux ménagesPrêts aux ménagesPrêts aux ménagesPrêts aux ménages 19,719,719,719,7 4,04,04,04,0 -51,3-51,3-51,3-51,3 -28,7-28,7-28,7-28,7 897897897897 33,333,333,333,3
PTZ 31,6 3,7 -57,1 -34,6 631 23,4
Eco-PTZ 33,7 -23,4 -22,5 -15,2 117 4,3
Prêts Action logement -69,4 162,0 0,2 -7,3 129 4,8
Autres prêts conventionnés -62,3 -46,2 11,3 14,3 21 0,8
Ensemble des avantages de tauxEnsemble des avantages de tauxEnsemble des avantages de tauxEnsemble des avantages de taux 44,944,944,944,9 1,51,51,51,5 -37,7-37,7-37,7-37,7 -23,9-23,9-23,9-23,9 2 6962 6962 6962 696 100,0100,0100,0100,0
Structure 2013Structure 2013Structure 2013Structure 2013
(en %)(en %)(en %)(en %)
Évolutions (en %)Évolutions (en %)Évolutions (en %)Évolutions (en %) Montant 2013Montant 2013Montant 2013Montant 2013
(en millions (en millions (en millions (en millions
d'euros)d'euros)d'euros)d'euros)
Source : CSL2013
A4.2 Montants des différents avantages de taux
0,0
1,0
2,0
3,0
4,0
5,0
6,0
1984
1988
1992
1996
2000
2004
2008
2012
En milliards d'eurosAutres prêtsPrêts Action logementPrêts aidés aux ménagesPrêts aidés locatif social
Source : CSL2013
A4.3 Montants des avantages de taux selon les filières
0,0
0,5
1,0
1,5
2,0
2,5
3,0
3,5
1984 1988 1992 1996 2000 2004 2008 2012
En milliards d'euros MénagesBailleurs sociaux
Source : CSL2013
A4.4 Montants des avantages de taux selon l’objet du prêt
pour les bailleurs sociaux (hors Action Logement)
0,0
0,5
1,0
1,5
2,0
2,5
3,0
3,5
1984
1988
1992
1996
2000
2004
2008
2012
En milliards d'euros
TOTAL travauxTOTAL ancienTOTAL neuf
Source : CSL2013
A4.5 Montants des prêts versés donnant lieu à des
avantages de taux pour les bailleurs sociaux
Évolutions Évolutions Évolutions Évolutions 2013201320132013/ / / /
2012 (en %)2012 (en %)2012 (en %)2012 (en %)
Montant 2013 (en Montant 2013 (en Montant 2013 (en Montant 2013 (en
millions d'euros)millions d'euros)millions d'euros)millions d'euros)
Prêts Action logement -11,4 629
Plus, PLAI, PLS neuf -1,5 9 810
Plus, PLAI, PLS ancien -27,7 546
Plus, PLAI, PLS travaux -10,4 1 819
EnsembleEnsembleEnsembleEnsemble -4,9-4,9-4,9-4,9 12 80412 80412 80412 804
Sources : Anpeec, CDC
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100 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
A5 – LES AVANTAGES FISCAUX AUX PRODUCTEURS
En 2013, les avantages fiscaux aux producteurs de service de
logement s’établissent à 13,0 milliards d’euros (A5.1). Leur
montant est en diminution de 3,6 % par rapport à 2012, soit
493 millions d’euros. Cette évolution est le reflet de deux
mouvements contraires : la forte baisse des avantages fiscaux
pour travaux (crédits ou exonérations d’impôts) et la hausse de
ceux liés à l’investissement locatif.
Les avantages fiscaux pour travaux en baisse D’une part, le montant de la dépense fiscale liée au taux réduit
de TVA pour travaux est très légèrement en baisse de 0,1 % en
2013 (après - 13,3 % entre 2011 et 2012). En effet, le taux réduit
appliqué est passé de 5,5 % à 7,0 % au 1er janvier 2012 en vertu
l’article 13 de la loi de finances rectificative pour 2011. Cette
modification limite mécaniquement l’avantage fiscal relatif à une
TVA à taux normal (19,6 %) et était majoritairement supportée en
2012.
D’autre part, la dépense liée au crédit d'impôt sur le revenu au
titre des dépenses effectivement supportées pour l’amélioration
de la qualité environnementale du logement, dit crédit d'impôt
développement durable (CIDD), connaît une forte baisse : son
montant passe de 1,1 milliard d’euros en 2012 à 673 millions en
2013.
Les avantages fiscaux à l’investissement en hausse À l’inverse, la montée en charge des mesures antérieures en
faveur de l’investissement locatif entraîne une hausse de la
dépense fiscale. Le montant lié aux différents dispositifs
« Scellier » sont ainsi en hausse de 45 %, pour atteindre près de
980 millions d’euros en 2013 ; il reflète les entrées dans le
dispositif en 2012. Dans le même temps, les exonérations de taxe
foncière sur les propriétés bâties sont en hausse de 6,2 %. À
l’inverse, le montant de la dépense fiscale liée à l’application
d’une TVA à taux réduit pour les opérations d'investissement
locatif social diminue en 2013 (- 3,4 % après + 4,2 % en 2012 –
A5.2). De fait, le relèvement du taux de réduit appliqué, de 5,5 %
à 7,0 % au 1er janvier 2012, qui réduisait mécaniquement
l’avantage fiscal calculé n’a eu qu’un faible impact sur cet
avantage. En effet, le taux à 7,0 % ne s’appliquait qu’aux
opérations agréées à partir du 1er janvier 2012 et les
modifications législatives ultérieures ont réduit le taux à 5,5 %
pour les opérations achevées après le 31 décembre 2013.
Les avantages fiscaux Crédits d’impôt relatifs aux dépenses d’équipement ou « crédit d’impôt développement durable » et « crédit d’impôt accessibilité » de 2005 à 2014 : le
crédit d’impôt, instauré en septembre 1999 pour certains gros équipements, a vu son champ d’application élargi par les lois de finances pour 2001, 2002 et
2004, à des équipements de production d’énergie utilisant une source d’énergie renouvelable, aux matériaux d’isolation thermique et d’appareils de
régulation de chauffage et enfin aux équipements spécialement conçus pour les personnes âgées ou handicapées. La loi de finances pour 2005 remplace le
crédit d’impôt global pour dépenses de gros équipement par deux crédits d’impôts : l’un portant sur les dépenses d’équipement de l’habitation principale
recentrées sur le développement durable (crédit d’impôt développement durable - CIDD) ; l’autre porte sur les dépenses en faveur de l’aide aux personnes
(crédit d’impôt accessibilité). Alors que la loi de finances pour 2006 avait relevé le taux pour certains des équipements, celles de 2009 à 2012 ont modifié la
liste ou les caractéristiques des équipements et matériaux éligibles et modifié les taux de crédit d’impôt, les mesures de rabot successives ont affecté le
CIDD. Le dispositif est réformé le 1er septembre 2014 pour mettre en place le crédit d'impôt pour la transition énergétique, avec un taux unique de réduction
d’impôt de 30 % sans obligation de réaliser un bouquet de travaux.
Les mesures en faveur de l’investissement locatif comprennent les déductions forfaitaires de 35 % puis 25 % sur le revenu des propriétés urbaines neuves
affectées à usage d’habitation principale couplée à une réduction d’impôt pour construction ou acquisition de logements neufs destinés à la location
(dépenses engagées jusqu’au 31 décembre 1997 - dispositifs Méhaignerie puis Quilès-Méhaignerie), le régime de l'amortissement dit « Périssol »
(acquisitions réalisées jusqu'au 31 août 1999), la déduction dégressive sur les revenus des logements neufs (amortissement accéléré - régime « Robien »
notamment), régime d’imposition simplifié « micro foncier » (jusqu’en 2003) , la réduction d’impôt dite « Scellier », la réduction d’impôt sur le revenu au
titre des investissements locatifs réalisés dans le secteur de la location meublée non professionnelle, la réduction d’impôt au titre des investissements
réalisés dans les DOM par des personnes physiques et au titre des investissements locatifs dans les résidences de tourisme en zone rurale.
Le régime de taux de TVA réduite pour les opérations d’investissement locatif social est entré en vigueur fin 1996 (en métropole) et se substitue aux
anciens dispositifs d’aides à l’investissement pour le secteur locatif social (suppression la subvention pour les PLA ordinaires et diminution pour les PLA « très
sociaux »). Limitée initialement à la construction neuve pour compte propre, elle a été étendue, dès le 1er janvier 1998 aux travaux de réhabilitation financé
par la Palulos ou sur fonds propres. Le taux réduit de 5,5 % est passé à 7,0 % au 1er janvier 2012.
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A5.1 Montants des avantages fiscaux aux producteurs
2010/ 20092010/ 20092010/ 20092010/ 2009 2011/ 20102011/ 20102011/ 20102011/ 2010 2012/ 20112012/ 20112012/ 20112012/ 2011 2013/ 20122013/ 20122013/ 20122013/ 2012
Taux réduit de TVA pour travaux 0,8 11,3 -13,3 -0,1 3 558 27,3
Exonération de TFPB -1,8 1,3 2,0 6,2 1 067 8,2
Mesures en faveur de l'investissement locatif 30,0 25,1 10,6 17,3 1 740 13,4
TVA réduite pour les opérations d'investissement
locatif social18,2 -0,9 4,2 -3,4 2 229 17,1
Autres avantages fiscaux* 6,1 1,6 -15,9 -14,2 4 433 34,0
dont crédit d'impôt développement durable -5,0 -23,2 -44,9 -39,4 673 5,2
Total des avantages fiscaux aux producteursTotal des avantages fiscaux aux producteursTotal des avantages fiscaux aux producteursTotal des avantages fiscaux aux producteurs 7,37,37,37,3 5,55,55,55,5 -8,5-8,5-8,5-8,5 -3,6-3,6-3,6-3,6 13 02713 02713 02713 027 100,0100,0100,0100,0
Évolutions Évolutions Évolutions Évolutions ((((en en en en %)%)%)%) Structure 2013Structure 2013Structure 2013Structure 2013
(en %)(en %)(en %)(en %)
Montant 2013Montant 2013Montant 2013Montant 2013
(en millions (en millions (en millions (en millions
* Exonération de l’impôt sur les sociétés en faveur des HLM, crédit d'impôt sur le revenu au titre des intérêts d'emprunt pour l'acquisition/construction de
l'habitation principale, imposition à taux réduit des acquisitions de terrain à bâtir et CIDD
Source : CSL2013
A5.2 Montants de l’avantage fiscal lié au taux réduit de TVA pour l’investissement locatif social
2010/ 20092010/ 20092010/ 20092010/ 2009 2011/ 20102011/ 20102011/ 20102011/ 2010 2012/ 20112012/ 20112012/ 20112012/ 2011 2013/ 20122013/ 20122013/ 20122013/ 2012
PLUS 15,0 -5,6 6,2 -1,8 814 36,5
PLAI 53,6 13,4 18,4 12,6 342 15,4
PLS 3,4 8,1 -3,1 -12,0 383 17,2
PLUS/PLAI Anru 10,8 -8,5 2,2 -17,3 192 8,6
Ensemble neufEnsemble neufEnsemble neufEnsemble neuf 15,015,015,015,0 -0,2-0,2-0,2-0,2 5,15,15,15,1 -3,8-3,8-3,8-3,8 1 732 1 732 1 732 1 732 77,777,777,777,7
PLUS 8,5 -4,5 -22,6 -29,1 34 1,5
PLAI 12,1 -6,6 -5,5 4,4 16 0,7
PLS 64,3 25,6 -20,6 -44,9 33 1,5
PLUS/PLAI Anru 10,8 -8,5 2,3 -18,5 5 0,2
Palulos fiscale 104,4 -23,7 43,0 12,1 195 8,8
TVA réduite sur fonds propres 3,5 4,4 -7,0 5,6 215 9,6
Ensemble travauxEnsemble travauxEnsemble travauxEnsemble travaux 30,130,130,130,1 -3,4-3,4-3,4-3,4 1,41,41,41,4 -1,8-1,8-1,8-1,8 497 497 497 497 22,322,322,322,3
Total des mesures des avantages fiscaux liés au Total des mesures des avantages fiscaux liés au Total des mesures des avantages fiscaux liés au Total des mesures des avantages fiscaux liés au
taux réduit de TVA pour le logement locatif socialtaux réduit de TVA pour le logement locatif socialtaux réduit de TVA pour le logement locatif socialtaux réduit de TVA pour le logement locatif social18,218,218,218,2 -0,9-0,9-0,9-0,9 4,24,24,24,2 -3,4-3,4-3,4-3,4 2 229 2 229 2 229 2 229 100,0100,0100,0100,0
Évolutions (en %)Évolutions (en %)Évolutions (en %)Évolutions (en %) Montant 2013Montant 2013Montant 2013Montant 2013
(en millions (en millions (en millions (en millions
Structure 2013Structure 2013Structure 2013Structure 2013
(en %)(en %)(en %)(en %)
Source : CSL2013
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102 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
A6 - LES AIDES AU LOGEMENT PAR FILIÈRES
Les aides au logement représentent en 2013 près de
40 milliards d’euros. Un cinquième de ces aides concerne les
propriétaires occupants, essentiellement dans le cadre de
l’accession, deux cinquièmes le secteur locatif social (bailleurs
HLM et autres bailleurs sociaux) et un peu moins du tiers le
secteur locatif libre. L’hébergement collectif concentre environ un
dixième de ces aides (A6.1).
Répartition par filières des aides La répartition des différentes filières inclut ici les aides aux
occupants : prestations sociales comme l’ALF, l’ALS et l’APL et
avantages fiscaux (TVA réduite pour travaux). Compte tenu du
poids dans le parc des différentes filières, les premières
bénéficient majoritairement au secteur locatif libre, les secondes
aux propriétaires occupants.
Ainsi, si l’on ne considère que les aides aux producteurs, la
répartition diffère : le secteur libre ne représente que 19 % des
aides aux producteurs, tandis que le poids des propriétaires
occupants, qui ne bénéficient que très marginalement des
prestations sociales liées au logement, est beaucoup plus
important (32 % des aides aux producteurs). Dans une moindre
mesure, le poids des bailleurs sociaux est aussi accru (45 % des
aides aux producteurs).
Ces aides aux producteurs ont connu une forte croissance à
partir de 2005. Elles bénéficient aux propriétaires occupants, avec
la mise en place du nouveau PTZ, la montée en puissance du
crédit d’impôt développement durable et à partir de 2008/2009,
le crédit d’impôt sur les intérêts d’emprunt de la résidence
principale. Elles bénéficient également au secteur locatif social, à
travers le plan de cohésion sociale, le plan de relance et le plan
national de rénovation urbaine (PNRU) qui visent à favoriser
l’effort d’investissement des bailleurs sociaux. Après un point haut
en 2011, les aides aux producteurs de service de logement
diminuent nettement. Si le rythme de l’investissement des
bailleurs sociaux ralentit légèrement, cette baisse s’explique
avant tout par la diminution des aides aux propriétaires
occupants : forte diminution du montant du crédit d’impôt
développement durable à partir de 2011 à travers des
diminutions de taux et des restrictions sur les équipements
éligibles, qui porte son montant de 2,6 milliards d’euros en 2010
à 673 millions d’euros en 2013. En outre, le montant des
avantages de taux liés au PTZ diminue fortement en 2013 en
raison des nouvelles conditions plus restrictives d’éligibilité (fiche
A12). Enfin, les propriétaires occupants sont particulièrement
touchés par la hausse du taux de TVA sur les travaux (5,5 %
jusqu’en 2011 et 7,0 % de 2012 à 2013), qui réduit
mécaniquement l’avantage fiscal.
Les aides au secteur social
Les aides au logement locatif social représentent 9 562 millions
d’euros en 2013 (y compris hébergement collectif). Elles sont,
pour la troisième année consécutive, en recul par rapport au point
haut de 2010 mais restent très au-delà du niveau de 2004
(3 832 millions d’euros). Ces aides concernent avant tout
l’investissement des bailleurs sociaux financés par des prêts
locatifs sociaux (Plus, PLAI, PLS, Palulos). Ces prêts sur la ressource
du livret A (essentiellement versés par la CDC) représentant un
avantage de taux, sont couplés à des avantages fiscaux (dispositif
de TVA – encadré – et exonération de TFPB sur la durée
d’amortissement), des subventions versées par l’État et, de plus
en plus, par les collectivités locales ainsi que des prêts à des taux
avantageux versés par Action logement. Ainsi, l’ensemble des
types d’aides connaissent, pour les bailleurs sociaux, une
évolution synchrone avec leur rythme d’investissement.
En outre, les organismes HLM sont exonérés d’impôt sur les
sociétés, ce qui réduit leurs charges courantes et améliore leur
bénéfice afin, notamment, d’accroître leurs fonds propres
permettant de financer l’investissement. Les locaux
d’hébergement collectif reçoivent également des subventions
d’exploitation pour un montant de 214 millions d’euros en 2013.
Concepts et méthodes
LeLeLeLe financement du logement financement du logement financement du logement financement du logement loclocloclocatifatifatifatif social social social social se fait à travers un circuit de financement rassemblant plusieurs types d’aides. Des prêts sont ainsi souscris
majoritairement auprès de la Caisse des Dépôts. Ils peuvent s’accompagner de prêts conclus auprès d’Action logement, qui contribue également au
financement du locatif social par des subventions versées aux bailleurs sociaux. Ces organismes peuvent également bénéficier, suivant le type de produit, de
subventions de la part de l’État et des collectivités territoriales. Les fonds propres des bailleurs sociaux complètent ces plans de financement. Par ailleurs,
certains avantages fiscaux sont accordés au titre du logement locatif social, comme le régime de TVA à taux réduit détaillé ci-dessous, mais aussi une
exonération de 25 ans de taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB). En échange de ces aides, les bailleurs s’engagent à appliquer des plafonds de loyers
à leurs locataires, locataires étant eux-mêmes sélectionnés sous conditions de ressources.
Le régime de TVA Le régime de TVA Le régime de TVA Le régime de TVA à à à à taux réduit taux réduit taux réduit taux réduit pour les opérations d’investissement locatif socialpour les opérations d’investissement locatif socialpour les opérations d’investissement locatif socialpour les opérations d’investissement locatif social, mis en place en 1997, est évalué par barème sur le montant
d’investissement réalisé : pour 2013, l’aide est mesurée comme l’écart entre :
- un taux de TVA à 7,0 % et un taux de TVA à 19,6 % pesant sur l’investissement agréé en 2012 ou en 2013 et dont la date de livraison se situe avant
le 31 décembre 2013.
- Un taux de TVA à 5,5 % et un taux de TVA à 19,6 % pour le reste de l’investissement.
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A6.1 Les aides au logement par filières (aides aux
consommateurs et aides aux producteurs)
Propriétaire
s occupants
20%
Parc locatif
social
40%
Par locatif
privé
31%
Locaux
d'hébergem
ent collectif
9%
Autres
logements
ordinaires
0%
Source : CSL2013
A6.2 Montants des aides aux producteurs de service de
logement par filières
0
5
10
15
20
25
30
1984 1989 1994 1999 2004 2009
Locaux d'hébergement collectifAutres logements ordinairesSecteur socialSecteur librePropriétaires occupants
milliards d'euros
Source : CSL2013
A6.3 Montants des aides aux producteurs de service de
logement dans le locatif social et l’hébergement collectif
1990199019901990 1995199519951995 2000200020002000 2005200520052005 2010201020102010 2013201320132013
Subventions d'exploitation 282 197 193 187 153 214
Subventions aux prêts LLS 992 1 317 782 802 2 178 1 950
Autres subventions d'investissement 227 224 156 596 1 569 968
TVA fiscale 0 0 756 884 2 147 2 152
Exonération d'IS 213 181 259 300 750 1 000
Exonération de TFPB 512 454 345 492 563 921
Autres avantages fiscaux investissement 50 105 299 364 591 595
Avantages de taux 1 334 1 188 703 555 3 024 1 762
Ensemble des aidesEnsemble des aidesEnsemble des aidesEnsemble des aides 3 6103 6103 6103 610 3 6663 6663 6663 666 3 4953 4953 4953 495 4 1804 1804 1804 180 10 97610 97610 97610 976 9 5629 5629 5629 562
Source : CSL2013
Champ : filières HLM, autres bailleurs sociaux et locaux d’hébergement
collectif
A6.4 Montants des aides au parc locatif social selon le
contributeur
Montant 2013 (en
millions d'euros)
Structure 2013
(en %)
État 4 787 50%
Taxes affectées 18 0%
Collectivités territoriales 2 147 22%
CGLLS 3 0%
Employeurs 909 10%
Énergéticiens 0 0%
Avantages de taux des prêts
sur ressource du Livret A1 699 18%
TotalTotalTotalTotal 9 5629 5629 5629 562 100%100%100%100%
Source : CSL2013
Champ : filières HLM, autres bailleurs sociaux et locaux d’hébergement
collectif
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A7 – LES AIDES AU LOGEMENT PAR CONTRIBUTEUR
En 2013 en France, les consommateurs et les producteurs de
service de logement reçoivent 40,8 milliards d’euros d’aides au
logement (fiches A1 à A6). De nombreux agents économiques
sont des contributeurs au financement de ces aides (encadré).
L’État, premier contributeur des aides
L’État est le principal contributeur à l‘aide au logement :
21,9 milliards d’euros, soit 53,8 % du montant total (A7.1 et
A7.2). Par leur forte participation aux aides personnelles au
logement, les régimes sociaux financent plus d’un cinquième des
aides au logement (22,0 %). Les collectivités locales et
territoriales contribuent à hauteur de 4,0 milliards d’euros
(9,8 %).
D’autres entités contribuent elles aussi aux aides au logement :
les employeurs à travers les cotisations versées au titre de l’ALS et
la participation des entreprises à l’effort de construction (Peec)
financent 4,2 milliards d’euros d’aides (10,2 %). Enfin, les
avantages de taux des prêts au logement locatif social, financés
sur la ressource du livret A et essentiellement distribués par la
Caisse des dépôts (CDC) représentent 1,7 milliard d’euros (4,2 %).
Des contributeurs assez spécifiques par type d’aides La structure par contributeurs dépend fortement du type d’aide
considéré (A7.2).
La quasi-totalité des avantages fiscaux (fiche A4) est financée
par l’État. Cette participation correspond d’ailleurs aux deux tiers
de la contribution totale de l’État pour les aides au logement.
Les avantages de taux (fiche A5) sont pour leur part
essentiellement financés sur la ressource du livret A, à travers les
prêts au logement locatif social, essentiellement distribués par la
CDC. L’État contribue pour les prêts aux ménages comme le PTZ et
l’éco-PTZ (fiche A12), dispositifs pour lesquels il rembourse les
intérêts non perçus aux organismes bancaires sous la forme de
crédits d’impôt. Dans une moindre mesure, Action logement
(fiche A11) participe à ces aides, tant à destination des ménages
pour l’accession et les travaux que pour le logement locatif social,
par des crédits auprès des organismes constructeurs.
Les régimes sociaux ne contribuent qu’aux prestations sociales
liées au logement (fiche A2) qui sont des aides aux
consommateurs. Sur ce type d’aides, ils représentent près de la
moitié du financement, le reste étant financé essentiellement par
l’État et par les cotisations sociales employeurs à travers les
ressources du Fnal (fiche A10).
Les subventions d’investissement (fiche A3) sont, quant à elles,
largement cofinancées : qu’il s’agisse des aides liées aux
logements sociaux ou des aides directement versées par l’Anru
ou l’Anah, les contributeurs sont multiples. Ils ont par ailleurs
largement évolué au cours du temps (voir graphique A3.5). La
part des collectivités territoriales a fortement augmenté tout
comme les aides financées par Action logement depuis 2004 au
détriment de la part de l’État, qui est passée des deux tiers en
1984 à moins du tiers en 2013.
Ainsi, sur longue période (A7.1), la part de l’État dans le
financement total des aides au logement est passée de 56,8 %
en 1984 à 53,8 % en 2013 tandis que la part des collectivités
territoriales est passée de 2,5 % à 9,7 % et celle des employeurs
de 5,6 % à 10,2 %.
Des contributeurs différents selon les filières Par filières, la décomposition des aides par contributeur laisse
également apparaître de fortes disparités. Alors que l’État finance
de façon très majoritaire les aides aux propriétaires occupants,
cette contribution est inférieure à 45 % pour les autres filières et
de 31 % dans le domaine des locaux d’hébergement collectif. Les
collectivités territoriales sont, à l’inverse, exclusivement présentes
sur le logement social et les locaux d’hébergement collectif. Les
régimes sociaux ainsi qu’Action logement participent de façon
relativement équivalente sur les différentes filières.
La notion de contributeur
La notion de contributeur vise à apporter une réponse à la question du financement des aides au logement. En effet, les aides au logement sont mesurées,
dans le CSL, au moment du versement aux bénéficiaires finaux. De ce fait, elles sont généralement mesurées dans les comptes des verseurs finaux et leur
montant n’intègre pas les frais liés à la distribution des aides (frais de dossiers des prêts, gestion administrative dans le cas des allocations logement…) qui
peuvent être importants. Pour autant, les verseurs finaux de ces aides peuvent être, dans certains cas, de simples intermédiaires opérationnels, agissant
pour le compte d’un financeur initial : c’est par exemple le cas des agences qui agissent pour le compte de l’État ou de collectivités locales et dont elles sont,
au moins en partie, dépendantes pour leurs ressources.
La notion de contributeur vise à permettre une ventilation des aides, telles qu’elles sont mesurées dans le CSL, en fonction d’un financeur initial. Elle
s’appuie sur la connaissance des verseurs des différentes aides recensées (fiches A1 à A5), mais également, lorsque les verseurs sont considérés comme des
intermédiaires, sur la connaissance des ressources des verseurs finaux, c’est-à-dire les transferts entre agents en amont du versement.
Ainsi, pour les aides versées par l’Anah et l’Anru, le CSL considère que ces agences ne sont pas des contributeurs. Les montants des aides que ces
opérateurs versent sur une année (et qui sont la mesure des aides dans le CSL) sont donc ventilées, par contributeur, en fonction des ressources annuelles de
ces établissements.
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A7.1 Montants des aides au logement par contributeur
0
5 000
10 000
15 000
20 000
25 000
30 000
35 000
40 000
45 000
50 000
1984 1989 1994 1999 2004 2009
Avantages de taux des prêts sur ressource du Livret AEnergéticiensEmployeursCGLLSRégimes sociauxCollectivités territorialesTaxes affectéesÉtat
En millions d'euros
Source : CSL2013
A7.2 Répartition des aides au logement par contributeur
selon le type de dispositif
0% 20% 40% 60% 80% 100%
Prestations
sociales
Subventions
d'investissement
Avantages
fiscaux
Avantages de
taux
ÉtatTaxes affectéesCollectivités territorialesRégimes sociauxCGLLSEmployeursEnergéticiensAvantages de taux des prêts sur ressource du Livret A
Source : CSL2013
A7.3 Répartition des aides au logement par contributeur
selon la filière bénéficiaire
0% 20% 40% 60% 80% 100%
Propriétaires occupants
Secteur libre
Secteur social
Locaux d'hébergement
ÉtatTaxes affectéesCollectivités territorialesRégimes sociauxCGLLSEmployeursEnergéticiensAvantages de taux des prêts sur ressource du Livret A
Source : CSL2013
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A8 – L’AGENCE NATIONALE POUR LA RÉNOVATION URBAINE (Anru)
L’Anru (encadré) dispose d’une capacité d’affectation de
12 milliards d’euros au titre de la mise en œuvre du PNRU (A8.1),
majoritairement financés par Action logement depuis le début du
programme. Il faut ajouter 350 millions d’euros financés par l’État
dans le cadre du plan de relance et d’autres ressources
marginales (reliquat du fonds pour le renouvellement urbain,
dotation qualité architecturale des projets, produits financiers…).
Sur ce montant cible à horizon 2018, 12,15 milliards sont des
dépenses d’intervention.
Réalisation du PNRU Hors quartiers complémentaires, pour lesquels l’affectation de
l’enveloppe prévisionnelle est de seulement 27 %, l’affectation
de ces ressources du PNRU dans le cadre des conventions
pluriannuelles (quartiers prioritaires et quartiers supplémentaires)
est quasi-totale (98,7 % fin 2013), dégageant peu de marges de
manœuvre pour des avenants (A8.1). Par ailleurs, les
engagements par opérations continuent de progresser : ils
s’établissent, fin 2013, à 10 419 millions d’euros, soit 85,8 % de
l’enveloppe PNRU globale, contre 78,4 % fin 2012. Les
paiements, qui s’étalent sur une plus longue durée compte tenu
de l’avancement des projets, progressent désormais au même
rythme que les engagements : ils s’établissent à 6 701 millions
d’euros fin 2013, soit 55,1 % de l’enveloppe du programme,
contre 46,8 % fin 2012.
Les aides au logement versées par l’Anru
Les aides versées par l’Anru s’établissent, en 2013, à
1 004 millions d’euros au titre du PNRU auxquels il faut ajouter
12 millions liés aux autres programmes (PNRQAD et collèges
dégradés), soit un léger recul par rapport au point haut de 2010
(1 175 millions) qui avait marqué la fin de la montée en charge
du PNRU mais également l’intégration du plan de relance (A8.3).
Les aides au logement versées par l’Anru représentent 64 % des
dépenses d’intervention cumulées dans le cadre du PNRU, soit
4 283 millions d’euros fin 2013. Elles vont permettre la
reconstitution de l’offre locative sociale avec plus de 139 000
logements construits et 145 000 logements démolis depuis la
création de l’Anru. Le rythme de paiement de ces aides suit la
même trajectoire que l’ensemble des dépenses d’intervention de
l’Anru dans le cadre du PNRU. En 2013, elles s’établissent
à 681 millions d’euros (67 % des aides PNRU) et se situent en
léger retrait par rapport au pic de 2010 (769 millions d’euros).
Depuis le pic de 2010 (546 millions d’euros), les aides versées
pour le logement neuf dans le cadre des opérations de démolition
et de construction sont à peu près stables et s’élèvent, en 2013, à
459 millions. Les autres aides au logement, qui incluent
notamment les opérations de réhabilitation, de résidentialisation
et de requalification, s’élèvent à 222 millions d’euros en 2013.
Elles n’ont pas connu de pic particulier et sont à peu près stables
depuis 2009.
L’Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru)
L’Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine (Anru) est un opérateur des politiques de l’État, établissement public à caractère industriel et commercial
(Epic) créée par la loi d’orientation et de programmation pour la ville et la rénovation urbaine (n° 2003-710 du 1er août 2003).
À sa création en 2003, l’Anru est chargée de la mise en œuvre du programme national de rénovation urbaine (PNRU)programme national de rénovation urbaine (PNRU)programme national de rénovation urbaine (PNRU)programme national de rénovation urbaine (PNRU), prévu par cette même loi. Elle
organise la transformation des quartiers fragiles et apporte un soutien financier aux collectivités locales, aux organismes privés et publics qui conduisent les
opérations en versant des aides destinées à améliorer l’offre locative sociale, les équipements publics et les aménagements urbains. Ces aides représentent,
en moyenne, 25 % des montants des investissements, le solde étant essentiellement financé par les bailleurs sociaux et, dans une moindre mesure, par les
collectivités territoriales. Sont éligibles à ces aides 751 zones urbaines sensibles et 264 zones assimilées, circonscrites par l’article 6 de la loi du 1er août 2003,
réparties (en 2006) selon trois priorités.
- Les zones de priorité 1 (215 zones) et 2 (453 zones) font l’objet de conventions pluriannuelles. Dans ce cadre, respectivement 186 et 192 conventions
ont été signées fin 2013, représentant la quasi-totalité des montants à affecter sur ces zones par l’Anru au titre du PNRU (A8.2). Ces conventions
représentent respectivement 18 732 et 10 322 opérations qui sont progressivement engagées. Les paiements s’étalent, quant à eux, sur une plus longue
durée, compte tenu de la durée des opérations.
- Les 342 zones de priorité 3 sont quant à elles traitées par des opérations ponctuelles pour lesquelles seules 20 conventions ont été signées représentant
303 opérations, soit environ le quart du montant du programme réservé à ces zones.
Depuis cette date, les missions de l’Anru ont été étendues par la loi de mobilisation pour le logement et la lutte contre l’exclusion (n° 2009-323) qui
instaure le programme national de requalification deprogramme national de requalification deprogramme national de requalification deprogramme national de requalification des quartiers anciens dégradés (PNRQAD)s quartiers anciens dégradés (PNRQAD)s quartiers anciens dégradés (PNRQAD)s quartiers anciens dégradés (PNRQAD), avec des objectifs de mixité sociale et d’équilibre entre
habitat et activités de service. Ce programme est partiellement confié à l’Anru, sur une enveloppe de 150 millions d’euros financée par Action logement. Par
ailleurs, l’Anru est également responsable de l’enveloppe de 19 millions d’euros pour les « collèges dégradéscollèges dégradéscollèges dégradéscollèges dégradés » pour le compte du SGCIV et, dans le cadre
du programme « Investissements d’avenir », du volet concernant les internats d’excellenceinternats d’excellenceinternats d’excellenceinternats d’excellence et le développement de la Culture scientifique, technique et
industrielle (CSTI) sur une enveloppe de 452 millions d’euros (ce dernier faisant l’objet d’un compte de tiers, il n’est pas retracé dans les tableaux ci-contre).
Le domaine d’intervention de l’Anru dépasse donc largement le logement. Le CSL ne retrace, lui, que les aides au logement inscrites au PNRU.
Conformément aux autres chiffrages sur les aides et l’investissement, ces aides sont retracées en année de paiement et considérées comme versées
directement aux bailleurs sociaux. Le CSL ventile par ailleurs ces dépenses d’intervention par contributeur (fiche A7 et A8.4). Il ne retient pour cela que les
ressources finançant les dépenses d’intervention sur le PNRU et tient compte des effets de trésorerie, importants pour cette agence.
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A8.1 Suivi des emplois et des ressources de l'Anru sur la durée des programmes
RessourcesRessourcesRessourcesRessources ciblecibleciblecible encaisséencaisséencaisséencaissé AffectationAffectationAffectationAffectation ciblecibleciblecible affectéaffectéaffectéaffecté engagéengagéengagéengagé décaissédécaissédécaissédécaissé
PNRU 12 000 6 705 PNRU 12 150 11 662 10 419 6 701
Plan de relance 350 350 quartiers prioritaires 8 505 8 136
PAO 4 4 quartiers supplémentaires 3 184 3 402
Qualité architecturale 8 8 quartiers complémentaires 461 125
Collèges dégradés 19 16 Collèges dégradés 19 - 8
PNRQAD 150 150 PNRQAD 150 - 32 8
Produits financiers et autres 76 - Fonctionnement 288 -
Total ressourcesTotal ressourcesTotal ressourcesTotal ressources 12 60712 60712 60712 607 7 2337 2337 2337 233 Total affectationTotal affectationTotal affectationTotal affectation 12 60712 60712 60712 607
Source : Anru
A8.2 Compte de trésorerie de l’Anru
2004200420042004 2005200520052005 2006200620062006 2007200720072007 2008200820082008 2009200920092009 2010201020102010 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013 CUMULCUMULCUMULCUMUL
État / fonds de péréquation 50 135 272 200 180 5 4 165 70 0 1081
décalages temporels -165 95 70 0
État / Grand Paris 95 95 95 285
UESL 120 120 185 272 380 595 1100 615 810 800 4997
CGLLS 15 20 29 27 54 34 30 30 30 30 299
État / Plan de relance 200 150 350
CDC 4 4 4 4 4 5 5 5 4 4 43
État / collèges dégradés 2 5 5 4 16
PNRQAD UESL 10 45 95 150
TOTAL RessourcesTOTAL RessourcesTOTAL RessourcesTOTAL Ressources 189189189189 279279279279 490490490490 503503503503 618618618618 849849849849 1336133613361336 845845845845 1109110911091109 1003100310031003 7221722172217221
Intervention PNRUIntervention PNRUIntervention PNRUIntervention PNRU 9999 99999999 228228228228 405405405405 619619619619 996996996996 1176117611761176 1102110211021102 1054105410541054 1004100410041004 6692669266926692
Aides au logement neuf 6 39 88 143 245 416 546 473 466 459 2881
Autres aides au logement 1 25 45 86 122 206 224 245 227 222 1403
Autres aides PNRU 2 36 95 177 251 373 407 384 361 323 2408
Collèges dégradés 2 2 4 8
PNRQAD 1 7 8
Fonctionnement - produits financiers 7 2 6 -5 -21 7 27 15 15 17 70
TOTAL EmploisTOTAL EmploisTOTAL EmploisTOTAL Emplois 16161616 101101101101 234234234234 400400400400 598598598598 1003100310031003 1203120312031203 1119111911191119 1072107210721072 1032103210321032 6778677867786778
Solde de trésorerieSolde de trésorerieSolde de trésorerieSolde de trésorerie 173173173173 178178178178 256256256256 103103103103 20202020 -154-154-154-154 133133133133 -274-274-274-274 37373737 -29-29-29-29 443443443443
Source : Anru
A8.3 Les aides de l'Anru par objet
0
200
400
600
800
1000
1200
1400
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
Aides hors PNRU
Autres aides dans le cadre du PNRU
Autres aides au logement
Aides au logement neuf
Source : Anru – calculs SOeS
A8.4 Les aides logement de l’Anru par contributeur
0
100
200
300
400
500
600
700
800
900
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
UESLÉtat / Plan de relanceÉtat / Grand ParisÉtat / fonds de péréquationCGLLS
Source : Anru – calculs SOeS
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A9 - L’AGENCE NATIONALE DE L’HABITAT (Anah)
Établissement public d’État, l’Agence nationale de l’habitat
(Anah) met en œuvre la politique nationale d’amélioration du
parc de logements privés (encadré).
