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( ; I . ' N 1 ) ,\ Il M l lt l ' Annexe B.IR1 T A 1' - MA J( )I( c; LN 1:lu 1

1 RE 'TION S U I ' E R I E U R E 1311 PERSONNEL

1.

Rut: F r i t z Tuussaint 47 Le 09 De c 761 1050 B R U X E L L E S- - - - - - - - - - - - - - -

No DSP/lOlSTf 02/640. 10.00 - E x t

A DPS ( 2 Ex)

Info : C h e f EMG Gd 'DSO

OBJET : Mutation de deux membres du BC R .a

Sur ordre du Chef EMG Gd , les MDL MAQUET, Thierry

(45 46 1036) et actuellement affects

au BCR,feront muta tion imm diat emen t par NS pour le 5 Gp Mob.

Ces mutations seront confirmes par le plus prochain

BP .

Pour DSP absent,

PIRELtColDS P A d j

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DOCUMENT N o 2

R a p p o r t BSR B r u x e l l e s " Coup d ' ~ t a t " u 1 0-9-1 9 73 @

e n a n n e x e : - e x t r a i t r a pp o r t S r e t d e 1 ' E t a tb- e x t r a i t " S p c ia l"

- r a p p o r t Commandant d u D i s t r i c t e n n e r l a n d a i s

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Au Csmd de la Cd -DO0

O m T : Tnfo coupj :

Rf: Telex EMtG-

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Suite au tlex oit4 en rfCrence et a u nformations parues dila "Gazet van Antwerpen" et 1 'heodomadaire "~ p oi al ", elatives aux possi-M i t s d'un coup d'~tat en Belgiqug,la B 3 a fait une enqute dans lesmilieux politiques de la capitale et spcialement dans les milieux d'ex-trme-droite.

De cette enqute il ressort qu'il y aurait des "oontactsw,mrncactuellement,entre oertains milieux financiers et des groupements poli-tiques d'extrme-droite et ceoi dans le but de noyauter nos institutionspar des lments favorables A la doctrine d'extrme-droite .NOUU n'avenstoutefol8 pu recuellllr auoune infornvtlon relative, une prise'&A pouvoimminente par la force. w

* *Parmi les quelques groupements d'extrme-droite,le NEM-Club&-

- -fi- - - quelques grandes villes du pays.

Le NEM-Club de Bruxelles est trs actif : dditlon du mensuel" ~ e ouvel Europe Vagazinen, dition de nombreux papillon8 et r f f iohes,organisation de confCrences et de ftes.

e rddaoteur en chef de ce mensuel.est le nomm: . (I.--LECEiiF Emile ,Edmond

i be 1 eJournaliste,nd A St biard le 14.4.2C,domioili Etterbeek,rue &kens,n05.

Ce dernier a de combreuses relations dans les milieux d'extrme-droite.18 k6 membre des groupements "Mouvement dlAotion ~ivique"(MAC) et "JeuneEuropen,tous deux aotuellement dissous m i s dont la plupart des membresont adhr aux NEM-Clubs.LECERF est aotuellement celui,qui publiquement,passe pour tre le dlri-geant spirituel du NEM-Club.

PIFET J8oques,Joseph,-

else ,nd A Etterbeek le 31.7.38 et domioilld A BruxellesD8v18 Nivaolqnol,

ne serait qu'un "homme de pnille".

LECERF Ernils a ' ip pu ~ urtout sur:

NANCY Claude,Ernest,Alfred,belge.doatour en mcieoirw,

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NANCY 8'ocoupe de l'informrtion et de la dooumentution du mouvemnt.lentre galement dons ses Intentions de former un p u p e de jeunes militet de leur faire suivre un entrafnement dq.Judo,korate,eto..,Pinsi que Iles familiariser aveu les techniques de 1 propagande politique.11 a Ctl

comme LECERF?membre du MAC-et de Jeune Europe.Les diffrents NEid-Club8 du pays ne oomptent que peu de membies

( 2 &O 0 d'aprs un dirigeant) et en gdnra1,ceux-ai sont peu enthousiastipour des actions sur la voie publique et ont peu d'exprrience 8' ce euJc(mnifestations, ollage d 'off ches,eto . . 'est ainsi que les colleursaffiches se font rdgulirement identifier par la police.

autre part,il semble que l'organe " ~ e ouvel Europe Magazine"connaft Urie bonne diffusion,partioulirement A Bruxelles et A Ligeq,oequi laisse supposer qu'en plus des membre8,le NEM peut compter sur un orgrnnd nombre de sympathisante.

Le NEM-CluD aerait financd et dirig par une sCrie de p era oml :e . a .

:$:Mr V A N Z N BOEYNAhTS, inistre de la D6fne kiationala .2 O le Comte de S R E Y Arnol,Marie,

belge,conseiller social;n B Woluw St Pierre le 26.4.25,domicilid A Uocle,rue Roberts Jor.es,no30.

Ce cernier serait ex-chef du Protocole du Ministre de la Coopdraiau Dveloppement. l est l'poux de la Bnronne VAN ZEZWND,Marie,nde BSt Josse-ten-Noode le 27.10.27.

3' de BONVOISIN Em;Mnuel,Morie,belge, docteur en droit, dministrateur de sooidt,

n h Verviers le 23.7.10domicilie? b Uccle,avenue de Messidor,n0204.

. .

L intdressd est administrateur de la Banque n~elgolaisen Bruxell4' Ecuyer de BONVOISIN Benoit,

belge ,nk B Etterbeek le 14.03.3,domicilid B Etterbeek,= St Miohel n'>O.

'

Il est le neveu du no? et serait un uni intime et oollaborateur deMr VANDESX'EYNAER'S.

Cette liste n'est pas l~rnitative.

Les autres groupements d'extrme-droite frmoophones tels que le"parti ~u ro pd en " t "Wallnnie"(iuuvement pt io nn li et e ne 8 entendentapparemment pas idologiquement avec le NEM-Club et ne semblent pas dis-poser d 'un financement important .le Parti Europden ne oompterait qu 'unecentaine de membres et d'aprs nos infoniiptions,"~allonie" ne oornpteroitque 6(six) membres.

Las groupemants d'extrme-droite f l m n d s tels que V M O D W e ~ - D i tSt Wrtensfonds ne semblent pas avoir dtd contactd8.Toutefois une per-sonnalit flnmnnde aurait td contacte.11 s'agirait d'un certainM? VOL;LEMAERE,ancien fonotianripire du Mlniatkre de la Coopration au D-veloppenent et habitant Malines.

En ce qui conoerne notre enqute &na le8nublieux

des foroes armecelle-ci r dt6 trba dieorts et ne nous 8 pas permis de reoueillir desinormrtions proisee.ie SDRA est certainement mieux pl806 pour

6-. .

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EXTRAIT D!J FAPPOZT SEiiSTRIEL DE LA S.E. - 197;5- EXTREME -DROITE

RUMEURS CONCERNAKL' DE S PROJETS DE PUTSCHE EN BELGIQUE.----------------------------------------------------

~' he bd om ad ai re rancophone de Bruxelles, "SPECIAL", dans son numro du15 aoat, et lUhobdomadaire flamadn "KNACK" dans son numro du 5 september, avaientlanc le bruit que des lments appartenant diffrents groupuscules d'extrrne-droite, et notammen aux NEM-Clubs ( ~ o u v e l urope ~agazine -Culbs) , rparajent uncoup d lE tat en Belgique, en collaboration avec un certain nombpe d'officiers. Ces

deux journaw - paraissent avoir t les seuls fournir un nombre abondant de dtails ce sujet. Les autres journaux belges de diffrentes tendances, qui' ont faitallussion cette gffaire, se s m t contents de ccmmenter les articles parus daqsles deux journaux prcits.

Cesije t a galement fait cho au -dela de nos f rontires, si bien quedes rumeurs les plus fantaisistes ont parfois Tait la une des colonnes de la pressegtrangre.

b

Aprs s'tre livr un examen critique des arbicles de "SPCIAL" et de"KNAXC" on peut fprinuler les conclusions gnrales suivantes :

A

ct de quelques lments positifs f igurant dans l a prasse, la plupartdes renseignenents sont trs vagues ou exgrs ou faux ou invents ou bien manguentde prcisions.

Bien qu'il ne soit pas du tout exclu quedes groupuscules ou personnalitsd'extrme droite aient eu des contacts avec certains milieux ou personnalits militairesles articles de "SPECIAL" et de "KNACK" revtent soit un carctre sensationnel soit unasprct provocateur.

Dans le cas d'une provocation, plusieurs sources peuvent tre envisages.

Aussi bien l'article de "SPECIAL" que celui paru dans "KNACK" pourrait treinspir par une personne, qui, anime d'un sengiment de vengeance, s'est servie de cemoyen pour kxtriorier des rancunes personnelles.

'Elne provocation pourrait galement maner soit des milieux d'extrme droite ou anti-communistes soit de milieux militaires, adversdires du Ministre de la bsfense Nationleet du Gouvernement actuel.

Qumi qu 'i l en so it, il est certain que ces derniers temps, les milieuxpatriotiques et les mouvements anticonunistes ontt sensibil iss par les exagrationsde l'extrme geuche et qu'une raction s'est fait jour aussi bien dans les milieuxmodgrs que dans ceux de droit et d'extrme droite.

Notons que les mildiux d'extrme gauche -spcialiement le PCB- bien quene coroyant pas la posbilit d'un putsch, ont profit de cette affaire pour tofferleur propagande contre la soi-disant fascisation du rgime.

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I Dans ce numro de

du 2 2 aot 1973. --.-

La couvertureLa plus n or ~it e omte, jamaisobserve de mmoire d 'homme. .fonce ii une vitesse inimaginable\,ers notre systm e so1:iire. Ellepassera i proximit du Soleil.A toutes les $poq ues d e l 'histoire.ses pareilles fureiit gc'iiriitries deterreurs. de lgtndes.dc priiioiiitioiis...(Plus que 146 jours. page 38).

elgique. noncer une conspiration drange videniiiient ceux qui la!parent. M ais la nouvelle embarrasse aussi trangement ceux qui ont ch arge ?clairer l'opinion... (Ce coup d 'Etat qu 'on nous prpare. page20). 3

DossierQui donc est l 'Irlandais.

personnage romanesque etambigii, victime d'une

lanientablc gu crrc civilc?Le romancier et le pote.

mieux qu e le sociologue, v ousle dvoileroiit.

U n personnage en mille morceaux.page 34).

U n

L a

Affairesmouvement de grve spontan,mais rflchi: celui de Brassico

Ghlin. Et. une fois de plus.pour un statut syndical qui

s'interprte.spontanit rfltchie, page 44).

Notre tempsUn caf du centre de la ville

ferme ses portes et du mme co ups'effacent prs de cinquante ans

e vie bruxelloise. C'tait le dernier(( c a f c o n c )) de la capitale...

(L a mort du (( Sainte-Catherine)>,page 54).

I l est du devoir d'une presse librede dknoncer les atteintes la scurit

de I'Etat, crivions-nous

cette place,la semaine dernire, en i\ntroduisantnotre article sur la prparation d'uncoup d'Etat en Belgique.

