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Habitat-Cité Revue de Presse 62 rue vergniaud, 75 013 Paris Tél. : 01 45 88 71 75 [email protected] www.habitat-cite.org Association Habitat-Cité

Habitat-Cité - Revue de Presse

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Tous les articles parus sur l'association Habitat-Cité et ses actions de solidarité internationale.

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Habitat-CitéRevue de Presse

62 rue vergniaud, 75 013 ParisTél. : 01 45 88 71 75

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Association Habitat-Cité

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Sur l’association Habitat-Cité

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N°97- sept. - oct. 2004

Paru dans : Globe-trotters magazine

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N°297 - nov. 2009

Paru dans : Le journal du Secours populaire - Convergence

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N°79 - janv. 2011

Paru dans : La Gazette du 13ème

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PANTIN

Habitat-Cité : une ressource constructive pour les Roms

L’association Habitat-Cité cumule les atouts pour répondre à la fois aux besoins de la population rom en ma-tière de logement et aux questions qu’ils soulèvent auprès des municipalités. Elle a une expérience internatio-nale de l’habitat précaire, elle travaille avec les Roms en France, et en plus elle travaille aussi avec les Roms en Roumanie. Petit focus sur cette association.Créée en 2003 par des bénévoles afin de mener des projets autour de l’amélioration de l’habitat, sans contrain-tes géographiques, Habitat-Cité prend rapidement son essor puisqu’elle fonctionne au bout de trois ans avec des salariés. Elle est actuellement financée à 60% par la Fondation Abbé Pierre, ainsi que par la Mairie de Paris, la région Ile-de-France, le Fonds Social Européen, le Secours catholique, etc.Ses actions de solidarité internationale vont des bidonvilles du Nicaragua (son premier projet), ou du Cap-Vert, au suivi de squats en Ile-de-France. Pour son second projet, elle se porte vers un ghetto rom en Slova-quie. Et, en 2006, la Mairie de Paris et la Fondation Abbé Pierre lui demandent d’intervenir sur un campement parisien qui compte une quarantaine de familles roumaines (dit le « campement Mac Do »). Un programme de retour en Roumanie est mis en place, mais, note l’association, de toutes les familles concernées, une seule est restée là-bas.Forte de cette expérience, et suite au désir manifesté par certains Roms de rentrer au pays, l’association monte un projet qui fait le lien entre la France et la Roumanie, avec un suivi des Roms à Grenoble, avec l’association Roms action, et en Roumanie avec des partenaires associatifs et institutionnels sur place. En parallèle, Habitat-Cité travaille avec l’association «Une famille, un toit 44» sur un projet d’insertion des Roms à Nantes, favorisé par une volonté politique forte.Orientée vers les solutions participatives incluant les bénéficiaires et la coopération avec les pouvoirs déci-sionnaires locaux, Habitat-Cité invite régulièrement ses partenaires roumains à visiter des villages d’insertion, des terrains sauvages et des hôtels. Un bon moyen de voir les différences, de faire tomber les préjugés et d’aboutir à une meilleure compréhension du problème. Apparemment convaincant, puisqu’à la suite d’une de ces visites, un maire a fait voter en Roumanie un terrain pour la réhabilitation. L’association fait également un pont efficace avec le public à travers la réalisation de films documentaires. Et les Roms sont justement l’objet de son tout dernier long-métrage, « L’Europe en marge ».Enfin, elle vient d’ouvrir une antenne à Pantin, à la limite du Pré-Saint-Gervais, où elle suit, depuis 2005, avec le Comité Tchétchénie, un public essentiellement russophone.Ainsi, elle est là, elle connaît bien le sujet rom, sa démarche de co-développement à dimension européenne est appréciable. Autant de qualités à disposition de la ville de Pantin dans son projet d’accueil des Roms ré-cemment lancé par la Mairie !