Évolution des ressources de l’Anah La première source de financement de l’agence fut la taxe
additionnelle au droit de bail. En 1987, l’agence est budgétisée et
une subvention de l’État se substitue à l’affectation du produit du
droit de bail. À partir de 1999, le produit de la taxe sur les
logements vacants, due par les propriétaires des logements
vacants à usage d’habitation, vient également abonder les
ressources de l’agence, mais cela ne représente qu’une faible part
des ressources de l’Anah.
En 2009, le principal financeur de l’agence devient Action
logement (fiche A11), qui contribue à hauteur de 480 millions
d’euros annuels (390 millions pour 2012). Dans le même temps,
la subvention directe de l’État diminue et disparaît en 2011. Pour
2012, les 432 millions d’euros de financement de l’Anah (hors
produits financiers et fonds propres) proviennent à 90,3 %
d’Action logement (390 millions d’euros).
À partir de 2013, Action logement ne finance plus l’Anah. Il est
dès lors assuré par les produits de cessions de quotas carbone. En
2013, cela représente un montant de 219 millions d’euros. La
taxe sur les logements vacants continue également d’alimenter le
budget de l’agence (21 millions d’euros en 2013 dont 9 % de
frais de recouvrement).
Enfin, depuis 2011, les fournisseurs d’énergie qui sont désormais
soumis à des obligations d’économie d’énergie, versent des
contributions à l’Anah dans le cadre du programme Habiter Mieux
de lutte contre la précarité énergétique. Trois signataires (EDF,
GDF Suez et Total) abondent pour l’heure cette contribution qui,
au regard de l’objectif des 300 000 logements, devrait s’élever à
250 millions d’euros sur la durée du programme (et 85 M€ sur la
période 2010-2013). En contrepartie de cette contribution, l’Anah
délivre des certificats d’économie d’énergie aux financeurs, qui
viennent s’ajouter à ceux délivrés, au niveau local, selon les
procédures de droit commun.
Les emplois en 2013
Les dépenses d’intervention de l’Anah représentent 322 millions
d’euros en 2013, soit une diminution de 8,3 % par rapport à
2012. Cette évolution s’inscrit sur une période de baisses
consécutives, en suivant la tendance des ressources. La baisse des
emplois est due au recentrage des aides de la part de l’Agence,
qui priorise les habitats les plus dégradés, et au report
d’enveloppes sur des nouveaux programmes prévus pour 2015-
2016.
Le principal poste de dépense de l’Anah repose, encore en
2013, sur les propriétaires bailleurs (146 M€ soit 45% des
dépenses d’intervention), qui représentent près de la moitié des
emplois de l’Anah, tandis que le montant de subventions vers les
propriétaires occupants s’établit à 116 M€ soit 36% des dépenses
d’intervention, accédants ou non ne sont concernés que par 29 %
des subventions. Il convient de noter que la proportion est inverse
en autorisation d’engagement (64% des AE sont à destination
des propriétaires occupants contre 27% pour les propriétaires
bailleurs).
Le Fonds d’aide à la rénovation thermique
L’Anah est en outre responsable, pour le compte de l’État, du
fonds d’aide à la rénovation thermique (Fart). Celui-ci finance
l’aide de solidarité écologique (ASE) qui est octroyée, en
complément des aides de l’Anah et sous conditions de ressources,
aux propriétaires bailleurs et aux propriétaires occupants qui
réalisent des travaux permettant des gains énergétiques pour le
logement d’au moins 25 % (35 % depuis juillet 2013 pour les
propriétaires bailleurs).
Doté de 500 millions d’euros à sa création en 2010, le Fart
monte en puissance en 2013 avec le versement de 108 millions
d’aides (contre 31 millions en 2012 et 13 millions en 2011). De
plus, 135 M€ ont été redirigées du FART vers le fonds de soutien à
la rénovation énergétique de l’habitat, géré par l’agence de
services et de paiement dans le cadre de la convention du
19 aout 2013.
L’Agence nationale de l’habitat (ANAH) Depuis sa création en 1971, l’AnahAnahAnahAnah a pour mission de promouvoir le développement et la qualité du parc de logements privés. En 2009, la loi de
mobilisation pour le logement et la lutte contre l’exclusion ajoute aux compétences de l’agence la lutte contre l’habitat indigne et l’amélioration des
structures d’hébergement, ainsi que la participation au programme national de requalification des quartiers anciens dégradés (PNRQAD).
Ainsi, l’Anah octroie des aides financières, sous forme de subventions directes, aux propriétaires (ou aux syndicats de copropriété) qui souhaitent réaliser
des travaux d’amélioration dans leur logement, que ces logements soient destinés à l’occupation ou à la location. Ces travaux doivent concerner les
logements achevés depuis plus de 15 ans (10 ans dans les immeubles faisant l’objet d’un plan de sauvegarde) et participer à l’amélioration de l’habitat en
matière de performance énergétique, de sécurité, de salubrité, d’accessibilité et d’adaptation aux personnes handicapées.
Centrée sur les publics les plus modestes, l’agence est également engagée en faveur d’un habitat solidaire. Ainsi, les subventions bénéficiant aux ménages
bailleurs doivent aider au développement d’une offre de logements à loyers et charges maîtrisés. Par ailleurs, depuis 2006, le conventionnement sans
travaux permet de développer plus rapidement une offre de logements privés accessibles : les propriétaires qui signent une convention de location à loyer
maîtrisé avec l’Anah disposent, en contrepartie, d’avantages fiscaux.
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Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 109
A9.1 Charges et produits de l’Anah
2009200920092009 2010201020102010 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013
Salaires (compte 64) 10 8 8 8 9
Consommations intermédiaires (comptes 60 à 62) 7 5 5 4 6
Impôts et taxes (compte 63) 1 1 1 1 1
Autres emplois (autres comptes 6, hors 68) 2 1 1 1 2
Dépenses dDépenses dDépenses dDépenses d''''interventioninterventioninterventionintervention 536536536536 499499499499 454454454454 351351351351 322322322322
Subventions aux propriétaires bailleurs 205 161 140 101 83
Subventions aux propriétaires occupants 86 84 62 56 73
Aides aux propriétaires en délégation de compétence (type 2 et 3) 224 219 214 158 125
Subventions aux associations intervenant dans le domaine de l'habitat 2 1 1 1 1
Subventions crédits d'ingénierie 13 15 14 16 16
Aides pour l'humanisation des structures d'hébergement 5 12 14 12 15
Aides propres des collectivités territoriales non délégataires 2 2 3 2 1
Aides dans le cadre de la RHI-THIRORI 5 5 5 7
Total des emploisTotal des emploisTotal des emploisTotal des emplois 556556556556 514514514514 469469469469 365365365365 339339339339
Subventions État (compte 74134) 153 75
Taxe sur les logements vacants (compte 7571) 19 20 24 15 21212121
Versement Action logement (compte 7572) 480 480 480 390
Contributions des fournisseurs d'énergie (compte 7573) 16 19 4
Produit de la vente aux enchères des quotas d’émissions de CO2 (compte 7574) 219
Autres ressources (autres comptes 7, hors 78) 6 6 10 9 8
Total des ressourcesTotal des ressourcesTotal des ressourcesTotal des ressources 658658658658 581581581581 529529529529 434434434434 252252252252
Balance (solde du compte d'exploitation) 102 67 61 68 -86
Fonds de roulement en fin dFonds de roulement en fin dFonds de roulement en fin dFonds de roulement en fin d''''annéeannéeannéeannée 111111111111 178178178178 239239239239 307307307307 221221221221
Fonds de rénovation thermique (compte 4486)
Dotations - 500 0 0 0
Consommations (*) - 0 13 31 243
Solde en fin dSolde en fin dSolde en fin dSolde en fin d''''annéeannéeannéeannée 500500500500 487487487487 456456456456 213213213213
(*) En 2013, 135 M€ ont été redirigées du FART vers le fonds de soutien à la rénovation énergétique de l’habitat (FSREH), géré par l’agence de services et de
paiement dans le cadre de la convention du 19 aout 2013. Ils ne correspondent donc pas à des consommations réelles. En 2013, 108 millions ont été engagés
au titre du Fart et 2,1 millions au titre du FSREH.
Sources : DGFiP, Anah
A9.2 Les dépenses d’intervention de l’Anah par filières
0
100
200
300
400
500
600
1984 1989 1994 1999 2004 2009
Propriétaires occupantsPropriétaires bailleursAutres
En millions d'euros
Sources : CSL2013 d’après DGFiP et Anah
A9.3 Les ressources de l’Anah par contributeur
0
20
40
60
80
100
2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
Contributions des fournisseurs d'énergieVersement Action logementÉtat (taxes et ressources affectées)État (dotations)
Source : DGFiP
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A10 – LE FONDS NATIONAL D’AIDE AU LOGEMENT (Fnal)
Dans son contour actuel depuis le 1er janvier 2006, le Fnal
finance les APL et les ALS, soit un montant de 13,4 milliards
d’euros en 2013, y compris frais de gestion sur cotisations
(1,36 %) et sur prestations (2,0 %). Ses ressources s’élèvent à
13,3 milliards d’euros et proviennent de contributeurs divers.
Les ressources du Fnal Tout d’abord, les régimes sociaux contribuent à alimenter ce
fonds via le fonds national des prestations familiales (FNPF) en
versant un montant égal au montant des prestations qui auraient
été versées par eux au titre de l’allocation de logement familiale
(ALF) et de la prime de déménagement, en l’absence de l’APL. En
effet, l’ALF est entièrement à la charge des régimes sociaux. Pour
2013, cette contribution s’élève à 4,4 milliards d’euros en hausse
de 4,9 %.
Par ailleurs, au titre de l’ALS, les employeurs versent une
cotisation assise sur les salaires plafonnée de 0,10 % due par tous
les employeurs, publics ou privés et une contribution au taux de
0,40 % sur la part des salaires plafonnés, et d’un taux de 0,50 %
sur la part des salaires dépassant le plafond, due par l’ensemble
des employeurs occupant au moins 20 salariés, à l’exception de
ceux relevant du régime agricole. Elles représentent pour 2013 un
montant de 2,7 milliards d’euros, en très faible progression par
rapport à 2012 (+ 0,8 %) compte tenu de la croissance de
l’emploi salarié.
L’État contribue également à ce fonds, d’une part à travers une
dotation budgétaire, d’autre part à travers l’affectation du produit
de certaines taxes : une part des accises sur les tabacs jusqu’en
2012 et, depuis 2013, une part de la contribution additionnelle
sur le revenu du capital. Ces ressources représentent 5,7 milliards
d’euros en 2013, soit une baisse de 3,5 % par rapport à 2012.
Enfin, en 2013, le Fnal est abondé par un versement en
provenance d’Action logement à hauteur de 400 millions d’euros.
Les emplois Ces ressources financent non seulement les prestations versées,
mais également les frais de gestion versés à la Cnaf et à la CCMSA
qui versent effectivement l’une et l’autre des prestations aux
ménages. Ces frais de gestion représentent 2 % des montants
versés aux allocataires, soit 260 millions d’euros en 2013 pour
l’ALS et l’APL. Ils sont désormais intégralement à la charge de
l’État. Le Fnal prend également en charge les frais de gestion pour
l’ALS sur cotisations (Acoss, Mines, CCMSA) à hauteur de
16 millions d’euros.
Le Fonds national d’aide au logement (Fnal)
Le Fnal a initialement été créé en 1971 (loi n° 71-582) afin de financer les ALS. À ce titre, il était alimenté par le produit d’une cotisation à la charge des
employeurs, assise sur les salaires plafonnés au taux de 0,10 % de la masse salariale et le produit d’une contribution à la charge des employeurs occupant
au moins 20 salariés (depuis 2005), à l’exception de l’État, des collectivités locales, de leurs établissements publics administratifs et des employeurs relevant
du régime agricole, au taux de 0,40 % de la masse salariale depuis 1991). Il était également alimenté par une contribution de l’État.
Parallèlement, le Fonds national de l’habitation (FNH), créé par la loi du 3 janvier 1977 finançait l’APL. Celui-ci était alimenté par des contributions
provenant des régimes de prestations familiales et du Fnal, représentant les allocations logement (familiales ou sociales) qui auraient été financées par ces
régimes en l’absence de l’APL et par une subvention d’équilibre prise en charge par l’État.
Par ordonnance n° 2005-655 du 8 juin 2005, le Fnal regroupe depuis le 1er janvier 2006 ces deux fonds et finance les deux prestations APL et ALS, le
financement de l’ALF restant intégralement à la charge des régimes sociaux. Pour autant, ces deux aides continuent de conserver un financement
relativement autonome et distinct.
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A10.1 Emplois et ressources du Fnal de 2011 à 2013
2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013
RESSOURCESRESSOURCESRESSOURCESRESSOURCES 12 41212 41212 41212 412 12 86712 86712 86712 867 13 29813 29813 29813 298 3,33,33,33,3
Cotisations employeurs au titre de l'ALS (1) 2 582 2 655 2 677 0,8
Contribution de la Cnaf au titre de l'APL 4 070 4 220 4 426 4,9
Contributions de l'État 5 698 5 899 5 690 -3,5
Dotations lois de finances 5 535 5 734 5 144 -10,3
Droits sur les tabacs (1) 162 165 0 -
Contribution additionnelle sur le revenu du capital (1) 0 0 546 -
Contribution exceptionnelle d'Action logement 0 0 400 -
Régularisations sur prestations 62 93 105 12,5
Autres ressources 0 0 0 -
EMPLOISEMPLOISEMPLOISEMPLOIS 12 38712 38712 38712 387 12 86012 86012 86012 860 13 38113 38113 38113 381 4,04,04,04,0
Allocation logement social (ALS) 5 000 5 075 5 254 3,5
Aide personalisée logement (APL) 7 144 7 415 7 767 4,8
Frais de gestion sur prestations 243 250 260 4,3
Frais de gestion sur cotisations 15 16 16 0,8
Régularisations sur prestations 0 120 99 -17,8
Frais de fonctionnement (2) 0 0 0 17,4
SOLDE ANNUELSOLDE ANNUELSOLDE ANNUELSOLDE ANNUEL 25252525 7777 -82-82-82-82
Évolution Évolution Évolution Évolution
2013/2012 2013/2012 2013/2012 2013/2012
(en %)(en %)(en %)(en %)
Montants (en millions Montants (en millions Montants (en millions Montants (en millions
d'euros)d'euros)d'euros)d'euros)
Source : CSL2013 d’après DGALN
(1) Net des frais de gestion par les organismes collecteurs
(2) Y compris frais de gestion du compte du Fnal par la CDC
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A11 - ACTION LOGEMENT
Les ressourcesLes ressourcesLes ressourcesLes ressources d’Action Logement (encadré), restent
structurellement orientées à la baisse depuis 2009 en raison de la
diminution du montant de remboursement des prêts lié au cycle
de maturité des différents prêts émis par les CIL auprès des
ménages (1 852 millions en 2009 et 1 094 millions en 2013). La
collecte nette (1 610 millions en 2013) reste sur son orientation
de long terme (+ 2,2 % en 2013) et les remboursements de prêts
accordés aux personnes morales (620 millions en 2013) restent
globalement au même niveau que ces dix dernières années.
Les modifications apportées aux circuits de financement des Les modifications apportées aux circuits de financement des Les modifications apportées aux circuits de financement des Les modifications apportées aux circuits de financement des
politiques nationalespolitiques nationalespolitiques nationalespolitiques nationales du logement ont particulièrement touché
la Peec ces dernières années. À partir de 2002, elle finance le
renouvellement urbain (Anru - fiche A8 - PNRQAD et prêts 1 %
Rénovation urbaine) pour un montant cumulé de 6,6 milliards
d’euros ainsi que l’association Foncière logement (5,5 milliards
cumulés). Depuis 2007, elle finance également la GRL (puis la
GURL – 319 millions en cumul) et l’Anah de 2009 à 2012 pour
près de 2 milliards d’euros. En 2013, le financement de l’Anah est
réorienté vers le Fnal (fiche A10), qui bénéficie à ce titre de
400 millions d’euros en provenance d’Action logement.
Les emplois directs Les emplois directs Les emplois directs Les emplois directs d’Action logement d’Action logement d’Action logement d’Action logement (A11.3) sont
également largement réorientés depuis quelques années. Les
subventions aux bailleurs personnes morales pour l’acquisition de
logements, intermédiaires notamment, sont à un niveau élevé
depuis 2006 tandis que les prêts aux personnes physiques sont en
forte baisse avec la diminution des prêts travaux et malgré la
mise en place du Pass-foncier sur la période 2009-2012.
En outre, à compter de 2013, En outre, à compter de 2013, En outre, à compter de 2013, En outre, à compter de 2013, l’UESL bénéficil’UESL bénéficil’UESL bénéficil’UESL bénéficie de l’accès aux e de l’accès aux e de l’accès aux e de l’accès aux
ressources du fressources du fressources du fressources du fonds d’épargne de la Caisse des dépôtsonds d’épargne de la Caisse des dépôtsonds d’épargne de la Caisse des dépôtsonds d’épargne de la Caisse des dépôts afin de
consentir des prêts finançant la construction, la réhabilitation et
l’acquisition de logements sociaux.
Action logement, la Peec, l’UESL et l’Anpeec
Action logementAction logementAction logementAction logement (1 % logement) est la dénomination du réseau qui gère la Participation des employeurs à l'effort de construction (Peec), rendue
obligatoire en 1953 pour les entreprises du secteur privé non agricole employant plus de 10 salariés (seuil porté à 20 salariés en 2006). À l'origine, celles-ci
devaient consacrer 1 % de leur masse salariale au financement de logements. Après des baisses successives, ce taux est fixé à 0,45 % depuis 1992, les
employeurs versant par ailleurs une cotisation au Fnal pour financer une part des aides personnelles (fiche A2). Le réseau est constitué des _23 comités
interprofessionnels du logement (CIL) en 2013 qui sont les principaux collecteurs de cette contribution et distribuent des aides et des prêts (certaines CCI, la
SICF pour le compte de la SNCF et les HLM et les SEM de logements sociaux marginalement collecteurs de la Peec). Ce sont des associations régies par la loi
de 1901 dont l’objet statutaire exclusif est la collecte et la redistribution de la Peec et dont le conseil d’administration est composé de représentants des
organisations de salariés et d’employeurs. Le réseau associe également l’Association pour l'accès aux garanties locatives (ApaGL) et l’association Foncière
logement, créée en 2002. Il regroupe également, parmi les filiales des CIL, 82 entreprises sociales pour l’habitat (ESH) qui disposent d’un patrimoine
immobilier de près de 900 000 logements. Avec l’entrée en vigueur de la loi Alur en 2014, les CIL et les organismes HLM ne peuvent plus être agréés à
collecter la Peec.
L’Union des entreprises et des salariés pour le logement (UESL)L’Union des entreprises et des salariés pour le logement (UESL)L’Union des entreprises et des salariés pour le logement (UESL)L’Union des entreprises et des salariés pour le logement (UESL), créée par la loi n° 96-1237, agit comme une tête de réseau en représentant les
intérêts communs des collecteurs (CIL), notamment auprès des pouvoirs publics à travers la signature des conventions définissant les politiques nationales
d’emploi des fonds, en émettant des recommandations sur la gestion des fonds et en donnant un avis préalable sur leur utilisation.
LLLL’Agence nationale pour la participation des employeurs à l'effort de construction (Anpeec)’Agence nationale pour la participation des employeurs à l'effort de construction (Anpeec)’Agence nationale pour la participation des employeurs à l'effort de construction (Anpeec)’Agence nationale pour la participation des employeurs à l'effort de construction (Anpeec) est un établissement public industriel et commercial
(EPIC) créé en 1988 (loi n° 87-1128) qui a un rôle de contrôle et d’évaluation de la PEEC. En application de la loi ALUR, l’Anpeec sera remplacée par l’Agence
nationale de contrôle du logement social (Ancols) à compter du 1er janvier 2015.
L’utilisation des ressources de la PEECL’utilisation des ressources de la PEECL’utilisation des ressources de la PEECL’utilisation des ressources de la PEEC relève de plusieurs catégories parmi un éventail de dispositifs très large. Elles bénéficient aux ménages et à
l’ensemble des personnes morales qui interviennent dans le logement social : HLM et SEM de logements sociaux, associations, collectivités locales ou à
l’association Foncière logement, etc. Le CSL ne retrace pas tous ces emplois comme des aides au logement.Le CSL ne retrace pas tous ces emplois comme des aides au logement.Le CSL ne retrace pas tous ces emplois comme des aides au logement.Le CSL ne retrace pas tous ces emplois comme des aides au logement.
- LLLLeseseses subventions subventions subventions subventions aux salariés pour la mobilité professionnelle ou le maintien dans les logements sociaux et aux bailleurs sociaux, pour la construction de
logements et leur réhabilitation versées aux occupants et aux bailleurs, notamment par les CIL, sont effectivement retracées.
- LLLLes subventions à d’autres opérateurses subventions à d’autres opérateurses subventions à d’autres opérateurses subventions à d’autres opérateurs nationaux dans le domaine du logement sont versées dans le cadre des conventions signées avec l’État à l’Anru
(pour le PNRU), à l’Anah (pour la rénovation du parc privé), au Fnal (pour les aides personnelles) ou encore au Fonds GURL (qui verse des compensations aux
compagnies d’assurances pour couvrir la sur-sinistralité dans le cadre de la garantie universelle des risques locatifs – anciennement garantie des risques
locatifs, GRL). N’étant pas directement distribuées à des consommateurs ou à des producteurs de logement, elles sont comptabilisées dans le CSL au
moment du versement aux bénéficiaires finaux (donc lorsque ces emplois seront effectivement utilisés par ces opérateurs).
- LLLLes pres pres pres prêts êts êts êts aux occupants sont versés pour l’accession à la propriété ou la rénovation des logements et des copropriétés et aux bailleurs sociaux pour la
construction de logements locatifs sociaux et intermédiaires. Les montants prêtés n’étant pas transférés aux consommateurs ou aux producteurs de
logement (mais faisant l’objet d’un remboursement du capital), le CSL ne retient dans les aides que l’avantage de taux, pour le bénéficiaire, lié à ces crédits.
- LLLLes es es es prises de participation prises de participation prises de participation prises de participation dans les organismes HLM ne sont pas considérées dans le CSL comme des aides puisque alimentant des fonds propres qui
sont eux-mêmes utilisés pour financer de l’investissement des bénéficiaires de ces fonds.
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 113
A11.1 Emplois – ressources de la Peec 2000200020002000 2001200120012001 2002200220022002 2003200320032003 2004200420042004 2005200520052005 2006200620062006 2007200720072007 2008200820082008 2009200920092009 2010201020102010 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013
Collecte nette reçue 1 046 1 081 1 125 1 161 1 187 1 052 1 291 1 378 1 442 1 481 1 575 1 548 1 576 1 610
Remboursement de prêts (personnes morales) 488 441 505 515 600 648 654 662 649 763 700 654 649 620
Remboursement de prêts (personnes physiques) 1 228 1 265 1 362 1 430 1 584 1 709 1 802 1 858 1 882 1 852 1 650 1 448 1 209 1 094
Autres ressources (*) 103 57 76 70 54 40 17 19 12 14 117 30 76 9
TOTAL DES RESSOURCESTOTAL DES RESSOURCESTOTAL DES RESSOURCESTOTAL DES RESSOURCES 2 8662 8662 8662 866 2 8432 8432 8432 843 3 0683 0683 0683 068 3 1763 1763 1763 176 3 4253 4253 4253 425 3 4483 4483 4483 448 3 7643 7643 7643 764 3 9183 9183 9183 918 3 9853 9853 9853 985 4 1094 1094 1094 109 4 0424 0424 0424 042 3 6813 6813 6813 681 3 5113 5113 5113 511 3 3333 3333 3333 333
Prêts (personnes physiques) 1 066 1 576 1 334 1 397 1 550 1 635 1 723 1 878 1 920 1 295 1 260 1 075 820 887
Prêts (personnes morales) 438 451 591 675 713 568 487 408 475 802 544 526 427 492
Aides (personnes physiques) 1 11 38 52 64 76 90 100 106 101 95 46 38 56
Aides (personnes morales) 18 13 16 21 26 54 147 177 187 233 418 324 121 255
Souscription de titres 55 54 19 54 30 51 49 30 57 51 122 87 160 150
Association Foncière logement 0 0 153 100 271 445 728 750 838 750 600 400 300 200
Fonds d'accession à la propriété 772 525 276 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
PNRU (Anru) 0 0 442 334 414 658 280 371 182 595 1 100 615 810 800
Anah (yc PNRQAD) 0 0 0 0 0 0 0 0 0 490 525 575 390 0
Fnal 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 400
Autres emplois (**) 256 237 198 218 188 132 16 50 2 55 72 98 76 76
TOTAL DES EMPLOISTOTAL DES EMPLOISTOTAL DES EMPLOISTOTAL DES EMPLOIS 2 6062 6062 6062 606 2 8672 8672 8672 867 3 0673 0673 0673 067 2 8512 8512 8512 851 3 2563 2563 2563 256 3 6193 6193 6193 619 3 5203 5203 5203 520 3 7643 7643 7643 764 3 7683 7683 7683 768 4 3714 3714 3714 371 4 7354 7354 7354 735 3 7473 7473 7473 747 3 1433 1433 1433 143 3 3163 3163 3163 316
SOLDE RESSOURCES-EMPLOISSOLDE RESSOURCES-EMPLOISSOLDE RESSOURCES-EMPLOISSOLDE RESSOURCES-EMPLOIS 260260260260 -24-24-24-24 1111 325325325325 169169169169 -171-171-171-171 244244244244 154154154154 217217217217 -262-262-262-262 -693-693-693-693 -67-67-67-67 368368368368 17171717
Source : Anpeec (*) Affectation directe par les employeurs, refinancement extérieur, cessions de titres (**) Concours directs des employeurs, affectation directe
des collecteurs HLM, Fonds GURL, sécurisation des accédants PAS, yc remboursement du refinancement extérieur de 1997-1998, notamment avant 2005
A11.2 Détail des emplois de la Peec de 2000 à 2013
0
500
1 000
1 500
2 000
2 500
3 000
3 500
4 000
4 500
5 000
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
Prêts (personnes physiques) Prêts (personnes morales) Aides (personnes physiques)Aides (personnes morales) Souscription de titres Association Foncière logementFonds d'accession à la propriété PNRU (Anru) Anah (yc PNRQAD)Fnal Autres emplois (**)
Source : Anpeec
(*) Affectation directe par les employeurs, refinancement extérieur, cessions de titres
(**) Concours directs des employeurs, affectation directe des collecteurs HLM, Fonds GURL, sécurisation des accédants PAS, yc remboursement du
refinancement extérieur de 1997-1998, notamment avant 2005
A11.3 Les emplois de la Peec retracés dans le CSL Emplois de la PeecEmplois de la PeecEmplois de la PeecEmplois de la Peec 2009200920092009 2010201020102010 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013 CSLCSLCSLCSL Chiffrage 2013Chiffrage 2013Chiffrage 2013Chiffrage 2013
Prêts amortissables aux ménages 1299 1265 1081 828 895 130
Acquisition ancien 478 364 475 400 392 68
Acquisition neuf 52 62 162 211 237 41
Prêts locatifs 371 302 193 148 138
Prêts mobilité 0 0 2 2 1
Pass-Foncier 94 456 178 8 1 Seul est retenu l'avantage de taux 0
Prêts travaux 302 80 70 58 125 Seul est retenu l'avantage de taux 21
Subventions aux personnes en mobilité 101 95 47 39 56 Retracé comme une aide Peec 56
Prêts amortissables aux personnes morales 806 545 526 410 429 45
Prêts in fine aux personnes morales 0 0 0 18 63
Subventions aux personnes morales 233 419 324 120 252 Retracé comme une aide Peec 252
Souscription de titres 51 122 77 160 150 Non retracé 0
Concours à d'autres opérateurs: SGFGAS, Anru,
Anah, Fnal, Fonds GURL
Retracé comme étant versé par l'opérateur final au
destinataire
Seul est retenu l'avantage de taux
0Non retracé
Seul est retenu l'avantage de taux
Source : Anpeec, calculs SOeS
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A12 - LE PRÊT À TAUX ZÉRO (PTZ)
Nette diminution des prêts à 0 % En 2013, 60 300 prêts à taux zéro plus (PTZ+) France entière (y
compris DOM) ont été mis en force, soit moitié moins qu’en 2012
(124 600 PTZ+ et 3 000 autres prêts, reliquats de l’ancien
dispositif NPTZ). Dans le prolongement de 2012, les PTZ+ émis en
2013 ont été octroyés sous condition de ressources (avec une
diminution de plafond). Par ailleurs, le dispositif ne s’applique
qu’au neuf, sauf dans le cas de la vente du parc social à ses
occupants, et sous condition de performance énergétique,
expliquant le resserrement du nombre de mises en force. Depuis
le 1er juin 2012, les ménages peuvent bénéficier d’un PTZ+ pour
l’achat d’un logement remis à neuf au sens de la TVA. De part ces
redéfinitions en 2012 et 2013, les mises en force de PTZ+ ne
concernent quasiment plus que du logement neuf (97,0 % en
2013 pour la France métropolitaine, contre 63,1 % en 2012 et
27 ,6 % en 2011). Au-delà des opérations d’acquisition ou de
construction de logements neufs, restent éligibles au PTZ+ émis
en 2013 la cession de logements HLM à leurs occupants et la
remise à neuf au sens de la TVA. Le nombre de prêts mis en force
diminue également en outre-mer, pour revenir à son effectif de
2010 : près de 1 100 prêts à taux zéro ont été mis en force dans
les DOM en 2013 contre 2 000 en 2012 et 2 800 en 2011 (A12.1).
En 2013, une mise en force concernant des opérations financées
par un PTZ sur cinq est localisée en Île-de-France, contre trois sur
vingt en 2012. Le recentrage sur le neuf s’observe de la même
façon en Ile-de-France et en province, avec respectivement
98,4 % et 96,7 % des mises en force.
En métropole, le montant moyen du PTZ+ est de 36 600 euros
en 2013, soit près de 9 000 euros de plus qu’en 2012. Il
représente en moyenne 19,3 % du coût total de l’opération
(contre 15,8 % pour le PTZ+ en 2012). En 2013, les maisons
individuelles représentent 63,4 % des achats neufs financés par
un PTZ+ (72,1 % l’année précédente).
Si les montants moyens des prêts sont sensiblement les mêmes
entre 2012 et 2013 par type de zone respectif (A, B1, B2 et C),
leur répartition évolue, avec un recentrage des mises en force sur
les zones les plus tendues (plus d’un prêt sur deux en zone A ou
B1 en 2013, contre moins d’un sur trois en 2012).
Pour 100 euros empruntés de PTZ+, celui-ci permet de financer
en moyenne 28 euros de dépense supplémentaire (A12.3).
Sachant que le PTZ+ couvre en moyenne 19,3 % du coût total
d'une opération, il représente une capacité d’achat de 5,5 % du
total.
Depuis 2005, la subvention aux établissements de crédit versée
par la Société de gestion du fonds de garantie à l’accession
sociale (SGFGAS) est remplacée par un crédit d’impôt accordé à
ces mêmes établissements. Le coût d’un PTZ+ octroyé est de
10 470 euros en moyenne, soit un coût total de 645 millions
d’euros en 2013.
Zoom sur l’Eco-PTZ En 2013, 32 400 éco-prêts à taux-zéro pour un montant total de
montant prêté de 565 millions d’euros ont été mis en force,
permettant aux propriétaires de logements anciens de financer
des travaux de réhabilitation énergétique ou d’assainissement.
Ces mises en force sont en recul par rapport à 2012 de 5,0 %.
Le PTZ Depuis 1995, l’État aide les primo-accédants à la propriété en leur permettant de bénéficier d'un prêt sans intérêts, couvrant une partie du coût d’achat du
logement. Plusieurs dispositifs se sont succédés : « prêt à 0 % » de 1995 à 2004, « nouveau prêt à 0 % » (NPTZ) de 2005 à 2010, puis « prêt à taux zéro
plus » (PTZ+).
En janvier 2011 entre en vigueur le PTZ+, sans condition de ressources jusqu’à décembre 2011. La tranche de ressources à laquelle appartient le ménage,
la performance énergétique et la localisation du logement conditionnent cependant les caractéristiques du prêt.
À partir de janvier 2012, le PTZ+ ne peut plus financer l’acquisition de logements anciens (hors vente du parc social à ses occupants) et est octroyé sous
condition de ressources. Depuis le 1er juin 2012, il est également possible de financer au titre du neuf l'acquisition d'un logement ayant fait l'objet de travaux
de remise à neuf au sens de la TVA.
À compter de janvier 2013, un PTZ+ ne peut être octroyé pour une opération dans le neuf que sous condition de performance énergétique. Par ailleurs,
cette mesure s'accompagne d'une diminution des plafonds de ressources et d’une modification des quotités de prêt. Une exception toutefois existe pour
les logements anciens acquis auprès d’un organisme HLM pour lesquels aucune condition de performance énergétique n'est exigée.
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 115
A12.1 Opérations financées par un prêt à 0 % 2005200520052005 2006200620062006 2007200720072007 2008200820082008 2009200920092009 2010201020102010 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013
Effectifs métropoleEffectifs métropoleEffectifs métropoleEffectifs métropole 183 227183 227183 227183 227 230 460230 460230 460230 460 242 942242 942242 942242 942 227 654227 654227 654227 654 204 637204 637204 637204 637 264 193264 193264 193264 193 323 232323 232323 232323 232 125 861125 861125 861125 861 59 17859 17859 17859 178
Achat neuf 11 385 14 111 16 721 16 610 17 045 22 426 23 269 22 315 21 035
Constr. Maison indiv. Avec terrain 42 977 44 396 42 351 40 515 36 253 51 850 52 817 46 617 31 333
Constr. Maison indiv. Hors terrain 18 548 18 635 17 896 16 651 13 961 14 354 13 009 10 460 5 054
ancien sans travaux 78 017 112 450 121 327 109 252 90 482 121 398 190 449 37 406 216
Acquisition-amélioration 32 300 40 868 44 647 44 626 46 896 54 165 43 688 8 853 532
Levée d'option en location-accession (depuis 2012) 190 941
Acquisition d'un logement avec travaux de remise à neuf
TVA (depuis 2012)20 67
Effectifs DOMEffectifs DOMEffectifs DOMEffectifs DOM 553553553553 565565565565 613613613613 717717717717 756756756756 1 0011 0011 0011 001 2 8192 8192 8192 819 2 0292 0292 0292 029 1 0921 0921 0921 092
Effectifs FranceEffectifs FranceEffectifs FranceEffectifs France 183 780183 780183 780183 780 231 025231 025231 025231 025 243 555243 555243 555243 555 228 371228 371228 371228 371 205 393205 393205 393205 393 265 194265 194265 194265 194 326 051326 051326 051326 051 127 890127 890127 890127 890 60 27060 27060 27060 270
Source : SGFGAS
A12.2 Montants moyens du prêt à 0 % suivant le type d’acquisition et la localisation Métropole/Dom 2005200520052005 2006200620062006 2007200720072007 2008200820082008 2009200920092009 2010201020102010 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013
Prêt moyen métropolePrêt moyen métropolePrêt moyen métropolePrêt moyen métropole 15 14715 14715 14715 147 15 30015 30015 30015 300 15 33015 33015 33015 330 15 43015 43015 43015 430 19 94019 94019 94019 940 22 03022 03022 03022 030 23 01523 01523 01523 015 27 68927 68927 68927 689 36 64036 64036 64036 640
Achat neuf 16 223 16 590 16 730 17 490 32 960 39 380 43 619 48 943 52 120
Constr. maison indiv. avec terrain 18 122 18 960 18 910 18 950 32 410 38 300 28 714 25 745 28 830
Constr. maison indiv. hors terrain 16 684 17 480 17 480 17 490 27 860 33 840 26 203 23 149 24 720
Ancien sans travaux 13 780 14 130 14 310 14 350 14 590 14 290 20 523 21 696 10 860
Acquisition-amélioration 13 226 13 250 13 330 13 350 13 550 13 460 15 050 15 133 17 090
Levée d'option en location-accession (depuis 2012) 25 780 31 080
Acquisition d'un logement avec travaux de remise à neuf
TVA (depuis 2012)28 000 46 970
Prêt moyen DOMPrêt moyen DOMPrêt moyen DOMPrêt moyen DOM 17 22617 22617 22617 226 15 55015 55015 55015 550 19 01019 01019 01019 010 20 49020 49020 49020 490 27 94027 94027 94027 940 29 29029 29029 29029 290 37 78137 78137 78137 781 48 36448 36448 36448 364 47 85047 85047 85047 850
Prêt moyen FrancePrêt moyen FrancePrêt moyen FrancePrêt moyen France 15 15415 15415 15415 154 15 30115 30115 30115 301 15 33915 33915 33915 339 15 44615 44615 44615 446 19 96919 96919 96919 969 22 05722 05722 05722 057 23 14323 14323 14323 143 28 01728 01728 01728 017 36 84336 84336 84336 843
Source : SGFGAS
A12.3 Montants des subventions liées au prêt à 0 % suivant le type d’acquisition et la localisation Métropole/Dom 2005200520052005 2006200620062006 2007200720072007 2008200820082008 2009200920092009 2010201020102010 2011201120112011 2012201220122012 2013201320132013
Subvention ou crédit d’impôt moyen métropoleSubvention ou crédit d’impôt moyen métropoleSubvention ou crédit d’impôt moyen métropoleSubvention ou crédit d’impôt moyen métropole 5743574357435743 5870587058705870 6370637063706370 6690669066906690 8010801080108010 8170817081708170 6871687168716871 7457745774577457 10420104201042010420
Avantage pour 100 euros prêtés (en €) 38 38 42 43 40 37 30 27 28
Couverture moyenne nd 11,2% 10,7% 10,7% 13,7% 14,5% 13,8% 15,8% 19,3%
Supplément disponible sur 100 euros (en €) nd 4,3 4,4 4,6 5,5 5,4 4,1 4,3 5,5
Subvention et crédit d’impôt métropole (M€)Subvention et crédit d’impôt métropole (M€)Subvention et crédit d’impôt métropole (M€)Subvention et crédit d’impôt métropole (M€) 1052105210521052 1353135313531353 1547154715471547 1523152315231523 1639163916391639 2158215821582158 1507150715071507 904904904904 631631631631
Subvention ou crédit d’impôt moyen DOMSubvention ou crédit d’impôt moyen DOMSubvention ou crédit d’impôt moyen DOMSubvention ou crédit d’impôt moyen DOM 7681768176817681 6227622762276227 8880888088808880 10761107611076110761 12523125231252312523 12090120901209012090 10671106711067110671 12763127631276312763 13160131601316013160
Subvention et crédit d’impôt DOM (M€)Subvention et crédit d’impôt DOM (M€)Subvention et crédit d’impôt DOM (M€)Subvention et crédit d’impôt DOM (M€) 4444 4444 5555 8888 9999 12121212 30303030 26262626 14141414
Subvention ou crédit d’impôt moyen FranceSubvention ou crédit d’impôt moyen FranceSubvention ou crédit d’impôt moyen FranceSubvention ou crédit d’impôt moyen France 5749574957495749 5871587158715871 6376637663766376 6703670367036703 8027802780278027 8185818581858185 6904690469046904 7541754175417541 10470104701047010470
Subvention et crédit d’impôt France (M€)Subvention et crédit d’impôt France (M€)Subvention et crédit d’impôt France (M€)Subvention et crédit d’impôt France (M€) 1057105710571057 1356135613561356 1553155315531553 1531153115311531 1649164916491649 2171217121712171 1538153815381538 930930930930 645645645645
Source : SGFGAS
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A13 - LES PRÉLÈVEMENTS
En 2013, les prélèvements relatifs au logement (encadré)
s’élèvent à 63,0 milliards d’euros (A13.1). Ils progressent de
1,6 % par rapport à 2012, marquant un nouveau ralentissement
par rapport à la croissance des années précédentes (+ 6,9 % en
2011 et + 3,8 % en 2012).