II n'est pas bon d'avoir raison avantles autres. Nos rvlations sur l'institutconc entr ation ~iair e e Brasschaat. le de-sastre d'Etrimo. et le mystre de lafcintile cou pe en m orceaux . l'ont prou-v suffisance.

Aujourd'hui, une fois de plus. lapresse francophone nous reproche parson silence embarra ss de jouer lesCassandre. U n silence, qui n'est au de-meurant que le reflet de son apathiefoncire et de son peu de got pourI'information vritable, celle qui neprovient pas ncessairement des allesdu pouvoir ou des dpches des tl-scripteurs, qui exige un travail en pro-fondeur pour des journalistes dignesde ce nom.

La grande presse flamande, enre-vanche, n'a pas hsit, mme si, entoute logique, elle avait le droit sinonle devoir d e ne pas se jeter tte baissesur I ' information que nou s divulguions.

En l'occurrence, elle a scrupuleusementaccompli son mtier. C'est tout sonhonneu r. Et ce ne sont pas ,les rodo-montades, directement inspires par laconjonctu re politique, d'un Josse VanEynde qui nous inquitent. L'hommepoursuit une certaine logique. Songrand mrite consiste au moins enavoir une, et de la traduire dans sescrits. * *

L'histoire de la comte qui viendratroubler le ciel de vos vacances et,bientt, celui d u mois de janvier, n'est

sans doute pas rassurante. Il s 'agiracependant d'un tonnant spectacle qui,dan s 146 jours, nous sera offert. M aisceux que travaillent les grandes frayeursancestrales, seront donc dus. Nousne sommes pas des oiseaux de mauvaisaugure, ni les porte-parole des Tmoinsde l 'Apocalypse. Le phnom ne est cepoint rare- l provoque d'ores et djl'moi du monde scientifique- u'ilconvenait de lui accorder la coverstory . C'est pourquoi Ghislain Cottons'est collet avec la corne te(( Kohoutek.Elle n ' au ra

bientt plusde secrets

pourVOUS.CIAL - 2 A O U T 1 9 7 3

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- L E ~ u u r OtCAT QU'ON NOUS PREPARE...A

Huit jours ont pass sur la nouvelle que des officiers et CS ultra. en contact secret,mettaient sur pied un coup dlEtat. Une semaine d'coule.

C'est le m om en t.d e faire le point en attendant la suite. ..En Belgique. rvler qu'un complot parquets, en sont dcpiiis loiiteinps per- siir I'existeiicc. et les visies du coinplot'?

se prpare contre le rkgiine (diiiis des suades. Ce qui est nuuvcnu. da ns ce do- Qu'elles sont du m2ine < ( toniieau quemilieux bien spcifis ou tout le nionde maine trs secret, c'est qiic lu conspira- l:i l a u s s c n o u ~ e l l r- ignalie par Sp-sait qu'il se trouve des opposants dter- tion a franchi. depuis peii. une tape cial - de I'assassin;it du ministre demins il ce qu'ils appellent le Systme) de plus quand les deux courants sub- lit Justice. Or. ce cariular, de n1aiiv:iisc'est eng end rer des raction s significati- versifs souterr ains se soiit rencoiitrks. got niais tout de mtme syinptoniat i -ves sans doute m ais bien troub lantes. On a enregistre. ds lors. uiic occlra- que. est tellement bien un fait rel qiie

A priori, trois dpartem ents minist- tion d u processus juge su ffisamin ent la police en a identifi l 'auteur. uneriels sont particulirement con cerns pa r alarm ante en liaut lieu po ur qu e dcs de- feinme. S'il se renseigne i bonne sour-une telle affaire: l'Int rieur. la Justice voirs cornpli.mcnt:iirc.s et dcs niissions ce. M. Van Eyiidt: e n apprendra sans,et Iii Dfense Nationale. S'ils n'ont ni expressment d finies nient t aussitt dou tc davan tage ce sujet. Et i pro-l 'un ni I ' l iutre ragi pu bliq uen~ ent. on excuts par ceux dont In chiirgc et le pos. iiussi. dc lu coiispir;itiori qui n'estpcut cro ire qu'ils n'en son t pas po ur iiu- mticr coiisisteiit ii ;issiircrIL I scliritP p:is sriilerneiit. i i i niiiic p;irticulire-tant rests iiisensibles h no s rvlatioiis. du Pouv oir. iiicrit. le fait d'officie rs fraricop hones :On peut galenient conjecturer que, d'o r- coiiinie l'ont crit scs coiifrre.;des joiir- ;dre suprieur, des enqutes svres vont NO1i"l'avoiis d i t plus li i d e ii;i~ ix l;iiiiiiiids. t r e et menes avec diligence. moins en nous autor isai i t peiiscr que. Ainsi. cil dehors de deus quotidieiis :C e qui prouve que, cc n ive lu . on 2 Un tel stiide. la situation et i i i t siiffi- et dauii joui-n;ilistcd e rad io ~ l ~ , ~ ~ ~ajoute foi h ce que nous cr i \oi is . s i in~i i icntsricuse pour la porter i Iii I;, p r e s s e ~ r . ~ g r . ~ ~ ~ i l f o r i l l a t i o n c s t i i l ~ c-su r e plan objectif, le dossier de- connaissan ce cide nos lecteurs. Ils ont ticnt i se persuader - que ce coup 'meure et existe. Tel que nous l 'avons ou- adm isces PLIrce O n t d-tiit qli'on no us prp;ire est 1.affaii.e devert. Com pos de faits et d'lineiits q ue en O b ~ e c t i u i t SpCcial et de nous seuls. C'est une 1lVabsence e tou te controverse, mme de conscience professionnelle. Mais au-deli :it~ itu de ui n'est pas d'liier. A l 'poquedtails, certifie dans sa globalit. C'est de publ i c -cornrnci i t ragi de nos r ivlat ions sur l ' ins t itut conccn-un fait acquis que des officiers et des ce q u i es t u n coup t h t r e triitioniiaire de Brasschaat, le dsastreul t ra , du dsir de d u aussi considrable que proccupant? Etr imo et le inystre de la femme cou-pou voir par la force. coiisidrerit Un E~ ~ ' ~ ~ i ~ ~ i ~ ~elge pas pe en mo rcea ux - ue nous avons

le seul - oyen de chasser un rsim e vhicules de l - inform ation desquelse l l e nous isoler derr i i re le mme m ur d ' iner-parlementaire qu'ils jugent impuissant et d a t r eclaire se s o n t . d a n s l e U r fie. Mais le sileiice tabli. en hte. au-

tel co up d'Etat com me le meilleur- t eu ~ . ~ ~ ~ ~ ~ i ~ ~e q u e le s clairci avant la Justice - n a tente de

dnatur. il est non moins vident que, grande majori t , bien gard de por te r tou r de nos prop os ne const i tue en r ien

dress des plans et labor des pro- pour le dmentir o u le dnier . L * ~ ~ ~ ~ ~ -vnemeiits nous a don n raison et reiidule temps passant, ces conspirateurs ont ~ - ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~s o n t t e n t i o n .F , - , ~ - ~ ~ un obstacle. A chaque fois. la suite des $

arammes dans le sens de Cette action: ble de l a presse crite, et tl- justice. II en sera de mme ai.ec cette Inos polices politiques, qu'elles dpendent vise francopholle a ignor affaire de putsch qui ne fai t que com-directement du gouvernement ou des la , , o , , , ~ I ~ ~ ,st imant . il f a u t le croire. mencer. f

que le fait pour des militaires et descivils de ce pays d'aspirer h y instaurerun rgime fort et de se prtip:irer l 'tablir tan t sur le plan tactiq ue quepolitique, ne prsente aucuii intert pourleurs lecteurs, leurs auditeurs et leurs

spectateurs. Seuls. la G o ~ e t un A~iric.c,t.-pen . le Staridaarti et la BRT ont . dansles heures qui ont suiki. fait cho la divulgation de ces inquitantes me-nes. M . Van Eynde aussi dans saV01ksgo:~r. Qu'a-t-il dit des rvlations

U

III endies Deux faits troublants: alcirs que la sirs.moyen ne annuelle des victimes d'incen- De plus. les Nord- Africain s envoientdies en Belgique s'Eve cent-vingt. beaucou p d 'argent leur famille non-

Victimes dou ze personnes sont morte s brles migr e, et le no mb re lev de leursen six mois seulement et pou r la seule enfa nts dim inue proportionne llement lergion bruxelloise. Et, su r ccs douz e niveau de leur con fort . Mais les muu-

d I1ign 0 a n ce personnes. neufson t nord-af ricaines (huit vaires con) a Vilvorde ont magot qui leur permette de rejoindre rieur. Et bien souvent personne ne lest ravags par le feu en quelque s jours. rapidem ent leur pays de soleil. Soit letir explique. Ga7:de v ~ I I c .b o n h o i ~ n t s t .Pas de victimes. heureusement, da ns qu'ils prfrent consacrer Iciir urgentii autres robiiiets de scuritS ne font pasces trois sinistres. des voitures, des vrcmcntsou des loi- iilors I'objct JI: olit le soin reqiiis.

20 . . . trSsds

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Dans ce numro de

du 15 aot 1973 \

La couvertureLes Etats-Unis in;inqiient de ptrole.Ce n'est quc IL I prciiiicsc tapcde la graiide crise d e I'ncrgic.Dont nous serons tous victimes.Dem:iiti ou l i n peii plus tard.(Ptrole: ii sec. pige 5 8 ) .

- ~

pourrait clater en Belgique.Et pourtant .. .

(Sommes-nous menacspar un c oup d'Etat? page20).

AffairesNeuf ans aprs la fusion daA gfa

et de Gevaert, Hendrik Cappiiynsdresse le bilan de ce mariape de

raison. Et d'amour.Les Poulidor de la photo. page36).

Notre temps:Si l'on parle tant de l'infarctus.c'est qu'on le connat mal. Et

que le cceur, pour la plupart,reste un inconnu troublant.

A ce propos, le docteur Barnardnous livre une passionnante mise

au point.,ceur qui nous agresse, page 50).

Des offic iers e t des ( ( u l t r as ) ) quiprparent un co up d 'Eta t ' en Belgique?

Giirri lement, une tel le an nonc e ren-contre Ic scept ic ism de beaucoup demo nde et remplit d 'un e joie secrte lepoujadis te qui sommei l le en chacuii d enos compatr io tes . Et c 'est b ien com pr-hensible: qui s 'aviserait de troubler leciel sans nuage (malgr les (( petits ))scandales politiques) d'iiii pays oii i lfriit si bon vivre?

Et pour tant . Les fa i t s que l 'un de 'n osjotirn:ilistes rvle cette semainc tou-chent bien a la scurit nationale. Plusqu'un tat d 'esprit latent, des indicesprcis et Lin faisceau d'informationsrecueillies par les services responsablesde la scur i t du pays permet tent au-jour d'hu i d 'affirme r qu' il n e s'agit plusd 'une gal jade ou d 'une espce demonst re du Loch Ness es t iva l quir appa ra t en p r iode de c r eux)) poli-tique.

