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Au sommaire
Collège p. 2 & 3
Littérature p. 4 & 5
Loisirs p. 6 & 7
Jeux p. 8
Recette p.8
EDITORIAL
Chers lecteurs,
Il y a des signes qui ne trompent pas : lunettes de soleil,
balades, pique-niques, et un 3ème trimestre déjà bien
entamé… Pour vous aider à résister jusqu’au 5 juillet,
vous trouverez dans ces pages beaucoup de variété dans
les sujets traités par notre rédaction.
Vous aurez également un aperçu des nombreuses acti-
vités pédagogiques menées par les professeurs avec
quelques classes du collège. Malheureusement, nos re-
porters ne peuvent pas couvrir toutes les actualités…
Nous tenons à vous rappeler la manifestation qui aura
lieu samedi 17 mai, de 9h à 12h30 & de 14h à 16h, au
collège: une journée portes ouvertes «Spéciale les 30 ans
du collège ». Ce sera l’occasion de faire une rétrospective
depuis l’ouverture du collège jusqu’à aujourd’hui et de
valoriser toutes les disciplines !
C’est avec joie que nous vous annonçons la fusion de
100% Garriguette et « Le quotidien de l’ULIS »;
En attendant, nous vous souhaitons de bonnes vacances
de printemps reposantes.
Mmes Esteve & Taltavull
Directeur de la publication: Mme Cosnard, principal du collège
Rédacteurs en chef: Mme Esteve, professeur documentaliste & Mme Taltavull, assistante d’éducation
Comité de rédaction: Magali Arrouays (6ème 2) - Peter Serrano (6ème 7) - Stéphane Lamy (4ème 3) - Jérémy Ferrer (6ème 7) - Loïc Froideveaux (6ème 7) - Alexis Knockaert (6ème 7) - Jodie Belda (6ème 7) - la classe ULIS
GARRIGUETTE
Le propre de la médiocrité est de se
croire supérieur.
La Rochefoucauld
N° 9– Avril 2014
Gratuit
www.clg-lagarriguette-vergeze.ac-montpellier.fr
2
Sources : http://www.salon-agriculture.com/ Arrouays Magali 6°2
Keskispas au collège???
3
Education musicale
Vendredi 21 mars 2014, une classe de
sixième du collège La Garriguette s’est ren-
due à Montpellier pour concrétiser un pro-
jet d’ouverture culturelle mené de concert
par leur professeur d’éducation musicale, M.
Cornali, et le professeur-documentaliste,
Mme Esteve. C’est dans le cadre d’un parte-
nariat avec l’Opéra Orchestre National de
Montpellier que les élèves de cette classe
ont eu l’opportunité d’assister à une répéti-
tion générale de l’orchestre.
Ce fut l’occasion pour la plupart des élèves
de découvrir le majestueux Opéra Berlioz
dans lequel régnait une grande concentra-
tion de la part de la centaine de musiciens
présents sur scène. Face à eux, près de 300
élèves venus de plusieurs établisse-
ments scolaires, en admiration face à ce
travail mené à la baguette par le chef d’or-
chestre qui les a accueillis chaleureusement.
Durant plus de deux heures, chacun s’est
laissé emporter par une œuvre de Leonard
Bernstein, suivi d’un concerto pour violon
de Samuel Barber et la symphonie n°15 de
Dmitri Chostakovitch. Puis, la classe a quitté
cet univers musical enrichie de souvenirs à
raconter.
Un petit déj’ presque parfait
Vendredi 28 février nous avons participé au «Petit
déjeuner presque parfait». Ce projet, initié par
notre infirmière Mme Huchette et mettant 8 classes
en compétition, a concerné plus de 200 élèves.