Sur longue période, les prélèvements liés au logement suivent
la même évolution que l’ensemble des prélèvements
obligatoires, suivant la conjoncture économique globale. Ils
représentent un peu moins de 7 % des prélèvements obligatoires
sauf sur la période après 2000 lors de la mise en place de la TVA à
taux réduit sur les travaux (A13.2). En 2013, l’évolution des
prélèvements logements est inférieure à celle des prélèvements
obligatoires (+ 3,5 %), portant le ratio à un point bas (6,7 % des
prélèvements obligatoires).
Les prélèvements sur la consommation associée au service Les prélèvements sur la consommation associée au service Les prélèvements sur la consommation associée au service Les prélèvements sur la consommation associée au service
de logementde logementde logementde logement restent relativement dynamiques (+ 5,5 %), même
si leur évolution marque un net ralentissement par rapport à la
croissance de 2012 (+ 11,1 %). Compte tenu de l’assiette
retenue, ils suivent globalement l’évolution des dépenses
d’énergie, d’eau (fiche D5) et des charges des occupants
(fiche D7). En 2013, elles sont tirées à la hausse par les taxes sur
l’énergie (TVA et taxes spécifiques sur les produits énergétiques)
dont la consommation a fortement augmenté, en lien avec les
conditions climatiques. Les autres composantes de la dépense des
occupants comme l’entretien et les petits travaux sont moins
dynamiques, voir en recul (frais d’agence, de déménagement) et
contribuent donc moins fortement à la hausse de cette catégorie
de prélèvements.
Les prélèvements sur la prLes prélèvements sur la prLes prélèvements sur la prLes prélèvements sur la production de service de logements oduction de service de logements oduction de service de logements oduction de service de logements
sont également en hausse (+ 4,1 %). Les taxes sur les charges
sont en hausse de seulement 2,5 %, les charges des bailleurs
n’incluant pas de dépenses d’énergie. Celles sur la production de
service de logement connaissent une hausse un peu supérieure à
celle des loyers en raison, d’une part du ralentissement du
montant des travaux réalisés par les bailleurs qui se répercute sur
le revenu foncier imposable, d’autre part de la hausse du produit
de la taxe sur les logements vacants. Pour autant, c’est la taxe
foncière sur les propriétés bâties, les trois quarts de cet agrégat,
qui impose le rythme de croissance de cette catégorie de
prélèvements ; son produit progresse de 4,1 % en 2013,
marquant un nouveau ralentissement.
Les prLes prLes prLes prélèvements liés à l’investissementélèvements liés à l’investissementélèvements liés à l’investissementélèvements liés à l’investissement sont, à l’inverse, en
recul (- 1,8 %). Celui-ci s’explique par le ralentissement de
l’investissement lui-même (fiche I1) qui pèse sur l’ensemble des
composantes de cet agrégat.
Les prélèvements liés aux mutationsLes prélèvements liés aux mutationsLes prélèvements liés aux mutationsLes prélèvements liés aux mutations, enfin, sont également
en fort recul en raison du recul des transactions immobilières dans
l’ancien (fiche I1).
Les prélèvements retracés
Divers types de prélèvements sont retenus dans le compte du logement.Divers types de prélèvements sont retenus dans le compte du logement.Divers types de prélèvements sont retenus dans le compte du logement.Divers types de prélèvements sont retenus dans le compte du logement.
Des prélèvements liés à la consommation associée au service de logement. Depuis la disparition du droit de bail, les loyers payés par les locataires ne font
l’objet d’aucune taxe à la consommation, n’étant pas imposés à la TVA. Ainsi, les taxes retenues dans le CSL touchent les autres consommations associées au
service de logement : d’une part la TVA pesant sur ces consommations (énergie, travaux, charges de copropriété récupérables…) ; d’autre part des taxes
pesant sur certains produits comme les taxes sur l’énergie, sur l’eau ou sur les contrats d’assurances.
Des prélèvements liés à la production de service de logement. Depuis la diminution de l’assiette de la contribution sur les revenus locatifs (CRL), les taxes
pesant sur le service de logement est également quasi-inexistante. Pour autant, d’autres taxes sont dues par les producteurs de service de logement. D’une
part des taxes sur la production de ce service : la taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB), l’imposition des revenus fonciers au titre de l’impôt sur le
revenu, de la CSG (pour les ménages bailleurs) ou de l’impôt sur les sociétés (pour les bailleurs personnes morales), taxes spécifiques sur certains
producteurs (taxe sur les logements vacants, prélèvement sur le potentiel financier des HLM). D’autre part des taxes pesant sur les consommations
intermédiaires permettant la production de ce service : TVA sur les charges des producteurs et taxes spécifiques sur certains produits (énergie, contrats
d’assurances).
Des prélèvements liés à l’investissement en logement. On retrouve dans cette rubrique des taxes d’urbanisme dues au moment de la construction de
logements (taxe locale d'équipement, taxe départementale des espaces naturels et sensibles, participation pour dépassement du COS, versement pour
dépassement du PLD, taxe départementale pour le financement des CAUE). On y inclut aussi l’ensemble des impositions à la TVA pesant sur l’investissement
en logement neuf (TVA sur les logements neufs eux-mêmes, sur les terrains à bâtir, ainsi que sur les frais liés à ces investissements) ainsi que celle pesant
sur les gros travaux d’entretien-amélioration.
Des prélèvements liés aux mutations. Droits d’enregistrement des mutations à titre onéreux, salaire du conservateur des hypothèques (remplacé à
compter du 1er janvier 2013 par la contribution de sécurité immobilière) et impôts sur les plus-values immobilières.
Les prélèvements sLes prélèvements sLes prélèvements sLes prélèvements sont retracés nets des avantages fiscauxont retracés nets des avantages fiscauxont retracés nets des avantages fiscauxont retracés nets des avantages fiscaux. Par exemple, l’imposition des revenus fonciers au titre de l’impôt sur le revenu pour les
ménages bailleurs est net des avantages fiscaux liés aux dispositifs d’investissement locatif (Besson, Borloo, Scellier, Duflot…). De même, la TFPB est nette
des exonérations pour les logements neufs ou pour les logements sociaux mis en place depuis 1973 dans le cadre des dispositifs de financement de
l’investissement.
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A13.1 Évolutions et montants des prélèvements fiscaux relatifs au logement
2010/2010/2010/2010/
2009200920092009
2011/2011/2011/2011/
2010201020102010
2012/2012/2012/2012/
2011201120112011
2013/2013/2013/2013/
2012201220122012
Prélèvements sur la consommation associée au service de logementPrélèvements sur la consommation associée au service de logementPrélèvements sur la consommation associée au service de logementPrélèvements sur la consommation associée au service de logement 6,6%6,6%6,6%6,6% 0,3%0,3%0,3%0,3% 11,1%11,1%11,1%11,1% 5,5%5,5%5,5%5,5% 15 68215 68215 68215 682 24,9%24,9%24,9%24,9%
TVA 7,9% -0,1% 11,5% 5,1% 11 353 18,0%Autres taxes sur les produits 3,3% 1,3% 9,9% 6,5% 4 329 6,9%
Prélèvements sur les producteurs de service de logementPrélèvements sur les producteurs de service de logementPrélèvements sur les producteurs de service de logementPrélèvements sur les producteurs de service de logement 4,3%4,3%4,3%4,3% 4,9%4,9%4,9%4,9% 4,4%4,4%4,4%4,4% 4,1%4,1%4,1%4,1% 26 11826 11826 11826 118 41,4%41,4%41,4%41,4%
Contribution sur les revenus locatifs -1,3% 7,7% 4,0% -12,6% 76 0,1%Taxe foncière sur les propriétés bâties 5,0% 5,0% 4,7% 4,1% 19 615 31,1%Taxes sur les charges 2,8% 2,0% 4,8% 2,5% 1 918 3,0%Taxes sur la production de service de logement 2,1% 5,8% 2,8% 5,1% 4 509 7,2%
Prélèvements sur lPrélèvements sur lPrélèvements sur lPrélèvements sur l'''' investissement en logementinvestissement en logementinvestissement en logementinvestissement en logement -12,8%-12,8%-12,8%-12,8% 11,7%11,7%11,7%11,7% 5,0%5,0%5,0%5,0% -1,8%-1,8%-1,8%-1,8% 12 80312 80312 80312 803 20,3%20,3%20,3%20,3%
Taxes d'urbanisme 11,6% -4,4% 4,6% -27,1% 504 0,8%TVA sur terrains (non récupérée) -45,0% 13,5% 2,4% 0,0% 980 1,6%TVA sur logements neufs -17,1% 15,8% 1,3% 0,3% 7 481 11,9%TVA sur dépenses d'amélioration et gros entretien 3,2% 2,5% 27,5% -0,2% 2 786 4,4%TVA sur autres frais 28,0% 15,0% -10,4% -5,1% 1 052 1,7%
Prélèvements sur les mutationsPrélèvements sur les mutationsPrélèvements sur les mutationsPrélèvements sur les mutations 29,4%29,4%29,4%29,4% 16,3%16,3%16,3%16,3% -9,2%-9,2%-9,2%-9,2% -6,9%-6,9%-6,9%-6,9% 8 4108 4108 4108 410 13,3%13,3%13,3%13,3%
DMTO bruts 7 639 12,1%Salaire du conservateur des hypothèques 33,8% 15,3% -10,7% -6,6% 163 0,3%Impôt sur les plus-values immobilières -25,9% 34,8% 15,3% -10,7% 608 1,0%Ensemble des prélèvementsEnsemble des prélèvementsEnsemble des prélèvementsEnsemble des prélèvements 3,9%3,9%3,9%3,9% 6,9%6,9%6,9%6,9% 3,8%3,8%3,8%3,8% 1,6%1,6%1,6%1,6% 63 01363 01363 01363 013 100,0%100,0%100,0%100,0%
Évolutions en Évolutions en Évolutions en Évolutions en %%%% Montant 2013 Montant 2013 Montant 2013 Montant 2013
(millions (millions (millions (millions
d'euros)d'euros)d'euros)d'euros)
Structure Structure Structure Structure
2013 (en %)2013 (en %)2013 (en %)2013 (en %)
Source : CLS2013
A13.2 Montants des prélèvements relatifs au logement
0
5
10
15
20
25
30
1984 1989 1994 1999 2004 2009
Prélèvements sur la consomation
asociée au service de logement
Prélèvements sur les producteurs
de service de logement
Prélèvements sur l'investissement
en logement
Prélèvements sur les mutations
En milliards d'euros
Source : CLS2013
A13.3 Évolution des prélèvements liés au logement
100
150
200
250
300
350
400
1984 1989 1994 1999 2004 2009
base 100 en
1984
2,0 2,0 2,0 2,0
3,0 3,0 3,0 3,0
4,0 4,0 4,0 4,0
5,0 5,0 5,0 5,0
6,0 6,0 6,0 6,0
7,0 7,0 7,0 7,0
8,0 8,0 8,0 8,0
Prélèvements obligatoiresPrélèvements logement
Prélèvements logement / PO en %
Source : CSL2013
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DEUXIÈME PARTIE
Notes et dossiers
Le passage en Base 2010 du compte satellite du logement 121
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Le passage en Base 2010 du compte satellite du logement Le compte satellite du logement 2013 intègre un ensemble de modifications et de sources en lien principalement avec :
− le passage en Base 2010 de la comptabilité nationale
− l’exploitation des données des états réglementaires des organismes HLM
− la nouvelle offre de marché du Ceren concernant les données sur les consommations énergétiques.
Ces modifications ont été l’occasion d’examiner l’ensemble des méthodologies de chiffrage concourant aux postes de dépenses d’énergie et de charges (occupants et
bailleurs) et de les adapter à ces nouvelles sources. L’ensemble des modifications est décrit de façon plus précise dans les annexes accompagnant cette note.
Le passage en Base 2010 de la comptabilité nationale
Depuis le 15 mai 2014, l'ensemble des agrégats depuis 1949 de la comptabilité nationale ont été modifiés. Les comptes nationaux changent en effet de « base » : ils
passent en Base 2010 notamment pour mettre en œuvre la nouvelle version du Système européen de comptes, le SEC 2010. Celui-ci s'applique à l'ensemble des pays
européens à partir de septembre 2014. Ce règlement introduit d'importantes innovations conceptuelles dont certaines impactent les agrégats du compte satellite du
logement (notamment la description de l'activité des entreprises d'assurance).
L’impact du changement de base de la comptabilité nationale se traduit sous trois formes pour le compte satellite du logement :
− la mobilisation de nouvelles sources pour le calcul des postes de charges (Aprionis pour les frais de personnel par exemple).
− une modification des niveaux de produits de consommation utilisés par le CSL (petits travaux, services d’assurances logement, ….)
− une révision des méthodes de chiffrage et la comparaison avec les observatoires de charges extérieurs (OSCAR de l’UNARC, LeParticulier.fr)
L’exploitation des données des états réglementaires des organismes HLM (BOLERO)
En Base 2010, le CSL exploite directement via l’application Boléro les données issues des états réglementaires applicables aux sociétés anonymes et fondations d’HLM et
aux sociétés anonymes coopératives d’HLM1 renseignant notamment sur la comptabilité de ces organismes. La mobilisation des résultats des comptes d’exploitation
(compte 6 de charges notamment) permet de consolider le compte emplois-ressources (tableau 21) de la filière des bailleurs HLM. En outre, les données sont ventilées
entre montant récupérable et non récupérable, ce qui permet également d’améliorer le chiffrage des postes de charges de consommation de service de logement des
locataires HLM dans le tableau 20 (entretien des parties communes, frais de gardiennage, …)
Ces coûts unitaires continuent à alimenter les chiffrages pour la filière des autres bailleurs sociaux.
En sus des modifications induites par la mobilisation de cette source et décrites dans les annexes, les frais de personnels de gestion (OEP32), la taxe foncière sur les
propriétés bâties (TFPB – OEP41) et les autres frais divers (commissions et courtages sur achats et ventes, rémunérations de gestion, honoraires, frais d'acte et de
contentieux,…) ont également été calés sur les données Bolero (encadré).
1 L’ensemble de ces données permet de produire notamment les chiffres clés du logement social produit par le ministère du logement, de l’égalité des territoires et de la
ruralité.
Les autres postes de charges producteurs calés sur les données BOLERO
Le CSL considère que les personnes physiques ont recours à des intermédiaires ou gèrent elles-mêmes leur parc mais aussi que les personnes morales ont,
par hypothèse, recours également à des intermédiaires. Seuls les organismes HLM et les autres bailleurs sociaux emploient directement des personnels
autres que les gardiens et personnels d’immeubles pour assurer la gestion de leur parc locatif. En Base 2005, le coût de gestion est fixé à 14 % des loyers
annuels. En Base 2010, le CSL s’appuie sur les données BOLERO. Les frais de personnels de gestion (OEP32) sont obtenus en déduisant les frais de personnels
d’immeubles de l’ensemble des charges de personnel. Ce montant représente environ 15,1 % des loyers en 2012. Ce ratio est également appliqué aux
autres bailleurs du secteur social.
A partir de 2006, les montants de TFPB pour les organismes sont calés sur la source Bolero, en amont les données ont été conservées. Les séries en Base
2005 et Base 2010 sont cohérentes entre elles.
Concernant les autres frais, le coût unitaire obtenu avec Bolero est proche de celui utilisé en Base 2005 (1,3 €/m² en 2012).
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122|||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
La nouvelle offre de marché du Ceren concernant les données sur les consommations énergétiques.
Suite à l’appel d’offres du SOeS concernant les consommations énergétiques du parc résidentiel, le Ceren reste le fournisseur de ces données pour le compte satellite du
logement. Néanmoins, après comparaison des parcs de référence (CSL d’une part et Ceren de l’autre) , le CSL2013 n’utilise plus les agrégats fournis par le Ceren en niveau
mais recale des consommations unitaires par logement sur son propre parc. Ce choix méthodologique permettra d’examiner plus finement la cohérence des données
produites par le CSL par celles issues de Phebus et de l’ENL. L’ensemble des modifications inhérentes à cette nouvelle prise en compte des données Ceren est décrite dans
l’annexe 1.
Les tableaux suivants récapitulent les modifications de chiffrage induit par l’ensemble de ces travaux :
− les lignes en bleu correspondent à l’intégration des nouvelles données du Ceren et sont en baisse en raison du recalage des données sur le parc CSL. Le
précédent marché Ceren surestimait en effet le parc de résidences principales.
− les lignes en violet correspondent aux modifications liées aux changements de base du cadre central et aux révisions de méthodes sur les charges de
copropriété.
− les cases en orange correspondent à l’intégration des informations issues de Boléro pour la filière HLM. Leur intégration impacte l’ensemble des filières.
Impacts des modifications sur le tableau 20 (année 2010)
accédants non
accédantsEnsemble
de pers.
physiquesde HLM
d'autres
bailleurs
sociaux
d'autres
pers.
morales
Ensemble
OEO1 - Consommation de service de logementOEO1 - Consommation de service de logementOEO1 - Consommation de service de logementOEO1 - Consommation de service de logement
OEO11 - Loyers (1)
OEO111 - Loyers des locataires (2)
OEO112 - Loyers imputés des propriétaires occupants (3)
OEO113 - Droit au bail
OEO12 - Redevances (4)
OEOOEOOEOOEO2 2 2 2 - - - - Dépenses en énergieDépenses en énergieDépenses en énergieDépenses en énergie - 714 - 714 - 714 - 714 - 2 115 - 2 115 - 2 115 - 2 115 - 2 829 - 2 829 - 2 829 - 2 829 1 892 1 892 1 892 1 892 114 114 114 114 - 209 - 209 - 209 - 209 25 25 25 25 1 822 1 822 1 822 1 822 - 1 007 - 1 007 - 1 007 - 1 007 - 58 - 58 - 58 - 58 - 1 065 - 1 065 - 1 065 - 1 065 0 0 0 0 - 1 065 - 1 065 - 1 065 - 1 065
OEO21 - Abonnements et consommations énergétiques
OEO22 - Abonnements et consommations en eau
OEOOEOOEOOEO3 3 3 3 - - - - Charges locatives récupérablesCharges locatives récupérablesCharges locatives récupérablesCharges locatives récupérables 93 93 93 93 238 238 238 238 331 331 331 331 195 195 195 195 478 478 478 478 102 102 102 102 31 31 31 31 807 807 807 807 1 138 1 138 1 138 1 138 254 254 254 254 1 392 1 392 1 392 1 392 0 0 0 0 1 392 1 392 1 392 1 392
OEO31 - Entretien et petits travaux des parties communes 93 238 331 195 478 102 31 807 1 138 254 1 392 0 1 392
OEOOEOOEOOEO4 4 4 4 - - - - Services extérieursServices extérieursServices extérieursServices extérieurs 725 725 725 725 617 617 617 617 1 342 1 342 1 342 1 342 664 664 664 664 402 402 402 402 100 100 100 100 29 29 29 29 1 195 1 195 1 195 1 195 2 537 2 537 2 537 2 537 396 396 396 396 2 933 2 933 2 933 2 933 0 0 0 0 2 933 2 933 2 933 2 933
OEO41 - Entretien et petits travaux dans les logements 894 1 016 1 910 682 367 97 31 1 177 3 087 - 14 3 073 0 3 073
OEO42 - Multirisques - habitation (primes - indemnités) - 169 - 399 - 568 - 19 35 3 - 2 18 - 550 409 - 141 0 - 141
OEOOEOOEOOEO5 5 5 5 - - - - Frais de personnel Frais de personnel Frais de personnel Frais de personnel ((((partie récupérablepartie récupérablepartie récupérablepartie récupérable)))) - 34 - 34 - 34 - 34 - 78 - 78 - 78 - 78 - 111 - 111 - 111 - 111 - 51 - 51 - 51 - 51 - 56 - 56 - 56 - 56 - 8 - 8 - 8 - 8 - 10 - 10 - 10 - 10 - 126 - 126 - 126 - 126 - 237 - 237 - 237 - 237 0 0 0 0 - 237 - 237 - 237 - 237 0 0 0 0 - 237 - 237 - 237 - 237
OEO51 - Personnels d'immeubles - 34 - 78 - 111 - 51 - 56 - 8 - 10 - 126 - 237 0 - 237 0 - 237
OEOOEOOEOOEO6 6 6 6 - - - - Autres dépenses Autres dépenses Autres dépenses Autres dépenses ((((5555))))
OEO61 - Prestations de service
OEO62 - Déménagements
OEO63 - Frais de baux
CONSOMMATION TOTALE CONSOMMATION TOTALE CONSOMMATION TOTALE CONSOMMATION TOTALE 70 70 70 70 - 1 337 - 1 337 - 1 337 - 1 337 - 1 267 - 1 267 - 1 267 - 1 267 2 699 2 699 2 699 2 699 938 938 938 938 - 15 - 15 - 15 - 15 75 75 75 75 3 698 3 698 3 698 3 698 2 431 2 431 2 431 2 431 591 591 591 591 3 022 3 022 3 022 3 022 0 0 0 0 3 022 3 022 3 022 3 022
OEO7 - Prestations sociales logementOEO7 - Prestations sociales logementOEO7 - Prestations sociales logementOEO7 - Prestations sociales logement
CONSOMMATION NETTE DES AIDESCONSOMMATION NETTE DES AIDESCONSOMMATION NETTE DES AIDESCONSOMMATION NETTE DES AIDES
Pour information, avantages fiscauxPour information, avantages fiscauxPour information, avantages fiscauxPour information, avantages fiscaux
Total Total Total Total
logements logements logements logements
ordinairesordinairesordinairesordinaires
Locaux Locaux Locaux Locaux
dddd''''hébergement hébergement hébergement hébergement
collectifcollectifcollectifcollectif
TOTALTOTALTOTALTOTALRSRSRSRSAnnée Année Année Année 2010 2010 2010 2010 ((((en millions den millions den millions den millions d''''euroseuroseuroseuros): ): ): ): différence entre la Bdifférence entre la Bdifférence entre la Bdifférence entre la B2010 2010 2010 2010
et la B2005.et la B2005.et la B2005.et la B2005.Ensemble
Résidences principalesRésidences principalesRésidences principalesRésidences principales
Propriétaires occupants Locataires
(1) Les loyers réels sont évalués au prix du producteur, c'est à dire Contribution annuelle sur les revenus locatifs (CRL) (anciennement TADB, puis CACRDB)
comprise ; les loyers imputés sont évalués au prix de base.
(2) Ce poste comprend les loyers réellement acquittés par les locataires et les loyers "imputés" aux ménages logés gratuitement. Ces loyers imputés
correspondent aux "transferts à l'occupant" du compte des producteurs (poste 21.8).
(3) Ce poste comprend les loyers des résidences secondaires, lesquels sont évalués par imputation, que le propriétaire occupe lui-même sa résidence ou qu'il
la loue.
(4) Dans le cas des locaux d'hébergement, toutes les charges dont les occupants sont redevables sont comprises dans les redevances, y compris les dépenses
d'énergie.
Sources : CSL2012 et CSL2013
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Impacts des modifications sur le tableau 21 (année 2010)
accédants non
accédantsEnsemble
de pers.
physiquesde HLM
d'autres
bailleurs
sociaux
d'autres
pers.
morales
Ensemble
OEP1 - Charges locatives (non récupérables)OEP1 - Charges locatives (non récupérables)OEP1 - Charges locatives (non récupérables)OEP1 - Charges locatives (non récupérables) 56 56 56 56 150 150 150 150 206 206 206 206 153 153 153 153 359 359 359 359 163 163 163 163 18 18 18 18 693 693 693 693 899 899 899 899 166 166 166 166 7 7 7 7 1 072 1 072 1 072 1 072
OEP11 - Entretien et petits travaux des parties communes (1) 56 150 206 153 359 163 18 693 899 166 7 1 072
OEP2 - Services extérieursOEP2 - Services extérieursOEP2 - Services extérieursOEP2 - Services extérieurs 866 866 866 866 1 878 1 878 1 878 1 878 2 744 2 744 2 744 2 744 790 790 790 790 54 54 54 54 35 35 35 35 2 2 2 2 882 882 882 882 3 626 3 626 3 626 3 626 411 411 411 411 113 113 113 113 4 150 4 150 4 150 4 150
OEP21 - Honoraires de syndic, autres frais 19 20 38 38 38
OEP22 - Petits travaux 821 1 794 2 615 - 0 2 1 0 2 2 617 375 78 3 070
OEP23 - Frais de gestion locative
OEP24 - Primes d'assurances 45 85 129 790 34 15 2 841 971 35 35 1 041
OEP3 - Frais de personnelOEP3 - Frais de personnelOEP3 - Frais de personnelOEP3 - Frais de personnel - 11 - 11 - 11 - 11 - 26 - 26 - 26 - 26 - 37 - 37 - 37 - 37 - 22 - 22 - 22 - 22 119 119 119 119 23 23 23 23 - 4 - 4 - 4 - 4 116 116 116 116 79 79 79 79 - 44 - 44 - 44 - 44 - 41 - 41 - 41 - 41 - 6 - 6 - 6 - 6
OEP31 - Personnels d'immeubles (non récupérables) - 11 - 26 - 37 - 22 - 20 - 6 - 4 - 52 - 89 - 44 - 41 - 174
OEP32 - Personnels de gestion 139 29 167 167 167
OEP4 - Impôts et taxes autres que la TVA OEP4 - Impôts et taxes autres que la TVA OEP4 - Impôts et taxes autres que la TVA OEP4 - Impôts et taxes autres que la TVA 112 112 112 112 - 72 - 72 - 72 - 72 39 39 39 39 148 148 148 148 - 105 - 105 - 105 - 105 - 26 - 26 - 26 - 26 13 13 13 13 31 31 31 31 70 70 70 70 - 49 - 49 - 49 - 49 - 84 - 84 - 84 - 84 - 62 - 62 - 62 - 62
OEP41 - TFPB 112 - 72 39 148 - 105 - 26 13 31 70 - 49 - 84 - 62
OEP42 - Autres impôts et taxes (2)
OEP5 - Intérêts des empruntsOEP5 - Intérêts des empruntsOEP5 - Intérêts des empruntsOEP5 - Intérêts des emprunts - 319 - 319 - 319 - 319 - 75 - 75 - 75 - 75 - 394 - 394 - 394 - 394 - 394 - 394 - 394 - 394 - 394 - 394 - 394 - 394
OEP51 - Sur crédits immobiliers - 319 - 75 - 394 - 394 - 394
OEP6 - Autres dépensesOEP6 - Autres dépensesOEP6 - Autres dépensesOEP6 - Autres dépenses
OEP61 - Prestations de service (non récupérables) (3)
OEP62 - Frais de baux (4)
OEP7 - Impayés sur loyers et chargesOEP7 - Impayés sur loyers et chargesOEP7 - Impayés sur loyers et chargesOEP7 - Impayés sur loyers et charges
OEP8 - Transferts à l'occupantOEP8 - Transferts à l'occupantOEP8 - Transferts à l'occupantOEP8 - Transferts à l'occupant
TOTAL DES CHARGESTOTAL DES CHARGESTOTAL DES CHARGESTOTAL DES CHARGES 1 023 1 023 1 023 1 023 1 930 1 930 1 930 1 930 2 952 2 952 2 952 2 952 1 069 1 069 1 069 1 069 109 109 109 109 121 121 121 121 29 29 29 29 1 328 1 328 1 328 1 328 4 280 4 280 4 280 4 280 483 483 483 483 - 4 - 4 - 4 - 4 4 759 4 759 4 759 4 759
OEPR1 - Production de service de logement (5)OEPR1 - Production de service de logement (5)OEPR1 - Production de service de logement (5)OEPR1 - Production de service de logement (5)
OEPR11 - Loyers
OEPR111 - Loyers des locataires
OEPR112 - Loyers imputés des propriétaires occupants
OEPR113 - Contributions sur les revenus locatifs (6)
OEPR114 - Taxe sur le dépassement du plafond de ressources
OEPR115 - Subventions d'équilibre
OEPR12 - Redevances
OEPR2 - Subventions d'exploitationOEPR2 - Subventions d'exploitationOEPR2 - Subventions d'exploitationOEPR2 - Subventions d'exploitation
OEPR3 - Autres produitsOEPR3 - Autres produitsOEPR3 - Autres produitsOEPR3 - Autres produits - 93 - 93 - 93 - 93 - 165 - 165 - 165 - 165 - 258 - 258 - 258 - 258 259 259 259 259 - 177 - 177 - 177 - 177 - 31 - 31 - 31 - 31 - 20 - 20 - 20 - 20 31 31 31 31 - 227 - 227 - 227 - 227 - 74 - 74 - 74 - 74 - 71 - 71 - 71 - 71 - 372 - 372 - 372 - 372
OEPR31 - Indemnités d'assurances - 93 - 165 - 258 259 - 177 - 31 - 20 31 - 227 - 74 - 71 - 372
TOTAL DES RESSOURCESTOTAL DES RESSOURCESTOTAL DES RESSOURCESTOTAL DES RESSOURCES - 93 - 93 - 93 - 93 - 165 - 165 - 165 - 165 - 258 - 258 - 258 - 258 259 259 259 259 - 177 - 177 - 177 - 177 - 31 - 31 - 31 - 31 - 20 - 20 - 20 - 20 31 31 31 31 - 227 - 227 - 227 - 227 - 74 - 74 - 74 - 74 - 71 - 71 - 71 - 71 - 372 - 372 - 372 - 372
RÉSULTAT BRUT COURANTRÉSULTAT BRUT COURANTRÉSULTAT BRUT COURANTRÉSULTAT BRUT COURANT - 1 139 - 2 187 - 3 326 - 721 - 217 - 155 - 132 - 1 225 - 4 551 - 245 - 58 - 4 854
Consommation de capital fixe en logementConsommation de capital fixe en logementConsommation de capital fixe en logementConsommation de capital fixe en logement
RÉSULTAT NET COURANTRÉSULTAT NET COURANTRÉSULTAT NET COURANTRÉSULTAT NET COURANT
Total Total Total Total
logements logements logements logements
ordinairesordinairesordinairesordinaires
Locaux Locaux Locaux Locaux
d'hébergd'hébergd'hébergd'héberg
ement ement ement ement
collectifcollectifcollectifcollectif
TOTALTOTALTOTALTOTALRSRSRSRS LVLVLVLVAnnée (en millions d'euros): différence entre la B2010 et la Année (en millions d'euros): différence entre la B2010 et la Année (en millions d'euros): différence entre la B2010 et la Année (en millions d'euros): différence entre la B2010 et la
B2005.B2005.B2005.B2005.Ensemble
Résidences principalesRésidences principalesRésidences principalesRésidences principales
Propriétaires occupants Locataires
(1) Ce poste comprend en outre les dépenses d'énergie des locaux d'hébergement collectif et ceux à la charge des propriétaires de logements vacants
(2) Ce poste comprend les impôts sur les revenus fonciers pour les bailleurs de logements loués vides, les contributions sociales, l'impôt sur les sociétés, le
prélèvement sur le potentiel financier des HLM et la taxe sur les logements vacants instituée au 1er janvier 1999.
(3) Comme dans le tableau 20, il s'agit des taxes de balayage et d'enlèvement des ordures ménagères, pour leur part non récupérable. Elles ne concernent
donc que les logements vacants et les logements mis à disposition gratuitement.
(4) Ce poste correspond aux frais de baux et d'agence pour les bailleurs de logements loués vides.
(5) La production de service de logement est évaluée au "prix de base". Les loyers des locataires sont évalués au prix du producteur, les loyers imputés au prix
de base.
La production de service de logement au prix de base s'obtient en retranchant la taxe additionelle au droit de bail de la production au prix du producteur et en
lui ajoutant les subventions d"équilibre
(6) Anciennement la TADB, puis CACRDB. Taxe ayant pour nom Contribution annuelle sur les revenus locatifs (CRL) à compter du 1er janvier 2001
Sources : CSL2012 et CSL2013
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Annexe 1 : les dépenses d’énergie
Le poste « Dépenses en énergie » (OEO212) regroupe les dépenses énergétiques que génère l’occupation d’un logement : dépenses de chauffage, d’eau chaude
sanitaire, de cuisson et d’électricité pour l’éclairage et le fonctionnement des appareils électroménagers. Ces dépenses peuvent faire soit l’objet de factures individuelles
pour les ménages, soit être inclus dans les charges locatives lorsque les réseaux de distribution de chauffage et d’eau chaude sont collectifs. Dans les deux cas, le CSL
retrace la dépense en énergie à ce poste. Seule l’autoproduction en bois est retracée, conformément aux chiffrages de la comptabilité nationale. En revanche, les autres
autoproductions d’énergie (énergies renouvelables notamment) ne sont, quant à elles, pas chiffrées.
Les dépenses d’énergie dans les logements connaissent des évolutions généralement plus marquées que les charges et les loyers. En effet, celles-ci varient sur le long
terme en fonction de l’évolution du parc (nombres de logement et surfaces), de structures du parc (en termes de types d’habitat ou de mode de chauffage, avec par
exemple le remplacement des équipements collectifs au profit de chaudières individuelles) et de la consommation unitaire en kWh/m² (dont l’évolution reflète à la fois
les changements de comportement des ménages et les travaux de maîtrise de l’énergie) mais également en fonction de facteurs plus conjoncturels et fortement
fluctuants d’une année sur l’autre : les conditions climatiques et les prix.
En Base 2005
Les dépenses d’énergie étaient déterminées directement en niveau à partir d’une enquête menée par le Ceren (Centre d’études et de recherches économiques sur
l’énergie) réalisée tous les ans depuis 1992 et dont les données renseignent sur les consommations d’énergie (en kWh et en euros) mais également sur l’équipement et
les énergies utilisés pour le chauffage, la cuisson, et la production d’eau chaude sanitaire. L’enquête renseigne également sur la surface moyenne des logements, le statut
d’occupation (locataire ou propriétaire) et le type d’habitat (individuel ou collectif) des logements enquêtés. Les consommations d’énergie par filières du CSL étaient
ensuite déterminées au prorata des surfaces correspondantes fournies par les enquêtes nationales logement et extrapolées depuis 2006.