Cécile Fleur

Publié le 30 juin 2011

www.ecologie-pantin.fr

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Sur nos projets

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N°7 - sep. 2006

Paru dans : Altermondes

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Paru dans : Ulpia Jurnal (Presse Roumaine)

- nov. 2007

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N°12 - déc. 2007

Paru dans : Altermondes

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Publié le 20 septembre 2008

Au Nicaragua : Reconstruction d’un quartier populaire avec ses habitants

www.fondation-abbe-pierre.fr

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Accord transnational pour les Roms de France

Le Préfet du département d’Alba, Stefan Bardan, a signé hier un accord transnational qui vise l’intégration sociale et professionnelle des citoyens roms. Selon les représentants de l’exécutif du département, les associations françaises «Habitat-Cité», «Roms Action» et «Une Famille Un Toit 44 » ont mis en œuvre cette année un projet visant à aider les migrants roumains d’ethnie rom à trouver un emploi. Le projet qui s’intitule « L’intégration d’un public rom éloigné d’emploi » se déroulera pendant la période 2009 / 2010. Les partenaires roumains qui collaborent à la mise en œuvre du projet sont l’Institution du Préfet du département d’Alba, Caritas Blaj et la Mairie de Sîncel. Selon les mêmes sources, le public cible du projet est composé de citoyens migrants roms qui souhaitent s’installer en France (en particulier les villes de Grenoble et de Nantes), mais qui se heurtent à des difficultés pour trouver un emploi : manque de formation professionnelle, connais-sance insuffisante du français, discrimination dans l’emploi, manque de connaissance du système administratif français. « Le projet vise à suivre et soutenir 50 migrants roms roumains installés en France (29 à Grenoble et 21 à Nantes) pour permettre leur intégration sociale et profession-nelle en France. Le caractère transnational du projet permettra la poursuite du transfert de bonnes pratiques et d’outils innovants entre les deux pays, la Roumanie et la France, et de développer une approche commune des mécanismes d’inclusion sociale, de l’égalité entre les hommes et les femmes et de l’accès à l’emploi d’une population marginalisée », a déclaré le porte-parole de la Préfecture du département d’Alba, Cosmin Lupu.

Publié le 19 novembre 2009

www.monitorulab.ro

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N°122 - nov. - déc. 2009

Paru dans : La revue Aventure - La Guilde

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N°66 - janv. 2010

Paru dans : « Et les autres ? »

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Au Nicaragua, la Fondation poursuit son programme de relogement des plus défavorisés. Depuis 2003, en partenariat avec l’association habitat-Cité, la fondation a soutenu des projets ponctuels au Nicaragua, associant la population locale déshéritée à chaque chantier de construction.

Publié le 21 septembre 2010

www.fondation-abbe-pierre.fr

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Colloque sur l’insertion des Roms de Roumanie

Publié le 20 novembre 2010

www.secours-catholique.org

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R(r)oms ici et là-bas

Emission du 3 décembre 2010

www.radiocampusparis.org

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N°70 - janv. 2011

Paru dans : « Et les autres ? »

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N°71 - avr. 2011

Paru dans : « Et les autres ? »

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- nov. - déc. 2011

Paru dans : Le journal de Pantin – Canal

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Publié le 29 février 2012

Coopération : Responsable de l’ONG française «Habitat Cité» en visite sur l’île de Maio

Porto Ingles, 29 février 2012 Le chargé de communication de l’ONG française «Habitat Cité», Stéphane Etienne, se trouve à Maio pour constater l’avancée des projets que l’organisation finance sur cette même île. Sa visite d’une semaine va lui permettre en plus de suivre les projets en cours, d’analyser l’utili-sation des ressources mis à la disposition de la mairie pour la réalisation des travaux. Construction et réhabilitation de jardins d’enfants et de maisons dans les localités de Pedro Vaz, Alcatraz et Barreiro ainsi que formations dans le secteur de la construction civile sont certains des projets financés par Habitat cité sur l’île de Maio. Stéphane Etienne déclare à Inforpress que pour la concrétisation de ces projets, Habitat Cité est en collaboration avec plusieurs partenaires français, principalement le Ministère de l’Immigration, la Fondation Abbé Pierre, la Fondation Baudoux et l’ONG capverdienne en France «Crianças de Hoje e de Amanha». «Nous devons présenter à nos partenaires toutes les informationssur l’uti-lisation de l’argent qui a été mis à notre disposition pour financer ces projets» indique Stéphane Etienne en ajoutant que Habitat Cité est disposé à financer d’autres projets mais qu’il revient à la Mairie de décider du domaine prioritaire.