A ce jour, on peut c ompter s ur lesdoigts d 'une seule main les personnesqui sont dans le secret des dieux. Uneconspiration, quelle qu'elle soit , n 'estpas rendue publique en la salle de la

Madele ine , Bruxelles. Mais un e Presselibre a le devoir d e la dnoncer.*

Incroyable : des pomp es d 'essence sontfermes aux Eta ts -Unis . Les Amrica insn'en croient pas leurs yeux, alors qu' i lssont les premiers pro ducteurs de pt ro ledu monde. La pnur ie es t -e l le pourdeninin ? Risq~ic-t-e lle de traverserl 'Atlantique ?- Nul ne peut le dire, est ime AndrJoveneau qui s 'est l ivr une longueenqute . Et d 'a jouter q ue la pnur ie nesera pas provoque par l ' puisementdes rserves. Elles sont importantes etpourront encore assurer I ' approvis ion-nement mondia l au cours des v ingtprochaines annes.

Cependant, les rserves ne sont pasinpuisables et le fait que les besoinsne cessent de cro t re , a cr unes i tua t ion dl ica te que nous exposonsda ns le d ta i l.

Conclus ion : l 'or n oir sera dema inune den re aussi rare q u e chre, I

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cisons-le, entenden t chapp er par leur Mouvem ent national de Walloniecoinplot S. la tutelle de la Dfen se do nt la doc trine consiste A s'ennationale et mener leur propre jeu prendre tous les mouvements d'ex-dans leur propre intrt. t r n~c-gauchequ'ils soient commu-

nistes, marxistes ou lninistes. SousUn feu de camp incendiaire ces diverses app ellations. i l s'agit, en

Du c t des civils, l 'affaire rem onte 1966, l 'poque o des nostaliquesdu nazisme se sont regroups dansune organisation secrte appele(( Der Stahlhelm v . En dcembre dela mm e an ne , l 'association a tenuses assises 1 Bruges. Par la suite,un directeur commercial de Grive-

, gne et un tailleur d'Amay, quicomptent parmi ses fondateurs, onttendu le recrutesment la rgionligeoise. Dans la mme volont deregroup ement, le Sint Martenfo nds

' s'est mnag, en 1968, une sectionwallonne qu'allaient anim er trois ex-Waffen SS, un Glonto is et deu x Li-geois. Mais les anciens combattantsde l'Est qui avaient rejoint ses rangsn 'ont pas support d 'y coudoyer desinciviques et des collaborateurs. Ilsles chassrent en 1969. lors d'unerunion, dans un atelier d'armiireriede Lige. Cette puration devait peu

aprs about i r la cration d'un club,le ( (Nouv elEurop e-Mag azine, en si-d e NE M ui a llai t rapidement pro-+I erer et prendre vigueur. En no vem-bre dernier, un nouvel organisme de

encore avec le

II a de ces concidences. Au momentmrne o la Sret d'Etat M s'intressait au N.E.M. l'injonction du ministre de laJustice. le bruit a couru. la semaine dcr-nire. Bruxelles. que M. Vanderpoor-ten atait t assassin au Zoute o il a prisquelques ours de vacances. C'est une corres-pondante anon) mc qui a transmis la faussenouvelle la police knockoise.

ralit, d 'un s i i l et mme mouvem entmacr dans les nostalgies de l'Or-dre N ouveaii des annes d'occupationet les'ferments d'un cu rieux > sur lesmurs. A ce moment, le dpartementde la Justice n'ignorait pas que, le23 juin dernier. le NEM avait or-ganis, A Bo~isv nl. in grand feu d e

camp solennel en l 'honneur des(( camarades allemands )> runis lamme heure .en un lieu tenu secretautour d'un mme brasier allgori-que. On savait aussi que les conspira-teurs ligeois ont l 'habitude de serunir dan s un g rand h6tel du centrede la Cit Ardente o ils doivent seretrouver le 7 septembre prochain A20 heures. On tait galement aucoiirnt des tribulations survenueslors d e la runion du 30 septembredernier oii un htelier de la place desGiiillcmitis, iiifortiii. u i i dcriiicr riio-ment de lil nature dc li t iiinnil'estiiiion

qui allait se tenir sous son toit, a mistout ce beau monde la porte et l'acon traint chercher refuge da ns unrestaurant d'outremeuse o i l a puentonner tout a son aise au dessertles hymnes de guerre germaniquesqui lui tiennent tant A m u r .

Le souvenir de BerchtesgadenTout ceci ne relverait que d'un

pittoresque de mauvais got et d'unesinistre indecence si des indices s-rieux n'avaient permis de comp rend reque le temps des dmonstrations

passives touc he a sa fin.1. Ces derniers temps, on a enre-gistr pliisieurs cambriolages de ca-sernes auxquels on n'a pas trouved'auteurs ni d'explications. Or. ilest tabli qu e les consp irateurs runis-sent actuellement des stocks d'armesimportants.2. La prsence d'officiers et, dit-onaussi. de mag istrats au sein du N EMa perm is et facilit la con jonction desdeux mouvements de subversion.3. Les confidences faites A des par-lementaires choisis pour leur espritnon-conformiste et leur opposition

lau systme tmoignent d'un tat deprparation tactique avanc.4. Une dlPgation de douze anima- .teurs du NEM s'est rendue, cet t,

.

en Allemasne. Sous le prtexte de .vacances bn\.aroises. elle est alle enplerinase Berchtessaden. Inter-venant dans un climat politique o,de l'avis de beaucoup de Belses, ladgradation des institutions monar-chiq ues et des affaires de 1'Etat s'ac-clre irrversiblement sous leursyeux. l'existence d'une subversionsecrte. inspire, structure et arme,constitue une menace qu'tl serait in-

sens de traiter avec indiffrence etdsinvolture. Au guuvernement, oncommence penser qu'il est vraime nttrop confortable de prendre ces of-ficiers qui rvent de prendre la ruede la Loi sous le canon des blindspour des stratges de caf et cesactivistes pour des desperados demlodrame. La preuve. c'est que,depuis quelques jours, les uns et lesautres sont dans le collimateur deI'Etat. La prcaution est raisonnable.On a vite ses colonels au pouvoirr1ii:ind on n'y croit pcis.

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I n f o i n v er ba nd n e t ri e n o; ;l ij ke s t a a t s g r e e p g e p l a n dd o or d e f r ~ : - . t a l i g e o ' f i c i e r e n

3 ' "1 j z p r s e e n o!;:!e!.!:od r:et J.-'::.',:Z er. :j;i;:3L: i n v e r b a n d x e t d ez?,?l: 'l:.; :.-.:;:" . . t . e l l ; - 9r.r.o .j-j:i3;,:l.C y : - * : j g r . l : e l ? u y > : . : l n ' .ekC, v?r: ;?zer, w i j

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., . . . - . ; ,'L!. . - ' ..& -a . . - . . . . .. : 2. ., , Au Commandant du ~ i m t r i k t e LIECE. . b. . . ' . ,- . ,. .

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.- 1 :- . '. .; I..

. . . - lons ccnna isscndpz is d*0ffie'irb r s e r v e f a i s -. . .- = . _ ' p a r t 3 ':ide' C e s mouvement & - .y ; Y.-%*,.; .- ... : -,.. . . . ' .:4

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- p m ~ ~ q@O, aeoond6 p a r quolqqai ippathtmaat 8 , te18 ..- . ...l o t A M B E R 2 , Pimrre M a ~ o e l e u r P r u r g o i ~ '

'

3 4tudiant$ n/ & -~ l l ~ l ~ ~ ~ - ~ r i t s ~ ~4.12.47y d o m i o i l i , c h a w m d e ~ b m e n c e r u , ?*11.Le p r b o i t .cet parfoie 6d i t em. rerpona8blsd'affiches. Il donno.alors l t rdrerse ruivanteiRd. Erneat .~olvay;'.ls HERSTWi !

. . l

. . iC a t ts d e r n ie r @ a d r e e e e est c e l l s ~ d k - ' n o x m & . . .., .

+ 9 c H O W - M A K E R , p i e d e mi le ~ o s & h , . ..n6 h Grivegne, l e 18 novembre 1933 'domicil ie A-BEYNE.r;HEUSAY,

. . aven ue de s Eglantiei-8-.n03, rbdldant8 .HERSTAL, B d , . - , E x n e e t Solvay, no15e .

Lequel, b i e n que6tant e n l i d i s o n - ~ a v e a ~ U N E E RT, t e 8 t . i 8' c o ~ u o u r a v e i ~ ne a c t i . v i t 6 a u . einid~.XE3f-~lub.

.. 8 - . ' t2. M . U L E R , i l a ~ i c o l a s ' O& ~ a a .

++-.

k .! .. .. ._.. . '. -. B e l g e , srrmwicy, n6- h _ ~ i & & a : l o 0.1-t.23. . . , ; - ./-. . . *. . .. domic i l id h BERSTdL, . rue deal Vo . s g s r 8 , h*8 " - . - i. , . * , Le pr6cit6 ~ s x p l o i t s un-- t 1 ~ ' r ; d e d p a r a t i e s -;

* .,.,, . . , -.- ' d g rmurerie h . LIMiE, : . r u e - - . ~ a n i ~ c k , n ! l 5 c :. . . . . - . .* : 2 . . . * - , . -3.. R"U Y F E s , b d r < ~ e a n y ~ o & G ' . Y ,.., -+ . . . .; 5; 1~4 , .

,. - .

.- . . _ .. . . .i . - + . . B e l g e , Direc teu r .commercia l ; :. : ., . b - t , ' . , - --,.. . - .:. .. ,n6 B ~ i i g e , 10 24 e ~ U t ~ . l 9 2 3 , d o m i c ~ l i 6 >.;: . . .

. . - , .: - G R N M i N Z E , . , r u e . d e &tIndustridrinoI.7 ci;: = - 2. - . 9 .

N & ~ A b.'kmbrs6 pour la r C g i o n i & i e b i ~ e , : : 8 3">: . :. . . : . , ' : 5' -. .... *...1-

OCAL - - ~ 4 5 p n b ~ t n t ses rdunionk ~a~;~i&&~:fr8t1~li;t68. B ~ ~ & ,. l:'.. . . . '- C t -.Fm 8' . - ' -4 . . 6 '. : L ~ G & , . . -- ... r - - , . -Ce -:

. . /C+ , . ' . .. . c i - . . v * y -7 . . :.:,.:- ' . . ' -" .; . -..- < . . ;&.: ; . .. .- d. - ..*

: . ; A c e s .runions o assistent une cinq-nta,ir+e de per'8&.xfe. . i n ~ i t b e - t p a s . ncessai ranent affili0es . '&,jets culturalesont exposCs , mais toujoure en rapport ayec , leicdo1o~Ie &,'- !-d'extr8me-droite. . . - . -!.-,: ..-.' .> - . '.-?, . .

-, .,

. .