L’utilisation exclusive des données fournies par le Ceren a été remise en cause pour deux raisons principales.
- Les marges de calage de l’enquête Ceren (pour se ramener à un parc total) donne des résultats divergents de ceux retenus annuellement au sein du compte
satellite du logement (ventilations individuel / collectif et locataire / propriétaire) en nombre de logements. Ainsi, in fine, on observe des différences en termes
d’équipements de chauffage du parc de logements entre la structure donnée par l’enquête du Ceren et celle donnée par le recensement de la population qui
semble plus fiable (encadré).
- Par ailleurs, les évolutions de prix retenues dans les agrégats fournis par l’enquête Ceren (permettant d’accorder les consommations en kWh et en euros) peuvent
diverger de celles connues par ailleurs : celles du cadre central pour les consommations finales d’énergie et / ou celles données par l’Indice des prix à la
consommation et / ou celles données par la base de données Pégase (acronyme de Pétrole, Électricité, Gaz et Autres Statistiques de l’Énergie).
En Base 2010
Afin de pallier les insuffisances en termes de taille d’échantillon, le CSL retient désormais un parc de logements cohérent avec les autres données retenues pour le
chiffrage du parc (parc total, parc par filières, parc par type d’habitat…). De fait, un parc ventilé par type de logement, filière et mode de chauffage principal est construit sur
la base des informations du recensement et des enquêtes nationales logement (encadré).
L’enquête Ceren n’est donc plus utilisée pour décrire l’équipement du parc. Elle reste en revanche utilisée pour décrire les consommations unitaires dans les logements (en
kWh / m² à climat réel3) et ce :
- par type de logement (individuel / collectif) ;
- par équipement de chauffage principal (chauffage individuel ou chauffage collectif) ;
Les prix pour chacune des énergies sont quant à eux arbitrés par le SOeS sur la base des informations disponibles dans Pégase, dans les indices de prix à la consommation
et dans le cadre central de comptabilité nationale afin de refléter au mieux les évolutions de prix annuelles pour la consommation d’énergie des ménages dans leur
logement ordinaire.
Les dépenses en énergie sont dès lors obtenues, pour chaque énergie, en multipliant des surfaces de logements (cohérentes avec le parc CSL) par des consommations
unitaires issues des enquêtes Ceren (en kWh/m²) et des prix fixés par le CSL.
2 En Base 2005, les dépenses d’eau et de traitement des eaux usées étaient intégrées dans le poste OEO21. En Base 2010, le CSL crée un poste de nomenclature spécifique
pour la dépense en eau (OEO22) afin d’isoler les évolutions de consommation mais aussi de prix entre énergie et eau, les facteurs explicatifs pouvant être différents.
3 En Base 2005, le Ceren donnait des consommations à climat normal que l’on redressait à partir de la formule suivante : consommation à climat réel= consommation à
climat normal * (DJ + X)/ (2250+X) avec DJ le nombre de degrés jours et X un coefficient qui varie selon le type d’habitat et l’énergie de chauffage.
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Résultats
OEO2- Dépenses d'énergie et d'eau
20000
25000
30000
35000
40000
45000
50000
55000
60000
1984 1986 1988 1990 1992 1994 1996 1998 2000 2002 2004 2006 2008 2010 2012
Dépenses d'énergie B2005
Dépenses d'énergie B2010
Champ : résidences principales de France métropolitaine
Source : CSL2012 et CSL2013
La révision à la baisse de l’ensemble des dépenses énergétiques s’explique par le recalage du parc de logements sur le parc issu du CSL. En effet, le parc Ceren augmentait
plus vite que le parc CSL depuis 2006. Ainsi, en 2011, le parc Ceren surestimait le parc de logements d’environ 400 000 résidences principales. Toutefois, sans ce recalage
et à méthode identique, on aurait aussi observé dans les nouvelles données Ceren une dépenses d’énergie en baisse.
Par ailleurs, la comptabilité nationale a revu à la baisse également les montants correspondants à la distribution et l’assainissement de l’eau de 260 millions d’euros en
2011.
Prochaines améliorations
Intégration de l’enquête nationale logement 2013 qui permettra d’actualiser les taux d’équipement en appareils de chauffage par filière sur la période 2007-2013 et
d’identifier plus finement un parc de logements par type d’énergie principale de chauffage.
La construction d’un parc par « type de logement » et « mode de chauffage»
La structure du parc en termes d’équipement de chauffage s’appréhende habituellement sous l’angle du mode de chauffage (chaudière centrale
individuelle, chaudière collective et appareil indépendant de chauffage) et du type d’énergie principale de chauffage utilisée (électricité, gaz, fioul,…). Les
enquêtes nationales logement et le recensement annuel du recensement sont deux sources d’informations concernant les caractéristiques du parc de
logements en terme d’équipements de chauffage. Le Ceren s’appuie en partie sur ces deux sources mais également sur des résultats d’une enquête réalisée
en interne pour arbitrer la structure de son parc et déterminer les marges de calage de son enquête.
La différence majeure entre le recensement et le Ceren s’explique par l’importance des résidences principales comptabilisées hors chauffage central dans
le recensement. En 2010, d’après le Ceren, 1,1 millions de logements utilisent des appareils indépendants de chauffage, le recensement affiche 3 millions
de logements. En conséquence, la part de résidences principales utilisant des énergies de chauffages multiples (bois, solaire, géothermie, etc.) semblent être
sous-estimés dans la source Ceren. Compte tenu de la tendance à la diversification des équipements et énergies utilisées (par exemple de nombreuses
maisons sont équipées d’une chaudière individuelle électrique mais se chauffent principalement au bois), il est difficile à l’heure actuelle de déterminer de
façon précise un parc de logement par mode de chauffage et type d’énergie principale.
Seul la structure par mode de chauffage entre équipements individuels (chaudière centrale individuelle, appareils indépendants de chauffage) et
équipements collectifs (chaudière collective) est identique entre le Ceren et le recensement.
En conséquence, le CSL construit un parc par type de logemenEn conséquence, le CSL construit un parc par type de logemenEn conséquence, le CSL construit un parc par type de logemenEn conséquence, le CSL construit un parc par type de logement et mode de chauffage à l’aide des enquêtes nationales logement et du t et mode de chauffage à l’aide des enquêtes nationales logement et du t et mode de chauffage à l’aide des enquêtes nationales logement et du t et mode de chauffage à l’aide des enquêtes nationales logement et du
recensement et cohérent avec les données retenues par ailleurs pour le chiffrage du parc.recensement et cohérent avec les données retenues par ailleurs pour le chiffrage du parc.recensement et cohérent avec les données retenues par ailleurs pour le chiffrage du parc.recensement et cohérent avec les données retenues par ailleurs pour le chiffrage du parc.
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Annexe 2 : frais de personnel d’immeubles
Les postes « personnels d’immeubles » du compte du logement (OEO51 pour la partie récupérable dans le tableau 20 et OEP31 pour la partie non récupérable dans le
tableau 214) retracent les rémunérations des gardiens et concierges (charges sociales incluses) lorsque ceux-ci sont directement employés par une copropriété ou par le
bailleur d’un immeuble collectif. Ces personnels participent généralement aux tâches d’entretien courant et de nettoyage (y compris évacuation des déchets) et peuvent
également concourir à l’entretien des espaces verts. Lorsque ces activités d’entretien courant sont confiées à des entreprises extérieures, que celles-ci soient mandatées
par un syndic de copropriété ou par le bailleur de l’immeuble, elles apparaissent au poste « entretien et petits travaux des parties communes » (OEO31 pour la partie
récupérable et OEP11 pour la partie non récupérable) ou dans les « prestations de service » (OEO61 et OEP61) pour l’évacuation des déchets lorsque ce service est intégré
à la TEOM.
En Base 2005
Les frais de personnels d’immeubles étaient calculés à partir d’un montant en gardiens d’immeubles fourni par le cadre central de comptabilité nationale5 qui couvrait les
locataires du secteur libre et les propriétaires occupants et issu des travaux de la Base 1995. Le coût en personnels d’immeubles par filière était obtenu au prorata des
surfaces de logement collectifs disposant d’un gardien, informations provenant des enquêtes nationales logement.
Pour les locataires du secteur social, le montant total des frais de gardiens était calculé sur la base d’un coût unitaire pour les bailleurs HLM (5,3 €/m² en 2011)6.
En Base 2010
Le compte satellite du logement bénéficie des travaux menés par le cadre central de comptabilité nationale sur les gardiens d’immeubles visant à regrouper en un seul
poste de produit l’ensemble de la production des gardiens d’immeuble (L68) et à revoir les éléments du chiffrage.
En effet, on dispose désormais, grâce à Aprionis, groupe spécialisé dans la protection sociale, des rémunérations brutes des personnes qui relèvent de la convention
collective nationale des gardiens, concierges et employés d’immeubles (convention 1043) , c’est-à-dire les gardiens d’immeubles employés, pour le compte d’une
copropriété, par un syndic (et qui ne sont pas retracés dans les comptes des syndics). Ce montant est cohérent avec les chiffrages obtenus par ailleurs grâce aux
déclarations annuelles de données sociales (DADS) collectées par l’Insee7. Le CSL considère que ce montant couvre donc le seul champ des ménages, qu’ils soient bailleurs
ou propriétaires occupants. La ventilation de ce montant par filières est réalisée sur la base des surfaces de logements disposant d’un gardien. À partir de cette source , on
obtient un coût unitaire pour le secteur libre de 8,28,28,28,2 €/m²€/m²€/m²€/m² pour 2011, soit un niveau proche de ceux donnés, d’une part par l’observatoire de charges de copropriété de
l’union des associations des responsables de copropriété (UNARC) (8,5 € en 2011), d’autre part par l’enquête du site LeParticulier.fr (8,2 €/m² en 2012). Il s’applique aux
filières des propriétaires occupants, des bailleurs personnes physiques et des autres bailleurs personnes morales8.
Les bailleurs HLM emploient directement les gardiens des immeubles dont ils sont gestionnaires. Le compte satellite du logement, comme le cadre central de
comptabilité nationale s’appuient désormais sur les comptes d’exploitation des organismes HLM (données BOLERO) dans lesquels les charges de gardiens d’immeuble
sont intégralement retracées en salaires (partie récupérable et non récupérable)9. Le coût unitaire obtenu à travers ce chiffrage est de 5,35,35,35,3€€€€/m²/m²/m²/m² en 2011 en 2011 en 2011 en 2011, niveau identique
de celui utilisé en Base 2005. Il s’applique aux bailleurs HLM mais également aux autres bailleurs sociaux.
A partir des coûts unitaires définis ci-dessus (secteur privé et secteur social), des surfaces des logements collectifs (issues du chiffrage du parc de logements) et des taux de
présence de gardiens d’immeubles (fournis par les ENL et constants depuis 2006), la dépense totale en frais de personnels d’immeubles est déterminée par filière. Celle-ci
est ensuite ventilée entre locataire et bailleur (OEO51 et OEP31) sur la base du taux de 75 % (sauf pour les logements vacants dont la dépense est entièrement
enregistrée en non récupérable). 4 Pour les gardiens et concierges, le coût est partagé entre locataire et à bailleur. Le taux de récupération retenue est celui de 75 %. Celui-ci correspond au taux de
récupération dans le cas où le gardien ou le concierge d'un immeuble ou d'un groupe d'immeubles assure, conformément à son contrat de travail, l'entretien des parties
communes et l'élimination des rejets soit la situation la plus fréquence (article 2 du décret n°87-713 du 26 août 1987). C’est cette clé qui permet de ventiler l’agrégat
chiffré entre la consommation de service de logement de l’occupant (OEO51 au tableau 20) et charges des producteurs de service de logement (OEP31 au tableau 21). Elle
s’applique y compris aux propriétaires occupants.
5 Le montant a été fourni jusqu’en 2008 (1 792 millions d’euros, soit 9,4 €/m²). Il a ensuite été prolongé avec l’évolution de la consommation finale des ménages en
gardiens d’immeubles (HT97Z0B) qui ne couvrait qu’une partie de ces rémunérations.
6 Les coûts unitaires retenus datent de 2001 et ont été extrapolés depuis en fonction de l’évolution du coût unitaire observé dans le secteur libre.
7 Les DADS donnent des montants de masse salariale y compris cotisations sociales patronales, alors que Aprionis donne un montant intégrant les cotisations sociales
salariales mais pas les cotisations sociales patronales. Le montant Aprionis recueilli fait donc l’objet d’un retraitement pour intégrer, par barème, les cotisations sociales
patronales. Par ailleurs, une clé fixe est appliquée pour isoler la part de cette masse salariale correspondant à du gardiennage de logements de celle correspondant à
d’autres bâtiments.
8 Les autres personnes morales couvrent essentiellement le secteur des « sociétés financières » (S12) pour lequel le cadre central ne chiffre pas de production de service de
gardiennage. On considère dans le CSL que ces bailleurs emploient directement les gardiens d’immeubles dont ils sont propriétaires (hors convention 1043 – cas identique
aux HLM). Afin de disposer de comptes homogènes avec les autres filières, le CSL extrapole à partir des données du cadre central la dépense en gardiens de cette filière.
9 Les données Boléro ne distinguent pas la masse salariale liée aux gardiens du reste de la masse salariale. Pour autant, elles distinguent la masse salariale récupérable de
la non-récupérable. Or la masse salariale récupérable correspond exclusivement à de la masse salariale de gardiens. On estime donc la masse salariale totale des gardiens
en appliquant un coefficient à la masse salariale récupérable (1/0,75 conformément à l’article 2 du décret n°87-713 du 26 août 1987).
On notera également que la partie récupérable retracée en production dans les comptes HLM fait l’objet d’un traitement spécifique de passage secteur-branche dans le
cadre central de la comptabilité nationale.
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Prochaines améliorations
Intégration de l’enquête nationale logement 2013 qui permettra d’actualiser les taux de présence de gardiens par filière sur la période 2007-2013.
Résultats
Ensemble des frais de gardiens (OEO31 et OEP31)
0
500
1000
1500
2000
2500
3000
3500
4000
1984 1986 1988 1990 1992 1994 1996 1998 2000 2002 2004 2006 2008 2010 2012
Base 2005
Base 2010
Sources : CSL2012 et CSL2013
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Annexe 3 : entretien et petits travaux des parties communes
Les postes « entretien et petits travaux des parties communes » (inclus dans l’OEO31 pour la partie récupérable au tableau 20 et l’OEP11 pour la partie non récupérable au
tableau 21, postes qui incluent en outre les ascenseurs chiffrés par ailleurs - encadré) couvrent les dépenses des habitants et des bailleurs liées à l’entretien courant des
copropriétés et des immeubles collectifs à bailleurs uniques (cas en général des organismes HLM et des personnes morales). Ils retracent à la fois des dépenses en
produits (de nettoyage, d’entretien, de matériel courant comme des ampoules, des vis…) et des dépenses de prestations de services (entreprises de nettoyage – hors
rémunérations de gardiens d’immeubles – entreprises de bâtiment –serruriers, électriciens, plombiers – entreprises de jardinierie…). Ils ne couvrent pas :
- les dépenses d’amélioration et de gros entretien des immeubles, qui interviennent dans l’investissement et contribuent à la formation brute de capital fixe ;
- les rémunérations des gardiens d’immeubles qui participent pourtant à cet entretien courant (voir postes OEO51 et OEP31 et l’annexe 1) ;
- les petits travaux réalisés dans les logements, que ceux-ci soient réalisés par les occupants ou les propriétaires (voir postes OEO41 et OEP22 et l’annexe X) ;
- les dépenses liées à l’entretien des ascenseurs (chiffrés par ailleurs – encadré) ;
- les honoraires de syndic qui rémunèrent l’activité d’intermédiation entre, d’une part les copropriétaires (ou les bailleurs uniques), d’autre part les personnels ou
entreprises concourant à cet entretien.
En Base 2005
Le montant de l'entretien et des petits travaux dans les parties communes pour les locataires du secteur privé et les propriétaires occupants était évalué sur la base de
coûts unitaires fournis par l’Unis (puis Cnab) pour l’Île-de-France (en euros par m²). Ils couvraient les postes suivants de la nomenclature Unis/Cnab :
PostesPostesPostesPostes 2010 (en €/m²)2010 (en €/m²)2010 (en €/m²)2010 (en €/m²)
Exploitation chauffage 0,7
Electricité P.Communes 0,7
Entretien P.Communes 0,3
Espaces verts 0,2
Entretien courant 3,2
Sociétés extérieures 0,7
GardiensGardiensGardiensGardiens10101010 6,16,16,16,1
TotalTotalTotalTotal 11,911,911,911,9
Champ : copropriétés d’Île de France
Source : Unis
Ces coûts unitaires étaient extrapolés au reste du territoire et des filières (secteur locatif libre et propriétaires occupants) grâce à des « gradients » qui permettaient de
refléter des éventuelles différences de coûts unitaires entre les territoires mais aussi et surtout des différences de taux d'équipement ou de recours aux différents postes de
charges décrits dans la nomenclature Unis/Cnab selon la localisation de l’immeuble. Des gradients existaient aussi pour extrapoler marginalement ces postes aux
copropriétés dans l'individuel (pour l’entretien des espaces verts, notamment). Ces gradients, définis en fonction de la tranche de taille d’unité urbaine, des filières et des
types de logement, avaient été calculés à partir de l'ENL1992 et étaient inchangés depuis.
Pour les autres bailleurs personnes morales, on retient les coûts unitaires ainsi définis par zone avec un coefficient de 1,3.
Bailleurs personnes physiquesBailleurs personnes physiquesBailleurs personnes physiquesBailleurs personnes physiques Bailleurs personnes moralesBailleurs personnes moralesBailleurs personnes moralesBailleurs personnes morales Propriétaires ocPropriétaires ocPropriétaires ocPropriétaires occupantscupantscupantscupants
Taille d’unité urbaineTaille d’unité urbaineTaille d’unité urbaineTaille d’unité urbaine CollectifCollectifCollectifCollectif IndividuelIndividuelIndividuelIndividuel CollectifCollectifCollectifCollectif CollectifCollectifCollectifCollectif IndividuelIndividuelIndividuelIndividuel
Espace rural 16,50% 2,30% 23,20% 21,45% 2,99%
Unités urbaines de moins de 100 000 habitants 30,90% 2,90% 33,40% 40,17% 3,77%
Unités urbaines de plus de 100 000 habitants 44,90% 3,80% 39,90% 58,37% 4,94%
Agglomération de Paris 100% 27,90% 100 % 130% 36,27%
Source : Insee-Enquête nationale logement 1992
10 Les gardiens étaient inclus dans le calcul d’un agrégat plus large incluant à la fois l’« entretien et petits travaux des parties communes » (OEO31 et OEP11 hors
ascenseurs) et les « personnels d’immeubles » (OEO51 et OEP31). Cela permettait notamment d'apporter de la robustesse, aux gradients d'une part (voir infra), et aux
séries de coûts données par l'Unis/Cnab d'autre part. Au montant obtenu pour cet agrégat plus large était retranchée la dépense en gardiens d’immeubles, chiffrée par
ailleurs (annexe 2).
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Pour les locataires du secteur social, le coût au m² des charges locatives par tranche urbaine (TU) et type d’habitat était fourni jusqu’en 2003 par l’USH. Une moyenne
mobile est appliquée sur la série source pour lisser les évolutions. Depuis 2003, faute de données, les évolutions observées sur les données de l’Unis sont appliquées à la
série. De fait, c’est le rythme d’évolution des charges au m² dans le collectif en agglomération parisienne qui est appliqué dans le secteur libre ou social et ce quelque soit
la tranche d’unité urbaine.
Au final, les coûts unitaires obtenus étaient ensuite appliqués à des surfaces totales de logements par zones11, par filières et par type de logement puis réagrégés par
filières pour obtenir les montants de l’entretien et des petits travaux des parties communes (OEO31+OEP11 hors ascenseurs) retracés dans le compte. Le partage des
coûts entre occupants et propriétaires est fixé à 60 % (pour OEO31) et 40 % (pour OEP11)12.
Les montants ainsi obtenus s'avéraient peu satisfaisants
- les séries de coûts unitaires sont assez chahutées en raison de l'imprécision liée à la taille de l'échantillon pour la construction des données Cnab/Unis ;
- les gradients calculés à partir de l'ENL1992 n'ont pas été recalculés et ne permettent plus d'appréhender correctement les différences de coûts, de taux
d'équipement et de taux de recours entre Île-de-France et Province ;
- les résultats sur la période récente donnent des montants unitaires au m² assez différents des montants publiés par les observatoires (Le Particulier, OSCAR+) et ceux
que l'on peut estimer à partir des charges de copropriété observés dans la dernière ENL2006 ;
- les résultats des observatoires ne font pas état d'une différence de coût aussi prononcée entre l'Île-de-France et la Province pour ces charges ;
- l'intégration de nouveaux chiffrages en Base 2010 pour les gardiens d'immeubles joue, par effet de vase communiquant, sur ce montant, alors même que les
sources n'ont pas été modifiées (voir annexe 1).
En Base 2010
Le nouveau chiffrage de la dépense en entretien et petits travaux des parties communes (hors ascenseurs) vise à remédier à ces insuffisances et retracer au mieux
l'historique de ces dépenses.
1. Expertise des charges unitaires Unis/Cnab
Les charges Unis/Cnab à l'origine du chiffrage sont assez peu stables au cours du temps, notamment entre 1999 et 2006. Après étude des écarts constatés avec les
observatoires OSCAR+ et du particulier ainsi que les données de l’ENL2006, il semblerait que les données à partir de 2003 reflètent un coût total d'un poste de charges
rapporté à l'ensemble des surfaces collectives (équipées ou non). Avant 2003, compte tenu de l'importance des gradients retenus pour extrapoler la Province (et
l'individuel), elles reflètent probablement un coût total rapporté à des m² "équipés".
C'est pourquoi on utilise des coefficients correcteurs à ces séries permettant de se ramener à une méthodologie constante et disposer de séries reflétant un coût au m²
collectif, équipé ou pas. Ces coefficients correcteurs sont déterminés afin de se rapprocher des évolutions de prix retracées par les indices de prix Insee pour les postes Unis
concernés et des données de coûts unitaires publiées par les autres observatoires (Oscar+ et LePartculier.com).
Sur le secteur libre, les observatoires de charges de copropriété dans le collectif affichent un coût d’entretien courant moyen situé entre 7,8€ et 8,3€/m². Le CSL affiche
quant à lui un coût unitaire de 5,7€/m² en 2011. Le différentiel entre les deux niveaux est lié au dénominateur : alors que les observatoires de charges se rapportent à
des m² équipés, le CSL raisonne sur l’ensemble des surfaces collectives.
2. Expertise des gradients
En cohérence avec ces nouvelles séries de prix unitaires (reflétant des euros par m² équipé ou pas), de nouveaux gradients permettant l’extrapolation au reste du territoire
ont été recalculés sur la base de chaque ENL (1992, 1996, 2001, 2006), reflétant des différences de taux d’équipement / recours.
3. Modification de la méthode
On calcule désormais un coût unitaire de l’entretien et des petits travaux des parties communes (hors ascenseurs) directement sans tenir compte des coûts des gardiens
afin de s'affranchir d'une interaction entre ce chiffrage et celui des gardiens (modulo méthode pour les HLM et les ABS).
4. Mobilisation des données BOLERO pour la filière HLM:
Les comptes d’exploitation des offices et des ESH HLM ainsi que des informations complémentaires sur la maintenance ont permis d’évaluer l’entretien et les petits
travaux réalisés par les organismes HLM. Ce sont les postes « Travaux relatifs à l’exploitation » (611) et « Entretien et réparation » (615) qui ont été essentiellement
11 Les gradients reflétant non seulement des différences de coûts mais également des différences de taux d’équipement / recours, les coûts unitaires par zone, filière et
type de logement s’appliquent à l’ensemble des surfaces.
12 L’ensemble des charges récupérables auprès des locataires est fixé par le décret n°87-7313 du 26 août 1987. Le CSL ne chiffre pas les charges locatives à un niveau
aussi fin que la liste donnée en annexe du décret. C’est pourquoi un coefficient moyen est appliqué à l’ensemble de ce poste. Elle s’applique y compris aux propriétaires
occupants. Seule la dépense liée à l’entretien des ascenseurs fait l’objet d’un chiffrage spécifique (voir encadré).
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mobilisés auxquels les taxes adéquates ont été ajoutées. Ces dépenses couvrant à la fois les parties communes des immeubles et les logements des locataires le poste
« Travaux dans le logement réalisés par le bailleur » (OEP22) correspondant à 2 % des loyers a été déduit de l’agrégat.
Les données BOLERO distinguent la partie récupérable et non récupérable, ainsi on applique désormais le taux de récupération effectif pour évaluer les postes OEO31 et
OEP11. Celui-ci est proche de 60 % soit le niveau utilisé en Base 2005.
Ainsi, on applique à l’ensemble du secteur social un coût d’entretien de 11,2 €/m² en 2012, soit un niveau supérieur à celui affiché en Base 2005 (8,2 €/m²). Cette hausse
s’explique notamment par une nouvelle définition des contours du « petit entretien » et du « gros entretien » dans les comptes d’exploitation des organismes HLM à
partir de 200513. Les dépenses liées au petit entretien ont ainsi fortement augmentées à partir de 2005 tandis que les dépenses liées aux gros travaux ont à l’inverse
diminuées.
Résultats
Entretien et petits travaux des parties communes (OEO31 et OEP11)
0
1000
2000
3000
4000
5000
6000
7000
8000
9000
1984 1986 1988 1990 1992 1994 1996 1998 2000 2002 2004 2006 2008 2010 2012
B2005
B2010
Sources : CSL2012 et CSL2013
13 Avenant modificatif à l’instruction comptable n°92-10, modifiée par les avenants n°95-8 et 98-5, applicable aux sociétés anonymes et fondations d’HLM et aux sociétés
anonymes coopératives d’HLM (NOR : MLVU0800558Q).
Les dépenses d’entretien en ascenseur
Les dépenses d’entretien en ascenseur font l’objet d’un chiffrage spécifique. En Base 2010, le CSL abandonne le calcul spécifique effectué sur
l’agglomération parisienne et raisonne à l’échelle de la France entière.
Le montant total d’entretien et réparation des ascenseurs provient du cadre central de la comptabilité nationale (HF43Z0B). C’est le montant de
consommation HT qui est considéré jusqu’en 2006 puis TTC ensuite conformément à la législation. En effet, l’article 23 de la loi du 6 juillet 1989 modifié par
la loi du 13 juillet 2006 précise que les dépenses doivent être comptabilisées TTC. Ce montant est ventilé entre les filières au prorata des surfaces en
immeubles collectifs équipés d’ascenseurs (informations issues des enquêtes nationales logement). La dépense d’entretien des ascenseurs est récupérable à
73 % (dires d’experts et articles issus d’Internet) auprès du locataire.
Le CSL estime correctement le coût unitaire d’entretien des ascenseurs à l’échelle de la France entière (2,7 €/m²) au vu des valeurs affichés par les
observatoires de charges de copropriété (entre 2,3 et 2,7€/m²).
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Annexe 4 : entretien et petits travaux des logements
Les dépenses liées à l’entretien et les petits travaux concourant à l’occupation d’un logement, qu’ils soient réalisés par l’occupant ou le bailleur, sont retracées dans les
charges. Elles sont incluses dans la consommation associée au service de logement pour les occupants (OEO42 du tableau 20) et dans les emplois des producteurs de
service de logement (OEP22 du tableau 21). L’entretien et les petits travaux dans le logement retracent à la fois des dépenses en produits (de nettoyage, d’entretien,
d’outils de bricolage et d’articles de quincaillerie, …) mais également les dépenses de prestations de services réalisées par une entreprise du bâtiment (travaux de
plomberie, d’électricité, d’isolation,…). Ils ne retracent pas :
− les dépenses d’amélioration et de gros entretien des logements qui abondent le chiffrage de l’investissement en logement (et sont enregistrés en formation
brute de capital fixe (FBCF) dans le cadre central). En effet, les travaux de petit entretien sont renouvelés plus ou moins fréquemment (peinture, plomberie,
réfection des sols,…) alors que les travaux de gros entretien correspondent à des interventions plus lourdes et plus durables qui, par définition de la FBCF,
contribuent à prolonger la durée de vie du logement.
− les dépenses d’entretien et de petits travaux des parties communes, qu’elles soient récupérables ou non, et qui font l’objet d’un chiffrage spécifique (voir
postes OEO31 et OEP11 et l’annexe 3).
En Base 2005
La comptabilité nationale fournit la consommation des ménages en matériaux et services utiles à l’entretien et la réparation d’un logement. L’ensemble des postes n’est
pas pris dans son intégralité puisque ceux-ci peuvent couvrir des produits qui servent à d’autre usage que le logement (par exemple l’utilisation de tapis et moquettes au
sein des voitures particulières). Un agrégat global de consommation finale en « Entretien et petits travaux » était ainsi déterminé duquel on déduisait la consommation
liée à l’entretien des parties communes à la charge des ménages. Ainsi, la partie récupérable (OEO31) des locataires et la partie récupérable et non récupérable des
propriétaires occupants (OEO31 et OEP11) étaient déduites de cet agrégat. Ce traitement reposait sur les deux hypothèses suivantes :
− Les dépenses d’entretien des parties communes non récupérables des locataires étaient considérées comme retracées en consommation intermédiaires des
sociétés non financières (organismes HLM, assurances,…) pour la production de service de logement.
− La consommation finale intègre l’ensemble des dépenses de travaux des propriétaires occupants et il n’existe pas de consommation intermédiaire de travaux
d’entretien incluse dans la production de service de logement pour leur compte propre.
Une fois déduit l’entretien des parties communes, l’agrégat constituait le poste OEO41 que l’on ventilait par filières du CSL sur la base de clés de répartition déterminées à
partir des enquêtes budgets des familles.
L’entretien et les petits travaux réalisés par le bailleur (retracés dans le poste OEP22) équivalaient à 2 % de la masse des loyers. Ces montants n’étaient pas considérés
comme pris en compte dans l’agrégat de consommation final des ménages. Le poste était nul pour les propriétaires occupants.
En Base 2010
Le nouveau chiffrage de la dépense en entretien et petits travaux dans le logement vise à confirmer les hypothèses prises sur la consommation finale des ménages en
accord avec les travaux menés par la comptabilité nationale en Base 2010. Ces modifications sont de trois ordres :
− Les niveaux des postes inclus dans l’agrégat global « Entretien et petits travaux du logement ». ont étés revus.
− Une nouvelle table de passage entre produits de consommation et COICOP (Classification of Individual Consumption by Purpose) a été crée.
− Un compte pour la branche L68 « Activités immobilières » des ménages et par extension l’estimation de consommations intermédiaires en appui sur les
chiffrages du CSL.
En lien avec ces modifications, le CSL considère que le poste relatif aux travaux dans le logement réalisés par le bailleur (OEP22) équivalant à 2 % des loyers est désormais
non nul pour les propriétaires occupants. On considère ainsi qu’il existe une consommation intermédiaire de travaux d’entretien incluse dans la production de service de
logement pour leur compte propre, à l’identique des bailleurs.
Ainsi, la logique de l’obtention du poste « Entretien et petits travaux dans le logement effectués par l’occupant (OEO41) » par solde est inchangée par rapport à la Base
2005. Néanmoins, les éléments à déduire ont été précisés en Base 2010. Le tableau synthétique suivant permet de rendre compte de ces opérations.
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Tableau synthétique du chiffrage de l’entretien et des petits travaux.
(1) Le terme « ménages » renvoient aux filières CSL du compte suivantes : bailleurs personnes physiques, propriétaires occupants et résidences secondaires.
(2) Le terme « Autres bailleurs » renvoient aux filières CSL du compte suivantes : bailleurs HLM, autres bailleurs sociaux et autres bailleurs personnes morales.
L’agrégat total d’entretien et de petits travaux (carré jaune bordure épaisse) est obtenu en agrégeant la consommation finale des ménages et en prenant en compte la
consommation intermédiaire en « entretien et petits travaux » du compte de branche L68 des ménages. De cet agrégat est déduit :
− Le poste « Entretien et travaux des parties communes récupérables » (OEO31) pour l’ensemble des filières.
− Le poste « Entretien et travaux des parties communes non récupérables » (OEP11) des filières ménages (bailleurs personnes physiques, propriétaires
occupants, résidences secondaires,…) inclus dans la consommation intermédiaire des ménages pour le compte de branche L68 (carré vert bordure pointillée).
Le poste OEP11 des autres bailleurs personnes morales (carré bleu bordure pointillée) sont comptabilisés au niveau du cadre central dans la consommation
intermédiaire de la branche L68 de ces secteurs institutionnels sans y être isolés aussi finement que le réalise le CSL.
− A l’identique, le poste « Travaux dans les logements effectués par le bailleur » (OEP22) des filières ménages (bailleurs personnes physiques, propriétaires
occupants, résidences secondaires,…) inclus dans la consommation intermédiaire des ménages pour le compte de branche L68 (carré vert bordure pointillée).
Les postes OEP22 des autres bailleurs personnes morales (carré bleu bordure pointillée) sont comptabilisés au niveau du cadre central dans la consommation
intermédiaire de la branche L68 de ces secteurs institutionnels sans y être isolés aussi finement que le réalise le CSL.
Ainsi, on obtient le poste « Entretien et petits travaux dans le logement effectués par l’occupant » OEO41. La ventilation par filière du CSL s’effectue, comme en Base 2005,
sur la base de clés de répartitions issues de l’enquête Budget des familles.
La consommation finale des ménages a été déterminée suivant une nouvelle nomenclature de produits en accord avec la COICOP et en ajoutant des postes de produits
relatifs à l’entretien du logement.
OEO31 : Entretien et
travaux des parties
communes
récupérables
OEP22 : Travaux dans les logements
effectués par les bailleurs OEO41 : Entretien et petits travaux dans le
logement effectués par l’occupant
Ensemble des filières
Autres bailleurs (2) Ménages (1)
Ménages (1) Autres bailleurs (2) Ensemble des filières
OEP11 : Entretien et travaux des
parties communes non
récupérables
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Tableau synthétique des postes de consommation finale intégrés
Code produitCode produitCode produitCode produit Libéllé produitLibéllé produitLibéllé produitLibéllé produit Part prise B2005Part prise B2005Part prise B2005Part prise B2005 Part prise B2010Part prise B2010Part prise B2010Part prise B2010
HC13Z3G Tapis et moquettes 80% 80%
HC16Z1 Sciage, rabotage et imprégnation du bois 80% 100%
HC16Z2 Placage et panneaux de bois 100% 100%
HC17B2E Papiers peints 100% 100%
HC20B1B Produits d’entretien 50% 10%
HC20C2 Peintures, vernis, encres et mastics 100% 100%
HC20C3C Colles 100% 100%
HC22B3 Éléments en matières plastiques pour la construction 100% 80%
HC23A1 Façonnage et transformation du verre plat 100% Non inclus
HC25E1B Serrures et ferrures 100% 80%
HC25E2A Articles en fils métalliques 100% 80%
HC25E2B Vis et boulons 100% 80%
HC27B3D Lampes 100% 80%
HC27B3G Autres matériels électriques 80% 80%
HC27B4 Fils, câbles et matériel d’installation électrique 100% 80%
HF43Z0A Petit entretien et réparation du logement 100% 100%
HF43Z0B Réparation d'ascenseurs 100% 100%
HN81Z0B Services de nettoyage 50% 100%
HS95Z0H Réparation d'autres biens personnels et domestiques 10% Non inclus
HC13Z3B Linge de maison Non inclus 10%
HC13Z3F Autres articles confectionnés en textile Non inclus 10%
HC19Z2D Autres fiouls (white spirit) Non inclus 100%
HC20B1A Savons de ménage et détergents Non inclus 10%
HC23B1 Produits réfractaires, céramique, briques, tuiles Non inclus 50%
HC23B5B Produits abrasifs Non inclus 50%
HC25E1C Outillage à main et outillage mécanique Non inclus 50%
HC28A9 Outillage portatif à moteur incorporé Non inclus 80%
HC32C0C Brosserie Non inclus 10%
HN81Z0C Services d'aménagement paysager Non inclus 100%
Les produits surlignés en orange correspondent aux produits inclus dans la fonction « Logement » de la COICOP.
Les produits surlignés en gris correspondent aux produits retirés de la nomenclature en Base 2010.
Résultats
En 2010, le montant total de consommation finale en « Entretien et petits travaux dans le logement » est revu à la hausse de 3,0 milliards et ce en raison de plusieurs
facteurs :
− A nomenclature constante de produits, le cadre central a revu à la hausse la consommation des ménages de 1,3 milliards d’euros. La révision la plus
significative concerne le poste « Petit entretien et réparation du logement » (HF43Z0A) revu à la hausse de + 3,6 milliards d’euros en 2010, les autres postes
ayant été revu à la baisse..
− Le calage sur la fonction 4 « Logement » de la nomenclature COICOP et la modification des coefficients liés aux produits inhérent entraînent une révision à la
hausse de 1,2 milliards d’euros.
− L’intégration de nouveaux postes de produits et la révision à la baisse de certains coefficients pour d’autres produits entraîne une révision à la hausse de 700
millions d’euros.
− A l’inverse, les postes de produits retirés de la nomenclature entraînent une révision à la baisse de 200 millions d’euros.