WN

www.inforpress.publ.cv

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N°41 - juin 2012

Paru dans : Ile-de-France

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N°210 - juil. - août 2012

Paru dans : Le journal de Pantin – Canal

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Publié le 24 août 2012

Pour travailler, les Roms resteront soumis à « l’aléa administratif »

PARIS - L’assouplissement des conditions d’embauche des Roumains et Bulgares, principales nationalités des Roms, est un premier pas mais ne lève pas l’obstacle majeur de l’accès à l’emploi, qui reste, selon les associations, l’autorisation de travail délivrée par les préfectures.Mercredi, le gouvernement a allégé les contraintes des mesures transitoires en vigueur jusqu’à fin 2013 en France com-me dans sept autres pays de l’Union européenne: la taxe que l’employeur devait verser est supprimée et la liste des 150 métiers auxquels ils ont accès sera élargie. « C’est un premier pas car la taxe décourageait beaucoup d’employeurs », estime Annabella Orange, directrice d’une association accompagnant les Roms (Habitat-Cité) près de Nantes, Grenoble et en Ile-de-France.

Mais ce sera loin d’être suffisant selon Jérôme Lobao, médiateur de la Ville de Bordeaux auprès des Roms et président d’une association (Procom) militant pour les droits des Roms, pour qui « ce sont des demi-mesures qui allègent sans doute mais ne règlent pas du tout le problème de l’accès au travail ». « Faute de levée totale des mesures transitoires, cela reste compliqué pour un employeur de passer par tout le parcours administratif. Sauf à être un employeur militant », dit-il. Roumains et Bulgares « restent tributaires de l’aléa administratif », résume Malik Salemkour, coordinateur du collectif Romeurope. Subsiste en effet pour ces citoyens européens l’obligation de disposer d’une autorisation de travail délivrée par la préfecture et d’un titre de séjour. Et donc de déposer une demande en préfecture avec une promesse d’embauche. Parfois un an pour obtenir une autorisation de travailler. « Quand on sait que les préfectures mettent entre trois mois et un an à répondre, quel employeur pourra attendre », souligne Saimir Mile, président l’association La Voix des Roms. La fin de la taxe, environ 700 euros pour un ouvrier recruté en CDI au Smic, est une « très bonne chose » qui va « nous faciliter un petit peu les choses mais ça ne résoudra probablement pas tous les problèmes administratifs », juge le prési-dent de la fédération du bâtiment en Nord/Pas-de-Calais, Olivier Tommasini, qui emploie 300 salariés. « Même quand ils sont prêts à payer la taxe, la complexité des dossiers inquiète les employeurs », confirme Mme Orange. Les Roms ne sont d’ailleurs pas les seuls à se heurter au mur de l’administration. C’est compliqué pour les Roumains en général. Peintre en bâtiment de 25 ans, en France depuis 2009, Marius n’a ainsi jamais réussi à obtenir l’autorisation de travail, en dépit d’une promesse d’embauche: « quatre fois, je suis allé à la préfecture, j’ai fini par abandonner ». Depuis deux ans, ce Roumain s’est établi dans l’Essonne comme auto-entrepreneur, « beaucoup plus facile que d’essayer d’obtenir un titre de travail ».

La deuxième mesure, l’élargissement de la liste des métiers autorisés, actuellement 150 - un nombre qui pourrait être « doublé » -, selon le ministère du Travail, aura très peu d’impact, selon les associations. « Les Roms que l’on accompagne ont déjà les compétences correspondant à l’un des 150 métiers », notamment dans « le bâtiment, l’aide à la personne, l’hôtellerie et l’agriculture », souligne Mme Orange, d’Habitat-Cité. Les formations qualifiantes ne leur sont en revanche pas accessibles, « là, il reste un barrage important », tout comme les opérations de démantèlement qui brisent les actions d’insertion, souligne-t-elle. Pour Saimir Nile, « le problème n’est pas la liste des métiers. Il faut supprimer l’obligation de travail » imposée à ces citoyens pour rester sur le territoire « pour voir le début d’issue vers un chemin de normalisation », insiste-t-il. Toutes les associations réclament la «levée totale» des obligations imposées aux Roumains et Bulgares sans attendre la fin 2013.

www.lexpress.fr

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N°214 - déc. 2012

Paru dans : Le journal de Pantin - Canal