Le NEFWlub se d c l a r e a n t i - c o m m & i 6 t ' et prtend dnon-ce r t o u t e 8 l e e a c t i v l t 6 s nefas tee pu bon. onctiorinanient d i m ,paye , cmnme Par e x e m p l e les g a a p i l l a g e a et le. favoritimmea..,

. .

IEn c e moment , d e s affiche8 ~ o n t : ~ r p a r e s o w l a rentrs

des classes , c o n t r e loensedgn emcnt r6nov6(ci -jolnt une phote-copie). . .

Le DE R STAUiELM.

Mouvement b o l n d'anciens SS, comba t t an t s du f ront d eltEet.

Se dc la re Europen et aati-communiste.

' Es t dirig P L I E G E par MULLER, Bnl le , d6Jh c i t 6 au NEMG.Club.Ses principaux e#mpathieants sont r

bS W 1 N N E N , C h a n t a l FannyBelge, sans profeas lon ,nt5 Olona, l e 1 5 j u i l l e t 1 9 5 0y domici l id , rue de la Gare, nolog.

.r- : *..?R F ~ . ~ T !r ; . : j 1"

i :* ,* * :.&,!.,\tt ::a,

*

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V u . ~ e n .Joseph. Hadelin.% V A * P J E - R . . . .Belge ohauffacrr-livreur- .",.. :. n6-B.Libge1810 2,mar6.1921, . ..

"domloil i6 B A M.A Y ,' .rue ~ 6 e i r b 6 g a , n0.9 . .. . . ..

q b A C R O X X , erdinand- Albert. . . , . - * . Belge , ouvrier d*ua lne.

;&-?'i+.

- * -l0 ?n6

hArlon, l e 30.. 6cembre 1916.. . G . domic.i l i6 A L n G E . \ 8. .

. . -?rue ch@, , -no28 .g P R 1 L I P P A R T , Louis. Jean-Baptiste ' . O

Belge '. . . . . . . - - . -; -. t a i l l a & . d e , . p ' i ~ & i s . ~ ' % @ !.:. a ?. *. : . . - .. . ' a , n6 2~ ~ei rna(c~rance) e - 1 2 a v r i l 1921,

_ . . : : ~ W I ~ ~ ~ ~ ~ . & J U P U L E . . ~ . . ..... - . -_ . . I -:... ::Y' i - ; , i 4 . % -..';.. 'b-.rue-b e;Libf6.;-n?.55d-. O ?.. , . . . : : C I .

, -.. . . . . .MCAL- t . ~ t i i o ~ " m i ~ , .. . .- k e ~marck,: o 1 5 &-:LIEGE.*.-.... * .

. . . - S . . , - - 1 . < "" . . .:. 7...a

i;. Le barnuet d ~ ' b t = - ~ n e a t i Q o .faitr;l?objt.' u rapport .du. C. D i s t r i c t de -LIEOE n01361[126/N/~i.e1 + du' 06..oct~bre:~i.971..- - - . . . . . . . . . . . . : . .. . - . . - _ : L .c.... :' 1 . - -'B 1 1 exlnte encore d a utres mouve&ents:, *~extr$meidroite.

. ds+d - 1 a " r C ~ ~ o ~ ~ ' ~ i ~ ~ e o i a s 'yan&?pri t f i i e m n ' . ~ a, c d ' ontietBnca, ' n i a c t i v i t 8 ' . t . se "idlangeant . plue or

.w r.."... m o n a &a N M - C l u b . e t -.au Dep stalhelp';. . :-. . ;:-if+. 't.>. . ..i. 1 ...... . . . .- r . . . . . . . a ,+ .. . O ~ t e a : e ~ ; ~ & ~ o n n e i8nnu,es.,~o1ms'* , f&-d pa=tie :as% m6uv&iminte ; ,~r t (~ , $ ~ ~ : ~ t U j O & t j L ~ et f i t

.. fort c o i i e c t e vis ;&-vi 'e . d e s s e r v i c e s d e ' - p l & c e i .-; . '5 .. . . .1

'c .' ? 4- . S .

.. .. . . . =+.- . - . . .. . . - -. . . . . . . . .. f $ s - - .. a + . + . . S . ' S.t--..., + .

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1050 BRUSSEL, 21 december 1989Fr i tz Toussa in ts traa t 47

DE GENEFWAL

N r Cab- -;/~YYL/D

Mijnheer de Vmrzitter,

Ik verneem dat U w Ccarimiss ie z ich t i jdens de z i t t ing van19 december 1989 zeer streng en negatief heeft uitgesproken over de wijzewaarop de Ccmmndant van de Rijkswacht gevolg heeft gegeven aan U w

schrif t e l i ke vraag van 12 december ( N r C/NM/DD) .In d it schri jven heeft U w o n d e r z c e k s c ~ s s i e , i k

c i t e e r , "de w a s uitgedrukt te kunnen beschikker~ over het rapport omesteldin 1973 door Adjudant-chef TRATSAERT van de sectie "openbare orde" van de BOBt e B r u s s e l , over een poging t o t sta ats gre ep , de zcgenaamde "opratio nbleue" " .

Gevolg gevend aan mijn mndelinge opdracht, heeftLuitenant-kolonel MICHAUX ten vo l l e aan deze vraag beantmord. Derhaive hebi k gerrieend U het verslag van deze Officier onmiddellijk en zonder enigeverdere begeleiding t e kunnen ovemaken (z ie mijn br ie f N r Cab-16765/0 van 18december 1989).

De verdachbnakingen die door de onderzceksccp-ronissie inopsrhx-e z i t t i ng wrden geui t op 19 december jongstleden, waarbij sanenigenLuitenant-kolonel MICHAUX, hetzi j mzelf ewan beschuldigden t e hehben"gelcgen" , b l i ken onterecht t e z i j n . D e eenvoudige conf ro n ta ti e van hetgeende onderzcekscanenissie heeft gevraagd, m t datgene wat ik U heb overgemaakt,z a l Ctuidelijk maken dat de Rijkswacht correct aan het gevraagde i stegemetgekanw.

Aan de Heer A. B0URC;EOISVoorzitter van de Parlementaire nderzoekscanenissiebe l a s t m t het onderzcek naar de wijze waarop debestr i jding van het banditisne en h e t terrorisnegeorganiseerd m r d t

K a m e r van Vo U r s v e r t e g m r d i g e r sP a l e i s van de nat ieWetstraat1000 BRUSSEL

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Bovendien is gebleken uit de mndelinge interventies van dezitting van 19 december, dat de onderzoeksccmi.ssie in het bezit wenst gesteld temrden van een heel ander verslag, m e r in het bijzonder het verslag opgesteld dooreveneens Adjudant TRATAERT, nu echter in 1976 en in verband met de zcgeheten "grcepG" . Indien dit het voorwerp zou zijn geweest van uw schrijven van 12 december 1989,

dan kan ik U verzekeren datU

op een even snelle wij ze in het bezit zou zijn gesteldvan eveneens dit verslag. m r s ooit heb ik, ncch mijn mdewerkers, de intentiegehad am U dit document te onthouden.

Gelet op bovenstaande, heb ik de eer U hierbij dit bewusteverslag over te maken, zonder hiertoe door U schriftelijk te zijn uitgencdigd.

in dit raam voel ik me verplicht U in te lichten van hetfeit dat een lichtdruk van dit verslag in de maand januari 1989 werd overhandigd aande onderzcekers van de heren Onerzoeksrechters HENNART, LACROM en TRCCH.

Ik rrem op deze wijze, Mijnheer de Voorzitter, te h e maangetoond dat de beschuldigende beschowingen van 19 december, aan het adres van deRijkswacht en mezelf, elke grond missen. Mag ik U derhaive verzceken tijdens eenk m d e itting van Uw canrmissie, n en ander recht te zetten.

Met bij zondere hccgachting,

Luitenant-generaal BERCKMANSCcmmndant van de Rijkswacht

In Bijlaqe : Verslag m e uitenant-kolonel MICHAUX.

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CE NC A2M ER LEETAT-MAJOR GENERAL

Le- 15 Dcembre 1989

D I R E C T I O N S U P E R I E U R E

D E S O P E R A T I O N S

2ue F r i t z To u s s a i n t , 471050 - BRUXELLES

- ,' p l : ! 0 2 ) 6 6 2 .

O M E T : Rapport t a b l i p'as 1' Adjudant-chef TRBTSAERT en 1973, su sujet d 'une

ten ta t i ve de coup d ' ta t , auss i appe lde rn l ' o p r a t i o n b l e u e .REFERENCE r Votre ordre verbal

J e p o rt e B votre connaissance ce qui s u i t t

1, Fin dcembre 1988, dans l e c a d r e de l a fonction da Coordinateur National

que j'occupe depu is Ja nv ier 1986, j ' a i Bt6 i n f d de ce que l a BSB de- c e l l u l e MEKDEZ ", va i t t6 charge peur Fionsieur l e Juged!Lristnrctian HEIINART de fa i re des rechemhes 8u su je t d'un pro je t de

caup d l t a t d a t a n t a e 1973, ap pe l6 ~ ' l ' o p 6 r a t i a n bleue " .2. A l a sec t ion Information de l a BSB' de BBlJXELLES o i l s se sont renseigng

l e s enqu8teure n 'ont pas retraw de dosaiar r e l a t i i unenop6ratian

bleue ", u moins sous cette dnomimation . au tefo ie, l e Capi ta inew , hsf de Servfce de l a BSR de BRIEEUES , e u r a remis unefa rde de t ravai l de l a . s e c t i a n I n f o r m e t l a su r l s q u el l e f i g u r a i t l a

mention : PTSCH ? ( exidme-droife ) 1973 . e t te fa rde a 6tds a i d e par l e s e n q u e te u s sur ordre de Monsieur l e Juge d ' I n s t r u c t i o nEXNiWIT 19IVELmS .3. La fa rd e mentionne ci-dessus a t d cr e l e 14 Aoht 1973 B l a suite d l ut d l e x d e l l E t a t M a j o r Gnral de l a Gendarmerie dat du 14 Aot 1973 B

neu heures t rente ( v o ir photocopie en Annere 1 ) . Ce t l e x f a i s a i trdfhrence u n a r t i c l e pa ru d a ns l a " 'G az et Van Antverpen du &me jour

sous l e t i t r e : Ia een staatsgreep in Belgfe mogelijk ? ( v o i rphotocopie en Annexe 2 ) . e &me theme a t dvelopp le8 jours

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par d' au tr es journaux e t hebdomadaires . Vous trouverez enm e r e 3, t i t r e d'exemple , l a photocopie de l f a r t i c l e de l 'hebdaada i r r

Spcial du 15 AoQt 19'73 .Le t lex adress tout es l e s un it s de Gendarmerie du pays, pr es cr iv ai t

de rechercher toute s infoxmations au auje t du contenu de l ' a r t i c l e e t

de l e s transmet t re aus s i t a t l 'Bat-M ajor de l a Gendarmerie .- - Comme je l ' a i d i t ci-dessus, il n ' e x i s t e p s s de rapport de llAdjudmt-ChiTRATSaERT ayant t r a i t une opratio n bleu e " .P a r cont re , il e x i s t e un rapport de l a mot ion Information de la BSR de

BRUXELUS, da t du 10 Septembre 1973 e t sign par l e Majar DECOCK, a l a r sCommandant l e D i s t r i c t de aRUXELLES . Ce rapport cons titu e l a r6ponee del a BSR de B R ~ X ~ ~ Su t lex c i t c i -avan t ; il a vraisemblablement t6

- . -- ninu t par ltAdjudan W2hef TRATSAEET, Chef de l a s ec ti on In format ion en

1973 ( v o ir photocopie en Annexe 4 ) .Pour mmoire, lTAdjudant-Chef TRATSBERT, a r r i v e A l a sec t ion In iormat ion

en ddcembre 1960, en a pr i s l a d i r ec t i on en 1970 jusqut sa r e t r a i t e en

dcembre 1980 .4. Je joins en Annexe 5 e t 6 , a photocopie de deux questions parlementai-

res poses en 1987 qui ont t ra i t au mame su je t e t qui ont t rauvd rdponse

dans l e s Su l le t in e des Question8 e t RBponsea de l a Chambre de8 24 e t

31 r r s s s 1987.