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L’intégration des consommations intermédiaires et la révision des postes de nomenclature qui viennent en déduction de l’agrégat total se compense mutuellement.
Ainsi, la révision sur le poste solde OEO41 est de 3,0 milliards d’euros.
OEO41 - Petits travaux dans le logement
0
5000
10000
15000
20000
25000
1984 1986 1988 1990 1992 1994 1996 1998 2000 2002 2004 2006 2008 2010 2012
OEO41 Base 2005
OEO41 Base 2010
Sources : CSL2012 et CSL2013
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Annexe 5 : assurances liées au logement
Les dépenses d’assurances retracées dans le compte satellite du logement couvrent l’ensemble des assurances multirisque habitation, qu’elles soient liées au logement
ou aux parties communes de l’immeuble (assurances de copropriété) er qui visent à couvrir les dégâts liés aux événements tels que les incendies ou les dégâts des eaux.
- Les dépenses d’assurances multirisque habitation supportées par le consommateur-occupant (OEO41 au tableau 20 de la consommation associée au service de
logement) concernent exclusivement le logement. En cohérence avec les concepts de comptabilité nationale, c’est la consommation de service d’assurance qui est
retracée, et non les primes payées par les producteurs14.
- Les dépenses d’assurances supportées par le producteur-bailleur concernent d’une part les assurances des immeubles, qu’elles soient souscrites par le syndic dans le
cas des copropriétés ou par un bailleur unique (cas des HLM notamment). À compter de la Base 2010, elles couvrent également les assurances des ménages-
bailleurs pour les logements qu’ils mettent en location. En revanche, faute de source, ces dépenses ne couvrent pas les assurances « loyers impayés » engagées par
les bailleurs le cas échéant. Pour les producteurs, le CSL retrace comme en Base 2005, d’une part les primes d’assurances qui constituent un emploi (OEP24 au
tableau 21), d’autre part les indemnités, qui constituent une ressource (OEPR31au tableau 22). Le poste OEPR31 reste alimenté par des indemnités exceptionnelles
(par exemple, celles liées aux tempêtes Lothar et Martin de 1999) qui n’entrent pas dans le calcul de la production de service de logement.
En Base 2005
Le montant des primes d'assurances incluant à la fois les assurances des occupants et les assurances de copropriété est donné par le cadre central sur la base des
informations collectées dans les états réglementaires des compagnies d’assurances. Ce montant correspond aux « primes nettes des dommages aux biens particuliers ».
Ce montant est hors taxes. On y ajoute donc la taxe sur les contrats d’assurances calculée par barème au taux de 14,5 % depuis 1984. Le montant des primes
d’assurances de copropriété est estimé sur la base de l'enquête Unis pour le secteur libre (donnant des coûts unitaires au m²) et des données fournies par l’USH pour le
secteur HLM. Le montant des assurances des occupants, obtenu par solde, est ventilé par filières sur la base de la structure des montants de primes donnée par les
enquêtes budget des familles.
Le montant total des indemnités liées au logement, incluant à la fois celles des occupants et celles de copropriété, est également fourni par le cadre central. Il correspond
aux « sinistres payés des dommages aux biens particuliers ». Le montant des indemnités d’assurances de copropriété, par filières, est estimé sur la base d'un ratio
sinistres/primes (estimation proche de 80%). Le solde des indemnités correspondant aux indemnités des occupants est ventilé par filières selon les mêmes clés que les
primes. Les indemnités exceptionnelles, correspondant aux dégâts causés par les grosses tempêtes (Lothar et Martin en 1999, Klauss en 2009 et Xynthia en 2010 ) et qui
bénéficiaient de traitements particuliers dans le cadre central de comptabilité nationale en Base 2005, sont attribuées aux producteurs de service de logement.
En Base 2010
Les travaux du cadre central sur les comptes des sociétés d’assurances15 ont été l’occasion de revoir le chiffrage des assurances au sein du CSL. Le cadre central,
conformément aux calculs prudentiels des compagnies d’assurances, chiffre désormais la production de services d’assurances à travers un concept d’indemnités
attendues qui se substitue à la mesure des indemnités réellement versées. Les indemnités attendues sont évaluées sur la base d’un ratio annuel sinistres/primes lissé sur
plusieurs années et intégrant les indemnités exceptionnelles des années 2009 et 2010. Des informations auxiliaires ont permis en outre de revoir la consommation de
services d’assurances selon les fonctions. Grâce à ces avancées qualitatives dans la connaissance des comptes des compagnies d’assurances, le CSL retrace désormais
directement la consommation finale en services d’assurances au lieu de s’intéresser aux montants des primes et des indemnités.
L’établissement d’un compte de branche pour les ménages sur l’activité immobilière (L68) par le cadre central fournit désormais une consommation intermédiaire des
ménages en assurances pour la production de service de logement.
a. Le montant total des dépenses de services d’assurances (OEO42, OEP24, OEPR31)
Ainsi, le montant des dépenses d’assurances pour le logement (OEO42, OEP24 et OEPR31 hors indemnités exceptionnelles) est désormais issu du poste de
consommation finale des ménages en « Assurances logement » (HK65Z2B) dans lequel le CSL isole le montant des contrats « dommages aux biens particuliers » et
« catastrophes naturelles » (les contrats « construction » étant attribués à de l’investissement et non à de la dépense courante »). La consommation intermédiaire des
ménages en services d’assurances pour le service de logement est ajoutée au montant de consommation finale. Le montant retenu est TTC auquel on ajoute la taxe
spéciale sur les contrats d’assurance16. Comme en Base 2005, on déduit de cet agrégat total le solde primes moins indemnités des assurances de bailleurs (OEP24-
OEPR31).
14 En comptabilité nationale, la production de service d’assurances correspond, en première approche, au solde primes-indemnités. Néanmoins, elle inclut également
d’autres éléments des ressources des assureurs, et notamment les produits financiers des compagnies d’assurances. En effet, la comptabilité nationale considère que des
produits sont redistribués par les assureurs aux ménages, qui consomment ce montant en service d’assurances.
15 Les comptes nationaux passent en Base 2010, Annexe 3« L’assurance dans les comptes nationaux en Base 2010 », mai 2014.
16 L’article 1001 du CGI concernant les tarifs de la taxe spéciale sur les contrats assurances précise que les risques incendie sont au taux de 30 % et les autres garanties au
taux de 9 %. Le rapport annuel de la FFSA (Fédération française des sociétés d’assurances) indique la part du risque incendie dans les contrats multirisques habitation
(17 % en 2013). La taxe spéciale sur les contrats d’assurances s’établit ainsi à 12,6 % en 2013. La baisse de la part du risque incendie depuis les années 2000 explique la
baisse de la taxe, fixée constante à 14,5 % en Base 2005.
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b. Primes et indemnités d’assurances des propriétaires au titre de la copropriété (OEP24 et OEPR31)
Pour le secteur libre, comme en Base 2005, le montant des assurances de copropriété est défini sur la base des coûts unitaires (en euros par m²) des primes d’assurances
pour les copropriétés d’Ile-de-France fournis par l’Unis. Les séries Unis allant de 1990 à 2010 sont cohérentes avec l’évolution de l’indice des prix à la consommation pour
les assurances habitation. En outre, les niveaux donnés par ces séries sont cohérents avec ceux issus des autres observatoires de charges (entre 1,7 et 1,8 €/m² pour
2010). Les niveaux 1984-1990 de la Base 2005 sont conservés. En aval (2010-période actuelle), les niveaux sont extrapolés sur la base de l’indice de prix à la
consommation reflétant les prix des primes.
Pour extrapoler à la France entière, des prix au m² pour les autres zonages (par TU) sont calculés à partir de rapports de prix de charges entre zones (prix pour une TU
donnée / prix pour l’IdF). Jusqu’en Base 2005, ces gradients-étaient issus de l'ENL92 et correspondaient à la mesure des charges locatives (annexe 3). Le CSL actualise ces
gradients en Base 2010 : ils sont désormais calculés sur la base des différentiels de prix des primes d’assurances payées par les occupants des logements sur l’ensemble
de la période dans les enquêtes budget des familles – infra)17.
Pour le secteur social, on mobilise désormais les comptes des organismes HLM (Boléro) qui donnent directement des montants de primes d’assurances globaux hors
taxes auquel on ajoute la taxe spéciale sur les contrats d’assurances. Ceux-ci permettent de chiffrer directement la filière HLM. Ils permettent en outre de calculer des coûts
unitaires au m² que l’on applique aux « autres bailleurs sociaux ». Les résultats obtenus pour la filière HLM sont cohérents avec les anciens niveaux de coûts unitaires en
euros par m² fournis par l’USH qui avaient permis d’extrapoler la série en Base 1995 (soit entre 0,6 et 0,7 €/m² en 2010).
Sur la base de ces montants de primes TTC, on évalue des indemnités d’assurances (OEPR31) en appliquant :
- un coefficient annuel sinistres / primes donné par le cadre central de comptabilité nationale pour l’ensemble des dommages aux biens ;
c. Primes et indemnités d’assurances des propriétaires bailleurs au titre des logements loués (OEP24 et OEPR31)
En Base 2010, on isole également le montant de la consommation de services d’assurances des bailleurs personnes physiques au titre du logement, qui ne concerne que
les bailleurs personnes physiques. On utilise pour cela un prix unitaire de primes au m² défini comme la moitié du prix unitaire au m² pour les locataires occupants (voir
infra) et le même coefficient annuel sinistres/primes que pour l’ensemble des assurances logement.
d. Consommation de services d’assurances par les occupants (OEO42)
La consommation en services d’assurances des occupants est obtenue par solde entre, d’une part le montant retenu par le CSL à partir des éléments du cadre central,
d’autre part les montants calculés en primes et indemnités pour les producteurs de services de logement (supra) : on a OEO42= (a)-(solde de l’opération primes moins
indemnités en b et c).
La ventilation par filières de ce montant est modifiée par rapport à la Base 2005 : au lieu de prendre un montant total de primes d’assurances par filière dans les enquêtes
Budgets des familles, on s’intéresse au coût unitaire par filière. Les clés de ventilation par filières sont obtenues par extrapolation aux surfaces du parc. De fait, une part de
cette consommation de service d’assurance habitation par les occupants est attribuée aux résidences secondaires, ce qui n’était pas le cas en Base 2005.
17 On fait donc l’hypothèse que les rapports de prix unitaires entre zonages pour les assurances de copropriété sont identiques à ceux des assurances logement des
occupants.
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Résultats
Au final, la dépense en services d’assurances des occupants est lissée par rapport à la Base 2005 du fait des changements de méthode du cadre central de comptabilité
nationale.
OEO42 - Assurances multi-risques habitation
0
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1984 1986 1988 1990 1992 1994 1996 1998 2000 2002 2004 2006 2008 2010 2012
Assurances B2005
Assurances B2010
Sources : CSL2012 et CSL2013
En revanche, le montant des primes d’assurance à la charge des bailleurs a été revu à la hausse en lien avec l’intégration des assurances liées aux logements loués par
des BPP. L’augmentation des primes d’assurances à partir de l’année 2001 s’explique par le rattrapage des cotisations suite à la tempête de décembre 1999 et la
modification de la prise en compte des catastrophes naturelles dans les contrats multirisque habitation 18
OEOP24 - Primes d'assurances copropriété
0
500
1000
1500
2000
2500
1984 1986 1988 1990 1992 1994 1996 1998 2000 2002 2004 2006 2008 2010 2012
Assurances B2005
Assurances B2010
Sources : CSL2012 et CSL2013
18 Arrêtés du 5 septembre 2000 modifiant les articles A. 125-1 et A. 125-2 et créant un nouvel article A. 125-3 du Code des assurances. Ils instaurent de nouvelles
franchises et clarifient l’assiette du taux de la surprime de la garantie catastrophes naturelles.
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TROISIÈME PARTIE
Tableaux statistiques
Les comptes annuels du logement en 2013 143
Tableau 20 – Consommation associée au service de logement par filières 144
Tableau 21-22 – Compte des producteurs de service de logement par filières (emplois et ressources) 145
Tableau 23 – Les acquisitions de logements et les travaux par filières 146
Tableau 24 – Le financement des acquisitions de logements et des travaux par filières 147
Tableau 30 – Les aides au logement 148
Les séries chronologiques du compte du logement (1984 – 2013) 149
Tableaux 20 à 24 pour l’ensemble des logements ordinaires 151
Tableaux 20 à 24 pour la filière des propriétaires accédants 157
Tableaux 20 à 24 pour la filière des propriétaires non accédants 163
Tableaux 20 à 24 pour la filière des bailleurs personnes physiques (BPP) 169
Tableaux 20 à 24 pour la filière des bailleurs HLM 175
Tableaux 20, 21 et 22 pour la filière des locaux d’hébergement collectif 181
Tableaux complémentaires au compte (1984 – 2013) 185
Les aides publiques et les prélèvements 224
Les aides personnelles : répartition et évolution 229
Les circuits de financement 232
Le parc de logements 235
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Les comptes annuels en 2013
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144 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 20 – Consommation associée au service de logement par filières
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 145
Tableau 21-22 – Comptes des producteurs de service de logement par filières (emplois et ressources)
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
146 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 23 – Les acquisitions de logements et les travaux par filières
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 147
Tableau 24 – Le financement des acquisitions de logements et des travaux par filières
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
148 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 30 – Les aides au logement (a)
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R.S.
R.S.
R.S.
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Loge
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Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 149
Les séries chronologiques
du compte du logement
(1984 – 2013)
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150 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 151
Ensemble des logements
ordinaires
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
152 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 20 – Consommation associée au service de logement pour l’ensemble des logements ordinaires
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 153
Tableau 21-22 – Comptes des producteurs de service de logement pour l’ensemble des logements ordinaires (emplois et
ressources)
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
154 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 23 – Les acquisitions de logements et les travaux pour l’ensemble des logements ordinaires
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 155
Tableau 24 – Le financement des acquisitions de logements et des travaux pour l’ensemble des logements ordinaires
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Propriétaires accédants
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
158 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 20 – Consommation associée au service de logement pour les propriétaires accédants
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 159
Tableau 21-22 – Comptes des producteurs de service de logement pour les propriétaires accédants (emplois et ressources)
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
160 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 23 – Les acquisitions de logements et les travaux pour les propriétaires accédants
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 161
Tableau 24 – Le financement des acquisitions de logements et des travaux pour les propriétaires accédants
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Propriétaires non accédants
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164 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 20 – Consommation associée au service de logement pour les propriétaires non accédants
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 165
Tableau 21-22 – Comptes des producteurs de service de logement pour les propriétaires non accédants (emplois et ressources)
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
166 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 23 – Les acquisitions de logements et les travaux pour les propriétaires non accédants
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 167
Tableau 24 – Le financement des acquisitions de logements et des travaux pour les propriétaires non accédants
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Bailleurs personnes physiques
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
170 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 20 – Consommation associée au service de logement pour les bailleurs personnes physiques
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 171
Tableau 21-22 – Comptes des producteurs de service de logement pour les bailleurs personnes physiques (emplois et
ressources)
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
172 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 23 – Les acquisitions de logements et les travaux pour les bailleurs personnes physiques
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 173
Tableau 24 – Le financement des acquisitions de logements et des travaux pour les bailleurs personnes physiques
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Bailleurs HLM
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176 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 20 – Consommation associée au service de logement pour les bailleurs d’HLM
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 177
Tableau 21-22 – Comptes des producteurs de service de logement pour les bailleurs d’HLM (emplois et ressources)
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
178 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 23 – Les acquisitions de logements et les travaux pour les bailleurs d’HLM
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 179
Tableau 24 – Le financement des acquisitions de logements et des travaux pour les bailleurs d’HLM
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Locaux d’hébergement collectif
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
182 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 20 – Consommation associée au service de logement pour les locaux d’hébergement
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 183
Tableau 21-22 – Comptes des producteurs de service de logement pour les locaux d’hébergement (emplois et ressources)
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
184 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 185
Tableaux complémentaires
au compte
Les aides publiques et les prélèvements
Tableau 311 – Montant des aides au logement : ventilation par type de dispositif 186
Tableau 312 - Montant des aides au logement : ventilation par filière de bénéficiaires 188
Tableau 321 – Montant des prélèvements fiscaux relatifs au logement 189
Les aides personnelles : répartition et évolution
Tableau 341 - Nombre de bénéficiaires 191
Tableau 342 - Montants 192
Tableau 343 - -Montants mensuels moyens 193
Les circuits de financement
Tableau 40 - Situation du Livret A – Dépôts et prêts 194
Tableau 41 - Épargne – Logement 195
Tableau 42 - Participation des employeurs à l’effort de construction 196
Le parc de logements
Tableau 50 -Répartition des logements selon leur catégorie et le type de logement 197
Tableau 51 - Répartition des résidences principales par filière 198
Tableau 50 sans DOM - Répartition des logements selon leur catégorie et le type de logement en métropole 199
Tableau 51 sans DOM - Répartition des résidences principales par filière pour la métropole 200
Tableau 52 - Structure d’hébergement collectif : Répartition du nombre de lits selon le type d’hébergement 201
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
186 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 311 - Synthèse des aides au logement
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
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(1) Hors primes de déménagement
(2) Y compris dépenses de consommation des administrations publiques (pour l'hébergement en CHRS par exemple) - Voir dossier méthodologique dans le
compte du logement 2012
(3) Autres prestations sociales: primes de déménagement, Allocation de logement temporaire (ALT), aides des fonds de solidarité logement, aides aux
ménages d'Action logement, assistance sociale logement des organismes de sécurité sociale
(4) Y compris subvention pour surcharge foncière
(5) Y compris Palulos
(6) Y compris versement à l'Association foncière logement (AFL)
(7) Ensemble des dépenses de l'Anah, y compris ancienne Prime à l'amélioration de l'habitat (PAH), Résorption de l'habitat insalubre (RHI), Amélioration de la
qualité de service (AQS) et aides versées en délégation de gestion
(8) Aides spécifiques aux DOM (LES, LAS, PSI...), Farif (jusqu'en 2003) et Aide de solidarité écologique (ASE) du Fonds d'aide à la rénivation thermique (Fart)
(9) Le montant de l'aide fiscale pour le taux de TVA réduit concerne ici les petits travaux dans le logement et la part récupérable des petits travaux des parties
communes, qui sont à la charge des occupants
(10) Exonération du droit de bail des loyers annuels inférieurs au plafond et exonération du gaz naturel utilisé pour le chauffage des immeubles à usage
principal d'habitation (de 1991 à 2005) et crédit d'impôt pour dépenses d'entretien (de 1999 à 2001)
(11) Réduction d'impôts pour la construction ou l'acquisition de logements destinés à la location (1986-2001); déduction dégressive sur les revenus des
logements neufs (amortissement accéléré); déduction forfaitaire de 35% et 25% sur le revenu des propriétés urbaines neuves affectées à usage d'habitation
principale; réduction d'impôt au titre des investissements locatifs dans les résidences de tourisme en zone rurale; dispositifs spécifiques aux DOM; dispositifs
"Besson", "Périssol", "Robien", "Borloo", "Scellier" (y compris Scellier intermédiaire et Scellier Outre-mer), "Duflot"
(12) Y compris exonérations pour les logements des organismes HLM situés en ZUS
(13) Y compris TVA à taux réduit sur les gos travaux d'entretien-amélioration des organismes HLM financés sur fonds propres
(14) Réduction d'impôt pour frais de ravalement (jusqu'en 2003); déduction, pour le calcul du revenu net catégoriel (revenus fonciers), des dépenses de
grosses réparations et d'amélioration; réduction d'impôt pour grosses réparations, isolation thermique; réduction d'impôts pour dépenses de gros équipements
dans l'habitation principale; crédit d'impôt "développement durable"; taux de TVA réduit pour travaux;
(15) Le montant de l'aide fiscale pour le taux de TVA réduit concerne ici les gros travaux dans les logements et la part non récupérable des petits travaux des
parties communes, qui sont à la charge des bailleurs
(16) Déduction du revenu global des déficits et charges foncières afférents aux monuments historiques, nues-propriétés et opérations groupées de
restauration immobilière; exonération du revenu des logements loués à certaines personnes défavorisées; exonération du revenu tiré des logements vacants
mis sur le marché locatif; déduction forfaitaire sur les revenus fonciers (écart à la norme de 10%); exonération de l'impôt sur les sociétés en faveur des HLM;
régime d'imposition simplifié des revenus fonciers (régime "micro-foncier"); location en meublé non professionnelle (LMNP)
(17) Exonération de la TVA pour la vente de logements sociaux (HLM et SEM); taux de TVA à 5,5% accession sociale ZUS; imposition à taux réduit des
acquisitions de terrains à bâtir
(18) Inclut aujourd'hui: les opérations en PLUS, PLAI, PLI et PLS, l'Éco-prêt logement social, les autres prêts versés par la CDC aux bailleurs sociaux. Inclut
auparavant l'ensemble des prêts aux bailleurs sociaux versés par la CDC, le CFF, ainsi que les prêts PALULOS.
(19) Y compris avantages de taux sur les prêts consentis à l'Association foncière logement (AFL)
(20) Prêts d'accession à la propriété (PAP), prêts d'accession sociale (PAS), autres prêts conventionnés, prêts épargne logement (PEL)
Source : Compte du Logement
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Tableau 312 - Montant des aides au logement : ventilation par filière des bénéficiaires
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 189
Tableau 321 – Montant des prélèvements fiscaux liés au logement
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190 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 191
Tableau 341 - Les aides personnelles : nombre de bénéficiaires
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6
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3 6
293
6 29
3
RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
192 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 342 – Les aides personnelles : montants
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1986
1986
1987
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1987
1987
1988
1988
1988
1988
1989
1989
1989
1989
1990
1990
1990
1990
1991
1991
1991
1991
1992
1992
1992
1992
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1996
1996
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1998
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 193
Tableau 343 - - Les aides personnelles : montants mensuels moyens
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1990
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1992
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1993
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194 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 40 - Les circuits de financement : situation du Livret A, dépôts et prêts
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 195
Tableau 41 - Les circuits de financement : épargne logement
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
196 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 42 - Les circuits de financement : participation des employeurs à l’effort de construction
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 197
Tableau 50a - Le parc de logements : répartition des logements selon leur catégorie et le type de logement (France entière)
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
198 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 51a - Le parc de logements : répartition des résidences principales par filière (rance entière)
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 199
Tableau 50b - Le parc de logements : répartition des logements selon leur catégorie et le type de logement (métropole)
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
200 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
Tableau 51b - Le parc de logements : répartition des résidences principales par filière pour (métropole)
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RéférenceS |||| février 2015 | Compte du logement 2013 - premiers résultats 2014
Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 201
Tableau 52 - Structures d’hébergement collectif : répartition du nombre de lits selon le type d’hébergement
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QUATRIÈME PARTIE
Annexes
Présentation du compte du logement 204
Nomenclatures 210
Glossaire 214
Composition de la Commission des comptes du logement 225
Remarques des membres de la commission au cours de la réunion plénière du 12 décembre 2014 226
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204 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
PRÉSENTATION DU COMPTE DU LOGEMENT
La comptabilité nationale fournit une représentation synthétique et quantifiée de l'économie d'un pays. Son cadre central repose sur des
choix théoriques et dépend de la maturation des théories, de la nature des préoccupations sociales dominantes. Il est en outre contraint par la
possibilité d'effectuer certaines mesures, de rassembler effectivement des données et de les intégrer sans complexité ni lourdeur excessive
aux autres données du cadre central.
Certains domaines essentiels de préoccupation collective, comme le logement, transcendent en général les frontières habituelles des
secteurs institutionnels, les définitions des opérations des comptes, voire les limites du champ économique retenu par le cadre central, et les
nomenclatures utilisées, de sorte que l'analyse de leur fonction économique n'est pas réellement possible à partir des seuls comptes
nationaux. Ils font l’objet d’un compte distinct, dit compte satellite.
Ces comptes satellites remédient à ces inconvénients en répondant à un double objectif :
- ils rassemblent de manière exhaustive les flux monétaires relatifs à leur domaine et les structurent de façon à faire apparaître les flux
intéressant spécifiquement les différents acteurs ;
- ils rassemblent les données non monétaires et les articulent avec les données précédentes.
Le premier objectif vise à développer des éléments inclus dans le cadre central de comptabilité nationale, donc porteurs de ces contraintes,
mais aussi à permettre des approches comportant des degrés de liberté vis-à-vis de ce cadre central.
Le compte satellite du logement se veut ainsi un outil d'analyse de l'environnement économique du logement qui réponde à cette
définition. Plusieurs exigences découlent de cette ambition :
- l'exhaustivité : il s'agit de décrire l'ensemble des flux et des stocks, physiques et financiers, concernant le domaine du logement ;
- la cohérence interne entre les données rassemblées ;
- la cohérence avec le cadre central de la comptabilité nationale pour rendre possible la comparaison entre les agrégats du compte et ceux
de la comptabilité nationale.
I - Le domaine du compte du logement Le mot « logement » a deux sens. C'est « l'action de loger ou de se loger » ; c'est aussi « tout local à usage d'habitation ». La première
définition renvoie à la notion de service de logement (se loger, c'est consommer un service de logement), la seconde à la notion de bien
« logement ».
Le compte satellite du logement met l'accent sur la notion de service de logement. Plus précisément, l'observation porte sur les situations
des agents économiques et des biens (stocks) ainsi que sur les échanges ou les transferts (flux), physiques ou monétaires entre ces agents,
qui concernent la production et la consommation du service de logement.
Le domaine du logement comprend un certain nombre de biens et services connexes dont la production n'est pas détaillée, mais qui sont
partie prenante de la dépense totale de logement. Ces biens et services comprennent en particulier les produits de la construction liés au
logement, la distribution d’eau, d’électricité, de gaz et les services des notaires, des syndics de copropriété, des assurances, des agents
immobiliers, des entreprises de gardiennage, de nettoyage, de déménagement...
Les investissements nécessaires à la production du service de logement (acquisitions de logements et travaux d'entretien et d'amélioration)
sont présentés dans le compte, ainsi que les dépenses correspondantes. En revanche, le compte du logement ne cherche pas à décrire les
activités des entreprises du secteur de la construction (qui peut porter sur des bâtiments non résidentiels, ou encore sur des ouvrages d’arts)
ou celles des promoteurs liées au logement.
Géographiquement, le territoire économique couvert par le cadre central de la comptabilité nationale est constitué de la France
métropolitaine et des départements français d'outre-mer. Par souci de cohérence avec le cadre central de la comptabilité nationale, le compte
du logement étudie les activités relatives aux logements situés sur ce territoire. Ce souci de cohérence implique également que les activités
relatives aux DOM ne sont pas isolées des activités concernant la France métropolitaine. Il aurait pu être intéressant néanmoins de construire
un compte satellite spécifique pour ces départements, mais il s’avère que tous les chiffrages du compte ne peuvent pas être effectués
séparément pour les DOM et la métropole, en particulier pour les charges et les impôts.
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II - Le cadre d'analyse
II.1 - Une analyse par filière de production du service de logement
II.1.1 - Les résidences principales : deux filières de production du service Généralement, le service de logement met en relation deux agents économiques : le propriétaire et l'occupant d'un logement, le
propriétaire et l'occupant pouvant être ou non la même personne. Cette relation revêt deux formes principales, selon que ces deux agents
soient une même personne, le propriétaire occupant, ou deux différentes (bailleur et locataire). Dans ce dernier cas, elle peut éventuellement
s'exercer par le truchement d'un intermédiaire (administrateur de biens).
Bien que représentant la grande majorité des cas, ces situations ne sont pas les seules possibles. Dans la réalité, la situation est plus
complexe. En fait, ce ne sont pas deux, mais potentiellement trois agents qui interviennent. Le propriétaire du logement, détenteur
légalement du bien, peut en effet ne pas disposer du droit d’usage du logement (par exemple dans le cas de la nu-propriété) et l’avoir cédé à
un tiers, qui assure alors la production de service de logement. Le service de logement met donc alors en relation le producteur et le
consommateur du logement.
Ces trois fonctions (consommateur, producteur et détenteur) peuvent être soit exercées par des agents distincts, soit regroupées selon
différentes combinaisons (dites filières de production), au nombre de quatre. En effet, on élimine le cas purement anecdotique où les
fonctions de consommation et de possession sont exercées par un agent unique et celles de production par un autre agent distinct.
L'objet du compte étant la description des situations les plus caractéristiques, ne sont retenues en définitive que les deux filières principales :
propriétaire occupant et propriétaire bailleur / locataire. Les autres cas sont regroupés avec l'une ou l'autre de ces deux filières :
- les débirentiers occupants d'un viager libre sont à la fois consommateur et producteur du logement, sans en être détenteur : ils sont
assimilés à des propriétaires occupants ;
- les usufruitiers et les crédirentiers occupants (qui cumulent les fonctions de détenteurs et consommateur du logement, sans en être le
producteur) sont considérés comme des ménages logés gratuitement. Comme ces derniers, ils sont assimilés à la filière propriétaire bailleur ;
- les fermiers et les métayers sont assimilés à la filière propriétaires occupants ;
- pour ce qui concerne les logements locatifs ou gratuits, on considère que les fonctions de possesseur et de producteur du service de
logement sont toujours exercées par une seule et même personne physique ou morale : le propriétaire-bailleur.
Les logements mis à disposition gratuitement sont toujours classés dans les filières des bailleurs. On considère en effet que le service de
logement n’est pas, dans ce cas, produit par le bailleur pour son propre compte, mais pour le compte d’un tiers. Ce service constitue un
avantage en nature pour le consommateur.
Figure 1 - Définition des filières de production de service de logement
Fonctions
Type de production
Détenteur Producteur Consommateur
- par le propriétaire propriétaire occupant Production pour compte propre
- à l'aide d'un bien détenu par autrui propriétaire bailleur locataire / logé gratuit
- par le propriétaire nu-propriétaire usufruitier occupant Production pour le compte d'un tiers
- à l'aide d'un bien détenu par autrui nu-propriétaire bailleur locataire / logé gratuit
En revanche, il est nécessaire d'opérer des distinctions à l'intérieur de chaque filière afin de pouvoir décrire les situations les plus
significatives : ainsi, les propriétaires occupants sont ventilés en accédants et en non-accédants, et les locataires, y compris ceux logés à titre
gratuit, sont distingués selon la catégorie de bailleurs : personnes physiques, HLM, autres bailleurs sociaux et autres personnes morales.
Conséquence du choix de la filière de production comme critère d'analyse, les catégories dont les opérations sont décrites dans le compte ne
sont pas des agents économiques, mais des fonctions. En effet, un même ménage peut être à la fois, par exemple, propriétaire occupant et
propriétaire bailleur : ses opérations seront donc décrites, selon le cas, dans l’une ou l’autre des deux filières correspondantes.
II.1.2 - Les résidences secondaires Comme les résidences principales, les résidences secondaires fournissent un service de logement. Ce service peut être consommé, soit par le
propriétaire, si celui-ci est un ménage, soit par des locataires. Pour une résidence secondaire donnée, il n'est pas rare que les deux modes de
consommation du service alternent au cours d'une même année. En fait, les résidences secondaires ne diffèrent des résidences principales
que par la durée d'occupation dans l'année et, dans certains cas, par la succession rapide d'occupants distincts. Le cadre d'analyse construit
pour les résidences principales s'applique donc en principe aux résidences secondaires, qui devraient constituer des catégories particulières à
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l'intérieur de chacune des deux filières propriétaires occupants et locataires / bailleurs. En pratique, l'insuffisance des données statistiques
(comme la durée d’occupation, la distinction entre propriétaires occupants, propriétaires bailleurs et locataires) conduit à limiter l'analyse à
une description globale des dépenses et à créer une filière à part entière pour les résidences secondaires.
II.1.3 - Les logements vacants La vacance recouvre des situations diverses que l'on peut schématiquement classer en deux catégories, selon sa durée :
- la vacance frictionnelle, de courte durée, concerne les logements en attente d'occupation : logements provisoirement sans locataires,
logements subissant des travaux, logements acquis mais non encore occupés par leur propriétaire ;
- la vacance structurelle, caractérisée par une durée plus longue et par le fait qu'aucune utilisation des logements n'est prévue dans un
avenir proche.
En pratique, les dépenses imputées à la filière "logements vacants" concernent l'ensemble de la vacance.
Les logements vacants sont par nature inoccupés. Les dépenses courantes, à la charge du consommateur du logement, sont donc nulles
pour la filière des logements. En revanche, ils font quand même l’objet de dépenses d’énergie et de charges (c’est principalement le cas pour
des logements collectifs). L’intégralité de ces dépenses est affectée au propriétaire du logement. Ces dépenses sont donc prises en compte
dans le calcul des emplois dans le compte du producteur.
Dans de très nombreux cas, les logements qui font l'objet d'investissements, qu'il s'agisse d'acquisition de logements neufs ou anciens ou de
travaux de gros entretien-amélioration, sont vacants au moment de l'opération. Dans le cas de la vacance frictionnelle notamment, cette
situation est provisoire et l'on suppose que la réalisation de l'investissement est le préalable à une utilisation connue : le logement sera soit
occupé par son propriétaire, soit loué, soit utilisé comme résidence secondaire. La dépense en capital correspondante sera donc retracée dans
la filière "d'arrivée". C’est pourquoi les dépenses d’investissement en logement ne sont jamais imputées à la filière « logements vacants ».
II.1.4 - Les locaux d’hébergement Les locaux d’hébergement constituent une filière à part entière du compte satellite du logement, distincte des filières des logements
ordinaires. S’ils ont clairement vocation à loger, ou à héberger, des personnes, ces locaux se distinguent toutefois des logements ordinaires
dans la mesure où les redevances versées par leurs occupants comprennent d’autres prestations que celles du strict service de logement. Par
ailleurs, les informations disponibles ne permettent pas de couvrir l’ensemble des locaux concernés. En 2010, les catégories d’établissements
intégrées dans le compte du logement sont relatives à l’accueil des personnes âgées, des adultes handicapés, des personnes en difficulté
sociale, des travailleurs et à certaines catégories de logements pour les étudiants (résidences universitaires traditionnelles1). En revanche, les
établissements pour lesquels il n’existe aucune information, tels les foyers privés pour étudiants, ne sont pas retenus comme locaux
d'hébergement, mais sont comptabilisés dans les logements ordinaires. De plus, l’intégration des locaux d’hébergement nécessite des
traitements statistiques et comptables différents de ceux que l’on applique aux logements ordinaires. C’est ainsi par exemple que la
distinction entre charges récupérables sur les occupants et charges non récupérables ne peut pas être faite pour ces locaux. De ce fait, les
redevances inscrites en ressources des comptes des producteurs de la filière « locaux d’hébergement » comprennent, outre les loyers, les
charges récupérables. En contrepartie, celles-ci sont comptabilisées en charges des producteurs2. De même, les données actuellement
disponibles ne permettent pas de déterminer les investissements en logement relatifs à la filière des locaux d’hébergement.
Figure 2 - Les filières du compte du logement
FL1 Filières de logements ordinaires :
FL11 Résidences principales :
FL111 Propriétaires occupants
FL1111 accédants
FL1111 non accédants
FL112 Propriétaires bailleurs
FL1121 personnes physiques
FL1122 bailleurs d’HLM
FL1123 autres bailleurs sociaux
FL1124 autres personnes morales
FL12 Résidences secondaires
FL13 Logements vacants
FL2 Locaux d’hébergement collectif
1 Les résidences universitaires se répartissent entre résidences universitaires traditionnelles (soit gérées par les CROUS) et résidences universitaires conventionnées. Ces
dernières font partie des logements ordinaires. C’est pourquoi seules les résidences universitaires traditionnelles sont reprises dans les locaux d’hébergement. 2 Ce traitement permet d’obtenir une évaluation correcte du profit courant pour la filière des locaux d’hébergement.
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II.2 - Flux et agrégats du compte du logement Le compte satellite du logement vise à retracer les différentes opérations afférentes à ce domaine : dépenses liées à l’occupation des
logements, ressources et charges relatives à la production du service de logement, investissement en logement et modes de financement de
cet investissement, aides publiques et prélèvements concernant le domaine du logement... Ces opérations font l’objet d’une classification
propre au compte du logement et leur contenu est défini à partir d'un ensemble de principes tenant à la distinction entre opérations
courantes et opérations en capital, au moment d’enregistrement des opérations, à la dissociation entre les fonctions de production et de
consommation de service de logement.
Ces opérations permettent le calcul de la dépense nationale en logement, c’est-à-dire la mesure de l’effort consacré par la collectivité au
domaine du logement. Ce calcul, qui s’appuie sur les recommandations édictées par les systèmes internationaux de comptabilité nationale,
n’est pas exempt de conventions.
II.2.1 - Les opérations économiques Le compte satellite du logement distingue les opérations courantes et les opérations en capital.
Toutes les opérations concernant les occupants sont des opérations courantes. Il s’agit essentiellement des dépenses liées à l’occupation de
logements, en particulier la consommation de service de logement (y compris les redevances pour locaux d’hébergement), les dépenses
d’énergie, les charges locatives récupérables et les petits travaux effectués dans les logements. Par ailleurs, les occupants perçoivent des
aides, principalement des aides à la personne, qui sont censées alléger le montant de leurs dépenses. Le compte du logement ne décrit ni
l'origine, ni l'affectation des ressources externes au domaine (salaires, revenus du patrimoine...). On ne peut donc pas réaliser de compte
Emplois-Ressources pour les consommateurs.