S'inspirant de la célèbre émission télévisée, l'objec-
tif de cette compétition était de sensibiliser l'en-
semble des élèves de 5° à l'importance de prendre
un bon petit déjeuner pour débuter une matinée
avec dynamisme, et à la nécessité de respecter les
règles d'un bon équilibre alimentaire pour se sentir
bien dans son corps. Nous avons choisi de mettre la
priorité sur :
La présentation, grâce aux activités d'origami
et de découpage mises en place le temps du mi-
di les semaines qui ont précédé.
L'équilibre alimentaire : Réalisation d'un pan-
neau présentant les grandes familles d'aliments
devant être présentes dans un petit déjeuner
équilibré (boisson, céréales, protéines animales
et végétales, sucres et graisses en quantité limi-
tée).
La qualité des aliments issus de l'agriculture
biologique (sans produit chimique et respec-
tueuse des animaux).
L'absence de gâchis de produits alimentaires
en prévoyant une juste quantité de produit.
Les membres du jury nous ont attribué le 1er prix de
ce concours, suivis de la 5ème 5 et 5ème 7 ex ae-
quo. Vivement la découverte de notre récompense !
La classe ULIS
4
Littérature jeunesse
Les 6ème 1 à la
rencontre d’une
écrivaine
Le jeudi 26 janvier, de 14h à 16h, nous, la
classe de 6ème 1, avons rencontré Janine
Teisson dans le cadre du projet « Lire beau-
coup, lire partout ». Avant cette rencontre,
nous avions lu un de ses romans intitulé La
valise oubliée.
Au début, on l’a interviewée : on lui a posé
des tas de questions. Suite à ces interroga-
tions, l’auteur nous a appris beaucoup sur sa
vie personnelle, ses métiers (professeur,
clown, auteur…) mais aussi comment l’idée
d’un livre lui vient à l’idée et sa raison
d’écrire. Elle nous a dit qu’elle écrivait une
partie de sa vie dans ses livres (dans L’en-
fant plume elle raconte la maladie de son en-
fant et dans La valise oubliée elle est
« Christine »). L’idée d’un livre lui vient petit
à petit. Elle a dit que si elle écrivait, c’est
parce qu’elle dit que « l’écriture est une pa-
role silencieuse » car quand elle était petite,
les enfants n’avaient pas le droit de s’expri-
mer. Alors elle a trouvé une solution, l’écri-
ture : elle note toutes ses pensées sur du pa-
pier puis les trie et un livre apparaît.
Pendant la seconde partie de l’entrevue, Ja-
nine Teisson nous a lu un livre s’intitulant
« Mia des nuages » qui relate l’histoire d’une
danseuse classique « qui a sauté tellement
haut qu’elle est allée dans les nuages ». Les
élèves ont été très attentifs durant toute la
lecture de l’œuvre.
Cette rencontre a été très intéressante pour
nous tous, élèves, car ce fut une rencontre
rare et unique. Serait-il possible de faire une
rencontre de ce genre tous les ans ? Un
grand merci à Janine Teisson pour avoir par-
tagé cet agréable moment avec nous les
élèves de 6ème 1.
D’après les textes de Thomas Galy & Alban Mourain, 6°1
5
Portrait
Le voyage des 6ème 3 à travers le conte
oriental
A l’occasion de la semaine de rencontres au-teur de la littérature jeunesse, «Lire beaucoup, lire partout », la classe de 6°3 du collège La Garriguette a eu l’opportunité de rencontrer le conteur libanais Jihad Darwiche, connu inter-nationalement.
Les élèves lui ont posé des questions, cer-taines préparées, d’autres non, et ont pu écou-ter le conteur narrer trois de ses histoires.