Coordinateur N a t i a n s l

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4 7 .

p14Cf;-?C ? L r 3f m s t ,;A

. t o gsb b r a S a n ta - L,. O wvL

" 5 t

v e r t r 4036 doo

\, info s t a a t s q r e s ~ n beLg le .',

-.-CHI

: c f r a r t a r e t vav antwerpen van heden 14 aug 73

' 1, d i t dabLad n a a k t n e L d i n g van i n f o b e t r e f f e n d e putch pLanneni n b e L q i e d o o r f r a n s t a L l g e o f f l c l e r e n in ' t b i e z o n d e r d o o r d z e z e~ 8 l k 0

221k6 cjUtien b k c Lb e r i h t b l t g a a n d e v a n s t a f gd

9

pt4033 aL.q 1 3fm:, (;st . it o eh ? r z V n r ta - LO w uLb tv e r t r 43;; 7 - 2 3

l n f o s t a a t s ~ r e e p n b L g i e .-------c f r z r t q a z e t van a7t.vernen van heden 14 aug 7 3

1. d i t d a b l a d m aa kt n e L d i n g v an l n f o b e t r e f f e n d e p u t c h p Lanneni n b 8 L g i e door f r a n s t a l i g e o f f i c l e r e n l n * t b i e z o n d e r d o o r dzszeweLke Ln v e r b i n d i n ~ ouden s t aa an n e t u i t e r s t r e c h t s e k r i ng e nh e t v e r n a t d t n a r n e t i j k :- de on tdek4 ln t e t u i k van een wasenfabr iek i n e x t r e m i s t i s c h oW i n ~ a n .

- dat o v e r een z e s t a L weken , n h e t n o o r d e n v a n h e t L a n d ,s t r a t f e n z ouden z l j n opgeLegd a an o f f l c i e r e n , u i t h o of de vans u b v e r s i v e a k t i v i t e i t e r , .- de a a w e z i ~ b e t d a n a k t l v i s t e n o n d e r de Le de n va n ?en L u i k s ec tub u a a r v a c de L e id e r s k o r t seLeden zouden ondervraagd geweestz l j n i n , ? r c l g e de o nt d ek ki ng van een wapenzwendol en h e t u l t d e l e n\#?n l u c j s c h r i f t e n.-net on t s t a a r i een j a a r geLeden va n een n l e uw e w aaLse r o e p e r i r r ~ ,d i e i e d a r e u l t e c s t L i n ks e beweging bekampt,- recenta wapend le f s t aLLen i n sommlge k a t e r n e s waarvan de dadersn i e t w e r d m , g e l d e n t l f i c l e e r d .

-4i

2, bede aLLe n u t t t g e i n f o h ie r o m t r e n t OP v e r t r o u w e l i j k e w i j z e op t e *ZOekeR en o v e r t e maken.

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L th nb t- 4 - 6 r i ) F -1 - i

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1 , c e j a c r g a L f a i t e t a t d ' l n f o c o n c e r n a n t p L an s d e p u t c h en beLglque _p n r o f t l c i e r s f r a n c o p h o n e s e s s e n t l e L L e m e n t , e n L l a i s o n a v e cn i L i e u x e x t r a m i s t e s d e d r o i t e . i L s i n a t e n o ta m e n t a u p a s s a g e r

- t a d e c x v r t e a L i e ~ 9 a n s d e s m iL ie u x e x t r e n l s t e s d 'b r ie f a b r i q u ed ' a r m e s .- q u e d e s o u n i t i o n s o n t e t 8 I n f L i g e e s a d e s o f f i c i e r s d a n s Le n o r dd u p a y s i L y a q u e L q u ? s s i x s e m a i n e s , d u c h e f d ' a c t i v i t e ss ~ b v e r s l v e s .- La p r e s k s d'activistes p a r m l Les m e m b r e s d * un c L u b L l e g e o l sd o n t d e s U i r e y e a n t s a u r a i s n t e t e I n t e r r o g e s r e c e m n e n t s u i t e a 13decouver t - 3 ' L n t r a f i c c l * a r m e s e t l a d i s t r i b u t l o n s d e t r a c t s .

- d e La n a i s a n c a it y a un ar d ' u n n o u v e a u g r o u p p e m e n t w a L L o n ,q u i combat t o u t m o u ve n an t e x t r e m i s t e d e g a u c h e .4 e V O L S j 9 a r m e s r e c e n t s d a n s c e r t a i n e s c a s e r n e s , d o n t Les a u t e u r sn ' o n t pas, e t e l d a n t l f t e s .

2. p r l e r e d 3 r e c h e r c h e r e t d e t r a n s m e t t r e c o n f i d e n t l e L l e m e n t t o u t ei n f o u t l L e a c e s u j e t .

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s een staa sgreep3

(Van onze redaMeur t 111 :let oclachelijke getrokken.in- - , ' . e L J L I ~ C I buidt intenrlrf .erpeur

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Lu eouvrrtiirc. Lcs Etais - Ui iis miinqticnt de @ trole. Des olr ic iGs c i dcs (q iiltr;is 8 ) q t i i

Cc n'cri qtic I prciiiiCre r'tiipc p rprcni un co up tl'l;.liit c i l I l c lgirl ic?dc Iii griinde crise de I'cnergie.Dont nolis serons tous vi t i ines . ~ k n ~ r i l l e i l i c i i i .i i ic i d l cI t r l i l c i i i C C r c i i -

contre le sccpticisi i ic dc hcii i icoiip clcmonde c i rcnipl i i d ' i i i i r :joie sccri'cc IL'poujdistc qui sommcillr: cii c.liiic.iiiidcnos ~ ~ m p i i l r i o l c s .i c 'r s l h ic i i cc i i i ip i2 -Iicnsihlc:. qui s ' i iviscrit i t dc i oi1hlcr Ic.cicl si i l s nii i igc (inii lyri . Icstc pciii , ),sctind:ilcs po lii iq tis >) d'i iii p;iyso ii III 'i ii t si bo n viv ic ?

Etpour t an t .

ILS ' i i i l si ~ t i c'LII~(IL.

L

chent bicii ILIs i c i i r i i i 11 ; i t i i i i i i i I~ .'lii-;i i 'un c'ii t t d'esprit I:iic~ii' (les iiitlir.c\

ri1 P(IIII~I;IIII ... jo u rd ' l iu i ~ I ' i i l ' l r ~ i ~ ~ ~ti'11 tic < ' ; I ~ I I I i i \t Soiiiiiics-i~oiisiic.tii.u d'unc y:i lCjii t l~ ou i l ' t i i icc..ipcr.c LIC

p;ir t i t i coup d'Et;it? p;cyc 'O). i n o i i s l w d i i Lwli Ness caiiv;il qiii

A ce jo i i r, on pci i i coiupi cr sur Ic,rloigts d'une sculr iniiiii I r . 5 ~ ~ c i ~ s c i i ~ ~ i c squ i sont dans Ic scci.cl tlcs rlicus. tl ii ccotispiraiion. qucllc qu'cllc soic. ii 'csipiir rendue puhl iq i ic ri i Iii s;illc i l c IiiMudelcine. ii Hruxellcs. Mtiiu iiiic IJrc\acl ibre n le Jcvoir t le lii d C ~ i i i i ~ c c r.

riii wn . Et J'niour.(Les Potilidor tlr.I;i photo, pugc 36).

.#

du nonde; Lu pknur ic cs i -c l lc pol i r'demain ? Risquc-i-cllc de t r;iveisc.r

tcquc

nouscxpowoiir

: 'or noir scr dcmin

19

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par un COUP dgEtctf?N f e de l a hargne e t de l a grogne, une Cagoule ii l a belge mCdite un cniip d'Etut.

Nous avons nous aumi no3 colonels c t nos ultras.

Un inouveinent d'exir6mc-droitc

~ u ic prpiirc iiii coup J'Etitt snBelgique c l organise d4jA I'aprCs-rC$iiiic. Dcs plnu strat6giyucs inis aupciiiii pour rbursir un puisli niili-iitirc oi, (ru prcnricr ~ilulr, 'cniparcrdes poinir ncvnrlyiques de ~ruscllex.Ces dcux Iiypollifses , rcnvcrriintcssont, depuis quelque temps. priserextrmement au srieux par le Pou-voir uu point que des missions desurveillance et d'investipiation ont 6thassignes, de toute urgence, A la s f -curi tt de I'Ernt.

L'origine de celte brusque prisede conscience :

1. Leu coniacts discrets pris par des.penonntllits u ultm )) avec certainsparlementaires aux fins de sivoi rquel comportement ceux-ci adopte-raient en ctis de prise du pouvoirpur la force.

' 2 Un trnfic d'armcs-.d'ko9~if'3LiCgc dans c mdma milleux acti-

litique en cxcrice. Les errcnicnts c i

les termoiernenir dont cc systrncdonne trop souvent l e spcrctiicle. encltpit,dcr 'ciTortu dc ccrtitiiin Iiontiiicsdc h6nne volmi&. coninic Ic soiit as-~ i t d n i ~ i i lriclqucs icniints du pou-voir, I c r ont progrcsxivemeiit ;tncri.rdans la conviction qu'il s'agit dcmettre vigourcusemcnt dc l'ordredans la ptaudi6re nationiile, chu-ser les politiciens en fonction et lesremplacer par des homnics neufs.purs, forts e l dynamiques. Au seindes clubs qui leur sont rservs, cesredresseurs de iorts ii 'toiles ont, dC-luisant le bridge et les khecs, pris

I'hnbitude d'un autre jeu: cclu i quiconsiste. par exemple. h prendre lacapitale d'us~riui en inveniisunt lescentres nerveux du Pouvoir. Le jeuest vite devenu une prkoccupationpuis, un programme. L e plan d'unputsch &t nC dc ce qui n'a d'abordt b qu'une: rtveric et un diveniue-

inciri. Aujoiird'lr\ii, Ic ~ r r ~ r i i i i i r c i . ~

iniectlo cs i prh. Siii ' Ic ~ i i i l ~ i c i 'Idi~ns C S G ~ c s .ALI 1wti111ilii 'il y ;Iciiiq ou six wiriiriirc~. le \ ~ ; I I I c ' I ~ ~ > ~ I %i j i t t :I

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di in^ leur propre iiiiCrC(.