C'est l'activité des producteurs du service qui constitue l'activité caractéristique du compte satellite du logement. Lorsqu'on isole cette
activité, il est possible de la décrire dans un compte comprenant des ressources et des emplois. Les loyers perçus par les producteurs
constituent l'essentiel des ressources, à l'aide desquelles ils financent les dépenses d'exploitation et les autres dépenses courantes (impôts et
intérêts des emprunts pour l'essentiel). Le solde de ce compte, appelé résultat courant, est en partie affecté au financement de la dépense en
capital.
Les opérations en capital concernent principalement les producteurs, mais également, par le biais des mécanismes de financement, les
organismes prêteurs et les administrations publiques. Il s'agit des investissements en logements neufs, des travaux sur immeubles existants
et des acquisitions d'immeubles existants (y compris les taxes, commissions et honoraires des intermédiaires relatifs aux mutations) nettes
des cessions de logements existants.
Les dépenses en capital sont financées par le solde des opérations de production du service de logement et par des ressources externes au
domaine.
II.2.2 - La description des flux Une analyse en termes de droits constatés
Comme dans le cadre central de comptabilité nationale, les opérations du compte satellite du logement doivent être enregistrées pour leur
montant dû et non pour leur montant versé. C’est ce que l’on désigne par « enregistrement sur la base des droits constatés ». Toutefois,
notamment pour des raisons statistiques, ce principe ne peut pas être appliqué à toutes les opérations et la date du versement est utilisée
pour certaines d’entre elles.
Le problème ne se pose pas réellement pour les opérations portant sur des biens et services. Qu’il s’agisse de la consommation des
occupants, des ressources et des charges des producteurs, les montants correspondent en général aux montants dus. Dans nombre de cas, la
différence est minime par rapport aux montants versés et elle tient simplement aux décalages de paiement. Il convient toutefois de souligner
que les loyers réels, de même que les charges, comprennent des montants qui ne seront jamais versés (impayés de loyers ou de charges) et
qui devraient être déduits de la valeur des loyers réels ou de celle des charges. Faute d’information, ces impayés ne sont pas évalués en
2010, ce qui affecte le calcul du résultat courant des producteurs.
Par ailleurs, suivant en cela les règles de la comptabilité nationale, la formation brute de capital fixe en logements neufs est enregistrée au
fur et à mesure de l’avancement des travaux à partir du moment où les logements ont trouvé un acquéreur. Les sources utilisées dans le
compte du logement reposent sur la production annuelle de logements neufs.
Les opérations de répartition inscrites en charges des comptes des producteurs (frais de personnel, impôts et intérêts des emprunts) sont
également enregistrées selon le principe des droits constatés. C’est notamment le cas des impôts - aussi bien des taxes foncières sur les
propriétés bâties que des impôts sur les revenus fonciers - et des intérêts, qui s’entendent comme les intérêts courus au titre de l’exercice.
L’enregistrement des aides afférentes au domaine du logement fait exception au principe des droits constatés. De manière générale, en
effet, les aides aux producteurs décrites dans le compte du logement sont enregistrées pour leur montant versé. Ce principe est valable aussi
bien pour les subventions d’exploitation, les aides à l’investissement ou les autres aides effectives aux producteurs (compensation par l’état
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208 |||| Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques
des exonérations de taxe foncière sur les propriétés bâties, aides liées au PLA fiscal...). Cette exception s’explique par le souci de cohérence
avec les montants inscrits dans la loi de finances.
Les aides aux consommateurs sont également enregistrées sur la base des versements. Toutefois, depuis l’exercice 1996, les aides
personnelles sont comptabilisées pour leur montant dû.
Une analyse homogène
L'analyse des opérations repose sur la dissociation des fonctions de production et de consommation du service de logement. Elle est
identique pour toutes les filières. Elle considère que la valeur du service de logement est déterminée par référence à un prix qui ne dépend
que des caractéristiques du logement. Quelle que soit la nature du producteur, l'activité de production de service de logement dégage un
résultat courant qui s'ajoute ou se retranche à ses autres revenus. En contrepartie, la consommation de ce même service induit une dépense :
le loyer versé par le consommateur au producteur.
Cette analyse est celle du cadre central de la comptabilité nationale. Elle s'applique sans aucune difficulté au cas où le service est produit par
un propriétaire bailleur et où le loyer versé par le locataire mesure la valeur de ce service. Il s’agit en l’occurrence d’un service marchand. De
même, un propriétaire qui met son logement gratuitement à la disposition d’un tiers est également producteur d’un service marchand. Pour
l’occupant, ce service constitue en effet un avantage en nature. Celui-ci est par ailleurs retracé par un flux transféré aux occupants par les
propriétaires des logements. De la même manière, on considère que, pour un propriétaire occupant, l’usage du logement qu’il possède
représente une économie de loyer équivalente au loyer d’un logement similaire du parc locatif (en l’occurrence, il s’agit du parc locatif privé).
Dans ce cas, la production du service de logement est une activité non marchande et le consommateur verse au propriétaire (le producteur),
c'est-à-dire à lui-même, un loyer dit imputé correspondant à la rémunération du service de logement. L’évaluation de la production du service
de logement produit par les bailleurs est simple puisqu’elle s’obtient en sommant les loyers quittancés de tous les locataires. En revanche, il
est plus compliqué d’évaluer la production non marchande de service de logement, ainsi que la production marchande correspondant à
l’usage des logements gratuits. Pour cela, le compte satellite du logement s’appuie sur les règles générales édictées par le système européen
de comptabilité nationale, tout en les complétant par des règles relevant des particularités françaises. Le cadre central de comptabilité
nationale a adopté la même démarche.
L'évaluation des loyers imputés présente l'avantage essentiel de renforcer la cohérence de la description tant entre les différentes filières
qu'avec les agrégats de la comptabilité nationale : il rend donc possible la comparaison de la dépense nationale de logement avec les grands
agrégats nationaux.
Cette analyse pourrait s'étendre à l'ensemble de la production marchande vendue à un prix soumis à d'autres déterminants que ceux du
marché, c'est-à-dire pour tous les logements dont le loyer quittancé est différent du loyer théorique évalué au prix du marché. La différence
représente un avantage en nature qui peut provenir soit de dispositions législatives ou réglementaires (HLM, logements conventionnés hors
secteur HLM, logements régis par la loi de 1948), soit du caractère manifestement sous-évalué du montant du loyer (par exemple certains cas
de location entre parents et enfants). Cependant, affecter à ces logements les mêmes loyers que ceux pratiqués dans le secteur privé, et
compenser la différence avec le loyer effectivement pratiqué par l’inscription d’un transfert (que ce soit une subvention ou une prestation
sociale) est exclu du cadre central de la comptabilité nationale. L’évaluation des loyers imputés ne porte donc que sur les loyers des
propriétaires occupants, des logements gratuits (même si ces loyers ont un caractère marchand) et des résidences secondaires.
II.2.3 -La dépense nationale de logement La dépense nationale en logement est un agrégat qui mesure l’effort consacré par la collectivité au domaine du logement. L’une des
difficultés du calcul de la dépense nationale en logement est d’éliminer tout double compte entre ses différentes composantes. Celle-ci
comprend en premier lieu la consommation en biens et services spécifiques au domaine. Pour l’essentiel, ce poste correspond aux différentes
rubriques entrant dans la consommation finale associée au service du logement : consommation marchande et non marchande de service de
logement (y compris les redevances au titre des locaux d’hébergement), dépenses d’énergie, charges locatives récupérables, petits travaux
dans les logements... Il faut néanmoins y ajouter les consommations intermédiaires relatives à la filière des logements vacants dans la
mesure où il n’existe pas de consommation de service de logement associée à cette filière. La dépense nationale comprend également la
formation de capital en biens et services spécifiques, dont la majeure partie est composée de la formation de capital fixe en logement. Celle-
ci doit être comptabilisée déduction faite des amortissements relatifs au patrimoine en logement, puisque ceux-ci constituent une charge
courante pour les producteurs et sont, de ce fait, l’une des contreparties de la valeur des loyers. Les acquisitions, nettes de cessions, de
terrains font également partie de la dépense nationale en logement.
La dépense nationale en logement comprend également un certain nombre d’opérations qui ne constituent pas des opérations sur biens et
services. Ces opérations ne doivent pas faire double compte avec les flux énumérés précédemment et elles doivent correspondre à des
versements effectifs. On y trouvera en particulier tous les transferts à la charge des occupants (primes moins indemnités d’assurance de
dommages, frais de personnel), les charges autres que les consommations intermédiaires relatives aux logements vacants, les subventions
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Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 209
d’exploitation reçues par les producteurs autres que les bonifications d’intérêt 3 et toutes les aides classées en autres aides aux
consommateurs et/ou aux producteurs. Ces aides, notamment celles liées au PLA fiscal, donnent en effet lieu à un versement effectif mais,
n’étant pas comptées comme des aides à l’investissement, elles ne font pas double compte avec la formation de capital fixe en logement4.
II.3 - La structure du compte La partie centrale du compte, fondée sur les conventions décrites précédemment, comprend plusieurs types de tableaux.
Les emplois courants des occupants font l’objet du tableau 20 : la somme des dépenses qui y sont enregistrées constitue la consommation
totale associée au service de logement. Ce tableau permet également de mesurer la consommation associée au service de logement
déduction faite des aides dont bénéficient les occupants (consommation nette). Les ressources et les charges liées à l’activité de service de
logement sont décrites dans les tableaux 21 et 22 (compte des producteurs de service de logement). Ce compte a pour solde le résultat
courant dégagé par cette activité. Il est mesuré avant déduction des amortissements relatifs au patrimoine en logement.
Les acquisitions de logements et les travaux sont détaillés dans le tableau 23, avec une décomposition entre acquisitions de logements
neufs (y compris frais liés et terrains d’assise), travaux sur immeubles existants et acquisitions de logements d’occasion (y compris frais liés et
terrains). Les flux relatifs à la filière « locaux d’hébergement » ne sont pas évalués. Le tableau 24 permet de décrire les différents modes de
financement de ces acquisitions et travaux, en distinguant les emprunts (emprunts aidés et emprunts non aidés), les fonds propres et les
aides, en particulier les aides à l’investissement. Le financement des dépenses en capital par les investisseurs fait l’objet du tableau 25. Il
permet de mettre en évidence les dépenses en capital supportées par les investisseurs dans le domaine du logement, c’est-à-dire la somme
des acquisitions de logements et travaux et des remboursements de l’année, déduction faite des cessions de logements et de terrains, des
aides à l’investissement et des emprunts nouveaux.
La dépense nationale en logement est présentée sous une double optique, à savoir celle des agents qui bénéficient des différentes
catégories de dépenses (tableau 10) et celle des agents qui les financent (tableau 11). Les bénéficiaires sont les ménages en tant que
consommateurs, les producteurs marchands et les producteurs non marchands. Les financeurs sont constitués des ménages, des
administrations publiques, des institutions financières, des producteurs marchands et des producteurs non marchands.
Le compte comprend également des tableaux, présentés en annexe, et relatifs aux aides publiques, aux prélèvements (tableaux 311 à 343)
et aux circuits de financement (tableaux 40 à 42). Il inclut également une description du parc de logements (tableaux 50 à 52).
3 Les bonifications d’intérêts ne font pas partie de la valeur de la dépense nationale en logement. Toutefois, elles apparaissent dans le tableau répartissant la dépense
nationale par financeur.
4 Les aides à l’investissement sont en effet comprises dans la valeur de la formation brute de capital fixe, et donc implicitement dans la valeur de la dépense nationale en
logement. En revanche, les aides à l’investissement apparaissent dans le tableau répartissant la dépense nationale par financeur.
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NOMENCLATURES ET DÉFINITIONS
1. La nomenclature des dépenses courantes
CCCCodeodeodeode LLLLibelléibelléibelléibellé CCCContenuontenuontenuontenu
20.1
22.1
Consommation de service de logement
Production de service de logement
(prix de base)
Loyers d'habitation hors charges et éléments annexes.
Loyers des logements-foyers dans le champ des résidences principales.
Loyers des parkings liés au service de logement.
Droit au bail.
Redevances des locaux d’hébergement hors taxe additionnelle au droit de bail (TADB).
Loyers d'habitation hors charges et éléments annexes (hors TADB).
Loyers des logements-foyers dans le champ des résidences principales.
Loyers des parkings liés au service de logement.
Taxe sur le dépassement des plafonds de ressources.
Subventions d’équilibre.
Redevances des locaux d’hébergement.
20.2 Dépenses en énergie Abonnement et consommation pour le chauffage, l'eau chaude sanitaire et la cuisson
(combustibles minéraux solides, gaz naturel, gaz distribué, fiouls, gaz pétroliers liquéfiés, produits
de la sylviculture, chauffage urbain) ; dépense d'électricité, consommation d'eau ; y compris les
taxes.
20.3
21.1
Charges locatives récupérables
Charges locatives non récupérables pour les
producteurs
Chauffage collectif compris dans les charges ; conduite, exploitation, entretien courant des
installations de chauffage et d'eau chaude ; exploitation des ascenseurs ; produits d'entretien ;
espaces verts et extérieurs ; entretien courant (désinfections, dératisations, vide-ordures, menues
réparations, ...).
20.4
21.2
Services extérieurs pour les consommateurs
Services extérieurs pour les producteurs
Honoraires de syndic ; autres frais de copropriété ; petits travaux dans le logement réalisés
directement ou par l'intermédiaire d'une entreprise ; assurance : multirisques-habitation et
impayés de loyers ; rémunération d'intermédiaires pour les bailleurs.
20.5
21.3
Frais de personnel pour les consommateurs
(partie récupérable)
Frais de personnel pour les producteurs (non
récupérables)
Rémunération des gardiens et concierges, des personnels d'immeubles, y compris les charges
salariales. Rémunération du personnel de gestion, y compris les charges salariales (pour les
producteurs uniquement).
20.6
21.6
Autres dépenses pour les consommateurs
Autres dépenses pour les producteurs
Prestations de service (taxe de balayage et taxe d'enlèvement des ordures ménagères), frais de
déménagement, frais de baux et frais d’agence.
Prestations de service non récupérables (taxe de balayage et taxe d'enlèvement des ordures
ménagères), frais de baux et frais d’agence pour les bailleurs de logements loués vides,
dépenses d’énergie à la charge des propriétaires de logements vacants.
20.7
20.8
Aides à la personne
Aides aux déménagements
APL, ALF et ALS. Les bénéficiaires sont les ménages, même lorsque les aides sont versées en tiers
payant.
21.4 Impôts et taxes autres que la TVA Taxe foncière sur les propriétés bâties.
Impôts sur les revenus fonciers pour les bailleurs de logements loués vides.
Taxe sur les logements vacants instituée au 1er janvier 1999.
21.5 Intérêts des emprunts Intérêts des emprunts des crédits immobiliers.
21.7 Impayés sur loyers et charges Créances sur le locataire.
21.8 Transferts à l'occupant Contrepartie pour les loyers non perçus par les propriétaires de logements loués gratuitement.
21.9 Consommation de capital fixe en logement
22.2 Subventions d'exploitation Subventions versées par les APUC et les collectivités locales hors prêts spéciaux du CFF et
bonifications d'intérêt pour les HLM et les prêts aux fonctionnaires.
22.3 Autres produits Indemnités d'assurance.
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2 - La nomenclature des dépenses en capital
CCCCodeodeodeode LLLLibelléibelléibelléibellé CCCContenuontenuontenuontenu
23.1 Logements neufs Opérations destinées à la création de logements neufs ou à l'extension de logements existants.
23.11 Bâtiments hors terrain
23.111 Construits à l’initiative de l’acquéreur Valeur des travaux réalisés au cours de la période en vue de la création de logements neufs ou de
l'extension de logements existants non destinés à la vente.
Les logements construits par des promoteurs et mis en location par ceux-ci sont considérés
comme construits pour compte propre.
23.112 Achetés à des promoteurs Montant des versements pour l'achat de logements neufs à des promoteurs, valeur du terrain
exclue.
Est considéré comme neuf un logement construit par un promoteur en vue de la vente et faisant
l'objet d'une première transaction (logements de première main).
23.12 Terrains d'assise
23.121 Des constructions à l’initiative de l’acquéreur Les achats de terrains sont comptabilisés quand la construction du logement est consécutive à
l'acquisition du terrain (délai inférieur à un an). Le montant des acquisitions de terrains inclut la
valeur des travaux éventuels de viabilisation et d'aménagement.
23.122 Des logements vendus par des promoteurs
23.13 Frais relatifs aux logements et terrains Frais de notaire sur acquisitions et hypothèques, salaire du conservateur des hypothèques.
23.14 Droits de mutation relatifs aux logements et
terrains
Taxe de publicité foncière sur acquisitions et hypothèques.
23.2 Travaux sur immeubles existants Travaux de gros entretien ou d'amélioration sur des immeubles existants. Sont également pris en
compte les travaux de transformation de logements ou d'immeubles de logements en locaux non
résidentiels, avant désaffectation de ces logements.
23.3 Acquisition de logements d'occasion Les logements d'occasion sont les logements ayant déjà fait l'objet d'une ou de plusieurs
mutations, ou ayant été utilisés comme résidence principale ou résidence secondaire.
23.31 Montant des acquisitions hors terrain Le montant acquitté au vendeur est décomposé en valeur de la construction et valeur du terrain
d'assise de ce logement (ou de la part du terrain correspondant au logement s'il s'agit d'un
immeuble collectif).
23.32 Montant des terrains dans les acquisitions
23.33 Frais relatifs aux logements et aux terrains Frais de notaire sur acquisitions et hypothèques, salaire du conservateur des hypothèques, frais
d'hypothèques.
23.34 Droits de mutation relatifs aux logements et
terrains
Droits d'enregistrement.
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3 - La nomenclature du financement des acquisitions de logements et des travaux
CCCCodeodeodeode LLLLibelléibelléibelléibellé CCCContenuontenuontenuontenu
24.11
24.21
24.31
24.51
Fonds propres Les fonds propres correspondent à l’apport personnel lors d’opérations à crédit ou à l’intégralité
du financement lors d’opérations au comptant.
24.12 Aides au financement des opérations sur
logements neufs
- Aides de l'État : subventions PLA-CDC/CPHLM y compris subventions pour surcharge foncière,
subventions PLA d’insertion et PLA très sociaux (hors PLA fiscal), subventions PLA CFF, PAP (à
compter de 1988), subventions du FARIF, du FGAS, partie de la prime d'épargne logement,
subvention prêt à 0 % et aides spécifiques au DOM ;
- Aides des employeurs : "subventions" 1 % ;
- Autres aides à l'investissement (APUC, collectivités locales, sécurité sociale).
24.22 Aides au financement d'acquisitions de
logements d'occasion
- Aides de l'État : subventions PLA-CDC/CPHLM y compris subventions pour surcharge foncière,
subventions PLA d’insertion et PLA très sociaux (hors PLA fiscal), subventions PLA CFF, PAP (à
compter de 1988), subventions du FGAS, partie de la prime d'épargne logement et subvention
prêt à 0 % ;
- Aides des employeurs : "subventions" 1 % ;
- Autres aides à l'investissement (collectivités locales, sécurité sociale).
24.32 Aides au financement de travaux sur
immeubles existants
- Aides de l'État : subventions PLA-CDC/CPHLM, PLA d'insertion et PLA très sociaux (hors PLA
fiscal), subventions PLA CFF, subventions PAP (à compter de 1988), prime pour l'amélioration des
logements à usage locatif et à occupation sociale (PALULOS), subventions de l'ANAH, primes pour
l'amélioration de l'habitat (PAH), partie de la prime d'épargne logement, subventions du FGAS et
subvention prêt à 0 % ;
- Aides des employeurs : "subventions" 1 % ;
- Autres aides à l'investissement (APUC, collectivités locales, sécurité sociale).
24.13
24.23
24.33
24.53
Emprunts Flux de prêts nouveaux utilisés au financement d'investissements en logement, à l'exclusion des
préfinancements, des crédits relais et des emprunts se substituant à des emprunts plus anciens
en cas de renégociation.
24.131
24.231
24.331
24.531
Emprunts aidés - Prêts locatifs aidés (PLA) de la Caisse des Dépôts et Consignations ou de la Caisse de Prêts aux
organismes HLM (CPHLM) et du Crédit Foncier de France ;
- Prêts complémentaires à la PALULOS ;
- Prêts pour l'accession à la propriété (PAP) ;
- Prêts à 0 % ,
- Pass-foncier.
24.132
24.232
24.332
24.532
Emprunts non aidés
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4 - La nomenclature du financement de la dépense en capital
CCCCodeodeodeode LLLLibelléibelléibelléibellé CCCContenuontenuontenuontenu
25.1 Acquisitions (hors terrains) et travaux = 23.11 + 23.2 (hors frais et droits liés) + 23.31 (a)
25.11 Logements neufs = 23.11 (a)
25.12 Logements d'occasion = 23.31 (a)
25.13 Travaux = 23.2 (hors frais et droits liés) (a)
25.2 Cessions de logements d'occasion
25.3 Frais et droits liés = 23.13 + 23.14 + 23.33 + 23.34 + 23.2 - 25.13 (a)
25.4 Acquisitions de terrains = 23.12 + 23.32
25.5 Cessions de terrains
25.6 Aides à l'investissement = 24.52 (a)
Les aides sont des ressources pour les filières et des dépenses pour les financeurs. La somme
algébrique de la ligne aides est donc nulle.
25.6 Emprunts / prêts = 24.53 (a)
Les emprunts sont des ressources pour les emprunteurs et des dépenses pour les prêteurs. La
somme algébrique de la ligne emprunts / prêts est donc nulle.
25.7 Remboursements /
recouvrements
Remboursement en capital des emprunts.
Les remboursements sont des dépenses pour les emprunteurs et des ressources pour les prêteurs.
La somme algébrique de la ligne remboursements / recouvrements est donc nulle.
(a) Ces correspondances sont valables pour les ménages et les personnes morales en respectant les ventilations suivantes : les montants
correspondants aux résidences secondaires appartenant aux ménages ont été répartis entre les accédants et les non accédants, et les montants
correspondants aux autres personnes morales et aux autres bailleurs sociaux, entre les filières des personnes morales (hors sociétés HLM).
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GLOSSAIRE
Agence nationale de l'habitat (Anah) L'Anah est un établissement public à caractère administratif dont le rôle est d'attribuer une aide à l'amélioration de l'habitat sous forme de
subvention ; ses ressources étaient constituées par la perception de la taxe additionnelle au droit de bail jusqu'en 1987. Désormais, la TADB,
remplacée par la CRL (contribution sur les revenus locatifs), est versée directement au Trésor et le financement de l'Anah est assuré par une
dotation de crédits dans le cadre du budget du logement.
Les subventions de l'Anah peuvent être attribuées au propriétaire ou au locataire d'un logement loué au titre de résidence principale pour le
financement de travaux d'amélioration ou d'économie d'énergie. Le logement doit être achevé depuis plus de 15 ans au 1er octobre précédant
la date du dépôt du dossier.
En règle générale, le taux de subvention est égal à 25 % du coût des travaux subventionnables. Il peut être majoré pour certaines
interventions à caractère social, ou lorsque le propriétaire accepte de conventionner dans le cadre d'une OPAH (voir Opération Programmée
d’Amélioration de l’Habitat), ou encore s'il s'agit d'une opération effectuée dans le cadre d'un programme social thématique (PST) destiné au
logement des personnes défavorisées.
L’Anah a fait l’objet d’une importante réforme en 2001. Initialement limité au parc locatif, le rôle de l’agence est désormais élargi à
l’ensemble du parc privé. Le décret en Conseil d'Etat du 20 avril 2001 portant réforme de l'Anah s'est appliqué, dès sa publication, aux
propriétaires-bailleurs et aux propriétaires-occupants au 1er janvier 2002.
Aide à la personne C'est l'aide financière publique apportée aux personnes ou aux familles dans le but d'alléger le coût de la quittance (loyer plus charges) des
locataires et les mensualités de remboursement d'emprunt des accédants à la propriété.
Elle est attribuée en fonction des ressources et révisée chaque année.
Il existe actuellement deux types d'aide à la personne, dont l'unification progressive est à l'étude : l'aide personnalisée au logement (APL) et
l'allocation de logement (AL) (voir ces termes). Ces aides ne sont pas cumulables.
Aide à la pierre C'est l'aide financière publique apportée à l'investissement d'un maître d'ouvrage qui construit ou réhabilite des logements.
Elle se traduit par des subventions ou par des prêts à taux avantageux.
Avant 1977, pour la construction neuve locative sociale, ces prêts étaient à taux fixe pour une durée de 45 ans. Depuis la réforme de 1977,
les prêts PLA sont caractérisés par des taux indexés sur le taux du livret A, des annuités progressives et une durée de 32 ans.
Aide aux associations logeant à titre temporaire des personnes défavorisées (ALT) Instituée par la loi du 31 décembre 1991, portant diverses dispositions d’ordre social, elle est versée exclusivement aux associations ayant
conclu une convention avec l’Etat. Cette aide a pour objectif de se substituer exceptionnellement aux aides à la personne, APL et AL, quand le
versement de ces aides n’est pas possible. En effet, lorsque la durée de séjour est trop brève pour permettre l’ouverture d’une aide à la
personne, elle peut prendre le relais et permettre aux associations qui accueillent des personnes défavorisées de disposer d’un parc plus
important. L’ALT est forfaitaire et, comme les aides à la personne, n’est pas contingentée.
Aide personnalisée au logement (APL) Issue de la réforme du financement du logement de 1977, elle est destinée aux occupants, qu'ils soient locataires ou accédants à la
propriété, de logements financés avec les "nouvelles aides de l'Etat" (PAP, PC, PAS, PLA), ou réhabilités avec l'aide de l'Etat (Palulos) ou de
l'Anah et ayant fait l'objet d'un conventionnement (voir ce terme). L'APL est versée directement au propriétaire ou à l'organisme créancier
(principe du tiers payant) et déduite du loyer ou des charges de remboursement des bénéficiaires. D'un montant plus élevé que l'AL, elle
solvabilise en général mieux les ménages.
De 1988 à 1996, le conventionnement sans travaux mis en oeuvre dans le parc HLM a constitué le moyen juridique du « bouclage » du parc
social. Mais ces nouveaux ménages bénéficiaires relevaient d’un barème d’APL (APL2) moins favorable que les autres locataires du parc social
(barème APL1). Depuis le 1er avril 1997, les 2 barèmes d’APL ont été unifiés à l’occasion de la réforme de l’APL locative.
Depuis le 1er janvier 2001, les barèmes de l’allocation logement (AL) et de l’aide personnalisée au logement (APL) sont unifiés dans le
secteur locatif.
En application de la loi instituant le droit opposable au logement du 5 mars 2007, et à compter du 1er janvier 2008, certains paramètres des
barèmes des aides personnelles au logement sont indexés chaque année sur l’indice de référence des loyers (IRL). La mise en œuvre de cette
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indexation a conduit à une revalorisation au 1er janvier de chaque année : de 2,76 % en 2008, 2,95 % en 2009, 0,32 % en 2010, 1,10 % en
2011 des loyers plafonds et mensualités plafonds des nouveaux accédants dont le contrat de prêt a été signé postérieurement au
31 décembre 2007, des forfaits de charges, des redevances plafonds et des loyers forfaitaires.
Allocation logement (AL) Les locataires du secteur privé non conventionné et les locataires de logements sociaux non conventionnés (c'est-à-dire construits avant
1977 et n'ayant pas fait l'objet d'un conventionnement ultérieur), les accédants à la propriété qui financent leur logement par un prêt autre
qu’un PAP, un PC ou un PAS, ainsi que les propriétaires occupants qui empruntent pour réaliser des travaux peuvent percevoir l'allocation de
logement.
Il en existe deux types :
- l'allocation de logement à caractère familial (ALF). Elle est destinée aux ménages (couples ou personnes seules) ayant à charge des
enfants, des ascendants ou des parents infirmes, ainsi qu’aux jeunes ménages mariés depuis moins de cinq ans et sans personne à charge.
- l'allocation de logement à caractère social (ALS), a été créée par la loi du 16 juillet 1971 afin de venir en aide à des catégories de
personnes, autres que les familles, caractérisées par le niveau modeste de leurs ressources (personnes âgées, handicapés, jeunes travailleurs
salariés de moins de 25 ans).
Elle a progressivement été étendue à d’autres catégories de bénéficiaires puis attribuée, depuis le 1er janvier 1993, à toute personne sous
seule condition de ressources, qui n’entre pas dans les conditions fixées pour bénéficier de l’ALF ou de l’APL et en particulier aux étudiants
(c’est l’opération dite de « bouclage » des aides à la personne dans le parc privé).
Le logement doit disposer au moins d'une arrivée d'eau potable, d'un système d'évacuation des eaux usées, d'un W-C et d'un moyen de
chauffage. Pour les logements construits après le 1er septembre 1948 et pour les HLM ces conditions sont présumées remplies.
Pour éviter le surpeuplement, des surfaces minimales sont imposées.
Amortissement Périssol L’amortissement « accéléré » d’un logement a été institué pour la première fois par la loi portant diverses dispositions d’ordre économique
et financier du 12 avril 1996 dans le cadre du dispositif appelé communément « amortissement Périssol » et concerne toute personne
désirant acquérir un logement neuf destiné à la location.
Dans ce dispositif, le mécanisme d’amortissement s’applique aux logements acquis neufs ou en l’état futur d’achèvement entre le 1er janvier
1996 et le 31 août 1999 à condition que le permis de construire ait été délivré avant le 1er janvier 1999 et que l’achèvement du logement
intervienne avant le 1er juillet 2001. Il permet au propriétaire-bailleur de bénéficier d’une déduction des revenus fonciers égale à 10 % du prix
d’acquisition pour les quatre premières années et à 2 % pour les vingt années suivantes. Le total des déductions représente donc 80 % de la
valeur du logement. Le propriétaire doit s’engager à louer le logement pendant 9 ans et le taux de la déduction forfaitaire des revenus
fonciers est fixé à 6 %.
De nouveaux régimes d’amortissement des logements acquis et destinés à la location, ont été mis en place depuis 1999 (voir statut du
bailleur privé).
Caisse des dépôts et consignations Auxiliaire des pouvoirs publics, la Caisse des Dépôts et Consignations finance la construction, l'acquisition et la réhabilitation des logements
HLM à partir des fonds collectés sur le livret A des Caisses d'épargne.
Au titre de cette mission, la Caisse des Dépôts, gestionnaire de près de 80 milliards d’euros de prêts de très longue durée est également
chargée de la procédure d'allégement de la dette des organismes d'HLM et se voit confier la responsabilité de la sécurité des encours et de la
surveillance du risque encouru sur ces prêts. Cet encours important s’est accumulé au cours de trois époques marquées chacune par un mode
particulier de financement du logement social :
- avant 1966, les organismes d'HLM empruntaient auprès de l'Etat par l'intermédiaire de la Caisse des Dépôts ;
- entre 1966 et 1985, les organismes d'HLM se finançaient auprès de la Caisse de prêts aux organismes d'HLM (CPHLM) ;
- depuis 1986, la Caisse des Dépôts est le banquier direct des organismes de logement social.
Comité interprofessionnel du logement (CIL) Les comités interprofessionnels du logement sont des associations à but non lucratif destinées à collecter et à utiliser dans la construction les
fonds provenant de la "participation des employeurs à l'effort de construction" (Peec) (voir ce terme). Ils sont regroupés au sein de l’UESL
(Union d’économie sociale du logement), créée par la loi du 30 décembre 1996 pour remplacer l'Unil (Union nationale interprofessionnelle du
logement). L’UESL peut conclure avec l’État des conventions définissant des politiques nationales d’emploi de la Peec. L’activité des
organismes collecteurs est régie par l'Agence nationale pour la participation des employeurs à l'effort de construction (Anpeec), créée en
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1988, qui en élabore les règles et contrôle leur mise en application. L’Anpeec contrôle également le respect des conventions conclues entre
l’État et l’UESL.
Conventionnement Le système du conventionnement a été instauré en 1977 par la réforme du financement du logement. Il consiste, pour des propriétaires de
logements locatifs (parcs public et privé), à signer une convention avec l'Etat, selon laquelle ils s'engagent pendant une période minimale à
louer le ou les logements concernés à des ménages dont les revenus ne dépassent pas un certain plafond ; ces ménages peuvent bénéficier
de l'aide personnelle au logement (voir ce terme).
Le conventionnement est obligatoire pour les logements financés avec des PLA, ou améliorés avec des Palulos ou pour bénéficier de
majorations de subventions dans le cadre d'un programme d'intérêt général (voir ce terme).
Depuis le 1er
janvier 1988, il a été décidé que l'ensemble du parc HLM ancien devra faire progressivement l'objet d'un conventionnement
spécifique, qui permettra d'ouvrir aux locataires de ce parc le droit à l'APL.
Crédit foncier de France Créé en 1852, le Crédit foncier de France a largement participé au financement de la propriété foncière, de l'urbanisation et de l'équipement
immobilier du pays.
Grâce à l'expérience acquise et à la spécificité de son statut (établissement constitué sous forme de société anonyme et placé sous le
contrôle des pouvoirs publics), le Crédit foncier de France était naturellement désigné pour mettre en application la politique du logement
définie par les pouvoirs publics. C'est à ce titre qu'il a été chargé, à partir de 1950, de la distribution des prêts spéciaux à la construction,
contribuant ainsi pour une part décisive à la reconstitution et au développement du parc immobilier français.
Au terme d'adaptations successives, la réforme du financement du logement entrée en vigueur en 1978 a confirmé son rôle dans la
distribution des prêts aidés par l'État. Prêteur à long terme dans le domaine immobilier, il intervient tout aussi bien dans le secteur public que
dans le secteur privé. Il a par ailleurs étendu son action à des domaines nouveaux, tels que les prêts aux collectivités publiques.
Depuis 1999, le Crédit foncier de France est adossé au groupe Caisse d’épargne. Il est déchargé désormais de l’ensemble des missions de
service public qu’il remplissait pour le compte de l’État (contrôle des prêts conventionnés désormais assuré par la Société de gestion du fonds
de garantie de l'accession sociale à la propriété (SGFGAS), suivi du marché hypothécaire, versement de la prime pour l’amélioration de
l’habitat désormais assuré par l'Agence nationale de l'habitat (Anah), etc…).
Eco-prêt à 0 % Adopté en loi de finances pour 2009, dans le cadre du Grenelle de l’Environnement, l’éco-prêt à 0 % est un prêt aidé par l’État pour le
financement des travaux de réhabilitation énergétique des logements construits avant 1990. Ces rénovations doivent permettre de réduire la
consommation d’énergie, de favoriser les énergies renouvelables et diminuer les émissions de gaz à effet de serre. Permettant de financer
jusqu’à 30 000 euros de travaux, l’éco-prêt à 0 % n’est soumis à aucune condition de ressources. Sa durée de remboursement est de 10 ans.
L’emprunteur ne supporte aucun intérêt, ni frais de dossier, à payer à l’établissement prêteur. Les intérêts du prêt sont financés par l’État qui
accorde à l’établissement de crédit le bénéfice d’un crédit d’impôt.
Ce prêt est attribué aux propriétaires, qu’ils soient occupants ou bailleurs. Un seul prêt peut être accordé par logement, même en cas de
changement de propriétaire, et quel que soit le montant de l’éco-prêt qui aura été accordé.
Il est cumulable avec les autres dispositifs d’aide au logement, notamment le crédit d’impôt « développement durable » (sous condition de
ressources), les aides de l’Anah et des collectivités territoriales et le prêt à 0 %.
Eco-prêt logement social Dans le cadre du plan « Batiment Grenelle Environnement », l’éco-prêt logement social est mis en place afin de permettre le financement
des travaux de réhabilitation thermique des logements sociaux les plus consommateurs en énergie. Distribué par la CDC à partir d’avril 2009,
ce prêt est proposé aux bailleurs sociaux au taux fixe de 1,9 % sur une durée de 15 ans. Il complète les autres financements mis à la
disposition des bailleurs sociaux : dégrèvement de taxe foncière, dotations ANRU, aides de l’ADEME…
Épargne logement Elle est destinée au financement de l'achat ou de la construction de logements neufs ou anciens destinés à l'occupation personnelle ou à la
location, de l'achat ou de la construction de résidences secondaires neuves, et au financement de travaux d'amélioration.
Il existe deux types d’épargne logement :
• Le plan d’épargne logement (PEL)
Le plan d’épargne logement est un placement d’une durée de quatre ans minimum qui ouvre droit ensuite à un prêt immobilier.
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Le placement est rémunéré au taux normal de 2,5 % net d’impôt, hors prime d’État, depuis le 1er août 2003. Les versements sont adaptés
aux possibilités financières de l’épargnant, avec un apport initial minimal de 225 euros et un versement annuel de 540 euros au minimum (le
plafond des dépôts est fixé à 61 200 euros au terme du contrat).
Le prêt est accordé au taux de 4,20 % l’an et d’une durée de 2 à 15 ans, au choix selon les possibilités de remboursement. Plus l’épargne
est importante, plus le montant du prêt est élevé. Il peut atteindre jusqu’à 92 000 euros.
De 1998 à 2009, les taux ont évolué comme suit :
En juin 1998, le taux de rémunération est fixé à 4 % (prime d’État incluse) et le prêt est accordé au taux de 4,6 %.