Jihad Darwiche est né en 1951 à Marwaniyé, un petit village du Sud-Liban. Son enfance a été bercée par les contes, la poésie et les ré-cits traditionnels de l’Orient que racontaient sa mère et les femmes du quartier. Il a choisi de venir étudier en France à 19 ans pour suivre
un ami, et parce qu’il voulait voyager. Au dé-part, il a hésité entre l’Italie et la France. Après ses études, il est reparti au Liban pour être journaliste pendant huit ans. Mais en 1983, il a choisi de venir s’installer en France pour re-joindre la femme de sa vie, connue à Montpel-lier pendant ses études. Ne maîtrisant pas as-sez le français, il a abandonné le journalisme pour devenir professeur d’arabe. A 33 ans, il a écrit son premier conte inspiré par la guerre au Liban : il raconte l’histoire d’un enfant victime du conflit. Il a alors décidé de devenir conteur car il a le souvenir des histoires contées par les femmes de son village (dont sa mère) au Liban, et il estime qu’il faut partager ce que l’on a dans le cœur. Ses contes sont inspirés de sa culture d’origine, arabo-orientale, mais ils sont aussi nés de son imagination et de ses rencontres. Il dit qu’aucun conte n’est figé : transmis à l’oral, le conte évolue au gré du souvenir et de l’imagination, il n’est donc ja-mais lassant de répéter les mêmes histoires. Et c’est en présence de son public qu’il sait quel conte sera transmis. Le conte est un lan-gage universel depuis l’origine des temps, qui touche et unit les hommes autour d’histoires.
Le mardi, les élèves de 6°3 se sont déplacés à l’école primaire de Vergèze : ils ont lu plu-sieurs contes de Jihad Darwiche aux élèves du CP au CM2. Le jeudi soir, à la salle Vergèze Espace, le conteur Jihade Darwiche était pré-sent pour la dédicace de ses ouvrages.
L’art urbain, du graffiti au street art, de Stéphanie Lemoine, éd. Découvertes Gallimard
Vandalisme pour les uns, expression digne de figurer dans les musées pour les autres, l'art urbain a tou-
jours été marqué par l'ambivalence. Né dans les an-nées soixante de part et d'autre de l'Atlantique, il
hérite aussi bien de la publicité que des avant-gardes poli-tiques. Porté par une poignée d'artistes conceptuels ou
frondeurs en rupture avec l'institution et le marché, il s'affirme également comme la quête de reconnaissance des laissés-pour-compte. Irrévé-rencieux, sulfureux voire insurrectionnel, il n'évite pas toujours le mercantilisme ni les sirènes de la commande publique. Regardé comme un délit lorsqu'il se déploie dans la rue, il est célébré dans les galeries d'art et les musées... À travers un pano-rama richement illustré, Stéphanie Lemoine restitue la diversité d'une forme d'ex-pression toujours controversée malgré une histoire de près de cinquante ans, où se mêlent graffitis, œuvres conceptuelles, happenings et (contre-) propagandes.
Parmi les nou-
veautés du
CDI
6
Loisirs
L'ELECTRO
« L'électro » est un genre de mu-
sique électronique né au début
des années 80 qui se crée sou-
vent avec un logiciel de mon-
tage de musique (exemple : Vir-
tualDJ) et d'une platine de
mixage. Certains « DJ » comme
David Guetta, Martin Garrix ou
encore Avicii sont connus à tra-
vers le monde. En revanche,
PsychoticGiraffe, Chinese Man
ou encore Cash Cash sont con-
nus uniquement sur Internet car
généralement ils ne veulent pas
être médiatisés. L'électro est,
avec le rap, le genre de mu-
sique qu' aiment beaucoup d'
adolescents. À l'origine, l'élec-
tro est née sur les premières
boîtes à rythmes inventées par
Dave Smith (l'homme qui a in-
venté le système MIDI qui sert
souvent pour les antennes de té-
lévision). Il y a plusieurs genres
d'électro : la house, la techno
ou encore la dubstep. Cer-
taines personnes se demandent
quelle est leur différence. C'est
la vitesse qui les caractérise. La
techno oscille entre 120 et 140
bpm (battement par minute) et
son rythme est régulier. La
house varie entre 118 et 135
bpm et son rythme change sans
cesse. La dubstep a un tempo
proche de 140 bpm et se carac-
térise par un rythme syncopé et
une ligne de percussions ac-
compagnée de basses.