Un fcu dc camp incendiaire ce s diverses iippellaiions. i l s'cigit, cn les hymnes d e giicrrc gcririiii~iqucsDu c6tCdcs civils. I':iffiii~~.emonte ri.;iliit,d'uhseul et rnCnrc mouveiiient qu i lui liennelit iiint ii catir.

1966, l'+poque o des nostulgiqucs muckrt dans Ics nostalgies de l'Or-du niirismr: se scini rrgroups dans dre NOU VC~ IUesnndes d'occupciiion Le souvenir dc Ilcrcltti~~mdctt

ollicicrs ci . dii-oii

de Iu Justice n'ignorait-23 uin dernier, le N Egcrnid, d Bousval, un gcump solennel cn I'hu cumanidcs allemands

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s t r i c t I c = e l l e 3, . .5ec Znf 3 r - z t :.l:n5, , Je d e ' b . ; . . r

. - -

..-,- . - : -::s 2 3 ~ 2 ' z t a t er: 2e:li l; ique.-- . . _ - _ . - . . -. a . . a , - - . . -. - . - - - - - . . . . .;-:4 ..- - + / : * : , 2 5.2 1 - 4 , ..

. . .- 9.1 > i - S 0::s .3:: d f d ~ ~ : . c 3 t ax l : , f o r r a t i o n s p a r u e s con^A -- : -- 2 .==-:; .;z-. .'.:.:ne:ser;" ;: t ?. st dc za &t ir .e : ' ~ ? c i a l " , r e l a t i s . e s u y s a a i -

. - : - ;* j .,-. - -- - - - - ,.. 23;; d ' ~ t a - n Z e l ~ i q r e , l a x:. f a i t n e en q us t e d a ? ~ e s-. , : P " Y.---,,. ;ci;i:;;ios 2 e 1s z a p l t a l e e t s p P ' c i s l o r ; h ~ . t 3x1 e s n i l i e u x d ' ex -

-- . --:-.L1-t5), . i ; ~ .

-e ce:ce er.q,ite i l r e s s o i - t q ~ i ' i l a ~ r a l t e 8 " c o n t r c t s " , z n e~:.:?:1:-.?::,e:::?e c e r t a h s ?ilLe-x f i z a r . 3 i ~ ! r s t Le s o ~ o u p e u e n t s 011-- i . s r , ? 3 '?x : r6 ,e -dro i te e c c e o i 6 4 2 s l e 21-i: e e n o y r a t e r c3s i n ~ t i t u t i o n 8---.7 S . ,.,. - 2 3 e i ? z ? n z s ? a i g r a b l e s & l a d o c t- I r- e d ' s x t r 6 a e - d r o i t e . N o u 8 n ' a v o xs--. .--)-.- -,:2is p . ~ a c x e i L l i ? a c c l x e i n f o ~ 3 : i x x l a t i v e A un e p r i s e du pouvo i r ;

.'---:e ;a? l a r o rc e . I--..-a:=: l e s r;*.;elq~ces ~ a i p e - ~ : ~ t ~' e x t r s e - a r o l t e , l e :ZX-Cll-iS-

.::,-:?I Z,?r,;s : , ' l=az i re -Zl l - lo)esr. le 2;::s Lrr i - ,o r t s r t .- n t o l ~ t a s c e l u i - C L-=...-l- S t ~ e e 3 i e t n f i za - c e t l r s : ~ x c t . u 6 . I l a 2 0s s e c t i o n s k x s

i- . . n, - L c L ~ ~ ; r a ~ d . - > s : i l le- : d i ; a i s .

i1

, ...-...- Cl. ;C cfe 2 : . - ~ x e l l - ~ s t - , i . k s a c e : 6 d L t i g z 6 2 z e n z i e l.. -, -one ? 'a iaz i r~" ,d i : icn 2 c ? .c ->?:?. ix pa?i llo :. s e t a f f l ck es ,.2 : : 2 ~ - . ~ e l , A -

- - -.,-, a:ion de coz f r e r. co s e t r' e ftes .

Le r b d a o t e u r e n ckef 2o c e cor.s:el est le n o z , :

E C Z T; . ? E.riile,=d.mr.d~ e l k e3 3 z r ? a l s t e ,

? -:: 1 .-t :.';ii-d l e 1 . -. . ,-b'/taa.s, Z J .z z i c i l i 2 Z t l e r t e a k , :- a ---.

m- ,e c??i-nie- a 2e xo-: ,rel ise3 r e l a t i o n s l a r . s l e s ~ i l l e ~ ~ x' e x t r ~ ~ - d r o l t e . 1 - s z - i e de s c",r3il~ezer.+s Y3uvecer. t d ' r c t i ~ ) : ~ l . ~ i ~ u e " ( ! ~ ? ~ . l = )t "Zeur,e

: - ? s ?e" , t ous de7 ix a = t u e l l e z e ~ t i 5 s c . i ~ 3: s 1 3 x t l a p l x p a r t d e s m e m b r e s- -- ecL-P"- - . , .- - a . z Zr, ? -C i 2 5~ .- .. ---, es: a c % * ~ e l l e x n t s l r i L ,q l~ L ? r r l i q ~ n - - r . t , y a s s e Fovr t r e l e d i r i -;Fari: s p i r i t l - l e l d u FEbi-Clu=r.

2 ---1. , -- .Jacqxts,Uose~!- . ,--

~ e l ~ e ,rid A E t t er c e ek l e X . 7 . f . g t d m i z l l i ~ E r u ~ e l l e s , ~ - ~ el a N I v e ~ l ~ ~ l .

7.8 s e r a i : q x ' u n " h o m de p a i l l e 7 .

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N A M 2 8'00oape de l'inforuntion et de la doaumentrtion du mouveuient.Ilentre d e n o n t dana aes intentions de former un groupe de jeu nes militantet de leur fa i m suivre un entrafnement de.,judo,kar8te,eto..riinsi que deles fm i l i a ~ i s e r veo les te6hnlquee de la prop.guide politique.11 a CtC,CO- L E E ? F ~ m e m B r e u MAC et de Jeune E y o p e .

'Les di ffrents :iZi4-Cluos du pays ne oomptent que pcu de mansres( 2 - 2 0 d'aprs un dirl&eazt) et en gdckra1,ceux-01 sont peu enthousiast espo? d e s actions sur la voie publiqus et ont peu d'exprdrience &L ce suJet(rrni festr tions ,coll a~e laffichea,eto..).C'est ainsi que les colle rs d'affiokes se font r d~ ul l ir e mn t der,tifie? jxr la police.

!l'autre part,il senblo que l'organe "Le Nouvel Europe k'aaazi?.~"c o m - ~ f C ,--e t o z r e &iffusion, particul1reaer.t h Brsel le e et A LigetJ eq - ~ 1 a i s s e supposer qu'en plus de8 neaSres,le XZ.1 pert cozpter su? ~n assrg-xud n o z L r l de sjxpathisants.

Le !Z?-Club serait fir,anc et dirig par une sCrie de perscnnalitt

2" le C ~ a t e e 3 ; LY A??,oal,Parie,belge, conseiller social;nr4 Woluw St Pierre le 26.4.25,domicili A Uocle, - ~ e ?oSe-ts .?ores, z O > O .

Ce c e ? x i e ~ erait ex-chef dc Prot3cole du Yinistre de la Coo3ratica.; C I ~ . r e l c ~ p c z j n t . l est l 'poe-;c e la %ro-e VAN /i-L4?:3, 'krie, .62St Josse -ten- Noode le 27.10.27.

.

ri6 B Verviers le -1.7.1Cdomicili h Uccle,aven~~o de Yessidor,~.~2Sk.

L'intressd est rdministrateur de la -que "Ekl~o-1aiae" E r u r e l l e

4' Ecuyer de BONVOISIN Wn oi t,belge,nk A Etterbeek le 1;1.07.79.domicili~ Etterbeek, ? d Ct !-Ilchel n o 0 .

11 est le neveu du 2": et serait W. uni intine et collaborateur de. Ifl? A E I U ' 32EYI . IAKTS.

Cette liste n'est pis l~ni ta ti ve .

Lss autres groupements d'extrme-droite franc ophon es'tel s ue le"~ a r t l u ropenw e t wkrallnnie"(wuvement,I

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reoueillir des ranselgne wnta dina ce8 millaux.Il nous est toutefoiaMv e nu qu'aprhs Ir parution des 8.rtIolea en question diLhs Ir "~.zet v aAntwerpenW et dm8 "~pdal al ", le om d e l'ex-gdn6rr;l JANSSENS m i l e de 1Fera. publique a fait l'objet de ooaientai ne dins le Club Albert de 1Caserne naudouin h 3ruxeb8.

Au aours de l'enqute,dtautres nams nous ont dt6 oltds,mis nousn'avons pas pu dterm1~er,:asquf prdsent,le rle :ou4 ou h Joue r par cesperaoraea &r.s oette aff aim :

0 . T 3 X ?hilippe, b e l g ecinaste-journaliste,nd h Fklines le 29.2. 9 a 1 i 0domicillC A Ixellea,rue E .Vinden ~ri ess ahe ,n~ s. e

Ce de r~ le r rayaille B Mddia-Press B 3ruxelles et dirige les s e n i c e spkotograpk-.:ques du EM-Club.

3 . de Y47ViE de ME.XEN,identitd inconnue.

%: C X K .Co&.

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vrapn en hnnvoorden Km c r - 4-3-1987 (18) - Que~t ioa Rponse - Chambre 1785

Vraag nr. 43 van de heef Le s t i c ~ e an 13 maan 1987 (Fr.) :

Kan , d ~ ' ~ t e r . 6 f ~ c a a ~ ~ ~ e ~ ~ i ~ii hec juiste bedrag tekennen geven van de uitgaven v w r penoneelsbijscholing inzijn ( hnar )'depanement in 19861 Ceschiedde die bijscholing

binncn het departement of via buituiprestaacs?

Antwoord : De kosten voortvloeiend uit de herscholing vanhet onder mijn gczag geplaaut personcel, worden over hetalgemeen ten laste genomen door de Algemene directie voorseleaie en vorming (ministerie van Binnenlandse %ken enOpenbaar Ambr). Nienemin, worden sommige uitgaven voort-vloeiend uit de deelname van ambtenaren aan meer specifiekertudie- en vormingsdagen, ten laste genomen door de begroringvan mijn dicnsten. Aan dergelijke uitgaven wcrd, in 1986, eenbedrag van 212.000 fr. bcsteed.

b

I

Qucstion no 43 de M. Ludeane du 1 3 mars 1987 (Fr.) :

DJprtement. - ecydage du persomcl. - dpensu. .l ~ inistrdstatuire d'Etat pourrait-il(elle) me faire con4

natre le montant prt& des dCpenses consacrics au reqdagedu personnel de son dtparterncnt pour l'anne 1986, en

prcisant si ce recyclage a Ct effectu au sein mme dudpartement ou en recourant i des ~resta tions xtrieures?