En juillet 1999, la rémunération passe à 3,6 % et le taux du prêt à 4,31 %.
En juillet 2000, la rémunération remonte à 4,5 % et le taux du prêt à 4,97 %.
En août 2003, la rémunération passe à 2,5% et le taux du prêt à 4,2 %.
Pour les PEL ouverts à compter du 1er mars 2011, le taux de l’épargne est revalorisé chaque année, avec un taux plancher à 2,5 %. Celui-ci
s’appliquera pour toute la durée de vie du PEL.
Pour les plans d’épargne logement ouverts à compter du 12 décembre 2002, l’octroi de la prime d’État est désormais conditionné à la
souscription d’un prêt d’épargne logement.
A compter du 1er mars 2011, la prime n’est versée qu’à partir de 5 000 euros empruntés. Son montant est plafonné en fonction de la
performance énergétique du bien immobilier : pour les logements « non verts », elle ne dépassera pas 1 000 euros.
• Le compte d’épargne logement (CEL)
Le compte d’épargne logement permet d’obtenir un prêt après une courte période d’épargne rémunérée (un an et demi).
L’épargne rapporte chaque année des intérêts nets d’impôts et une prime d’État proportionnelle aux intérêts, subordonnée à l’octroi d’un
prêt. L’apport initial minimal est de 300 euros et les versements ultérieurs sont libres. Le plafond des dépôts est fixé à 15 300 euros au terme
de l’épargne.
Le prêt acquis au bout d’un an et demi est consenti (voir évolution des taux ci-après). Au sein d’une même famille, les avantages acquis sur
les différents comptes peuvent être cumulés et donner ainsi droit à un prêt plus important.
De 1998 à 2011, les taux ont évolué comme suit :
A partir de juin 1998, la rémunération s’établit à 2 % (hors prime d’État) et le taux du prêt à 3,5 %.
Depuis le 1er août 1999, la rémunération est de 1,5 % (hors prime d’État). Le taux du prêt baisse à 3 %.
A partir du 1er juillet 2000, la rémunération remonte à 2 % (hors prime d’État) et le taux du prêt à 3,5 %.
Depuis le 1er août 2003, la rémunération est de 1,5 % (hors prime d’État). Le taux du prêt baisse à 3 %.
Au 1er août 2005, la rémunération passe à 1,25 % (hors prime d’État) et le taux du prêt à 2,75 %.
Au 1er février 2006, la rémunération revient à 1,5 % (hors prime d’État) et le taux du prêt à 3 %.
Au 1er août 2006, la rémunération passe à 1,75 % (hors prime d’État). Le taux du prêt est de à 3,25 %.
Au 1er août 2007, la rémunération remonte à 2 % (hors prime d’État). Le taux du prêt est de à 3,5 %.
Au 1er février 2008, la rémunération passe à 2,25 % (hors prime d’État). Le taux du prêt est de à 3,75 %.
Au 1er août 2008, la rémunération monte à 2,75 % (hors prime d’État). Le taux du prêt est de à 4,25 %.
Au 1er février 2009, la rémunération passe à 1,75 % (hors prime d’État). Le taux du prêt est de à 3,25 %.
Au 1er mai 2009, la rémunération baisse à 1,25 % (hors prime d’État) et le taux du prêt à 2,75 %.
En août 2009, la rémunération s’établit à 0,75 % (hors prime d’État). Le taux du prêt est de 2,25 %.
En août 2010, la rémunération s’établit à 1,25 % (hors prime d’État). Le taux du prêt est de 2,75 %.
En août 2011, la rémunération s’établit à 1,50 % (hors prime d’État). Le taux du prêt est de 3 %.
Au 1er février 2013, la rémunération s’établit à 1,25 % (hors prime d’État). Le taux du prêt est de 2,75 %.
Au 1er août 2013, la rémunération s’établit à 0,75 % (hors prime d’État). Le taux du prêt est de 2,25 %.
Fonds de solidarité pour le logement (FSL) Les plans départementaux d'action pour le logement des personnes défavorisées, qui sont au cœur de la loi du 31 mai 1990 visant à la mise
en œuvre du droit au logement, ont institué dans chaque département un fonds de solidarité pour le logement. Ces fonds sont destinés à
aider les ménages défavorisés à se maintenir dans des logements locatifs, en cas d'impayés de loyer et à accéder à un logement locatif, par
des aides financières telles que cautions, prêts, garanties et subventions. Ils assurent également la mise en œuvre des mesures
d'accompagnement social lié au logement (ASLL) nécessaires à l'accès et au maintien dans un logement des ménages bénéficiant du plan
départemental, locataires ou non, bénéficiaires ou non d'une aide financière du fonds.
Les aides financières du FSL concernent tout le parc locatif, public ou privé.
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Chaque FSL bénéficie d'une participation obligatoire de l'État et du Conseil général, ce dernier devant verser au moins autant que l'état. Les
autres partenaires du logement (collectivités locales, organismes bailleurs, Caf, collecteurs du "1 %"...) sont invités à participer volontairement
à ce fonds.
Les fonds de solidarité logement sont décentralisés auprès des conseils généraux depuis le 1er janvier 2005.
Garantie universelle des risques locatifs (GRL) Depuis 2006, la garantie universelle des risques locatifs (GRL) consiste en une extension du champ de couverture des assurances contre les
risques d’impayés de loyer. Elle favorise l’accès au logement d’un plus grand nombre de candidats locataires. L’union d’économie sociale du
logement (UESL) verse, par l’intermédiaire du fonds GRL, des compensations aux compagnies d’assurances qui proposent cette garantie.
Habitation à loyer modéré (HLM) Ce terme désigne :
- un réseau de constructeurs bénéficiant d'un financement particulier jusqu'à la réforme de 1977. Il regroupe plus d'un millier d'organismes,
emploie plusieurs dizaines de milliers de salariés ;
- l'ensemble des habitations construites et gérées par ces organismes (4 millions de logements) ;
- les financements propres au réseau HLM jusqu'en 1977.
Le réseau est né des initiatives prises par des constructeurs en vue de bénéficier des dispositions des lois successives sur le financement du
logement social.
Le 27 juin 1925, l'Union nationale des fédérations d'organismes d'HLM, devenue Union sociale pour l’habitat en 2002, était créée, dans le
but de coordonner les efforts des diverses fédérations d'organismes d'HLM, de permettre l'étude en commun dans un plan général des
questions qui intéressent tous ces organismes et de présenter avec une autorité accrue leurs revendications auprès des pouvoirs publics.
Il existe aujourd'hui cinq fédérations regroupées au sein de l'USH :
• La Fédération nationale des offices publics de l’habitat (OPH)
L'ordonnance du 1er Février 2007 a intégré l'ensemble des OPHLM et OPAC dans un nouveau statut unique : les offices publics de l'habitat
(OPH).
La Fédération nationale des offices publics de l'habitat représente les Offices dans les discussions auprès des Pouvoirs Publics concernant les
orientations de la politique du logement social en France, dans les négociations avec les partenaires du financement de l'habitat social et dans
les instances de concertation avec les organisations représentatives des locataires et avec l'État, dans les relations avec les institutions de la
fonction publique territoriale.
• La Fédération des entreprises sociales pour l’habitat (ESH)
Les SA d'HLM (dénommées « entreprises sociales pour l’habitat » depuis 2002) sont soumises à la législation des sociétés par actions ainsi
qu'à la réglementation propre à l'institution HLM dont elles conservent le caractère non lucratif.
Elles sont généralement créées par des entreprises privées ou établissements financiers : chambres de commerce et collecteurs du « 1 %
patronal », caisses d'allocations familiales, caisses d'épargne, associations familiales, organismes mutualistes.
Elles interviennent aussi bien dans l'habitat locatif qu'en accession à la propriété. Elles peuvent être prestataires de service pour des
organismes d'HLM, aménageurs, syndics de copropriété.
• La Fédération nationale des sociétés coopératives d'HLM
Les sociétés coopératives d'HLM dont l'activité était limitée depuis juillet 1971 à des interventions comme prestataires de service des
coopératives de construction ou des personnes physiques, pour ce qui concerne la construction ou la gestion des prêts, ont vu leur
compétence étendue par la loi du 20 juillet 1983 tant en accession que dans le secteur locatif.
La Fédération a pour but :
- de rechercher tous moyens propres à faciliter le développement de l’œuvre que poursuivent les Sociétés Coopératives d'H.L.M. ;
- d'assurer la défense des intérêts particuliers et généraux des Sociétés Coopératives d'H.L.M. ;
- de promouvoir une politique coopérative d'actions en faveur de l'habitat social.
• L’Union d’économie sociale pour l’accession à la propriété
L’UES-AP est l’organisme fédérateur des Sociétés anonymes coopératives d'intérêt collectif pour l'accession à la propriété (SACICAP) qui
succèdent aux sociétés anonymes de crédit immobilier (SACI) en 2006. Depuis 2007, les SACICAP se sont engagées à soutenir les politiques
locales d’accession sociale. Elles consentent des prêts à taux réduit aux personnes physiques désirant accéder à la propriété de leur logement.
En 2008, les SACICAP et l'UES-AP ont décidé d'adopter une marque commune qui exprime l'ensemble de leurs valeurs : PROCIVIS. Acteur
majeur de l’accession sociale, les SACICAP sont devenues depuis 2009 les principaux acteurs de la diversification de l’habitat dans les
opérations en zone ANRU.
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• La Fédération nationale des associations régionales d’organismes d’habitat social (FNAR)
Ces associations assurent des tâches de coordination à des échelons décentralisés, assurent aussi la représentation des organismes d'HLM. La
fédération assure un lien permanent entre, d'une part les Associations régionales d'organismes d’habitat social, et d'autre part L'Union sociale
pour l'habitat et les Fédérations qui la composent. Depuis la réforme de 1977, si les organismes restent régis par les statuts qui leur sont
propres, dans le cadre de la réglementation de l'État, les conditions de financement ont été entièrement transformées. Les prêts locatifs aidés
(PLA) s'adressent à tous les constructeurs indifféremment, de même que les prêts à l'accession à la propriété (PAP), les procédures de
conventionnement locatif et la distribution de l'APL concernent tous les bailleurs. Les constructeurs et gestionnaires HLM se caractérisent donc
par leur expérience et leur réseau, et non plus par un monopole d'accès à certains financements.
Loi de 1948 La loi du 1er septembre 1948 avait pour objectif de réglementer le secteur locatif, préservant la paix sociale tout en incitant les investisseurs
à s'intéresser à l'immobilier. Pour ce faire, elle instaurait :
- la liberté des loyers pour la construction privée neuve ;
- le maintien dans les lieux pour les locataires en place avant sa promulgation ;
- le calcul des loyers en fonction de la "surface corrigée" (voir ce terme), qui devait donner une base "scientifique" à la revalorisation des
loyers ;
- l'augmentation progressive des loyers (après une période de blocage qui durait depuis 1914) pour parvenir à terme au niveau du marché ;
- la création de l'allocation logement, qui devait solvabiliser les ménages subissant ces hausses de loyer et les encourager à se loger dans le
parc neuf à loyers libres.
Dans les faits, le réajustement ne s'est pas fait au rythme de l'augmentation du coût de la vie, et a conduit à une sous-évaluation des loyers
qui a fait obstacle à un entretien normal des immeubles par leurs propriétaires.
Opération programmée d'amélioration de l'habitat (OPAH) Une opération programmée d'amélioration de l'habitat est un programme d'actions ponctuelles de restauration du patrimoine immobilier,
qui fait l'objet d'une convention entre la collectivité locale, l'État (représenté par le préfet) et l'Agence nationale de l'Habitat (Anah).
Cette procédure, lancée en 1977, a pour but d'offrir un cadre plus souple et moins contraignant que celui des opérations groupées de
restauration immobilière ou de périmètres de restauration et d'obtenir le maintien dans les lieux de la plupart des habitants intéressés.
L'opération peut aussi bien concerner l'ensemble d'un quartier que plusieurs îlots distincts ou même une série d'immeubles répartis sur le
territoire d'une ou plusieurs communes.
L'opération qui se déroule normalement sur trois ans, est précédée d'une étude préalable qui détermine en particulier les critères de
sélection des immeubles à améliorer, puis d'une étude de réalisation qui propose un plan de financement. Ces études sont faites à l'initiative
de la collectivité locale et bénéficient d'une subvention de l'État. Elles peuvent durer de six mois à un an.
La réalisation de l'opération est confiée à un organisme public ou semi-public, (OPHLM) à un organisme privé sans but lucratif, (PACT-ARIM,
ARIM, CDHR) ou à tout autre opérateur. Elle peut également être menée directement par les services municipaux.
Participation des employeurs à l'effort de construction (dite « Action logement » ou « 1 % logement ») Les employeurs d'au moins 10 salariés sont assujettis au versement d'une participation à l'effort de construction dont le montant est une
fraction (actuellement 0,45 %) du montant des salaires versés ; cette participation permet de financer l'acquisition et l'aménagement de
terrains destinés à la construction de logements sociaux, la construction, l'agrandissement, l'amélioration ou l'acquisition-amélioration de
logements. En complément, 0,50 % de la masse salariale est versée au FNAL qui finance une part des aides personnelles.
Pass-foncier Mis en place fin 2006, ce dispositif permet l’accession à la propriété aux ménages à revenus modestes. En 2007, il assure le financement de
« la maison à 100 000 euros » puis de « la maison à 15 euros » en 2008. Ainsi, sans autre apport personnel que les frais d’acquisition et
d’hypothèque, un ménage primo-accédant rembourse environ 450 euros par mois (15 euros par jour), après déduction de l’aide personnelle
au logement. Ce dispositif prend fin à l’occasion de la réforme de l’accession à la propriété, fin 2010.
Pass-travaux Le « pass-travaux » est un prêt délivré par les organismes collecteurs du « 1 % logement ». Il permet de financer des travaux de rénovation,
d’agrandissement ou d’embellissement dans la résidence principale : chauffage, isolation, fenêtres, toiture, revêtements muraux ou des sols,
plomberie, électricité, ascenseur, adaptation du logement au handicap, ravalement... Ces travaux doivent être réalisés par une entreprise.
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D'un montant maximum de 9 600 € (sous condition de ressources), d'une durée pouvant aller jusqu’à 10 ans, le prêt est consenti, sans frais
de dossier, au taux de 1,50 %. Il est ouvert à tous les salariés du secteur privé, qu’ils soient locataires ou propriétaires, en maison individuelle
ou en copropriété.
Ce dispositif prend fin à l’occasion de la réforme du « 1 % logement » (qui devient « Action logement »), fin 2008.
Prêt à l'accession à la propriété (PAP) Mis en place en 1977 par la réforme des aides au logement, le PAP s'est substitué aux anciens prêts HLM pour l'accession à la propriété et
aux prêts spéciaux du Crédit foncier de France.
Il finance la construction neuve et l'acquisition de logements anciens en vue de leur réhabilitation si les travaux représentent au moins 35 %
du coût total de l'opération. Il est réservé à des ménages accédant à la propriété dont les ressources sont inférieures à des plafonds qui
varient en fonction de leur situation familiale et du lieu d'implantation du logement. Il ouvre droit à l'APL (voir ce terme).
Le PAP a été remplacé, depuis le 1er octobre 1995, par le prêt à 0 %.
Prêt à l’accession sociale (PAS) Le PAS est une nouvelle catégorie de prêts conventionnés (voir ce terme) mise en place par décret du 18 mars 1993. Ce prêt conventionné
garanti par l'État au titre du fonds de garantie à l'accession sociale (FGAS) a pour objet de réduire le coût du risque pour l'établissement
prêteur, en cas d'incident de paiement des emprunteurs. Ce fonds est financé par les établissements de crédit y adhérant et l'État.
Le PAS est octroyé aux personnes physiques dont le revenu n'excède pas un certain plafond de ressources. Il finance la construction ou
l'achat d'un logement neuf, l'acquisition d'un logement existant, la réalisation de travaux d'amélioration, de travaux de maîtrise de l'énergie
et de travaux d'adaptation aux besoins de personnes handicapées physiques, à condition que l'opération soit destinée à la résidence
principale de l'emprunteur. Il ouvre droit à l'APL.
Prêt à 0 % Le prêt à 0 % a été institué par décret du 29 septembre 1995 et remplace, depuis le 1er octobre 1995, le prêt à l’accession à la propriété
(PAP).
Ce nouveau prêt est remboursable sans intérêt. Il peut être accordé pour construire ou acheter un logement neuf ou ancien à titre de
résidence principale. Avant février 2005, les acquisitions de logements anciens financées par ce prêt devaient comporter un minimum de
travaux (35 % du montant total de l’opération). Le prêt à 0% peut désormais être accordé pour l’acquisition d’un logement existant avec ou
sans travaux d’amélioration. Ce prêt se cumule avec tous les autres prêts : prêt à l’accession sociale, prêt conventionné, prêt bancaire..., sans
dépasser toutefois 50 % du montant des autres prêts.
Il est destiné aux ménages dont les revenus sont inférieurs à des plafonds de ressources, qui dépendent de la taille de la famille et de la
zone géographique d’acquisition. Il est limité depuis le 1er novembre 1997 aux ménages qui ne sont pas déjà propriétaires (les « primo-
accédants »). Les conditions de remboursement dépendent du revenu des accédants : le remboursement est d’autant plus long que le revenu
de l’emprunteur est faible. Un différé d’amortissement total ou partiel est également applicable.
Le nombre de prêts n’est pas contingenté. Le prêt à 0 % est distribué de façon banalisée par tous les établissements de crédit ayant passé
une convention avec l’État. Il est financé à partir des ressources ordinaires de ces établissements. Jusqu’en 2005, la subvention de l’Etat,
versée en deux fois à un an d’intervalle par l’intermédiaire de la SGFGAS, correspond à la valeur actuelle des intérêts qu’un prêteur pourrait
obtenir sur un tel prêt dans des conditions normales. Cette subvention est fixée de façon définitive par l’État, par arrêté, sous la forme d’un
taux proportionnel au montant du prêt.
La loi de finances pour 2005 instaure un nouveau mode de financement du prêt à 0 %. Le coût de l’absence d’intérêts de ce prêt n’est plus
compensé par des subventions budgétaires aux établissements de crédit distributeurs mais par un crédit d’impôt sur les sociétés. Le dispositif
antérieur est mis en extinction à partir du 1er février 2005.
Le champ d’application, les plafonds de ressources, les caractéristiques financières du prêt sont modifiés par un décret 31 janvier 2005 et un
arrêté du 31 janvier 2005. Ces nouvelles conditions sont applicables pour les prêts émis à partir du 1er février 2005.
Dans le cadre du plan de relance, le montant des prêts à 0 %, émis entre le 15 janvier 2009 et le 20 juin 2010, est doublé pour l’acquisition
d’un logement neuf. La durée maximale du prêt est augmentée et le différé de son remboursement est allongée en zone « tendue ».
Au 1er janvier 2011, le dispositif est renforcé par la mise en place du PTZ+PTZ+PTZ+PTZ+. Le prêt est alors distribué sans condition de ressources. Les
revenus et la composition du ménage déterminent cependant les caractéristiques du prêt (durée, quotité). La performance énergétique du
logement conditionne le montant prêté.
De nouvelles conditions d’éligibilité, liées aux revenus, à la localisation du logement et à la composition du ménage sont réintroduites en
janvier 2012.
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Prêt conventionné (PC) Comme le PAP et le PLA, il est issu de la réforme des aides au logement de 1977, mais contrairement à ceux-ci il n'est pas aidé directement
par l'État. Il est distribué par des banques et organismes financiers qui ont signé une convention avec l'État et finance la construction de
logements, l'acquisition de logements anciens avec ou sans réalisation de travaux de réhabilitation (un décret d'octobre 1991 a levé
l'obligation de réaliser des travaux représentant 25 % au moins du coût de l'opération), ainsi que la réhabilitation ou des travaux d'économie
d'énergie dans des logements occupés par leurs propriétaires.
Les emprunteurs ne sont pas tenus de respecter des plafonds de ressources, mais le prêt leur ouvre droit à l'APL s'il concerne des opérations
de construction, d'acquisition-réhabilitation ou de réhabilitation seule dans le cadre d'un programme d'intérêt général (voir ce terme).
Si les logements sont destinés à la location, l'ouverture du droit à l'APL est soumise à la signature d'une convention entre le propriétaire et
l'État (voir le terme "conventionnement").
Prêt au logement locatif social (PLA) Deuxième prêt aidé issu de la réforme du financement du logement, il se substitue à cinq régimes de prêts antérieurs destinés au logement
social ; il finance la construction ou l'acquisition-réhabilitation de logements destinés à la location.
Il existe deux circuits de financement :
Le prêt locatif aidé de la caisse des dépôts et consignations (PLA CDC)
Il peut être accordé aux organismes d'HLM et aux SEM pour le financement de la construction de logements destinés à être occupés par des
ménages dont les revenus ne dépassent pas des plafonds de ressources.
Une convention est obligatoirement passée entre l'Etat et l'organisme bénéficiaire. Elle fixe notamment le loyer maximum des logements et
ouvre droit à une aide personnalisée au logement pour le locataire.
Le prêt de la CDC au taux de 4,8 % et d'une durée de 32 ans est financé sur les ressources du Livret A. Il est complété par une subvention de
l'Etat égale à 12,7 % du prix de l'opération plafonné à 90 % d'un prix de référence.
Le Prêt Locatif Aidé d’Insertion (PLAPLAPLAPLA----IIII) est créé en 1990. Il devient le Prêt Locatif Aidé Très Social (PLATSPLATSPLATSPLATS) en 1994 et s'adresse aux
collectivités locales ou leurs groupements et aux organismes œuvrant dans le domaine de l'insertion par le logement. Les revenus des
ménages occupants ces logements ne doivent pas dépasser 60 % des plafonds de ressources du régime général. Les loyers fixés par la
convention signée entre l’État et l'organisme bénéficiaire ne doivent pas dépasser 80 % du plafond du régime général, ce qui permet aux
locataires de bénéficier de l'APL.
La subvention versée à l'organisme social est généralement de 20 %, au maximum, du coût de l'opération. L'aide est versée entre le début
de l'opération et la fin des travaux.
Enfin, il faut noter que des logements très sociaux peuvent être désormais créés soit par des opérations spécifiques, soit par des opérations
mixtes comportant une partie de logements très sociaux dans un ensemble de logements PLA ordinaires.
Le prêt locatif aidé du crédit foncier de France (PLA CFF)
Il peut être accordé à des personnes physiques ou morales comme aux organismes d'HLM et aux SEM à condition qu'un apport financier
minimal soit mobilisé sous forme de financement propre par le maître d'ouvrage de l'opération.
Les mêmes règles que celles du régime général du PLA CDC s'appliquent : établissement d'une convention signée entre l'Etat et les bailleurs
ouvrant droit à l'APL (respect des plafonds de ressources et de loyers plafonds).
Le prêt accordé par le Crédit foncier de France est financé par une ressource obligataire et par une subvention de l'Etat au taux de 18,6 %
versée au Crédit foncier. Fin 2008, le taux actuariel de ce prêt varie entre 5,13 % et 5,43 %. La quotité maximale du prêt est de 65 % du prix
de référence dans la limite du prix de revient de l'opération.
A partir d’octobre 1996, le PLA CFF, appelé désormais PPLS ou PCLS (prêt pour la location sociale) bénéficie du taux de TVA à 5,5 %.
A partir de janvier 2012, le taux de TVA réduit passe à 7,0 % et s’applique sur les agréments 2012.
En 2001, le Prêt locatif social (PLS) se substitue au PPLS.
PLA fiscal et PLUS
Une réforme du PLA a été mise en place le 1eroctobre 1996.
Cette réforme du financement du logement social consiste à substituer à la subvention de l’État, pour les PLA CDC ordinaires, les PLA CDC très
sociaux et les PLA CFF, une baisse du taux de TVA de 20,6 % à 5,5 %. Cette mesure concerne, dans un premier temps, les opérations de
construction neuve.
Pour le PLA CDC neuf, la subvention au taux de 12 % est remplacée par un taux de TVA de 5,5 % sur les travaux de construction. Pour le PLA
CFF neuf, la « subvention » versée à l’organisme financier est remplacée par un taux de TVA de 5,5 % et le prêt CFF par un prêt conventionné
locatif CFF. Pour le PLA CDC très social neuf, la subvention au taux de 20 % est remplacée par un taux de TVA de 5,5 % et le maintien d’une
subvention au taux de 8 %. Le PLATS neuf combine ainsi une part de subvention classique et le nouveau régime.
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Le principe de réduction de TVA s’effectue de la manière suivante : l’Etat rembourse à l’organisme constructeur, au fur et à mesure du
paiement des factures, un montant de TVA correspondant à la différence entre une TVA de 20,6 % que l’organisme a versé à l’entreprise de
construction et la TVA de 5,5 % que l’organisme constructeur doit effectivement à l’État.
Depuis le 1er janvier 1998, le régime du PLA fiscal est étendu à l’ensemble des opérations PLA.
Pour les PLA acquisition-amélioration, le taux réduit de TVA sur les travaux se cumule avec une subvention de 5 % sur l’ensemble de
l’opération.
Les deux nouveaux produits très sociaux bénéficient également de la TVA à 5,5 %.
- le PLA-LM « à loyer minoré », avec une subvention de 8 % en construction neuve et 13 % en acquisition-amélioration ;
- le PLA-I « intégration » réservé aux ménages qui font face à des difficultés financières et sociales, avec une subvention de 20 % en
construction neuve de même qu’en acquisition-amélioration ;
Le PLUS est mis en place en octobre 1999. En termes réglementaires, il se substitue à la fois au PLA ordinaire et au PLA à loyer minoré (PLA-
LM), y compris PLA expérimental et construction-démolition. Le PLA-intégration est maintenu.
Les conditions de financement ont évoluées :
- Fin 2008, le taux des prêts est de 4,6 %.
- La subvention est rétablie au taux de 5 % dans le neuf (6,5 % sur dérogation du préfet) et 10 % dans les opérations d’acquisition-
amélioration (11,5 % sur dérogation du préfet) ;
- La TVA au taux réduit de 5,5 % est maintenue ;
- La durée des prêts de la CDC pour l’achat du foncier (dans le neuf) et pour la partie acquisition (dans les opérations d’acquisition-
amélioration) est allongée de 32 à 50 ans.
Les opérations de construction-démolition et les résidences sociales bénéficient de taux de subvention de 12 % dans le neuf comme dans
l’acquisition-amélioration, les opérations expérimentales bénéficient des taux respectifs de 8 % dans le neuf et 13 % dans l’ancien.
A partir de janvier 2012, le taux de TVA réduit passe à 7,0 % et s’applique sur les agréments 2012.
Prêt locatif social (PLS) Les prêts locatifs sociaux (PLS) ont été créés par décret du 6 mars 2001 et succèdent aux PPLS-CFF (ex PLA-CFF).
Le champ d’application des opérations éligibles au PLS est identique à celui du PLUS. Les personnes physiques comme les personnes morales
peuvent réaliser des opérations financées en PLS, toutefois les PLS de la CDC ne peuvent être attribués qu’aux organismes d’HLM ou aux SEM.
Refinancés par les fonds d’épargne centralisés à la Caisse des dépôts (livret A pour le PLS), ces prêts sont désormais consentis, d’une part
directement par la Caisse des Dépôts et Consignations, d’autre part par le Crédit foncier de France et Enténial (ex-Comptoir des entrepreneurs)
ainsi que par les établissements ayant répondu aux appels d’offres organisés par la CDC pour l’attribution des enveloppes annuelles, sous
l’égide du Ministère de l’économie, de l’industrie et de l’emploi.
L’octroi des prêts est subordonné à l’obtention d’une décision favorable de l’État et à la passation d’une convention ouvrant droit à l’APL. Les
taux des prêts sont indexés sur le livret A et d’une durée maximale de 30 ans. Comme les PLUS, les opérations PLS bénéficient du taux de TVA
à 5,5 % et sont exonérées pendant 15 ans de la TFPB (Taxe foncière sur la propriété bâtie).
Depuis janvier 2012, le taux de TVA réduit passe à 7,0 % et s’applique sur les agréments 2012.
Prêt locatif intermédiaire (PLI) Les prêts locatifs intermédiaires sont destinés à financer des logements dits intermédiaires, c’est à dire dont les loyers se situent entre les
logements locatifs sociaux (PLA) et le marché libre.
Créé en 1987, le PLI a été rebaptisé prêt locatif social (PLS) en mars 1992, puis est redevenu PLI en 1993.
Ces prêts font l’objet d’une convention entre le ministère de l’Economie et les établissements prêteurs : la Caisse des dépôts pour les
organismes HLM et les SEM, le Crédit foncier de France et le Comptoir des entrepreneurs pour toutes catégories d’investisseurs.
Les logements financés en PLI font l’objet, de la part de l’emprunteur, d’un engagement de location (12 ans minimum, réduits à 6 ans dans
certaines conditions) à des niveaux de loyers plafonnés, et ne peuvent être loués qu’à des ménages dont les ressources ne dépassent pas,
également, un certain plafond.
Destinés au départ à financer des opérations neuves ou de réhabilitation lourde, les PLI ont été étendus, en 1993, à des opérations de
transformation de bureaux en logements puis, en 1994, à des opérations d’acquisition-amélioration. Depuis le 1er mars 1996, le seuil des
travaux à réaliser pour les opérations d’acquisition - amélioration est abaissé de 25 % à 15 % du prix d’achat.
Les PLI sont attribués prioritairement en Île-de-France et dans les agglomérations connaissant un marché locatif tendu.
Le prêt PLI peut financer au maximum 70 % du coût de l’opération et dans la limite de 85 % des prix plafonds des prêts conventionnés.
Accordé à un taux de 6 %, il peut être complété, depuis 1992, par des fonds du 1 %, sous forme de prêt ou de subvention.
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Les PLI sont financés à partir de ressources de marché et du Livret d’épargne populaire (LEP).
Les prêts locatifs intermédiaires sont refondés par décret du 6 mars 2001. Leur champ est le même que celui des PLS mais ne comprend que
les logements ordinaires et ne concerne pas les logements-foyers. Leur usage est limité à des zones géographiques prioritaires.
Ces prêts sont refinancés par les fonds d’épargne centralisés à la Caisse des dépôts (Livret d’épargne populaire pour le PLI), et sont
consentis, d’une part directement par la Caisse des dépôts, d’autre part par le Crédit foncier de France et Enténial (ex-Comptoir des
entrepreneurs) ainsi que par les établissements ayant répondu aux appels d’offres organisés par la CDC pour l’attribution des enveloppes
annuelles, sous l’égide du ministère de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi.
Toute personne physique ou morale peut bénéficier du PLI, étant entendu que la CDC ne peut distribuer des prêts qu’aux organismes d’HLM
ou aux SEM.
Le taux des prêts est indexé sur le LEP (livret d’épargne populaire). Ils sont d’une durée maximale de 30 ans.
Prime à la cuve Fin 2005, une mesure gouvernementale vise au soutien du pouvoir d’achat des ménages face à la hausse des prix des produits pétroliers.
Les ménages modestes et non imposables qui se chauffent au fioul domestique reçoivent une aide de 75 euros en 2006. Cette prime n’a pas
été reconduite en 2007, mais doublée l’hiver suivant. Son montant s’est établit à 150 euros en 2008 et 200 euros en 2009. Elle n’est pas
versée en 2010, ni en 2011.
Prime à l'amélioration de l'habitat (PAH) Créée en 1977 par la réforme des aides au logement, la PAH a fusionné en 1979 avec la Prime à l'amélioration de l'habitat rural (PAHR),
plus ancienne.
Elle finance des travaux d'amélioration de logements (construits depuis plus de 15 ans) occupés par leurs propriétaires : travaux
d'amélioration de la sécurité, de la salubrité et de l'équipement des logements ; travaux d'adaptation du logement aux besoins de personnes
âgées ou handicapées, ou de travailleurs manuels appelés à travailler la nuit ; travaux d'économie d'énergie. Elle est accordée sous conditions
de ressources.
Depuis le 1er janvier 2002, cette prime aux propriétaires occupants est distribuée par l’Anah.
Prime à l'amélioration des logements à usage locatif et occupation sociale (Palulos) La Palulos est une subvention attribuée par l'État aux propriétaires de logements sociaux (HLM, SEM, collectivités locales) pour des travaux
d'amélioration du confort ou de mise en conformité avec les normes minimales d'habitabilité ; l'octroi de cette aide est subordonné à la
signature d'une convention entre l'État et l'organisme propriétaire et ouvre droit à l'APL pour les locataires.
La règle générale est une subvention d'un montant au plus égal à 20 % du coût prévisionnel des travaux dans la limite du montant des
travaux subventionnables (85 000 francs soit 12 958 euros).
Depuis le 1er janvier 1998, les travaux Palulos bénéficient du taux réduit de TVA à 5,5 %. La subvention accordée par l’État s’élève à 10 % du
montant des travaux avec des possibilités de majoration pour certaines opérations.
Depuis le 1er janvier 2012, la TVA appliquée sur les travaux est passée à 7,0 %.
Résorption de l'habitat insalubre (RHI) Procédure mise en place par la loi du 10 juillet 1970 dite "loi Vivien" qui permet l'expropriation et la destruction d'immeubles ayant fait
l'objet d'une déclaration d'insalubrité jugée irrémédiable ou d'une interdiction d'habiter.
Statut du bailleur privé L’article 96 de la loi de finances pour 1999 (loi n° 98-1266 du 30 décembre 1998) a pour la première fois institué le statut du bailleur privé.
Celui-ci a été modifié par les lois « Urbanisme et habitat » en 2003 et « engagement national pour le logement (ENL)» en 2006. Le régime
initial, appelé en pratique « dispositif Besson », permet aux bailleurs de bénéficier sous certaines conditions, notamment de loyers et de
ressources du locataire :
- d'un amortissement de leur investissement lorsqu'il s'agit d'un logement neuf acquis depuis le 1er janvier 1999 ;
- ou d'une déduction forfaitaire majorée lorsqu'il s'agit d'un logement ancien faisant l'objet d'un bail conclu depuis le 1er janvier 1999.
Dans le neuf, le propriétaire bailleur doit s’engager à louer pendant une durée au moins égale à neuf ans à un locataire respectant des
plafonds de ressources (environ les plafonds du PLUS + 40 %). Les loyers doivent être inférieurs à des loyers plafonds. L’avantage fiscal
consiste en une déduction d’un amortissement égal à 8 % du prix du logement les cinq premières années et à 2,5 % de ce prix les quatre
années suivantes. A l’issue des neuf ans, la possibilité de continuer à amortir à raison de 2,5 % par an est maintenue pendant six ans si les
conditions de location sont respectées.
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Dans l’ancien, le propriétaire bailleur doit s’engager à louer pendant une durée au moins égale à six ans à un locataire respectant des
plafonds de ressources (environ 140 % des plafonds PLUS). Les loyers doivent être inférieurs à des loyers plafonds qui sont inférieurs à ceux
des logements neufs. L’avantage fiscal consiste en un relèvement du taux de la déduction forfaitaire sur les revenus fonciers de 14 % à 25 %.
Le dispositif « Robien » créé à l’article 91 de la loi urbanisme et habitat du 2 juillet 2003la loi urbanisme et habitat du 2 juillet 2003la loi urbanisme et habitat du 2 juillet 2003la loi urbanisme et habitat du 2 juillet 2003 a remplacé le dispositif « Besson » pour les
logements neufs. Il est entré en vigueur en août 2003 avec application rétroactive en avril 2003.
Le dispositif antérieur est modifié sur les points suivants :
- un nouveau zonage en trois zones A, B et C est créé ;
- les montants des plafonds de loyers sont augmentés ;
- les conditions de ressources des locataires sont supprimées.
Le dispositif est étendu aux acquisitions de logements anciens qui ne satisfont pas aux caractéristiques des logements décents et qui font
l’objet d’une réhabilitation, aux locations déléguées et adapté en faveur des SCPI.
Pour les logements anciens, le dispositif Besson est maintenu, mais les plafonds de loyer s’appliquent sur le nouveau zonage A,B et C.
L’article 40 de la loi du 13 juillet 2006 portant engagement national pour le logement (dite loi «loi du 13 juillet 2006 portant engagement national pour le logement (dite loi «loi du 13 juillet 2006 portant engagement national pour le logement (dite loi «loi du 13 juillet 2006 portant engagement national pour le logement (dite loi « ENLENLENLENL ») ») ») ») apporte des modifications au
« dispositif Robien » et introduit le dispositif « Borloo populaire » pour les opérations réalisées à partir du 1er septembre 2006.
Le dispositif Robien fait l’objet d’un aménagement qui se traduit par :
- une réduction de la période d’amortissement, désormais limitée à neuf ans et une modification du rythme d’amortissement (6 % pendant
7 ans et 4 % les deux années suivantes) ; en revanche, le taux d’amortissement global sur la période n’est pas modifié, soit 50 % sur 9 ans ;
- l’introduction d’un nouveau zonage, par scission de la zone B en deux ;
- une baisse des niveaux des loyers en zones B2 et C.
Le dispositif « Borloo populaire» est fondé sur l’amortissement du logement, acquis neuf ou ancien et réhabilité, comme pour le « dispositif
Robien » et présente les caractéristiques suivantes :
- possibilité d’amortissement sur 15 ans, soit un amortissement total de 65 % ;
- déduction spécifique de 30 % sur les recettes ;
- plafonds de loyers et de ressources des locataires de niveau intermédiaire.