Peter Serrano & Loïc Froideveaux , 6°7
Sources: wikipedia & last.fm
7
Le surf
Le surf est l'abréviation du mot anglais surf-riding. Le surf est un sport qui consiste à glis-ser sur une vague, de-bout sur une planche en bord de mer. C'est un sport qui se pratique es-sentiellement l'été. Le temps idéal pour surfer est quand il y a du vent car les vagues sont plus grandes. Il paraîtrait que
la plus grande vague a été aperçue à Tahiti et atteignait 20 mètres de hauteur!!!! Hossegor, Hendaye, la grande plage de Biarritz sont les plages les plus fréquentées par tous les surfers français. Ce sport m'apporte du plaisir car, pour ma part, j'aime les sensations fortes : être proche de la nature et même plus, ne faire qu'un avec l'eau. Le paysage est magnifique et de là où je me trouve,
seul, debout sur ma planche je me sens «Le roi du monde», un peu comme Simon An-derson, Michel Barland,
Jay Adams ou Tom Curren.
Alexis Knockaert, 6ème 7
Paul Van Haver dit Stromae
(«maestro» en verlan) est né le 12 mai
1985 à Bruxelles. Il est d'origine
Rwandaise . Auteur -chanteur -
compositeur, il s'est fait connaître en
2009 avec le titre « Alors on danse »
qui a atteint à ce jour environ 50 mil-
lions de vues sur internet. «Cheese»
son premier album s'est vendu à plus
de 10 000 exemplaires. Il a connu un
grand succès grâce à «Papaoutai» qui
est la première chanson française, mis
à part «Get Lucky», à avoir passé le
cap des 130 000 000 vues sur You-
Tube.
Dans son deuxième album, intitulé
Racine Carrée, «Papaoutai» parle
de son père absent. «Formidable» et
«Tous les mêmes» évoquent les pro-
blèmes des ruptures de couples.
«Moules Frites» parle du sida, et
«Carmen» fait allusion à l’utilisation
excessive des réseaux sociaux.
Certains médias le comparent souvent
à Jaques Brel, d'ailleurs il est surnom-
mé «Le nouveau Brel» Si vous appré-
ciez ses créations, je vous invite à aller
faire un tour sur sa chaîne VEVO qui
cumule 990 000 abonnés et 278 000
000 vues.
Loïc Froideveaux, 6°7
8
Les jeux de Steph
Cake de Pâques du Berry
de Germaine 3 œufs
150 g de farine avec poudre levante incorporée
Ou 150 g de farine + 1 sachet de levure
8 cl d’huile de tournesol
13 cl de lait entier ou demi-écrémé
100 g de gruyère râpé
Sel et poivre
200gr d’oseille fraîche ou de feuilles d’épinards
200 g de veau haché
4 œufs durs
2 cuillères à soupe d’huile d’olive
Préchauffez le four sur chaleur tournante à 180°C (th
5/6).
Dans un saladier, mélangez les œufs avec la faine. In-
corporez l’huile petit à petit puis le lait préalablement
chauffé au micro-ondes 1 minute. Ajoutez le gruyère.
Salez et poivrez.
Dans une poêle, faites revenir à feu moyen les feuilles
d’oseille dans une huile chaude pendant 1 minute.
Incorporez à la base l’oseille et le veau haché. Rectifiez
l’assaisonnement si nécessaire.
Versez la moitié de la pâte dans un moule à cake an-
tiadhésif et mettez au four pendant 5 minutes.
Retirez le moule et déposez les œufs durs dans le sens
de la longueur puis versez le reste de pâte par-dessus.
Remettez au four pendant 40 minutes.
Démoulez tiède et dégustez!
Extrait de Le Cake Show de Sophie, Ed. Minerva
Le coin des gourmands