Rponse : Les frais rCsuItant du recyclage du personnel,plact sous mon autorit, sont gnralement pris en charge parla Direction gCnCrale de la slection et de la formation(ministre de L'IntCrieur et de la Fonction publique). N b .moins, certaine dpenses rsultant de la panicipatioa &fonctionnairu 1 d u journtu d8tudes -et de formation plussptc ifiquu, on t Ctt supportes par le budget de mes services.Les dt pe n w de cet ordre se sont levCu, en 1986, i 212.000 F

Vraag m. 44 van de hou Latisnrie van 13 maan 198 7 (Fr.) : 1 Question n* 44 de h4. Lestienne du 13 ma n 1987 (Fr.) :Departement. - unctie 8 ondenuijs m. - itgavm. 1 DIpsrtement. - onction 8 enseignement m. - penses.

Kan de ministcr of ruatssecr euris mij hct berag te k m e ngcven van de uitgaven t a ehoeve van de functie onderwijsin zija, (hrur epanemeat, opgesplitst in penonecklastui,werkingskostcn en gebouwenkostui?

. . .Anwoor d: Geen cakcic uitgave wordt t a lucc gcnomea

van de begroting van de oader miin gezag geplaautc d i e s t e evoor de functie onderwijs.

Vice-Eers te M inisteren Minister van Justitie~. In sti tu tio ne Ie ervorrningen (Fr.)' 1

. Le rninisuc/sccsuire d'Etat pourrait-il(e1le) me faire coa-natre le. montlac; des dpenses consacrt i la fonaivnenseigncmeat &'son dt pa ne mu it , en faisant apparaitre l acharges de personnel, la cots de fonctionnemear, les coGa eabiumenu?

Rtponse : ucune diplte n 'u t prise en charge par le budgec~ ~ ~ c ~ p l i d sous mon autorit& pour 11 fonction enseigne-

ment.

Vice-Premier Ministreet Ministre de la Justiceet du Rfonnes institutionnelles (Fr.)

Vrugcir. 66 de he Pepcraunr van 23 januari 1987 (N.)- -

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De condusies van een door de Veiligheid van de Sta

2. J'ai demand aux autori ts judiciaires des renseignementrconcernant le point2. de la question pose.

zodr= i k . 2 ~ntvangen heb zaI ik aan het geacht lid ant-woordcn,

Vraag nr. 6 8 van de hem Sprockeels van23 januan 1987 (N.) :

verggcdkg von skchtoffers U M misd=dige brand. ' 1 Dldommagement du viciinrks d'un incendie criminel. 7Volgens gegevens verschenen in het laaute verslag van de

Bcroepsvercniging der verrekcringsonderncmingen, zouden30 Y* van de brandenin Belgi een misdadig opzet hebben. Ingtote stedcn zou dit cijfer zelfs oplopen tot meer dan50 %.

in de Vercnigde Statcn schiint men in grote mate deze vormvan crim ina iite i~ edwo ngen te hcbben. Dit problcem werd o okbesptokk4 op coagra in november 1985 te Brusselingericht. &t d e Conference of Fire Protection As soa a-tion.r, $ * " '5::

O n lr n p beeft. de politie kunnen uitmakea dar de brand vaneen B M S C ~ ~ioseoop in 1986 en waarbii vijf personen o m he tleven' kwi* o p c ee ii jk door minderjarige Noardafriicanenwerd 3 t radfu lkr.

In gwal van misdadig opzet, speclt de verzekering meestal- - niet. Wie z d d an d e slachtof fers vergoeden voor het verlies van

hun bloedverwantl-. .

Welkc maatregel heeft Belgi reeds getroffen om dergelijkemisdaden te voorkomen? Dringt een zware bestraffing vandergelijkepiisdadenzich niet op en, wa nn eu hetom buitenlan-den gaar. is het niet wenseliik re definitief uit het land terctten?' M m 'Di matcrie opzettcfijG1S ~ n d s t i ~

bchtecrtabor dc a n i h l u i 5 10 en volnendc van h et S trafwet-

Selon des informatioac parues da ns le dernier rapport de laFdration des pr od ua eu n d'assurances de Belgique,30 Y. desincendies sunenus daas notrepays auraient une originecriminelle. Dans les &and& J.tIllet, ce chiffre dpasserait mtmeles 50 %. . . ., 9 ,

Aux Etats-Unis, ce gcn rr,d c cr im in ai i~ emble tre vaincudans une large mgurCCc +lZrnc a Cgalernent t abordlors du co ngrbde la i q$ciui~d of Fi,re Protection Associa-tion . B u d i $ ,,. ~ ~ A d $ e t a b t ~ ~ ~ G .

U y o peu, la police r pu ttab lir q ue l'incendie d'un cinmabruxellois en,1986JqOfc f i h dirq 6t?tin; avait t dlibr-ment allum pard e miricuts m i g h & k k - -

Dans I'ventualid d'une origine criminelle, les compagniesd'assurancu refusent.Ic pl- souv ent de didomm agerlavic times Qui u t a lon tenui dddomrnager les proches de lavictime pour la pertequi l u a f r a pp h ?

Quelles m rr ur u la~&l$we'r:f-effe p r i s a po ur empcher cegen re de cr imu? F a d kdatelrcrimes, de s sanctions pnalestrs l o u r d a ne s ' i r n ~ ~ t 4 c s p u 2t I~ rs qo 'il 'agit d'tran-gers, ne serait-il pas indiqu deles expulser dfinitivement?

.:--- .--Rtpoase r"Lt ~ ~ d ~ ~ 3 t ' a e #%t&'dt*olontrire a r gie.

p ar l a anides 510 4 s u i ~ a g pqa& pnal.

la mon., .

t ' i n c e n d i e v o l o a r r i r e ~ p n ~ r n a i u I 4r mon est dodc puni dela plus O* pdnc exttliq M t 2 n t g c

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3. Werd cc onderzocht hoorecl Belgische huurlingen inLibrnon bii' de Christciijke Falangisten of bij d e PL0 zijn?Luigz w elk i n t e m a t i o n i d ~ t w c r k o m u i z c d a a r t er ec htenwelkc organ isat iurowisclcain Bdgi de huurlingen?La . ,

4.

a) Wcrd cr rccd s opg ctrcd ui ttgert organisaties die huurlingenronselen? WeIkc, w u r cnwanneer?

6 ) Werd cc opgetreden tcgen huurlingen zclf?

c) Waar, w annecc e n wclkc bestemming hcbbcn d u e huurlin-gcn en welke w area de organ isat iaen opdrachtgevers?

5. Werd e r o n d d t ,jr\ Belgif d o or schict-, s po rt-ofandere vereniging4,triiningen wo rdu i georgadscerd waarook huurl inges aur.d ~elac mea ?. :, . .

6. 1s gew eten of: Belgische buurlingea in hct buitenlandtrainingslumpea:vaJgd?Y?atr? , .:

Antwoord:

Het geadit lid gelievc hicma het antwoord opzijn v raag te w illcn vinden. 'Het onderroek met betrckking tot de rckrutering van huur-

lingen o p an s groadgebicdt;valmitt on d a de bcvoegdhcid vanLulb~erded ig ing .~,:,

- - t . ' . ? ,y , A > , *. . . , ;

Vraag ar. 74 v s n d e KeVcnndren van 13 febtoar i 1987 (N.) :

. - - - . . - . - -3. A-t-on pu ttablir le nombre de merceniirei'bclg& corn

battant r u Liban pour le compte d u pha langes d i r t t i enn u cid e I'OLP? Par i'intcrmtdiaire de quel rCscau intert uti on rl damercenaire belges aboutissent-ils dansces o r g a n i ~ a t i o ~ ,tquelles sont les organisations qui recrutent lu mercenairadans notre pays?

4. .(i) A-t-on dj pris des mesures 1. l'encontre dvorgwisation:recrutant des mercenaires? Dans l'affirmative, lcsquellc.s et

quand?6 ) A-ton pris des mesures l'encontre des mercenaires eux.

mmes?c) Dant raffirmativc,o et qua nd? QuelleCuit la destinarior

d e c e mercenaires? Pour le compte de q u d l u organisation:travaillaient-ils?

S. A-t-on cherch i ttablir si des associations sportivesotde tir donnent un encrainement auquel participent galemendes mercenaires?

1 6. Sait-on si des mercenaires belges suivent un entrane1 ment dans d u camps Ctrangers?Dans I'affirmatirc, laquels?Rponse : 'honorable membre voudra bicn trouver ci-ap rt

Ia rponse h sa question.Les enqutes relatives au recrutement. d e mercenairessu

notre territoire ne sont pas de la comptence de la DCEursnationale.

Leger. - IDS.- rMaorregelen.. 1 hntC* SI D A .- esures.AIDS i s sr vcnchn 'Wrcli jk .~. riekte die on Ia ng .b ck ea d

g e n a k t e en tcgen d c w e l k t m c a no g gecn d ~ e l u e f h denees-m i w f behandeling heeft gcvoaden. ---

in dccunber 1986 wer dat ccn mai g c ta l l a vastgcsteld in

d e gerangenissen v i a Siat-GillU ca van kn t in . P rcvcn t i c remaaaegcicn werden getroffen.In hct leger is men m e a b l o o t g ~ c l d a n hct AIDfgevaar.

Daarom w cnste ik te wcten of cr tee& ge rd la r wcrden va t -gcstcld in h a eget, u w d, i a d k e eahCdea of opladiigs-I'93ltZt, h

W& de gerdco gcna tcd bd,&d&& nriliuiFcu of piibusa&&r milieriren die hu a opleiding inocu land gaiet*?