L’article 39 de la loi introduit un dispositif fiscal « Borloo ancien » adossé à un conventionnement, avec ou sans travaux, conclu avec
l’Agence nationale de l’habitat (Anah) qui se décline sous deux formes : conventionnement intermédiaire ou conventionnement social, en
fonction des niveaux de loyers et de plafonds de ressources des locataires. L’avantage fiscal consiste en un abattement sur les recettes, de
30 % ou 45 % selon le caractère intermédiaire ou social de la convention.
Ce dispositif s’applique aux baux conclus à compter du 1er octobre 2006. À compter de cette date, le bailleur ne peut plus opter pour le
dispositif « Besson ancien ».
Adopté par le parlement fin 2008, le nouveau dispositif d’investissement locatif « Scellier » est inscrit dans la loi de finance de 2009. Il
permet aux investisseurs privés faisant acquisition d’un logement construit après le 1er janvier 2009 de bénéficier d’une réduction d’impôt
pendant une durée de neuf ans. Le taux de cette réduction est de 25 % du prix d’achat du bien immobilier, pour les acquisitions effectuées en
2009. Ce taux passera à 20 % en 2010, puis 15 % en 2011.
Le dispositif « Scellier » impose :
- la location du bien immobilier pendant une durée minimale de neuf années ;
- le montant des loyers ne doit pas excéder un plafond fixé par l’État en fonction de la zone de localisation du logement ;
- le logement neuf doit respecter les normes environnementales en vigueur ;
- l’investisseur ne peut effectuer qu’un seul achat immobilier par an dans le cadre du dispositif Scellier.
Fin 2009, le dispositif « Scellier » remplace les dispositifs « Robien » ou « Borloo ».
Surface corrigée La notion de surface corrigée a été introduite par la loi du 1er septembre 1948 qui réglemente les loyers de certains logements achevés
avant sa promulgation. Il s'agit d'une surface qui multipliée par un loyer au mètre carré, donne la valeur locative du logement. Cette surface
est obtenue en affectant à la superficie des pièces habitables et des autres parties du logement des correctifs qui tiennent compte,
notamment, de l'éclairement, de l'ensoleillement et de l'équipement de logement.
Surface habitable La surface habitable d'un logement est la surface de plancher construite, après déduction des surfaces occupées par les murs, cloisons,
marches et cages d'escalier, gaines, ébrasements de portes et de fenêtres ; il n'est pas tenu compte de la superficie des combles non
aménagés, balcons, caves, dépendances, garages, loggias, remises, séchoirs extérieurs, sous-sols, terrasses, vérandas, volumes vitrés, locaux
communs et locaux de hauteur inférieure à 1m80.
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Surface utile Elle est définie comme la somme de la surface habitable des logements et de la moitié des surfaces annexes à usage privatif qui leur sont
rattachées (cave, balcon, loggia). Cette notion a été introduite dans le cadre de la nouvelle réglementation PLA entrée en vigueur le 1er juillet
1996. Le nouveau dispositif pour le calcul des loyers et des subventions PLA est basé désormais sur la surface utile.
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COMPOSITION DE LA COMMISSION DES COMPTES DU LOGEMENT
décret n° 2010-1302 du 29 octobre 2010
arrêtés du 5 novembre 2014 et du 1er décembre 2014
La commission est présidée par le ministre chargé du logement, Madame Madame Madame Madame Sylvia PINELSylvia PINELSylvia PINELSylvia PINEL, Ministre de l’égalité des territoires et du logement.
Le vice-président de la commission est nommé, pour trois ans, par arrêté conjoint du ministre chargé du logement et du ministre chargé de
l’économie. Il supplée le président en cas d’absence ou d’empêchement. Mme Sabine BAÏETTOSabine BAÏETTOSabine BAÏETTOSabine BAÏETTO----BEYSSONBEYSSONBEYSSONBEYSSON est la vice-présidente de la
commission.
Outre son président et son vice-président, la commission comprend :
Douze membres de droit représentant l’administration :
Le directeur de l’habitat, de l’urbanisme et des paysages ;
Le vice-président du Conseil général de l’environnement et du développement durable ;
Le directeur général de l’Institut national de la statistique et des études économiques ;
Le directeur du budget ;
Le directeur général du Trésor ;
Le directeur général des finances publiques ;
Le directeur général de la cohésion sociale ;
Le directeur de la sécurité sociale ;
Le directeur de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques ;
Le directeur général des collectivités locales ;
Le commissaire général au développement durable ;
Le chef du Service de l’observation et des statistiques du Commissariat général au développement durable, en tant que chef du service
élaborant l’information statistique du ministère chargé du logement ;
ou leurs représentants ;
Six membres de droit représentant des organismes compétents en matière de logement :
Le gouverneur de la Banque de France ;
Le directeur de la Caisse nationale des allocations familiales ;
Le directeur général de l’Agence nationale de l’habitat ;
Le délégué général de l’Union sociale pour l’habitat ;
Le directeur général de l’Agence nationale pour la participation des employeurs à l’effort de construction ;
Le directeur général de l’Agence nationale d’information sur le logement ;
ou leurs représentants ;
Quatorze membres choisis en raison de leur compétence en matière d’économie du logement et nommés, pour trois ans, par le ministre
chargé du logement :
Mme Muriel BOULMIER
M. Bernard COLOOS
M. Didier CORNUEL
M. Jean-Claude DRIANT
M. Jean-François GABILLA
M. Stéphane GALLON
Mme Florence GOFFETTE-NAGOT
Mme Anne LAFERRÈRE
M. Christian NICOL
M. Gilles POUZIN
M. Jean-Pierre SCHAEFER
M. Claude TAFFIN
M. Alain TRANNOY
M. Daniel WAHL
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REMARQUES DES MEMBRES DE LA COMMISSION LORS DE LA
RÉUNION PLÉNIÈRE DU 12 DÉCEMBRE 2014
Présents Mme Sabine BAÏETTO-BEYSSON (vice-présidente),
Mme Annie MESRINE (rapporteur),
Personnalités qualifiées :
M. Bernard COLOOS,
M. Didier CORNUEL,
M. Jean-Claude DRIANT,
M. Stéphane GALLON,
Mme Florence GOFFETTE-NAGOT,
Mme Anne LAFERRÈRE,
M. Christian NICOL,
M. Gilles POUZIN,
M. Jean-Pierre SCHAEFER,
M. Claude TAFFIN,
M. Alain TRANNOY,
M. Daniel WAHL,
Membres de droit :
Mme Lucile BAROU (DG Trésor),
Mme Inès BOUCHIKHI (DGALN/DHUP),
Mme Gladys BOUSQUET (CDC/DFE),
M. Nicolas CAHU, Mme Caroline THIBAULT (Anpeec),
M. Marc CHAZELAS, M. Jérôme COFFINET (Banque de France),
M. Maxime CHODORGE (Anil),
M. Jacques FRIGGIT (CGEDD),
M. Dominique HOORENS (USH),
Mme Anne LEGAL (Drees),
Mme Sabine MEUNIER (DGCL/DESL)
Mme Isabelle SIGURET (Cnaf),
Mme Hélène CASSET-HERVIO, Mme Nathalie MORER, Mme Catherine ROUGERIE, M. Arnaud ROUSSET, M. Joan SANCHEZ-GONZALEZ, Mme
Hélène THELOT (Insee)
M. Sylvain MOREAU, M. Guillaume MORDANT, M. Guillaume HOURIEZ, Mmes Sandrine CHAUMERON, Pauline DELANCE, Gwendoline VOLAT,
MM. Emmanuel CAICEDO, Yoann MUSIEDLAK, Benjamin VIGNOLLES(SOeS).
****
La séance est ouverte par Mme BAÏETTOMme BAÏETTOMme BAÏETTOMme BAÏETTO----BEYSSON BEYSSON BEYSSON BEYSSON (vice(vice(vice(vice----présidente de la Commission des comptes du logement)présidente de la Commission des comptes du logement)présidente de la Commission des comptes du logement)présidente de la Commission des comptes du logement) en rappelant le
renouvellement partiel des personnalités qualifiées qui composent la Commission. Après avoir remercié les membres sortants pour leur
contribution aux travaux de la Commission, elle accueille les nouveaux membres (voir composition ci-avant).
Rapport sur le compte satellite du logement
Emmanuel CAICEDO (SOeS)Emmanuel CAICEDO (SOeS)Emmanuel CAICEDO (SOeS)Emmanuel CAICEDO (SOeS) présente les principaux résultats du compte portant sur l’année 2013 et, en prévisionnel, sur l’année 2014.
Jacques FRIGGITJacques FRIGGITJacques FRIGGITJacques FRIGGIT (CGEDD) (CGEDD) (CGEDD) (CGEDD) interroge l’Insee sur la diffusion de l’indice général des loyers et des différents sous-indices, notamment ceux
décomposant secteur libre et secteur social. Catherine ROUGERIE (Insee)Catherine ROUGERIE (Insee)Catherine ROUGERIE (Insee)Catherine ROUGERIE (Insee) rappelle que l’Insee a prévu à moyen terme de mettre en place une
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publication trimestrielle sur les indices de loyers. Toutefois, le passage à un rythme trimestriel suscite des questions méthodologiques qui sont
encore en validation interne. L’indice calculé pour l’indice des prix à la consommation est disponible dans la Banque de données
macroéconomique de l’Insee (BDM).
Jacques Jacques Jacques Jacques FRIGGIT FRIGGIT FRIGGIT FRIGGIT (CGEDD)(CGEDD)(CGEDD)(CGEDD) intervient ensuite pour mettre en avant le chiffrage réalisé dans le CSL du nombre de logements produits et
terminés : celui-ci est en partie issu de modèles d’estimation et il s’avère supérieur, notamment sur la période récente, à ce que les
remontées d’information brutes issues de Sit@del laissent transparaître. Or ce sont ces dernières qui sont plus largement connues du grand
public. Aussi, il semble nécessaire de mieux mettre en avant ces résultats, y compris dans la synthèse du rapport. Il serait également utile de
publier les données numériques, au-delà des graphiques qui les représentent. Guillaume HOURIEZ (SOeS)Guillaume HOURIEZ (SOeS)Guillaume HOURIEZ (SOeS)Guillaume HOURIEZ (SOeS) signale à ce sujet que le SOeS
publiera à partir de février 2015 des nouvelles séries de mises en chantier et d’autorisations de permis de construire. En effet, notamment
depuis la réforme du droit des sols qui a conduit à une décentralisation de l’instruction des permis de construire, il existe un défaut de collecte
dans Sit@del. Une méthodologie très proche de celle utilisée par les comptes a donc été développée et permettra de publier des estimations
mensuelles nationales et régionales des autorisations et des mises en chantier. Des séries longues seront également publiées à cette
occasion. Cela va remettre en cohérence les données conjoncturelles publiées par le SOeS et celles utilisées dans le CSL.
Dominique HOORENS (USH)Dominique HOORENS (USH)Dominique HOORENS (USH)Dominique HOORENS (USH) souligne tout d’abord les nouveaux efforts de pédagogie réalisés dans le rapport sur les comptes ainsi que
l’intérêt majeur des nouvelles séries Sit@del.
- Il estime qu’il pourrait être intéressant de mieux mettre en regard les dépenses en logement et les aides au logement, y compris en
détaillant un reste à charge des ménages dans la dépense courante.
- Il signale qu’une analyse plus fine des évolutions des loyers sur le secteur libre et le secteur social permettrait également une meilleure
lecture du compte. En effet, les hausses de loyers, qui intègrent notamment l’évolution de l’IRL, sont réparties en cours d’année et, de
fait, continues dans le parc privé, alors même qu’elles n’ont lieu qu’une fois par an dans le parc social pour un même bailleur, qui plus
est généralement au 1er janvier pour la plupart des organismes HLM.
- Concernant les plans de financement et notamment les emprunts, il relève des différences de champ entre la page 78 et la page 98
qui devraient être mieux explicitées.
- Il souhaiterait que la ventilation des chiffrages de la production de logements neufs par filières soit mieux mise en évidence dans le
rapport et que, le cas échéant, les hypothèses réalisées pour faire ce partage soit mieux explicitées.
- Il interroge le SOeS sur le champ retenu pour l’exonération fiscale de TFPB concernant le parc social, étant entendu qu’il existe un
régime général d’exonération de deux ans pour l’ensemble des logements neufs alors même que le parc social neuf bénéficie d’une
exonération plus longue.
- Il souhaiterait enfin qu’une note puisse mettre en avant l’ensemble des modifications de champ et de concepts qui affectent la lecture
du compte d’une année sur l’autre.
Emmanuel CAICEDO Emmanuel CAICEDO Emmanuel CAICEDO Emmanuel CAICEDO ((((SOeSSOeSSOeSSOeS)))) apporte des éléments de méthode répondant à certains des points soulevés.
Concernant les questions sur l’investissement, il signale le travail de fond réalisé sur la mesure de l’investissement ces dernières années
pour améliorer la qualité de la mesure faite à partir de Sit@del et qui va aboutir définitivement lors du recalibrage du compte sur les données
conjoncturelles qui seront diffusées en février 2015 (voir ci-avant). La cohérence de cette mesure avec les différentes données concernant les
plans de financement (aides, crédits) pose des difficultés importantes de temporalité. Pour autant, des progrès ont déjà été réalisés à ce sujet
avec l’appui de la DHUP, notamment à travers un recalage plus systématique des plans de financement des bailleurs sociaux sur les
versements de crédits par la CDC en lieu et place de grilles-délais fixes qui permettaient de mesurer les années d’investissement à partir des
années correspondant à l’agrément accordé. Ces travaux de fond sont peu visibles sur les séries retracées en termes d’aides et de
financement, car ils ne remettent pas en cause l’historique décrit les années précédentes, mais ils permettent d’améliorer la cohérence du
compte entre les différentes mesures de l’investissement qui sont réalisées ; ils permettent en outre de mieux décrire certaines ventilations
de l’activité immobilière (distinction neuf / ancien ou Anru / hors Anru dans les acquisitions des bailleurs sociaux).
Concernant la ventilation de production de logements, celle-ci n’est plus réalisée depuis la réforme du droit des sols qui a dégradé
l’information recueillie sur les maîtres d’ouvrage dans les permis de construire de Sit@del. Le schéma de la méthode du compte est ; 1. le
chiffrage d’une production physique ; 2. la valorisation de cette production pour disposer d’un montant d’investissement ; 3. La décomposition
par filières de cet investissement, notamment sur la base d’éléments sur le financement et, pour les bailleurs sociaux, sur la base des plans
de financement recueillis dans les agréments. Il n’est pas exclu de réaliser le chemin inverse (en déflatant les données d’investissement)
mais, compte tenu des écarts temporels, il n’est pas évident de retomber sur des chiffres diffusés par ailleurs et largement connus. Aussi, il
est souhaitable de réaliser un travail plus poussé sur la faisabilité de cette décomposition. Il pourra aussi s’appuyer sur les données
comptables des organismes HLM qui ont été mobilisées auprès de la DHUP (infocentre Boléro) pour les comptes courants (voir présentation
ci-après de Gwendoline VOLAT) mais qui pourraient également être mobilisés pour les comptes d’investissement.
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Commissariat général au développement durable • Service de l'observation et des statistiques | | | | 229
Concernant les exonérations fiscales, et notamment l’exonération de TFPB, il signale qu’il existe également un travail de fond dans le
compte de cette année, qui a consisté à basculer d’un chiffrage très macro-sectoriel à partir du nombre de logements terminés à un chiffrage
très fin (au niveau communal) réalisé directement par la DGFiP et intégrant l’ensemble des informations disponibles quant aux assiettes
exonérées et les taux de TFPB. Là encore, ces modifications méthodologiques sont peu visibles, car les chiffrages précédents étaient proches
des nouveaux, mais il existe une amélioration substantielle de la qualité du chiffrage qui offre, en sus, de nouvelles possibilités de
décomposition et d’analyse.
JeanJeanJeanJean----Pierre SCHAEFERPierre SCHAEFERPierre SCHAEFERPierre SCHAEFER souhaiterait que l’on puisse identifier s’il existe une amélioration du parc en termes de qualité énergétique, même
lente, qui permettrait une diminution des consommations unitaires. En effet, la dépense en énergie résidentielle des ménages varie
fortement en fonction des conditions météorologiques et des prix des énergies qui sont des éléments exogènes aux politiques publiques dans
le domaine du logement, ce qui n’est pas le cas de la qualité thermique des logements. Il serait donc utile de mesurer les effets des
améliorations des logements sur cette dépense en énergie résidentielle. Sabine BAÏETTOSabine BAÏETTOSabine BAÏETTOSabine BAÏETTO----BEYSSON (ViceBEYSSON (ViceBEYSSON (ViceBEYSSON (Vice----présidente)présidente)présidente)présidente) estime qu’un tel
objectif est particulièrement ambitieux dans le cadre du compte du logement. Il s’inscrit d’autant plus difficilement dans ce cadre que
l’exercice, tenté par ailleurs, pose des problèmes de mesure. Guillaume HOURIEZ (SOeS)Guillaume HOURIEZ (SOeS)Guillaume HOURIEZ (SOeS)Guillaume HOURIEZ (SOeS) complète cette réponse en signalant que l’enquête
Phébus, réalisée par le SOeS en 2013 a permis de mesurer à la fois l’état de la performance thermique des logements, les consommations
énergétiques des ménages et leurs comportements vis-à-vis de cette consommation. S’agissant d’une nouvelle enquête, cela donne une
photographie pour une année donnée mais ne permet pas de mesurer une évolution de la qualité thermique des logements, ce qui sera
possible si l’ambition de renouveler cette enquête vers 2018 se concrétise. Parallèlement, la base Ademe centralise l’ensemble des
diagnostics de performance énergétique réalisés sur les logements qui font l’objet d’une transaction. Celle-ci est, de fait, biaisée, puisque ne
représentant que les transactions, mais elle peut permettre de réaliser des travaux pour mesurer l’évolution de la qualité énergétique du parc.
Alain TRANNOYAlain TRANNOYAlain TRANNOYAlain TRANNOY signale l’intérêt qu’il pourrait y avoir à mesurer les flux de logements autres que la construction neuve : d’une part les
sorties du parc, et notamment la destruction de logements qui traduit une véritable obsolescence, d’autre part les entrées dans le parc autres
que la construction, comme la réaffectation en habitation de locaux (bureaux notamment). La mesure de ces autres flux permettrait de
réconcilier les données monétaires d’investissement avec les données physiques du recensement, qui ne font pas état d’un accroissement du
parc conforme avec le nombre de logements neufs construits par an (supérieur à 400 000 sur les dernières années). Guillaume HOURIEZ Guillaume HOURIEZ Guillaume HOURIEZ Guillaume HOURIEZ
(SOeS)(SOeS)(SOeS)(SOeS) estime que cette question est tout à fait pertinente mais qu’elle se heurte à une méconnaissance de ces autres flux et du manque de
sources fiables pour les mesurer. En l’état actuel des méthodes, les destructions de logements dans le compte doivent être appréhendées
comme un solde entre les variations du stock de logements et les créations de nouveaux logements. Catherine ROUGERIE (Insee)Catherine ROUGERIE (Insee)Catherine ROUGERIE (Insee)Catherine ROUGERIE (Insee) précise
que, certes, il n’y a pas de mesure directe des destructions, mais elles sont prises en compte dans le chiffrage puisque les estimations des
stocks sont calées : pour les années définitives, sur les résultats du recensement (1er janvier 2011 pour le dernier cycle complet de
recensement à la date de ce dernier rapport) ; pour les années plus récentes, sur les données fiscales, la base de sondage du recensement et
les données Sit@del. Sabine BAÏETTOSabine BAÏETTOSabine BAÏETTOSabine BAÏETTO----BEYSSON (ViceBEYSSON (ViceBEYSSON (ViceBEYSSON (Vice----présidente)présidente)présidente)présidente) signale que cette réconciliation représente effectivement un réel besoin,
ne serait-ce que pour analyser au mieux l’évolution de la consommation en service de logement des occupants, qui doit être mise en regard
de l’évolution du parc lui-même (+ 1 % par an). Bernard COLOOSBernard COLOOSBernard COLOOSBernard COLOOS, rappelle que, par le passé, des calculs précis de ces flux (destructions,
transformations, divisions et regroupements de logements) avaient été réalisés et publiées par l’Insee à partir de l’enquête emploi. Elles
avaient permis de construire les séries de stocks de logements et il serait intéressant d’actualiser ces travaux pour disposer de données plus
récentes. Claude TAFFINClaude TAFFINClaude TAFFINClaude TAFFIN confirme l’existence de tels calculs par le passé qui avaient permis le calcul d’un solde des désaffectations /
réaffectations des logements en distinguant démolitions, solde des fusions / éclatements et solde des échanges avec les autres types de
locaux. Il interroge l’Insee sur les raisons méthodologiques qui justifient l’abandon de tels calculs, et notamment l’éventuelle dégradation de
l’échantillon aréolaire de l’enquête emploi. Anne LAFERRÈAnne LAFERRÈAnne LAFERRÈAnne LAFERRÈRERERERE signale qu’une des raisons de l’abandon de ces calculs est qu’ils donnaient des
résultats fortement dissonants avec les autres sources de données, notamment le recensement rénové de la population, et qu’ils ne
permettaient justement plus de réaliser la réconciliation entre les flux et les stocks. Catherine ROUGERIE (Insee)Catherine ROUGERIE (Insee)Catherine ROUGERIE (Insee)Catherine ROUGERIE (Insee), sans exclure l’intérêt et la
possibilité éventuelle d’un tel chiffrage, précise que de tels travaux représenteraient une étude à part entière et que celle-ci devrait, le cas
échéant, débuter par une analyse de la faisabilité.
Alain TRANNOYAlain TRANNOYAlain TRANNOYAlain TRANNOY signale également que l’hypothèse retenue dans le compte à ce stade pour l’année 2014 est celle d’une répercussion
intégrale de la hausse de la TVA sur les travaux dans les prix à la consommation pour les ménages. Cette hypothèse s’écarte de celle
traditionnellement et prudemment retenue qui ne répercute qu’aux deux tiers les hausses de TVA sur les prix. Emmanuel CAICEDO (SOeS)Emmanuel CAICEDO (SOeS)Emmanuel CAICEDO (SOeS)Emmanuel CAICEDO (SOeS)
confirme que le chiffrage du compte pour 2014 a, pour l’heure et en l’absence d’éléments complémentaires à ce stade, entièrement
répercuté la TVA sur les ménages. Il rappelle que les comptes du logement sont construits et retracés toutes taxes comprises et, notamment,
TVA comprise. Il serait intéressant pour l’analyse de pouvoir également retracer des comptes « hors taxes », par exemple en profitant des
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expertises en cours côté comptes de l’énergie, mais cela n’est pas évident pour l’ensemble des postes de la consommation associées au
service de logement. Dans tous les cas, le compte logement n’est pas armé à ce stade pour répondre précisément à la question de l’impact
de cette modification de taux sur les volumes consommés.
Bernard COLOOSBernard COLOOSBernard COLOOSBernard COLOOS revient sur la remarque initiale de Jacques FRIGGIT concernant les estimations du compte du logement sur le nombre de
logements produits / terminés. Au-delà du fait que l’écart par rapport aux données brutes issues de Sit@del est effectivement important et
qu’il modifie sensiblement les ordres de grandeur communément retenus, il serait intéressant de savoir où se concentre l’écart entre ces deux
mesures. Notamment, le passage de 330 ou 340 000 logements à 400 000 logements construits par an soulève la question du type de
logements (individuel ou collectif ?) et de la répartition géographique (Île-de-France, zones tendues ?) des dizaines de milliers de logements
d’écart. Cela est particulièrement important lorsque l’on essaye de mettre en regard cette production de logements avec leur financement, en
s’intéressant aux montants des aides et des crédits versés aux différents types d’acquéreur afin d’opérer une réconciliation entre l’ensemble
des données produites. Guillaume HOURIEZ (SOeS)Guillaume HOURIEZ (SOeS)Guillaume HOURIEZ (SOeS)Guillaume HOURIEZ (SOeS) rappelle que le rapport de l’année précédente précise la méthodologie employée pour
cette estimation et que cette méthode donne, intrinsèquement, des résultats quant à la décomposition entre individuel et collectif. La
question de la situation géographique n’est pas totalement traitée dans la méthode du compte, qui est macro-sectoriel par essence, mais elle
le sera dans les estimations conjoncturelles prévues à février 2015 (voir ci-avant) et sur lesquelles le compte se recalera : il est prévu de
publier à la fois un nombre de logements commencés au niveau national et au niveau régional.
Marc CHAZELAS (Banque de France)Marc CHAZELAS (Banque de France)Marc CHAZELAS (Banque de France)Marc CHAZELAS (Banque de France) estime que la description des conditions de financement de l’investissement en logements est
monocorde. Au-delà de la poursuite de la baisse des crédits nouveaux versés, il semble important de mentionner la poursuite de la hausse
des encours des ménages, qui permet de financer leurs opérations immobilières, notamment la FBCF. Cela est une particularité française
puisque ces encours sont en décroissance en moyenne dans la zone euro, particulièrement en Espagne ou en Italie, et que leur croissance est
faible en Allemagne. Il signale par ailleurs que les séries de crédits nouveaux publiées par la Banque de France montrent une hausse des
crédits versés en 2013 qui s’explique notamment par les opérations de rachat et de renégociations de crédits induites par la forte baisse des
taux pratiqués par les banques. Ce phénomène mériterait également d’être mentionné dans le rapport car il témoigne de modifications
importantes des conditions de financement des ménages. Des propositions en ce sens seront transmises par la Banque de France. Guillaume Guillaume Guillaume Guillaume
HOURIEZ (SOeS)HOURIEZ (SOeS)HOURIEZ (SOeS)HOURIEZ (SOeS) estime que cette remarque, ainsi que le débat sur la réconciliation des flux et des stocks de logements, mettent
conjointement en évidence l’intérêt de disposer d’un compte de patrimoine. Cela imposerait de réconcilier les évolutions du stock de
logements avec les encours de crédits et l’ensemble des flux. Il s’agit d’un projet de moyen terme pour le compte du logement qui pourrait
être mis en œuvre prochainement.
Sabine BAÏETTOSabine BAÏETTOSabine BAÏETTOSabine BAÏETTO----BEYSSONBEYSSONBEYSSONBEYSSON clôt cette première partie de la séance en signalant que les membres peuvent faire part de leurs remarques plus
détaillées par retour direct au secrétariat.
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Présentation des révisions portées aux chiffrages de la consommation des occupants associée au service de
logement et aux emplois / ressources des producteurs dans le cadre du passage à la Base 2010 de comptabilité
nationale.
Gwendoline VOLAT Gwendoline VOLAT Gwendoline VOLAT Gwendoline VOLAT (SOeS) (SOeS) (SOeS) (SOeS) présente succinctement les travaux menés et les révisions de chiffrages y afférant qui font l’objet d’une
documentation détaillée dans le présent projet de rapport. Une partie de ces éléments ayant déjà été abordés dans la première partie, ils ne
font l’objet d’aucune remarque. Sabine BAÏETTOSabine BAÏETTOSabine BAÏETTOSabine BAÏETTO----BEYSSON (ViceBEYSSON (ViceBEYSSON (ViceBEYSSON (Vice----présidente)présidente)présidente)présidente) précise que l’ensemble des agrégats modifiés ont bien entendu
été rétropolés jusqu’en 1984 et font l’objet de séries homogènes dans le présent projet de rapport, qui ne doivent pas être mises en regard
des chiffrages du rapport de l’an dernier.
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Présentation de l’étude sur les marchés locaux de l’immobilier ancien
Yoann MUSIEDLAKYoann MUSIEDLAKYoann MUSIEDLAKYoann MUSIEDLAK (SOeS) (SOeS) (SOeS) (SOeS) et Benjamin VIGNOLLESBenjamin VIGNOLLESBenjamin VIGNOLLESBenjamin VIGNOLLES (SOeS) (SOeS) (SOeS) (SOeS) présentent une étude portant sur les marchés locaux des transactions des
maisons individuelles et des appartements dans l’ancien au cours des années 2000 (Le point sur en cours de validation).
Didier CDidier CDidier CDidier CORNUELORNUELORNUELORNUEL s’enquiert du pouvoir explicatif de cette étude à un échelon fin, à savoir la répartition territoriale des groupes issus de la
typologie. Benjamin VIGNOLLES signale que les groupes n’ont pas été construits a priori pour répondre à une homogénéité territoriale et que
les strates des maisons n’ont pas les mêmes tailles que celles des appartements.
Alain TRANNOYAlain TRANNOYAlain TRANNOYAlain TRANNOY note que l’évolution des prix moyens des transactions, à la fois pour les maisons et les appartements, semble assez
différente de celle établie par l’indice Notaires-Insee, à savoir une légère baisse des prix autour de 2006. Il s’interroge donc sur la construction
de ce graphique et de l’utilisation de cet indice Notaires-Insee. Par ailleurs, il souhaiterait savoir quels sont les indicateurs utilisés dans
l’établissement de la typologie. Yoann MUSIEDLAKYoann MUSIEDLAKYoann MUSIEDLAKYoann MUSIEDLAK (SOeS) (SOeS) (SOeS) (SOeS) et Benjamin VIGNOLLESBenjamin VIGNOLLESBenjamin VIGNOLLESBenjamin VIGNOLLES (SOeS) (SOeS) (SOeS) (SOeS) s’engagent à vérifier leurs données et leurs
graphiques. Claude TAFFINClaude TAFFINClaude TAFFINClaude TAFFIN propose un élément d’explication : le poids des transactions des groupes en terme de prix pèserait différemment
sur l’agrégat global. Benjamin VIGNOLLESBenjamin VIGNOLLESBenjamin VIGNOLLESBenjamin VIGNOLLES (SOeS) (SOeS) (SOeS) (SOeS) rappelle que les régressions ont été construites sur chacune des strates, et en agrégeant
toutes les années disponibles, ceci contrairement à l’indice Notaires-Insee qui n’est calculé que trimestriellement. Anne LAFERRAnne LAFERRAnne LAFERRAnne LAFERRÈÈÈÈRERERERE
mentionne que l’Insee, dans le cadre d’une réflexion sur le calcul de l’indice des prix des logements neufs, avait effectué une comparaison de
méthode sur les données notariales. Une méthode d’estimation d’un modèle global sur périodes adjacentes donnait des résultats similaires à
l’indice Notaires-Insee actuel. Les raisons des écarts sont donc à étudier plus finement. Puis Benjamin VIGNOLLESBenjamin VIGNOLLESBenjamin VIGNOLLESBenjamin VIGNOLLES (SOeS) (SOeS) (SOeS) (SOeS) récapitule en deux
temps la liste d’indicateurs : seuls les mouvements de prix (évolutions, niveaux, saisonnalité…) sont utilisés dans les régressions et la
typologie ; les indicateurs socio-économiques et socio-démographiques sont uniquement utilisés a posteriori dans un but illustratif.
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Présentation de l’étude sur les transactions intergénérationnelles dans l’ancien entre particuliers
Sandrine CHAUMERONSandrine CHAUMERONSandrine CHAUMERONSandrine CHAUMERON (SOeS) (SOeS) (SOeS) (SOeS) et Pauline DELANCEPauline DELANCEPauline DELANCEPauline DELANCE (SOeS) (SOeS) (SOeS) (SOeS) présentent une étude portant sur les transactions des maisons individuelles et
des appartements dans l’ancien au cours des années 2000 entre les différentes générations des particuliers (Le point sur en cours de
validation).
Jacques FRIGGIT (CGEDD)Jacques FRIGGIT (CGEDD)Jacques FRIGGIT (CGEDD)Jacques FRIGGIT (CGEDD) s’interroge sur l’explication de la hausse des prix par l’élasticité du prix des logements par rapport à leur nombre,
laquelle, au vu de la littérature, apparaît relativement faible. Par ailleurs, il s’interroge sur l’explication de la hausse des prix par les aides à
l’investissement locatif dans l’ancien qui, selon lui, seraient peu élevées dans l’ancien sur la période étudiée. Sur ces deux points, Jacques
FRIGGIT demande des éclaircissements numériques.
Claude TAFFINClaude TAFFINClaude TAFFINClaude TAFFIN fait remarquer qu’il y a un bruit sur la définition de la personne de référence dans les bases notariales, mais qui n’aurait pas
d’impact sur l’étude du SOeS.
Anne Anne Anne Anne LAFERRLAFERRLAFERRLAFERRÈÈÈÈRERERERE demande si les études présentées ont fait ou feront l’objet d’un retour aux notaires, sur la qualité des bases de données,
retour qui pourrait bénéficier à l’ensemble des producteurs et utilisateurs. Claude TAFFINClaude TAFFINClaude TAFFINClaude TAFFIN répond que ces retours n’ont pas été prévus a priori,
mais qu’il serait intéressant de mettre en place ce type de retour lors d’un Conseil d’orientation de l’association DINAMIC.
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Programme de travail pour 2015
Guillaume HOURIEZ (SOeS)Guillaume HOURIEZ (SOeS)Guillaume HOURIEZ (SOeS)Guillaume HOURIEZ (SOeS) expose les principaux axes de travail du SOeS pour la Commission des comptes du logement pour l’année 2015.
Concernant le compte lui-même, l’intégration des éléments issus de l’enquête nationale logement d’une part, avec un groupe de travail
prévu en juin 2015, et la finalisation des réflexions sur le chiffrage des avantages de taux sur les prêts aux bailleurs sociaux d’autre part,
marqueront l’aboutissement d’un cycle d’investissements méthodologiques.
Concernant le groupe de travail sur les déterminants des prix des logements, qui s’est réuni seulement deux fois au cours de l’année, trois
axes ont été définis et ont permis d’engager des travaux au SOeS :
- la mise en place de modèles macroéconomiques, pour lesquels les travaux engagés devraient aboutir courant 2015 ;
- l’identification de marchés locaux, la première des études présentée en plénière répond pleinement aux interrogations soulevées en
groupe de travail ;
- l’évolution des coûts de la construction, des travaux statistiques lourds d’appariement des fichiers d’enquêtes ont été engagés pour
suivre, à un niveau microéconomique, la formation des prix
Enfin, concernant les comparaisons internationales, les demandes faites à l’Allemagne pour obtenir des données individuelles permettant
des exercices de comparaison fins des coûts des logements pour les occupants n’ont pour l’instant pas abouti. Des nouvelles demandes sont
en cours et permettront, le cas échéant, de poursuivre les travaux sur ce sujet.
À plus moyen terme, il souhaite que la Commission puisse réfléchir aux calendriers des plénières, avec l’idée d’un compte complet sur une
année pleine et unique à l’horizon de juin n+1. En effet, le format actuel, avec un compte complet à décembre n+1 et des prévisions pour n+1
partielles (hors aides au logement notamment) rendent difficile l’exercice de synthèse. Cela devra faire l’objet d’une étude de faisabilité,
notamment sur la partie aides, mais les travaux d’industrialisation de la production du compte permettent désormais d’envisager
raisonnablement un gain de 6 mois sur les échéances. L’opportunité d’une telle opération devra également être débattue. Enfin, cette
réflexion pourra être l’occasion d’une réflexion sur le format du rapport à l’horizon 2016.
En conclusion, Sabine BASabine BASabine BASabine BAÏETTOÏETTOÏETTOÏETTO----BEYSSONBEYSSONBEYSSONBEYSSON précise, à l’occasion de l’arrivée de nouveaux membres, que les groupes de travail sont des
réunions ouvertes à tous les membres de la Commission, dont l’objet n’est pas la validation du rapport annuel et auxquelles les membres
participent en fonction de leurs compétences et de leurs centres d’intérêt. La séance est levée.
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Commissariat général au développement durable
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ISSN : 2102-474X
ISBN : 978-2-11-138807-9
Impression : imprimerie intégrée du Medde. Imprimé sur du papier certifié écolabel européen www.ecolabel.eu
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Directeur de la publication : Paul Delduc
Rédactrice en chef : Anne Bottin
Coordination éditoriale : Claude Baudu-Baret
Auteurs : Emmanuel Caicedo, Pauline Delance, Hélène Faur, Yoann Musiedlak et Gwendoline Volat
Crédit photo : Bernard Suard/MEDDE-MLETRLe Vallon des vignes, commune du Beausset (83)
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En 2013, la dépense totale en logement croît plus vite que l’ensemble du PIB, sous l’effet d’une progression relativement soutenue des dépenses courantes, alors que les dépenses d’investissement diminuent, mais cette situation devrait s’inverser en 2014.
La dépense courante connaît toutefois une croissance moins vive qu’en 2012 sous l’effet d’une évolution relativement faible des prix des loyers et d’un retour à des températures plus proches de la moyenne, qui se répercutent sur les dépenses d’énergie. Ces tendances devraient se poursuivre en 2014, la dépense courante en logement progresserait de 1,0 % en valeur (- 0,5 % en volume).
L’investissement global en logement diminue légèrement en 2013 avant de baisser fortement en 2014. La construction de logements collectifs, qui avait été dynamique durant les années 2011, 2012 et jusqu’en 2013, baisserait en 2014 (- 5,5 %). Les prix dans le neuf et dans l’ancien diminueraient en 2014, comme en 2013.