Le SIDA est une maladie horrible 4ui.a tC d+ouvert-p!ummcnt e t po ur laqu elle l'oti 4' 1 pas urcore ttourC C

- remdc ou d e traitement efficace.Une sr ie de u s o nt Ctd con stats en dcembre1986 dans t

.prisons de Saint-Gilles et de Ln tin .Des

maures prventircont i t t prises.L'armte est partlculibrcment expose au danger du SlDr

Pour ca te raiscn, j'aimerai: savoir si 2:s u s y on: dji Cconstat&, ct dans l'affirmative, da ns queILcl unitset centrd'instruction. - -

Les ?,ont-iis t t t re lcrb a u p r b d e militaires belgo ou c& t a ir a . t t r a n g m q u i r q i v e n t le ur focinadcm d a n i n o t

6 . - -- ,

k a t - , .. , , < . , , . . .. .. '

a.; In$cyary&scz& . ~ & o a & i u g W N D S cm;- rtljciag ait. Men moct cxgdijke oprtaadig e bewegingcn inh alcb%v9f?%?PWp ~ - * r + , . C Y + , ; n

' :. A h w c d r .V&htSannoocd~op dsc m i g o r d t hctr- p e h c i i d vcmadmpafC ha m c h o r d op.der n a g nc68 ria:^. - m ~ m , ~ c b e ) ~ i i d ~ ~ e f i m e ~ f a a ~ o I I c r t ~ ' e g e o w o o c d i ~

gut,pan 6 eb'rtiati U87.' -.. .$. a I

WYSrO I la, malades sont-& solgncr a qixeIi3 n>nt l e r mesur

p&cdti*ts qu i o n t CtC prises? . ,

: . i.onancc de as dc SIDA i oan fie* l m&&re a k lprisons. il y a Iieti de pchcnir d i cller 'rttihifettitiotu c

i drnr f am& I

! . RCpooic i Pour la r t p o n r c A cette pdq

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CIeneeMii de plam* bctrokkcasln 1974 werd d e &eging Cuicnt mls A cette affaire. En 1974, ' l e m ~ ~ * e r n e n tu irond Nouvel f i r o p c M a g a $ w N E M ) Jehcrsuuc~urec rdh gravitait autour d u Nouvel Europe Magazine( N E M )avait

gewclddad ige pk t iu lc i ig~kf~o@&&,la , i c u n w w ge- restructur ea une aile d'action violente du nom de Froat d ennmd, po~t ie l 3 , OCASC - rofet d'an &ti royal-pariant fixation des cadresde taulkaders:

c 27 mai 1986, le cornit4 de ges tion d e l'Office centrald'action m a i l e et culturelle Cmettait, p ou r la seconde fois, unavis favorable sot le projet d ' r r r t t ro yd por tan t fuu t ioad uah = ingutdqucs des agents pumuientt d e I 'off icc

1 .

inistre. Il est en toutru Monfteur belge. -

, ' ' . 2 : l L 1 1 7 & dr4flL + litoh I l d a n I.. .J " + 2 * i d f - 4 l P y , ,C v m* y

i-2 -- +r,t*T*raPn'b - t ; , : > l * , \ - ; a r t . - -. ,. . .

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G E N D A R M E R I ESER'IICES GENERAUX

B U R E A U CENTRAL DES RECHERCHESRue F r i t z Toussaint, 47

1050 - BRUXELLEST 1 : 02/-142

e 21 dcembre 1989Annexes : deux

O E U 3 : Rapport du 22 octobre 1976 de l a Section information de l a

BSR de BRUXE;LLES, sign par1

Adjudant-Chef TRATSAERT, concernantl e "Groupe G" .Ref : Votre ordre verbal du 20 dcembre 1989.-

1. Les lments connus sur l e "Groupe G" rs u l te n t d 'une p a r t , desd i f f r en t s con t ac t s de LEKmJ ( a l o r s mnbre de l a Sect ion S tupf ian ts del a BSR de BRUXE;LLES) avec lfAdjudant-

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L e dossier de l a BSR de BRUXELLE es t const itu :

- des deux annexes in t i tu l es respectiverrient (Runion Info e t But dunoyau) ;

- des photos prises lors de l'observation par l a BSR de BRUXELLE de l arunion du 16 octobre 1976 au damicile du gendame;

- des notes manuscrites prises par l e personnel de l a BSR au cours de l arrime observation.

~a BSR de BRUXELLES ne dispose donc pas d ' i n f o m t i o n s qui p e m t t r a i e n tde penser que ce Groupe G au ra it effectivement t cr aprs l a runiond ' i n f o m t i o n du 16 octobre 1976.-~La copie de ce dossi er e s t en possession du Groupe Delta qui enqute

ain si que l a cellule deJUMET.

4 . Pour autan t que j ' a i pu l a reconstituer sans inte rf rer avec 1 enqutejudiciaire en cours, l a ract ion du C c m m n m t de l a G e n m r i e aurapport de l'Adjudant-chef TRATSAERT en 1976 M t l e dplacerrient des deuxgendames du BCR. (Voir photocopie en Annexe B ) .

5. En mars 1989, l e jou rnal "La Dernire Heure" a r e l a t abon-t l e sdclarations de LEKEU en Floride sur ce suje t e t dl aut res .

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N'Q3,+fg;.C,~*.-Annexe. A

Au Chef d e Sv de la BSR

la Qenarmerie,

o du Md1 LEXZXI de l a Seo S t lde l a BSR da B r db *un e a t r e t f on a o n f d o a t i e ~u l t a j u i a h i r ~ , i l a v a i t .

.ZPrap. Haga5izre"(ft~~aet hebdomadairt

. groupement , ,

darne (I:IIEVIS) eat .venu 1 fir de ."Foraes Nouvellesw connaissait ce gendarmeoccupait de ce genre d i

- -

B r m e U e s e t qua il rerkurdre

- . . .

olrr6 qu'il tait d'accord avec- ' leau po in t de vue pol i t iqaa .maia qui il se .

s e n t a i t gendarme d'abord e t qu' il ne tait. pss d 'accord~avea PfIEVsu r l a cration d 'une sect ion du "Front" la hm3arn te r i e .~ '&ta idiailleurs la ra ison pour l aque l l e il & t a i t enu-me-trouver.

A & f i n de notre en t re t i en Kd LEKEU m ' a d o ~ ' I l e om dcgene rme t Hdl l (1NIS du B C R . J 8 a i demand au I . ? ~ ~ - L E K E Z T : ~ e paarompre. . lerr ralat ioas o e s u j e t - a v e c 1-IWIS tout - en l !~enjoignmtde'ne donner MIEVIS aucun remeignembnt relevant dakaecretprofess ionnel , . . i, . . %?il(*-

.- r . -e ;--& .2 . ' Le 20 Sep 76, j Q a i u un nouve l en t r e t i en avec~-e.Hdl. E U

Il ava i t e f f ec t ivemen t reu la v i s i t e de i-fIEVIS l e 18*Sep 7 6 ...

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. * - ,.S. . . . .>afi.;q.-G+,-&p - .*A*

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- 4 GROUPE e7

... :- J- - ,:A, ~&$$~

Objet : Buts du noyau , .--------------------- i f '1 -

f .Le but premi er de notre groupe coneisle B former 4 oyai solidqhomrnea rdsolua au:seiir' du corps de enda arme rie, seul organede police nat.ionale. Il serait en effet stupide d'avoir 'lesmmes idees et de vdg&tsr dane l'inertie. Le fa it de no us rdure t df6 cha nge r nos id6ee est' ddjh u n a a n d pas* mous ne f ai sonequ f xprimer ic i un d e nos droit: ce lu i de nou a r6uni1-, une d?nos libertbs, celle. f expr essi on et de pene6e.

'\

Noua ne aommei pas un groupe d 'anarchistes, .de rvolutionna ireou de conj ures mais , implement un noyau dthom mes fiera etconscients de s valeurs morales, de s hom mes fi er s d'appartenir. .au corps df 41 it e .qu1est la ends sr me rie et nou e voulons. que danl'avenir noua p ~ i~aa&n si toujour s tre fi er s de le dire.~e nombreux hommes dans k =monde et dana nbtre pays luttentcontre le p h i l rouge, D classe8 sociles diff drentes e tfaisant diff 6ren tes; prof ssions, le plus souvent ils lutte-dans 1 'ombre ou au grand 30- suivant :leurs -m oy en s et' prennentparfo is, '6mormes ris que , 11s sont ( o u m i e r s ,employds, militaires oulous. evons les aider d ieux que no& po-ons et ce l l eur

.

c o t utile dana 'le cadre notr e m6ti*r, .- . -.De notpe aotio; depend n&o e-ie rn&ale. . . .. . -~i faut. 8largir not re k t i & en . rbcrudan t d'autres ~ o i l $ ~ u e aayant le mm e i d d a l , les mmes iddes Pue no us et ce+ avec

L 1rudence et patience,Nous aiderons l'organisation B laque1 e nou s sommes rattachespar des-rens ignements, cotisations t par .le fait que no ueaommes gagnOs A leur cause, qui est 1 ntre, et p e r ' n b t r ecoh6sion.

4 ._

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CIII C 'U u G" -.*&~?$g$~$q;-Objet : Run'Son~info i -

-1 ' . --, :,"-s,*-:.*- - . .---------------------- . . - . .

J e ne vous l e cacher a i s pas , voua l e saqez autant qua moi, no1vivons dans une ddmooratis pourrie.

, 1Il de vi en t Bvident que l o r a du "cras hw p to li ti q u e e t Bconomiquurqui ne manqueras pas -de e w e n i r en Bel ique , '1 audace r6compt

. .ceux qui agi ront au moment opportun. H o p o u r l q i n i t & t l a 1

e n ti td p o l i t i q u & . ~ p q b l e de p re n dr e l e s r 8 n e s d u p o u v o i r , defaon Nd$mocratiquew ou non, so nt l e s communistes. En ' e f f e t , 1l e u r s ub y er si on ~ t Zqura mensonges, .qui. k t f a i t lsure' i reuver. .d an s d f e u t r e s pa ys , I l s ont dans not re Pays une de f cAU grand j o u r l e s hommes d e p a i l l e belgdB et l e e , ' j &eb 6 c e t k rqui f o n t l e u r je u, d a n s 1 ombre', l e s ag elb ts d e ~ o e c o u m ,consorts) . Pourvsis d 'une organisat ion po L i t q u e e t f&anoibrsimpeccabld, comportant des groupe8 de ,- ch oc ou.hommes de main (

IDA , 4 e :XNTEiiNATIONALE TROTSKYSTE), de= c a d r e a p o l i t l w e a poA"

1 endoct rinement de s masses, des o rgmi eh t io nd spd Sc ,a le s q u i. & - - - - i Y - - Y .l a p l u i e t . . e bea'u tempe dane n o t r e paye , . e t c . . -:+-=--. . -, ....*;:. ;*, >~ u . q . t - 1 i t r i ; ~ i l t E t i o n a u ch i et e, ' c e l i e i c i t ri v' ai i- 16 le &. . . , > " -4 -, . , . . l j 'r B g h &. . . d& : t o u s &maines'e t tous l e s & ~ h & l ~ f i ~ ? d $ ~ 3 ~ ?

,.. . . - 1 -.. .. . ..:--.Y:;(-,, .-c o m m ~ a u t a i r e . ~ r e f ouq nous .en dos oii '&ni % - t a - dana.notr.8 . -. . ,., :- ' .e y s t & i e. . . d$&ocrat , - . % . .i b d r a ~ ;. , A . , , fiais 'la & & i l * & $ s ~ t ~ $ i $ ~ a a t,; ,, ., +, & :2-noua 's i rbna...-. .- .-. . ..,....:c&mg@&s::santi. .. - . ;:.. '. j r . ...-. . . i y;

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1050 BRUSSEL, december 1989Fritz Toussaintstraat 47

Nr Cab- ~ d ~ d r h

b

Mijnheer de Voorzitter,

In antwmrd op w brief van 12 december jongstleden, hebik de eer U een verslag te laten g m r d e n van Luitenant-kolonel MTCHAUX,houdende zijn bevindingen na onderzcek i.v.m. een zog- "Oprationbleue", waarover de BOB Brussel in 1973 zou gerapporteerd hehben.

Luitenant-generaal BERCKMANSCcmMndant van de Rijkswacht

Aan de Heer BOURGEOISVoorzitter van de P a r l m t a i r enerzoekccrrrniissie